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Le tableau noir de la présidence du milicien qatarien Moncef Marzougui

 

Plutôt que de spéculer sur l’état de santé mentale du petit collabo  qatarien notoire Moncef Marzougui un être insignifiant et sans relief, sur sa haine viscérale de la Tunisie et son train de vie fastueux aux frais des contribuables tunisiens rendus exsangues par 4 années de disette il serait opportun de le juger sur son vrai bilan.

Qu’a-t-il impulsé comme nouveau souffle dans le pays ? Quelles sont les réalisations dont il peut s’enorgueillir et qui ont contribué au bien-être des Tunisiens ?  Quelle  réelle politique de changement a-t-il initiée ?  Quelles sont les avancées remarquables et remarquées de sa gouvernance ?  S’est-il comporté comme un homme d’Etat ou un régisseur d’intérêts occultes ? A-t-il été l’homme de la situation et président de tous les tunisiens ou chef d’un clan mafieux et milicien ?

Ce n’est pas la personne en tant que telle qui doit être jugée par les électeurs tunisiens c’est les résultats de son bilan de quasiment 4 ans de pouvoir qui doit être pris en compte et qui sont déterminants dans le choix des électeurs. Qu’est devenue la Tunisie sous sa présidence  à partir des performances palpables, quantifiables et qualifiables ?

Etat de non-droit, assassinats de Chokri, Lotfi, Mohamed,

épidémie des meurtres mystérieux par arrêts cardiaques,

décapitation et tuerie des dizaines de soldats et représentants des forces de l’ordre,

premier pays exportateur de main d’oeuvre terroriste et des volontaires sexuelles du djihad du Nikah,

prolifération de camps d’entraînement djihadistes et embrigadement de jeunes mineurs,

le pays croulant sous les ordures ménagères et état d’insalubrité totale avec l’apparition des épidémies comme le choléra ,

dégradation de l’image du pays dans le monde,

explosion de la délinquance et de la voyoucratie,

pénuries en tous genres dues au laisser-faire de l’Etat en matière de contrôle des prix, d’approvisionnement, de distribution et de prévention des spéculations, économie à bout de souffle et inflation galopante,

paupérisation de la classe moyenne,

premier pays corrompu au monde,

charlatanisme, bigotisme, fanatisme,

perte de la souveraineté nationale,

dénaturation de la fonction présidentielle,

attaques contre les emblèmes nationaux et tentatives éhontées et obséquieuses de remise en cause de l’histoire de l’indépendance nationale,

arrêt de la célébration de la fête de la république et du 20 mars, menaces de mort proférées à l’égard des démocrates et des laïques,

témoignages réitérés et sans vergogne de sa loyauté pour le Qatar,

violations flagrantes des secrets d’Etat en livrant les archives de la présidence à des pays tiers,

inobservation de ses obligations de réserve et de confidentialité,

publication d’un livre noir digne d’un roman d’espionnage qui en dit long sur sa qualité  et ses compétences en matière d’intelligence avec les services de renseignements des pays étrangers,

déclarations inquiétantes sur l’ouverture des frontières tunisiennes pour créer une nouvelle catégorie de populations naturalisées acquises à sa cause,

des milliers de jeunes tunisiens tentant de fuir la misère noire sévissant dans le pays disparus dans les naufrages de leurs barques de fortune  à l’exemple du drame de Lumpadosa,

recul des droits de  la femme,

explosion des chiffres du suicide, courbe de chômage exponentielle,

déficits publics et de la balance de paiements abyssaux,

baisse de l’espérance de vie et hausse de la mortalité infantile ,

réserve de change réduite en peau de chagrin,

forte baisse de la productivité et augmentation de l’absentéisme dans les services et les entreprises publics,

abus du droit de grève,

résurgence du clanisme, du tribalisme et du régionalisme avec des lourdes menaces sur l’unité du pays,

dégradation de l’état de santé psychique de la population,

augmentation des mariages forcés et de naissance hors mariage,

remise en cause du planning familial,

explosion des maladies sexuellement transmissibles et progression du sida,

trafics d’organes,

déscolarisation massive des enfants et surtout  les filles,

dégradation de l’offre des soins et des services publics de la santé,

augmentation des crimes crapuleux et des trafics de contrebande,

le pays est devenu la plaque tournante de l’immigration clandestine vers l’Europe,

accroissement de la consommation des psychotropes et de drogues dures.

D’un pays émergent il est devenu en 4 ans un pays à la traîne de l’humanité.

La Tunisie n’est pas entrain de se somaliser elle est déjà dépassée par la Somalie à l’indice du bonheur mondial brut. Il ne faut pas par conséquent  juger cet homme sur ses écarts de conduite et ses troubles manifestes de comportement il faut s’en tenir à son seul bilan qui est le pire qui puisse exister dans l’histoire universelle.

On peut toujours tordre le cou aux supputations qu’elles soient malveillantes ou bienveillantes mais difficilement à la réalité des faits. Ses partisans ne vont pas manquer d’alléguer que dans le rôle qui est le sien sa marge de manoeuvre est réduite, ce qui n’est pas tout-à-vrai dans la mesure où la plupart des éléments de ce tableau relèvent de ses domaines réservés.  Il a failli sur toute la ligne et les Tunisiens vont en payer le prix fort quand le F.M.I. et la Banque Mondiale couperont les crédits à leur pays.  D’un pays solvable la Tunisie est devenue un pays à hauts risques pour les créanciers internationaux.

Chaque voix pour B.C.E. est salvatrice pour la Tunisie, chaque voix pour Marzougui est mortelle pour elle

Certains tunisiens s’amusent à renvoyer BCE et Marzougui dos à dos. C’est comme si en France on mettait au lendemain de la 2ième Guerre Mondiale De Gaulle et Pétain dans le même sac.

Si je comprends bien il n’y a pas d’autre alternative que l’immobilisme et le statu-quo. Ne plus rien faire, baisser les bras sous prétexte qu’en voulant éradiquer l’épidémie du choléra on risque de propager celle de la peste sans bien tendu proposer une alternative crédible pour sortir le pays de cette impasse devenue quasi inextricable à force d’attentisme et de défaitisme. Le pire juste au moment où l’on commence à entrevoir quelques éclaircies dans le ciel tunisien depuis la défaite de la secte-Etat d’Ennahdha aux dernières élections législatives.

J’ai honte pour eux et honte pour la Tunisie d’avoir en son sein des traîtres de leur espèce. Comparer B.C.E. un homme qui incarne véritablement la résistance à l’hydre islamiste  à Marzougui à ce fils de goumier connu pour sa haine viscérale de la Tunisie est la pire  et qui n’a jamais fait mystère de son engagement inconditionnel pro-qatarien est la pire insulte jamais faite à la Tunisie. B.C.E. fait partie de cette équipe de bâtisseurs piloté par Bourguiba et à laquelle on doit la Tunisie actuelle qui fait front au danger wahhabite dont Marzougui est l’un des agents les plus actifs et le plus en vue.

Quand on a minimum de décence intellectuelle, un zeste d’éthique et une once de patriotisme en soi on se garde de se livrer à ce genre de comparaison qui discrédite ses auteurs et atteste de leur indifférence au sort de leur pays. Là où ils devraient eux-mêmes suivre l’exemple de B.C.E. et s’aligner sous sa bannière ils font le jeu des forces hostiles à la Tunisie.  Ils ne sont en rien différents de la milice française pro nazie.  Peux-t-on comparer De Gaulle à Pétain ? L’un incarne l’amour de la France et l’autre la collaboration avec les nazis.

