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L’islam glorifie les pédophiles et condamne à mort les homosexuels

A Hammamet ville côtière tunisienne située au sud-est du Cap Bon, en ce jour funeste du 1er août 2012  en plein mois du Ramadan, l’Ange noir de la mort musulman a offert en Holocauste à Allah, cette divinité homophobe,  un Ange de la vie. Angelo. Son meurtre atroce marque l’entrée définitive de la Tunisie dans l’ère de la barbarie qui frappe tout le monde dit musulman.

N’importe qui d’entre nous aurait pu être à la place d’Angelo. Son meurtre de caractère sacralisateur jette le voile noir de l’indignité humaine sur la Tunisie. Un nouveau sacrifice d’Abraham dans la pure tradition mahométane pour apaiser la colère de cette divinité jamais repue de chair humaine surtout de celle de celui qui est différent de soi mais ô combien proche.
Angelo cumule tous les péchés aux yeux de l’islam, un associateur doublé d’un fils de Loth que Mahomet dépourvu pourtant de toute morale sexuelle ordonne de tuer. Il aurait dit : « Tuez ceux qui s’adonnent à l’acte du peuple de Loth » (Sentence prophétique rapportée par Abou Daoud, Tirmidhi et Ibn Maja)
De même : « Si vous trouvez quiconque en train de pratiquer les pratiques du peuple de Loth, tuez-les, que ce soit celui qui commet l’acte ou celui qui le subit » (Tirmidhi, Abou Daoud, Ibn Majah).
C’est pourquoi personne du voisinage n’est intervenue pour ne pas troubler l’accomplissement de l’acte purificateur et de peur de susciter ainsi la colère divine. Un musulman ne vole pas au secours d’un infidèle quand il est châtié par ses coreligionnaires selon la loi de l’islam.
De terre d’accueil de tous les hommes indépendamment de leur croyance, de leur origine et orientation sexuelle, elle devient leur terre hostile et inhospitalière. Grâce au vote d’adhésion à la volonté de Dieu représenté par son parti le mouvement sectaire et anthropomorphe d’Ennahdha, un jour du 23 octobre 2011, la Tunisie est en train d’amorcer une marche-arrière toute à une vitesse-éclair. Aussi, l’assassinat d’Angelo devient le prélude d’une ère sombre et effrayante qui s’ouvre devant les tunisiens.
Ce crime abominable est le témoin de la vraie nature de ce peuple ou tout au moins de ceux qui avaient voté pour les islamistes-homophobes-de-façade.
La Tunisie que le monde entier louait à une certaine époque pour ses vertus humaines et sa douceur de vivre qui avaient séduit Angelo s’avère être une Tunisie fanatique inhibée par la religion et qui a vécu longtemps dans l’illusion de l’humanité, mais avec ce meurtre elle lève le voile sur sa vraie nature hideuse, immonde, raciste, sauvage, homophobe et hypocrite.
 Angelo était comme cette lumière qui illuminait la Tunisie et qu’Ennahdha commanditaire de ce crime immonde vient d’éteindre pour plonger le pays dans le noir de l’infamie humaine.
D’autres meurtres suivront et d’autres Angelo périront. Faute d’être tous coupables, les tunisien ne peuvent s’exonérer de leur responsabilité morale dans ce meurtre qui laissera des traces indélébiles dans leur nouvelle histoire.  Celle qui est en train de les conduire tout droit dans les limbes de l’histoire.
Ce meurtre était prévisible depuis le retour au pays de leur terroriste national  R. Ghannouchi qui n’a jamais manqué  une occasion pour jouer au père-fouettard, pour stigmatiser les homosexuels alors que lui-même souffre des graves troubles d’identité sexuelle. Nonobstant, l’un de ses affidés le dénommé Ali Larayedh homosexuel notoire, mais indigne de faire partie de la communauté homosexuelle du fait de ses penchants criminels pédophiles.
L’hostilité exacerbée d’Ennahdha qui puise ses sources dans de nombreuses sourates dont An -Naml et Al-Arâf,  à l’égard de la communauté homosexuelle tunisienne est de l’ordre surtout de l’esbroufe, de la tartuferie et de la posture histoire de ne pas dévoiler au regard de sa propre identité sexuelle tendance homosexuelle.
Justifiant ainsi un proverbe tunisien qui dit : je n’aime pas voir mes tares chez autrui et je tuerai celui qui me les rappelle. En tuant cet autre c’est son propre miroir que l’on cherche à briser en réalité. Alors que l’homosexualité  est une identité sexuelle comme l’hétérosexualité. Comme si l’une pouvait être licite et l’autre pas. Le droit de disposer de son corps et d’assumer ses choix sexuels pouvaient être un crime moral en soi.  Ce qui l’est c’est le non-respect du droit à la vie, le corps de l’enfant objet de convoitise chez les musulmans fondamentalistes qui suivent fidèlement la Sira de leur ignominieux prophète.
