La haine du Juif est dans l’ADN des Tunisiens

Il est douter que les électeurs d’Ennahdha et certainement de nombreux tunisiens de tous bords eussent été choqués de découvrir le passé collaborationniste nazi de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte dont le terroriste Rached Ghannouchi est un des principaux dirigeants.

En effet, il est de tradition en Tunisie comme dans tous les pays musulmans d’entretenir une sorte de culture antisémite qui puise ses sources dans le Coran lui-même et les Hadiths, sur laquelle leurs classes politiques ont greffé la cause palestinienne.  Comme si l’antisémitisme était un pilier de l’islam et un facteur de sympathie pour le nazisme. Et comme le faisait remarquer Boualem Sensall à propos des liens troubles entre le philonazisme et la haine du juif chez la majorité des musulmans « il y a des parallèles dangereux qui pourraient me valoir des ennuis » suite à la publication de son célèbre roman » Le Village de l Allemand » ou’ il décrivait parfaitement les l’existence de cette parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Il n’y a rien d étonnant à ce que plusieurs dignitaires nazis aient trouvé refuge au Moyen Orient principalement en Egypte dont beaucoup d’entre eux s’étaient convertis à l’Islam.  Au point qu’il n’est pas superflu de se demander si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour la rédaction de son torchon tant le nazisme semble être un pur produit de l’islam dans sa vision apocalyptique; génocidaire et raciste du monde. Que l’islamisme en l’occurrence l’islam fondamental opposable à tous les musulmans se soit rallié au nazisme en 1939-45 cela n’est qu’un aboutissement logique des choses. Il ne s’est pas contenté de se rallier au nazisme, il s’est fondu même dans son corps pour devenir une des multiples têtes de l’hydre nazie.

Mus tous les deux par les mêmes desseins hégémoniques  pour imposer au monde un nouvel ordre fondé sur la suprématie et la pureté absolue de leurs origines dans un cas c’est le sang et dans un autre c’est la foi afin d’édifier un Reich réservé exclusivement aux bien nés aryens et dans un autre une Oumma dédiée aux seuls fidèles musulmans. Régner sans partage sur le monde pour le soumettre à la dictature  de leur idéologie respective, en le nettoyant de tous ceux qui ne possèdent pas leur caractère ou susceptible de contrarier leur projet de conquête du monde.

L’enrégimentement des islamistes dans les corps des Waffen SS est la parfaite illustration  de la convergence idéologique entre les pires idéologies politiques de l’histoire universelle confortée par l’allégeance inconditionnelle au nazisme du Mufti al Husseini un des membres le plus en vue de la Confrérie des Frères musulmans  ainsi que de ses cofondateurs  Saïd Qoutb et Hassan al Bana, grand-père maternel  de Trek Ramadhan le caméléon et V.R.P; de l’islam « modéré » comme si le nazisme pouvait l’être, qui plus est se réclame de son héritage.

 L’islamisme qu’il soit djihadiste, wahhabite, salafiste et qoutbiste qui n’est en cas un dévoiement de l’islam alors qu’il est l’essence même et le visage expressif et fidèle,  prospère sur le même terreau  nauséabond que le nazisme: celui de la haine du Juif  qui est la raison essentielle  de leur idéologie ( Kuntzel : Jihad et haine des Juifs: islamisme, nazisme et racines du 11 septembre).  Leur stratégie politique actuelle qui les fait apparaitre comme un banal acteur dans le processus démocratique actuel en Egypte ou en Tunisie est un leurre. Leur but suprême reste la destruction de l’Etat juif d’Israël et l’islamisation du monde qui passe d’abord par la ré islamisation à marche forcée de leurs propres sociétés.  

Aussi bien les Qoutbistes égyptiens que tunisiens d’Eannahdha  avaient tenté tous les deux dans le passé de recourir à la terreur en vue d une prise de pouvoir mais sans réussite à l’instar des nazis en 1923.  Cette similitude entre eux et les hitlériens est un indice grave quant aux perspectives politiques qui se dessinent en Tunisie et en Egypte.

Le « processus démocratique » sous le haut patronage d’ Hussein Obama dont l’attitude bienveillante à l’égard de l’islam est inquiétante et ambigüe laisse perplexe quant aux capacités des islamistes d’ouvrer pour un idéal démocratique, alors que la démocratie est jugée comme un sacrilège au regard des dogmes de l’islam ne serait-ce de par sa nature humaine, alors que seule la Loi d’Allah doit gouverner la vie des hommes et ses origines non musulmanes et donc impures.et imparfaites. En se voulant des êtres parfaits comme leurs frères idéologiques nazis, les musulmans endoctrinés à haute dose n’accepteront jamais à des systèmes politiques qui ne portent pas la signature de l’islam. Eux qui doivent suivre qu’une seule feuille de route ne peuvent par conséquent appliquer un tout autre canevas qui ne soit pas conforme aux prescrits de l’islam et en parfaite adéquation avec le Coran, les Hadiths et la Sira.

