L’islam ne se compare qu’à lui-même, ni au judaïsme ni au christianisme

Peu importe la nature sacrée, révélée, incréée, immatérielle, extraordinaire, hors du commun, l’ouvre d’une force supranaturelle, de l’islam et des deux autres, ce qui importe ce sont les faits rien que les faits et ceux-ci personne ne peut leur tordre le cou ou en nier les évidences sauf si on est atteint de cécité mentale et manquant de discernement.

Pour l’instant  et présentement les deux autres, à savoir le judaïsme et le christianisme, dont l’islam se veut  l’héritier et le réformateur venu pour corriger le tir, ils ne font des dégâts nulle part, ne provoque ni rejets ni phobies et ne tuent pas leurs propres fidèles y compris dans les lieux de culte contrairement à l’islam qui est assimilée à une véritable industrie de la terreur, n’épargne ni  ses propres fidèles ni les chrétiens dans leurs églises et laissant planer de sérieuses menaces sur les juifs et tous ceux qui n’ont pas le caractère musulman.

C’est lui qui meuble les rubriques des faits criminels et ses fidèles sont surreprésentés dans les milieux carcéraux partout dans le monde pour activisme terroriste sous couvert de la religion.

Nulle autre religion ne  suscite autant  angoisses et phobies comme l’islam chez les non-musulmans et peut-être même chez les siens mais qui ont peur de l’avouer de peur de commettre un blasphème et y laisser leur vie.

Seuls le mensonges et la dissimulation sont les règles que tout bon musulman doit observer pour ne pas essuyer les foudres de sa religion.

C’est l’islam qui pose un réel problème et source de tous les maux de l’humanité et en aucun cas comme cherchent à le faire les musulmans pour noyer le poisson à faire des procès en inquisition aux deux autres. Pour mieux disculper leur religion de ses dérives criminelles, ils font des deux autres leur bouc-émissaire.

Mon amie Me Amena Dakhlaoui est libre mais ce sont les avocaillons tunisiens qui ne le sont pas

Heureux d’apprendre que mon amie Me Amena Dakhlaoui vient de retrouver sa liberté de mouvement après que l’on ait arrêtée à l’Aéroport de Tunis-Carthage sans motif apparent, seulement connu des flics tunisiens fidèles à leurs vieilles habitudes héritées des temps de Bourguiba et de Ben Al avec qui il avait eu maile à partir et qui avait brisé sa carrière de magistrat. 

Ce qui la désole le plus et la déçoit, c’est moins cette péripétie qui est un feu de paille pour elle, car elle en a vu de pire  au cours de sa riche existence de femme  hors pair marquée par le destin avec la perte cruelle de son frère, un ami d’enfance, battante, au courage chevillé au corps et libre et dont le papa Me Amar Dakkhlaoui un des plus grands ténors du barreau tunisien de tous les temps avait connu les geôles de Bourguiba, c’est l’attitude affligeante de ses confrères tunisiens. Ils se  sont surtout fait remarquer par leur manque quasi total de soutien.  Quant au bâtonnier il était aux abonnés absents.

Ce n’est pas l’ordre des avocats, c’est le désordre des avocaillons qui serait plus approprié.

On tourne le dos à une femme de conviction et de coeur, au tempérament d’acier,  honorable, qui a toujours défendu la veuve et l’orphelin, qui paye de sa personne et sur ses deniers personnels pour l’honneur du droit.

Pour mon amie, tous les justiciables ont accès au droit, il n’y a pas de clients plus clients que d’autres à cause de l’épaisseur de leur fortune, il y a le droit qui doit prévaloir sur toute autre considération quand bien même elle y laisse de l’argent.

Jamais les considérations financières et la personnalité du client ne sont un facteur déterminant dans la défense de ses clients. Riche ou pauvre, seul le droit fait loi.

Son sens aigu de l’éthique, sa grande humilité, sa richesse intellectuelle, son désintéressement,  la haute opinion qu’elle son métier, sa rigueur professionnelle et le don de soi n’ont pas l’heur de plaire à ses pairs tunisiens plus préoccupés par leurs comptes en banque que par la défense du droit.

Pour mon amie Amena le métier d’avocat est un sacerdoce et non une aubaine financière ou une épicerie arabe  comme le conçoit ces avocaillons tunisiens, c’est ce qui lui vaut leur inimitié l’honneur de la Tunisie de par son vécu humain et son parcours professionnel.

Plus prompts à défendre les causes médiatiques pour se mettre eux-mêmes en scène comme Me Nasraoui, plutôt que de défendre la cause d’une femme digne et honorable mais discrète.

Peut-être qu’ils se seraient tous mobilisés si elle avait sorti son carnet de chèque ou leur  avoir fait la promesse d’un séjour à l’œil en France, ils auraient certainement accouru comme des mouches appâtées par le miel.
L’attrait du gain est l’ennemi du droit. Mais de cela les avocaillons tunisiens n’en ont cure.

L’islamiste est à l’islam ce que fut le nazi à l’hitlérisme ou le bolchevique au communisme

 

 Les musulmans exaltés à l’extrême rêvent tous de faire de la terre le Grand Royaume d’Allah.

Qu’ils soient fanatiques ou islamistes, ils souffrent tous  d’un manque pathologique d’humilité et sont  incapables de se remettre en question. 

Ils sont tels des adeptes d’un mouvement sectaire messianque, obnubilés par une seule idée :  suivre à la trace, emboîter le pas à des pseudos  ancêtres vertueux, illusoires, fantasmés et inventés en toutes pièces.  

Au point que l’opprobre est jeté sur tous ceux qui osent dresser portrait fidèle de leurs fantasmes mégalomaniaques.

Plus on flatte leur ego, plus ça les réjouit et les conforte dans leurs délires de grandeur en leur procurant un sentiment de puissance démesurée.

Ne connnaissant rien à la morale de la fable du corbeau et du renard de Jean de la Fontaine : apprenez que le flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. 

Mais convaincus religieusement  de la suprématie de leur foi et de ses mirages sur toutes les autres fois, ils refusent de reconnaître que l’humilité est la mère de toutes les vertus.

Absolutistes et à l’ego surdimmensionné, ils ne pouvent se résoudre à entendre la voix de la raison et admettre qu’ils puissent avoir d’autre vérité la leur.

Enfermés dans cette sorte de prison mentale, vivant dans leur Tour d’ivoire tel un reclus qui refuse tout contact avec le monde extérieur afin de ne pas mesurer le gap qui le sépare du monde réel, toute critique ou remise en cause de sa représentation subliminatoire de sa foi est perçue comme une offense à ses dogmes, une atteinte grave au noble Message de son Prophète dont bien souvent ils ignorent et le sens et le contenu.  

Angoissés à l’idée de se regarder dans le miroir du monde, ils transforment leurs peurs en autant de mécanismes de défense, un bunker pour se réfugier dans les méandres de leurs pensées tourmentées et obsédées par les plus-values qu’ils pourraient tirer de leur totale obéissance aux prescrits de leur religion. 

Un musulman fanatique n’investit jamais à perte. Tout ce qu’il fait et entreprend c’est pour s’attirer les bonnes grâces de son Démiurge. 

Se sentant éternellement persécutés, ils voient leurs ennemis partout, épiloguant et dissertant sur les fantasmagoriques complots dont ils se croiraient  victimes. 

 Ils sont comme des enfants  capricieux et posséssifs qui ont besoin d’être couvés de regards et d’attentions pour exister.  Depuis ces deux dernières décennies, ils ont plutôt tendance pour manifester leur mauvaise humeur à avoir recours à une nouvelle forme de thérapie comportementale, sociale et intellectuelle : faire régner la terreur pour exister. 

Au point  qu’il ne viendrait  à l’esprit personne  de les contrarier pour ne pas susciter leur ire et troubler leur émoi. C’est pourquoi l’on doit se garder d’écorner leur image de soi  idyllique, surfaite, surréaliste, inconsidérée et irréelle.

 Qui ose les faire « dénombriliser » et leur faire toucher du doigt la dure réalité de leur vie et l’amertume de leur existence ? Personne !

 De crainte d’être taxée d’avoir la phobie des musulmans et non de l’Islam dont ils sont à l’antipode, une espèce de pathologie mentale qui frappe tous ceux qui n’ont pas la pureté du sang musulman y compris leurs coreligionnaires à l’esprit clairvoyant et lucide et non gagné par l’ivresse du fanatisme.

Sang et  foi se confondent chez les musulmans fanatiques qui sont légion partout dans le monde. On les reconnaît à leur mode d’accoûtrement vestimentaire et au port de barbes hirsutes et fort probablement pouilleuses. 

Leur discours est en tout point de vue comparable au discours nazi ou maurrassien sur les inégalités raciales entre les hommes. Il est vrai qu’ils ont remplacé dans le le mot race par religion. 

Au point que les qualificatifs employés laissent supposer qu’il y a un nouveau gène cellulaire musulman. Un caryotype islamique. 

Comme si être musulman dote celui qui professe l’Islam d’un nouveau marqueur génétique. Ils se prennent pour les nouveaux pharaons, ils sont au sommet de la pyramide humaine. Ils se considèrent comme le nec plus ultra de l’humanité au motif qu’ils ont la plus merveilleuse religion jamais donnée à l’homme.

 De cela, personne ne doit en douter et malheur à celui qui se montre incrédule. N’est-il pas écrit dans leur littérature sacrée d’être le peuple élu au grand dam de nos amis maoris  ou zoulous qui n’ont pas cette chance d’avoir été adoubés par Dieu pour répandre sa bonne parole, ils sont la meilleure communauté religieuse qui soit apparue sur cette terre ? 

En attendant qu’ils redescendent de leurs nuages, ils vivent l’enfer ou presque sur terre et mes autres amis zoulous mordent dans la vie à pleines dents, ils chantent, dansent, boivent et s’amusent comme des fous.

Et surtout ils ne polluent la vie de personne et qui sont tout le contraire de la sublime et parfaite communauté des croyants.

Ils ne sont dotés d’aucun attribut musulman : vanité, arrogance, nécrose, violence, morbidité, messianisme, sectarisme, expansionnisme, intolérance, fanatisme, prohibition, égocentricité, suffisance, grosse tête, xénophobie, complexe de supériorité, borné, schizophrène, paranoïaque, repli identitaire, enfermement sur soi, moi-musulman-maître-du-monde-et-de-l’univers, nazillon, imprécateur, inquisiteur, impulsif, sanguin, écorché vif, exubérant, haineux, fourbe, manipulateur, antisémite, surestimation de ses capacités, cosmique, calculateur, falsificateur, hautain, faux-dévotisme, profanateur, sexiste, raciste, méprisant, agressif, et bien d’autres scories qui laissent apparaître les musulmans fanatiques  à des années lumière des 10 commandements et de tous les Livres de Loi que Dieu aurait révélés aux hommes.

 Une question : ne vaut-il pas mieux d’être zoulou et jouir de la vie que d’être musulman fanatique et vivre l’enfer au cours de sa vie et aussi le faire à autrui ?

Pour une terre nord-africaine sans islam ni arabisme

Le drame des tunisiens et de leurs frères d’Algérie, du Maroc et de la Libye est d’être totalement ignorants de leur histoire. Au point que toute référence à leur histoire pré  arabo-islamique  et à leurs vraies racines afro-européo-méditerranéennes, à leur judéo-chrétienté est à leurs yeux un sacrilège,  un blasphème, un acte attentatoire au sacré . Un sujet tabou  sur lequel ils ont mis une chape de plomb, enveloppé dans un  linceul opaque mortuaire,  afin qu’ils ne puissent pas se regarder  par honte d’eux-mêmes et la crainte de leurs maîtres esclavagistes dans le vrai miroir de leur histoire millénaire autrement plus glorieuse, fabuleuse  et authentique que celle enseignée  dans les manuels scolaires  écrite par ces derniers qui ont trempé leurs plumes acérés dans le sang de leurs centaines de milliers de victimes  berbères.
Militer pour une Tunisie renouant avec sa véritable histoire  sans islam, et sans l’arabisme  est  un devoir qui doit peser sur nous tous. Bâtir un avenir en étant coupé de ses racines, reviendrait à vouloir conduire une voiture sans direction ni moteur.
J’assume personnellement le choix de mon combat pour l’identité plurielle de la Tunisie enracinée dans son vrai terreau et non celui empestant l’odeur fétide des cadavres en décomposition importé d’Arabie.
Mais comment faire prendre conscience à un peuple englué dans les boues nauséabondes de l’arabo-islamisme.
N’étant pas utopiste moi-même ni un Don Quichotte menant bataille aux moulins à vent, je reconnais que l’on ne pourra jamais espérer bâtir une société humaine dans un environnement irradié par les nuages radioactifs du Tchernobyl de l’islam.
On ne peut jamais se prétendre humain tout en se voulant musulman. Et quand c’est  le cas  est que l’on est pas  un vrai musulman dans le sens dogmatique du terme. Etre musulman c’est être islamiste  pour exécuter le plan hégémonique de l’islam  qui veut réduire à l’état d’esclave  l’humanité tout entière  soumises  aux ordres des musulmans  qu’Allah a élevé au-dessus  de tous les autres.  Une religion  raciste et nazie. ne peut
 Nombreux sont les musulmans qui ne se reconnaissent pas dans les islamistes, seulement ils ne sont pas conscients qu’ils ne sont pas du tout  musulmans.
L’islam humaniste et humanisé est  une offense à l’islam que Mahomet a légué en héritage aux musulmans et que les islamistes veulent restaurer vaille que vaille au mépris de la vie humaine, usant de violence  et perpétrant des crimes contre l’humanité pour en faire un islam pour tous.
Leur islam est à l’antipode de l’islam mahométan.  Inconscients que les vertus dont ils dotent l’islam sont des contre-vérités, une fable pour donner à l’islam des sources des attributs humains. L’islam aurait perdu son sens et sa substance s’il correspondait  à l’image qu’il se faisait de lui.  Un islam sans la violence barbare  cesserait d’exister de lui-même et aurait disparu de la surface de la terre. Il s’est imposé par le fil de l’épée  et sous la contrainte physique. L’islam ou la mort. Surfant sur les peurs et les angoisses pour se maintenir. L’islam  enseigne la haine de l’autre comme le bouddhisme enseigne la sagesse humaine. Pauvre en spiritualité,  il s’est affirmé par la destruction des peuples et des cultures et la négation de la vie humaine. L’islam n’a jamais été l’ami de l’homme sauf pour le conditionner psychologiquement pour en faire une bombe humaine.
Contrairement au tableau fabulé dressé par ses laudateurs, il n’est pas plus synonyme de paix que le nazisme rimant avec la judéophilie . Tout est effets d’optique, bercés par des illusions les nord-africains ont cru détenir la poule aux oeufs d’or qui n’a fait pourtant que pondre depuis 1400  ans des boules puantes et tétanisantes. Impropres à la consommation humaine que des pseudos islamologues, agents patentés de l’impérialisme arabo-musulman, font passer pour un islam d’héritage, comme s’il était un bien hérité des parents  et que l’on doit garder soigneusement  pour ne pas trahir la mémoire de nos parents.
 Il revient à ceux qui se proclament  musulmans par héritage de le quitter, c’est plus cohérent ainsi. Mais auront-ils le courage de le faire ? L’islam survit à cause de la lâcheté de ses adeptes.

En ayant voté pour Ennahdha, les tunisiens ont élu la Qaïda comme maîtresse du pays

 

Le choix est simple à faire. Faire le choix de continuer de vivre sous le régime de la terreur et le déshonneur ou faire le choix de mener une guerre de libération de la Tunisie  dans l’honneur et la dignité.

Si les tunisiens comptent sur les urnes pour dégager les escadrons de la mort enfants de Satan dont ils ne font qu’appliquer scrupuleusement son enseignement,  c’est qu’ils sont restés naïfs et bornés et qu’ils n’ont toujours pas pris conscience  de l’extrême gravité de la situation.

C’est comme s’ils veulent combattre un fauve les mains nues ou soigner une gangrène sans amputer le membre malade.  On éradique jamais la terreur non plus avec des bisounours. Hitler était arrivé par les urnes, il n’avait pas été vaincu par elle.

 Les terroristes devenus maîtres de la Tunisie à cause de la trahison de certains et la cupidité et la niaiserie d’une partie du peuple, ne lâcheront jamais leur butin sans effusion du sang. Ils ne connaissent de la démocratie que les bombes avec lesquelles ils vont vous pulvériser.

 Que ce soit Bizerte, Jebel Chaâmbi, le Kef, Sidi Bouzid,  à Sidi Bouzid  le Kasserine, etc.. ou les assassinats politiques, ce ne sont qu’un avant-goût vitriolé ce que la fédération locale du crime crapuleux islamo satanique d’Ennnahdha du menu qu’elle sert aux Tunisiens.

Ce sont les prémisses des massacres à venir si les tunisiens s’aventurent à chercher à la détrôner. Un butin ne se cède  jamais dans l’idéologie musulmane sans que celui qui le convoite n’en paye le prix du sang. le sien et celui de son adversaire.

 Ennahdha qui se nourrit de la cruauté et de la barbarie de son islam des sources, mettra à exécution ses menaces de mettre la Tunisie à feu et à sang si on cherche à contrarier ses desseins hégémoniques proférées à la veille du simulacre électoral. Maintenant que la Tunisie est lui a été offerte comme butin de plein droit et ad vitam aeternam malheur à celui qui osera lui en contester la légitimité.

 Son pouvoir est un droit acquis et le restera pour toujours. Il est marqué du sceau d’Allah et l’expression du sien sur tous les hommes. Elle ne fait qu’exécuter sa volonté et œuvrer à la concrétisation de ses ambitions cosmiques et impériales. Personne n’est en droit par conséquent de contester ce qu’Allah a ordonné à ses hommes : bâtir pierre par pierre, mm par mm, son Grand Royaume. En sa supposée qualité de créateur, il est censé en être le gouverneur absolu.

Investie par Lui pour traduire dans les faits la mise en œuvre de ses ambitions du futur grand maître du monde, Ennahdha considère la Tunisie comme une étape dans ce processus de conquête du monde au profit de celui qui aurait créé tout l’univers en 6 jours pour se reposer le 7 e jour.

Ce n’est pas par hasard d’ailleurs que le mot travail est banni de leur lexique et ne font que se reposer depuis sauf pour commettre des actes de brigandage et répandre la terreur.

Forte de ses droits légitimes et canoniques Ennahdha ne fera aucune concession ni entorse à ses devoirs cosmiques. Elle les fera respecter par le pouvoir de la force tel qu’Allah le prescrit et recommande. Nul ne pourra entraver son chemin qui est la voie d’Allah sans offenser Allah lui-même.

 Sa maison mère la Qaïda dont R. Ghannouchi est un des maîtres à penser, la châtiera si jamais elle transgresse la volonté d’Allah. 

Les tunisiens en octroyant le visa de parti politique à une organisation sectaire de caractère mystico-terroriste, n’ont absolument pas pris en compte les accointances idéologiques entre Ennahdha et la Qaïda et la nature des liens qui les lient ?

Le peuple manipulé et abusé dans sa bonne foi en votant  pour Ennahdha ne se rendait absolument pas compte qu’il apportait sa voix à  la Qaïda et le pire sont ceux qui ont cru s’abstenir pour ne pas apporter leur soi-disant caution à ces élections vaudevillesques n’avaient fait que favoriser mécaniquement a victoire des islamo-sataniques. Moins il y a des suffrages exprimés, plus le parti le mieux organisé et capable de mobiliser ses troupes a des chances de rafler la mise et s’assurer de la plus grosse part du gâteau.

 Quant à ce fameux islamisme modéré dont on a rabattu les oreilles des tunisiens, ce n’est qu’une grosse ficelle, un subterfuge trompeur, un gros mensonge répété infatigablement afin de le faire passer pour une vérité. Comme disait Hitler un mensonge répété mille fois devient vérité, et dix fois il reste un mensonge.

En conclusion, rien ne s’opposera au pouvoir d’Ennahdha parti pour l’éternité sauf Allah lui-même.

Ennahdha et Ben Ali, deux faces d’un même miroir

Après 23 ans de main mise totale, de règne sans partage et de mise sous coupe réglée du pleutre et mafieux sanguinaire Ben Ali  « le grand patriote », comme dirait un de ses chantres attitrés, vile créature de son système, payé chichement pour faire ses louanges qui t’a fait jeter de la Roche Tarpéienne, alors que tu n’as pas encore fini de panser tes blessures et de retrouver tes esprits, ont déferlé sur toi telles des sauterelles dévastatrices des bandes  de charognards, de pillards, d’assassins, de mercenaires et de terroristes. Elles t’ont prise pour leur butin comme naguère leur prophète autoproclamé  qui razziait tous azimuts dont sa propre tribu.
Tu croyais pouvoir renaître de tes cendres et te reconstruire malgré le coup fatal que t’avaient portée Ben Ali et ses acolytes qui avait failli t’achever, mais  ces meutes de prédateurs étaient venus pour t’achever dans la pure tradition mahométane.
Tes chances de survie sont minimes avec ces nécrophages cannibales satanistes. Dignes héritiers du grand boucher et profanteur  des cadavres Al Hajjaj, ils ne laissent aucune trace de leurs victimes, ils broient leurs os jusqu’à ce qu’ils les réduisent en cendres. Ils s’enivreront de ton sang comme des vampires pour étancher leur soif insatiable.
Qui pourrait t’arracher de leurs griffes en espérant que tu as encore une chance de survie ?  Si ce n’est ton propre peuple. Mais hélas, il en a ni volonté ni le désir. On lui a fait croire qu’il était digne lors de la chute kafkaïenne de Ben Ali, mais parce que justement il n’a jamais été digne  depuis qu’il s’est trouvé assujetti à cette religion de l’indignité  humaine qui a fait de la soumission et de la résignation la voie du salut des hommes, prohibant toute forme de rébellion et de résilience.
 Ton salut ne viendra jamais de ce peuple plus préoccupé par le mouton de l’Aïd que du sauvetage de sa mère-patrie. Compter sur lui pour trouver  ne serait-ce l’ombre d’une issue à ta nouvelle tragédie autant parier sur les musulmans de les voir un jour briser les chaînes du despotisme de leur religion.
Tu n’as pas le peuple que tu mérites. Plus enclin à vendre son âme au Satan islamique que de vouloir renouer avec ses vraies racines qui ne sont pas arabes, afro-méditerranéennes, sa véritable identité plurielle et d’homme libre, Amazigh.
Il n’y a aucun sursaut à attendre d’un peuple connu pour ses nombreuses  tares et incuries. Apathique, amorphe, mou, séide, désinvolte, complexé, tourmenté par le repos de son âme, vouant un véritable culte à la mort, bigot,  fataliste, maraboutique, veule, opportuniste, incapable de se projeter dans l’avenir, arrogant, prétentieux, nombriliste, égoïste, à l’égo surdimensionné, antipatriote, vénal, cupide, mercantiliste, fourbe, retors, perfide, ethnocentrique, faux, vénal, hypocrite, au courage douteux, renégat, népotique, désuni, terroriste, « nikahiste », fanatique, félon, affairiste, surreprésenté dans les prisons françaises et italiennes,  indiscipliné, peu solidaire, affairiste, girouette, sans idéal ni principes moraux. Un peuple manquant cruellement d’humilité et d’esprit de corps et incapable de s’investir dans un projet de vie commun.
Les peuples naissent dans les difficultés  et au moment où  tout semble perdu, c’est là qu’on les voit surgir de nulle part comme un seul homme tel l’aigle royal symbole de Carthage pour surprendre l’ennemi et lui faire mordre la poussière.  Ce qui n’est pas le cas du tien qui se complait dans ton désespoir et il en fait même sa culure et son fonds de commerce.
Ton peuple ne te sauvera pas comme le peuple de Paris a sauvé la France.

Les Femen mettent à nu la perversité morale de l’islam

Ben Ammar Salem

Le procès des 3 Femen arrêtées en Tunisie venues pour soutenir leur camarade Amina  est reporté

au 12 juin  2013 !

Est- ce à dire que le dossier est vide et que les chefs d’inculpation sont inexistants et que l’on se donne du temps pour fourbir ses armes contre les militantes féministes qui donnent le tournis aux terroristes et sanguinaires musulmans, nouveaux eunuques turcs en Tunisie  ?

Ce procès a tout l’air d’être un procès en inquisition celui d’Allah contre les droits des hommes et de surcroît contre ceux de la femme qui a commis un pêché grave en se comportant comme un humain à part entière.

Ce qui va à l’encontre de l’ordre sexuel instauré par Allah. La femme doit servir d’essuie-pied à l’homme dans l’islam et sa poupée gonflable, en revendiquant ses droits sur son corps elle comment un pêché mortel.

Gageons qu’ils vont les lapider avant de…

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A chaque fois qu’une musulmane se voile c’est la liberté qui se meurt

 

Quelle est la différence entre une voilée intégrale ou partielle et une non-voilée ? La première vit dans le monde des ténèbres et la deuxième nous éclaire par sa lumière ?

 L’une est la laideur incarnée et l’autre est la beauté au grand jour. Quand on se voile, on cherche à cacher son vice et son esprit retors et quand on se dévoile c’est qu’on a rien à dissimuler du regard d’autrui.

 Quand à ce schizophrène paranoïde du bouffon  Moncef Marzougui, le bouffon du palais, il doit savoir lui en tant que sujet doublement concerné  de par son métier et de son état psychique pathologique, que le voile ne voile pas les fantasmes, ni les pulsions, les attirances sexuelles pour le sexe opposé, ou les désirs et qu’il est surtout symptomatique de l’état de la perversion mentale et sexuelle de la pauvre femme ainsi qu’une manifestation ostentatoire de ses graves troubles identitaires.  

 Elle exhibe sa double soumission à Dieu et à l’homme.  Il est aussi l’expression de sa phobie d’assumer sa féminité, de sa peur de sa propre image et de sa dignité humaine. 

 Elle se cache d’elle-même, en enveloppant son corps dans un linceul noir ou gris le même dans lequel elle sera enveloppée à sa mort et que son époux pourrait lui ôter pour assouvir son appétit sexuel insatiable.

 Selon une Fatwa nécrophile wahhabite, un musulman sunnite pourrait jouir du corps sans vie de sa femme jusqu’à 6 heures après son décès.  Le seul voile qui la protège son prédateur-profanateur est la pierre tombale.

 Autant se dévoiler de son vivant que de se faire violer après sa mort.  Femme voilée, femme violée comme le dit Gisèle Halimi et ceci est d’autant plus vrai qu’elle n’est pas maîtresse de son corps qui est assimilé à un champ de labour où il peut y aller à sa guise et par conséquent contre la volonté de sa femme.

 N’est-il pas dit  dans le Coran que les anges maudissent la femme qui se refuse à son mari ? Est-ce statut de simple objet sexuel qu’elle affiche à travers le port du voile, de corps sans vie, d’une nymphomane halal qui n’assume pas ses perversions sexuelles ou d’une femme victime de rapports sexuels non-consentis, mais sacralisés et rendus légitimes par la religion musulmane elle-même qui ne reconnaît pas le viol conjugal ?

Une condition féminine réduite à la simple fonction de maternité. Est-cela ce que le voile veut exprimer comme témoignage afin de permettre à la femme-mère, à l’exclusion des autres, sous les pieds desquels ruissellent les eaux du paradis ?  

 Qu’elle le veuille ou non, le voile renvoie à l’état d’avilissement de la femme et de ses conditions de vie dégradantes et humiliantes. De sa relégation, de son exclusion et de son état d’infériorité dogmatique à l’homme. Elle est cette chose que l’homme doit cacher de la vue de l’homme.

Le voile marque surtout sa dépersonnalisation  et de sa dissolution dans une culture ultra machiste et phallocrate, irrévérencieuse pour les femmes. Faire du voile partiel ou intégral un symbole de liberté, c’est comme si on fait de l’Islam ou de toute autre religion un symbole d’épanouissement humain, de progrès social et d’égalité entre les sexes.

 Une femme ne peut pas être libre quand elle se cache de son ombre, et quand elle vit en périphérie  de son groupe social.  Marginalisée et avilie. Le voile ne signifie rien d’autre que le degré de rabaissement de la femme.  Il est à la fois sa prison mentale et sa incarcération sociale.

 Le voile  lui permet de camoufler sa souffrance, de la dissimuler du regard étranger,  son mal-être et sa misère psycho-affective. Une femme voilée se ment à elle-même en laissant croire que c’est une forme de liberté. La vraie liberté n’est pas dans le port du voile, elle est dans sa rupture avec l’atavisme culturel et religieux qui l’enserre et qu’elle porte comme le Christ sur le Chemin de la Croix. On ne fait pas du fardeau du poids oppressant et aliénant de la tradition une source de liberté. Faire de la tradition un facteur d’émancipation féminine autant rétablir l’esclavage et le servage dans nos usines pour faire un modèle d’organisation du travail.

 Quant à en faire un symbole de vertu, autant conjuguer la vertu avec l’âme noire des terroristes qui pullulent dans les sociétés musulmanes. Il symbolise la réaction et le refus du progrès.

 Le voile ne fait pas la musulmane non plus comme son non port. On ne juge pas les femmes à l’aune de leur accoutrement vestimentaire, on les juges sur leur capacité de mener un combat  digne pour leur liberté.

 Une liberté où l’on a pas peur de soi où l’on avance à visage découvert pour affronter les regards des hommes qui font de la soumission de la femme et de sa relégation un code de vie en société.

Etre libre, c’est être capable d’assumer sa féminité et en faire rempart contre l’expropriation du corps de la femme et sa marchaandisation à des fins mercantiles et religieuses, djihad du Nikah.