L’hypocrisie musulmane est sans limite quand on sait qu’il est permis de pratiquer les rapports anaux dans le sentier d’Allah.  Le 26 juin 2014 dans une émission sur la chaîne de télévision égyptienne Al-Tahrir TV un prédicateur des Frères Musulmans venait d’édicter publiquement  une nouvelle fatwa, qui autorise les terroristes musulmans à se sodomiser les uns les autres s’ils sont loin de leurs femmes, s’ils sont en voyage, ou s’ils sont en train de mener le djihad ( art. de Nasreddin al-Brakhmar : Les Frères Musulmans ont le droit de pratiquer le Djihad anal in Riposte Laïque n°370)
La filiale tunisienne à 100% de la Confrérie des Frères Musulmans ne peut se prévaloir de l’exception tunisienne, on est frères musulmans à la vie et à la mort,  la différence d’Angelo, elle n’a ni courage ni volonté d’affirmer publiquement la nature homosexuelle de ses sectateurs. Des nombreuses fatwas telle celle de ce terroriste musulman qui s’est fait agrandir son orifice anal par ses « frères » pour pouvoir y introduire une bombe, légitiment l’homosexualité, la pédophilie, le viol, l’inceste, la nécrophile dans le cadre du djihad dans le cadre de la guerre malsaine de l’islam contre le reste du monde;.
En tout état de cause, n’est pas Angelo qui veut. Noble, un être pur, civilisé et humain tout simplement. On a tué un innocent, un humain qui faisait honneur à notre humanité. Angelo n’avait pas été tué parce qu’il était différent de son meurtrier c est parce que son meurtrier avait peu de cette partd’Angelo qui est en lui et qu’en le tuant il voulait tuer cet Angelo qui s’est révélé en lui. L’aversion que certains éprouvent à l’égard des homosexuels est moins une question de sexualité différente de soi, qu’une question que l’identité sexuelle nous renvoie à la nôtre.
Plus la haine est forte, plus elle est la preuve de la vraie nature non assumée de leur propre homosexualité. Ce n’est pas par hasard que les peuples les plus homophobes au monde et en premier chef les islamistes sont ceux qui abhorrent les homosexuels parce qu’ils sont leur miroir et en brisant leur miroir ils essayent de se cacher  d’eux-mêmes en se regardant du bout de la lorgnette. Leur leitmotiv est : cachez-moi cette chose que j’ose pas voir, mais parce qu’elle est tout simplement le symbole de leur propre mépris de soi. Les tunisiens en se gardant de condamner explicitement le meurtre d’Angelo démontrent leur incapacité pathologique à assumer au grand jour leur propre identité sexuelle.
Un peuple qui se détourne lui-même n’est pas un peuple d’espoir, c’est un peuple de désespoir comme celui dans lequel se trouve plongés la famille, les amis proches et lointains et tous ceux qui vivent en plein jour cette part d’Angelo qui est en eux.
Espérons que ce meurtre ignoble sonnera le glas des ennemis du genre humain et servira de catalyseur au réveil tant attendu du peuple tunisien ce dont il est permis toutefois de douter à cause de la main mise de l’islam sur la vie des hommes. Tant qu’il suit benoîtement les prescrits de sa mauvaise foi, il a ce crime immonde sur la conscience.
Angelo, en te volant ta vie, ils ont volé aussi la nôtre. On continuera à nous regarder dans notre miroir pour faire vivre cette part d’Angelo qui est en tout un chacun de nous.
Paix à ta mémoire et à celle de tous les homosexuels assassinés par l’islam  .

Il n’y a que Charlie Hebdo qui goûte à l’humour de l’islam

 

Article daté du 24 septembre 2012

Charlie Hebdo manie l’humour, la raillerie, la dérision, la satire, la moquerie comme les  musulmans manient l’injure, l’anathème, l’inquisition,  les appels au meurtre, la décapitation, la lapidation, la violence terroriste et l’invective. Entre les deux, il y a un gouffre culturel abyssal  comme celui dans lequel est plongé le monde musulman. C’est pourquoi cette forme d’expression  de l’esprit qui caractérise l’hebdomadaire satirique est perçue par les intégristes musulmans comme une offense et une atteinte à leur dignité.

