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Pourquoi je soutiens B.C.E. dont l’âge est une chance pour la Tunisie ?

Soutenez qui vous voulez sauf celui qui vous savez. Le soutenir c’est trahir votre patrie  et la livrer corps et âme à ses ennemis qui rêvent de réduire ce si beau pays en amas de cendres comme naguère leurs aïeux des Banu Hilal et leurs alliés des Banu Souleim qui avaient mis le pays à feu et à sang pour le faire passer la Tunisie d’un pays de l’histoire à un pays de la protohistoire.

Quand on aime son pays on ne se pose pas la question de l’âge du capitaine qui sonne la charge contre les envahisseurs, on va nous aussi au combat et on se rallie à ceux qui sont en première ligne pour que vive la mère-patrie.

Le capitaine lui-même ne fait pas de son âge un alibi pour aller au–devant de l’ennemi pourquoi vous ne faites pas de votre âge une force pour détruire cet ennemi ? Ne prenez pas excuse de son âge pour laisser ces sauterelles coloniser votre pays prenez exemple sur lui et sa fraîcheur d’esprit pour donner le ola et les chasser de vos terres. Les peuples se meurent quand ils n’ont plus le phare des sages pour les éclairer.

L’Afrique du Sud a échappé à la guerre civile non pas grâce à la fougue de sa jeunesse et les fossoyeurs de sa vieillesse elle s’en est sortie grâce à la clairvoyance et la lumière d’un vieil averti, chevronné, futé, qui a plus qu’un tour dans son sac, habile manoeuvrier, stratège et aguerri au combat pour la survie de son peuple auquel il avait ouvert un nouvel horizon que le monde entier envie.

Ne gâchons pas la chance que nous avons en faisant de l’âge de notre capitaine un handicap au plus grand bénéfice de nos ennemis et au plus grand dam de la patrie.  Elle a besoin de toutes ses forces jeunes et vieux pour rester en vie.  L’amour de la patrie ne se mesure pas à l’aune de l’âge de ses enfants.  Jeunes et moins jeunes peu importe leur âge tant qu’ils sont irrigués par leur amour de la patrie.

Un homme qui se bat n’est jamais vieux,  il le devient quand il ne croit plus en rien.  Quand on ne croit en soi on ne peut croire en sa patrie.  On ne construit pas un pays avec des citoyens qui s’avouent vaincus avant d’aller au combat et de diaboliser ceux qui n’y renoncent jamais tant qu’ils ont la vie en eux. « La vieillesse bien comprise est l’âge de l’espérance » pour reprendre une citation célèbre de Victor Hugo, le rejet de la vieillesse n’est rien d’autre que la peur de sa propre existence. Il n’y a ni vieux ni jeune. Il y a ceux qui naissent  des jeunes vieux et des vieux jeunes. Tout est question d’état d’esprit et de perception de la vie « la vieillesse, c’est quand on commence à dire :  » Jamais je ne me suis senti aussi jeune.  » Jules Renard

Un vieux  vaillant qui va au charbon rayonnant de vie vaut bien plus qu’un jeune démissionnaire et qui s’installe dans le désespoir comme s’il était déjà au crépuscule de sa vie, nul doute .

Si l’âge  du capitaine est un obstacle pour vous que dire de votre propre incapacité à arracher la patrie des griffes de ses fossoyeurs alors que vous êtes soi-disant dans la force de l’âge en quoi lui êtes-vous utiles  ? A rien sauf de rester hagards, béats et impuissants face au naufrage de votre bateau. On ne se moque pas de l’âge du capitaine quand on a pas soi-même ni l’expérience, ni les compétences, ni le désir, ni le courage, ni la force  pour le renflouer.

