Fanatisme, pauvreté et violence, la triptyque de la société musulmane

A défaut de rimer avec la violence, la pauvreté  rend les personnes indigentes plus vulnérables et manipulables  et donc des proies faciles aux faux-prophètes qui à force d’endoctrinement religieux et de promesses d’un monde meilleur dans l’éternité, les lobotomisent et les fanatisent pour les transformer en des véritables brigades de martyrs dévoués à la cause divine. Sacrifier leur vie pour toucher les prébendes divines. Donner du sens à leur état misérable  et de loosers avec les perspectives illusoires de faire partie des gagnants dans d’au-delà.

Plutôt que de se battre avec leurs idées ils font don de leur vie pour gagner la partie.

Pour éradiquer la violence née du fanatisme religieux, il faut éradiquer la pauvreté. Fermer les espaces de la culture de l’intolérance, mettre hors d’état d’endoctriner les faux prophètes et les faux dévots, interdire les financements étrangers, ouvrir des écoles laïques, donner le pain de la dignité au peuple celui que l’on se procure par soi à la sueur de son travail et non celui du zakat véritable drogue du pauvre, éduquer, instruire et former, créer les conditions du développement économique et social, faire de l’homme acteur de sa vie et le vrai architecte de son destin politique et non  un pantin, une marionnette, un éternel objet dépourvu d’intelligence et de discernement, en finir avec la main mise de la religion sur la vie des gens, il faut révolutionner les mentalités, briser la chaîne du despotisme, changer la vie des gens si l’on veut réellement rompre avec l’éternel immobilisme qui frappe les sociétés islamisées.

Elles sont les seules à être à la traîne de l’humanité. Et comme elles sont vulnérables, elles sont par conséquent influençables et manipulables.

Pourquoi les sociétés scandinaves  où le fait religieux est quasiment absent et  qui payent au prix fort leur accueil des migrants musulmans ne sont-elles pas gangrenées par la violence et la corruption comme les sociétés musulmanes atteintes de bigotisme anxiogène ?

Ce n’est pas le nombre de musulmans dans le monde qui importe, c’est leur intelligence, leur capacité à innover, à oeuvrer pour le bien commun universel, qui fait d’eux des citoyens du monde qui prime.

Aucune cause humaine à défendre et promouvoir, il n’y a que celle d’Allah qui prime. Faire don de leur vie pour leur idéal islamique s’ils veulent gagner la vie éternelle.  .

A quoi ça sert d’être un milliard et demi de musulmans pour zéro invention technique, technologique médicale, scientifique en comparaison  avec 15 millions de Juifs dont personne ne peut contester leurs apports inestimables à l’humanité dans tous les domaines et qui bénéficient aux musulmans eux-mêmes comme Viber  ?

Collecter de l’argent pour les mosquées est moins payant pour leur libido dans la vie éternelle que de collecter de l’argent pour construire des laboratoires de recherche.

Un seul chiffre qui se passe de tout commentaire: 10000 ouvrages traduits dans la langue du Prophète en 1000 ans soit l’équivalent de ce que traduit l’Espagne en une année. Plus les peuples sont à contre-courant du savoir scientifique et intellectuel plus ils ont abrutis par l’enseignement religieux  et plus ils sont violents. La violence est leur seul mode d’existence.

La spirale de la violence ne peut qu’être brisée que par que par un Tsunami culturel. Mais, il faut commencer par faire sauter le système de verrouillage que la doctrine religieuse a mis en place depuis 1438 ans.

M. Macron, on ne lutte pas contre le terrorisme sans lutter contre l’islamisme

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Je ne vais pas tresser des lauriers à M;Macron,  mais force est de constater que c’est la première fois en France qu’un responsable politique et pas n’importe lequel, ose accoler le qualificatif islamiste au terrorisme. De par la position qui est la sienne il lui est difficile de le qualifier de musulman. C’est déjà un grand pas en avant dans la mise en cause de l’islamisme dans la prolifération du terrorisme dans le monde.

Pour lutter contre le mal, on ne l’occulte pas. On le nomme sans ambiguïté, pour ne pas ajouter au malheur du monde, pour paraphraser A. Camus.

Le grand mal s’appelle l’islamisme, l’agent propagateur du virus létal terroriste.

Le terrorisme n’est ni l’expression du mal-être des jeunes musulmans ni un dévoiement de l’islam par on ne sait quelle force occulte pour nuire à son image et encore moins une sorte de virus inoculé dans le corps musulman, il est consubstantiel à l’islamisme et son arme de guerre  contre le reste du monde afin de lui imposer un jour la dictature de l’islam.

L’équation islamisme=terrorisme est enfin validée par le Président de la République et ne devrait pas rester sans suite.

Les Français ont besoin d’actes forts d’une réelle volonté politique pour en finir avec le péril islamiste comme la fermeture de toutes les mosquées islamistes de France et l’interdiction de toutes les associations islamistes sévissant sur le sol français et dont la première d’entre elles l’U.O.I.F. filiale à 100% de la Cofrérie terroriste des frères musulmans, interlocutrice privilégiée de Sarkozy en 2005-2007, déclarée hors-la-loi en Égypte et aux E.A.U.

La France se doit de s’inspirer ainsi de leurs exemples et de ne pas laisser la bête immonde islamiste continuer à prospérer en son sein. On ne peut pas d’un côté associer le terrorisme à l’islamisme et de ne pas agir contre l’islamisme lui-même d’un autre côté.

Depuis le nazisme dont il est le frère siamois et le vrai continuateur idéologique, l’islamisme présente le plus grand danger pour le monde et pas seulement pour la France.

Il est à l’origine directe des dizaines de milliers d’attentats qui jalonnent le quotidien de l’humanité au cours de ces trente-cinq dernières années avec la guerre du Soudan et les années de braise en Algérie.

L’islamisme se nourrit de la mort pour s’imposer sur la scène mondiale. A chaque carnage, il gagne des nouveaux adeptes prêts à donner leur vie et tuer les « impies » pour l’idéal islamique. Selon Hassan al-Banna, la victoire finale est la résultante de la maîtrise de l’art de la mort, le prix à payer pour instaurer un Califat mondial, soumis à la seule loi de l’islam, la charia, et ayant pour seule charte le Coran.

http://www.atlantico.fr/decryptage/jihad-martyr-et-charia-programme-freres-musulmans-michael-prazan-editions-grasset-967287.html.

Si le nazisme a enfanté des monstres d’inhumanité, l’islamisme n’est pas en reste avec Ben Laden, Omar Bachir, Hassan Tourabi, al-Karadhaoui, al-Baghdadi,  al-Zawahiri, Bel Haj, Ghannouchi, animés tous par la même haine du juif et la destruction de l’Etat d’Israël.

Vouant un véritable culte à Hassan al-Banna, figure tutélaire de l’islamisme, grand-père maternel des frères Ramadan, grand admirateur d’Adolph Hitler et ami personnel du Mufti nazislamiste de Jérusalem, al-Husseini.

Leur devise articulée autour des 3 maîtres-mots, martyr, charia, djihad, se suffit d’elle-même pour résumer leur soubassement idéologique totalitaire, rétrograde, sectaire, tyrannique, hégémonique, expansionniste, conquérant,  anti-occidental, belliciste, liberticide, théocratique, autoritaire, raciste, obscurantiste et nihiliste.

Si tous les musulmans ne sont pas des islamistes, tous les islamistes sont des terroristes et porteurs de virus létal pour l’humanité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour l’islam un bon infidèle est un infidèle mort et pour l’Occident un terroriste a le droit à une seconde chance

 

Le fou d’Allah Salah Abdeslam  écopera-t-il d’une peine incompressible de la prison à vie voire de 30 ans ?

Le rêve pour lui, sortir vivant de sa prison  pour passer à nouveau à l’acte et se racheter aux yeux de ses comparses djihadistes pour survécu à l’attentat du Bataclan du 13 novembre 2015.

Si c’est 30 ans, c’est une courte parenthèse  à l’échelle du terrorisme islamiste qui dure depuis plus de 14 siècles.

En le gardant en bonne santé en prison, on laisse toute la liberté à ses avocats payés au frais des contribuables pour multiplier les procédures pour dénoncer l’injustice et l’arbitraire pour ne pas disposer par exemple d’un téléphone mobile à l’instar des autres détenus et  faire condamner l’Etat français auprès de la Cour Européenne des droits de l’homme.

Dans 30 ans, il sera de retour chez lui. Ses victimes auxquelles il n’avait laissé aucune chance ne seront pas pour lui rappeler qu’il a de la chance de vivre dans un État de droit et qu’il pourrait récidiver sans aucun scrupule.

La société « mécréante » qui lui aura offert un séjour décent à l’ombre va continuer à pourvoir à ses besoins jusqu’à sa mort. Il est en droit de percevoir le minimum vieillesse et l’Aide Médicale de l’Etat si jamais il ne fera pas parler la poudre terroriste à sa sortie de prison où il pourra enfin finir  sa mission de tuer et se faire tuer pour Allah.

C’est beau les droits de l’homme tant honnis par les combattants de l’islam.

L’Occident, première cible de l’islamisme djihadiste qui est le vrai islam, plutôt que d’apporter une réponse graduée au terrorisme en traitant le terroriste comme un criminel contre l’humanité et qu’il devrait relever d’une cour spéciale qui devrait le condamner à mort, se fait l’avocat de la Confrérie nazislamiste et terroriste des frères musulmans.  Comme s’il était ignorant de l’idéologie nihiliste  de cette organisation.

Plutôt que de faire preuve d’une neutralité dans le cadre du procès des frères musulmans, il a pris faits et cause pour eux  en accusant le parquet égyptien de déni de justice pour avoir requis la peine capitale à l’encontre des prévenus.

L’Occident ne sait pas réellement qu’un terroriste mort est un ennemi en moins pour lui.

C’est si facile de faire le procès des pays qui ne font pas dans la dentelle pour éradiquer l’engeance islamiste, quand on est incapable de comprendre, et encore moins de résoudre l’équation islamisme=terrorisme.

L’Europe préfère les courtiser, les honorer, les gratifier de la légion d’honneur, leur accorder des facilités pour acheter la paix sociale dans les banlieues et s’attirer les bonnes grâces de leurs bailleurs de fonds saoudiens et qatariens, dont elle convoite la manne financière.