Mais le plus étonnant dans cette effervescence inquisitoriale et d’appels au djihad pour sauver l’Islam mis en danger par une simple caricature, est l’attitude guignolesque et burlesque du Recteur de la Mosquée de Paris, connu pourtant pour son sens de la mesure, n’a pas hésité à qualifier comme un acte ignominieux et d’incitation à la haine de l’Islam.

Heureusement que le ridicule ne tue, contrairement aux attentats terroristes de ses coreligionnaires radicaux. Cet homme aurait été certainement mieux avisé à appeler les musulmans de France à prier  le 11 septembre jour de commémoration de la mémoire des victimes des attentats des Twin Towers perpétrés par ses propres coreligionnaires, comme il aurait pu associer les musulmans de France à la célébration de la journée des victimes françaises du terrorisme, au lieu de se livrer au  porte-flingue des intégristes.

Que cette caricature  soit blessante, choquante, inopportune, venue attiser les feux de la haine anti-Islam selon certains, cela reste à prouver, mais ce qui n’est plus à prouver aujourd’hui est le fanatisme et frénésie grotesque et infamante  qui gangrènent le monde musulman, voire les démocraties occidentales. C’est moins Charlie Hebdo et son côté trublion qui est à condamner que l’esprit fermé et rigide d’une frange de musulmans devenue de plus en plus contagieuse pour ses propres condisciples. Ce déferlement de violence suscité  par une simple caricature n’est pas à l’honneur des musulmans, il ne fait que jeter l’opprobre sur l’Islam et alimenter les phobies antimusulmanes.

Qui peut encore croire au vu des images inquisitoriales et effrayantes renvoyées par le monde musulman lui même que l’Islam est une religion de paix et d’amour ?

La force de l’homme est de pouvoir se maîtriser mentalement en toute circonstance et de ne pas céder à la provocation, alors que sa faiblesse est dans la manifestation de grande fébrilité face à l’adversité et son recours à la violence qui  n’est rien d’autre que l’expression de sa cruauté mentale dont il fait sa seule arme pour intimider voire détruire son adversaire ou supposé tel. Quand on perd la raison, on ne pense pouvoir exister que dans la destruction de l’autre. Un trait caractéristique chez les schizoïdes-paranoïdes.

De toute évidence, il est impossible de faire l’économie d’une approche de sémiologie psychiatrique pour comprendre et  analyser toutes ces manifestations de signes, de syndromes et de symptômes  observés au cours des états de troubles psychiques et d’hystéries collectives récurrents chez les sujets intégristes musulmans.

En effet,  rien ne peut justifier l’ampleur de leur réaction si ce n’est leur propre mal-être et leur profonde souffrance qui leur font perdre tout sens de la raison, se réfugiant ainsi dans un univers idéalisé  complètement déconnecté de la vie réelle qui serait la  contrepartie de l’amertume de leur existence mais qu’en même temps ce monde fantasmé et halluciné devient accessible s’ils réalisent la mission messianique dans ils se sentent investis.

Oisifs, marginalisés, ghettoïsés, asociaux, borderlines, ils sont comme des corps sans âmes, incultes, assoiffés de revanche sociale pour certains, nourris de la haine de l’Occident et de tous ceux qui n’ont pas leurs attributs psychosociologiques, désuets, réactionnaires, pris dans un tourbillon de délires cosmiques, ethnocentriques et égocentriques ils s’imaginent les maîtres du monde alors qu’ils en sont la lie. Endoctrinés outrancièrement, ils trouvent une compensation dans l’enseignement religieux à la misère sociale et psychoaffective de leur vie. Ainsi, la religion devient un marchepied pour leur gloire future dans un monde meilleur dans l’au-delà. Ils ne peuvent pas par conséquent tolérer que l’on puisse remettre en question, dénigrer ou ridiculiser leur univers fantasmé et idéalisé qui leur permet de transcender leur grande détresse humaine et leur désespoir de la vie. Vouant un véritable culte à la mort sacrificielle, ils se veulent les brigades des martyrs sur la voie d’Allah.