Quand un bateau est entrain de couler ou une maison entrain d’être dévorée par le feu on ne s’inquiète pas des perspectives on se doit d’abord de les sauver et de laisser le capitaine mener à bien sa mission. Ni son état civil, ni sa prétendue maladie, ni son supposé passé ne sont les facteurs déterminants, c’est son esprit de combat et son savoir-faire  pour relever le défi au péril de sa propre vie et pour le bien de la vôtre.  Il vaut mieux un capitaine vieux qui n’a pas peur de braver le danger qu’un jeune couard et poule mouillée qui sacrifie votre vie pour sauver la sienne.

La valeur d’un capitaine ne se mesure pas en nombre d’années, c’est sa capacité de rassurer les passagers et leur redonner goût à la vie et espoir que rien n’est perdu tant qu’on a la vie et dont lui-même est le parfait exemple.

La vieillesse est un fardeau pour ceux qui ne s’acceptent pas eux-mêmes et pour qui leur propre vie est un poids insupportable.

Le bateau ivre tunisien a plus que jamais d’un capitaine de l’envergure de B.C.E.  Se priver de lui revient à précipiter le bateau dans les fonds abyssaux et que plus aucun autre capitaine ne pourra  jamais remettre à flot.

Un peuple clairvoyant et soucieux de la gravité de la situation doit savoir que : »La vieillesse apporte une lucidité dont la jeunesse est bien incapable et une sérénité bien préférable à la passion.  » Marcel Jouhandeau

Chaque voix pour B.C.E. est salvatrice pour la Tunisie, chaque voix pour Marzougui est mortelle pour elle

Certains tunisiens s’amusent à renvoyer BCE et Marzougui dos à dos. C’est comme si en France on mettait au lendemain de la 2ième Guerre Mondiale De Gaulle et Pétain dans le même sac.

Si je comprends bien il n’y a pas d’autre alternative que l’immobilisme et le statu-quo. Ne plus rien faire, baisser les bras sous prétexte qu’en voulant éradiquer l’épidémie du choléra on risque de propager celle de la peste sans bien tendu proposer une alternative crédible pour sortir le pays de cette impasse devenue quasi inextricable à force d’attentisme et de défaitisme. Le pire juste au moment où l’on commence à entrevoir quelques éclaircies dans le ciel tunisien depuis la défaite de la secte-Etat d’Ennahdha aux dernières élections législatives.

J’ai honte pour eux et honte pour la Tunisie d’avoir en son sein des traîtres de leur espèce. Comparer B.C.E. un homme qui incarne véritablement la résistance à l’hydre islamiste  à Marzougui à ce fils de goumier connu pour sa haine viscérale de la Tunisie est la pire  et qui n’a jamais fait mystère de son engagement inconditionnel pro-qatarien est la pire insulte jamais faite à la Tunisie. B.C.E. fait partie de cette équipe de bâtisseurs piloté par Bourguiba et à laquelle on doit la Tunisie actuelle qui fait front au danger wahhabite dont Marzougui est l’un des agents les plus actifs et le plus en vue.

Quand on a minimum de décence intellectuelle, un zeste d’éthique et une once de patriotisme en soi on se garde de se livrer à ce genre de comparaison qui discrédite ses auteurs et atteste de leur indifférence au sort de leur pays. Là où ils devraient eux-mêmes suivre l’exemple de B.C.E. et s’aligner sous sa bannière ils font le jeu des forces hostiles à la Tunisie.  Ils ne sont en rien différents de la milice française pro nazie.  Peux-t-on comparer De Gaulle à Pétain ? L’un incarne l’amour de la France et l’autre la collaboration avec les nazis.

Jusqu’à preuve du contraire B.C.E.  n’est ni un mercenaire ni  n’a aucun agenda politique au profit d’une puissance étrangère tiers à la différence notable du petit milicien qatarien. Vous avez, en effet, le choix entre deux candidats celui qui se bat comme un lion pour la souveraineté nationale et qui cherche à  rassembler les tunisiens autour du socle national et celui qui oeuvre pour la mise à mort d’une Tunisie souveraine et indépendante pour en faire une vassale turco-qatarienne et sème les graines de la discorde et la division. Un soldat de feu et un incendiaire. Tout bulletin de vote en faveur de ce dernier ne fait que raviver le feu qui couve depuis 40 mois qui embrasera toute la Tunisie si par malheur le peuple a opté pour Marzougui. Cela reviendrait à lui donner un blanc-seing pour poursuivre sa politique destructrice et criminelle. La Tunisie est en danger de mort et sa survie dépend du bon usage des bulletins de vote.