Dans ces pays comme en Allemagne nazie autrefois, on assiste surtout à la renaissance de l’islam fondamental que tout musulman se doit de suivre, de défendre et de propager. Quand les islamistes se réclament de l’islam, ils ne commettent aucune hérésie théologique ou dogmatique. Ils ne font que rappeler à leurs coreligionnaires qu’il n’y a qu’un seul islam et ne pas s’y soumettre nuit à leur qualité de musulman et passible d’apostasie. Un musulman est un parfait subordonné à l’islam dans tous les actes de sa vie sociale, personnelle et politique, tout ce qu’il doit faire et réaliser ne doit pas échapper au contrôle de l’islam ni à l’encontre de ses intérêts, c’est pourquoi le vote ne doit avoir qu’un seul but favoriser la main mise totale de l’islam sur la vie des hommes, et comme n’ont pas manqué de le rappeler expressément les islamistes égyptiens et tunisiens à leurs coreligionnaires, la notion de compatriote est illicite dans l’islam, voter pour tout autre parti politique qui ne prône pas les vraies valeurs de l’islam c’est voter contre l’islam. Plus prosaïquement, le vote n’est rien d’autre que la manifestation d’allégeance à l’islam et le renforcement de son pouvoir sur la cité. Un djihad par les urnes de la démocratie électorale pour les transformer par la suite comme l’avait fait Hitler en urnes des cendres de la démocratie

Comme les nazis, les islamistes veulent faire du passé  et légendé la seule source à laquelle doivent s’abreuver leurs frères musulmans. Sortir le passé de l’ombre pour leur redonner leur lustre d’antan afin de faire triompher les idéaux musulmans aux quatre coins du monde. Obsédés par la renaissance de la splendeur fantasmée de l’islam pour rendre aux musulmans ce qu’Allah leur a promis : la gouvernance de l’univers dont les juifs et tous les autres les ont spoliés ainsi que les musulmans eux-mêmes qui s’étaient éloignés de la voie de l’islam.

Délirants sur le mythe de l’Arche perdue qu’il faut remettre à flot pour faire resplendir l’islam. Plutôt que de le faire ressusciter par le savoir et l’éducation, ils optent pour la voie de la violence et l’endoctrinement néfaste des populations. Ne tenant pas compte du retour du bâton car la violence et la haine engendrent toujours rejets et hostilités, même si l’adversaire se laisse aller dans un premier temps dans l’angélisme pacifiste, il finira par s’en lasser et recourir à des armes beaucoup plus redoutables et meurtrières que son ennemi. De surcroît l’ennemi islamiste qui n’est pas encore sorti de son Moyen Age contrairement en revanche à son cousin idéologique nazi vaincu lui aussi par sa propre haine.

 Les islamistes peuvent toujours se réjouir d’avoir gagné la bataille des urnes comme les nazis, mais au prix des fraudes massives, de la corruption, du laxisme coupable des organes de contrôle des élections, et profitant de leur promiscuité religieuse avec leurs coreligionnaires facilitée par l’état d’incurie intellectuelle et politique de ces derniers, mais qu’ils ne perdent pas de vue que cela les immunise guère contre la colère des hommes à force de semer les graines de la violence, élus d’Allah ou pas. La voix de la raison humaine finira par vaincre leur passion hystérique et leurs délires cosmiques et mégalomaniaques.