 Associer le port du voile à la liberté c’est faire fi des contraintes culturelles fortement imprégnées par le fait religieux qui font obligation à la femme de se soustraire du regard de mâle-dominateur-prédateur.  

 Dans la culture hyper machiste musulmane et ségrégationniste son port est assimilé  à une sorte d’uniforme de travail protecteur qui immunise la femme contre les accidents, autrement dit les agressions sexuelles auxquelles elle s’exposerait si elle se garde de le porter.

 Comme si la femme voilée n’était pas victime de viol. Le port du voile n’est aucunement un filet protecteur ou une ceinture de chasteté, et encore moins un signe de rupture avec les traditions aliénatrices, oppressantes et culpabilisantes de la femme, propriété absolue de son groupe social d’appartenance.

 Une femme qui se dit et se veut libre ne peut aliéner sa soi-disant liberté en marquant ostentatoirement son allégeance au pouvoir absolu de l’homme sur sa vie.

Les sociétés les plus liberticides  du monde musulman que sont l’Arabie Saoudite, Oman, Afghanistan sont celles dont les cités ressemblent à un théâtre d’ombres chinoises.  Beaucoup d’autres sont en train de s’inscrire dans leur sillage et qui connaissent justement un fort recul des libertés les plus élémentaires qui se traduisent par une explosion exponentielle du port de voile.

 Là où le sacré  bigot fait son grand retour, le voile prolifère.  La corrélation entre les deux est réelle et doit interpeller ces femmes qui prétendent faire de leur univers carcéral un hymne à la liberté.

En dévoyant la liberté pour ne pas transgresser les normes culturelles, elles s’insultent elles-mêmes et se font complices de leurs bourreaux.

 Il n’y a pas de liberté quand son corps est entravé par les chaînes des traditions, la seule liberté est dans la résilience et l’affirmation de soi. A-t-on besoin d’exhiber sa vertu morale si on a pas quelque part des soucis avec la morale elle-même ? En quoi est-ce vertueux quand des femmes musulmanes voilées s’adonnent à la prostitution à des fins religieuses ? N’est-il pas primordial pour ces femmes d’avoir des rapports sexuels protégés plutôt que de protéger leur visage du regard de l’homme ? 

 Avec la femme voilée l’insignifiant devient signifié et vice-versa, contrairement à la femme non-voilée est une femme assumée,  qui n’a pas peur de son ombre, une femme  de rupture avec le carcan religieux et libre et une voilée est une femme à l’identité violée.

 Le voile ne fait pas la voie de la félicité et son non-port le chemin de l’enfer. Plus on a peur de soi et de son environnement étouffant et archaïque plus on a tendance de se cacher de soi-même et de vouloir paraître ce qu’on est pas.

 Ce pauvre psychopathe insignifiant et à la laideur physique qui ferait peur à Frankenstein en personne s’il est devenu aujourd’hui ce qu’il n’aurait jamais dû être même dans ses délires psychotiques les plus aigus ce n’est pas ces femmes sans âme et dépourvues de personnalité qui sont sorties dans les rues de la Tunisie pour braver avec courage, détermination et dignité les balles de Ben Ali, ce sont les safirates tant honnies par lui.

Ces femmes n’ont pas voilé leur dignité et ne la voileront jamais et dire qu’elles sont elles aujourd’hui qu’on a mis à l’index et on vitupère et qu’on a écarté de la vie politique du pays et ce sont les femmes qui portent le voile de l’indignité qui ont les honneurs du pays.

  La révolution tunisienne n’a pas été faite contre l’honneur des non-voilées et encore moins pour celles qui la déshonorent aujourd’hui en faisant  la lie des barbus et font fi de leur dignité.  

 Quand une société est minée par l’intégrisme de l’esprit, où la religion est elle-même victime, c’est un signe qui est révélateur de l’état de la pathologie mentale de cette société. Ce n’est par hasard que les sectes dans le monde musulman se font aujourd’hui leur chou gras du mal-être des populations frustes. La ferveur religieuse n’a pas gagné du terrain, c’est la maladie mentale qui prolifère et qui ravage le corps social et humain.

 Quel crédit peux-t-on donner à une masse fruste qui confond bulletin de vote et ticket de train pour le paradis et qui a vendu la Tunisie contre une promesse non tenue de mouton ? Comme si le train du paradis pouvait exister! Quel crédit peux-t-on aussi donner à de propos émanant d’un sujet psychopathe qui fait partie de ces 50% d’hommes tunisiens répertoriés comme tel par l’O.M.S. outre ce malade qui a longtemps voilé sa nature neuro-psycho-dégénérative a fini par la dévoiler. Il a une peur  phobique de  regarder  son visage hideux qui porte les stigmates de la félonie et de la haine de soi qui se reflète sur le visage clair  lumineux de la femme non-voilée. 

 

 En conclusion, le voile quelle que soit sa forme, marque surtout le statut de l’infamie et de l’ignominie dont jouit la femme dans les sociétés musulmanes, comparables à celui du juif sous le gouvernement de Pétain.

Souhaitons surtout qu’il ne soit pas le signe avant-coureur d’un autre statut inhumain que le nazisme a infligé au Juif et à tous ceux qui n’avaient pas de marqueur génétique ou idéologique hitlérien.

Il n’y a pas de salut pour les musulmans tant qu’ils n’auront pas fini avec leur violence dogmatique

Le jour où les musulmans auront fini avec la violence meurtrière en auront fini avec l’islam
On ne fait se pas le chantre d’un islam de paix quand des vrais musulmans massacrent  les chrétiens au Pakistan, en Syrie, en Irak, au Nord du Nigéria et en Egypte.
Comme ils font des carnages au Kenya et ailleurs.
On ne loue pas les vertus pacifistes de l’islam quand des bons musulmans menacent les tunisiens qui veulent les déloger d’extermination.  
Une religion qui se nourrit de chair humaine et s’abreuve du sang humain n’est rien d’autre qu’un culte sataniste, semblable au nazisme et porteuse en elle de tous les ferments de crime contre l’humanité.
Tant que des musulmans continuent à envoyer des images insoutenables et intolérables pour la conscience humaine, il est difficile de qualifier l’islam autrement.
Surtout qu’ils n’invoquent pas la théorie du complot. C’est un faux argument  qui discrédite et disqualifie son auteur et qui en dit long sur leur irresponsabilité et leur état de troubles psychotiques.
Un humain qui n’assume pas ses erreurs et fait de l’autre son bouc-émissaire n’est pas seulement digne de son humanité mais surtout la met en péril à cause de sa folie dogmatique meurtrière.
L’idée-même qu’il puisse y avoir des humains différents de lui, l’angoisse et lui devient insupportable dont dépend sa propre survie. Pris dans leurs délires paranoïdes, ils sont convaincus que cet autre qui pourrait l’éclairer afin qu’ils retrouvent la voie de la raison, ils se comportent comme un fou qui s’acharne sur son thérapeute. Ils tuent pour ôter le carcan de la mort qui fait ressembler son existence à une tombe à ciel ouvert.
La bête immonde qui prospère en eux à cause de l’endoctrinement religieux poussé à l’extrême, attise et excite leur peur d’eux-mêmes et par conséquent celle d’autrui. 
Pour eux, leur salut passe par leur propre autodestruction salvatrice et régénératrice  qui doit trouver son accomplissement dans la destruction massive, la mise à mort rituelle de tous ceux qui n’ont pas leur caractère musulman.
Comme tous les tourmentés de l’existence, ils sont persuadés qu’il n’y a pas d’autre issue à leur profond désespoir,  leur  mal-être et leur état de désarroi chronique que dans la sanctification de la violence qui pour l’apaiser et la nourrir lui sacrifient  des êtres humains  en Holocauste comme les moutons qu’ils égorgent pour s’attirer les bonnes grâces de leur divinité tutélaire.
La violence est leur matrice-mère, le jour où ils  auront coupé le cordon ombilical avec elle, ils auront retrouvé leur humanité et par voie de conséquence se seront affranchis de la tutelle mortifère et étouffante de l’islam.

Les chanters de la Coupe du Monde de Football 2022 vitrine de la culture escalvagiste et raciste de L’Emirat du Qatar

 
 En confiant en toute connaissance de cause et certainement non sans avoir profité des largesses de l’Emirat-confetti du Qatar qui a fait de la corruption et la traite des êtres humains ses emblèmes nationaux, la F.I.F.A. se rend complice d’esclavagisme sauvage. Au rythme des scandales qui entachent les chantiers de cette Coupe du Monde des atteintes à la dignité des travailleurs, le tableau social et humain est certainement le pire de l’histoire de la F.I.F.A.  
 
Plus de 44  ouvriers népalais sont morts sur les chantiers de construction des stades et des infrastructures  de la Coupe du Monde entre le mois de juillet et août 2013 à cause des conditions de travail inhumaines mortelles qui ont fait sortir de sa réserve diplomatique l’Ambassadeur du Népal à Doha qui les assimilent à une prison à ciel ouvert.
 
 Un bagne dont on ne sort jamais vivant. Salaires non versés ou bloqués pour les empêcher de partir, pièces d’identité confisquées,  plus de 12 heures de travail la nuit et sous un soleil de plomb à plus de 50°, retenues  abusives, sur salaires, rackets,  renvoi des récalcitrants manu militari sans que leurs salaires ne leur soient versés, recrutement des travailleurs souvent très jeunes à peine 16 ans, absence des règles de sécurité, exposition aux produits toxiques, refus d’accès à l’eau potable, absence de soins, accidents de travail à profusion,  logements insalubres, violations délibérés des normes de l’O.I.T.
 
Au regard du traitement dégradant et humiliant infligé par le Qatar à ces pauvres travailleurs, il y a tout lieu de saisir la C.P.I. pour esclavagisme avéré et aggravé.
 
Ce n’est pas parce que la F.I.F.A. n’a pas vocation à faire du social et s’inquiéter du droit international du travail et que son souci est le calendrier des travaux que le pays organisateur doit respecter qu’elle n’a pas  pour autant une obligation morale en la matière afin de ne pas se trouver elle-même complice d’actes de cruauté et de barbarie à l’égard des travailleurs qui sans eux rien ne pourrait se faire. Il est de sa responsabilité d’exiger de cet Emirat-esclavagiste de se conformer aux normes internationales du droit du travail sous peine de lui retirer l’organisation de la phase finale de la Coupe du Monde de 2022.  
 
Que fera-t-elle pour aider le Népal à faire face à l’afflux massif de ses travailleurs qui viennent se réfugier dans les locaux de son ambassade à Doha ? Sait-elle que la plupart d’entre eux qui croyaient en l’Eldarodo de cette Coupe du Monde ont été obligés d’emprunter de l’argent chez eux à des taux exorbitants à plus de 36% pour couvrir les frais de leur voyage du Népal au Qatar laissant leurs familles en otages entre les mains de leurs usuriers ? Plus d’un million et demi de nouveaux travailleurs immigrés sont attendus, que va-t-elle faire pour leur droit  ?
 
« The show must go one » comme disait Avery Brundage ancien président du C.I.O au lendemain du massacre des athlètes israéliens par un commande aux J.O. de Munich 1972. Pour la F.I.F.A la vie des ces victimes du football business importe peu tant que  cela ne compromet pas le succès financier de son entreprise footballistico-esclavagiste. Elle qui se veut l’apôtre de la morale sportive semble oublier qu’il n’y a pas de morale différenciée et que la vraie morale est valable pour tous aussi bien pour ses licenciés que pour les travailleurs qui sont les vrais bâtisseurs des stades où elle exerce elle-même sa toute-impuissance.
 
Aura-t-elle une pensée pour tous les morts népalais et ceux à venir le jour du match d’inauguration de cette phase finale, celle qui sera marquée du sceau de l’infamie et de l’esclavagisme. On ne confie pas impunément l’organisation de la Coupe du Monde à un pays connu pour ses mœurs barbares et rétrogrades. La F.I.F.A en attribuant au Qatar la phase finale de 2022, réédite les mêmes erreurs que le C.I.O en 1936.
 
Le sport n’a pas à servir de vitrine  propagandiste aux puissances fascistes et aux émirats racistes, et un sarcophage pour les ouvriers morts d’épuisement que l’on enterre dans le béton armé pour effacer toute trace. 
 
Des stades-prisons en Argentine et au Chili aux chantiers des stades-camps de travaux forcés et de mouroir pour les travailleurs immigrés. Et de cela la F.I.F.A. n’en a cure tant que la fête continue.

Qui de l’islam malékite et de l’islam wahhabite est le vrai Islam ? La justice tunisienne tranchera

 

 
L’association des imams tunisiens d’obédience malékite mène une offensive judiciaire contre l’islam wahhabite maître souverain de la Tunisie et qui est en train d’en devenir l’islam officiel après en avoir fini avec l’islam malékite celui qui lui fait de la résistance devant les tribunaux.
 
ll ne s’agit pas de discuter des chefs d’accusation  qui portent sur le djihad et le djihad du sexe, proxénétisme d’Etat et incitation à la débauche d’enfants mineurs qui seraient incompatibles avec les lois de l’islam,   mais plutôt de s’interroger sur les motifs politiques d’une telle action judiciaire. Pourquoi cette association a-t-elle attendu si longtemps avant de sortir de son silence ?
 
N’avait-elle pas l’opportunité d’agir en amont avant qu’elle-même ne déroule le tapis vert aux pieds d’Ennahdha et mettre les tunisiens en garde contre la haute toxicité de l’islam wahhabite ? Défend-elle son islam ou la perte de ses privilèges ?
 
A moins qu’elle veuille régler ses comptes à Ennahdha pour promesses non tenues. La justice tunisienne sera-t-elle compétente pour juger du fond de cette affaire et de la recevabilité de sa plainte qui a tout l’air d’être attentatoire aux dogmes de l’islam. Le vrai celui qu’Ennahdha véhicule en Tunisie et non pas le sien qui est un islam syncrétique et à hérétique.
 
Ennahdha ne va certainement pas manquer pour sa défense de lui opposer son argument phare : le vrai islam est le mien et le vôtre est une offense au message du prophète. Impatient de connaître la suite de cette affaire que la justice nahdhaouie aura à trancher en définissant le vrai statut de l’islam tunisien et sa validité théologique. Imaginons un verdict officiel du genre; l’islam tunisien est illégitime et anti musulman et seul l’islam wahhabite est qualifié pour appliquer et défendre les valeurs sacrées de l’islam, quelle sera l’attitude des musulmans tunisiens ?
 
Finiront-ils par épouser massivement les idéaux de l’islam wahhabite, l’islam des sources nauséabondes de la barbarie humaine, ou tout simplement au péril de leur vie, pour apostasie, finiront par abandonner définitivement l’islam et retrouver leurs religions antérieures pour les uns et pour d’autres renoncer en toute liberté à l’utopie des religions ?
 
Tout cela est bien évidemment de la fiction comme les promesses du paradis auxquelles croient dur comme fer les musulmans toutes obédiences confondues.

Doit-on accorder le droit de vote aux musulmans pro charia ?

Beyond the Dar Al-Harb
Beyond the Dar Al-Harb (Photo credit: Wikipedia)

Selon la loi canonique de la charia la voix de la femme compte pour la moitié de celle de l’ homme dans tous les actes de la vie courante, sociale, politique et religieuse .

Subséquemment, le vote des femmes d’obédience islamiste ne  devraient pas déroger à cette règle canonique.

Nul n’est censé violer la charia et  ignorer les conséquences qui en découlent. Contrairement au droit positif, le droit canonique est le droit de la double peine par excellence.

Le principe de Non bis idem auquel échappe nos justiciables trouve sa pleine expression dans le droit canonique.

A savoir selon la charia tout contrevenant doit être jugé deux fois pour la meme chose. Sur terre devant la justice des hommes ayant imprimatur divin et au ciel à l’occasion du Jugement dernier.

Il est du devoir des sectes islamistes de veiller elle-même à l’application et au respect total et absolu de leur loi canonique.

Au nom de principe de la réciprocité entre leur droit et le droit positif fruit de la raison humaine, on peut en toute légitimité se prévaloir de la règle de la mauvaise foi en contrepartie de la leur dans le cas d’espèce.

Il est somme toute logique d’exiger  à ce qu’ils observent  stricto sensu cette disposition  canonique d »autant plus qu’il y a un vide juridique en la matière dans la mesure où’ la femme  musulmane ne jouit pas de droit civique et politique.

Quoiqu’il en soit les islamocrates qui ne cessent de revendiquer violemment le respect par la République de leur droit canonique allant jusqu’à brûler son drapeau et ses codes pourraient obtenir  d’une certaine manière la reconnaissance tant réclamée.

Comme ils se servent des lois démocratiques pour mieux les diluer et les dissoudre dans l’ acide mortel de leur charia, il incombe  aux législateurs d’en faire autant.

Leur perversité diabolique ne nous exonère pas d user des mêmes subterfuges qu’eux. Leur poison peut constituer un antidote efficace pour nous permettre aux démocraties de s’ immuniser contre lui.

LE REMEDE EST PARFOIS DANS LE POISON LUI MEME COMME DISAIT MARCEL ACHARD. Faisons pour une fois une entorse à  notre principe fondamental d’égalité des droits entre les sexes comme tous ces Etats islamistes du Dar al Islam, terre musulmane, en opposition aux Etas laïcs, Dar al Harb,  qui considèrent leurs femmes comme des majeures incapables  qui sont exclues du champ civil et politique.

On est en droit de craindre l insincérité du vote de leurs femmes qui sera un vote vicié parce qu’il a été accompli sous la contrainte de l’époux ou du compagnon polygame, on ne peut pas faire l’économie de garde fou juridique quand bien même ce grade-fou est intolérable pour le droit républicain.

Dans ce contexte, d(autant plus que le doit électoral expression majeure de la démocratie est honni par la charia à cause de son impureté originelle. Il n’est donc pas superflu et inique de se prévaloir de ce principe de droit canonique  pour exiger des islamistes le respect de leurs propres lois divines.

Ils s en prévalent bien des nôtres par pur calcul opportuniste en attendant le Grand Jour où nos notre système juridique sera mis à mort  pour incompatibilité avec la charia.

Au vu de leur pathologie neuropsychologique et du manque de discernement dont ils affublent leurs femmes qui lui vaut sa mise sous tutelle à vie comme l’ aurait diagnostiqué psycho- médicalement  Allah lui-même qui l’aurait dotée de qualités intellectuelles intrinsèques inférieures à celles de l’homme, il est par conséquent et logique que les voix de leurs femmes soient comptabilisées pour moitié.

Et encore normalement  dans notre droit électoral les individus ayant une telle pathologie ne sont ni électeurs ni éligibles. Fort de ce diagnostic médical immanent nous  pourrions lui interdire l’exercice du droit de vote. C’est pour ne pas tomber dans leurs travers machistes et phallocratiques que nous dérogeons à nos propres règles.

En définitive,  au nom de l’équité électorale et de la sincérité du vote., on se doit d’apporter un correctif exceptionnel à notre système électoral et y déroger ainsi la voix  de le femme islamiste devrait aussi être comptabilisée pour la moitié de celle de l’homme dans les joutes électorales ( surtout que c’est un vote par procuration contrainte ), elle doit aussi savoir que sa voix est un acte scélérat et  antiféministe et synonyme de lapidation consentante.

L’islam sème la mort et le monde ne lui dit rien

Seuls les naïfs et les capitulards croient que l’islam est une religion de paix et d’amour de l’humain indépendamment de sa croyance alors que rien ni dans le coran ni dans les Hadiths ne l’attestent et encore moins les faits ne le démontrent bien au contraire il est à des années-lumière d’une religion spirituelle sublimatoire des pulsions violentes et perverses.  Partout dans le monde l’islam déverse des flots de violence inouïe tuant, massacrant, terrorisant, plongeant dans une horreur indescriptible les peuples soumis à sa dictature et tous les autres qu’il rêve de les mettre à ses babouches.  Plus un jour qui passe sans qu’il donne la mesure de sa haine de la vie et répande le sang humain.  Plus aucun pays au monde n’est épargné par les scènes de l’Apocalypse islamique.  Du Kenya à la Syrie, du Pakistan à l’Australie, de la Belgique à la France, de la Libye à l’Irak, du Mali à la Tunisie  et bien d’autres pays l’islam ne cesse d’aiguiser ses crocs et dépecer des vies humaines.
Ses velléités djihadistes à finalité suprématistes et hégémoniques qui ébranlent l’humanité depuis sa Déclaration de Guerre du 11 septembre 2001, et qui ne sont en aucun cas des attentats qualifiés pernicieusement  de terroristes pour occulter la responsabilité de l’islam et les vraies motivations idéologiques de ses auteurs dont la mission était de donner le top du départ officiel de l’entrée en guerre de l’islam contre le monde non-musulman et tous les musulmans qui ne sont pas dans la logique dogmatique guerrière de l’islam;
L’islam sachant qu’il n’a pas les moyens de gagner les guerres conventionnelles, il essaye d’arriver à ses fins par la  ruse comme pour Byzance, la perfidie et  la fourberie, Ce qu’on appelle abusivement attentats terroristes sont en fait  des actes de guerre. Mais une guerre psychologique. une guerre d’usure pour miner  les capacités de résistance de l’ennemi, le tétaniser, lui faire peur, l’intimider,  le harceler à coups de butoirs violents et traumatisants pour l’impressionner et le pétrifier pour mieux le surprendre et lui porter à la fin le coup de grâce sans qu’il ne se rende compte de rien. L’islam joue sur les mécanismes de la peur, toute sa stratégie politico-militaire s’articule autour de cet axe qui est sa pièce maîtresse, son atout majeur pour arriver à ses fins.
Il serait par conséquent absurde de voir dans ce qu’on appelle attentats terroristes des actes isolés et l’œuvre de groupuscules livrés à eux-mêmes. Loin s’en faut.  Le fait de procéder ainsi, leur permet de ne pas laisser croire que c’est l’islam lui-même qui est derrière ces offensives meurtrières tous azimuts. Il en est l’instigateur, l’ordonnateur, le commanditaire et l’organisateur. C’est lui qui fixe le cadre militaire et idéologique de ces opérations dont il est l’instigateur et le bénéficiaire. Elles convergent toutes vers le même but : islamiser le monde pour en faire le Royaume d’Allah.
La liste des horreurs commises au nom de l’islam va  crescendo et ne cessera  de s’allonger. Les innocents continueront de tomber comme des mouches sous les coups de glaive des amis de l’organisation terroriste d »Ennahdha appliquant fidèlement la feuille de route qu’a tracée à tous les musulmans le grand chef guerrier prophète auto proclamé Mohamed.
 
Les organisations terroristes musulmanes appartenant toutes à la mouvance sunnite prolifèrent partout dans le monde comme un champignon venimeux. Semant la terreur et brisant des vies humaines au Kenya, la Syrie, l’Irak, le Pakistan,  la Libye, l’Afghanistan, le Nord du Nigéria après avoir fait subir à l’Algérie dans le Grand Effroi coranique.
Ni l’Egypte ni la Tunisie, propriété inaliénable d’Allah comme vient de le rappeler l’agent djihadiste Dilou, ni l’Occident lui-même qui avait contribué à la création de certaines de ces organisations financées par les deux protectorats américains d’Arabie Saoudite et du Qatar  ne perdront rien d’attendre.
Que le monde sache que l’on ne peut pas contenir la soif hégémonique insatiable de l’islam et son bellicisme dogmatique en le drapant dans les vertus qui ne sont pas la sienne.  L’islam est un fauve indomptable qui ne s’apaisera tant qu’il n’a pas dévoré son dompteur.
 
Ce qui vient de se produire au Kenya n’est pas qu’un simple attentat terroriste, c’est un crime de guerre et un crime contre l’humanité dont s’est rendu coupable l’islam contre le reste du monde, qui n’arrêtera  jamais les hostilités tant que le monde entier ne sera pas soumis à ses lois.
L’islam est dans sa phase de conquête du monde, le djihad,  et le monde le laisse faire en toute impunité. Plus il tarde dans  sa contre-offensive contre l’expansionnisme militaire musulman, plus l’islam gagnera du terrain et le règne d’Allah se précisera. Le monde n’a toujours pas compris que l’islam n’est pas une banale religion, c’est une idéologie totalitaire  qui instrumentalise le sacré à des fins impérialistes et politiques. Ce n’est pas en compatissant pour les victimes de la barbarie musulmane que l’on va pouvoir éradiquer cette peste nazie.

Un musulman est condamné à rester figé dans la pierre noire de la Ka’aba

Chez les peuples tourmentés par leur vie dans l’au-delà, portant le deuil de leur mort au cours de leur vie, il n’y a d’amour de sa patrie que dans sa disparition au profit de l’Oumma islamique. Tout doit rester figer dans la pierre noire à laquelle, ils vouent un véritable culte païen. Le passé se conjugue au présent, le futur est absent. La langue arabe ignore le temps à venir. Seul le passé-présent est leur motus-vivendi. Même quand ils font, ou on leur fait croire, qu’ils ont fait des révolutions, c’est pour renouer avec le passé et ré instaurer un ordre ancien sur le modèle fasciste.

Contrairement au bolchevisme, l’islam n’offre aucune perspective à ses fidèles d’un monde meilleur sur terre. C’est en soi une hérésie. Aucune mutation sociale, politique et humaine n’a lieu d’être. Tout est basé sur le principe de l’immuabilité absolue. Alors que le bolchevisme prône le changement et la rupture avec l’ordre ancien. L’islam est dépourvu d’une vision dynamique. du monde. Ses adeptes ont pour seule obligation d’adopter la même posture, de s’inscrire dans la continuité de leurs vaillants aïeux, auxquels ne les lient aucune parenté ethnique et culturel. Mais tout doit fonctionner sur le modèle ‘un schéma sectaire où les membres sont liés par des liens occultes et mystiques qui font office de chaînes les rattachant les uns aux autres pour en faire un corps uniforme et aggloméré.

Censés s’agréger les uns aux autres pour former un même corps, oumma, aucun membre, n’est en droit de rompre cet ordonnancement voulu par Allah, sous peine d’en essuyer les foudres suprêmes. Imbriqués et emboîtés les uns aux autres, avec un ordre hiérarchique toutefois entre les morceaux du puzzle, musulman, chacun doit veiller à conserver la place qu’Allah lui a réservée. Il ne doit y avoir par conséquent aucun mouvement dynamique. Tout doit rester immuable avec une interdiction d’intervertir l’ordre voulu par Allah. Pour attiser la colère d’Allah, et exciter ses pulsions mortifères et violentes, au lieu de résilier, les musulmans se résignent..

Tout changement est assimilé à une malédiction divine, une Fitna, qu’ils ne sont pas prêts d’affronter. Rares sont les peuples qui se soulèvent et s’insurgent contre les injustices et la dégradation infamante de leurs conditions de vie parce qu’ils ne font qu’assumer ce que dieu leur a octroyé. Seules l’obéissance et la soumission à sa volonté sont leur moteur de vie. L’homme n’est pas doté d’une volonté propre, il est sur terre pour suivre la voie que dieu pour les uns et les esprits chez le autres tels les haïtiens qui pratiquent le culte à l’esprit avec le monde invisible.

Que ces peuples soient tournés vers le monothéisme ou le paganisme et parfois voire souvent, ils s’adonnent à des rituels syncrétiques combinant les deux comme en Tunisie avec les rituels maraboutiques e d’occultisme basés sur le culte de la personnalité, l’idolâtrie, la sanctification de la personne, la magie noire, l’envoûtement, la possession,l’invocation des esprits, la sorcellerie, on ne rêve pas de changer sa vie et d’un monde meilleur pour soi et les générations futures, on rêve de ce que sera de sa vie à sa résurrection. Quand à leur désespoir sur terre, il n’est qu’un espoir pour une vie meilleure dans l’au-delà.

Dans un monde gouverné par la main invisible toutes tentatives de tourner la page du passé deviennent un sacrilège et s’évanouissent dans les méandres de la pensée. Les poids des traditions qui font office de loi de la pesanteur annihilent toute volonté de rupture et freinent ainsi les populations dans leurs désirs d’abandonner leurs pratiques culturelles ancestrales qui sont leur matrice maternelle au profit de nouvelles valeurs étrangères libératrices des énergies et et qui portent en elles les germes des libertés et de dignité humaine.

A l’accès et l’exercice aux droits fondamentaux, on préfère la soumission aux obligations cultuelles et s’enfermer mentalement dans un monde hallucinatoire et anxiogène où la réflexion repose sur des mécanismes irrationnels, superfétatoires, nourrie essentiellement par la rémission à dieu et aux esprits malins inspirés par Satan et la magnificence divine et les Saints protecteurs auxquels les nazi-islamistes vouent une haine féroce, de peur qu’ils ne fassent de l’ombre au Démiurge. Ignorant tels qu’ils sont de la place de ses saints dans l’identité tunisienne, qui sont la preuve vivante d’un islam contextualisé et adapté aux us et coutumes des pays où il s’était implanté.

Dans un tel environnement culturel et cultuel où le mode de vie des gens, leur mode de pensée et leurs comportements sociaux sont dépourvus de toute rationalité et d’objectivisme, fondés sur le négativisme social social où les processus sociaux sont pré déterminés , préconçus et inspirés par un système de croyance les rendant immuables et transtemporel.

Cette psychopathologie sociale propre aux sociétés conservatrices s’accompagnent généralement par des symptômes du repli sur soi, la peur du changement, les délires mystico-paranoïdes, la passivité, violence pour extérioriser ses frustrations, troubles de la personnalité, la sclérose identitaire, l’incurie intellectuelle, l’immobilisme, la nostalgie du passé, les troubles de conscience et d’affirmation de soi, les troubles des conduites sociales, la mise en scène hystérique collective où les sujets miment, simulent et se défoulent sur cet autre, le bouc-émissaire, leur souffre-douleur, l’objet fantasmé de leur courroux, diabolisé et honni.

