Le monde n’en aura pas fini avec la barbarie musulmane

Qui peut affirmer avec certitude que le rêve du Califat mondial  musulman est mort et enterré avec la « débâcle militaire » des islamistes en Irak et en Syrie ?

D’autres utopistes prendront un jour le relais pour sortir des décombres le serpent de mer du Califat musulman.

Le monde n’est pas au bout de son cauchemar ni ne semble pas avoir conscience du danger néfaste d’un Califat musulman dont les minorités chrétiennes et ethniques du Proche-Orient en ont fait les frais.

Daech a beau être vaincu et encore, mais l’utopie du Califat a la vie dure et lui aura survécu en attendant qu’une autre organisation lui donne corps un jour.

Elle est inscrite dans l’ADN idéologique musulman. La page de Daech n’est pas définitivement tournée et finira tôt ou tard par resurgir tel un démon sur la scène mondiale.

Les musulmans n’ont jamais digéré la fin humiliante du Califat ottoman en 1924 et ne cessent de ruminer leur rancœur contre l’Occident, artisan de sa mise à mort.

Aussi, contrairement aux dénégations mensongères  des musulmans qui n’ont de modéré que le masque de l’hypocrisie, la tentative de Daech de restaurer un nouveau Califat n’est en aucune manière un épiphénomène, une aventure sans lendemain téléguidée par des forces occultes pour nuire à l’islam, elle porte en elle tous les germes des velléités hégémoniques et impérialistes de l’islam.

L’histoire des 6 Califats musulmans est marquée par quelques uns des plus grands génocides de tous les temps. Elle s’est terminée avec celle des Arméniens, des Grecs et des Assyriens. Deach n’a fait que s’inscrire dans la continuité des scénarios génocidaires islamiques.
Il n’a en rien transgressé la trame de cette histoire, il a plutôt remis en scène le sort tragique des minorités ethniques et religieuses qui ont croisé la route de l’islam conquérant.

Une histoire jalonnée de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité qui puisent leurs fondements idéologiques dans Coran lui-même et la Sira de Mahomet.
L’islam est la paix au fil de l’épée.

Les islamistes ne sont pas un virus inoculé par une main étrangère dans le corps musulman, ils sont les forces vives de l’islam, sa moelle épinière, ses fers de lance et ses combattants les plus dévoués et déterminés pour imposer par tous les moyens sa loi aux quatre coins de la terre afin d’instaurer un Califat mondial.

Les événements du Levant sont le prélude de ce fameux Califat.

Si Daech était arrivé à ses fins en créant un Califat régional, il aurait provoqué une onde de choc dans le monde musulman qui aurait sonné le réveil du mythe du Califat condition sine-qua-non à la renaissance islamique.

Le Califat moteur de la résurrection de la splendeur de l’islam conquérant et dominateur.

Même si tous les musulmans ne sont pas islamistes mais tous croient dur comme fer que seule une oumma musulmane guidée par un souverain qui allie le pouvoir temporel et spirituel peut redonner à l’islam son lustre d’antan.

Le danger avec la réussite d’un Califat régional est l’essaimage qu’il risque d’entraîner et de voir ainsi Daech servir de  locomotive à la création de nouveaux califats locaux jusqu’au jour où ils finissent par s’unir tous entre eux et partir à l’assaut du monde non-musulman où les islamistes  disposent déjà de cellules dormantes qui tôt ou tard se mettront en action pour lui mener une guerre intérieure.

L’utopie du Califat islamique nouurit les fantasmes de tous les musulmans, c’est pourquoi on les imagine mal se boucher les oreilles aux chants de sirène entonnés par Daech  en Syrie et eb Irak et qui expliquent en partie les complicités dont il a bénéficiées chez les Sunnites.

Si le Reich est mort avec le nazisme, le Califat perdurera tant que perdure l’islam.

C’est la faute aux musulmans eux-mêmes si l’islam suscite peurs et rejets

Peut-on avoir du respect pour des gens qui voient en nous des pestiférés parce que nous sommes dans le refus de leur dogme ? En toute évidence, c’est non et mille fois non. Un non ferme et définitif. Pas de respect pour ceux qui prennent notre respect pour un du.

Quelle empathie peut-on avoir à leur égard alors qu’ils n’éprouvent aucune compassion pour les victimes des attentats terroristes perpétrés par les leurs, qui suivent à la lettre les préceptes coraniques et la Sunna mahométane ?

Comme si, croire ce en quoi ils croient était une chance pour nous. Quand bien ce serait le cas, libre à nous de ne pas le croire.
Si le salut des hommes était dans leur soumission, ils ne seraient pas les derniers de la classe humaine.

S’ils en sont là aujourd’hui, c’est à cause des freins religieux qui mutilent leurs énergies créatrices et paralysent leurs actions.

Ils sont comme un toxicomane qui vante les bienfaits de sa drogue, inconscient de ses effets néfastes sur son propre état.

Ils sont tellement sous l’emprise de l’islam, à force de le consommer à forte dose du lever au coucher, voire pendant leur sommeil, depuis leur stade fœtal jusqu’à la tombe, qu’ils ont perdu tout contrôle de leurs pensées et n’ont plus de volonté propre.

Allah est à la manœuvre de leur vie et eux agissent comme des O.S. au temps des roulements à billes, répétant inlassablement les mêmes gestes.

Programmés mentalement et conditionnés idéologiquement à ne faire que ce qu’Allah leur ordonne.

Aucun recul intellectuel pour évaluer les conséquences de leurs actes.

Dépourvus de tout sens critique, fermés à la voix de la raison et murés dans leurs certitudes comme un fou convaincu qu’il est le Christ en personne.