 les Révolutions arabes servent de catalyseur ou de marche-pied démocratique pour les clones nazis. Hitler a réussi son pari de conquete du pouvoir au moyen de la démocratie, tout indique que ses héritiers vont rééditer son exploit et s installer comme les vrais maitres absolus du jeu politique dans des pays en de délitement économique, intellectuel et social. Sans aucun repère en dehors de leur identité islamique qui est leur seul antidote à leur mal-être. Subséquemment, il est impossible aujourd hui de faire l économie d établir un tel parallèle entre les mouvements nazis et islamistes qoutbistes et surtout qu il est impérieux de ne pas retomber dans les entraves allemandes dans les anées 20 et 30. L expérience tragique allemande doit servir de leçons afin que le jeu démocrtatique  actuel n ait pas les effets pervers et ne débouche pas sur les memes horreurs passées. Aussi bien les qoutbistes tunisiens qu égyptiens n ont jamais fait mystère de la libération de la Palestine, que certains mettent à l actif du folklore islamiste, et de leur stigmatisation du sioniste, qui sous-entend en réalité le juif, est symptomatique de la résurgence de leurs racines nazies. D autres signes avant-coureurs non moins inquiétants est leur obséssion à lier nationalité et sentiment d appartenance religiuse qui n est pas non plus sans rappeler les lois raciales de Nuremberg de 1935. Leurs juifs sont incontestablement tous ceux qui n ont pas le caractère musulman tels que les Coptes, les démocrates, les athées, les progressistes, les humanistes, les homosexuels et les laiques. Est-ce un hasard si les qoutbistes tunisiens assimilent la laicité à une idéologie au point qu ils en font leur thème de campagne: la Tunisie est musulmane et non laique. Un slogan lourd de sens et annonciateur d un avenir sombre pour tous ceux qui n adhèrent pas à leur idéologie.    La meilleure illustration de cette collusion entre les deux mouvements obsédés par la haine de l autre et surtout du Juif et non du sioniste  en était le Grand  Mufti de Jérusalem Fayçal al Husein,  promu chef de division SS et divulgateur du message propagandiste nazi dans le monde musulman en 1939-45 et éminent membre de la Confrérie. Cet homme incarne à lui tout seul les liens fusionnels qui existent entre les deux idéologies. Il est permis de penser qu en chaque islamiste, il y a un nazi en puissance obsédé par la purification de sa foi de toutes les scories et influences extérieures qui dans leurs esprits renvoient aux juifs au demeurant l éternel comploteur et croque-mitaine que le Coran voue du reste à la Géhenne. Croire que les islamistes sont en train de faire leur mutation démocratique c est une grave erreur et une hérésie politique. Les islamiste – jusqu à preuve formelle du contarire- n ont guère renoncé à leurs fonds de commerce idéologique  et leur bellicisme officiellement ainsi qu exprimer sans ambiguité leurs profonds attachements aux valeurs universelles du respect total et absolu du juif, en l occurrence celui qui est différent d eux. Ils sont sur le chemin de la conquete démocratique du pouvoir, de leurs pouvoirs qu ils considèrent comme étant leurs biens propres qui leur revient de plein droit dont ils ont été spoliés dans le passé. Le processus démocratique présent n est  ainsi qu un concours de circonstance pacifique dont le seul but est de les rétablir dans leur mission de guidance de la cité musulmane. Une guidance qui s inscrit dans le strict cadre tracé par le Coran qui prohibe l existence au sein de cette cité d autres voies non marquées par le sceu du Coran. En d autres si la conquete du pouvoir passe ppar la voie démocratique dans unpremier temps, il est somme toute logique que cette voie s efface demain au profit de la seule voie voulue par Dieu et son Prophète pour les Musulmans. Hitler a banni la démocratie au nom du sang aryen, les islamistes la banniront au nom de la pureté islamique.                                                                                                                                                             Si je me permets cette digression historique c est surtout pour mettre en exergue  le soubassement idéologique de cette secte mystico mafieuse d  en nahdha et sa haute toxicité sur l état de santé mentale des masses  et sa nocivité sur le devenir démocratiue et civilisationnel des populations musulmanes frustrées des libertés  publiques, individuelles, cultuelles, confessionnelles, politiques au sens démocratique du terme depuis plus de 1400 ans. Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante  d un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement y compris celui de la pensée. Ainsi, l islamisme collaborationniste qui fait son retour fracassant entre autres sur la scène tunisienne a pour principale mission d assurer la propagation de ce syème totalitaire de caractère théocratique et  maintenir la population opprimée par l ancien régime despotique  par tous les moyens sous l emprise totale et absolue sous le joug wahabbite en les enserrant dans les mailles acérées du filet. La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur ls moyens pour dévoyer l esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens.  Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilté des damnés de la terre (les laissés pour compte de l ancien régime) et de la tendance facheuse chez certains à vendre leurs ames au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocrtique: soudoiement,corruption, exaltation de l ame musulmane, glorification de la splendeur islamqiue, libération de la Palestine, stigmatistion de la laicité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyennenté tunisienne, réinstauration de l oumma,  exorcisme, idolatrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, oukaze religieux, anathèmes, pogroms etc…Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer aini: nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d une part et d autre part verser l obole (bakchich) aux partisans.Dans un pays ou » la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays.   Les Tunisiens qui ont faitpourtant une REVOLTION POUR LEUR DIGNITE ET LEUR PROBITE SONT EN TRAIN DE VENDRE LEUR DIGNITE ET LEUR SOUVERAINETE  NATIONALE AUX AGENTS DU FASCISME JIHADSITE MONDIALISTE. ET VOILA COMMENT UNE REVOLUTION POUR LES LIBERTES ET LES DROITS FONDAMENTAUX DEVIENT UNE DEVOTION AU FASCISME THEOCRATQUE TEL QUE LE PROMEUVENT LES WAHABITES ET LEURS ALLIES  QATARIS ET AVEC LA COMPLICITE CRIMINELLLE (ASSIMILEE A UNE HAUTE TRAHISON QUI DOIT RELEVER DE LA COUR MARTIALE )  DE LEURS VASSAUX  LES TRATRES A LA NATION TUNISIENNE ET FELONS NAHDHAOUISTES ET LEUR LEADER GHANNOUCHI RACHID EX AGENT DU TERRORSIME JIHADSITE. AUX TRAITRES LES MAINS NAUSEABONDES. ILS SORTENT DU NEANT ET ILS Y RETOURNERONT SI LES TUNISIENS FONT DE LEUR VOTE UN VOTE POUR LA DIGNITE ET NON  UN VOTE POUR LA VASSILISATION DE LEUR PAYS LA PERTE DE LEUR SOUVERAINETE NATIONALE.

 

En ouvrant la porte aux musulmans l’Occident a déroulé le tapis rouge à la Charia