Le mal qui est en soi se trouve toujours projeté sur l’autre. Cet autre que l’on jalouse et envie intérieurement mais qui les obsède et les tourmente inconsciemment du fait de leur intolérance pathologique à la différence.

Quelque part cet autre comble le vide sidéral qui est en eux et que pour leur propre survie ils se doivent de le faire exister pour assouvir leur aversion d’eux-mêmes. Toute manifestation de haine vis-à-vis d’autrui est en réalité symptomatique de la haine de soi et une forme avouée d’auto suicide.

Comme la société est par définition un agrégat d’individus, il est évident qu’elle ne qu’être que leur produit, contaminé et irradié par leurs symptômes  le fidèle reflet, le miroir qui réfléchit tous les signes en usage dans une société, en l’occurrence la société tunisienne. Le remède que veut lui appliquer ces nombreux charlatans et gourous qui prospèrent sur le terreau de son ma- être est plutôt la cause principale des graves troubles psychiques et névrotiques qui gangrènent le corps social tunisien, on ne pas peut soigner l’origine du mal par les symptômes du mal profond inhérent à une culture liberticide, oppressante, castratrice, culpabilisante  négatrice de l’individu fondée sur un système de croyance totalitaire et fascisant régissant tous les aspects de la vie des gens dans leur moindre petit détail dans toutes les étapes de la vie et jusqu’à la mort.

Les espaces de libertés sont prohibés au nom du sacré et que fait de l’interdit la seule norme de vie sociale et individuelle. Socialement et individuellement tout doit s’articuler autour des schémas de pratiques cultuelles rythmant l’organisation sociétale et personnelle. Comme cela se produit souvent, plus les peuples sont enfiévrés par la religion, plus ils sont enclins aux croyances surnaturelles et para naturelles que les confréries sectaires et maraboutiques leur distillent pour remédier à leurs carences psycho-affectives et à ce besoin de réponses perceptibles, palpables et immédiates à leurs questionnements existentiels. Paradoxalement, ces peuples à défaut de rêver s’illusionnent sur le déroulement des évènements futurs comme si cela correspondrait à un besoin thérapeutique absolu. Besoin de s’en remettre à l’autre, à Dieu mais rarement à soi.

La solution n’est pas en soi, la clé est souvent entre les mains du tiers, ce tiers soit invisible soit visible qui prend la forme d’un gourou ou de marabout, une figure tutélaire et idolâtrée tel l’illuminé R. Ghannouchi, et charognard terroriste, l’artisan majeur des assassinats politiques en Tunisie, dont celui de Chokri Belaïd. pourvoyeur de chair à canon pour la Syrie et que tout donne à penser qu’il serait impliqué dans l’attaque terroriste contre les 2 sites gaziers dans le Sud Ouest algérien.

Un des principaux maîtres à penser du terrorisme djihadiste, et interface attitré entre l’Emir du Qatar, Dr Jekyll en Occident et Mr Hyde en Orient, faute d’être un Calife, il a gagné ses galons de Calife de la corruption, et la nébuleuse islamiste. Depuis son retour ubuesque en Tunisie, il se comporte comme le sauveur ou le messie attendu en usant d’artifices ésotériques charismatiques, de manœuvre de manipulations mentales qui sous-tendent généralement les actes de terrorisme mental pour rallier et haranguer les foules, en exaltant leur ego fruste et frustre un peu comme le faisait Hitler en Allemagne nazie. En conclusion, on ne peut pas élaborer un diagnostic fiable de tous les signes observés dans le champ social tunisien depuis le 14 janvier 2011 et surtout révélés au grand jour par sa Révolution sans recours à la sémiologie psychiatrique.

A Amina et ses semblables : on ne fait pas de la pornographie langagière une arme politique

 

 
 
On ne fait pas de la résistance à Ennahdha avec de la diatribe verbale et la pornographie langagière
Ni la jacasserie ni la vulgarité auxquelles certains  tunisiens ont de plus en plus recours ne sont une arme pour gagner la partie.   Et ceux qui s’y adonnent ils le font surtout pour ne pas sombrer dans l’anonymat et par égocentrisme, opportunisme  et narcissisme.
On ne déboulonnera jamais l’adversaire avec la vacuité et la fatuité dont la finalité est de renforcer le pouvoir de l’ennemi.  C’est pourquoi Ennahdha peut dormir tranquille, continuer à s’engraisser et mettre le pays sous coupe réglée en tissant sa toile d’araignée vérolée .
La vraie résistance n’est jamais dans l’insolence et la violence verbale. Il faut de l’action et de la réflexion sans cela aucune cause ne peut réussir. Ni De Gaulle, Ni Mandela, ni Bourguiba, ni Ghandi, ni Senghor n’avaient versé dans l’excès langagier et la trivialité pour combattre l’occupant et défendre leur cause. Il n’y a pas plus contreproductif, guignolesque  et stérile qu’un soi-disant combat politique où l’on manie le langage fleuri. D
e plus en plus de tunisiens croient  faire de la résistance à Ennahdha par des vidéos de bas-fonds qui sont surtout symptomatiques de leur inaction et de leur incurie intellectuelle et mentale. Quel crédit peut-on donner à des femmes et des hommes qui font de la pornographie langagière un mode de communication politique ? Aucun sauf pour amuser la galerie et se discréditer eux-mêmes. La politique est avant tout synonyme de politesse et de civilité. En dévoyant ces deux mots, on se trouve soi-même dans le fond des caniveaux. Quand on a pas d’alternative crédible à proposer, il reste la violence du verbe qui est un poison mortel pour fédérer et mobiliser le peuple.
Qui peut se reconnaître et s’identifier dans le langage empestant les odeurs des égouts si ce n’est la lie du peuple. On ne peut faire  de la lie le haut du panier et encore moins un atout  majeur de ralliement de l’ensemble des citoyens autour d’un projet unitaire et catalyseur.
Pour rassembler un peuple, il faut des éléments de langage policés et communs à tout le monde qui agissent comme un aiguillon sur sa conscience et son éveil. Un langage décoiffant, ébouriffant et burlesque ne fait que desservir la cause que l’on prétend défendre et qui a bien souvent un effet boomerang sur ses adeptes.
Si l’on prétend défendre une cause, on doit apprendre à faire de la pédagogie politique. ce dont les triviaux tunisiens ne sont absolument pas en mesure de faire à cause de leur absence de maturité politique et de savoir-être et de savoir. Ils peuvent toujours gagner leurs galons d’intrépides et de trublions et encore mais jamais ceux de militants politiques crédibles et respectables. Le langage en tant que véhicule de la pensée obéit à des codes et des règles de bienséance, il n’est pas une usine d’incinérations d’ordures ménagères qui rend l’air irrespirable à cause des odeurs empestant les immondices.
Tout combat politique qui prospère sur un terreau inondé par les égouts finit par en être contaminé.
Plutôt que d’exercer un attrait sur les foules, les hérissera et les dressera contre son auteur. Que ces turbulents sachent que les joutes politiques ne sont pas un plateau de tournage pour films hard ou des scènes de cabaret pour des vulgaires numéros soi-disant artistiques de strip tease. La culture de la parole politique n’est pas l’exaltation de la parole obscène et grossière. Elle est doit contribuer à élever les débats et les nourrir et non les étouffer et les discréditer.
Ces nouveaux acteurs en herbe de la pornographie politique tunisienne ne se rendent pas compte qu’ils se noient eux-mêmes dans le torrent de boue dithyrambiques qu’ils s’illusionnent déverser sur leur ennemi.
Quelle once de crédit peut-on accorder à la personnalité de ces personnages qui croient exister dans l’hystérie discursive ? Leurs vociférations attestent incontestablement de leur état de troubles psychotiques et de leur absence de clarté d’esprit.

Aux musulmans « modérés’ : l’islam ne s’interprète pas il y en a qu’un c’est celui des islamo-djihadistes

Ghalib Bencheikh disait qu’il y a autant d’islam que de musulmans et que chaque musulman peut aller de sa propre interprétation de l’islam. De deux choses l’un où il est de mauvaise foi à la façon Tarek Ramadan ou il est totalement ignorant de ce qu’il prétend en être expert. Il ne doit pas ignorer que nul musulman est en droit d’interpréter la parole incréée. Il a dicté sa volonté aux musulmans connus pour être majoritairement abnalphabètes et incapables de lire l’arabe,dans un code multiforme immuable et intemporel dont il serait l’auteur.
Les musulmans ne sont ni des théolgiens, ni des philologues, ni des exégètes, ni des experts en droit musulman ou spécialistes de la pensée islamique. Allah est le sol à connaître le sens véritable, de ses ordonnances qui doivent laisser subsiter aucun doute dans l’esprit de ses esclaves. Ils là pour appliquer sa volonté et non pas pour la traduire, la décfiffrer, la réécrire, clarifier ou dévoiler cequ’il aurait caché derroère les mots.
La parole d’Allah doit être prise telle qu’elle est et non pas faire l’objet de discussion  qui pourrait lui faire perdre sa substance. La sourate 3 d’Al-Imrane dans son verset 7 sans appel sur le sujet de l’interprétation : « C’est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre : il s’y trouve des versets sans équivoque, qui sont la base du Livre, et d’autres versets qui peuvent prêter à d’interprétations diverses. Les gens, donc, qui ont au coeur une inclinaison vers l’égarement, mettent l’accent sur les versets à équivoque, cherchant la dissension en essayant de leur trouver une interprétation, alors que nul n’en connaît l’interprétation, à part Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la science disent : « Nous y croyons : tout est de la part de notre Seigneur!  » Mais, seuls les doués d’intelligence s’en rappellent. »
Le musulman doit prendre au pied à la lettre ce qu’Allah lui ordonne  faire et de ne pas.faire.
Il n’y a pas trente six islam, il y en a qu’un celui que tous les musulmans sont tenus  de suivre fidélement  et qui ne tolère aucun écart  ni personnalisation.
 Mahomet  a créé un islam pour tous  et en aucun cas un islam pour tout un chacun avec la liberté de se le représnter et concevoir selon son bon vouloir. .
Contrairement à ce qu’imaginent les musulmans ‘soft »qui voient dans l’islam une philosophie de vie personnelle que chacun adapte  à sa manière. Comme s’il pouvait avoir un code de la route individualisé.
 L’islam est une communauté de vie uniformisée, un ordre religieux, un mode de gouvernement et un destin commun, se voulant une matrice-mère pour ses ouailles, une oumma..
C’est pourquoi seuls ceux qu’on appelle islamistes,  les tenants de l’islam politique comme si l’islam n’était pas lui-même un mode de pensée politique englobant le profane et le sacré  sont ceux qui sont ceux qui s’inscrivent véritablement, fidèlement  et littéralement dans le sillage de Mahomet qui se considèrent ainsi comme ses héritiers légitimes pour réunifier les musulmans sous la même bannière.
Personne ne peut leur contester leur état d’islamité qui est aux antipodes de l’état de bouddhéïté. La première est la voie  qui mène à la négation de soi et de la vie humaine, qui fait de la mort l’essence de la vie, tandis que la deuxième élève l’homme et lui procure une sagesse infinie dont il a besoin pour affronter les cours de son destin sans heurts ni violence.
 N’en déplaise aux musulmans qui les accusent de dévoyer et de défigurer l’islam qui les traient même de faux-musulmans, ce qui est une véritable hérésie, alors que l’islamisme puise ses sources dans l’islam, à la différence de leur islam qui est une très pâle copie de l’islam, une facette éloignée des dogmes de l’islam. En donnant cette grande visibilité à l’islam, claire et sans équivoque quant à la nature ténébreuse et effrayante des textes fondateurs de l’islam, les islamistes  incarnent le mieux les vraies valeurs de l’islam que leurs coreligionnaires qui ont souvent une connaissance fragmentaire  et sommaire et dont les seuls arguments qui font valoir pour s’en démarquer : ce n’est pas ça l’islam et que c’est la faute aux juifs sionistes et à l’Occident si l’islam est couvert de boue et d’infamie.
En croyant se murer dans le déni et persévérer dans la voie de la dénégation, ils pensent pouvoir convaincre ceux qui appellent à la vigilance contre l’islam et qui lient terrorisme, barbarie, viol, pédophilie, nymphomanie, et racisme à l’islam.
L’islamisme que rien ne distingue de l’islam sauf l’isme, est la  face émergée de l’iceberg musulman. Au fond d’eux-mêmes  les musulmans savent pertinemment que les islamistes ont plusieurs longueurs d’avance sur eux et qui s’activent à répandre le message du prophète aux quatre coins du monde en vue d’établir la suprématie de l’islam sur toute la terre.
Ils ne peuvent pas nier que leur rôle de finaliser et de matérialiser les texte obéit aux injonctions coraniques qui pèsent sur chaque musulman. Péchant par manque de savoir religieux, de courage et de lucidité, ils esquivent les vraies questions de fond que soulèvent leurs coreligionnaires qui qui mettent en oeuvre la feuille de route que le prophète a fixée aux musulmans. Pris au piège de la vérité révélée sur l’islam par leurs propres coreligionnaires activistes, ils se trouvent entre le marteau et l’enclume. Soit ils assument véritablement leur identité musulmane et deviennent islamistes, soit ils se rejettent cet islam qui est en définitive celui qui est le plus cohérent avec le coran, l’enseignement  et la tradition et là ils ont peur de commettre une apostasie punissable de la double peine : la mort et l’enfer. L’islam light comme ils se plaisent à le proclamer est une vue de l’esprit, un oxymore, il n’y en a qu’un c’est l’islam islamiste.
Par conséquent, il est somme toute légitime  que les vrais héritiers du prophète et de ses compagnons en leur qualité d’adeptes authentiques, purs et durs, des dogmes de l’islam s’érigent en inquisiteurs-procureurs et  les traitent  d’ignares et les vouent aux feux de l’enfer.
En effet, les bons musulmans en l’occurrence ceux qui appliquent fidèlement la feuille de route de Mahomet pour imposer la dictature de l’islam  aux quatre coins de la terre  sont conscients du danger de cet islam light qui si on le laisse prospérer, finira par porter le coup de grâce à l’islam à cause de son caractère extrinsèque et syncrétique. Un islam sous influence extérieure est un islam vidé de son essence et substance. C’est pourquoi, les bons musulmans s’acharnent en premier lieu sur les musulmans incapables d’assumer leur islamité pour les punir pour leur mollesse à ne rien faire pour défendre l’islam et contribuer à son hégémonie. Les musulmans light qui déforment et travestissent les dogmes de l’islam, doivent cesser  de continuer à tordre le cou à la vérité qui accable leur religion soi-disant d’amour et de paix.
Comment peuvent-ils à ce point nier les évidences et se voiler la face devant tous les faits dont abreuvent le monde les bons musulmans ?
Comment expliquent-ils  par exemple la nymphomanie  licite (hala), certaines djihadistes du sexe au service d’Allah, peuvent consommer jusqu’à 100  djihadistes en Syrie par jour ? Cela ne relève pas de la calomnie.  Il s’agit d’un témoignage entendu dans la bouche du bon ministre de l’intérieur tunisien  du bon gouvernement  musulman du premier ministre bon pédophile, bon terroriste, bon proxénète, Ali Larayedh.

Islam ou quand le vice est la voie du paradis et la vertu est la voie de l’enfer

 
Nos femmes sont des putes et des safirats, nos enfants sont des bâtards et nous sommes maudits parce que nous en  avons rien à fiche de leur religion.
Leurs femmes qui font les putes pour Allah sont bénies, leurs enfants portées par  elles sont ses élus , leurs hommes qui tuent, violent et terrorisent sont des héros frappés par la grâce d’Allah.
Le vice est pour nous et la vertu est pour eux. Drôle de religion qui dévoie tout qui sacralise le vice et condamne la vertu. Il n’ya de vérité que dans la transgression de la morale et l’infamie.
Est-ce que Satan lui-même s’y reconnaitrait ? Tous ces centaines de morts de ce week end portent pourtant  la signature de l’islam mais les musulmans  sont convaincus qu’ils font tout ça pour le bien d’Allah et à  notre plus grand malheur.

L’islam fait encore les siennes au Kenya et en Irak

L’islam ne cesse de faire parler de lui. Pire encore que le nazisme. Le monde croyait avoir tourné la page des crimes contre l’humanité et l’islam est là pour lui rappeler qu’il doit se préparer à des nouvelles tragédies et un nouveau Shoah dont les victimes ciblées sont les chiites qui sont menacées d’extermination dans le monde musulman, voire les musulmans eux-mêmes qui aspirent à vivre dans la paix.

Encore une fois, l’islam le pur et le dur vient de s’illustrer ce week end sous le regard de l’Occident bienveillant et complaisant  avec un véritable carnage à Nairobi et les  dizaines de morts  et des centaines de blessés chiites hier  en Irak  lors des funérailles d’un des leurs, tués par les gens qui appliquent littéralement l’enseignement du prophète et qui reproduisent fidèlement son vécu, ce qu’on appelle l’orthodoxie musulmane.

Et les bons sunnites appellent leur obédience, une obédience de paix et d’amour dont Al Qaïda est le modèle parfait pour tous les musulmans sunnites.

L’islam et ses divisions; l’islam et ses horreurs. L’islam est la religion de la religion de la barbarie humaine par excellence. Insatiable et jamais repu de sang et de chaire humains.

Ca fait plus de 1400 ans que ça dure. A part ça ils sont tous des frères mais des frères dans la haine et la cruauté.

Celui qui en doute il n’a qu’ à devenir musulmans. Soit il sera offert en Holocauste pour apaiser la colère d’Allah, le père géniteur du nazisme, soit il tuera en son nom pour les malheurs des siens et ceux de l’humanité.

Les vraies valeurs de l’islam : djihad, nymphomanie, viol et pédophilie

 

 Tous les musulmans ne se revendiquent pas islamistes, mais tous les islamistes sont musulmans et des musulmans convaincus qui appliquent fidèlement, littéralement et consciencieusement  les prescrits de l’islam. Ce sont ces derniers qui ont le plus souvent les connaissances les plus pointues et lecture la plus approfondie du Coran et des Hadits du fait de leur maîtrise de la langue arabe.

La différence entre eux est moins un problème de matrice religieuse qu’un problème de nature humaine ou de caractères fondamentaux qui définissent les êtres. Tout les différencie en termes de traits physiques que d’attributs moraux.

En effet, les islamistes contrairement à la majorité des musulmans sont dotés d’un caractère inerte et rigide et qui renvoie le mieux à ce que fut le tempérament des musulmans de la première heure coulés dans le moule tribal arabe .

Fermés au dialogue ayant une aversion pathologique au débat d’idées. Murés dans leurs certitudes et nombrilistes au point qu’ils refusent de voir et concevoir le monde autrement qu’à travers leur prisme idéologique qui se veut une vérité totale et absolue. Il en résulte  de tout cela un comportement inerte et rigide  qui est à l’origine de leurs pulsions incontrôlées et leurs hyper réactivités.

Ils sont tellement enracinés dans leur idéal  religieux que leur psyché s en trouve être en phase avec lu et qu’elle en est même le produit.  D’où ces délires névrotiques et psychotiques qui sont les manifestations illusoires de la toute puissance de leur Vérité doctrinaire  qui les rendent hermétiques et incapables d’admettre l’existence d’un monde extérieur différent du leur.

Cet état d enferment mental et de conditionnement psychologique est le fruit d’un endoctrinement idéologique intensif les faisant détacher de l’être social pour lui substituer un être antisocial. Lequel être se considère comme étant  porteur d une mission sacrée de purification de la société en ayant recours bien souvent à des méthodes d’intimidation et de persuasion des plus violentes.

Confortés par leur idéal religieux, les islamistes  considèrent qu’il ne peut y avoir une société humaine en dehors de celle qui ne puise pas ses sources dans le Coran.      

De ce fait, tout autre modèle sociétal est déclaré impur et combattu jusuqu’à ce qui il ait fini par se fondre dans un environnement islamique selon les normes définies par le Coran.                                                                                        

L’idéal religieux islamiste -la mère nourricière des islamistes- tel que le promeut l organisation sectaire des Frères musulmans avec l’appui financier et stratégique ( moyens de communications, oeuvres caritatives, la zakat) des Qataris et de Wahhabites saoudiens n’est pas un idéal humaniste visant à pacifier le monde, il est de par sa nature coranique un idéal hégémonique, impérialiste et attentatoire aux libertés, à la paix et à la sécurité dans le monde. Le fait que les maitres à penser les plus influents tel le Qatari Youssef Qaradhaoui  et toutes les grandes figures terrifiantes du djihadisme islamiste tel que feu Ben Laden  soient origines de ces pays n est pas fortuit. Ils sont même la preuve de l implication de ces monarchies pétrolières dans les tentatives de confiscation de ce qu’on appelle abusivement le Printemps Arabe et ce par le biais des nébuleuses islamistes telle la secte tunisienne d’Ennahdha.                                                                                

Ainsi, la Tunisie se trouve  malgré elle au coeur de la stratégie hégémonique islamiste de conquete du monde dont ils veulent faire une vitrine de l islamisme triomphant. C’est pourquoi iles islamsites de ce pays font preuve d’un activisme acharné, violent et prosélyte  afin d’intimider, de soudoyer, corrompre et d’attirer la masse de leurs compatriotes indigents dans leurs filets aux mailles acérées.

Comment faire entendre la voix de la raison à ces hommes et femmes qui sont ne butte aux difficultés du quotidien  et pour qui présenter son obole à la main charitable islamiste est une bénédiction d Allah ?  Et comme chacun sait un ventre creux n’a pas d’ oreilles. Mais sont ils conscients que la Tunisie a fait une révolution contre le despotisme, le népotisme, la corruption érigée en système de gouvernement, le pouvoir monopolistique et totalitaire, l’hégémonisme mafieux, l’arbitraire, la confusion des pouvoirs, les abus d autorité, les atteintes aux libertés publiques et individuelles etc… ? 

Et c’est  cette masse des gens en état de dénuement matériel et délaissée par les autres partis qui est la  cible favorite des islamistes passés maitres dans  l’art de la manipulation mentale et du dévoiement de  l’opinion publique ont parfaitement compris l’effet d’aubaine que cela présente pour eux.  Ils savent que l’issue du scrutin du 23 octobre 2011 dépendra  de ces électeurs potentiels. Ils sont la clé de voûte  de son succès électoral qu’ils se font fort de séduire par tous les moyens surtout des plus répréhensibles, mais la voie d’Allah ne s’embarrasse pas de scrupules et du respect des codes de caractère humain, peu importe le calice pourvu qu’on ait l’ivresse.                                                                                                                                          

 Apparemment ces Tunisiens corrompus par les islamistes n’en ont cure de savoir que les vrais acteurs de la Révolution tunisienne que sont  la jeunesse et  la société civile dont les fondements sont menacés par un éventuel pouvoir religieux en Tunisie ont fait surtout leur Révolution pour leur droit au respect de leur dignité tels que le traduisent leurs slogans révolutionnaires. Il est immoral et insultant pour toutes les victimes du despotisme meurtrier et criminel  de l’ancien régime que leur mémoire se trouverait  sali et que leur sang  aurait coulé  pour la cause ignoble et barbare de l’idéal islamiste. Un idéal dont peu de personnes  en connaissent la dangérosité et la nocivité sur la vie humaine.                    

  A croire qu ils n’ont pas tiré les leçons du passé, le leur ainsi que celui des populations vivant sous le joug de la barbarie islamiste. Tout se passe comme s’ils éprouvent une certaine forme de jouissance sexuelle en livrant leurs corps en hommage aux hydres islamistes. Comme si les siècles de domination araboislamique étaient synonymes de libertés de conscience, de confession ou de cultes .

Et voilà qu’au moment où’ ils sont à un tournant de leur histoire politique, humaine, ils préfèrent vendre leur âme au Satan islamiste et s’asseoir sur  leurs acquis révolutionnaires parce que la voix du ventre prime sur la voix de la mère patrie. Ils oublient que cette Révolution de la dignité n’est pas une Révolution de l’indignité.  Dr Benammar

La calamité de l’arabo-islamité

Vous voulez être arabes ce que vous n’êtes pas
Votre mépris de vous-mêmes vous jette dans les bras de vos ennemis
Fiers de votre arabité la voie de la barbarie  et son lot de cruauté
 Vous voulez être musulmans vivant  en paix avec le monde
Oubliant que le vrai islam est le  le salafisme qui sera votre tombe.
Vous n’échapperez pas à votre destin d’éternels dominions.
 Vous êtes condamnés à leur servir de pions 
Le jour où vous prendrez conscience de ce que vous êtes 
 Vous n’aurez que vos linceuls pour couvrir la honte de vous-mêmes
Quand on rêve de liberté on doit briser les chaînes de l’islamo-arabité
Vos maîtres y veillent et jamais vous recouvrez votre dignité.
Vous oubliez que vous aïeux ne furent pas  arabes de leur plein gré
Convertis de force au fil de l’épée,
Ils y ont laissé leur âme et leur identité
Cessez avec votre culture de servilité et d’indignité
Vous n’avez d’arabes que votre état de cécité
Plutôt que de leur lécher les babouches faites leur lécher les vôtres
Mais immatures et pleutres vous avez peur de finir en enfer
Naïfs que vous êtes vous avez mordu à l’hameçon de leur religion
Votre destin est scellé et votre avenir sera leur passé.
 
 
 

Le mythe de l’identité arabo-musulmane

Je n’ai jamais fait l’amalgame entre arabe qui désigne celui qui tire ses origines des tribus d’d’Arabie et musulman qui est une religion.

Parler la langue arabe ne crée pas des liens ethniques avec l’Arabie, c’est occulter la vraie histoire des peuples tombés sous le joug des envahisseurs arabes qui leur avait imposé leur langue et leur religion par la force de l’épée et comme le définit Ibn Khaldoun est arabe celui qui situe généalogiquement dans l’une des tribus d’Arabie.

Par conséquent s’exprimer dans cette langue devenue au fil des siècles la langue maternelle imposée à un ensemble d’êtres humains différents anthropologiquement, historiquement et biologiquement ne signifie pas nécessairement que les individus qui pratiquent cette langue sémite qu’ils se reconnaissent et s’identifient dans ce que les nationalistes arabes, agents de l’impérialisme arabo-musulman, appellent : est arabe celui qui parle arabe, qi se veut arabe et qui se dit arabe.

Comme si être arabe ça se décrète et se revendique et qu’il suffit de le parler pour s’apparenter à une des tribus arabes, niant ainsi ses vraies racines culturelles et ethniques que les arabes avaient détruites au profit de leur modèle ethnocidaire. Comme un esclave tout fier d’afficher sa condition d’esclave propriété de son maître.

Etre arabophone renvoie plutôt au fait colonial arabe comme être francophone est lié témoigne de l’héritage colonial. Sauf que la première est dotée du statut de langue maternelle du fait de son caractère liturgique et la deuxième le statut de la langue du colon. Alors qu’aussi bien l’une comme l’autre sont et notamment pour l’arabe évocatrices du dépouillement de ces peuples de leur identité politique, historique et culturelle.

Autant le français était porteur de valeurs de lumière et d’humanisme autant l’arabe n’a rien fécondé en termes de développement humain et d’acquis sociaux et politiques. En voulant englober tous les peuples arabisés contre leur volonté, on a voulu les fondre dans le même moule arborant la bannière arabe. Et voilà comment des peuples qui ont écrit et marqué l’histoire universelle se voient amputés et mutilés de ce qui leur moelle épinière et de leur mémoire historique. Comme je n’ai jamais fait l’amalgame entre un arabe et un syrien, un arabe et un djiboutien, un arabe et un mauritanien, un arabe et un égyptien, un arabe et un palestinien, un arabe et un algérien, un arabe et un irakien, un arabe et un tunisien, etc…Faire un tel amalgame c’est une insulte à l’histoire  millénaire de ces peuples , faire fi de leur histoire politique, militaire, civilisationnelle, leur identité propre, leur particularisme humain, leur existence pré islamique. Les assimiler à des arabes cela revient à dire que les territoires colonisés par les arabes venus de la Péninsule arabique étaient des terra nullus, des territoires sans peuplements humains, à moins qu’ils ne fussent génocides.

Les arabes n’étaient pas comme ces  ces familles européennes qui avaient colonisé le Far West américain avaient peuplé ces contrées sauvages et hostiles eux qui n’avaient et ont toujours comme du sens du mot peuplement que la destruction et la ruine des peuples tombés sous leur joug. Or, c’est faux et archi-faux. Ces territoires avaient une histoire, une culture et une civilisation. Cette manœuvre d’uniformisation des peuples que tout sépare des arabes et de rupture radicale avec leur passé qu’au point que des prénoms comme Kuseila et Dihya ( Kahina) sont interdits en Tunisie et en Algérie tend essentiellement à mettre une chape de plomb sur les dégâts dévastateurs commis par les arabes lors de la conquête. En laissant croire à ces peuples ce qu’ils ne le sont pas réellement, cela empêche toute révision de l’histoire des crimes génocidaires perpétrés contre ces peuples. L’illusion de l’identité arabe agit ainsi comme un soporifique qui interdit tout travail d’introspection identitaire et pire encore faire de soi l’ennemi de soi, à l’exemple des Kabyles en Algérie objet de rejet et de haine de la part de leurs propres frères biologiques qui se veulent plus arabes que les arabes eux-mêmes et qui considèrent qu’être Amazighs est une infamie et une insulte à la pureté de leur sang arabe.

