On ne confie pas la sécurité de la Tunisie aux terroristes de la Qaïda

 

 Les tunisiens avaient cru bien faire en confiant la sécurité de leur pays à une organisation aguerrie dans les crimes terroristes, convaincus qu’il n’y a pas mieux  qu’un terroriste pour combattre le terrorisme, oubliant qu’un  terroriste ne se repent jamais de ses crimes qui ne le sont pas à ses yeux, car accomplis dans le sentier d’Allah.  Ni contrition ni pardon, ni mauvaise conscience.  A supposer que les terroristes se repentent un jour autant croire en la résurrection de Mahomet on ne doit pas faire d’eux des acteurs de la politique sécuritaire du pays et acteurs de la lutte antiterroriste comme on ne fait pas d’un  ancien pédophile un éducateur pour jeunes enfants.

Depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal, ils n’ont jamais vécu dans un climat sécuritaire aussi intenable et violent. Il ne passe plus un jour sans que leur quotidien ne soit endeuillé et le sang des leurs répandu.  Ils avaient espéré au mois de février qu’avec l’arrivée d’un nouveau Monsieur Sécurité allait radoucir leur quotidien et ramener la tranquillité dans le pays. Bien au contraire, l’insécurité est repartie de plus belle atteignant à chaque fois un niveau  de violence inconnu au pays. Ce n’est pas en permutant les pions que l’échiquier sécuritaire va changer de physionomie tant que celui qui les fait déplacer et souffler sur la braise de la terreur continue à les manipuler.

Alors que tout est orchestré habilement par le grand illusionniste R. Ghannouchi, mais peu importe l’élixir tant qu’on a l’ivresse.

Même Satan se trouve affublé de vertus humains  et voilà le lapin Lotfi Ben Jeddou que l’illusionniste local a sorti de sa manche est devenu l’homme de la situation, un vaillant soldat de feu pour circonscrire les foyers d’incendie djihadiste allumés par son organisation-pyromane.

Contrairement aux tunisiens, l’organisation salafo-terroriste d’Ennahdha n’est pas atteinte de schizophrénie  et sujette de crise hallucinatoire, elle sait parfaitement ce qu’elle fait.  Claire et cohérente avec elle-même.

Elle souffle sur la braise de la  terreur et en même temps elle fait semblant de la combattre. Tout est dans les faux-semblants chez elle.

En attendant, cela lui fournit un alibi et un répit pour pérenniser son pouvoir en mettant la main progressivement sur tous les rouages de l’Etat et justifier par la même occasion  le maintien de l’état d’urgence en Tunisie et renvoyer ainsi les échéances électorales aux calendes grecques.

Ali Larayedh le plus fidèle lieutenant de R. Ghannouchi, pyromane en chef et cerveau des incendies terroristes qui frappent la Tunisie, ne peut endosser les habits de capitaine des pompiers, alors qu’il est à l’origine directe du foyer de feu de Jébal Chaâmbi qui embrase le pays.

Quel crédit peut-on lui donner alors qu’il a laissé propager les foyers de feu djihadistes depuis 24 mois  ?

Comment un pyromane qui les a allumés lui-même va-t-il prendre le soin de les éteindre ou favoriser leur extinction en laissant Ben Jeddou actionner les pompes à eaux pour les éteindre  ?

Il est improbable qu’il lui laisse la moindre  marge de manoeuvre surtout que ni l’autre n’en possèdent guère. Il est peu probable que Ben Jeddou qui est de surcroît un homme de basses besognes de Ghannouchi puisse avoir toute la liberté pour contrecarrer la politique incendiaire d’Ennahda, cela veut dire que tout projet de mise sous coupe réglée de la Tunisie soit réduit en cendre.

Il est à douter que l’actuel ministre de l’intérieur puisse mener une politique sécuritaire et de circonscription des foyers de feu djihadistes de sa propre initiative et qui n’aille pas dans le sens du canevas ministériel fixé par son ministre de tutelle qui devrait plutôt rendre compte de ses actes criminels devant la justice tunisienne que de gouverner le pays.

Aussi bien l’un comme l’autre, ils ne sont que deux pions  dans la stratégie de la terreur initiée et conçue par R. Ghannouchi, où chacun d’eux remplit un rôle bien défini et des fonctions précises afin de prendre la Tunisie dans la tenaille qu’actionne selon les circonstances leur maître de cérémonie.

C’est pourquoi, il est illusoire de croire que Ben Jeddou soit animé d’un esprit républicain et patriotique qui tranche avec celui d’Ali Larayedh et qu’il va  ainsi s’employer à sauver le pays du brasier de feu djihadiste qui risque de l’emporter, alors qu’il n’a absolument rien fait pour prévenir aussi bien le foyer de feu djihadiste de Chaâmbi, ni celui  de Sidi Hassine Sijoumi voire celui de Bizerte.  Alors qu’aussi bien l’un comme l’autre, ils sont  tous les deux faces du miroir de Janus ghannouchien.

De même qu’a-t-il fait dans l’avancement de l’enquête sur les lâches assassinats de Lotfi Negadh, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi  auxquels sont venus s’ajouter plus 20 morts dans les rangs de l’armée, de la police et de la garde nationale ? Ou a-t-il mis fin aux activités terroristes de la Ligue de la Protection de la Révolution ? Voire l’annulation des visas aux partis de caractère religieux ? Il a plutôt fait tout le contraire en octroyant un visa à un parti ouvertement religieux.

Rien ne plaide en faveur de son engagement en faveur du rétablissement de la sécurité  dans le pays, c’est un miroir aux alouettes qu’Ennahdha fait miroiter aux Tunisiens, certains hommes politiques se mettent même à le congratuler pour sa politique  sécuritaire responsable et ferme, oubliant au passage qu’un ministre de l’intérieur et notamment dans les régimes despotiques et totalitaires n’a pas les coudées franches et doit appliquer scrupuleusement la feuille de route édictée par son chef de gouvernement qui lui-même doit sa nomination à l’homme du chaos tunisien R. Ghannouchi ?

Ce n’est qu’un rôle de composition, histoire de verrouiller le terrain et endormir la vigilance des tunisiens pour mieux les surprendre et les achever.

Cette histoire de déclaration de guerre salafiste au ministre de l’intérieur est de l’esbroufe, du pipeau, surtout qu’elle permet de faire diversion, innocentant Ennahdha de toute responsabilité dans l’embrasement du pays.

Aussi l’organisation criminelle et mafieuse d’Ennahdha, filiale locale de la Qaïda,  en mettant en scène ce scénario cherche à éloigner les soupçons de collusion entre elle et ses propres escadrons de la mort et empêcher les tunisiens à étouffer dans l’oeuf ses desseins velléitaires, antipatriotiques et totalitaires;

Ce personnage qu’elle met en première ligne est un leurre, un attrape-nigaud, un appât pour attraper le poisson tunisien dans ses filets vitriolés.

Pour l’instant, c’est une mascarade empestant le souffre pour baliser le terrain à une vraie guerre : une guerre terroriste à la syrienne. Elle cherche essentiellement à gagner du temps pour préparer le rapatriement  des corps expéditionnaires internationalistes djihadistes de la Syrie auxquels elle accordera la nationalité tunisienne au nom de la fraternité islamique et qui se fera lui-même le devoir de leur délivrer les passeports, afin de bénéficier de la libre-circulation au Maghreb en vue d’une nouvelle guerre djihadiste dont l’Algérie serait la cible.

Et là ils vont pouvoir déferler sur la Tunisie comme un Tsunami et ses risques de sérieux dommages collatéraux sur l’Algérie.

Ce n’est pas ce gouvernement félon et liberticide aux ordres  du Triumvirat  hégémonique et impérial Qatari- turco-saoudien qui va protéger le pays et sécuriser son territoire alors que sa mission est de faire repousser les semences du Califat islamique.

C’est pourquoi, il est vain d’imaginer ce ministre  se démarquer de la politique scélérate  que mène son gouvernement-complotiste contre l’intérêt national de la Tunisie et de son indépendance.

Quant aux élections, il est plus réaliste d’en faire le deuil comme celui de la démocratie enterrée  en ce jour funeste du 23 octobre 2011.

Le double attentat de Sousse-Monastir est bien la preuve que l’islam tue surtout les siens

Ce double attentat  le même jour et à la même heure, à la perfection d’un horloger et à la synchronisation parfaite qui démontre qui n’est pas l’œuvre d’un amateur désespéré de la vie, est doublement significatif frapper le cœur du bourguibisme et celui du tourisme tunisien.

Les instigateurs et commanditaires qui avaient choisi la veille de la supposée démission du gouvernement-liquidateur des valeurs de la république et grand ordonnateur  de la terreur et des assassinats politiques, savaient parfaitement ce qu’ils cherchaient et ce terroriste ne savait pas qu’il leur servait de simple appoint endoctriné et auquel sans doute le terroriste Rached Ghannouchi fort de sa proximité charnelle avec Allah, a dû certainement promettre d’intercéder en sa faveur pour être élu parmi les élus au paradis.  Il est connu que les promesses n’engagent que les terroristes qui à la crédulité proportionnelle aux ressorts de la violence qui les minent.

En attendant l’auteur de cet attentat-suicide va servir de nourriture eux vers de terre. 2videmment que l’islam n’y est pour rien même s’il fait de la terreur  la nourriture spirituelle des siens. Il n’y est pour rien non plus que le terrorisme soit devenu un véritable code social  dans les pays musulmans et une vocation pour tous les jeunes dont le seul horizon est le lupanar divin.. Qu’attend le monde pour mettre fin aux effets néfastes de l’islam sur le cerveau humain et l’humanité. c’est l’islam qui est la racine de l’islamisme et non l’humanisme.

Il faut être fou ou suicidaire pour aller faire du tourisme en Tunisie

Art. 10 octobre 2013

Qui veut encore faire du tourisme dans un pays musulman et notamment en Tunisie devenue le premier sanctuaire terroriste au monde depuis sa funeste révolution qui est involution ? Qui veut aller là-bas pour mettre sa vie en danger et de servir de festin à l’ogre musulman touristique ?  Qui va dédommager le manque à gagner des professionnels du tourisme ? Qui va sauver les emplois des salariés du secteur ? Qui va aider les centaines de milliers de familles qui dépendent directement et indirectement de l’activité touristique ?  Qui va sauver la Tunisie de son naufrage actuel dont est responsable Ennahdha qui s’est jurée de tuer le secteur touristique, qu’elle considère  injustement comme un  symbole de prostitution et de déperdition alors qu’elle voue elle-même un véritable culte religieux à la prostitution hallal, à la pédophilie et aux atteintes des bonnes moeurs ?

Des questions qui resteront sans réponses. Comme la dégradation de l’image de la Tunisie.
La Tunisie est étranglée économiquement et financièrement, les réserves de change sont taries et on continue à construire des mosquées et à terroriser le peuple pendant que des marionnettes font figure de négociateurs avec la secte infecte d’Ennahdha  pour sauver la Tunisie du naufrage alors qu’elle est déjà noyée et dont le responsable de sa noyade est celui-là même avec qui on dialogue. Plutôt que  de  le qualifier de dialogue national, il serait plus approprié de l’appeler le dialogue antinational.

Les deux attentats de ce jour à la veille du 31 décembre 2013 date supposée  de la démission du gouvernement de la terreur et de la tunisophobie, qui ont coûté la vie à un des terroristes et non kamikaze, une insulte aux patriotes japonais, ne sont-ils pas sans rappeler ceux de leurs aînés et commanditaires en 1987 où était impliqué Hamadi Jébali et le fils de Hamad Karaoui ? Ne sont-ils pas non plus le signe avant-coureur des années de braise à l’algérienne et à l’irakienne qu’Ennahdha est en train de concocter aux tunisiens ? ces deux attentats ne sont pas aussi ratés qu’ils en ont l’air , le but est atteint ; créer un  climat de psychose et de démoralisation qui figeront le peuple dans la peur et le rendre sans réaction ? Ces deux attentats pourraient très bien servir d’entrée en matière du scénario terrifiant qu’Ennahdha est en passe d’écrire avec le sang tunisien.

Par conséquent Sousse-Monastir 2013, Sousse-Monastir 1987, l’hypothèse d’un dénominateur commun entre les deux n’est pas farfelue : Ennahdha. A chaque fois, elle choisit de s’attaquer aux cibles touristiques poumon économique du pays. Pour anéantir un peuple il faut l’affamer et l’effrayer façon Staline.
Ennahdha veut avoir la peau de la Tunisie et elle l’aura.

Depuis qu’elle a fait tomber la Tunisie dans son escarcelle, il ne passe plus un jour sans effusion de sang. Jamais les tunisiens n’ont autant passé du temps à enterrer leurs morts et prier Allah pour le repos de leurs âmes.

Faute d’avoir tenu ses promesses de 517000 emplois en 3 ans, elle en a détruit plus d’1 million mais  en contrepartie elle a créé une nouvelle occupation pour les tunisiens de plus en plus sollicités par des cérémonies funéraires et des veillées funèbres.

L’activité économique quant à elle, est reléguée au second plan. En pays d’Allah c’est moins l’état de santé de l’économie du pays qui prime, seule la vigueur de la religion importe. Ce qui est logique le culture de la mort avant les devoirs de la vie. Allah n’a jamais prescrit aux siens d’œuvrer pour leur bien-être matériel. Voilà pourquoi l’islam est source de misère et de sous-développement chronique. Le paupérisme est le seul lot des musulmans et la mort dans le sentier d’Allah est leur seul idéal de vie.

Un dialogue national pour achever la Tunisie

Presidential standard of Tunisia
Presidential standard of Tunisia (Photo credit: Wikipedia)

 

Je n’ai pas pour habitude de tirer des plans sur la comète. Je reste prudent et méfiant tant que le virus d’Ennahdha n’a pas été définitivement éradiqué et le foyer viral de l’A.N.C. détruit je ne crois en rien.

 

Je préfère me tromper seul plutôt que de me laisser abuser par l’optimisme ambiant qui ne préjuge de rien sauf de l’enlisement définitif  de la Tunisie et rendre inextricable sa sortie de l’impasse. Vous ne connaissez pas les islamistes désolé de vous le dire et vous ne reconnaissez rien à leurs noirs desseins qui dépassent largement le cadre de la Tunisie.

 

Se croyant investis d’une mission sacrée d’islamisation du monde et de ré islamisation des sociétés dites musulmanes, tout recul entrepris est une duperie, une manœuvre pour  abuser de la bonne foi de leurs adversaires, tromper leur vigilance afin de les prendre à défaut.

 

C’est une tromperie sur la marchandise, ne vous fiez pas à la couleur et à la qualité de l’emballage, le contenu est néfaste pour l’humanité. Je n’ai pas de solution miracle, tout compromis avec eux est une compromission, c’est le couteau que vous leur tendez pour vous égorger avec votre plein consentement. Ne faites des ennemis du dialogue des partenaires au dialogue. Tout dialogue avec eux est un acte criminel et irresponsable, une complicité de crime  pour haute trahison de la Tunisie aujourd’hui et contre l’humanité demain. Car on ne négocie pas avec les terroristes et les traîtres islamistes.

 

A moins que par le biais de cette voie on cherche soit à leur servir d’idiots utiles, de faire-valoir intéressé, soit céder à leur chantage pour les immuniser de leurs crimes, comme semble le souhaiter cette girouette notoire le Haj Chebbi connu pour avoir choisi le pèlerinage de la Mecque pour sacrer son pacte anti-Ben Ali avec le Cheikh autoproclamé R. Ghannouchi traître dans l’âme, apôtre des retournements de veste et de l’entourloupe  et grand gourou de l’enfumage et du leurre.
il faut créer un cordon sanitaire contre ce virus mortel d’ores et déjà. On ne peut les avoir que par la ruse et la vigilance patriotique.

 

Kamel Jendoubi l’homme de tous les malheurs de la Tunisie

110209 Ennahda Movement returns to Tunisian po...
110209 Ennahda Movement returns to Tunisian politics | عودة حركة النهضة للساحة السياسية التونسية | Retour du mouvement Ennahda sur la scène politique tunisienne (Photo credit: Magharebia)

Daté du 16 novembre 2011

En toute évidence les dés étaient pipés d’entrée de jeu. Les électeurs tunisiens étaient appelés à élire des rédacteurs de leur future constitution et s’étaient trouvées  in fine à l’insu de leur plein gré à voter pour des législatives et un régime parlementaire qui ne disait pas son nom matérialisant ainsi le régime politique  que le mouvement milicien d’Ennahdha voulait imposer à la Tunisie pour tenir le pays dans le creux de la main.
Avec une assemblée à dominante islamiste, Ghannouchi qui rêve d’un régime à l’iranienne ou à la soudanaise pourra avoir tout  le loisir d’exercer son pouvoir dictatorial sur le pays et mettre en oeuvre son projet d’islamisation intensive de la société tunisienne et la « théocratisation » des structures  de l’Etat.
Grâce à la complicité de l’I.S.I.E. qui a procédé à l’habillage démocratique du scrutin et a servi d’exécutant de basses besognes, les tunisiens sont tombés dans le pire traquenard politique de l’histoire universelle et Ghhannouchi en toute légitimité politique a réalisé sans que personne n’y prenne garde ses sinistres desseins hégémoniques. Ce qu’il voulait avoir par le pouvoir de la terreur, il l’a obtenu par la voie la plus pacifique du monde : les urnes qui sont en réalité les urnes des cendres de la Tunisie.
 Mais tout ceci semble avoir échappé à la vigilance  de ses juristes, ses politologues et aux opposants politiques d’Ennahdha.
Comment une telle confusion grotesque a-t-elle pu berner à ce point tout le monde ? Ni B.C.E. ni personne d’autre ne s’est méfié à tort ou à raison de cette grosse couleuvre qu’ils ont refilée au peuple ignorant des subtilités politiques du droit électoral. Avec un minimum de b a b a, on aurait épargné aux tunisiens d’avoir été les dindons de cette farce tragique.
 Elire une assemblée constituante ce n’est pas pour lui confier le destin politique du pays et en faire sa colonne vertébrale, c’est pour donner corps aux aspirations du peuple tunisien : liberté, dignité, citoyenneté, égalité justice, solidarité et travail et inscrire en toute lettre  dans son préambule l’attachement inaliénable de la Charte Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen. De même que doter la Tunisie d’un véritable socle démocratique et républicain dépouillé de toute référence au sectarisme religieux et linguistique. Ni la langue ni la religion ne sont fécondateurs de progrès humains et de la richesse plurielle d’un peuple.
 Elle ne peut en aucun cas être assimilée à une assemblée de représentants du peuple  chargés d’élaborer et voter des lois dans le respect des lois fondamentales  dont le pays n’est plus pourvues depuis l’abrogation antidémocratique et arbitraire de la Constitution de 1959 pour laquelle, il fallait demander l’approbation de la majorité des tunisiens avec l’obligation que 50% plus 1 des électeurs potentiels expriment leur suffrages.
Elle n’a aucun pouvoir législatif et donc aucune autorité de quelque sorte que
ce soit en dehors de son pouvoir de dessiner le futur paysage politique et institutionnel de la Tunisie.
Non seulement, elle est indépendante de l’exécutif ce qui va de soi dans la mesure où  il n’ est pas au demeurant l’émanation.
Le gouvernement gouverne indépendamment de l’assemblée constituante et sans qu’il fasse l’objet de censure dans son action de gestion des affaires courantes du pays du fait de son caractère transitoire.
 Ennahdha a manœuvré habilement au nez et à la barbe  de tous tunisiens se prévalant d’une prééminence parlementaire lui conférant toute la maµîtrise totale du pouvoir et ce sans qu’aucun cadre constitutionnel ne le définisse. Comme si un voleur devenait propriétaire d’un bien fruit de ses rapines  le plus légalement du monde grâce à la mauvaise appréciation de ses juges.
Tout le monde semble avoir oublié à moins qu’il ne s’agisse d’une véritable escroquerie électorale en bande organisée, a validé une ineptie politique qui devrait justifier l’illégitimité d’Ennahdha et l’invalidation de l’A.N.C.  Ennahdha na jamais été élue pour diriger la Tunisie, elle est juste  partie prenante à la rédaction de la future constitution, synthèse de la diversité politique et multiculturelle de la Tunisie. Les tunisiens n’ont par conséquent jamais élu des parlementaires quand bien même se serait quel serait alors le cadre juridique le fixant ?   Ils ont normalement élu des petites mains avec des pouvoirs spécifiques qui ne doivent avoir aucun impact sur le pouvoir exécutif et judiciaire.
Comment a-t-on pu aussi leur octroyer des pouvoirs législatifs en l’absence de constitution censée définir leurs attributions et prérogatives ?
Jamais la Tunisie n’aurait dû suivre cette voie truffée de pièges posés par Ennahdha qui va la conduire dans un état de chaos politique intenable et exécrable.

L’homme musulman est né pour servir Allah et tuer la démocratie

L’Islam, en tant qu’idéologie, instrumentalise la religion afin de « coloniser » la vie des hommes dans ses aspects personnels, sociaux, politiques et cultuels, et ne peut qu’être hostile à tout autre mode de gouvernement susceptible de donner aux gens les moyens de les détourner de son pouvoir despotique.

Né pour servir son dieu et non pour réfléchir sur le sens de son existence

L’Islam ne conçoit pas que l’homme puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est de répandre la parole d’Allah sur terre et instaurer le modèle de l’Etat islamique tel qu’il est défini par le Coran.

Car l’islam n’est pas qu’un simple système de croyances et de pratiques cultuelles personnelles et communautaires.

Il est le cadre de vie, le mode de gouvernement, là où il n’existe pas de pouvoir autre que celui de dieu sur les hommes. Il est à la fois religion, Etat et monde. Il prohibe toute séparation entre le sacré et le profane, le séculier et le séculaire, le politique et le religieux.

Ce que dieu a ordonné et ordonnancé, l’homme n’a pas à y interférer

N’est musulman que celui qui se soumet sans discernement aux dogmes de sa foi. S’en écarter est assimilé à un sacrilège qui expose le déviant aux pires châtiments. Plus proche du bolchevisme et du nazisme que du bouddhisme ou du christianisme, il se veut le seul maître et architecte de l’environnement politique dans lequel doivent évoluer ses adeptes, réglant avec la minutie de l’horloger leur façon d’être, de concevoir, de penser et de vivre jusqu’à leur façon de s’habiller.

Les musulmans n’ont pas de prise sur leur propre vie, ni le droit d’agir et de choisir par eux-mêmes. Ils sont des pions sur le grand échiquier élaboré par dieu et dont la finalité est d’instaurer un nouvel ordre mondial dont les musulmans sont le maître.

Un musulman n’est pas en droit d’avoir des choix politiques ni d’exercer sa liberté de conscience et d’expression. Comme un majeur incapable, il doit accomplir ce que dieu lui a dicté. N’étant pas doté de volonté propre, il n’a pas à être acteur de sa vie personnelle ou politique.

Dans les sociétés islamisées, seules la loi d’essence divine a cours. Toute loi n’ayant pas ce caractère sacré est considérée comme apostasie.

Ce mélange qui s’articule autour de l’omniscience et l’omniprésence de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à la démocratie, car seul Allah a le pouvoir de légiférer, en opposition totale et absolue avec notre droit positif.

Dès lors, quoi de mieux que la démocratie pour permettre d’ôter le carcan, le poids étouffant, de la religion sur la vie des hommes, et constituer une antidote à leurs maux ?

Favoriser la démocratie revient à sonner le glas de l’Islam

Mais les gardiens des dogmes de la foi lui opposent hostilité et rejet au nom de la pureté des sources de l’Islam. A leurs yeux, la démocratie, concept par essence profane, présente un grand danger pour la pérennité de l’Islam. La favoriser revient à sonner le glas de l’Islam. La démocratie est l’ennemi à abattre car elle risque de faire non seulement de l’ombre au pouvoir despotique de l’Islam, mais surtout de provoquer cette onde de choc libératrice des musulmans, les éloignant ainsi du totalitarisme de l’Islam.

La démocratie est une doctrine politique, d’essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens (notion inconnue dans le Coran) au sein d’une organisation qui a souvent la forme d’une république (en opposition à la notion de l’Oumma). Dans un régime démocratique, les hommes sont libres de choisir leur mode de vie (interdit dans l’islam), leurs choix politiques (interdit dans l’islam où une seul loi existe), et ils ont la liberté de conscience (interdite dans l’islam).

Le coran ne reconnait pas l’égalité homme/ femme

Un Etat démocratique repose sur le principe inaliénable d’égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe (le coran ne reconnait pas l’égalité homme/ femme), et de leurs origines indépendamment de leur foi (contrairement à l’islam).

La démocratie protège les citoyens sur des critères différents de ceux définis par le Coran ou la Charia, qui autorisent de discriminer les incroyants et de leurs réserver des châtiments. Un Athée n’a pas le droit à la vie en terre d’Islam. C’est soit la conversion, soit la mort, l’exil ou la jizya, une sorte de racket religieux afin de jouir du statut peu enviable – et à forte connotation raciste – de dhimmi. Les musulmans sont dotés des vertus de la pureté, et les non musulmans de l’infamie de l’impureté.

L’Islam ne condamne pas non plus les inégalités sociales. Dieu aurait créé les riches et les pauvres, et nul n’étant en droit d’en contester le fondement, les musulmans doivent s’y résigner. De même que l’égalité entre les hommes ne s’applique qu’aux seuls fidèles. Fonder l’égalité sur le critère de piété est comme Hitler qui basait l’égalité entre les hommes sur le critère du sang.

En conclusion, une organisation politique qui ne reconnait pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle sa liberté de culte et de conscience inscrits dans la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 (jamais adoptée par les Etats Islamiques) est liberticide, totalitaire et théocratique.

L’illusion démocratique est un fantasme pour les rêves des femmes et des hommes qui aspirent à un monde meilleur, mais qui ont eu la malchance de vivre sous le joug du despotisme musulman.

Différencier les hommes, les catégoriser, les exclure et les ostraciser n’est pas sans rappeler le Reich nazi, et fait peser de sérieux doutes sur la nature même de l’Islam en tant que religion stricto sensu.

Il n’y a que le Vatican et l’Occident qui ignorent que l’islam mène le djihad contre les chrétiens

Partout dans le monde musulman les chrétiens sont massacrés,  martyrisés, persécutés, violés, kidnappés,  opprimés, bannis, traités comme des rebuts de l’humanité,  confinés au rang de dhimmis, des véritables intouchables qui ont le choix entre le cercueil ou l’exil  ce dans  l’indifférence totale  du Saint-Siège et  de l’Occident.

Les nés musulmans convertis au christianisme sont obligés de vivre leur foi chrétienne en cachette  de peur de se faire égorger et crucifier alors que les chrétiens soumis à l’islam ne sont  ni condamnés et stigmatisés par leurs ex coreligionnaires au nom de la liberté de conscience.

L’islam fort d’une impunité coupable comme autrefois le nazisme, fait vivre l’enfer aux minorités chrétiennes sur ses terres, laissant clairement entendre qu’il n’a jamais cessé sa croisade anti-chrétienne.

Des milliers  de chrétiens  sont massacrés chaque année au Pakistan, en Indonésie, en Syrie, en Egypte et au Nord du Nigeria. On a  purifié l’Irak et la Jordanie de leurs chrétiens, de même que Gaza. Plus aucune  trace de chrétiens en Arabie et au Yémen. On met en prison, en Tunisie, en Egypte, en Libye au Maroc et en Algérie ceux qui réintègrent la foi d’origine de leurs ancêtres. On extermine les chrétiens dans le sud du Soudan. .

On interdit la construction des églises en terre soumise aux  intolérantes et hyper répressives lois de l’islam.

Fort du  silence approbateur du Vatican, l’islam ne manque plus une fête de Noël pour endeuiller la chrétienté. Martyrisant, massacrant les chrétiens et brûlant leurs églises. Comme si les chrétiens éprouvent une certaine jouissance masochiste dans leur nouveau Calvaire.

