Archives pour la catégorie la guerre de l’islam à la France

Non à la marche contre l’islamophobie, une marche de la haine de la France

La marche du 10 novembre 2019, journée nationale de la honte, cautionnée par la gauche collabo et initiée par les vrais les propagateurs des semis de la haine en France n’est pas qu’une une marche liberticide contre la laïcité et la liberté d’expression sous couvert de la lutte contre l’islamophobie, elle est aussi une marche contre la France, son histoire, son mode de vie, sa culture, son identité, ses valeurs républicaines et les fondements de sa civilisation.

Les 80 % de Français islamo-réfractaires ne sont pas atteints de cette pathologie mentale et psychique appelée islamophobie et ne souffrent pas par conséquent d’aucune affection de cette nature. Ils sont lucides et vigilants.

Avoir la phobie de l’islam, un néologisme inapproprié de surcroît car il n’y a rien d’irrationnel dans leur attitude vis-à-vis de l’islam, ne relève pas toutefois de la loi et ne doit susciter aucune indignation de quiconque ni ébranler les musulmans dans leurs convictions.

Les organisateurs qui devraient être expulsés illico du territoire national pour leurs affinités politiques et idéologiques avec la Confrérie nazislamiste et terroriste des Frères musulmans et leurs idiots utiles feraient mieux de l’annuler par respect de la mémoire des 263 victimes des attentats terroristes en France et les 150 000 dans le monde.

Il est scandaleux que les pires ennemis du genre humain et des libertés auxquels les féministes et les LGBT leur servent de serpillières puissent battre le pavé en toute impunité contre la liberté de critique des religions surtout quand l’une d’entre elles dont la nature religieuse est des plus douteuses et ne fait rien pour améliorer son image et donner des gages quant à sa réelle volonté de se fondre dans la République.

Par cette marche? ils inversent les rôles en se donnant le rôle de victimes et les Français meurtris par les attentats et les atteintes quotidiennes aux symboles de la République et la laïcité sont coupables.

Il faut être pervers et de mauvaise foi que de chercher à les mettre sur le banc des accusés. Ce n’est ni un délit ni un crime que de ne pas accepter l’islam radical et douter de l’innocence de l’islam lui-même. Personne n’est en droit de leur faire grief pour avoir une opinion négative de l’islam et exprimer des sentiments de peur, de colère et d’appréhension fondés sur des faits avérés.

Il faut éliminer les causes qui nourrissent ces peurs si l’on veut que les Français ne soient plus dans la méfiance et la défiance à l’égard de l’islam. C’est à lui de changer et de se réformer s’il veut avoir sa place en France. Mais comme l’islam se veut immuable et irréformable à cause de sa soi-disant essence divine, il ne peut avoir droit de cité sur cette terre qui n’est pas la sienne et qui ne le sera jamais.

En autorisant le port du burkini sur les plages le Conseil d’Etat a accéléré le processus d’islamisation de la France

Afficher l'image d'origine

Ce verdict est incontestablement une victoire par K.O. de la barbarie sur la civilisation et de l’obscurité sur la lumière.  Un Waterloo pour les libertés publiques qui sont en train de se restreindre chaque jour au rythme des jugements favorables  à l’islam jusqu’à ce qu’elles finissent par disparaître. Le Conseil d’Etat est tombé les deux pieds dans le piège de la provocation islamique. Il ne mesure pas la portée juridique de sa décision qui donne une légitimité aux manifestations propagandistes arrogantes islamiques.

Il n’y a pas de neutralisme politique dans l’islam. En effet, tous les faits et gestes des musulmans sont chargés de sens politique et ne doivent être régis que par les seuls prescrits coraniques et conformes à la sunna mahométane. Le voile n’échappe pas à cette règle . Il est aujourd’hui sa vitrine politique et il n’est pas plus innocent que les prières des rues ni celles des mosquées où l’on prêche la haine de l’autre et l’on conspire contre la paix dans le monde.

Le C.E qui est la plus haute instance administrative en France a botté en touche en mettant sur l’accent sur les incidences que le port du burkini sur l’ordre public, comme s’il pouvait y avoir un maillot de bain musulman alors que selon une fatwa musulmane les femmes n’ont pas le droit de se baigner sous peine de commettre l’adultère, il devrait savoir que dans le contexte présent qui est celui de la guerre de l’islam à la France, à son mode de vie, ses valeurs et sa culture cette forme de tenue a une finalité politique.