Jusqu’à preuve du contraire B.C.E.  n’est ni un mercenaire ni  n’a aucun agenda politique au profit d’une puissance étrangère tiers à la différence notable du petit milicien qatarien. Vous avez, en effet, le choix entre deux candidats celui qui se bat comme un lion pour la souveraineté nationale et qui cherche à  rassembler les tunisiens autour du socle national et celui qui oeuvre pour la mise à mort d’une Tunisie souveraine et indépendante pour en faire une vassale turco-qatarienne et sème les graines de la discorde et la division. Un soldat de feu et un incendiaire. Tout bulletin de vote en faveur de ce dernier ne fait que raviver le feu qui couve depuis 40 mois qui embrasera toute la Tunisie si par malheur le peuple a opté pour Marzougui. Cela reviendrait à lui donner un blanc-seing pour poursuivre sa politique destructrice et criminelle. La Tunisie est en danger de mort et sa survie dépend du bon usage des bulletins de vote.

Même battu Marzougui menace de mettre la Tunisie à feu et à sang. Quelle que soit l’issue du scrutin cet homme est le pire ennemi de la Tunisie avec son mentor Ghannouchi depuis Caton le Carthaginois.

Si on veut blanchir Marzougui de ses éventuelles implications dans les assassinats de Chokri, Lotfi, Mohamed et les assassinats des dizaines militaires, de policiers et de gardes nationaux voire les morts mystérieuses non-élucidées qui avaient frappé certains hommes qui présentaient des réelles menaces pour la Troïka il suffit de voter tout simplement pour lui.

Ces partisans du tous pourris ne sont pas conscients des enjeux implicites et explicites inhérents à cette élection et ô combien cruciaux pour l’avenir du pays. Chaque voix en faveur de Marzougui est une voix mortelle pour la Tunisie.

Si vous voulez faire de la Tunisie un Etat-voyou votez Marzougui

Je tiens à réitérer mes rappels aux tunisiens :aujourd’hui vous avez   une chance unique dans votre  histoire la ratez pas sinon que vous n’aurez que i yeux pour pleurer. Votre seul rempart  contre l’invasion djihado-terroriste est incontestablement BCE comme le fut Bourguiba contre l’obscurantisme et l’ignorance.

Si vous votez contre lui vous condamnez votre pays à devenir un nouvel Afghanistan qui était il n’y a pas si longtemps du bien-vivre. Ne la gâchez pas SVP si vous aimez la Tunisie. Pensez aux générations futures comme vos parents ont pensé à vous.

BCE fait partie de ces hommes et femmes qui avaient redonné à la Tunisie son lustre carthaginois terni par des siècles de sevrage obscurantiste et colonial Il a été de cette équipe de pionniers qui ont relevé le défi de la modernité et impulser à la Tunisie le souffle du progrès humain. C’est un bâtisseur qui croit en sa patrie et l’histoire plaide pour lui. Moncef Marzougui est un renégat, veule, vénal, cupide,  à l’ego surdimensionné, un prédateur féroce, mu par sa seule haine de la Tunisie, un rongeur porteur du virus de la peste wahhabite et  opportuniste dogmatique. Cet homme  qui dilapide l’argent public sans compter pour ses agapes et ses escapades ne croit pas en l’avenir de la Tunisie en tant que nation indépendante, est un danger public, un exécutant des basses besognes ghannouchiennes, oeuvrant pour les seuls intérêts du Qatar, un dévastateur et un destructeur et vous en avez fait l’amère expérience au cours des ces 40 derniers mois en dehors de la courte période d’embellie en 2011 que l’on doit comme par hasard à BCE.

En votant pour cet être servile, enfant héritier de Caton vous votez pour la perte de la souveraineté nationale et la transformation de votre pays en sanctuaire terroriste. C’est à vous de voir, j’ai choisi le camp de la Tunisie incarné par BCE et j’espère que vous en ferez autant. Ne faites pas de ces élections ô combien crucial pour l’avenir de la Tunisie le dernier chant de cygne.

Ne faites pas de ce vendu et milicien qatarien qui veut faire de la Tunisie son fromage, le premier président démocratiquement élu de l’histoire de la Tunisie. Il n’est que le cheval de Troie de Ghannouchi en l’élisant vous faites de ce monstre de la barbarie humaine le nouvel Ayatollah de la Tunisie.

C’est vraiment l’enfer qui vous guette si vous votez pour les couleurs de la mort ne creusez pas avec vos propres mains la tombe de la Tunisie.Que vous faut-il de plus comme preuves quant aux desseins noirs de cette mafia pour la Tunisie ? Vous en avez suffisamment bavé au cours de ces trois dernières années pour pouvoir en tirer les leçons et la mettre hors d’état de nuire. Voter pour ce bouffon c’est voter pour les assassins de Chokri, Lotfi, Mohamed et les dizaines de soldats et forces de l’ordre. C’est aussi faire des malfrats et des criminels les maîtres de la Tunisie. Vous voulez faire de la Tunisie un Etat-voyou ? Votez alors pour le petit Néron de Carthage.

Vous n’aimez pas la Tunisie votez pour ce fils de goumier et ce sera la fin de la souveraineté nationale, vous aimez la Tunisie votez BCE pour faire renaître ce beau pays de ses cendres. 

B.C.E. est à la Tunisie ce que fut le Général De Gaulle pour la France

Un vrai gouffre sépare B.C.E. qui incarne le patriotisme tunisien et le grand réveil de la conscience nationale et  Moncef Marzougui le petit Caton de Carthage et antipatriote pathologique, comparable à  à celui qu’a connu la France à la sortie de la deuxième Guerre Mondiale entre De Gaulle et le Maréchal Pétain.

En effet, tout les distingue  et les oppose en termes d’histoires personnelles, leurs parcours politiques, leur dévouement à la nation tunisienne, leur savoir-être, leur morale, leur sens du bien public, leur attachement indéfectible à l’indépendance nationale que le candidat du Qatar veut anéantir.

B.C.E. est porteur de valeurs de fidélité et de loyauté dont est dépourvu le nervi de l’Emirat-caillou sorti du sable en 1970 par ses maîtres anglo-saxons.  Il n’est pas exagéré de dire qu’il est de l’étoffe de Churchill et De Gaulle tellement son amour pour la Tunisie est sans faille.  Aussi, toute tentative de comparaison entre les deux candidats est une insulte à la raison humaine et une infamie à l’histoire de la Tunisie. Comment ose-t-on mettre face à face le fils d’un militant pour l’indépendance de la Tunisie et qu’il s’est lui-même engagé dès l’âge de 15 dans la résistance tunisienne alors que l’autre Moncef Marzougui  nourri au biberon de la félonie est fils de traître et de goumier et qu’il est lui-même antipatriote notoire, milicien qatarien et ex agent des services de renseignements étrangers qui lui seul est à même de révéler les noms.  Cet homme aurait dû destitué de ses fonctions présidentielles pour le conflit d’intérêt dont il s’est rendu coupable en tant que salarié de la chaîne de la propagande nazislamiste de la Jazeera.  Quel crédit peut-on lui accorder au regard de ses fréquentations avec la pègre tunisienne dont il a fait son comité de soutien politique et son organisation de police parallèle sur le modèle des tontons macoutes ?  Un homme qui ne reculera devant rien pour se maintenir au pouvoir  et préserver ses privilèges  royaux et ses frasques mégalomaniaques.  Son train de vie dépasse celui de l’Elysée et de la Présidence allemande réunie au mépris de toute morale citoyenne.  En votant pour lui, les Tunisiens doivent s’attendre à des dépenses pharaoniques pour ses frais de bouche.

