Tous les articles par Salem Ben Ammar

Docteur en Sciences politiques, Diplômé de l'Institut des Hautes Etudes Internationales de l'Université de Paris 2, en Anthropologie Sociale et en uùuùù.

Carthage ne renaîtra plus jamais de ses cendres à cause des Tunisiens

Carthage ne renaîtra plus jamais de ses cendres à cause de sa contamination par l’islam
10 mai 2011, 13:04
Vous êtes les premiers ennemis de vos libertés si vous ne faites rien pour les défendre contre tous ces prédateurs qui prolifèrent en Tunisie et dans le monde. Ceux-là sont les pires de tous. Ils s’abreuvent de notre sang et jouissent de notre mort. Capables de se transformer en de véritables bombes humaines pour asouvir leur haine de la vie humaine.
Embrigadés, fanatisés et endoctrinés comme des waffen SS nazis qui ne reculent devant rien pour mettre le monde à feu et à sang afin d’islamiser l’humanité tiut entière. Leur voracité, leur férocité, leur cruauté, leur inhumanité, leur intolérance, leur état d enfermement mental, leur barbarie, leur antisémitisme, leur racisme dogmatique, leur regréssisme, leur prosélytisme agressif, leur bellicisme, leur hégémonisme impérial, leur haine de l’autre, leurs pulsions de mort licite fondées sur leur idéologie, leur fanatisme religieux, leurs délires psychotiques sont le reflet de leur dogmatisme doctrinaire et de leur sectarisme mystico-politique comparables à celui des nazis et des organisations paramiltaires secrètes. Les islamistes jihadistes dont fait partie la secte schismatique et idolâtre d’Ennahdha en Tunisie vouent un véritable culte obsessionnel à l’Umma fantasmagorique islamique fruit de leurs délires névrotiques né dans l’esprit tourmenté d’un homme qui se voulait prophète et dieu à la fois.
Une communauté de croyants à l’échelle planétaire unis par la foi islamique faisant fi des frontières de quelque nature que ce soit. Un espèce de Gouvernement mondial constitué d’un ensemble Califats sous le joug des wahhabites sur le modèle de celui du Reich hitlérien. Régie par les Lois sacrées où l on doit pratiquer la choura (consensus) observer la Sunnah et respecter la hiérarchie de l ordre établi selon les préceptes coraniques. Interdisant toute rupture avec l’Umma sous peine de mort. Sombres perspectives politiques, sociales et humaines pour les populations musulmanes aspirant à la démocratie et aux libertés ainsi qu’à l’Occident qui caresse la bête féroce islamiste dans le sens du poil.
Confortés dans leurs délires psychotiques par leur Bréviaire religieux qui prophétise le règne de la religion musulmane sur toutes les nations de la terre et dont ils se considèrent comme les vaillants fers de lance( ou des cavaliers noirs de l’Apocalypse) telles des divisions de Waffen SS qui déferleront sur le monde.
Alléchés de surcroît par un salaire mirifique et paradisiaque que leur promet le Grand Commanditaire en contre-partie de l’accomplissement de sa prophétie, ainsi plus rien ne saurait contrarier leur combat dans le sentier d Allah. Etant donné leur nature vénale, la bonne action gratuite est illicite dans leur idéal religieux, leur mission sacrée au service de la cause d’Allah devient leur seule raison d’être et de vivre pour espérer gagner les voies du paradis.
Voilà comment ces renégats et ces félons islamistes, ces êtres dépourvus de raison et de discernement et lobotomisés par leur idéologie qui veut faire de la barbarie et de l’ordre naturel un système de gouvernement, se trouvent sur le devant de la scène politique tunisienne suscitant inquiétudes, angoisses, phobies et adhésions irresponsables et criminelles.

Les cavaliers noirs de l’Apocalypse islamiste semant la mort et répandant le chaos sermblent les mieux placés dans le starting box électoral tunisien non pas qu’ils rencontrent une forte adhésion à leur cause ignoble et génocidaire, bien au contraire, mais surtout à cause de la grave incurie politique dont souffre la Tunisie et la déficience pathétique des instances qui se veulent architectes des futures élections.
Le pilotage éléctoral tunisien aurait du etre confié à des personnes autrement plus compétentes et plus clairvoyantes afin de nous épargner ce spectacle d’amateurisme guignolesque et ces atermoiements dangereux pour motiver les électeurs à s’inscrire sur le listes électorales.
Le travail déplorable et inqualifiable desdites commissions ainsi que les mauvais choix de timing des inscriptions sur lesdites listes électorales n’est pas sans conséquences sur l’issue du prochain scrutin.
Toutes ces nominations népotiques et abusives aux seins des commissions de pilotage sont absolument inadmissibles et contre productives ont été faites au mépris des intérets du peuple tunisien. Comment des personnes sans compétences juridiques avérées, sans aucun back ground intellectuel et politique significatif, sans aucune expertise en matière électorale peuvent-elles avoir la responsabilité de telles commissions ? Quelle est leur légitimité ? Quel est le parcours profressionnel ? Leur formation universitaire ? Leur savoir-faire ? Etre opposant à Ben Ali ne constitue pas un atout-maître pour prétendre à l’exercice d’une mission vitale pour l’avenir de la Tunisie.
La médiocratie ambiante pourrait être l’ alliée potentielle des extrémistes dasn la mesure où il n’est pas exclu d’envisager un vote de défiance en leur faveur. Et surtout les abstentions massives pour népotisme aggravé et qui profiteraint aux extrémistes qui sont la seule force politique à même de pouvoir mobiliser ses électeurs et avoir un effet d éxutoire pour les déçus de l’incurie politique tunisienne. Le risque d’ un ras-de-marée islamiste n’est pas négligeable à cause ou grâce au faible enthousiame dont font preuve les électeurs tunisiens pour accomplir cet acte citoyen tellement crucial pour leur avenir sociétal, civilisationnel et humain. Les enjeux de ce scrutin ne sont pas seulement politiques, loin s’en faut. Deux visions du monde diamétralement opposées s’affrontent sur le sol tunisien. Savent-ils que l’avenir de leurs femmes, dont le statut est leur fierté nationale, est- absolument tributaire de ce scrutin ? . Est- ce que c’est le but recherché quand toute la Tunisie s’était levée comme un seul homme pour l’ affirmation de sa dignité et de son indignation contre les abus des privilèges dont le premier ministre de transition se gave comme jamais ? Il est du devoir de chaque Tunisien d exercer son droit de vote qui est sa seule arme pour endiguer le fléau islamiste et faire de son pays une nouvelle Carthage qui n’est pas un mythe comme l’Umma, elle est une réalité et quelle réalité! Savent-ils qu ils sont les héritiers de l’une des plus belles et plus riches civilisations humaines ? Savent–ils qu’ils font partie des peuples qui ont joué un rôle majeur dans l’histoire universelle et qu’ils sont devenus des spectateurs de l’histoire depuis le jour où ils ont été asservis par l’arabo-islamisme ?
La Tunisie terre de civilsation, patrie d’ Hannibal, d’Ibn Kahaldoun, de St Augustin, qui a doné 3 papes à l’Eglise Chrétienne, et de tous ces hommes et femmes qui font sa gloire, ne doit pas devenir une terre de barbarie et une vassale wahhabite.
Votre combat, notre combat à tous, n’est pas seulement politique, c est un combat pour la sauvegarde et la pérennisation de nos valeurs d égalité, de liberté, de fraternité, de paix universelle,de compréhension mutuelle. C’est un combat pour la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité qui n’a jamais été l’ennemie des religions bien au contraire. C’est un combat pour le respect de la vie humaine, la tolérance et les libertés de cultes et de conscience. Notre combat à tous n’est pas que Tunisien, il est universel. Comme leur impérialisme religieux qui se propage aux quatre coins de la terre au nom du jihaddisme islamique représenté en Tunisie par le Kaiser Ghannouch R. pionnier du terrorisme islamique et son acolyte et sulfuerux personnage A. Mourou. Ce combat est un combat de la civilisation contre la barbarie. Hitler a échoué dans sa conquete du monde, les Islamistes et leur utopie cosmique ( l islamisme modéré est une vue de l esprit) y parviendront si nous ne créons pas ce cordon sanitaire pour protéger la Démocratie, la souveraineté nationale et l’ intégrité territoriale du pays

L’islam : Une idéologie politique qui se sert du sacré pour tisser sa toile d’araignée

L’islam a toutes les caractéristiques d’une idéologie politique. Plutôt que d’établir un parallèle entre lui et les religions monothéistes, il serait plus opportun et judicieux de rechercher les liens de parenté avec les idéologies fascistes totalitaires du type le nazisme.

En effet,  on se demande même si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour consigner ses monstruosités dans  Mein Kampf tellement  les deux idéologies sont quasi-identiques  et les accointances sont troublantes.

Il n’est pas exagéré de se demander si le nazisme n’est pas le produit de l’islam.  Il s’est inscrit dans la continuité de l’enseigment mahométan.  De toutes les idéologies politiquesn c’est le nazisme qui mis le plus en valeur les idées prônées par le fondateur de la doctrine islamique.  Il a appliqué à la lettre le message de Mohamet notamment en ce qui concerne la Solution Finale qui porte sur l’extermination du juif et de tout ce qui est dfférent de soi, sur la négation de la vie, du sens du sacrifice,  le racialisme, le suprématisme, l’asservissement,  la purification, la pureté du sang ou de la foi fondatrices de nationalité mais également dans le mode d’organisation politique de l’Etat ( Califat, Reich) articulé autour du guide suprême messianique (calife, führer), un pouvoir dictatorial absolu et liberticide et une cité idéale raciste, purifiée des non-aryens dans un cas et de tous les non-musulmans d’un autre.

Le nazisme est le digne l’héritier de l’islam qui est en rupture totale avec les deux autres religions monothéistes.
Ce n’est pas par hasard qu’il est encore de nos jours adulé dans le monde musulman et Hitler glorifié, des livres comme Mein Kamp et les Protocoles des Sages de Sion , pamphlet anti-juif, figurent au Hit Parade de la lecture des musulmans et notamment chez les arabes.

Quand à l’épisode de l’engagement massif et inconditionnel des volontaires musulmans au sein des troupes nazies, plus de 60 000 hommes, qui n’est surtout pas d’ordre géostratégique comme se plaisent à l’affirmer les mystificateurs de l’histoire de la collaboration entre le Glaive islamique et la Croix Gammée pour paraphraser Roger Faligot et Rémi Kauffer qui avaient mis à nu et démystifier cette proximité d’essence doctrinaire dans leur excellent livre paru en 1990 : le Croissant et la Croix Gammée : les secrets d’une alliance. Comme on ne peut pas non plus nier les conversions à l’islam des nombreux dignitaires nazis réfugiés dans les pays musulmans et tout particulièrement l’Egypte qui trouvaient certainement dans l’Islam des réponses adéquates à leurs pulsions mortifères, un substitut alimentaire à leur boulimie raciste anti-juive et mysticisme destructeur, viril, violent et nihiliste que dans le christianisme mollasson, une religion pour les faibles, une invention des Juifs pour corrompre le peuple allemand, comme le qualifiait le Chancelier Adolph Hiteler et encore moins le judaïsme, la source de tous ses maux dont la disparition définitive est le seul remède à ses maux.

L’éliminer par tous les moyens pour ne pas le laisser détourner les allemands de leur identité originelle et gangrener leur civilisation. Cet ennemi dont il faut éliminer de la surface de la terre ne pouvait exercer des attraits « spirituels » sur les nazis réfugiés dans les pays arabes qui étaient restés fidèles à l’enseignement de leur Führer l’exécrait religieusement et auquel il associait la propagation de la démocratie, qui n’est pas sans rappeler l’aversion pathologique des islamistes pour la laïcité et la franc maçonnerie.

Pour lui : « le Juif qui apporte avec lui la démocratie a pour but ultime d’asservir les peuples. Par conséquent, le Juif, cette sangsue, doit être exterminé » (der Jude als Blutengel muß ausgerottet werden). », in la Judéophobie des Modernes. Des lumières au Jihad mondial, Odile Jacob.

Eux qui furent toujours son âme damnée n’allait pas suivre une autre voie que celle qui prône le sens du sacrifice de sa vie pour les besoins de sa cause quelle que soit sa légitimité tant qu’elle doit être l’expression majeure du guide-ordonnateur, immatérialisé ou non.

Les musulmans exécutent aveuglement et mécaniquement les ordres d’une figure tutélaire, immatérielle et abstraite qui leur est pourtant interdit de dessiner, et qu’ils dotent pourtant d’attributs humains et pour laquelle tels des Waffen SS ils sont prêts à donner leur vie pour la défendre et la faire triompher.

Tuer et se faire tuer pour ce qu’on croit être son idéal politique ou religieux, avoir une âme soldatesque ou djihadiste, capable de se transformer en bombe humaine, tel est le devoir assigné au bon nazi comme au bon musulman.

Heinrich Himmler en 1943 n’avait pas fait mystère de son islamophilie en disant qu’il n’avait aucune animosité à son égard parce que l’Islam se chargeait lui-même d’instruire les hommes, en leur promettant les prébendes paradisiaques s’ils combattaient avec courage et se font tuer sur le champ de bataille. Une religion d’élevage de soldats fanatisés, complètement lobotomisés et formatés et à la volonté annihilée par les effets de l’endoctrinement religieux. Et comme le disait Himmler, commode et pratique pour un soldat.

Un djihadiste plutôt dont la vaillance n’a de sens que sa mort au service de sa cause.

La traversée du pont qui relie les deux rives idéologiques de l’abomination de l’humanisme et du Juif était dans l’ordre naturel des choses. On se convertit dans ce qu’on croit être la meilleure voie pour soi. Surtout que dans le cas des dignitaires nazis, seul l’Islam et son message belliqueux, cosmique, raciste, antisémite, impérial, suprémaciste, hégémonique, impérial, purificateur, censé purger l’humanité de ses scories judéo-chrétiennes, engendrant un nouvel ordre mondial gouverné par les élus d’Allah et auxquels le reste de l’humanité doit allégeance.

Deux idéologies dont la finalité était et l’est encore (?) la création d’un nouvel homme en opposition respectivement à la catégorie des sous-hommes chez les nazis ou Dhimmis chez les musulmans. Il s’agit plutôt de l’héritage musulman chez les nazis qu’il convient de souligner et non pas de ressemblance entre les deux systèmes de pensée qui chacune à sa façon veut affirmer sa domination sur le monde et la vie des hommes au nom de sa supériorité absolue et intrinsèque.

 

La cité idéale nazie et son équivalent musulman le Califat qui regroupent les hommes reliés d’un côté par les liens de sang et d’un autre par la foi ne sont-ils le rêve obsessionnel chez les uns comme les autres.

Les musulmans ne se veulent-ils pas la meilleure communauté des croyants élus par Allah ? Avec des tels relents ethnocentriques, l’Islam ne pouvait que susciter l’adhésion des dignitaires et réfugiés nazis. A. Hitler qui aurait pu lui-même, s’il avait survécu, embrasser cette religion des hommes virils capables de se transformer en bombes humaines, ne disait-il pas que des arabes et des marocains l’associaient à leurs prières.

Plus encore le « Pape » sunnite et philonazi invétéré Youssef Qaradhaoui, une sorte de caricature  du Cardinal de Richelieu et l’âme noire du Calife d’opérette l’ex Emir du Qatar Hamad Ben Khélifa al-Than  qui  voue un véritable culte au Führer Adolph Hitler, voit en lui un vengeur envoyé par Allah sur terre pour punir les juifs de leur égarement comme il en résulte à la lumière de la lumière de ses propos nauséabonds et immondes tenus le 30 janvier 2009 sur le plateau de la chaîne de la Jazira, « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux [Juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu’il leur a fait – et bien qu’ils [les Juifs] aient exagéré les faits -, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans « ( Wikipédia).

De tels propos jamais condamnés ne font que traduire le caractère manifestement musulman du nazisme qui avait trouvé écho chez le fondateur de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte qui préside actuellement à la destinée du pays, grâce à la mansuétude bienveillante et personnelle de Barak Hussein Obama, ainsi que chez le sinistre Mufti de Jérusalem Muhammed Amine Husseini, promu chef de Division Waffen SS qui comme par hasard a légué à la pseudo-résistance palestienne deux de ses figures les plus illustres Le¨la Shahid, sa petite-fille et Yasser Arafat, son neveu  auquel on aurait pu attribuer le premier prix de la Takkiya plutôt que le prix Nobel de la Päix.

Et ce n’est assurément pas pur angélisme humanitaire que l’illustre collabo al Hussieni s’était jeté dans les bras de son amant nazi s’il n’avait pas trouvé des atomes crochus avec l’islam.  Qui se rassemble s’assemble. Ils ont tellement des dénominateurs communs qu’il n’est pas interdit de penser qu’Hitler aurait dû s’inspirer du Coran dans la rédaction du Mein Kampf voire qu’il aurait dû se contenter du faire du copier-coller du Coran. Ils sont si proches l’un de l’autre que les liens fusionnels sont tels pour n’en faire qu’un.

En effet, les deux livres-guides des nazis et des musulmans ne différent guère quant à la haine du Juif, du chrétien,  et de tout ce qui est différent de soi et des libres-penseurs, le suprématisme, le Mal érigé en mode de gouvernance, le bellicisme, l’ultra-violence, le culte du chef, l’embrigadement des enfants,  la folie meurtrière, la soif de domination, la volonté d’anéantir l’humanité, le mythe de l’arche perdue,  la renaissance,  le paganisme, l’intolérance, la férocité, le racismme, le conservatisme dogmùatique, le verrouillage de la pensée, le totalitarisme, l’ethnocentrisme, l’inhumanisme, le fanatisme, leurs desseins cosmiques et hégémoniques, leur projet de s’instituer comme un nouvel ordre mondial, le pillage, autant de points communs qui en disent long sur la filation idéologique du nazisme avec l’islam.

L’islam ne s’inscrit pas dans la continuité du nazisme, il a été celui qui l’a mis sur orbite avant d’en prendre le relais aujourd’hui.

Le vrai musulman est celui qui est déconnecté de sa réalité humaine

Ils ne sont ni djihadistes, ni terroristes, ni fous d’Allah, ni intégristes, ni radicaux, ni salafistes, ni wahhabites, ni partisans de la charia, ils sont tout simlement des musulmans qui suivent à la lettre l’enseignement mahométan. Si Mahomet ressuscitait croyez-vous qu’il se reconnaîtrait en eux ou à ce qu’on appelle les musulmans qui font l’autruche ?

Mahomet a une sainte horreur des tièdes et des hypocrites qui sont pour lui des efféminés, des sans-couilles et des lâches pires que les apostats. A ses yeux le vrai musulman est celui qui va au combat sans se pôser des questions, qui ne tournent pas autour dui pot, ne reculant devant rien,bravant la mort et la puissance de feu de l’ennemi.

Le musulman le vrai est un guerrier lui obéissant au doigt et à l’oeil, un pitbull capable de dépecer celui qu’on lui désigne comme un ennemi. Il ne doit ressentir aucune émotion avec un coeur en pierre et un Q.I. de crevette. Ses neurones sont autant de caractères recensés dans le Coran. Ne doit vivre que par et pour l’islam. 100% musulman. Sa pensée, ses fantasmes, ses pulsions, ses envies, ses désirs sa rage, ses sentiments, ses ressentiments, sa gestuelle, son verbe, ses humeurs, ses rapports sexuels, ses besoins naturels, sa façon d’être et d’agir, ses habits ne doivent laisser subsiter le moindre doute quant à sa marque de fabrique.

Le musulman ne fait pas dans la demi-msure . Il est musulman où il ne l’est pas et quand il l’est c’est l’islam ou rien.  Il est déconnecté de toute réalité humaine susceptible de le détourner de la voie d’Allah. Point de salut hors l’islam. Il est musulman sans aucune représentation de son humanité depuis qu’il est mis au monde jusqu »au jour où son vrai « géniteur » , celui qu’il appelle Alllah,  cette divinité polythéiste qui vénère son prophète, le rappelle auprès de lui pour les orgies paradisiaques.

Le ton martial, belllciste et haineux du Coran résume à juste titre le portrait du vrai musulman.

Pour l’ancien recteur de la mosquée de Paris : Les musulmans n’ont qu’une nationalité l’islam

Un Tunisien n’est pas tunisien, il est musulman
Un Algérien n’est pas algérien, il est musulman
Un Marocain n’est pas marocain, il est musulman
Un Egyptien n’est pas égyptien, il est musulman
Tous les ressortissants des pays musulmans sont d’abord, ensuite et enfin musulmans

C’est le substrat religieux qui prime sur leur appartenance nationale et ethnique.
L’islam est leur matrice mère, leur liquide amniotique, leur sève nourricière, la source impropre à la consommation humaine à laquelle ils s’abreuvent.

Ou selon le représentant officiel de la propagande musulmane en France Dalil Boubakeur, « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l’accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l’intérêt, les données de l’histoire ou de la géographie. La foi exige du croyant le devoir de s’y comporter, non comme un individu égoïste ou isolé, mais en membre d’une communauté dont il partage les joies et les amertumes, une communauté de juste milieu ».

Elle a tout autant le sens de la mesure que pouvaient avoir les envahisseurs arabes en Afrique du Nord et le Coran dans ses rapports à l’altérité.  Cette figure controversée et ambiguë de l’islam en France, un Tarek Ramadan du 4ème âge, semble ou feint d’oublier que les musulmans sont la communauté la plus divisée qui soit au monde, en conflits permanents les uns avec les autres à l’exemple de son propre pays l’Algérie qui guerroie avec le Maroc depuis des décennies. A moins que le schisme ensanglanté non-stop depuis 1439 ans entre les Sunnites et Chiites ne soit une péripétie de l’histoire.

Mais en tant que bon musulman qu’il est il prend ses désirs pour la réalité, et de ses illusions il en fait une certitude.

Les musulmans mettent un bémol à leurs antagonismes et leur  haine mutuelle le temps d’une prière et encore il leur arrive de plus en plus d’entre vivants dans les mosquées et d’en sortir les jambes devant.

Conditionnés mentalement et psychologiquement et endoctrinés du berceau jusqu’à la mort, ils ne peuvent imaginer, penser et concevoir la vie et le monde en dehors de l’islam et la peur de l’enfer.

N’ayant d’idéal de vie que le rêve de l’Oumma qui nourrit leur imaginaire appauvri par 14 siècles d’abétisation et de crétinisation intensive et quotidienne. Pour l’historien Georges Corm, « cet attachement viscéral à la notion très imaginaire de Oumma et de civilisation ou de valeurs musulmanes ou arabo-musulmanes ne fait que traduire une réaction psychologique de compensation à l’état de déchéance dans lequel sont plusieurs sociétés qui ont pour religion principale l’Islam. » Georges Corm :« C’est une erreur grave de continuer de considérer qu’il existe encore une civilisation musulmane » [archive] , entretien, oumma.com, 12 novembre 2007 cité in https://fr.wikipedia.org/wiki/Oumma

Ils courent éperdument derrière un mirage sans être conscients que jamais il ne prendra forme. Ils sont incapables déjà de dépasser leurs rivalités exacerbées claniques, tribales,  régionales et claniques, voire liturgiques et intraconfessionnelles.   Leur utopie de l’Oumma rassemblant tous les musulmans comme une mère avec sa progéniture est pourtant balayée par le hadith de Mahomet :

« les Gens du Livre (les Chrétiens et les Juifs) se sont divisés en soixante-douze groupes, et ma communauté se divisera en 73 groupes, tous sont au Feu, sauf une, qui est la Jamâ’ah (Le Groupe) »

Leur supra nation au dessus-dessus de toutes les nations, une communauté où prendront la place les seuls musulmans hiérarchisée, discriminatoire, ultra-sexiste,  pédophile, excluant les incroyants et les minorités sexuelles, où les apostats, les athées et les polythéistes auront le choix entre l’islam ou la mort, gouvernée au nom d’Allah et régie par la charia.

Tous les musulmans y aspirent car ses normes correspondent à leur nature grégaire et leur culture archaïque, masochiste et primate.

Elle est le reflet de ce qu’ils sont. Ils s’y reconnaissent et s’y identifient. C’est leur miroir. L’Oumma est leur carburant idéologique. Elle n’est pas plus réaliste que le voyage nocturne de Mahomet, mais le réalisme est un sacrilège dans l’islam.

Ils ne s’identifient pas à des nations, ils sont nationaux d’un Etat irréel et inexistant, ils ont le sentiment d’y appartenir. Ils ne sont membres d’une communauté nationale ils sont les heureux élus d’une communauté fantasmagorique.