En se muant ainsi en fer de lance de leur religion, ils se dotent d’un statut propre aux organisations sectaires et mafieuses qui leur octroie  des privilèges que la société ne leur a pas donné.  Erigés en protecteurs  et vengeurs de leur foi souvent pour des futilités, alors que leur religion est synonyme d’archaïsme et de sous-développement, ils sortent du bois affublés de leur barbes et kamiss afghans à chaque fois que leur religion fait l’objet de moquerie, comme des rats sortant de leurs tanières, agitant le spectre de la violence réactionnelle, promettant les pires châtiments aux insolents. Dans ce contexte, où deux visions antinomiques du monde s’affrontent, où les uns utilisent le langage de la raison et les autres emploient le langage de l’inquisition, il est somme toute logique que les intégristes musulmans comme les pseudos musulmans modérés puissent répondre de manière appropriée et adaptée à tous ceux que le comportement irrationnel et immodéré des musulmans interpelle.

En répondant d’une manière qui dépasse l’entendement humain, ils ne font que valider les accusations hostiles et inamicales à l’égard de l’Islam. Il est légitime qu’ils expriment leur indignation face aux  griefs de violence, de fanatisme et d’intolérance dont on gratifie leur religion, mais ce qui est surprenant au lieu de les infirmer par une attitude civilisée et républicaine, ils se font fort de les conforter et renforcer la thèse du caractère intrinsèquement violent et liberticide de l’Islam. Au lieu de circonscrire un feu de paille, ils en font un incendie gigantesque capable d’embraser le monde. Voilà comment une simple affaire de caricature prend les allures d’un Tsunami planétaire. Partout dans le monde, on installe des digues pour se protéger du ras-de-marais et des torrents de boue islamiste qui risquent de l’emporter.

Ceci démontre surtout que le monde musulman est immature, à contre-courant du monde contemporain, aux mœurs moyenâgeuses, miné par le sectarisme et la bondieuserie, le plus grave est qu’il est en pleine décomposition cellulaire.  Il ne s’indigne jamais pour les crimes terroristes accolés à sa religion mais il s’indigne pour un simple fait de droit humain qu’est la liberté d’expression. Il est vrai que le mot liberté n’est pas leur vertu première, inconnu du texte fondateur de l’Islam. Le paradoxe chez les musulmans est qu’ils sont les premiers à revendiquer la liberté de religion en Occident mais qu’ils sont aussi les premiers à réclamer la censure de la liberté d’expression, outre leur intolérance dogmatique au droit à la différence et à la liberté de culte au sein de leurs propres pays.

Charlie Hebdo n’a pas tué le Prophète en le caricaturant sous des traits grossiers et humoristiques qui  au sens du droit français n’est ni un délit, ni un crime, il n’a fait que traduire de manière acerbe et authentique l’image que les intégristes brossent eux-mêmes du Prophète. Quant à sa satire qui leur  semble déplaisante, elle est conforme aux lois de la République, mais sur-réagir avec une telle violence et vouloir appliquer la loi du Talion est une violation criminelle des lois républicaines. L’outrecuidance dont les musulmans radicaux font preuve est autrement plus inquiétante quant à l’avenir sombre qui se profile dans l’horizon des démocraties occidentales.

On peut très bien imaginer demain un maire de confession musulmane ou même pas, dans une commune où vit une forte minorité musulmane prendre un arrêté municipal pour interdire la vente sur le territoire de sa commune d’un livre qualifié d’anti-islam au motif qu’il est susceptible de provoquer des troubles d’ordre public parce qu’il est attentatoire à l’honneur de ses administrés musulmans qui sont surtout son fonds de commerce électoral. Ce qui met à nue les limites du droit de vote dans les élections locales accordé aux étrangers non-communautaires. Evidemment qu’un tel arrêté relève de l’utopie mais rien n’est à exclure pour autant.

Quand bien même Charlie Hebdo aurait gaffé, il revient à la justice de qualifier pénalement cette éventuelle offense à l’honneur du Prophète. Nul n’est au-dessus des lois, comme nul n’est censé ignorer la loi pour quelque motif que ce soit, surtout quand on veut se prévaloir du sacré pour interdire la liberté d’expression. Quand on vit dans un Etat de droit et que l’on ne manque pas une occasion pour revendiquer sa liberté de religion, il faut savoir que la contrepartie est le respect total et absolu de l’ordre républicain.