Un musulman qui raisonne et réfléchit sur le vrai sens de l’islam cesse d’être musulman.

Totalement déconnectés de leur propre vie, ils ne peuvent imaginer le monde autrement que par et pour l’islam. C’est devenu pour eux un véritable organe vital.

En le perdant, ils perdent l’espoir de toucher leur Graal paradisiaque – qui est la pire des choses qui puisse leur arriver.
Pris dans le tourbillon de la peur de l’enfer, ils font de leur vie un enfer sur terre.

Ils se plaignent de l’hostilité grandissante à l’égard de leur religion (qui s’apparente à la famille du bolchevisme et du nazisme), mais à supposer qu’elle subisse cette hostilité, pourquoi se montre-t-elle si agressive, arrogante, exhibitionniste, violente, terrifiante, envahissante, expansionniste ? Pourquoi ses membres s’illustrent-ils par les transgressions des lois de leurs pays d’accueil ?

On juge un arbre à ses fruits. Or, l’arbre musulman est bien loin de donner des fruits propres à la consommation humaine. Comme si on avait planté un arbre fruitier sur un site contaminé.

Le mot islam est devenu une source de peur irrationnelle à cause des images cauchemardesques et angoissantes qu’il envoie de lui-même quotidiennement. Son nom est évocateur de crimes terroristes.

Que les musulmans apprennent à regarder la réalité en face et cessent de crier au complot contre l’islam – le seul complot est celui orchestré par l’islam depuis son avènement. Des rivières de sang et des centaines de millions de vies humaines fauchées sur son chemin.

Ne laissant aucune trace de vie à chacun de ses passages. Pire que le Napalm.
L’islam ne dominera pas le monde : il sera son fossoyeur si rien n’est fait pour l’arrêter dans ses avancées dévastatrices.

Il n’a pas plus de vertus morales que les sectes sataniques, n’est certainement pas un rempart contre la dépravation et la luxure, ni un antidote aux maux de l’humanité.

Est-ce la faute aux détracteurs de l’islam ou la leur si l’islam a le visage de la barbarie humaine ?

Que font les musulmans pour l’humaniser et le pacifier ? Rien! En revanche, ils préfèrent nous saouler avec leur sempiternel refrain « ce n’est pas ça l’islam », alors que l’islam est à la paix ce que le nazisme est à l’humanisme.
L’islam est bien pire qu’ils ne puissent l’imaginer eux-mêmes. On ne peut modifier son ADN.

Ce n’est pas de l’islamophobie – qui est une pathologie psychique qui ne relève guère du Code pénal – que de dénoncer le caractère mortifère de leur dogme qui porte en lui tous les germes destructeurs de la vie sur terre.
Quel vivre ensemble peut-on envisager avec les partisans d’une idéologie suprémaciste, liberticide, hégémonique et intolérante ?

Comment œuvrer pour le bien commun de l’humanité avec des gens qui se prennent pour son nombril et son essence, pour qui il n’y a de vérité que dans l’islam, où toute autre vérité en dehors de la sienne doit être combattue à mort ?

Ils se disent à l’origine de tout sans avoir jamais rien apporté de concret et de positif au reste du monde. Ils sont les premiers à bénéficier des bienfaits apportés par les autres.

Ils n’ont qu’un but, faire tomber le monde dans l’escarcelle de l’islam, pour lui imposer la loi scélérate et criminelle de la Charia.

Leur curseur mental est bloqué en l’an 622, ils ne rêvent que d’une chose : y retourner en empruntant la route humaine à contre-sens, et qu’importent les dégâts provoqués.

En quoi est-ce un délit que de faire tomber le masque d’une idéologie qui instrumentalise le sacré à des fins politiques pour dominer le monde ?
Je ne suis pas un benêt ni atteint de je ne sais quel syndrome, pour éprouver une quelconque sympathie à leur égard.

Je ne combats pas la haine avec la haine, ce serait nourrir leur fonds de commerce de victimisation pathétique. Il est de mon devoir de faire tomber le masque de l’ange de la mort dont ils affublent leur culte.

Si ces gens avaient la culture de l’amour, ils ne se tueraient pas entre eux et ne feraient pas de la mort du non-musulman un idéal pour gagner leur funeste bordel dans l’au-delà.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Le terroriste jamais repenti Rached Ghannouchi prochain président de la Tunisie ?

 

L’hypothèse de Ghannouchi,l’homme qui se rêve en petit Führer d’un mini Reich accommodé à la sauce islamiste, président de la République tunisienne en 2019 est très vraisemblable.

En effet, sa victoire sera la résultante du raz de marée d’Ennahdha aux Municipales et aux Législatives.

Aucun des partis politiques ne fait le poids devant elle, pour la plupart inaudibles, inexistants et bénéficiant d’une faible notoriété. Seule une coalition de toutes les forces du progrès pourrait la gêner dans son projet  d’O.P.A. définitive sur le pays, il est à douter qu’elles puissent laisser de côté leurs querelles d’ego et se positionner comme le chevalier blanc tant espéré. Alors qu’Ennahdha est le seul mouvement politique dans ce pays huilé comme une machine, qui avance comme un seul homme avec un leader qui mène tout le monde à la baguette, parfaitement organisé et structuré et disposant des moyens financiers colossaux pour corrompre les électeurs tunisiens sensibles aux arguments sonnants et trébuchants.