Un véritable nettoyage religieux s’opère sous le regard absent du monde entier et surtout des autorités ecclésiastiques et les gouvernements occidentaux qui semblent faire le choix des pays musulmans où il ne fait pas d’être chrétien.

Le monde s’inquiète du sort des islamistes égyptiens mais personne ne s’inquiète du sort des Coptes en Egypte et des communautés chrétiennes en Syrie, pourtant le témoignage vivant de la présence millénaire chrétienne au Moyen-Orient..

Tout se passe comme s’ils étaient une quantité négligeable sacrifiés sur l’autel des intérêts géostratégiques, géo-énergétiques et bassement affairistes et mercantiles.

A se demander si les chrétiens dans ces pays sont des humains entièrement à part, des sous-hommes,  un détail insignifiant qu’on doit occulter pour ne pas froisser la sensibilité à fleur de peau des mahométans regroupés au sein de l’Organisation de la Conférence Islamique, qui se rêve en futur gouvernement mondial.

Qui a le courage de mettre l’islam en face de ses responsabilités vis-à-vis des minorités religieuses vivant en son sein et qui sont  les vrais « indiens » de ces pays  et menacés d’extermination ?

Au lieu de le mettre en quarantaine de »communauté internationale » pour ses manquements aux lois internationales et exiger de lui les règles de réciprocité, on lui déroule à ses pieds le tapis rouge couleur de sang des martyrs chrétiens dans le monde musulman

Malgré tout cela et bien pire encore, les musulmans demandent au Vatican la reconnaissance de l’islam en tant que religion de paix.  Une religion d’agression et d’ intolérance certainement.  La paix sous la contrainte de la soumission à l’islam pour avoir la vie sauve.

Il n’y a pas meilleure unité de mesure pour tordre le cou au mythe de l’islam de paix que la géopolitique de la répression et des injustices dont sont victimes les chrétiens dans le monde musulman et surtout arabophones.

Contrairement à l’Islam, c’est le Vatican qui se voile la face, à moins qu’il considère les chrétiens d’Orient comme des chrétiens hérétiques et qui mériteraient ce que les musulmans leur font subir

Pour abattre Ennahdha et sauver la Tunisie, il faut détruire l’A.N.C.

Presidential standard of Tunisia
Presidential standard of Tunisia (Photo credit: Wikipedia)

Si l’on veut sauver le patient Tunisie il faut détruire le foyer cancérigène  de l’A.N.C.

Afin d’éradiquer un cancer, il est crucial de détruire les cellules souches. Le même raisonnement s’applique à la Tunisie. Il est inutile de s’attaquer aux effets de son cancer à l’état de métastase si on l’ampute pas de ces cellules à l’origine de son état d’agonie.
Son cancer dont les symptômes  sont devenus visibles sous Ben Ali quoiqu’il fusse latent sous Bourguiba, se sont aggravés depuis  le jour du 23 octobre 2011 où des faux médecins et à leur tête l’imposteur lui ont inoculé un virus pire que le sida, Ennahdha, en lui faisant croire que c’est la meilleure thérapie pour la guérir de son cancer du colon.
Conséquence de cet attentat médical dont elle fut victime et qui rend son processus vital très aléatoire, elle a développé un nouveau cancer diagnostiqué par les millions d’experts médicaux tunisiens qui prolifèrent dans le pays comme étant le cancer de l’.A.N.C.
Comme seule la médecine humaine est capable de miracle et ce n’est certainement pas ces charlatans qui font d’un livre obscur et inintelligible une thérapie divine pour guérir les tunisiens de leurs maux alors qu’ils sont les premiers à profiter des bons traitements de la médecine des hommes, il n’y a pas d’autre alternative si l’on veut sauver le soldat Tunisie et de le remettre en selle pour livrer une bataille titanesque  pour sa propre survie contre l’un des pires ennemis de son histoire est l’anéantissement total des cellules létales comme de l’A.N.C.
Ce n’est pas en remplaçant l’équipe paramédicale par une nouvelle qui va appliquer les remèdes prescrits par ces 217 faux médecins qui entretiennent et diffusent le cancer de l’A.N.C. que l’on va obtenir la rémission totale de son cancer à l’état de métastase.
Les mêmes méthodes ne font pas que concourir vers les mêmes résultats, l’une permet de préparer le terrain et le miner et l’autre pour achever le travail.
Ainsi une fois que le corps du patient Tunisie a été fragilisé et affaibli définitivement les charlatans de la thérapie divine n’auront aucun mal à lui porter le coup de grâce.   Si les vrais médecins s’étaient penchés sur son chevet dès le soir du 14 janvier 2011 en lui appliquant une thérapie de choc en purgeant son organisme de toutes les cellules cancérigènes est-ce que son cancer serait dans ce stade quasi terminal ?
Faisant fi de l’expérience tragique sous l’impulsion des faux médecins tel que ce Kamel Jendoubi, qui n’a même pas le titre d’infirmer diplômé d’Etat, mais au pays des guignols les charlatans et fabulateurs sont rois,  on veut de nouveau  employer  la même approche médicale pour soi-disant ménager sa santé,  de quelle santé s’agit-il ?,alors que les vrais cancérologues sont très pessimistes sur ses chances de survie.
Les enfants de ce patient  au pronostic vital engagé doivent savoir qu’il y a toujours une lueur d’espoir dans le désespoir mais à condition qu’ils s’arment de bistouris et partent à l’assaut du foyer cancérigène de l’A.N.C.

Sans l’A.N.C. Ennahdha n’existera plus

L’A.N.C. est la clé de voûte du système de Ghannouchi, en faisant exploser cette voûte, Ennnahdha n’aura plus d’atout dans son jeu et perdra toute son apparente légitimité.  La secte infecte d’Ennahdha rompue à l’activisme terroriste joue beaucoup sur le silence de ce peuple, son inertie pathologique et son  son indifférence au sort de sa patrie,, elle y voit comme une adhésion expresse à sa politique de la terreur, lui conférant cette légitimité dont elle se prévaut.
Or, si l’on veut lui ôter cette sacro-sainte légitimité, il faut la prendre au piège de son propre jeu. Il n’y a pas d’autre carte plus efficiente que de lui couper la seule branche de salut à laquelle elle s’y arc boute, car elle sait que si elle  la perd elle sera emportée tel un pantin par l’explosion de la colère qui couve en Tunisie.
Toute autre voie en vue de la résolution de la crise aiguë tunisienne ne peut que favoriser ses desseins chaotiques, antipatriotiques, terroristes et mafieux pour la Tunisie.
Plus encore tout compromis et concession avec la secte félonne et milicienne wahhabite est un nouvel acte de haute trahison contre la Tunisie après celui du 23 octobre 2011 dont l’auteur est un certain Kamel Jendoubi, homme insignifiant, incompétent, opportuniste et sans envergure mais qui a causé à la Tunisie est un  des pires tourments de son histoire.
Si l’on tient à la survie de la Tunisie, il faut l’amputer de cette cellule cancéreuse qu’est l’A.N.C.

La démission du gouvernement de Larayedh n’y changera rien et l’incendie ne s’y arrêtera pas pour autant

 

Dans 3 jours, il ne se passera rien et la démission hypothétique du gouvernement de Larayedh n’y changera rien
Le cauchemar tunisien persistera encore et toujours tant que l’A.N.C. n’est pas tombée. Le foyer de l’incendie n’est pas le gouvernement, c’est l’A.N.C. Il faut circonscrire le lieu du départ de ce feu.
On va me sortir la sempiternelle litanie : tu n’as qu’à venir pour nous montrer ce dont tu es capable. Ce n’est pas en me rendant sur place  comme Marzouki et Jendoubi à l’origine du désastre de la Tunisie  que je peux être utile au pays. Dans la situation qui est la mienne je crois que je suis plus utile loin et vivant que mort en Tunisie. Ma vie est aujourd’hui en péril dans tout le monde musulman où mon nom circule partout comme étant un islamophobe de la graine de Kamel Atatürk.  
Aux yeux des musulmans l’islamophobie est synonyme d’apostasie à cause de mes supposées origines musulmanes. Pas de procès d’intention inutile.
Le combat des idées est loin d’être négligeable, il est aussi efficace que le militantisme sur le terrain. Ce sont bien les idées qui éclairent l’action et la nourrit. C’est trop facile de ne pays y avoir une réelle prise de risque. Nombreux sont les hommes qu’on a tués pour leurs idées et surtout dans les pays musulmans comme peuvent en témoigner l’Egypte, l’Algérie  endeuillés au cours de ces trente dernières années par la perte de leurs enfants parmi les plus brillants dont le seul crime est d’avoir lutté par la plume contre l’obscurantisme musulman.
Ne jetez pas aux orties vos compatriotes et amis qui oeuvrent pour la liberté de la Tunisie quel que soit le lieu où ils se trouvent et dont la plume est l’expression de leur amour pour la Tunisie et le refus de la défaite de la démocratie.
 
 
 

Être musulman c’est avouer sa haine pour l’humanité qui n’est pas la sienne

Iraq Violence Trends

Pourquoi la non-violence est-elle un sacrilège dans l’islam ?
Je souffre pour tous ces morts au quotidien qui ont le malheur de vivre parmi des fous qui jouissent d’une véritable impunité juridico-theologique.

Je suis contre l’islam comme je dois l’être contre le nazisme et tout système de pensée socio-politique totalitaire et liberticide.
Je n’ai pas à avoir de la compassion et de l’empathie pour des humains qui n’ont que haine pour leurs semblables.
Je ne suis pas masochiste pour plaider la cause des individus qui seront demain mes bourreaux. Ils sont peut-etre les premières victimes de la folie meurtrière de leur propre utopie idéologique mais ils ne font que récolter le vent de la mort qu’ils sèment dans la voie de leur divinité sanguinaire.
Être musulman c’est comme si un agent de la Gestapo était fier de son brassard nazi.
 Je suis un islamo-sceptique  qui refuse de dissocier l’islam de la violence et qui ne supporte pas de voir que l’on tue des êtres humains au nom d’Allah Akbar.
Il est de mon droit d’exprimer ma defiance et méfiance pour un culte aussi demoniaque que morbide qui exalte sanctifie la violence et récompense les meurtriers.
Je m’étais demandé un jour si le coran et les hadiths condamnaient explicitement la violence est-ce qu’il y aurait autant de sauvagerie et tuerie  chez les  musulmans ?
Rien qui peut plaider en faveur de la non-violence dans les sources « sacrées » auxquelles s’abreuvent les musulmans. Tout se passe comme si la violence leur sert d’élixir pour exciter leur ardeurs meurtrières.
Quand on se veut une religion de paix, on doit amputer le coran de tous les versets qui incitent au meurtre de  son prochain et  abolir tous les hadiths, ne serait-ce de par leur caractère apocryphe, qui font l’apologie de  la haine de l’autre et du crime sacralisé.
On ne peut que croire que la violence est la seconde nature de l’islam comme en témoigne le silence pesant des doctes de la foi musulmane. Rien qu’en France qui a entendu un jour le Recteur Dalil Boubakeur, cette icône médiatique ou plutôt pathétique de l’islam modéré,  lancer un appel solennel de principe à ses coreligionnaires en Irak, en Afghanistan ou en Syrie pour l’arrêt  de la spirale sans fin de la violence qui frappe pourtant en premier lieu les musulmans eux-mêmes ?
A-t-il lui-même organisé une journée de jeûne et de prière pour dire stop à la violence et rendre hommage à la mémoire de toutes ces victimes innocentes qui ne demandaient qu’à jouir de la vie ?
Tout donne à penser que si aucune autorité religieuse sunnite  digne de ce nom n’ jamais condamné publiquement  tous ces massacres devenus le lot quotidien des musulmans vivant dans les pays de la culture dogmatique de la mort, c’est parce qu’elle ne peut désapprouver ce que les lois de l’islam l’ordonnent.
Si soutenir l’homosexualité est déjà en soi une apostasie comme vient d’en faire l’amère expérience le Dr Muhammad Yunus, alors quelle sentence canonique va-t-on prononcer à l’encontre de l’insolent qui commet le sacrilège de désavouer et disqualifier la violence et les coupables ?
En toute évidence, ces exactions frappées du sceau du sacré infâme sont tout simplement licites et conformes à l’esprit et à la lettre du vrai islam.   Comme si la violence est une sorte de liquide rachidien pour les musulmans et que son asséchement  peut entraîner la disparition de l’islam lui-même. En
le régénérant quotidiennement, on maintient en vie cette idéologie devenue de plus en plus néfaste et périlleuse pour la vie des siens qui n’ont pas choisi de naître musulmans et qui se trouvent musulmans contre leur plein gré.
L’islam a toujours servi de catalyseur à la violence.
Elle ne s’est pas intensifiée aujourd’hui contrairement à ce qu’allèguent ses laudateurs ignorant de l’histoire des crimes contre l’humanité perpétrés au nom de l’islam depuis que cette idéologie  de l’épée comme langage de conversion, de pillage, de rançon et de brigandage  a quitté son désert aride et inhospitalier d’Arabie.
L’islam, religion de paix et non-violence n’est pas un oxymore, c’est la pire offense qu’on puisse lui faire.
N’est-il pas curieux qu’il n’existe aucun apôtre  musulman de la non-violence ou un humanitaire digne de ce nom qui fait le bien pour tous les hommes sans distinction depuis que la naissance de l’islam et que les figures les plus illustres de cette religion sont tous des monstres de la cruauté humaine ?
Quand aux savants dits arabo-musulmans, rares sont ceux qui ont pris ouvertement le parti de la non-violence.
Tout humain a le droit plus que jamais de s’inquiéter du déferlement de la violence musulmane sur le monde d’une part et a le devoir d’autre part d’agir par tous les moyens surtout peser sur les politiques de ses gouvernants à l’égard du bellicisme musulman. Il est temps que l’islam comprenne qu’à force de jouer au pyromane, il finira par s’en embraser lui-même. Le feu tue aussi le feu.

En quoi les musulmans ont le ruban noir de la meilleure communauté au monde ?

Vous êtes bien la meilleure communauté jamais envoyée sur cette terre que vous aimez tant au point que vous l’arrosez au quotidien de votre propre sang à force des bisounours entre vous.
Mais celui qui vous  a bernés avec cette insanité fondamentalement raciste a omis de préciser dans quelle catégorie  vous êtes les premiers de la classe.
Au vu de vos performances actuelles et passées nul doute que détenez la  palme d’or noir en matière d’obscurantisme et du figisme.
En effet, c’est trop facile d’être les meilleurs quand vous faites de l’obscurité le phare pour vous éclairer dans votre monde des ténèbres.
On ne voit pas vos ombres dans le long tunnel plongé dans un noir opaque  que vous empruntez.
Vous croyez que personne ne pourra vous observer et regarder en quoi vous êtes les meilleurs. Vous oubliez qu’on a beau se cacher du regard de l’autre et du sien mais ce que vous ne pourrez jamais dissimuler ce sont les preuves irréfutables de votre état de nullité pathologique et d’archaïsme et de barbarie dogmatique.
Vous n’avez aucun risque quant à la perte  de votre première place que même les hommes des cavernes ne peuvent rivaliser avec vous. Celui qui vous mis ça dans la tête a parfaitement raison de de dire que vous êtes des orfèvres en matière de vandalisme et de destruction des civilisations alors qu’il aurait de vous enseigner  la culture du travail, un mot absent dans le Coran comme aussi celui de l’amour de l’humain différent de vous avec les mêmes droits que vous, et non avili et rabaissé « dhimmitude »
Vous l’art de transformer les paysages vivants en paysages lugubres et sinistres.  Vos cités ressemblent à des camps de la mort que seuls les appels à la prière viennent troubler le silence pesant et cafardeux.
Rassurez-vous, les meilleurs vous l’êtes, dans la haine entre vous.
Les meilleurs vous l’êtes dans la terreur que vous semez chez vous comme ailleurs.
Les meilleurs vous l’êtes dans le fanatisme, l’ignorance et l’intolérance.
Les meilleurs vous l’êtes dans la négation des droits de la femme, leur bannissement et les traitements dégradants et inhumains que vous leur infligez.
Les meilleurs vous l’êtes dans cette course effrénée à contrecourant de l’histoire.
Les meilleurs vous l’êtes dans l’ultra réaction, l’ultra conservatisme et l’hostilité dogmatique aux changements, à l’innovation (bida’a)  et aux progrès humains.
Les meilleurs vous l’êtes dans les atteintes aux droits de l’homme.
Les meilleurs vous l’êtes dans l’hystérie collective et le spectacles tragiques des foules en délire psychotique.
Les meilleurs vous l’êtes en faisant de la violence un dogme religieux.
Les meilleurs vous l’êtes dans la violation de l’innocence de vos enfants  et la protection de leurs droits.
Les meilleurs vous l’êtes dans les crimes de sang et d’honneur alors que vous livrez les corps de vos femmes, vos filles, vos sœurs, vos mères en offrande pour apaiser l’appétit sexuel de vos djihadistes.
Les meilleurs vous l’êtes dans les statistiques de la pédophilie et de la lapidation.
Les meilleurs vous l’êtes dans la criminalisation  des victimes de viol et la relaxe des coupables.
Les meilleurs vois l’êtes dans la nécrophilie, la profanation satanique des cimetières, le cannibalisme et la zoophilie.
Les meilleurs vous l’êtes dans la xénophobie, le racisme et l’esclavagisme.
Les meilleurs vous l’êtes dans l’homophobie et le refus maladif de votre propre homosexualité que vous pratiquez pourtant dans le djihad et ailleurs.
Les meilleurs vous l’êtes dans les procès en inquisition et la perversion morale.
Les meilleurs vous l’êtes dans l’injustice, les inégalités, la corruption, le favoritisme, les abus de privilège, l’exubérance, la luxure, la fornication, la nymphomanie, l’échangisme, la vanité, le meurtre, le terrorisme, la tartufferie, la cupidité, la paresse, la cruauté, l’inhumanisme, le sectarisme, le défaitisme, le charlatanisme, le fatalisme, l’autoflagellation, la victimisation, l’antisémitisme, la félonie. La liste de vos performances est tellement longue que même Jacques Prévert lui-même  serait incapable d’en faire l’inventaire.
Jamais vous ne serez les meilleurs dans les vertus humaines et le respect de la vie et du bien vivre ensemble tant que vous ne rentrez pas dans les rangs.
Quand on est pas un exemple pour soi, on ne peut être meilleur que les autres. Vous oubliez combien des nés musulmans ont de plus en honte de s’identifier à votre communauté mais qui n’ont pas le courage de la quitter ou d’avouer publiquement leur indignation et mécontentement de peur de se faire accuser d’apostasie et s’exposer au châtiment suprême.
Vos propres coreligionnaires qui aspirent à vivre en harmonie avec le monde ne supportent plus votre arrogance, votre aveuglement et  votre suffisance et refusent par conséquent de s’identifier à une communauté sectaire, envahissante, colonialiste, imbue d’elle-même, égocentrique et mégalomaniaque.
Pour être reconnue comme une communauté digne de respect , il faut d’abord qu’elle respecte les lois humaines universelles auxquelles elle veut leur substituer les siennes et qui se verrait un jour maitresse du monde.
Une communauté se voulant de surcroît religion abrahamique alors qu’elle que son prophète autoproclamé a aboli les 10 commandements pour rendre licite les crimes et les délits, les méfaits et forfaits contre les chrétiens et les juifs,
Apprenez à devenir une communauté de sagesse et d’humilité et le monde vous en sera éternellement reconnaissant, car tant que vous faites de l’ethnocentrisme votre code de conduite et votre règle morale, vous ne faites que creuser vous-mêmes votre propre tombe. Et comme le dit Gabriel Meurier : « Quand l’orgueil chemine devant, honte et dommages suivent de près. »

Soutenir les homosexuels n’est pas une apostasie, ce qui l’est c’est la pédophilie islamique

Le Prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus, pionnier du micro crédit  qui a tout sacrifié pour le bien de ses compatriotes et pour leur droit à la dignité humaine par le travail est condamné à mort par les bons et fidèles musulmans du Bangladesh pour apostasie pour avoir manifesté publiquement son soutien aux homosexuels locaux.
Et pourtant ces mêmes musulmans sont les premiers à s’adonner à l’homosexualité hallal et pire encore pédophiles dans la pure tradition mahométane.
Tout est permis surtout le vice quand il porte le cachet de l’islam et tout est prohibé et passible de la peine de mort quand il relève de la morale humaine et synonyme de vertu.
L’islam a le vice de dévoyer les bonnes mœurs. La même foule ne manifestera pas contre le viol, car il est conforme à l’islam.
Ce n’est pas elle qui est sortie dans la rue pour dénoncer cette loi de l’abjection humaine légalisant le viol au Pakistan. Ce ne sera jamais cette même foule qui condamnera les mariages pédophiles qui mettent en péril la vie des fillettes. Ce ne sera jamais cette même foule qui condamnera les boucheries des siens dans le monde. En revanche, elle vouera à la mort tous ceux qui d’aventure  condamneront le viol.  Tout acte de rejet de la barbarie musulmane est jugé comme un apostasie
Ainsi défendre les droits de la femme à une vie digne et humaine ne peut que provoquer l’ire des musulmans et susciter leur colère hystérique.  Pour eux, c’est une offense faite à l’islam de reconnaître à la femme des droits que le coran ne reconnaît pas.
Comme le coran ne lui accorde quasiment aucun droit sur son corps, elle ne peut jouir par conséquent du droit à la protection de son intégrité physique.
En effet, selon le coran la femme n’est-elle pas un champ de labour que l’homo islamicus doit labourer, et piétiner à sa guise et contre le gré de la femme. Un champ n’a pas d’âme, ni d’affect, ni de discernement.
Pourquoi conférer une nature humaine à ce qu’Allah a créé comme un terrain de culture intensive à l’homme sur lequel il peut exercer ses talents de laboureur.
L’homme musulman est un laboureur inné auquel Allah a octroyé le permis de violer,  plutôt que de travailler la vraie terre pour pourvoir à ses besoins alimentaires et ceux des siens, il doit jouir du corps de la femme comme s’il était un champ pour assouvir sa faim sexuelle insatiable.
L’islam  a cette spécificité particulière est l’art de rendre licite tout ce qu’il ne l’est pas. Lavant plus blanc que blanc. Aucune tâche indélébile ne peut lui résister, qu’attend  justement  Marc Dutroux  de se  convertir à l’islam et se purifier son âme damnée de tous ses crimes  ?
Avec l’islam les pires pédophiles et violeurs se refont une virginité à bon compte et font acte de contrition sans avoir besoin de demander pardon aux victimes ou éprouver remords  et regrets.
On se demande pourquoi Emile Louis, violeur, incestueux et tueur en série d’enfants handicapés,  qui vient de quitter ce bas monde n’avait-il pas pensé à se convertir à la religion de l’absolution des crimes pédophiles et du viol.
Comme on se convertit à l’islam comme on achète un préservatif à la pharmacie du coin, il n’est pas étonnant qu’il séduise  tous ceux qui veulent se donner bonne conscience et figurer parmi les élus d’Allah pour la grande partouza paradisiaque tout en ayant la possibilité avec la charia de se faire innocenter de tous leurs exactions criminelles en échappant ainsi aux fourches caudines des los humaines.
Il n’y a pas de quoi tirer une gloriole en étant la religion qui prospère le plus  sur la misère humaine  et le terreau nauséabond des dérives morales, du viol, de l’homophobie, et de la pédophilie. Il ne gagne pas du terrain à chaque nouvelle conversion il se couvre de honte et d’infamie.
Etre un asile pour les paumés, les borderlines, les asociaux, les jeunes  souvent mineurs en manque de repères familiaux et influençables,  les détraqués et les désaxés sexuels,  et de tous les pervers de la terre qui cherchent une impunité pour leurs penchants sordides et criminels et à donner libre cours à leurs pulsions bestiales et violentes.
L’islam est  tout simplement la religion du vice érigé en vertu.

Seule la chute de l’A.N.C.peut arracher la Tunisie des griffes mortelles de ghannouchi

 On ne soigne pas un cancer en conservant les cellules  souches responsables.
Garder l’A.N.C. c’est lui accorder une légitimité qu’elle en a pas et lui conférer un pouvoir législatif dont elle n’a pas les prérogatives même si elle l’avait exercé pendant deux  ans en dépit de tout bon sens.
Il est vraiment temps d’en finir avec cette officine du crime institutionnalisé qu’est l’A.N.C. et la cause première des tourments de ce peuple.
Rached Ghannouchi voulait un régime parlementaire et personne n’avait vu rien venir sauf lui. Maintenant qu’on lui a fait ce cadeau princier,  il n’y renoncera pas sans effusion du sang tunisien, car c’est sa propre survie qui en dépend conscient que les tunisiens n’auront aucune pitié pour lui. L’A.N.C. est sa seule armure, son bunker, si on lui enlève ça, il deviendra vulnérable et à la merci de ses millions d’ennemis qui rêvent de venger la mort de Chokri, de Mohamed, de Lotfi, celle mystérieuse de Mekki, ainsi les assassinats des militaires et des représentants des forces de l’ordre. Nonobstant l’état de délabrement avancé du pays et la dégradation de son image à l’extérieur.
Il ne va pas se résoudre à se désarmer aussi facilement que ne le croient les politicards de l’opposition, ce n’est pas parce qu’il laisse croire qu’il accepte le principe de changement de gouvernement dont il est de surcroît l’initiateur qu’il va desserrer son emprise sur la Tunisie. Sa vraie tenaille avec laquelle il cisèle les tunisiens est l’A.N.C.
A suposer qu’il y ait un nouveau gouvernant, il ne sera qu’un nouveau pion sur son échiquier qu’il aura tout loisir de censurer à sa guise via son bras armé politique.
Et surtout que l’A.N.C. pourra en toute liberté élaborer cette constitution théocratique qui consacrera la main mise définitive d’Ennahdha sur la Tunisie
Doté d’un ego surdimensionné et paranoïde schyzoïde notoire, qui se veut le nouvel apôtre d’Allah pour ré islamiser  Tunisie,  il n’est pas suicidaire, il est jusqu’au boutiste comme tout terroriste qui s’est juré de détruire les fondements de l’humanité, il ne reculera devant rien pour conserver son butin tunisien qu’il considère comme son bien légitime, son butin qu’Allah lui a octroyé. Il n’y a que lui et lui seul qui pourra l’en priver.
Seul le pouvoir de la force pourra lui faire perdre son atout-maître.   Le vrai changement  ne doit être que  la chute de l’A.N.C. qui sera le final de la révolution tunisienne déclenchée le 17 décembre 2010 et dont les signes avant-coureurs ont commencé en 1978 avec les « émeutes du pain ».
Arrêtons de voir la main américaine dans la soif de la dignité et de la liberté chez ce peuple.
S’il y a  une main étrangère c’est parce que le pouvoir politique était coupé du peuple. Laboratoire  ou pas, et ceux qui en parlent aujourd’hui ils n’ont pas les mains aussi innocentes comme ils le prétendent, le quotidien de ce peuple est très amer et insoutenable et son ennemi est parfaitement identifié c’est la milice d’Ennahdha et son gourou raspoutnien du clone raté d’Adolph Hitler.
La libération de la Tunisie passe par la prise de l’A.N.C. en coupant le terroriste Ghannouchi de sa base-arrière, les tunisiens auront fait d’une pierre deux coups la fin de leur cauchemar de cette constituante de l’infamie et la mise hors d’état de nuire définitive du félon et sanguinaire Rached Ghannouchi.
La vraie question que tout tunisien patriote doit se poser  qu’est-ce qu’on attend pour prendre d’assaut le foyer de tous les maux actuels de la Tunisie et redonner  ainsi un nouveau souffle à ce peuple en butte à l’injustice et à la spoliation de ses richesses depuis 26 ans voire plus  et l’aider enfin à accéder à la souveraineté ?
On ne peut pas bâtir une nation moderne, plurielle sans un peuple souverain et non contre ce peuple, tant honni et méprisé par certains.

