Carthage ne renaîtra plus jamais de ses cendres à cause des Tunisiens

Carthage ne renaîtra plus jamais de ses cendres à cause de sa contamination par l’islam
10 mai 2011, 13:04
Vous êtes les premiers ennemis de vos libertés si vous ne faites rien pour les défendre contre tous ces prédateurs qui prolifèrent en Tunisie et dans le monde. Ceux-là sont les pires de tous. Ils s’abreuvent de notre sang et jouissent de notre mort. Capables de se transformer en de véritables bombes humaines pour asouvir leur haine de la vie humaine.
Embrigadés, fanatisés et endoctrinés comme des waffen SS nazis qui ne reculent devant rien pour mettre le monde à feu et à sang afin d’islamiser l’humanité tiut entière. Leur voracité, leur férocité, leur cruauté, leur inhumanité, leur intolérance, leur état d enfermement mental, leur barbarie, leur antisémitisme, leur racisme dogmatique, leur regréssisme, leur prosélytisme agressif, leur bellicisme, leur hégémonisme impérial, leur haine de l’autre, leurs pulsions de mort licite fondées sur leur idéologie, leur fanatisme religieux, leurs délires psychotiques sont le reflet de leur dogmatisme doctrinaire et de leur sectarisme mystico-politique comparables à celui des nazis et des organisations paramiltaires secrètes. Les islamistes jihadistes dont fait partie la secte schismatique et idolâtre d’Ennahdha en Tunisie vouent un véritable culte obsessionnel à l’Umma fantasmagorique islamique fruit de leurs délires névrotiques né dans l’esprit tourmenté d’un homme qui se voulait prophète et dieu à la fois.
Une communauté de croyants à l’échelle planétaire unis par la foi islamique faisant fi des frontières de quelque nature que ce soit. Un espèce de Gouvernement mondial constitué d’un ensemble Califats sous le joug des wahhabites sur le modèle de celui du Reich hitlérien. Régie par les Lois sacrées où l on doit pratiquer la choura (consensus) observer la Sunnah et respecter la hiérarchie de l ordre établi selon les préceptes coraniques. Interdisant toute rupture avec l’Umma sous peine de mort. Sombres perspectives politiques, sociales et humaines pour les populations musulmanes aspirant à la démocratie et aux libertés ainsi qu’à l’Occident qui caresse la bête féroce islamiste dans le sens du poil.
Confortés dans leurs délires psychotiques par leur Bréviaire religieux qui prophétise le règne de la religion musulmane sur toutes les nations de la terre et dont ils se considèrent comme les vaillants fers de lance( ou des cavaliers noirs de l’Apocalypse) telles des divisions de Waffen SS qui déferleront sur le monde.
Alléchés de surcroît par un salaire mirifique et paradisiaque que leur promet le Grand Commanditaire en contre-partie de l’accomplissement de sa prophétie, ainsi plus rien ne saurait contrarier leur combat dans le sentier d Allah. Etant donné leur nature vénale, la bonne action gratuite est illicite dans leur idéal religieux, leur mission sacrée au service de la cause d’Allah devient leur seule raison d’être et de vivre pour espérer gagner les voies du paradis.
Voilà comment ces renégats et ces félons islamistes, ces êtres dépourvus de raison et de discernement et lobotomisés par leur idéologie qui veut faire de la barbarie et de l’ordre naturel un système de gouvernement, se trouvent sur le devant de la scène politique tunisienne suscitant inquiétudes, angoisses, phobies et adhésions irresponsables et criminelles.