Nonobstant le fait qu’elle a mis la main sur l’I.S.I;E. qui saura  fermer l’œil sur les irrégularités qui entacheront les élections comme en 2012 où tous les recours d’invalidation ont été sans effets. Peu importe son lourd passé terroriste, son échec retentissant dans la conduite des affaires du pays en 2012-2013 et son implication dans l’envoi des milliers de djihadistes  en Syrie, elle semble au-dessus des lois, et confortée dans sa toute-puissance. Plutôt que la voir mise hors course dans le paysage politique tunisien, Ennahdha apparaît comme la seule maîtresse du jeu politique et pas seulement du pays. Elle a beau œuvrer contre la souveraineté nationale au profit du Qatar, la Turquie et l Arabie Saoudite, et être mise en cause dans les assassinats politiques qui ont éma  la classe populaire      son assise populaire assez forte, implantée dans une grande partie des mosquées,  d’un réseau caritatif et associatif très actif dans les cités défavorisées, et surtout qu’elle a mis sous sa coupe les principaux acteurs de la vie économique, sociale, sanitaire, religieuse et éducative du pays y compris le marché noir.

Les Tunisiens doivent faire leur deuil de l’éviction d’Ennahdha de la scène politique nationale.

Elle a su manœuvrer habilement en laissant les rênes du pouvoir à Nida Tounes. En effet, sachant que le temps joue en sa faveur et n’étant pas tout à faite prête pour mettre le pays sous sa coupe réglée le plus démocratiquement au monde, elle a préféré laisser le soin à Nida Tounes pour mieux l’achever de se prendre les pieds au tapis et de se brûler définitivement les ailes de telle sorte qu’elle puisse apparaître aux yeux des électeurs tunisiens comme le seul recours crédible et possible pour la conduite des affaires. Elle n’aura plus besoin de corrompre les électeurs comme en 2012.

Nida Tounes dont l’audience électorale va retomber comme un soufflé après avoir incarné en 2014 l’espoir des laïques et de la société civile, les autres partis inexistants, des électeurs plus soucieux du repos de leurs âmes que de l’avenir de leur pays et d’autres démotivés par l’incurie de l’offre politique, du pain béni pour elle pour récupérer par les urnes son butin tunisien qu’elle n’a en réalité jamais abandonné.

Mais de peur de subir le même sort que les islamistes égyptiens, elle a fait semblant de jouer se retirer des devants de la scène afin qu’elle puisse retrouver un nouveau souffle et laisser passer la colère qui couvait au pays. Elle a fait en sorte pour que Nida puisse devenir la tête de Turc des Tunisiens. Une victoire prélude de sa fin. Ainsi Nida Tounes a gagné en 2014 son faire-part pour 2018. Pour la majorité des Tunisiens, il est responsable de l’état de délabrement très avancé de leur pays et doit disparaître de leur paysage politique.

Perfide et diabolique, elle se sert de Nida Tounes pour faire diversion alimenter l. Elle l’a mise ainsi en scène tout en complotant dans l’ombre pour lui savonner la pente afin que sa chute lui soit fatale.

Les Tunisiens auront le choix lors des prochaines échéances électorales entre l’ogre nahdhaoui qui dispose d’une force de frappe électorale de plus  de 40% et une opposition fantomatique, désunie et incapable de fournir une offre politique mobilisatrice.

Des années des plus sombres en perspective pour la  Tunisie. Après avoir fait du pays jeté le pays au fonds du gouffre elle va accentuer sa descente dans les limbes de l’histoire. Seul un vrai sursaut populaire pourra sauver la Tunisie de son naufrage.

Intolérance, fanatisme et djihad, les 3 mamelles de la Tunisie

Independamment des dessous de cette « Révolution de l’hiver pourri arabe » conçue et mise en scène par les stratèges de la géopolitique de la Maison Blanche, on ne peut nier qu’elle a eu moins le mérite d’avoir révélé au monde le vrai visage de la Tunisie.

Un visage méconnu et occulté mais que cette mascarade révolutionnaire, véritable usine à gaz, a permis de faire découvrir ses stigmates des plus cauchemardesques et repoussantes.

Plus personne ne peut dire aujourd’hui que la Tunisie est un pays à part dans le marécage nauséabond des pays musulmans. Son ADN n’est en rien différent de celui de l’Afghanistan ou de la Somalie.

Pour l’islam on tue père et mère pour ne pas s’exposer au châtiment divin. Pour lui on trahit la patrie pour la cause de l’Oumma de malheur.
On croyait que les Tunisiens étaient un peuple de bon sens, éclairé et ouvert sur le monde et plus ou moins immunisés contre le fanatisme, l’intolérance, la haine de l’autre, le racisme, la violence, le djihad dans la voie d’Allah, l’antisémitisme et l’obscurantisme, mais ce n’était en réalité qu’une illusion car ils ne pouvaient donner libre-cours de leur nature profondément belliqueuse et velléitaire à cause de Bourguiba et Ben Ali qui avaient le souci de l’image de la Tunisie pour séduire les touristes et les investisseurs internationaux.

Derrière le rideau de fer créé par ses anciens despotes se cachait une autre Tunisie autrement plus effrayante et hideuse, celle dont le Coran et la Sunna ont dessiné les contours et les composantes et auxquelles elle a échappé en apparence.

Les masques sont tombés au lendemain du 17 janvier 2011, et la Charia reprend ses droits et impose la rigueur inhumaine de ses lois. Il est permis de tuer ceux qui se détournent de la voie de l’islam ou osent formuler la moindre critique à son égard.

Dans mon cas, je ne saurais prendre le moindre risque à me rendre dans un pays où un terroriste est honoré et un libre-penseur qui trouble les musulmans dans leurs convictions est jugé comme impie et un apostat et dont il permis de châtier au nom de la cette loi criminelle et scélérate de la Charia.

