Et si l’islam était le vrai culte de la mort ?

Afficher l'image d'origineLe passage dans la tombe est une des quatre étapes essentielles dans la vie d’un musulman qui se décline comme suit : le ventre de la mère, la vie terrestre, la tombe et la vie éternelle. Or, comment les préposés aux services mortuaires musulmans vont-ils s’y prendre après avoir ramassé les milliers de corps à la pelleteuse comme des vulgaires gravats pour donner aux « victimes » de la bousculade de la Mecque une sépulture individuelle censée marquer la transition de la vie terrestre vers la vie éternelle non sans avoir procédé au préalable au lavement des corps qui est obligatoire et à leur positionnement de façon à ce qu’ils fassent face à la Mecque ?

Mourir à la Mecque vaut bien une entorse aux rites funéraires islamiques qui vaut aux « bienheureux » le statut de shahid, martyr, mort non pas sur le sentier d’Allah mais dans sa demeure, même si l’on était écrabouillé comme un rat.

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Peu importe le calice de la mort pourvu qu’on ait l’ivresse de crever comme un rongeur sur cette terre de charognards infâmes.
Les pulsions de la mort sont bien le premier pilier de l’islam. Un musulman digne de ce nom n’a qu’un but dès sa naissance être mourir à proximité de la tombe de Mahomet et en accomplissant son hajj, pèlerinage, il ne rêve que d’une chose ne pas renter vivant chez lui. Un aller sans retour. Au point qu’il est permis de se demander si cette bousculade gigantesque et indicible n’était pas provoqué sciemment par les victimes elles-mêmes pour précipiter leur mort.
Un suicide collectif qui ne dit pas son nom mais qui leur permet d’arriver à leurs fins à la grande satisfaction des leurs qui touchent de surcroît le jackpot alloué aux familles par le Royaume du Grand Mal.

Paradoxalement, les autorités saoudiennes se gardent de communiquer sur les modalités des funérailles des suicidés de l’Hadès islamique.. Vont-elles leur donner des sépultures individuelles ce dont il est permis de douter. En effet, les wahhabites enterrent leurs défunts dans des tombes anonymes. Il n ‘est pas étonnant que tous ces bienheureux « suicidés » se trouvent dans une fosse commune non-identifiable.

Ils sont morts pour l’islam et Allah saura reconnaître les siens et les gratifier de toutes ses bassesses et luxures.
Il semble que selon un hadith rapporté par Bukhari (1278) que la purification des corps qui est un acte obligatoire dans les rites funéraires n’est pas indispensable quand des pieux musulmans tombent comme des mouches à la fois.

La mort ne fait pas de différence entre eux Allah non plus Djabir Mahomet enveloppait deux hommes dans le même linceul lors de l’enterrement des tués (de la bataille) d’Ouhoud et il disait : lequel d’entre eux savait mieux le Coran ? Quand on lui désignait l’un des deux morts, il commençait par le placer dans la tombe et disait : je témoignerai en faveur de ceux-ci au jour de la Résurrection. Et puis il donnait l’ordre de les ensevelir ; ils ne furent pas lavés et ne bénéficièrent pas de la prière faite pour les morts. ».

La prière est dite et Allah est tout heureux d’accueillir ces désespérés de la vie dans son grand bordel minable et ses tavernes sinistres.

Quand on a aucun respect de la vie humaine, il est somme toute logique que l’on profane les cadavres et on les enfouit dans la terre comme des déchets ménagers.

Une réflexion sur « Et si l’islam était le vrai culte de la mort ? »

  1. Poser la question c’est y répondre. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que l’islam n’a rien à voir avec l’amour de la vie, l’amour du monde vivant ou l’amour de son prochain.

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