Les cavaliers noirs de l’Apocalypse islamiste semant la mort et répandant le chaos sermblent les mieux placés dans le starting box électoral tunisien non pas qu’ils rencontrent une forte adhésion à leur cause ignoble et génocidaire, bien au contraire, mais surtout à cause de la grave incurie politique dont souffre la Tunisie et la déficience pathétique des instances qui se veulent architectes des futures élections.
Le pilotage éléctoral tunisien aurait du etre confié à des personnes autrement plus compétentes et plus clairvoyantes afin de nous épargner ce spectacle d’amateurisme guignolesque et ces atermoiements dangereux pour motiver les électeurs à s’inscrire sur le listes électorales.
Le travail déplorable et inqualifiable desdites commissions ainsi que les mauvais choix de timing des inscriptions sur lesdites listes électorales n’est pas sans conséquences sur l’issue du prochain scrutin.
Toutes ces nominations népotiques et abusives aux seins des commissions de pilotage sont absolument inadmissibles et contre productives ont été faites au mépris des intérets du peuple tunisien. Comment des personnes sans compétences juridiques avérées, sans aucun back ground intellectuel et politique significatif, sans aucune expertise en matière électorale peuvent-elles avoir la responsabilité de telles commissions ? Quelle est leur légitimité ? Quel est le parcours profressionnel ? Leur formation universitaire ? Leur savoir-faire ? Etre opposant à Ben Ali ne constitue pas un atout-maître pour prétendre à l’exercice d’une mission vitale pour l’avenir de la Tunisie.
La médiocratie ambiante pourrait être l’ alliée potentielle des extrémistes dasn la mesure où il n’est pas exclu d’envisager un vote de défiance en leur faveur. Et surtout les abstentions massives pour népotisme aggravé et qui profiteraint aux extrémistes qui sont la seule force politique à même de pouvoir mobiliser ses électeurs et avoir un effet d éxutoire pour les déçus de l’incurie politique tunisienne. Le risque d’ un ras-de-marée islamiste n’est pas négligeable à cause ou grâce au faible enthousiame dont font preuve les électeurs tunisiens pour accomplir cet acte citoyen tellement crucial pour leur avenir sociétal, civilisationnel et humain. Les enjeux de ce scrutin ne sont pas seulement politiques, loin s’en faut. Deux visions du monde diamétralement opposées s’affrontent sur le sol tunisien. Savent-ils que l’avenir de leurs femmes, dont le statut est leur fierté nationale, est- absolument tributaire de ce scrutin ? . Est- ce que c’est le but recherché quand toute la Tunisie s’était levée comme un seul homme pour l’ affirmation de sa dignité et de son indignation contre les abus des privilèges dont le premier ministre de transition se gave comme jamais ? Il est du devoir de chaque Tunisien d exercer son droit de vote qui est sa seule arme pour endiguer le fléau islamiste et faire de son pays une nouvelle Carthage qui n’est pas un mythe comme l’Umma, elle est une réalité et quelle réalité! Savent-ils qu ils sont les héritiers de l’une des plus belles et plus riches civilisations humaines ? Savent–ils qu’ils font partie des peuples qui ont joué un rôle majeur dans l’histoire universelle et qu’ils sont devenus des spectateurs de l’histoire depuis le jour où ils ont été asservis par l’arabo-islamisme ?
La Tunisie terre de civilsation, patrie d’ Hannibal, d’Ibn Kahaldoun, de St Augustin, qui a doné 3 papes à l’Eglise Chrétienne, et de tous ces hommes et femmes qui font sa gloire, ne doit pas devenir une terre de barbarie et une vassale wahhabite.
Votre combat, notre combat à tous, n’est pas seulement politique, c est un combat pour la sauvegarde et la pérennisation de nos valeurs d égalité, de liberté, de fraternité, de paix universelle,de compréhension mutuelle. C’est un combat pour la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité qui n’a jamais été l’ennemie des religions bien au contraire. C’est un combat pour le respect de la vie humaine, la tolérance et les libertés de cultes et de conscience. Notre combat à tous n’est pas que Tunisien, il est universel. Comme leur impérialisme religieux qui se propage aux quatre coins de la terre au nom du jihaddisme islamique représenté en Tunisie par le Kaiser Ghannouch R. pionnier du terrorisme islamique et son acolyte et sulfuerux personnage A. Mourou. Ce combat est un combat de la civilisation contre la barbarie. Hitler a échoué dans sa conquete du monde, les Islamistes et leur utopie cosmique ( l islamisme modéré est une vue de l esprit) y parviendront si nous ne créons pas ce cordon sanitaire pour protéger la Démocratie, la souveraineté nationale et l’ intégrité territoriale du pays

L’islam : Une idéologie politique qui se sert du sacré pour tisser sa toile d’araignée

L’islam a toutes les caractéristiques d’une idéologie politique. Plutôt que d’établir un parallèle entre lui et les religions monothéistes, il serait plus opportun et judicieux de rechercher les liens de parenté avec les idéologies fascistes totalitaires du type le nazisme.

En effet,  on se demande même si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour consigner ses monstruosités dans  Mein Kampf tellement  les deux idéologies sont quasi-identiques  et les accointances sont troublantes.