Elle fait des ennemis de la démocratie ses alliés pour se constituer un vivier électoral.

Elle se fait leurs défenseurs plutôt que leurs procureurs, comme s’ils étaient des victimes. Pourtant, un serpent venimeux doit être neutralisé avant qu’il ne morde sa proie.

L’Occident est aussi sourd et aveugle que les musulmans modérés. Il ne veut rien comprendre à leurs mécanismes psycho-idéologiques, pas savoir qu’ils sont des tueurs religieux, et non ces pauvres malheureux rejetés par le système. Ce sont des psychopathes qui se révèlent à eux-mêmes grâce à la lecture des versets désinhibiteurs de leurs pulsions mortifères, qui transforment un humain un monstre de cruauté.

 

Salah Abdeslam n’a pas dérivé. Il devait emprunter la voie du djihad, sans quoi il n’y a pas d’islam

Salah Abdeslam, élevé dans un milieu qui n’a faire des valeurs de la démocratie et du vivre ensemble, n’a pas dérivé. Il est devenu le bon musulman qu’il devait être. Il devait emprunter la voie du djihad, sans quoi il n’y a pas d’islam.

Plutôt que chercher les causes là où il n’y en a pas, pour occulter les vraies causes, faisons un parallèle entre les jeunes chinois et hindous ou bouddhistes avec ces jeunes issus de l’immigration musulmane, ou les jeunes français de souche néo-islamisés afin d’identifier que l’origine du mal, c’est l’islam.

Ces jeunes musulmans pseudos radicalisés (ils ne sont pas radicalisés, ils sont pieux), sont portés par un idéal messianique et cosmique. Ils sont mus par leur seule haine de l’autre, ne vivant que par et pour faire de l’islam un gouvernement mondial, suivant à la lettre la feuille de route mahométane qui fait de la terreur son arme de destruction massive.

Salah abdeslam n’a pas été endoctriné.

Il a lu le Coran et n’a fait que suivre ses prescriptions, sauf qu’il a été trop lâche pour s’auto-anéantir. Il aurait bien voulu troquer sa vie contre sa mort, passage obligé pour assouvir ses pulsions, mais il n’a pas été jusqu’au bout de son engagement.

Quand est-ce que l’Occident va-t-il s’instruire des expériences douloureuses de l’Algérie, de l’Egypte et de la Tunisie sous Bourguiba et Ben Ali, qui ont payé et payent encore un lourd tribut à l’islamisme djihadiste ?Quand est-ce que la France s’arrêtera-t-elle de caresser les représentants de l’U.O.I.F , l’officine djihado-terroriste dans le sens du poil ?

Quand est-ce que la France fermera-t-elle une fois pour toutes les mosquées wahhabites sur son territoire, et suspendre sine die les constructions de mosquées ? N’est-il pas curieux que plus les mosquées prolifèrent, plus nombreuses sont les vocations djihado-terroristes, et personne ne fait le lien ?

Dans les années 80 et 90 les attaques terroristes venaient pour la plupart de l’extérieur. Aujourd’hui, l’ennemi le frappe en son sein.

Les terroristes sont nés en France, en Belgique, et ont fréquenté les mosquées de la République qui leur ont ordonné de tuer cette République.

Comme le dit si bien Erdogan, nos mosquées sont nos casernes, les croyants nos soldats, les coupoles nos casques et les minarets nos baïonnettes.

Que faudrait de plus comme dessins et actes à l’appui à L’Europe pour qu’elle se réveille et comprenne que l’islam, sorti de l’ombre par les islamistes, ne sera jamais son allié et qu’il sera un jour son fossoyeur.

Salah Abdeslam et ses complices n’ont pas laissé l’ombre d’une chance à leurs victimes car l’islam attaque toujours par surprise et ne fait pas de quartiers. Pour lui un bon infidèle est un infidèle mort.

Il aura tout le temps devant lui pour concevoir un nouveau plan d’attaque dans le confort de sa cellule, ,

Comme tout islamiste  il a la rancoeur tenace et la vengeance froide.

Un jour, quand les juges islamophiles l’auront relâché, Abdeslam passera à l’action pour se racheter aux yeux d’Allah et de sa communauté et être le djihadiste qui tue et se fait tuer dans le sentier d’Allah.

Si cet Allah était si grand, les musulmans ne seraient pas misérables

Allah ce satané divin. Les musulmans n’ont que son nom dans leur bouche. Comme s’il était carrément le seul mot ou presque qui peuple vocabulaire. On entend l’évocation de son nom à chacun de leurs actes et à chacune de leurs paroles.

Il est tout pour eux et ne vivent que par et pour lui. Ils tueraient pères et mères pour lui. Certains d’entre eux égorgent des humains comme ils égorgent des moutons pour lui.

Il est le Grand Mal sacralisé mais de cela les musulmans n’ont que faire tant qu’il leur sert de bonne conscience pour masquer leur impuissance.

Grand mal ne fasse à ceux qui ne croient pas en lui et qui le rejettent après avoir cru en lui.

Gratifié de tous les attributs sans qu’il n’ait jamais fait la démonstration de ses capacités depuis que Mahomet l’avait prolue divin des musulmans.

Il est tout puissant,  omnipotent.  omniscient et « omnitout », mais j’ai comme le sentiment qu’il est omnirien sinon il n’aurait pas besoin de berger pour garder son troupeau et ramener les brebis égarées dans l’enclos car il aurait pu le faire lui-même en s’adressant directement à chacune de ses créatures et n’aurait pas choisi un ignoble individu comme Mahomet pour porter son messsage, ignorant lui-même qu’il était inculte et narcissique.

Un divin qui connaît tout sur tout et capable de transformer des humains en singes pour lui avoir désobéi pourquoi n’a-t-il pas fait de ses ouailles des lumières de savoir et de connaissances ? De tocards des cracks

Ne dit-on pas qu’il  connaît mieux ses fidèles qu’ils ne se connaissent eux-mêmes individuellement et que leur personnalité est façonnée par lui ?

Il est censé faire d’eux ce qu’il veut et quand il veut. Impulsant leur conduite bonne et mauvaise selon sa volonté.

S’il a fait le riche et le pauvre, qu’attend-il pour élever les musulmans au rang des contributeurs au bien commun de l’humanité s’il est aussi faiseur d’hommes qu’on ne le prétend ?

Ce dieu doit servir de subterfuge pour les gourous pour donner un verni mystique à leur entreprise de manipulation des masses.

Plus les gens sont crédules plus on leur fait gober la grosse couleuvre de dieu.

Il n’a qu’à convaincre chacune de ses créatures lui-même, directement sans intermédiaire, au moins son message ne risque pas d’être édulcoré et falsifié.

Le ridicule est atteint avec Mahomet qui veut être traité par les destinataires du message l’égal de son dieu voire plus puisque dans les pays musulmans un blasphème est beaucoup moins pénalisé que l’offense faite à Mahomet.

En Tunisie, insulter Allah c’est 6 mois de prison, insulter son imposteur de rassoul c’est 7 ans de pénitence.

Quel est le vrai divin, est-ce Allah ou Mahomet ?

Si ce divin n’était pas impotent et déficient, il se serait montré visionnaire et   plus perspicace et lucide dans son choix de recrutement d’un messager qui a fait du carnage son message de persuasion et qui avait fait de la terreur la voie de l’expansion de l’islam ?

Un divin turbulent, orgueilleux, colérique, dépourvu de sagesse, violent, colérique, injuste, bourré de préjugés et excessif dans ses rapports aux hommes auxquels il dénit les droits d’aimer, de créer, d’innover, d’être acteurs de leur vie est tout sauf l’image que l’on peut se faire de lui.

Le divin des musulmans est en réalité la créature malfaisante et effrayante d’un  mégalomane, assoiffé de revanche sociale, né d’un père inconnu, enfant d’une mère libertine et qui l’avait abandonné à une mère-nourricière. Vivant dans l’ombre d’une autre femme pendant 25 ans dont il était le gigolo. Ruminant toute sa vie la haine de soi et de l’autre, rejeté par sa propre tribu,  il avait réussi de faire de ses propres frustrations un catalyseur de conquête du pouvoir au nom d’un divin créé en toute pièce pour manipuler les masses à son image.

Il n’y a qu’en France où les terroristes sont pris pour des suicidaires et des fous

Partout dans le monde les auteurs dew attentats terroristes sont déclarés pleinement responsables de leurs actes sauf  bizarrement en France où l’on veut les faire passer pour des sujets dépressifs et qui souffrent d’une pathologie mentale. 

À entendre les armées des experts en tous genres qui polluent l’espace médiatique après qu’un bon musulman a commis un carnage l’islam n’y est ainsi pour rien dans leurs motivations et n’ont pas agi sous l’effet de la drogue coranique, ils ont quasiment tous un passé psychiatrique.

Ces experts de l’enfumage et de l’esbroufe atteints de cécité mentale ne se posent jamais la question pourquoi ce sont justement des « déséquilibrés » musulmans et jamais des non-musulmans qui ont tendance à perpétrer les attentats-suicide et présentent un danger public alors qu’ils ne diffèrent en rien de leurs congénères dans leur mode opératoire sur les scènes des crimes crapuleux terroristes ? 

Ils ont beau pourtant accomplir leurs crimes en gage d’allégeance à Daech ou la Qaida et que ceci est en soi une preuve probante quant à leur culpabilité, pour les experts es innocence de l’islam ils sont des pauvres malades mentaux et qui doivent être traités comme tels. 

Un argument qui est vite balayé par la réalité des faits qui attestent clairement de l’existence formelle d’un lien de causalité entre l’islam et le terrorisme.  

Tous les fous musulmans ne sont pas des terroristes mais en France on fait passer tous les terroristes musulmans pour des fous.

Ces individus agissent sous l’emprise des versets coraniques qui les font déconnecter de la réalité du monde et leur font perdre toute conscience de leur propre humanité. Provoquant chez eux un dégoût d’eux-mêmes et des autres.  Ils sont tellement pris  dans le tourbillon de leur supplice intérieur que la mort pas seulement la leur  mais en même temps celle dans laquelle ils entraînent le maximum de vies dans leur sillage est leur seul planche de salut.