Ce n’est pas par hasard que les forces obscurantistes de la Péninsule arabique qui oeuvrent d’arrache-piedsau maintien de leur pouvoir de domination sur les peuples arabisé, s’appuient sur les milices-renégates locales acquises à la cause de l’arabo-islamisme particulièrement dans les pays afro-méditerranéens pour étouffer dans l’œuf le réveil des consciences identitaires de ces peuples. Les pétromonarchies arabes sont elles en réalité les vraies ennemies de ces peuples, elles savent que tant qu’ils n’ont pas entrepris leur propre réécriture de leur histoire et gagné leur indépendance politique en coupant les liens vérolés et d’allégeance qu’elles exercent sur eux à travers la Ligue Arabe et l’O.C.I. elles n’ont aucun souci à se faire pour leur propre pérennité qui repose elle-même sur un socle en sable qui pourrait être balayée au moindre coup de vent.

Il n’y a pas mieux pour elles que le spectre salafiste, nihiliste et négateur de toute histoire pré islamique jugée comme une hérésie afin de les culpabiliser et les inhiber dans leur reconquête d’eux-mêmes. La destruction des statues de Bouddha de Bamiyan en Afghanistan par les Talibans, l’incendie criminel de l’Institut d’Archéologie du Caire, la Fatwa appelant à détruire les Pyramides etc… témoignent de la néo-dictature culturelle et idéologique que les forces obscurantistes et ultra réactionnaires arabes veulent ré imposer à ces peuples par le biais de leurs agents propagandistes miliciens locaux. L’arabisme et l’arabité n’ont jamais été et ne le sont toujours pas vecteurs de dignité, de liberté, d’égalité, d’humanité,d’éthique, et de justice sociale, elles sont un instrument d’aliénation des peuples à un mode de pensée et un modèle de société des plus archaïques et rétrogrades que les miliciens salafistes drapent dans le sacré, alors qu’il est surtout une sacralisation et une idéalisation de la barbarie humaine et de la loi de la jungle pour des primates.

Au nom de ce sacré qui porte en lui tous les germes de crimes contre l’humanité et la petite enfance, les partisans de l’arabo-islamisme, à la traitrise chevillée au corps, vveulent effacer d’un seul trait de plume les histoires merveilleuses des Egyptiens, des Assyriens, des Mésopotamiens, des Berbères auxquels on doit la conquête de l’Espagne , des Phéniciens auxquels on doit l’alphabet moderne et la viticulture, etc  ? Le vrai sacrilège est de diluer tous ces peuples dans une identité arabe au mépris de leur identité originale ?

L’identité d’un peuple est dans sa mémoire historique, toute tentative de l’effacer de sa mémoire est une atteinte à son intégrité culturelle. Etre arabe consiste à se renier soi-même et à s’affubler du masque de la honte de soi et de la peur de se regarder dans son propre miroir. Comme si le miroir arabe est valorisant et gratifiant et le sien est synonyme d’indignité et d’humiliation.

Semblant ignorer que leurs maîtres-esclavagistes arabes qui sont les dépositaires ethniques et idéologiques de l’héritage du prophète n’ont pour eux que mépris et suffisance. Etre arabe n’est qu’un mécanisme d’identification conscientisée à ceux qu’on considère comme supérieurs à soi. Comme un séide reconnaissant à son maître de l’avoir affranchi.

En conclusion, il n’ y a pas de quoi être fier de se réclamer de la culture de ses colonisateurs exubérants, racistes et arrogants. Qu’a-t-elle véritablement fécondé dans les pays arabisés ? Rien que ruine et désolation !

Les musulmans chair à canon pour Poutine et Obama

Salem Ben Ammar

Les musulmans dans la fosse aux lions russo-américaine

Ils ont beau avoir la belle religion la plus  jamais donnée à l’homme comme ils s’en vantent,  oubliant que la vanité est un péché mortel, ce n’est par hasard que Mahomet ne reconnaît ni les 7 pêchés capitaux ni les 10 Commandements, ils restent les croyants les plus ridicules et obscurantistes de l’histoire des religions depuis que le monde est monde.

Effectivement, ils sont en droit de s’afficher comme étant les plus des simples pions sur l’échiquier des jeux des rapports de force entre les grandes puissances, personne ne peut par conséquent leur contester ce rôle et surtout chercher à rivaliser avec eux sur ce plan. Ils tueraient père et mère rien que pour exister aux yeux de leurs chefs marionnettistes.

Les musulmans non seulement ils sont nés esclaves pour servir leur religion mais pire encore ils ne s’embarrassent jamais du moindre…

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Les musulmans pantins entre les mains des grandes puissances

Les musulmans dans la fosse aux lions russo-américaine

Ils ont beau avoir la belle religion la plus  jamais donnée à l’homme comme ils s’en vantent,  oubliant que la vanité est un péché mortel, ce n’est par hasard que Mahomet ne reconnaît ni les 7 pêchés capitaux ni les 10 Commandements, ils restent les croyants les plus ridicules et obscurantistes de l’histoire des religions depuis que le monde est monde.

Effectivement, ils sont en droit de s’afficher comme étant les plus des simples pions sur l’échiquier des jeux des rapports de force entre les grandes puissances, personne ne peut par conséquent leur contester ce rôle et surtout chercher à rivaliser avec eux sur ce plan. Ils tueraient père et mère rien que pour exister aux yeux de leurs chefs marionnettistes.

Les musulmans non seulement ils sont nés esclaves pour servir leur religion mais pire encore ils ne s’embarrassent jamais du moindre scrupule pour trahir leurs propres frères et servir les desseins hégémoniques de leurs commanditaires.

Frustrés et bourrés de complexe, incapables de joindre l’acte au verbiage qui reste leur seule arme pour masquer leur impuissance à exister autrement que dans l’ombre de leurs maîtres. Influençables  et malléables, une véritable pâte à modeler, ils ferment le ban de l’humanité dont ils sont la risée et la phobie, la tête de turc qu’il faut abattre par tous les moyens.

Une religion qui a défaut d’avoir impulsé un souffle de vie chez ses fidèles, fait souffler celui de la mort le but suprême pour chaque musulman impatient de profiter des joies du grand bordel divin et des agapes et beuveries de la Table de Bacchus  réservée aux plus vaillants, violents et dévoués parmi eux.
 Jusqu’au-boutistes jusqu’à la mort, ils sont prêts à tout pour brûler les étapes et surtout s’anéantir entre eux dans une compétition acharnée et mortifère.
Ils n’hésitent pas à s’offrir en Holocauste à celui qui sait le mieux les aider à atteindre leur état de mort à l’exemple de cette guerre fratricide en Syrie.
Il n’existe aucun exemple dans l’histoire humaine où des disciples de la même religion servent de leur plein gré de chair à canon pour leurs dresseurs qui ont compris tous les avantages considérables qu’ils peuvent tirer de la pyschopathologie musulmane.
Malins et rusés, les  russes et les yankees font aujourd’hui du dressage des musulmans auxquels ils apprennent à s’exterminer entre eux.
Plutôt que de leur mener une guerre frontale pour en finir avec l’islamonazisme, le nouveau péril de nos temps, ils profitent de l’aubaine que présente la désunion organique des peuples bénis d’Allah et une malédiction pour l’humanité de faire le sale boulot pour eux. Qui dit que les russes et les américains ne sont pas entendus entre eux pour se débarrasser à bon compte de cette vermine ? Le plus insensé est que les pétromonarchies islamonazies financent ce carnage fratricide dont les vainqueurs quoiqu’il arrive seront les russes et les américains. L’exemple de l’Irak un pays qui fut naguère prospère est devenu une jungle humaine est suffisamment édifiant en la matière. Un pays qui aurait pu être un fer de lance pour les pays musulmans ressemble aujourd’hui à un cimetière pour des morts-vivants. En Libye et en Algérie ce sont encore des musulmans qui se sont entretués entre eux certainement pas pour leurs propres bénéfices.
Ces peuples sont condamnés à subir le pouvoir des tiers jusqu’à la nuit du temps, sauf s’ils rompent les chaînes du despotisme musulman source de leur incapacité de s’assumer, de se développer, de mûrir, d’entrer dans le monde adulte, de prendre conscience de soi, d’en finir avec leur fatalisme nuisible à tout progrès humain, et d’œuvrer pour le bien commun de l’humanité. C’est leur propre religion qui contribue à leur état d’asservissement, d’avilissement,  de sous-développement, de leur état de malléabilité pathologique.
En effet, formatés par leur religion être des sujets et jamais acteurs de leur vie, les grandes puissances  ont su exploiter leurs freins culturels,  leur état de fragilité mentale et de leur manque de maturité intellectuelle pour les retourner comme des crêpes,  les façonner et les conditionner psychologiquement et en faire des fauves qui se déchirent à mort entre eux pour la grande joie de ceux qui les excitent et attisent le vent de la haine latent chez eux.
Ils croient mourir en martyrs pour leur Dieu, mais en réalité ils ne sont que  de pantins et de pions sur l’échiquier des rapports de force entre les maîtres du monde.

Lettre ouverte aux tunisiens : votre identité arabo-musulmane est votre enfer sur terre

 
Un conseil aux tunisiens vous n’avez rien à cirer de vos frères arabes, je ne sais pas en quoi vous l’êtes, la charité bien ordonnée commence par soi.
En quoi les libyens, les palestiniens, les syriens, les égyptiens, les soudanais et tous les macaques enturbannés qui vous traitent chez eux comme des moins que rien sont vos frères ?
Les vrais liens sont ceux qui sont fondés sur l’amour de la patrie tunisienne et sur le respect mutuel.
Votre identité biologique n’est pas la leur, ni votre histoire millénaire.
Vous croulez sous les ordures et frappés de plein fouet par les épidémies du choléra et de la malaria grâce à votre fraternité islamique.
Votre pays est devenu un sanctuaire terroriste et un réservoir de prostituées halal.
Plus personne n’a envie de s’y rendre ou y investir. 
Au lieu de se battre pour votre dignité et votre honneur perdu vous vous répandez la mort et la terreur en Syrie;
Quand certains d’entre nous vous ont mis en garde contre cette fraternité malsaine et immonde car synonyme de barbarie humaine, vous avez préféré faire passer le lien religieux avant la patrie.
A cause de votre cécité, la patrie se meurt sous vos yeux. Demandez donc aujourd’hui à vos frères islamiques de vous rendre votre dignité et votre honneur.
Avec la fraternité islamique c’est l’enfer sur terre  et au ciel et avec la patrie c’est le paradis assuré sur terre.

Questions aux musulmans qui veulent soumettre l’humanité tout entière à l’islam

Au lieu d’asséner ce qu’ils croient être des vérités de portée universelle sans être capables de les démontrer, que les musulmans quelles que soient leurs étiquettes, apprennent à se poser les vraies questions de fond :

Est-ce que l’Islam est-il adapté aux exigences de la modernité et au progrès humain ?

Est-ce qu’il est vraiment compatible avec la Charte des Nations Unies ?

Pourquoi les pays musulmans n’adhèrent jamais aux conventions internationales protectrices des libertés et des droits humains et des droits de la femme ?

Pourquoi la femme est-elle assimilée à un champ de labour ?

Pourquoi dans l’islam il n’y a d’amour que celui d’Allah et de son prophète ?

Pourquoi dans la profession de foi musulmane le prophète est vénéré par Allah lui-même qu’il salue et se prosterne devant lui ?

Est-ce à dire qu’Allah est doté d’attributs humains ? Ce qui est de l’anthropomorphisme jugé comme une apostasie dans l’islam ?

Pourquoi brûler le coran par exemple compte plus à leurs yeux que  le respect de la vie humaine ?

Est-ce que l’Islam est en cohérence avec la Charte Universelle des droits de l’homme et du citoyen ?

Est-ce que l’Islam protège les droits de l’enfant contre les prédateurs sexuels ?

Est-ce que l’Islam protège les minorités religieuses en leur octroyant les mêmes droits qu’aux musulmans alors que ces derniers jouissent des droits minimalistes ?

Pourquoi l’islam  punit les victimes des viols et innocente les violeurs ?

Pourquoi l’homme est-il élevé au-dessus de  la femme censée être dépourvue de foi et de raison ?

Est-ce que l’islam est-il vraiment une spiritualité au regard de sa glorification de la violence, du sexe et du viol ?

En quoi l’islam peut-il contribuer au développement humain et au bien-être de tous les hommes indépendamment de leur croyance ?

Pourquoi les musulmans sont prêts à sacrifier leur mère-patrie y compris la trahir  pour la gloire de leur religion ?

Pourquoi appelle-t-on au meurtre des juifs dans les mosquées ?

Pourquoi exalte-t-on la pédophilie et condamne-t-on l’homosexualité ?

N’y a-t-il pas pire crime que les mariages pré pubères où il arrive fréquemment comme au Yémen que des fillettes meurent suite à des lésions vaginales ?

Pourquoi l’islam est tout le contraire de ce qu’ils prétendent et que les attributs comme paix, amour et tolérance, dont on l’affuble ne sont qu’un verni, un voile pour dissimuler sa vraie nature belliciste et suprématiste?

Pourquoi font-ils de la terreur un dogme religieux au point que les terroristes sont censés être les enfants chéris d’Allah auxquels il promet 72 houris et des fontaines de vin ?

Pourquoi ce qu’ils revendiquent en Occident comme droits et libertés au nom de la laïcité et légalité de traitement devant la loi, ne le revendiquent jamais chez eux et allouent le statut de dhimmis aux non-musulmans ?

Pourquoi la vanité et le mensonge qui sont des péchés capitaux ne le sont-ils pas dans l’islam ?

Savent-ils que la vraie liberté est celle qui consiste à respecter la liberté et le droit à la différence alors pourquoi veulent-ils imposer leur volonté aux autres au nom de la supériorité intrinsèque de leurs valeurs ?

En quoi sont-elles supérieures aux autres valeurs même celles qui régissent le monde animal ?

Pourquoi aucun pays membre de l’O.C.I. n’a ratifié la Convention Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 si l’islam avait le souci des libertés individuelles et la liberté de conscience et de religion ?

Est-ce que les musulmans ont-ils appris dans leurs écoles coraniques que la vraie religion est celle qui condamne toutes formes de discrimination sexuelle et  religieuse, qui prône l’égalité et l’amour entre les hommes de tous les horizons et les cultures.

Que savent-ils des autres systèmes de croyance et des idéaux de vie communs à tous les hommes pour prétendre que  l’islam est la vérité unique et universelle pour toute l’humanité  ?

Au nom de quoi se verraient-ils dominer le monde, régner en maîtres sur lui et instaurer un nouvel ordre mondial sous la forme d’un califat ? Le respect de l’adversaire est le seul garant de la réussite d’un combat dont les musulmans pensent gagner en présumant de leur force. L’histoire est riche des défaites cinglantes à commencer par les leurs depuis 1948 où ils annonçaient leur victoire et sceller le sort du peuple juif qu’ils promettaient d’exterminer et de le jeter à la mer avant que les premiers coups de feu ne furent échangés.

Ni la loi du grand nombre ni le pouvoir de la terreur ne sont des atouts maîtres dans la conquête du monde. On ne vend jamais la peau du « mécréant  » avant de s’être mesuré à lui.

Il ne suffit de bomber la torse  et de se laisser aller à ses délires fantasmagoriques, guider par ses qui est une plaie mortelle pour l’humanité ?

Pourquoi les musulmans n’ont jamais cessé de tuer entre eux depuis la disparition de Mahomet, qu’ils sont les premiers à se nourrir de la haine d’eux-mêmes et abhorrent autant la vie ?

Quand on prétend appartenir à la plus soi-disant belle communauté  jamais envoyée sur terre, ce qui est du pur racisme primaire et symptomatique d’un ethnocentrisme qui en dit long sur leurs pulsions velléitaires nuisibles à leur intégration dans la communauté internationale, pourquoi les musulmans sont-ils autant désunis, désagrégés, divisés, se menant des guerres « fratricides » sans merci et qui règlent leurs différends au son des canons et de l’effusion du sang  ?

S’ils étaient aussi unis qu’ils ne l’allèguent pourquoi l’Arabie Saoudite a-t-elle expulsé des millions de travailleur clandestins yéménites et érigés un mur long de 1700 kilomètres et haut de 3 m à sa frontière avec le Yémen pour empêcher les candidats à l’immigration illégale et une véritable muraille de Chine longue  de 950 kilomètres à sa frontière avec l’Irak pour se protéger officiellement de sa créature l’E.I. qui menace de se retourner contre elle ?

Les musulmans se font peur entre eux, comment peuvent-ils s’unir alors pour coloniser la terre entière ?

Peux-t-on imaginer un jour marocains et algériens unis sous la bannière de l’islam et abandonner comme par magie leurs contentieux du Sahara occidental ?

Qui peut croire un seul instant que Bachar Al Assad va intégrer l’Oumma islamique et voir les chiites tendre la main à leurs ennemis jurés sunnites ?

Jamais dans l’histoire des religions il n’y a eu autant de guerre inter religieuse incessante qui perdure depuis 1435 ans entre les chiites et les sunnites et d’attentats terroristes contre les lieux de culte au sein de la même communauté de croyants et par ses propres membres.

Plutôt que de se faire passer pour le nombril du monde et proclamer qu’ils sont les meilleurs sans savoir eux-mêmes en quoi le sont-ils, n’est-il  pas plus censé et rationnel pour eux de faire un état des lieux de leur force et faiblesse, afin de mesurer la distance stratosphérique qui les sépare du peloton de tête des grandes nations ?

Qu’ils  fassent leur véritable examen de conscience et sortent de leur leur état de léthargie  chronique, de leur immobilisme, qu’ils apprennent à se décentrer de leur nombril, de faire enfin cette révolution culturelle qui tarde à venir.

Comment vont-ils pouvoir avoir la capacité de dominer le monde alors qu’ils n’existent sur l’échiquier mondial que par la terreur et la violence ?

Il est à craindre que toutes ces questions et bien d’autres ne restent à tout jamais sans réponse  que à cause de leur déni pathologique de la réalité et l’obscurité qui envahit leur cerveau.

Depuis la mort d’Ibn Khaldoun qui était frappé et l’est toujours d’ostracisme et ses œuvres plus ou moins ignorées par la masse musulmane, le monde musulman brille par son aridité scientifique et culturelle.

Les sociétés musulmanes préfèrent  un terroriste façon Ben Laden ou une volontaire du djihad  du sexe qu’une Marie-Curie ou une soeur Emmanuelle.

Que tous les islamo-compatibles aillent vivre leurs libertés humaines dans les pays musulmans

Si cela chagrine et émeut tant les bonnes âmes sensibles qui n’ont le sens du respect de la liberté de pensée que leur intolérance et leur stigmatisation des sites qui me font l’honneur de m’ouvrir leurs colonnes comme Riposte Laïque, Dreuz , Europe Israël et bien d’autres sites taxés  abusivement de fachos, racistes et  de sionistes, comme si la libre-circulation de la pensée  devait se faire que dans les sites du politiquement correct, autrement dit les islamo-compatibles, des sites qui ont fait de la capitulation leur code déontologique. Je n’ai aucune honte que des sites qui tranchent avec la pensée unique communément admise se fasse l’écho de mes humbles écrits. Je ne veux surtout pas voir mes articles circuler sur  des sites qui  ont abandonné leur âme pour plaire  à l’islam et aux musulmans.
Leur black out est aussi criminel que leur angélisme musulman.  En croyant défendre l’islam ils ne se rendent pas compte qu’ils défendent un système de valeurs et de pensée à l’antipode de l’humanisme,  un sacrilège aux yeux de l’islam.
Que les fayots de tous bords continuent à l’encenser et vanter ses mérites comme  leurs prédécesseurs servaient de brosse à reluire au nazisme dans les années 30, minimisant sa haute nocivité, il viendra le jour  où ils seront les premiers à subir les  velléités mortifères de cette religion qui a érigé l’antisémitisme et le racisme  en véritables dogmes religieux.
C’est trop facile de  se faire l’avocat du diable quand on jouit des bienfaits de la république ainsi on peut en peut toute liberté démocratique jouer à coller des étiquettes tout en  sirotant tranquillement et en toute liberté sa bière à la terrasse d’une brasserie parisienne, qui est un crime dans les pays soumis à la dure loi de cette religion fossoyeuse des libertés humaines.
 Au lieu de multiplier les procès en inquisition et stigmatiser tous ceux qui s’inquiètent par la montée du péril nazislamiste,   il serait plus opportun et recommandé aux zélateurs de l’islam  de la gauche embourgeoisée et de la droite républicaine et ces musulmans pseudos éclairés  qui ne connaissent de la tolérance que leur intolérance de toute critique de l’islam qu’ils aillent vivre en terre musulmane pour jouir de la vraie liberté de mourir à petits feux pour manque d’oxygénation cérébrale.
Qu’ils sachent que les pays de leur islam chéri sont pires que le Goulag sibérien.  Un avant-goût de l’enfer coranique. Où il n’y a de liberté que la renonciation à la liberté et l’autocensure de peur de transgresser les interdits qui font regretter à l’homme de ne pas être né animal.
Dénoncer les crimes de l’islam, ses exactions et ses dérives qui mettent en péril la pérennité de l’humanité ainsi que  les complicités dont il bénéficie n’est ni de droite ni de gauche, c’est un acte de salubrité humaine.
Je suis un humaniste qui met en garde contre la dangerosité de l’islam et aucune censure ne peut m’arrêter.

Ennahdha ne rendra jamais son butin que les tunisiens lui ont cédé sous le haut arbitrage de Kamel Jendoubi

Ennahdha est là pour toujours que les tunisiens fassent leur deuil de leur Tunisie
La secte d’Ennahdha ne partira jamais.
Vous l’avez choisie pour qu’elle gouverne vos vies jusqu’à la nuit des temps. La rejeter c’est offenser votre religion.
Un sacrilège que vous n’oserez pas commettre.
Continuez à gausser sur elle tant que vous avez vos langues fourchues que vous confondez avec liberté de parole.
Si vous n’aviez vraiment pas envie d’elle, vous n’auriez pas laissé l’I.S.I.E. et ce schizophrène pathétique et lamentable de Kamel Jendoubi qui se lamente comme un fou sur les fraudes qu’il avait couvertes lui-mêmes, vous rouler dans la farine. Le dernier des cons aurait pu se rendre compte que c’est une mise en scène macabre pour plonger la Tunisie dans le monde des ténèbres.
Maintenant que vous y êtes, aucun espoir de sortie. La chape de plomb de l’islam est rabattue sur vos tombes le 23 octobre 2011, plus personne ne peut vous sauver.
Vous auriez pu le faire quand il était encore temps, mais arrogants, prétentieux, suffisants, sourds et aveugles vous vous étiez cru à l’abri alors que vous aviez creusé vos propres tombes et celle de la Tunisie avec vos propres mains. Vous pourrez toujours insulter et calomnier ceux qui vous renvoient à vos échecs, cela ne changera rien pour vous.
Quand on a pas d’argument à faire valoir, il reste toujours le recours à la violence et le « bouc-émissariat »

Une religion qui honore et béatifie les terroristes et les pédophiles peut-elle prétendre au statut de religion ?

Une religion qui sanctifie la violence et la pédophilie n’est pas une religion

Aujourd’hui, ce n’est pas les autres religions qui posent problème à l’humanité, c’est la religion qui béatifie les terroristes et les pédophiles. On ne peut nier que les crimes sexuels et terroristes ne sont pas son apanage, mais ce qui est criminel et inacceptable c’est leur sacralisation et exaltation par ses dogmes, les rendant ainsi impunis en les érigeant en devoirs religieux, alors que les textes sacrés des autres religions les condamnent sévèrement, outre les lois humaines des pays qui ne sont pas contaminés par cette religion qui innocente les violeurs et criminalise les victimes.

Ses adeptes sont en droit de revendiquer et de pratiquer la pédophilie en toute légitimité théologique, ce qui doit être pourtant un crime contre l’humanité.

Nul doute que toutes les autres croyances ne sont pas un parangon de paix et de morale, mais celle-ci mériterait de figurer sur la liste noire des idéologies de la barbarie humaine.

On ne tue pas pour gagner le paradis, on n’absout pas les criminels de leurs crimes, on ne fait pas de la pédophilie un dogme religieux, on ne blanchit pas les violeurs, on ne fait pas du racisme une norme culturelle, on ne fait pas de l’humiliation et du mépris des femmes une règle religieuse, on ne divise pas l’humanité en purs et impurs, on n’élève pas les humains les uns au-dessus des autres, on ne fait pas de l’élevage sexuel, on épouse pas la fille de son fils fût-il adoptif,  on ne fait pas du mensonge et de la vanité des vertus. Une vraie religion ne fait pas du sexe le chemin de la félicité. Subliminale ! Surtout dans la purification et la contrition des crimes et des criminels. Il ne peut y avoir de religion sans respect absolu de la petite enfance etde la vie humaine.

La charia pour les femmes est pire que l’apartheid et les lois raciales nazies réunies

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Selon un dissident iranien: « être née femme  dans les sociétés musulmanes [ pas toutes ] est à la fois un crime capital et une sentence de mort. »                                                                                           

Cet état de stigmatisation pathologique dans lequel se trouve l’humanité féminine, cette malédiction qui la frappe ne peuvent que nous heurter, nous indigner et appeler la communauté internationale prendre toutes les mesures pour son éradication de la surface de la terre. Un nouveau Tribunal Russel pour l’abolition de la charia. Véritable code juridique de la barbarie humaine.

Même le nazisme n’avait autant infériorisé, discriminé et méprisé la femme que l’islam. Au point que la condition de vie des animaux  en Occident pouvait paraître plus reluisante que celle de la femme dans les pays musulmans appliquant la charia, la loi de l’islam, la dotant du statut de femme-esclave  impliquant une multitude de devoirs, censés être la contrepartie de sa dépendance vis–à-vis de son conjoint.                                                                                                                

Ses droits sont inversement proportionnels à ses obligations, quasi- inexistants et aussi dérisoires que sa place dans ces sociétés du culte du patriarcat érigé en mode de gouvernance de la vie de la femme.                                                                                                                           

Asservie et avilie, ne bénéficiant d’aucune liberté de mouvement et de déplacement pour accomplir des actes simples de la vie quotidienne  : conduire un véhicule, souscrire à un abonnement téléphonique, se rendre seule au bureau de poste, faire ses courses, accompagner ses enfants à l’école, se faire délivrer une carte d’identité etc.                                                                    

Quant à voyager  seule ou choisir son conjoint, cela est jugé comme illicite et  contraire aux dogmes de l’islam et peut l’exposer aux pires châtiments.                                                                                                                               

En effet, contrairement aux autres religions monothéistes l’islam qui serait plus assimilée à une idéologie politique totalitaire et ultra-machiste qu’à une religion a fait de la condition de la femme un des piliers  essentiels dans l’édification de sa cité-idéale. Jugée comme impure et afin d’éviter toute souillure de l’espace public,  elle est condamnée à vivre en recluse dans son bagne domestique.   

Et quand elle s’aventure  dans cet espace censé être purifié de toute présence féminine, on la  couvre  de voile depuis les pieds jusqu’à la tête, pour ne pays réveiller le démon qui sommeille chez le mâle musulman.                                                                                                                                                                                

La religion musulmane représente la femme comme une étincelle qui  embrase le feu chez l’homme. Ainsi si on la bannit de la société, c’est non pas pour la protéger elle-même du mâle musulman auquel Allah a octroyé tous les pouvoirs sur la sexualité féminine, mais surtout de protéger l’innocence masculine des tentations du démon féminin.                                            

Plutôt que d’éduquer l’homme au respect de l’inviolabilité du corps de la femme et d’accorder à cette dernière les mêmes droits humains qu’aux hommes, l’islam fait de la femme le bouc-émissaire des crimes sexuels et des brimades dont elle victime.                                                                                  

On lui impute la responsabilité du viol. Si elle est violée c’est parce qu’elle l’a cherchée et qu’elle a certainement outragé sa religion, en refusant de porter par exemple  le voile-protecteur, une espèce de soupape de sécurité qui aurait freiné le désir sexuel de son agresseur qui devient pour la circonstance victime comme ce fut le cas en Turquie, où une jeune fille de 13 ans a été jugée coupable de son viol et s’est trouvée condamnée à une peine de prison, tandis que son violeur a été innocenté.                                                                                                                

Et ce n’est probablement pas la dernière convention internationale sur l’amélioration de la condition féminine dans le monde qui va contribuer à l’humanisation du statut de la femme dans les pays musulmans qui ne vont pas manquer de lui opposer l’exception musulmane pour ne pas la ratifier. Un sacrilège et une hérésie qu’ils se garderont de commettre, ils ne vont pas ainsi valoriser le statut de ce que leur religion considère comme un  rebut humain régi au moyen de la loi canonique de la charia  mais plus canonnière  que canonique et dont chaque règle est autant de boulet de canon tiré sur la femme. 