Il n’est pas exagéré de se demander si le nazisme n’est pas le produit de l’islam.  Il s’est inscrit dans la continuité de l’enseigment mahométan.  De toutes les idéologies politiquesn c’est le nazisme qui mis le plus en valeur les idées prônées par le fondateur de la doctrine islamique.  Il a appliqué à la lettre le message de Mohamet notamment en ce qui concerne la Solution Finale qui porte sur l’extermination du juif et de tout ce qui est dfférent de soi, sur la négation de la vie, du sens du sacrifice,  le racialisme, le suprématisme, l’asservissement,  la purification, la pureté du sang ou de la foi fondatrices de nationalité mais également dans le mode d’organisation politique de l’Etat ( Califat, Reich) articulé autour du guide suprême messianique (calife, führer), un pouvoir dictatorial absolu et liberticide et une cité idéale raciste, purifiée des non-aryens dans un cas et de tous les non-musulmans d’un autre.

Le nazisme est le digne l’héritier de l’islam qui est en rupture totale avec les deux autres religions monothéistes.
Ce n’est pas par hasard qu’il est encore de nos jours adulé dans le monde musulman et Hitler glorifié, des livres comme Mein Kamp et les Protocoles des Sages de Sion , pamphlet anti-juif, figurent au Hit Parade de la lecture des musulmans et notamment chez les arabes.

Quand à l’épisode de l’engagement massif et inconditionnel des volontaires musulmans au sein des troupes nazies, plus de 60 000 hommes, qui n’est surtout pas d’ordre géostratégique comme se plaisent à l’affirmer les mystificateurs de l’histoire de la collaboration entre le Glaive islamique et la Croix Gammée pour paraphraser Roger Faligot et Rémi Kauffer qui avaient mis à nu et démystifier cette proximité d’essence doctrinaire dans leur excellent livre paru en 1990 : le Croissant et la Croix Gammée : les secrets d’une alliance. Comme on ne peut pas non plus nier les conversions à l’islam des nombreux dignitaires nazis réfugiés dans les pays musulmans et tout particulièrement l’Egypte qui trouvaient certainement dans l’Islam des réponses adéquates à leurs pulsions mortifères, un substitut alimentaire à leur boulimie raciste anti-juive et mysticisme destructeur, viril, violent et nihiliste que dans le christianisme mollasson, une religion pour les faibles, une invention des Juifs pour corrompre le peuple allemand, comme le qualifiait le Chancelier Adolph Hiteler et encore moins le judaïsme, la source de tous ses maux dont la disparition définitive est le seul remède à ses maux.

L’éliminer par tous les moyens pour ne pas le laisser détourner les allemands de leur identité originelle et gangrener leur civilisation. Cet ennemi dont il faut éliminer de la surface de la terre ne pouvait exercer des attraits « spirituels » sur les nazis réfugiés dans les pays arabes qui étaient restés fidèles à l’enseignement de leur Führer l’exécrait religieusement et auquel il associait la propagation de la démocratie, qui n’est pas sans rappeler l’aversion pathologique des islamistes pour la laïcité et la franc maçonnerie.

Pour lui : « le Juif qui apporte avec lui la démocratie a pour but ultime d’asservir les peuples. Par conséquent, le Juif, cette sangsue, doit être exterminé » (der Jude als Blutengel muß ausgerottet werden). », in la Judéophobie des Modernes. Des lumières au Jihad mondial, Odile Jacob.

Eux qui furent toujours son âme damnée n’allait pas suivre une autre voie que celle qui prône le sens du sacrifice de sa vie pour les besoins de sa cause quelle que soit sa légitimité tant qu’elle doit être l’expression majeure du guide-ordonnateur, immatérialisé ou non.

Les musulmans exécutent aveuglement et mécaniquement les ordres d’une figure tutélaire, immatérielle et abstraite qui leur est pourtant interdit de dessiner, et qu’ils dotent pourtant d’attributs humains et pour laquelle tels des Waffen SS ils sont prêts à donner leur vie pour la défendre et la faire triompher.

Tuer et se faire tuer pour ce qu’on croit être son idéal politique ou religieux, avoir une âme soldatesque ou djihadiste, capable de se transformer en bombe humaine, tel est le devoir assigné au bon nazi comme au bon musulman.

Heinrich Himmler en 1943 n’avait pas fait mystère de son islamophilie en disant qu’il n’avait aucune animosité à son égard parce que l’Islam se chargeait lui-même d’instruire les hommes, en leur promettant les prébendes paradisiaques s’ils combattaient avec courage et se font tuer sur le champ de bataille. Une religion d’élevage de soldats fanatisés, complètement lobotomisés et formatés et à la volonté annihilée par les effets de l’endoctrinement religieux. Et comme le disait Himmler, commode et pratique pour un soldat.