Naïfs sont les Etats occidentaux qui croient que l’islam est compatible avec la citoyenneté.

Il suffit de leur poser la question si un jour leur pays d’adoption est en guerre contre l’islam quel camp défendront-ils ou s’ils sentent plus français que musulmans par exemple ?
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Le port de voile est une négation de l’humanité de la femme.

 Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière.

 L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.

 Quant à ce schizophrène paranoïde de Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné  de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.  

 Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme.  Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine. 

 Elle se cache d’elle-même, en se dissimulant derrière un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.

 Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès.  Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.

 Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort.  Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champs de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.

 N’est-il pas dit que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nyphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ? Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?  

 Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.

 Le voile marque surtout sa dépersonnalisation  et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain et d’affirmation de soi.  *

 Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie  de son groupe social.  Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme.  Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.

 Le voile  lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger,  son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.

 Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.

 Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat  digne pour leur liberté.

Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la somission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.

Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.

 

Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culurelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.  

 Dans la culture hyper machiste musulmane et segrégationniste son port est assimilé  à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.

 Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.

 Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.

Les sociétés les plus iberticides  du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises.  Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exeponentielle du port de voile.

 Là où le  bigotisme fait son grand retour, le voile prolifère.  La corrélation entre les deux est réelle et doit intepeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.

En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.

  Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pasquelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ? 

Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée,  qui n’a pas peur de son ombre, une femme  de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.

 Le voile n’est pas la voie de la félicité surtout que les femmes ont peu de chance d’être élues au paradis selon un hadith. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.

 

 Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui. Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.

 

 La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant  la lie des barbus et font fi de leur dignité.  

 

Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.

 

Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neurodégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur  phobique de  regarder  son visage qui se reflète sur le visage clair  lumineux de la femme non-voilée. 

 En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infâmie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.

Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.

 

La charia n’est pas la loi d’Allah, c’est la loi qui fait de la vie de l’homme un enfer sur terre

Dr Salem Benammar UNE LOI NON CODIFIEE ET IRRATIONNELLE EST SUJETTE A CAUTION. DENONCER LA CHARIA N EST PAS UNE HERESIE. ELLE EST INCOMPATIBLE AVEC LA RAISON HUMAINE.

APPEL A TOUTES LES FEMMES ET LES HOMMES FRUITS DE LEUR AMOUR DE L HUMAIN DE SE LIGUER CONTRE LES FASCHO-ISLAMISTES QUI FONT DE LEUR FOI UNE LOI DESINTEGRATRICE DE NOS FEMMES. VOS LIBERTES SONT EN DANGER DE MORT A CAUSE DU VIRUS SIDAIQUE PROPAGE DANS NOS CITES PAR LES HYDRES ISLAMISTES. SI VOUS NE VOUS EN IMMUNISEZ PAS IL VOUS DETRUIRA ET SUBSEQUEMMENT NOTRE HUMANITE. EN LEUR PAVANT LE CHEMIN DE ROSES C EST-A- DIRE PAR VOS BULLETINS DE VOTE VOUS VOUS RENDEZ COMPLICES DE CRIME MORAL ET JURIDIQUE CONTRE L HUMANITE. VOTER POUR EUX REVIENT A VOTER POUR DES CRIMINELS DE GUERRE ET GENOCIDAIRES TELS QU OMAR BASHIR ET FEU BEN LADEN FRERE DE SANG IDEOLOGIQUE DE GHANNOUCHI RACHID. VOTER POUR EUX C EST SOUSCRIRE AU STATUT DE L ETERNELLE RELEGUEE, ESCLAVE SEXUELLE ET DE REBUT HUMAIN. VOUS, DIGNES HERITIERES DE HANNAH ARENDT, DE R. LUXEMBURG, DE MARIE CURIE, DE LA KAHINA, DE LA REINE DIDON, DE CLEOPATRE,  DE SAINTE MONIQUE MERE DE SAINT AUGUSTIN, D AZIZA OTHMANA, DE SOEUR EMMANUELLE, DE KHADIJA LA 1ERE EPOUSE DU PROHETE ET D AUTRES ILLUSTRES GRANDES DAMES DE L HISTOIRE UNIVERSELLE VOUS N ALLEZ PAS TENDRE VOS COUS A VOS EGORGEURS TEL ABRAHAM QUI VOULAIT SACRIFIER ISMAEL SUR ORDONNANCE DIVINE. CETTE ORDONNANCE LA , ELLE N EST PAS DIVINE ELLE EST MACHIAVELIQUE, LIBERTICIDE ET MORTIFERE. VOTER POUR EUX C EST VOTER TOUT SIMPLEMENT POUR UNE PRISON A VIE DEDIEE LA CHARIA, LA POLYGAMIE, la marchandisation de vos corps, LA REPUDIATION ET LA LAPIDATION. FAITES QUE VOS CHOIX SOIENT CEUX DE LA DIGNITE HUMAINE, DE LA RAISON ET DE LA CIVILISATION CONTRE LA BARBARIE. A moins que votre masochisme vous rende incapable de discernement  et de faire ainsi  devos ennemis les maitres absolus de vos corps et de votre destin de femmes. Vous n irez pas par votre bulletin de vote  jusqu à valider par peur, par méconnaissance ou ignorance et par culpabilisation, les textes canoniques légitimant la prééminence de l homme sur la femme. Ne faites pas pas de votre vote le chemin de mort de vos libertés.  Soyez fidèles à cette maxime de J.J. ROUSSEAU »Renoncer à sa  liberté, c est renoncer à sa qualité d homme[ de femme surtout], aux droits et à l humanité, meme à ses devoirs ».

Parlons-en de cet islam des lumières !

Qu’on m’explique comment des meutes de loups sortis de leur désert pour envahir le monde au nom d’Allah-pousse-toi-de-là-sinon-je te tue, pouvaient irriguer les peuples qui leur avait servi de chair à pâté de leurs lumières ? Qu’ont-ils tout d’abord préservé de la mémoire historique des peuples soumis aux lois scélérates de m’islam, de leur patrimoine archéologique et de leurs richesses culturelles et civilisationnelles ainsi que de leur identité linguistique ? Qui a découvert la civilisation égyptienne ? Qui a détruit la Perse et Tamazgha ? Qui a donc a brûlé des centaines des millions de livres dans les pays conquis ? Il n’y pas de lumière il y l’obscurité totale dans :laquelle il a plongé et cherche encore à le faire l’humanité tout entière. Que l’on fasse le vrai bilan de son soi-disant apport aux peuples conquis. Quant à l’Espagne occuper l’Andalousie n’est pas occupé toute l’Espagne. Construire des palais somptueux et à quel prix nonobstant les centaines de tonnes de marbres volés à la Tunisie n’est pas synonyme de progrès humains, d’ouverture d’esprit, de bien-être humain, d’éducation, de libertés humaines, d’épanouissement etc. Qui étaient les bâtisseurs ? Il est grand temps d’en finir avec ce mythe d’islam des lumières. Dans le monde musulman on préfère depuis toujours un imam à un scientifique. S’il était vraiment source de lumières pourquoi la philosophie est-elle illicite dans les pays musulmans ? Quand on se veut lumière on ne réduit pas l’homme à l’état d’esclave et la femme à un champ de labour sexuel.

 Quand on parle d’islam des lumières, je pense qu’il s’agit de celles qu’ il a éteintes à tout jamais chez les peuples conquis. Il n’y a qu’une seule lumière est celle du Coran, mais il n’y a que les aveugles, les bornés, les benêts et les marchands de la mort qui la voient. Combien cette fichue expression m’horripile. La seule lumière que je lui reconnaisse est celle dont il a privé les musulmans eux-mêmes et les centaines de millions de victimes de sa folie meurtrière.
 L’islam est né pour éteindre la lumière de la vie, il est inimaginable qu’il puisse éclairer la voie que l’homme doit emprunter dans sa vie. Comment une religion qui a fait de la mort le la vie un culte pour les siens peut-elle se muer en phare pour l’humanité. L’islam n’a jamais été lumière, c’est un cercueil hermétique sans paroi poreuse pour les êtres humains. »

***Apres la revue de cette video, tout Tunisien, homme ou femme, tout Nord Africain, homme ou femme, qui s’ identifient avec des KHARABES ou qui sont fiers d’ etre consideres pour des KHARABES…sont soit des BATARDS ou des COCUS HEUREUX!!!

Génocide et esclavagisme de l’islam contre l’Afrique du Nord : 1,5 millions d’enfants amazigh vendus comme esclaves http://www.youtube.com/watch?v=3aqvpYO6lY
YOUTUBE.COM
  • Salem Benammar
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Quand on parle d’islam des lumières, je pense qu’il s’agit de celles qu’ il a éteintes à tout jamais chez les peuples conquis. Il n’y a qu’une seule lumière est celle du Coran, mais il n’y a que les aveugles, les bornés, les benêts et les marchands de la mort qui la voient. Combien cette fichue expression m’horripile. La seule lumière que je lui reconnaisse est celle dont il a privé les musulmans eux-mêmes et les centaines de millions de victimes de sa folie meurtrière.

***Bravo Rachid Barnat pour cet expose sur le concept de ‘Dieu’ et ses dilemmes comme son evolution conceptuelle dans le temps et dans l’espace. Helas, l’ Islam ne peut pas muter ou s’ adapter a la modernite du a sa raison d’ etat qui est la tyrannie du silence et de la soumission!!!.

Michel Hafayedh commented on an article.

***Bravo Rachid Barnat pour cet expose sur le concept de ‘Dieu’ et ses dilemmes comme son evolution conceptuelle dans le temps et dans l’espace. Helas, l’ Islam ne peut pas muter ou s’ adapter a la modernite du a sa raison d’ etat qui est la tyrannie du silence et de la soumission!!!.

CULTURES – L’écrivain romain Sénèque, dans une phrase lapidaire, dit exactement ce qu’il convient de penser des religions: « La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fa…
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  • Salem Benammar
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    · 529

    L'exclusion, le rejet comme le jugement n'est pas un acte d'amour et ce n'est pas une violence modérée . Une religion quelqu'elle soit qui autorise son adepte à juger l'autre comme mécréant  est très loin d'une religion d'amour. Ne soyons pas complice de ces institutions qui ont dévié la parole divine .
    La ville de Bologne (Italie)  craint des attaques islamistes à cause d’une fresque du XVe siècle représentant Mahomet en enfer  [21.01.15]<br />
 Après l’attentat de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015, Bologne a renforcé les contrôles à l’entrée de la basilique de San Petronio, dans laquelle se trouve une représentation de Mahomet aux Enfers datant du Quattrocento.<br />
http://www.lejournaldesarts.fr/site/archives/docs_article/126075/bologne-craint-des-attaques-islamistes-a-cause-d-une-fresque-du-xve-siecle-representant-mahomet.php
    Je n'ai plus de patience pour certaines choses, non pas parce que suis devenue arrogante, mais tout simplement parce que je suis arrivée à un point dans ma vie où je ne veux pas perdre plus de temps avec ce qui me blesse ou avec ce qui me déplaît. Je n'ai aucune patience pour le cynisme, la critique excessive ni pour les exigences de quelque nature. J'ai perdu la volonté de plaire à celui qui n'aime pas, d'aimer celui qui ne m'aime pas et de sourire à celui qui ne veut pas me sourire. Je ne dédie plus une seule minute à celui qui ment ou à celui qui veut manipuler. J'ai décidé de ne plus vivre avec la prétention, l'hypocrisie, la malhonnêteté et l'éloge bon marché. Je ne parviens pas à tolérer l'érudition sélective et l'arrogance. Je n'ai pas à m'adapter aux on-dit ni aux commérages. Je déteste les conflits et les comparaisons. Je crois à un monde de contraires et c'est pour ça que j'évite les personnes ayant un caractère rigide et inflexible. En amitié, je n'aime pas le manque de loyauté ni la trahison. Je ne m'entends pas bien avec ceux qui ne savent pas ni faire un compliment ni encourager. Les exagérations m'ennuient et j'ai du mal à accepter ceux qui n'aiment pas les animaux. Et pour couronner le tout, je n'ai plus aucune patience envers les personnes qui ne méritent pas ma patience."<br />
(Meryl Streep)
    Décapitation publique en Arabie saoudite<br />
La neuvième de l'année<br />
Vendredi, 16 janvier 2015 08:15  </p>
<p>En marge du scandale entourant la sentence de Raif Badawi, les médias mondiaux rapportent un autre cas d’abus des droits de l’homme en Arabie saoudite alors qu’une femme a été décapitée en public à La Mecque.</p>
<p>Laila Bint Abdul Muttalib Basim était accusée d’avoir agressé sexuellement, puis assasiné sa petite-fille de sept ans. Quatre policiers l’ont traînée dans la rue, puis maintenue pour la décapitation. L’exécution a été captée sur caméra, puis téléversée sur YouTube, mais a été retirée depuis. </p>
<p>The Independent note qu’on pouvait entendre la femme birmane plaider qu’elle n’a pas tué sur la vidéo. Le Giornalettismo, lui, avance que Laila Bint Abdul Muttalib Basim a clamé son innocence complète avant de recevoir trois coups de sabre fatidiques. </p>
<p>Un militant pour les droits de l’homme consulté par le Middle East Eye a noté que «les autorités ont deux façons de décapiter les gens. La première est d’injecter un sédatif au prisonnier afin de l’engourdir. La seconde est de procéder sans sédatif. Cette femme a été décapitée sans sédatif. Elle a grandement souffert.» Le ministère de l’Intérieur, de son côté, a fait parvenir un communiqué aux médias locaux indiquant que l’exécution avait été faite également pour décourager d’autres crimes du genre.</p>
<p>Depuis le début de l’année, neuf personnes ont été exécutées en public en Arabie saoudite. Une tendance qui inquiète des organisations humanitaires alors que le nombre de décapitations ne cesse d’augmenter dans le pays. En 2013, on en a noté 78. En 2014, il y en a eu 87.<br />
Âmes sensibles s'abstenir de cliquer sur ce lien http://www.liguedefensejuive.com/video-comment-la-justice-est-rendue-en-arabie-saoudite-2015-01-18.html
    De tous les temps j'entends les musulmans insulter Dieu sans qu'ils soient importunés ou châtiés, mais jamais ils font pareil envers leur prophète Mahomet !!!???<br />
Par ailleurs, Mahomet dit dans l'un de ses hadiths: Celui qui insulte Allah devra se repentir, mais celui qui insulte Mahomet doit être tué.<br />
En conclusion, je crois qu'ils vénèrent finalement Mahomet sans le savoir!
    Exigence Républicaine !!!</p>
<p>Merci de PARTAGER EN MASSE</p>
<p>Liker c'est bien, partager c'est mieux !
    Pau (64) : un tag anti-Charlie incite à « tuer les flics »<br />
L’inscription a été découverte au petit matin à la cité administrative, ce lundi.<br />
Un tag se dissociant du mouvement général de soutien à Charlie Hebdo a été découvert ce lundi matin à la cité administrative de Pau. Il y est précisé « Je ss pa Charlie », dans un langage de type SMS. Une mention supplémentaire invite à « tuer » les policiers.<br />
Les cuisiniers du restaurant ont découvert l’inscription sur un mur jaune de la rue Golda-Meir. « Il n’y avait rien vendredi quand on a fermé et les cuisiniers ont vu ça ce matin », note le gérant.<br />
La police a ouvert une enquête. Des photos ont été prises ainsi que des relevés d’empreintes. Le gréant a reçu l’ordre de faire recouvrir le tag le plus vite possible. Un peintre devrait intervenir cet après-midi.
    Photo de Hind Dahmani Ammar.
    APPEL A TEMOINS : la police et les magistrats anti-terroristes recherchent la concubine du pieux musulman Amédy Coulibaly qui a tué une policière hier et 4 personnnes aujourd'hui dans un supermarché casher,  Hayat Boumedienne A GAUCHE EN HAUT ET A DROITE EN BAS DE LA PHOTO.<br />
Si vous l'avez vue, à la mosquée ou ailleurs, contactez d'urgence les services concernés.

Les musulmans et leur haine de l’autre

Ils ont le virus létal de l’islam dont nous sommes immunisés,

ils ont la violence et nous avons la non-violence,

ils ont le sang qui abreuve leur sol et nous avons l’eau qui irrigue le nôtre,

ils ont la barbarie et nous avons la civilisation,

ils ont l’aversion de la vie et nous avons l’amour de la vie,

ils ont les horreurs comme objets de fascination et nous avons les merveilles qui nous enchantent,

ils ont les boucheries où ils égorgent les humains et nous avons les hôpitaux pour soigner les malades,

ils ont l’oisiveté qui remplit leur quotidien et nous avons le travail qui remplit le nôtre,

ils ont l’ignorance dont ils ont fait leur religion et nous avons les sciences dont nous avons fait la nôtre,

ils ont la haine comme mode de vie en société et nous avons l’amour comme moteur de la vie,

ils ont le dégoût d’eux-mêmes et nous avons le respect de soi,

ils ont l’odeur des cadavres en décomposition et nous avons le parfum de la vie qui nous envoûte,

ils ont les charognards qui écument leurs cités et nous avons les oiseaux qui  les égayent par leurs chants,

ils ont l’intolérance et nous avons le bien-vivre ensemble,

ils ont le fanatisme et nous avons le respect du droit à la différence,

ils ont des charlatans autoproclamés savants qui les privent de lumière et nous avons des avons des savants qui éclairent l’humanité ,

ils ont les terroristes qui répandent la mort et nous avons les humanitaires qui viennent en aide à l’humanité en souffrance,

ils ont les putes d’Allah et nous avons soeur Emmanuelle et Mère Thérésa,

ils ont les bagnes pour enfermer leurs femmes et nous avons les bancs des écoles pour libérer les nôtres,

ils ont les pénuries en tous genres et nous pourvoyons à leurs besoins,

ils ont le désert et les paysages lunaires et nous avons la nature luxuriante,

ils ont la sécheresse et nous avons l’eau en abondance,

ils ont fait de leur vie un requiem à la mort et nous avons fait de la nôtre un hymne à la joie,

ils ont fait de leurs cités des tombes à ciel ouvert et nous avons fait des nôtres des cités toute en couleur pour le bonheur des hommes,

ils ont la misère et nous avons la prospérité,

ils ont créé les conditions d’aliénation mentale et d’asservissement et nous avons donné à l’homme les moyens de son épanouissement,

ils ont on fait de la religion le coeur de la vie et nous avons fait de la raison humaine son moteur-propulseur,

ils ont fait de l’archaïsme et de l’immobilisme comme essences de la vie et nous avons fait du progrès humain la force de la vie,

ils ont préféré se projeter dans la vie dans l’au-delà et nous préférons la vie ici-bas,

ils ont dénié à l’homme ses droits et nous lui avons donné tous ses droits,

ils ont la pédophilie et nous avons les lois pour protéger les droits de nos enfants,

ils ont l’injustice comme précepte religieux sous prétexte que leur dieu l’a décidé ainsi et nous avons la justice égale pour tous,

ils ont le despotisme et nous avons la démocratie,

ils ont la nécrophilie et nous avons le respect de l’intimité du corps de nos défunts,

ils ont le racisme et la dhimmitude et nous avons le droit à l’égalité entre les hommes indépendamment de leurs croyances et leurs origines,

ils ont l’antisémitisme comme dogme religieux et nous avons les lois qui protègent les juifs contre les attaques scélérates visant leur intégrité physique et morale,

ils ont le complexe de supériorité  et nous avons l’humilité de ne pas nous prendre pour le nombril du monde,

ils ont la prétention de soumettre le monde à leur foi et nous avons la preuve que leur foi est indigne du monde de la jungle,

ils ont fait du retour au passé  un voile épais sur leur avenir et nous avons levé ce voile pour faire du présent un phare pour l’avenir,

Enfin ils ont tout ce que l’humanité comporte comme tares et vilenies.  L’abominable Allah, le djihad crime contre l’humanité, Un gourou-manipulateur prénommé Mahomet qui les fait fantasmer sur une rivière de vin de piquette coulant à flot et l’érection éternelle. Ils y croient dur comme fer au point qu’ils font de leur vie l’enfer sur terre et la nôtre aussi.

L’islam est un poison mortel pour l’humanité

  •   Le grand précurseur de la sociologie moderne Ibn Khaldoun disait des arabes  par où ils passent la civilisation trépasse.                                                                                       

    Détruisant tout sur leur passage  telles des sauterelles  dévastatrices comme celles des Banu Hilal, laissant derrière eux un fleuve de larmes et de sang et un désert de ruine et  désolation peuplé de charognards infâmes.                                                                             

    Ce qu’on observe aujourd’hui dans les pays arabisés malgré eux ne fait hélas que conforter ce constat amer. Dire cela n’est pas de l’arabophobie. On ne va pas se voiler la face à l’image de certaines femmes ou se déguiser en pieux musulman juste pour esquiver la vérité et l’occulter.                                                                                                                                                     

    Là où le monde progresse, les pays arabes  et musulmans régressent. Le tableau cette autre vérité implacable en témoigne. Les droits de la femme, de l’homme, du citoyen, la protection des droits de l’enfance, la liberté de conscience, la liberté d’association, la liberté syndicale, la démocratie, l’égalité d’accès au droit, la justice sociale, le développement humain, l’accès aux soins, la lutte contre l’analphabétisme, etc… autant de valeurs universelles jugées par les fondamentalistes comme étant des sacrilèges et par conséquent contraires aux dogmes de l’islam à cause de leur caractère judéo-chrétien ou maçonniques. Un subterfuge pernicieux pour ne pas arrimer le train du monde musulman à celui de l’humanité.                                                                                                                                   

     

     En quoi est-ce une hérésie quand on revendique une égalité absolue en droits et devoirs entre les hommes indépendamment de leur origine ethnique, leur sexe, leurs système de croyance ou non-croyance ? En quoi est-ce un crime de rejeter les valeurs rétrogrades et désuètes ?                                                                                                                                                                                    

     La vraie démocratie comme disait A. Camus est celle qui protège les droits des minorités contre le pouvoir hégémonique de la majorité.  Mais quand une minorité s’arroge le droit d’imposer sa volonté  à la majorité au nom d’un prétendu pouvoir dont elle se considère investie par Dieu, cela conduit immanquablement à la dictature religieuse à l’instar des pays dits arabes.                                                                                                                                                              

    La religion devient ainsi un atout majeur pour verrouiller et censurer tous les modes d’expression et de liberté.                                                                                                        

    Hitler voulait créer  sans succès une nouvelle religion pour les allemands en étant son apôtre pour les enchaîner aux dogmes du nazisme,  mais les imposteurs musulmans sont en train de le réussir non seulement en créant une nouvelle religion mais parce qu’ils ont su  tirer profit des quintessences théologiques de l’islam lui-même qui fait de la violence un devoir un de ses piliers essentiels.                                                     

     

    En effet, plus que toutes les autres religions, l’islam se veut Etat, culte et cité, ce qui leur permet d’instaurer un ordre politique et social où le sacré et le profane se confondent en conformité avec les prescrits de l’islam.                      

     

    Dans un environnement où la religion est le seul mode de gouvernance politique de la vie des hommes, il est impossible d’envisager un jour l’émergence d’un Etat démocratique. 

     

    Elle ne saurait elle-même ouvrir les portes à des valeurs importées fécondatrices de droits fondamentaux et qui risquent de lui faire de l’ombre et de restreindre son champ de pouvoir.                                                                                                                                        

    Ainsi, sous prétexte de la préserver de la prétendue pollution desdites valeurs, qui présentent en réalité un réel danger pour leur pouvoir hégémonique, les  castes théocratiques musulmanes, usent et abusent d’artifices et de manoeuvres tous frappés du sceau du sacré, afin de frapper de figer les musulmans dans un ultra conservatisme dont la seule préservation est garante de leur propre survie et la sauvegarde de leurs privilèges exorbitants.                                                                                                                          

     

    L’islam leur offre une opportunité exceptionnelle pour quadriller la vie des hommes, la façonner, la moduler et la diluer dans la bain d’acide sulfurique du despotisme théocratique. 