Peut-on au nom de la démocratie et des lois de la République octroyer un statut à des mouvements sectaires islamistes qui prônent la charia, cette porte ouverte aux abus de droit et aux injustices, voire de légitimation de crimes contre l’humanité ? 
Sais-t-on que toute mansuétude et bienveillance à l’égard des mouvements totalitaires et génocidaires équivaut à la reconnaître implicitement et contribuer progressivement à l’ instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’islamisme polymorphe qu’il soit jihadiste, salafiste ou qoutbiste frères musulmans ?
Comment nos sociétés démocratiques peuvent elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est d’utiliser les lois de la république pour mieux l’achever et substituer à des  lois humaines, fruits des assemblées démocratiques, une loi synonyme  de désordre  moral, d’injustice, d’arbitraire, de racisme, d’antisémitisme, de lapidation, de mutilation, d’amputation, de viol, de pédophilie, d’inquisition, de décapitation, de brimades, de sexisme érigé en dogme religieux, d’inégalités, d’avilissement et asservissement de la femme et de la négation de ses droits. Une loi qui donnerait aux lois raciales de Nüremberg des relents humains. Un véritable poison pour les droits de l’homme et des libertés publiques.
Comme si on oublie ou feint d oublier que la charia qui fait du musulman juge, partie et bourreau, est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses. C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion, brimades, harcèlement, violence, exaction, sévices sexuels, voire meurtre, autant de crimes et délits qui échapperont au couperet de la justice républicaine, au nom de l’exception des lois de l’islam et par conséquent de leur suprématie sur les lois républicaines confortant ainsi les musulmans dans leur mépris et rejet des lois non-musulmanes.
Avec elle, du monde des lumières, l’humanité plongera dans le monde des ténèbres. De l’ordre juridique de droit positif, elle  passe au désordre juridique et au règne de la loi du plus fort. Scellant le sort de la femme, de  de l autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains.
Admettre l usage de la charia dans les cités, c’est lui reconnaître un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de veto sur nos lois puisqu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi.
A moins d être maso, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied. Nul ne saurait affirmer que cette loi divine a toutes les caractéristiques d une loi. N importe quel croyant en l absence de clergé peut s ériger en législateur et l exécuteur selon l interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale.
Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l objet de toutes les spéculations interprétatives et l imprécises des règles susceptibles de l encadrer et la formuler. Le fait qu elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambiguë, sujette à caution et inapplicable. En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh: » c est un concept spirituel, donc synonyme d un cheminement personnel mais qui, à travers l histoire, couvre le travail des Ecoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites en Turquie, hanbalites en Arabie Saoudite, si bien que le droit musulman est varié et il n a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour. » Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ?
Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 Ecoles juridiques(madhahb) ne peut que susciter de sérieux doutes sur sa rationalité juridique.
Tout indique que la charia n est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu’elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétativité propre à chaque école.
Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation. Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensée théologique tels que Mu’atazalites et les Asharites, au VIIIème et IXème siècles, ne peuvent que le lever le voile sur l impossibilité de sa reformulation et de sa clarification.
Ce qui va de soi dans la mesure ou’ le peut rationaliser l’ irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence à une loi abscons, hyper subjective et apocryphe en lui accordant le statut d un code juridique soi-disant d essence divine supposé régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique.
Alors que dans notre système juridique non seulement nul n est au dessus des lois, mais surtout que nul n est exclu du champ de la loi.
L absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachées à la charia. Elle est davantage apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, o’ l on se doit de laisser la nature accomplir son oeuvre sans l intervention humaine pour la réguler ou la codifier.
Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman c est l homme, à sa proie, sa victime consentie sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu.
La charia est une loi scélérate et inhumaine pire encore que les  lois raciales nazies de 1935 où l’on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères de la pureté de sang, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seule l’interdit devient la norme et le permis devient l exception.
Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine et la passion hystérique déterminent le mode d’organisation sociale, familiale et interindividuelle.
L’homme qui est par définition un animal politique n’existe pas en tant que tel  dans les sociétés musulmanes, censé être dépourvu de pensée propre, jugé incapable de discernement, il est un exécutant de la volonté d’Allah,un simple morceau du puzzle musulman. Il ne s’appartient pas à lui-même, il est relié par un cordon ombilical à sa communauté.
C’est pourquoi, les prières collectives sont érigées sont essentielles dans la vie des musulmans. Elles sont supposées faire gagner aux croyants 29 marches vers le ciel à chaque prière.
Un musulman isolé de sa communauté est comme un poisson vivant hors de l’eau. Rendant ses chances de survie impossible. Pour sa propre pérennité, il doit s’agréger à un groupe de musulmans, qui lui sert de matrice pour pouvoir  vivre au sous les lois de l’islam.  Un musulman ne peut  pas concevoir de vivre sans les règles prescrites par sa religion, la charia  devient  la voie à suivre, une nécessité absolue pour adopter des normes de bonne conduite qui lui feraient toucher son Graal. Rejetant ainsi toute autre  loi qui n’a pas d’essence musulmane.
Un musulman digne de ce nom n’a de cesse que de préparer sur terre sa vie dans l’au-delà pour pouvoir jouir des 72 houris promis. Et ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont l’en détourner. La charia qui signifie en arabe le chemin de la félicité est son motus vivendi, il est ce fil conducteur entre lui et son démiurge. Toute rupture de ce fil le condamnera à la voie de l’enfer. C’est la sève qui le nourrit, s’en priver, c’est un sacrilège pour lui.
L’islam ne prescrit pas aux musulmans le respect des lois autres que les siennes,il leur impose de ne  reconnaître que ses seules lois celles édictées par la charia. Se considérant lui-même comme étant une loi élevée au-dessus des autres. De par son caractère suprématiste et essentialiste, il veut s’octroyer les privilèges du prince, obligeant ainsi les autres de répondre à ses exigences et non pas l’inverse.  Partout dans le monde, les musulmans veulent que ce soit toujours les autres de s’adapter à eux, quand bien même leurs moeurs, us et coutumes sont incompatibles avec les lois de leurs pays d’accueil.
 Comme il rêve de gouverner le monde, ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont le contrarier dans son projet. Au lieu de s’en prémunir comme de tout virus létal, les sociétés d’accueil ne savent pas qu’on lui ouvrant leurs fenêtres, il laisse entrer par la grande porte la charia, indissociable de l’islam puisqu’elle est sa source et sa substance nourricière.
L’islam est en quelque sorte le cheval de Troie de la charia. La France comme d’autres pays démocratiques se laissent prendre dans le jeu de leur angélisme béat  en croyant que l’islam n’est pas la charia, et que la charia est le mode de gouvernement de l’islam de la vie des musulmans.
Elle n’est pas qu’ incompatible avec les lois de la république et les valeurs de citoyenneté, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités.
En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’ article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains.
La charia qui fait de la femme une quasi-esclave, un objet dépourvu d existence propre, dépossédée de tous ses droits les plus élémentaires au profit de son tuteur de mari devra être éradiquée de la même façon que les lois nazies.
Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellations, bannissement, excommunication, le délit du blasphème, l’apostasie, l’esclavagisme, les rapts, les razzias, l inquisition, la pédophilie dans le sens des mariages pré pubères, le viol conjugal, l’homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc.
Son caractère machiste, ségrégationniste, discriminatoire, inégalitaire, raciste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice.
Ainsi une femme victime d abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d un viol à Dubaï et qui s est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon 2004).
Aux termes de cette loi canonique la femme a surtout des devoirs. Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille en cas d absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d insoumission et le Châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet). La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes. L’éternel bouc-émissaire de tous les maux incurables qui frappent les musulmans depuis 1435 ans.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l état d objet sexuel dont la seule fonction sociale est d assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme) Le corps de la femme n est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l homme qu’il pourra labourer qu’il pourra labourer à volonté. Le mariage n est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune pérenne comme dans notre droit positif.
La charia qui fait de la polygamie son mode d’expression majeure et donc de la femme un bien marchande de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit de veto, l’immunisant contre toutes tentatives velléitaires de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable: le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure et en l absence de motif valable et sérieux.
A supposer qu’il y en ait mais mais il est l’aisé à l’entière appréciation de l’homme, seul procureur, juge et partie dans le cas d espèce sans que les droits de la défense soient reconnus du fait qu’il détient aux termes de la charia un droit de prééminence sur la femme, son obligée inconditionnelle, sa chose, est souverain, il jouit d’un pouvoir totalitaire qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme qui n’est pas en droit d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation.
De même que la charia fait interdiction absolue à un homme marié à une non musulmane d’élever ses enfants dans une autre religion que la sienne.
L’enfant est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n est rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit des femmes au  profit de son maître-esclavagiste sous couvert du sacré.