A trop vouloir éviter la guerre de libération, les tunisiens auront le déshonneur et la guerre coloniale

 
Si on pouvait récrire l’histoire de la Tunisie post Ben Ali, quel visage aurait-elle aujourd’hui?  Est-ce que tout le sang qui coule à profusion depuis deux ans aurait coulé ?  Est-ce qu’elle vivre dans une guerre permanente qui ne dit pas son nom et que tout le monde se plaît à la nier en la présentant comme une simple péripétie dans le parcours de la Tunisie sur le chemin de la démocratie ?
D’autres questions non-dénuées d’intérêts et qui ne manquent pas d’interpeller les observateurs avertis, est-ce que la Tunisie serait-elle tombée dans l’enfer islamique si elle s’était donné la peine de prendre en main son destin politique dès le soir de la fuite rocambolesque  du pleutre Ben Ali ? Si la Tunisie avait expurgé de son corps toutes les bactéries inoculées par Ben Ali, aurait-elle connu la pire désillusion de son histoire ? Si elle avait fait preuve de maturité, de prudence et de vigilance serait-elle tombée dans le piège islamo-opportuniste  tendu par ses exilés au patriotisme inversement proportionnel à leur loyauté pour leurs commanditaires de l’Ouest comme des pays du Golf ?
Elle avait cru en eux et au sang neuf qu’elle pensait qu’ils allaient lui insuffler, compatissant pour leurs conditions de pseudos ex opprimées de Ben Ali,  et en guise de reconnaissance ils ont abusé de sa faiblesse de mère et de sa grandeur d’âme. 
Elle leur avait ouvert grand ses bras en toute confiance heureuse d’accueillir en son sein tous ses enfants prétendument bannis de leur patrie, alors que  la majorité d’entre eux de tous politiques  avait fait de leur exil un fonds de commerce prospère quand elle n’entretenait pas des relations troubles et ambigües avec le régime. Tel cet homme; un des artisans majeurs de sa descente aux enfers avait selon un ancien séide de Ben Ali  avait retourné sa veste déçu de na pas avoir été satisfait dans ses ambitions consulaires.
A croire que tous ces opposants autoproclamés qui se sont partagés le gâteau royal et que le peuple tunisien n’a pas jugé utile de vérifier leurs états de service se sont ligués pour l’amputer de ses ailes le jour où elle voulait les déployer pour rejoindre les cimes de la liberté.
Malgré toutes ces duperies et supercheries et cette imposture inédite dans l’histoire millénaire de la Tunisie, le peuple tunisien a oublié qu’il était le seul maître des règles du jeu, le croupier qui distribuait les cartes et que sans lui aucune partie ne pouvait se jouer. Plaider l’innocence quand on a été à ce point négligent, c’est un aveu de culpabilité explicite.
Voilà pourquoi il ne peut s’exonérer de sa lourde responsabilité  dans l’aggravation de son cancer dont les symptômes étaient devenus manifestes sous Ben Ali.
Si ce peuple s’était comporté dignement et s’était montré lucide et perspicace, s’il avait avait mis aussi de la volonté, s’il avait fait preuve de citoyenneté et de patriotisme ou tout simplement s’il avait fait valoir ses droits de propriétaire  légitime de la Tunisie  le 23 octobre 2012 en expulsant les squatters de l’A.N.C. il se serait épargné tous ces cadavres qui jonchent le pays et les assassinats de Lotfi, Chokri et Mohamed. 
Qui ne dit mot consent et qui ne réagit pas face aux crimes, il n’est pas qu’un spectateur, il en est un complice privilégié. En laissant le meurtrier nahdhaoui accomplir ses forfaits en toute impunité, non seulement il lui délivre  un permis de tuer mais surtout en devient le commanditaire quand bien même à son corps défendant, Il ne se rend pas compte qu’à force de laisser-faire le meurtrier il sera tôt ou tard sa prochaine victime, une victime consentante de surcroît.
Il peut toujours faire valoir pour sa défense que son non-réactivité est mue par des considérations louables et pacifiques, en l’occurrence  éviter un bain de sang général qui noiera le pays tel un Tsunami emportant tout sur son passage .
Comme si le sang des siens qu’Ennahdha fait déverser chaque jour n’était pas le prélude de ce Tsunami et ce n’est pas en enterrant chaque jour ses enfants les plus dévoués qu’elle va calmer les ardeurs meurtrières de ces charognards  jurant sa perte comme d’autres font leur serment sacerdotal.
 Assoiffés de sang et avides de chair humaine, rien les arrêtera dans leur entreprise de réduire ce peuple à l’état du néant.  
Il ne sait pas que l’inertie est la meilleure alliée des charognards. 
On ne les calme pas non en les caressant dans le sens du poil pour les apaiser, on ne fait que les exciter et les affamer encore plus. Leur appétit est insatiable et leur folie meurtrière est sans limite, plus ils dépècent et cannibalisent plus ils en veulent encore plus.
 Il n’y a  pas pire sottise que doter ces charognards d’attributs humains, car on ne fait pas des bêtes féroces des interlocuteurs pourvus de raison humaine pour s’asseoir avec eux autour d’une même table et dialoguer avec eux alors qu’ils sont incapables de marmonner un mot intelligible. Vivant dans leur bulle et convaincus qu’il n’y a de vérité que dans la mort sacrificielle infligée à autrui.
Comment peut-on croire un seul instant que les héritiers d’Adolph Hitler seront enclins d’œuvrer un jour pour le bien commun des tunisiens, alors qu’en deux ans ils sont en train de créer une véritable industrie du crime en Tunisie ?
 Ni dialogue, ni pacte, ni coalition avec des charognards qui vouent une haine viscérale érigée en dogme religieux pour les tunisiens. Toute concession  et tout compromis avec eux ne peuvent que précipiter le pays dans le fond du gouffre.
A trop vouloir empêcher le guerre de libération, les tunisiens auront le déshonneur et les crimes d’Etat au bout du chemin.

Je ne peux pas me reconnaître dans un peuple qui met l’islam au-dessus de la Tunisie

je  me reconnais dans les tunisiens  qui souffrent au quotidien et qui refusent de croire que la partie est finie. Je me reconnais dans ceux qui ne font pas du désespoir leur motus vivendi. Je me reconnais dont ceux qui n’ont plus le bonheur de rentrer chez eux en toute sécurité et dont la vie est en péril parce qu’ils ont eu le courage d’identifier les vraies causes du mal-être de leur peuple qui est l’islam. Je me reconnais dont ceux qui refusent l’arabo-islamité et qui revendiquent leur identité plurielle. Je me reconnais dans ceux qui rêvent et qui militent pour une Tunisie affranchie du joug de l’arabo-islamisme. Je me reconnais dans tous ceux qui croient en  l’histoire millénaire de la Tunisie et ses origines non arabes Je me reconnais dans tous ceux qui clament leur droit absolu à remettre la Tunisie en ordre de marche  débarrassée de toutes les scories qui la gangrènent  depuis 1400 ans. Je me reconnais dans tous ceux qui n’ont pas peur de dire que l’arabo-islamité est la ruine du peuple et sa tombe. Je me reconnais dont tous ceux qui sont conscient que l’islam est un virus mortel pour les libertés humaines et que l’arabité est un obstacle majeur au développement dans toutes ses déclinaisons Contrairement à de nombreux tunisiens qui n’ont pas le courage de leurs idées, je suis contre l’islam car il est contre  la patrie en se voulant lui-même une patrie pour tous ses fidèles. Je ne me reconnais pas dans les tartuffes, les pleutres, les félons et les antipatriotes et dans tous ceux qui oeuvrent pour la réhabilitation des anciens collaborateurs de Ben Ali qu’ils drapent des vertus de courage et de patriotisme alors qu’ils méritent la Cour martiale pour crimes économiques et politiques contre le peuple. Je me reconnais pas dans ces tunisiens qui discréditent le pays en semant la mort en  Tunisie, en Syrie, en Irak et en Algérie. S Je ne me reconnais pas dans ces tunisiennes qui vendent leur dignité pour satisfaire les besoins sexuels des ennemis de l’humain. Je ne me reconnais pas dans ces tunisiens qui brûlent le drapeau national et nostalgiques du Califat.
Je ne me reconnais pas dans ces tunisiens qui sapent les fondements de la république pour faire de la Tunisie un Emirat-bananier.
Je ne me reconnais pas dans ces tunisiens qui crient Allah Akbar et qui appellent au meurtre de nos soldats.
Je ne me reconnais pas dans ces tunisiens qui mettent Allah au-dessus de la patrie et bénissent les terroristes et maudissent les victimes.
Je ne me reconnais pas dans ceux qui se veulent musulmans avant d’être tunisiens.
Je ne me reconnais pas dans les  partisans  de la charia qui ne rêvent que d’une chose faire disparaître l’Etat-nation. Je ne peux me reconnaître dans hommes qui ont vendu leurs âmes à l’Emirat-prédateur du Qatar et le Royaume raciste et esclavagiste d’Arabie Saoudite.
Je ne peux pas me reconnaître dans cette valse en T majeur pour crucifier la Tunisie.
Je ne peux pas me reconnaître dans cette opposition mollassonne qui capitule devant Ennahdha, serre la main de l’infâme Rached Ghannouchi.
Je ne peux pas me reconnaître dans des hommes qui s’assoient autour de la même table que les islamo-traitres  et dialoguent avec eux alors que ces renégats ne connaissent du dialogue que le sang qu’ils font couler.
Je ne me reconnais dans les collabos et des pleurnicheurs.
Je me reconnais dans un peuple debout mais pas dans un peuple moutonnant jour et nuit, qui investit dans la mort au préjudice des générations futures.
Jamais je ne me reconnaitrai dans un peuple plus soucieux de sa religion que de sa patrie et qui fait de l’islam la seule couleur de la Tunisie.

Plutôt qu’une seule Sonia Ghandi, le Front Populaire en a deux

Comment deux veuves peuvent-elles devenir héritières du combat politique de leurs défunts maris ?
J’avoue que j’ai du mal à voir une quelconque légitimité politique dans leur action.
Sont-elles porteuses d’un message politique de la part de leurs feux maris respectifs au  peuple tunisien, surtout que nombreux sont les tunisiens découvrent leurs noms suite à leurs lâches assassinats ?
 D’autres veuves auraient pu tout aussi bien comme Mme Negadh dont le mari avait hélas inauguré la liste des assassinats politiques en Tunisie, se mettre en scène pour squatter la scène médiatico-politique.
Au rythme des assassinats qui émaillent le quotidien des tunisiens depuis le coup d’Etat déguisé en scrutin électoral, la Tunisie est en train de devenir un pays des veuves et des orphelins.
Imaginons qu’elles se mettent toutes  à jouer la partition de ces deux femmes frappées du virus de la politique plutôt que du deuil de leurs conjoints,, il y fort à parier que le pays va finir par ressembler à un champ de patates où les veuves drapées non de noir mais des couleurs des partis politiques de leurs chers disparus vont s’étriper  le chignon comme des chiffonnières.
 Les risques de dérapage ne sont pas à exclure et le ridicule va faire plus de dégâts que la terreur islamiste déferlant sur le pays.
On ne doit pas porter au pinacle de la politique des femmes qui n’avaient pas de vécu avéré en la matière, qu’elles oeuvrent pour que la justice leur soit rendue et que ces crimes soient élucidés, c’est de leur bon droit, mais ce qui est troublant c’est la posture de femme politique dont elles se parent ou on les drapent.
 Qu’elles veuillent s’inscrire dans une démarche de devoir de mémoire, c’est une chose mais qu’elles polluent le débat politique en bénéficiant de la part des partisans politiques de leurs défunts maris et de l’opinion publique tunisienne  d’une espèce de gloriole et d’un prestige que rien n’autorise, cela relève de la mystification, de l’imposture et de l’indécence.
Il y a des limites que le bon sens ne peut comprendre ni tolérer.
 Si la Tunisie est tombée dans le fond du gouffre, c’est justement à cause de la passion hystérique qui est la marque de fabrique de son peuple qui voit en la raison humaine un sacrilège, un blasphème, on ne doit pas en rajouter en instrumentalisant à des fins politiques la douleur de ces femmes qui elles-mêmes s’y prêtent au jeu.
Le vrai hommage que ces femmes devraient rendre à leurs chers disparus, c’est la pudeur et la discrétion et non de faire de leur peine et leur chagrin un fonds de commerce politique.
 Cela ne peut que les discréditer et apporter de l’eau au moulin des meurtriers de leurs maris qui se réjouissent du spectacle médiocre et pathétique offert par ces femmes et leurs metteurs en scène.
 Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond en Tunisie. On ne fait pas des veuves et des orphelins des symboles à la résistance à l’occupant islamiste.
 A croire que le bon sens n’est pas tunisien. En ce qui concerne la veuve de l’élu de l’A.N.C., elle aurait pu conseiller à son défunt mari de démissionner dès le 23 octobre 2012, par respect au peuple tunisien dont tout le monde profite de ses largesses alors qu’elle est exsangue.
On ne fait pas du sentimentalisme un recours politique.
NB loin de moi l’idée de dénigrer ces deux veuves dont je soutiens pleinement le combat s’il ne dérape pas sur le champ politique et au service des intérêts partisans.

Pendant que la Tunisie agonise, d’autres fantasment sur les dessous de sa révolution et des desseins américains

Peu importe le caractère douteux de la révolution tunisienne et sa face cachée et qu’il n’en déplaise à ce laquais de Ben Ali, ses slogans honorables et légitimes continuent toujours à résonner dans les oreilles des patriotes, eux au moins ils sont imparables et indiscutables. Que les tunisiens fussent les dindons de la farce, cela reste à démontrer,  comme si les ingrédients n’étaient pas réunis pour faire imploser la marmite sociale chez un peuple liquéfié par le régime despotique et mafieux de Ben Ali dont ce sous-fifre aigri continue à déverser son poison haineux sur le peuple tunisien et jeter le discrédit sur sa révolution qui serait l’œuvre de l’Oncle Sam.  A supposer que ce soit vrai, il devrait avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que l’Oncle Sam n’a fait que souffler sur la braise de la colère sociale et politique qui couvait dans ce pays depuis les années 80.

La cause n’est pas l’Oncle Sam, c’est la politique d’arabo-islamisation  impulsée par Mohamed M’Zali dont il était déjà lui-même un séide et poursuivie tambour battant par Ben Ali qui s’est fait offrir par l’Arabie Saoudite pour ses bons loyaux services la construction d’une mosquée  à sa gloire sur un site protégé à Carthage à proximité du Palais
Si on suit le raisonnement de ce godillot pathétique, la victime ne serait pas le peuple tunisien lui-même, ce serait l’immense démocrate Ben Ali que les américains ont chassé arbitrairement de son pays. L’homme qui serait  si « adulé » et « respecté  » se trouve contre toute attente  l’otage des américains privant ainsi les tunisiens de tous les bienfaits de ce régime garant des droits fondamentaux.
Il est à rappeler au fayot bénalien qui devrait un jour rendre des comptes lui aussi sur ses accointances avec la mafia de Ben Ali-Trabelsi et les éventuelles contreparties dont il aurait bénéficiées. Car un système mafieux ne peut fonctionner que s’il y a des corrupteurs et des corrompus. Tout s’achète et tout se vend.
Nier l’existence des  graves plaies gangrenant la société tunisienne sous le régime de , c’est non seulement faire preuve ce sont les négations des droits d’u déni pathologique, c’est dénier le droit à ce peuple à l’agonie aujourd’hui de revendiquer la liberté, l’égalité, la justice, l’équité, la dignité, le travail, solidarité et citoyenneté.
Si Ben Ali avait bien le souci de son peuple et bon patriote comme son chantre  se plaisait à le louer, pourquoi n’a t-t-il pas inscrit les droits de l’homme et du citoyen de 1948 dans le préambule de la Constitution tunisienne, dotant ainsi la Tunisie d’un socle inaliénable et d’une muraille de Chine contre les atteintes aux libertés fondamentales dont il était lui-même férues et qui sont devenues le lot quotidien des tunisiens depuis le coup d’Etat déguisé en scrutin électoral ?
 Ben Ali n’est ni un visionnaire politique ni un patriote, un affairiste et un prédateur. Cet homme n’est pas non plus Bourguiba qui sans son héritage, la Tunisie n’aurait pas résisté stoïquement à la politique ultraconservatrice d’Ennahdha, et encore moins Kamel Atatürk, deux hommes qui n’avaient pas besoin comme lui d’afficher leur allégeance publique à l’islam.
Si cet homme avait de l’amour pour son peuple et il ne l’aurait jamais spolié et opprimé. Si le navire tunisien prend de plus en plus les formes d’un rafiot et tangue comme un bateau ivre c’est à cause de tous les vices cachés et les avaries non réparées qu’a connues son moteur.
 Quant au phénomène du djihad terroriste que ce laudateur mélancolique et hargneux semble découvrir, il semble qu’il oublie la nationalité du meurtrier du Commandant Massoud comme aussi celle de cet homme qu’il avait reçu chez lui en Région parisienne et dont il était un habitué de son antre londonien, qui était le rédacteur de la Charte de la terreur en Algérie.
Le djihad de la terreur qui atteint un niveau intolérable en Tunisie  a commencé à prospérer sous son ancien patron comme en témoigne le nombre des volontaires djihadistes tunisiens en Irak, au Pakistan et en Afghanistan  et ceux détenus dans les prisons françaises, belges et allemandes dont un grand nombre d’entre eux furent expulsés en Tunisie au lendemain de la fuite honteuse de Ben Ali.
Affirmer comme  le clame ce triste nervi  à qui bon veut l’entendre que tout allait bien sous Ben Ali et que le peuple tunisien est un ingrat, un chiffre un seul se se suffit de lui-même est la surreprésentation  des ressortissants tunisiens dans les prisons occidentales.
 Ben Ali a parfaitement  pavée  le chemin à la secte infecte d’Ennahdha et a savonné celle des tunisiens  en butte à un projet de société digne du monde des cavernes fondé sur les valeurs de la barbarie humaine sous couvert de la religion.
Pour leur survie ils doivent désormais faire le deuil des libertés humaines, pour se mettre au diapason du Hamas, des Talibans, de Bioko Haram, de la Qaïda et du Soudan d’Omar Bachir, s’enivrer du coran jour et nuit et n’avoir d’yeux et oreilles que pour Allah, Mahomet,  les posters de la Mecque.
Ne croire qu’en l’islam mais à très forte dose.
 N’adhérer qu’aux valeurs du djihad. Faire sienne la cause de  la Palestine. Mettre en pratique  l’exclusion des femmes et leur excision  pour les purifier soi-disant des vieux démons qui les rongent. Adopter des mœurs sataniques telles que  la nécrophilie, la zoophilie, la pédophilie, le cannibalisme,  l’inceste, la décapitation-crucifixion, la  profanation des cimetières.
Veiller à la destruction de l’Etat-nation pour favoriser l’édification de l’organisation méga sectaire de l’Oumma et ses vertus de la fraternité musulmane où les musulmans peuvent s’entretuer à cœur joie.
Plutôt que jeter les bases d’une société humaine et ouverte sur le monde, Ennahdha veut résoudre la crise essentialiste de l’islam en forçant les tunisiens à emprunter la voie du rigorisme, de la surnatalité, de l’éclatement de la cellule familiale, des mariages précaires, de la répudiation,  de la polygamie et l’abolition du planning familial, le retour au foyer des femmes, la déscolarisation des filles, voire la nymphomanie et l’échangisme sous forme du djihad du nikah .
Un programme social, politique et éducatif qui s’inscrit dans la droite ligne de celui des Talibans, plus d’écoles pour tous, plus d’enseignement des sciences humaines et des sciences sociales, amputation des voleurs, déculpabilisation des violeurs, criminalisation des victimes de viol, plus  d’accès au soin et à la justice. Le coran et la charia feront office de de santé publique et de tribunaux.
  Autant de valeurs dégradantes, avilissantes, liberticides et indignes de la condition humaine. Mais tant qu’elles sont musulmanes, les tunisiens ne vont pas les rejeter de peur de devenir des apostats.
Le choix est simple soit l’islam et ses valeurs  fondamentales obscurantistes et totalitaires, soit les droits fondamentaux garantis par une constitution humaine et humaniste.
 Elle est peut-être imparfaite comme le prétendent les bigots mais au moins elle libère les énergies et respectueuses des droits de l’homme et des libertés publiques.
Une constitution ouverte et libre a toutes les chances d’éloigner les tunisiens de la tutelle de la religion c’est pourquoi ils veulent créer des garde-fous institutionnels pour empêcher toute tentative de résilience et de rupture avec l’islam. Ce n’est pas de laïcité qu’il s’agit c’est des droits humains qui n’existent pas dans l’islam  qui sont les vrais enjeux de cette constitution

Pour une Tunisie affranchie du joug de l’islam

Je rêve d’une Tunisie libérée du colonialisme de l’islam
10000 manifestants pour témoigner de leur amour pour la Tunisie en ce jour funeste de la commémoration de son 2 e anniversaire de son assassinat civilisationnel au nom de l’islam, cela en dit long sur la volonté de ce peuple de mener une véritable guerre de libération contre le colonialisme  arabo-musulman.
Ce peuple tunisien n’est pas un sacré enfoiré, c’est une mauviette? une larve comme il en existe plus. On va me dire : « mais toi  tu te la coules douce là où tu es ».
C’est certainement vrai mais ma vie ne vaut pas une guigne car j’ai été le seul à pointer du doigt la vraie cause de vos maux : l’islam, oui l’islam pire que la coke et l’héro réunies, ce qui me vaut de mettre ma  vie en danger. Une rétrospective de mes pauvres articles depuis le mois d’avril 2011 vous éclairera sur mon diagnostic et mes prévisions quant au scénario actuel.
Au lieu de me tendre une oreille attentive, on me renvoie en Israël, quand on me traite pas de sioniste, d’agent du Mossad, de juif haineux et d’islamophobe. Ce qui ne m’offusque guère, au moins vous reconnaissez que je ne suis pas sorti du même moule que vous.
 Vous avez l’art de manier l’insulte comme vos coreligionnaires qui manient le couteau et la bombe pour exprimer leur répulsion de la vie humaine.
Vous ne sortez de votre éternelle léthargie que pour crier votre indignation pathétique parce que votre prophète qui n’a jamais été un modèle d’humanisme a été  caricaturé.
Vous ne savez que stigmatiser tous ceux qui vous ébranlent dans vos fausses convictions.
Vous avez fait du mensonge de l’islam une vérité absolue dont vous voulez faire une loi universelle pour censurer et criminaliser les écrits des islamo-incompatibles  et ceux qui ne sont pas tombés dans le piège du mythe de l’islam inoffensif.
Jamais vous ne prendrez les armes pour défendre l’honneur de votre patrie en butte au colonialisme d’un pays musulman, comme c’est le cas de la Tunisie qui vit sous le joug des arabo-musulmans depuis 1400 ans, mais vous vous  faites fort d’intenter des procès en inquisition comme celui qui me vaut de figurer dans votre dictionnaire de l’islamophobie, un véritable pousse-au-crime et qui met ma vie en danger.
 .
Des risques j’en ai pris plus que quiconque parmi vous. J’ai soutenu tous vos parias et rendu hommage aux victimes de votre islam génocidaire.
Avec lui vous n’aurez jamais le bonheur de connaître les joies de la démocratie, voire de la vie tout court.
Vous êtes devenus les premiers pourvoyeurs de terroristes et de filles de joie hallal au monde.
Jolie performance pour un peuple qui a vendu sa patrie pour le repos de son âme damnée. Il a fait de vous des légumes, des mollassons, des loques humaines,  la risée des peuples, des renégats indignes de faire partie de l’humanité. Pauvre Tunisie trahie par ton peuple.
Franchement si je rentre demain dans ce pays qui fut le mien et que j’ai perdu à cause de votre antipatriotisme, votre inertie, votre veulerie, votre bigotisme, et votre indifférence quelles sont mes chances de survie ?
Rarement votre islam n’a été autant désacralisé depuis Kamel Atatürk, dixit votre torchon de l’islamophobie, que par un homme comme moi.
 Je sais que cela équivaut à une sentence de mort alors que je n’ai jamais fait du mal à une mouche.
Vous tuez les humains pour leurs idées et vous glorifiez les terroristes et les assassins-vengeurs d’Allah.
Avec tous vos fous qui rêvent de gagner à bon compte le paradis en faisant la peau à un ennemi déclaré de l’islam.
Je ne suis pas un apostat, parce que je ne suis jamais tombé dans le piège de votre religion.
J’ai commencé à insulter votre Allah et son prophète dès ma plus tendre enfance.  Je suis comme Obélix tombé depuis toujours dans le tonneau de l’allergie à l’islam .
Vous comprenez mon hostilité congénitale pour cette religion qui est la pire imposture depuis que le monde et monde.
J’ai eu le courage plus qu’aucun d’entre vous d’exprimer mon rejet public de cette idéologie liberticide, immorale, barbare, violente, inhumaine et nazie.
Vous avez fait le choix de l’islam, et moi j’ai fait le choix d’une Tunisie sans islam
Vous faites de l’islam la tombe de votre vie et par conséquent celle de la Tunisie.
Vous voilez la face et vous vous murez dans le déni pour ne pas reconnaître que la vraie cause de votre cancer à l’état de métastase est l’islam lui-¨même.

:

Le leurre démocratique dans les pays musulmans : cas de la Tunisie

A quoi sert la démocratie chez les musulmans ? Seul le terroriste Rached Ghannouchi saura y répondre

 Ghannouchi Rachid 1 et non Rached de son véritable état civil Farid Khérriji qui se veut le nouvel Ayatollah des tunisiens, leur morsched, c’est-à-dire celui qui guide dans le cas d’espèce ce sera certainement en enfer qu’il guidera ses thuriféraires.

Assoiffé de revanche sociale, pionnier du terrorisme islamique,  se voulant Maïtrepqu’Allah aurait missionné pour accomplir sa volonté sur terre.

N’hésitant pas pour ce faire de s’affubler du titre d’Habib Allah qu’on peut traduire par l’élu du coeur d’Allah. Il  est gourou psychopathe de la lignée de Charles Manson ou du fondateur de la secte Moon l’honorable Young Myung Mun.

En réalité l’imposteur Raspoutine Ghannouchi, fils naturel d’Adolph Hitler se veut plus Allah qu’Allah lui-même,cruel, fourbe, aigri, perfide, opportuniste, rancunier, girouette au gré de l’humeur du vent de Sirocco, et à la vengeance tenace voue une haine pathologique à Bourguiba qui continue encore de voir en lui jusqu’à ce jour hui l’ennemi à abattre, l’homme dont il faut déterrer le cadavre pour broyer ses os, le diable en personne, l’apostat qu’Allah fera brûler dans le feu de l’enfer.

Alors qu’il est de tradition chez les Musulmans malékites d’implorer le pardon de Dieu au défunt quel qu’il soit parce qu’ils consdèrent à juste titre que seul Dieu a le pouvoir de juger ses hommes et surtout que nul n’a le droit de salir ou jeter l’opprobre sur la mémoire des disparus

Mais le gourou Ghannouchi Rachid, grand inquisiteur et haineux devant l’éternel  n’en a cure de tout cela et de la tradition d’obédience malékite, en sa qualité de guide missionnaire, plutôt d’agent mercenaire, d’un courant idéologico-religieux, de caractère cosmique, tel q’ il est défini par les Frères Musulmans Egyptiens, lesquels avec les Wahhabites veulent imposer aux peuples musulmans un Etat théocratique faisant du Coran, de la Sunnah et de la Charia comme seules sources de droit.

Sa mission est de contribuer à la création dun cité islamique réservée aux seuls disciples reliés entre eux par le seul sentiment d’appartenance religieuse qui exclut toute forme de compassion, de solidarité, de tolérance, de contact avec tout ce qui ne possède pas le caractère musulman.

Cité de la relégation des femmes et de laquelle seront exclus les homosexuels, les incroyants, les démocrates et les laïques auxquels le gourou psychopathe voue une véritable aversion.