     Surfant sur les peurs  des musulmans de rater la dernière marche du paradis et sur les mécanisme d’auto-culpubilisation,  ils ont toute la  latitude  pour  les enfermer dans un sarcophage aussi hermétique que celui de Tchernobyl sous prétexte de les immuniser des  irradiations extérieures.                                                                                                      

     

    Leur seul leitmotiv est de garder leurs sujets censés être dépourvus de tout discernement propre ans un état d’enfermement  mental permanent, dont on ne sort jamais vivant. Purger sa peine ici-bas, vivre sa condition de vie de bagnard ce quoi sont condamnés les musulmans avant se présenter devant leur Grand Juge.                                                                    

    L’islam est pour eux leur seule sève vitale, le cordon ombilical qui les relie à Dieu, ne pas s’y abreuver est un sacrilège, un pêché mortel, une apostasie. Pour preuve, ils sont les seuls au nom du régime d’exception dont jouit leur religion à ne pas adhérer à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du Citoyen.                                                                   

     

    Comme ils ont été les seuls à manifester leur hostilité à l’égard de la Résolution des Nations Unies sur l’égalité des droits entre les hommes et la femme, jugées comme offensantes à l’islam.                                                                        

    ,

    Dans un contexte négationniste d’égalité de droits entre les hommes et les femmes, des droits des minorités, liberticide et ethnocentrique et réfractaire au changement  au nom de l’immuabilté des valeurs de l’islam, seuls les naïfs et les islamos collabos continuent à croire aux vertus humanistes de l’islam et de sa capacité à s’adapter aux exigences de la modernité et des lois universelles.                                                                                                             

    L’islam sait que sa seule chance de survie est son repli sur soi et toute ouverture sur le monde peut signifier son propre arrêt de mort. En existant par la terreur et la violence exercée tout aussi bien sur ses fidèles comme sur les non-musulmans, il croit  ainsi obtenir sous la contrainte des concessions de la part du reste du monde qui lui permettent de propager  son virus létal de par le monde.                                                                     

     

    L’islam exige des autres ce que les autres n’exigent pas de lui. Il se sert de son particularisme identitaire, oubliant que cela n’est pas spécifique à l’islam, mais qui est surtout symptomatique de son refus de vivre en bonne harmonie avec le reste du monde, il s’emploie à oeuvrer pour créer en son sein des garde-fous aux valeurs universelles fondamentales, conditions sine qua bon pour mériter sa place à part entière dans la communauté international. Faire oeuvre de paix est pour lui un sacrilège.                                    

    Il est utopique de l’imaginer adopter un jour un comportement paisible et humaniste.           

    Lui qui poursuit des desseins cosmiques et impériaux et qui se veut un nouveau gouvernement mondial pour le monde, ne va pas souscrire à des valeurs incompatibles avec les siennes et contre lesquelles il mène une croisade comme en Tunisie : laïcité, démocratie, république, égalité de droits entre les hommes et les femmes, justice, équité, liberté et dignité.     

     

    Le monde doit imposer à l’islam les règles du jeu  internationales et non  pas les aménager pour ménager la susceptibilité à fleur de peau de cette religion.                                                       

    Lui faire comprendre qu’il n’est pas au-dessus des lois universelles. Le nazisme a péri de sa propre mort en voulant s’imposer au monde, l’islam n’y échappera pas non plus s’il persiste dans sa voie d’ignorer et de violer  les principes fondamentaux du droit international qui s’imposent à toutes les civilisations quelles qu’elles soient et notamment celles qui veulent se prévaloir de l’exception religieuse.                                                                                                                                             

     Le sectarisme inhérent à cette civilisation, qui est n’est pas le terme approprié, ne peut pas être une source de pensée universaliste qui de surcroît est loin de constituer un facteur de citoyenneté, de paix, de sécurité, d’égalité entre les hommes et les femmes.                                        

    Une pensée qui n’est pas  non plus un modèle du bien vivre ensemble et de tolérance.   

    Clivant les hommes en purs (musulmans) et impurs (non-musulmans). Comme si être né musulman est une chance, une bénédiction divine et de ne pas l’être est une malédiction.                                  

    Ainsi pour l’islam il y a les musulmans et les autres. Plaçant les siens au sommet de la hiérarchie humaine, reléguant ceux qui n’ont pas son caractère au rang d’intouchables, de dhimmis, avec lesquels il est interdit d’entretenir la moindre relation sauf s’ils adhèrent à sa loi afin de faire part  de la communauté des croyants jamais envoyée sur cette terre.                        

     

    L’idéal musulman est plutôt un idéal nazi. Il porte en lui tous les germes du racisme, du sexisme, de l’esclavagisme, de l’ostracisme, de la discrimination et de l’inhumanisme.      

    Quant à son soi-disant égalitarisme, il est fondé sur le seul critère de la piété. Pour l’islam les hommes ne sont pas nés égaux et encore moins les femmes jugées comme déficientes en raison et en foi.                                                                                                                                         

    J.J. Rousseau disait que tous les hommes sont nés égaux en droit. Ce qui constitue le fondement même de l’idéal humain universel.                                                                           

    Or, un système idéologique qu’il soit religieux ou politique qui classifie les hommes, les hiérarchise dès la naissance,  où les femmes et les hommes doivent s’inscrire dans une logique  qui dépasse l’entendement humain, abstraite et irrationnelle, est fondamentalement raciste.                                                                            

     Il est difficile d’y voir un facteur de civilisation universelle alors qu’elle s’appuie sur une idéologie fondée sur un ordre  réducteur, concentrationnaire, discriminatoire, désintégrateur et liberticide.  Un modèle de société qui s’apparente au système de caste hindoue, à un régime d’apartheid ou le Reich nazi.                                                                                             

    Chaque civilisation a ses caractéristique et spécificités propres, il est évident qu’il ne peut y avoir de hiérarchie entre elles, mais il n’en demeure pas moins que certaines sont plus différentes que d’autres et sources de  rejet, de peur et de phobie.                                                                                                

     

    Au nom de leurs spécificités culturelles qui se veulent elles-mêmes de portée universelle (c’est le paradoxe musulman),  les sociétés musulmanes continuent à se prévaloir d’un mode de vie opprimant, inégalitaire et irrespectueux des droits humains les plus élémentaires, telle la liberté de circuler ou de voyager pour les femmes.                                                                   

    Au nom des traditions d’un autre temps sous couvert des dogmes religieux pour les rendre immuables et intemporelles, on refuse le paritarisme, on continue à exciser, reléguer, censurer, brimer, brider, ostraciser, lapider, opprimer, cloîtrer, infliger aux femmes un traitement humiliant et  indigne de la condition humaine.                                                           

    Une société qui se prive de la moitié de son humanité pour des considérations incompatibles avec la raison humaine ne saurait difficilement prétendre au statut de civilisation dans son sens universaliste, celui des valeurs unanimement reconnues et admises par tous les hommes et de toutes les cultures.                                                                                                                       

    Une société à fort relent xénophobe et discriminatoire qui ne reconnaît pas à l’étranger ses droits humains  les plus élémentaires surtout quand cet étranger, cet autre n’a pas de surcroît son caractère religieux, n’a pas les attributs d’une société véritablement humaine.                                                

     

    Il est difficile par conséquent d’y voir un symbole de civilisation humaine. Alors qu’elle ne souscrit guère aux principes fondamentaux des droits de l’homme et du citoyen, de la charte universelle de la protection de l’enfance, l’abolition de toutes formes de racisme et qu’elle ne transpose pas dans son droit interne la convention internationale contre la haine raciale, l’antisémitisme, le révisionnisme et le négationnisme des crimes contre l’humanité.                               

    Une société où l’on continue à faire l’apologie du nazisme et d’appeler à la mort du Juif comme cela venait de se produire tout récemment en Tunisie sans que les auteurs de tels propos n’aient fait l’objet d’une quelconque procédure pénale.                                         

    De même quand des élus du peuple s’appuyant sur les prescrits de la religion se font les apôtres de la violence physique mutilatrice du corps humain pour châtier leurs concitoyens qui n’adhèrent à la pensée religieuse dominante.                                                                                                              

    Le climat de violence religieuse, l’intolérance, les menaces et dangers qui couvent sur les libertés individuelles, politiques, syndicales, associatives,  les annonces inquiétantes et effrayantes sur le sort réservé aux femmes, l’abaissement de l’âge nubile du mariage, c’est-à-dire la légalisation de la pédophilie, l’excision, la marchandisation institutionnelle du corps de la femme sous couvert de la religion tels que les mariages coutumiers, la répudiation, l’homophobie, la haine de l’autre surtout du Juif, les pogroms et autodafés, les oukases de droit canonique pour légitimer des pratiques sexuelles morbides (nécrophilie), voire zoophilie etc…                                                                                                                                                 

    Elles sont peut-être des valeurs pour les sociétés qui les pratiquent mais en aucun cas des valeurs de portée universelle, susceptibles de contribuer à l’épanouissement humain en faisant de l’homme un acteur de sa vie et non un simple disciple comme s’il était affilié à un ordre sectaire où il est dépossédé de son libre-arbitre.                                                                  

    Or, une société qui ne favorise pas la pensée-libre et qui au moyen des mécanismes obscurs, transcendantaux, dogmatiques et eschatologiques inhibe toute forme de progrès humain et d’indépendance d’esprit est une société plutôt liberticide.                                        

    Une telle société est mutilatrice et réductrice du phénomène civilisationnel. En effet, elle est certainement fidèle à ses dogmes religieux, mais cela ne fait pas d’elle forcément humaniste.                                                                                           

     

    Elle serait plutôt inhumaniste tel le modèle de société fasciste ou hitlérien. Une société civilisée et civile est celle qui  place  la dignité humaine au coeur de ses préoccupations, elle offre aux hommes d’aures substances que la religion à savoir l’art, la culture, la démocratie, les drois fondamentaux, l’éducation publique, la technologie, la science, la technique, la philosophie rationaliste.                                                                                                              

    Une société fondée sur la seule allégeance à une force supra-humaine au coeur de toutes choses au dépens de l’homme avec des règles de vie étrangères à  la raison humaine universelle dans le sens kantien du concept a surtout les caractéristiques d’une organisation sectaire.                                                                                                

     

    Ainsi, elle n’est ni civile ni civilisée surtout qu’il y a la racine civile dans civilisation en opposition au phénomène religieux. Une société n’est jamais préconçue, elle est le fruit de la réflexion humaine et correspond à l’idéal de vie commune guidé par des motifs dépollués de tout symbolisme irrationnel sans aucune cohérence avec les besoins essentiels des hommes. Une société est de par sa nature dédiée aux hommes avec des moyens d’organisation et des objectifs conçus, déterminés et adoptés par eux et au profit général, indépendammant des clivages religieux, sexuels, ethniques et idéologiques.                                                           

     

    Si transcendance il y a elle est la résultante de leur volonté commune universaliste et non en vue de satisfaire la volonté abscons de dieu. La société dédiée à dieu est discriminatoire est désintégratrice des hommes contrairement à une société civilsée. Une société d’assujetissement et d’avilissement des hommes et qui cherchent à créer un goulag pour les femmes et tous ceux qui ne sont pas dans ses normes socio-religieuses s’inscrit dans le champ de la civilisation de la monstruosité humaine.                                                                      

     Quelles que soient cette force immatérielle  à laquelle les hommes vouent un culte, elle ne  peut pas être pacificatrice et civilisatrice du caractère de ses hommes  tant qu’elle privilégie des conduites et  des comportement et des pratiques d’un autre âge synonymes de barbarie humaine et de « féminicide » voire d’infanticides, coulées dans le moule de son système de croyance, est fidèle certes à sa propre conception de la civilisation mais elle n’est en aucun cas une société qui s’inscrit dans la voie de la modernité et du bien-être commun universel. 

L’islam est à la religion ce que le nazisme est à l’humanisme

Cet article est la traduction  des échanges que j’ai eus avec des musulmans qui se représentent l’islam comme étant une religion, d’esprit, d’intelligence, de savoir et d’ouverture sur le monde, tel que le définit selon eux le Professeur Mohamed Talbi, contrairement à l’islam fondamentaliste qu’Ennahdha veut imposer aux tunisiens qui serait une imposture voire une hérésie qui dévoie l’islam et le défigure.

Cependant les tenants de cette thèse de l’islam défiguré par les islamistes sont totalement démunis en matière de théologie musulmane et se sont construits une image idyllique et erronée de ce que c’est véritablement l’islam.

Pour eux la mariée musulmane est la plus belle des mariées dotée d’une beauté incomparable et sublimatoire qui serait la première merveille au monde.  Ils la regardent avec leurs yeux amourachés comme si elle était la reine des Chimène alors qu’elle n’est rien d’autre qu’une chimère comme leur rêve du paradis et son erotic center et ses tavernes pour poivrots.  S’enivrant d’illusions de rivières de vin de dattes  et se nourrissant de fantasmes de jouissance sexuelle éternelle ils croient dur comme fer que rien n’est plus beau et sublime que la mariée musulmane qui est la seule à pouvoir les combler au-delà de leurs désirs. De toutes les autres mariées elle est la seule qui exalte leur libido et les fait saliver sur le vin.  En réalité elle leur promet tout ce qui est à portée de  main de l’homme sur terre.  Mais de cela ils en ont guère conscience car ils sont tombés sous l’emprise des effets surpuissants du miroir aux alouettes de la mariée musulmane  aux conséquences désastreux sur leur état de santé mentale, sur leur prsonnalité et leur morale humaine.

De leur passion ils ont fait une raison, de leurs graves carences  intellectuelles et psycho-affectives ils ont fait un mode de pensée qui doit se suffire de lui-même pour devenir une vérité opposable à toute l’humanité qui ne doit tolérer ni doute ni discussion ni arguments contraires sous peine de provoquer leur courroux cataclysmique.

Tellement fascinés et subjugués par le charme de leur mariée qu’ils sont les seuls à percevoir à cause évidemment de leur état de cécité mentale, de leur absence de  lucidité et de la profonde altération de facultés de discernement.  ils ne se rendent pas que cette mariée est une véritable  ogresse qui sont pourtant les premiers à assouvir son appétit cannibale insatiable.

Qu’ils soient fermés aux mises en garde venues de ceux qu’ils qualifient d’islamophobes cela va de soi mais ce qui impardonnable et absolument criminel de leur part est leur refus délibéré de prêter la moindre attention aux preuves fournies chaque jour par leurs coreligionnaires littéralistes, connaisseurs confirmés de l’islam de par leur lecture du Coran dans sa langue originelle et incollables sur la question de mise en oeuvre de la feuille de route mahométane.  L’islam tel que les musulmans doivent  traduire dans les faits dans leur vie quotidienne mais ils continuent malgré la force de la preuve assénée par les musulmans activistes, djihadistes, à nier les évidences  et à draper l’islam dans sa vertu.

Tout ceci  sans qu’il soit capable de fournir la moindre attestation théologique  de leurs dénégations débiles et de mauvaise foi qui témoignent surtout de leur propre inculture doctrinaire, de leur   connaissance fragmentaire,  élémentaire et superficielle de l’islam.  Comment peuvent-ils se faire juges de l’islamité de leurs coreligionnaires qui sont les « sachants » de l’islam qui mettent à nu l’image mythifiée de l’islam de paix et que l’Université d’Al Azhar refuse elle-même de leur jeter l’anathème et avocats d’une religion dont ils ignorent tout de ses arcanes et ses dogmes alors que la majorité d’entre eux n’a jamais quasiment lu le Coran dans le texte à cause de leur défaut de maîtrise de la langue arabe d’une part et d’autre part leur état d’analphabètes dans leurs propres langues  maternelles ?

Quel crédit peut-on accorder  au système de défense de l’islam émanant d’une masse de fidèles dépourvus d(outils de réflexion personnelle,  qui ressemblerait à un magma de benêts  et d’idiots souffrant de graves déficits éducatifs, peu familiarisés avec la lecture,  incapables de lire le Coran dans le texte qui se contentent des bribes que leur transmettent les imams et les mollahs qui eux-mêmes sont loin d’être un modèle théologique en la matière, qui cumulent tous les handicaps ?  Aucun !

Quand on ne connait pas soi-même la définition littérale du mot islam il est préférable de se garder de se proclamer musulman.  L’ignorance est bien le premier article de la foi chez  les musulmans.

 

 

 

 

Quelle que soit la forme dans laquelle se décline l’islamisme, il n’est que le visage hideux d’une idéologie barbare, regressiste, et fasciste qui se sert de la politique pour transfigurer la religion musulmane et ses valeurs universelles et humanistes. Une idéologie en totale contradiction avec le message du prophète.

Le combattre ce serait une hérésie car il est le vrai Islam conforme à la feuille de route que Mahomet   a tracée pour tous les musulmans’, celle qui est censée assurer la pérennité de la cité musulmane dédiée à l’adoration exclusive d’Alla et de son prophète vénéré et devant lequel il se prosterne.

L’architecture sociététale musulmane est conçue pour assurer la main mise de la religion  sur ses fidèles à l’exclusion de tous les autres qui auront le choix entre la conversion forcée à l’islam pour échapper à la mort soit le statut de la dhimmitude’ c’est-à-dire des infra humains,  des intouchables consentants pour pouvoir préserver leur identité religieuse juive ou chrétienne en s’ac quittant de la jizya’ un impôt religieux qui est en réalité un racket institutionnel .

 

Seuls les musulmans de sexe masculin sont en droit d’être visibles dans la cité musulmane. Les femmes doivent s’envelopper dans une étoffe noire ou de couleur sombre ne laissant apparaître que leurs yeux à travers un espèce de pare choc grillagé à taille du visage Quant aux autres considérés comme des êtres impurs ils doivent vivre en marge des quartiers musulmans arborant des signes distinctifs pour empêcher toute confusion avec les membres de la plus communauté jamais apparue sur terre. Comme si les musulmans avaient du sang royal dans les veines et dotes ainsi d’un caractere genetique particulier.  Meme les vrais rois avaient u

n cariotype humain uotidien doit être rythmé par les cadences infernales des obligations cultuelles. En moyenne les musulmans doivent toutes les quatre heures voire moins chez les plus zélés arrêter leurs activités, déjà qu’ils ne sont pas doués pour le travail, pour moutonneremettre devant Allah    et Mahomet qui serait le vrai chef du panthéon divinitoire   musulman.  Dans une société structurée selon des règles abscons et incompréhensibles pour le commun des mortels c’est la main d’Allah qui fait office d’horloger mais dont la fonction essentielle consiste à faire tourner les aiguilles dans le sens contraire des aiguilles d’une montre suisse. A chaque fois que l’horloge uni verselle avance d’une seconde, l’horloge musulmane recule d’une année. , intolérante, régressive, obscurantiste, négatrice des libertés humaines, ségrégationniste, misérabiliste, misogyne, raciste, dédiée aux dérives sectaires, attentatoires à la dignité humaine et mafieuses comme on le voit aujourd’hui en Tunisie, la cité musulmane, la vraie. Celle dubien- vivre ensemble, de la tolérance, de la liberté de conscience et du culte, du libre-choix et du libre-arbitre.

Une cité dédiée au savoir scientifique, à la pensée humaine, ouverte sur le monde sur le modèle de celle que le Prophète l’avait appelée de tous ses voeux pour tous les Musulmans. Lui qui voulait faire de la science, de la connaissance et de la rupture avec le passé le moteur de la vie sociale et personnelle des croyants.

Le Prophète n’a jamais fait du repli identitaire une obligation religieuse pour les croyants. Il connaissait mieux que quiconque que la dégénérescence intellectuelle et humaine sont les résultantes du repli sur soi et du refus du progrès humain.

L’islamisme politique est inconnu à l’Islam lui-même. En quoi ces sectateurs respectent-ils l’enseignement du Prophète quand on connaît la place de la femme dans sa vie et l’immense respect qu’il lui vouait et dont il faisait sa conseillère ?

Pourrait-il discriminer la femme alors que Khadija était sa donneuse d’ordre et que c’est elle-même qui l’avait demandé en mariage. N’est-ce pas là un exemple à méditer pour ces illuminés obsédés par la consommation sexuelle des jeunes prépubères. Savent-ils que le Prophète avait fait de l’égalité d’accès au savoir entre les sexes comme  clé de voûte de sa politique intellectuelle pour les musulmans ?

Quand on connait aussi son aversion pour les excès dogmatiques. De même que son humilité et son esprit de tolérance.

Le prophète n’ a jamais été ethnocentriste, faisant de sa religion le centre du monde, méprisant les apports extérieurs. Il n’ a pas été que transmetteur d’un nouveau message de caractère religieux et pas seulement puisqu’il avait fait du développement intellectuel de la société musulmane le point névralgique dudit message.

Il peut être considéré à juste titre comme le fondateur et le promoteur de la coopération intellectuelle entre les peuples. Il y a là une piste de réflexion pour l’UNESCO.

Jamais personne avant lui dans l’histoire de la coopération scientifique, intellectuelle, l’éducation des peuples n’ a autant exhorté les hommes tou sexe confondu à s’instruire et apprndre en allant à la rencontre d’autres peuples.

Ne recommandait-il pas son peuple d’aller quérir le savoir jusqu’en Chine et partout où ils peuvent s’en irriguer? Le message du Prophète ne pouvait pas être plus clair: s’ouvrir sur le monde, de faire preuve de curiosté intellectuelle, de s’adapter aux culures, aux us et aux coutumes des autres peuples, d’apprendre leurs langues, de s’enrichir à leurs contacts, d’éviter toute forme d’ethnocentrisme néfaste au propgrès humain etc…

Faisait déjà sienne avant terme cette maxime de Saint-Eupéry: ce qui est différent de toi, t’enrichit et ne te lèse pas.

S’ils connaissaient au moins le sens et la portée de ce message, ils se rendraient compte d’eux-mêmes, à supposer qu’ils soient capables de discernement, sinon ils ne seraient pas intégristes, que l’islamisme politique est une défiguration de la vraie et noble politique voulue par le prophète pour les musulmans.

La politique pour le Prophète n’était pas une politique de confiscation du pouvoir au nom de la religion, il en était hostile, sa politique était celle du bien-être humain et du progrès humain.

Ouverture, égalitarisme, concensus, respect, savoir et connaissance, développement humain, le libre-choix, responsabilité individuelle,s’adapter à son environnement, le combat pour les valeurs humaines, tolérance, l’amour du prochain,  compassion étaient les maîtres mots de son message et qui étaient censés guidés la vie des mùusulmans dans la cité.

C’est ça le vrai Islam politique qui n’est rien d’autre qu’une politique de la dignité humaine visant à consolider et enrichir la vie de tout un chacun dans la cité dans le respect de la différence. Pour le Prophète qui était en avance sur son temps qui doit s’inscrire dans une dynamique de projets et de progrès  n’est pas né pour subir mais pour agir et s’assumer.

Lui qui définissait  l’Islam comme étant une religion du juste milieu, allergique aux excès,  ils en font aujourd’hui une religion des extrêmes.

A n’en pas douter que l’islamisme est un danger pour la religion musulmane elle-même. Son virus létal.

L’islamisme est l’islam dans ses oeuvres criminelles contre l’humanité

Quelle que soit la forme dans laquelle se décline l’islamisme, il est en toute évidence le visage hideux de l’islam cette idéologie barbare, qui ne s’apparente en réalité qu’à elle-même, hégémonique, suprématiste, impérialiste, génocidaire, régressiste et fasciste qui se sert de la religion pour dominer et s’approprier la vie des hommes dans ses moindres petits détails de telle sorte à ce qu’ils perdent toute notion de conscience de soi et de la maîtrise de leur pensée et leurs actes. L’islamisme qui est l’islam en mouvement ne transfigure en  rien le message du prophète qui n’a de seigneur de l’humanité que son imposture, sa vantardise et ses délires de grandeur. Comme si Mahomet n’était pas lui-même le concepteur et l’auteur dudit message.

Le combattre ce serait une hérésie car il est le vrai Islam conforme à la feuille de route que Mahomet  a tracée pour tous les musulmans’, celle qui est censée assurer la pérennité de la cité musulmane dédiée à l’adoration exclusive d’Alla et de son prophète vénéré et devant lequel il se prosterne. A croire que c’est Mahomet qui serait le chef hiérarchique d’Allah.

L’architecture sociététale musulmane est conçue pour assurer la main mise de la religion  sur ses fidèles à l’exclusion de tous les autres qui auront le choix entre la conversion forcée à l’islam pour échapper à la mort soit le statut de la dhimmitude  c’est-à-dire des infra humains,  des intouchables consentants pour pouvoir préserver leur identité religieuse juive ou chrétienne en s’ac quittant de la jizya’ un impôt religieux qui est en réalité un racket institutionnel .

Seuls les musulmans de sexe masculin sont en droit d’être visibles dans la cité musulmane. Les femmes doivent s’envelopper dans une étoffe noire ou de couleur sombre ne laissant apparaître que leurs yeux à travers un espèce de pare-chocs grillagé à la taille du visage inspiré du masque que portaient autrefois les gladiateurs dans la fosse des lions ou celui des escrimeurs.