De la même façon que la liberté de religion est inscrite comme la liberté en lettres d’or dans la Charte Universelles des Droits de l’Homme et du Citoyen considérée pourtant comme incompatibles aux préceptes coraniques, les musulmans doivent savoir que la liberté d’expression l’est aussi, et sinon plus du fait de son universalisme et rationalisme. Elle n’est ni pénalisante ni oppressante  pour l’homme, elle le maintien pas non plus dans une armure carcérale comme la religion ni ne cherche  non plus à l’aliéner, elle est libératrice et constitue un facteur fondamental d’enrichissement humain et de rapprochement entre les hommes.

La liberté de religion divise les hommes, la liberté d’expression transcende les clivages et les barrières linguistiques, culturelles et ethniques, elle est un langage véritablement universel. La religion est pour la liberté, ce que la mort est pour la vie. Contrairement aux assertions des croyants, il n’y a pas plus sacré que la liberté dans toute ses formes et ses reliefs. Qu’est ce qu’il y a de plus vital chez l’homme si ce n’est sa liberté seule à même de l’aider à briser les chaînes de sa prison mentale dans laquelle l’enferme la religion ?

Ce n’est pas par hasard que les pays de la théocratie musulmane répriment la liberté d’expression de peur qu’elle ne serve de révélateur à la nature liberticide de la religion. On réprime la liberté pour mieux dominer l’esprit des gens et maintenir sur eux cette chape de plomb qui obstrue leur voie sur le chemin de la dignité. Un système de croyance ne peut fonctionner et prospérer que sur le sentiment de comptabilité et de rédemption, aussi pour se maintenir et se développer, il ne peut se résoudre à l’existence d’un système réfléchi et raisonné démystifiant son imposture. C’est pourquoi, la religion censure et prohibe la liberté, jugée comme un sacrilège, car elle donne aux croyants les outils qui leur permettent de s’en affranchir et entrer dans l’âge adulte.

Salem Benammar

Les Allemands ont raison de ne pas tolérer l’islam chez eux

La manifestation à l'appel de Pegida, lundi 8 décembre, à Dresde (Saxe). Le quotidien de la gauche bobo-caviar-collabo le mal-nommé Libération accuse les allemands d’intolérance alors ils n’en peuvent plus avec l’expansionnisme musulman arrogant et suprématiste mais que dire alors de l’intolérance musulmane qui ne passe pas un jour sans qu’elle  mette le feu et sème la mort  sur les 5 continents  ?

Est-ce que les journaleux de Libération qui font un procès en sorcellerie aux allemands pour leur ras-le-bol de l’islam et des musulmans de tous bords ont-ils la moindre idée de ce que c’est le bien vivre ensemble chez les pays musulmans, l’acceptation de l’autre dans sa différence ?

Connaissent-ils le sort réservé aux minorités religieuses, sexuelles dans ces pays et le statut de sous-hommes qui leur est accordé ? Savent-ils que l’intolérance chez eux est de tuer tous ceux qui refusent de porter les habits de l’islam ?

Plutôt que de tirer à boulets noirs empestant la collaboration qu’ils aillent expérimenter à leurs dépens le vrai sens de l’intolérance musulmane dans les pays qui vivent sous la dictature de l’islam. Si tu veux avoir la paix soumets-toi à la volonté d’Allah sinon c’est la mort. Telle est la vraie définition de la tolérance dans l’islam.

Défendre les musulmans revient à défendre les nazis et se rendre complices de crimes contre l’humanité. Tout être humain sensé et soucieux de la pérennité de l’humanité ne doit pas tolérer l’intolérance des musulmans. Quand des hommes refusent de respecter les valeurs de leurs hôtes, leurs lois, leurs us et coutumes qu’ils jugent comme impies et impurs et qu’ils oeuvrent à leur destruction pour leur substituer les leurs jugés parfaits et supérieurs que doit-on adopter comme attitude se plier à leur volonté ou les remettre à leur place voire les renvoyer chez eux ? Il est grand temps si ce n’est pas trop tard que le monde comprenne que l’islam est une idéologie cosmique, impérialiste et hégémonique fermée à toute forme de cohabitation et de coexistence avec tout système de pensée différent du sien.

L’islam se veut une vérité unique et absolue pour toute l’humanité, il ne peut par conséquent tolérer que l’on puisse exprimer d’autres vérités en dehors de la sienne. Que ces journaleux se demandent s’ils ont la lucidité nécessaire si l’islam était aussi un paradigme de tolérance pourquoi diabolise-t-il les juifs et les chrétiens, voue aux feux de l’enfer ceux qui ne se reconnaissent pas en lui et ordonne-t-il tuer ses apostats ?