Passé maître dans l’art de la culpabilisation des disciples, l’art de la manipulation mentale et des promesses de récompenses pécuniaires et célestes, et ce malgré un passé criminel très lourd, il a pu se refaire une virginté et séduire tous ces pauvres d’esprit qui le portent au pinacle et le énèrent comme un cheikh élu par Allah lui-même.

Voilà pourquoi les âmes égarées dans la jungle islamique se laissent prendre au piège de ses délires mystico- sectaires. Son argumentaire se résume ainsi :  Si vous ne voulez pas rater le train du paradis, vous savez ce qui vous reste à faire : Votez pour Ennahdha.  Alors que de tels individus ne devraient pas en toute logique prétendre à l’exercice de plein droit de leurs droits de vote.

La démocratie n’est pas un tremplin pour le paradis. Or, les électeurs potentiels de cette secte, qui sont plutôt des sectateurs adorateurs de la secte cosmique d’Ennahdha et au vu de leur état d aliénation mentale et de l’altération évidente de leurs facultés de discernement devraient être exclus du champ électoral tunisien.

En effet , comment peut-on accorder le droit de vote à des individus qui confondent le salut de l’âme avec le salut de leur pays et qui conçoivent les urnes comme un guichet de train pour le paradis d’Allah.

Détourner le jeu démocratique, le dévoyer à des fins de propagande mystico-religieuse est un signe très inquiétant quant au degré de maturité politique des tunisiens, quant à leur sens d’éthique, et surtout de l’état de santé mentale d’une fraction importante de  la population.

Il faut un profil psychologique sain et équilibré. Incontestablement le terroriste jamais repenti a réussi à détourner les premières élections libres jamais organisées en Tunisie depuis l’invasion musulmane est le grand vainqueur avant terme de ces élections.

Son nom est sur toutes les langues. On a fait de lui le maître factuel de la Tunisie, comme si elle était en manque de figure tutélaire, il est en train de transformer l’esprit de la Révolution en ferveur religieuse et en réveil des esprits bigots et maraboutiques.

Quelle que soit l’issue du scrutin du 23 octobre 2011, le vainqueur sera le gourou illuminé qui aura réussi à ramener les brebis égarées dans le bercail d’Allah.

Abusant de la crédulité des pauvres gens, de leur faiblesse d’esprit ainsi que de leur absence de conscience citoyenne, la secte idolâtre d Ennahdha est toute à son aise pour profiter de terreau de pauvreté et de misère humaine et psychoaffective pour mener une campagne de séduction tambour battant en attendant de brandir le sabre pour sabrer la démocratie en Tunisie.

Au lieu de clouer ces charognards au pilori, les Tunisiens de peur de déplaire au Grand Mentor décident de leur accorder le sésame de la Victoire.

Ainsi, ils auront Allah qui va les gratifier de ses bonnes faveurs paradisiaques et Ennahdha qui va leur faire vivre un remake de l’Apocalypse sur terre. Une nouvelle Saint Barthélémy.

Dans le système idéologique islamiste l’ enfer sur terre le leur et celui qu’ils font subir à l’humanité est le passage obligé pour le paradis. Il est évident que ces pauvres malades qui sont dans un état de souffrance psychologique aiguë, se sentant exclus du banquet de la nature terrestre se tournerait vers celui que leur offre gracieusement Allah.

Mais il n’est pas aussi gratuit que cela parce que les émissaires d’Allah se font fort de les séduire à coups de promesses  et de monnaies sonnantes et trébuchantes.

Une méthode d’arrosage des pauvres gens très courante chez les mafieux de tous bords. Dans le système de pensée islamiste tout s’achète sans scrupule ni vergogne, la voie d’Allah n’a pas à respecter un code de bonne conduite.

On commence par acheter des voix, qui est un acte juridiquement repréhensible, et ceux qui se laissent corrompre, même s’ils perdent leurs âmes au passage feront un coup double : encaisser l’argent sale des islamistes et acheter sa place au paradis. Un investissement doublement bénéfique.

Pourquoi vont-ils s’en priver?  Eux les « sans serouals », l’équivalent des sans culottes mais en plus vils, qui vont changer la face de l’histoire de la Tunisie alors qu’ils sont les benêts de l’histoire depuis l’islamisation de la Tunisie.

Rédigé le 30 avril 2011

Qui mieux que Kamel Jendoubi pour se recueillir en ce jour funeste sur la tombe de ma belle Tunisie

 Kamel Jendoubi, deux ans après on attend toujours tes explications sur les 1500000 bulletins de vote détruits pour 3400000  votants. J’arrive toujours pas à comprendre comment Ennahdjha a obtenu pratiquement 1400000 voix pour 40% de sièges ?
Si ces bulletins sont frappés de nullité, on ne doit retenir que les bulletins valables, ce qui devrait donner à Ennahdha la majorité absolue des voix et donc près de 70%de sièges.
Tu as promis d’ailleurs qu’Ennahdha ne dépasserait pas les 25% avec le choix de ton mode de scrutin à un seul tour. Ne crois-tu pas que tu as enfreint tes obligations de réserve et d’impartialité totale et absolue ?
Bizarrement, aucun des prétendants à la main de la fiancée tunisienne n’en a pris ombrage et t’avait retourné ton parti pris à la figure.
Tout est abscons, opaque, insensé, incohérent, personnel et inepte dans ta gestion et ton organisation du scrutin de la mise à mort programmée de la souveraineté nationale, un nouveau Protectorat de Bardo en pire.
J’aimerais tant que tu éclaires ma pauvre lanterne éteinte depuis le 23 octobre 2011 mais je dois t’avouer que sa lumière a commencé à vacillé le jour où j’ai appris ton parachutage, sur ton mode calcul à l’orientale me dépasse comme ta mauvaise volonté de rendre public ton rapport financier. A moins que tu n’aies pas les outils nécessaires pour l’établir. dans ce cas-là, un audit s’impose peut-être as-tu peur qu’on découvre le pot aux roses.
Tu as bien arrangé les affaires de tes amis de long cours. Ne dis pas que tu ne les as jamais connus et que ton indépendance à leur égard est au-dessus de tous soupçons. Rappelle-toi la jurisprudence Tapie peut-être que tu ne la connais pas ? un des juges du Tribunal arbitral aurait un jour dédicacé un son livre à Tapie  et ce bien avant sa désignation. Les conflits d’intérêt et les petits arrangements entre des vieux amis ne sont pas bons pour la santé de personne et surtout celle de la Tunisie dont tu es un de ses croque-morts les plus sinistres. Et ton contrôle de l’origine des fonds des partis que tu étais censé faire en amont, mais que tu as préféré le faire a postériori deux ans après. Voilà que nous y sommes, dites-comment vous allez pouvoir vous y prendre maintenant que les jeux sont faits ? Est-ce que tu es conscient de l’irresponsabilité de tes actes ? Ce dont il est permis de douter. Tu as confondu tout simplement la Tunisie avec l’U.T.I.T. ou le F.T.C.R. Personne ne doute de ton engagement associatif, mais tu as perdu ton crédit et mon amitié en te prêtant au concours de beauté du népotisme fait roi. Tu sais très bien que tu n’as ni savoir, ni savoir-faire, ni expertise en matière de droit électoral, ni aucune expérience dans l’organisation d’un scrutin-clé pour l’avenir de tout un peuple. Tu as foncé dedans comme un vautour tout heureux de dépecer sa proie.
Tu es rentré dans l’histoire celle de ceux qui ont abusé de tout un peuple en ayant précipité la Tunisie dans les fonds abyssaux de l’histoire..
Tu dois savourer ta joie de voir ton nom associé aux premières élections démocratiques en Tunisie, mais sache que ton ego surdimensionné a causé la ruine de tout un peuple.

Les tunisiens n’ont guère le choix, soit une république humaine soit une théocratie musulmane

Ecrit le 30 avril 2011

Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Comme s’ils étaient atteints de cécité ou de surdité ou mélange des deux, les Tunisiens sont devenus autistes et crédules aujourd’hui.

En effet, il est inquiétant de voir combien leurs facultés de discernement sont altérées au point qu ils sont en train de de faire offrande de leur Révolution aux mouvements messianiques djihadistes mondialistes au nom de leur bigotisme renaissant. Ils souffrent de cet état de confusion mentale propre aux sociétés islamisées instillé par le fanatisme musulman.

Idolâtrant des gourous passés maitres  es qualités en matière de mélange des genres et d’endoctrinement  outrancier et intensif et de crétinisation des masses.  Favorisés pour cela à son corps défendant par l’Islam  lui-même qui ne sépare pas le séculier et le séculaire qui n’a jamais créé les conditions d’épanouissement humain et l’élévation de l’individu. Comme dans toutes les religions et pire encore avec l’islam, l’homme n’a pas à s’affirmer il se doit de se soumettre et de s’assujettir.

Il se veut foi et cité. Le politique et le religieux se confondent dans l’iIslam contrairement au christianisme où il existe cette fameuse ligne de démarcation entre les pouvoirs civils et religieux et que beaucoup appellent de leurs voeux. Un mélange des genres hautement toxique nuisible à l’émergence dune société démocratique moderne. Comme s’ils avaient peur de regarder la réalité en face.

Le fait même de donner un visa de parti politique à une organisation de type sectaire et dont le nom est associé au terrorisme islamique en Tunisien est symptomatique du mal profond dont souffrent les pays musulmans qui est leur incapacité de se projeter dans l’avenir.  Il y a un péril dans la maison Tunisie. Ce péril sera le pire de leur histoire. Pire encore que celui que connaissent les Iraniens depuis 1979. Ses effets dévastateurs culmineront au plus haut point de l’échelle de Richter. Il provoquera des dégâts comme rarement l’humanité en aura connu tout au long de son histoire pourtant riche en tragédies humaines. Ses ravages, l’intensité de son déferlement ,ses secousses ultraviolentes  feront apparaître le dernier tremblement et le Tsunami japonais comme insignifiants. Il sèmera la mort, diffusera la haine et propagera la terreur.

Le sentier d Allah sera pour la Tunisie  un sentier de ruine et de désolation. Un tombe à ciel ouvert. Le pays ne ressemblera ni au Soudan ni à l’Afghanistan à cause des signes apocalyptiques qui se profilent dans son horizon., Le péril auquel s’expose la Tunisie aura un caractère apocalyptique qu la conduire tout droit vers une nouvelle Saint Barthélémy, cette fameuse prophétie du fracas (sourate 101 du Coran). Ils vont entraîner la Tunisie dans un gouffre abyssal dont elle ne sortira jamais.

Le péril nazi qu’a connu l’Allemagne  n’est hélas qu’un avant goût que l’humanité pas la leur, celle qui n’adhère pas à leurs valeurs barbares régressives, dégradantes pour la condition humaine. Ces fous de Dieu sont comme les Waffen SS d’Adolph Hitler dont les pères fondateurs de leur doctrine du tawheed en étaient des fervents admirateurs. Au point qu un éminent membre de la Confrérie des Frères Musulmans d Egypte était devenu Chef de Division SS.

Hitler a voulu créer un Etat purifié de ses minorités ethniques de tous les asociaux qui n’adhéraient pas à son idéologie, les islamo-traîtres veulent instaurer un Califat purifié  des incroyants, des infidèles tels que les juifs et les chrétiens, des incrédules, des insolents, de tous les esprits libres voire les Musulmans libéraux.

L’enfer sur terre avant celui qu’annoce leur Livre pour les esprits tourmentés par la mort. Une République islamiste est la pire des choses qui puisse arriver aux Tunisiens. Ils n ont pas d’autre alternative, soit ils s’en remettent à Allah et à ses hydres et ils font du passé ténébreux  et barbare  des arabes leur avenir, soit ils  ils se soulèvent comme un seul homme contre l’utopie islamiste et ils peuvent bâtir ainsi un Etat démocratique moderne digne de leur Révolution exemplaire. Ils n ont pas le choix soit Allah soit Platon. Les deux sont incompatibles.

Nida Tounes n’a jamais fait mystère d’une coalition avec Ennahdha

Je tiens tout d’abord à adresser les remerciements à  mon ami Nabil Maghraoui pour sa grande lucidité intellectuelle et le courrier pertinent  dont il vient de se fendre à l’adresse de Khémaïs Ksila une girouette notoire, versatile et instable, se vendant au plus offrant devenu grâce à ses talents de fayot membre éminent du bureau exécutif de Nida Tounes.
Ce triste sieur, serviteur de ses maîtres et idiot-utile a au moins le mérite d’annoncer la couleur aux électeurs de Nida sur le bon usage que ce mouvement fera de leurs bulletins de vote. En effet, cet homme à la servilité légendaire qui se laisse aller au gré de ses intérêts politiques a déclaré sans ambiguïté  sur sur les ondes de Jawhara FM le 11/10/2014 n’exclut pas une coalition entre Nida Tounes et  Ennahdha sous forme d’un gouvernement d’unité nationale en cas de victoire de son mouvement aux prochaines législatives tunisiennes. C’est comme si le Gouvernement  de De Gaulle à la Libération avait tendu la main à la Milice pro nazie.

Les tunisiens qui rêvent de reconstruire leur pays avec des vrais patriotes et des hommes politiques cohérents et responsables vont être servis avec ce mouvement prêt à tout y compris s’allier avec le diable en personne, en l’occurrence les traîtres et les terroristes d’Ennahdha impliqués dans les assassinats politiques et les représentants des forces de l’ordre du pays.

Il me fait penser à Maya l’abeille du parti de cette autre girouette notoire, le dénommé Haj Chabi, cet homme qui avait passé un pacte avec le diable Ghannouchi en 2007 lors d’un pèlerinage commun à la Mecque, le haut lieu de la barbarie humaine, qui appelait à un consensus avec la Troïka.

La Tunisie ne doit compter que sur son propre peuple, s’il veut, il peut. Mais c’est une toute autre histoire et les doutes restent permis quant à la réelle volonté de ce peuple de prendre son destin en main.
Cet homme insignifiant, guignolesque qui a mangé à tous les râteliers, ex godillot de Ben Ali,  se voit déjà comptable des voix de ceux qui voteraient pour son mouvement, avec lui on passera ainsi du triumvirat Ennahdha-Ettakatol-Cpr au binôme Nida Tounes-Ennahdha qui ne sera pas certainement pas du goût des électeurs demain de son mouvement mus majoritairement par la même motivation : tourner définitivement la page d’Ennahdha.

Avec des tels politicards, irresponsables, velléitaires, qui ne reculent devant rien pour satisfaire leurs ambitions personnelles démesurées et pour qui la fin justifie les moyens quitte à provoquer un séisme politique néfaste pour les fondements de la démocratie, la politique est un cocktail détonant, un salmigondis, un embrouillamini, un fatras d’ingrédients aux propriétés incompatibles et antinomiques, c’est que si l’on mariait la carpe et le lapin. Un cocktail des plus explosifs et mortels et qui finira par achever  le pays miné  métastasé par un cancer au stade terminal.

Les électeurs ont besoin de visibilité et de lisibilité politiques, de clarté dans leur paysage politique, ils ne votent pas pour que les ennemis ou rivaux d’hier deviennent des alliés à la sortie des urnes, leur choix est essentiellement politique. Ils ne votent pas pour Nida qui conclure un projet de gouvernement avec Ennnahdha par exemple, ils votent pour le premier nommé parce qu’ils présentent à leurs yeux une alternative crédible à la politique calamiteuse de cette dernière et son projet de société ultra-réactionnaire et régressif nonobstant les hypothèques qu’elle fait planer sur la souveraineté nationale.  Il ne s’agit pas pour eux de donner un blanc-seing à Nida qui n’est pas propriétaire de leurs voix afin qu’il fasse renter Ennahdha par la fenêtre là où ses électeurs l’avaient sortie par la porte.  Un élu ne peut pas réhabiliter ce que ce que ses électeurs sanctionnent.

Le respect de la volonté des électeurs est une règle sacrée qui interdit toute manoeuvre susceptible de dénaturer leur choix politique.  Un vote dévoyé aujourd’hui sera le vote-sanction plus tard.

Ce moussaillon qui se rêve en capitaine doit revoir ses fondamentaux quant au sens premier du vote qui n’est pas un mandat pour la vie et confère des droits exorbitant au mandataire-élu.

En tant qu’expression majeure de la volonté populaire, il ne peut être sujet à des tentatives de politique politicienne de détournement à des fins autres que celles définies par le contrat social qui lie les électeurs et les élus.  S’il n’a pas lu le Contrat Social de J.J. Rousseau ce serait plus que jamais l’occasion pour lui de s’y mettre afin qu’il comprenne s’il a la lucidité nécessaire qu’en démocratie nul n’est maître de la volonté de ses électeurs «  Les députés du peuple ne ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement. » (Contrat Social, Livre III, CH.)

On ne construit pas une démocratie par le viol de la volonté du peuple ni par des alliances contre-nature qui finiront par éloigner les électeurs des urnes et ouvrir un grand boulevard aux partis fascistes qui savent mieux que quiconque surfer sur le désarroi et le découragement des électeurs.

Plutôt que d’assumer ses échecs, le musulman fait du sioniste son souffre-douleur

Les petits intellectuels nourris au biberon de l’arabo-islamisme ont cet art consommé de faire diversion comme s’ils avaient quelque chose à dissimuler de la vue de leur interlocuteur.
En effet, ils ont une manie maladive de vouloir détourner le débat quand il ne va pas dans leur sens, de le vider de sa substance, de le polluer surtout quand il remet en question et démystifie toutes les idées reçues sur l’islam et son image fantasmagorique d’Epinal.
Imbus de leur personne, suffisants et convaincus qu’il ne peut y avoir d’autre vérité que la leur, rendant ainsi impossible toute discussion critique autour des plaies endémiques qui entachent le corps musulman.
Ils sont seuls à ne pas voir que ces plaies se muant chaque jour en de nouvelles nécroses mortelles non seulement pour eux et pour leur religion mais également contagieuses pour le reste du monde.
Tellement bornés et frappés de cécité mentale qu’ils n’admettent pas l’existence d’une véritable pandémie propagée par le virus mortel de l’islam, contre lequel le monde semble impuissant à lui trouver un vaccin efficace qui puisse enrayer ses effets mortels.
Plutôt que de reconnaître la haute nocivité de ce virus et ses ravages dévastateurs au sein de leurs populations, ils s’évertuent à endosser leurs habits d’inquisiteur des sionistes qui est leur leitmotiv favori et une manière très pernicieuse et fourbe pour ne  pas dire juif. Le vocable sioniste leur sert en réalité de verni pour masquer leur éternelle obsession du complot juif contre Allah et son prophète. Le juif qui les tourmente et les hante jour et nuit.
Il n’y a pas un échange avec eux sans qu’ils serinent leur rengaine héritée du prophète autoproclamé et son aversion pathologique du juif qui lui a refusé l’aval biblique. Au point que pour se venger il a voulu récrire très maladroitement  et grossièrement l’histoire messianique du judaïsme allant jusqu’à faire du copier-coller de certains des symboles des juifs comme le sacrifice d’Abraham, une véritable imposture et un apocryphe.
Quand personnellement j’aborde le sujet  de l’islam et son lot d’horreurs au quotidien, je n’évoque  pourtant pas autre chose que l’islam. Pourquoi veut-on m’amener sur d’autres terrains que celui qui est la face visible hélas de la barbarie humaine ?
Je crois savoir que ce n’est pas le bouddhisme ni le sionisme qui met en péril la survie de la Tunisie en proie peut-être au pire Tsunami de son histoire. Devenue théâtre au quotidien d’assassinats politiques,  de crimes d’Etat, de meurtres de ses forces de l’ordre, d’actes de brigandage et de pillage y compris dans les transports en commun, de viol, d’enlèvements, attaquées incessantes contre les postes de police et de garde nationale par des groupes djihadistes à la solde du pouvoir en place, de racket en tous genres,
Depuis  que la Tunisie est tombée définitivement sous le joug du vrai islam, l’islam des sources, prend de plus en plus les allures d’une nouvelle Somalie et d’un nouvel Afghanistan aux portes de l’Europe qui porte une lourde responsabilité dans l’état de liquéfaction actuelle du pays qui au lieu de mettre hors d’état de nuire l’islam radical lui a servi de fer de lance pour dans sa conquête de pouvoir.
En voulant le réhabiliter pour en faire un nouveau séide au service de ses intérêts, l’Europe qui joue avec le feu qui risque de ’embraser elle-même un jour ou l’autre porte une lourde responsabilité dans la  destruction des fondements de l’Etat de droit en Tunisie  qui  en train de devenir un véritable Etat musulman, un Etat de non-droit gouverné par la loi de la jungle de la charia,  Un repère de voyous et de renégats tout heureux d’imposer à la population locale leur vision dogmatique de l’islam des crimes sanctifiés et impunis.
En ce qui concerne le cas libyen, c’est encore pire. Elle qui voulait consolider ses frontières contre l’immigration clandestine à partir des territoires névralgiques où la Libye de Khedhafi tenait un rôle-clé à fait tout le contraire de ce qu’il fallait faire, plus préoccupée certainement de ses intérêts géo énergétiques et géopolitiques que de son propre devenir humain.
Au rythme où vont les choses, il y a fort à parier que la secte sanguinaire de Boko  Haram ne va pas tarder de prendre pied dans ces deux pays  pays en question  grâce à ses accointances idéologiques avec la secte-Etat d’Ennahdha et les islamistes libyens.
Il n’en reste pas moins que si les musulmans servent de laquais, de faire-valoir, de chair à canon à l’Occident et aux russes, c’est parce qu’ils ne sont toujours pas sortis du stade l’enfant-soldat.
In fine, ce qui est le plus à blâmer c’est moins les chefs marionnettistes que les marionnettes elles-mêmes. Que font-elles pour rééquilibrer les rapports de force entre elles et leurs donneurs d’ordres et manipulateurs ?
Si l’islam lui-même ne constituait pas un terreau favorable aux manœuvres de division, de discorde, de violence et de nihilisme est-ce que l’Occident aurait cherché à exploiter les plaies endémiques de l’islam et les aggraver ?
Par conséquent,  peu importe à qui profitent les crimes contre l’humanité perpétrés en Syrie et qui tirent sur la ficelle, mais les faits rien que les faits encore et toujours les faits démontrent que tout cela est l’œuvre des musulmans qui puisent la légitimité de leurs actes dans le coran lui-même qui leur promet en récompense un séjour ad vitam aeternam à l’éros center d’Allah.
N’est-il pas primordial pour les musulmans d’apprendre à balayer les tas d’immondices devant la porte de la maison islam, ce qui est une sinécure pour eux,  avant de chercher à attirer l’attention  de leurs interlocuteurs sur les déchets chez  les sionistes ?
 Au tribunal on juge un criminel sur ses propres actes, on ne cherche pas à les atténuer ou les occulter par les crimes ou supposés crimes d’autrui. Malheureusement, le visage de la barbarie a un nom aujourd’hui :  c’est l’islam et non le taoïsme ou le sionisme.

Faudrait-il ressusciter les morts et à leur tête Bourguiba pour sauver la Tunisie ?

  Quel miracle faut-il  accomplir pour sauver la Tunisie ?  Sauf  ressusciter tous les patriotes tunisiens et les militants antifascistes du monde entier pour arracher la Tunisie des griffes de l’hydre islamiste. Quand les vivants sont impuissants pour éradiquer la peste fascislamiste, il nous reste comme seul recours aujourd’hui que de redonner la vie à ceux qui ont fait  leur preuve de résistants face aux oppresseurs et aux occupants.
C’est désespérant de voir ce peuple rester les bras ballants devant la descente aux enfers de son pays.
Je ne sais pas si les morts ont honte de lui, mais j’ai honte de faire partie du  même monde des vivants que lui.
La Tunisie souffre mais son peuple ne fait rien pour abréger sa souffrance.
Personne ne sait vraiment ce qu’il le veut, le sait-il lui-même ?
Je crois que la Tunisie regrette amèrement de ne pas avoir un peuple digne d’elle.
Il pense à sa mort  et sa résurrection dans l’au-delà tandis  que la Tunisie pense à la vie et à l’avenir des générations futures. Les hommes se meurent mais jamais la patrie.
Un jour les tunisiens d’aujourd’hui auront des comptes à rendre aux tunisiens de demain qui ne leur pardonneront jamais de n’avoir rien fait pour sauver la patrie.
Ce n’est pas parce qu’un pays se meurt que l’on ne doit rien faire pour lui redonner vie.
La lâcheté d’un peuple se reconnaît dans sa démission à réagir face au destin contraire.

Le vrai djihadiste musulman n’est pas celui qu’on croit

[February 11, 2006 Parisian protest against th...
[February 11, 2006 Parisian protest against the publication of caricatures of Muhammad|inline= (Photo credit: Wikipedia)
Les musulmans ont beau se vendre comme laïcs, modernistes, républicains, ils restent viscéralement hostiles et intolérants pour toute critique de l’islam, a motif qu’ils ne faut pas ébranler les masses musulmanes dans leur foi qui passent pour être totalement pourtant ignorantes des dogmes de la foi et qui ne connaît du Coran que sa couverture.
Plus de 50% des marocains par exemple sont analphabètes, incapables par conséquent de lire un traître mot du Coran sauf leur mémorisation de quelques versets qu’ils récitent toute leur vie tels des perroquets pour faire leurs prières.
Quel est le taux des musulmans de par le monde pour qui le Coran est accessible dans sa langue arabe qui est-elle même inaccessible à la majorité des arabophones eux-mêmes ?
Combien de musulmans comprennent l’arabe oralement qui est la langue du rituel de leurs prières collectives et individuelles ?
On n’ébranle pas les ignares abrutis et endoctrinés du berceau jusqu’à la mort, conditionnés tel un ancien O.S. qui répétait toute sa vie les mêmes gestes répétitifs tel l’embouteillement des bouteilles. Au point qu’il finit par ressembler à un automate.
Quand on n’apprend pas aux êtres humains de réfléchir, de penser, de comprendre, de lire tout simplement par eux-mêmes et de développer un esprit critique afin qu’ils se forgent leurs propres convictions, comment peut-on arguer que des gens qui n’ont aucune connaissance personnelle de leur foi, allait être froissé par des écrits qui désacralisent l’islam et le démystifient ?
Ce sont les mêmes ignorants et incultes qui ont assassiné Fareg Fouda et ont tenté d’égorger Naguib Mahfoudh sans avoir lu une once de ligne de écrits incriminés et décrétés par leurs marionnettistes en chef comme ayant un caractère blasphématoire. Totalement analphabètes qui avaient pour mission sacrée d’exécuter une Fatwa de mort décrétée à leur encontre pour offense à l’islam.
Personnellement, je ne me sens pas à l’abri du sort  de ces deux immenses intellectuels égyptiens  ou de celui du petit-fils de Van Gogh, ni de Taslima Nasrine,, Djaout, Salman Rochdy, Wafa Sultan et d’autres connus et anonymes qui se sont attaqués et continuent encore à le faire contre l’imposture musulmane et sa haute nocivité pour la paix et la sécurité dans le monde.
Le vrai danger ne viendra certainement pas de ceux qu’on qualifie d’islamistes et salafistes, ce sont ceux qui pratiquent la Takiyya qui tout en prêchant la paix et la tolérance façon Tarek Ramadhan ne font que dissimuler leur jeu en se parant d’un visage avenant et d’un discours apaisé, qui attendent juste l’occasion pour sortir de l’ombre et déverser sur le monde leur poison de haine ruminée de leur action de normalisation apparente de l’islam. Ce sont eux les vrais chevaux de Troie destinés à tromper la vigilance de l’ennemi tel que le définit le Coran. Ils sont  ses atouts maîtres, la vraie clé de la réussite de ses desseins hégémoniques.
Plus dangereux encore que les radicaux, car ils se fondent dans l’anonymat et se montrent des plus discrets, des plus consensuels et des plus accommodants.
En réalité, ils sont lâches et pleutres et attaquent toujours par traîtrise. Ils se veulent tolérants et ouverts au dialogue, mais pour ceux qui les connaissent de l’intérieur, c’est un masque dont ils s’affublent, un trompe l’œil.
Plutôt que d’exprimer leur propres ressentiments et leur intolérance, ils font semblant de se faire l’écho et l’interprète d’une hypothétique réaction épidermique de la masse de leurs coreligionnaires ignorants qui leur sert de braise de feu sur laquelle ils soufflent à leur guise tout en faisant croire que la faute des débordements de colère et de l’hystérie collective est imputable aux offenseurs de la foi musulmane.
 Toujours au-dessus de la mêlée en gardant une posture d’avocat général qui criminalise le combat des idées et déculpabilise ceux qui par la violence de leur réaction provoquent des troubles de l’ordre public et mettent en péril la vie d’autrui.
Faisant ainsi de l’islam un sanctuaire inviolable et une vérité absolue opposable à toute l’humanité. Sans laisser rien apparaître, ils se placent comme les inquisiteurs et les censeurs de la pensée islamo-incompatible.
Ils usent et abusent de manœuvres pour réduire au silence les voix discordantes qui brisent l’omerta sur la nature violente et belliqueuse de l’islam qui se rêve en futur Seigneur du Monde, en multipliant les procès pour incitation à la haine contre les musulmans comme si l’islam était constitutif de nationalité ou d’ethnie.
Comme si les détracteurs de l’islam étaient la cause des plaies qui gangrènent le monde musulman et le nôtre sont-elles étrangères à l’islam ?
Plutôt que de reconnaître que l’islam est une réelle source d’inquiétude, ils esquivez la question en renvoyant leur interlocuteur systématiquement sur le sionisme ?
Noyer le poisson et se voiler la face c’est tout ce qu’ils savent faire pendant que leurs  coreligionnaires les plus actifs sèment la terreur.
Pourquoi nient-ils les évidences alors qu’elles tordent le cou à vos vérités qui ne reposent sur aucun fondement théologique sérieux ?
 Je m’appuie personnellement  sur la seule observation des faits et je constate et déplore que l’islam porte en lui que cela ne vous en déplaise tous les ingrédients d’une machine infernale  que rien ne semble enrayer au vu de la multiplication à l’échelle industrielle des dérives morales symptomatiques de la résurgence du monde des cavernes, le climat inquisitorial, les menaces de guerre des religions en Egypte, des risques de crimes d’Etat en Tunisie, les crimes contre l’humanité, les attentats à la bombe, les massacres des chrétiens, les atrocités, les centaines de morts au quotidien en Irak et en Syrie, le génocide des animistes et des chrétiens au Soudan, la barbarie en Arabie Saoudite, les mariages pédophiles au Yémen, les pogroms et les assassinats politiques, les guerres tribales en Libye, les organisations criminelles comme Ennahdha, le F.I.S, les Boko Haram, la Qaïda, les Talibans, les hostilités grandissantes au sein de l’opinion publique mondiale à l’égard de l’islam. Autant de faits qui puisent leurs sources dans les textes fondateurs de l’islam.
Ce n’est pas de l’islamophobie ou de l’anti islam que de dire que la pandémie de la barbarie humaine qui fait ses ravages partout dans le monde est intrinsèque à l’islam lui-même. Les maux sont endémiques et donc théologiques. C’est aux musulmans de les soigner.