Faisant ainsi don de leur vie comme arme de destruction massive pour s’assurer les rétributions d’Allah.

On ne cherche pas de  circonstances atténuantes à des individus dont le seul idéal de vie est de faire de leur propre mort une arme pour tuer.

Ils ne sont pas plus suicidaires et déséquilibrés qu’un chauffard responsable d’un accident mortel alors qu’il conduisait avec 3 g d’alcool dans le sang.

On doit cesser en France de faire passer pour des fous des individus qui ne le sont pas ailleurs

La vraie folie est de vouloir occulter la responsabilité pénale des auteurs des attentats terroristes sur le sol français.

Si jamais ils sont fous, ils sont seulement fous d’Allah et de leur religion et abominent jusqu’à en perdre la raison leurs semblables humains qu’ils doivent anéantir comme le leur ordonne le Coran.

 

Chaque attentat terroriste en cache un autre et le monde n’est pas au bout de sa peine

L’été 2017 qui touche à sa fin s’avère être un des étés les plus meurtriers en matière d’attentats terroristes tout particulièrement en Occident qui ont atteint leur point culminant à Barcelone, 15 morts et 100 blessés. Ceci sans tenir compte de l’attentat à la voiture-bélier à Marseille où l’on cherche à le faire passer pour un acte de démence ainsi que les attentats avortés  de Mellila, l’enclave espagnole au Maroc contre un policier de la guardia civil, la Tour-Eiffel et Levallois-Perret qui ciblaient des militaires de l’opération Sentinelle.

Force est de constater que la majorité des auteurs des attentats sont originaires de l’Afrique du Nord avec une prédominance marocaine.
Il ne s’agit pas de stigmatiser telle ou telle catégorie de population, mais l’on ne peut pas faire abstraction de la nationalité de leurs auteurs indépendamment de leur religion.

Leur message est clair, tant l’Occident et le monde ne se plient pas à la loi de l’islam, ils n’auront jamais la paix.

Continuer à les harceler en les frappant dans leur chair jusqu’à ce qu’ils finissent par céder et ne trouver leur salut que dans la reddition.
Plus rien ne semble les arrêter dans leurs délires cosmiques et hégémoniques. Nés pour mettre l’humanité tout entière sous les babouches d’Allah.

Combien sont-ils à y croire ? Des milliers ? Des centaines de milliers ? Des millions voire plus des dizaines de millions ? Ils sentent que la victoire est proche et que le règne de l’islam sur le monde est sur la bonne voie.

Ce n’est certainement pas en les fichant tous, car leur identification est mission impossible pour plusieurs raisons, ne serait-ce en se fondant dans la masse pour passer inaperçu comme le chauffeur de la fourgonnette-bélier de Barcelone, sauf s’il l’on considère que chaque musulman est un danger pour la paix et la sécurité dans le monde, ce qui est le pire amalgame que l’on puisse faire.

L’ennemi n’est pas repérable. Il n’a pas la tête de l’emploi. Il peut être monsieur tout le monde. Il n’a pas de faciès musulman, car l’islam n’est pas un marqueur génétique, ni morphologique. Le démon islamique peut surgir de sa boîte n’importe quand et n’importe où.

La police a beau faire son travail qui est elle-même meurtrie par leurs attaques, l’ennemi est très imprévisible. Malheureusement le problème du terrorisme islamique est de plus en plus insoluble.
C’est une véritable quadrature du cercle.

Un simple quidam aussi inoffensif qu’une fourmi peut se muer du jour au lendemain en prédateur féroce. L’épisode de l’assassinat abominable de Mme Halimi doit nous éclairer tous sur la nature insaisissable de ce terrorisme. Ils sont probablement beaucoup plus nombreux qu’on ne l’imagine.

De plus en plus de terroristes qui sont passés à l’acte ne sont pas connus des services de police pour radicalisation avec l’étudiant algérien en journalisme qui a voulu abattre un policier avec son arme de service.

On est face à un profil de terroriste impossible à définir en amont. Le gentil voisin, bon vivant et bon père de famille, ouvert et disponible. Jamais un mot plus haut que l’autre. Il peut demain être pris de folie meurtrière et devenir terroriste.

Est-ce une folie d’ailleurs, ou plutôt l’heure du passage à l’acte qui a sonné, où le mécréant tant honni dans les prières sataniques musulmanes doit enfin payer le prix de son incroyance en Allah ?

Il n’y a certes aucune relation avérée de cause à effet entre musulman et terroriste. Mais chaque terroriste qui met en exécution les appels au meurtre des mécréants du Coran est comme on le constate musulman.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info

Adieu la Tunisie, le pays de mes entrailles

Je n’ai pas de ville de mes rêves, ni un pays de cocagne ni de cité idéale.
J’ai eu l’infime bonheur d’avoir vécu pendant les 20 premieres annees de ma vie dans une ville merveilleuse du nom de Tunis qui se perd dans la nuit des temps.

Une ville qui n’avait pas attendu l’invasion arabo-musulmane pour exister. Témoin de l’histoire millénaire confisquée et violées de ce beau pays qui était un berceau civilisationnel au temps où l’islam était inconnu des hommes.

Elle était tunisoise où ses habitants ne se distinguaient pas les uns des autres et communiquaient dans la même langue avec leur accent propre.

Ils n’étaient ni arabes, ni juifs, ni maltais, ni italiens, ils étaient tous ses enfants.

J’avais imaginé le monde à travers ce tableau aux couleurs des lumières de la vie. Le frère, le cousin, l’oncle, la tante, les grands-parents, n’étaient pas ceux de ton sang, mais de ton voisinage.

Nous étions identifiés par nos quartiers d’appartenance géographique, ouled houmat al- Hafsia, Bab-Souika, Bab-Jadid. C’était au-delà des clivages sociaux, ethniques, tribaux, claniques et religieux. J’avais appris au cours de ces 20 premières années de ma vie que l’on ne juge pas l’humain sur sa couleur, ses origines et sa croyance mais sur ses mérites et sa proximité psycho-affective avec son prochain.

Une ville que j’ai quittée en 1972, pour rejoindre un autre pays de mon coeur et de mon intellect, la France, mais tout en rêvant qu’un jour j’y retournerai.

Mais depuis ce rêve s’est évaporé dans les nuages toxiques de l’islamisation à forte dose de la société tunisienne où l’on juge l’humain à l’aune de sa soumission à l’islam
Où l’on est plus Tunisien si l’on est pas musulman. Un pays où ses vrais enfants ne sont plus ses enfants car ils ne sont pas musulmans.

Une société dans laquelle je ne me reconnais plus car ma Tunisie des couleurs, des saveurs et des lumières de la vie est morte dans les années 70.

J’ai choisi de vivre sur les bords septentrionaux de la Méditerranée pour que les vagues de notre belle Mare Nostrum me charrient les souvenirs de ce qu’aurait pu être encore aujourd’hui un Jardin d’Éden terrestre mais l’islam lui a pris son âme pour toujours.

Bloqué par Twitter et Facebook pour avoir dit que l’islam est un poison mortel pour l’humanité

Je ne fais pas l’apologie de l’islam

Je ne suis ni un idiot utile de l’islam ni un islamo-ccollabo

Je ne prône pas le pas d’amalgame entre les musulmans et les islamistes

Je ne dissocie pas l’islam de l’islamisme qui se nourrissent l’un de l’autre comme un poison se nourrissant de lui-même

Je ne vis pas dans le déni des crimes contre l’humanité de l’islam comme les musulmans modérés

Je ne prends pas le Coran pour un puits des sciences

Je ne définis pas l’islam comme religion de paix, il est à la paix ce que le poison est à la vie

Je ne professe pas une idéologie supremaciste comme l’islam

Je n’appelle pas à la haine du non-musulman

Je ne vénère pas un prophète qui aurait pu être le géniteur d’Adolphe Hitler

J’ai honte pour mon humanité de prendre ce prophète-gibier-de-potence pour modèle

Je ne crois pas en une religion qui veut exterminer les Juifs

Je ne prie pas du matin au soir pour jeter l’anathème sur mes semblables humains

Je ne m’adonne pas à la récitation des versets sataniques

Je n’implore pas mon dieu pour punir des feux de l’enfer des êtres humains qui ne croient pas en lui

Je ne respecte pas la loi scélérate et criminelle de l’islam

Je ne me soumets pas aux dogmes liberticides, esclavagistes, inhumains, racistes, inégalitaires, pédophiles, mémoricides, ultra-sexistes, négateurs des droits de la femme

Je rejette l’ordre moral de l’islam qui est la légitimation des interdits et de la perversion morale sous couvert de la religion

Je ne me reconnais pas dans un système de croyance qui fait du sang des innocents le chemin de la félicité

Je ne peux pas partager mon humanité avec des individus qui tuent au nom de leur divin

Je ne puis concevoir que l’on soit fier de de défendre une religion qui flatte les bas instincts humains

Je dénonce les préceptes coraniques qui exaltent le terrorisme et le récompensent

Je ne comprends pas que l’islam bénéficie du statut de religion alors qu’il doit être combattu comme naguère le nazisme et banni du paysage mondial

Je ne peux pas admettre que l’homme musulman ne puisse pas jouir de son libre-arbitre

Je plains ces femmes et hommes qui vouent un culte à une religion tyrannique et qui fait de la mort un culte de la vie

Je suis effaré par la mauvaise foi des musulmans sur l’innocence de l’islam

Je dénonce la loi de l’islam qui condamne à la double peine la femme violée et innocente son violeur

Je suis abasourdi par tant de bienveillance et de mansuétude à l’égard de l’islam

Je suis stupéfait et consterné par la manipulation diabolique de l’opinion publique à laquelle se livrent les gouvernements et les médias occidentaux pour faire passer les crimes terroristes comme des actes perpétrés par des individus dépourvus de leurs facultés de discernement

Je suis désorienté et désabusé par les manœuvres sémantiques pour ne pas nommer l’islam comme étant la doctrine politique qui sous-tend et motive les actes terroristes

Je suis condamné au silence par Twitter et Facebook pour avoir mis à nu l’islam et tiré la sonnette d’alarme sur ses desseins néfastes pour l’humanité.