Un djihadiste plutôt dont la vaillance n’a de sens que sa mort au service de sa cause.

La traversée du pont qui relie les deux rives idéologiques de l’abomination de l’humanisme et du Juif était dans l’ordre naturel des choses. On se convertit dans ce qu’on croit être la meilleure voie pour soi. Surtout que dans le cas des dignitaires nazis, seul l’Islam et son message belliqueux, cosmique, raciste, antisémite, impérial, suprémaciste, hégémonique, impérial, purificateur, censé purger l’humanité de ses scories judéo-chrétiennes, engendrant un nouvel ordre mondial gouverné par les élus d’Allah et auxquels le reste de l’humanité doit allégeance.

Deux idéologies dont la finalité était et l’est encore (?) la création d’un nouvel homme en opposition respectivement à la catégorie des sous-hommes chez les nazis ou Dhimmis chez les musulmans. Il s’agit plutôt de l’héritage musulman chez les nazis qu’il convient de souligner et non pas de ressemblance entre les deux systèmes de pensée qui chacune à sa façon veut affirmer sa domination sur le monde et la vie des hommes au nom de sa supériorité absolue et intrinsèque.

 

La cité idéale nazie et son équivalent musulman le Califat qui regroupent les hommes reliés d’un côté par les liens de sang et d’un autre par la foi ne sont-ils le rêve obsessionnel chez les uns comme les autres.

Les musulmans ne se veulent-ils pas la meilleure communauté des croyants élus par Allah ? Avec des tels relents ethnocentriques, l’Islam ne pouvait que susciter l’adhésion des dignitaires et réfugiés nazis. A. Hitler qui aurait pu lui-même, s’il avait survécu, embrasser cette religion des hommes virils capables de se transformer en bombes humaines, ne disait-il pas que des arabes et des marocains l’associaient à leurs prières.

Plus encore le « Pape » sunnite et philonazi invétéré Youssef Qaradhaoui, une sorte de caricature  du Cardinal de Richelieu et l’âme noire du Calife d’opérette l’ex Emir du Qatar Hamad Ben Khélifa al-Than  qui  voue un véritable culte au Führer Adolph Hitler, voit en lui un vengeur envoyé par Allah sur terre pour punir les juifs de leur égarement comme il en résulte à la lumière de la lumière de ses propos nauséabonds et immondes tenus le 30 janvier 2009 sur le plateau de la chaîne de la Jazira, « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux [Juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu’il leur a fait – et bien qu’ils [les Juifs] aient exagéré les faits -, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans « ( Wikipédia).

De tels propos jamais condamnés ne font que traduire le caractère manifestement musulman du nazisme qui avait trouvé écho chez le fondateur de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte qui préside actuellement à la destinée du pays, grâce à la mansuétude bienveillante et personnelle de Barak Hussein Obama, ainsi que chez le sinistre Mufti de Jérusalem Muhammed Amine Husseini, promu chef de Division Waffen SS qui comme par hasard a légué à la pseudo-résistance palestienne deux de ses figures les plus illustres Le¨la Shahid, sa petite-fille et Yasser Arafat, son neveu  auquel on aurait pu attribuer le premier prix de la Takkiya plutôt que le prix Nobel de la Päix.

Et ce n’est assurément pas pur angélisme humanitaire que l’illustre collabo al Hussieni s’était jeté dans les bras de son amant nazi s’il n’avait pas trouvé des atomes crochus avec l’islam.  Qui se rassemble s’assemble. Ils ont tellement des dénominateurs communs qu’il n’est pas interdit de penser qu’Hitler aurait dû s’inspirer du Coran dans la rédaction du Mein Kampf voire qu’il aurait dû se contenter du faire du copier-coller du Coran. Ils sont si proches l’un de l’autre que les liens fusionnels sont tels pour n’en faire qu’un.

En effet, les deux livres-guides des nazis et des musulmans ne différent guère quant à la haine du Juif, du chrétien,  et de tout ce qui est différent de soi et des libres-penseurs, le suprématisme, le Mal érigé en mode de gouvernance, le bellicisme, l’ultra-violence, le culte du chef, l’embrigadement des enfants,  la folie meurtrière, la soif de domination, la volonté d’anéantir l’humanité, le mythe de l’arche perdue,  la renaissance,  le paganisme, l’intolérance, la férocité, le racismme, le conservatisme dogmùatique, le verrouillage de la pensée, le totalitarisme, l’ethnocentrisme, l’inhumanisme, le fanatisme, leurs desseins cosmiques et hégémoniques, leur projet de s’instituer comme un nouvel ordre mondial, le pillage, autant de points communs qui en disent long sur la filation idéologique du nazisme avec l’islam.