On aime la Tunisie on vote pour B.C.E. si on veut sa mort on vote pour ce vendu et collabo de la pire espèce qui puisse exister. Pire encore que Laval, Doriot, Déart trois des plus grandes figures de la collaboration en France.

La présence de cet homme au deuxième est une tache indélébile dans l’histoire de la Tunisie. C’est comme si la France avait adoubé Pétain au lendemain de la deuxième Guerre Mondiale pour défendre ses couleurs contre l’homme du 18 juin 1940.  Le voilà aujourd’hui à quelques encablures de la gloire éternelle en devenant le premier président démocratiquement élu dans toute l’histoire de la Tunisie alors qu’il mérite la disgrâce nationale et d’être traduit devant une cour martiale pour haute trahison et et commission de faits avérés de collaboration avec le Qatar.

Les tunisiens qui votent pour lui auront un jour à répondre devant le tribunal de l’histoire qui sera leur seul juge pour leurs crimes de complicité d’atteintes à la souveraineté nationale. Ainsi chaque bulletin déposé en sa faveur est un coup de poignard asséné dans le dos de la Tunisie.

B.C.E. est un homme digne et honorable qui a payé de sa personne dans l’édification de la Tunisie de Bourguiba en sa qualité de ministre de l’intérieur et des affaires étrangères. Connu pour sa grande rigueur intellectuelle et sa recherche de l’excellence. Un homme d’ordre et jaloux de l’image de la Tunisie dans le monde. Il fait partie de cette génération bourguibienne de bâtisseurs d’une Tunisie moderne, du bien-vivre ensemble, souveraine, maîtresse de son destin politique. Il est en droit de s’enorgueillir à juste que son nom est associé à cette Tunisie enviée dans le monde entier pour ses performances en matière d’éducation, des droits de la femme et du C.S.P.. Une Tunisie dont le seul nom suscitait respect et admiration.

Cette même Tunisie dont le nom est devenu aujourd’hui évocateur de peur et de frayeur en étant devenu le premier pays pourvoyeur de djihado-terroristes et de main d’oeuvre sexuelle à des fins djihadistes depuis qu’elle est tombée sous les griffes de ce prédateur-opportuniste, revanchard, haineux, rancunier, corrompu, sangsue, glouton,fade, terne, souffrant de graves troubles de personnalité, instable psychologiquement,  hargneux, agressif, bouffon, velléitaire, girouette, sans foi ni loi, et ses dompteurs islamistes. Cet homme que les Tunisiens sont entrain d’introniser comme leur futur monarque absolu  qui est la synthèse la mieux aboutie d’Amine Dada, Ceausescu,  Mobutu et Papa Doc fera regretter amèrement aux Tunisiens d’avoir dégagé Ben Ali. obsédé par sa seule haine de la Tunisie il finira  détruire ses fondations nationales  pour en faire une vassale qatarienne et un sanctuaire terroriste réalisant ainsi son rêve de la peupler avec les terroristes du monde entier en mal de refuge.  Avec lui l’avenir de la Tunisie s’inscrira au passé.

B.C.E. défend une Tunisie tunisienne, humaine, tolérante, fière, digne d’Hannibal et de Bourguiba et pérenne tandis que Marzougui défend les couleurs de l’indignité, de la honte, de la félonie et de l’infamie. Une Tunisie barbare, obscurantiste, réactionnaire, livrée aux meutes de loups salafistes, du désordre et du chaos.

C’est un combat de choc des cultures et d’une histoire de quelques milliers d’années contre 40 ans d’histoire. Les Tunisiens doivent faire un choix de société et d’identité nationale.

Tunisiennes, Tunisiens :  » La vieillesse, c’est l’hiver pour les ignorants et la moisson pour les ages. »

AUX ÉLECTEURS TUNISIENS : « LA VIEILLESSE, C’EST L’HIVER POUR LES IGNORANTS ET LE TEMPS DE MOISSON POUR LES SAGES. »

Le monde entier a les yeux rivés sur la Tunisie. C’est à quitte ou double soit les tunisiens transforment l’essai des législatives et auront ainsi donné enfin du sens aux idéaux de leur révolution tant moquée par les sbires de Ben Ali dont son petit caniche favori celui qui a osé me plagier soit ils se font Hara Kiri en reconduisant Marzougui le milicien qatarien. C’est la souveraineté nationale qui est la clé de cette présidentielle. S’ils veulent une Tunisie indépendante ils savent ce qu’il leur reste à faire sinon autant lui porter un coup de grâce et qu’on en parle plus.

6 mois de gouvernement de BCE en 2011 leur ont rendu le sourire 3 ans de Troïka les ont plongés dans le pire cauchemar de leur histoire depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal. Ils ont suffisamment d’éléments de comparaison pour faire leur choix.

Tant en 2011 ils partaient dans l’inconnu et même s’ils ont été trahis par Jendoubi agent de la Troïka et qui joue aujourd’hui au père fouettard alors qu’il devrait être derrière les barreaux tant en 2014 après 3 années d’un chaos indescriptible et une descente aux enfers wahhabites ils ne peuvent plus dire qu’ils ont péché par ignorance qui est la meilleure alliée de l’obscurantisme.

Il n’y a pas de candidat parfait comme il n’existe pas une société parfaite mais il y a des candidats qui rassemblent plus d’atouts pour sauver le pays de son naufrage imminent. On ne confie pas le capitanat à ces mêmes hommes qui sont à l’origine directe des brèches béantes ouvertes dans les coques du navire ?.

Arguer de l’âge de BCE ce jeune homme de 88 ans pour ne pas lui attribuer le brassard du capitaine ce n’est pas simplement une forme de racisme primaire car la valeur de’un homme ne se mesure pas à l’aune de ses artères surtout quand ce même homme fait preuve d’une lucidité hors pair et d’une résistance physique et mentale dont peu de jeunes peuvent en dire autant, c’est aussi se priver des compétences et de savoir-faire dont le pays a un besoin urgentissime.
Il n’y a pas d’homme de la situation il y a les choix de la raison qui doivent guider la main des électeurs tunisiens. Quand le feu ne cesse de se propager et d’autres foyers de feu couvent on ne se pose pas la question sur l’âge des soldats de feu et de leur capitaine.
Comme le dit un proverbe Yiddish : » La vieillesse, c’est l’hiver pour les ignorants et le temps de moisson pour les sages. »
Espérons que les tunisiens ne tombent pas dans les préjugés e de l’âge pour sacrifier l’ultime chance qu’il leur reste pour confier le destin de leur pays au seul capitaine capable de circonscrire le feu qui menace de réduire le pays en cendre.Ils ont pas le choix entre le pyromane Marzougui à la solde du Qatar et faire-valoir du terroriste Rached Ghannouchi et BCE  l’homme providentiel porté par son amour indéfectible pour sa patrie , le compagnon de route de Bourguiba le bâtisseur de cette Tunisie malmenée par Ben Ali et quasi-détruite par la Troïka. Qui peut mieux que BCE qui avait sué sang et eau pour apporter sa contribution à l’édification de la Maison Tunisie pour la restaurer et consolider ses fondations afin que la jeunesse tunisienne puisse en prendre en main un jour la suite pour la pérenniser la faire resplendir ? Faisons de lui le tuteur de cette jeunesse en manque de formation et d’expérience.
Il ne s’agit pas de voter utile il s’agit d’élire l’homme qui est à même de faire redorer son blason à la Tunisie tellement noirci par 3 années cauchemardesques.

Lettre ouverte à Sihem Ben Sedrine : Bourguiba aurait honte d’avoir libéré une calamité de ton espèce

Vous avez dit militante des droits de l’homme ? Comme si tous les droits de l’hommisme en Tunisie n’étaient pas des créatures de Ben Ali et des serviles du terroriste jamais repenti Rached  Ghannouchi chargés d’une mission de vassalisation de la Tunisie au profit du Qatar, le petite province américaine. Connus pour être majoritairement mus par leur rancoeur, leur aigreur et leur opportunisme.