Ma mère est partie sans que je lui dise adieu ni pouvoir faire mon deuil d’elle en allant se recueillir sur sa tombe parce que la mère-patrie devenue hostile à ses enfants qui l’aiment depuis ce jour maudit où sa lie politique l’avait trahie sous l’égide de l’I. S.I.E.

Attristé et affligé par cette descente aux enfers d’un pays qui m’a vu naître et témoin de mes premiers sourires et larmes,mais je préfère continuer à faire vivre en moi jusqu’à la fin de mes jours le souvenir des miens plutôt que de finir sous la lame d’un couteau de boucher d’un illuminé qui aspire à l’érection éternelle et à l’éthylisme chronique.

Autant subir la double peine de la perte de ma patrie et de ma mère et de continuer à dénoncer avec ma plume les ravages destructeurs de l’islam sur les sociétés humaines.

En Tunisie, il n’y a désormais de place que pour les manipulateurs enturbannés qui embrigadent le peuple pour le détourner de la voie du progrès humain et qui nourrissent son coeur de la haine de l’Occident, et ses enfants fidèles et loyaux sont voués aux gémonies.

On a inversé l’échelle des valeurs et c’est ma tragédie personnelle. Il m’est intolérable de voir les terroristes la gouverner et souiller son sol chargé d’histoire tandis que les patriotes sont jetés de la Roche Tarpéienne.

Comme si aimer cette terre sacrée qui vient d’accueillir en son sein le noble corps de ma mère héritière d’une lignée de ces hommes et femmes qui ont marqué l’histoire de la Tunisie et dont le sang des deux de ses petits-fils ont irrigué sa Révolution est un crime et un pêché mortel.

Ne peut vivre en Tunisie que celui qui la trahit. Un pédophile, un terroriste, un imposteur, un prédicateur, un vitrioleur, un violeur, un assassin, un incendiaire, un fornicateur, un escroc, un raciste, un antisémite, un exciseur, un vendu ont tous les privilèges tant qu’ils sont musulmans et des humains de mon espèce sont comme des pestiférés qu’il faut éradiquer, l’ennemi à abattre parce qu’ils ne croient pas aux vertus humanistes de l’islam et qui préfèrent leur patrie à leur religion.

Il n’y a de modèle matriciel pour l’homme que l’humain qui’il est , la mère qui lui a insufflé l’amour donné et la patrie qui lui enseigné la liberté.

Autant de valeurs inconnues à la religion. Une mère et une patrie sont irremplaçables, les perdre c’est perdre son âme mais perdre une religion, ce n’est pas une âme qu’on perd c’est la liberté retrouvée.

 

Pourquoi les fans sont nocifs en politique

Les militants ont des convictions, fidèles à leur engagement politique et cherchent à préserver l’image de leur parti.

Les sympathisants ne sont pas convaincus de leur choix mais éprouvent un penchant pour tel parti plutôt qu’un autre selon l’humeur du moment

Les pires sont les fans qui pensent trouver leur bonheur en idolâtrant une personnalité politique plus que son parti en lui faisant endosser un uniforme trop large pour ses épaules. Et ce sont les moins fiables, les plus fanatiques, fermés comme une huître et les plus hystériques pourvus un petit pois dans le cerveau car ils se font une montagne de leur idole dans l’espoir qu’il les sauve de leur calvaire. C’est des vauriens, ddes girouettes qui tournent leurs vestes à la moindre désillusion et au gré de leur humeur.
Si demain leur idole trébuche ils sont les premiers à lui tourner le dos et vont chercher ailleurs une nouvelle figure tutélaire.

N’en déplaise au Front National, le harcèlement est une plaie sociétale

Que le Front National soit dans le déni du harcèlement sexuel n’a rien d’étonnant de sa part.

Que peut-on attendre d’un parti pour qui la femme citoyenne et patriote n’a pas sa place dans le monde du travail, elle est un ventre porteur et une bobonne ?

Le machisme est dans son ADN idéologique. Il n’est en rien différent des mouvements islamistes. Pour lui en substance si la femme est victime d’avances sexuelles récurrentes, elle l’a forcément cherchée. Elle n’avait qu’à rester dans son foyer pour lui épargner des situations inconvenantes.

Sa morale politique consiste essentiellement à user et abuser de toutes les stratagèmes les plus odieux, pervers et insidieux pour arriver ses fins et qui se victimise quand il se fait prendre la main dans le pot ?

On ne peut imaginer le FN qui  se nourrit du l’intox et de la propagation de la mauvaise rumeur se faire l’avocat des Français en butte au harcèlement dans leur quotidien. Sa tentative de placardiser Florian Philippot n’est pas sans rappeler les méthodes déloyales courantes chez les employeurs qui plutôt que de trouver une issue juste et équitable dans les conflits de travail  qui les oppose s’acharnent sur les salariés dont ils veulent se débarrasser à bon compte les déstabilisent en les marginalisant dans l’ent hstcek ne peut pas condamner une pratique sournoise où l’auteur ne s’avance pas à visage découvert qui s’arrange toujours à ce qu’il n’y ait jamais de preuves et de témoins.

Il semble ignorer que le harcèlement quelle que soit sa forme est un acte délictuel et très dangereux pour l’état de santé mentale des victimes qui peut les pousser jusqu’au suicide indépendamment de son coût financier pour l’assurance maladie quand il a lieu dans le milieu du travail  en termes de prise en charge des arrêts de maladie.

Les ravages sociaux, personnels et professionnels du harcèlement moral ou sexuel sont incommensurables.