Même battu Marzougui menace de mettre la Tunisie à feu et à sang. Quelle que soit l’issue du scrutin cet homme est le pire ennemi de la Tunisie avec son mentor Ghannouchi depuis Caton le Carthaginois.

Si on veut blanchir Marzougui de ses éventuelles implications dans les assassinats de Chokri, Lotfi, Mohamed et les assassinats des dizaines militaires, de policiers et de gardes nationaux voire les morts mystérieuses non-élucidées qui avaient frappé certains hommes qui présentaient des réelles menaces pour la Troïka il suffit de voter tout simplement pour lui.

Ces partisans du tous pourris ne sont pas conscients des enjeux implicites et explicites inhérents à cette élection et ô combien cruciaux pour l’avenir du pays. Chaque voix en faveur de Marzougui est une voix mortelle pour la Tunisie.

Tous les tunisiens se rêvent en généraux d’armée mexicaine et Ennahdha peut se frotter les mains

La Tunisie n’est pas seulement la première manufacture mondiale du djihad de la terreur et du sexe, elle est aussi recordwoman du monde en matière de vocations politiques. Tous les tunisiens ou presque se bousculent au portillon du Palais de Bardo pour profiter du banquet royal offert gracieusement par le bon petit peuple tunisien.
En effet, plus 15.700 candidats se verraient bien mener la belle vie aux dépens du pauvre contribuable tunisien appauvri par Ben Ali et anéanti par Ennahdha briguent aujourd’hui les 217 sièges de la future assemblée nationale tunisienne pour un corps électoral de moins de 8 millions d’électeurs dont 5 300 000 inscrits. En comparaison avec la France aux dernières législatives françaises de 2012 : 6611 postulans pour 577 sièges pour un corps électral de 44 300 000 dont 40 000 000 inscrits.
L’intérêt supérieur du pays est loin d’être la motivation première chez les tunisiens connus pour leur esprit de lucre, leurs délires de chefferie, leur avidité et leur vénalité.
Dévorés par leurs ambitions démésurées qui leur font perdre le sens des réalités, enfermés dans leur bulle du Roi Ubu et ma binette-reine, jamais repus, corrompus jusqu’à l’os de la moelle, ils se rêvent tous en généraux d’armée mexicaine.
Tout le monde veut être chef, sans savoir-faire, ni savoir, ni compétences, ni formation à l’exemple de Kamel Jendoubi un sous-fifre propulsé président de l’I.S.I.E. ou ce borderline et marginal, une sangsue notoire au CV aussi vide et creux que son personnage farfelu, tourmenté et grotesque qui se verrait fuur despote de droit facebbokien de la Tunisie.
Tant qu’ils ont l’ivresse du pouvoir et les privilèges que cela procure, peu important les conséquences désastreuses de leur irresponsabilté sur le destin de leur pays.
Amnésiques et atteints de cécité mentale alors que le principe d’union doit être la règle d’or afin de ne pas retomber dans les erreurs de 2011 ils préfèrent jouer au mauvais général qu’au bon soldat et se regrouper sous la bannière d’un front commun contre l’obscurantisme et le djihad.
Cette multitude de candidats ne se rend pas compte qu’elle signe l’arrêt de mort définitif du pays et qu’elle est la pire ennemie de la Tunisie en ouvrant un boulevard royal devant Ennahdha qui est sûre de gagner la bataille des urnes même avec 10% de suffrages obtenus. On ne gagne pas la guerre dans la désunion et la dispersion.
Les tunisiens doivent se préparer à un bail ad vitam aeternam avec Ennahdha. Ils ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes d’avoir fait le choix de l’ego plutôt que de la patrie.