« Cette pasionaria » de pacotille  des droits de l’homme comme l’appelle un ami dans la vie ne me paraît pas échapper à la règle. D’autant plus qu’au vu de son engagement pro islamiste actuel et son silence trouble sur les graves violations des libertés en Tunisie ne plaident en faveur de la sincérité de son combat passé pour les droits de l’homme.

Egérie du fils bâtard d’Adolph Hitler, gagnée par la fièvre vénale et la folie des grandeurs (10 milliards de DT, soit 5 millions € exigés comme avance au titre du budget de fonctionnement de cette instance fantoche du Mensonge et de l’Indignité ) qui peut encore croire en ses vertus patriotiques ? A moins que ce ne soient les félons Marzougui et Jendoubi, ses deux compagnons de la mauvaise route qui a mené la Tunisie dans les fosses septiques de l’humanité.

Sihem Ben Sedrine je ne sais pas quel genre de personnage tu es, cela n’a guère d’importance à mes yeux comme ton numéro de cirque de 2000 et ton simulacre d’arrestation par les cerbères de Ben Ali ou ta visite burlesque et hollywoodienne de 2003 en Irak sous occupation américaine.  Je pourrais aussi y ajouter ta lettre de dénonciation calomnieuse à R.S.F. dont a fait l’objet une relation commune dont tu as trahi son soutien inconditionnel à ton égard.  Mais tout cela ne va certainement pas rafraîchir la mémoire défaillante de ton auguste personne et ta morgue suffisante, ce qui dépasse l’entendement, c’est ton acharnement à  jeter ton fiel sur Bourguiba, à le lapider et à le discréditer, comme si  tu cherchais à l’effacer de la mémoire tunisienne ce qui n’est pas sans rappeler les tentatives négationnistes de Rached Ghannouchi, maître à penser du terrorisme islamique au point qu’il pourrait être un des architectes de la création de Daech.

Tout donne à croire que tu es entrain d’apporter des gages de ton ralliement à ton gourou (?), comme tu ne plus aucun mystère quant à tes arrières-pensées politiques, idéologiques et vénales.

Ton attitude  à vouloir vitrioler Bourguiba, défigurer son action coïncide bizarrement avec ta compagne de candidature pour le poste de président de cette instance fantoche de Vérité et de Dignité  dont objectivement et indépendamment de  il est à douter que tu aies le profil requis comme ton ami Kamel Jendoubi pour l’I.SI.E.  Tu as soi-disant combattu le népotisme mais te voilà devenue sa figure de proue en Tunisie comme tes amis Jendoubi et Marzouki.

On ne peut qu’être aussi troublé par ton silence assourdissant sur les atteintes réelles et avérées des droits de l’homme en Tunisie depuis la chute de celui qui t’a fait exister médiatiquement et ton absence de condamnation des assassinats politiques, des soldats tunisiens et des incarcérations arbitraires des militants des libertés tel que Jabeur Mejri. Est-ce à dire que tu ne  pourrais pas désavouer ce que tes amis ordonnent et exécutent que tu honores de ta binette dans les photos de famille et la remise des médailles de la honte nationale ? C’est toi-même qui entretient le trouble par ton aphonie équivoque sur les assassinats de Chokri Bel Aïd, Mohamed Brahmi et Lotfi Negadh. Qui ne dit mot approuve. Peut-être que tu es trop occupée avec tes séjours au Qatar et tes fréquentations assidues de la secte infecte et milicienne d’Ennahdha.

Tu dois savoir que tes agitation hystérico-verbales sont surtout symptomatiques d’un esprit assoiffé de revanche sociale (?), avide de pouvoir et intrigant. Bourguiba appartient à tout jamais à l’histoire et pas seulement de la Tunisie. Ni toi ni tes mentors ne peuvent l’y déloger.

On ne construit pas une carrière en s’attaquant obséquieusement à  la mémoire d’un homme qui n’est plus là pour te rendre gorge et ton entreprise de démolition pathétique et obsessionnelle à dénigrer l’oeuvre de Bourguiba en faveur de l’émancipation de la femme tunisienne représentait ta planche de salut pour t’attirer les bonnes grâces financières de ses ennemis qui sont aussi ceux de la Tunisie afin de pouvoir régler les retards de 8 mois de salaires  à tes employés de  Kalima et t’acquitter de tes dettes sociales, fiscales et bancaires.

Aujourd’hui te voilà présidente grâce à tes entregents de l’instance Dignité et Vérité, la dignité dans la calomnie et le mensonge et la vérité sur ton ralliement à la cause de ceux qui veulent détruire la Tunisie à travers l’héritage Bourguibien.

Tu as certainement raison de dire que Bourguiba n’a pas sorti la femme du néant, il ne pouvait pas tout faire car il avait trop à faire pour sortir du tunnel des femmes qui n’existent que dans le déni et la haine d’elles-mêmes.

Tu dois reconnaître que c’est grâce à son école  pour tous que tu te trouves aujourd’hui là où tu n’aurais jamais dû être,et placer sous les feux des sunlights des célébrités féminines tunisiennes Bourguiba lui-même n’a jamais revendiqué le statut de libérateur de la femme tunisienne. Il était libérateur de tout un peuple tous sexes confondus. Il ne faisait guère de différence entre les deux. Il prônait une égalité de droits et de devoirs entre les deux  Sans elle tu ne serais pas ce que tu es aujourd’hui.

Evidemment que Bourguiba n’a pas libéré la femme tunisienne, il avait oeuvré pour son bien-être et son épanouissement humain. Une libération n’a de sens que si les personnes libérées ne deviennent pas acteurs de leur destin. C’est ce que Bourguiba  a fait mais tu n’auras pas le courage de le reconnaître pour ne pas essuyer le courroux de ceux qui t’on promue reine de pacotille.

Tu leur voues les yeux de Chimène. Une Chimène toute contente de fréquenter Doha et ses montagnes d’or noir qui empeste le sang des centaines de milliers d’innocents morts pour assouvir la folie de grandeur de ce caillou désertique connu pour avoir érigé la corruption en un nouveau dogme religieux.  Bourguiba ne t’avait pas ouvert les portes du Palais de l’Emir contrairement au nouvel Attila  Rached Ghannouchi. Il est somme toute logique que tu lui témoignes haine et mépris de ne pas avoir fait de toi une privilégiée de son régime.

Tu as dit que la femme tunisienne n’a pas été libérée par Bourguiba mais alors  par qui donc a-t-elle été libérée ? Ce n’est certainement pas par celle qu’appelle mon ami Ali Gannoun  un « croisement de caméléon et de vipère » de ton espèce qui fait honte au genre féminin.

Tu dois savoir à moins que ton état de cécité mentale ne t’en empêche si la femme tunisienne dont tu es une indigne représentante tient le cap contre vents et marées, elle ne le doit pas à tes amis qui sont la lie de l’humanité elle le doit au C.S.P qui fait sa fierté inédit jusqu’à ce jour dans le monde musulman.t

Ta phobie de Bourguiba est la manifestation d’une grave altération de ta santé mentale et psychique et de tes délires paranoïaques et schizoïdes. Dépourvue de scrupules et amatrice de coups fourrés tu excelles dans l’art de projeter sur autrui tes propres tares que Ben Ali n’a pas manqué de les dévoiler en son temps au grand dam des marchands de tapis tunisiens des droits de l’hommisme dont c’était le fonds de commerce alimentaire avant qu’ils ne deviennent les sangsues de la nouvelle Tunisie à l’image de Marzougui et de Jendoubi. Toi qui as le sens de la rentabilité de la  mauvaise foi et de la parole envenimée, tu devrais goûter aux joies de la condition féminine dans les pays auxquels tu tiens le crachoir pour apprécier à sa juste valeur l’action incommensurable  de Bourguiba en faveur des droits de la femme que tes sponsors  wahhabites, un modèle de despotisme et d’arriérisme, veulent remettre en question  pour la réduire à l’état d’esclaves comme la majorité des femmes musulmanes.

