B.C.E. est à la Tunisie ce que fut le Général De Gaulle pour la France

Un vrai gouffre sépare B.C.E. qui incarne le patriotisme tunisien et le grand réveil de la conscience nationale et  Moncef Marzougui le petit Caton de Carthage et antipatriote pathologique, comparable à  à celui qu’a connu la France à la sortie de la deuxième Guerre Mondiale entre De Gaulle et le Maréchal Pétain.

En effet, tout les distingue  et les oppose en termes d’histoires personnelles, leurs parcours politiques, leur dévouement à la nation tunisienne, leur savoir-être, leur morale, leur sens du bien public, leur attachement indéfectible à l’indépendance nationale que le candidat du Qatar veut anéantir.

B.C.E. est porteur de valeurs de fidélité et de loyauté dont est dépourvu le nervi de l’Emirat-caillou sorti du sable en 1970 par ses maîtres anglo-saxons.  Il n’est pas exagéré de dire qu’il est de l’étoffe de Churchill et De Gaulle tellement son amour pour la Tunisie est sans faille.  Aussi, toute tentative de comparaison entre les deux candidats est une insulte à la raison humaine et une infamie à l’histoire de la Tunisie. Comment ose-t-on mettre face à face le fils d’un militant pour l’indépendance de la Tunisie et qu’il s’est lui-même engagé dès l’âge de 15 dans la résistance tunisienne alors que l’autre Moncef Marzougui  nourri au biberon de la félonie est fils de traître et de goumier et qu’il est lui-même antipatriote notoire, milicien qatarien et ex agent des services de renseignements étrangers qui lui seul est à même de révéler les noms.  Cet homme aurait dû destitué de ses fonctions présidentielles pour le conflit d’intérêt dont il s’est rendu coupable en tant que salarié de la chaîne de la propagande nazislamiste de la Jazeera.  Quel crédit peut-on lui accorder au regard de ses fréquentations avec la pègre tunisienne dont il a fait son comité de soutien politique et son organisation de police parallèle sur le modèle des tontons macoutes ?  Un homme qui ne reculera devant rien pour se maintenir au pouvoir  et préserver ses privilèges  royaux et ses frasques mégalomaniaques.  Son train de vie dépasse celui de l’Elysée et de la Présidence allemande réunie au mépris de toute morale citoyenne.  En votant pour lui, les Tunisiens doivent s’attendre à des dépenses pharaoniques pour ses frais de bouche.

On aime la Tunisie on vote pour B.C.E. si on veut sa mort on vote pour ce vendu et collabo de la pire espèce qui puisse exister. Pire encore que Laval, Doriot, Déart trois des plus grandes figures de la collaboration en France.

La présence de cet homme au deuxième est une tache indélébile dans l’histoire de la Tunisie. C’est comme si la France avait adoubé Pétain au lendemain de la deuxième Guerre Mondiale pour défendre ses couleurs contre l’homme du 18 juin 1940.  Le voilà aujourd’hui à quelques encablures de la gloire éternelle en devenant le premier président démocratiquement élu dans toute l’histoire de la Tunisie alors qu’il mérite la disgrâce nationale et d’être traduit devant une cour martiale pour haute trahison et et commission de faits avérés de collaboration avec le Qatar.

Les tunisiens qui votent pour lui auront un jour à répondre devant le tribunal de l’histoire qui sera leur seul juge pour leurs crimes de complicité d’atteintes à la souveraineté nationale. Ainsi chaque bulletin déposé en sa faveur est un coup de poignard asséné dans le dos de la Tunisie.

B.C.E. est un homme digne et honorable qui a payé de sa personne dans l’édification de la Tunisie de Bourguiba en sa qualité de ministre de l’intérieur et des affaires étrangères. Connu pour sa grande rigueur intellectuelle et sa recherche de l’excellence. Un homme d’ordre et jaloux de l’image de la Tunisie dans le monde. Il fait partie de cette génération bourguibienne de bâtisseurs d’une Tunisie moderne, du bien-vivre ensemble, souveraine, maîtresse de son destin politique. Il est en droit de s’enorgueillir à juste que son nom est associé à cette Tunisie enviée dans le monde entier pour ses performances en matière d’éducation, des droits de la femme et du C.S.P.. Une Tunisie dont le seul nom suscitait respect et admiration.

Cette même Tunisie dont le nom est devenu aujourd’hui évocateur de peur et de frayeur en étant devenu le premier pays pourvoyeur de djihado-terroristes et de main d’oeuvre sexuelle à des fins djihadistes depuis qu’elle est tombée sous les griffes de ce prédateur-opportuniste, revanchard, haineux, rancunier, corrompu, sangsue, glouton,fade, terne, souffrant de graves troubles de personnalité, instable psychologiquement,  hargneux, agressif, bouffon, velléitaire, girouette, sans foi ni loi, et ses dompteurs islamistes. Cet homme que les Tunisiens sont entrain d’introniser comme leur futur monarque absolu  qui est la synthèse la mieux aboutie d’Amine Dada, Ceausescu,  Mobutu et Papa Doc fera regretter amèrement aux Tunisiens d’avoir dégagé Ben Ali. obsédé par sa seule haine de la Tunisie il finira  détruire ses fondations nationales  pour en faire une vassale qatarienne et un sanctuaire terroriste réalisant ainsi son rêve de la peupler avec les terroristes du monde entier en mal de refuge.  Avec lui l’avenir de la Tunisie s’inscrira au passé.

B.C.E. défend une Tunisie tunisienne, humaine, tolérante, fière, digne d’Hannibal et de Bourguiba et pérenne tandis que Marzougui défend les couleurs de l’indignité, de la honte, de la félonie et de l’infamie. Une Tunisie barbare, obscurantiste, réactionnaire, livrée aux meutes de loups salafistes, du désordre et du chaos.

C’est un combat de choc des cultures et d’une histoire de quelques milliers d’années contre 40 ans d’histoire. Les Tunisiens doivent faire un choix de société et d’identité nationale.

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