L’islam est à la fois loi et foi. Il n’y a pas de séparation entre les sphères et tous les signes extérieurs affichés par les musulmans doivent être interprétés comme étant un acte d’abord de dévolution à Allah et ensuite l’expression de leur rejet virulent et sans équivoque de la culture des « mécréants ». En clair, il s’agit d’une manifestation communaliste et velléitaire qui porte en elle les signes avant-coureurs de la mort de l’altérité. L’autre, le différent de soi n’a pas droit de cité dans l’islam, il doit soit entrer dans son moule, soit s’acquitter d’un impôt de captation pour sa survie, soit le néant.

La musulmane en burkini mène son combat djihadiste à sa manière. Elle joue à la trouble-fête. Elle n’est ni  une nonne, ni un moine bouddhiste, ni un rabbin, ni un curé qui sont avant tout respectueux de l’ordre républicain et qui font preuve de discrétion dans l’espace public. L’assimiler à ces derniers c’est oublier qu’elle n’est pas une religieuse au sens noble du terme d’une part et d’autre part c’est une insulte aux ordres religieux non-musulmans dans leur ensemble.

Si son burkini n’a pas provoqué l’ire des estivants et fait peser des menaces sur l’ordre public  c’est moins son caractère qui y est pour quelque chose que l’attitude civilisée, tolérante, républicaine et apaisée de ces derniers mais  jusqu’au jour où ils perdront patience qui pourrait se traduire dans un premier temps par la désaffection de ladite plage et faire le choix des plages non encore polluées par le burkini.

L’ordre public est aussi de ne pas laisser la gangrène fondamentaliste musulmane proliférer pour que les plages françaises perdent leur essence républicaine et deviennent des zones où la charia fera loi et où l’on peut organiser des prières collectives comme ils ont tenté de le faire en Corse.

L’apparition ostentatoire du burkini n’est que le prélude de l’hallalisation future des plages françaises. Le choc des cultures est en train de miner la France en profondeur et les musulmans fondamentalistes s’ingénient à fourbir leur arsenal de guerre, voile, burkini, kalachnikov, ceintures d’explosifs, couteaux de boucher  contre elle.

Il faut être frappé de cécité mentale pour ne pas voir dans le burkini  un rouage dans le système expansionniste musulman. Il lui permet de jauger des capacités de réaction de la population,  de l’attitude des pouvoirs publics ainsi que d’évaluer ses retombées politiques, judiciaires et médiatiques. Le biurkini est un atout maître aujourd’hui dans le cadre de la stratégie de déstabilisation de la France prise en étau entre le voile et les attentats terroristes.

L’islam crée l’événement et la France politique se déchire comme des chiffonniers et fait semblant de pleurer ses morts tombés sous les coups assassins de l’islam.

L’araignée musulmane tisse inlassablement sa toile et plutôt que de la combattre on lui offre le cadre juridique pour favoriser sa progression.

Il faut être naïf pour croire que le voile islamique et ses différents dérivés dont le burkini sont synonymes  de progrès et de liberté et encore moins l’expression d’un acte libre, volontaire et consenti.

En tout état de cause, la sentence chariatique du Conseil d’Etat invalidant l’arrêté du maire de Villeneuve-Loubet dans les Alpes Maritimes portant sur le port du burkini sur les plages de sa commune est digne des pays de la mafia d’Allah membres de l’O.C.I qui doivent se réjouir sous leurs kamiss du triomphe des lois de l’islam sur les lois de la République.

Une décision inique et scélérate qui constitue un véritable coup de couteau planté dans le dos de la France.

Le Conseil d’Etat a coupé les ailes de la liberté de la femme musulmane qui rêve de se libérer de ses chaînes en donnant raison à ses maîtres qui veulent la reléguer dans le monde des ténèbres et la réduire à l’état d’un champ de labour.

Le port du voile ne peut pas être libre en Occident et obligatoire en Orient sous peine de châtiment comme en Arabie Saoudite.

La femme musulmane est la même là où elle se trouve elle ne fait que subir la dictature de son culte liberticide qui ne connaît pas les frontières et qui se sert sournoisement et insidieusement du voile pour s’ouvrir un boulevard en Occident pour tuer la liberté au nom de la liberté de son port, un esclave n’est pas libre de porter ses chaînes, qui est un sacrilège pourtant pour lui.

Le voile n’est rien d’autre que l’étendard de l’islam prosélyte, hégémonique, djihadiste, despotique, raciste, belliciste, envahisseur, intolérant, antisémite, pédophile,  liberticide, négationniste, de l’islam foi et loi et demain ce sera la dhimmitude.