Sommes-nous entrain d’assister aujourd’hui au grand réveil Amazigh ?

Je suis très heureux de constater que de nombreux amis sont jaloux de leur origine Amazigh. Je ne veux pas être un rabat-joie mais je regrette que lorsque nos amis et frères kabyles et rifis revendiquaient leur identité Amazigh, il n’y avait pas grand monde pour les soutenir bien au contraire on les traitait d’illuminés, de renégats, de vendus, de collabos, les couvrant d’infâmie. Persécutés, opprimés, rejetés, haïs, car il font honte à leur peuple arabo-musulman. Leurs détracteurs incultes, analphabètes et serviles souffrant du complexe de l’esclave pour son maître ne savaient pas-toujours pas-qu’en les insultant ils s’insultaient -et s’insultent- eux-mêmes.
Je préfère laisser le soin à mes vrais frères Amazighs de nous témoigner du climat d’hostilités et de racisme primaire dan s lequel ils ont vécu. Il ne s’agit pas de jeter l’opprobre sur les néo-Amazighs et leur faire un procès d’intention qui sert les desseins des vrais ennemis de notre peuple. Aujourd’hui nous avons tous besoin les uns des autres.
Il faut que tout le monde se mobilise et s’unisse pour faire front à l’impérialisme arabo-musulman et faire renaître Tamazgha de ses cendres. J’avais demandé il y a 3 ans à ce que l’on édifie une stèle à la mémoire des victimes Amazighs du génocide arabe et de faire reconnaître ce génocide comme un crime contre l’humanité.
Il est impérieux de faire une architecture anthropologique de Tamazgha de revenir à notre histoire, de la récrire et d’exercer ainsi notre droit d’inventaire pour dresser le bilan désatreux de la domination arabe qui nous a amputés de nos racines et rendus ignorants de ce que nous sommes.
Comment savoir où nos allons si nous savons pas d’où nous venons ? Comment peut-on se projeter dans l’avenir avec un passé occulté, ignoré, enfoui dans les cendres de nos morts ? Un passé falsifié, manipulé, qui se confond avec celui de nos occupants. Plutôt que de revendiquer nos ancâtres Amazighs on revendique nos ancêtres arabes. En quoi Mahomet est notre aïeul et pourquoi notre vrai aïeul Saint-Augustin ne l’est pas ? Comment peut-on à ce point être dans la négation de soi et de s’affirmer ce que l’on est pas ? Dihya est notre mère à tous et certainement pas Aïcha. Un peuple qui n’a aucune conscience de soi ne peut se doter des fondements nécessaires à l’édification d’une société solide, cohérente e pacifiée. Pris dans le tourbillon de son âme tourmentée, il ne peut que choisir la voie de la violence et reproduire les schémas de la culture barbare de des maîtres croyant pouvoir leur apporter un gage de sa loyauté et sa fidèlité. Quand on se renie soi-même on n’est ni fidèle ni loyal.

Les Américains et leur utopie de démocratisation des pays musulmans

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Personnellement, je n’ai jamais été un adepte ni de la théorie du complot ni du bouc-émissaire qui sont un pur fantasme et une vue de l’esprit. Mais comment ne pas admettre la réalité des faits et nier les dessous l’interventionnisme malveillant et obscur des Américains dans des pays comme l’Irak, la Syrie et la Libye ? Pays qui jouissaient d’une certaine stabilité sécuritaire ne serait-ce toute relative se trouvent plongés dans un état de chaos indescriptible suite aux renversements et tentatives de renversements de Sadam, Bachar et Kadhafi par les américains alléguant d’accusations hautement fantaisistes et mensongères pour justifier leurs interventions sous mandat des Nations Unies.
Abderrahman Ibn Kkaldoun écrivait dans Al-Moqaddima, les Prolégomène(1377),(trad. William MacGuckin Slane), éd. Imprimerie impériale, 1863, t. 1, p. 310, :

« Tout pays conquis par les Arabes est bientôt ruiné. […]  Sous leur domination la ruine envahit tout. […]; l’ordre établi se dérange et la civilisation recule. Ajoutons que les Arabes négligent tous les soins du gouvernement; ils ne cherchent pas à empêcher les crimes; ils ne veillent pas à la sûreté publique; leur unique souci c’est de tirer de leurs sujets de l’argent, soit par la violence, soit par des avanies. Pourvu qu’ils parviennent à ce but, nul autre souci ne les occupe. Régulariser l’administration de l’Etat, pourvoir au bien-être du peuple…, et contenir les malfaiteurs sont des occupations auxquelles ils ne pensent même pas […]; aussi les sujets … restent à peu près sans gouvernement, et un tel état de choses détruit également la population d’un pays et sa prospérité.