Sommes-nous en train d’assister à un « génocide » programmé de la Tunisie ?

La Tunisie est bien partie pour revivre un

Français : Carte de la Tunisie en 1844
Français : Carte de la Tunisie en 1844 (Photo credit: Wikipedia)

nouvel épisode  génocidaire des descendants des Banu Hillal

Ce n’est pas une guerre civile à laquelle les tunisiens doivent se préparer et dont l’avènement est imminent, c’est un crime d’Etat contre le peuple tunisien. On commence par le démoraliser à travers ses forces armées et de police censées défendre le sécurité des citoyens, avant de lâcher sur lui les escadrons de la mort qui vont le dépecer comme un vautour dépeçant sa proie.   La Tunisie est tellement minée et affaiblie que ses ennemis n’auront aucun mal à l’achever.
De quel dialogue national parlez-vous ? C’est la prière du défunt célébré en la mémoire de ce peuple qui a toujours su rester debout, mais aujourd’hui l’ennemi est l’Etat lui-même soutenu par des mercenaires exterminateurs à la solde du Qatar et d’Arabie. Les deux mêmes pays qui hébergent les anciens ennemis de ce peuple.
La Tunisie se meurt sous nos yeux et ni son peuple ni ses forces de l’ordre patriotes n’y peuvent rien, car ils sont pris dans l’étau du pouvoir d’êtres cruels et barbares, des sans foi ni loi. Des êtres qui font de la mort de l’autre la source de leur propre vie.
Un génocide programmé de ce peuple se profile à l’horizon et la Tunisie se trouve condamnée à mort à cause de la trahison de l’I.S.I.E. d’Yadh Ben Achour, de toute sa classe de politicards et des deux  premiers gouvernements de transition.
Ennahdha qui a fait de la félonie et la perfidie sa moelle idéologique n’aurait jamais réussi son hold-up sur le pays si tous ces traitres ne lui avaient pas servi de complices et de faire-valoir. La Tunisie paye cash le prix de la duplicité, la duperie, l’imposture et la veulerie de ses propres enfants.

Ce ne sont pas vos compatriotes de France qui sont à l’origine de la tragédie tunisienne

 

 
 
 Il est à rappeler à ceux qui font un procès en sorcellerie aux 39000 « électeurs » tunisiens de France qui ont voté pour Ennahdha sur 600000 résidents, à peine 7 %, qui ont changé le cours de l’histoire de la Tunisie.
Personne ne pouvait contrôler quoi que ce soit ni agir sur les cours des évènements, le fait même que le premier gouvernement de transition était dirigé par l’ancien premier ministre de Ben Ali est en soit une ineptie politique.
De même que sortir un vieux chnoque de sa retraite dorée pour lui confier les rênes du pays devrait interpeller ceux qui veulent faire de leurs compatriotes immatures politiquement leur bouc-émissaire.
La victoire d’Ennahdha était toute tracée, elle aurait gagné quelque soit le cas de figure choisi puisque les vrais scénaristes ont tout prévu de la trame enclenchée dès la chute kafkaïenne de Ben Ali.          
Ainsi imputer la bérézina actuelle de la Tunisie à une poignée des bigots et déficients intellectuels, c’est tout simplement dédouaner les vrais acteurs de leur  lourde responsabilité de la mise à mort programmée de tout un peuple.
On ne peut pas faire  de 39000 inconscients des coupables  malgré eux pour innocenter les vrais artisans de la tragédie tunisienne. 
-C’est blanchir  l’I.S.I.E. et son laxisme, sur sa mauvaise organisation et gestion du scrutin, et son choix criminel d’un scrutin à un seul tour,
-C’est laver de tout soupçon  toute la classe politique tunisienne,
– C’est oublier les deux premiers gouvernements de transition, l’électorat analphabète, veule et cupide ainsi  le sabordage orchestré par les anciens  du R.C.D.
-C’est occulter le rôle trouble des E.U. et de la France de Sarkozy  et leur mansuétude pour l’islamisme modéré auxquels ils ont servi d’agents de promotion.
Et bien d’autres facteurs géostratégiques et géopolitiques que j’ai eu l’occasion de développer et analyser dans une série d’articles sur le sujet de la Pax Americana en 2011-2012.
Ne faisons pas des benêts des hommes intelligents.
 
 
 

La Tunisie est tunisienne, ni arabe et ni musulmane

La Tunisie qui a recouvert  sa dignité un soir du 14 janvier 2011 est aujourd’hui confrontée à un véritable péril qui menace ses fondations sociales, sa personnalité juridique, son identité républicaine et sa souveraineté nationale, voire son devenir humain.

  • L’organisation sectaire d’Ennahdha fait de l’arabisation la pierre angulaire de son projet politique et sociétal pour la Tunisie. Comme si la Tunisie n’a pas son caractère propre qui lui permet de sauvegarder et pérenniser sa propre identité.
  • En quoi son arabisation est porteuse d’espoir et sa tunisification serait porteuse de désespoir pour le peuple tunisien ? Est-ce que ce  modèle de société habillée d’arabisme est la panacée pour résoudre les maux de la Tunisie ?
  • S’il est aussi efficient que cela pourquoi l’arabisation est correlée avec régression et sous-développement ? Tout indique que l’arabisation constitue un modèle importé, étranger à  la Tunisie et en déclage avec les aspirations tuniso-tunisiennes de sonn peuple.
  •  Qui dit arabisation de la Tunisie, dit surtout aliénation de la Tunisie et sa colonisation par un système de pensée idéologique qui vise essentiellement à lui faire perdre son idépendance et son âme.
  • L’arabisation est un processus de mise sous tutelle de la Tunisie au profit des forces tierces dont l’objectif est moins de conforter la dignité des Tunisiens que de la leur faire perdre. L’arabisation n’est rien d’autre que la vassalisation du pays, son intégration dans le nouvel espace wahhabite auquel oeuvrent les islamistes tunisiens.
  • Leur patriotisme se confond avec leur obéissance et leur félonie au  service de leurs bailleurs de fonds soutenus par les Américains.  Le terrain tunisien est miné, des foyers d’incendie peuvent se déclarer à n’importe quel moment.  Le pays n’est pas à l’abri d’un nouveau séisme politique et humain d’une grande intensité. Il faut des pare-feux et des digues pour protéger la Tunisie de la houle arabiste qui la menace dangereusement.
  • En sauvant la Tunisie, on sauve les acquis  hérités de Bourguiba et ceux de sa  Révolution étouffer dans l’oeuf les velléités de la contre-révolution orchestrée par les wahhabites et leurs protecteurs américains.
  •  Les islamistes sont des nervis, des séides, des félons, des pions sur l échiquier du pacte entre l’ Oncle Sam et la glaive wahhabite. Ils veulent la faire avorter au nom de l’arabisation symbole de la réaction et l’archaisme afin qu’elle ne serve pas d’exemple pour les autres peuples soumis à l’ Islam. L’exemple libyen en est la meilleure illustration.
  • En effet, la  Révolution libyenne qui était au départ une Révolution était devenue en cours de route une contre-Révolution pilotée par les Américains. Ce n’est pas la petite principauté du Qatar qui l’avait sponsorisée ce sont leurs maitres saoudiens qui l’avaient fait en sous mains surtout qu ils avaient un compte à règler avec Khaddafi qui les avaient traités un jour au Caire lors d’un Sommet de la Ligue Arabe de « gros porcs ». Le pire affront que l’on puisse infliger aux islamistes polymorphes et anthropomorphes. Le soulèvement populaire  chiite du Bahrein avait été maté par les Saoudiens avec des menaces à peine voilée des Américains qui avaient peur pour leurs intérets géostratégiques menacés par leur grand ennemi iranien.
  • N’oublions pas non plus le rôle joué par les  mêmes Américains dans l’avènement du F.I.S.en Algérie trraités par le Département d’Etat américain comme s’ils étaient les maitres d’Algérie. Ce vote est national et patriotique. Voter pour les islamistes c’est voter pour la nouvelle alliance entre les Wahhabites et les Américains dont Sarkozy et Cameron sont les V.R.P. de luxe. Les nouveaux Daladier et Chamberlain du XXI ème siècle. Dois-je rappeler que le scrutin tunisien est lié au prochain scrutin présidentiel en France de 2012 ? Qui a fait des islamistes qoutbistes de l’ U.O.I.F. les indignes représentants de l’Islam en France, ce qui est une hérésie ? C’est Sarkozy. Savez-vous pourquoi  ils avaient appelé à voter en 2007  lors de leur rassemblement annuel au Bourget dans la même année ? Pour Sarkozy. Qui est le cofondateur de l’U.O.I.F. c est bien le terroriste Rached Ghannouchi auquel Alain Juppé, homme politique chevronné et respectable, a octroyé un satesficit d’honorabilité et de fréquentablilité.
  • De même que le comportement indécent et caractéristique d’un délit d’ingérence dans les affaires internes d’un Etat souverain  en violation de la Convention de Vienne du barbouze Bouillant des eaux nauséabondes ne peut que conforter la thèse du complot contre-révolutionnaire.  
  • Nous avons aujourd hui suffisamment d indices tangibles quant à la réalité avérée du complot ourdi contre la Tunisie qui en réalité sert d alibi pour atteindre l’Algérie. Les autorités algériennes qui se surarment passant au rang du 10 ème pays importateur d’armes en 2010 ne sont pas dupes dans le cas d espèce.
  • Elles savent que ce sera l Algérie la vraie cible des appétits hégémoniques conjugués entre l’Orient wahhabite soutenu par le Département d Etat américain et l’Occident sous le commandement miltaire de l’O.T.A.N. et en proie à la crise grecque et ses conséquences sur sa dette souveraine et les inquiétudes liées à la dégradation de sa note de crédit par les agences de notation surtout en ce qui concerne la France, la prochaine cible de ces agences, et la Grande Bretagne.  
  • Les enjeux géopolitiques et géostratégiques de ces élections dépassent le cader tunisien. Jamais les Américains n ont été aussi présents dans les affaires tunisiennes, tel que le chassé croisé Tunis-Washington entre entre les officiels américains et  Béji Caid Essebssi et les membres de l’ organisation sectaire et teroriste d’Ennahdha en est la parfaite illustration.
  • Leur intéret manifesté  pour les élections tunisiennes n’a rien de fortuit, il est dans la droite ligne de leur  vieux reve de Croissant arabe sous le joug de la  Pax América dominé par leur dominion saoudien et duquel seront éjectés la France et l’Angleterre.  
  • Les électeurs tunisiens doivent etre conscients que chaque bulletin de vote déposé dans l’urne en faveur des affidés wahhabites est un bulletin pour l’intégration de la Tunise dans la sphère d’ influence américano-saoudienne et de sa vassalisation au nom de sa soi-disant arabisation, comme si cette arabisation est une réponse aux maux du sous-développement, une solution à la crise de l’emploi, la cherté de la vie, le mal-être. Une arabisation destructrice de la vie humaine.
  • L’arabisation qui est le cheval de bataille de la secte félonne d’Ennahdha sous-entend wahhabisation de la Tunisie. Synonyme d’un Islam ultra-rigoriste, littéraliste, totalitaire, mortfifère pour les libertés humaines. Un Islam inégalitaire, despotique, celui du règne de l’arbitraire et de la cruauté humaine, régressif et obscurantiste.
  • Un Islam oligarque. Anti-républicain, antidémocratique, anti-national et anti-souveraineté populaire.  Sa wahhabisation nest rien d’autre qu’ une dissolution de son âme et la perte de son identité.
  • L’arabisation n’est rien d’autre non pllus que la perte de son indépendance politique et la transformation de son ordre juridique et de ses institutions sur la base de la loi canon de la charia en vue de son intégration en tant qu’Emirat dans le grand Califat en gestation sous la houlette turco-wahhabite.En conclusion, dans la sémantique islamique, arabiser ne signifie pas renforcer l’enseignement de la langue arabe, mais tout simplement acccroître l’islamisation d’un pays. L’ihistoire se répète après le premier épisode de l’arabisation de la Tunisie au XI ème siècle et sa barabrie, vient aujourd’hui l’épisode de sa réislamisation sous la houlette wahhabite.
  •   

Il n’y a pas de sortie d’impasse pour la Tunisie tant que Ben Ali continue à la hanter

Il faut que la Tunisie solde une fois pour toutes ses comptes avec Zebla Ben Ali et ses complices petits et grands sans exception du simple sous- fifre, au pseudo diplomate à ses premiers ministres.
 
N’est-ce pas honteux  et scandaleux, et offensant pour la mémoire des victimes de la Révolution tunisienne, qu’il n’en déplaise à ce petit séide aigri d’avoir perdu ses privilèges, de voir des hommes comment des homes comme Hamed Karoui se trouve sur le devant de la scène politique tunisienne et qui sert au même temps de maître à penser pour Hamadi Jébali, le nostalgique du Califat ?
 
Nul doute c’est bien à cause d’eux que le pays s’installe dans un désespoir sans issue. La pire chose pour un peuple est l’habitude de s’installer dans un état de désespoir permanent. Comme disait Camus, c’est l’habitude du désespoir qui est terrible que le désespoir lui-même.
 
Les tunisiens ne se rendent même pas compte qu’Ennahdha a trouvé des solides appuis avec les anciens caciques de Ben Ali qui profitent de l’aubaine pour  se venger de ce peuple qu’une des  créatures du népotisme bénalien  qui se faisait un farouche défenseur des Trabelsi qui se met aujourd’hui à les dénigrer.
 
Comme il n’est pas exclu que leur collaboration-tactique cache des desseins plus noirs : installer le pays dans un chaos durable pour créer les conditions de retour de Ben Ali. Faire ainsi en sorte pour que Ben Ali apparaisse comme le seul recours pour sauver la Tunisie en créant un scénario du type le peuple réclame le retour des on sauveur.
 
La Tunisie n’est pas seulement prise dans le piège de l’islamisme d’outre-tombe, elle reste toujours en proie avec son cauchemar bénalien. Tant que la Tunisie n’a pas fait un travail d’assainissement de ses égouts des eaux polluées héritées de Zebla Ben Ali, il n’y a aucun espoir de dégager Ennahdha qui par moments me donne l’impression qu’elle joue à la justicière de son ancien mentor qui sans lui son Gourou aurait fini au bout d’une corde.
 
Cette hypothèse n’a rien d’utopique sinon comment expliquer qu’un des séides de Ben Ali recevait le terroriste Rached Ghannouchi chez lui ? Et encore mieux il traversait la Manche avec Mohamed M’Zali pour se rendre chez ce personnage des films d’épouvante, est-ce juste pour prier avec lui ou bien pour des missions inavouées ?  
 
Nul ne peut non plus contester l’existence du trait d’union entre Zebla et Ghannouchi qu’était Sakher Matri, le gendre de Zebla Ben Ali qui coule des jours heureux au Qatar bailleur de fonds de Ben Ali, qui lui-même profite de l’hospitalité  wahhhabite qui propage son virus mortel en Tunisie via son agence de locale de pollution Ennahdha. 
 
Tant que l’on a pas évacué le traumatisme de Zebla, le déchet,  il y a peu d’espoir de voir les tunisiens sortir de ce choc qui les a totalement pétrifiés. Ils en ont trop bavés avec le Néron de Carthage qu’ils ont du mal à réagir pour enrayer la descente aux enfers de leur pays.
 
Ennahdha a su profiter de cet état de liquéfaction psychologique, de leur état de désarroi total, de leur faiblesse généralisée, minée par 23 ans de despotisme, pour leur porter le coup de grâce.
 
La cause de leurs maux c’est Zebla et ses complices dont certains d’entre se refont aujourd’hui une virginité à bon compte alors qu’ils devraient rendre des comptes à ce peuple qu’ils abhorrent tant pour enrichissement personnel indu et l’acquisition frauduleuse de terrain à Gammarth.
 
On ne peut pas tourner la page d’Ennahdha tant qu’on a pas fini de tourner celle de Zebla Ben Ali et de ses acolytes qui ont provoqué un véritable cataclysme  prélude du Tsunami actuel.
 
 
 
 

L’islam doit être classé au chapitre des épidémies les plus graves pour l’humanité

Qui peut  parier sur les chances de l’islam de  s’assagir et  de ne plus hanter les cauchemars de l’humanité  et qu’il sera enfin regardé comme une religion parmi tant d’autres et non comme le péril majeur de l’humanité pire que le nazisme  ? De tous les systèmes de croyance il est celui qui ressemble le moins à une religion dans le sens spirituel du terme et du respect de la vie humaine.  Il enseigne la haine là où d’autres apprennent à leurs disciples l’amour de son prochain.  Sanctifiant la violence pour en faire son premier pilier là où le christianisme originel tel que le Christ l’avait initié sanctifiait la non-violence;

Les musulmans veulent banaliser l’effroi suscité par la simple évocation de son nom et le simple fait d’en parler  soulève leur indignation et provoque leur colère comme les observateurs avisés de l’islam avaient commis un sacrilège et ont  violé leur règle sacrée du silence  qui entoure la folie meurtrière consubstantielle à l’islam. depuis sa prétendue révélation.  Le dieu de l’islam n’est pas un dieu d’amour, il se rapprocherait plus de Kali, cette divinité terrifiante et effrayante du Panthéon hindou. Le dieu de l’islam est dépourvu  d’humanité,  il est injuste et partial entre ses créatures les dressant les unes contre les autres, établissant une hiérarchie entre elles sur des critères sordides et insensés.

Un dieu qui inocule dans le coeur des siens les graines de la haine de l’autre et de sa destruction  ne peut pas être un dieu de sagesse, de pardon, de compassion ,  de bienveillance, de préservation de la vie, de création et de miséricorde.  Intolérant, mégalomaniaque, suprématiste, nombriliste, tellement imbu de son image de soi , narcissique et muré dans ses certitudes de toute puissance qu’il lui est intolérable d’admettre qu’il puisse avoir des voix discordantes par rapport à la sienne et susceptibles de l’ébranler dans ses certitudes. Comme la violence est l’argument propre aux  êtres primaires, irréfléchis, impulsifs  et écorchés vifs, plutôt que de s’ouvrir au débat contradictoire  et de s’affirmer par le dialogue , le dieu de l’islam schizoïde-paranoïde ne l’a pas seulement fait sienne fait sienne, il l’a érigée en dogme religieux. Ce ne sont pas ses fidèles qui le sont c’est leur dieu lui-même qui les nourrit de la sève de la violence.  Ils ne font que reprendre à leurs comptes, reproduire ce que leur dieu leur a enseigné et prescrit de faire tout au long de leur vie s’ils ne veulent pas subir le pire châtiment qui les hante, l’enfer.

Ce dieu qui  injurie, maudit,   vilipende, stigmatise, incite à la haine, raciste, ségrégationniste, hyper sexiste,  pédophile, incestueux, suprématiste, nécrophile, cruel, méprisant, hautain, voue à la géhenne et  appelle aux meurtres des humains  devrait être banni du langage humain comme Hitler.  Ses fidèles qui ne jurent que par lui et auxquels il leur est interdit formellement de discuter de son message inhumain et apocalyptique  ont cru pouvoir trouver pour sa défense l’argument sentencieux de l’islamophobie. Leur nouveau glaive favori le brandissant à chaque fois que des critiques justes et fondées  fusent sur l’islam. Mais comment ne pas occulter l’industrie de la violence dans l’islam alors que ses  machines de mort tournent à 100% de leurs capacités de production ?

Il n’y a pas un jour qui passe sans que des vies humaines ne soient brisées pour apaiser l’appétit insatiable de cette divinité férue de chair humaine et  qui s’enivre de sang humain.  Evidemment  tout cela ne heurte pas la bonne conscience musulmane qui sort de son silence tel un rat de sa tanière lorsque son prophète plus Allah qu’Allah lui-même est caricaturé ou un inconscient urinant sur le coran.

Ni le christianisme, ni le judaïsme, ni le taoïsme, ni le sionisme, ni le bouddhisme, ni l’animisme , ni les islamophobes, ni les athées, ni les laïcs, ni les démocrates, ni les patriotes, ni les apostats,  ni tous ceux qui ne sont pas dans le moule musulman  qui font peser des menaces sur l’humanité et lui préfigurent un avenir des plus sombres  et  cauchemardesque ce sont des musulmans qui tuent et massacrent d’autres musulmans et des non-musulmans qualifiés par leur prophète d’ennemis de l’islam..

C’est la course effrénée aux prébendes divines  qui provoque ce cycle infernal de la violence. L’islam innocent ? Vous plaisantez ! Depuis sa naissance il ne fait que faire couler le sang des siens et des autres. Même les proches parents et les fidèles compagnons de leur prophète n’ont pas été épargnés par le virus mortel de la violence.  Dénoncer cette violence aveugle et barbare n’est pas de la phobie, c’est l’islam lui-même qui est la première source de cette phobie qui devrait être  considérée comme étant la première  et la plus grave épidémie du 21 e siècle.

Monsieur Béji Caîd Sebsi : que pensez-vous de cette tragédie tunisienne qu’elle doit à la Troïka ?

.
Je félicite les policiers et les gardes nationaux  tunisiens qui ont chassé la peste troïkaïenne des funérailles des leurs. Tout est possible quand on a l’amour de la Tunisie en soi, quand on le sens de l’honneur et quand on a le courage de vomir l’infamie. Bravo à cet hommage à la mémoire des victimes de la barbarie islamique qui a bénéficié de la collaboration de l’I.S.I.E et des 2  précédents gouvernements de transition et particulièrement celui de Béji Caïd Sebsi.
 
Il faut demander des comptes à tout le monde et les traduire tous devant une cour martiale pour haute trahison, atteintes à l’unité nationale et à la souveraineté du pays ainsi que crimes contre le peuple. Il faut qu’ils payent tous. Non Monsieur Béji la Tunisie n’est pas une mosquée que l’on laisse entre impunément entre les mains de ses ennemis.  
 
En faisant renter le loup imprudemment ou volontairement dans la bergerie tunisienne vous avez commis une grosse faute d’appréciation et qui a des conséquences tragiques sur le pays aujourd’hui. Vous auriez dû l’homme de l’espoir de la Tunisie et vous fait son désespoir au grand dam de son peuple.
 
J’avais respect et estime pour vous mais au regard de votre politique d’ouverture à l’égard de la secte infâme, je suis devenu dubitatif et très sceptique quant à a voir en vous son recours.
 
Vous les connaissez très bien et vous savez pertinemment les risques qu’ils font encourir au pays. Tous ces morts est-ce que vous y pensez ? Ils sont à mettre à l’actif de votre inconscience et votre grande légèreté politique. Votre désinvolture a plongé des centaines de familles tunisiennes dans le deuil des leurs à tout jamais. J’ai honte pour vous et pour votre main tendue à Rached Ghannouchi l’homme de tous les malheurs de la Tunisie. Un des plus grands terroristes de tous les temps. S’il le pouvait il dépasserait Hitler, Staline, Pol Pot dans la course à la barbarie humaine.
 
il
 

Les tunisiens n’ont guère d’alternative, soit le vrai islam d’Ennahdha, soit ils abjurent l’islam

Arrêtez de dire que l’islam n’est pour rien dans la tragédie tunisienne. Ceux qui tuent et massacrent sont les vrais musulmans.
Et si vous ne vous reconnaissez pas dans leur islam, c’est somme toute logique, parce que vous-mêmes vous n’êtes pas des vrais musulmans.
Vous vous êtes affublés du masque de l’islam qui n’en était pas un et les vrais musulmans vous ont fait tomber ce masque, c’est pourquoi vous êtes perdus, désorientés et que toutes vos illusions se sont évaporées au point qu’elles se sont transformées en nuages toxiques pour vous rendant votre air irrespirable.
Vous êtes tout ce que vous voulez et certainement pas musulmans, leur mission est de vous ré islamiser. Pour preuve de mon post, votre nouvel apôtre R. Ghannouchi a bien dit un jour que l’islam de ses parents n’en était pas un.
Un musulman est né pour  vivre, combattre et propager sa foi. Tuer pour Allah pour gagner le paradis. L’islam que vous présentez comme un islam par héritage est un islam d’ignorants et d’analphabètes.
Le leur est le vrai, celui des « sachants » qui trouvent une légitimité dogmatique à leur soif de pouvoir, leur appétit féroce de violence et l’absolution de leurs penchants sexuels pervers.
Il n’y a qu’un seul et unique islam, celui que vous rejetez et dans lequel Mohamed s’y reconnaîtrait s’il ressuscitait.