L’islam ne s’inscrit pas dans la continuité du nazisme, il a été celui qui l’a mis sur orbite avant d’en prendre le relais aujourd’hui.

Le vrai musulman est celui qui est déconnecté de sa réalité humaine

Ils ne sont ni djihadistes, ni terroristes, ni fous d’Allah, ni intégristes, ni radicaux, ni salafistes, ni wahhabites, ni partisans de la charia, ils sont tout simlement des musulmans qui suivent à la lettre l’enseignement mahométan. Si Mahomet ressuscitait croyez-vous qu’il se reconnaîtrait en eux ou à ce qu’on appelle les musulmans qui font l’autruche ?

Mahomet a une sainte horreur des tièdes et des hypocrites qui sont pour lui des efféminés, des sans-couilles et des lâches pires que les apostats. A ses yeux le vrai musulman est celui qui va au combat sans se pôser des questions, qui ne tournent pas autour dui pot, ne reculant devant rien,bravant la mort et la puissance de feu de l’ennemi.

Le musulman le vrai est un guerrier lui obéissant au doigt et à l’oeil, un pitbull capable de dépecer celui qu’on lui désigne comme un ennemi. Il ne doit ressentir aucune émotion avec un coeur en pierre et un Q.I. de crevette. Ses neurones sont autant de caractères recensés dans le Coran. Ne doit vivre que par et pour l’islam. 100% musulman. Sa pensée, ses fantasmes, ses pulsions, ses envies, ses désirs sa rage, ses sentiments, ses ressentiments, sa gestuelle, son verbe, ses humeurs, ses rapports sexuels, ses besoins naturels, sa façon d’être et d’agir, ses habits ne doivent laisser subsiter le moindre doute quant à sa marque de fabrique.

Le musulman ne fait pas dans la demi-msure . Il est musulman où il ne l’est pas et quand il l’est c’est l’islam ou rien.  Il est déconnecté de toute réalité humaine susceptible de le détourner de la voie d’Allah. Point de salut hors l’islam. Il est musulman sans aucune représentation de son humanité depuis qu’il est mis au monde jusqu »au jour où son vrai « géniteur » , celui qu’il appelle Alllah,  cette divinité polythéiste qui vénère son prophète, le rappelle auprès de lui pour les orgies paradisiaques.

Le ton martial, belllciste et haineux du Coran résume à juste titre le portrait du vrai musulman.

Pour l’ancien recteur de la mosquée de Paris : Les musulmans n’ont qu’une nationalité l’islam

Un Tunisien n’est pas tunisien, il est musulman
Un Algérien n’est pas algérien, il est musulman
Un Marocain n’est pas marocain, il est musulman
Un Egyptien n’est pas égyptien, il est musulman
Tous les ressortissants des pays musulmans sont d’abord, ensuite et enfin musulmans

C’est le substrat religieux qui prime sur leur appartenance nationale et ethnique.
L’islam est leur matrice mère, leur liquide amniotique, leur sève nourricière, la source impropre à la consommation humaine à laquelle ils s’abreuvent.

Ou selon le représentant officiel de la propagande musulmane en France Dalil Boubakeur, « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l’accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l’intérêt, les données de l’histoire ou de la géographie. La foi exige du croyant le devoir de s’y comporter, non comme un individu égoïste ou isolé, mais en membre d’une communauté dont il partage les joies et les amertumes, une communauté de juste milieu ».

Elle a tout autant le sens de la mesure que pouvaient avoir les envahisseurs arabes en Afrique du Nord et le Coran dans ses rapports à l’altérité.  Cette figure controversée et ambiguë de l’islam en France, un Tarek Ramadan du 4ème âge, semble ou feint d’oublier que les musulmans sont la communauté la plus divisée qui soit au monde, en conflits permanents les uns avec les autres à l’exemple de son propre pays l’Algérie qui guerroie avec le Maroc depuis des décennies. A moins que le schisme ensanglanté non-stop depuis 1439 ans entre les Sunnites et Chiites ne soit une péripétie de l’histoire.

Mais en tant que bon musulman qu’il est il prend ses désirs pour la réalité, et de ses illusions il en fait une certitude.

Les musulmans mettent un bémol à leurs antagonismes et leur  haine mutuelle le temps d’une prière et encore il leur arrive de plus en plus d’entre vivants dans les mosquées et d’en sortir les jambes devant.