Le vrai péril pour l’humanité est moins l’islam que les musulmans toutes tendances confondues

Plutôt que de jouer à la vierge effarouchée et de crier au loup niant les évidences comme un meurtrier accablé par les preuves mais qui proclame  haut et fort son innocence pour réfuter les lourdes accusations qui pèsent sur lui, les musulmans doivent plus jamais apprendre à se remettre en question et  se regarder dans le miroir de la vérité.
En sont-ils capables ou en ont-ils envie ? Ni l’un ni l’autre, les musulmans n’existent que dans le déni de la réalité et le mensonge érigé en vérité absolue. Allergiques et réfractaires au débat contradictoire qu’ils considèrent comme une offense à l’islam, que Dieu aurait placé au sommet de l’Everest des religions, il leur est intolérable comme chez tout schizoïde-paranoïde que leurs contradicteurs en qui ils voient des ennemis potentiels n’adhèrent pas à leur idéal religieux.
Pour eux aucun dialogue n’est par conséquent de mise avec des êtres que le dieu de l’islam juge comme des insolents voués aux bûchers de l’enfer. Entendre une voix discordante par rapport à la leur devient un véritable supplice que rien ne peut calmer que le supplice de l’outrecuidant.
D’où le recours systématique à la violence comme si elle était leur seul moyen d’argumentation. Comme tout sujet atteint de troubles psychotiques, les musulmans ont une peur phobique  d’être dérangés dans leurs certitudes, qui se manifeste souvent par des crises de démence collective, se terminant de plus en plus dans des bains de sang.
Mais en dépit des évidences qui ne doivent souffrir d’aucune contestation tellement les déchaînements de la terreur sont la marque de fabrique de leur religion, les musulmans persistent et signent dans leur refus de faire leur propre examen de conscience, procédure nécessaire pour toucher eux-mêmes du doigt les sources du mal dont ils s’abreuvent et qui constituent la substance même de leur religion qui a fait de la terreur, le djihad, un de ses piliers, laissant apparaître l’islam davantage comme une banale doctrine politique qui instrumentalise le fait religieux à des fins hégémoniques totalitaires et liberticides qu’à une religion proprement dit.
Quand on fait de la terreur, ne dit-on pas que e paradis est à l’ombre de l’épée , une obligation cultuelle et donc le seul motus vivendi pour les fidèles, ceux qui appliquent scrupuleusement et dogmatiquement les préceptes de l’islam, il est difficile de voir en l’islam une véritable pensée spirituelle offrant à l’homme les conditions d’une vie apaisée et pacifique où l’action humaine n’est pas destinée à la négation de la vie elle-même.
Une religion qui inocule à  ses fidèles à le virus de la négation de toute forme de vie et qui sanctifie et exalte la violence contre soi et autrui est tout sauf une culture de la vie.
En réalité, l’islam est une véritable imposture religieuse,  il est le comme le nazisme un néo paganisme obsédé par l’anéantissement définitif du judéo-christianisme. En tant qu’enfant rejeté par les parents dont ils se réclament en l’occurrence le judaïsme et le christianisme, son immense frustration ne sera apaisée tant qu’il ne les aura pas tués pour qu’il puisse se revendiquer comme étant le seul maître du monothéisme. Ainsi, il a beau se prévaloir d’une prétendue d’un filiation brahmanique,  mais sans que cela lui confère une quelconque légitimité aux yeux de ces parents qui ne veulent pas de lui.
frustré de ne pas bénéficier de la légitimité biblique, il fait de la violence son seul mode d’expression pour s’affirmer et exister sur la scène des religions.
Comme il est utopique et suranné de voir en lui un facteur de paix et de sécurité dans le monde alors qu’il est incapable de l’être pour ses propres croyants minés par les conflits confessionnels et le schisme depuis la mort de leur prophète autoproclamé qui faisait de l’épée sa seule force de persuasion..
Une religion fragilisée jusqu’à l’épuisement  par les dissensions chroniques et les querelles intestines n’a pas  les ressources intellectuelles et psychologiques pour freiner les ardeurs velléitaires de ses fidèles surtout qu’elle en est elle-même  le catalyseur et l’instigatrice.
Les musulmans ont beau se voiler la face et se draper dans les habits de la vertu oubliant que les apparences sont souvent trompeuses laque pour ses propres disciples culte de sa que l’on ne fait pas des signes ostentatoires  et des stéréotypes vestimentaires un symbole de piété et d’infaillibilité des dogmes de leur foi.
Une religion qui fait du camouflage un rituel religieux, est la preuve qu’elle a peur de se livrer elle-même au regard du monde extérieur, celui qu’elle stigmatise tant et dénigre parce qu’elle n’a pas le courage de l’affronter à la loyale et qu’elle préfère toujours l’attaquer par surprise en semant la terreur au sein de sa population.
En voulant s’enfermer dans l’obscurité comme elle enferme ses femmes elle témoigne de l’esprit obscurantiste et ténébreux qui est le sien.