Au vu de l’état de chaos indescriptible dans lequel ces pays précités livrés en pâtures par les Américains aux meutes de loups terroristes et aventuristes il y a tout lieu de croire que ces derniers sont les dignes héritiers des Arabes. Par où ils passent, comme en témoignent d’autres pays comme le Vietnam, le Laos, le Cambodge ainsi que certains pays sud et latino-américains, ils n’ont laissé  derrière eux que des rivières de sang, une terre impropre à la culture, des régimes mafieux et despotiques, et nuages de cendres et des panaches de fumée.

Ceci étant on ne ne doit pas non plus occulter le phénomène de l’ultra-violence inhérent à l’islam et le back-ground culturel et religieux des pays en question qui vouent un véritable culte à la mort sanctifiée au nom de l’islam dont les américains n’ont pas tenu compte dans leur calcul stratégique. Ils ont mis la charrue devant les boeufs, croyant qu’en changeant l’attelage, ils pouvaient redonner une nouvelle vie à la charrue.

Ils ne se rendaient pas compte que l’eau de source à laquelle s’abreuvent depuis 1436 ans est complètement polluée, contenant des milliards de bactéries néfastes à la santé humaine et hautement toxiques pour la santé mentale de la population de nature hallucinogène. Autant purifier les eaux des océans que de chercher à décontaminer le plan d’eau où les musulmans et leurs animaux viennent s’abreuver à condition qu’elle ne soit pas stagnante, appelé aussi charia, la source de vie. Ils doivent la préserver en l’état sans se préoccuper de l’altération de ses propriétés biologiques.

L’homme n’a pas à assainir l’eau qu’Allah lui-même a irriguée. Elle doit rester dans son état originel. Toute tentative tendant à la tamiser, la dessabler et dégraisser est forcément un sacrilège punissable des pires châtiments. Nul besoin de stations de purifications qui sont de surcroît une invention mécréante.

Cette source jugée comme un don divin pour les hommes ne doit pas faire ainsi l’objet de manipulation humaine. C’est ainsi que les musulmans ne doivent modifier la trajectoire tracée par Allah censée les mener vers cette source de leur vie;

Dans ce contexte, où la main de l’homme ne doit pas servir à un autre usage que celui qu’Allah lui recommande, ni non plus que l’homme doit exprimer sa volonté propre dont il est de surcroît dépourvue, tout processus de changement quel qu’il soit est peine perdue, une hérésie, un péché mortel. Allah a doté les musulmans de tout ce qu’il y a de meilleur.

L’islam est le seul à se voir le plus beau, s’auto-gratifiant et s’auto-encensant comme s’il doutait de ses capacités et de la fragilité théologique de son message. Pour lui, aucun mode d’organisation politique, sociétale, économique par exemple  ne vaut celui qu’Allah a décidé pour .ses hommes:

« Juge alors parmi eux d’après ce qu’Allah (Dieu) a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, et prends garde qu’ils ne tentent de t’éloigner d’une partie de ce qu’Allah (Dieu) t’a révélé. Et puis, s’ils refusent (le jugement révélé) sache qu’Allah (Dieu) veut les affliger [ici-bas] pour une partie de leurs péchés. Beaucoup de gens, certes, sont des pervers. »

— sourate 5, verset 49

« Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus : « établissez la religion ; et n’en faites pas un sujet de division ». Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. »

— sourate 42, verset 13

« Puis Nous t’avons mis sur la voie de l’Ordre [une religion claire et parfaite]. Suis-la donc et ne suis pas les passions de ceux qui ne savent pas. »

— sourate 45, verset 18
Faire pousser l’arbre démocratique dans un environnement aussi hostile, méprisant, hautain, suffisant et ethno-centriste est mission impossible, Un musulman ne doit suivre qu’une seule voie et obéir à une seule loi, l’islam :

Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’Islam. Ceux auxquels le Livre a été apporté ne se sont disputés, par agressivité entre eux, qu’après avoir reçu la science . Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah… alors Allah est prompt à demander compte!Il

-sourate 3, verset, 19.