Le FN serait peut-être avisé de se renseigner sur le nombre des salariés ont vu leur carrière professionnelle anéantie et leur vie brisée pour ne pas avoir cédé aux pressions récurrentes de leurs chefs hiérarchique ?

Que connaît-il du monde du travail pour pouvoir occulter ce fléau mortel pour les salariés en proie au chantage de leur hiérarchie et qui préférent exercer leur droit de retrait en démissionnant de leur poste de travail pour préserver leur santé ?

Des questions qui dépassent le logiciel politique et intellectuel de ce parti qui en voulant banaliser le harcèlement fait délibérément le choix du harceleur aux dépens du harcelé.

Le FN a mis des œillères pour ne pas regarder la réalité du harcèlement en face de peur qu’il compatisse pour ses victimes. Politiquement et médiatiquement c’est moins porteur que ses chevaux de bataille habituels alors que le fléau touche une bonne partie des salariés en France et pas seulement eux. Dans les couples, dans la rue, dans le quartier, dans le voisinage, aucun secteur ni aucune couche sociale ne sont épargnés.

J’ai appris à mes dépens les effets néfastes du harcèlement moral en milieu du travail.

Je m’en étais sorti difficilement  contrairement à un ami et collègue qui y avait laissé sa vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La dictature théocratique est la seule voie politique pour les musulmans

Le régime théocratique négateur des libertés humaines est le seul destin politique pour les peuples musulmans.
par le Dr Salem Benammar,

La Tunisie est en pleine déliquescence morale, politique, sociale et économique.

Elle était au bord du gouffre aujourd’hui elle se trouve plongée dans le fond du gouffre. Comme si les tunisiens ont cassé ce fil tenu qui les sépare de l’anti-histoire. En pensant écrire une nouvelle histoire de leur pays, ils lui font emprunter un chemin qui va à contre-sens de l’histoire.

En effet, les Tunisiens qui se sont soulevés un jour comme un seul homme dans un grand sursaut d’orgueil et de fierté nationale en espérant redonner la dignité nécessaire à leur pays, or, c’est bien tout le contraire qui s’est produit. Pire qu’avant, qu’au point -je demeure convaincu- que certains tunisiens doivent regretter l’ère de Ben Ali et leur relative sécurité matérielle et tranquillité d’esprit (ils ne vivaient pas dans l’angoisse de vivre dans l’islam régentant tous les aspects de leur vie).

Aujourd’hui en guise d’espoir d’une vie meilleure ici-bas, leurs nouveaux gouvernants plus préoccupés par l’application des décrets canon que par l’intérêt public leur font miroiter sous la contrainte et l’opprobre l’espérance d’une vie meilleure dans l’au-delà. Manoeuvre pernicieuse pour masquer leurs incompétences.

Instrumentaliser la religion est une ficelle grossière surtout symptômatique de la confiscation pouvoir, de l’octroi des privilèges et de l’accaparement des richesses par des gouvernants qui faute de légitimité politique se servent de Dieu pour asseoir leur domination sur leurs peuples.

Les Tunisiens sont tombés dans le piège du nouveau messianisame politique tel que l’incarne la coalition tripartite au pouvoir. Leur pays prend l’allure d’une mosquée géante à ciel ouvert où prédomine les signes ostentatoires de l’appartenance à des groupements communalistes sectaires, l’espace public est devenu le champ de l’exercice de pouvoir du sacré, où l’interdit est devenu la seule norme sociale et la vie des gens doit être en conformité avec les prescrits de la religion. Ni sphère privée, ni sphère publique.

Tout s’entremêle et se confond. Seule l’obéissance à la Loi de la religion doit être leur seule guidance. Ce qui laisse augurer un avenir des plus sombres et inquiétants à la démocratie car elle est contraire aux dogmes de l’Islam alors que c’est elle qui lui a remis les clés du pouvoir en Tunisie.

Ce qu’on peut qualifier des effets pervers de la révolution tunisienne. Eux qui croyaient améliorer leurs conditions matérielles de vie sur terre, brisant les chaînes du despotisme pour instaurer un nouvel ordre social et politique en totale rupture avec l’ancien en s’attaquant aux causes de leurs maux voilà que ceux dont les urnes de l’avanie démocratique ont désigné comme nouveaux maîtres du pays leur font prendre le chemin de l’indignité, du mépris et de l’ignominie.

Au lieu de s’inscrire dans la logique de l’esprit de la révolution tunisienne, ils préfèrent d’ores et déjà dévoiler aux tunisiens leur vrai visage anti-national, anti-patriotique et en décalage avec l’identité plurielle tunisienne.

Faute d’un projet politique citoyen et laïque, ils se mettent à vilipender, vitupérer et invectiver la femme tunisienne responsable et indépendante qui a fait le choix de sa liberté d’esprit et de conscience en tenant à son propos des paroles blessantes et intolérables qui touchent à sa dignité et sa probité morale tel que le terme de safirate employé par le Président fantoche et homme luge d’Ennahdha.

Ils jettent l’anathème sur tous ceux qui ne font pas publiquement allégeance à leur système de valeur régressif et réactionnaire. La censure religieuse et morale s’est subsituée à la liberté. Ils menacent de les envoyer dans les bûchers de l’enfer s’ils ne se soumettent pas à loi naturelle des choses. Celle qui assimile la résignation à son sort comme soumission à la volonté de Dieu et la résilience comme un sacrilège.

Celle qui prohibe toute revendication pour une meilleure justice sociale.

Les règles du jeu politique et social sont prédéterminées, les cartes sont attribuées à l’avance, tout un chacun se doit de les conserver et les préserver même si les modalités de distribution sont ésotériques, irrationnelles, injustes, arbitraires, dégradantes et humiliantes pour la condition de vie humaine.