Etre musulman est par définition être intolérant à l’autre et bien plus encore il doit lui imposer ses idées, son mode de vie, sa vision du monde de gré ou de force et en cas de refus il se doit de lui troncher la tête à la façon mahométane.

La tolérance ne doit pas être une arme que l’on tend aux musulmans pour nous achever avec au nom de leur intolérance de tout ce qui ne possède pas leur caractère.

Ne tolérons pas l’intolérance et faisons de la citation d’Hyppolyte  Taine notre devise :  N’ayez d’intolérance que vis–à-vis de l’intolérance.

Pourquoi l’islam a la phobie de la liberté de conscience au point qu’il tue ses apostats ?

 

Mesdames et messieurs les vierges effarouchées de l’islam : le seul vrai combat que vous devez mener aujourd’hui avant que vous ne deveniez les pestiférés de l’humanité pour toujours est celui pour la liberté de conscience qui n’est pas garantie  par vos pouvoirs publics jugée comme un pêché mortel du fait de son incompatibilité avec les prescrits de l’islam. Quand bien même  votre religion est un jardin d’Eden et la première merveille du monde, ce qui est au demeurant subjectif et ethnocentrique, toute personne est libre d’y rester ou de partir. Si Allah est aussi juste, compréhensif, miséricordieux et magnanime  comme le prétendent ses adorateurs, pourquoi a-t-il besoin d’enfermer ses ouailles pour la vie dans sa Tour de Babel  ? Comme s’ils étaient des oiseaux en cage auxquels on  coupe les ailes si d’aventure ils veulent quitter leur cage pour prendre leur envol sous d’autres cieux. Sa prison a beau être  la plus dorée au monde, le château de la belle au bois dormant, mais elle reste toutefois une prison et qu’il il doit savoir et comprendre qu’elle n’est pas forcément du goût de tout le monde et qu’elle ne fait pas l’unanimité contrairement à ce qu’il pense.
Les menaces de mort par décapitation-crucifixion brandies à l’égard de tous ceux qui manifestent peu d’enthousiasme  à ses promesses voire qui refusent carrément de céder à son chant de sirène ne sont-elles pas symptomatiques de son tempérament ultra-possessif et violent ?  Il est comme ce mari jaloux qui promet la paix à sa femme tant qu’elle est avec lui mais qui lui promet l’enfer si elle le quitte. Si vraiment son message est paix, tolérance, amour et respect du libre-choix, alors pourquoi joue-t-il à faire peur à ses ouailles en exerçant sur eux des moyens de pression mentale et psychologique, davantage apparentés à des menaces de mort ? Niant à l’autre toute faculté de déterminer lui-même ses propres choix de vie, restreignant son champ de pensée, comme s’il était dépourvu d’intelligence et incapable de discernement. Est-à dire que seuls ceux qui  sont obéissants, soumis et qui présentent un état de déficience mentale sont dignes d’être élus en son royaume ?
Pourquoi voue-t-il aux gémonies ceux qui enfreignent sa volonté au nom de leur liberté de conscience ? Est-ce sa propre peur de lui-même qu’il projette sur eux, ou est-ce son manque d’assurance en lui qui le rend nerveux et violent ? A moins que son  irritabilité ne soit  l’expression de son ego surdimensionné qui ne peut pas concevoir  et admettre que l’on puisse avoir un avis différent du sien ? Le vivant comme un désaveu,une fitna, pour son pouvoir, une offense qui vaut au contrevenant, l’insolent, les pires châtiments.
Si dieu est juste pourquoi ce dieu-là il use-t-il de méthodes contraignantes et coercitives à l’encontre de ceux qui  renoncent  à leur statut de fidèle musulman ?
La vraie religion  n’est-elle pas  celle qui ne retient pas les hommes contre leur gré et qui respecte leur choix.
L’homme est censé être né libre et non propriété d’une divinité ou d’une croyance, or le dieu de l’islam ne semble pas en tenir compte, au lieu de créer les conditions de libération des énergies émancipatrices chez l’homme, il lui interdit de  forger propres convictions, l’infantilisant en le plaçant sous sa tutelle éternelle. On ne bride pas un homme comme on bride un animal, on ne le fidélise pas non plus  en le tenant avec une laisse  trempée dans l’acier au point de l’étrangler, comme si on avait peur qu’il s’échappe, et à supposer qu’il le fasse, il est de son droit de briser les chaînes de l’aliénation. Tout en homme est en droit de faire le choix d’un autre mode de pensée, ou d’adhérer à une autre croyance ou ne pas y adhérer sans qu’elle mette en péril sa vie. Tel qu’il est stipulé  dans l’article 18 de la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. » Les musulmans sont toujours les premiers à la revendiquer en Occident mais rechignent à l’appliquer chez eux au nom de la prééminence de leurs lois d’essence divine sur les lois humaines jugées imparfaites.Une lecture à géométrie variable et opportuniste. Une conception particulière de l’équité et de l’éthique. Refuser à l’autre  sous peine de mort ce qu’on réclame pour soi. Surtout quand cet autre veut quitter la famille, un crime lavé dans le sang.
La liberté de conscience n’existe que dans un sens mais pas dans un autre.Il est fortement recommandé aux musulmans de cesser d’affubler l’islam des vertus qui ne sont pas les siennes et de tordre eux-mêmes s’ils en ont la capacité le cou à cette image idyllique de l’islam du respect du droit à la vie et à la liberté. Ils ne doivent pas ignorer que si Jabeur Mejri est en prison en Tunisie ce n’est pas pour son acte proprement dit qui n’a rien de surcroît d’indécent et d’immoral au regard de leurs moeurs dévergondées et leur libertinage maladif sous couvert de l’islam, c’est parce qu’il a voulu manifester son refus d’adhérer à  un système de valeurs liberticide, castrateur, ultra-réactionnaire, nihiliste et  concentrationnaire.
Le jour où les musulmans auront la faculté de jouir en toute liberté de ce droit inaliénable, cela marquera la fin de l’islam. Habités par actuellement par la peur de la double-peine, ils sont complètement tétanisés pour pouvoir trouver la force nécessaire pour rompre les chaînes qui les entravent mais le jour où le vent de liberté soufflera sur eux et la peur disparaîtra d’elle-même, l’islam aura vécu.

