L’islamophobie est une pathologie psychique qui frappe les seuls musulmans

Ce n’est pas de l’islamophobie que de désacraliser les dérives barbares de l’islam, et de dénoncer sa haute nocivité, ce qui l’est c’est leur sacralisation par les musulmans et leur refus obsessionnel à les corréler à leur objet de culte pour lequel ils tueraient père et mère.

En effet, les musulmans élevés dans la culture du déni, de la déresponsabilisation, du fatalisme, du prédéterminisme,  et de la perversion de la réalité, ce qui est laid est beau, ce qui est beau est laid,  ont une peur phobique  de lever le voile sur la vraie nature hideuse et abominable  de ce qu’ils croient être une religion qui porte en elle le poison mortel pour le monde des vivants.

Nier les crimes de l’islam est symptomatique de l’état de l’état de troubles mentaux des musulmans qui vivent dans la peur et sous les menaces de la colère de leur bourreau-tortionnaire-tyrannique qui a fait de l’intimidation son seul argument de persuasion.  » Certes, ceux qui ne croient pas à Nos versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes Puissant et Sage! » (Sourate an- Nissa: 56)

Angoissés à l’idée de finir dans les bûchers ardents des feux de l’enfer qu’on leur injecte dans le lait maternel dès la naissance, ils vivent  avec cette épée de Damoclès suspendue  au-dessus  de leur tête au cas où ils commettent le sacrilège de démystifier leur religion. de la mettre à nu et de démasquer son imposture.

Adeptes d’un culte qui fait de l’anéantissement de l’être le chemin de la félicité, ils font de leur passage sur terre la préparation de leur vie après la mort. Toutes leurs actions et  pensées doivent être en conformité avec les prescrits de la foi s’ils ne veulent pas se trouver exclus de leur lupanar paradisiaque et de connaître le sort de ces infidèles auxquels Allah promet les pires châtiments: « Et l’on soufflera dans la Trompe: voilà le jour de la menace. Alors chaque âme viendra accompagnée d’un conducteur et d’un témoin. « Tu restais indifférent à cela. Et bien, Nous ôtons ton voile; ta vue est perçante aujourd’hui. » Et son compagnon dira: « Voilà ce qui est avec moi, tout prêt. » « Vous deux, jetez dans l’enfer tout mécréant endurci et rebelle, acharné à empêcher le bien, transgresseur, douteur, celui qui plaçait à côté d’Allah une autre divinité. Jetez-le donc dans le dur châtiment. » (Sourate Qaf: 20-26)

Les musulmans emberlificotés dans le tourbillon des tourments de la Géhenne  sont inhibés par un sentiment de frayeur obsédante qui les hante jusqu’à dans leur sommeil et tout au long de leur triste vie.  Peu importe leur état de souffrance mentale à cause des pressions intolérables dues à la violence morale de l’islam,  leur misère matérielle, sexuelle, psycho-affective,  ils ont perdu toute conscience de soi pour se projeter dans un univers subliminal où leurs délires  de persécution ne sont apaisés que dans son auto-destruction et la destruction de celui qui est différent de soi, le chat noir, son exutoire sur lequel il doit assouvir ses frustrations que le Coran ordonne de tuer pour s’assurer un gain, ajr, pour le paradis.

N’est pas islamophobe celui qui fait une lecture objective de l’islam, celui qui l’est est celui qui n’a pas l’honnêteté intellectuelle de le faire et de faire du mensonge une vérité dogmatique. C’est une pathologie qui frappe en premier lieu les musulmans eux-mêmes qui ont peur de quitter l’islam pour éviter la double peine. La mort et l’enfer.

C’est la peur de gratter cette couche de vernis qui masque les griffes hideuses de l’hydre musulmane qui est une phobie.

Il n’y a pas de crime à dire la vérité quand elle est étayée et avérée, le crime est de draper dans la vertu une idéologie castratrice et aliénante. Harcelant ses fidèles, les troublant dans leur pensée, les empêchant de réfléchir par eux-mêmes, les censurant en menaçant de mort tous ceux qui osent se livrer à un travail critique qui n’est d’autre qu’un examen de conscience.

De ce qu’on est vraiment et de ce à quoi on croit et des rapports intimes que l’on doit établir avec sa foi.

L’islam est un bunker mental pour ses sujets dépourvus de raison et de volonté comme ils les définit lui-mêmes, leur interdisant toute remise en question de ses dogmes. S’il se veut une vérité, il doit comprendre qu’il y a d’autre vérité que la sienne et qu’au lieu de la combattre par la violence, il doit accepter le débat. Tout refus du débat est symptomatique de la fragilité de sa vérité, d’où son recours systématique à la violence comme argument afin d’étouffer tout débat contradictoire Il a fait de la peur source de phobie pour les siens sa seule loi.

Une réflexion sur « L’islamophobie est une pathologie psychique qui frappe les seuls musulmans »

  1. C’est tout à fait clair, Salem.
    L’islam ne repose que sur la peur du châtiment depuis qu’il est né et sur rien d’autre. Les musulmans vivent dans le flicage des autres, la délation et la peur. Cela rappelle certaines de ces sectes abjectes dans les pires bouquins ou films qui traitent de cette folie.

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