Quant aux autres que le Coran appelle abusivement les gens du Livre pour se donner lui-même une dimension monothéiste qui est très loin d’être la sienne afin de s’attirer leurs bonnes grâces tout en les méprisant et les diabolisant, ils sont relégués comme du bétail dans des enclos que les musulmans désignent par haras.  En effet, le territoire urbain musulman doit êtr.   des êtres impurs, des déchets humains susceptibles de polluer les bien-nés musulmans qui sont pourtant dotés du statut d’esclaves par le Coran, une sorte de loi constitutionnelle,  ils sont doivent vivre en marge des quartiers musulmans arborant des signes distinctifs pour empêcher toute confusion avec les membres de la plus communauté jamais apparue sur terre. Comme si le fait d’être musulman confère à son  particulier.  Meme les vrais rois avaient u

n cariotype humain uotidien doit être rythmé par les cadences infernales des obligations cultuelles. En moyenne les musulmans doivent toutes les quatre heures voire moins chez les plus zélés arrêter leurs activités, déjà qu’ils ne sont pas doués pour le travail, pour moutonneremettre devant Allah    et Mahomet qui serait le vrai chef du panthéon divinitoire   musulman.  Dans une société structurée selon des règles abscons et incompréhensibles pour le commun des mortels c’est la main d’Allah qui fait office d’horloger mais dont la fonction essentielle consiste à faire tourner les aiguilles dans le sens contraire des aiguilles d’une montre suisse. A chaque fois que l’horloge uni verselle avance d’une seconde, l’horloge musulmane recule d’une année. , intolérante, régressive, obscurantiste, négatrice des libertés humaines, ségrégationniste, misérabiliste, misogyne, raciste, dédiée aux dérives sectaires, attentatoires à la dignité humaine et mafieuses comme on le voit aujourd’hui en Tunisie, la cité musulmane, la vraie. Celle dubien- vivre ensemble, de la tolérance, de la liberté de conscience et du culte, du libre-choix et du libre-arbitre.

Une cité dédiée au savoir scientifique, à la pensée humaine, ouverte sur le monde sur le modèle de celle que le Prophète l’avait appelée de tous ses voeux pour tous les Musulmans. Lui qui voulait faire de la science, de la connaissance et de la rupture avec le passé le moteur de la vie sociale et personnelle des croyants.

Le Prophète n’a jamais fait du repli identitaire une obligation religieuse pour les croyants. Il connaissait mieux que quiconque que la dégénérescence intellectuelle et humaine sont les résultantes du repli sur soi et du refus du progrès humain.

L’islamisme politique est inconnu à l’Islam lui-même. En quoi ces sectateurs respectent-ils l’enseignement du Prophète quand on connaît la place de la femme dans sa vie et l’immense respect qu’il lui vouait et dont il faisait sa conseillère ?

Pourrait-il discriminer la femme alors que Khadija était sa donneuse d’ordre et que c’est elle-même qui l’avait demandé en mariage. N’est-ce pas là un exemple à méditer pour ces illuminés obsédés par la consommation sexuelle des jeunes prépubères. Savent-ils que le Prophète avait fait de l’égalité d’accès au savoir entre les sexes comme  clé de voûte de sa politique intellectuelle pour les musulmans ?

Quand on connait aussi son aversion pour les excès dogmatiques. De même que son humilité et son esprit de tolérance.

Le prophète n’ a jamais été ethnocentriste, faisant de sa religion le centre du monde, méprisant les apports extérieurs. Il n’ a pas été que transmetteur d’un nouveau message de caractère religieux et pas seulement puisqu’il avait fait du développement intellectuel de la société musulmane le point névralgique dudit message.

Il peut être considéré à juste titre comme le fondateur et le promoteur de la coopération intellectuelle entre les peuples. Il y a là une piste de réflexion pour l’UNESCO.

Jamais personne avant lui dans l’histoire de la coopération scientifique, intellectuelle, l’éducation des peuples n’ a autant exhorté les hommes tou sexe confondu à s’instruire et apprndre en allant à la rencontre d’autres peuples.

Ne recommandait-il pas son peuple d’aller quérir le savoir jusqu’en Chine et partout où ils peuvent s’en irriguer? Le message du Prophète ne pouvait pas être plus clair: s’ouvrir sur le monde, de faire preuve de curiosté intellectuelle, de s’adapter aux culures, aux us et aux coutumes des autres peuples, d’apprendre leurs langues, de s’enrichir à leurs contacts, d’éviter toute forme d’ethnocentrisme néfaste au propgrès humain etc…

Faisait déjà sienne avant terme cette maxime de Saint-Eupéry: ce qui est différent de toi, t’enrichit et ne te lèse pas.

S’ils connaissaient au moins le sens et la portée de ce message, ils se rendraient compte d’eux-mêmes, à supposer qu’ils soient capables de discernement, sinon ils ne seraient pas intégristes, que l’islamisme politique est une défiguration de la vraie et noble politique voulue par le prophète pour les musulmans.

La politique pour le Prophète n’était pas une politique de confiscation du pouvoir au nom de la religion, il en était hostile, sa politique était celle du bien-être humain et du progrès humain.

Ouverture, égalitarisme, concensus, respect, savoir et connaissance, développement humain, le libre-choix, responsabilité individuelle,s’adapter à son environnement, le combat pour les valeurs humaines, tolérance, l’amour du prochain,  compassion étaient les maîtres mots de son message et qui étaient censés guidés la vie des mùusulmans dans la cité.

C’est ça le vrai Islam politique qui n’est rien d’autre qu’une politique de la dignité humaine visant à consolider et enrichir la vie de tout un chacun dans la cité dans le respect de la différence. Pour le Prophète qui était en avance sur son temps qui doit s’inscrire dans une dynamique de projets et de progrès  n’est pas né pour subir mais pour agir et s’assumer.

Lui qui définissait  l’Islam comme étant une religion du juste milieu, allergique aux excès,  ils en font aujourd’hui une religion des extrêmes.

A n’en pas douter que l’islamisme est un danger pour la religion musulmane elle-même. Son virus létal.

La fin de l’islam sera écrite par ses fidèles ou elle ne le sera pas

Le vrai danger pour la religion musulmane vient de ses propres fidèles totalement ignorants des arcanes de l’islam et des subtilités du texte fondateur, incultes, influençables, naïfs, incapables de sortir de leur état de léthargie maladive et surtout leur manque de volonté à promouvoir une image de l’islam en rapport avec les exigences de la modernité.  Pire encore, ils laissent le soin aux extrémistes d’occuper le champ théologique, politique et spirituel comme s’ils étaient eux les vrais représentants de l’islam.

En effet, il s’agit moins de réformer l’islam que de pacifier et apaiser les représentations que les musulmans  et les non-musulmans se font de lui. Si l’islam est discrédité et dénigré aujourd’hui,devenu source de de phobie, ce n’est guère à cause de ses dogmes qui ne sont en rien dissemblables des autres religions monothéistes que l’image que ses adeptes activistes et rigoristes véhiculent sur lui à travers Iqra et al Jazeera et la guerre meurtrière menée contre leurs propres coreligionnaires.

Il revient aux musulmans de briser la glace du silence qui entoure l’entreprise de démolition de l’islam à laquelle se livrent les radicaux musulmans et en l’occurrence les wahhabites, créatures infâmes anglo-américaines, véritable virus létal inoculé dans le corps musulman pour l’anéantir; Inconscients que c’est leur apathie qui est la meilleure caution politique aux wahhabites et qui dessert considérablement cet islam qu’ils veulent un islam de paix et d’amour.

Leur indifférence et leur indolence sont autant les ennemies de l’islam que les actes de barbarie perpétrés en son nom. En se gardant de réagir, ils apportent de l’eau au moulin des détracteurs de leur religion et confortent leur thèse quant aux liens fusionnels entre l’islam et la violence et l’exaltation de la haine de l’autre, surtout le juif.

D’autres temps, d’autres moeurs; La réalité d’aujourd’hui n’est plus celle d’hier. L’islam était dans sa phase de balbutiement, fougueux et intrépide. Peur de sa propre ombre et inquiet pour sa survie. Evoluant dans un environnement hostile et vivant sous la menace d’agressions extérieures et objet de moqueries et de sarcasmes, le Coran ne pouvait que traduire les préoccupations majeures du prophète et les moyens à mettre en oeuvre pour la sauvegarde et la pérennité de sa religion naissante. De même que la théologie musulmane n’est pas quelque chose de figée et d’immuable. Elle a beau assigner à l’islam une finalité cosmique et hégémonique pour en faire une loi universelle, elle doit être relativisée au maximum, car elle est ignorante de la géographie humaine, de l’anthropologie culturelle, des enjeux géopolitiques et géostratégiques, des rapports de force entre les nations, de l’histoire universelle, ainsi qu’à cause de sa morgue suffisance et son irréalisme. Il y a bien eu d’autres systèmes de pensée qui se voulaient maîtres du monde et qui avaient fini dans les caniveaux de l’histoire.

Ce que le monde attend de l’islam est sa contribution aux biens communs de l’humanité et non pour devenir son chef de file, alors que son wagon n’est toujours attelé au train du progrès humain. Avant de devenir une locomotive pour le monde, que les musulmans essayent de faire de lui une voiture conforme au modèle des voitures qui brillent par leurs performances techniques et technologiques.

Avançant à contre-courant de la marche de l’histoire, inactifs et impuissants pour positiver l’image de leur religion, ils ont beau seriner que l’islam n’est pas celui prôné par le wahhabisme, ils font eux-mêmes de l’islam une addition de statues et de momies fanatisées et lobotomisées capables de se muer en bombes humaines pour la gloire de Dieu afin de s’attirer ses bonnes grâces.

Le prophète voulait faire de l’Islam une religion d’action en faveur du progrès humain et la quête du savoir, les islamistes veulent vider l’Islam de sa substance dogmatique et spirituelle pour en faire une idéologie d’inaction et de régression. Les musulmans en se laissant détourner soit par ignorance, soit par indifférence soit tout simplement par complicité, ne sont pas conscients des torts qu’ils occasionnent à leur religion. Installer des illuminés sur la première marche du podium revient à commettre un parjure à l’enseignement du Prophète.

En effet, ce dernier n’a jamais manqué de son vivant de mettre en garde les croyants contre les immodérés de la religion incompatibles avec l’esprit pondéré de son Message. De même qu’il est clairement stipulé aux musulmans qu’il n’y aura plus d’autre transmetteur du Message après le Prophète. Or, en laissant les islamistes s’autoproclamer guides vénérés et porte-paroles de l’Islam, les musulmans se comportent comme des infidèles au Message. Ni nouveaux messagers, ni nouveaux transmetteurs, seul guide pour les Musulmans est le Coran comme l’a enseigné le Prophète.

Toutes les mises en garde du prophète sont restées lettre morte, ainsi les musulmans ont laissé la porte ouverte à la contamination du Message par l’islamisme, une idéologie sectaire et schismatique. La gangrène islamiste corrompt le corps musulman à tout va et en toute impunité sans que cela ne suscite la moindre campagne d’éradication de ce fléau vénérien. Au lieu de mettre en quarantaine la pandémie mortelle qui frappe les sociétés musulmanes propagée par une foultitude d’agents propagandistes sous les ordres du philo-nazi et antisémite patenté le psychopathe Al Qaradhaoui, affilié à l’internationale terroriste, les musulmans ont fait le choix criminel de laisser les islamistes s’ériger en maîtres de l’échiquier politique et spirituel de leurs pays. Forts de l’adhésion implicite et explicite à leur idéologie scélérate, les islamistes ont les coudées franches pour s’adonner à leur politique de dévoiement et d’instrumentalisation pour assouvir leurs desseins hégémoniques sur les sociétés musulmanes.

Sans s’en rendre compte les musulmans prennent un chemin qui va les conduire tout droit dans les limbes de l’histoire, qu’ont-ils fait du legs du Prophète ? Savent-ils au moins que le Prophète n’a pas désigné de légataire testamentaire attitré ? Du fait qu’il avait fait de l’ensemble des musulmans sans exclusive ses vrais et authentiques légataires. Comment peut-on se résoudre à accepter qu’un terroriste comme R. Ghannouchi se proclame l’élu d’Allah (habib Allah) sans que cela ne heurte et n’émeuve la conscience musulmane ? Paradoxalement les musulmans se gardent de réagir aux offenses faites par les islamistes à la religion et ce sont ceux-là mêmes qui l’offensent qui se font les défenseurs. Comme si rehausser le ton et condamner les tentatives de colonisation de l’Islam par l’islamisme est une apostasie, alors que l’apostasie est leur silence complice face aux actes de profanation de l’Islam commis par les cavaliers noirs de l’Apocalypse. Ce sont les musulmans eux-mêmes qui font le lit aux islamistes, qui vont leur baliser un retour un chemin truffé d’orties empoisonnées et de ronces acérées. Il n’y a pas meilleurs alliés des islamistes aujourd’hui que la majorité silencieuse musulmane ou ceux qui apportent de l’eau au moulin nauséabond et pollué des islamistes en s’installant dans une posture antimusulmane. Ils oublient que l’imposture islamiste prospère sur la stigmatisation de l’Islam.

En toute évidence, si l’on ne veut pas que l’islamisme continue à répandre son poison, il faut lui couper l’herbe sous les pieds et cesser d’alimenter son fonds de commerce. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise religion, il y a la dimension spirituelle qui s’y attache qui exige respect et considération.

Nul n’est en droit de se livrer à des critiques infondées et éhontées qui ne font que radicaliser et froisser les croyants. C’est pourquoi, il convient de rappeler aux pseudos modernistes et libéraux de tout poil, les dénigreurs et pourfendeurs de l’Islam qu’ils sont les vrais alliés objectifs des islamistes.

On ne combat pas l’islam avec la fleur au fusil

Il ne suffit pas de faire un relevé des dérives délictuelles et criminelles des musulmans qui n’ont pas l’exclusivité des crimes et des délits en France à ma connaissance sauf pour occulter celles des autres et faire un amalgame coupable, il faut proposer des pistes de réflexion et des solutions pour endiguer les violents courants du ras-de-marée musulman déferlant sur l’hexagone.

On ne combat pas l’islam avec une topographie des faits divers du type, un musulman qui viole, un musulman qui tue, un musulman qui vole, un musulman qui deale, un musulman qui agresse. Est-ce que cela va pour autant contenir l’appétit grandissant de la bête immonde musulmane qui rêve de dévorer l’humanité tout entière. Nelson Mandela, Martin Luther King, Aimé Césaire ou le Mahatma Ghandi n’avaient pas livré la bataille glorieuse, humaine et héroïque  qui étaient la leur aux méfaits du racisme et des injustices  dont étaient victimes leurs peuples en employant les mêmes méthodes que leurs oppresseurs en soufflant sur la braise jamais éteinte de la discrimination ethnique et religieuse. On ne désarme pas l’ennemi en dressant l’inventaire de ses tares et de ses actes répréhensibles et transgressifs qui ne sont en réalité en rien différentes des nôtres, sauf que les unes sont plus médiatisées que d’autres qui n’est rien d’autre que symptomatique de notre propre faiblesse et impuissance, voire le reflet de nos vieux démons dont les stigmates se reflètent dans le miroir de notre ennemi qui n’est en définitive qu’un autre nous-mêmes.

Par conséquent, on ne va jamais sur le terrain de l’adversaire croyant pouvoir lui faire prendre gorge en employant les mêmes techniques que lui. Il n’est un secret pour personne que l’islam est dogmatiquement haineux, ultra violent, raciste et antisémite, ce n’est pas en le victimisant au moyen des statistiques douteuses et empiriques pour faire des stéréotypes une science exacte et reprenant ainsi à son compte les représentations des musulmans de tout ce qui n’est pas coulé dans leur moule incompatible la morale humaine. Aller dans le même sens qu’eux revient à renoncer au combat avant de l’engager..

Il faut avoir une stratégie claire, réfléchie et raisonnée, garder la tête froide sans passion ni hystérie. Car le musulman perd très vite ses moyens quand il est à court d’arguments, s’excite, s’agite, bouillonnant de colère qui le rend agressif, se comportant comme une véritable bête féroce avançant aveuglement sur son adversaire, ,

l’expansionnisme musulman en s’amusant à établir un observatoire de la criminalité musulmane. C’est antirépublicain et contre-productif. La vraie cible est les prêches de haine des imams, le mépris de certains musulmans pour les valeurs de la république, la propension djihadiste des jeunes des cités, l’absence d’un pacte républicain, la condition féminine, la pédophilie, le terrorisme, l’échec scolaire, les ghettos, etc.. Qu’ils soient surreprésentés dans les prisons c’est un constat que n’importe quel abruti est capable de faire, mais quelle parade devrions-nous adopter pour stopper les coups de boutoir de l’islam qui vont finir par nous achever si nous nous réagissons pas avec intelligence et fermeté.

Il ne fait pas bon d’être non-musulman en terre d’islam

Etre non-musulman en terre musulmane est un crime aujourd’hui, surtout depuis que ceux qui suivent scrupuleusement les prescrits de l’islam sont au pouvoir. Ainsi, tous les non-musulmans sont devenus des criminels potentiels, un peu comme Dreyfus condamné parce qu’il était juif, ou encore les juifs et les non-aryens en Allemagne nazie, ou plus près de nous les Hutus, ça devient plutôt manifeste depuis que les vrais musulmans règnent en maîtres absolus, qui s’inquiète de leur sort ? Personne. Surtout pas ceux qui favorisé leur arrivée au pouvoir. Obama actif sur le front des révolutions du printemps wahhabite, a bizarrement perdu sa voix pour pour rappeler ses protégés à la raison. 

 

Quand Morsi avait adressé un ultimatum aux Coptes, les égyptiens authentiques, de choisir entre l’islam et l’exil, aucune voix ne s’en était émue, même pas celle du Vatican, parce que les Coptes, la plus vieille communauté chrétienne au monde ne sont peut-être pas des tout-à-fait chrétiens. Qui avait rappelé l’Egypte ses obligations conventionnelles en matière de respect des droits des minorités ? Silence radio là aussi.

Qui se préoccupe du sort des tunisiens condamnés pour blasphème en violation du droit international ne reconnaît pas un tel délit et la Charte Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen, incompatible avec la  charia, cette loi de la barbarie humaine ?                                                                                                                                                                                                                                                       Ce n’est certainement pas Amnesty International prompte à s’inquiéter des supposées exactions dont seraient victimes au Mali les ennemis du genre humain. Ni les pays démocrates chez eux et despotes chez le voisin. Pourtant, s’en est-elle émue du sort de la population du Nord du Mali,victime de crime de guerre et de mutilation ? Comme le silence de cathédrale observé par la communauté internationale quant à la destruction des pans entiers de la mémoire historique malienne par les meutes islamisées. A moins que Tambouctou, l’exemple vivant de l’islam africain, celui du syncrétisme entre le christianisme, l’islam et les religions traditionnelles africaines, soit condamnée à disparaître pour ne pas devenir un modèle pour les musulmans en recherche d’autres voies plus humaines  et paisibles et moins contraignantes que celles que préconisent le Coran et les hadiths.  Comme si condamner les agissements pogromesques et les autodafés des Waffen SS à la mode musulmane serait offensant pour l’islam. On préfère se murer dans le silence de la lâcheté comme dans les années 30 en Allemagne nazie, plutôt que de dénoncer ces crimes de l’islam contre les populations civiles démunies et contre l’identité malienne.                                                                                                                                                                                                                     Tout indique que l’islam bénéficie d’une véritable immunité juridique et politique sinon comment sinon expliquer ce régime de faveur dont bénéficie l’islam dans sa dimension islamiste tant au Mali, en Egypte, en Syrie, en, Tunisie, en Irak, en Libye comme partout ailleurs, y compris dans les cités-ghettos européennes  transformées en des des véritables Emirats salafistes. Il n’y a meilleur allié de l’islam velléitaire que la mansuétude et le laxisme dont font preuve les médias, les gouvernements occidentaux et les O.N.G. des droits de l’hommisme. Surtout ces dernières connues pour tirer plus vite que leur ombre à l’époque des Khadafi, de Moubarak et de  Ben Ali semblent totalement inhibées et tétanisées par l’islam radical que Juppé et Hilary Clinton ont cherché à enjoliver pour le rendre fréquentable aux yeux du monde entier.Aujourd’hui, elles ont perdu toute leur verve notamment en Tunisie où elles sont devenues complètement aphones alors qu’elles poussaient des cris d’orfraie sous Ben Ali alors que l’on embastille et on opprime au nom de l’islam. A se demander même que si elles n’étaient pas sa créature et qu’avec sa chute, elles n’ont plus aucune raison d’exister. Ou plutôt qu’elles ont peur de se voir accuser d’atteintes aux valeurs sacrées de l’islam, celles-là-même qui fondent les ségrégations, les discriminations, les lapidations, les amputations, le racisme, les inégalités, et l’ostracisme sur la base de la religion. Les mêmes qui attribuent aux musulmans la vertu de la pureté et aux non-musulman le caractère de l’impureté sur le modèle des lois raciales de Nuremberg 1935 et en vigueur en Arabie Saoudite et au Qatar et des pays qui appliquent la charia de la barbarie nazie.

 

Quoiqu’il en soit, l’humanisme et la tolérance ne sont pas les vertus premières des pays musulmans. Ils sont surtout soucieux des lois de l’islam, la charia, que du respect du droit à la différence et des libertés de conscience et d’expression. Quand ce n’est pas la prison ou la mort par pendaison pour les non-musulmans, c’est-à-dire ceux qui renient l’islam comme en Iran, c’est le statut de » dhimmi », un humain de seconde catégorie soumis à la protection du musulman, pour ceux sont issus des confessions monothéiste. 

Et dire que les musulmans résidents en Occident bénéficient des mêmes droits que n’importe quel citoyen de souche européenne. Jamais ils ne font pression sur leurs pays pour abolir le traitement inhumain et dégradant des non-musulmans assimilés à une sous-catégorie humaine.

Quant à leurs actions en faveur de leurs concitoyens emprisonnés et exécutés pour des délits qui relèvent du champ des libertés humaines, elles brillent par leur absence. Ceci en dit long sur leur réelle capacité à s’impliquer dans une démarche républicaine et citoyenne tant dans leur pays d’accueil que dans leurs pays d’origine. Qui ne condamne pas souscrit. Ils sont certainement les premiers à approuver la politique discriminatoire et liberticide que mènent leurs gouvernements tandis qu’ils sont les plus jaloux de leurs droits en terre des droits de l’homme et du citoyen.

Le vrai islam est celui des organisations terroristes

Qui sont les Boko Haram, ces musulmans qui ont atteint le point culminant de la barbarie humaine et qui traduisent le mieux dans les faits l’islam des origines ? 
Tout le monde en parle et rares sont ceux qui savent que ce sont les frères de sang idéologique de l’organisation terroriste tunisienne d’Ennahdha qui se drapent dans sa vertu pacifiste pour les besoins du casting. Etant toutes les deux des branches de la Confrérie des Frères musulmans au même titre que la Qaïda,les Shebabs, les Talibans et les wahhabites leurs bailleurs de fonds communs, professant la même Creo cher à Hassan al Banna, le grand-père du Caméléon et apôtre de l’islamisme qui n’est pas plus modéré que le nazisme philosémite : « Allah est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance » elles prônent une stricte application de la Charia, un retour à l’islam des sources au moyen du djihad, la création d’un Etat islamique mondial ayant pour constitution le Coran,le rassemblement de tous les musulmans sous la bannière de l’islam, le glaive et le Coran, le rétablissement du Califat et la lutte contre toute tentative de rénovation ou de « modernisation ». 
Membres à part entière de la mouvance islamiste  qui tisse patiemment aux quatre coins du globe sa toile d’araignée avec la complicité bienveillante des gouvernements occidentaux qui leur tendent le couteau de boucher avec lequel ils l’égorgeront un jour, elles vouent toutes une haine dogmatique à la civilisation occidentale qu’elle tient pour la cause première du déclin de la civilisation musulmane qui ne l’a jamais été pourtant, mais ils ont l’art du faire du mensonge une vérité, ainsi qu’au communisme, à la franc-maçonnerie et à la laïcité. Quelle que soit la tenue d’apparat arborée elles concourent toutes à la destruction de la civilisation humaine pour lui substituer un modèle d’organisation sociétale et politique obéissant aux lois de l’islam, pratiquant la langue arabe comme étant la langue liturgique où il n’y a guère de place que pour les valeurs héritées de cet islam  à l’apprentissage des langues vivantes. unifier les musulmans autour de la langue arabe de la doctrine politique des Frères musulmans .s’inscrivent dans la continuité de l’islam médinois, appliquant à la lettre la feuille de route que Mahomet a fixée aux musulmans qui consiste à ne suivre qu’un seul et unique enseignement celui qui est contenu dans le Coran et purger les sociétés musulmanes des influences extérieures à l’islam, alors que lui-même est un très vulgaire mélange de polythéisme et de monothéisme.