Peu importe les frustrations que cet ordre inégalitaire et partial peut induire, seule chose qui importe est le respect total de la Charte abscons et déséquilibré qui lie les joueurs qui errent sur le terrain du jeu comme des âmes perdues, ne comprenant objectivement pas grand’chose aux mécanismes obscurs et qui verrouillent les rapports de force entre eux car il rend a fortiori le jeu impraticable et la partie injouable.

Dans une partie de jeu cartes où les règles de jeu sont définies par les joueurs eux-mêmes, on peut concevoir et imaginer des stratégies pour gagner les cartes et de son adversaire et modifier l’équilibre du pouvoir,or, dans une partie où les joueurs ne sont pas partie prenante dans l’élaboration de ses règles et dont l’issue est connue d’avance par tous les joueurs dont le seul rôle consiste ine fine à remplir leur rôle de figurant.

La frénésie, la montée de l’adrénaline, l’ivresse de la victoire, les émotions fortes, le chagrin de la défaite, l’esprit de compétition, la concurrence loyale, l’esprit de combat, la ténacité, le sens du défi, la non-résignation à la défaite, prendre l’adversaire dans son propre jeu, croire en ses chances, renverser les pronostics sur la base du principe qu’une partie n’est jamais joué d’avance, renverser la vapeur, ne jamais s’avouer vaincu, se prendre en mains, ne pas se laisser gagner par le doute, se révéler à soi dans l’adversité, performances, exploits, réussite, l’égalité des chances entre les joueurs, autant d’ingrédients qui donnent à une partie de jeu de cartes où les joueurs sont ses vrais concepteurs et acteurs toute sa saveur, sa richesse et sa beauté dont ils essayent à chaque fois d’en améliorer le contenu et de la portée. Une partie où l’incertitude n’est pas de mise, où chaque joueur doit se cantonner à al place qui lui est fixée d’avance sans savoir si cela correspond à sa vocation, à ses désirs et ses envies, lui interdisant toute possibilité de remise en cause du rôle qui lui est assigné et surtout l’empêchant de contrer l’adversaire surtout quand ledit adversaire jouit de privilèges exorbitants sous prétexte que c’est Dieu qui l’aurait doté ainsi, il ne reste à ce joueur qu’une seule alternative se remettre à la volonté de celui a élaboré lesdites règles. Renoncer au combat et se laisser gagner par la fatalité de l’échec au nom de l’ordre de droit canon reste aujourd’hui pour le joueur, en l’occurrence le fidèle, la seule issue possible qui donne du sens à sa vie.

Il ne peut avoir pour lui un autre vecteur pédagogique que celui qui lui enseigne le refus de toute forme de combat visant à lui conférer le statut d’acteur et non de serviteur. Par voie de conséquence, leurs gouvernants qui sont censées les arbitrer et les guider dans leur quête de Graal spirituel, les considérant comme des joueurs immatures, dépourvus facultés de discernement et incapables de réfléchir et penser par eux-mêmes, se font fort d’employer des méthodes de gouvernement attentatoires à la dignité humaine et oppressantes, en leur rappelant que le curseur musulman ne doit pas être déplacé du centre de gravitation de la vie des musulmans.

Voile intégral pour les femmes comme le recommande le nouveau Président d’opérette en Tunisie et dévotion à Dieu. En dehors de cela, point de salut. Ni progrès social, ni démocratie,ni progrès humain, ni libertés politiques, ni conscience de soi, ni libertés individuelles, ni égalitarisme, ni générations futures, ni bien-être.

Imaginer et concevoir la Tunisie du futur c’est comme si on demandait à un musulman de concevoir sa vie sans l’Islam.

Seule perspective qui s’offre aujourd’hui à ce peuple frustré des libertés depuis la destruction de Carthage est la consolidation de la voie qui le mènera au paradis.

A n’en pas douter ses nouveaux maîtres sauront remplir leur mission messsianique qui épargnera à leur peuple le chemin de l’enfer aux dépens des libertés démocratiques.

 

 

Le 17 décembre 2011

Encore un attentat à la voiture-bélier contre des honnêtes citoyens

Solidarité totale avec les 3 victimes chinoises de Blagnac de ce jour prises pour cibles par un chauffard non-fiché S selon la police, ce qui laisse entendre qu’il serait une créature d’Allah.

Et en tant que telle il ne souffre d’aucune pathologie mentale il est juste atteint d’islamopathie aiguë, un mal propre aux seuls musulmans adficts du Coran et impossible à diagnostiquer par la médecine psychiatrique. C’est pourquoi un examen psycho-medical est inopportun dans son cas.

Tarek Ramadhan devrait répondre de l’héritage de son grand-père dont il est si fier

Tarek Ramadhan peut-il être explicitement contre la violence terroriste et appeler au respect du vivre ensemble et de la démocratie alors qu’il clame que son grand-père Hassan al-Banna pour qui l’islam est à la fois religion et Etat, Coran et sabre,le fondateur la plus grande organisation terroriste de tous les temps, est l’homme qui a façonné sa pensée ?

Une pensée trop marquée certainement par des forts relents de théocratie totalitaire qui aurait pourtant valu à d’autres des procès en cascade pour apologie du nazisme dans le sens où ce triste aïeul était un partisan déclaré d’Adolphe Hitler.

Son idéalisation maladive de son grand-père lui a-t-elle fait oublier une autre réalité plus actuelle qu’est le terrorisme musulman dont les auteurs sont majoritairement issus de la Confrérie nazislamiste des Frères criminels musulmans ?