L’islam n’est ni dénaturé ni défiguré, il se cache surtout  derrière le voile opaque mystificateur qui lui permet de de ne pas se trouver sur le banc des idéologies de l’infamie humaine comme le nazisme.  Pour sa défense, il se prévaut d’une hypothétique filiation avec le christianisme et le judaïsme afin de pouvoir bénéficier d’une certaine bienveillance et légitimité,  même si sa grande frustration est de ne pas avoir le statut de religion biblique, alors que la théologie musulmane manque cruellement de cohérence interne et de fil conducteur.
Que les musulmans apprennent enfin à se poser les vraies questions sur la nature hybride et fantasmagorique de l’islam, au lieu de s’enflammer au moindre regard réprobateur de leur comportement ou se réfugier derrière le bouclier du sacré pour empêcher tout travail d’analyse et d’introspection de leur religion qu’ils sont incapables de réaliser eux-mêmes ?
Pourquoi cette religion a-t-elle outrepassé de son rôle de religion pour devenir un sujet d’actualité funeste et morbide alors que le rôle de la religion est justement pas d’être un sujet d’histoire alimentant les discussions des cafés de commerce ? Pourquoi occupe-t-elle aujourd’hui la rubrique des faits divers des médias ?
Pourquoi depuis les attentats du 11 septembre 2001 son nom est accolé à la barbarie terroriste ?
Pourquoi le nom de l’islam se trouve être associé malgré lui ou avec son plein assentiment aux années de braise terroriste en Algérie et au génocide du sud du Soudan ?
Pourquoi ses propres enfants, ceux qui militent pour un islam prosélyte activiste et hégémonique, ont rendu cette religion synonyme d homélie funèbre et de requiem pour les défunts, continuent ils en toute impunité, voire un silence d adhésion et regarder avec mansuétude, à alimenter et nourrir les phobies anti-musulmanes ?
Pourquoi l islam est assimilé à la violence urbaine, à la terreur barbare, à l archaïsme et aux atteintes dégradantes et inhumaines à la condition féminine ?
La réalité des faits est implacable, elle ne relève d aucune campagne de dénigrement ou de discrédit à l égard de l’islam.
Au lieu de contribuer à l’amélioration de l’image de leur religion et de la rendre plus rassurante et pacifique, ils continuent à lui creuser les sillons de la voie de la barbarie humaine.
A promouvoir une image de frayeur et de terreur dans laquelle ne se reconnait pas la majorité musulmane mais qui par indolence, par couardise et apathie se résigne à laisser une minorité agissante et ultra violente s ériger en nouveaux messies et seigneurs de la guerre sainte.
Autant, cette majorité est tétanisée et inhibée par les pratiques idolâtres et contraires aux dogmes de l islam, autant elle s’émeut, s’agite et s’embrase dès qu’elle considère que l’on a cherché à bafouer sa foi.
Cette ambivalence à la limite de la schizophrénie est symptomatique de leur incapacité pathologique à inscrire leur religion dans la modernité.A n en pas douter, les vrais ennemis de l’islam, ce n’est ni Wafa Sultan, ni Salman Rushdie ni Salima Tasheen et encore moins Naguib Mahfoudh ou Taha Houssein, voire Mohamed Talbi, qui servent plutôt de bouc-émissaires aux activistes islamistes afin de détourner l’attention de leurs coreligionnaires sur leur  entreprise de démolition de la religion elle même.
La vraie guerre contre  l’islam est l’oeuvre de ses propres enfants pyromanes comme c’est le cas en Syrie.
Ce sont eux les vrais ennemis de la religion musulmane, ils prospèrent en toute impunité son sein et qui veulent tuer Dieu et le prophète pour s emparer de la boite de Pandore afin régner sur la cité.
Une cité peuplée de renégats sans foi ni loi. Imbus d eux mêmes et puisant leurs forces dans leur dogmatisme idéologique, ils ne se rendent pas compte que de par leur attitude troublante et ambiguë, leurs dérives sectaires et leur prosélytisme ultra agressif,  les atteintes à l’ordre public, les intimidations et agitations hystériques, les menaces iconoclastes, la violation de  l’espace public en le transformant en lieux de prières, ils deviennent les alliés objectifs des islamophobes ?
Et ce n’est pas en criant à la vengeance pour laver l’affront fait à leur religion qu’ ils vont rassurer tous ceux et celles qui s inquiètent légitimement du spectre de la terreur brandi par une minorité de musulmans ?
Les mêmes inquiétudes sont ravivées chez les musulmans qui vivent l’islam pourtant depuis des 1400 ans mais qui ont peur de vivre dans l’islam contraignant et étouffant  comme c’est le cas des tunisiens ou’ il existe aujourd’hui parmi eux des courants quelque peu réticents et à l’i’slam tant dans son expression politique que spirituelle.
La Révolution tunisienne a levé le voile sur un pan de  l’islam fort méconnu c est que tous les Musulmans n’ aspirent pas à vivre leur soi-disant islamité dans toute sa plénitude dans leurs propres sociétés.
Ce sentiment de rejet est renforcé par la montée du péril islamiste qui se veut le maître absolu de la vie dans la cité jusqu’aux alcôves.
Peut-être qu’il reviendrait au monde non- musulman d’aider les musulmans de sortir de l’islam comme l’avait suggéré autrefois E. Renan ? l