En effet, pour les vrais musulmans, il n’y a que le Coran qui doit être le moteur de leur vie et tout ce qui ne possède pas ce caractère musulman est un péché mortel. I

 
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Tant que les musulmans continuent à faire de l’islam le moteur de leur éducation ils sont condamnés à être la risée des nations

DE PAR LEUR SYSTÈME ÉDUCATIF, LES PAYS MUSULMANS SÈMENT AUJOURD’HUI LEUR MALHEUR DE DEMAIN

Ils vous tolèrent tant qu’ils croient que vous partagez le même système de croyance qu’eux jusqu’au jour où vous leur faites savoir que vos valeurs ne sont pas les leurs et qu’il n’y a pas plus belles valeurs que l’amour du genre humain, leur tolérance affichée se transforme en bordée d’injures.
Les musulmans et ils ne sont pas les seuls n’aiment que les gens qui leur ressemblent et encore dès lors où l’on marque sa différence on devient leur pestiféré.
Je pense que la vraie réforme que les musulmans  qui brillent par taux  himalayens dans l’analphabétisme et l’illettrisme, où l’on préfère lire la lecture des livres de propagande religieuse, et tous ceux qui font de leur identité un symbole de différence doivent mener est moins l’amputation du coran de ses versets intolérants, racistes, ségrégationnistes, violents, apocalyptiques, antisémites, hégémoniques, impériaux,liberticides, inhumains, contraires à la dignité humaine,  que de revoir de fond en comble leur méthode d’enseignement et éducation.
En effet, il y a une nécessité absolue pour les pays musulmans de rompre avec le tout religieux dans l’enseignement et de glorifier l’apprentissage du Coran plutôt que les savoirs de base. Ils doivent apprendre à leurs enfants la culture de la vie plutôt que de l’exaltation de la mort et des tourments de la tombe, développant ainsi chez eux les mécanismes psychologiques de culpabilisation, la peur, de la haine de soi et de l’autre, du martyr.
Les pays musulmans ne sont pas conscients que leur système éducatif conçu et façonné par l’O.C.I.  l’Organisation des pays de la Coopération Islamique, les mène tout droit vers le monde des ténèbres. Ils sèment aujourd’hui les fruits empoisonnés et irradiés de leur malheur de demain.
Il n’existe certes pas un modèle parfait en la matière, mais ils ont toutefois la possibilité de prendre exemple en la matière sur celui de feu Habib Bourguiba qui a mis l’homme au coeur de l’enseignement et qui consacrait jusqu’à 30% du budget de la nation dans la formation des esprits.Un homme qui privilégiait les écoles aux mosquées et les centres de formation pour les jeunes en échec scolaire aux camps d’entraînement djihadistes et la prison.
Quand on aime l’homme on lui donne les moyens de son épanouissement et son développement et qu’il ne peut y avoir de progrès humain en faisant des écoles des hauts lieux d’embrigadement idéologique.et de fanatisme.
Les pays musulmans doivent comprendre qu’il n’y a pas de sacrilège de bâtir des programmes scolaires dépouillés de toute forme d’endoctrinement religieux, axés sur ‘éducation à la tolérance, le bien-vivre ensemble, l’amour de son prochain surtout quand il est différent de soi, l’ouverture sur le monde, l’abolition de la culture ethnocentrique et suprématiste, la compréhension mutuelle, l’humanisme, la philosophie.
Il faut dénombriliser les musulmans, les sortir de leur état d’enfermement mental peuplé du mythe de l’Arche perdue symptomatique de leur dépression chronique et leur apprendre qu’ils ont des responsabilités avant tout humaines et c’est l’histoire qui sera leur vrai juge.

Le suicide tunisien

25 octobre 2011

 La voie empruntée actuellement par la Tunisie laisse présager de sérieuses hypothèques sur son avenir en tant que nation souveraine et indépendante. Elle est en train de sombrer corps et âme dans le piège tendu par les mouvements obscurantistes et régressifs dont Ennahdha, la filiale tunisienne de la nébuleuse islamiste. Ce mouvement sectaire élevé au rang de la dignité politique en totale violation de la loi tunisienne sur les partis politiques de 1985, ne manque pas aujourd’hui une occasion de répandre son poison venimeux qui nourrit une sémantique discursive suscitant peurs et angoisses chez les Tunisiens. Mais pas seulement!  Habile manipulateur et mystificateur, il est tel un prestidigitateur, un fakir, qui à chaque fois qu’il se trouve pris au dépourvu et piégé par l’auditoire, comme lors de sa profession de foi sur le rétablissement du Califat, sort insidieusement  de sa besace le spectre salafiste afin de créer un écran de fumée derrière lequel il pourrait s’esquiver, disparaître, se volatiliser, sans que l’on s’en aperçoive. Il s’ agit en réalité d’une banale illusion d’ optique et un tour de passe-passe de la perfidie islamiste.

La stratégie communicationnelle de cette organisation sectaire s’articule autour de deux axes, primo: la communication politique où la secte milicienne et antipatriotique Ennahdha apparaît en première ligne qui caractérisée par la manipulation, l’exaltation, la glorification, la stigmatisation, la réaction, l’intimidation, la corruption, l’occultation, la victimisation, la récupération de la cause palestinienne, la sublimation, etc…; secundo:  l’action politique sur le terrain où elle reste blottie dans l’ombre comme à l’époque des années de terreur, vitriol et attentats meurtriers  à la bombe, en Tunisie. Elle apparaît en filigrane des opérations de violence physique et religieuse menées par son escadron de la mort salafiste. Elle est comme ce souffleur de feu qui à chaque que la braise commence à vaciller, il se doit de l’attiser. Dissocier Ennahdha des salafistes c’est comme si l’on cherchait à séparer les deux faces du miroir de Janus. Les distinguer, comme si l’on distinguait les branches de cette tenaille tranchante et contaminée  avec laquelle ils cherchent à tenir fermement et violemment.

La Tunisie qui à chaque fois qu’elle cherche à desserrer son emprise, Ennahdha force sur la tenaille.

La branche salafiste est pour l’islamisme tunisien ce que fut le Service d’Action Civique (S.A.C.) pour le Gaullisme. Une  officine de police parallèle. Une garde de fidèles dévoués et fanatiques au service inconditionnel de leur maître à penser et commanditaire nahdhaoui. Sa branche armée dont la mission est de défendre par la force la pensée idéologique du mouvement.

L’ islamisme tunisien quel que soit le visage qu’il décline selon les circonstances s’inscrit  dans une logique de conquête de pouvoir et de propagande religieuse par tous les moyens adéquats, les plus immoraux et violents.

La fin justifie les moyens surtout quand son action est frappée du sceau du sacré dans le sens de réaliser la prophétie coranique d’établir la souveraineté d’Allah aux quatre coins de la terre. Il oeuvre à la mise à mort de l’ identité nationale et  l’amarrage de la Tunisie à l’attelage wahhabite maître d’oeuvre de l’islamisme mondialiste.

Qui pourrait prétendre que le projet avorté de visite de l’Emir du Qatar symbole de la théocratie religieuse et donc antirépublicaine n’est pas dénuée de fondement politique et idéologique ? A moins que ce projet ne fût pas un nouveau leurre islamiste pour détourner l’attention du public tunisien du décalage pathologique des islamistes avec les vrais problèmes du pays. Comme leur tentative actuelle de vider le contenu du message politique des sit-inners de Bardo, en proposant un débat national sur le voile intégral en Tunisie alors que le pays est en état de déliquescence avancée en tout point de vue. Il n’en demeure pas moins que la portée politique de cette visite avortée, qui serait plutôt un intox, est subséquemment, le message fort que les parties invitantes chercheraient à adresser tant à leurs électeurs qu’ aux autres, leurs bailleurs de fonds et ordonnateurs que la Tunisie post- 14 janvier 2011 serait la première pièce de l ‘édifice de la restauration du VI e Califat dont le nom est pourtant associé aux plus grands génocides de l’histoire humaine en dehors de la Shoah.

 

 

 

Il est difficile au regard de leur idéologie inhumaniste et nostalgique et leur vécu politique qui se confond avec la violence urbaine en Tunisie, aucune cause fût-elle la plus légitime ne peut et ne doit justifier l’usage de la terreur comme moyen d’ expression politique. Ils auraient certainement gagné en légitimité politique en choisissant la voie du combat à la façon de Ghandi et Mandela. Même s’ils ne passent pas un jour sans qu’ils ne lèvent un bout de voile sur leur projet sombre pour la pérennité de la République tunisienne et la sauvegarde de sa souveraineté nationale, quel que ce soit les déclarations apaisantes dont ils abreuvent l’ opinion publique, il ne s’agit que des promesses qui n’ engagent que ceux qui les écoutent. Il est essentiel de ne pas tomber dans un angélisme béat qui pourrait être mortifère pour les libertés démocratiques. Jamais les islamistes ne sauraient renier leurs engagements militants pour s’inscrire dans une logique politique bâtie sur le dialogue, le compromis, le consensus  ou l’ intérêt commun. Ils sont dans le djihad permanent. Non le djihad intérieur  qui vise à élever l’âme et à donner à l’homme  cette force qui lui fait reculer ses limites, mais celui dont ils se se croient dépositaires l’expression d’une violence aveugle et gratuite pour imposer leur idéologie impériale et cosmique aux quatre coins de la terre.

La république, la démocratie,  la laïcité, les droits fondamentaux ne sont pas une fin en soi pour eux. Ils sont un simple alibi pour leur permette d’atteindre leurs vrais objectifs qui sont in fine l’ éradication pure et simple de tout ce qui n’ a pas un caractère fondamentalement théocratique.  Quant à leurs attachements profonds aux libertés publiques ce n’est qu’une pure manoeuvre  sémantique pour abuser de la crédulité de son interlocuteur et un rôle de composition et qu ils ne manqueront pas de ressortir leurs crocs venimeux ceux dont ils avaient fait usage à la fin des années 70 au début des années 90 et l’attentat sanguinaire de Bab Souika. Jamais les islamistes n’avancent à visage découvert pour ne pas effrayer l’ opinion publique et leurs propres affidés. Ils ont l’art du croche-pied. Ils donnent l’impression de commettre des bourdes, mais c’ est juste un appât qu’ ils jettent à l’adversaire pour mieux jauger de ses capacités de réaction et de résistance. Ils ne cessent de semer des leurres sur leur chemin pour piéger rivaux en se chargeant eux-mêmes de démystifier leurs véritables projets idéologiques -histoire de ne pas laisser le soin à leurs adversaires de les prendre au piège de leur propre jeu- qui’ ils sont les prompts généralement à chercher à les étouffer, à faire semblant d’ y apporter les démentis d’usage qui sont autant de manoeuvres pernicieuses pour créer une diversion afin de  détourner l’attention de leurs interlocuteurs en provoquant volontairement des situations de cacophonie qui font office d’effet de brouillards et de brouillage de pistes. Ils ont l’art de manipuler perfidement l’opinion publique. Ils commencent d’ abord par jeter le pavé dans la marre et ensuite dès les premiers remous ils sont souvent les premiers à vouloir ramener le calme et rassurer l’ opinion. Le plus important est que le message fasse mouche, atteigne sa cible. Ils savent que les réactions d’hostilité n’auront pas l’impact nécessaire pour compresser leurs messages. Le contre-écho est à peine audible. Leur habilité en matière de communication politique n’ a d équivalent que l ‘impression d’ atermoiements et d’amateurisme volontaire provoqué dans l’ opinion.

En matière de propagande politique, ce n’est pas propager soi-même son propre message, c ‘est le faire porter indirectement par les autres en faisant parler de soi. La critique est leur meilleure alliée car elle leur fait gagner de la notoriété.  En faisant déplacer le curseur d’une extrémité à l’autre, ils s’empressent toujours à le recentrer pour rester les maîtres du débat politique. Passés orfèvres dans la manipulation de l’opinion, ils excellent dans le jeu du contre-pieds et  l’ art du volte-face et de la pirouette. Ils jouent constamment aux pompiers pyromanes. Occuper le terrain, créer l ‘événement, être au coeur du débat, le susciter, faire monter les enchères afin d’obtenir les concessions les plus inespérées de la part des leurs rivaux. Habiles, pervers et fins stratèges, ils savent que le terrain leur est favorable, ils  se fondent dans le paysage pour mieux surprendre leurs proies et les dépecer. Ils ne sont pas Dr Jeckill et Mr Hyde. Ils sont polymorphes et se déclinent en quatre variantes: djihadiste, salafiste, qoutbiste de Said Qoutb et wahhabite véritable mître d’ oeuvre de l’islamisme impérial et hégémonique. Les islamistes quels qu’ils soient puisent leur source idéologique dans la pensée anthropomorphe et spéculative d ibn Taymmiya mort en prison en 1328  à Damas d’origine kurde, ressemblent à ces serpents des marais de la mythologie grecque, qu’ on appelle les hydres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On ne saurait les juguler et les contenir si on se garde de les dissocier et ainsi établir un distinguo coupable entre les salafistes et les nahdhaouistes en Tunisie. Ils sont les deux faces d’un même miroir. C’est pourquoi l’ organisation sectaire s mytico-mafieuse d’ ennahdha est néfaste pour la République Tunisienne. Elle est la première ennemie des droits fondamentaux et des libertés démocratiques. Sa présence sur la scène tunisienne est annonciatrice d’un avenir sombre pour le pays. Sa haute toxicité sur l état de santé mentale des masses et sa nocivité sur le  devenir et civilisationnel des masses frustrées de libertés publiques, individuelles, politiques, culturelles,  artistiques, depuis plus de 1400 ans.

Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante d un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement y compris celui de la pensée individuelle. On ne saurait nier que l’ Islam n a jamais été une source de bien-être social et économique. Nul ne peut prétendre que cette religion comme toutes les autres est un catalyseur des luttes sociales et politiques. Les populations musulmanes dans leur immense majorité ne sont pas rompues aux combats pour le changement. Elles s’accommodent plus que d ‘autres de leur sort fût-il le plus injuste au nom de la prédestination.  Toute tentative de reprise en main de ses conditions de vie est assimilée à une hérésie.  Ainsi, l islamisme-collaborationniste du fait de son passé nazi qui fait son retour fracassant entre autres sur la scène tunisienne a pour principale mission d’ assurer la propagation de ce système totalitaire de caractère théocratique et  maintenir la population opprimée par l ancien régime despotique  par tous les moyens sous l emprise totale et absolue sous le joug wahhabite en les enserrant dans les mailles acérées du filet. La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur les moyens pour dévoyer l’esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens.

Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilité des damnés de la terre (les laissés pour compte de l’ancien régime et de la tendance fâcheuse chez certains à vendre leurs âmes au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocratique: soudoiement,corruption, exaltation de l’âme musulmane, glorification de la splendeur islamique, libération de la Palestine, stigmatisation de la laïcité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyenneté tunisienne, réinstauration de l’ oumma, la communauté des croyants  soumise aux seules lois de l’islam, exorcisme, idolâtrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, oukase religieux, anathèmes, pogroms etc…Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer ainsi: nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d une part et d autre part verser l obole (bakchich) aux partisans.

Dans un pays où la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays. Les Tunisiens qui ont fait pourtant une  révolution pour la dignité, le pain gagné à la sueur de son front, et la probité sont en train de passer outre tous les symboles attachés à ladite révolution pour se laisser soudoyer et corrompre par les agents du djihadisme islamique. Une révolution censée permettre au peuple de s’identifier  aux  valeurs de paix, de dignité, de tolérance et de générosité  ressemble de plus en plus à une cour des miracles et de propagande religieuse. Les mosquées se sont transformées en espaces d’ instrumentalisation de la religion pour assouvir les desseins hégémoniques des Wahhabites qui ne lésinent pas sur les moyens pour faire de leurs mercenaires tunisiens les futurs maîtres de la Tunisie.

Le processus démocratique entamé depuis le 14 janvier 2011 s’ est en réalité mué en processus de vassalisation de la Tunisie, de sa wahhabisation rampante à laquelle s’ attelle l organisation sectaire et ex- terroriste d’ennahdha. La révolution des indignés est désormais une contre révolution de l indignation et de la félonie. Le projet d’ invitation de l’Emir du Qatar,, un pavé jeté dans la marre de la Révolution tunisienne,  qui   symbolise la théocratie politique et de l’ hégémonisme arrogant et impérial fossoyeur des révolutions arabes n ‘est pas dénuée de fondement politico-juridique. Elle est le prélude du  nouveau destin politique de la Tunisie qui de la République risquerait fort de basculer dans le camp du VI e Califat. A défaut de nouvelles institutions républicaines, il y a tout lieu à penser que son éventuelle présence, qui par nature est antirépublicaine et une atteinte à la souveraineté nationale, porte en elle les prémisses des institutions de droit canon.

Des musulmans tunisiens qui se posent des bonnes questions deviennent des apostats

Que les tunisiens apprennent pour une fois dans leur fichue existence à se poser les bonnes questions. Qu’ils se demandent pourquoi ce sont essentiellement les sites qu’ils étiquettent judéo-chrétiens, néo-conservateurs, sionistes, d’extrême droite qui s’inquiètent de cette liste noire et en font écho auprès de leurs lecteurs et aucun de leurs sites ne serait-ce au nom de la solidarité nationale ?
Je vois venir les réponses du genre « parce que toi-même tu écris dans ces sites et suivez mon regard » C’est dérisoire, irresponsable, méprisant et enfantin comme argument. Il ne s’agit pas seulement de ma personne, il y a 5 compagnons d’infortune dont la tête est mise à prix. Outre le fait qu’un certain nombre de ces sites ont bénéficié gracieusement de mes articles quand ils ne les plagient pas.
Je suis aussi sidéré par le silence radio des médias français, à la notable exception de l’hebdomadaire le Point. 
Quant aux partis politiques de droite comme de gauche et de son extrême qui voulait marier Allah et Marx comme avait tenté de le faire Besancenot.  Qui pourrait imaginer Mélenchon par exemple voler à notre secours, lui qui rêve d’islamiser la République ?  Je dois reconnaître que tous  se comportent comme au bon vieux temps du journal l’Auto et du Front Populaire. 
Aucun signe de leur part, comme s’ils avaient peur d’heurter la susceptibilité de leur électorat musulman qui voit en moi l’un des pires ennemis de l’islam dixit le dictionnaire de l’islamophobie. 
Encore une fois comme si j’étais la seule cible des vengeurs de l’islam.
il n’y a grand’chose à espérer de la peur de ceux qui me reprochent de servir de caution morale et intellectuelle aux sites de l’islamophobie et à la « fachosphère » où je sévis selon mes inquisiteurs officiels un certain Kamel Zemiti et Karim Aïchaoui.

La France en proie au péril musulman

La survie de la France ne tient qu’à l’épaisseur du fil du glaive islamique.
Il faut prendre des mesures d’urgence fortes très fortes tant sur le plan national qu’international pour en finir avec l’halalisation de la France : 
-plus de prières des rues, 
-plus de ports de signes de caractères religieux dans l’espace public
-pénaliser l’endoctrinement religieux précoce et les conversions des mineurs
-mettre sous haute surveillance les nouveaux convertis à l’islam 
-déclarer le Coran comme incompatible avec les valeurs de la république,
-imposer aux musulmans un véritable Pacte républicain plus sévère que celui de 1807 imposé par Napoléon aux Juifs et aux Protestants 
-circonscrire le prosélytisme musulman,
-contrôle de l’origine des fonds des sandwicheries kebabs et des commerces halal et restrictions de leurs implantations,
-suppression de l’automaticité des liens entre le droit de sol et l’acquisition de la nationalité française
-instaurer un stage de citoyenneté et de loyauté à tous les musulmans naturalisés depuis le gouvernement Sarkozy,
-arrêt des constructions des mosquées,
-fermeture immédiate des mosquées clandestines,
-menu républicain pour tous dans les écoles, 
-arrêt de versements des prestations sociales et familiales aux familles des enfants mineurs partis faire le djihad du sexe et de la terreur en Syrie, 
-rétablir l’Etat de droit dans les cités et expulsion des prédicateurs  
-suspension des naturalisations, 
-interdiction du retour des djihadistes sur le territoire national avec déchéance automatique de la nationalité française,
des imams français et prêchant en français
-contrôle des financements des mosquées et des associations dites culturelles françaises qui sont des paravents pour l’islamisation de la France et gel de leurs avoirs, 
-interdiction des collectes d’argent sur les marchés pour la construction des mosquées ou pour tout autre usage
-annulation des ventes des immeubles de prestige au Qatar et du régime fiscal préférentiel accordé par Sarkozy aux acheteurs des biens immobiliers qatariens en France,
-ouverture d’enquête judiciaire sur les conditions de vente du P.S.G. au Qatar
dissolution de l’U.O.I.F. et la déclarer comme une officine terroriste, il n’est pas normal que sa sa maison mère la Confrérie des Frères Musulmans soit reconnue terroriste en Egypte et sa filiale légaliste en France
-rappel des ambassadeurs de France au Qatar et en Arabie Saoudite 
-inscrire ces deux pays sur la liste noire des pays terroristes
arrêt des aides militaires aux rebelles syriens et la diabolisation du régime laïc syrien par le gouvernement français,
 –durcir les conditions d’octroi de visas pour les ressortissants des pays pourvoyeurs de terroristes telle que la Tunisie, voire l’arrêt définitif des aides au développement
-retrait de la nationalité française aux islamistes tunisiens membres de l’organisation terroriste d’Ennahdha et détenteurs de mandats électifs en Tunisie ou ayant exercé des responsabilités gouvernementales dans ce pays, 
mettre en place de nouveaux programmes de recherche d’énergie de substitution pour en finir avec la dépendance énergétique vis-à-vis des pays du Golf. 

L’hydre d’Hercule serait plus humaine que l’homo islamicus

 

L’islam a réussi à transformer la psyché, à façonner la pensée  et à moduler l’humanité de ses fidèles  comme s’il était devenu lui-même une nouvelle entité bio-génétique conférant aux natifs de cette religion et à ceux qui choisissent de s’y soumettre un ADN spécifique.

Etre musulman c’est appartenir ainsi à un peuple partageant le même patrimoine génétique. Faire partie d’une race qui ne ressemble en rien aux autres humains dont elle serait la seigneur et maîtresse à cause de la pureté de son sang d’origine supra humaine fabriqué par Allah lui-même et dont il a irrigué le corps de ses fidèles conçus de surcroît par lui. Tous les musulmans sont par définition son bien, sa propriété de plein de droit. C’est lui qui qui les engendre,  les vrais pères géniteurs ne sont pas des pères ils ne font qu’accomplir sa volonté de déposer la semence dans le champ de labour que représente le corps de la femme.

L’homme musulman est dépourvu de toute pensée critique adoptant un comportement identique à  celui de ses coreligionnaires. S’habille pareil, accomplissant les mêmes faits et gestes quotidiens que tous ses semblables, ne vivant que par et pour l’islam, n’écoutant que les paroles d’Allah et de Mahomet.  Prier, apprendre et réciter le Coran du matin au soir sans rien comprendre au sens des mots. Abêti et lobotomisé qui attend son heure, un signe d’Allah pour partir dans le sentier du djihad.  Un musulman ne fait le choix de rien c’est Allah qui l’inspire et guide ses pas et ses mains.  Né pour servir la cause Allah  et jamais la cause des hommes dépourvu de tout sentiment humain au coeur rempli de rancoeur et de haine pour tous ceux que son livre satanique désigne comme ennemis de sa religion. Sans jamais se poser la question sur le simple fait que de ne partager les idées de Mahomet ne fait pas du juif, du chrétien des porcs, des singes, des êtres maléfiques à abattre et exterminer.  Un homme unidimensionnel sans humanité, ni réflexion personnelle, incapable de raisonner et de pourvoir à ses propres besoins contrairement à  d’Herbert Marcuse consumériste mais à même d’oeuvre pour la satisfaction de ses besoins par la force de son travail.

L’islam est bien passé ces dernières décennies du stade d’une manufacture artisanale qui fabrique quelques spécimen coomme Ben Laden, Omar Tourabi, Rached Ghannouchi, au stade d’une industrie lourde capable de produire des Moamed Merah et des Nemmouche par millions.

Cette transmutation de la personnalité n’est pas sans rappeler celle opérée par le nazisme et le fascisme.
L’islamisme qui est à l’islam ce que l’hitlérisme est au nazisme qui se veut l’Islam authentique à juste raison, est une réactualisation de l’islam des origines, régissant de la manière la plus totalitaire et la plus rigoriste tous les aspects de la vie sociale, cultuelle, politique, personnelle de ses adeptes dans le moindre et détail jusqu’à dans les alcôves et leur vie intime, est entrain aujourd’hui d’engendrer une nouvelle espèce humaine que j’ai appelée dans un de mes articles l’homo wahhabitus.