Il n’y a que le Vatican et l’Occident qui ignorent que l’islam mène le djihad contre les chrétiens

Partout dans le monde musulman les chrétiens sont massacrés,  martyrisés, persécutés, violés, kidnappés,  opprimés, bannis, traités comme des rebuts de l’humanité,  confinés au rang de dhimmis, des véritables intouchables qui ont le choix entre le cercueil ou l’exil  ce dans  l’indifférence totale  du Saint-Siège et  de l’Occident.

Les nés musulmans convertis au christianisme sont obligés de vivre leur foi chrétienne en cachette  de peur de se faire égorger et crucifier alors que les chrétiens soumis à l’islam ne sont  ni condamnés et stigmatisés par leurs ex coreligionnaires au nom de la liberté de conscience.

L’islam fort d’une impunité coupable comme autrefois le nazisme, fait vivre l’enfer aux minorités chrétiennes sur ses terres, laissant clairement entendre qu’il n’a jamais cessé sa croisade anti-chrétienne.

Des milliers  de chrétiens  sont massacrés chaque année au Pakistan, en Indonésie, en Syrie, en Egypte et au Nord du Nigeria. On a  purifié l’Irak et la Jordanie de leurs chrétiens, de même que Gaza. Plus aucune  trace de chrétiens en Arabie et au Yémen. On met en prison, en Tunisie, en Egypte, en Libye au Maroc et en Algérie ceux qui réintègrent la foi d’origine de leurs ancêtres. On extermine les chrétiens dans le sud du Soudan. .

On interdit la construction des églises en terre soumise aux  intolérantes et hyper répressives lois de l’islam.

Fort du  silence approbateur du Vatican, l’islam ne manque plus une fête de Noël pour endeuiller la chrétienté. Martyrisant, massacrant les chrétiens et brûlant leurs églises. Comme si les chrétiens éprouvent une certaine jouissance masochiste dans leur nouveau Calvaire.

Un véritable nettoyage religieux s’opère sous le regard absent du monde entier et surtout des autorités ecclésiastiques et les gouvernements occidentaux qui semblent faire le choix des pays musulmans où il ne fait pas d’être chrétien.

Le monde s’inquiète du sort des islamistes égyptiens mais personne ne s’inquiète du sort des Coptes en Egypte et des communautés chrétiennes en Syrie, pourtant le témoignage vivant de la présence millénaire chrétienne au Moyen-Orient..

Tout se passe comme s’ils étaient une quantité négligeable sacrifiés sur l’autel des intérêts géostratégiques, géo-énergétiques et bassement affairistes et mercantiles.