Je ne cesserai jamais de le rappeler il porte en lui tous les germes de destruction de la vie sur terre

Je déplore enfin que les musulmans n’aient pas les ressources morales et intellectuelles et le courage de briser les chaînes de leur état d’esclaves. Plutôt que de jouer aux avocats du diable et aux pleurnicheurs de service à chaque attentat terroriste qui plonge le monde dans l’horreur, j’aurais aimé les voir sortir dans la rue le Coran à la main et de nous faire la lecture des versets qui exhortent à la violence contre les non-musulmans.  Ils doivent savoir qu’il n’y a pas de contexte et que le texte pseudo sacré est valable en touyvtemps et tous lieux.

 

 

 

 

 

 

Pourquoi les Palestiniens se font soigner en Israël et pas chez leurs « frères arabes »

Selon l’Administration civile de Judée-Samarie, en 2015, 127 000 Palestiniens ont été soignés dans les hôpitaux israéliens. 97 000 de Judée-Samarie et 30 000 de Gaza. Frais de soin, 90% pour les contribuables israéliens et 10% pour l’autorité palestinienne et donc une partie pour Bruxelles.

Des chiffres qui devraient inciter les musulmans et leurs idiots utiles occidentaux de revoir leur copie et faire preuve pour une fois de probité morale et de sincérité politique. C’est bien l’Etat hébreu tant honni qui soigne les Palestiniens  qui ne jurent que par sa destruction.

Mais que deviendraient-ils sans leur Eldorado médical ?

http://www.huffingtonpost.fr/2017/06/23/un-responsable-palestinien-fait-un-don-inedit-a-un-hopital-israe_a_22583887/

Qu’en penseraient la majorité des musulmans et leurs laquais qui se lamentent sur le triste sort du peuple palestinien qui est assurément plus reluisant que le leur et qui certainement pour tout l’or du monde n’ira jamais se faire soigner par exemple en Afrique du Nord ?

Et qu’est-ce qui empêche les médecins musulmans dont certains d’entre eux crient au génocide du peuple palestinien, d’aller faire du bénévolat à Gaza où Hamas qui ne met pas la main à la poche pour les soins des siens saura leur faire comprendre que les vrais criminels contre l’humanité ce ne sont pas les Juifs diabolisés par le Coran.

Les terroristes ne sont pas fous, ils sont musulmans

Quelle que soit la nature de la piste, terroriste, psychiatrique, isolée, toxicomaniaque,  il n’en demeure pas moins que les auteurs des attentats ne sont pas des créatures extraterrestres, venues d’ailleurs pour défigurer l’islam.

Qu’importe leurs antécédents psychiatriques avérés ou non, qu’importe leur état de discernement au moment du passage à l’acte, qu’importe s’ils avaient agi consciemment ou non ou étaient sous l’emprise des médicaments ou de substances illicites, la vraie question que l’on doit se poser y  a-t-il un lien intrinsèque entre l’islam et les crimes terroristes ?

La réponse est dans le Coran lui-même.

Il est superflu de se perdre dans les méandres des spéculations sémantiques car la piste n’est ni psychiatrique ni terroriste, elle est en toute évidence musulmane.

On ne qualifie pas ce qui est déjà qualifié par la religion d’appartenance des auteurs des attentats. Ils ne sont ni taoïstes, ni bouddhistes, ni hindous, ni animistes, ils sont musulmans orthodoxes.

Nul besoin de savoir s’ils présentent tel ou tel profil psychiatrique pour écarter la thèse du terrorisme et blanchir l’islam afin de rassurer l’opinion publique et éviter la diabolisation des musulmans,  on doit corréler surtout leurs actes avec leur substrat idéologique et préceptuel. Ils ne sont pas imprégnés de la mythologie grecque, ils sont façonnés et conditionnés  par l’éducation musulmane incompatible avec le monde du vivant.

Toute tentative de recherche d’atténuation de leurs responsabilites est un encouragement  aux jeunes musulmans en passe de s’engager ou qui le sont déjà dans la voie du djihad par la terreur pour gagner leur infect fardaouss, paradis, ainsi que pour 60 des leurs.  Tuer et se faire tuer pour l’ignoble cause d’Allah est leur idéal de vie, ou plutôt leur seule source de motivation pour en finir avec leurs jours en y entraînant le maximum d’innocents dans leur suicide. Même s’ils semblent aujourd’hui opter pour des modes opératoires tels voiture- bélier et armes blanches qui leur offrent des nouvelles opportunités à la sortie de leur prison psychiatrique.

Plaider la thèse de la piste psychiatrique, c’est tout simplement leur accorder un sauf-conduit, une immunité pour rendre impunis leurs crimes, une garantie de déculpabilisation, un pousse au crime, un feu vert pour aller de l’avant dans leur entreprise terroriste.

On leur fait savoir en substance,  faites le djihad  et notre justice républicaine saura vous trouver une porte de sortie en vous déclarant irresponsables pénalement. Vous n’avez plus rien à craindre nos psychiatres sauront dépénaliser vos actes au même titre qu’Allah lui-même.

À trop vouloir psychiatriser des comportements ultra-violents et jusqu’au boutistes qui s’inscrivent pourtant dans la logique du Coran et de la Sunna, on est en train de nourrir l’hydre islamique jusqu’au jour où elle finira par dévorer l’humanité tout entière et effacer ainsi toute trace de vie sur terre.

M.Trump, le vrai péril pour le monde est l’islam radical et certainement pas la Corée du Nord et le Venezuela

Donald Trump a tout à gagner à concentrer ses efforts ou plutôt conjuguer ses efforts avec les Russes et les Chinois et tous les pays confrontés au péril terroriste musulman sur l’Arabie Saoudite et le Qatar que de jouer au va-t-en guerre avec les nord-Coréens et le régime vénézuélien.

Il doit savoir savoir ou fait semblant de ne pas le savoir que ce ne sont pas ces deux pays qui menacent la paix et la sécurité dans le monde.

Ce ne sont pas non plus ces deux pays qui professent une idéologie mortifère et hégémonique et prêchent la haine de l’humanité non-musulmane par la voix de leurs agents propagandistes.

Aucun d’eux n’a armé et financé les attaques terroristes qui secouent les 5 continents quotidiennement depuis le 11 septembre 2001 et responsable du chaos du Proche-Orient et ses dommages collatéraux sur l’Union européenne.

Mais Donald Trump qui a fait illusion pendant sa campagne électorale en promettant entre autres de mettre fin à la lune de miel  avec l’Arabie Saoudite a fait un virage à 180 e degré.

La loi du marché est le moteur de sa diplomatie. Ménager et protéger par tous les moyens les deux têtes du serpent wahhabite en échange des mirobolants contrats d’armements. Deux vaches à lait pour l’industrie militaire américaine mais auxquelles la Maison Blanche depuis le Pacte de Quincy avec l’Arabie Saoudite laisse toute toute liberté à propager le virus létal wahhabite dont la population américaine a été la première à en faire les frais.

On attendait de Trump une inflexion de la politique américaine trop bienveillante à l’égard de ces deux pays mais contre toute attente il préfère caresser les deux serpents dans le sens du poil comme son prédécesseur Obama.

Il fait ainsi une priorité absolue de sa politique internationale  des questions nord-coréennes et vénézuéliennes qui ne présentent pas de menace pour sa population, en dehors des gesticulations verbales du despote nord-coréen Kim-Jung-un, et occulte totalement la métastase wahhabo-terroriste, forte d’une impunité qui la rend encore plus arrogante et agressive.

Un moyen au moindre coût peut-être pour faire oublier son début cauchemardesque à la Maison Blanche  et détourner l’attention de l’opinion américaine sur son enlisement dans le scandale du « Russiangate ».

Avec la Corée du Nord et le Venezuela les enjeux géopolitiques, énergétiques et financiers sont moins significatifs qu’avec les deux têtes du serpent wahhabite avec un Qatar qui menace de se jeter dans les bras de l’Iran si l’on lui cherche trop des noises.

Depuis sa visite à Djeddah, le terrorisme musulman n’a jamais autant  fait parler la poudre dans le monde qui vit désormais au rythme d’un attentat par jour si ce n’est 2 ou 3.

 

C’est la guerre de l’islam à l’Occident !

Barcelone, 2 attentats à la voiture- bélier  coup sur coup en l’espace de 4 heures, Levallois-Perret, Paris, sont la parfaite illustration que l’islam mène une véritable guerre à l’Occident.

Une guerre non-conventionnelle qui s’est intensifiée depuis les attentats du 11 septembre 2001 qui ont marqué le retour fracassant de l’islam sur les devants de la scène mondiale.

Elle n’a pas de nationalité, mais au nom associé à celui de l’islam et dont la finalité est de désintégrer la pluralité du monde au profit de l’islam. Son identité idéologique et son ADN ne font l’ombre d’aucun doute et l’islam lui-même n’en a jamais fait mystère sauf ses idiots-utiles et son armée de collabos et d’enfumeurs qui louent ses vertus pacifiques.

Cette guerre totale contre l’humanité réfractaire à sa loi est inscrite en toutes lettres dans son manifeste de conquête du monde.  Un monde purifié et nettoyé de la présence des non-musulmans comme dans la majorité des pays musulmans.

L’exemple des Juifs et des chrétiens persécutés, massacrés, leurs femmes violées et leurs enfants réduits à l’état d’esclaves, leurs biens confisqués, islamisés de force et chassés d’Arabie dés son avènement devrait ouvrir les yeux du monde entier sur la nature génocidaire, hégémonique et impérialiste de l’islam.

Les harceler par tous les moyens et notamment la terreur et la peur jusqu’à ce que la terre entière ne soit gouvernée que par la loi de l’islam.

Une guerre pernicieuse et sournoise, sans répit, comme une métastase cancéreuse qui prospère dans le corps humain, affaiblissant ses mécanismes de défense et le minant moralement et psychologiquement au point tel que la capitulation sera son seul salut.

L’islam est un guerrier patient, rusé, retors, sans foi ni loi, qui ne tecule devant lui pour arriver à ses fins, perfide et pervers. Excellant dans l’art  de la victimisation, jamais coupable, une Madeleine qui fait pleurer dans les chaumières, sachant profiter de la naïveté et la lâcheté de ceux qui sont pour lui ses ennemis mortels mais qui plutôt que de s’en prémunir ils lui balisent le terrain pour étendre ses tentacules.