Doté de sa propre personnalité, dépourvue de tout sentiment humain, frustré, primaire, agressif, asocial, velléitaire, bourru, mystique, immature, incapable de penser et de réfléchir par lui-même, idolâtre et iconoclaste. Il est le tout et son contraire, mais à condition que les icônes passées aient un caractère musulman. C’est un vrai cas clinique qui présente un danger pour lui-même et surtout pour la société, sa pathologie incurable est de nature contagieuse.
Seule mise en quarantaine est la thérapie indiquée.

Atteint de délires dédoublement de personnalité doublés d’angoisses existentielles et de pulsions mystificatrices , il s’ s’invente un personnage qui le substitue au sien,vivant dans la peau d’un autre qu’il se veut lui-même, convaincu d’être investi de mission divine pour défendre, protéger la pureté originelle de la religion et établir la souveraineté d’Allah sur tous les hommes.
Guidés par leur seule vision cosmique et impériale du monde : ré-islamiser, sous forme de wahhabisation et islamiser par la propagation de sa doctrine aux quatre coins du monde par tous les moyens y compris la purification ethnique et religieuse comme c’est le cas en Irak, le Nigéria et un degré moindre l’Egypte.

En tout état de cause, les mécanismes idéologiques de caractère prophétique et messianique, ne peuvent qu’impacter, conditionner outrageusement et influence leur état psychologique uniforme qui les fait distinguer du commun des mortels,
Je n’ai pas la prétention d’analyser la psychologie des islamistes, mais chercher tout au moins à esquisser un portrait à partir des éléments d’observation tels que nous restituent leurs troubles de comportement, leurs excès de prosélytisme agressif et envahissant nos cités, piétinant notre espace laïc, leurs incohérences verbales, leurs onomatopées, leurs évocations récurrentes à Dieu, son manichéisme outrancier, leurs convulsions pathogènes, leurs crises de démence dont certaines préfigurent du Grand Fracas Coranique, leur procession, leur aversion du genre humain, vomissant nos lois et brûlant nos codes et nos drapeaux, leur état pathologique de confusion mentale et leur absence de discernement.

Il en résulte que les islamistes ne semblent pas avoir de caractère humain dans le sens humaniste du terme qui fait de l’homme acteur de sa vie et ce pour les raisons suivantes : ils sont psychopathes, schizophrènes, messianiques, fascistes, racistes, antisémites,, ethnocentristes , mégalomanes, phallocrates, à la misogynie érigée en dogme, pervers, adepte de la magie noire, gourous, affabulateurs, haineux, nocifs, pour l’écosystème humain, ultra-violents, ultra-réactionnaires, paranoïaques, illuminés sectaires, atteints du syndrome du borderline, idolâtres, profanateurs de mosquées, hérétiques, terroristes, bellicistes, impérialistes, génocidaires, rêvant de faire de la terre le royaume d’Allah purifié du genre humain tels que les athées, les démocrates, les laïcs, les infidèles qu’ils sont censés tuer tous un par un jusqu’au dernier, notre destin sera islamistes ou il ne le sera pas telle que le prévoit leur prophète.

Déferlant sur les cités urbaines tels des meutes de loup, battant le pas comme s’ils rejouaient une scène martiale sur le modèle des escadrons de Waffen SS dans lesquels s’étaient enrôlés leurs aïeux. Ne laissant ainsi subsister aucun doute quant aux accointances idéologiques entre leurs leur idéologie et le nazisme. Vouant comme eux un véritable culte a leur chef cette figure centrale et tutélaire, une sorte de guide suprême comme un duce, un Führer, un Ayatollah ou un Habib Allah à l’exemple de ce Gourou illuminé qui en train de mettre la Tunisie sous sa coupe réglée.

Leurs ressentiments féroces et maladifs font d’eux des êtres voraces, charognards, archaïques, névrotiques, barbares, sanguinaires, assoiffés de sang humain avides de notre chair, faisant de la terreur leur foi et de leur loi canonique une arme de destruction massive, Hitler et Staline passeraient pour des humains à coté d’eux, leur bave et venimeuse. Ils sont pour notre humanité ce que furent les Banu Hilal et leurs alliés les Banu Souleiem pour la Tunisie.

Ils prolifèrent et se propagent comme des cafards, ils sont sans foi ni loi, arrogants et suffisants, lâches et pervers, régressifs et rétrogrades faisant de la pédophilie et de la polygamie un projet de gouvernement, ennemis du genre humain, renégats, traîtres, félons, antipatriotes, vénaux, cupides et parasites, assistés chroniques, opportunistes, incultes, pathologiques, ils rêvent de conquête cosmique, imposteurs et apostats selon la religion dont ils se réclament alors qu’ils se comportent avec elle comme s’ils étaient les fils de Satan que les vaillants djihadistes d’Allah comme ils le prétendent.

Ils ne respectent ni Allah qui est pourtant leur maître-esclavagiste ni leurs coreligionnaires qui rêvent de vivre leur humanité  qui sont souvent les premières victimes de leur déferlante tsunamienne et encore moins l’humanité non-musulmane. Ils sont des exterminators, Pol pot est plus humain qu’eux.

Leur humanité est le produit de leur psyché un mélange de Dracula de Jack L’éventreur et de Frankenstein. Ils sont tout simplement des Islamistes. A coté d’eux, les hydres d’Hercule seraient moins effrayantes et épouvantables.

Des figures cauchemardesques devenues le cauchemar éveillé de l’humanité, laissant apparaître les.croque-mitaines comme des archanges. Sources d’angoisses et de peur, ils préfigurent le monde des ténèbres dans lequel ils veulent entraîner le commun des mortels. Incarnation vivante de cette vision apocalyptique du monde celle du Grand Effroi. Leurs évocations incantatoires sont autant d’exaltation du démon qui irrigue leurs artères et nourrit leur cerveau. Dépossédés de leur propre humanité, ils ne vivent que dans la haine destructrice de ceux vivent leur état d’humanité;
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Jamais un peuple n’a été dépouillé de sa mémoire historique et de sa culture comme le Nord-Africain

L’arabité mitonnée avec une forte dose d’islamisté est pour notre peuple d’Ifriqiya un véritable  mémoricide. Dépouillé  de son identité propre, son âme, ses racines, sa langue, sa culture, son histoire, ses figures  historiques, sont Arabes. Des milliers d’années  d’histoire volatilisés comme s’ils n’avaient  jamais  existé. Le peuple lui-même  ne se reconnaît  pas par ignorance et par rejet de ce qu’il  est lui-même, dans son histoire avant  la chute d’Ifrikya en 711, année  de la mort de la Kahina qui marque le début de la fin de son amazighité.

Je vous invite à lire cet excellent commentaire de mon ami Rachid Ben-Hamadou :  » Les religions et leurs légendes sont des créations humaines faites pour ceux et celles qui veuillent bien y croire (et s’y soumettre), elles n’ont quasiment rien presté qui vaille pour l’Humanité. D’ailleurs pourquoi Dieu presuluk issant a-t-il attendu 4 milliards d’années depuis le big bang et la création de l’Univers avant d’intervenir et envoyer ses messagers afin de soi disant sauver l’Humanité, si la vie eusse vraiment pendant si longtemps été une bévue si invivable que ça et que les humains furent égarés dans le mauvais chemin ? Ces légendes ne tiennent à mon avis pas debout, comme on dit en bon Tunisien « El h’kaya mebnia aala Ras Kalb » !

Quant à l’Islam, Je me suis toujours demandé et je continue à le faire : De quoi se mêlaient les Arabes de venir occuper l’Afrique du Nord (au nom antique d’Afrikia) pour propager une religion qui s’adressait et fut conçue sur mesure pour leur société à eux dans leur Péninsule Arabique, nullement pour les peuples Amazigh, Phéniciens et Romains de l’Afrique du Nord, région qui de surcroit fut une puissance et une civilisation hors du commun, et pas aussi arriérée qu’ils le prétendaient dans leur écriture de l’Histoire. Ils sont venus, ils ont sévi, ils ont imposé avec +/- de succès leur langue, ils nous ont matraqué les esprits par leurs leurres et mensonges surtout de nous coller ce qualificatif d’Arabo-musulmans, donc ont-ils ainsi tout falsifié jusqu’à notre identité, ils ont même détruit les prouesses architecturales impressionnantes (penser à Carthage !! pour…tenez-vous bien, les utiliser comme matériaux de construction, aussi furent-ils tellement lâches qu’ils ne daignèrent guère tailler leur propres pierres…

Qu’on le veuille ou non nous sommes le peuple Amazigh brassé de diversité culturelle où l’élément arabe est ne doit pas être  dominant comme il l’est depuis 14 siècles. Devenu  le seul  référent culturel d’un peuple  millénaire, effaçant  chez lui son amazighité.

L’islam, le vrai visage de la barbarie humaine

  • A chaque siècle son visage de la barbarie ? Le 20 ème a connu le nazisme, le 21 ème connaitra-t-il celui de l’islam ?
19 mai 2011, 08:53

Les musulmans hypocrites qui drapent l’islam dans sa vertu de la vierge effarouchée sont les seuls à croire en l’innocence de l’islam persistant à le présenter sous des traits idylliques malgré les preuves accablantes quant à sa haute toxicité. Schizoïdes-paranoïdes et certainement atteints de cécité mentale, démunis d’arguments convaincants pour étayer leur défense de l’angélisme de l’islam alors que rien ne plaide en faveur de leur thèse surannée et farfelue, fondée sur l’invective et le déni de la réalité. Cette réalité que rien ne peut lui tordre le cou à cause des images apocalyptiques véhiculées par les hydres islamistes, véritables escadrons de la mort appelés moujahiddounes, combattants dans le sentier d’Allah (fi sabil Allah), qui répandent la terreur partout dans le monde. Ils vont même jusqu’à les accuser de ne pas être musulmans qu’ils seraient plutôt des agents d’un complot ourdi contre l’islam par les sionistes, leur véritable hantise.  Comme si l’effusion du sang n’était pas consubstantielle à l’islam qui dès ses origines ne cesse de s’abreuver du sang humain.

Toujours la même rengaine, l’islam est parfait et irréprochable et c’est la faute aux islamistes que son image est détériorée et dévoyée. Ignorant ou surtout feignant d’ignorer que ce sont ceux qu’ils accusent d’être des mauvais musulmans sont ceux qui renvoient la plus fidèle des images de l’islam de Mahomet et en aucun ils sont en inadéquation avec son enseignement hégémonique et expansionniste.  Ils ne font que traduire rigoureusement dans les faits sa stratégie de pouvoir impérial.

En tant que musulmans fidèles aux dogmes de leur foi, ils doivent mettre en pratique la théorie de l’araignée du coran qui consiste à grignoter lentement mais sûrement chaque pouce et parcelle de territoire en usant de manoeuvres les plus perfides et pernicieuses voire illicites. Car l’islam ne condamne pas ses fidèles qui violent les lois autres que les siennes selon le principe qu’il ne peut y avoir de respect des lois autres que les lois de l’islam. Tout musulman doit obligatoirement suivre la voie que lui a tracée Mahomet en se gardant d’emprunter des chemins qui ont des codifications humaines. Seule l’observation absolue des lois de l’islam doit guider sa vie. Rien ne doit prévaloir sur l’intérêt supérieur de l’oumma musulmane à laquelle chaque musulman doit apporter sa contribution.

En tant qu’idéologie velléitaire velléitaire, suprématiste et belliciste. l’islam exhorte ses fidèles à oeuvrer ainsi par tous les moyens à l’instauration de son règne absolu sur l’univers. Les voies impériales de l’islam n’ont pas à composer avec les lois imparfaites des assemblées humaines qui sont appelées à disparaître un jour au profit des siennes qui sont mises à mal et ébranlées chaque jour par les musulmans tout particulièrement en Occident. Une question que la bien-pensance occidentale n’ose jamais se poser pourquoi les musulmans sont ceux qui enfreignent le plus les lois dans les pays des droits de l’homme ?

Les vrais musulmans ont pour mission de donner du sens à son message et à baliser le terrain en vue de son avènement comme nouvel ordre mondial. En effet, le vrai musulman est par définition un conquérant armé de ses seules convictions en sa foi qui doit être un jour la seule et unique pour tous les hommes.

De ce fait, ils ne doivent suivre qu’une seule feuille de route destinée à islamiser la terre entière.

Son retour fracassant sur la scène arabisée avec les révolutions kafkaïenne du printemps wahhabite et notamment tunisienne s’accompagne d’un prosélytisme agressif et violent bénéficie toutefois d’une certaine mansuétude et indulgence coupable de la part du pouvoir de transition en Tunisie et des exégètes, théologiens et doctes musulmans.

Tout laisse à penser que cette vision de l Islam ultra violente et ultra réactionnaire- qui suscite pourtant des peurs et des angoisses légitimes chez la majorité des citoyens- n est pas contraire au Coran lui meme qui uuhorte les disciples de recourir aux actes les plus repréhensibles. Ainsi, tout adorateur d Allah qui juge que sa foi est offensée et bafouée est en droit selonn le Coran de tuer l offenseur. Faire  couler le sang du mécréant devient  de la sorte un acte purificateur qui vaut à celui qui le commet les bienfaits du paradis.

En toute évidence les  islamistes ne sont en aucun cas les enfants damnés d Allah, ils en sont les enfants chéris qui auront sa grace éternelle. Ils sont porterurs d une mission d ordre divin,en violation fagrante par aillieurs de l ordre républicain, pour protéger sa Parole et instaurer son hégémonsime aux quatre coins de la terre.

Dans ce contexte, condamner les islamistes- qui ne font en réalité qu appliquer les recommandations du Coran- pour actes de  troubles à l’ordre public, menaces de mort ou atteintes aux biens et aux personnes reviendrait à condamner Allah lui-même.

Il est somme toute logique qu’il le soit dans la mesure ou’ il en est le maître et le commanditaire. Mais aucun pouvoir judiciaire ou politique dans les pays musulmans ne sauraient commettre une tel sacrilège sans provoquer le courroux de sa majorité musulmane. Ce qui vaut effectivement aux islamistes de bénéficier d’une sorte de blanc seing pour leurs actions criminelles du fait de leur statut de combattants dans le sentier d’Allah.

Ils deviennent juridiquement intouchables comme les Mollahs en Iran ou les nahdhaouistes en Tunisie dont leur triste et nazillon gourou s’est affublé du titre de Habib Allah. Le chéri d Allah.  Au vu des idées liberticides et scélérates qu’ils diffusent au sein des populations musulmanes ainsi qu’au regard de leurs comportements transgressifs, agressifs et violents, les islamistes sont en conformité avec les lois divines ce qui leur fait croire qu’ils jouissent d’immunités civiles et pénales, car les lois humaines sont jugées imparfaites pour être respectées. Vous imaginez le jour où les codes juridiques d’essence humaine seront déclarés non-conformes aux lois de l’islam et que leur application constituerait une atteinte au sacré, nous aurons inéluctablement le règne de la barbarie, de l’arbitraire et de la justice expéditive comme en Arabie Saoudite, l’Iran, l’Afghanistan, la Somalie ou le Soudan, où l’on condamne à mort la liberté de conscience et on innocente les violeurs et les djihado-terroristes qui ont fauché des vies humaines au nom d’Allah Akbar.

En conclusion , l’islamisme n’est pas seulement un ver venimeux dans le fruit humain voire un virus létal pour l’humanité, mais il est également une négation de l’Etat de droit et de l’Etat nation. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit.

Tunisie, cette terre des premiers pas de ma vie

Il y a des gens heureux d’être nés et d’autres qui ne le sont pas

Faisant de leur haine de soi une arme de destruction de la vie

J’ai choisi d’aimer l’humain qui vit en moi

Sans être conditionné par quelle que croyance que ce soit

L’amour de mon prochain n’est pas dicté par aucun divin

Ma religion est ma foi en l’homme

Nul besoin de l’islam pour vivre

Né avec mon libre-arbitre pour choisir mon chemin

Mon vrai choix de vie aurait été de ne pas ne pas vivre parmi les ennemis de la vie

Ne vivant que pour et par la mort de leurs prochains

Créatures morbides répandant la mort sur leur chemin pour leur divin assoiffé du sang humain

Ma Tunisie natale me manque plus que tout
Sans elle je suis une âme perdue dans cette jungle humaine
Aurais-je le bonheur d’y retourner un jour de min vivant ?
Serais-je ce Juif errant condamné à l’exil
Contrairement à lui, le mien serait éternel
Même mort ,la Tunisie musulmane ne voudra pas de mon cadavre.
Je ne l’ai jamais trahie, j’ai juste dit mes vérités sur cet islam infâme
Je l’ai trop aimée à mon grand malheur et cela m’a valu inimitiés et haine
Je rêve tant d’embrasser sa terre et de la serrer si fort contre moi
Lui crier de toutes mes forces, ma Tunisie je t’aime comme personne ne t’a aimée comme je t’aime
Tu es la terre qui m’a inondée de mon premier rayon de soleil
Témoin de mes premières joies et souffrances
Pouvoir marcher dans les rues de Tunis pour retrouver les souvenirs de mon enfance
Mourir loin de toi est la pire des morts qui existent
Un supplice qui me fait regretter d’avoir vécu

L’islamisme, le nazisme en pire

Il n’est un secret pour personne que la secte de la barbarie humaine d’Ennahdha professe une idéologie raciste, liberticide, théocratique, terroriste, antisémite, pédophile, polygame, hyper machiste, antipatriotique, mercenariale, milicienne, oumienne, ultra-violente, suprématiste, négationniste,collaborationniste, cosmique, impériale, expansionniste, totalitaire, nazillonne, moyenâgeuse, inégalitaire, haineuse, génocidaire, apocalyptique.

Nul doute que tous ceux qui ont voté pour cette secte infecte et infâme qui rêve de revigorer l’islam et de purifier la société tunisienne des influences « impies », c’est-à-dire occidentales afin d’éliminer tous les obstacles à sa réislamisation, et qui continuent à lui maintenir leur confiance ne peuvent pas dire qu’ils sont blancs comme neige et ne l’ont fait pas  en toute connaissance de cause. Le vote tunisien pro Ennahdha n’est en rien comparable à celui des électeurs français pour le FN, qui est un vote anti-islam, il est de la même nature que le vote allemand pro NDSAP, celui de la renaissance de la grandeur germanique et un blanc seing-accordé à Hitler pour la solution finale. C’est un vote d’identification et d’adhésion. Un vote fidèle aux idées de Saïd Qoutb le maître à penser des leaders islamistes tunisiens Il n’est un secret pour personne qu’Ennahdha professe une idéologie raciste, liberticide, terroriste, antisémite, pédophile, polygame, hyper machiste, antipatriotique, mercenariale, milicienne, oumienne, ultra-violente, suprématiste, califienne, négationniste,collaborationniste, cosmique, impériale, expansionniste, totalitaire, nazillonne, moyenâgeuse, inégalitaire, haineuse, génocidaire, apocalyptique. Or, tous ceux qui ont voté pour cette secte infecte et infâme et qui continuent à lui maintenir leur confiance ne peuvent pas dire qu’ils sont blancs comme neige. Le vote tunisien pro Ennahdha est de la même nature que le vote allemand pro NDSAP. C’est un vote d’identification et d’adhésion.
On doit par conséquent reconnaître que 25% du corps électoral tunisien sont des terroristes et nazis en puissance. Ennahdha dispose ainsi d’un vivier mortel pas seulement pour la Tunisie mais bien au-delà de ses frontières. Une véritable aubaine pour le Qatar et l’Arabie Saoudite, un filon qui peut leur rapporter gros aujourd’hui en Irak si jamais les raffineries de pétrole et les gisements pétroliers tombent entre les mains de l’EIIL qui s’appuie sur un fort contingent terroriste tunisien réputé pour être pire que les charognards. Cruels, barbares et féroces.
La Tunisie est entrain d’entrer dans l’ère la plus noire de son histoire millénaire.
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On doit par conséquent reconnaître que 25% du corps électoral tunisien sont des terroristes et nazis en puissance. Ennahdha dispose ainsi d’un vivier mortel pas seulement pour la Tunisie mais bien au-delà de ses frontières. Une véritable aubaine pour le Qatar et l’Arabie Saoudite, un filon qui peut leur rapporter gros aujourd’hui en Irak si jamais les raffineries de pétrole et les gisements pétroliers tombent entre les mains de l’EIIL qui s’appuie sur un fort contingent terroriste tunisien réputé pour être pire que les charognards. Cruels, barbares et féroces.
La Tunisie est entrain d’entrer dans l’ère la plus noire de son histoire millénaire dans l’indifférence totale de son peuple davantage préoccupé par le bien-être de l’islam qui lui promet monts et merveilles dans sa vie dans l’au-delà sans que rien n’en atteste de l’existence mais de cela il n’en a cure tant qu’il peut fantasmer sur le lupanar paradisiaque que du sort tragique de son pays. Car la patrie est sueur et larmes, elle n’est pas ni un rêve érotique ni une rivière de vin, elle est concrète et exigeante, il n’y a place chez  que pour ses enfants qui payent de leur personne, travailleurs acharnés,dévoués et désintéressés qui n’attendent rien d’elle au retour sauf la  satisfaction d’avoir accompli leurs devoirs et la fierté de transmettre le flambeau aux générations futures.Le peuple tunisien comme tout peuple musulman ne se projette pas dans le futur sur terre, il est obsédé par le monde meilleur à sa mort pour lui-même et non pour ceux qui seront ses véritables juges devant le Tribunal de l’histoire pour leur avoir laissé un pays exsangue et en état de ruine. Plutôt que d’investir dans l’avenir de ses enfants il préfère les envoyer exercer leurs talents d’égorgeurs en Syrie, en Irak et en Libye pour la gloire d’Allah qui garantit aux familles l’assurance de 70 places au paradis pour chaque chahid (martyr) tombé sur le front, il suffirait de 150 000 morts pour assurer à tous les Tunisiens leur place au paradis.

 

 

Il n’y a que les collabos qui croient que l’islam est compatible avec la démocratie

D’autres signes avant-coureurs non moins inquiétants est leur obsession à lier nationalité et sentiment d’appartenance religieuse qui n’ est pas non plus sans rappeler les lois raciales de Nuremberg de 1935. Leurs juifs sont incontestablement tous ceux qui n’ont pas le caractère musulman tels que les Coptes, les démocrates, les athées, les progressistes, les juifs eux-mêmes, les chrétiens, les musulmans égarés, les humanistes, les homosexuels et les laïques. Tous les humains qu’Allah promet aux feux de a Géhenne.

Est-ce un hasard si les qoutbistes tunisiens assimilent la laïcité à une idéologie au point qu’ils en fait leur thème de campagne : la Tunisie est musulmane et non laïque. un slogan lourd de sens et annonciateur d’un avenir sombre pour tous ceux qui n adhèrent pas à leur idéologie. La meilleure illustration de cette collusion entre les deux mouvements génocidaires obsédés par la haine de l’autre et surtout du juif et non pas du sioniste en était le Grand  Mufti de Jérusalem Fayçal al Husein,  promu chef de division SS et divulgateur du message propagandiste nazi dans le monde musulman en 1939-45 et éminent membre de la Confrérie. Cet homme incarne à lui tout seul les liens fusionnels qui existent entre les deux idéologies. Il est permis de penser qu’en chaque islamiste, il y a un nazi en puissance obsédé par la purification de sa foi de toutes les scories et influences extérieures qui dans leurs esprits renvoient aux juifs au demeurant l’éternel comploteur et croque-mitaine que le Coran voue du reste à la Géhenne. Croire que les islamistes sont en train de faire leur mutation démocratique c’est une grave erreur et une hérésie politique. Les islamiste – jusqu’à preuve formelle du contraire- n’ ont guère renoncé à leurs fonds de commerce idéologique  et leur bellicisme officiellement ainsi q’ exprimer sans ambiguïté leurs profonds attachements aux valeurs universelles du respect total et absolu du juif, en l’occurrence celui qui est différent d eux. Ils sont sur le chemin de la conquête démocratique du pouvoir qu’ils considèrent comme étant leurs biens propres, leur butin tant convoité et pour lequel ils s’étaient battus quand bien même en ayant recours à la terreur qui n’est aucun cas répréhensible ni condamnable car elle a été accomplie dans le sentier d’Allah.