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Les islamistes qui sont tout aussi fiers que lui de se revendiquer de cet héritage doctrinaire ont au moins la franchise d’avancer à visage découvert et de ne pas se faire passer pour l’islamiste complet-cravate sur les plateaux de télévision.

Un personnage insaisissable et difficile à cerner, tant il a l’art de changer de partitions langagières et d’attitudes au gré de ses interlocuteurs, de dire aux uns, généralement les non-musulmans, ce qu’il veut leur faire croire et se faire passer à leurs yeux comme le gendre idéal, la takkiyia de mise, et aux autres, les musulmans assoiffés de revanche et ruminant leur rancœur contre l’Occident, où il est lui-même et n’a donc plus besoin de porter un masque, il se doit de leur livrer le vrai fond de sa pensée pour exalter leurs sentiments communautaires et religieux. L’ange et le démon. Une sorte de Dr Jekill et Mister Hyde.

Il est étonnant que cet homme puisse bénéficier d’autant d’impunité et d’audience médiatique malgré sa parenté idéologique affichée avec son grand-père. Jamais il n’été interpellé publiquement sur cet héritage très lourd pourtant à porter et qui ne semble susciter l’indignation de personne. Comme si l’on se réjouissait de le voir brandir ce legs immonde en trophée. De tous les héritiers proclamés, il devrait être celui qui ne devrait mis en quarantaine car comme si l’on donnait la parole à travers lui à cet aïeul fervent admirateur du Mufti nazislamite de Jérusalem, al-Husseini? d’Hitler et de Mussolini,dont le nom devrait figurer dans le musée des pires ennemis du genre humain.

C’est à lui de lever l’ambiguïté sur ses accointances politiques et idéologiques de ce grand-père.  

Tant qu’il s’inscrit dans sa continuité tous les doutes sont permis quand à ses propres soubassements idéologiques qui seraient loin d’être frappés du sceau de la démocratie et de l’humanisme.

Il est difficile de croire qu’il oeuvre pour la paix et la concorde entre les hommes tant qu’il reste attaché à la pensée nazislamiste de son grand-père.

Il n’est pas sa créature il est le dépositaire de sa marque.

Un terroriste vivant est une bombe à retardement

Un terroriste ne doit pas être traité comme un criminel lambda qui relève du droit commun.

Lui-même ne reconnaît pas la justice humaine comme vient de le rappeler le frère de Mohamed Merah qui ne veut rendre des comptes qu’au seul Allah qui est à la fois juge et partie. Autant lui accorder une impunité absolue pour ses crimes.

Le terroriste ne se considère jamais coupable de ses crimes, il n’a fait que son devoir de bon musulman dans le pur respect des injonctions coraniques. Allah ordonne et lui exécute.

Érigé en héros dans le Panthéon musulman il n’y a pas pire offense à ses yeux qu’un vulgaire tribunal puisse juger un homme de son rang.

Le juger reviendrait à juger Allah lui-même, un véritable sacrilège à ses yeux qui ne pourrait être lavé que par le sang de l’outrecuidant.

Avec lui il n’y a pas de droits de la défense qui tiennent. C’est peine perdue. Il faut s’en tenir aux seuls faits qui se suffisent d’eux-mêmes pour justifier une condamnation sans coût pour les contribuables ni voie de recours.
Un terroriste ne doit pas être ainsi qualifié de présumé terroriste.
Lui-même ne laisse pas la moindre chance à ses victimes, il
tue sans se poser de question pour appliquer la sentence coranique décrétée à l’égard des non-musulmans, coupables de ne pas s’être soumis à l’islam.

Le nazisme tuait les Juifs parce qu’ils sont juifs,l’islam tue les non-musulmans parce qu’ils ne croient pas au message de son prophète du carnage et de la bestialité humaine.

Un terroriste n’est pas un criminel ordinaire il doit être jugé et condamné à la peine de mort ou à la prison à vie comme tout criminel contre l’humanité.

Un terroriste est un récidiviste en puissance tant qu’il n’a pas accompli son oeuvre tuer et se faire tuer pour Allah il reste une bombe à retardement. Pire que les déchets radioactifs enfouis à des milliers de mètres sous terre.

Le Goebbels nazislamiste Tarek Ramadan renvoyé d’Oxford

Le Goebbels nazislamiste Tarek Ramadan vient d’être renvoyé à ses chères études par l’Université d’Oxford qui vient enfin de redorer son blason tellement terni par la présence en son sein de cet individu.

En effet, la prestigieuse université anglaise s’est quelque peu rachetée en prenant une décision de bon sens après l’avoir recruté comme professeur d’islamologie, comme si l’islam pouvait être une science fondamentale, en contre-partie de l’argent pourri du Qatar cet Emirat-voyou-bailleur de fonds du terrorisme musulman qui passe pour être le plus grand corrupteur de la planète.

Espérons que sa disgrâce est le début de la fin du Qatar.