Niée et occultée par les puissances occidentales, sauf Israël, qui  continuent à traiter politiquement et juridiquement ces actes de guerre comme des banales actions terroristes quand ce n’est pas des simples faits divers dont les auteurs souffrent de troubles psychologiques. Des pauvres malades mentaux incapables de discernement. Un masochisme inquiétant, comme si le coupable était la  vraie victime et la victime serait un dommage collatérale.   Elles  n’ont toujours pas compris ou feignent de l’ignorer  que le terrorisme est le mode opératoire militaire de l’islam et que le vrai musulman est celui qui tue et se fait tuer dans la voie d’Allah.

Le combat est un prescrit coranique et le martyr est l’idéal de tout musulman digne de ce nom  qui caresse l’espoir de bénéficier des prébendes mahométanes.

Il ne peut donc y avoir d’islam sans la profusion du sang des mécréants.

 

Hommage à Riposte Laïque pour son combat herculéen contre l’hydre musulmane

Je n’ai aucune mauvaise conscience ni le sentiment d’avoir violé une quelconque ligne jaune en  publiant régulièrement mes articles depuis des années  sur le site Riposte Laïque tant décrié, stigmatisé, diabolisé et harcelé judiciairement. L’ennemi à abattre pour les islamo-collabos.

Ses inquisiteurs de gauche comme de droite n’ont que faire de la noblesse et la justesse de son combat qui devrait être aussi le leur.  Le jour où la France sera une nouvelle dar al-islam ce sera trop tard pour eux car l’islam ne leur a pas laissé le choix. La mort au fil de l’épée.

Riposte Laïque est un site qui mène un combat au-delà des clivages politiques, idéologiques, nationaux et ethniques.  Il se bat pour cette France qui a illuminé de toute sa lumière l’humanité tout entière. 

Si demain la France tombe dans l’escarcelle de l’islam ce sera le monde entier qui en pâtira.

Je ne suis pas personnellement à la solde d’aucun donneur d’ordre de quelque bord politique que ce soit.

Je ne combats pas les préjugés  supremacistes, liberticides antijuifs, antichretiens, discriminatoires de l’islam pour me faire le chantre d’un autre mode de pensée du même acabit.

Je ne vois pas en quoi est un mal d’associer sa plume à des femmes et hommes qui mettent en péril leur liberté et leur vie pour tirer la sonnette d’alerte sur le péril musulman qui menace sérieusement les fondements de la République et la pérennité civilisationnelle et humaine de la France.

Le refus de capituler devant l’islam et de lever le voile sur le laxisme et la mansuétude coupable dont ils bénéficient de la classe politique dans son ensemble, des médias et des décideurs économiques ne constitue aucunement une quelconque atteinte aux valeurs de la République ni contraire aux règles du vivre ensemble.

Alors que c’est l’islam et l’islam seul qui est en train de gangréner le modèle français pour lui substituer le sien.

Être anti-islam c’est ne pas croire au mirage de l’islam d’amour, de paix et de tolérance.

Être islamo-incompatible c’est dévoiler l’imposture de l’islam qui est une idéologie mortifère et totalitaire. Bien pire que le bolchévisme et le national-socialisme réunis.

Dénoncer sa haute toxicité  est un devoir de salubrité publique que peu de personnes ont le courage de le faire en dehors de mes amis de Riposte Laïque.

Le vrai fascisme est la chape de plomb que l’on met sur la les déchets radioactifs de l’islam que l’on tente s’enfuir dans les villes et les cités jusqu’au jour où ils sortiront à la surface de la terre pour tout contaminer et transformer le paysage en un champ de ruine et un désert pour des morts-vivants.

L’islam est la négation par excellence du monde du vivant.  Le désacraliser et le démystifier est un devoir qui doit peser sur tout citoyen porté par l’amour de la partie.

On ne doit pas avoir peur des étiquettes  du type fachosphère ou d’extrême droite ni des procès où l’on est coupable avant d’avoir été jugé.

Je préfère être condamné pour avoir mis à nu l’islam que pour l’autocensure de mes idées.

La vraie justice est celle dont nous aurons à répondre un jour devant le Tribunal de l’histoire, celui devant lequel nos requérants seront les générations futures qui nous reprocheront de leur avoir laissé derrière nous un monde soumis au fascisme musulman et régi par la loi scélérate de la barbarie humaine, la Charia.

La haine est celle que distille l’islam dans les coeurs des siens et sa sanctuarisation  des attentats terroristes dont la finalité est de semer la peur et la frayeur dans les populations qui ne se plient pas à sa dictature.

En quoi est-ce la haine de l’islam, même si c’est un sentiment légitime et non- répréhensible, pour ne pas avoir joué aux idiots utiles et aux collabos de l’islam  et de lèche-babouches des musulmans ?
En quoi mettre en garde les Français contre le complot musulman est une faute morale et politique ?

En quoi Riposte Laïque qui se fait l’écho du scepticisme grandissant chez la majorité des Français quant à la compatibilité de l’islam avec la démocratie et les valeurs de la République serait un site d’extrême droite ?

Heureusement que ce site a le mérite d’exister et à quel prix, je salue au passage le courage admirable de mon ami Pierre Cassen,  pour briser la loi du silence qui entoure l’islamisation galopante de la France.

Ce n’est pas être d’extrême droite que de ne pas se plier à la tyrannie de la pensée unique.

Le vrai fascisme consiste à étouffer les voix irréductibles qui appellent à endiguer l’expansionnisme musulman et de tout en oeuvre pour que la France ne soit pas avalée par cette pieuvre de la pire espèce.

Pas besoin de religion pour vivre

Je n’ai pas besoin d’une religion pour codifier et rythmer ma vie. Je m’en sors parfaitement sans ses artifices infantilisants.

Aucun souci avec la morale et l’ordre républicain.

Je passe à la caisse quand je fais mes courses.

Je paye ma place quand je voyage en train.

Je ne vole pas, ne mens pas, ne triche pas, ne plagie pas.

Je n’achète pas les objets volés ni ne prêche la haine autour de moi.Je paye mes impôts.

Loyal à ce pays qui est le mien .

Je ne profite d’aucun système.

J’aime l‘humain qui est en moi et tous les humains qui vivent leur humanité dans l’amour et la dignité.

Mon gros problème est que je ne puis supporter les humains qui se cachent de nos regards, nous prennent de haut et ruminent leur rancoeur à notre égard et qui conspirent contre nous.

Jamais je n’ouvrirai mon coeur à ces femmes et hommes qui veulent installer dans nos coeurs l’effroi et la peur.

Pas besoin d’idéologie pour donner du sens à mon existence ni me nourris de faux espoirs incongrus .

Musulmanes, musulmans, arrêtez de délirer sur la grandeur de l’islam

 

Musulmanes, musulmans, l’homme n’est pas ce qu’il fut mais ce qu’il est aujourd’hui et ce qu’il fera demain pour continuer son chemin dans la vie. Un hadith attribué à votre prophète du grand mal, l’homme n’est pas celui qui dit ce que fut mon père mais celui qui dit ce que je suis moi-même.

Vous n’avez aucune connaissance de surcroît de votre propre histoire ni de ses sources d’influence qui sans elles, elle se serait éteinte comme une étoile filante.

Vous avez fixé le curseur de son logiciel au 7 e siècle.

Effaçant d’un seul trait de plume l’histoire préexistante pour faire croire que vous êtes les fondateurs de l’histoire humaine et à l’origine du monde.

Avant l’islam il n’y avait rien et la lumière fût avec lui. Les autres civilisations auxquelles vous n’arrivez pas à la cheville compteraient pour de la pisse de chameau.  Ce n’est ni de la déformation et de la manipulation de l’histoire, ni du révisionnisme pire encore c’est du négationnisme des plus abjects pour vous approprier la paternité de ce que vous avez volé aux autres peuples. Car sans eux vous n’auriez jamais existé et ce malgré vos crimes mémoricides et culticides.

Vous voilez l’histoire comme vous voilez vos femmes et vos fillettes.

L’islam n’est pas ce que vous croyez. Il n’a jamais été un vecteur civilisationnel ni avoir contribué à l’essor intellectuel, culturel, éducatif, scientifique, industriel et technique des peuples soumis à sa loi.

Vous n’êtes ni la Chine, ni l’Inde, ni Rome, ni la Grèce, ni la Perse, ni Babylone.

 

Il ne pouvait pas être un phare pour l’humanité, il se serait trucidé lui-même car en créant les conditions d’émancipation des hommes, il aurait libéré en eux les énergies créatives et développé chez eux l’esprit de doute et le sens de la critique qui pourraient être un jour sa propre tombe.

Mais comme toute idéologie fasciste son but est d’enfermer les êtres humains dans le bunker de l’ignorance et l’abrutissement mental.

Vous êtes pris au piège de la fascination de l’esclave pour son maître quoi que l’on puisse vous fournir comme preuves sur l’emprise de  cette substance néfaste sur votre cerveau, ce sera peine perdue car votre pensée et vos facultés de discernement sont fortement altérées.

Il est difficile de demander à un toxicomane de faire une cure de sevrage sans lui proposer en même temps une substance de substitution.

Il n’existe pas dans votre cas aucun remède thérapeutique miracle pour vous aider à vous libérer de votre état de dépendants.

Si vous aviez la mémoire de l’histoire et surtout de votre propre histoire vous seriez ses pires ennemis plutôt que de vous faire les avocats d’une idéologie totalitaire, haineuse, raciste, inégalitaire, supremaciste, liberticide, belliciste, rétrograde, mémoricide, barbare et sanguinaire et dont vos propres aïeux en avaient fait les frais lorsque le Tsunami arabo-musulman s’était abattu sur eux.

S’il n’y avait pas eu le colonialisme français en Afrique du Nord par exemple vous n’auriez jamais appris dans vos manuels d’histoire qu’avant l’invasion dévastatrice arabo-musulmane que vous étiez ibères, numides, carthaginois, romains, byzantins et que votre terre avait donné à l’église Saint-Augustin et 3 Papes.

Et pour finir, elle était une terre d’accueil des Juifs devenus aujourd’hui une terre inhospitalière pour eux.