Très pointilleux sur l’immuabilité de la loi de l’islam, les phallocrates idolâtres musulmans ne vont pas renoncer à l’exercice de leur pouvoir absolu sur les femmes ou céder ne serait-ce une once de ce pouvoir pour complaire aux exigences du droit international, jugé incompatible avec le droit musulman.                                                                                                                    

La charia est une bénédiction, une arme sacrée, par le biais de laquelle ils peuvent anéantir juridiquement la femme qu’ils considèrent comme un sujet mineur et un incapable majeur, frappée par la malédiction éternelle, et qu’Allah a dotée de qualités intellectuelles intrinsèques inférieures à l’homme. Ne dit-on pas dans l’islam que la femme est dépourvue de foi et de raison ?                                                                                                     

Un peu comme si leur chef vénéré  Ben Laden était supérieur à Marie Curie.                                      

Elever l’homme et rabaisser la femme, sous prétexte d’un ordre sexuel instauré par Allah est symptomatique de l’incapacité de cette religion de s’inscrire dans la voie de la modernité. Conserver cet ordre au nom de la suprématie et de l’essence prétendument divine de la loi de l’islam sur les lois internationales, celles du bon sens commun et de la dignité humaine, est encore plus criminel et ignominieux.                                                                                                            

On ne fait pas d’une loi rétrograde, raciste, sexiste,  et inhumaine un ordre juridique pour justifier le traitement   humiliant et dégradant infligé à la femme.                                                                                                 

Il n’y a pas de valeurs sacrées sans respect des droits de la femme. Comme il n’y a pas de droits fondamentaux sans liberté. Comme il n’y a pas non plus de loi divine sans égalité entre ses créatures.  

Une vraie  religion que peut difficilement être l’islam dans sa forme radicale n’a pas vocation à introduire une différence entre les hommes fondée sur leur seule appartenance sexuelle, afin de créer des mécanismes de dépendance de la femme vis–à-vis de l’homme, condamnée à vivre éternellement dans son ombre.                                                                    

La loi de l’islam que les musulmans veulent en faire une loi universelle, à défaut d’être une loi égalitaire et impartiale, est une loi inique, partisane et liberticide. Elle est l’expression majeure d’un ordre machiste et sexiste qui prolifère sur l’état d assujettissement permanent de la femme.                                                                                                                                                              

Il n’y a pas de loi sans éthique, ni morale, ni justice, une loi qui se prétend divine comme la charia, est une loi de l’arbitraire et de l’inquisition, elle ne saurait être  une prescription de règles de bonne conduite que les musulmans doivent observer pour atteindre la voie de la félicité.                                                                                                                                            

La loi d’Allah n’est en réalité qu’une manoeuvre pernicieuse et insidieuse pour dissoudre les droits des femmes dans un bain d’acide sulfurique. Produit dont ils sont férus pour défigurer les femmes qui veulent rompre les chaînes du despotisme patriarcal comme dans les pays qui appliquent scrupuleusement la charia.                                                                                 

La charia n’a d’essence canonique que les larmes des femmes privées de liberté pour l’éternité, que ses partisans de plus en plus nombreux y compris en Occident veulent instaurer comme un ordre nouveau pour la société internationale, ou tout au moins en faire la seule loi pour les musulmans à l’exclusion de toutes les autres.                                                                                    

Alors que cette loi qui est la chambre funéraire des libertés et des droits de la femme, est une pure invention humaine apparue au Xe siècle avec l’Ecole juridique hanbalite dont est issu le wahhabisme, véritable clone du nazisme qui fait des ravages aujourd’hui dans les ghettos européens et les pays dits des révolutions du printemps arabe, qui présentaient la particularité d’être tous gouvernés par despotes laïques.                                                                                                                                

Synonyme surtout  d’apartheid sexuel pour les femmes et de négation du droit à la différence et à la liberté de conscience.                                                                                                                

Quelle différence y a il-t-il entre un régime théocratique musulman qui  maintient la femme dans un état d’enfermement psychologique, social, intellectuel et humain et le nazisme et ses camps de la mort ou le stalinisme et son Goulag ?

La charia est négatrice la  personnalité de la femme, comme si la femme n’est pas un être humain accompli et à part entière.  Sans âme ni psyché.                                                                                                                                                            

Au nom du sacré, les partisans de la charia jugent que la femme pas de volonté propre, ni de libre-arbitre, cela est valable d’ailleurs pour tous les musulmans, elle est juste un réceptacle sexuel, une mère pondeuse. Elle n’existe jamais par elle-même, Allah l’a créé pour procurer du plaisir à ses vaillants combattants et lui donner de la chair à canon pour conquérir le monde.  

Le Coran  lui définit ses devoirs qui sont autant de droits de son époux détenus sur sa personne.                                                                                                                                

Seule la satisfaction de ses obligations de soumission notamment sexuelles à l’égard de son époux son seigneur et maître, le laboureur de son corps lui garantit une place au paradis auprès de ce dernier.                                                                                                                                    

Parait-il seul moyen pour assurer la pérennité du couple, en faisant de la femme une obligée non consentante pour l’homme.                                                                                                  

En clair, les droits de la femme découlent de ses obligations à l’égard de son époux.  Et comme il est dit dans le Coran: » Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance » ( sourate 2; de la Vache verset 228).                                                

En réalité des droits au rabais, minimalistes qui dépendent de la seule volonté de mâle-dominateur-propriétaire de plein droit de son corps et qui sont la contrepartie de sa bonne conduite. A  contrario, il est permis de la punir, la châtier, la reléguer, la lapider, la répudier, la brimer, l’humilier, la frapper, la défigurer si elle  se rebelle, se refuse ou désobéit à celui qu’Allah a élevé au-dessus d’elle et dont il  en a fait son maître-esclavagiste.

 Et avec la wahhabisation des sociétés musulmanes qui n’est que le retour aux vraies sources de l’islam et une résurgence de la barbarie humaine, les droits de la femme les plus élémentaires seront jugées une hérésie, un sacrilège que les Majless choura, conseil consultatif, ne manqueront pas d’abolir pour incompatibilité avec les lois fondamentales de l’islam.                                     

Il y a tout lieu de s’inquiéter du sort de la femme qui va être ou en passe de l’être la première victime des changements de cap politique  que connaissent notamment les pays arabisés.

Elle risque d’être le « juif » de ces sociétés. Bannies et discriminées du fait des pouvoirs exorbitants octroyés par le Coran lui-même aux hommes.

Ce sera comme en Arabie Saoudite, au Yémen, en Afghanistan, au Soudan ou dans les régions tribales du Pakistan, où l’homme dispose d’un droit de vie et de mort sur la femme.

                                                                                                                                        La charia est en quelque sorte un acte de propriété dont l’objet est la possession et donc la colonisation du corps et de l’esprit de la femme.                                                                   

Contrairement aux contrats de droit civil, cet acte fixerait les contraintes et les servitudes auxquelles sont sont soumises les femmes.                                                                                  

Si elle veut bénéficier de la miséricorde divine, elle n’a guère d’alternative que de se plier à la volonté de son époux, censé pourvoir à ses besoins mais à condition que son comportement soit en conformité avec les règles fixées par le Coran qui sont la porte ouverte au viol conjugal.  La femme ne doit pas se révolter contre ce qu’Allah lui a assigné comme statut. Tout acte de résilience lui vaut de subir la double-peine : la mort et les feux de l’enfer.                                                              

                                                                                                                                                           Ainsi la femme est considérée comme un simple objet sexuel dont la seule fonction outre la procréation est de satisfaire les pulsions sexuelles de son mari et si elle s’y refuse elle se trouve exposée au courroux d’Allah.                                                                                                          

Selon un hadith, une femme qui refuse de rejoindre son mari dans son lit est maudite par les anges toute la nuit :  » Si l’homme invite sa femme dans son lit pour copuler avec et qu’elle refuse et qu’il passe la nuit en colère contre elle les anges la maudiront jusqu’au matin. »

Du fait que Dieu accorde à l’homme une prééminence absolue sur la femme, elle ne peut que se résigner à accepter sa condition féminine qui ne doit souffrir d aucun écart de sa part si elle veut gagner les faveurs divines qui sont la résultante de sa totale soumission à l’homme.

Par conséquent, seules les femmes obéissantes et qui suivent la voie d’Allah, celle de la charia, sont par définition des femmes vertueuses et dignes de la miséricorde divine.

En l’occurrence plus les femmes se laissent domestiquer  et sont  dans l acceptation consentie de leur sort et se  font apprivoiser par les hommes, plus Dieu en est satisfait, plus il les comblera de ses bienfaits.
En clair, le bagne  ou l’enfer au ciel, alors que le prophète lui-même leur promet l’enfer.   Elle doit contre son gré accepter l’enferment sur terre, la  réclusion perpétuelle si elle veut jouir de liberté très hypothétiques  dans l’au-delà. Et tout ça au nom de l’impureté et de la malignité éternelle rattachées à la femme. Et comme le dit Malek Chebel, un tartuffe patenté pourtant : « Elle est l’autre énigme inquiétante qu’il faut voiler. »
Si le retour de la charia qui se profile dans le ciel des pays du Printemps Arabe est une aubaine pour les hommes musulmans car elle va rétablir  et conforter leurs droits exorbitants sur leurs femmes, elle est annonciatrice du goulag pour les femmes et du rétablissement d un régime concentrationnaire humiliant et dégradant pour la condition humaine.

 

Les tunisiens n’en auront pas fini avec le cauchemar du terroriste Rached Ghannouchi

Le Chef de la Milice tunisienne d’Ennahdha, le terroriste jamais repenti et grand félon devant l’Eternel Rached Ghannouchi, l’enfant bâtard d’Adolph Hitler appartient à une race canine, hybride non-identifiée, indomptable et inapprivoisée pire que celle du pitbull. Il présente la particularité physique d’être d’une mâchoire d’acier et d’une dentition proéminente hideuse capable de scier  l’aile d’un avion d’un seul coup.  Connu pour sa grande voracité et sa férocité qui effraierait son géniteur , jamais repu, glouton et insatiable, une fois qu’il attrape sa proie il la dévore  entièrement ne laissant pas le moindre débris à sa meute de chacals et d’hyènes qui lui sert de courtisans.
 Les tunisiens s’imaginent que ce prédateur terrifiant va recracher l’os royal qu’ils lui ont offert généreusement par la grâce des fossoyeurs de l’I.S.I.E. et leur chef de file le dénommé Kamel Jendoubi, son ex laquais droit de l’hommisme.
Un spécimen épouvantable qui ferait cauchemarder Frankenstein et Lucifer, rien qu’à l’évocation de son nom  les tunisiens sont transis de peur. Il est la hantise de tout un peuple qui a développé une nouvelle pathologie causé par leur état de troubles psychiques graves diagnostiqués comme étant la ghannouchophobie. Un mal incurable dont les effets s’estomperont à la disparition de ce personnage du monde des horreurs.
Tant qu’il est en vie,  cynique et pervers il n’aura de cesse que de jouir de la souffrance de ce peuple  naïf, cupide, veule, vénal, fayot, immature et imprudent  qui prend ses désirs pour la réalité.
A chaque fois il se laisse prendre dans son jeu et ouvre la garde, à moins que ce soit le porte-monnaie, il a cru en ses paroles au mois d’avril 2011 lorsqu’il avait déclaré à son retour sur le sol national  qu’il a tourné la page de la politique,  comme il semble de nouveau se laisser prendre dans le jeu de sa promesse qu’il rend le pouvoir au peuple, tout en gardant son joker qui est l’A.N.C.
Assoiffé de revanche sociale, à la rancoeur tenace et avide de pouvoir qu’il a tout fait par  conquérir par la force de la terreur, et ce n’est certainement pas aujourd’hui qu’il est installé très confortablement dans son trône à ronger l’os en or massif obtenu sans coup férir qu’il va abdiquer pour les yeux d’un peuple pour lequel il n’a que mépris et dédain.  Un homme qui a vomi l’islam de ses parents n’a aucun scrupule pour anéantir ce peuple qui est capable lui aussi de se renier et de se vendre même au moins offrant.
Un peuple qui ne se respecte pas lui-même ne saurait attendre respect et considération de la part de ses ennemis et surtout de la part  du chef milicien Ghannouchi bonimenteur né,, dépourvu de toute vertu morale, connu pour son art consommé des contres-pieds, des effets d’annonce et de sa girouetterie se fait un malin plaisir de le leurrer et de l’esbroufer, multipliant les coups de bluff jusqu’à ce qu’il finisse par le faire lasser et lui rendre gorge pour le faire étouffer dans son propre vomi.
Ce peuple qui porte une lourde responsabilité dans la descente aux enfers de son pays peut toujours se réjouir de l’annonce du départ, comme il s’est délecté de sa révolution hollywoodienne,  il n’aura pas encore fini de cauchemarder  avec ce personnage sorti tout droit du monde des ténèbres qui laisserait apparaître les hydres de la Mythologie grecque comme humaines.
Un peuple qui a mordu à l’appât obamien, n’est plus à une supercherie près. Tant qu’il a la joie de l’illusion de l’ivresse, pourquoi s’en priver  avec un B.C.E.  à la manoeuvre qui cherche à le caresser dans le sens du poil  pour lui faire rendre l’os en or massif qu’on lui a offert sur le plateau tout aussi du même matériau couvert  du cendre des victimes tombées sous les balles de ses commanditaires.
Que nenni !  Jamais un pitbull de son espèce, même un chien, ne rend jamais un os qu’on lui a donné à ronger en cherchant à l’amadouer et quand il fait semblant de le faire c’est pour mieux surprendre sa victime.  La Tunisie n’a pas un dresseur d’envergure pour dresser un tel animal. Seul le pouvoir de la force pourra le lui faire cracher.
Soit il faut aller au combat et accepter de s’acquitter du tribut du sang, soit vous vous résignez à ce que vous soyez ses victimes consentantes sur lesquelles il va aiguiser ses crocs acérés et envenimés.
Maintenant qu’il est le maître absolu du pays, il ne va pas lâcher le pouvoir,  et ce n’est qu’un faux-départ puisqu’il garde toujours dans les les mains ses principaux atouts  la présidence et l’A.N.C. ainsi   que la Ligue pour la protection de la révolution des soldats en terre cuite.
Pour lui un bon  tunisien est un tunisien non-voyant.  Docile, malléable, déconnecté de lui-même, inerte, tétanisé,  soumis, déconnecté, sourd et aveugle.
Ce n’est pas par hasard qu’il avait aveuglé à coups de chevrotines les insurgés du Kef comme son aspersion au vitriol  dans les années 70 et 80 des femmes tunisiennes en visant souvent leurs yeux.   Il ne connait du dialogue et de la persuasion que les sévices physiques et visuels qu’il inflige à ses victimes.
Depuis son retour le sol national  aux allures d’une véritable procession religieuse, accueilli par une foule en transe et en pleine jouissance orgasmique, entonnant des hymnes inintelligibles à sa gloire, sous des cris lugubres, venus d’outre-tombe, effrayants, assourdissants et stridents d’Allah Akbar et deS Takbeer comme s’il était le Messie attendu, la scène tunisienne n’a jamais connu autant d’assassinats politiques et de meurtres de ses soldats.
Jamais il n’y a eu autant d’atteintes à ses emblèmes nationaux, d’emprisonnements arbitraires des hommes d’affaires et des professionnels des médias : journalistes et producteurs. Jamais il n’y a eu autant d’actes de profanations de cimetières et  mausolées qui font partie pourtant de la culture nationale.
Son message que les politicards tunisiens de tous bords et le peuple lui-même aveuglé surtout par son bigotisme et sa ferveur religieuse qui pollue ses neurones, est tout ce qu’il y a de plus clair et sans équivoque :  ce qu’il voulait avoir par la force dans les années 70 et 80 et que les tunisiens dupés par l’I.S.I.E. et le gouvernement de transition de B.C.E  lui ont offert sur un plateau royal est son butin qu’il ne restituera jamais en vertu du droit canon musulman qu’il veut appliquer en Tunisie.
Et s’il réussit dans ses desseins d’instaurer la charia en Tunisie, les tunisiens doivent se préparer à se voiler les yeux pour  plonger dans des longues nuits noires du monde des ténèbres. Croire qu’il va jouer le jeu de la démocratie autant faire d’un pitbull un chien pour aveugles.

Seul Ben Ali peut sauver la Tunisie c’est son oracle Sidi Mezri qui l’a dit

Ben Ali c'est Fini 2
Ben Ali c’est Fini 2 (Photo credit: marcovdz)

Selon les nostalgiques de Ben Ali  et négationnistes dogmatiques de la révolution tunisienne: les tunisiens n’ont jamais été les artisans de leur révolution du 14 janvier 2011.

Dénigrant avec morgue et mépris  ainsi les capacités de ce peuple à rompre les chaînes du despotisme de l’ancien régime et reprendre en main dans la dignité son destin politique.
 Aveuglés par leur antipatriotisme et leur haine de la Tunisie, ils allèguent  sans apporter la preuve matérielle et irréfutable quant au bien fondé de leurs assertions  que les tunisiens meurtris et blessés pourtant dans leur chair et leur âme furent des simples spectateurs d’un jeu de cirque romain où quelques spectateurs ont été envoyés dans la fosse aux lions pour agrémenter le spectacle, ayant fini déchiquetés et blessés.
Comme si tous ces morts et ces blessés  n’étaient en fin de compte qu’une péripétie, un détail dérisoire, faisant partie du spectacle que des metteurs en scène et des scénaristes non-identifiés avaient réalisé pour égayer et distraire le bon peuple tunisien. « Un conte de fées pour adolescents » comme le disait quelqu’un, comme s’il pouvait exister un conte de fées pour adolescents !
Emporté par son élan négationniste, il oublie que ce conte de fées est qui est l’un des plus morbides de l’histoire de la Tunisie et la résultante de l’état de fièvre intolérable et récurrent  du pays depuis  1978, qui s’est aggravé au cours de ces dernières années. Comme si les conditions n’étaient pas réunies pour porter le coup de grâce à un des pires régimes liberticides au monde. Comme s’il n’y avait pas assez de plaies pour le gangrener et l’achever.
En nier l’existence et les occulter, ce n’est pas faire preuve de mauvaise foi évidente, mais se rendre tout simplement complice de crimes politiques et économiques contre le peuple tunisien. Tous les maux dont ce peuple a souffert ont été les vrais facteurs déclencheurs de sa révolution.
Ce qui a causé la chute de Ben Ali, a servi de catalyseur à la révolution tunisienne. Affirmer que la révolution tunisienne est manipulée de l’étranger c’est insulter l’histoire des révolutions, qui sont nées des luttes sociales et politiques. Il y avait .suffisamment d’ingrédients pour une bombe sociale et politique pour sonner le glas du régime de Ben Ali. On peut tordre le cou aux idées mais très difficilement aux faits étalés au grand jour. Qui peut prétendre encore que l’étincelle de  Mohamed Bouazizi ne pouvait pas servir pour allumer le brasier tunisien et douter de l’existence des plaies ci-après : chômage, massif, cités urbaines pestiférées, inégalités sociales criardes, corruption, censure, absence de liberté de la presse et d’expression,  privilèges exorbitants, rente de situation à la famille Ben Ali et ses alliés les Trabelsi, expropriation inique,  développement régional inégal, paupérisation rampante des classes moyennes, misère, népotisme, favoritisme, clientélisme, absence de politique d’insertion professionnelle des jeunes diplômés, culte de personnalité, police politique, milice privée, Etat-policier avec un rapport de moins d’un policier pour 100 habitants, parti Etat, viabilisation illégale des sites protégés et leur attribution gratuite au profit des caciques du régime, racket institutionnalisé avec le 26-26, répression sévère des opposants, emprisonnements arbitraires, disparitions inexpliquées, torture, injustice, abus de pouvoirs, détournements des biens sociaux, mise en faillite des banques publiques et des entreprises nationales, prêts bancaires non remboursés, appels d’offres truqués, biens mal acquis, évasion des capitaux, privatisation galopante de la Tunisie au  profit de la mafia Ben Ali-Trabelsi.
Bref un pays entier spolié et mis sous coupe réglée d’une organisation mafieuse de type Camorra napolitaine. Mais les nervis de l’ancien régime n’en ont pas cure de tout cela, seule leur contrevérité doit primer sur les évidences. Pour eux Ben Ali est blanc comme neige, il est victime d’un coup d’Etat.et les tunisiens qui n’avaient aucune raison de le dégager sont les dindons de la farce, dupés, trompés, dolés, victimes d’une supercherie politique orchestrée par les ennemis de l’ombre.
Toujours la rengaine de la théorie du complot. On leur a juste fait croire qu’ils ont été acteurs alors qu’ils ne sont que de simples spectateurs d’un jeu de cirque imaginé, initié et orchestré par les Yankees et leurs régisseurs locaux les « cyber collabos ». Qui va  souscrire en toute naïveté à une thèse aussi nauséabonde et obséquieuse ?
La couleuvre est trop grosse pour être avalée. Elle est trop indigeste pour être digérée sans rejet. Personnellement, je croyais que mes deux neveux sont des blessés de la révolution, il va falloir que Ben Ali nous explique, lui qui a fait de la sécurité son dogme religieux, pourquoi a-t-il laissé des snipers, des tireurs isolés; venus de l’étranger tirer impunément sur nos compatriotes ? Qu’ont fait sa police et sa milice pour défendre les citoyens ?
Pourtant des témoignages dignes de foi et de source fiable, m’ont rapporté que la veille de la chute du despote, l’hôpital de Ben Arous ressemblait à un hôpital de campagne. Un proche parent, officier dans la Garde Républicaine, m’a rapporté qu’il avait ressenti dans cet hôpital la résurgence de l’atmosphère de Sabra et Chatila où il y était en tant qu’observateur pour les Nations Unies.
Toutes ces plaies symptomatiques de l’état avancé de la décomposition du pays depuis 1978  ne sont donc qu’un tissu de mensonges, une vue de l’esprit, hallucinées, imaginaires, « un conte de fée pour adolescents », une calomnie éhontée dont serait victime le despote déchu.
Occulter le fait révolutionnaire, pour mieux discréditer le peuple tunisien, tel est le but inavoué. Si la Tunisie était livrée aux chasseurs pendant un mois, est-ce la faute au peuple ou à la faillite, ou la complicité passive ou active de Ben Ali ? Ou tout simplement parce qu’il en était le commanditaire intéressé ? Quel crédit peut-on donner à un homme qui a pillé le pays et affamé son peuple ?
Les tunisiens avaient mille et une raisons de se soulever contre le Néron de Carthage. Même si le prix à payer est très amer. Ils n’ont pas à rougir de honte et avoir des remords de l’avoir faite. Ce qui se passe aujourd’hui est le contrecoup obligé, les lendemains qui déchantent qu’ont connues toutes les grandes révolutions.
La France de 1789 a elle aussi connu sa période de Terreur avant de se remettre en ordre de marche. Rien ne doit résister à l’examen de la réalité des faits quand on a été soi-même témoin de cette belle page de la Tunisie où mon propre neveu, blessé de cette révolution, a vécu pendant 2 semaines avec une balle de gros calibre 9 mm logée dans sa poitrine. A moins que cela ne soit une fabulation de ma part. C’est peine perdue, ce qui ne fait pas de doute, mon neveu  portera à tout jamais les séquelles de cette balle symbole de son implication directe dans cette révolution. De même qu’il sait que le tireur qui a failli le tuer un jour du 12 janvier  vers 18 h à Hammam -Lif est un ressortissant tunisien, fonctionnaire de police  de son état et ancien chef du bureau de poste de police de la localité du même nom ?
Ben Ali, l’homme par qui tous les malheurs tunisiens sont arrivés, n’est-il pas responsable de la sécurité de son peuple ? Sauf qu’il avait déjà soldé la Tunisie au profit des mentors de la nouvelle mafia qui sont comme par hasard ses hôtes bienveillants. Adhérer à une thèse aussi grotesque, révisionniste et négatrice de la révolution tunisienne, c’est innocenter Ben Ali de tous ses crimes et méfaits et mettre une chape de plomb sur les le cancer à l’état de métastase de la Tunisie. Faire de de Ben Ali une victime, c’est  d’une part légitimer la secte d’Ennahdha et d’autre part  délégitimer le peuple tunisien.
Qu’il n’en déplaise aux Cassandre et rabat-joie, les tunisiens ont bien fait leur révolution, mais comme les iraniens autrefois, ils ont été dépouillés de leur bien contre leur plein gré.
Leur contester la paternité de leur révolution, c’est le pire affront qu’on leur inflige et revient à leur dénier le droit à la dignité, justice, liberté, leurs idéaux révolutionnaires. Un peuple sans idéal est un peuple sans âme.

Tunisie : une rentrée des classes 2013-2014 100% halal et 0% haram. Digne des Boko Haram

La talibanisation de la Tunisie bat son plein avec une rentrée des classes placée sous le signe du retour triomphal de l’islam.
 Les enfants tunisiens vont être gavés au coran matin et soir avec des alternances  de séances d’initiation au djihad de la terreur, au djihad du sexe halal, au racisme et la  haine du juif et de l’autre, au sexisme, au viol hala, au maniement du couteau du boucher pou…r apprendre comment égorger halal, au cannibalisme, à la nécrophilie, etc. 
Les classes prendront les allures de véritables mosquées, ni tables, ni chaises, ni vidéos, ni cahiers, ni crayons où les filles seront séparées des garçons par un immense rideau noir pour permettre aux maîtres d’apprentissage au djihad dans toute sa variante de faire de la pédagogie active en procédant aux attouchements sexuels d’usage et de satisfaire si besoin est ses penchants pédophiles.
Toute la panoplie du  parfait petit musulman en herbe qui le jour où il sera grand lui servira de mettre en pratique ce que ses maîtres à tuer lui ont appris.
Pourquoi voulez-vous qu’on leur apprenne les savoirs de base alors qu’ils nés pour se tuer et tuer pour Allah ?
Pourquoi voulez-vous qu’on enseigne aussi les sciences humaines, sociales, exactes, médicales, etc..  qui risquent de les éloigner de la belle religion du savoir, alors que seule la science coranique leur apprend comment faire de leur vie un don à Allah ? L’éducation musulmane la pure, la vraie, ne pourra pas composer avec des systèmes d’éducation qui éclairent l’esprit humain et nourrissent la réflexion. 
Par conséquent tout ce qui n’a pas d’attributs  musulmans sera banni de l’enseignement. Cap sur le djihad et mort aux non-musulmans ? Du 100% Boko Haram.
L’obscurité sera leur phare et la lumière sera une hérésie pour eux. Les voies d’Allah sont les voies de la mort, elles n’ont pas besoin de lumière, elles ont besoin que l’on transforme ces petits enfants en chair à canon pour asseoir son hégémonie sur l’univers. Dans les vrais pays musulmans, on éduque pas les enfants à la vie, on les éduque pour faire don de leur vie à Allah; 
Un musulman n’a de vie qu’après sa mort, pourquoi investir alors dans l’éducation républicaine ? 

Que les musulmans fassent eux-mêmes leur propre bilan et trouvent le remède à leur cancer à l’état de métastase

Plutôt que de s’intéresser au substrat religieux des adeptes cette doctrine politique qui se sert du sacré pour embobiner ses fidèles et les lobotomiser, il serait plus pertinent de faire un bulletin de santé des pays qui se veulent son miroir et sa vitrine ? Il n’y a pas meilleur révélateur quant à l’état de la déchéance psychique, sociale et humaine des populations qui vivent sous son diktat.
Y a t-il une corrélation entre cette doctrine qui ne se compare à elle-même  et les maux qui frappent les pays qui portent ses couleurs ?
Pourquoi là où elle prospère, l’environnement est inviable à toute vie humaine ?
Analyser les performances des pays qui lui sont assujettis est plus parlant et édifiant que de se livrer à un exercice de démystification de cette doctrine hautement toxique pour la santé humaine.
Comme tout malade qui vit dans le déni de sa maladie, ses adeptes n’étant pas conscients de leur cancer à l’état de métastase se plaisent à dénigrer le teint pâle de leurs rivaux.
Ils sont tel un coq qui chante les pattes dans le fumier sans qu’ils se rendent compte qu’il n’y a pire système d’organisation de vie humaine que la leur.
Qu’ils se posent eux-mêmes les bonnes questions et qu’ils dressent le tableau de leurs propres performances et leurs vrais apports à la communauté des nations ?
En quoi sont-ils un exemple pour leurs rivaux au vu de leurs graves  déficits immunitaires en termes de progrès humains et de bien-être ?
Il n’y a a pas de développement humain sans liberté et dignité comme il n’y a pas de justice sans égalité, pourquoi là où leur idéologie est trop présente il existe toutes les formes de nécrose ?    
Qu’ils répondent eux-mêmes aux questions suivantes qui sont loin d’être exhaustives et sans en nier la véracité, mais en sont-ils capables ?   :
Les pays les plus corrompus et népotiques au monde ? 
Les pays les plus liberticides  et rétrogrades au monde ?  
Les pays les plus féminicides au monde ?
Les pays le plus sous-développés au monde ?
Les pays les plus incultes au monde ?
Les pays les plus pédophiles et homophobes au monde ?
Les pays où les violeurs sont innocentés et les victimes sont condamnées ?
Les pays les plus barbares au monde où l’on préfère investir dans la religion plutôt que dans l’éducation et la santé ?
Les pays les plus racistes et intolérants au monde ?
Les pays où l’on tue pour sa religion et on trahit sa patrie ?
Les pays où tout le monde se dit frères auxquels où l’on s’entretue comme des caïmans dans le même marigot ? 
Les pays qui servent de chair à canon à leurs ennemis ? Les pays de l’inaction et de l’inertie ?  
Les pays de l’indignité humaine et du mal-être ?  Les pays où la mort est la règle et la vie est l »exception ?
Les pays qui n’assument rien et qui font toujours de l’autre le bouc-émissaire de leurs propres malheurs ?
Les pays qui ferment le ban des nations ?
Les pays qui font de l’obscurité un phare et de la lumière une hérésie ? Les pays où l’on glorifie un gourou et on maudit un scientifique ?
Les pays-cimetières pour morts-vivants ? Les pays où l’on prêche la vertu et l’on pratique le vice ?
Les pays les plus ridicules et ethnocentriques au monde ? Les pays les plus despotiques et serviles au monde ?
Qui sont-ils et pourquoi en sont-ils là ? Le pire est qu’ils veulent universaliser leur modèle pour en faire le seul modèle de vie pour l’humanité.
Lever le voile sur le péril de cette idéologie mortifère n’est ni un crime ni un délit, il est un acte de résistance humaniste.
 