Pauvre Tunisie qui a fait des bouffons maîtres de son destin politique

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Légitime ? Non ! Illégitime ? Oui ! Mais te voilà au faîte de la gloire, président d’opérette contre toute attente.

Grâce à tes entregents islamistes et ta servilité légendaire, le Raspoutine tunisien, celui qui vient d’endosser les habits sinistres de fossoyeur-égoutier des fosses septiques wahhabites, t’a offert sur un plateau de sang et de larmes les ors de la République tunisienne après t’avoir gratifié de ton premier PC portable.  Toi qui connais mieux que quiconque  en ta qualité de médecin et de malade-interné la définition de cette pathologie mental, tous tes rêves les plus fous sont exaucés au grand malheur des tunisiens.

Arrogant et arriviste, opportuniste, rapace,  parasite, pique-assiette, sans gêne et sans foi ni loi, après avoir profité de la générosité de tes amis parisiens et de l’accueil de la République française sur laquelle, tu as osé cracher alors que tu étais en plein délire psychotique, tu profites de la misère, après avoir tourné le dos à la tienne, d’un peuple affamé et exsangue. Insatiable, gargantuesque, glouton et jamais repu comme tes maîtres-esclavagistes, tu te nourris injustement et sans vergogne des fruits que Bourguiba a laissés en héritage à son peuple et que le 17 décembre 2012 lors de la cérémonie de l’exploitation éhontée de la mémoire de Mohamed Bouazizi ‘as poussé l’outrecuidance de l’ingratitude de le traiter de dictateur. Alors que sans lui, tu n’aurais jamais eu le bonheur de passer du statut de colonisé au statut de décolonisé. Complexé et souffrant de graves troubles bipolaires qui t’ont valu des séjours dans les asiles psychiatriques parisiens au frais du contribuable français, connu pour tes troubles psycho-affectifs, de l’instabilité de l’humeur et de personnalité comme tous tes semblables sortis du néant à l’incurie intellectuelle  inversement proportionnelle à leur boulimie de pouvoir, tu te comportes comme si tu étais le nouvel Hannibal de Carthage, alors que tu n’es rien d’autre qu’un homme de paille, un godillot au service de ses maîtres. Tu es un vulgaire potiche de cet Emir -pachyderme qui se rêve en Calife. Tu es son fidèle serviteur comme son lieutenant local des basses besognes R; Ghannouchi mais avec un rang subalterne.

T’a rabaissé et avili l’image du peuple tunisien, en lui faisant la courbette et te prosternant devant lui, acceptant sans rechigner ses remarques désobligeantes sur le port de ton accoutrement carnavalesque, et surtout ses rappels à l’ordre et le respect que que le serf, plutôt l’esclave, doit à son seigneur. La Tunisie ce n’est pas toi, c’est lui, et c’est tout le drame de notre pays. Mais comme tout mercenaire en mission commandée, tu dois exécuter les ordres que tes commanditaires t’assignent. T’es son chien de garde, tenu en laisse et muselé afin que tu ne lui mordes pas la main de cet Emir qui a fait de toi son sous-émir tunisien. Il connaît ton tempérament et ton caractère versatile et ton retournement de veste. Tu as fabulé sur tes relations tumultueuses avec Ben Alialors que c’est lui qui t’a fait exister pour t’ériger en chef de fil de son opposition de salon, qui lui sert d’alibi démocratique. Alors que tu lui as toujours servi de faire-valoir et de figurant pour son pluralisme politique. Tu as mythifié ton exil en France, à l’instar de cet homme qui a menti sur ses diplômes, en faisant croire que tu étais un exilé politique, alors que tu es un exilé familial, marié à une ressortissante française. Après avoir vécu à ses crochets, tu l’as « répudiée » comme une pestiférée.