L’islam, ce culte du sang

Quand on est apostat de l’islam et on le proclame sans cesse dans ses vidéos à qui veut bien l’entendre, on ne se fait pas l’avocat du diable musulman ni défendre la thèse de l’islam défiguré par l’islamisme.

Pour une question de clarté et de cohérence, on ne doit pas laisser subsister aucune ambiguïté sur sa rupture totale avec cette idéologie mortifère. Comme si quelque part il a la nostalgie de l’islam qui était le sien à une certaine époque de sa vie et qu’il lui était insupportable‘aurait pas apostasié l’islam mais l’islam devenu une arme de conquête de pouvoir.

Cet apostat semble ignorer que l’islam lui-même ne distingue pas le temporel de l’intemporel et qu’il est foi et loi.

Quand à l’islamisme dans lequel il ne se reconnaît pas il n’est rien d’autre que cet islam essentialiste  que Mahomet a fixé comme feuille de route aux musulmans.

Les islamistes ne défigurent pas l’islam, ils œuvrent à restaurer le Califat musulman garant de l’unité des musulmans et de la régénérescence de l’islam.

Un retour à l’islam des sources avec une stricte application des préceptes coraniques et de la Sunna mahométane n’est justement pas attentatoire aux dogmes musulmans et encore moins une violation de sa loi censée régir tous les domaines de la vie des musulmans. Tout est strictement codifié ne laissant absolument aucune liberté de manœuvre aux croyants dans l’accomplissement des simples actes de la vie y compris les besoins naturels et les relations sexuelles.

On ne peut pas être musulman et vivre dans le refus de l’islamisme. Autant  abjurer l’islam.

Tout musulman revendiqué est un islamiste qui s’ignore.

Alléguer que l’islamisme n’est pas l’islam  c’est comme si l’on cherche à séparer les deux faces d’un même miroir. Il se nourrit de l’islam. Sans l’islam il n’y a pas d’islamisme et sans l’islamisme l’islam n’est plus l’islam. Et le message mahométan aurait perdu sa son sens et sa substance.

L’islamisme est le moteur même de l’islam et son carburant.

Mahomet n’a pas créé une croyance, il a créé une idéologie politique où tout s’emmêle et se confond où plutôt de s’engager sur des promesses terrestres irréalistes et irréalisables s’est engagé dans la voie des promesses qui exaltent les bas instincts du bédouin arabe.

Qu’ils soient  islamistes, musulmans voire Chiites, ils ne sont des koffars de l’islam. Leurs divergences ne sont pas si profondes entre eux quand bien même ils sont les premiers à se tuer entre eux. Mais il n’y a pas d’islam sans l’odeur du sang. Le prophète du carnage comme il s’est défini lui-même ne saurait laisser en héritage aux siens que l’amour du sang humain. Tous ces compagnons ont tous connu une fin tragique.

Les tueries et les divisions sont inscrites dans l’ADN musulman.

Il n’y a qu’un seul islam pour tous les musulmans de toutes les obédiences. Ils respectent les mêmes articles de foi, vénèrent le même prophète,  et ce sont les mêmes qui sortent dans la rue pour crier leur haine du non-musulman ou leur colère contre les caricatures de Mahomet.

Ils s’amalgamer parfaitement entre eux pour la défense de l’islam. Ils n’ont pas besoin d’un avocat pour plaider leur cause et appeler à ce que l’on fasse preuve de discernement entre eux.  Il ne

Les islamistes ont le mérite de ne pas louvoyer avec leurs dogmes et ne trichent pas dans leurs rapports à l’islam à la différence de ceux affublés du masque de la modération qui avancent à visage masqué.

Car ces mêmes musulmans  sont toujours les premiers à voter pour leurs frères islamistes en Tunisie et au Maroc et autrefois en Algérie

Ces pseudos musulmans modérés sont surtout des tartufes-nés. Ils sont aussi dangereux que les islamistes. Après tout ils professent  leur haine des non-musulmans pendant leurs prières quotidiennes.

En cherchant à faire passer les musulmans pour un modèle de non-violence, les idiots utiles de l’islam dont certains ex-musulmans font preuve d’une imprudence coupable si ce n’est de complicité objective.

A se demander s’ils ne sont pas eux – mêmes la troisième branche de la trilogie islam, islamisme et faux-apostats.

Quand on a été soi- même un ex-musulman déclaré, on doit savoir mieux que quiconque que l’islam ne se décline pas à toutes les couleurs ni modulable en fonction des besoins de chacun spirituels et politiques .

L’islam n’est pas foi et l’islamisme est loi. Il est tout à la fois.

C’est pourquoi toute tentative de définition de l’islamisme en tant qu’utopie politique détournant l’islam de son champ cultuel et spirituel est une vue de l’esprit, une mauvaise foi manifeste, une ineptie sémantique et une tromperie sur la marchandise.

Mahomet était lui- même chef de guerre , chef religieux et chef d’Etat et quand on réclame de lui on ne peut faire le tri entre les trois sphères.

Tout musulman qui se prétend dans la voie de l’islam ne peut restreindre ses rapports avec à un seul champ. Il doit rester fidèle à son engagement mahométan dans son intégralité et appliquer scrupuleusement les préceptes coraniques.

L’islam n’est pas une simple croyance que l’on se borne à pratiquer dans un espace privé sans débordement sur le lieu public.

Il est de mode aujourd’hui de seriner que l’islam et l’islamisme sont deux entités indépendantes l’une de l’autre et que les musulmans sont blancs comme neige et les islamistes sont des méchants loups.

Il est certes vrai que tous les musulmans ne sont pas tous des islamistes mais seulement en apparence.

En effet, en vérité ils le sont tous, d’une part ils sont soumis aux mêmes dogmes et gouvernés par les mêmes lois avec les mêmes interdits et des buts communs, propager l’islam, le martyr sur le sentier d’Allah et le combat des non-musulmans et d’autre part tous les musulmans quels qu’ils soient feront toujours passer Allah et Mahomet au-dessus de leur conjecture terrestre.

Ils n’ont que faire de leur patrie ils doivent tous oeuvrer pour la construction de leur funeste oumma.

Le musulman inoffensif d’aujourd’hui est une bombe à retardement demain si les circonstances l’obligent.

Nourris tous à la même culture du mépris de sa propre vie et celle de l’autre.

Guidés par les mêmes principes destructeurs, il ne peut y avoir un musulman mu par la paix et un autre mu par la guerre.

Dès le lendemain de la mort du fondateur de cette idéologie totalitaire, expansionniste et ultra-violente les musulmans ont commencé ont toujours fait le choix de la passion mortifère pour régler leurs différends plutôt que celle de la raison.

Le schisme et les divisions sont consubstantiels à l’islam. Chiites, Sunnites modérés ou radicaux sont les enfants de l’islam. Islamistes et musulmans ne sont que des frères siamois reliés au même organe vital qui est l’islam.

Pour combattre l’islamisme il faut combattre l’islam. Et ceux des musulmans qui mènent la guerre à leurs frères en Syrie et en Irak ne manqueront pas un jour de retourner les armes contre les mécréants qui les soutiennent.

Si l’islam ne pose pas lui- même des frontières entre le sacré et le profane, il est absolument ubuesque d’établir un distinguo entre le musulman qui vit sa foi et l’islam qui l’affiche comme un trophée de guerre et qui s’active à l’imposer par la force de sa foi en la loi de l’islam.

Un musulman qui pense et réfléchit par lui-même est un apostat

Les masses musulmanes sont surtout sensibles à un discours anonant qui ne leur demande aucun effort de compréhension. Il suffit de leur dire qu’Allah à dit et Mahomet à fait et cela leur suffit amplement. Pour elles, le message est aussi clair comme l’eau de ZemZem. Il a été rapporté par l’imam de la mosquée du coin qui connait son Coran et sa Sunna sur le bout des doigts. Cet homme est une bénédiction d’Allah, un vrai savant de l’islam. Il partage avec eux un savoir que seul ceux qui sont touchés par la grâce d’Allah peuvent atteindre.

Tout autre message qui interpelle leur conscience sur leurs conditions humaines misérables n’a aucune chance de provoquer le moindre intérêt chez eux.  Elles ne peuvent ni comprendre ni admettre que l’on puisse leur parler autrement que leur imam qui est leur seule référence morale et intellectuelle et qui leur offre une vision manichéenne de la vie. Le bien c’est obéir aux préceptes coraniques et appliquer fidèlement la Sunna mahométane et le mal est de désobéir à la loi de l’islam qui est la vie de Satan qui les mènera tout droit en enfer.

Un musulman est un soumis par nature et l’équation est simple pour lui  islam = promesse d’un monde meilleur dans d’au-delà.  Lui proposer de s’inscrire dans un idéal de vie terrestre et que la misère n’a aucune fatalité divine et que ça ne dépend que de lui et de lui seul pour renverser la tendance c’est comme si on lui demandait de d’attaquer à une montagne munie d’un marteau comme le dit si bien un adage tunisien.

Conditionné mentalement et intellectuellement il ne peut avoir une lecture de sa propre histoire personnelle selon une toute autre grille de lecture qui n’est musulmane et apprise dans la mosquée.

Un musulman ne réfléchit pas et ne pense par lui-meme.

Il n’y a pas que l’islam derrière les attentats terroristes, il y a aussi la haine de la France

Il serait intéressant de faire l’inventaire des attentats terroristes perpétrés par les ressortissants nord-africains sur le sol français depuis l’attentat de la rue de Rennes.

Depuis janvier 2015 nous sommes au moins à 9 attaques  terroriste contre les forces militaires et de l’ordre en France, en plein état d’urgence faisant 3 morts parmi ces dernières et au 7 blessés parmi les premières.

Au-delà des motivations idéologico-religieuses qui guident les mains des auteurs de ces attentats, il y a certainement une autre motivation totalement occultée, comme si elle était un sujet tabou, qu’on a peur d’évoquer pour ne pas alimenter le fonds de commerce des nostalgiques du passé colonial nord-africain de la France et tout particulièrement de l’Algérie française et pourtant elle est comme un nez au milieu du visage, celle de la haine viscérale des terroristes envers la France.