Si l’islam …

Si l’islam était paix on ne tuerait pas en son nom
Si l’islam était amour les musulmans ne seraient pas dans la haine des non-musulmans
Si l’islam était tolérant il n’appellerait pas à la mort des apostats
Si l’islam était lumière les musulmans ne vivraient pas dans le monde des ténèbres
Si l’islam était dans le respect de la vie humaine il n’aurait pas 300 millions de morts à son actif
Si l’islam était la source de la science les musulmans ne seraient pas les derniers de la classe humaine
Si l’islam était une chance pour l’humanité il n’aurait pas fait le malheur des musulmans
Si l’islam était synonyme de civilisation il aurait mis en valeur la civilisation égyptienne
Si l’islam était à l’origine de tout les musulmans ne seraient pas redevables de tout au reste du monde
Si l’islam était la plus belle religion au monde il ne serait pas le cauchemar de l’humanité
Si l’islam était une spiritualité il n’aurait pas sanctifié le terrorisme
Si l’islam était un facteur de rapprochrement entre les hommes les musulmans ne seraient pas autant mines par les divisions
Si l’islam était égalitaire il n’aurait pas fait des gens du livre des dhimmis et leur faire payer l’impôt de la capitation
Si l’islam était pour l’égalité entre les sexes il n’aurait jamais relégué la femme dans l’ombre de l’homme et la choisifier sexuellement
Si l’islam n’était pas supremaciste il n’aurait jamais mis dans la tête des musulmans l’idée saugrenue qu’ils sont la meilleure communauté que le dieu n’aurait jamais fait surgir sur terre
Si l’islam ne se n’etait pas une idéologie totalitaire il ne serait pas proclame comme foi et loi à la fois
Si l’islam n’était pas le précurseur du nazisme il n’aurait pas séduit ses dignitaires
Si l’islam n’était pas le culte de Thanatos il n’aurait pas fait de la mort un idéal de vie
Si l’islam était non-violent il n’aurait pas promis le promis le paradis à ses créatures les plus monstrueuses
Si l’islam était l’ami des Juifs et des Chrétiens il ne les aurait pas couvert d’autant de boue nauséabonde
Si l’islam était humble il ne se prendrait pas pour le nombril du monde
Si l’islam n’était pas un culte satanique il n’aurait pas fait du sexe une récompense éternelle
Si l’islam était catalyseur du progrès il n’aurait pas figé le curseur des siens au VII e siècle
Si l’islam était un remède aux maux de l’humanité il ne serait pas le pire virus létal qu’elle n’ait jamais connu
Si l’islam n’existait pas le monde s’en porterait beaucoup mieux qu’il ne l’est
Si l’islam avait détourné les siens de la voie du mal ils seraient un modèle de bonne conduite et ne seraient pas les premiers clients des geôles dans le monde.

Plus l’islam se fait visible, plus le terrorisme progresse

L’explosion inquiétante des attentats terroristes en Occident au cours de ces 35 dernières années semble valider l’hypothèse que l’islam est en guerre ouverte contre cette région du monde qu’il se doit d’islamiser par tous les moyens.

Sentant qu’il commence à prendre du poids sur le plan démographique et un devenir un acteur incontournable de la vie politique par le jeu de la naturalisation de papier et la vénalité et la lâcheté des gouvernants,  il n’a plus besoin de se cacher.  Il peut agir au grand jour sans qu’il soit inquiété, quoi qu’il fasse des voix seront toujours là pour voler à son secours et plaider son innocuité. Fort des soutiens inconditionnels de ses idiots tuiles,  il a tout le loisir de faire  parler la poudre et semer la terreur au sein de la population occidentale, il sait qu’il jouit d’une impunité médiatique et politique qui lui vaut un feu vert de poursuivre ses agissements mortifères.

Quand bien même le fléau terroriste est loin de frapper le seul Occident n’épargnant aucun pays au monde, il n’en demeure pas moins que là où il semble bénéficier d’une mansuétude coupable.

Que le terrorisme soit le visage du phénomène de radicalisation qui n’est en réalité que le retour toute voile dehors à l’islam des sources,  cela est évident mais ce que l’on ne saurait nier est que l’Occident est devenu une cible à abattre pour l’islam fondamentaliste qui est en train de conquérir des pans entiers de ses territoires et se faire de plus en plus visible à travers la prolifération inquiétante des mosquées-casernes, l’explosion exponentielle du port du voile et le commerce halal.

Tout se passe comme si les attentats terroristes sont une manifestation de l’expansionnisme musulman ou plutôt un mode

Quand bien même il a été  le théâtre de violence terroriste dans les années 70 impulsée  par différents groupuscules comme la bande à Baader, le FLB, Action Directe, la Brigade Rouge, le FNLC, l’IRA, il n’en demeure pas moins qu’avec la forte poussée migratoire musulmane il est passé du stade du terrorisme que l’on peut qualifier de soubresaut à un terrorisme structurel autrement beaucoup plus lourd en termes de victimes et aux effets incommensurables à tous les niveaux psychologique, humain, politique, culturel et civilisationnel.

Plutôt que de durcir le ton avec les musulmans et de leur faire comprendre que jamais cette terre ne sera un nouveau Liban il s’emploie à banaliser le terrorisme et préparer psychologiquement ses populations à composer avec comme s’il était devenu une sorte de fatalité, une métastase incurable contre laquelle il n’existe aucun remède possible pour l’éradiquer.

Pire encore, il se fait l’avocat de ses assaillants allant même jusqu’à condamner ses propres enfants qui mettent leur vie en péril pour avertir leurs concitoyens sur la haute toxicité du péril musulman.

Aucun gouvernement occidental n’a eu le courage de lier terrorisme et islam qui sont les deux faces d’un même miroir.

Plus l’islam sort de l’ombre et plus le poids du terrorisme se fait pesant dans le quotidien des citoyens occidentaux.

Leur vie a changé en tout et dans tout. Ils doivent apprendre à intégrer dans leur comportement la menace terroriste qui peut se manifester dans leurs déplacements, leurs lieux de travail et de loisirs, leurs chez eux.

Ils ne sont plus en sécurité nulle part alors qu’au temps où les musulmans étaient quasi invisibles ils n’avaient rien à craindre pour la sécurité dont ils se préoccupaient comme de leur première guigne.

Ils sont passés d’hommes libres à des hommes en liberté surveillée si ce n’est des condamnés à mort en sursis.