Tu voulais effacer d’un seul trait de plume l’amertume de ton séjour parisien, tes échecs professionnels, tes galères matérielles, tes infortunes, tes beuveries dans les bars du quartier latin, ta vie de bohème à squatter les amis, tel cet ami que nous avons en commun et qui attend toujours à ce que tu viennes le débarrasser de ta trousse de toilette. Pris dans le tourbillon du pouvoir, tu t’es déconnecté de ton propre vécu pour te noyer dans le calice du vin amer du raisin de la colère qui couve en Tunisie et qui finira par t’engloutir toi et tes complices comme il a englouti tous ceux qui l’on trahie. Les habits de lumière dans lesquels tes maîtres t’ont drapé qui masquent ton âme noire et ta personnalité obscure finiront par se ternir et devenir ton linceul sombre dans lequel tu seras un jour enseveli. Ta profession pathétique de foi sur ta conversion à l’Islam d’Ennahdha, comme si tu n’étais pas sa créature et son faux-nez, ne trompe personne comme le sésame que tu lui as accordé pour sa prétendue conversion à la démocratie, allant jusqu’à l’assimiler à un parti démocrate-chrétien. Sais-tu au moins de quoi tu parles, à moins que la nouvelle boisson distillée dans les caves du Palais de Carthage t’ait fait perdre définitivement la raison.

Ennahdha n’est pas un parti politique, c’est une organisation mafieuse de type sectaire. Plus proche de l’Eglise de Scientologie et du Temple Solaire mais de  tendance criminelle, terroriste, milicienne, messianique et raciste. Lui donner les apparats d’un parti politique est tout simplement une hérésie.Tu te sers de la laïcité comme tes maîtres se servent d’Allah pour dévoyer et transfigurer les dogmes de l’Islam. Sois homme, loyal, patriote et respectueux du bien public et tu auras la médaille de la dignité nationale, mais je crains que tu n’ aies pas les capacités pour y arriver. T’as déshonoré ce haut lieu de la noble république  tunisienne en le transformant en une cour de récréation pour la réception des prédicateurs-mercenaires-gourous et l’organisation de cérémonies iniatiquies pour les macchabées-women cornaquées par le Coran. Là où Bourguiba et son successeur décernait des tableaux d’honneur aux enfants méritants de la République. Toi président de la République ? Autant promouvoir Jha Empereur de Chine. Ton vaudeville guignolesque a trop amusé la galerie et t’attirer les foudres du public, pas plus tard qu’hier à Sidi Bouzid où tu avais été lapidé comme on les pélerins lapident Satan à la Mecque.  N’est-il pas temps pour toi de te tirer ta révérence et de retourner dans le néant d’où tu es sorti ?

Autant, il t’a été aisé de gravir les marches du palais au tapis tâché du sang tunisien que toi et tes congénères ont sali et profané, autant tu ne pourras jamais graver ton nom comme Bourguiba que tu vomis, ce qui va de soi de la part d’un rejeton d’un père collabo, dans le marbre de lla dignité nationale. A cause de tes bouffonneries, ton esprit charlatanesque, tes allures de poulbot embourgeoisé, et surtout tes inertie et ton manque de charisme, tu fais regretter aux tunisiens l’ancien despote déchu.  T’es qu’une brebis perdue dans la jungle inhumaine du nouveau Tunisiastan à attendre son tour pour servir de mets aux vautours voraces qui peuplent le ciel tunisien. Ils se servent de toi comme un appât pour attirer les niais et les crédules de ton espèce pour les prendre au piège de l’islamisme-social-démocrate, alors qu’il est national-socialiste plutôt nazi que mussollinien. Tes maîtres malveillants pour la Tunisie font de toi une poule faisant le coq dans une basse-cour, alors que tu n’as même pas l’envergure d’un volatil. Naïf, méprisant, indifférent, insensible, dépourvu de patriotisme, imbu de ta personne, girouette, tartour et irresponsable  tu regardes béatement la descente inexorable de ton pays dans les fosses septiques de l’ignominie et de la félonie en fidèle héritier de ton père qui a fait le choix du défendre le colonisateur plutôt que le colonisé. Il y a aussi ton salaire princier octroyé à vie, ta vie ubuesque et burlesque de château, d’amuseur des foules,  de chérubin dans un jardin d’enfants, et tous les privilèges monarquaux y afférents  qui te tournent la tête et pour lesquels tu es prêt à te muer en charognard avide de chair humaine et assoiffé de sang humain tel ton faiseur de sous-Emir R. Ghannouchi celui-même qui reproche aux morts et blessés de l’insurrection tunisienne d’avoir choisi d’affronter délibérément les balles des mercenaires payés par votre maître-esclavagiste qatarien. Toi comme tes acolytes et antipatriotes, vous avez surtout le courage de votre lâcheté et de l’appât de gain trop facile. Je te rappelle ce ver du grand poète Chabbi en guise de conclusion : ne vivra pas en Tunisie celui qui la trahira. Président de paillette avant de finir en goguette.