Démocratiser les sociétés musulmanes, revient à leur faire abjurer leur foi en l’islam. pour ce faire, il faudrait éradiquer le mal qui les gangrène et s’attaquer aux freins culturels qui inhibent les changements sociaux et paralysent le développement humain, les Américains à tort ou à raison et au prix de dépenses colossales et de pertes en vies humaines considérables ont mené une politique suicidaire aussi bien pour eux que pour des peuples pour qui les mots démocratie, liberté, justice, égalité, équité, dignité, fraternité humaine, sont un mirage dans le désert aride arabique.
Ce n’est pas non plus changeant d’approche stratégique en mettant à contribution les monarchies pétrolières rétrogrades et obscurantistes sur le plan financier et idéologique mus par des desseins califiens qu’ils avaient réussi pour autant dans leurs entreprises de démocratisation de la Tunisie ou l’Egypte par exemple.

Les Américains ont l’art de cultiver le paradoxe soit par naïveté soit par sournoiserie. Comment la première démocratie au monde pouvait-elle s’appuyer sur des théocraties totalitaires pour en faire des alliés de premier ordre pour construire une aire démocratique du Machrek au Maghreb ?
« Tant que cette région en l’occurrence les pays dits arabes] sera en proie à la tyrannie, au désespoir et à la colère, elle engendrera des hommes et des mouvements qui menacent la sécurité des Américains et de leur alliés. Nous soutenons les progrès démocratiques pour une raison purement pratique : les démocraties ne soutiennent pas les terroristes et ne menacent pas le monde avec des armes de destruction massive. » Discours de George W. Bush au Congrès, le 4 février 2004.

Des paroles qui en disent long sur la volonté des américains de neutraliser le terrorisme en utilisant la démocratie comme soupape de sécurité. En 2009 Hussein Obama en qui Noam Chomsky ne voit aucunement un président de rupture avec son prédécesseur de la Maison Blanche.

Tout en abandonnant l’option militaire pour imposer la culture de la démocratie par la force des armes, n’a rien changé en profondeur quand à la doctrine américaine pour les pays arabsés : la démocratie comme alternative au despotisme source d’insécurité et de terrorisme. Mais on ne fait pas des agents du djihad musulman le fer de lance du projet démocratique pour les pays arabisés et encore moins calmer leurs ardeurs velléitaires en les drapant dans les habits de la démocratie à l’exemple d’Ennahdha en Tunisie et des Frères Musulmans en Egypte.

Le vrai musulman n’aura de cesse tant qu’il n’aura pas détruit l’humanité

Chez les islamistes, il n’y a de morale que dans le mensonge et la transgression
Selon la charia, cette loi inhumaine et scélérate qui est la voie, tarik, que tout musulman doit suivre s’il veut gagner les faveurs d’Allah, l’homme n’a pas le droit de légiférer et il n’existe qu’une seule loi : la prétendue sainte loi révélée par Allah. Comme si Allah pouvait avoir la capacité de dicter ses prescrits .

Jamais un fondamentaliste musulman en l’occurrence une islamiste ne fera allégeance à toute autre loi si elle n’est pas censée être l’oeuvre d’Allah.

Comme les promesses n engagent que celui qui les écoute, les islamistes n’auront aucun scrupule ou mauvaise conscience à renier leurs engagements citoyens et démocratiques par nécessité dogmatique.

ll est utopique et irresponsable de croire qu’un islamiste va se muer demain en fervent démocrate par un coup de baguette magique alors que seuls les prescrits de sa religion ont force de loi. Lui qui est obsédé par la mise en oeuvre de la feuille de route qu’Allah a fixée aux musulmans, il ne va pas y déroger sous peine de commettre une hérésie.
Comment peut-on croire un seul instant qu’un islamiste se croyant investi d’une mission divine de propagation de la parole sacrée par tous les moyens afin d’instaurer l’ordre voulu par lui puisse dévier de sa ligne de conduite politique pour adhérer ou veiller au respect des lois républicaines sans que cela ne heurte ses propres convictions religieuses ?