À se demander si elle n’est pas leur motivation première. Héritée de la rancune de leurs parents pour cette France infidèle qui les a colonisés et quoi qu’elles aient fait pour eux, ils ne se considèrent pas lui être redevables de quoi que ce soit et qu’elle devrait tôt ou tard pyer le tribut de son insolence et l’offront qu’elle leur avait fait subir en les colonisant.

Avec les attentats terroristes, ils font d’une pierre deux coups venger l’honneur de leurs parents et rappeler à la France mécréante qu’elle  finira à force de coups de butoir répétés par tomber  dans l’escarcelle de l’islam.

Ils ne souffrent aucunement de troubles psychologiques, ils sont surtout conditionnés psychologiquement par leur rejet culturel, politique et dogmatique de la France.

On préfère mettre plutôt en avant la question de la radicalisation des jeunes, laissant croire ainsi qu’ils seraient victimes de dérives sectaires étrangères à l’islam voire d’excès d’endoctrinement religieux  fondés sur une mauvaise interprétation des préceptes coraniques, ce qui est en réalité une tentative malhonnête pour dédouaner l’islam.

Ces jeunes sont un vivier inépuisable pour les cerveaux des attentats terroristes en France.  Ils sont ces foyers de feu jamais éteints sur lesquels ils peuvent souffler pour rallumer la flamme de leur abomination de la France.

L’islam est un alibi pour donner du sens à leurs actions jusqu’au boutistes.

En condamnant ses enfants juifs à l’éxil, la Tunisie a perdu son âme

 

 

Les Tunisiens atteints d’amnésie collective oublient que la présence juive en Tunisie est antérieure d’au moins 1000 ans avant la colonisation dévastatrice arabo-musulmane. Nombreux sont les Tunisiens ignorants sont les Tunisiens totalement ignorants de leurs origines juives ou feignant de l’ignorer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_Juifs_en_Tunisie

La Tunisie a commencé à perdre  ses enfants juifs dès 1956, année de son indépendance, et le mouvement s’est accéléré en 1967 à cause d’une de la cause palestinienne,  instrumentalisée par les nationalistes arabes haineux et antisémites qui veulent faire d’un mythe une nation et une aubaine pour créer une identité commune à des peuples du Maroc à l’Irak que tout distingue et diffère et qui n’ont d’arabes que la langue arabe et encore avec des taux d’alphabétisations et d’illettrisme frisant des records himalayens, et attestant de l’incapacité d’une grande partie de ces peuples de s’imprégner d’une langue qui n’est pas la leur.

L’islam, l’arabisme et leur pendant palestinien ont véritablement précipité la Tunisie dans les tréfonds de l’histoire nourrissant l’hostilité maladive des musulmans tunisiens envers leurs concitoyens juifs.

Même si les Juifs n’ont pas baigné en eaux calmes en Tunisie depuis l’invasion des hilaliens au XI e siècle, mais il y avait une accalmie relative jusqu’à la guerre des 6 jours et le matraquage propagandiste de la Ligue Arabe qui promettait d’envoyer tous les Juifs à la mer, autrement dit leur extermination par noyade, les Tunisiens ont fini par s’enivrer du poison mortel de leurs préceptes coraniques hostiles aux Juifs qui ont beau se confondre avec l’histoire de ce pays dans toutes ses composantes mais le palestinien étranger à la Tunisie se trouve plus tunisien qu’eux au nom de l’Oumma islamique.

Ils étaient chez eux ou avaient toujours cru y être. Ils n’avaient plus le choix l’exil ou la mort. Et les Tunisiens oublient qu’en défendant le droit aux Palestiniens à une terre qui n’a jamais été déchoient les juifs de leurs droits de continuer à vivre dans une terre où ils s’étaient toujours comportés comme ses dignes enfants.

J’ai eu la chance d’avoir connu au cours de mon adolescence tunisienne  une société tunisoise où l’islam n’exerçait pas son diktat sur la vie des hommes, où le musulman ne se comportait pas en despote, arrogant, sectaire et nombriliste, où le juif était juif, où le maltais étais maltais, où l’athée était athée, où l’italien était italien, mais ils étaient avant tout enfants du même quartier, ouled al houmma, solidaires entre eux, membres d’une famille élargie, parlant le beldi tunisois, sans préjugés religieux , sociaux et ethniques. Tous heureux de partager ensemble les joies simples de la vie, un verre de thé à la menthe et au pignon, de s’enivrer de Celtia, de Koudia et de boukha et de taper les cartes, de fumer une chicha, d’écouter Habiba M’sika, Raoul Journot, Saliha, Ali Riahi ou Oum Kalsoum voire Edith Piaf. Ils avaient en commun cette ferveur religieuse de la vie.

Cette Tunisie de mon enfance, un petit coin du paradis celui où les hommes ne se jugent pas à travers les prismes de la religion et la politique, est enterrée et ne renaîtra plus jamais de ses cendres.

Cette Tunisie d’autrefois au parfum de la vie qui a fini de manger la chienlit jusqu’aux racines depuis le jour où elle s’est offerte corps et âme au wahhabisme mortifère et inhumain.

Avec mon ami David Belhassen nous ne sommes fait le vœu de pouvoir un jour promener dans ces chapelets de ruelles de Lafayette et de la Hafsia mémoires de cette Tunisie où nous étions tous d’abord tunisiens. Où ton frère n’était pas celui que t’impose ta religion.

Une Tunisie qui appartenait à tous ses enfants et non pas soumise à la dictature de l’islam. Où le vrai tunisien est devenu un paria et les musulmans wahhabisés sont devenus ses maîtres.

Pourquoi le vivre ensemble avec les musulmans est mission impossible

Les musulmans sont incapables de cohabiter entre eux. Ils ont beau afficher une unité de façade à la couleur de l’islam mais ils n’ont toujours pas dépassé leurs clivages claniques, villageois, tribaux, ethniques, régionaux et nationaux.

Si cela ne tenait qu’à eux,  chaque groupe national tout au moins aurait aimé avoir sa propre mosquée.  Et c’est déjà le cas avec les Turcs, les Algériens et les Marocains qui règnent en maîtres dans certaines mosquées en France et pas des moindres et qui sont des machines à cash d’une part et d’autre des officines politiques de caractère cultuel,  soumises directement à leurs autorités nationales à l’instar de la Grande Mosquée de Paris dont le recteur est un fonctionnaire de l’État algérien  avec le statut de diplomate et celle de Courcouronnes dans l’Essonne rattachée au Royaume chérifien du Maroc.

Il y a même eu des cas où dans certaines communes on a assisté et on assiste encore à des conflits exacerbés  entre les Marocains et les Algériens qui se disputent le contrôle de la mosquée locale.  Comme si la mosquée était un fonds de commerce juteux et la vitrine de leurs États d’origine.

Il serait intéressant que des communes rendent public les cas de dépôts de demande simultanés émanant d’associations aux couleurs des pays d’origine des résidents musulmans dans la commune pour le même projet de mosquée.

Chaque pays musulman cherche à travers ses ressortissants à se doter de sa propre mosquée.

Quant aux soi-disant autofinancements des mosquées par les fidèles musulmans eux-mêmes autant croire aux vertus curatives de l’urine de chameau. En effet, les collectes faites dans ce sens n’obéissent à aucune logique de rationalité comptable. Opérées de manière sauvage sur les marchés et chez les commerçants musulmans il est difficile de croire que les dons couvrent les frais de construction des mosquées voire si tout l’argent collecté sert à cet usage comme on a pu le voir dans certaines affaires où des imams ont détourné les deniers du culte à leurs profits personnels.

L’islam est loin d’être un facteur de rapprochement entre les musulmans.  Parler d’eux comme un bloc monolithique et homogène c’est faire fi des rivalités et des divisions qui les minent. Ils se disent frères entre eux mais la réalité des faits démontre tout le contraire. Les mêmes qui se battent à mort pour l’islam sont capables de se tuer entre eux pour une banale affaire de scooter comme à Gafsa, au centre de la Tunisie,  où deux clans s’étaient livrés à une véritable bataille d’une violence inouïe pour un mort et des dizaines de blessés.

L’image de l’islam cimentent l’unité de ses fidèles est un leurre.   Paradoxalement il sert plutôt de catalyseur  de tensions entre eux. Un Algérien et un Marocains ont beau être le produit de la même histoire unis par la fraternité islamique mais en cas de guerre demain entre leurs pays respectifs ils seront les pires ennemis entre eux.

Pour envisager le vivre ensemble avec les musulmans il faudrait éduquer les musulmans à la culture de la citoyenneté et aux valeurs de la République. Or, avec leur mode de pensée rétrograde et archaïque où l’islam n’est qu’un alibi pour leur donner une illusion d’unité, on ne peut attendre des miracles de leur part.

Ils ne peuvent exister que dans les rejets mutuels entre eux et le rejet des non-musulmans qui sont pour eux des porcs, des singes, des vaches, des ânes, des chèvres et bien pire encore les pires bêtes sauvages aux yeux de leur divinité satanique.

La  » fraternité républicaine » n’a de sens que si elle est réciproque et un sentiment partagé sinon on tombe dans le fayotage et le lèche-babouches.

La main tendue d’aujourd’hui qu’il fait semblant de serrer sera celle qu’il coupera demain.

Un vrai musulman ne doit jamais de surcroît saluer un non-musulman en premier, il doit juste répondre à son salut et si jamais il lui serre la main, il doit jeter l’anathème sur Satan et se laver les mains après.

Les musulmans se veulent des êtres purs et ne peuvent se résoudre à fraterniser avec des êtres qui portent en eux toutes les impuretés dont ils doivent s’en prémunir.

Nous sommes pour eux ce que les Intouchables sont aux Brahmanes.
Ils passent leur vie à maudire les impies que nous sommes et n’ont que haine et mépris pour nous.

De quelle fraternité parle-t-on est-ce que de celle du sang de nos victimes ou celle de leur indifférence et de leur absence de compassion ?

Ne soyons pas dupes de leurs grands airs de sainte ni touche. Ils proclament la paix et aiguisent sous leurs kamiss leurs coûteux de bouchers.

Le racisme affabulé de ces « chances » pour la France

J’étais temoin l’autre jour d’une altercation entre une jeune conductrice et une gardienne d’une résidence privée qui pourrait avoir l’âge de sa grand-mère, qui voulait garer sa voiture de force après avoir enlevé la chaîne sur le parking de ladite résidence.