Ce ne sont pas les sionistes qui sont les fossoyeurs de la Tunisie, ce sont ses propres enfants

Les vrais comploteurs contre la Tunisie sont son peuple et ceux qui ont contribué au succès d’Ennahdha, et jamais les sionistes et nous autres !
Qu’il y ait eu un complot contre la Tunisie pour des raisons géo quelque chose et que ce ne sont pas les tunisiens qui ont eu la peau du patron de ce petit monsieur aveuglé par son aigreur comme d’autres par leur haine de la patrie tunisienne, cela ne fait pas doute mais qui reste à prouver matériellement, ce qui ne fait pas de doute est l’antipatriotisme , l’amorphie et le fatalisme de ce peuple trop abruti par la religion.
Que l’adversaire ait plus d’un tour dans sa manche et qu’il cherche à gagner la partie, cela va de soi, mais qu’a fait le camp d’en face c’est-à-dire le peuple tunisien pour contrarier son jeu et changer l’issue de la partie ? Rien ! Il est surtout préoccupé  par sa fichue vie dans l’au-delà et ses obligations cultuelles pour lesquelles il ne recule devant rien pour les satisfaire y compris en achetant des faux passeports gambiens.
De grâce cessez de faire le procès en sorcellerie aux sionistes, à l’Occident, et à ceux comme moi qui à force de critiquer l’islam aient poussé les tunisiens dans les bras de la secte. Les centaines de milliers de tunisiens qui ont voté pour elle, ils l’ont fait parce qu’elle est le parti de l’islam. C’est Jendoubi, Ben Jaäfar, Béji Caïd Sebsi, le bouffon de Carthage, Ben Ali et tous sbires qui sont des musulmans comme vous  qui ont trahi la Tunisie en préparant le terrain à cette secte infecte. Le cancer  est tuniso-tunisien. Soit vous êtes un peuple majeur et vous assumez vos échecs, soit vous demandez à l’O.N.U. de vous placer sous tutelle.
Avez-vu entendu un jour un juif faire de vous son bouc-émissaire ? Jamais ! Parce qu’il a son libre-arbitre, ce dont vous êtes dépourvus.
Les vraies causes sont en vous et rien qu’en vous; mais les fumées grises et noires dont votre esprit est enfumé par votre religion vous empêche d’avoir toute la lucidité et la clairvoyance nécessaire pour les identifier et trouver les bonnes réponses pour les traiter.
Libérez-vous des chaînes de l’islam et la Tunisie deviendra un pays majeur sinon vous allez tout droit dans les enfers islamiques.
Si vous en êtes là par conséquent-là c’est bien votre religion qui vous a réduit à l’état du néant.
Enfin,  qui a tué Chokri, Lotfi, Mohamed, vos soldats, vos policiers et vos gendarmes ?  Qui envoie vos filles souvent mineures se livrer à la prostitution hallal en Syrie ? Qui envoie vos voyous répandre la terreur en Syrie, en Algérie, au Mali ?  Qui fait décimer des animaux protégés dans le Sud tunisien ? Qui vend la Tunisie au Qatar ? Qui a libéré les meurtries libyens des jeunes filles tunisiennes jetées dans le vide comme des vulgaires poupées gonflables ? Qui a incendié et profané les mausolées et les cimetières ?   Qui appelle à la mort des juifs et des laïcs dans les mosquées ? Qui a ruiné le pays ? Qui est à l’origine de son état de délabrement et du retour des épidémies ? Qui est la cause de sa perte de crédit  ? Qui a promis de créer 500 000 emplois et en a détruit le double ? Qui a fait de ce pays de paix un nouvel Afghanistan ? Qui oeuvre pour sa mort ? Qui discrimine les femmes ? Qui veut instaurer les mariages Orfi ? Qui prône la pédophilie et la polygamie ? Qui a brûlé le drapeau tunisien pour le remplacer par le drapeau de l’islam ?  Qui  a dit que ma religion prime sur ma patrie ? Qui  a dit qu’il rêve d’un Califat pour la Tunisie et qui a vomi publiquement la république ? Qui corrompt et s’enrichit ?  Qui condamne les caricatures de votre prophète à plus de 7 ans de prison Qui  a mis des rappeurs tunisiens en prison et qui encore n’a pas fini de tisser sa toile d’araignée ?
Il faut toute une vie pour énumérer les atteintes aux libertés humaines, la confusion de pouvoirs pire qu’au temps de Ben Ali et le mélange des genres. Ce sont peut-être des athées, des sionistes,  des occidentaux, des apostats comme vous les appelez vulgairement, des mécréants alors que ce sont les croyants comme vous qui le sont à cause de leur mépris de la vie.
C’est votre silence complice et votre indifférence maladive au sort de la Tunisie qui fait la honte de la Tunisie et fait de vous les vrais comploteurs contre la patrie.

On ne fait pas du vote FN un vote de stigmatisation des musulmans de France attachés aux valeurs de la République

 

Ne faisons pas du FN un recours contre la montée du péril intégriste musulman en France
N’importe quel mariole en France qui sait faire le petit malin et qui donne l’impression qu’il se démarque de l’ UMP et le PS sur la question des gaz toxiques émis par les intégristes musulmans est sûr de gagner les élections sans coup férir mais avec quelques bémols, le résultat n’est jamais acquis à l’avance, il suffirait d’une embellie économique et ce mariole se retrouvera renvoyer dans son chenil pour retrouver ses vertus naturelles de chien-aboyeur . C’est vrai qu’aujourd’hui en France, on a pas besoin de programme politique, il suffit de laisser croire  qu’avec moi l’intégrisme musulman ne passera pas pour que ça marche et voilà comme on se retrouvera drapé dans la cape de Zorro. Mais une fois au pouvoir à supposer qu’il y arrive ce dont il est à douter à moins d’un raz-de-marée aux législatives ce qui est absolument impensable, la réalité finit par reprendre le dessus et ce mariole ne pourra qu’à se rendre à l’évidence j’aurais mieux fait de ne pas y aller. Soyons honnêtes, ni le peuple de gauche, au moins un français sur 2 ni les gaullistes, car avec Coppé il faut s’attendre au pire, c’est le vrai sous-marin du FN au sein de son mouvement à croire qu’il est payé pour le liquéfier, ni les centristes de Mr de Mr Bayrou, ni les radicaux de Mr Borloo ne voteront jamais contre la république et ses valeurs. On pourra revivre un nouveau 2002 avec un score  de 30% au 2 e tour au mieux. Ne vendons pas la peau de la république avant que l’intégrisme musulman n’ait fini de la dépecer.
Ni Marine le Pen ni personne d’autre n’ont la solution miracle pour contrer la montée du péril musulman en France et ce n’est pas le vote sanction mu par des réflexes identitaires qui va résoudre cette quadrature du cercle. Il faut que la république cesse de faire des concessions aux musulmans. Elle ne doit plus composer avec leurs spécificités cultuelles. C’est vrai  qu’elle a créé un précédent avec ses citoyens juifs, mais ces derniers ne constituent aucun danger pour elle et n’appartiennent  pas à une religion prosélyte et hégémonique comme c’est le cas des musulmans dont les plus fervents d’entre eux rêvent d’une république islamique de France.  Les juifs sont  républicains et patriotes et ont connu la Shoah. Nombreux sont aussi les musulmans attachés aux valeurs de la république qui aspirent à vivre dans un espace républicain non-pollué par la religion musulmane.
 
 
 
 

J’accuse al Azhar de par son silence sur les fatwas ubuesques et violentes de collusion avec le wahhabisme

 Pourquoi l’Université  d’al Azhar, qui n’a de prestigieux que le nom car je ne vois  pas en quoi cette université est utile à l’humanité, garde-t-elle le silence sur les dérives criminelles et barbares de certains musulmans qui portent préjudice à l’islam aux musulmans ? Elle qui est la mieux à même de nous apporter l’éclairage théologique nécessaire semble avoir perdu la parole.
Ce n’est pas son mutisme qui va faire taire les peurs phobiques de l’islam. et priver les « ennemis » de l’islam de leur fonds de commerce. Il n’y a pas  mieux qu’elle pourtant pour lever le voile sur le vrai islam que d’aucuns décrivent comme une religion de paix, de savoir, d’art de vivre, de tolérance et de respect de la vie humaine et des êtres vivants. L’islam de compassion et du juste milieu.
En toute évidence, on ne peut qu’être troublé par son absence  de réaction  face au déferlement de violence meurtrière et de prêches haineux, pédophiles, pornographiques, pervers, insultants à la conscience humaine,  antisémites, réactionnaires, dangereux pour la paix et la sécurité dans le monde qui mettent en péril même la pérennité de l’islam ?
Certes, elle n’est pas la gardienne du temple musulman, mais elle reste la seule institution et voix autorisée et habilitée dans l’islam sunnite d’émettre des vrais avis de Fatwas  qui n’ont aucun caractère coercitif (cqfd) contrairement aux idées reçues. En effet, la Fatwa est un avis juridique délivré à titre consultatif par un spécialiste  qualifié de droit musulman sur une question particulière.
On aurait bien aimé l’entendre par exemple sur cette question de djihad de nikah ou de la croisade terroriste menée par des mercenaires venues du monde entier contre la Syrie en se mettant au service des « vrais croisés », des koffars.  
Pourquoi  l’Université d’al Azhar laisse-t-elle le soin aux prédicateurs wahhabites  de remplir la fonction de Muftis au lieu et place des doctes et des jurisconsultes es qualité multipliant comme bon leur semble des fatwas des plus burlesques et aux plus effrayants avec effets exécutoires ? Comme si elles étaient des décrets canoniques.
Pourquoi ce que le droit musulman encadre, fixe et précise, l’institution la mieux placée dans le cas d’espèce ne remplit pas sa mission, ou tout au moins ne renseigne-t-elle pas, n’informe-t-elle pas sur le caractère légal des fatwas des apprentis-sorciers wahhabites ?
A moins que celui qui ne dise mot consent et ces fatwas sont conformes au droit musulman et qu’elle sert  juste de vitrine  à ce droit pour faire plutôt illusion et leurrer son monde.
 
 
 

Lettre ouverte aux tunisiens qui ont vendu leur patrie pour la gloire de l’islam

Pourquoi on a appelé votre simulacre révolutionnaire de révolution de la dignité ?
Ceux qui l’ont mise en scène savent bien que la dignité n’est pas votre vertu première.
Si vous aviez un fond de dignité et un zeste d’amour pour la patrie, vous n’auriez pas  donné la clé de la Maison Tunisie à la   Troïka et l’I.S.I.E

. Je ne me reconnais dans ce peuple qui pense plus à sa résurrection que dans la vie sur terre. Un peuple qui nie ses propres origines est-il digne de ma Tunisie ?
Un peuple qui se tue et se prostitue pour sa foi, bonne ou mauvaise cela m’indiffère, n’est pas mon peuple.
  Je préfère me retrouver seul en fer, si jamais cet épouvantable épouvantail existe, plutôt que de me trouver avec des êtres qui plutôt que de s’indigner et agir a préféré l’indignation de la soumission  à sa religion. Apostat, mécréant, anti-islam, sioniste, islamophobe oscarcisé par vos intellos des caniveaux  à la solde du Qatar, raciste, fils de pute, fils de Kapo même si je suis né bien après, agent du Mossad, sale juif, agent de la France alors que je suis français de plein droit, opportuniste qui veut se faire du fric sur le dos des tunisiens, la liste de vos invectives est si longue qu’il me faut toute une vie pour les énumérer.
Mais je suis heureux et fier  que je ne vous ressemble en rien et peu d’entre vous peuvent dire que le sang des leurs  a coulé pour le bien de ce pays y compris pour sa pseudo révolution.
Le sang qui m’irrigue est humain, il a nourri la terre tunisienne comme la France et l’Algérie.
Il est celui d’un enfant de l’humanité et non le sang issu du sectarisme religieux enfanté par Allah lui-même, le sang de celui qui vend sa patrie pour un mouton ou un ticket d’entrée au paradis.
Contrairement à vous je ne suis pas tombé dans le piège de la religion dans lequel vous avez entrainé la Tunisie.
Je sais que si je rentre chez vous je suis un homme mort même dans les cités françaises où vous sévissez.
Je n’ai jamais fait du mal à une mouche, mais vous aimerez tant me faire la peau alors que je n’ai jamais trahi la mère-patrie comme vous, pour avoir offensé votre religion.
La religion est virtuelle, insensible à la blessure, la patrie est réelle, elle souffre et pleure d’avoir été trahie par les siens.
Si vous avez un sens de l’honneur, c’est la patrie qu’il faut venger contre ces criminels dont vous vous accommodez parfaitement.
Vive la Tunisie, vive la France et vive l’Algérie et à bas toutes les idéologies liberticides  et mortifères dont celle qui a causé la mort de la Tunisie à cause de la cupidité et la veulerie de ses enfants.
Remerciez Monsieur Jendoubi de ma part d’avoir servi de croque-mort des libertés humaines dans ce pays.

On ne laisse pas impunément la Tunisie entre les mains des terroristes

Le terroriste qui se veut plus Allah et le prophète à la fois Rached Ghannouchi, l’homme qui a renié ses parents comme il a renié sa patrie,  est votre grand Emir jusqu’à sa mort et même dans l’au-delà. Il est dans vos gènes.

L’ANC  qui commémorera bientôt le 2 e anniversaire de sa mise à mort de la Tunisie est votre majless funéraire jusqu’à ce votre  Grande Audience devant la justice d’Allah  où le prophète ne sera là pour intercéder pour vous à cause défaut d’islamité.

Le grand  pédophile devant Allah le premier sinistre  Ali Lareyd, lieutenant des basses besognes de Ghannouchi,  et  le fervent  vitrioleur Hamadi Jébali nostalgique du Califat atteint de débilité profonde, tous les deux  nobles figures de l’humanisme musulman seront vos guides pour vous ouvrir les portes de l’enfer.

Jugement  dernier ou pas votre sort est scellé. Vous ne méritez pas mieux que l’enfer qu’Allah selon une source jamais vérifiée voue les mécrus et les insolents.

En croyant sauver vos âmes tourmentées et impures vous avez plongé la Tunisie. Ne dites pas que vous n’avez pas voté pour la secte de l’infamie humaine, dites que vous lui avez tendu le couteau avec lequel elle vous a égorgés comme les moutons que vous avez sacrifiés pour apaiser cet Allah sanguin et colérique ?

Votre indifférence coupable mérite que dégoût et mépris

Et si la victime de cette supercherie sur FB n’était pas l’imam Hassan Chalghoumi mais ma personne ?

Des amis m’ont fait remarquer à tort ou à raison que quelqu’un aurait usurpé l’identité de l’Imam Hassen Chalghoumi, la figure médiatique de l’islam modéré, qui n’est modéré que dans son discours et ses apparences.
Pourquoi alors son usurpateur qui cherchait à lui nuire a t-il eu besoin de passer par ma personne en sachant qui je suis et que je ne raterai pas l’occasion d’exploiter la faille.
C’est curieux que cet usurpateur m’ait choisi moi et pas un autre. A moins que
la vraie cible de cette supercherie soit plutôt celui que les musulmans veulent briser en deux comme me le souhaitent un preux musulman.
Le manipulateur occulte a fait ainsi d’une pierre deux coups apparemment discréditer l’Imam et démontrer que l’islam modéré est une arlésienne, et me piéger personnellement mais dans quel but ?
Pourtant cet usurpateur n’a pas intérêt à désavouer cette image médiatique de l’islam à dose homéopathique puisqu’il fait partie de cette stratégie globale de la conquête du monde en présentant l’islam comme étant victime d’ostracisme pour occulter son vrai visage des plus hideux et inquiétants et faire passer au second plan ses crimes contre l’humanité.
Plutôt que de spéculer sur la cabale dont cet Imam de la Takkiya musulmane aurait pu faire l’objet dont je suis certainement la première victime et verser dans la théorie du complot qui m’horrifie il faut se demander à qui profite le crime ?
Surtout qu’à ce jour l’Imam  qui doit nous fournir la preuve irréfutable qu’il ne se cache pas derrière cet usurpateur de façade brille par son silence tel l’Imam caché que les musulmans attendent son retour. J’oublie qu’il n’est pas chiite et que c’est la pire insulte que l’on puisse faire à un sunnite.

L’islam n’est compatible avec rien sauf avec la folie meurtrière

 
Aux yeux de ceux qui s’affublent du masque de l’islam modéré je n’ai toujours pas compris AU vrai sens de l’islam et que je ne rate pas une occasion pour le diminuer. Comme s’il avait besoin de moi pour ça. Selon eux tout ce qui se passe est l’œuvre des psychopathes et que je ne dois en faire mes choux gras. Ils ont parfaitement raison de me le rappeler, l’islam est bien compatible avec la psychopathie sinon, comme expliquer que  des musulmans venus du monde entier  mènent une croisade  où la haine se confond avec la ferveur religieuse contre Bachar al Assad chez lui au nom de l’islam alors qu’il est tout aussi musulman qu’eux. Peut-être plus peut-être moins.
Seulement que lui, il ne décapite pas ses ennemis pour exhiber leur tête comme un trophée et diffuser les images de ses forfaits  fruits de sa folie meurtrière sur le web.
Toujours selon eux paraît-il que l’islam serait une religion défensive. Une défense par anticipation qui se traduit ainsi : Je te tue avant que tu m’attaques, les volontaires de la mort sont juste-là pour défendre très humainement les valeurs de l’islam et faire la promotion internationale du djihad de Nikah et du djihad de la terreur qui puise ses sources dans le Coran lui-même. Le djihad qui est un des piliers de l’islam ne veut pas dire paix aux hommes de bonne volonté et donne-moi le meilleur de toi pour soulager la misère d’autrui. Le djihad n’est pas une œuvre caritative et humanitaire. Il s’agit d’une obligation essentielle qui pèses sur chaque musulman tenu à s’activer pour coloniser la terre entière, de se  mettre en mouvement pour prêcher la bonne parole  chez les mécréants et les musulmans égarés et s’il n’y arrive pas par  la persuasion il lui reste la lame de l’épée.  Nul doute que ces musulmans sont aussi inoffensifs et innocents que les les  divisions das Waffen SS et qu’ils sont étrangers aux  crimes contre l’humanité perpétrés en Syrie et en Irak et les croisades sanguinaires menées contre les chrétiens.
Les fous ne tuent personne, car la folie ne rime pas avec meurtre et quand ils sont dangereux et susceptibles de passer à l’acte, ils sont mis d’office sous haute surveillance médicale, or les fous d’Allah ne sont pas aussi fous que veuillent nous le faire croire les avocats de l’islam paisible, ils ne font que mettre en pratique l’enseignement du prophète  qui recommande de tuer  tous ceux qui ne sont pas dans le moule islamique. Shootés à l’islamoroïne, un cocktail de drogue dure composé du Coran, des Hadiths et la Sira qui procure aux consommateurs des sensations de force hyper destructrice et irrésistible avec les illusions de faire partie des gagnants pour l’éternité eux qui ont tout perdu ou presque dans leur vie terrestre.
S’ils sont en Syrie et en Irak, c’est pour imposer un Etat islamique appliquant à la lettre la Charia et faire sauter ainsi les derniers verrous de la laïcité et du pluralisme religieux  dans le monde musulman dont les masses sont toutes gagnées par la frénésie de la renaissance de la folie musulmane.
Si demain, il y a un parti qui se présente en France sous la bannière de l’islam, il fera un score de folie au sein des musulmans de France.
Si Ennahdha a raflé la mise en Tunisie, c’est parce que tous les fous musulmans du pays  ont voté pour elle. Il faut être fou pour croire aux 72 houris et le vin qui coule à flot dans le paradis d’où personne n’est jamais revenu pour confirmer la promesse folle de la vie de Palais du Calife dans l’au-delà.
Il faut être fou pour tomber dans le piège du paradis à l’ombre de l’épée et croire en la promesse des 72 vierges et l’érection éternelle. Tellement les musulmans sont pris dans le tourbillon de leur folie qu’ils ont perdu toutes leurs facultés de discernement.  On ne demande même si leur organe sexuel n’est pas leur seul moteur de vie.  Obsédés comme des malades par les plaisirs charnels et du vin coulant à flot promis en contre-partie de leurs performances meurtrières, ils ont perdu tout sens de l’humanité et incapables d’entendre la voix de la raison.
Il faut être fou pour nier les évidences et croire encore que l’islam est une religion non-violente alors qu’elle la sanctifie et l’exalte.
N’est-elle pas la seule religion au monde à accorder des prébendes à ceux qui tuent en son  nom ?
Aucun esprit sensé ne peut y croire et pourtant les musulmans atteints du syndrome de la folie de l’islam y croient.
La folie musulmane présente la particularité d’être contagieuse et insensée  à cause de ce phénomène de simultanéité de leur mode de vie,  de la standardisation de leurs mœurs, de leur tenue vestimentaire, de  leur repli identitaire, de leur refus de la modernité, de  leurs délires passéistes comme si anciens  arabes auxquels ils cherchent à ressembler étaient un modèle de probité et de vertu, leur marche à contre-courant de l’histoire, leur culte maladif  de la mort, leur exaltation du néant, leur sanctification de la violence.
Ces musulmans qui sèment la mort en Syrie , au Nord du Nigéria, au Kenya, en Somalie, au Pakistan, en Irak, en Afghanistan, au Soudan, en Algérie dans les années 90, et qui menacent de le faire en Egypte, en Libye et en Tunisie, après avoir failli plonger le Mali dans un bain de sang, ils le font certainement pour défendre l’honneur de l’islam ? C’est à leurs avocats auto-proclamés  d’y répondre et d’expliquer pourquoi  cette épidémie de folie qui frappe les musulmans ? Y a-t-il un lien entre l’endoctrinement religieux et la « perte de la raison » ?
Il est à douter que les bras armés d’Allah atteints du grain de folie de l’islam ne savent pas ce qu’ils font et pourquoi ils le font ? Ce sont des créatures façonnées sorties tout droit du moule mahométan.
Chercher à atténuer leur responsabilité pour les disculper c’est se rendre complice de leurs crimes.

Marine le Pen ne va pas fâcher les électeurs musulmans pour défendre les « islamophobes »

Ce n’est certainement pas Marine le Pen qui prendra la défense de ceux accusés d’islamophobie et qui comme tout le monde découvre les vertus de l’islam modéré pour des séduire l’électorat musulman.
Celui qui prétend que mes écrits servent de caution morale  au FN a tout faux.  Franchement je ne vois pas comment une femme engoncée dans une armure idéologique hermétique pourrait soutenir la cause de ceux qui défendent les libertés humaines et politiques qu’elle cherchera demain elle-même à les neutraliser pour ne pas troubler la bonne quiétude de la pensée unique. Il faudrait un Tsunami pour la voir un jour locataire  de l’Elysée.
Il y aura toujours au moins 80% de français républicains qui lui barreront la route. Et ce n’est pas  Brignoles qui pourrait inverser les pronostics. Vous ne croyez pas que Marine le Pen  adepte elle-aussi au double langage fait elle aussi sa Takkiyia façon Tarek Ramadhan est en train elle-même d’amorcer un virage islamophile grâce à son compagnon qui revendique des amitiés des rivages Sud de la Méditerranée  ? A-t-elle fait la moindre allusion au torchon de l’islamophobie  qui met pourtant des vies en danger et dont la mienne  ?
Soyons sérieux, elle n’en a rien à fiche du sort des républicains islamo-incompatibles et laïcs patentés, alors qu’elle même qui est loin d’être une laïque déclarée, est en rupture totale avec son géniteur cherche à se positionner par rapport au vote musulman, nonobstant la séduction  des musulmans encartés FN.   Engagée dans un processus de pacification et de républicanisation de façade de l’image de son parti, elle s’est mise comme tout le monde politique en  à la mode de l’islam modéré qui a désormais son pesant d’or dans les élections nationales .
Ce n’est pas non plus un honneur pour moi d’être défendu par les héritiers de Maurras que j’ai vomi dans ma propre thèse en Science politique. Pour ceux qui ne savent pas l’Arabie Saoudite aurait financé dans les années 70 les mouvements d’extrême droite en Occident au nom de la lutte contre le communisme. Quand  on mène un combat d’idées on attend rien de personne et surtout de la part de ceux qui s’affublent d’un masque républicain. On sait à quoi on s’expose surtout aux procès en inquisition et de la récupération de nos écrits à des fins politiques.
Tous les sites toutes tendances politiques confondues, sauf les islamo-incompatibles, n’ont témoigné du moindre soutien aux nominés aux Fatwas de l’islamophobie. Vous-mêmes qui vous faites juges au lieu et place  des juges et vous vous  amusez à spéculer sur l’exploitation politique de mes articles vous n’êtes guère différents de ceux que vous jugez infréquentables.
Une pensée libre n’est plus libre le jour où elle sera au service d’intérêts partisans. La mienne le restera jusqu’au dernier souffle de ma vie. Et ce n’est certainement pas les partisans de la droite nationaliste, réactionnaire, nostalgique et antirépublicaine comme ceux que je dénonce qui sont un modèle de respect et de sauvegarde de la liberté de pensée.

Y a-t-il un avenir pour les musulmans ?

Quel avenir pour des peuples à contre-courant de l’histoire et dont le mode de production échappe à toute analyse rationaliste ?
Quel constat autre que médico-psychopathologique  pourrons-nous faire de la situation tunisienne et de tous les pays tombés dans les mailles du filet de la religion du paradis au fil de l’épée, alors qu’ils souffrent tous d’un cancer à l’état de métastase qui rend infime leur chance de survie ?
Il est quasiment impossible de lever le moindre coin de voile sur leur futur ne serait-ce à très court terme dans un horizon aussi sombre peuplé d’images sorties tout droit du monde des ténèbres et des mœurs des plus barbares et effrayantes où l’on interdit aux fillettes de jouer à la poupée et on permet religieusement  aux hommes d’assouvir leur faim sexuelle avec ces mêmes poupées mais de taille humaine made in China et à l’effigie des stars hollywoodiennes.
 Il faut d’abord les aider à ablater  toutes leurs cellules cancéreuses qui portent la marque d’un virus mortel inoculé par des visiteurs indésirables qui ne connaissaient du dialogue que le pouvoir de l’épée.
On ne peut pas demander à des humains aux corps gangrenés et minés par la maladie de se faire violence et de se remettre à fonctionner comme tous les bipèdes dotés de raison.
La cause de leur cancer est parfaitement identifiée mais personne n’a ni le courage ni le savoir-faire pour l’éradiquer. Il semble même que si jamais ils s’en débarrassent ils risquent la double peine. Pris ai piège de l’engrenage de ce virus. Avec ils sont condamnés et sans ils le seront quand même.
Parler de projet de vie pour ces femmes et hommes tourmentés par leur mort et obsédés d’échouer dans leur quête de Graal dans un  environnement dans un état avancé de délabrement  médical, psychique, physique, sanitaire, culturel, humain c’est occulter les vrais problèmes de fond inhérents à leur substrat immatériel à forte prédominance religieuse.
Contrairement à la classification marxiste et engélsienne l’infrastructure et la superstructure n’en font qu’une. Le mode de production même le plus basique et élémentaire est inconnu chez ces populations, il n’est antique ni asiatique, il est arabo-musulman l’antithèse de tous les systèmes de production élaborés par l’homme.  Il n’obéit à aucune loi objective visant à améliorer les conditions de vie en société dans le sens platonicien du terme. Il repose  essentiellement sur une conception abstraite et illisible  de la production dont la finalité est de produire la richesse immatérielle pour soi et tout le bénéfice escompté  que les hommes adeptes de la doctrine de la négation de l’être et de l’exaltation du néant  pourraient en tirer pour une vie dans l’ailleurs censé être de meilleure facture que la réelle mais dont personne ne connait la matérialité.
On produit seulement pour nourrir ses illusions et ses fantasmes pour un monde meilleur dont le monde ici-bas lui sert d’un simple support productif tendance consumériste et spéculative.