Comment peut-on être naïf au point d’imaginer un islamiste qui prêche dans les mosquées un islam pur et dur,  englobant tous les aspects de la vie sociale, religieuse et politique va oeuvrer pour la séparation de la religion de l’Etat ?
Adhérer aux valeurs de la démocratie consiste tout simplement pour un islamiste à aller l’ encontre de la volonté d’Allah, seul maître absolu des lois qui contrôlent dans les moindres détails la vie des fidèles.
Autant demander à un islamiste de se convertir à une autre religion, ce qui est un péché mortel dans l’islam, que de le voir demain se draper dans les habits de la République qui est incompatible avec la pensée musulmane fondamentaliste qui récuse toute idée qu’ils puissent exister des sphères d activités ou des aspects de l’existence humaine échappant à l’emprise de la religion ou de la loi divine.
Tant que l’islam continue à vouloir englober le politique et le religieux, l’islamiste ne fera qu’ appliquer fidèlement les prescrits de sa religion.
L’islamiste qui est avant tout un combattant fidèle à sa foi et un prosélyte invétéré et velléitaire maniant l’épéeà l’époque du prophète et la bommbe aujourd’hui, ne dit-on pas que le paradis est à l’ombre de l’épée ?
Par conséquent toute stratégie basée sur la supercherie, l’entourloupe, le mensonge, le dol, destinée à abuser ou vaincre la crédulité des gens est rendue licite tant qu elle s’inscrit dans le cadre du djihad.

Ce qui est réprouvée par la morale humaine ne l’est pas nécessairement par Dieu tant qu elle porte le sceau d’Allah dans la mesure où tous les actes prétendument accomplis pour le bien de ses desseins hégémoniques sur le monde ne peuvent pas etre considérés comme illicites.

La fin justifie les moyens. Il est permis au musulman de renier sa parole quand il est sur le sentier de guerre, fi sabilallah.  Tous les coups foireux sont autorisés pour duper et esbroufer les infidèles. Le triomphe de l’islam est au prix de la transgression et la tromperie des non-musulmans. Le vrai musulman n’a pas à avoir de scrupules et adopter une conduite morale pour atteindre les objectifs qui lui sont assignés par sa religion : installer l’islam sur le toit du monde.
La fin justifie les moyens. Peu importe les méthodes employées tant qu’Allah pourra s’enivrer du sang humain et apaiser son appétit instiable de chair humaine.

Le vrai musulman est un être sanguinaire, au fantisme chevillé au corps, dépourvu de volonté propre, incapable de discernement, immonde, cruel, tartuffe, fourbe et perfide. Une créature effrayante, qui ferait peur aux serpents des marais,  répugnante qui glapit, hurle, vocifère et s’agite dans la marre de l’hypocrisie, l’infamie et l’ignominie.

L’islamiste est le vrai musulman par définition est  comme un helminthe, ces vers parasites qui se propagent dans l’organisme humain en l’occurrence le corps social musulman.

Aucune thérapie démocratique ne saurait enrayer ou juguler l’épidémie infectieuse qui affecte aujourd hui les populations musulmanes. Elle attaque directement les neurones et la rend insensible et allergique à tout traitement médicamenteux qui n a pas de caractère divin.

 

Appendice sur le mensonge
Umm Kulthûm a entendu l’Envoyé de Dieu affirmer : « N’est pas menteur celui qui s’efforce de réconcilier les gens en propageant le bien. » (Bukhârî/Muslim) Muslim ajoute dans une autre version : « Umm Kulthûm rajouta : « Je n’ai jamais entendu le Prophète tolérer le mensonge sauf dans trois cas : en temps de guerre, pour réconcilier les gens entre eux, ou dans une conversation de couple. » « Dernière édition: Juillet 17, 2009, 05:19:23 par Zahiya » Journalisée

Qu’attend Hussein Obama pour s’attaquer aux bailleurs de fonds de l’Etat islamique ?