Es-tu prête toi-même de te couvrir de ton linceul pour le restant de tes jours et de renoncer aux acquis que tu abhorres tant parce qu’ils sont bourguibiens ? Il est permis d’en douter tant tu tiens à tes acquis que Bourguiba t’avaient légués.

N’est-ce pas étrange que ta voix brille par son absence en ce qui concerne les viols des femmes tunisiennes, comme lors de cette affaire de violée et coupable,  et les menaces qui pèsent sur le statut de la femme. A moins que la femme ne mérite guère que tu lui prêtes ton attention toute polluée par ton militantisme d’arrière-garde et à contre-courant de l’évolution des droits de la femme dans le monde.

Le patriote Bourguiba ne serait pas fier de savoir que la Tunisie a enfanté une femme qui  a failli provoquer la mort des deux de ses employés grévistes qui navigue dans les eaux troubles de l’islamisme, de l’affairisme, de l’arrivisme et encore moins que son nom soit prononcé une femme à la réputation sulfureuse  et qui loin d’être un modèle de probité morale, de loyauté. et de décence.

Cet homme que tu honnis tant à croire que tu es contaminée par ton nouveau maître à penser qui est une insulte à la morale humaine a plus que libéré la femme tunisienne, il l’a surtout fait évader de son Goulag qui ferait pourtant le bonheur des femmes qui vivent sous la dictature machiste et esclavagiste des bailleurs de fonds qatariens et saoudiens de la secte de l’infamie humaine que tu idolâtres tant.

Quel modèle de société veux-tu pour la femme tunisienne ? Celui que Bourguiba a voulu créer ou celui qu’Ennahdha veut importer tout droit d’Arabie Saoudite, un enfer pour les libertés humaines ,

Habib Bourguiba a voulu construire une société entre égaux et une nation digne et souveraine, peux-tu en dire autant quant au projet scélérat d’Ennahdha pour la Tunisie ? Critiquer sans rien proposer comme alternative est bien la preuve de ta courte vue et de ta pauvreté politique.

Paraît-il que tu serais est une fille Ben Ammar par ta mère ce dont il est permis de douter connaissant ces derniers pour leur hostilité viscérale pour les marchands du Temple de la religion musulmane, sache qu’en ce qui concerne les Ben Ammar  dont je suis plus que convaincu que tu n’as aucun lien filial, que sont nos mères respectives, à supposer que ta mère soit une Ben Ammar, n’avaient pas c’est vrai attendu Bourguiba pour s’émanciper, seulement elles voilaient leur émancipation de peur de ne pas troubler l’ordre social hyper machiste, et c’est grâce à Bourguiba qui avait osé faire tomber le voile qu’elles ont pu enfin faire tomber le leur en toute liberté et sans qu’elle ne heurte les règles de la malséance sociale.

Ma soeur aînée, née lors de la deuxième grande boucherie mondiale qui n’a jamais porté le voile dans sa vie est toute heureuse de dire à chaque fin du mois toute sa reconnaissance à notre feu père qui est un Ben Ammar et à Bourguiba auxquels elle doit sa confortable retraite aujourd’hui fruit de 40 ans de dure labeur et de sa formation dans l’école bourguibienne. Est-ce qu’elle serait autonome financièrement et socialement si elle avait vécu dans l’ombre d’un homme qui était la hantise de notre père ?  Elle doit à Bourguiba le statut protecteur de ses droits de femme, et avoir été l’une des toutes premières femmes haut fonctionnaires dans ce pays. La différence entre vous deux est qu’elle n’a jamais lécher les babouches aux islamistes ni faire de la propagande anti-tunisienne pour le compte du Qatar.

Tu ne dois peut-être rien à Bourguiba parce que tu es aveuglée par ta propre haine de toi-même, par ton esprit pervers et ton ingratitude légendaire. Sans Bourguiba tu as beau avoir été émancipée mais tu n’aurais jamais fait des études. Ma mère était une femme libre mais son plus grand regret est qu’elle était née avant l’ère de Bourguiba.

Ton amour pour Ennahdha qui a tout l’air d’être un amour monnayé est proportionnel à ta haine pour feu Bourguiba qui n’a jamais vendu son âme à quiconque comme la félonne de ton espèce qui fait la lèche-babouche du Qatar, cette poussière de l’histoire, et cela tu peux difficilement le nier.

Béji Caïd Essebssi n’est ni patriote ni bourguibiste, c’est un faire-valoir d’Ennahdha

Article du 20 juin 2014

Faute de proposer aux Tunisiens un projet politique mobilisateur et porteur d’espoir, Nida Tounes qui se veut la voix de la Tunisie alors qu’elle  est incapable d’être à l’écoute du peuple, dépourvue d’idées crédibles veut faire de la mémoire de Bourguiba son fonds de commerce politique.

Une récupération éhontée et obséquieuse, insultante à l’oeuvre et à la pensée de Bourguiba qui n’avait jamais exalté le passé de ses glorieux prédécesseurs pour exister politiquement. Guidé par son seul amour de la Tunisie. Ni récupération ni exploitation mémorielle, et encore moins adepte de la politique politicienne de la fin justifiant les moyens et s’allier avec le diable lui-même si besoin est pour atteindre ses fins.

Quand on se veut un bourguibiste pur et dur Mr Béji Caïd Essebssi on ne serre pas la main aux ennemis de la Tunisie que sont vos alliés(?) islamistes ni se livrant à des basses manoeuvres  de conquête de pouvoir avec eux pour esbroufer le peuple tunisien que vous avez déjà trompé en livrant son pays sans vergogne ni scrupule à Ennahdha dont vous êtes devenu en 2011 un V.R.P. attitré. comme vous l’avez reconnu vous-même. Ni doter Rached Ghannouchi, ce criminel et terroriste des vertus de loyauté et de patriotisme. Vous semblez oublier à moins que vous feignez de le faire qu’un islamiste n’est loyal qu’à son idéologie et oeuvre pour la destruction des patries pour l’instauration de l’Oumma.  Bourguiba n’aurait jamais non plus ouvert le territoire tunisien à l’OTAN pour agresser son voisin et frère libyen.

Feu Habib Bourguiba était un homme du présent qui se projetait dans l’avenir.  Il n’avait de cesse que de donner à son peuple les moyens d’assurer par lui-même son indépendance. Bourguiba voulait une Tunisie debout et agissante, et non pas une Tunisie nostalgique, des petits arrangements entre copains, ronronnante et passéiste. Bourguiba n’a fait de personne son exécutant testamentaire et n’a laissé pour seul legs aux Tunisiens : l’union dans l’action.