Devant le refus de la gardienne qui a lui beau lui expliquer que le parking n’est pas public et qu’il est exclusivement réservé aux résidents,  la conductrice  ne voulait rien entendre ni savoir comme si elle était dans son bon droit lui avait sorti l’argument imparable, du style ce n’est pas ça l’islam, si je n’étais pas arabe vous ne m’auriez rien dit.

Quand on ne veut pas assumer ses torts on sort de sa manche la carte favorite de victimisation. De contrevenant on se fait passer pour la victime. On culpabilise l’autre pour se déculpabiliser soi-même. Comme on dit en Tunisie, il m’a porté des coups et s’est empressé de porter plainte.  L’employée qui faisait normalement son travail dans le pur respect des règlements de la copropriété se trouve accusée de racisme de faciès.

Devenue coupable pour avoir enfreint la liberté de la conductrice de faire ce qu’elle veut et de pouvoir se comporter en pays conquis.

Il m’était évidemment impossible dans ce contexte kafkaïen de garder le silence et j’ai  dû évidemment intervenir pour lui dire et quand bien même elle l’est alors que ce n’est pas marqué sur son front. Etre arabe ne lui confère aucun passe-droit, ni un traitement de faveur du fait de ses origines.

Elle semble ignorer qu’il y a des lois et des règlements auxquels tous les habitants de ce pays sont tenus quelles que soient leurs apparences physiques. Nul pour se prévaloir de ses origines dans un Etat de droit pour passer entre les mailles du filet.

Toujours la même rengaine. Ce n’est jamais leur faute c’est la faute de l’autre. Cet autre qui se serait montré moins sévère et rigoureux avec ceux qui n’ont pas leur faciès. Une accusation de délit de favoritisme à raison des origines.

Dés que l’on reproche à un africain ou un nord-africain sa mauvaise conduite ou ses excès de langage comme cette communicante de l’Elysée auteure d’un SMS désinvolte sur le décès de Simone Veil, c’est forcément mû par des arrière-pensées racistes aux yeux des  défenseurs de l’antiracisme. Ils crient aussitôt au loup. Au lieu de s’en tenir aux faits, ils cherchent à créer un écran de fumée en faisant croire que ses détracteurs ne l’ont pas attaquée par rapport au contenu de son SMS mais à cause de la couleur de sa peau. Il ne faut rien dire à ces « chances pour la France » pour ne pas froisser leur seigneurie et nous avons le devoir de leur tenir le crachoir.

L’imposture musulmane

Si les musulmans ont tout donné, tout apporté, à l’origine de tout, même monde invisible,  pourquoi ont-ils raté tous les rendez-vous des progrès humains ?

Leur nom n’est associé à aucune invention technique, mécanique, industrielle, technologique, nano technologique, scientifique, spatiale….

Aucun médicament ne porte leur signature sauf la pisse de chameau.

Ils n’ont découvert ni l’imprimerie, ni la roue, ni la poudre, ni le train à vapeur.

Ils n’ont pas été capables de découvrir les richesses énergétiques de leurs sous-sols, de les exploiter par eux-mêmes, de   raffiner leur pétrole et d’en créer les produits délivrés.

Le monde peut parfaitement se passer d’eux mais eux peuvent-ils se passer des découvertes du monde non-musulman qui sans elles, ils seraient encore dans la protohistoire ?

Qu’ont-ils réellement apporté de concret à l’humanité, si ce n’est leurs allégations mensongères et leurs mythomaniaques ?

Que connaissent-ils de la Grèce, la Chine, Rome, Byzance, Carthage, Babylone, des Assyriens, l’Inde, des Mayas, des Incas, et d:autres civilisations qui ont marqué l’humanité de leurs empreintes pour pouvoir affirmer avec la certitude d’un fou qu’il est une réincarnation de Jésus qu’ils ont sorti l’humanité du monde des ténèbres, mais de quelle humanité parlent-ils puisque le Coran est ignorant de la géographie humaine.

Ils sont eux-mêmes l’exemple vivant que l’islam est incompatible avec le progrès humain.

L’innovation, al-bida’a, n’est-elle pas un sacrilège dans l’islam ?

Seul Allah crée, or, il n’a jamais rien créé sauf de figer ses adeptes dans les dogmes de l’ignorance, l’inculture, le charlatanisme, le mensonge sacré, la vantardise et l’obscurantisme érigé en sciences du monde du vivant.

Des pays qui préfèrent  les mosquées aux laboratoires de recherche ne sont pas des locomotives de l’humanité, ils sont des entravés à sa bonne marche.

On juge des avancées de l’islam à travers son miroir musulman.

La richesse de l’humanité est un panier où chaque peuple y  apporte sa contribution. Or, l’islam n’a pas engendré de peuple et à ces titre  les musulmans ne peuvent prétendre à ce qualificatif.  Quant aux pays de l’OCI, ils  n’ont rien apporté de notable à l’humanité depuis le jour où ils on été contaminés par le virus létal de l’islam.

Au purgatoire de FB pour avoir traité les musulmans de mécréants

Le Tribunal inquisitorial chariatque de Facebook vient de prononcer ce matin de manière arbitrale, inique et sans appel, une peine de purgatoire de 30 jours à mon encontre.

Selon les motivations de son jugement dignes des tribunaux afghans, turcs ou saoudiens, j’aurais contrevenu aux standards communautaires. Un règle fourre-tout et abscons pour justifier la décapitation de la liberté de pensée et d’expression.

En quoi ai-je atteint aux normes de bonne conduite et des principes de bienséance en employant l’adjectif mécréant emprunté à la lexicographie musulmane ? A moins qu’il ne s’agisse d’un délit d’un blasphème pour avoir outragé les musulmans dans leur convictions religieuses ?

Ils n’ont que le mot koffar, incroyants, dans leurs bouches pour désigner les non-musulmans. Comme s’ils étaient des humains à part. Des êtres porteurs d’impuretés susceptibles de les contaminer.  Le mécréant est leur intouchable hibdou frappé d’une malédiction divine.

Tout donne à croire qu’ils sont les seuls à être en droit de jeter l’anathème sur les non-musulmans et de les traiter de mécréants.  Quiconque ose leur rendre la monnaie de leur pièce est aussitôt cloué au pilori pour avoir commis un crime de lèse-majesté à leur égard.

Quel aurait été le verdict de cet ignoble Tribunal si j’avais qualifié les cancres de la classe humaine de tous les noms d’oiseaux dont sont abreuvés les Juifs et les Chrétiens dans le Coran ?

Mis en quarantaine par FB pour avoir traité les musulmans de mécréants

Réduit au silence par la justice chariatique de FB pendant 30 jours pour avoir gratifié de mécréants d’essence et par convictions  les dignes représentants de la plus arrogante et méprisante communauté que la terre ait eu le malheur d’abriter en son sein. 

Je n’ai pas cherché à les offenser car ils se chargent eux-mêmes tous les jours en donnant au monde toutes les raisons pour les exécrér, j’ai voulu juste mesurer l’impact psychologique de cette étiquette infâme qu’ils accolent aux non-musulmans.

Le renvoi du boomerang à son expéditeur a produit apparemment les effets escomptés et a mis en émoi la police de la Charia qui sévit sur FB avec la complicité des modérateurs issus des rangs de cette communauté qui cultive la tolérance comme les nazis cultivaient leur amour du Juifs et des Tzigans.

Il n’y a pas pire mécréants et infidèles que ceux qui veulent imposer la dictature de leurs dogmes scélérats et criminels à l’humanité tout entière et qui veulent décapiter la liberté de pensée et d’expression au nom de leur essentialisme pseudo-divin.

Ils doivent se rendre compte pour une fois que leurs injures ne sont que le reflet de ce qu’ils sont eux-mêmes.  On traite l’autre à l’image de ce qu’on a de soi.

Dans une culture où l’on naît avec des troubles psycho-affectifs et nourris du berceau jusqu’à la mort de la haine de soi, on ne peut éprouver envers les autres d’autres sentiments que ceux qu’on a pour soi.

Quel idéal de vie peut-on développer dans un environnement où l’on baigne dans le culte de la mort de la vie où l’on fait de l’anéantissement de son être et en entraînant des innocents dans son suicide un but pour toucher son graal paradisiaque  ?

Tout parallèle avec les adeptes du Temple solaire serait une insulte à la mémoire de ces malheureux qui n’ont pas forcément choisi de mourir de leur plein gré, contrairement aux cavaliers noirs de la pire secte apocalyptique qui puisse exister qui font de leurs corps une arme de la mort et de destruction massive.  Le combat contre lew mécréants leur est prescrit et ils doivent purifier la terre de leur présence par tous les moyens.

Les traiter de mécréants dans le sens de leur aversion dogmatique et théologique des valeurs de la vie n’est pas un délit.

Ce qui est condamnable et répréhensible est l’enseignement doctrinaire de leur idéologie mortifère, un poison mortel pour l’humanité.

Les musulmans, maîtres de la marche dans le sens contraire des aiguilles d’une montre

Ils ont la plus belle religion puisqu’ils le disent,
Ils ont le plus grand brûlot de haine qui puisse exister,
Ils ont le plus grand saigneur de l’humanité,
Ils sont la plus remarquable communauté de délirants mégalomanes,
Ils ont le plus gros vivier de terroristes au monde,
Ils sont les seuls au monde à s’embraser pour des banales caricatures,
Ils ont les plus loufoques « savants »au monde,
Ils sont les maîtres du temps dans le sens contraire des aiguilles d’une montre,
Ils ont tout inventé, le silex, le feu,  la boussole, la roue, la poudre, l’imprimerie, l’écriture, l’alphabet. l’islam était né avant le Big Bang,
ils ont la paternité de toutes les civilisations, égyptienne, grecque, romaine, chinoise, byzantine, carthaginoise, perse, babylonienne , assyrienne, sumérienne,
ils sont les concepteurs, les architectes et les horlogers du monde connu et inconnu et les premiers à avoir envoyé un homme dans l’espace à bord d’un vaisseau spatial sous forme d’un cheval ailé. Lire la suite Les musulmans, maîtres de la marche dans le sens contraire des aiguilles d’une montre