Qui finance l’Etat islamique du Levant ? Quels sont ses véritables bailleurs de fonds ? A qui profite le crime ? Quels sont les vrai chef marionnettiste des pantins djihadistes qui se comportent comme une véritable armée pire que les armées de Gensis Khan et d’Attila réunies, atteignant les sommets de la barbarie humaine ?
Ils sont comme des meutes de loups lâchées dans l’arêne du Levant par leurs maîtres turco-wahhabites invsties d’une mission de purifications religieuses ethniques, les yazidis et les kurdes ces ennemis jurés d’Erdogan,
En toute évidence, l’Etat islamique ne compte pas s’arrêter aux portes du Levant. Il est entrain d’essaimer un peu partout dans le monde musulman et tout particulièrement au Nord du Nigéria porté par Boko Hram, en Libye voire en Tunisie et l’Algérie sous la houlette d’Ansar Acharia, le bars armé d’Ennahdha.
Nul doute que leurs donneurs d’ordres et argentiers soient ceux-là mêmes qui ont été sur les devants de la scène des révolutions du printemps arabe, nom de code donné par le Département d’Etat américain à l’opération de recyclage de la mouvance djihado-terroristes en force de pouvoir dans les pays du Croissant arabisé sous couvert de transition démocratique, qui est en ralité un passage de l’état de stabilité politique à l’état de chaos permanent.
Il est grad temps que les E.U. cessent leur double langage et prennent leur responsabilité historique, car l’humanité court réellement à sa perte dont ils ont été le facteur déclenchant, ils devaient savoir qu’en élimnant Sadam ils ont ouvert la boîte de Pandore qui risque de se transformer en une véritable bombe atomique planétaire aux dégats incommensurables qui ne peut être intercéptée par aucun radar ni désamorçable, Ses composants sont de nature humaine. Autrement dit des millions d’êtres humains qui explosent simultanément dans les principaux centres névralgiques du monde entrainant dans leur sillage des centaines de millions de victimes. Paris, Londres, Moscou, Pékin, New York, etc…
L’Etat islamique est une Apocalypse mondiale qui profitera aux principaux protégés des maméricains que sont la Turquie, Qatar et l’Arabie Saoudite, les maîtres d’oeuvre du terrorisme musulman.
Quant aux accusations fantaisites sur la collusion entre les forces djihado-terroristes et Israël, c’est comme si Hamas était le bras armé de l’Etat hébreu.
Les djihadistes ne sont pas recrutés dans les synagogues, les égilises ou les temles bouddhistes, ils sont bien le fruit empoisnné de l’endoctrinement religieux dans les mosquées. Mais ce n’est pas les musulmans hypocrites qui vont mettre sur le banc des accusés ces hauts lieux du djihad que sont les mosquées depuis 1435 ans. Même Averroes qui était loin d’être un fantique patenté avait appelé en son temps au djihad arme contre les infidèles et avait exorté les musulmans de Grenade d’abandonner tous leurs biens pour défendre la cause de l’islam. Il n’y ni djihad personnel, ni djihad pacifique, il y en a qu’un, le prosélyte, celui qui consiste à imposer l’islam au fil de l’épée.

Si les noirs musulmans et les Amazighs connaissaient leur vraie histoire seraient-ils encore musulmans ?

Selon l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye, les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption © DR

Comment les noirs africains et les Amazighens peuvent-ils être si fiers d’afficher leur appartenance à l’islam et qui se veulent de surcroît plus arabes que les arabes eux-mêmes, comme un esclave s’identifiant à son maître tout heureux de porter les chaînes de leur état d’asservissement éternel ?

Ces êtres formatés, lobotomisés, dépouillés de leur âme, endoctrinés et en proie à l’obscurantisme se rendent pas compte qu’en procédant de la sorte  ils absolvent de leurs crimes les négriers et génocidaires arabo-musulmans pour lesquels ils ne leur ont jamais demandé pardon et dont eux mêmes portent encore les séquelles et qui sont la cause première des maux qui les gangrènent et les tourmentent et qui sont autant de freins à leur développement humain et économique.