Par conséquent la voie démocratique doit les rétablir dans leur droit et les reconnaître comme étant les seuls et vrais propriétaires légitimes de cette terre qui ne doit être soumises qu’aux seules lois d’Allah au nom duquel ils doivent gouvernent  Ce qu’ils n’ont pas pu obtenir par la violence, ils l’obtiennent par les urnes sont dans lesquels ont été déposés les cendres de la démocratie. Ces élections servent ainsi à réparer le préjudice subi et leur rendre leur propriété dont ils ont été spoliée.

Le processus démocratique mis ainsi en oeuvre est jugée comme une ordalie dont ils doivent sortir les vainqueurs pour remédier à cette injustice dont ils furent les victimes et qui leur a valu la privation de la liberté et l’exil. Des martyrs de l’injustice humaine qui voient dans ce processus une aubaine pour leur intronisation de Califes amenés à régner en tant qu’ayants droits légitimes d’Allah sur la cité pour lui servir de guide et de berger du genre canin et féroce plutôt. Une guidance qui s’inscrit dans le strict cadre tracé par le Coran qui prohibe l’ existence au sein de cette cité d autres voies non marquées par le sceau du Coran.

Qui s’oppose à eux s’oppose à la volonté de Celui qui les a investis de pouvoir messianique et commet par conséquent un sacrilège punissable de la double peine : la mort et l’enfer. Malheur à ceux qui veulent soustraire la cité musulmane du pouvoir de celui qui l’a créée. En jouant le jeu de la démocratie,qui est une hérésie pour eux, c’est un mal pour un bien. Un passage obligé pour atteindre leur objectif suprême, le pouvoir exercé au nom du Souverain unique de la vie sur terre et dans l’au-delà. Le fin justifiant les moyens, gagner la partie à n’importe quel prix en usant des moyens les plus illicites et déloyaux afin de faire triompher l’idéal musulman dans un premier temps et étouffer les velléités d’émancipation politiques des musulmans qui veulent s’affranchir de la main mise de la religion sur leur vie.

Il est utopique et illusoire de les imaginer contribuer à l’éclosion d’une nouvelle voie politique en Tunisie par exemple avec des risques évidents de mettre à mal leur propre pouvoir. La démocratie est un instrument parmi tant d’autres, une arme dont ils se serviront pour achever leurs rivaux politiques. Elle doit cesser d’exister  au profit de la seule voie voulue par Dieu et son Prophète pour les musulmans qui doivent se plier à sa seule volonté tels des esclaves obéissants à leurs maîtres. Hitler a banni la démocratie au nom du sang aryen, les islamistes la banniront au nom de la foi islamique.

Il n’y a que les naïfs, les faibles d’esprit, les lâches, les capitulards, les opportunistes, les vénaux, les collabos  et les corrompus façon Kamel Jendoubi, Mustapha Ben Jaâfar et le délateur pathologique Moncef Marzougui  qui s’imaginent que les islamistes vont abandonner leur armature djihadiste pour se muer en des démocrates convaincus et sincères. Il n’y a qu’une seule feuille de route qu’ils doivent suivre et imposer à tout le monde, c’est celle que leur a fixée le prophète : islamiser la terre toute entière et punir tous les récalcitrants à son message que le coran recommande leur extermination. La Shoah pour tous les non-musulmans ! Des sombres perspectives, en effet, qui se profilent à l’horizon, pires que celle qu’a connu le peuple juif et les minorités qui n’avaient pas les faveurs du nazisme.

A réécrire

le soubassement idéologique de cette secte mystico mafieuse d  en nahdha et sa haute toxicité sur l état de santé mentale des masses  et sa nocivité sur le devenir démocratique et civilisationnel des populations musulmanes frustrées des libertés  publiques, individuelles, cultuelles, confessionnelles, politiques au sens démocratique du terme depuis plus de 1400 ans. Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante  d un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement y compris celui de la pensée. Ainsi, l islamisme collaborationniste qui fait son retour fracassant entre autres sur la scène tunisienne a pour principale mission d assurer la propagation de ce syème totalitaire de caractère théocratique et  maintenir la population opprimée par l ancien régime despotique  par tous les moyens sous l emprise totale et absolue sous le joug wahabbite en les enserrant dans les mailles acérées du filet. La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur ls moyens pour dévoyer l esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens.  Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilté des damnés de la terre (les laissés pour compte de l ancien régime) et de la tendance facheuse chez certains à vendre leurs ames au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocrtique: soudoiement,corruption, exaltation de l ame musulmane, glorification de la splendeur islamqiue, libération de la Palestine, stigmatistion de la laicité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyennenté tunisienne, réinstauration de l oumma,  exorcisme, idolatrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, oukaze religieux, anathèmes, pogroms etc…Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer aini: nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d une part et d autre part verser l obole (bakchich) aux partisans.Dans un pays ou » la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays.   Les Tunisiens qui ont faitpourtant une REVOLTION POUR LEUR DIGNITE ET LEUR PROBITE SONT EN TRAIN DE VENDRE LEUR DIGNITE ET LEUR SOUVERAINETE  NATIONALE AUX AGENTS DU FASCISME JIHADSITE MONDIALISTE. ET VOILA COMMENT UNE REVOLUTION POUR LES LIBERTES ET LES DROITS FONDAMENTAUX DEVIENT UNE DEVOTION AU FASCISME THEOCRATQUE TEL QUE LE PROMEUVENT LES WAHABITES ET LEURS ALLIES  QATARIS ET AVEC LA COMPLICITE CRIMINELLLE (ASSIMILEE A UNE HAUTE TRAHISON QUI DOIT RELEVER DE LA COUR MARTIALE )  DE LEURS VASSAUX  LES TRATRES A LA NATION TUNISIENNE ET FELONS NAHDHAOUISTES ET LEUR LEADER GHANNOUCHI RACHID EX AGENT DU TERRORSIME JIHADSITE. AUX TRAITRES LES MAINS NAUSEABONDES. ILS SORTENT DU NEANT ET ILS Y RETOURNERONT SI LES TUNISIENS FONT DE LEUR VOTE UN VOTE POUR LA DIGNITE ET NON  UN VOTE POUR LA VASSILISATION DE LEUR PAYS LA PERTE DE LEUR SOUVERAINETE NATIONALE.

Mahomet, un fou à lier

Mohamed, l’imposteur et l’usurpateur, était-il il un schizophrène, un épileptique, un psychotique ou la combinaison des trois ?

Être secoué par des crises d’épilepsie et entendre des voix  sont symptomatiques de troubles  psychiques, neurologiques  et mentaux.

Au Moyen-Age et en Arabie pré-islamique, les hallucinations étaient  jugées comme des révélations  prophétiques.

On le dit  analphabète pour revêtir ces pseudos  d’un vernis divin et les faire passer pour un miracle qu’il ne l’est pas.

Dieu ou Allah lui parle, lil ne peut pas être l’auteur du Coran, il ne faut que mémoriser ce que Jibril lui a dicté et que lui-même a dicté à ses scribes.

Une sorte de miracle. Ne sachant pas lire comment peut-on avoir une certitude que ses scribes ont transcrit fidèlement cette parole dont il est le canal transmetteur ?

Il se contente de leur dicter  ces versets descendus du ciel comme disent les musulmans sans pouvoir vérifier quoi que ce soit, leur laissant toute la latitude de les édulcorer et les déformer.

Le Coran n’ayant jamais été validé par son transmetteur ni par son auteur, comment peut-on faire croire qu’il est incréé alors qu’il est sujet à caution ?

Un dieu alibi  de surcroît  de Mahomet comme disait  la petite  Aicha.

Si ce dieu  existait il n’aurait prefere des gens de la Bible et de la Torah, en les guidant a trouver et a chercher le paradis et le bohheur sur terre, pas l’abime sur terre comme chez les gens de la Chari3a!

La haine du Juif est dans l’ADN des Tunisiens

Il est douter que les électeurs d’Ennahdha et certainement de nombreux tunisiens de tous bords eussent été choqués de découvrir le passé collaborationniste nazi de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte dont le terroriste Rached Ghannouchi est un des principaux dirigeants.

En effet, il est de tradition en Tunisie comme dans tous les pays musulmans d’entretenir une sorte de culture antisémite qui puise ses sources dans le Coran lui-même et les Hadiths, sur laquelle leurs classes politiques ont greffé la cause palestinienne.  Comme si l’antisémitisme était un pilier de l’islam et un facteur de sympathie pour le nazisme. Et comme le faisait remarquer Boualem Sensall à propos des liens troubles entre le philonazisme et la haine du juif chez la majorité des musulmans « il y a des parallèles dangereux qui pourraient me valoir des ennuis » suite à la publication de son célèbre roman » Le Village de l Allemand » ou’ il décrivait parfaitement les l’existence de cette parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Il n’y a rien d étonnant à ce que plusieurs dignitaires nazis aient trouvé refuge au Moyen Orient principalement en Egypte dont beaucoup d’entre eux s’étaient convertis à l’Islam.  Au point qu’il n’est pas superflu de se demander si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour la rédaction de son torchon tant le nazisme semble être un pur produit de l’islam dans sa vision apocalyptique; génocidaire et raciste du monde. Que l’islamisme en l’occurrence l’islam fondamental opposable à tous les musulmans se soit rallié au nazisme en 1939-45 cela n’est qu’un aboutissement logique des choses. Il ne s’est pas contenté de se rallier au nazisme, il s’est fondu même dans son corps pour devenir une des multiples têtes de l’hydre nazie.

Mus tous les deux par les mêmes desseins hégémoniques  pour imposer au monde un nouvel ordre fondé sur la suprématie et la pureté absolue de leurs origines dans un cas c’est le sang et dans un autre c’est la foi afin d’édifier un Reich réservé exclusivement aux bien nés aryens et dans un autre une Oumma dédiée aux seuls fidèles musulmans. Régner sans partage sur le monde pour le soumettre à la dictature  de leur idéologie respective, en le nettoyant de tous ceux qui ne possèdent pas leur caractère ou susceptible de contrarier leur projet de conquête du monde.

L’enrégimentement des islamistes dans les corps des Waffen SS est la parfaite illustration  de la convergence idéologique entre les pires idéologies politiques de l’histoire universelle confortée par l’allégeance inconditionnelle au nazisme du Mufti al Husseini un des membres le plus en vue de la Confrérie des Frères musulmans  ainsi que de ses cofondateurs  Saïd Qoutb et Hassan al Bana, grand-père maternel  de Trek Ramadhan le caméléon et V.R.P; de l’islam « modéré » comme si le nazisme pouvait l’être, qui plus est se réclame de son héritage.

 L’islamisme qu’il soit djihadiste, wahhabite, salafiste et qoutbiste qui n’est en cas un dévoiement de l’islam alors qu’il est l’essence même et le visage expressif et fidèle,  prospère sur le même terreau  nauséabond que le nazisme: celui de la haine du Juif  qui est la raison essentielle  de leur idéologie ( Kuntzel : Jihad et haine des Juifs: islamisme, nazisme et racines du 11 septembre).  Leur stratégie politique actuelle qui les fait apparaitre comme un banal acteur dans le processus démocratique actuel en Egypte ou en Tunisie est un leurre. Leur but suprême reste la destruction de l’Etat juif d’Israël et l’islamisation du monde qui passe d’abord par la ré islamisation à marche forcée de leurs propres sociétés.  

Aussi bien les Qoutbistes égyptiens que tunisiens d’Eannahdha  avaient tenté tous les deux dans le passé de recourir à la terreur en vue d une prise de pouvoir mais sans réussite à l’instar des nazis en 1923.  Cette similitude entre eux et les hitlériens est un indice grave quant aux perspectives politiques qui se dessinent en Tunisie et en Egypte.

Le « processus démocratique » sous le haut patronage d’ Hussein Obama dont l’attitude bienveillante à l’égard de l’islam est inquiétante et ambigüe laisse perplexe quant aux capacités des islamistes d’ouvrer pour un idéal démocratique, alors que la démocratie est jugée comme un sacrilège au regard des dogmes de l’islam ne serait-ce de par sa nature humaine, alors que seule la Loi d’Allah doit gouverner la vie des hommes et ses origines non musulmanes et donc impures.et imparfaites. En se voulant des êtres parfaits comme leurs frères idéologiques nazis, les musulmans endoctrinés à haute dose n’accepteront jamais à des systèmes politiques qui ne portent pas la signature de l’islam. Eux qui doivent suivre qu’une seule feuille de route ne peuvent par conséquent appliquer un tout autre canevas qui ne soit pas conforme aux prescrits de l’islam et en parfaite adéquation avec le Coran, les Hadiths et la Sira.

Dans ces pays comme en Allemagne nazie autrefois, on assiste surtout à la renaissance de l’islam fondamental que tout musulman se doit de suivre, de défendre et de propager. Quand les islamistes se réclament de l’islam, ils ne commettent aucune hérésie théologique ou dogmatique. Ils ne font que rappeler à leurs coreligionnaires qu’il n’y a qu’un seul islam et ne pas s’y soumettre nuit à leur qualité de musulman et passible d’apostasie. Un musulman est un parfait subordonné à l’islam dans tous les actes de sa vie sociale, personnelle et politique, tout ce qu’il doit faire et réaliser ne doit pas échapper au contrôle de l’islam ni à l’encontre de ses intérêts, c’est pourquoi le vote ne doit avoir qu’un seul but favoriser la main mise totale de l’islam sur la vie des hommes, et comme n’ont pas manqué de le rappeler expressément les islamistes égyptiens et tunisiens à leurs coreligionnaires, la notion de compatriote est illicite dans l’islam, voter pour tout autre parti politique qui ne prône pas les vraies valeurs de l’islam c’est voter contre l’islam. Plus prosaïquement, le vote n’est rien d’autre que la manifestation d’allégeance à l’islam et le renforcement de son pouvoir sur la cité. Un djihad par les urnes de la démocratie électorale pour les transformer par la suite comme l’avait fait Hitler en urnes des cendres de la démocratie

Comme les nazis, les islamistes veulent faire du passé  et légendé la seule source à laquelle doivent s’abreuver leurs frères musulmans. Sortir le passé de l’ombre pour leur redonner leur lustre d’antan afin de faire triompher les idéaux musulmans aux quatre coins du monde. Obsédés par la renaissance de la splendeur fantasmée de l’islam pour rendre aux musulmans ce qu’Allah leur a promis : la gouvernance de l’univers dont les juifs et tous les autres les ont spoliés ainsi que les musulmans eux-mêmes qui s’étaient éloignés de la voie de l’islam.

Délirants sur le mythe de l’Arche perdue qu’il faut remettre à flot pour faire resplendir l’islam. Plutôt que de le faire ressusciter par le savoir et l’éducation, ils optent pour la voie de la violence et l’endoctrinement néfaste des populations. Ne tenant pas compte du retour du bâton car la violence et la haine engendrent toujours rejets et hostilités, même si l’adversaire se laisse aller dans un premier temps dans l’angélisme pacifiste, il finira par s’en lasser et recourir à des armes beaucoup plus redoutables et meurtrières que son ennemi. De surcroît l’ennemi islamiste qui n’est pas encore sorti de son Moyen Age contrairement en revanche à son cousin idéologique nazi vaincu lui aussi par sa propre haine.

 Les islamistes peuvent toujours se réjouir d’avoir gagné la bataille des urnes comme les nazis, mais au prix des fraudes massives, de la corruption, du laxisme coupable des organes de contrôle des élections, et profitant de leur promiscuité religieuse avec leurs coreligionnaires facilitée par l’état d’incurie intellectuelle et politique de ces derniers, mais qu’ils ne perdent pas de vue que cela les immunise guère contre la colère des hommes à force de semer les graines de la violence, élus d’Allah ou pas. La voix de la raison humaine finira par vaincre leur passion hystérique et leurs délires cosmiques et mégalomaniaques.

 les Révolutions arabes servent de catalyseur ou de marche-pied démocratique pour les clones nazis. Hitler a réussi son pari de conquete du pouvoir au moyen de la démocratie, tout indique que ses héritiers vont rééditer son exploit et s installer comme les vrais maitres absolus du jeu politique dans des pays en de délitement économique, intellectuel et social. Sans aucun repère en dehors de leur identité islamique qui est leur seul antidote à leur mal-être. Subséquemment, il est impossible aujourd hui de faire l économie d établir un tel parallèle entre les mouvements nazis et islamistes qoutbistes et surtout qu il est impérieux de ne pas retomber dans les entraves allemandes dans les anées 20 et 30. L expérience tragique allemande doit servir de leçons afin que le jeu démocrtatique  actuel n ait pas les effets pervers et ne débouche pas sur les memes horreurs passées. Aussi bien les qoutbistes tunisiens qu égyptiens n ont jamais fait mystère de la libération de la Palestine, que certains mettent à l actif du folklore islamiste, et de leur stigmatisation du sioniste, qui sous-entend en réalité le juif, est symptomatique de la résurgence de leurs racines nazies. D autres signes avant-coureurs non moins inquiétants est leur obséssion à lier nationalité et sentiment d appartenance religiuse qui n est pas non plus sans rappeler les lois raciales de Nuremberg de 1935. Leurs juifs sont incontestablement tous ceux qui n ont pas le caractère musulman tels que les Coptes, les démocrates, les athées, les progressistes, les humanistes, les homosexuels et les laiques. Est-ce un hasard si les qoutbistes tunisiens assimilent la laicité à une idéologie au point qu ils en font leur thème de campagne: la Tunisie est musulmane et non laique. Un slogan lourd de sens et annonciateur d un avenir sombre pour tous ceux qui n adhèrent pas à leur idéologie.    La meilleure illustration de cette collusion entre les deux mouvements obsédés par la haine de l autre et surtout du Juif et non du sioniste  en était le Grand  Mufti de Jérusalem Fayçal al Husein,  promu chef de division SS et divulgateur du message propagandiste nazi dans le monde musulman en 1939-45 et éminent membre de la Confrérie. Cet homme incarne à lui tout seul les liens fusionnels qui existent entre les deux idéologies. Il est permis de penser qu en chaque islamiste, il y a un nazi en puissance obsédé par la purification de sa foi de toutes les scories et influences extérieures qui dans leurs esprits renvoient aux juifs au demeurant l éternel comploteur et croque-mitaine que le Coran voue du reste à la Géhenne. Croire que les islamistes sont en train de faire leur mutation démocratique c est une grave erreur et une hérésie politique. Les islamiste – jusqu à preuve formelle du contarire- n ont guère renoncé à leurs fonds de commerce idéologique  et leur bellicisme officiellement ainsi qu exprimer sans ambiguité leurs profonds attachements aux valeurs universelles du respect total et absolu du juif, en l occurrence celui qui est différent d eux. Ils sont sur le chemin de la conquete démocratique du pouvoir, de leurs pouvoirs qu ils considèrent comme étant leurs biens propres qui leur revient de plein droit dont ils ont été spoliés dans le passé. Le processus démocratique présent n est  ainsi qu un concours de circonstance pacifique dont le seul but est de les rétablir dans leur mission de guidance de la cité musulmane. Une guidance qui s inscrit dans le strict cadre tracé par le Coran qui prohibe l existence au sein de cette cité d autres voies non marquées par le sceu du Coran. En d autres si la conquete du pouvoir passe ppar la voie démocratique dans unpremier temps, il est somme toute logique que cette voie s efface demain au profit de la seule voie voulue par Dieu et son Prophète pour les Musulmans. Hitler a banni la démocratie au nom du sang aryen, les islamistes la banniront au nom de la pureté islamique.                                                                                                                                                             Si je me permets cette digression historique c est surtout pour mettre en exergue  le soubassement idéologique de cette secte mystico mafieuse d  en nahdha et sa haute toxicité sur l état de santé mentale des masses  et sa nocivité sur le devenir démocratiue et civilisationnel des populations musulmanes frustrées des libertés  publiques, individuelles, cultuelles, confessionnelles, politiques au sens démocratique du terme depuis plus de 1400 ans. Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante  d un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement y compris celui de la pensée. Ainsi, l islamisme collaborationniste qui fait son retour fracassant entre autres sur la scène tunisienne a pour principale mission d assurer la propagation de ce syème totalitaire de caractère théocratique et  maintenir la population opprimée par l ancien régime despotique  par tous les moyens sous l emprise totale et absolue sous le joug wahabbite en les enserrant dans les mailles acérées du filet. La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur ls moyens pour dévoyer l esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens.  Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilté des damnés de la terre (les laissés pour compte de l ancien régime) et de la tendance facheuse chez certains à vendre leurs ames au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocrtique: soudoiement,corruption, exaltation de l ame musulmane, glorification de la splendeur islamqiue, libération de la Palestine, stigmatistion de la laicité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyennenté tunisienne, réinstauration de l oumma,  exorcisme, idolatrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, oukaze religieux, anathèmes, pogroms etc…Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer aini: nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d une part et d autre part verser l obole (bakchich) aux partisans.Dans un pays ou » la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays.   Les Tunisiens qui ont faitpourtant une REVOLTION POUR LEUR DIGNITE ET LEUR PROBITE SONT EN TRAIN DE VENDRE LEUR DIGNITE ET LEUR SOUVERAINETE  NATIONALE AUX AGENTS DU FASCISME JIHADSITE MONDIALISTE. ET VOILA COMMENT UNE REVOLUTION POUR LES LIBERTES ET LES DROITS FONDAMENTAUX DEVIENT UNE DEVOTION AU FASCISME THEOCRATQUE TEL QUE LE PROMEUVENT LES WAHABITES ET LEURS ALLIES  QATARIS ET AVEC LA COMPLICITE CRIMINELLLE (ASSIMILEE A UNE HAUTE TRAHISON QUI DOIT RELEVER DE LA COUR MARTIALE )  DE LEURS VASSAUX  LES TRATRES A LA NATION TUNISIENNE ET FELONS NAHDHAOUISTES ET LEUR LEADER GHANNOUCHI RACHID EX AGENT DU TERRORSIME JIHADSITE. AUX TRAITRES LES MAINS NAUSEABONDES. ILS SORTENT DU NEANT ET ILS Y RETOURNERONT SI LES TUNISIENS FONT DE LEUR VOTE UN VOTE POUR LA DIGNITE ET NON  UN VOTE POUR LA VASSILISATION DE LEUR PAYS LA PERTE DE LEUR SOUVERAINETE NATIONALE.