 
 
 

En faisant son coming out, mon ami Zak Ostmane fait tomber le double masque des musulmans, pédophiles et homophobes

Le présent article est dédié à mon ami Zak Amazigh Ostamane, chevalier des temps modernes, blogueur et ex défenseur patenté qui l’ex Femen tunisienne Amina et président-fondateur de son comité de soutien en Algérie.
Un homme de principes, aux vertus humaines et intellectuelles incommensurables, déterminé et infatigable que rien ne semble l’arrêter sur son chemin pour faire connaître la cause des parias dans les sociétés musulmans en général et l’algérienne en particulier.
Contrairement aux forces rétrogrades hostiles qui font de la violence meurtrière et intolérance leur mode d’expression politique, Zak leur oppose son seul courage intellectuel et sa liberté de parole et de pensée.
Coulé comme l’or pur dans le moule de l’humanisme, il ne connait de la foi que celle qu’il a en son combat et en l’homme.Il dérange et trouble la loi du silence qui sert de chape de plomb aux mœurs perverses  et barbares des musulmans frappées du sceau de la religion.
Sa sensibilité légendaire contraste avec la violence, la fourberie et la cruauté de mises dans les sociétés musulmanes.
Devenu en Algérie le sorcier qu’on doit jeter dans le bûcher ici-bas comme en enfer, sa vie ne tient plus qu’à un fil depuis le jour où il a déclaré publiquement son orientation sexuelle qui n’est pas dans la nomenclature sexuelle musulmane. Comme si les musulmans sont des humains entièrement à part et l’islam les immunise contre ce qu’ils considèrent comme un péché mortel, même s’ils ne sont pas les seuls, mais au moins en Occident, les lois répriment le racisme anti-homosexuel et sont au-dessus des lois canoniques.
Les musulmans ne sont pas connus pour être férus de vérité, ils oublient que le plus grand Calife de leur histoire Haroun Errachid était un homosexuel notoire.
Comme si eux-mêmes n’ont pas cette part d’homosexualité en eux, qu’elles soient refoulées ou avérées mais qu’ils n’ont pas le courage de l’avouer sous peine d’essuyer le courroux de leurs coreligionnaires qui vouent un culte à la pédophilie.
C’est cette duplicité et cette morale à géométrie variable que mon ami Zak Amazigh Ostmane dénonce et jette aux orties.
Infatigable chevalier, il n’a de cesse tant que les humains partout où ils se trouvent ne soient pas égaux en droit.
Il ne peut se résoudre à l’idée que les hommes sont discriminés sur la base de leur différence sexuelle. C’est comme si l’hétérosexualité est une vertu et ne pas l’être est un vice.
Le crime est de différencier et classifier les hommes sur la base de leur identité sexuelle, le crime est aussi d’établir une hiérarchie entre les humains en musulmans et en dhimmis. C’est cela que Zak combat avec acharnement au péril de sa vie.
Et les musulmans qui plutôt que d’argumenter, de dialoguer, de débattre et de convaincre  préfèrent les menaces, la violence, le dénigrement, l’anathème, la vitupération,  l’intimidation, l’invective et la calomnie. Ce n’est pas par hasard si le monde musulman  et notamment la Tunisie et l’Algérie poursuivent en sont là aujourd’hui.
On récolte les fruits incomestibles de sa propre haine dont on a fait un semis pour la terre tunisienne.
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<div>Ennahdha n’est pas autre chose que le reflet de cette société opportuniste, raciste, triviale, bigote,  égoïste, ethnocentrique, violente, velléitaire, ingrate et liberticide. Peut-être serait-elle façonné par l’islam mais qu’a-t-elle fait pour donner un visage humain, tolérant et apaisé d’elle. Les tunisiens croient désarmer leurs détracteurs et les observateurs objectifs de leur descente aux enfers en recourant comme des forcenés à la diarrhée nauséabonde verbale. Ils oublient que la passion est symptomatique de leur prison mentale et que seule la voie de la raison peut rendre à la Tunisie son honneur perdu. Un peuple digne et probe ne gagne pas du crédit dans le discrédit d’autrui et de sa stigmatisation. La dignité d’un peuple est dans son courage d’affronter la vérité fût-elle la plus amère. La vérité dérange toujours surtout quand elle met les gens en face de leur propre miroir. Les sociétés  musulmanes prétendument conservatrices et puritaines  telle que la tunisienne sont connues pour leur tartufferie et leur déni de la vérité.</div>
<div>Elles ont toujours peur d’elles-mêmes c’est pourquoi elles préfèrent se voiler la face et se murer dans leur bunker mental  plutôt que de faire son examen de conscience et se remettre en question. Elles ont une telle phobie d’entendre une toute autre vérité que la leur, qu’elles sont capables d’infliger à celui qui ose  les démystifier le pire des châtiments que réserve leur code canon aux insolents et outrecuidants.</div>
<div>Leur agressivité reste est leur seul masque qu’ils arborent quand on les interpelle sur la nature toxique des sources dans lesquelles elles s’abreuvent. Elles font des tabous un dogme de vie en société en feignant d’oublier que leurs pratiques sociales et culturelles et leurs mœurs débridées et attentatoires à  la dignité humaine sont incompatibles  avec  la morale humaine. Plus les sociétés revendiquent leur puritanisme, plus elles avouent à demi mots la violence et les dérives qui les minent.</div>
<div>C’est un paravent pour cacher de la vue de l’autre sa véritable nature. Voilà pourquoi elles se sentent offensées et appellent à laver l’affront qu’on leur a fait subir,  parce que  elles se trouvent prises au piège de leur propre  hypocrisie quand  par exemple un homme brise avec courage les tabous et dévoile par son orientation sexuelle au péril de sa vie et au mépris de leur dénégation de toute forme de différenciation sexuelle.</div>
<div>Préférant leur statut ignoble de statut de société pédophile au statut de société humaine, tolérante et homophile. Comme le paradoxe ne tue pas, elles sont bien souvent les premières à s’adonner à des pratiques homosexuelles occasionnelles ou permanentes.</div>
<div>Mais tant que ces sociétés persistent et signent dans leur refus de montrer le vrai visage qui est le leur, elles continueront à sévir et réprime tous ceux qui sortent de leur silence.</div>
<div>Quand on ne veut pas assumer son identité sexuelle on ne peut pas assumer son humanité. Elles seront comme une meute de loups qui s’entredévoreront ente eux jusqu’à l’extinction finale.</div>
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Le 21 e siècle aura-t-il le visage de la barbarie musulmane après avoir connu celui de la barbarie nazie ?

On ne cesse de marteler que les hydres islamistes, véritables ecadrons de la mort appelés moujahiddounes, combattants, fi sabil Allah, qui infestent nos villes et nos cités ne sont pas Musulmans et que leurs dérives sectaires n’ont aucun caractère coranique.

Toujours la même rengaine, l’islam est parfait et ses adeptes le dévoient alors qu’ils sont en parfaite adéquation avec son enseignement hégémonique et expansionniste.  Ilsne font que traduire fidèlement dans les faits sa stratégie de pouvoir impérial. 

En tant que musulmans fidèles aux dogmes de leur foi, ils doivent mettre en pratique la théorie de l’araignée du coran qui consiste à grignoter lentement mais sûrement chaque pouce et parcelle de territoire en usant de manoeuvres les plus perfides et pernicieuses voire illicites. Car l’islam ne condamne pas ses fidèles qui transgressent ses propres lois et pas seulement les siennes en cas de nécessité absolue et dans l’intérêt supérieur de l’oumma musulmane.

En tant qu’idéologie velléitaire velléitaire. l’islam exhorte ses fidèles à oeuvrer ainsi par tous les moyens à l’instauration de son règne absolu sur l’univers. Les voies impériales de l’islam n’ont pas à composer avec les ois imparfaites des assemblées humaines qui sont appelées à disparaître un jour au profit des siennes.

Les vrais musulmans ont pour mission de donner du sens à son message et à baliser le terrain en vue de son avènement comme nouvel ordre mondial. Un vrai musulman est par définition un conquérant armé de ses seules convictions en sa foi qui doit être un jour la seule et unique pour tous les hommes.

 De ce fait, ils ne doivent suivre qu’une seule feuille de route destinée à asseoir le pouvoir d’Allah sur tous les hommes et châtier tous ceux qui s’y refusent.

 Son retour fracassant sur la scène arabisée avec les révolutions kafkaïenne du printemps wahhabite et notamment tunisienne s’accompagne d’un prosélytisme agressif et violent bénéficie toutefois d’une certaine mansuétude et indulgence coupable de la part du pouvoir de transition en Tunisie et des exégètes, théologiens et doctes musulmans.

Tout laisse à penser que cette vision de l’Islam ultra violente et ultra réactionnaire- qui suscite  pourtant  des peurs et des angoisses légitimes chez la majorité des citoyens- n’est pas contraire au Coran lui-même qui exhorte les disciples de recourir aux actes les plus répréhensibles.

Ainsi, tout adorateur d Allah qui juge que sa foi est offensée et bafouée est en droit selon le Coran de tuer l’offenseur. Faire  couler le sang du mécréant devient  de la sorte un acte purificateur qui vaut à celui qui le commet les bienfaits du paradis.

En toute évidence les  islamistes ne sont en aucun cas les enfants damnés d’Allah, ils en sont les enfants chéris qui auront sa grâce éternelle. Ils sont porterurs d’une mission d’ordre divin,en violation fagrante par aillieurs de l’ordre républicain, pour protéger sa Parole et le rétablir dans sa royauté légitime sur l’univers dont il est le créateur.

Dans ce contexte, condamner les islamistes- qui ne font en réalité qu appliquer les recommandations du Coran pour actes de  troubles à l’ordre public, menaces de mort ou atteintes aux biens et aux personnes reviendrait à condamner Allah lui même. Le monarque absolu.

 Il est somme toute logique qu’il le soit dans la mesure où il en est le maître et le commanditaire. Mais aucun pouvoir judiciaire ou politique dans les pays musulmans ne saurait commettre une telle aposatasie sans provoquer le courroux de sa majorité musulmane. Ce qui vaut effectiveemnt aux islamsites de bénéficier d’un blanc seing juridique que leur confère leur statut d’élus d Allah.

Ils deviennet juridiquement intouchables comme les Mollahs en Iran ou les nahdhaouistes en Tunisie dont leur leur triste et nazillon gourou s est affublé du titre de Habib Allah. Le chéri d Allah.  Au vu des idées libericides et scélérates qu’ils propagent tel un poison mortel au sein des pouplations musulmanes ainsi qu au regard de leurs comportements agressifs et violents, les islamistes  qui sont le vrai visage de l’islam du prophète sont en conformité avec les lois divines. Ils sont au-dessus des lois puisqu’ils eux-mêmes la loi. 

On ne se condamne pas soi-même pour les crimes et les délits accomplis dans le cadre de sa mission sacrée d’imposer la Loi de l’islam; la charia, aux quatre coins du monde. Tuer pour Allah n’est pas un crime en soi, ce qui l’est c’est la dénonciation du crime jugée comme une offense à sa volonté. C’est pourquoi tous les meurtres resteront impunis.

Le jour où ils régneront sur le monde, ils ne manqueront pas d’abolir tous les  codes  humains pour hérésie, C’est dans ce sens que la Tunisie va leur servir de laboratoire pour la mise en pratique de leur lois inhumaines et barbares où la victime sera coupable et le criminel agissant dans le sentier d’Allah sera innocenté. 

En conclusion , l’islamisme qui est un autre visage de l’islam  n’est pas seulement un ver venimeux dans les fruits humains, mais il est également une négation de l Etat de droit et de l Etat-nation. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit et la consécration du pouvoir de la force sur la justice équitable. 

Hitler, Churchill, De Gaulle et l’islam

The Prime Minister Winston Churchill (in his a...
The Prime Minister Winston Churchill (in his air commodore’s uniform) and General Charles De Gaulle review French soldiers during their meeting in Marrakesh, Morocco, on 13 January 1944. (Photo credit: Wikipedia)1

Pourquoi brosser un portrait du musulman d’aujourd’hui alors qu’il est le reflet fidèle de celui d’hier  ? Avec lui il n’y a jamais d’époque révolue, il est dans la réactualisation permanente de son passé.

Il n’y a rien d’étonnant à ce que 80 ans après, les portraits esquissés du musulman  par Adolph Hitler, Winston Churchill et le Général De Gaulle sont plus que jamais fidèles à l’image du musulman d’aujourd’hui.

Le visage de l’islam est resté inamovible, inchangé, immobile que seuls les islamo-compatibles refusent de voir de peur heurter la susceptibilité pathologique des musulmans, en voulant faire croire que  le visage présent de l’islam est un visage transfiguré, dénaturé et dévoyé par les extrémistes musulmans qui sont les purs produits pourtant de l’isam mahométan.

Quoi qu’ils allèguent et quel que soit le qualificatif dont il gratifie l’islam, il n’y a qu’un seul islam, le radical. C’est lui l’islam authentique et fidèle à l’enseignement du prophète puisant ses racines dans les sources originales de l’islam lui-même qui consistent à statufier le musulman pur l’éternité, il est celui qui met en musique les dogmes de l’islam avec force et violence jouissant d’une certaine mansuétude et tolérance a au sein du monde musulman alors  qu’il est pourtant le premier à en pâtir en termes de discrédits et de nombreux attentats terroristes meurtriers dont il est victime.

En effet, cette espèce de complaisance dont jouit l’islam radical au sein du monde musulman et chez la bien pensance occidentale ne fait que de donner du crédit aux islamo-incompatibles quant à leur s inquiétudes sur la haute nocivité de l’islam. De part leur apathie légendaire et leur silence trouble les musulmans en ne condamnant pas explicitement et vigoureusement l’islam radical laissentapparaître leur religion comme étant violente, envahissante, hégémonique, coloniale, archaïque inadaptée au monde contemporain incapable d’assimiler les valeurs universelles de paix et de compréhension mutuelle dangereuse pour la paix et la sécurité dans le monde.

En se gardant de condamner les excès de violence et les dérives morales de leurs coreligionnaires les plus fanatiques, les musulmans ne font que jeter le trouble et semer le doute sur la vraie nature de la religion musulmane que beaucoup d’entre eux se plaisent à la définir comme une religion de paix et de bien vivre ensemble.

Alors que le mot islam veut dire littéralement soumission, assujettissement, allégeance, adhésion avec obligation stricte et absolue de se conformer et appliquer les prescrits de sa religion dans tous les aspects de sa vie. Ce qui interdit toute possibilité pour un musulman de s’interroger lui-même sur le sens de ses propres actes, sur le bien-fondé des actes accomplis par d’autres au nom de l’Islam et au profit de la cause musulmane telle que la retrace le Coran qui recommande aux musulmans d’emprunter la seule voie de la vaillance et de la combativité pour atteindre le stade ultime de la félicité, excluant ainsi, la voie de la modération.

Comme si l’excès de zèle était le propre des vrais fidèles musulmans. Il ne s’agit pas de rechercher les liens intrinsèques entre l’Islam et la violence quand bien même l’Islam refuse de faire lui-même sa propre introspection afin de se débarrasser de ses scories négatives qui lui sont inhérentes ou non et qui sont l’origine de frayeur et de peur justifiée ou non chez les non-musulmans, voire les musulmans eux-mêmes qui veulent vivre dans la modernité et qui luttent pour se dépêtrer du carcan de la religion pour la réduire au seul champ de la spiritualité.

En tout état de cause, il s’agit moins de fantasmes qui sont le produit de préjugés antimusulmans que d’une réalité observée et constatée ici et là qui laisse penser que les excès et dérives, dont se rendent coupables les mouvements activistes musulmans. Comme si le monde musulman est atteint d’une de schizophrénie où il se trouve partagé entre son désir de combattre le mal qui le ronge à l’intérieur et en même temps il est freiné par sa peur de vouloir éradiquer un mal qui n’en est pas un et qui n’est en réalité que l’expression du message politique et cosmique de l’Islam.

Ni phobie, ni préjugés défavorables, ni fantasmes négatifs, ni idées préconçues pour dénigrer la religion musulmane qui mérite tout le respect qui lui est dû en tant que catharsis, seule l’observation des comportements violents, velléitaires et bellicistes et l’analyse des discours extrémistes donnent de l’Islam une image peu reluisante et rendant légitimes toutes ces appréhensions que l’on puisse éprouver dans le cas d’espèce.
Et au regard de tous les pogroms, autodafés et actes de barbarie perpétrés un peu partout dans le monde, et particulièrement en Irak,  Egypte, Syrie, Pakistan, Somalie, Soudan,  Afghanistan,  Algérie et au Nord du Nigéria…, que l’on peut effectivement se demander si l’islam n’est jamais sorti de ses longues nuits de ténèbres et qu’il est resté inquisiteur et terrifiant.

Dans ce contexte, les descriptions De Gaulle, Churchill et Hitler sont plus que jamais d’actualité :
-1) « Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! »Charles De Gaulle
-2) « Certains musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent. Aucune force aussi rétrograde n’existe dans le monde. Loin d’être moribond le mahométanisme est une foi militante et prosélyte. […] la civilisation de l’Europe moderne peut s’écrouler, comme s’est écroulée la civilisation de la Rome antique. » Winston Churchill
-3) « On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffn-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. (…) Je ne veux pas que, par la stupidité et l’étroitesse d’esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne » Adolphe Hitler.

70 ans ou plutôt 1434 ans  après, le monde musulman est resté figé dans sa pierre tombale de la Ka’aba,. Tétanisé et pétrifié. Aucun changement notoire au plan du développement humain,. Liberticide, archaïque, rétrograde, bigot et passéiste.

Aux mœurs barbares et immorales. Là où le reste du monde fait un pas en avant le monde musulman devenu chair à canon pour ses maîtres fait dix pas en arrière. Il régresse dangereusement et que plus rien ne semble le freiner dans sa chute vertigineuse.  Même des pays comme a Tunisie et la Turquie que l’on se plaisait à présenter comme modernes et ouverts marquent de plus en plus le pas à causse de l’islamisation rampante des esprits.

Ces deux pays qui ont réussi à cantonner la religion et sa pratique à la seule sphère privée et personnelle, semblent être pris en otage par les mouvements islamistes et ils ne vont pas tarder surtout en ce qui concerne la Tunisie de rejoindre le rang des pays les plus rétrogrades et barbares de l’humanité.

En définitive, l’Islam semble être plus un problème qu’une solution aux problèmes de développement. Il n’existe pas aujourd’hui un seul exemple de pays qui a fait de la religion musulmane son modèle de développement humain, économique, social qui a réussi. A  supposer  évidemment que la religion ait cette vocation. Le problème que l’Islam qui est une catharsis se veut un antidote aux maux des sociétés humaines est perçu partout dans le monde comme une menace réelle ou supposée aux progrès humains

Il ne peut y avoir d’islam sans la charia comme il ne pouvait y avoir de nazisme sans Mein Kampf

  • Selon la charia, la loi de la barbarie humaine seule norme juridique pour les musulmans, l’homme n’a pas le droit de légiférer et de rendre des ordonnances, faudrait-il déjà qu’il existe en tant que tel. Supposée être de source divine, tous les musulmans sont tenus de s’appliquer sous peine de commettre une apostasie.
  • Elle est le cordon ombilical qui relie les musulmans à leur religion, il ne peut donc  y avoir d’islam sans la charia.    
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  • Jamais un fondamentaliste musulman ne fera allégeance à toute autre loi si elle n’est pas censée être l’oeuvre de dieu.
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  •  Comme les promesses n engagent que celui qui les écoute, les islamistes n’auront aucun scrupule ou mauvaise conscience à renier leurs engagements citoyens et démocratiques par nécessité dogmatique.
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  •  ll est utopique et irresponsable de croire qu’un islamiste va se muer demain en fervent démocrate par un coup de baguette magique alors que seuls les prescrits de sa religion ont force de loi. Lui qui est obsédé par la mise en oeuvre de la feuille de route que Dieu a fixée aux musulmans, il ne va pas y déroger  sous peine de commettre une hérésie.
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  • Comment peut on croire un seul instant qu’un islamiste se croyant investi d’une mission divine de propagation de la parole sacrée par tous les moyens afin d’instaurer l’ordre voulu par Dieu puisse dévier de sa ligne de conduite politique pour adhérer ou veiller au respect des lois républicaines sans que cela ne heurte ses propres convictions religieuses ?
  • Comment peut-on être naïf au point d’imaginer un islamiste qui prêche dans les mosquées un islam pur et dur englobant tous les aspects de la vie sociale, religieuse et politique va oeuvrer pour la séparation de la religion de l Etat ? 
  • Adhérer aux valeurs de la démocratie consiste tout simplement pour un islamiste à aller l’ encontre de la volonté d’Allah, seul maître absolu des lois qui contrôlent dans les moindres détails la vie des fidèles.Autant demander à un islamiste de se convertir à une autre religion, ce qui est un péché mortel dans l’islam, que de le voir demain se draper dans les habits de la République qui est incompatible avec la pensée musulmane fondamentaliste qui récuse toute idée qu’ils puissent exister des sphères d activités ou des aspects de l’existence humaine échappant à l’emprise de la religion ou de la loi divine. 
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  • Tant que l’islam continue à vouloir englober le politique et le religieux, l’islamiste ne fera qu’ appliquer fidèlement les prescrits de sa religion. 
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  • L’islamiste qui est avant tout un combattant fidèle à sa foi et un prosélyte invétéré  et velléitaire maniant l’épéeà l’époque du prophète et la bommbe aujourd’hui, ne dit-on pas que le paradis est à l’ombre de l’épée ?  
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  • Par conséquent toute stratégie basée sur la supercherie, la duperie, le mensonge, le dol, destinée à abuser ou vaincre la crédulité des gens est rendue licite tant qu elle s’inscrit dans le cadre du djihad. 
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  • Ce qui est réprouvée par la morale humaine ne l’est pas nécessairement par Dieu tant qu elle porte le sceau d’Allah dans la mesure où tous les actes prétendument accomplis pour le bien de ses desseins hégémoniques sur le monde ne peuvent  pas etre considérés comme illicites. 
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  • La fin justifie les moyens. Il est permis de renier sa parole dans l’islam quand  un musulman est sur le sentier de guerre. En conclusion, un islamiste est le nouveau Tartufe de notre temps. 
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  • Mais en plus immonde, plus cruel et plus perfide, il est telle cette créature immonde et répugnante qui glapit, hurle, vocifère et s’agite dans la marre de l’hypocrisie, l’infamie et l’ignominie.  
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  • Il est comme un helminthe, ces vers parasites qui se propagent dans  l’organisme humain en l’ occurrence le corps social musulman. 
  •  
  • Aucune thérapie démocratique ne saurait enrayer ou juguler l’épidémie infectieuse qui affecte aujourd’ hui les populations musulmanes avec des forts risques de contamination des non-musulmans suffisamment non-immunisés contre le virus létal musulman. 
  • Elle attaque directement les neurones et la rend insensible et allergique à tout traitement médicamenteux  qui n a pas de caractère divin

La Tunisie tombée dans le piège de la transition : de la république humaine à la barbarie musulmane

Dès le lendemain du14/01/ 2011 et le départ burlesque  de Ben Ali digne des grandes intrigues policières romancées de Grorges Simenon,  la Tunisie a fait fausse route où l’on a continué à faire du neuf avec de l’ancien en dépit de tout bon sens politique et juridique indispensable pour conférer une validité juridique à tous les actes fondant la nouvelle architecture institutionnelle

En d’autres termes, il est légitime et fondé de considérer que toutes les instances initiatrices et organisatrices du nouveau projet politique tunisien constitueraient une aberration institutionnelle et un véritable déni de démocratie.

Elles ont agi comme si elles étaient détentrices de délégation de service public, notamment en ce qui concerne les modalités d’organisation du scrutin électoral de l’Assemblée Nationale Constituante, sujettes à caution.

Comme si le tailleur en l’occurrence l’I.S.I.E. cherchait plus à déshabiller le peuple tunisien au profit de la secte d’Ennahdha en lui taillant un habit sur mesure en faisant preuve d’une mansuétude et de bienveillance surprenantes et inquiétantes quant à l’avenir politique des plus théocratiques qui se dessine pour la Tunisie. Ni sanction, ni rappel à l’ordre, ni de mesure de rétorsion à l’égard de la secte d’Ennahdha comme si elle bénéficiait d’une immunité politique et juridique lui permettant d’enfreindre en toute impunité le code électoral ou à à défaut le cahier des charges électoral à supposer qu’il y en ait un.

En aucun moment Ennahdha n’a fait l’objet d’une quelconque remontrance de la part de cet organe, comme s’il était là pour baliser la voie et déblayer le terrain pour elle. Un organe arbitral tel un arbitre d’une rencontre de football entre deux équipes  qui fait preuve d’un zèle étonnant à vouloir siffler les fautes de l’une tout en oubliant les  fautes caractérisées de l’autre qui ont pourtant émaillé tout le match.

Parmi ces innombrables bavures qui ont dû avoir un impact sur la sincérité du résultat. on trouve l’instrumentalisation de la religion, le dévoiement des mosquées, les menaces de mettre le pays à feu et à sang si le résultats du match n’étaient pas conformes à ses attentes, les intimidations, les sources étrangères de financement de sa campagne, les tentatives de corruption, les cas de corruption avérés etc.

On ne peut que s’interroger sur le silence trouble de toutes ces instances qui répondaient plus à des besoins occultes, obscurs  et inavoués qu’aux besoins du peuple tunisien lui-même. La démocratie n’a de sens que si ses représentants sont mandatés. Or, dans le cas d’espèce, ces instances sont apparues une brèche ouverte dans le projet  barrage  que les Tunisiens voulaient bâtir entre le despotisme et le démocratisme citoyen.

A se demander si ces instances n’étaient pas comme ces organes judiciaires chargés de procéder à la liquidation des entreprises après les avoir vidées de toute leur substance. En effet, la ressemblance est assez frappante  au vu des modalités abscons de leur création, du choix des équipes censées les animer, de leur mode de fonctionnement interne, de leur prétendue  indépendance pour afficher une légitimité de façade  dont elles se sont affublées et de leur statut juridique ambigu qui est en tout état de cause doit relever du champ du droit public tunisien dont elles se sont dotées, en s’auto-octroyant ainsi un pouvoir exorbitant, inepte et sans fondement légal sérieux. Elles avaient agi sans aucune légitimité politique, ni démocratique moins dans le sens de l’intérêt commun que dans l’intérêt des commanditaires privés en combinant cela avec l’exaltation de leurs egos personnels.

La seule légitimité dont elles pourraient réellement se prévaloir est l’opacité et le clientélisme à l’origine de leurs mises en place par des procédures entourées d’un grand flou juridique y compris celle du recrutement des membres auto-proclamés. Il y a fort à parier que lesdits membres ont dû être choisis selon un système de cooptation et de favoritisme, apparenté à ce qu’on appelle trivialement un système de copinage. Ce qui démontre d’emblée le caractère népotique et antidémocratique de ces instances. Au lieu d’être l’expression de l’éveil démocratique en Tunisie et marquer une rupture avec le passé despotique avec des structures sociales et politiques fondées sur l’intérêt particulier et les relations interpersonnelles, elles n’ont fait en réalité que le reproduire sous une autre forme les habitus tels que les définissent Bourdieu.

Le particularisme des instances électorales et la haute instance n’est pas sans rappeler celui du C.I.O. au lieu d’être représentatif de la grande famille olympique, des Comités Olympiques Nationaux, il s’est recruté lui-même par l’élection des personnalités jugées qualifiées. Ce mode de recrutement est de cours au sein de la Croix Rouge Internationale est connu sous le nom de « self recruiting body » que certains qualifieraient de « self-perpetuating body ».

Un système faisant la part belle à l’arbitraire, à la subjectivité, la partialité, l’excès de pouvoir, un club de copains, sectaire et occulte.  Pourquoi la nouveau paysage démocratique qui se profile en Tunisie au lendemain du 14 janvier 2011 a t-il nécessairement besoin d’une phase transitoire, d’un passage graduel qui le fait passer d’un état à l’autre ?

Une révolution ne transite pas en principe, elle est supposée provoquer un séisme politique, institutionnel et culturel dans le pays, elle transforme le pays de fond en comble avec une soudaineté inattendue sans filet protecteur ni garde-fous pour lui faciliter l’accès à une nouvelle étape. Quand un séisme frappe un pays dès le lendemain on s’attache à déblayer le pays de ses décombres sans délai d’attente. Il n’a pas à se trouver dans une gare de triage pour qu’on lui signale la voie qu’il doit emprunter pour rejoindre sa nouvelle destination.

De même qu’une révolution n’a pas à être accompagnée ou pilotée par des experts autoproclamés pour l’insérer dans un processus transitoire devenu la seule alternative par leur seule volonté qui n’est en aucun cas représentative de la volonté générale.  Un véritable déni de démocratie. Comment ces instances peuvent-elles alléguer tirer leur légitimité de la volonté générale alors qu’elles ne sont que l’expression d’une stratégie opportuniste et clientéliste ?

La représentativité ne se décrète pas, elle s’octroie. C’est le donneur d’ordres dans le cas d »espèce le peuple tunisien  qui en fixe les modalités, le contenu et les objectifs. Il l’accorde à qui il veut selon ses propres critères et en fonction de ses propres besoins. Une représentativité qui enfreint ce principe d’habilitation ne peut qu’être qualifiée que d’imposture et d’usurpation de pouvoir.  Il ne peut y avoir de représentativité qui ne reflète pas la volonté de celui au nom duquel on est censé agir.