Les noirs ne savent pas que l’islam avait érigé l’esclavagisme en une monstrueuse institution mercantile pendant 14 siècles qui serait toujours en vigueur dans certains pays musulmans ni le Coran qui autorise  explicitement la traite négrière et la prise d’esclaves comme butin ou rétribution.

Ce noir tant méprisé et discriminé par les arabes du Golf persique et d’Arabie qu’ils appellent Abid, esclaves. Même le grand Ibn Khaldoun y était aussi de sa tirade anti-noire. L’éminent historien médiéval et philosophe social musulman, écrivait : « Les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage, parce qu’ils sont des attributs tout à fait voisins à ceux d’animaux stupides. »

Des dizaines de millions de leurs aïeux vendus comme un vulgaire bétail, castrés, massacrés, humiliés, les traitant comme des animaux sauvages, troqués en Inde comme contre les épices.

Une vérité occultée sur laquelle l’islam a mis une véritable chape de plomb au point qu’il a réussi miraculeusement à apparaître comme le grand ami des noirs contrairement au christianisme auquel l’islam a fait porter le chapeau de la traite négrière.

(https://www.youtube.com/watch?v=CWhWQwJI8QE)

Et comme le rappelle Sami Aldeeb en rapportant les propos éclairants de vérité de Tidiane N’DIAYE (musulman) dans son livre « Le Génocide voilé ».

Les Arabes ont réussi de façon stupéfiante à tromper, désinformer, déformer et fausser à la fois la réalité et l’histoire sur une période de près de 14 siècles.

Ce qu’il y a de plus particulièrement tragique, c’est que la plupart des descendants d’esclaves, les Noirs des Amériques dans le monde, et les Noirs d’Afrique descendants d’esclaves, ignorent tout de la vérité.

Avant que la concentration de nos auditeurs ne s’émousse, nous voudrons porter l’affirmation suivante et l’étayer ensuite:

La pire, la plus inhumaine, la plus diabolique institution de la traite négrière fut initiée, définie, perpétrée et mise en œuvre par les arabo-musulmans, aidés par la suite par les noirs convertis à l’Islam.

‘Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement refermée. La traite négrière a commencé lorsque l’émir et général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un ‘Bakht‘ (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait s’arrêter officiellement au début du XXe siècle. »

A croire que l’islam a l’art d’effacer de la mémoire humaine les traces de ses crimes. Peu de berbères ou Amazighens sont au fait de l’histoire douloureuse du génocide et de la déportation de leurs peuples durant les 4 premiers siècles de l’invasion arabo-musulmane.du massacre massif de leurs aïeux et de leur déportation dont le chiffre varie entre 300 000 à l 500 000  parmi des enfants en bas âge.

Napoléon disait que l’histoire est une succession de mensonges. Au lieu de démystifier l’islam et ses effets néfastes et dévastateurs sur leur culture millénaire, les Amazighens musulmans préfèrent l’affubler du masque de la paix et de la dignité humaine.

Ce n’est pas leur offense en disant q’un juif ne proclame jamais de son bourreau nazi. Le juif n’a pas entretenu une relation pathologique de maître à l’esclave.  Le juif est un homme de devoir de mémoire, un homme conscient que la perte de son genre culturel  signifie sa propre auto-destruction. Etant instruit de son histoire contrairement à l’africain et l’Amazigh qui sont des êtres sans âme, amnésiques, car incultes et analphabètes, il a pu préserver courageusement son identité contre vents et marées et traverser les houles millénaires des persécutions qui jalonnent sa longue histoire.

En ignorant  leur vraie histoire jugée comme un sacrilège par leurs colonisateurs arabo-musulmans, ils bafouent la mémoire de leurs ancêtres. Ils se voilent la face de peur que le monde ne découvre qu’ils sont le vrai visage de l’infamie. Des êtres dépourvus de dignité humaine et de personnalité. Une identité altérée et niée ne peut contribuer à l’essor des populations noires et amazighens et leur permettre de se projeter dans la modernité.