Il n’y a pas de fête de l’Aïd quand la même lame du couteau égorge les humains et les moutons

Il n’y a pas de fête de l’Aïd qui tienne quand on décapite les êtres humains comme on égorge les moutons.
J’aurais volontiers présenté mes vœux de l’Aïd à tous les musulmans de mes connaissances mais quels voeux au fait à des êtres humains au coeur rempli de haine et d’inimitiés pour les islamo-incompatibles. Je doute fort qu’ils les acceptent  de la part de celui qu’ils considèrent comme le pire anti-islam depuis Kamel Atatürk.
Cependant je me serais gardé toutefois de le faire pour ne pas leur délivrer un satisfecit et les encourager dans la voie de la barbarie humaine.Tout humaniste se doit de ne pas présenter ses voeux de l’Aïd aux musulmans :
– primo une offense à la mémoire de victimes du parti de l’islam en Tunisie ;
– secundo, est-ce que l’Aïd a du sens dans La culture de la mort où l’on égorge les humains comme ion égorge les moutons ?;
– tertio, ne suis-je pas moi-même  sur la liste de ceux auxquels ils aimeraient leur faire la fête à la façon musulmanes;
– quarto, cette fête devrait être interdite à cause de son caractère cruel et barbare infligé aux moutons. 2 millions de moutons égorgés sur le Mont d’Arafat alors qu’on crève de faim dans les pays musulmans.
Est-ce que ce sacrifice a du sens quand les décapitations des otages lui servent de toile de fond et qu’il n’est pas accompli pour le bien commun des êtres humains et soulager leur misère mais aux dépens de la souffrance faite aux animaux ?
Ils pourraient très bien se contenter de sa symbolique sans passage à l’acte. La vraie spiritualité ne réside pas dans l’écoulement de sang des êtres vivants. La vraie fête à mes yeux sera le jour où l’humanité cessera d’être abreuvée par ces images de musulmans exhibant la tête d’êtres humains comme un vulgaire trophée. Mais ça fait hélas 1434 ans que ça dure. Cette persistance de la barbarie ne me rassure guère quant à l’avenir de l’humanité en butte au péril musulman.
Tous les musulmans ne sont pas des coupeurs de tête loin s’en faut, mais ils ne font strictement rien pour humaniser leur religion.
Toutes mes pensées de ce jour vont à Djaout, Néguib Mahfoudh, Farag Fouda,  Kateb Yacine,  Maâtoub, et tous les intellectuels algériens morts ou ont failli l’être parce que leur seul crime était de combattre l’obscurantisme musulman  par la plume.
Mais plutôt que de les combattre sur le plan des idées, on préfère les achever comme on achève les moutons.
Rien n’arrêtera les vengeurs déclarés de l’islam dans leur entreprise génocidaire menée contre tous ceux qu’ils jugent comme les ennemis de l’islam mais ce ne sera certainement pas la majorité silencieuse musulmane qui fera changer la lame de leurs coteaux en la plume de l’esprit.

L’imam Chalghoumi l’apôtre de l’islam modéré

Je tiens à  remercier  l’imam Hassen Chalghoumi, porte-drapeau du musulman médiatiquement modéré, les 3 M, d’avoir validé ma thèse sur l’islam modéré en faisant lui-même d’un sens de modération très rare qui n’a rien à envier à son coreligionnaire intégriste.
C’est avec des sieurs comme lui que l’islam va gagner ses galons de religion d’amour, de paix et de tolérance.
Quand on se dit tolérant et homme de dialogue n’est-ce pas M. Chalghoumi on esquive pas le débat et on crache son venin sur ses contradicteurs ?
Faute d’arguments, il n’a pas trouvé mieux que de nous traiter de professionnels de la haine me qualifiant personnellement de manipulateur d’opinion.
Lui-même vient de nous démontrer formellement que cet islam-là est une tromperie sur la marchandise, un dol, un abus de langage que les médias islamo-compatibles couvent de toute leur attention.
Ce n’est pas fortuit qu’ils ouvrent   leurs colonnes à ceux qui rêvent d’islamiser la France mais qui pratiquent la Takkiyia et jamais à ceux qui s’inquiètent de la montée du péril musulman et qui dénoncent cette collusion coupable entre les pouvoirs politiques et les médias avec les forces musulmanes qui pavent le chemin à l’islam futur maître de l’univers.
Ce qu’on appelle en réalité islam modéré est celui dont les représentants ont choisi le terrain de média qu’ont peut qualifier d’islam du djihad médiatique pour faire sa propagande en surfant sur la victimisation afin de piéger l’opinion publique contrairement à l’islam du djihad de la terreur qui s’exprime sur le terrain pour s’imposer par la force.
L’islam reste un et indivisible, il est monolithique. Seulement chaque musulman doit tenir par conséquent un rôle de composition où chacun doit arborer le masque de circonstance.
Ils sont tous fidèles à part entière mais chacun doit œuvrer selon la feuille de route à contribuer à l’islamisation du monde.
Il n’y a qu’un seul islam pour tous, et des musulmans voués corps et âme à leur islam.
Pourquoi veut-on établir une typologie de musulmans alors le Coran lui-même  ne reconnaît qu’une seule catégorie de musulmans ni  n’a jamais incité les musulmans à mettre de le l’eau dans leur vin sauf  quand ils sont minoritaires où ils doivent se faire tout petits jusqu’au jour où ils seront majoritaires pour pouvoir enfin imposer la dictature de l’islam ?
L’islam modéré n’est rien d’autre qu’un islam qui pratique la dissimulation et le mensonge, la takkiya, qui cache son jeu pour duper et flouer les naïfs, les inconscients,  et les crédules qui attend patiemment dans l’ombre le moment où il doit abattre ses cartes à l’image de cet enfant chéri des médias-collabos qui à chaque fois que l’islam répand la mort il se fait l’avocat es qualité pour dédouaner l’islam de ses crimes.

Hassan Chalghoumi l’imam de la Takiyya fait tomber le masque de l’islam modéré

Salem Benammar
On vole leur innocence aux enfants, on interdit aux petites filles de jouer à la poupée mais on encourage les hommes à coucher avec les poupées. C’est ça l’islam et ses interdits. Il n’y a que le sexe, la violence et la mort qui ont droit de cité dans le rigorisme musulman.
  • Asma Kallel j’ai lu un jour que les poupées barbies sont interdites dans les pays du golf, ça donnerait un mauvais exemple aux petites filles!!!!!!
  • Hassen Chalghoumi bonjour , je constate que votre raison de vivre est de taper sur l’islam, des gens comme vous ont toujours existé et je respecte votre choix de vie, mais pourquoi tant de haine ???
  • Salem Benammar DEMANDEZ LE ACEUX QUI VOUS ONT AGRESSE DEMANDEZ LE A CEUX QUI PRONENT LE DJIHAD DU NIKAH ET LA TERREUR PLUTOT QUE DE FAIRE DES PROCES D INTENTENTION A CEUX QUI S INQUIETENT DU DEVENIR DE NOTRE HUMANITE MENACEE PAR L EXTREMISME MUSULMAN QUE L ON S4INQUIETE DES CAUSES EST CE QUE VOUS TROUVEZ LOGIQUE QUE L ON RENDE LICITE DES RAPPORTS CONTRE NATURE AVEC DES POIPEES GOFLABLES EN TUNISIE PAR EX?
  • Hassen Chalghoumi il vous vient pas à l’idée que tout ce que vous enumerez est de la propagande anti islam tout simplement ?
  • Hassen Chalghoumi vous êtes comme ces extremistes… sans eux vous ne sauriez de quoi parler tres cher..
  • Jack Roy salem au moins toi tu sais de quoi tu parles ! contrairement à ce débris de l’islam qui adule un dieu illusoire !
  • Salem Benammar Que des préjugés sans répondre sur les fonds. C’est trop facile d esquiver la question quand on veut occulter la vérité. Il faut toujours se dire pourquoi l’islam en est-il arrivé là aujourd’hui ? C’est la faute aux siens qui se voilent la face ou à tous ceux qui se posent des questions sur la réelle volonté des musulmans d’œuvrer pour la paix et la sécurité dans le monde ?
  • Jack Roy bravo ! et pourtant c’est la vérité que certains ne regarde pas en face !
  • Hassen Chalghoumi pkoi juger l’islam à travers les fautes de certains musulmans ? vous faites erreur tres cher..
  • Jack Roy vous etes tous à mettre dans le meme sac
  • Salem Benammar que l’on fasse une lecture objective des textes et une relecture juste de l’histoire de l’islam tout le monde aura à y gagner Certains vous dites  Vous faites erreur les bailleurs de fonds sont là pour nous démontrer tout le contraire et c’est leur doctrine fondamentaliste qui gagne du terrain. Certains vous dites Chokri Bel Aïd, Brahmi, furent tués par des musulmans qui vont fêter l’Aïd demain Certains vous dites quand on encourage des musulmans à satisfaire leurs besoins sexuels avec des poupées gonflables ? Et vous vous faites quoi pour condamner publiquement tout cekla ?
  • Jack Roy et s’il n’y avait que cela !
  • Hassen Chalghoumi de quoi parlez vous ? de la propagande chiite ??
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Dire que l’islam encourage de coucher avec des petites filles ou qu’on n’y voit que le sexe, la violence et la mort n’est pas juger « à travers les fautes de certains ». L’islam, c’est par définition la doctrine qui se trouve dans le le Coran, et par extension dans les hadiths, et n’importe qui peut constater en lisant ces textes (ce que j’ai fait) qu’ils cautionnent la pédophilie, le viol, la violence, le massacre et autres joyeusetés. Et donc que ceux qui commettent de tels actes ne font pas du tout de « fautes », mais sont au contraire de bons musulmans consciencieux. Pourquoi tentez-vous ainsi de faire prendre aux gens des vessies pour des lanternes ? Pourquoi dissimuler ainsi la vérité ?
  • Sonia Belkhodja la terre est ronde mais il y as des cons ds tout les coins
  • Chara Ben Mna à Hassen :pourquoi ,vous les imams ne condannez vous pas tout ce qui salit cette religion !si les imams n’arrêtent pas ces scandales d’interprétations religieuses et de fatwas indignes de l’être humain ,c’est que vous etes considérés comme complices …..Voir plus
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. La propagande chiite ? On parle ici des bases mêmes de l’islam, donc principalement du Coran, qui est commun aux chiites et aux sunnites, et de la sunna, qui est commune dans sa plus grande partie. Pour vous, le Coran, c’est donc de la propagande ?
  • Salem Benammar JE PARLE DE VOTRE ISLAM SUNNITE DE L ORTHODOXIE MUSULMANE  NE FAITES PAS L INNOCENT
  • Hassen Chalghoumi je finira en vous disant que je vous plaint et que je vous souhaite de vous debarrasser un jour de toute cette haine qui vous ronge et qui vous pousse à vomir telle une diahrée verbale ces mensonges et calomnies vehiculées par les medias dominants et autres propagande.. Que Dieu vous pardonne..
  • Michel De Rudder @Chara Ben Mna. N’avez-vous donc pas lu le Coran ? Cela saute aux yeux à sa lecture : l’islam est, dès sa création une religion de guerre, de violence et de meurtres. Ce ne sont pas « des » musulmans qui l’ont rendue telle : elle a toujours été ainsi.
  • Chara Ben Mna peu importe sunnite ou chiite ,une religion doit unir les humains et les rapprocher !ces qualificatifs ont été définis et inventés par les hommes tout comme les madhahebs !!
  • Hassen Chalghoumi michel vous allez m’apprendre le Coran…vous !! 🙂
  • Chara Ben Mna tout ce qui incite à la violence ,je ne le reconnais pas ….!!!
  • Sonia Belkhodja mr hassen jai une question a vous poser si vous vouler bien me repondre merci
  • Hassen Chalghoumi michel et le talmud vous en pensez quoi ??
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. « mensonges et calomnies vehiculées par les medias dominants et autres propagande…» ???!!! Vous n’avez pas honte de vous défiler en proférant d’aussi grossiers mensonges. Et ça, c’est de la propagande chiite et les mensonges des m…Voir plus
  • Hassen Chalghoumi pourquoi sortez vous des verstes de leurs contexte ? ttes les guerres menées furent defensives..face à des detracteurs tels que vous l’êtes qui agressaient par les armes !!! et le talmud alors … vous avez pas repondu..
  • Sonia Belkhodja depuis mon jeune age en ma toujours dit qu’a la naissance un livre est ouvert et que toutes notre vie y est inscrite  alors pourquoi etres juger a la fin  merci
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Pitoyable. N’ayant aucun argument à opposer à vos interlocuteurs, le seul moyen que vous trouvez est de détourner l’attention vers le voisin, comme un sale gosse qui espère qu’en faisant remarquer que son petit frère a puisé de la c…Voir plus
  • Marie Kristine Marie Kristine hassen chalghoumi,dalil boubaker et toute personne occidentale,de droite,de gauche,agnostique,libertaire……de confession musulmane est un soldat d’allahou akbar,ambassadeur de l’islam…..prenez le cas de toutes les fatma,en épousant les jean-luc….les petites tètes blondes,ont ramené des nouveaux adeptes=défenseurs et leurs petits tel ADAM,EVA…seront d’excellents kamikases….l’islam+laicité=2.
  • Hassen Chalghoumi sonia a chacun ses croyances je ne fait pas de proselythisme..
  • Hassen Chalghoumi le sujet est religion…je connais maintenant la votre…
  • Chara Ben Mna aujourd’hui ce qui est honteux c’est que les soit disant musulmans tuent les musulmans et en font des barbaries sauvages et incultes !de quelle défense parlent-ils ,de quelle cause juste parlent-ils !je dis bien que ce ne sont que des traitres qui travaillent pour l’argent !!!
  • Salem Benammar Vous ne répondez pas aux questions et pourquoi faites allusion au Talmud ? Je vous rappelle que j’étais le seul à avoir dénoncé l’agression dont vous avez été victime de la part d’un de vos coreligionnaires sunnites et pas chiites ou un humaniste de mon espèce
  • Hassen Chalghoumi on fait dire des tas de choses à des versets sortis de leur contextes… je vous laisse à votre ignorance je n’ai pas de temps à perdre avec des esprits bornés et formatés par la haine…
  • Salem Benammar le jugement de valeur sortis de leur contexte donc inadaptés à notre temps vous savez aussi bien que moi nul ne peut les interpréter sauf Allah lui-même
  • Hassen Chalghoumi pas de phrases verrou svp… je ne sais rien aussi bien que vous !!
  • Chara Ben Mna on deteste la haine ,si on parle de cette violence inadmissible c’est bien la preuve !!!
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Vous vous enfoncez de plus en plus dans le mensonge. Tous les versets encourageant à massacrer les mécréants datent de la fin de la révélation, à une époque où Mahomet était un chef de guerre puissant qui n’avait d’agression à crain…Voir plus
  • Hassen Chalghoumi aurevoir.. et que votre haine puisse disparaitre un jour..
  • Salem Benammar c est l islam qui doit faire sa mutation humaniste et que vous guérissiez en fin de votre déni
  • Hassen Chalghoumi quelles sont vos sources monsieur adepte du talmud qui preconise le viol de fillette de 3 ans et la supremacie juive… sont intention d’avilir le goy consideré comme esclave au service du juif..
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Marrant. Quand vous réalisez que vous avez affaire à des interlocuteurs qui connaissent très bien la question, et que vous ne pouvez donc duper, vous dites que vous les « laissez à leur ignorance ». S’ils étaient ignorants, vous pourriez argumenter solidement, vous qui êtes supposé vous y connaître. Hors, jusqu’à présent, vous n’avez fait que mentir et vous défiler.
  • Salem Benammar l islam s en est bien inspiré vous qui êtes pourtant un ami déclaré des juifs bizarre comme attitude
  • Hassen Chalghoumi vous etes un rigolo monsieur … un simple haineux et menteur.. manipulateur d’opinion..je n’ai pas de temps à perdre avec vous ..
  • Chara Ben Mna je tiens à vous dire Hassen que votre rôle d’imam  c’est de contribuer à apprendre aux gens à s’aimer et non à les diviser sous aucun prétexte religieux !c’est çà votre rôle !!!
  • Hassen Chalghoumi le debat est clos .. inutile et sterile.. bien à vous…
  • Salem Benammar POURQUOI NOUS INSULTE T IL LUI QUI SE VEUT HOMME DE DIALOGUE ET FIN P2DAGOGUE
  • Salem Benammar UN IMAM QUI NOUS LAISSE CHOIR CE N EST PAS SYMPA
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. A lire ce que vous en dites, le « Talmud » dont vous parlez semble être le célèbre faux « Le Talmud Démasqué » de Pranaitis, dont proviennent la quasi-totalité des prétendues citations du Talmud que l’on trouve sur les sites musulma…Voir plus
  • Hassen Chalghoumi je dois reviser le talmud !! je n’ai pas le temps…
  • Chara Ben Mna hassen ,il ne faut pas butter si vous avez les bons arguments !
  • Chara Ben Mna Ma religion ,c’est la Paix…!!
  • Hassen Chalghoumi chara ce serait trop long.. je veux bien discuter avec des personnes objectives pas des logiciels haineux et qui pratiquent le sophisme.. merci .
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Au lieu de « réviser le Talmud », à supposer que vous l’auriez réellement lu, vous feriez mieux de répondre aux arguments de vos interlocuteurs sur l’islam. Jusqu’à présent vous n’avez fait que fuir et mentir.
  • Michel De Rudder @Chara Ben Mna. Donc ce n’est pas l’islam.
  • Hassen Chalghoumi j’ai donc des conseils à recevoir d’un pti michel !! ha ha ha.. qui etes vous pour me dire ce que je dois faire ou pas ? vous le haineux qui refusez de vous exprimer sur une seule de mes question !! allez bon vent.. et bonne journée à tous et toutes..
  • Chara Ben Mna Malheureusement le visage que montrent les pratiques de l’Islam n’est que Haine et on se demande pourquoi on voit en l’Islam une religion de violence et de haine !!
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Et l’attaque ad hominem, maintenant. C’est complet. Je connais l’islam sur le bout des doigts, pour l’avoir étudié intensivement pendant de longues années. Qui êtes vous, vous, pour me faire la leçon, à part un misérable charlatan q…Voir plus
  • Michel De Rudder @Chara Ben Mna. Pourquoi ? Simplement parce que le Coran et la sunna sont ainsi.
  • Michel De Rudder @Hassen Chalghoumi. Et pourquoi taxez-vous sans cesse vos interlocuteurs de « haine » pour tenter de les discréditer ? Encore une manoeuvre de la plus grande malhonnêteté. Un simple procès d’intention. D’abord, la haine n’est pas en soi rédhibitoire. H…Voir plus
  • Michel De Rudder Bon. Bloqué par Chalghoumi. Il ne doit pas être habitué à avoir affaire à autre chose que les ignares béni-oui-oui qu’on met en face de lui lors de débats publics. Pour un personnage comme lui, bloquer quelqu’un sur FB est un aveu de déconfiture complète.
  • Denis Clessens · Ami avec Aldo Sterone et 2 autres personnes

    Dialogue très « amusant » comme toujours quand on discute avec des musulmans !Si on mentionne les faits d’actualité on est victime de propagande
    Si on mentionne l’incitation à la violence des textes, soit on a pas compris soit on sort du contexte
    Si on mentionne l’actualité en corrélation avec les textes en montrant la correspondance entre les deux on est insulté..

    M. Chalgoumi est un champion de la takiya, ça marche avec les politiciens plus ou moins véreux, ça marche avec les journalistes pour la plupart ignorants complets de l’islam…

    Mais ça ne marche avec ceux qui ont étudié l’islam, qui ont lu le coran en tenant compte des règles d’abrogation, qui ont lu la Sira, qui ont lu le tafsir, qui ont pris connaissances de nombreux hadiths etc

    Et ce qui désespère M. Chalgoumi c’est que nous sommes de plus en plus nombreux à avoir pris connaissance des textes, ou pour ceux qui ont moins de temps que nous à consacrer au sujet, de nombreuses synthèses existent et sont disponibles sur le web !

  • Ludo Pietri · 9 amis en commun

    Le gentil imam Chalgoumi est démasqué c’est une taupe  de l’islam qui ne peut abuser que les ignorants de l’islam de moins en moins nombreux Dieu merci. Il ne reste qu’à diffuser ce long fil avec ses interventions toutes plus calamiteueses les unes que les autres. Faire un copier/coller de ce fill à diffuser sur tous les blogs. Un grand merci à Michel De Rudder le meilleur contradicteur face à un musulman.
  • Ludo Pietri · 9 amis en commun

    francaisdefrance.wordpress.com

    Salem Benammar · 345 abonnés il y a 3 heures, à proximité de Paris ·  On vole le…ur innocence aux enfants, on interdit aux petites filles de jouer à la poupée mais on encourage les hommes à coucher …Afficher la suite
  • Alexis de Forstrem M. Chalgoumi, pour nous jeunes gaullistes qui avions soutenu votre action en faveur d’un islam des lumières répudiant les versets les plus controversés du Coran, car nous la croyions pertinente, indispensable et républicaine, c’est une très vive déception de vous lire. Certes le Talmud contient des passages  odieux et comme tous les humanistes nous nous réjouirions de leur suppression, mais ce que qu’il ressort de vos propos, c’est néanmoins un antisémitisme à peine masqué et un profond mépris pour les mécréants ou vos contradicteurs que vous accablez d’injures faute de pouvoir leur répondre avec une réfutation théologique argumentée .Bref, M. Chalgoumi, je dois conclure avec regret, qu’à vous lire, vous n’êtes jamais non un apostat, je vous rassure, mais un imposteur … Comme Vice-Président du mouvement antiraciste de la Droite Républicaine Objectif Tolérance crée en 1988 et dont M.Lagarde, votre mentor politique a été lui aussi naguère le Vice-Président, je ne pourrai désormais que dire publiquement toute la déception que m’inspirent vos propos et vos vraies positions aux antipodes de votre apparente tolérance télévisuelle et de votre islam des lumières médiatique  . Ce dernier reste manifestement à inventer, n’est pas Mahmoud Mohammed Taha qui veut .. dommage …
  • Salem Benammar
    Écrire un commentaire…

Qu’attend l’O.N.U. pour déclarer le djihad comme crime contre l’humanité ?

EI-PENDAISONS
Depuis  les scènes du Grand Effroi du 11 septembre 2001 portant la signature de l’islam qui ont plongé le monde dans ‘une des plus longues nuits noires de son histoire.
En effet, il ne passe plus un jour sans que l’internationale du crime islamo-djihadiste ne sème la mort, suscitant peur et frayeur au sein de la communauté internationale, Se rendant ainsi coupable de plus de 20000 attentats sanglants laissant derrière eux ruine et désolation annonciateurs d’une nouvelle Apocalypse…
Nul ne peut nier le fait que tout en puisant leurs sources idéologiques dans le coran lui-même la majorité des victimes, plus de 90%, est musulmane.
Il est de la responsabilité morale et politique du monde entier y compris les pays musulmans qui aspirent à vivre en paix et en harmonie avec le reste du monde de se doter d’un nouveau Tribunal Russel pour juger les crimes commis au nom de l’islam en Syrie, au Mali comme partout ailleurs et déclarer le djihad comme relevant du crime contre l’humanité en commençant d’ores et déjà à reconnaître aux attentats des Twin Towers la qualité de haut symbole dudit crime.
Le djihad, notion  controversée  mais qui signifie toutefois en arabe guerre sainte que tous les lusulmans sont tenus à mener contre les pays non-soumis aux lois de l’islam, appelés dar al harb. Il est l’islam belliqueux, hégémonique, impérial, génocidaire,  en état de guerre permanente contre le reste du monde faisant son grand retour sur la scène internationale avec les attentats sanglants du 11 septembre 2001.
 Ainsi, cette date doit être comprise et entendue comme étant une Déclaration de guerre totale et non-conventionnelle de l’islam contre le reste du monde.
Elle préfigure les desseins hégémoniques et impériaux de l’islam qui se veut le prochain maître du monde. Un nouvel ordre unique pour toute l’humanité, avec un seul Etat pour tous sur le modèle du Reich nazi, appelé communément Califat,d’où sont bannis tous ceux qui ne sont pas musulmans.
Les djihadistes qui sont à l’islam ce que furent les divisions Waffen SS où s’était illustré le Mufti de Jérusalem al Husseini présente le plus grave le péril pour l’humanité.
Le djihad est la force de frappe  destructrice et génocidaire de l’islam.
C’est pourquoi le monde doit s’en prémunir et l’éradiquer,
A commencer par exiger des pays musulmans qui de déférer devant les tribunaux nationaux tous ceux qui sont impliqués de près ou de loin dans la création, soutien logistique, recrutement et le financement des réseaux terroristes.
 Tout pays qui s’y soustrait devra être boycotter, les gouvernants de ceux ci devront être traduits devant la C. P. I. pour assistance et complicité avec le terrorisme djihadiste.
Se prévaloir des valeurs de sa religion alors qu’elles n’ont de valeurs que le nom pour motiver l’absence de poursuites pénales à l’encontre des criminels djihadistes comme le fait la Troïka en Tunisie est un acte d’encouragement et d’incitation aux crimes contre l’humanité qui tombe sous le chapitre 7 du Statut de Rome qui définit les peines applicables aux prévenus déclarés coupables.
Toute religion qui présente un péril sérieux à la paix et à la sécurité dans le monde doit se voir retirer son statut de culte religieux pour être assimilée à une doctrine politique néfaste à l’humanité.
Sinon l’humanité court à sa propre perte.
Le laxisme juridique, le droit international et interne inadapté, l’angélisme républicain et la duplicité des hommes politiques sont les meilleurs alliés des ennemis du genre humain qui n’ont qu’une visée nous imposer leur foi soit par la force au besoin, dixit le terroriste tunisien Rached Ghannouchi, soit nous exterminer tous. Pour eux, viendra le jour où l’islam sera la religion de tout le monde et que la terre ne sera peuplée que des seuls musulmans gouvernés par une seule loi celle d’Allah. Un génocide en perspective quand bien même il est utopique.
Le nazisme aussi était une utopie et on a vu les résultats. L’islam a des sacrés antécédents en la matière.
Il est impérieux de recadrer l’islam et de l’humaniser sous une forme ou une autre, car il est inadmissible que de nos jours on condamne à mort les musulmans qui exercent leur liberté de conscience.
La criminalisation de l’apostasie et du blasphème est aussi synonyme de crime contre l’humanité. Il faut que l’islam se soumette aux règles du droit international.
Plus aucun traitement de faveur accordé aux Etats musulmans qui font l’apologie de l’antisémitisme et du racisme (dhimmitude) sous couvert de l’islam : ou bien ils respectent les lois internationales ou ils sont des Etats voyous et traités comme tels.

Pour avoir opté pour la Constituante, les tunisiens pavent le chemin à la dictature de l’islam

La Constituante est la voie ouverte à un nouveau régime despotique et théocratique en Tunisie.

La constitution en démocratie est l’affaire du peuple et de lui seul et constitue un rempart contre les dérives du pouvoir politique. Elle ne s’impose pas au peuple, il en est le maître d’oeuvre et la source. Elle est la traduction juridique majeure de sa volonté et doit être fidèle à ses aspirations et toutes ses aspirations et non pour répondre aux  desseins obscurs et inavoués de ceux qui sont investis du mandat électif pour l’élaborer et s’arrogent ainsi des droits exorbitants au mépris du droit du peuple à l’expression de sa volonté.

Aussi, une constitution perd toute sa signification si elle vise à aliéner et restreindre la souveraineté politique et juridique du peuple. Fondée sur le principe fondamental de l’inviolabilité de la souveraineté populaire, elle ne doit pas a contrario faire office de garde-fou ou de censure pour nier ou occulter ce droit. Supposée être née comme c’est le cas de la future constitution tunisienne d’une volonté de rupture avec le passé et fondatrice d’un nouveau paysage démocratique en adéquation avec l’esprit du peuple qui a rompu un jour les chaînes du despotisme et de la dictature, elle ne peut être l’expression des esprits partisans et des rapports de force politiques et idéologiques qui vont forcément influer sur le cours de son élaboration.

Il est à douter que la future constitution ne soit pas plutôt le fruit des petits arrangements entre des constituants  soucieux de leurs intérêts partisans plutôt que  de l’intérêt commun en ce qui concerne notamment ceux qui sont pressentis pour conduire transitoirement (?) le affaires du pays . Tout laisse penser que le scrutin électoral tunisien est loin d’être un modèle du genre contrairement aux assertions fantaisistes des organisateurs. En effet, un simple examen des faits démontre aisément que ce scrutin laisse un goût amer aux tunisiens.