Conditionnés mentalement et psychologiquement et endoctrinés du berceau jusqu’à la mort, ils ne peuvent imaginer, penser et concevoir la vie et le monde en dehors de l’islam et la peur de l’enfer.

N’ayant d’idéal de vie que le rêve de l’Oumma qui nourrit leur imaginaire appauvri par 14 siècles d’abétisation et de crétinisation intensive et quotidienne. Pour l’historien Georges Corm, « cet attachement viscéral à la notion très imaginaire de Oumma et de civilisation ou de valeurs musulmanes ou arabo-musulmanes ne fait que traduire une réaction psychologique de compensation à l’état de déchéance dans lequel sont plusieurs sociétés qui ont pour religion principale l’Islam. » Georges Corm :« C’est une erreur grave de continuer de considérer qu’il existe encore une civilisation musulmane » [archive] , entretien, oumma.com, 12 novembre 2007 cité in https://fr.wikipedia.org/wiki/Oumma

Ils courent éperdument derrière un mirage sans être conscients que jamais il ne prendra forme. Ils sont incapables déjà de dépasser leurs rivalités exacerbées claniques, tribales,  régionales et claniques, voire liturgiques et intraconfessionnelles.   Leur utopie de l’Oumma rassemblant tous les musulmans comme une mère avec sa progéniture est pourtant balayée par le hadith de Mahomet :

« les Gens du Livre (les Chrétiens et les Juifs) se sont divisés en soixante-douze groupes, et ma communauté se divisera en 73 groupes, tous sont au Feu, sauf une, qui est la Jamâ’ah (Le Groupe) »

Leur supra nation au dessus-dessus de toutes les nations, une communauté où prendront la place les seuls musulmans hiérarchisée, discriminatoire, ultra-sexiste,  pédophile, excluant les incroyants et les minorités sexuelles, où les apostats, les athées et les polythéistes auront le choix entre l’islam ou la mort, gouvernée au nom d’Allah et régie par la charia.

Tous les musulmans y aspirent car ses normes correspondent à leur nature grégaire et leur culture archaïque, masochiste et primate.

Elle est le reflet de ce qu’ils sont. Ils s’y reconnaissent et s’y identifient. C’est leur miroir. L’Oumma est leur carburant idéologique. Elle n’est pas plus réaliste que le voyage nocturne de Mahomet, mais le réalisme est un sacrilège dans l’islam.

Ils ne s’identifient pas à des nations, ils sont nationaux d’un Etat irréel et inexistant, ils ont le sentiment d’y appartenir. Ils ne sont membres d’une communauté nationale ils sont les heureux élus d’une communauté fantasmagorique.

Naïfs sont les Etats occidentaux qui croient que l’islam est compatible avec la citoyenneté.

Il suffit de leur poser la question si un jour leur pays d’adoption est en guerre contre l’islam quel camp défendront-ils ou s’ils sentent plus français que musulmans par exemple ?
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Le port de voile est une négation de l’humanité de la femme.

 Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière.

 L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.

 Quant à ce schizophrène paranoïde de Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné  de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.  

 Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme.  Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine. 

 Elle se cache d’elle-même, en se dissimulant derrière un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.

 Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès.  Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.

 Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort.  Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champs de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.

 N’est-il pas dit que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nyphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ? Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?  

 Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.

 Le voile marque surtout sa dépersonnalisation  et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain et d’affirmation de soi.  *

 Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie  de son groupe social.  Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme.  Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.

 Le voile  lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger,  son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.

 Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.

 Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat  digne pour leur liberté.

Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la somission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.

Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.

 

Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culurelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.  

 Dans la culture hyper machiste musulmane et segrégationniste son port est assimilé  à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.

 Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.

 Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.

Les sociétés les plus iberticides  du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises.  Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exeponentielle du port de voile.

 Là où le  bigotisme fait son grand retour, le voile prolifère.  La corrélation entre les deux est réelle et doit intepeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.

En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.

  Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pasquelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ? 

Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée,  qui n’a pas peur de son ombre, une femme  de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.

 Le voile n’est pas la voie de la félicité surtout que les femmes ont peu de chance d’être élues au paradis selon un hadith. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.

 

 Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui. Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.

 

 La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant  la lie des barbus et font fi de leur dignité.  

 

Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.

 

Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neurodégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur  phobique de  regarder  son visage qui se reflète sur le visage clair  lumineux de la femme non-voilée. 

 En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infâmie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.

Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.