La Tunisie de Bourguiba est une Tunisie maîtresse de son destin et souveraine. Ce n’est pas celle que vous avez livrée corps et biens aux mercenaires des forces néo-impériales turco-wahhabites à la solde des Américains ni de celle du traître de Moncef Marzougui.
Le seul hommage que Nida Tounes doive rendre à Bourguiba est de cesser de salir sa mémoire en revendiquant son héritage. La Tunisie a besoin d’hommes intransigeants et inflexibles, portés par leur seul amour de la mère-patrie et jaloux de son indépendance. Des hommes qui la servent et non pas des hommes qui se servent d’elles pour satisfaire leur appétit du pouvoir au prix des concessions et des compromis scabreux et velléitaires. Vos basses manoeuvres de politique politicienne  sont entrain de saper les fondements de la souveraineté nationale, de démoraliser les tunisiens et de jeter le pays à tout jamais dans les bras des forces miliciennes et antipatriotiques islamistes que vous ménagez comme si vous si vous êtes lié avec eux par un pacte de non-agression voire un marché de partage de pouvoir.

En s’assoyant autour de la même table que les dirigeants de cette secte infâme aux mains tachées du sang des victimes de ses attentats de Bab Souika, de Sousse et de Monastir qui n’aurait jamais dû bénéficier d’un visa de parti politique Nida Tounes a porté le coup de grâce fatal à la Tunisie et Bourguiba.

Si Bourguiba qui leur a mené un combat acharné et a donné à ce pays sa dignité, vous et vos sbires de Nida Tounes qui appellent de tous leurs voeux à une coalition avec Ennahdha et qui ne ratent pas une occasion pour l’encenser qu’avez-vous fait de concret et de fort en dehors de vos tergiversations, de langue de bois jacasseries et jacqueries ?

Cet homme a manqué à son devoir de vigilance nationale, de clairvoyance et a fait preuve d’une légèreté coupable, on ne laisse pas impunément entrer un loup dans la bergerie.
Quelle crédibilité citoyenne peut-on accorder à un homme avocat de prédateurs capitalistes comme les Ltaïef et Bouchammi qui élit domicile dans un quartier huppé parisien aux bords de la Seine et à proximité de la Tour Eiffel ?

Encore un que j’ai soutenu dans mes articles et qui me fait regretter de l’avoir drapé dans sa vertu patriotique, il est comme ses congénères qui excellent dans le brassage du vent, le mensonge et les coups tordus. Depuis plus deux ans, il ne fait que parasiter l’action politique , entraver le réveil des consciences et enfumer l’opinion publique.

Où est-il passé le 20 mars 2014 ? Un homme, un vrai n’a pas peur d’aller au combat et de braver la mort. Le courage politique n’est pas de rester chez soi, il faut savoir marquer les esprits et d’affronter la mort afin de sonner la charge contre l’ennemi.
Habib Bourguiba n’avait pas peur de mourir pour son pays, nul n’est en droit de se proclamer de lui et encore moins cet homme qui fait de la lâcheté et de l’esbroufe ses dogmes politiques.

Un leader politique se fond dans le peuple et ne le fuit pas et fait preuve de force et de détermination en toutes circonstances et qui fait passer les intérêts supérieurs de son pays avant ses intérêts personnels et familiaux.

La Tunisie était au bord du gouffre et Mehdi Jomâa va lui faire faire un pas en avant

Ce que j’attends de ce gouvernement : qu’il ait un sursaut d’orgueil patriotique et fasse preuve d’une grande intelligence politique .

S’il a vraiment le souci de la Tunisie, il doit d’ores et déjà rétablir un climat sécuritaire indispensable à la remise en marche économique du pays d’une part et d’autre part redonner confiance et espoir aux tunisiens meurtris par 3 années de purgatoire islamiste portant la signature de Raspoutine Ghannouchi en éradiquant tous les symboles du néo-colonialisme turco-wahhabite piloté par les Yankees qui viennent encore une fois de mettre leur grain de sel dans la cuisine tunisienne par la voix de Jean Kerry qui veut imposer un agenda politique aux tunisiens, comme s’ils étaient les vrais maîtres du pays et les architectes de sa politique.

On ne peut pas sauver le navire tunisien du naufrage, plutôt le rafiot, sans avoir écopé toute l’eau qui est en train de noyer la salle des moteurs. C’est pourquoi il n’y a pas de demi mesure, ni de pause à marquer pour évaluer la gravité de la situation afin de s’atteler à l’opération de sauvetage qui ne doit tenir compte quelque écueil que ce soit. Il y a de la survie de la Tunisie et ce n’est pas en procédant par des petites touches de replâtrage et de rafistolage que ce nouveau gouvernement veut y parvenir. bien au contraire, il ne pourra que précipiter le pays dans le fond abyssal du gouffre. Le pays était au bord du précipice et on lui a fait faire un pas en avant, selon une formule célèbre attribuée à un ministre algérien dans les années 60.

Il n’y a de remède que dans l’amputation du corps tunisien de toutes les gangrènes héritées de Ben Ali et amplifiées par Ennahdha. Si ce gouvernement veut marquer l’histoire de la Tunisie et tourner définitivement la page, il doit envoyer des signaux forts accompagnés par des mesures radicales pouvant témoigner de sa réelle autonomie d’action et de neutralité politique :

-dissoudre l’A.N.C. qui n’a absolument plus aucune raison d’autre à l’illégitimité incontestable et incontestée. Elle ne peut pas faire office de parlement, car n’ayant pas été élue pour remplir des prérogatives parlementaires d’une part et d’autre part elle est le joker, l’atout maître d’Ennahdha pour lui assurer un retour triomphal;

-abolir la Ligue de la protection de la révolution, véritable milice paramilitaire sur le modèle des Tontons Macoutes dans les années 60 en Haïti pour assurer la protection du régime sanguinaire de Papa Doc,

-destituer le bouffon de Carthage Moncef Marzougui, nervi qatarien déclaré et traître à la nation. Sa présence est un lourd handicap pour remettre le pays dans le sens de la marche à cause de ses capacités de nuisance susceptibles de nuire au processus de reconstruction nationale.

-tourner définitivement la page judiciaire de l’ancien régime, en réclamant son extradition à l’Arabie Saoudite ainsi que celle de ses acolytes au Qatar. Et en cas de refus de la part de ces deux pays aux intentions hégémoniques et velléitaires, il est du devoir de nouveau gouvernement d’affirmer l’indépendance du pays en prenant les mesures diplomatiques appropriées dans le cas d’espèce;

-ouvrir les dossiers d’indemnisation des victimes de la révolution;

-élucidation des assassinats politiques de Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi, Lotfi Negadh et arrestation de leurs commanditaires, y compris Lotfi Ben Jeddou pour entraves à la manifestation de la vérité;

-mise sous séquestre des avoirs d’Ennahdha,

-audit sur les comptes de l’I.S.I.E. et désigner une commission d’enquête indépendante sur l’organisation et le déroulement du scrutin qui est à l’origine de la descente aux enfers du pays;

-annulation de toutes les nominations partisanes et népotiques;

-changer tout le corps des gouverneurs et des délégués, mis en place par Ennahdha;

-identifier et arrêter les responsables des événements sanglants de Chaâmbi, du Kef, comme ailleurs;

-retrait des passeports diplomatiques délivrés aux membres et aux familles de la secte-Etat d’Ennahdha et en premier lieu Ghannouchi que la justice tunisienne doit prononcer des mesures conservatoires à son encontre en ce qui concerne ses biens mobiliers et ses avoirs financiers, de la même façon que pour Marzougui;

-annuler toutes les ventes des entreprises publiques aux qatariens et aux turcs et l’attribution abusive des terrains et terres agricoles aux familles proches d’Ennahdha, du CPR et du TAKATOL;

-nommer des nouveaux ambassadeurs et consuls généraux sur des critères objectifs et non partisans;

-libérer sans délai Jabeur Mejri sans préalable et faciliter le retour au des tunisiens qui ont exercé leur droit d’opinion surtout dans le cas de ceux qui auraient commis un soi-disant délit de blasphème,

-enfin, créer une enquête de vérité et justice sur les morts suspects et disparus du régime de Ben Ali.
Pourquoi pas ne ne pas envisager la création d’un haut comité de sages apolitique pour accompagner et soutenir l’action du nouveau gouvernement représentatif de tous les secteurs névralgiques du pays, issus des rangs
des milieux universitaires, syndicaux, économiques, sécuritaires, agricoles, technologiques, de la petite enfance, associatifs, diplomatiques, judiciaires, de la haute fonction publique, touristiques, religieux d’obédience malékite, militaires, féministes et sanitaires.
On ne peut pas reconstruire le pays et redonner un nouvel espoir au peuple, si on continue à vouloir faire du neuf avec de l’ancien quand cet héritage du passé a creusé la tombe du peuple.
Un pays ne peut se redresser que dans la transparence et ne se meurt que dans l’opacité.