En cause, la gestion chaotique de la campagne elle-même, confusion coupable entre la carte nationale d’identité et la carte d’électeur, l’amateurisme des organisateurs de ladite campagne, l’opacité entourant leur nomination, son manquement à son devoir de police, son silence bienveillant à l’égard de l’organisation sectaire d’Ennahdha, son absence de réactivité et ses atermoiements dans le cadre de l’affaire d’al Aridha, l’absence de vérification de l’origine des fonds ayant servi au financement de leurs campagnes électorales aux partis vainqueurs de ces élections surtout qu’Ennahdha n’ a jamais fait mystère de la source  étrangère de ses fonds qui lui a permis de corrompre en toute impunité une partie de l’électorat tunisien, de même qu’elle s’est toujours gardée de la  rappeler Ennahdha à ses obligations de parti interdisant toute instrumentalisation des lieux de culte et de la religion à des fins électoralistes de nature à fausser la sincérité du scrutin.

L’inexpérience dont l’instance peut s’en prévaloir à juste titre n’exclut pas la fermeté et la rigueur morale et juridique. Sans mettre en doute sa probité mais il est légitime et fondé de s’interroger sur les dessous de cette campagne électorale qui a toutes les apparences d’un simulacre démocratique. Un scénario conçu et écrit à l’avance et dont la réalisatrice que pourrait être cette instance a comme obligation de lui donner corps. Tout semble avoir été fait pour tailler un costume sur mesure à la secte d’Ennahdha, jouissant de surcroît d’une attention appuyée de la part de la Maison Blanche et d’une couverture médiatique exceptionnelle de la part de la chaîne de TV du prosélytisme arrogant et impérial wahhabite al Jazira.

Toutes ces ingérences étrangères constatées dans le cadre de cette campagne n’ont guère suscité une quelconque désapprobation ou  émotion de la part de cette instance voire de l’opinion publique tunisienne elle-même. De même que les lapsus volontaires et répétés entendus chez les membres dirigeants de la secte d’Ennahdha tendant à confondre les élections pour la constituante avec les élections législatives sans que cela ne heurte personne. Etant donné qu’il s’agit dans le cas d’espèce d’un véritable détournement de l’objet du scrutin. insidieusement,

Ennhdha a pu dévoyer l’esprit du scrutin en lui assignant un autre objectif politique que celui pour lequel les électeurs tunisiens étaient conviés à exprimer leur choix. C’est pourquoi et en toute logique, avec le soutien intéressé d’Ettakatol et du CPR, elle a pu exprimer dès le lendemain du scrutin de la honte sa volonté d’exercer son pouvoir hégémonique sur le pays. Toutes ces dérives antidémocratiques en disent suffisamment long sur leur posture démocratique des nouveaux maîtres de la vie politique tunisienne.

La volonté du peuple n’était pas de donner un blanc seing auxdits partis pour vider le contrat politique et démocratique de toute sa substance et détourner l’objet du scrutin à leurs avantages. Il n’ a jamais été question que  le parti arrivé premier au scrutin se trouve amené à gouverner le pays comme si ce scrutin devait consacrer la mise en place d’un régime parlementaire consacrant la main mise d’Ennahdha sur le pays avec un président de pacotille. Les tunisiens se sont ainsi trouvés dupés, abusés et trahis. En croyant désigner les membres de la constituante chargés de rédiger les futures lois fondamentales de leur pays, ils ont sans s’en apercevoir entériné les desseins hégémoniques d’Ennahdha sur la Tunisie. Par voie de conséquence,

Ennhdha peut en toute tranquillité, elle qui était absente de la révolution tunisienne, toucher les dividendes politiques au-delà des ses propres attentes et avec l’adhésion de tout le monde au nom du fair-play démocratique. Son succès électoral lui donne les moyens politiques et juridiques de réactiver les mécanismes d’un pouvoir totalitaire dont les tunisiens ont pâti par le passé sous couvert de la démocratie. Ce mouvement politique qui n’a pas les attributs d’un parti au sens républicain du terme prônant une idéologie sectaire, inégalitaire, antisémite et nostalgique apparentée à l’idéologie nazie a pour objectif ultime a restauration du 6 ème Califat, l’équivalent du Reich hitlérien,  à l’antipode des valeurs de la république enfreint outrageusement la règle inaliénable de la séparation des pouvoirs et lève le voile sur sa conception toute particulière de la démocratie qui devient synonyme de totalitarisme et de fascisme.

La démocratie pour Ennahdha n’est pas une fin en soi, c’est juste un moyen lui permettant de se draper dans les habits de lumière, elle n’est qu’une étape dans le processus de la conquête cosmique du monde à laquelle les islamistes toutes tendances confondues sont religieusement attachés.

Pour les islamistes, seul le respect de leur engagement mystico-idéologique importe. Ni pacte républicain, ni contrat électoral, ni respect de la démocratie. Des concepts jugés contraires à leurs dogmes qui se veulent la loi absolue pour tous. Les dérives ne sont pas des dérives quand elles sont commises dans le cadre de cette mission sacrée d’islamisation du monde dont ils se sentent investis. Violer les lois républicaines n’est pas un crime en soi, si ces lois ne sont pas conformes avec les exigences de leur prescrits.

Leur adhésion à la démocratie n’est qu’opportune et de circonstance, elle sera combattue et bannie come si elle était un sacrilège du fait de son incompatibilité avec leur vision théocratique du monde. Le pouvoir est à Dieu et jamais aux hommes, il serait utopique et illusoire de croire qu’Ennahdha  se convertisse demain en chantre de la démocratie en Tunisie. Un islamiste préfère perdre son âme plutôt que  d’embrasser des valeurs qui ne dérivent pas de ses concepts idéologiques. Il ne doit pas y avoir pour lui d’autre source irrigant sa pensée et son action politique si elle n’est pas inspiré par Dieu.

Un islamiste n’agit pas pour le bien commun, il agit pour le bien de Dieu et les gratifications divines escomptées. Il dissimule et fourvoie pour ne pas monter son vrai visage et sa nature hideuse et inquiétante. Il est dans un rôle de composition, où tout est dans le paraître et la communication verbale apaisante et lénifiante. Seul moyen nécessaire pour endormir la vigilance de son interlocuteur. Le sourire dont il se pare est faux et trompeur, ce n’est qu’un sourire de façade, d’un carnassier qui essaye de piéger sa proie pour la dépecer ensuite. La fin justifie les moyens, ce n’est pas la démocratie tant honnie par lui qui va l’arrêter dans ses ardeurs velléitaires.

Selon  sa doctrine totalitaire et théocratique, la démocratie est illicite et ne doit pas avoir droit de cité surtout qu’elle donne aux hommes les moyens d’exercer leur pouvoir sur la cité. Alors que dans leur idéologie ultraréactionnaire et liberticide seul Dieu est souverain et seules lois qui en émanent s’imposent aux hommes considéré comme étant le seul législateur.

Tout le contraire d’un régime politique démocratique où tout naît de la volonté du peuple  dans toutes ses composantes sociales et sexuelles. Le scrutin électoral du 23 octobre 2011 organisé dans des conditions suspectes et troublantes qui semble consacrer le destin théocratique de la Tunisie  ne saurait être représentatif de la volonté générale du peuple tunisien. Le fait même que plus de la moitié du corps électoral tunisien s’est gardé d’exprimer son vote est un message très fort que la majorité des électeurs a adressé à tous les mystificateurs politiques de son refus à adhérer au projet de la Constituante. Les initiateurs de ce projet inspirés de l’exemple des constituants de 1789, n’ en ont ni l’envergure, ni la légitimité historique et politique, ni la capacité intellectuelle, ni le patriotisme sans faille, ni l’amour inébranlable de la démocratie et des valeurs de la République. En 1789, les conjurés du Serment du Jeu de Paume, soucieux de l’intérêt commun ont oeuvré pendant deux à la rédaction de la première Constitution de la République française, ont jeté les fondements de la République: le droit du peuple à se gouverner lui-même, seul propriétaire du pouvoir que les élus en sont que des mandataires ou dépositaires. Une constitution ne s’écrit pas contre le peuple mais pour et par le peuple .En tant que maître pérenne du pouvoir ne peut être réduit à une portion congrue, une force d’appoint que l’on a  souvent tendance à disqualifier et mépriser voire corrompre.

Oubliant souvent qu’en corrompant le peuple, on altère et on tarit la source elle-même de la démocratie d’un pays dont la constitution est la norme juridique suprême. Si d’entrée de jeu la constitution est viciée dans sa conception, alors qu’elle est censée être une rupture radicale avec l’arbitraire et l’inique en posant les jalons de la démocratie à travers l’instauration des règles du suffrage universel, ce verrou contre les dérives despotiques, il y a fort à parier que cette constitution au lieu d’être l’expression de la volonté générale sera l’expression de l’intérêt particulier aux dépens de l’intérêt général sous couvert de la démocratie. Dans le cas tunisien, contrairement à la France de 1789 où la constitution a consacré la fin du droit canon dans le nouvel ordre juridique républicain, il y a fort à parier que la future constitution va marquer le grand retour du  droit canon, la charia, dans le droit tunisien.

Le danger pour la future constitution tunisienne au lieu de consacrer la naissance de la nouvelle république  dans l’esprit de sa Révolution risque de jeter les bases d’un futur Etat théocratique dont les partisans rêvent de le transformer en une principauté inféodée au Califat en gestation.

La démocratie et la Constitution se trouvent ainsi instrumentalisées aux seules fins de l’avènement du Califat de la manière la plus fondée juridiquement de surcroît ce qui constituerait la plus incroyable hérésie politique de l’histoire universelle. Hitler, le Hamas, Khomeiny sont aussi passés par cette voie-là avec les conséquences que l’on connaît. Seule alternative pour sauver la Tunisie et sa future constitution du spectre de la théocratie politique est la voie du respect total et absolu de la souveraineté populaire qui doit avoir le mot de la fin en ce qui concerne la validation de la future constitution et la mise en place d’ores et déjà des paravents républicains pour protéger les différentes sphères de pouvoir en leur donnant à chacune les moyens de son indépendance juridique.

Enfin, il est impérieux qu’il n’y ait pas de loi fondamentale consacrant la reconnaissance de la loi Canon de la charia qui se traduira tout simplement par la mise à mort de la constitution elle-même et la fin du droit positif en Tunisie seul garant des droits fondamentaux.

En se voilant la femme africaine se couvre de honte et insulte l’Afrique

Il n’y pas pire insulte à l’âme africaine et  pire trahison de la mémoire des millions d’africains  victimes de la traite des êtres humains de la part des négriers  arabo-musulmans que de voir  aujourd’hui  des femmes africaines voilées de la cape jusqu’aux pieds pour s’identifier aux femmes des anciens bourreaux de leurs peuples qui elles mêmes vivent dans des conditions d’esclaves.

Elles ne savent  pas qu’en voulant leur ressembler elles se couvrent de honte et d’infamie frappées par le syndrome du complexe de l’esclave pour son maître

Où est-elle passée la femme africaine connue pour sa fraîcheur d’âme,pour la couleur chatoyante de ses habits,  sa joie de vivre et sa soif de liberté faire de l’islam la tombe de sa vie ?  Sait-elle au moins que le plus grand ennemi historique de l’Afrique est l’islam dont elle est fière d’arborer sa couleur de la mort ?

Certainement ignorante de tous les maux que lu a infligés par les esclavagistes arabes qui avaient islamisé l’Afrique à la pointe de l’épée et au prix des massacres massifs qui devraient leur valoir d’ être poursuivis pour crimes génocidaires. Si elle savait ce que représentait l’homme noir aux yeux l’islam une simple marchandise qu’il vendait et troquait en Inde. Ces femmes ne sont pas atteintes du syndrome de Stockholm, c’est le complexe de l’esclave vis-à-vis de son maître. Quelqu’un disait dans les années 70 que l’avenir de l’Afrique est sa femme, mais ce ne sera certainement pas avec la femme africaine qui a trahi ses racines africaines et profané la mémoire des ses aïeux déportés par centaines de milliers en Inde par ceux auxquels elles s’identifient au lieu de leur demander des comptes pour leurs crimes contre l’humanité.
Car pour ces êtres que le film le Roi Lion a su le mieux dévoiler leur vraie nature cruelle, avide, veule et mercantile, l’humain non-arabe était juste un bien marchand.

Des humains moins humains que les arabes. Les hommes n’ont jamais été égaux dans l’islam, c’est une vue de l’esprit il faut qu’ils soient musulmans avec la prééminence des arabes marchands d’esclaves nés pour asservir et assujettir tout ce qui est différent d’eux. L’africain n’est-il pas l’arabe musulman un ‘abd , un esclave qu’il doit dompter à coups de fouet comme si on domptait un fauve ?

Ces femmes sont inconscientes et irresponsables et certainement ignorantes que de par leur accoutrement vestimentaire distinctif et antirépublicain qu’elles rendaient un vibrant hommage à une religion qui a causé les pire tourments à l’Afrique. Leur tenue est une insulte pour l’Afrique.

A leur place, j’aurais honte d’afficher mon allégeance à la religion de la ségrégation et de la traite des êtres humains.

J’ai peur pour l’avenir de l’Afrique quand je vois les victimes de l’islam perdre leur âme pour la pire religion jamais donnée à l’homme

Une religion créée contre l’homme africain et son immense amour de la vie. Plutôt que d’offrir une visage radieux et mélodieux de l’Afrique, ces femmes qui se veulent plus arabes que les femmes arabes elles-mêmes, offrent le visage morbide de la mort et un chant funeste de la mise en bière de l’Afrique.

Un musulman modéré est un djihadiste en sommeil qui attend son heure pour passer à l’action

L’islam modéré est un leurre comme si un fasciste pouvait avoir le sens de la mesure

 

Un musulman est par définition celui qui se soumet totalement, intégralement et inconditionnellement à la loi de l’islam qui doit renoncer à sa vie au profit de sa religion. Il doit être tel un esclave fidèle obéissant aveuglement aux ordres de son maître.

Il ne peut y avoir des musulmans à géométrie variable. Soit on est musulman entier, soit on l’est pas. L’islam est comme un breuvage que l’on doit consommer jusqu’à l’ivresse. Il n’y a aucune demi-mesure ni modération dans sa consommation. Et ceux qui font le choix conscient de modérer leur consommation que le Coran désigne par tièdes sont vomis par la bouche d’Allah. Tout musulman qui suit sa conscience est un musulman qui se met en porte-à-faux par rapport aux prescrits de l’islam par conséquent sont musulmans ceux qui témoignent de leur attachement sans limite et inaliénable à la Loi de l’islam, et refusent toute autre loi qui ne soit pas l’expression de la volonté d’Allah. L’islam ne laisse aucune liberté de manœuvre à ses fidèles dans leurs rapports à la foi leur interdisant ainsi toutes formes de personnalisation et d’interprétation.

Seul Allah est interprète de son enseignement (3;7). Or, il n’y a pire hérésie au regard des dogmes que le musulman qui se prétend adapter l’islam à sa personnalité propre. Comme si le musulman pouvait avoir la faculté de réfléchir et de penser les choses par lui-même. Il n’y a de vérité que celle qui est contenue dans le Coran matérialisée dans les Hadiths et la Sira du prophète autoroclamé. Il n’y a qu’une seule voie d’allégeance à la loi de l’islam c’est celle tracée par celui qui s’est fait l’écho de sa parole.

L’Occident sourd et aveugle, naïf et auto-suicidaire, cherchant à se déculpabiliser de son passé colonial dont le bilan est des plus remarquables comparé à celui de l’islam et afin de se donner bonne conscience a créé des catégories de musulmans par pure commodité sémantique.

Ainsi on a vu apparaître différentes catégories de musulmans pour désigner le même objet musulman. Modérés », « libéraux », « laïques », fanatiques, intégristes, fondamentalistes, djihadistes, nazislamistes, collabo-islamistes, islamistes qui se déclinent aussi en modérés et radicaux, comme s’il pouvait avoir des nazis moins nazis ou plus nazis que d’autres. Les uns par leur déni de la réalité et les autres par leurs excès qui puisent pourtant leurs sources dans le Coran, les Hadiths et la Sira.

Au lieu de s’effaroucher et s’offusquer comme une vierge venant de perdre sa virginité de son plein gré et crier au violeur, ne feraient-ils pas mieux de s’interroger sur les relations de cause à effets entre la violence terroriste trait dominant chez les musulmans et les sources fondamentales de la religion musulmane ?

Pourquoi le nom de l’islam est synonyme de phobie et de frayeur ? Pourquoi est-il devenu évocateur de bellicisme, de massacre, de loi de la jungle, d’Apocalypse, au point qu’il est assimilé à une arme de guerre et de destruction massive ?

Comme s’il était le nouveau visage de la barbarie humaine après celle de la barbarie stalinienne u hitlérienne.

Des trois religions monothéistes, la religion musulmane semble la plus apparentée à une idéologie politique totalitaire, c’est incontestablement l’islam, du fait de sa volonté à faire de la religion un mode de gouvernement politique de la vie de ses fidèles, où tout doit s’articuler entre la prière, la démographie galopante et le djihad colonisateur. Réduisant ainsi à néant les champs de réflexion personnelle, de libre-arbitre et les espaces de libertés individuelles et publiques. En toute évidence, le vrai musulman n’a pas vocation à oeuvrer pour le bien-être commun ni de sa communauté et encore moins celui de la communauté internationale.

Toutes les actions entreprises n’ont qu’une seule finalité : imposer la loi de l’islam par tous les moyens aux quatre coins du monde. La fin justifie les moyens, peu importe la nature velléitaire et périlleuse pour sa propre vie et celle d’autrui tant qu’elle est menée pour la gloire de sa religion.

En effet c’est la seule religion au monde qui exalte ses fidèles à devenir des martyrs, combattre jusqu’à la mort et surtout jusqu’à l’extermination définitive des païens terme qui désigne en réalité les infidèles, comme au temps de prophète qui avait massacré les juifs et les chrétiens. Tuer et se faire tuer pour Allah est un devoir qui pèse sur chaque musulman, et celui qui s’y soustrait n’est pas digne de sa religion et subira le même châtiment que les mécréants.

Ce qui est pour un musulman, la pire des infamies, lui qui fait de sa vie ici-bas un apprentissage de la préparation de sa vie dans l’au-delà, ne va commettre un tel sacrilège et se voir privé des prébendes divines.

Se devant avant tout de se conformer aux prescrits de l’islam quand bien même ils sont en violation avec les lois des hommes, un musulman digne de sa foi n’a pas à s’embarrasser de scrupules vis-à-vis des lois jugées comme inférieures aux siennes. Il ne peut y avoir pour lui d’autres lois à respecter en dehors des siennes. C’est pourquoi, il n’a pas à évaluer les conséquences que ses actes peuvent induire sur la sécurité des biens et des personnes, seul compte à ses yeux l’accomplissement de sa mission messianique dont il se considère investie.

Des actes condamnés par la justice des hommes se trouvent anoblis et gratifiés par la loi de l’islam. Ce qui est jugé comme actes terroristes selon les normes de droit interne ou international n’ont pas ainsi la même définition selon le droit musulman.

C’est pourquoi les auteurs des attentats du 11 septembre 2001 n’ont fait qu’agir dans le strict respect de ce droit. Faisant figure de héros aux yeux de leurs coreligionnaires qui les affublent du titre auquel rêve tout musulman de chahid, martyr.

Mourir sur le champ de bataille pour le faire triompher des idées cosmiques et impérialistes de l’islam n’est-il pas le devoir suprême assigné à chaque musulman ? Par conséquent c’est l’islam lui-même qui impulse les élans de violence à des fins idéologiques chez les musulmans. C’est lui qui les instrumentalise et arme leur bras.

Ceux qui passent à l’acte sont les musulmans en action qu’on peut qualifier de musulmans activistes ou djihadistes à la différence des autres qui constituent le gros des troupes sont des musulmans en réserve du djihad, susceptibles de passer en action dès que le besoin se fait sentir où ils s’embrasent comme des torches vivantes : affaire des versets sataniques, l’innocence de l’islam, etc.

Il ne peut y avoir d’islam sans le djihad et donc sans la propagation de la terreur, de même qu’il n’y a pas plus de musulmans djihadistes que de musulmans non-djihadistes, on est d’abord musulman nourri par la sève du djihad, un état de guerre permanent mené contre les non-musulmans jusqu’à ce qu’ils finissent par se démettre et se soumettre à la loi de l’islam.

C’est l’islam lui-même qui engendre la violence dont il abreuve ses fidèles, les uns jusqu’à ne plus en avoir soif et les autres avec modération en attendant que l’achèvement de leur état d’endoctrinement.

La majorité silencieuse musulmane qui n’élève jamais la voix pour condamner les agissements terroristes de ses activistes est cohérente avec elle-même, dans la mesure où elle est susceptible elle-même de passer à l’acte un jour ou l’autre quand elle aura fini elle-même sa phase de mutation doctrinaire.

ll n’y a pas plus de terroriste pondéré que de musulman modére

  • Il ne peut y avoir des musulmans à géométrie variable. Soit on est musulman entier, soit on l’est pas. L’islam est comme un breuvage que l’on doit consommer jusqu’à l’ivresse. Il n’y a aucune demi-mesure ni modération dans sa consommation. Et ceux qui font le choix conscient de modérer leur consommation que le Coran désigne par tièdes sont vomis par la bouche d’Allah. Tout musulman qui suit sa conscience est un musulman qui se met en porte-à-faux par rapport aux prescrits de l’islam par conséquent sont musulmans ceux qui témoignent de leur attachement sans limite et inaliénable à la Loi de l’islam, et refusent toute autre loi qui ne soit pas l’expression de la volonté d’Allah. L’islam ne laisse aucune liberté de manœuvre à ses fidèles dans leurs rapports à la foi leur interdisant ainsi toutes formes de personnalisation et d’interprétation. Seul Allah est interprète de son enseignement (3;7). Or, il n’y a pire hérésie au regard des dogmes que le musulman qui se prétend adapter l’islam à sa personnalité propre. Comme si le musulman pouvait avoir la faculté de réfléchir et de penser les choses par lui-même. Il n’y a de vérité que celle qui est contenue dans le Coran matérialisée dans les Hadiths et la Sira du prophète. Il n’y a qu’une seule voie d’allégeance à la loi de l’islam c’est celle tracée par celui qui s’est fait l’écho de sa parole.L’Occident sourd et aveugle, naïf et auto suicidaire, cherchant à se déculpabiliser de son passé colonial dont le bilan est des plus remarquables comparé à celui de l’islam et afin de se donner bonne conscience a créé des catégories de musulmans par pure commodité sémantique. Ainsi on a vu apparaître différentes catégories de musulmans pour désigner le même objet musulman. Modérés », « libéraux », « laïques », fanatiques, intégristes, fondamentalistes, djihadistes, nazislamistes, collabo-islamistes, islamistes qui se déclinent aussi en modérés et radicaux, comme s’il pouvait avoir des nazis moins nazis ou plus nazis que d’autres.Les uns par leur déni de la réalité et les autres par leurs excès qui puisent pourtant leurs sources dans le Coran, les Hadiths et la Sira.
  • Au lieu de s’effaroucher et s’offusquer comme une vierge venant de perdre sa virginité de son plein gré et crier au violeur, ne feraient-ils pas mieux de s’interroger sur les relations de cause à effets entre la violence terroriste trait dominant chez les musulmans et les sources fondamentales de la religion musulmane ?
  • Pourquoi le nom de l’islam est synonyme de phobie et de frayeur ? Pourquoi est-il devenu évocateur de bellicisme, de massacre, de loi de la jungle, d’Apocalypse, au point qu’il est assimilé à une arme de guerre et de destruction massive ?Comme s’il était le nouveau visage de la barbarie humaine après celle de la barbarie stalinienne u hitlérienne.
  • Des trois religions monothéistes, la religion musulmane semble la plus apparentée à une idéologie politique totalitaire, c’est incontestablement l’islam, du fait de sa volonté à faire de la religion un mode de gouvernement politique de la vie de ses fidèles, où tout doit s’articuler entre la prière, la démographie galopante et le djihad colonisateur.Réduisant ainsi à néant les champs de réflexion personnelle, de libre-arbitre et les espaces de libertés individuelles et publiques.En toute évidence, le vrai musulman n’a pas vocation à oeuvrer pour le bien-être commun ni de sa communauté et encore moins celui de la communauté internationale.
  • Toutes les actions entreprises n’ont qu’une seule finalité : imposer la loi de l’islam par tous les moyens aux quatre coins du monde.La fin justifie les moyens, peu importe la nature velléitaire et périlleuse pour sa propre vie et celle d’autrui tant qu’elle est menée pour la gloire de sa religion.
  • En effet c’est la seule religion au monde qui exalte ses fidèles à devenir des martyrs, combattre jusqu’à la mort et surtout jusqu’à l’extermination définitive des païens terme qui désigne en réalité les infidèles, comme au temps de prophète qui avait massacré les juifs et les chrétiens.Tuer et se faire tuer pour Allah est un devoir qui pèse sur chaque musulman, et celui qui s’y soustrait n’est pas digne de sa religion et subira le même châtiment que les mécréants.
  • Ce qui est pour un musulman, la pire des infamies, lui qui fait de sa vie ici-bas un apprentissage de la préparation de sa vie dans l’au-delà, ne va commettre un tel sacrilège et se voir privé des prébendes divines.
  • Se devant avant tout de se conformer aux prescrits de l’islam quand bien même ils sont en violation avec les lois des hommes, un musulman digne de sa foi n’a pas à s’embarrasser de scrupules vis-à-vis des lois jugées comme inférieures aux siennes. Il ne peut y avoir pour lui d’autres lois à respecter en dehors des siennes.C’est pourquoi, il n’a pas à évaluer les conséquences que ses actes peuvent induire sur la sécurité des biens et des personnes, seul compte à ses yeux l’accomplissement de sa mission messianique dont il se considère investie.
  • Des actes disqualifiés par la justice des hommes se trouvent anoblis et gratifiés par la loi de l’islam. Ce qui est jugé comme actes terroristes selon les normes de droit interne ou international n’ont pas ainsi la même définition selon le droit musulman.
  • C’est pourquoi les auteurs des attentats du 11 septembre 2001 n’ont fait qu’agir dans le strict respect de ce droit. Faisant figure de héros aux yeux de leurs coreligionnaires qui les affublent du titre auquel rêve tout musulman de chahid, martyr.Mourir sur le champ de bataille pour le faire triompher des idées cosmiques et impérialistes de l’islam n’est-il pas le devoir suprême assigné à chaque musulman ?Par conséquent c’est l’islam lui-même qui impulse les élans de violence à des fins idéologiques chez les musulmans. C’est lui qui les instrumentalise et arme leur bras.
  • Ceux qui passent à l’acte sont les musulmans en action qu’on peut qualifier de musulmans activistes ou djihadistes à la différence des autres qui constituent le gros des troupes sont des musulmans en réserve du djihad, susceptibles de passer en action dès que le besoin se fait sentir où ils s’embrasent comme des torches vivantes : affaire des versets sataniques, l’innocence de l’islam, etc.
  • Il ne peut y avoir d’islam sans le djihad et donc sans la propagation de la terreur, de même qu’il n’y a pas plus de musulmans djihadistes que de musulmans non-djihadistes, on est d’abord musulman nourri par la sève du djihad, un état de guerre permanent mené contre les non-musulmans jusqu’à ce qu’ils finissent par se démettre et se soumettre à la loi de l’islam.
  • C’est l’islam lui-même qui engendre la violence dont il abreuve ses fidèles, les uns jusqu’à ne plus en avoir soif et les autres avec modération en attendant que l’achèvement de leur état d’endoctrinement.
  • La majorité silencieuse musulmane qui n’élève jamais la voix pour condamner les agissements terroristes de ses activistes est cohérente avec elle-même, dans la mesure où elle est susceptible elle-même de passer à l’acte un jour ou l’autre quand elle aura fini elle-même sa phase de mutation doctrinaire.