Avis aux Tunisiens : ne pas voter massivement c’est souscrire pleinement à la politique fasciste d’Ennahdha

Avis aux tunisiens  : Quand on veut le changement on vote. Quand on ne veut pas que ça change, on s’abstient de voter

Etant concerné aussi bien par le sort de la France et de la Tunisie, mes modestes réflexions sur les conséquences tragiques des abstentions sur la démocratie électorale s’adresse à mes concitoyens des deux rives de la Méditerranée. Les deux pays en ont fait les frais le premier lors des Européennes et le deuxième à l’occasion de la Constituante.
Plus on snobe les urnes plus la démocratie s’éloigne de nous et on fait le lit progressivement et inexorablement au fascisme. La dictature n’est-elle pas l’exercice du pouvoir d’une minorité sur la majorité ?
Les Tunisiens sont entrain de l’apprendre à leurs dépens. Ennahdha a beau être minoritaire mais c’est elle qui dicte ses lois en Tunisie. On a beau dire qu’elle n’est pas majoritaire mais sur le terrain c’est elle qui marque des buts.
Que fait la soi-disant majorité absolue ? Elle la laisse faire en toute liberté démocratique. Ce n’est pas Ennahdha qui est la cause de l’état de déliquescence du pays, ce sont les tunisiens qui ont déserté les urnes en ce jour funeste du 23 octobre 2011.
En abandonnant les urnes à ses ennemis, on renonce à sa liberté et à sa souveraineté.
Un peuple mâture, responsable, jaloux de son indépendance qui se maître de son destin, acteur et concepteur de ses choix, ne laisse jamais le soin à une minorité sortie des urnes de lui imposer ses lois qui ne conviennent pas à ses aspirations et ses attentes. Mais qu’a-t-il fait en amont pour qu’il ne soit pas mis devant le fait accompli et se trouver pris au piège d’une politique calamiteuse à laquelle il avait pourtant souscrit en y adhérant par son abstention ?
Quand on veut sanctionner une politique d’un parti qui veut mener un pays à la mort on ne lui laisse jamais les coudées franches. On la combat par les urnes en se mobilisant massivement comme un seul homme.
A supposer que le parti porteur de ce projet y arrive par on ne sait quel miracle, il est forcément obligé de prendre la détermination du peuple à ne lui laisser aucune marge de manoeuvre. Quand on vote massivement on fait savoir aux uns et aux autres que c’est le peuple qui est le maître du jeu et non un simple pion dans la partie d’échecs qui se joue sans lui.
Si réellement les Tunisiens veulent dessiner un avenir démocratique pour leur pays ils doivent exprimer leur volonté par les urnes en démontrant que ce sont eux les vrais décideurs et qu’il ne peut y avoir de contrat social sans leur aval.
Un vrai peuple propose et ses partis exécutent. Le bulletin de vote est son carton rouge, le même que celui qu’un arbitre brandit sur un terrain de football à l’encontre d’un joueur contrevenant. En laissant ce joueur sur le terrain l’arbitre cautionne ses agissements anti-sportifs. Ne pas avoir pris la décision au moment où il le fallait ce n’est pas le joueur qui est fautif c’est l’arbitre qui a pêché par son indécision.
Si les Tunisiens qui se sont montrés incapables de dégager la Troïka par le pouvoir de la rue,veulent enfin exercer leur rôle d’arbitre il ne leur reste qu’une seule alternative : l’exercice de leur pouvoir du vote. Dans le cas contraire, leur désaffection des urnes est comptabilisée comme un plébiscite de la politique d’Ennahdha sans recours au vote. Quand on veut changer de politique, on vote. Quand on ne veut pas la changer, on s’abstient de voter.
Ne pas voter c’est aussi entériner le pouvoir d’Ennahdha ad vitam aeternam. 