Le nom de Marzougui résume à lui tout seul toutes les tares de l’humanité

Presidential standard of Tunisia
Presidential standard of Tunisia (Photo credit: Wikipedia)

Moi qui le croyais  bourré de vices  qui feraient  pâlir de jalousie son dresseur attitré Raspoutine Ghannouchi et en avoir fini de faire le tour. De  fou à lier, félon, fayot, parasite, bouffon, vendu,  guignol, psychopathe, velléitaire, complotiste, renégat, collabo, corrompu, veule, lâche, cupide, arriviste, servile, pourri jusqu’à la moelle, vénal, bête, méchant, rancunier, dégénéré des neurones, guignol, farfelu, antipatriote, pique-assiette,  incompétent, fade, dépourvu de personnalité, extravagant, alcoolique, extravagant, burlesque, fantasque, complexé, voilà que je découvre en lui des nouvelles tares congénitales : indic, balance, mouchard,  calomnieux, rapporteur, taupe, cafteur, cafard, dénonciateur et délateur.

Un fils de goumier reste goumier, chez lui c’est héréditaire, c’est son marqueur génétique. Et le pauvre contribuable tunisien qui le paye pour faire de la délation et jeter les noms des journalistes en pâture aux pitbulls islamistes.
Ce lèche-babouches n’a aucun sens de la dignité ni de l’honneur. C’est un misérable, un être pitoyable, un sinistre personnage qui ferait de l’ombre à Bokossa, Taylor  et Amine Dada  réunis. Infect, répugnant et repoussant.
Ce n’est pas le livre noir des plumeux qui ont fait la danse du ventre à Ben Ali, c’est bien le livre noir de la descente aux enfers de la Tunisie et de la calamité marzoukienne. Sa place n’est pas dans un asile, ni dans un zoo à cause de  fort de risques de contagion de  ses congénères, il doit être enfermé dans un sarcophage jusqu’à ce qu’il rejoigne son milicien de père. Un charognard n’a pas sa place parmi les humains.
Quand bien même l’humanité abonde de morpions, mais lui c’est le pire qu’elle en ait jamais créé. Cet infrahumain innommable a plus que jamais sa place dans le musée des horreurs humaines.
A côté de lui Hitler parait un enfant de chœur. Tellement il fait honte à la Tunisie. Jamais le pays n’a été aussi déshonoré et discrédité que depuis que cet odieux personnage a été intronisé Haut Commissaire des Affaires Wahhabites en Tunisie, autrement dit sa vassalisation.

Pendant que les tunisiens boivent de l’eau salée Mlle Sihem Badi se la coule douce à la Marsa

Le success story de Mlle Sihem Badi, le joyau de la couronne wahhabite Mlle Sihem Badi
la Ministre de la wahhabisation de la famille tunisienne,  assoiffée de revanche sociale  comme tous ses pairs du gouvernement de la transition de la vie à la mort de la Tunisie, vient d’acquérir une villa à la Marsa, un haut lieu de la bourgeoisie tunisoise pour la coquette somme déclarée de 500 000 DT soit 220 000 €. Un chiffre à prendre avec beaucoup de réserve, car la transparence n’est jamais de mise dans les transactions immobilières en Tunisie.
Comme tout nouveau riche, il est de son droit de s’embourgeoiser et de marquer son appartenance sociale à une caste qui la snobait naguère et incapable d’orthographier correctement le nom de son village natal de Degache comme elle écrivant le verbe je connait (sic) à la troisième personne du singulier.
Un success story digne de lui valoir aujourd’hui la joie des biographes à l’affût du sensationnel romancé. Il faut que les tunisiens lancent une souscription nationale pour acheter les droits d’auteur de la belle œuvre biographique et autobiographique compte-tenu de ses capacités rédactionnelles hors du commun et il semblerait qu’elle serait pressentie pour être cooptée à un fauteuil à vie à l’Académie française pour son immense talent dans la langue de Molière. Nul ne doit douter de l’extraordinaire parcours de cette fille que tout lui réussit. Les tunisiens doivent être fiers d’avoir une compatriote de son envergure experte dans l’art de l’entourloupe et l’esbroufe.
Contrairement à l’ancienne pensionnaire du Palais à laquelle semble-t-il elle lui voue un culte rare, en rendant hommage un jour à sa paire de chaussures, comme une vulgaire cireuse de chaussures, elle n’est pas connue pour être une intrigante du palais, elle doit sa réussite supersonique  à ses entregents privilégiés et trop voyants avec le bouffon du Palais de Carthage.
La Tunisie post 14 janvier 2011 faute d’avoir réussi à concrétiser les attentes de son peuple en manque de dignité et de liberté, peut s’enorgueillir de posséder en son sein une pépite rare que le monde entier lui envie : Mlle Sihem Badi. Sans la chute de Ben Ali, jamais les nouveaux  chercheurs d’or qui s’étaient substitués aux anciens à l’insu du plein gré du peuple n’auraient découvert un telle pépite qui ne cesse de susciter la curiosité de ses compatriotes et les faire jaser sur une trajectoire demeurée mystérieuse et qui nourrit tous les fantasmes non pas sur ses attributs physiques dont elle n’a pas été gâtée par Dame Nature.
Elle restera un mystère pour les tunisiens que seul l’explorateur du cerveau son guide et maître Marzougui qui est lui-même atteint de sérieux troubles psycho neurologiques, peut dévoiler. Comment une fille sortie du néant francilien a-t-elle se trouver propulser en un temps record sur les devants de la scène politico-médiatico-financière ? Rarement dans l’histoire de la Tunisie alors que le pays est sous perfusion du FMI, il n’y a au autant de gains à la loterie politique du pays et ce sont toujours les mêmes qui gagnent et qu’une année ils multiplient leurs gains officiels par 1000 quand ce n’est par 10 000. .
Tous les ministres achètent des billets gagnants. Plus leurs gains augmentent plus le peuple périt. Mlle Sihem Badi dont les  pedigrees personnels connus seulement d’elle et de son mentor attitré, le séide de Ghannouchi et dont le père était connu pour ses vertus patriotiques en sa qualité de goumier, ne saurait infirmer cette règle. A chaque fois qu’un tunisien est assassiné par le pouvoir scélérat et criminel de son gouvernement, un rayon de soleil vient illuminer leur ciel et obscurcir celui des tunisiens.
Juste au lendemain de la mort inexpliquée du jeune Ould Denguir dont le corps porte des traces de torture alors que les assassins de Chokri Bel Aïd, de Mohamed Brahmi et de Lotfi Negadh courent toujours, et les droits des blessés et des morts de la Révolution continuent à être bafoués, voilà que la Ministre de la Sinistrose tunisienne annonce fièrement l’acquisition d’un bien immobilier à la Marsa sans fournir la moindre information sur les modalités de la finalisation de son achat.
Au-delà du caractère saugrenu  et indécent de l’annonce et de la portée idéologique de l’opération, des zones d’ombres persistent tant qu’elle n’apporte pas les preuves bancaires de la traçabilité des fonds qui lui ont permis d’acheter son ticket d’entrée dans le petit microcosme politico-embourgeoisé-nouveau-riche de la Marsa. En laissant le soin à son cabinet ministériel de se faire son agent de communication, elle doit savoir que non seulement c’est-elle-même qui politise cette affaire mais surtout elle a commis une bavure politique sur le mélange des genres privés-publics, en détournant de surcroît les moyens de l’Etat à ses seules fins personnelles. Elle ne doit certainement non plus connaitre ni le sens de l’action ministérielle qui est la sienne et ni le sens du respect du bien commun.
Quant à l’argument de la supposée origine des fonds   provenant de son revenu de médecin en France avancé par son cabinet cela ressemble  à un aveu  de cumul de salaires auquel un ministre ne peut prétendre pour éviter les conflits d’intérêts, voire d’emploi fictif. Ministre de plein exercice en Tunisie et médecin fantôme en France ?
Curieusement son revenu mensuel a été divisé par deux : de 40 000 €, il est passé à 20 000 €. Soit 3 fois le salaire moyen d’un médecin généraliste  en France, ce qui la situe dans un niveau de revenu supérieur à celui du radiologue, censé être le médecin le mieux payé de France. A un parcours extravagant, un salaire  exorbitant.