Qu’est-ce qu’un vrai musulman ?

 

    •  Le vrai musulman est celui dont le comportement, les idées et les actes sont fidèles aux prescrits coraniques et à la Sira; Il ne doit rien faire d’autre tout au long de sa vie que de forniquer, violer, abuser sexuellement d’enfants en bas âge, incendier, faire de l’élevage sexuel sous couvert d’adoption, terroriser, racketter, décapiter, lapider, kidnapper, rançonner, vitrioler, prtaquer la nécrophilie et la zoophilie, trahir,  brader le pays, brûler le drapeau national, faire l’apologie du djihad et de l’antisémistisme, razzier, profaner les tombes, prêcher la haine du juif, du chrétie et du démocrate dans mes mosquées, appeler au meurtre des démocrates, assassiner, envoyer des filles mineures en Syrie pour servir de putes halal afinde satisfaire les bas instincts des terroristes, partouzer halal, donner sa femme en offrandes aux escadrons de la mort, ce n’est ni un crime ni un délit pour le gouvernement provisoire tunisien qui lui-même organise des filières terroristes et sert de proxénète pour l’occasion. 
    • Tout ceci n’a rien de choquant  pour les bonnes âmes musulmanes du pays qui versent leurs larmes de crocodiles quand leur ignoble figure tutélaire est soi-disant caricaturé, mais ça le devient quand homme entretient une relation sexuelle avec une personne majeure et consentante du même sexe que lui.  Comme si elles ne s ‘étaient jamais données elles-mêmes à des pratiques homosexuelles et pire encore à des pratiques zoophiles et nécrophiles à l’instar de leur innommable idole qui le couvrent de toutes les vertus qui n’ont jamais été les siennes.
    •  Dans les sociétés musulmanes qui ont érigé la tartufferie qui est effectivement un des piliers de l’islam en norme sociale  la morale religieuse fait force de loi et la morale républicaine est un sacrilège. Autrement dit tous les crimes et forfaits qu’ils soient sexuels ou non accomplis au nom de la religion sont licites et toutes les libertés humaines sont illicites. 

L’islam ou l’art de faire de l’obscurantisme, du fanatisme et du mensonge des dogmes religieux

Salem Ben Ammar

Quand on dit que l’Espagne était musulmane ? De quelle Espagne s’agit-il De la partie méridionale ou septentrionale ou de toute l’Espagne ? Occuper le littoral méditerranéen espagnol ne signifiait pas toute l’Espagne. Si vraiment les peuples islamisés et surtout ceux vivant sous l’emprise néfaste de l’arabité avaient goûté aux joies de la civilisation, croyez-vous qu’ils se comporteraient comme des primates ? Aucun fond civilisationnel notable chez eux. Restés à l’état sauvage tendance prédateurs, incapables de raisonnement humain, dépourvus d’intelligence créative, hyper oisifs et consuméristes dogmatiques.
S’il y avait des éclaircies pendant quelques siècles, on les doit à une poignée d’hommes qui présentaient la particularité de ne pas être nés arabes, persécutés pour leurs idées en rupture totale avec le Coran, censé être la seule source de savoirs et de connaissances et le seul livre que les musulmans devaient lire, leurs oeuvres furent brûlées pour hérésie
Ces hommes eux-mêmes n’étaient…

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Si l’islam est paix pourquoi les chrétiens sont-ils victimes d’un génocide dans les pays musulmans ?