Mise en garde aux abstentionnistes : vous êtes les meilleurs alliés d’Ennahdha et les pires ennemis de la Tunisie

 

Ce n’est pas avec tout sauf Ennahdha que vous allez sauver la Tunisie tout en se gardant de vous abstenir et laisser le soin aux autres de décider à votre place de votre destin. Ne pas voter c’est tout simplement voter contre la Tunisie.
Ne pas voter c’est se rallier à Ennahdha car tout vote non comptabilisé en faveur de la Tunisie est un vote tout bénéfice pour la secte infecte.

Vous seriez deux millions à voter au lieu de 7 millions, Ennahdha disposant d’une réserve de voix d’au moins un million. Résultat 50% de voix est-cela que vous voulez sous prétexte que les autres ne sont pas meilleurs. Quoi que vous en pensiez d’eux, ils ne sont surtout pas pires qu’Ennahdha. La Tunisie est au fond du gouffre à cause de cette secte, Et ce n’est pas la faute à ceux auxquels vous faites des procès en sorcellerie car tellement vous êtes aveuglés par vos préjugés.

Aujourd’hui tout le monde doit s’atteler à la tâche et suer sang et eau pour la sortir de là où elle est. Ce n’est certainement en optant pour le choix de la politique de chaise vide qui est la meilleure alliée d’Ennahdha.

Les absents ont toujours tort et pire encore ils se font complices de leurs ennemis en leur abandonnant délibérément la partie. Quand une équipe déclare forfait à votre avis l’arbitre du match accorde la victoire aux absents ou à ceux qui sont présents sur le terrain au moment du coup de sifflet du début de la rencontre ?

Vous pourrez toujours dire que cela ne sert à rien de voter, alors qu’est-ce que vous proposez comme alternative, comme remède aux maux incurables de la Tunisie ? En vous abstenant vous tendez le couteau à ceux qui vont vous couper le cou avec. Vous avez le droit d’être déçu par ceux pour qui vous avez voté, mais à ce jour vous n’avez voté pour personne pour pouvoir en dire autant.
Vous avez surtout voté pour Ennahdha en ne faisant rien pour lui barrer la route sans savoir qu’avec elle c’est le dernier chant de cygne de la démocratie en Tunisie.

Ennahdha se sert des urnes pour imposer un régime théocratique dans l’esprit de son idéologie fasciste et totalitaire.
Des petits rappels à ceux qui croient que l’abstention est une arme efficace et qui sont toujours les premiers à se plaindre des mauvais choix faits par ceux qui leur ont fait un cadeau empoisonné en votant pour des partis populistes connus pour être ceux qui font le plus écho aux frustrations des masses populaires et dans lesquels ils ne se reconnaissent pas.

A titre d’exemple Marine le Pen qui a gagné les dernières élections européennes en France, savez qu’elle a fait moins de voix qu’aux présidentielles ? Seulement on est passé de 27% lors du scrutin présidentiel à 60%d’abstentions au scrutin européen. Elle n’a pas gagné car elle a réussi sa campagne , elle a gagné grâce à l’abstention massive d’une part et d’autre part ce sont toujours les partis idéologiques et qui tiennent les discours les plus extrémistes et réactionnaires qui savent le mieux mobiliser leur électorat. De même qu’Ennahdha qui remporté une large victoire chez les résidents tunisiens de France tout simplement à cause de 80% d’abstention. Elle a obtenu 39 000 voix sur 120 000 exprimés lors que le nombre des électeurs potentiels représentent plus de 600 000.  Grâce aux abstentionnistes les 8% d’Ennahdha se sont transformés en quasiment 40%. Un sacré jack pot. Pour 1€ placé 5€ empoché.

La démocratie électorale est une aubaine inespérée pour ses ennemis qui ne réussissent que lorsque leurs adversaires se font absents.

L’histoire ne retiendra que le nom des vainqueurs et non l’incivisme, l’indifférence, le défaitisme et la lâcheté des absentéistes.