Point de trace du Dr Sihem Badi dans l’Annuaire du Conseil de l’Ordre des Médecins en France

Sauf erreur ou omission de ma part, aucun médecin sous le nom de Sihem Badi ne figure dans l’annuaire du Conseil  National de l’Ordre des Médecins.

Cela confirmerait les doutes émis sur la véracité de l’information reproduite par Wiképédia. Et ceci est d’autant plus vrai que l’auteur de sa notice biographique s’est gardé volontairement ou non d’indiquer le nom de l’hôpital où elle aurait dû obligatoirement effectuer son internat.

Rares sont les médecins qui ne mentionnent pas dans leur CV le nom du CHU de leur internat et de préciser le titre de leur sujet de thèse de doctorat, à moins que Mlle Sihem Badi n’ait bénéficié d’un régime dérogatoire.

Cet oubli qu’elle saura certainement réparer connaissant sa grande rigueur intellectuelle et sa probité morale comme en témoigne son souci très particulier des biens publics dans le cadre de l’affaire e n cours des bons d’essence portant sur 10000 litres de carburant par mois en plus de son contingent de 800 litres mensuels qui lui a valu un dépôt de plainte de la part d’un collectif de 25 avocats.

Seule Mlle Sihem Badi que Wikipédia présente comme mère-célibataire de 3 enfants, serait-elle adepte elle aussi de mariage Orfi comme Soumaya Ghannouchi pourra dissiper le mystère opaque qui entoure un parcours professionnel hors pair.

Une femme de sa trempe mérite que la Tunisie usurpée par ses acolytes fabulateurs et mythomanes lui érige une statue à sa gloire. Les tunisiens doivent ainsi  se cotiser pour l’immortaliser à tout jamais dans leur futur  Mausolée dédié à ces femmes et hommes qui lui avaient témoigné de leur dédain et mépris et dont les noms sont synonymes de félonie, de corruption, de népotisme, d’abus de biens publics, de comploteuses, de maitresses cachées, de nymphomanes,  etc..

En effet, une trajectoire stratosphérique comme la sienne est inédite dans l’histoire de la Tunisie que certains esprits malveillants et envieux comme disent ses fans, comparent à l’ancienne Messaline la dénommée Leila Trabelsi.
Derrière les grandes personnalités féminines tunisiennes se cache souvent un homme. Leïla avait Ben Ali comme c’était de notoriété publique, Sihem aurait Marzougui, le bouffon du Palais de Carthage, là aussi c’est encore un mystère.

Mlle Sihem Badi qui aurait prêté un jour seulement connu d’elle le Serment d’Hippocrate si jamais elle vait soutenu sa thèse en médecine,  saura-t-elle prêter un nouveau serment   mais pas en paroles au titre de la morale publique en mettant un point d’honneur de lever le voile pas celui dont elle veut envelopper la Tunisie, le sien sur toutes ces zones d’ombres qui entachent sa réputation mise à mal depuis son sa nomination surprise ?

Saura-t-elle enfin  faire preuve de scrupule pour tordre le cou aux rumeurs peu flatteuses qui courent sur son compte ?  Elle qui n’a qui a surtout brillé par ses performances à la Bouchlaka, ce dont il est permis de douter. Son faible degré de patriotisme ne plaide guère pour elle ni sa reconnaissance pour un peuple affamé et appauvri depuis l’arrivée de la Mafia islamiste au pouvoir dont elle est le faire-valoir féminin. Quand on a de l’amour pour la Tunisie on a du respect pour son peuple et on le couvre pas d’insultes. Quand on a le sens de la tolérance on ne coupe pas les ailes de la vie à une jeune patriote tunisienne condamnée pour outrage à sa personne à 3 mois de prison ferme. L’outrage c’est elle qui l’avait commis à maintes reprises, dans l’affaire du viol d’une fillette de 3 ans, la transformation des crèches publiques en centres de préformation djihadiste. L’outrage c’est aussi le double cumul de salaires princiers perçus  sans vergogne ni mauvaise conscience en tant que double membre de l’A.N.C. et du gouvernement de transition. L’outrage c’est enfin l’ingérence dans la bonne marche de la justice dans le cadre de l’affaire pour escroquerie dans laquelle est mis en cause son frère.

Aurait-elle bénéficié d’un traitement de faveur qui l’aurait dispensée de son internat en médecine comme le traitement privilégié dont elle jouit dans un pays mort cliniquement à cause  du népotisme, des promotions canapé et de favoritisme dont elle serait la figure de proue la plus brillante.

A chaque fois qu’une musulmane se voile c’est la liberté qui se meurt

 

Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière ?

 L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.

 Quand à ce schizophrène paranoïde du bouffon  Moncef Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné  de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.  

 Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme.  Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine. 

 Elle se cache d’elle-même, en enveloppant son corps dans un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.

 Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès.  Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.

 Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort.  Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champ de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.

 N’est-il pas dit  dans le Coran que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nymphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ?

Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?  

 Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.

Le voile marque surtout sa dépersonnalisation  et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain, de progrès social et d’égalité entre les sexes.

 Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie  de son groupe social.  Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme.  Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.

 Le voile  lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger,  son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.

 Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.

 Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat  digne pour leur liberté.

 Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la soumission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.

Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.

 Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culturelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.  

 Dans la culture hyper machiste musulmane et ségrégationniste son port est assimilé  à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.

 Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.

 Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.

Les sociétés les plus liberticides  du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises.  Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exponentielle du port de voile.

 Là où le sacré  bigot fait son grand retour, le voile prolifère.  La corrélation entre les deux est réelle et doit interpeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.

En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.

 Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pas quelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ? 

 Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée,  qui n’a pas peur de son ombre, une femme  de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.

 Le voile ne fait pas la voie de la félicité et son non-port le chemin de l’enfer. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.

 Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui.

Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.

  La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant  la lie des barbus et font fi de leur dignité.  

 Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.

 Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis et qui a vendu la Tunisie contre une promesse non tenue de mouton ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neuro-psycho-dégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur  phobique de  regarder  son visage hideux qui porte les stigmates de la félonie et de la haine de soi qui se reflète sur le visage clair  lumineux de la femme non-voilée. 

 

 En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infamie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.

Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.