Une représentativité non-fondée sur la volonté de celui qui la dicte n’est rien d’autre qu’une représentativité viciée juridiquement et dont les effets sont nuls et non avenus.  Les dérives antidémocratiques dont se sont rendues coupables ces instances  et leur confiscation éhontée d’un mandat non octroyé et non validé par le peuple lui-même ne peuvent qu’être l’illustration parfaite du piège du processus contre-révolutionnaire dans lequel s’est enlisé la Tunisie.

« Quand on veut enterrer un problème, on crée une commission » disait Georges Clémenceau et quand on veut casser l’élan d’une révolution on crée des instances chargées pour lui couper les ailes afin de lui inoculer les germes contaminés de la contre-révolution. Il est étonnant que toutes ces instances aient pu en toute latitude et liberté exercer un pouvoir au nom du peuple tunisien en l’absence d’un moindre consentement de la part dudit peuple et ce sans que cela n’ait heurté la vox populi. 

Elles ont accompli des missions de caractère de service public et réglementaire, voire quasi-législative pour la Haute Instance présidée par Yadh Ben Achour, dans un flou juridique total.

Elles semblent qu’elles ont elles-mêmes défini leur propre champ de compétences  avec leur propre cahier de charges et la nature de leurs prérogatives sans l’intervention des autorités gouvernementales de transition, une véritable hérésie politique, les seules fondées juridiquement à émettre des décrets lois ou émettre les ordonnances nécessaires à leur bon fonctionnement.  On ne peut qu’être interpellé par la nature juridique de ces instances et la validité légale de leurs actes.  Qui leur a conféré le pouvoir d’agir au nom du peuple tunisien ? Qui les a dotées de cette personnalité juridique dont elle ses sont prévalues ?  Si l’acte fondateur provient de l’autorité gouvernementale de transition cela ne doit pas les exonérer de leurs devoirs de se soumettre à son contrôle ? Ces questions  et bien d’autres qui peuvent paraître superflues mais dont l’examen est indispensable pour déceler les mécanismes pernicieux et pervers de l’échec de l’avènement de la démocratie en Tunisie.

En toute évidence, un tel désordre juridique et une telle désarticulation institutionnelle ne peut que déboucher inévitablement sur un chaos politique tel qu’on l’a constaté lors de la phase d’inscriptions sur les listes électorales et la confusion coupable entre la C.N.I. et la carte d’électeur. 

 Ces instances de non-droit à défaut d’avoir contribué à l’éclosion de la démocratie en Tunisie, elles ont plutôt préparé sans qu’elle le veuille à la mise en oeuvre de la graduation progressive de la prise de pouvoir par la secte d’Ennahdha.

Si transition il y a c’est plus pour servir les desseins d’Ennahdha et ses marionnettistes étrangers. Il fallait mettre la main sur le guidon de la révolution  sans visages sauf ceux de ses vicimes et blessés et y aller crescendo en préparant le terrain pernicieusement et institutionnellement au sacre d’Ennahdha. Ce qui aurait pu être un coup d’Etat de palais selon un scénario d’un film de série noire américaine, avec des acteurs de l’ombre qui intriguent pour assouvir leurs sombres desseins, on l’a habillé  subtilement de l’habit révolutionnaire afin que cette révolution n’ait pas l’allure d’un coup d’Etat organisé au profit des seuls islamistes tunisiens couvés par la Maison Blanche,enrobé par un zeste de démocratie avec des faire-valoir tels le C.P.R. et Ettakatol. 

Il n’en reste pas moins que l’architecture juridique tunisienne telle qu’elle est apparue au lendemain du 14 janvier 2011 est l’exemple type de l’Etat de non-droit. Caractérisée par une certaine forme forme d’ inefficience et d’anachronisme juridique. Celui du règne de l’arbitraire et de l’absence d’un ordre juridique hiérarchisé indispensable pour le bon fonctionnement des institutions.

Toutes ces instances chargées de la mission de l’accompagnement politique de la Tunisie dans le cadre de sa période de transition démocratique se sont trouvées à prendre des décisions de caractère public et de portée générale surtout en ce qui concerne les modalités du scrutin électoral du 23 octobre 2011 et à édicter des règlements quasi-législatifs sans qu’elles aient la moindre qualité juridique requise. Subséquemment, il est permis de douter de leur légitimité juridique. Dans un Etat de droit, elles peuvent être frappées de nullité.

La Tunisie s’est retrouvée, tel une hydre à trois têtes voire 4 avec les dérives sectaires incarnées par le mouvement d’Ennahdha, avec des organes juxtaposés et concurrents entre eux sans qu’il y ait des règles précises établissant une stricte hiérarchie entre eux.

Chacune se veut indépendante de l’autre sans que cela ne soit établi par un quelconque texte quasi-législatif que seul le gouvernement est en droit de l’édicter. Paradoxalement, c’est le gouvernement dont elles veulent se démarquer politiquement et réglementairement en termes d’ exercice de pouvoir et dans leurs propres statuts, à supposer qu’elles en aient, qui leur confère de surcroît leur acte de naissance juridique et partant de là la pleine mesure de leur identité politique.

Cela relève de la schizophrénie juridique. En tout état de cause et quelle que soit la nature juridique de l’acte à l’origine de leurs créations, cet acte ne peut correspondre à la volonté générale dont il n’est pas l’émanation, loin s’en faut et satisfaire ainsi aux exigences des règles du droit public tunisien. Compte-tenu de la portée politique d’un telle mission confiée avec légèreté et un manque flagrant de transparence et de rigueur démocratique absolument indispensable dans le cas d’espèce, nonobstant ses conséquences incommensurables pour l’avenir juridique et politique de la Tunisie, nul ne saurait prétendre que tout a été fait dans le respect de la morale politique et du droit.

La question de légitimité juridique et politique du gouvernement de transition n’est pas dénuée d’intérêt non plus du fait qu’elle touche au fondement même de la mise en place du processus démocratique en Tunisie. Il n’en demeure pas que l’opinion semble s’en être accommodée en lui conférant une légitimité plus ou moins explicite.

Mais toutefois, on ne peut se garder de s’interroger sur la validité juridique des actes commis par le gouvernement de transition. Rien ne saurait prouver que la période post-14 janvier 2011 s’inscrit dans la suite logique de sa révolution et dans l’esprit des exigences d’un Etat de droit.

En effet, une révolution qui est par définition un séisme politique, une rupture totale avec le passé en termes de changements profonds dans les structures politiques, juridiques, institutionnelles, organiques ne doit pas donner lieu à un désordre juridique et institutionnel qui lui-même doit configurer et dessiner le nouvel habillage constitutionnel de la Tunisie.

En définitive, une révolution doit donner lieu immanquablement lieu à un nouveau contrat social entre les dirigeants bénéficiant d’une légitimité révolutionnaire et donc politique et le peuple souverain maître de son destin politique et propriétaire légitime du pouvoir que lui seul peut le concéder sous forme de mandats selon les modalités politiques et juridiques conçues ordonnées et définies par lui.

Tous les actes accomplis en son nom se trouvent ainsi revêtus du sceau de légitimité démocratique. Or, on ne peut qu’exprimer des sérieuses réserves quant à la validité juridique des actes fondateurs du scrutin tunisien et de la viabilité de sa démocratie qui de surcroît sert de transition vers la création d’un régime théocratique.

Ainsi, la transition prend tout son sens avec le passage d’un régime républicain, avec un ordre juridique de droit positif

En Tunisie, il suffit de crier haut et fort sa soumission à l’islam pour gagner les suffragges du peuple

La messe plutôt  la prière est dite et la Tunisie est maudite.

Gloire éternelle à  Ennahdha et louange à Allah  et paix à son prophète qui l’ont intronisée reine alors qu’elle n’est même pas capable d’être tenancière de maison close.
C’est le mystère de l’islam et ses voies labyrinthiques  qui élève qui veut et rabaisse qui veut.
Il a béni R. Ghannouchi musulman autoproclamé  pour l’investir comme le nouveau maître du pays et fauché la vie à Chokri, Lotfi et Mohamed parce qu’ils  avaient affiché l’amour de leur patrie plutôt que de l’islam.
 
Or, est frappé de malédiction divine tous ceux qui n’avouent pas publiquement leur soumission à l’islam.
C’est pourquoi tous les politicards tunisiens de Hamma le dinosaure bolchevique à Béji l’homme qui avait abusé de la crédulité des tunisiens en faisant d’Ennahdha leur berger, en passant par Hadj Chabbi, ce qui va de soi pour ce bigot-girouette devant l’éternel, ne manquent plus l’occasion de se livrer à une surenchère dévotionnelle, voire à un concours de beauté comme si le petit peuple tunisien allait les juger sur leur degré de promiscuité avec Allah.
S’inspirant de l’expérience de la secte satanique d’Ennahdha  que pour être l’élu du peuple, il faut être l’égérie d’Allah
Même le bouffon schizoïde de Carthage pour mériter des grâces d’Allah s’est revendiqué musulman démocrate menaçant de mort les orthodoxes laïques.
Il confond orthodoxie musulmane et partisan d’une ligne de démarcation entre les sphères.
Pour avoir les suffrages du peuple, ni programme, ni projet,  ni ligne politique, ni action, seul compte sa flamme pour Allah.

L’humanité a survécu au péril nazi mais à quel prix survivra-t-elle au péril musulman ?

Peut-on vouloir à son médecin parce qu’il a diagnostiqué un cancer à l’état de métastase chez son patient  ? Pourquoi les musulmans s’en prennent à la terre entière et menacent d’y mettre le feu parce que leur bulletin de santé fait état d’un mal incurable et que leur processus vital est engagé ?

Par conséquent, un bon médecin pour les musulmans est par définition  celui  qui leur dissimule la gravité du mal qui les ronge et les mine, et gare à celui qui leur établit un diagnostic qui ne correspond pas à leur attentes en faisant une radioscopie fidèle des symptômes de leur nécrose.

Ils ont un besoin pathologique d’être encensés et caressés dans le sens du poil, de flatter leur ego frustré et fruste, convaincus qu’ils sont sains de corps et d’esprit et qu’ils sont simplement jalousés et enviés d’appartenir à cette fameuse Oumma où tous les musulmans sont des frères égaux en droits et devoirs.

Une Oumma qu’ils proclament comme étant la plus belle communauté des croyants jamais envoyée sur terre qui est en réalité à des années-lumière de ce qu’ils allèguent et fanfaronnent.

S’ils pouvaient se donner la peine d’ausculter eux-mêmes le corps de ce grand malade qu’est leur Oumma qui est un véritable marigot où les musulmans se dévorent entre eux comme des caïmans, peut-être en finiraient-ils avec leurs délires paranoïaques  et ethnocentriques  ?

Si jamais ils y arrivent c’est qu’ils ont recouvré la totalité de leurs facultés intellectuelles et mentales et guéris de ce mal pourtant incurable. Ce serait trop beau pour y croire, car la peur d’exercer leur libre-arbitre est telle qu’ils  sont comme pétrifiés par leur maladie qui porte le nom d’islam.

Ils préfèrent se complaire dans leur mal qui leur interdit toute recherche de thérapie pour s’en sortir sous peine de mort, alors qu’il est lui-même une nécrose mortelle, se trouvant ainsi entre le marteau et l’enclume, ils sont doublement en danger de mort en étant confrontés à la mort cellulaire et la mort institutionnelle que présente cette Oumma prête à appliquer la sanction suprême à l’égard de tous ceux qui s’aventurent à la quitter.

Se sachant au fond d’eux mêmes condamnés à une mort inéluctable, ils se murent dans cet état de déni psychotique qui les caractérise et dont ils font leur système de défense pour les immuniser contre les signaux négatifs que leur renvoie le monde extérieur d’eux-mêmes et de cette maladie qui les gangrène

Dès que l’on met des mots sur leurs maux, ils y voient comme des atteintes à l’islam, ce mal incurable, et se mettent à vitupérer et invectiver le diagnostiqueur, l’accusant d’islamophobie et d’anti-islam.

En qui est-ce justement manifester de l’hostilité ou du mépris pour l’islam et les musulmans pour  le fait de  brosser un tableau réaliste et peu réjouissant de cette Oumma favorite d’Allah ?

Personnellement,  je n’ai pas le don de travestir la réalité et de manipuler et enjoliver les images que cette magnifique et sublime Oumma renvoie au monde.

Même si c’est vrai qu’ailleurs le raisin est acide, mais le sien est plus qu’acide, il est incomestible et porte en lui un virus létal pour notre humanité, à commencer par cette Oumma elle-même.

Une Oumma qui divise l’humanité en musulmans et non-musulmans, qui exclut, discrimine et ostracise.

Une Oumma qui est plutôt une hantise pour l’humanité, un cauchemar pire encore que le cauchemar nazi, et en aucun cas un idéal de vie pour les musulmans eux-mêmes et dont ils veulent faire de surcroît un modèle d’intégration pour tous les humains.

Un drôle de modèle où les inégalités entre les humains est décrété sur la seule base de critère religieux, comme Hitler autrefois qui voulait faire du critère « racial » le seul critère d’appartenance à son Reich.

Un concept hautement raciste qui veut faire des musulmans les nouveaux maîtres du monde et des autres leurs esclaves et des rebuts humains.

Destinée à élever les musulmans sur le toit du monde, les dotant de toutes les vertus de la pureté originelle tels des Brahmans hindous.

Comme Allah a élevé l’homme au-dessus de la femme, l’Oumma va consacrer la suprématie du musulman sur le non-musulman.

Un habillage sur mesure pour exalter le narcissisme musulman en manque il est vrai de reconnaissance.

Vanter ses attributs revient à vanter les attributs du système de castes hindous ou ceux du Reich nazi, mais à la différence de ces deux derniers, elle est excessivement prosélyte  et envahissante.

Censée cimenter l’unité entre les musulmans, elle a failli sur toute la ligne et ce bien avant même que l’islam ne quitte les confins du désert arabique.  Le prophète lui-même qui se dit envoyé d’Allah n’a pas réussi à créer une osmose entre les tribus arabes dont certaines lui étaient hostiles.

Une religion connue pour son esprit de division, de Fitna, ne peut créer les conditions de rapprochement entre les hommes, elle ne peut qu’accentuer les animosités et les rivalités entre eux.

Jamais les hommes ne sont autant divisés que les musulmans ou une religion ne se décline en autant de sectes et d’obédiences où chacune prétend détenir sa propre vérité et sa meilleure lecture théologique de l’islam.

On mythifie ce qu’on est incapable d’atteindre. C’est pourquoi le rêve de l’Oumma est un mirage, une illusion d’optique mais qui a le mérite de servir de révélateur de l’état de tensions permanentes et de luttes larvées et exacerbées qui les opposent depuis 1434 ans.

Une religion qui répand la mort et fait couler le sang, ne peut enfanter autre chose que la haine qui aveugle ses fidèles et leur fait perdre conscience de leur humanité.

Ce que veulent les musulmans c’est nier les évidences et présenter sous un bon jour ce qu’il ne l’est pas. Glorifier le mensonge et tordre le cou à la vérité et  châtier ceux qui la dévoilent.

Faire ainsi du mythe une vérité absolue afin de draper les musulmans dans les habits de lumière alors qu’ils offrent au monde un des visages les plus hideux et sombres depuis la protohistoire.

Il n’y a aucun relent anti-musulman quand on démythifie l’islam et lever le voile sur sa véritable identité nourrie de légende et d’imposture.

Nul ne peut nier que le monde musulman si disparate et désuni ferme la marche de l’humanité, qui est un contre-modèle de ce que doit être l’idéal humain.

Les musulmans seront mieux avisés d’abandonner leur utopie oummienne pour un modèle d’organisation sociale, humaine et politique qui favorise leur émancipation et non pas un bagne dont ils ne sortiront jamais vivants.

Qu’ils sachent que leur  Oumma qui à défaut d’avoir conquis le monde par ses qualités humaines, scientifiques, pacifistes, technologiques, industrieuses, industrielles, médicales, etc. occupe aujourd’hui les rubriques des faits divers de tous les médias du monde et qui est le prélude du Grand Effroi coranique.

Une Oumma dont les disciples sont surreprésentés dans les milieux carcéraux en Europe.

Une Oumma qui affiche la vertu halal sur les frontons des commerces exploités par ses fidèles mais qui pratiquent le vice, transformant ces lieux en espaces d’approvisionnement en produits illicites dans le sens du droit positif mais dont la commercialisation est compatible avec les dogmes de la foi islamique.

Une Oumma qui prêche l’amour d’Allah et de son prophète mais qui éprouve une aversion pathologique à tout ce qui n’a pas son caractère.

Une Oumma qui est une source du grand désordre mondial, dont le nom est synonyme de terrorisme et d’insécurité n’est même pas la solution pour sortir les musulmans de leur sous-développement chronique et de réduire les inégalités criardes qui les frappent et qui sont jugées comme étant l’œuvre d’Allah et que nul n’est en droit d’y remédier sous peine de commettre un sacrilège.

Une Oumma qui enchaîne l’homme aux dogmes de sa foi ne peut favoriser l’émergence de la démocratie. En tant qu’expression de la volonté d’Allah, elle condamne à mort toute tentative de résilience.

Et dire que la vanité est un péché mortel, mais les musulmans emportés  dans leur tourbillon mégalomaniaque persistent à croire qu’ils sont le nombril du monde alors qu’ils sont devenus une chair à canon pour les grandes puissances qui s’affrontent par musulmans interposés.

L’Oumma musulmane est plutôt un refuge pour les violents, les godillots, les traîtres, les mercenaires, les dihadistes-terroristes, les obscurantistes, les pédophiles, les détraqués sexuels, les renégats, les borderlines, qui sert de vivier pour les vrais maîtres du monde qui se disputent ses ressources. en un essuie-pied pour ses vrais maîtres.

Une Oumma que ses laudateurs présentent comme  un remède aux maux du monde alors qu’elle est la source de tous les maux dont souffre notre humanité et responsable de toutes ses plaies : terrorisme, insécurité, violence, intolérance, racisme, antisémitisme, xénophobie, homophobie, pédophilie, pogroms, autodafés, oukases de mort, etc…

Une Oumma qui veut faire de l’autre un Dhimmi, un sous-homme, une portion congrue, un pestiféré, un être impur, n’est pas seulement nazie, elle est avant tout musulmane.

Une Oumma qui se prétend un sanctuaire pour les femmes, alors qu’il ne passe pas un instant sur sa terre aussi sacrée que les camps de la mort nazis, sans qu’une femme ne soit victime de viol, la dernière en date la journaliste de France 24 sur la Place d’Ettahrir, devenue un haut lieu depuis la chute de Moubarak des viols des journalistes et des femmes voilées ou non violées.

Une Oumma qui à défaut d’être un avenir pour les musulmans, est une rétrospective grandeur nature de ce fut la vraie vie à l’époque du prophète de l’Islam.

L’Oumma musulmane est l’archétype d’une société de barbarie humaine. Elle n’est pas une communauté de croyants, elle est une méga organisation criminelle de type sectaro-mafieux sous couvert de la religion. Liberticide et génocidaire.

 

Hommage à Salem Ben Ammar pour son combat intellectuel contre le nazislamisme, le vrai péril pour notre humanité

Un texte de Mouna Daadouche, journaliste tuniso-danoise et Zak Amazigh Ostmane, militant des droits humains et fondateur du Comité algérien de soutien à Amina Sboui
 .
Un éternel libre penseur , un grand homme de plume, un visionaire qui a  su mettre à nu le vrai visage de l’idéologie obscurantiste et  barbare des théocraties fascistes islamistes dans un franc parler qui lui vaut de mettre sa vie en péril, au point qu’il n’a pas pu rendre se rendre en Tunisie au début de cette année pour accompagner sa maman à sa dernière demeure dont il ne fera jamais le dueil tant qu’il ne se recueillera pas sur sa tombe .
Victime depuis le mois d’Avril 2011 d’injures antisémites et de menaces de mort successives  la provenant de la  Tunisie et de plusieurs pays du monde arabo-musulman. Ce grand homme a fait de sa plume libre et indépendante une arme de révolte et un rempart contre le fanatisme envahissant, il est l’un des plus grands militants de l’intelligentsia tunisienne.
Salem est un électron libre, qui ne s’est jamais laissé séduire contrairement à certains par les chants de sirène de la terrible dictature de Ben Ali. Il est de même l’un des premiers à avoir défendu avec force et conviction l’affaire Amina et apporté son soutien inconditionnel à l’ex Femen tunisienne en donnant un contenu intellectuel à son geste. Et pour citer ses propos sur l’une des affaires qui a fait le plus de bruit en Tunisie « Qu’ Amina ne les représente pas ,  que j’écris trop sur Amina et moins sur la Tunisie comme si Amina n’était pas la Tunisie captive de la barbarie islamique.
En mettant Amina en prison ces barbares ont ôté la vie à la Tunisie ».
Salem a un répertoire de  plus d’un millier d’articles, sa plume corrosive, son éloquence verbale, la pertinence de ses propos , son esprit critique et ses dons de visionnaire, sa perspicacité, sa lucidité et son sens inné de l’analyse, font de lui un érudit précurseur qui s’élève de la masse nébuleuse des êtres humains.
Salem défie l’esprit grégaire , et traite tous les sujets d’actualité , il s’engage dans tous les débats de son temps. Comme le tango est un malheur qui se danse,
Salem a fait de cette danse un pas historique pour prêter allégeance au combat démocratique et au front anti-islamo fasciste.

Je ne suis ni islamophobe, ni anti-islam. Ce sont les musulmans qu nourissent mon regard

Je ne suis ni islamophobe, je ne souffre d’aucune pathologie de ce genre, ni anti-islam. Je ne fais que restituer les images que nous renvoient les fidèles musulmans attachés aux dogmes de l’islam.
 
Je suis comme un photographe armé de son appareil pour photographier les scènes de la vie.
 
Si mes photos ne sont pas du goût des musulmans, ils doivent savoir pourquoi. Quand on renvoie des images de soi  sinistres et violentes au monde, il est évident que la photo ne peut être que l’exacte traduction de mes observations au quotidien.
 
Que ce soit entendu, je n’ai aucun ressentiment vis-à-vis de l’islam. Que les musulmans nous gratifient de belles images et mon zoom ne fera que les restituer en l’état.
 
Si mes écrits apparaissent comme corrosifs, c’est parce que le paysage musulman est des plus lugubres. Plutôt que de faire un procès d’intention au photographe, que l’on s’intéresse au sujet photographié. Je n’ai pas le don de travestir la vérité et enjoliver ce qui est laid et disgracieux.

Enfin la vérité sur l’identité des auteurs des attentats du 11 septembre : ils étaient des martiens

Les auteurs du crime contre l’humanité du 11 septembre 2001 n’étaient musulmans, ils étaient martiens !
12 ans déjà ! Aucun hommage rendu aux victimes des attentats du 11 septembre ni prière  dans les mosquées en leur mémoire par les adeptes de la religion  la plus compatissante jamais donnée à l’homme.
 
Les musulmans sont unanimes l’islam n’y est pour rien, les auteurs de ces actes de barbarie n’ont jamais été musulmans, ils étaient des chamanistes. La mauvaise foi n’est pas musulmane non plus.
Ben Laden était aussi taoïste.
 
En attendant les victimes furent bien tuées au nom d’Allah Akbar. Ce n’est pas l’Arabie Saoudite qui avait dédommagé les familles des victimes de ces funestes attentats, c’est la planète Mars  qui s’en était acquittés. La majorité des auteurs desdits attentats identifiée comme saoudiens, était en réalité des E.T.
 
L’islam  est inoffensif, il est blanc comme neige aussi pur que la barbe hirsute de ses fondamentalistes et le linceul noir qui couvre le corps de ses femmes qui errent dans les cités comme des corps sans âme.
 
Aujourd’hui, les musulmans du monde entier vont prier pour condamner la Charte sur la laïcité dans les écoles  françaises offensantes à l’islam et ne manqueront pas d’avoir une pensée solennelle à leurs héros-martyrs tombés ce jour-là dans le guet-apens tendu par les comploteurs professionnels américano-sioniste qui discréditent l’immense religion de paix et de respect de la vie humaine. La  compassion n’est pas musulmane, c’est le djihad par la terreur qui l’est et aucun musulman ne doit le nier. Qu’ils révisent leur gamme coranique si jamais ils ont des doutes là-dessus.
 
Le jour où les musulmans reconnaîtront la culpabilité des leurs dans le Grand Fracas du 11 septembre et leur instrumentalisation par l’islam qui sanctifie le terrorisme à des fins idéologiques et hégémoniques, ils auront tous fini de rejoindre leur dieu  Moloch et sanguinaire.

Les attentats du 11 septembre 2001 et la mauvaise foi musulmane

Demain, les musulmans ne vont certainement  pas commémorer la mémoire des victimes des attentats du 11 septembre 2001,  car pour eux les vraies victimes contrairement à ce que pense le reste du monde ce sont les musulmans eux-mêmes,  blessés dans leur foi à cause de la maltraitance et de la stigmatisation dont fait l’objet leur religion si pure et innocente d’après leur allégorie.

  Ils ne vont surtout pas par conséquent pleurer ceux qui auraient pu présenter un danger pour l’islam, ils vont pleurer de leurs chaudes larmes leur armada de héros morts sur le front du djihad ce jour-là qui sont pour eux les vraies victimes du complot occidentalo-sioniste fomenté contre l’islam comme ils se plaisent à le seriner.

En tant qu’éternels persécutés, ils ne sont  jamais coupables de rien et tous les morts des Twin Towers avaient été tués par les ennemis de l’ombre de l’islam.

Même si ceux qui ont prononcé la sentence finale d’Allah Akbar, la formule consacrée avant la mise à mort des victimes qu’on offre en Holocauste à Allah, sont des musulmans autoproclamés, il n’y a pas lieu pour eux  de compatir pour des victimes non-musulmanes  même si parmi elles y figurent des musulmans, elles présentent à leurs yeux une sorte de réparation pour l’offense faite à l’islam si jamais les auteurs desdits attentats soient des musulmans.

  Laisser subsister le doute pour fuir ses responsabilités et noyer le poisson.

En effet, les musulmans cyniques et fourbes ont cet art consommé de dévoyer et pervertir l’histoire et de tordre le cou aux évidences en dépit des preuves les plus vraisemblables.

Après tout et sous réserve que l’islam en soit le grand ordonnateur, ils ne peuvent que s’en réjouir, car l’honneur de l’islam est sauf, il fut enfin  lavé dans le sang de ces milliers de mort. La Loin de Talion chère à leur cœur n’avait fait que s’appliquer.

  Quoi qu’il en soit cette monstrueuse boucherie ne serait pas leur œuvre d’après les scénarios abracadabrants et insensés qu’ils ont échaudés.
Parce qu’on a voulu salir l’islam que l’on a fait croire que ce sont des musulmans qui auraient joué le rôle d’exterminators.

Scénarios  indécents et é obséquieux reliés par certains journaleux et auteurs en mal de publicité et férus de sensationnel, et le tout sur un fond antisémite et antiaméricain.
Oubliant au passage ces milliers de victimes qui n’avaient pas fait le choix de l’être que des terroristes musulmans avaient tué pour plonger le monde dans l’horreur extrême et marquer le début du règne de la barbarie musulmane sur le monde.

Les musulmans de France ne veulent pas de la laïcité, c’est à la France de l’abolir et d’adopter les lois de l’islam

La Charte de la laïcité dans les écoles présentée hier par Vincent Peillon à la Ferté-sous-Jouarre qui a emporté l’adhésion de la majorité des responsables politiques français a provoqué comme par hasard un tollé général chez les représentants des musulmans de France.  Ce qui donne  toute sa saveur à l’adage populaire : qui se sent morveux se mouche.

Cette Charte dont le but suprême est de redonner ses lettres de noblesse à la laïcité mise à mal dans les écoles depuis trois décennies se doit de figurer aujourd’hui sur tous les frontons des écoles de la république  afin de ne pas laisser l’école devenir un creuset de l’intégrisme quel qu’il soit.
Qu’il n’en déplaise aux musulmans qui souffrent du délire de persécution dès que l’on ne va pas dans leur sens et qu’ils n’ont pas d’arguments objectifs à faire valoir que de crier au feu qu’ils ont souvent alimenté eux-mêmes. Leur émoi est bien symptomatique de leur refus d’adhérer à un pacte républicain.
Pourquoi  sont-ils les seuls ou presque les à se considérer comme visés par la Charte sur la laïcité ? Comme s’ils avaient l’apanage de l’intégrisme et des signes ostentatoires.
Même quand ils ne sont pas visés, ils jouent à la victime mais au  moins ils confessent que leurs vraies intentions sont de balayer les valeurs de la république et toute tentative de les renforcer  et les protéger contre l’intrusion du religieux dans le domaine public est vue par eux comme un acte hostile,  un frein, une manœuvre susceptible de nuire à leurs sombres desseins. Ils se taisent quand il s’agit de condamner les crimes avérés commis par ceux qui professent la même religion qu’eux, mais ils s’effarouchent quand leurs pays d’accueil se dotent de lois voire émettre des simples voeux pour préserver ses fondements démocratiques.
Ce qu’ils aimeraient c’est une ligne Maginot qui leur laisse une énorme brèche où ils pourraient s’y engouffrer à leur aise. Cette Charte à la philosophie républicaine incontestable et incontestée qui doit réjouir toutes les composantes de la république, n’est qu’une simple déclaration de principe ne présentant aucun caractère contraignant ni discriminatoire qui repose sur un simple volontariat.
Mais la levée de bouclier qu’elle a suscitée au sein de cette communauté à l’indignation à géométrie très variable, en dit long  sur leur attitude antirépublicaine et leur absence  manifeste de volonté de s’intégrer  dans la communauté nationale de destin qu’ils voudraient remplacer un jour par la leur.
Cette Charte ne peut pas être par conséquent  de leur goût, car elle ne crée pas les conditions de l’appropriation de l’enseignement républicain par l’islam, de l’assujettissement de la république aux los musulmanes ni ne favorise  leur projet de conquête de la France.
En tout état de cause dans leur pure logique totalitaire, elle ne peut être qu’incompatible avec l’islam et une insulte à leur toute-puissance et arrogance.