 

En ouvrant la porte aux musulmans l’Occident a déroulé le tapis rouge à la Charia

Peut-on au nom de la démocratie et des lois de la République octroyer un statut à des mouvements sectaires islamistes qui prônent la charia, cette porte ouverte aux abus de droit et aux injustices, voire de légitimation de crimes contre l’humanité ? 
Sais-t-on que toute mansuétude et bienveillance à l’égard des mouvements totalitaires et génocidaires équivaut à la reconnaître implicitement et contribuer progressivement à l’ instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’islamisme polymorphe qu’il soit jihadiste, salafiste ou qoutbiste frères musulmans ?
Comment nos sociétés démocratiques peuvent elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est d’utiliser les lois de la république pour mieux l’achever et substituer à des  lois humaines, fruits des assemblées démocratiques, une loi synonyme  de désordre  moral, d’injustice, d’arbitraire, de racisme, d’antisémitisme, de lapidation, de mutilation, d’amputation, de viol, de pédophilie, d’inquisition, de décapitation, de brimades, de sexisme érigé en dogme religieux, d’inégalités, d’avilissement et asservissement de la femme et de la négation de ses droits. Une loi qui donnerait aux lois raciales de Nüremberg des relents humains. Un véritable poison pour les droits de l’homme et des libertés publiques.
Comme si on oublie ou feint d oublier que la charia qui fait du musulman juge, partie et bourreau, est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses. C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion, brimades, harcèlement, violence, exaction, sévices sexuels, voire meurtre, autant de crimes et délits qui échapperont au couperet de la justice républicaine, au nom de l’exception des lois de l’islam et par conséquent de leur suprématie sur les lois républicaines confortant ainsi les musulmans dans leur mépris et rejet des lois non-musulmanes.
Avec elle, du monde des lumières, l’humanité plongera dans le monde des ténèbres. De l’ordre juridique de droit positif, elle  passe au désordre juridique et au règne de la loi du plus fort. Scellant le sort de la femme, de  de l autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains.
Admettre l usage de la charia dans les cités, c’est lui reconnaître un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de veto sur nos lois puisqu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi.
A moins d être maso, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied. Nul ne saurait affirmer que cette loi divine a toutes les caractéristiques d une loi. N importe quel croyant en l absence de clergé peut s ériger en législateur et l exécuteur selon l interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale.
Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l objet de toutes les spéculations interprétatives et l imprécises des règles susceptibles de l encadrer et la formuler. Le fait qu elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambiguë, sujette à caution et inapplicable. En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh: » c est un concept spirituel, donc synonyme d un cheminement personnel mais qui, à travers l histoire, couvre le travail des Ecoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites en Turquie, hanbalites en Arabie Saoudite, si bien que le droit musulman est varié et il n a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour. » Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ?
Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 Ecoles juridiques(madhahb) ne peut que susciter de sérieux doutes sur sa rationalité juridique.
Tout indique que la charia n est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu’elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétativité propre à chaque école.
Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation. Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensée théologique tels que Mu’atazalites et les Asharites, au VIIIème et IXème siècles, ne peuvent que le lever le voile sur l impossibilité de sa reformulation et de sa clarification.
Ce qui va de soi dans la mesure ou’ le peut rationaliser l’ irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence à une loi abscons, hyper subjective et apocryphe en lui accordant le statut d un code juridique soi-disant d essence divine supposé régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique.
Alors que dans notre système juridique non seulement nul n est au dessus des lois, mais surtout que nul n est exclu du champ de la loi.
L absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachées à la charia. Elle est davantage apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, o’ l on se doit de laisser la nature accomplir son oeuvre sans l intervention humaine pour la réguler ou la codifier.
Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman c est l homme, à sa proie, sa victime consentie sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu.
La charia est une loi scélérate et inhumaine pire encore que les  lois raciales nazies de 1935 où l’on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères de la pureté de sang, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seule l’interdit devient la norme et le permis devient l exception.
Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine et la passion hystérique déterminent le mode d’organisation sociale, familiale et interindividuelle.
L’homme qui est par définition un animal politique n’existe pas en tant que tel  dans les sociétés musulmanes, censé être dépourvu de pensée propre, jugé incapable de discernement, il est un exécutant de la volonté d’Allah,un simple morceau du puzzle musulman. Il ne s’appartient pas à lui-même, il est relié par un cordon ombilical à sa communauté.
C’est pourquoi, les prières collectives sont érigées sont essentielles dans la vie des musulmans. Elles sont supposées faire gagner aux croyants 29 marches vers le ciel à chaque prière.
Un musulman isolé de sa communauté est comme un poisson vivant hors de l’eau. Rendant ses chances de survie impossible. Pour sa propre pérennité, il doit s’agréger à un groupe de musulmans, qui lui sert de matrice pour pouvoir  vivre au sous les lois de l’islam.  Un musulman ne peut  pas concevoir de vivre sans les règles prescrites par sa religion, la charia  devient  la voie à suivre, une nécessité absolue pour adopter des normes de bonne conduite qui lui feraient toucher son Graal. Rejetant ainsi toute autre  loi qui n’a pas d’essence musulmane.
Un musulman digne de ce nom n’a de cesse que de préparer sur terre sa vie dans l’au-delà pour pouvoir jouir des 72 houris promis. Et ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont l’en détourner. La charia qui signifie en arabe le chemin de la félicité est son motus vivendi, il est ce fil conducteur entre lui et son démiurge. Toute rupture de ce fil le condamnera à la voie de l’enfer. C’est la sève qui le nourrit, s’en priver, c’est un sacrilège pour lui.
L’islam ne prescrit pas aux musulmans le respect des lois autres que les siennes,il leur impose de ne  reconnaître que ses seules lois celles édictées par la charia. Se considérant lui-même comme étant une loi élevée au-dessus des autres. De par son caractère suprématiste et essentialiste, il veut s’octroyer les privilèges du prince, obligeant ainsi les autres de répondre à ses exigences et non pas l’inverse.  Partout dans le monde, les musulmans veulent que ce soit toujours les autres de s’adapter à eux, quand bien même leurs moeurs, us et coutumes sont incompatibles avec les lois de leurs pays d’accueil.
 Comme il rêve de gouverner le monde, ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont le contrarier dans son projet. Au lieu de s’en prémunir comme de tout virus létal, les sociétés d’accueil ne savent pas qu’on lui ouvrant leurs fenêtres, il laisse entrer par la grande porte la charia, indissociable de l’islam puisqu’elle est sa source et sa substance nourricière.
L’islam est en quelque sorte le cheval de Troie de la charia. La France comme d’autres pays démocratiques se laissent prendre dans le jeu de leur angélisme béat  en croyant que l’islam n’est pas la charia, et que la charia est le mode de gouvernement de l’islam de la vie des musulmans.
Elle n’est pas qu’ incompatible avec les lois de la république et les valeurs de citoyenneté, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités.
En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’ article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains.
La charia qui fait de la femme une quasi-esclave, un objet dépourvu d existence propre, dépossédée de tous ses droits les plus élémentaires au profit de son tuteur de mari devra être éradiquée de la même façon que les lois nazies.
Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellations, bannissement, excommunication, le délit du blasphème, l’apostasie, l’esclavagisme, les rapts, les razzias, l inquisition, la pédophilie dans le sens des mariages pré pubères, le viol conjugal, l’homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc.
Son caractère machiste, ségrégationniste, discriminatoire, inégalitaire, raciste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice.
Ainsi une femme victime d abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d un viol à Dubaï et qui s est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon 2004).
Aux termes de cette loi canonique la femme a surtout des devoirs. Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille en cas d absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d insoumission et le Châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet). La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes. L’éternel bouc-émissaire de tous les maux incurables qui frappent les musulmans depuis 1435 ans.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l état d objet sexuel dont la seule fonction sociale est d assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme) Le corps de la femme n est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l homme qu’il pourra labourer qu’il pourra labourer à volonté. Le mariage n est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune pérenne comme dans notre droit positif.
La charia qui fait de la polygamie son mode d’expression majeure et donc de la femme un bien marchande de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit de veto, l’immunisant contre toutes tentatives velléitaires de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable: le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure et en l absence de motif valable et sérieux.
A supposer qu’il y en ait mais mais il est l’aisé à l’entière appréciation de l’homme, seul procureur, juge et partie dans le cas d espèce sans que les droits de la défense soient reconnus du fait qu’il détient aux termes de la charia un droit de prééminence sur la femme, son obligée inconditionnelle, sa chose, est souverain, il jouit d’un pouvoir totalitaire qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme qui n’est pas en droit d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation.
De même que la charia fait interdiction absolue à un homme marié à une non musulmane d’élever ses enfants dans une autre religion que la sienne.
L’enfant est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n est rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit des femmes au  profit de son maître-esclavagiste sous couvert du sacré.

Le vrai péril pour l’humanité est moins l’islam que les musulmans toutes tendances confondues

Plutôt que de jouer à la vierge effarouchée et de crier au loup niant les évidences comme un meurtrier accablé par les preuves mais qui proclame  haut et fort son innocence pour réfuter les lourdes accusations qui pèsent sur lui, les musulmans doivent plus jamais apprendre à se remettre en question et  se regarder dans le miroir de la vérité.
En sont-ils capables ou en ont-ils envie ? Ni l’un ni l’autre, les musulmans n’existent que dans le déni de la réalité et le mensonge érigé en vérité absolue. Allergiques et réfractaires au débat contradictoire qu’ils considèrent comme une offense à l’islam, que Dieu aurait placé au sommet de l’Everest des religions, il leur est intolérable comme chez tout schizoïde-paranoïde que leurs contradicteurs en qui ils voient des ennemis potentiels n’adhèrent pas à leur idéal religieux.
Pour eux aucun dialogue n’est par conséquent de mise avec des êtres que le dieu de l’islam juge comme des insolents voués aux bûchers de l’enfer. Entendre une voix discordante par rapport à la leur devient un véritable supplice que rien ne peut calmer que le supplice de l’outrecuidant.
D’où le recours systématique à la violence comme si elle était leur seul moyen d’argumentation. Comme tout sujet atteint de troubles psychotiques, les musulmans ont une peur phobique  d’être dérangés dans leurs certitudes, qui se manifeste souvent par des crises de démence collective, se terminant de plus en plus dans des bains de sang.
Mais en dépit des évidences qui ne doivent souffrir d’aucune contestation tellement les déchaînements de la terreur sont la marque de fabrique de leur religion, les musulmans persistent et signent dans leur refus de faire leur propre examen de conscience, procédure nécessaire pour toucher eux-mêmes du doigt les sources du mal dont ils s’abreuvent et qui constituent la substance même de leur religion qui a fait de la terreur, le djihad, un de ses piliers, laissant apparaître l’islam davantage comme une banale doctrine politique qui instrumentalise le fait religieux à des fins hégémoniques totalitaires et liberticides qu’à une religion proprement dit.
Quand on fait de la terreur, ne dit-on pas que e paradis est à l’ombre de l’épée , une obligation cultuelle et donc le seul motus vivendi pour les fidèles, ceux qui appliquent scrupuleusement et dogmatiquement les préceptes de l’islam, il est difficile de voir en l’islam une véritable pensée spirituelle offrant à l’homme les conditions d’une vie apaisée et pacifique où l’action humaine n’est pas destinée à la négation de la vie elle-même.
Une religion qui inocule à  ses fidèles à le virus de la négation de toute forme de vie et qui sanctifie et exalte la violence contre soi et autrui est tout sauf une culture de la vie.
En réalité, l’islam est une véritable imposture religieuse,  il est le comme le nazisme un néo paganisme obsédé par l’anéantissement définitif du judéo-christianisme. En tant qu’enfant rejeté par les parents dont ils se réclament en l’occurrence le judaïsme et le christianisme, son immense frustration ne sera apaisée tant qu’il ne les aura pas tués pour qu’il puisse se revendiquer comme étant le seul maître du monothéisme. Ainsi, il a beau se prévaloir d’une prétendue d’un filiation brahmanique,  mais sans que cela lui confère une quelconque légitimité aux yeux de ces parents qui ne veulent pas de lui.
frustré de ne pas bénéficier de la légitimité biblique, il fait de la violence son seul mode d’expression pour s’affirmer et exister sur la scène des religions.
Comme il est utopique et suranné de voir en lui un facteur de paix et de sécurité dans le monde alors qu’il est incapable de l’être pour ses propres croyants minés par les conflits confessionnels et le schisme depuis la mort de leur prophète autoproclamé qui faisait de l’épée sa seule force de persuasion..
Une religion fragilisée jusqu’à l’épuisement  par les dissensions chroniques et les querelles intestines n’a pas  les ressources intellectuelles et psychologiques pour freiner les ardeurs velléitaires de ses fidèles surtout qu’elle en est elle-même  le catalyseur et l’instigatrice.
Les musulmans ont beau se voiler la face et se draper dans les habits de la vertu oubliant que les apparences sont souvent trompeuses laque pour ses propres disciples culte de sa que l’on ne fait pas des signes ostentatoires  et des stéréotypes vestimentaires un symbole de piété et d’infaillibilité des dogmes de leur foi.
Une religion qui fait du camouflage un rituel religieux, est la preuve qu’elle a peur de se livrer elle-même au regard du monde extérieur, celui qu’elle stigmatise tant et dénigre parce qu’elle n’a pas le courage de l’affronter à la loyale et qu’elle préfère toujours l’attaquer par surprise en semant la terreur au sein de sa population.
En voulant s’enfermer dans l’obscurité comme elle enferme ses femmes elle témoigne de l’esprit obscurantiste et ténébreux qui est le sien.
L’islam n’est ni dénaturé ni défiguré, il se cache surtout  derrière le voile opaque mystificateur qui lui permet de de ne pas se trouver sur le banc des idéologies de l’infamie humaine comme le nazisme.  Pour sa défense, il se prévaut d’une hypothétique filiation avec le christianisme et le judaïsme afin de pouvoir bénéficier d’une certaine bienveillance et légitimité,  même si sa grande frustration est de ne pas avoir le statut de religion biblique, alors que la théologie musulmane manque cruellement de cohérence interne et de fil conducteur.
Que les musulmans apprennent enfin à se poser les vraies questions sur la nature hybride et fantasmagorique de l’islam, au lieu de s’enflammer au moindre regard réprobateur de leur comportement ou se réfugier derrière le bouclier du sacré pour empêcher tout travail d’analyse et d’introspection de leur religion qu’ils sont incapables de réaliser eux-mêmes ?
Pourquoi cette religion a-t-elle outrepassé de son rôle de religion pour devenir un sujet d’actualité funeste et morbide alors que le rôle de la religion est justement pas d’être un sujet d’histoire alimentant les discussions des cafés de commerce ? Pourquoi occupe-t-elle aujourd’hui la rubrique des faits divers des médias ?
Pourquoi depuis les attentats du 11 septembre 2001 son nom est accolé à la barbarie terroriste ?
Pourquoi le nom de l’islam se trouve être associé malgré lui ou avec son plein assentiment aux années de braise terroriste en Algérie et au génocide du sud du Soudan ?
Pourquoi ses propres enfants, ceux qui militent pour un islam prosélyte activiste et hégémonique, ont rendu cette religion synonyme d homélie funèbre et de requiem pour les défunts, continuent ils en toute impunité, voire un silence d adhésion et regarder avec mansuétude, à alimenter et nourrir les phobies anti-musulmanes ?
Pourquoi l islam est assimilé à la violence urbaine, à la terreur barbare, à l archaïsme et aux atteintes dégradantes et inhumaines à la condition féminine ?
La réalité des faits est implacable, elle ne relève d aucune campagne de dénigrement ou de discrédit à l égard de l’islam.
Au lieu de contribuer à l’amélioration de l’image de leur religion et de la rendre plus rassurante et pacifique, ils continuent à lui creuser les sillons de la voie de la barbarie humaine.
A promouvoir une image de frayeur et de terreur dans laquelle ne se reconnait pas la majorité musulmane mais qui par indolence, par couardise et apathie se résigne à laisser une minorité agissante et ultra violente s ériger en nouveaux messies et seigneurs de la guerre sainte.
Autant, cette majorité est tétanisée et inhibée par les pratiques idolâtres et contraires aux dogmes de l islam, autant elle s’émeut, s’agite et s’embrase dès qu’elle considère que l’on a cherché à bafouer sa foi.
Cette ambivalence à la limite de la schizophrénie est symptomatique de leur incapacité pathologique à inscrire leur religion dans la modernité.A n en pas douter, les vrais ennemis de l’islam, ce n’est ni Wafa Sultan, ni Salman Rushdie ni Salima Tasheen et encore moins Naguib Mahfoudh ou Taha Houssein, voire Mohamed Talbi, qui servent plutôt de bouc-émissaires aux activistes islamistes afin de détourner l’attention de leurs coreligionnaires sur leur  entreprise de démolition de la religion elle même.
La vraie guerre contre  l’islam est l’oeuvre de ses propres enfants pyromanes comme c’est le cas en Syrie.
Ce sont eux les vrais ennemis de la religion musulmane, ils prospèrent en toute impunité son sein et qui veulent tuer Dieu et le prophète pour s emparer de la boite de Pandore afin régner sur la cité.
Une cité peuplée de renégats sans foi ni loi. Imbus d eux mêmes et puisant leurs forces dans leur dogmatisme idéologique, ils ne se rendent pas compte que de par leur attitude troublante et ambiguë, leurs dérives sectaires et leur prosélytisme ultra agressif,  les atteintes à l’ordre public, les intimidations et agitations hystériques, les menaces iconoclastes, la violation de  l’espace public en le transformant en lieux de prières, ils deviennent les alliés objectifs des islamophobes ?
Et ce n’est pas en criant à la vengeance pour laver l’affront fait à leur religion qu’ ils vont rassurer tous ceux et celles qui s inquiètent légitimement du spectre de la terreur brandi par une minorité de musulmans ?
Les mêmes inquiétudes sont ravivées chez les musulmans qui vivent l’islam pourtant depuis des 1400 ans mais qui ont peur de vivre dans l’islam contraignant et étouffant  comme c’est le cas des tunisiens ou’ il existe aujourd’hui parmi eux des courants quelque peu réticents et à l’i’slam tant dans son expression politique que spirituelle.
La Révolution tunisienne a levé le voile sur un pan de  l’islam fort méconnu c est que tous les Musulmans n’ aspirent pas à vivre leur soi-disant islamité dans toute sa plénitude dans leurs propres sociétés.
Ce sentiment de rejet est renforcé par la montée du péril islamiste qui se veut le maître absolu de la vie dans la cité jusqu’aux alcôves.
Peut-être qu’il reviendrait au monde non- musulman d’aider les musulmans de sortir de l’islam comme l’avait suggéré autrefois E. Renan ? l

Pauvre Tunisie qui a fait des bouffons maîtres de son destin politique

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Légitime ? Non ! Illégitime ? Oui ! Mais te voilà au faîte de la gloire, président d’opérette contre toute attente.

Grâce à tes entregents islamistes et ta servilité légendaire, le Raspoutine tunisien, celui qui vient d’endosser les habits sinistres de fossoyeur-égoutier des fosses septiques wahhabites, t’a offert sur un plateau de sang et de larmes les ors de la République tunisienne après t’avoir gratifié de ton premier PC portable.  Toi qui connais mieux que quiconque  en ta qualité de médecin et de malade-interné la définition de cette pathologie mental, tous tes rêves les plus fous sont exaucés au grand malheur des tunisiens.

Arrogant et arriviste, opportuniste, rapace,  parasite, pique-assiette, sans gêne et sans foi ni loi, après avoir profité de la générosité de tes amis parisiens et de l’accueil de la République française sur laquelle, tu as osé cracher alors que tu étais en plein délire psychotique, tu profites de la misère, après avoir tourné le dos à la tienne, d’un peuple affamé et exsangue. Insatiable, gargantuesque, glouton et jamais repu comme tes maîtres-esclavagistes, tu te nourris injustement et sans vergogne des fruits que Bourguiba a laissés en héritage à son peuple et que le 17 décembre 2012 lors de la cérémonie de l’exploitation éhontée de la mémoire de Mohamed Bouazizi ‘as poussé l’outrecuidance de l’ingratitude de le traiter de dictateur. Alors que sans lui, tu n’aurais jamais eu le bonheur de passer du statut de colonisé au statut de décolonisé. Complexé et souffrant de graves troubles bipolaires qui t’ont valu des séjours dans les asiles psychiatriques parisiens au frais du contribuable français, connu pour tes troubles psycho-affectifs, de l’instabilité de l’humeur et de personnalité comme tous tes semblables sortis du néant à l’incurie intellectuelle  inversement proportionnelle à leur boulimie de pouvoir, tu te comportes comme si tu étais le nouvel Hannibal de Carthage, alors que tu n’es rien d’autre qu’un homme de paille, un godillot au service de ses maîtres. Tu es un vulgaire potiche de cet Emir -pachyderme qui se rêve en Calife. Tu es son fidèle serviteur comme son lieutenant local des basses besognes R; Ghannouchi mais avec un rang subalterne.

T’a rabaissé et avili l’image du peuple tunisien, en lui faisant la courbette et te prosternant devant lui, acceptant sans rechigner ses remarques désobligeantes sur le port de ton accoutrement carnavalesque, et surtout ses rappels à l’ordre et le respect que que le serf, plutôt l’esclave, doit à son seigneur. La Tunisie ce n’est pas toi, c’est lui, et c’est tout le drame de notre pays. Mais comme tout mercenaire en mission commandée, tu dois exécuter les ordres que tes commanditaires t’assignent. T’es son chien de garde, tenu en laisse et muselé afin que tu ne lui mordes pas la main de cet Emir qui a fait de toi son sous-émir tunisien. Il connaît ton tempérament et ton caractère versatile et ton retournement de veste. Tu as fabulé sur tes relations tumultueuses avec Ben Alialors que c’est lui qui t’a fait exister pour t’ériger en chef de fil de son opposition de salon, qui lui sert d’alibi démocratique. Alors que tu lui as toujours servi de faire-valoir et de figurant pour son pluralisme politique. Tu as mythifié ton exil en France, à l’instar de cet homme qui a menti sur ses diplômes, en faisant croire que tu étais un exilé politique, alors que tu es un exilé familial, marié à une ressortissante française. Après avoir vécu à ses crochets, tu l’as « répudiée » comme une pestiférée.

Tu voulais effacer d’un seul trait de plume l’amertume de ton séjour parisien, tes échecs professionnels, tes galères matérielles, tes infortunes, tes beuveries dans les bars du quartier latin, ta vie de bohème à squatter les amis, tel cet ami que nous avons en commun et qui attend toujours à ce que tu viennes le débarrasser de ta trousse de toilette. Pris dans le tourbillon du pouvoir, tu t’es déconnecté de ton propre vécu pour te noyer dans le calice du vin amer du raisin de la colère qui couve en Tunisie et qui finira par t’engloutir toi et tes complices comme il a englouti tous ceux qui l’on trahie. Les habits de lumière dans lesquels tes maîtres t’ont drapé qui masquent ton âme noire et ta personnalité obscure finiront par se ternir et devenir ton linceul sombre dans lequel tu seras un jour enseveli. Ta profession pathétique de foi sur ta conversion à l’Islam d’Ennahdha, comme si tu n’étais pas sa créature et son faux-nez, ne trompe personne comme le sésame que tu lui as accordé pour sa prétendue conversion à la démocratie, allant jusqu’à l’assimiler à un parti démocrate-chrétien. Sais-tu au moins de quoi tu parles, à moins que la nouvelle boisson distillée dans les caves du Palais de Carthage t’ait fait perdre définitivement la raison.

Ennahdha n’est pas un parti politique, c’est une organisation mafieuse de type sectaire. Plus proche de l’Eglise de Scientologie et du Temple Solaire mais de  tendance criminelle, terroriste, milicienne, messianique et raciste. Lui donner les apparats d’un parti politique est tout simplement une hérésie.Tu te sers de la laïcité comme tes maîtres se servent d’Allah pour dévoyer et transfigurer les dogmes de l’Islam. Sois homme, loyal, patriote et respectueux du bien public et tu auras la médaille de la dignité nationale, mais je crains que tu n’ aies pas les capacités pour y arriver. T’as déshonoré ce haut lieu de la noble république  tunisienne en le transformant en une cour de récréation pour la réception des prédicateurs-mercenaires-gourous et l’organisation de cérémonies iniatiquies pour les macchabées-women cornaquées par le Coran. Là où Bourguiba et son successeur décernait des tableaux d’honneur aux enfants méritants de la République. Toi président de la République ? Autant promouvoir Jha Empereur de Chine. Ton vaudeville guignolesque a trop amusé la galerie et t’attirer les foudres du public, pas plus tard qu’hier à Sidi Bouzid où tu avais été lapidé comme on les pélerins lapident Satan à la Mecque.  N’est-il pas temps pour toi de te tirer ta révérence et de retourner dans le néant d’où tu es sorti ?

Autant, il t’a été aisé de gravir les marches du palais au tapis tâché du sang tunisien que toi et tes congénères ont sali et profané, autant tu ne pourras jamais graver ton nom comme Bourguiba que tu vomis, ce qui va de soi de la part d’un rejeton d’un père collabo, dans le marbre de lla dignité nationale. A cause de tes bouffonneries, ton esprit charlatanesque, tes allures de poulbot embourgeoisé, et surtout tes inertie et ton manque de charisme, tu fais regretter aux tunisiens l’ancien despote déchu.  T’es qu’une brebis perdue dans la jungle inhumaine du nouveau Tunisiastan à attendre son tour pour servir de mets aux vautours voraces qui peuplent le ciel tunisien. Ils se servent de toi comme un appât pour attirer les niais et les crédules de ton espèce pour les prendre au piège de l’islamisme-social-démocrate, alors qu’il est national-socialiste plutôt nazi que mussollinien. Tes maîtres malveillants pour la Tunisie font de toi une poule faisant le coq dans une basse-cour, alors que tu n’as même pas l’envergure d’un volatil. Naïf, méprisant, indifférent, insensible, dépourvu de patriotisme, imbu de ta personne, girouette, tartour et irresponsable  tu regardes béatement la descente inexorable de ton pays dans les fosses septiques de l’ignominie et de la félonie en fidèle héritier de ton père qui a fait le choix du défendre le colonisateur plutôt que le colonisé. Il y a aussi ton salaire princier octroyé à vie, ta vie ubuesque et burlesque de château, d’amuseur des foules,  de chérubin dans un jardin d’enfants, et tous les privilèges monarquaux y afférents  qui te tournent la tête et pour lesquels tu es prêt à te muer en charognard avide de chair humaine et assoiffé de sang humain tel ton faiseur de sous-Emir R. Ghannouchi celui-même qui reproche aux morts et blessés de l’insurrection tunisienne d’avoir choisi d’affronter délibérément les balles des mercenaires payés par votre maître-esclavagiste qatarien. Toi comme tes acolytes et antipatriotes, vous avez surtout le courage de votre lâcheté et de l’appât de gain trop facile. Je te rappelle ce ver du grand poète Chabbi en guise de conclusion : ne vivra pas en Tunisie celui qui la trahira. Président de paillette avant de finir en goguette.