A se demander si les chrétiens dans ces pays sont des humains entièrement à part, des sous-hommes,  un détail insignifiant qu’on doit occulter pour ne pas froisser la sensibilité à fleur de peau des mahométans regroupés au sein de l’Organisation de la Conférence Islamique, qui se rêve en futur gouvernement mondial.

Qui a le courage de mettre l’islam en face de ses responsabilités vis-à-vis des minorités religieuses vivant en son sein et qui sont  les vrais « indiens » de ces pays  et menacés d’extermination ?

Au lieu de le mettre en quarantaine de »communauté internationale » pour ses manquements aux lois internationales et exiger de lui les règles de réciprocité, on lui déroule à ses pieds le tapis rouge couleur de sang des martyrs chrétiens dans le monde musulman

Malgré tout cela et bien pire encore, les musulmans demandent au Vatican la reconnaissance de l’islam en tant que religion de paix.  Une religion d’agression et d’ intolérance certainement.  La paix sous la contrainte de la soumission à l’islam pour avoir la vie sauve.

Il n’y a pas meilleure unité de mesure pour tordre le cou au mythe de l’islam de paix que la géopolitique de la répression et des injustices dont sont victimes les chrétiens dans le monde musulman et surtout arabophones.

Contrairement à l’Islam, c’est le Vatican qui se voile la face, à moins qu’il considère les chrétiens d’Orient comme des chrétiens hérétiques et qui mériteraient ce que les musulmans leur font subir

L’imam Chalghoumi l’apôtre de l’islam modéré

Je tiens à  remercier  l’imam Hassen Chalghoumi, porte-drapeau du musulman médiatiquement modéré, les 3 M, d’avoir validé ma thèse sur l’islam modéré en faisant lui-même d’un sens de modération très rare qui n’a rien à envier à son coreligionnaire intégriste.
C’est avec des sieurs comme lui que l’islam va gagner ses galons de religion d’amour, de paix et de tolérance.
Quand on se dit tolérant et homme de dialogue n’est-ce pas M. Chalghoumi on esquive pas le débat et on crache son venin sur ses contradicteurs ?
Faute d’arguments, il n’a pas trouvé mieux que de nous traiter de professionnels de la haine me qualifiant personnellement de manipulateur d’opinion.
Lui-même vient de nous démontrer formellement que cet islam-là est une tromperie sur la marchandise, un dol, un abus de langage que les médias islamo-compatibles couvent de toute leur attention.
Ce n’est pas fortuit qu’ils ouvrent   leurs colonnes à ceux qui rêvent d’islamiser la France mais qui pratiquent la Takkiyia et jamais à ceux qui s’inquiètent de la montée du péril musulman et qui dénoncent cette collusion coupable entre les pouvoirs politiques et les médias avec les forces musulmanes qui pavent le chemin à l’islam futur maître de l’univers.
Ce qu’on appelle en réalité islam modéré est celui dont les représentants ont choisi le terrain de média qu’ont peut qualifier d’islam du djihad médiatique pour faire sa propagande en surfant sur la victimisation afin de piéger l’opinion publique contrairement à l’islam du djihad de la terreur qui s’exprime sur le terrain pour s’imposer par la force.
L’islam reste un et indivisible, il est monolithique. Seulement chaque musulman doit tenir par conséquent un rôle de composition où chacun doit arborer le masque de circonstance.
Ils sont tous fidèles à part entière mais chacun doit œuvrer selon la feuille de route à contribuer à l’islamisation du monde.
Il n’y a qu’un seul islam pour tous, et des musulmans voués corps et âme à leur islam.
Pourquoi veut-on établir une typologie de musulmans alors le Coran lui-même  ne reconnaît qu’une seule catégorie de musulmans ni  n’a jamais incité les musulmans à mettre de le l’eau dans leur vin sauf  quand ils sont minoritaires où ils doivent se faire tout petits jusqu’au jour où ils seront majoritaires pour pouvoir enfin imposer la dictature de l’islam ?
L’islam modéré n’est rien d’autre qu’un islam qui pratique la dissimulation et le mensonge, la takkiya, qui cache son jeu pour duper et flouer les naïfs, les inconscients,  et les crédules qui attend patiemment dans l’ombre le moment où il doit abattre ses cartes à l’image de cet enfant chéri des médias-collabos qui à chaque fois que l’islam répand la mort il se fait l’avocat es qualité pour dédouaner l’islam de ses crimes.