Les musulmans n’ont pas à faire de révolution, seul Allah peut la faire pour eux : cas de la Tunisie

English: Calligraphic name of Allah in Arabic,...
English: Calligraphic name of Allah in Arabic, Copied from Public Domain artwork (Photo credit: Wikipedia)
Adolf Hitler, head-and-shoulders portrait, fac...
Adolf Hitler, head-and-shoulders portrait, facing slightly left (Photo credit: Wikipedia)

Il n y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Comme s’ils étaient atteints de cécité ou de surdité ou mélange des deux, les tunisiens sont devenus autistes et crédules aujourd’hui. Il est inquiétant de voir combien leurs facultés de discernement sont altérées au point qu’ils sont en train de  faire offrande de leur Révolution aux mouvements messianiques djihadistes mondialistes au nom de leur bigotisme renaissant.

Ils souffrent de cet état de troubles psychiques aigus et comportements extrêmement violents  propre aux sociétés islamisées instillé par le fanatisme musulman. Idolâtrant des gourous passés maîtres  es qualités en matière de mélange des genres et d’endoctrinement  outrancier et intensif et de crétinisation des masses.  Favorisés pour cela à son corps défendant par l’Islam  lui-même qui ne sépare pas le séculier et le séculaire qui n’a jamais créé les conditions d’épanouissement humain et l’élévation de l’individu qui n’est qu’un simple morceau du puzzle oummien.

Comme dans toutes les religions et tout particulièrement dans l’islam où le libre-arbitre est un sacrilège, l’homme n’a pas à s’affirmer et prendre son destin en main, il se doit de se soumettre et de s assujettir.  Il se veut foi et cité. Le politique et le religieux se confondent dans l’Islam contrairement au christianisme où il existe cette fameuse ligne de démarcation entre les pouvoirs civils et religieux et que beaucoup appellent de leurs voeux. Un mélange des genres hautement toxique nuisible à l’émergence dune société démocratique moderne. Et cet état de confusion entre les deux sphères ne fait qu’accroître l’état de confusion mentale qui caractérise les musulmans nourris par des dogmes qui sont un mélange de monothéisme, de fétichisme, d’animisme  et de polythéisme,

Le fait même d’octroyer un visa de parti politique  à une organisation de type sectaire et mafieuse et dont le nom est associé au terrorisme islamique en Tunisien est symptomatique de l’absence de discernement et de la duplicité  dont souffrent les pays musulmans. Tellement leur esprit est irradié par les nuages toxiques de leur religion qui’ils sont incapables se projeter dans l’avenir et d’anticiper les dangers. Il n’y a de futur pour les musulmans qu’après leur mort. D’où leur inclinaison pathologique de s’enfermer dans un bunker mental pour fuir les défis de leur temps.

Il y a un péril dans la maison Tunisie. Ce péril sera le pire de leur histoire. Pire encore que celui que connaissent les Iraniens depuis 1979. Ses effets dévastateurs culmineront au plus haut degré de l’échelle de Richter. Il provoquera des dégâts comme rarement l’humanité en aura connu tout au long de son histoire pourtant riche en tragédies humains. Ses ravages, l’intensité de son déferlement ,ses secousses ultra violentes  feront apparaître le dernier Tsunami japonais comme insignifiants. Il sèmera la mort, diffusera la haine et propagera la terreur. Le sentier d’Allah sera pour la Tunisie  un sentier de ruine et de désolation. Une tombe à ciel ouvert.

Le pays ne ressemblera ni au Soudan ni à l’Afghanistan à cause des signes apocalyptiques qui se profilent dans son horizon. Le péril auquel s expose la Tunisie aura un caractère apocalyptique qui conduira la Tunisie tout droit vers une nouvelle Saint Barthélémy, cette fameuse prophétie du fracas (sourate 101du Coran).

Ils vont entraîner la Tunisie dans un gouffre abyssal dont elle ne sortira jamais. Le péril nazi qu’a connu l’Allemagne  n’est hélas qu’un avant goût de que l’humanité pas la leur celle qui n’adhère pas à leurs valeurs archaïques, ultra réactionnaires, régressives, dégradantes pour la condition humaine.

Ces fous de Dieu de l’islam sont comme les Waffen SS de Hitler dont les pères fondateurs de leur doctrine du tawheed en étaient des fervents admirateurs.

Au point qu’un éminent membre de la Confrérie des Frères Musulmans d’Egypte le Mufti de Jérusalem Al Husseini, grand-père de Leila Chahid,était devenu Chef d’une division S.S. De même que le grand-père du caméléon Tarek Ramadhan Hassan Al Banna, agent de l’occupant britannique de l’Egypte et fondateur de la Confrérie des Frères Musulmans, qui vouait un véritable culte à A. Hitler.

Hitler voulait créer un Etat purifié de ses minorités ethniques de tous les asociaux qui n’adhéraient pas à son idéologie, les islamo-collabos veulent instaurer un Califat purifié  des incroyants, des infidèles tels que les juifs et les chrétiens, des incrédules ,des insolents, des athées, des laïcs et de tous les esprits libres voire les Musulmans libéraux.

L’enfer sur terre avant celui que  réserve leur Livre à tous les non-musulmans ainsi que les musulmans non-dogmatiques. Une République islamiste est la pire des choses qui puisse arriver aux tunisiens, ils n’ont pas d’autre alternative, soit ils s’en remettent à Allah et à ses hydres et ils font du passé ténébreux  et barbare leur avenir, soit ils se soulèvent comme un seul homme contre l’utopie islamiste et ils peuvent bâtir ainsi un Etat démocratique moderne digne de leur Révolution exemplaire.

Ils n ont pas le choix soit Allah soit Platon. Les deux sont incompatibles.

Quand les footballeurs tunisiens confondent la Ka’aba avec un ballon rond. Le ridicule est bien musulman

Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon il aurait tué tous les bigots musulmans

 

Les footballeurs tunisiens doivent avoir la gueule de bois après une soirée arrosée à la prière qui leur a valu d’être rossés par les adeptes du grigri africain.

 

L’âme africaine, la pure, la noble, l’authentique a eu raison de l’âme arabe, troublée, tourmentée, acculturée, schizophrène, superficielle, suffisante, arrogante, misérable, miséreuse, inculte, félonne, renégate, la totale quoi ? La vie ne se gagne à coups de dévotion à Allah, elle se gagne au prix de notre détermination, notre grinta, notre niaque et notre motivation.

 

Et aucune religion au monde ne peut conférer de telles qualités requises et cette force de caractère indispensable pour réussir sa vie ou gagner un match de foot.

 

Tant qu’on continue à oeuvrer pour sa religion au péril de sa vie et de la nôtre et ne pas travailler pour gagner sa vie et déployer son énergie dans la fureur de tuer plutôt que dans la fureur de vivre, il est inéluctable que la défaite soit le lot des musulmans et mériter de mériter de porter le bonnet d’âne des derniers de la classe

 

English: Allah in stone in Rohtas Fort, Distri...
English: Allah in stone in Rohtas Fort, District Jhelum, Punjab, Pakistan (Photo credit: Wikipedia)

 

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Plus du 1/4 de l’humanité, 0 médicament fabriqué, 0 brevet scientifique, quelques breloques olympiques, performants essentiellement dans les crimes terroristes, les dérives morales, l’ignorance, l’obscurantisme, le fanatisme, ils peuvent toujours afficher leur foi et porter le masque de la honte de soi.

 

Et c’est justement leur absence de foi en eux et dans la vie qu’ils en ont pas qu’ils font semblant d’en avoir, ils l’auront toujours mauvaise, parce qu’ils savent inconsciemment qu’ils sont la risée des nations, d’où leur agitation hystérique pour compenser leur frustration.

 

Quand on  a pas d’autres arguments à faire valoir, il reste le recours à la violence pour s’exprimer dans l’invective et l’insulte.

 

Heureux comme les tunisiens auxquels l’islamiste non-assumé Obama leur a fait croire qu’ils sont des héros ?

A vous de choisir entre la dignité du pays ou la honte éternelle. C’est ça le vrai projet d’Ennahdha pour la patrie d’Hannibal.                                                                                                             
La Tunisie est une entreprise en faillite, ses créanciers vont l’acheter pour un Riyal symbolique et vous, vous ne pensez qu’a vos devoirs cultuels et à vous exhiber dans vos fêtes de mariages. Si vous aimez Dieu, vous devrez commencer par aimer votre patrie. 

En réalité vous n’avez l’amour ni de l’un ni de l’autre. Vous êtes vénaux et lâches. Si vous avez fait une révolution, vous n’auriez jamais vendu vos âmes noires aux vrais ennemis de Dieu et de la patrie. Vous êtes un peuple de godillots, de valets, de bigots et de bourricots, 

vous ne pourrez jamais être un peuple de couvre-chef. Vous avez pris trop l’habitude de cirer les pompes, vous ne pourrez jamais accéder au statut des peuples qui se font cirer les pompes. 

D’un peuple au derrière éternellement rivé au sol, vous ne pourrez jamais passer à la stature d’un peuple olympien. Nourri de soumission depuis 1400 ans, vous ne pourrez jamais être un peuple d’insoumission. 

De votre honneur, vous en avez fait un honneur et de votre honneur vous en avez fait un déshonneur. 

Le 14 janvier 2011 est à marquer dans le marbre mortuaire de la fin de la patrie tunisienne.

De votre dignité vous en avez fait une indignité, et de votre indignité vous en avez fait votre credo. 

D’un peuple couard, vous ne pourrez jamais devenir un peuple courageux. Vos braves sont morts pour que vos pique-assiettes se rassasient. 

Du sang de vos fils, vous enivrez vos complices. De la félonie, vous avez fait la norme et du dévouement vous avez fait un crime. 

Vous êtes un peuple sans relief, terne et sans saveur, consumériste, égocentrique, manquant de moelle et de gnaque, lymphatique, avachi et abruti, vous ne pourrez jamais devenir un peuple anobli.                                                                                                                                                        

 Le 14 janvier 2011 est  à marquer dans le marbre mortuaire de la fin de la patrie tunisienne.

Un peuple de gaillards ne reste jamais hagard devant tous ces lards. Vous êtes la risée des peuples. 

Un peuple digne de ce nom ne fait pas d’un terroriste, agent notoire de la terreur islamiste, un visage de sa pseudo révolution. Un peuple digne de ce nom, ne sacrifie jamais sa patrie à sa religion et ne laisse pas ses soldats tomber comme des mouches sous les balles des escadrons de la mort de la secte-Etat. 

Un peuple obsédé par les tourments de tombe finira toujours d’être enseveli dans les catacombes. Votre destin sera celui des adorateurs du Temple solaire. 

Quand on choisit de confier le  pays  de Saint-Augustin et d’Hannibal à une secte des caniveaux  wahhabites et du musée des horreurs , vous finirez sur le feu du bûcher de l’enfer.                                                                                                                                                   

 Honte à vous, peuple de culs-terreux,  bouseux, pouilleux, crasseux, morveux, miteux, paresseux, vaniteux, piteux et gueux. 

Vous avez cru que ce jour du 14 janvier 2011 était un jour béni pour vous et  vous vous êtes vu déjà en haut de l’affiche, mais vous n’avez pas compris que vous étiez des pantins entre les mains expertes des metteurs en scène hollywoodien.                                                                

 Incultes, passifs, indolents, apathiques, défaitistes, benêts, nombrilistes, suceurs de roue, porteurs d’eau, vous êtes à la traîne de l’histoire, vous ne pouvez pas être dans la locomotive de tête comme vous l’ont fait croire les scénaristes de votre révolution de paillettes.                                                                                                                                              
Redescendus vite-fait de votre piédestal comme la chute-éclair de votre ancien despote, vous voilà renouant avec vos vieux démons : vendre son âme au diable en l’occurrence wahhabite pour une guigne.                                                                                                                                                     
Vous êtes un ramassis d’aventuristes, de brigands, de terroristes, de renégats, de félons, de mercenaires, de petites frappes, d’opportunistes, de fourbes, à la vénalité et la cupidité chevillées au corps, vous ne pouvez pas accéder au rang des peuples dignes et honorables, 
 
Un peuple qui se nourrit de la haine de la mère-patrie est un peuple qui mérite le bonnet d’âne du patriotisme.                                                                                                                                              
L’ignominie, l’infamie,  l’antipatriotisme, le djihadisme, le djihad du sexe, les assassinats politiques, l’endoctrinement wahhabite, l’allégeance au Qatar, l’exaltation de l’arabisme synonyme de barbarie humaine, l’inquisition, les appels au meurtre, l’Oumma, la profanation des mausolées, l’iconoclastie,  l’enlaidissement du paysage humain, le terrorisme, le pillage, les razzias, l’apologie de la pédophilie, la relégation des femmes, le racisme, l’obscurantisme, le salafisme, l’immolation, la pandémie des crises cardiaques, la dégradation de l’état de santé mentale des citoyens, sont assurément  les vrais acquis dont vous pouvez vous enorgueillir et flatter votre narcissisme et ego fruste. Aucun peuple au monde ne saurait vous disputer un bilan aussi brillant dans la descente aux enfers.        
 
Bourguiba a voulu draper dans les habits des lumières et en guise d’hommage vous avez opté pour les couleurs noires de l’Arabie-Goulag des libertés humaines. 

Vous voilà Afghanistan alors que vous auriez voulu redevenir Carthage. De votre parfum du jasmin vous en avez fait une odeur d’outre-tombe. De l’illusion du paradis vous voilà devenus un chienlit humain, une terre peuplée de charognards  et la risée des nations. 

Un peuple zéro ne peut pas devenir un peuple héros contrairement à ce ce que vous a fait croire Houssein Barak Obama le prestidigitateur de la Maison Blanche, l’islamiste contrarié au patronyme qui ne laisse subsister aucun doute quant à son appartenance à la secte satanique wahhabite qui fait de votre vie un enfer et de vos libertés humaines un cimetière à ciel ouvert.

A vouloir trop la guerre en Syrie H. Obama, F. Hollande et D.Cameron vont mettre tout le Proche-Orient à feu et à sang

La Troïka de l’O.T.A.N. aura certainement mieux à faire chez elle qu’en Syrie et surtout a-t-elle réellement conscience des conséquences tragiques de son intervention irresponsable et périlleuse  pour toute la région  y compris pour Israël lui-même et bien au-delà ?

Elle devrait commencer par balayer devant sa porte et de faire taire les armes à feu qui circulent en abondance chez elle et notamment aux E.U. et qui tuent tous les jours à Marseille comme ailleurs et pas seulement dans les cités, les centres des villes et les écoles ne sont pas épargnés, plutôt que d’invoquer un fallacieux prétexte humanitaire qui ne trompe personne dont elle-même n’est pas convaincue et qui fait semblant de l’être, et qui lui sert de faire diversion pour masquer son incurie politique, ses multiples échecs économiques et sociaux et sa propre faillite sécuritaire interne.
Il est inutile d’ergoter sur les dessous de leur intervention qui sont justes bons pour un scénario policier quand on connaît ceux de deux guerres de l’Irak et celles de l’Afghanistan et la Libye, aux retombées économiques et financières nulles ou quasi nulles puisque cela ne leur pas évité leurs graves crises financières d’une part et d’autre part qui peut nier le très lourd bilan du désastre humanitaire et écologique des pays précités digne du Biafra et du Rwanda.
Si réellement les trois gouvernements occidentaux, plus impliqués dans leur allégeance aux forces obscurantistes wahabbites que dans la recherche de solution de sortie de crise aiguë pour leurs citoyens, ont le souci de leurs intérêts économiques, ils n’ont qu’à ne pas contribuer à l’émiettement de la Syrie et à sa déliquescence et chercher une solution politique en accompagnant les syriens à bâtir une véritable démocratie, en excluant du jeu politique les amis de la Qaïda.
Prise dans son propre piège, elle se remet à refaire le coup de la guerre civile espagnole où elle, surtout la France et la G.B., a abandonné délibérément la démocratie au profit du fascisme franquiste, elle manoeuvre désespérément pour trouver une issue de secours en laissant croire qu’elle ne cherche pas à changer le régime mais pour le punir de son gazage de sa population civile, snobant les Nations-Unies seules à même d’apprécier l’opportunité d’une telle intervention.
Sa prétendue morale internationale, un concept vide de sens et abscons, devrait lui interdire pour commencer de soutenir des terroristes ennemis du genre humain et qui rêvent de détruire l’Occident, dont les desseins ne lui sont certainement pas inconnus et notamment pas de les voir instaurer un régime démocratique en Syrie.
Sa politique inintelligible et incohérente est à clarifier en ce qui concerne son choix incompréhensible et insensé de reconnaître la coalition syrienne qu’elle a créée en toutes pièces et pour les besoins de sa propre cause obscure et dont elle fera les frais tôt ou tard comme en Iran.
Pourquoi le choix comme interlocuteur privilégié Ahmad Jarba en sa qualité de chef de la coalition des marionnettes turco-qatari-occidentalo-saoudiennes, d’un personnage aux lourds antécédents judiciaires qui lui auraient valu d’être fichés dans le grand banditisme en France ?
Qu’elle fasse d’abord son propre examen de conscience avant de jouer aux pères-fouettards en Syrie.
Elle pourra toujours fabriquer les preuves pour justifier son action criminelle, mais ce qu’elle ne pourra jamais fournir ce sont les preuves de la sincérité de son opposition haineuse au régime syrien.
Mais en laissant parler la politique canonnière plutôt que la voix de la raison et d’évitement du bain de sang des innocents syriens, la Troïka mercenaire wahhabite, va probablement récolter la tempête du le vent de la haine qu’elle va semer. Les mêmes armes qu’elle a fournies aux bosniaques, aux kosovars et aux pseudos rebelles libyens n’ont-ils pas servies plus tard pour tuer ses propres soldats au Mali par exemple  et plonger ses cités dans un état de quasi-guerre civile permanente ainsi que le braquage des banques et les règlements de compte sanglants entre ses bandes mafieuses   ?
Il y a tout lieu de penser qu’avec son false flat syrien, elle va finir par être prise dans son propre piège où elle connaîtra une nouvelle humiliation pire que celle de 1938.

English: The agora of Palmyra|, Syria Français...
English: The agora of Palmyra|, Syria Français : L’agora de Palmyre en Syrie (Photo credit: Wikipedia)

Le Führer Rached Ghannouchi, l’homme de tous les malheurs de la Tunisie

Farid Khérriji alias Rachid ou Rached, de Morched le guide en arabe, Ghannouchi,  comme tout gourou-mafieux, il est incapable d’assumer son état civil et l’héritage musulman malékite de ses parents qu’il juge comme étant mécréants,  se rêve en futur Führer ou Ayatollah pour le peuple tunisien

Mais contrairement aux vrais Ayatollah qui ne revendiquent jamais leur arabité, R. Ghannouchi, est véritablement atteint du complexe du colonisé arabe, le rendant hermétique à l’apprentissage des langues vivantes malgré de très longs séjours en Occident. Obsédé par son besoin de reconnaissance et tel un esclave zélé il est capable d’offrir en gage de témoignage  à son maître pour lui avoir octroyé son statut d’assujetti absolu, ses parents ou ses enfants en Holocauste ou pour égayer ses soirées..

Voilà un homme qui présente de graves troubles identitaires, et qui souffre de l’hypertrophie de l’ego, à la personnalité fade, mégalomaniaque, impulsif, tourmenté, ultra-violent, sans foi ni li, velléitaire  et dépourvu de charisme, quasi-déficient intellectuellement,  qui ambitionne de régner en sous-Calife de la future Tunisie qui naîtra de l’échéance du scrutin du 23 octobre 2011.

Connu pour ses délires mystiques symptomatiques de sa profonde dépression nerveuse, il saura frayer la voie de l’enfer sur terre pour les tunisiens.

Ses thuriféraires peuvent se réjouir de l’avènement d’un nouveau Messie qui fera de l’ombre à Allah et à son prophète.

Les tunisiens en dégageant Ben Ali croyaient bâtir une nouvelle société moderne, ouverte, plurielle et humaine, vont vite déchanter avec l’éclosion du Maître de la Vérité.

Plutôt que de le faire interner ou le passer par les armes pour actes de terrorisme avéré et haute trahison, on est en train d’offrir le pays sur un plateau à un  fabulateur patenté et un mythomane notoire,  sans aucun état de service probant en dehors  du titre ronflant de vice-président de l’Union des Savants Musulmans ( charlatans est plus convenable à son rang de terroriste illuminé ).

Paranoïde-schizoïde, il exerce un pouvoir sans limite sur ses adeptes caractérisé par un système de forte dépendance financière, se prétend investi d’une mission d’ordre divine comme s’il était le nouveau Guide qu’Allah aurait missionné pour accomplir sa volonté sur terre. N’hésitant pas pour ce faire à s’affubler du titre de Habib Allah qu’on peut traduire par l’élu de coeur d’Allah. Son amant.

C’ est un  gourou psychopathe de la lignée de Raspoutine,  Charles Manson ou du fondateur de la secte Moon l’honorable Young Myung Mun qui se veut plus Allah qu’Allah lui même, cruel, fourbe, aigri, perfide, satanique, revanchard et à la vengeance tenace voue une haine pathologique à Habib Bourguiba, le fondateur de la République tunisienne, qui continue encore à voir en lui jusqu’aujourd’hui l’ennemi à abattre, le diable en personne, l’apostat, auquel Allah réserve les feux de l’enfer.

Alors qu’il est de tradition chez les Musulmans malékites d implorer le pardon de Dieu au défunt quelle qu’il soit parce qu’ils considèrent à juste titre que seul Dieu a le pouvoir de juger ses hommes et surtout que nul n a le droit de salir ou jeter l’opprobre sur la mémoire des disparus.

Mais le gourou Ghannouchi Rached, vendu dans l’âme,  milicien vénal, antipatriote dogmatique contrairement au vrai Führer germanique, oisif devant l’éternel,  à la laideur effrayante et épouvantable,  grand inquisiteur et haineux, n’en a cure de tout cela et de la tradition d obédience malékite, en sa qualité de guide missionnaire, plutôt d’agent mercenaire, d’un courant idéologico-religieux, de caractère cosmique ultra sectaire et hyper violent , tel qu’il est défini par les Frères Musulmans égyptiens, lesquels avec les wahabbites veulent imposer aux peuples musulmans un Etat théocratique faisant du Coran, de la Sunnah, la Sira du prophète et le Fikh qui seront les seules sources de droit rendant inapplicables toutes les conventions internationales.

Sa mission est de contribuer à la création d’un cité islamique réservée aux seuls disciples reliés entre eux par le seul sentiment d appartenance religieuse qui exclut toute forme de compassion, de solidarité, de tolérance, de contact avec tout ce qui ne possède pas le caractère musulman.

Cité de la relégation des femmes et de laquelle seront exclus les homosexuels, les incroyants, les démocrates et les laïques auxquels le gourou psychopathe voue une véritable aversion.

Passé maître dans l art de la culpabilisation des disciples, l’art de la manipulation mentale et des promesses de récompenses pécuniaires et célestes, et ce malgré un passé criminel très lourd, il a pu se refaire une virginité et séduire tous ces pauvres d’ esprit qu’ils portent au pinacle.

Voilà pourquoi les âmes égarées dans la jungle islamique se laissent prendre au piège de ses délires mystico- sectaires. Son argumentaire se résume ainsi:  si vous ne voulez pas rater le train du paradis, vous savez ce qui vous reste à faire : Votez pour Ennahdha.  Le vote est un acte d’allégeance à  Allah. Ne pas le respecter c’est trahir Allah lui-même et commettre ainsi un sacrilège.

Alors que de tels individus ne devraient pas en toute logique prétendre à l exercice de plein droit de leurs droits de vote. La démocratie n’est pas un tremplin pour le paradis. Or, les électeurs potentiels de cette secte, qui sont plutôt des sectateurs-adorateurs de la secte cosmique d’Ennahdha et au vu de leur état d’aliénation mentale et de la profonde altération évidente de leurs facultés de discernement devraient être exclus du champ électoral tunisien.

En effet , comment peut-on accorder le droit de vote à des individus qui confondent le salut de l’âme avec le salut de leur pays et qui conçoivent les urnes comme un guichet de train pour le paradis d’Allah.

C’est le peuple lui-même qui contribue au détournement  du jeu démocratique et son dévoiement à des fins de propagande mystico-religieuse.  Tout ceci est un signe très inquiétant quant au degré de maturité politique et intellectuelle des tunisiens et  leur sens d’éthique, et surtout de l’état de santé mentale d’une fraction importante de  la population dont plus de 50 souffrent de troubles psychiques.

Le peuple tunisien a plus besoin de psychotropes et de neuroleptiques que d’émancipation politique.  Tourmenté, angoissé par la vie terrestre et fragile psychologiquement, obsédé par la peur de s’engager dans des voies susceptibles de l’éloigner du chemin qui le mènerait aux réjouissances paradisiaques promises, il a besoin de se sentir rassuré et guidé dans sa quête du Graal.   Qui mieux que Rached Ghannouchi  mis sur un piédestal que même Bourguiba n’avait pas connu, suscitant ferveur et admiration pour remplir à merveille ce rôle de père-protecteur, du berger qui ramène les âmes égarées dans l’enclos dont ses agents assureront la garde en attendant le voyage final. Il n’est pas que son sauveur, il sera celui qui va lui servir de facilitateur pour gagner le Royaume d’Allah de par son aura charismatique ?

Promu au rang de purificateur de l’islam tunisien , censé l’expurger de toutes les influences extérieures subies au cours de ces 14 siècles d’histoire,  incontestablement le terroriste jamais repenti a réussi confisquer à son profit les premières élections libres jamais organisées en Tunisie depuis l’invasion musulmane est le grand vainqueur avant terme de ces élections. Son nom est sur toutes les lèvres. Il n’aura qu’à cueillir sa victoire qui lui tend les bras comme un fruit mur. Programmé pour gagner.

Ses chefs-marionnettistes tapis dans l’ombre de la scène tunisienne, faisant de temps à autres quelles irruptions sur le plateau pour recadrer le jeu des acteurs-figurants,  ont réussi à faire de cette figure qui transpire la mort,  le héros qui ne devrait pas être.

Toute l’attention est portée sur lui et son ignoble personne. Devenu un élément-clé du nouveau jeu politique tunisien, maître de facto  de la Tunisie, comme si elle était en manque de figure tutélaire, il est en train de transformer l’esprit civil de la Révolution en plébiscite pour un retour en force du sacré et un réveil des esprits bigots et maraboutiques.

Quoi qu’il en soit  l’issue du scrutin du 23 octobre 2011 est déjà connue à l’avance, le vainqueur sera le gourou illuminé et grand terroriste devant l’Eternel qui aura réussi à ramener les brebis égarées dans le bercail d’Allah.

Abusant de la crédulité des pauvres gens, de leur faiblesse d esprit ainsi que de leur absence de conscience citoyenne, la secte idolâtre d’Ennahdha est toute à son aise pour profiter de terreau de pauvreté et de misère humaine et psycho-affective pour mener une campagne de séduction tambour battant en attendant de brandir le sabre pour sabrer la démocratie en Tunisie.

Au lieu de clouer ces charognards au pilori, les tunisiens de peur de déplaire au Grand Mentor, le Maître de leur vie et de leur volonté,  décident de leur accorder le sésame de la Victoire.

Ainsi, ils auront Allah qui va les gratifier de ses bonnes faveurs paradisiaques des plus illusoires et aléatoires et  la secte satanique d’Ennahdha qui va leur faire vivre un remake de l’Apocalypse sur terre. Une nouvelle Saint Barthélémy en perspective pour les tunisiens.

Dans le système idéologique islamiste l’enfer sur terre le leur et celui qu’ils font subir à l’humanité est le passage obligé pour le paradis. Il est évident que ces pauvres malades qui sont dans un état de souffrance psychologique aiguë, se sentant exclus du banquet de la nature terrestre se tournerait vers celui que leur offre gracieusement Allah.

Mais il n’est pas aussi gratuit que cela parce que les émissaires d’Allah se font fort de les séduire à coups de promesses  et de monnaies sonnantes et trébuchantes. Une méthode d’arrosage des pauvres gens très courante chez les mafieux de tous bords.

Dans le système de pensée islamiste ou musulmane  tout  a un prix, y compris l’honneur et la vie.

On commence par acheter des voix, qui est un acte juridiquement répréhensible  et ceux qui se laissent corrompre, même s’ils perdent leurs âmes au passage, feront un coup double : encaisser l’argent sale des islamistes et acheter sa place au paradis. Mais la voie d’Allah ne s’embarrasse pas de scrupule.

Un investissement doublement gagnant. Pourquoi vont-ils s’en priver? Eux les sans-serouals,  pantalon ample oriental, l’équivalent des sans-culottes en arabe mais qui sont lui d’en avoir ni e courage ni l’esprit de combat, qui vont changer la face de l’histoire de la Tunisie alors qu’ils sont les idiots de service  depuis l’islamisation forcée et génocidaire de la Tunisie.