Zéro musulman tué par un chrétien alors que des millions de chrétiens massacrés, déportés, expulsés de chez eux, persécutés, mutilés, réduits à l’état d’esclaves sexuels ou vendus sur les marchés comme une vulgaire marchandise.
Zéro mosquée détruite par des chrétiens, des milliers d’églises incendiées et vandalisées par des musulmans.
Aucune attaque chrétienne contre les mosquées pendant les heures de prière et en dehors, des milliers de chrétiens tués pendant la messe.
Aucun cimetière musulman profané par des chrétiens, des milliers de cimetières chrétiens saccagés et souillés par des musulmans.
Jamais des chrétiens n’ont kidnappé des fillettes et des femmes musulmanes contrairement aux musulmans dont c’est l’exercice favori.
Qui mène sa Guerre Sainte c’est l’islam ou le christianisme et commet les pires atrocités contre les chrétiens qui sont autant de crimes contre l’humanité?
Qui menace l’autre de mort s’il ne se convertit pas à sa religion ou veut le racketter s’il s’y refuse est-ce l’islam ou le christianisme ? Qui vit un réel martyr est-ce le musulman ou le chrétien ?
Qui traite l’autre d’infidèle et de porc est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui interdit à ses ouailles de se mélanger avec les autres est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui tue ses fidèles qui veulent l’apostasier est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui met en péril la paix et la sécurité dans le monde est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui veut imposer sa loi au monde entier et se proclame comme la plus belle religion jamais donnée à l’homme est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui ne reconnaît pas l’égalité entre les hommes indépendamment de leur horizon religieux et la couleur de leur peau est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui lapide, excise, ampute, mutile, abandonne les cadavres des victimes aux chrognards, discrimine, décapite, légalise le pillage et l’appropriation des biens de celui qui est différent de soi est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui répand la terreur et se rend coupble de plus de 95% d’attentats terroristes dans le monde depuis le 11 septembre 2001 est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui massacre les autres à cause de leurs origines ethniques et leur appartenance religieuse et se rendant ainsi coupable de crimes contre l’humanité est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui fait de la culture de la mort de la vie un culte religieux est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui dénie à l’autre le droit à la différence est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui pervertit et dévoie la morale humaine est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui se vante d’être une religion d’amour et de paix et fait souffler le vent de siroco de la mort et sème les graines de la haine et du racisme est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui veut renvoyer l’humanité dans le monde des ténèbres est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui ne cesse d’enfanter des monstres de la barbarie humaine dignes héritiers d’Attila, de Gensis Khan et de Mahomet est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui est de la famille du nazisme est-ce l’islam ou le christianisme ? Qui récompense et sanctifie l’effusion du sang humain est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui des deux est l’image de l’Apocalypse est-ce l’islam ou le christianisme ?
Des questions qui resteront à tout jamais sans réponses de la part des soumis à Allah qui plutôt que condamner les crimes abominables de leur religion ont cette manie pathologique de renvoyer à l’Inquisition chrétienne pour justifier l’injustifiable. Or, le Moyen Age chrétien serait le paradis pour les musulmans.

Habib Bourguiba a posé les jalons de la démocratie, les Tunisiens ont tout détruit pour venger l’islam

 

Le rêve démocratique en Tunisie s’est éteint avec Bourguiba !

Feu le Président Bourguiba, dont je respecte l’immense œuvre de bâtisseur et ses qualités hors du commun de visionnaire a laissé derrière lui un bilan remarquable ancré à tout jamais dans le conscient collectif tunisien que la Troïka tel un Don Quichotte s’emploie à anéantir.

Mais effacer Bourguiba de l’histoire de la Tunisie reviendrait à effacer d’un seul coup de sabre wahhabite l’histoire millénaire de la Tunisie. Autant pour elle qu’elle aille propager son virus nihiliste dans le désert d’Arabie. Comme si l’on cherchait à effacer Gandhi de l’histoire de l’Inde ou Mandela de celle de l’Afrique du Sud.

Qu’il n’en déplaise à tous ceux qui font de la haine de Bourguiba un mode de gouvernement de la Tunisie, Habib Bourguiba a autant marqué l’histoire de son peuple que celle de l’humanité à travers son combat pour le droit à la dignité et la liberté des peuples à disposer de leur destin politique et humain.

Ce ne sont pas les milciens islamistes au pouvoir et leurs complices « droit-de l’hommisme » comme Marzougui, Ben Sedrine l’égérie de Ghannouchi, Jendoubi qui peuvent en dire autant. Sans Bourguiba ils n’auraient jamais fréquenté les bancs des écoles et sortir de leurs bidonvilles.

Ces islamistes qui plutôt que de payer pour leurs crimes terroristes se trouvent sur les devants de la scène politique tunisienne à cause de l’irresponsabilité et la soif de vengeance des tunisiens qui ont la rancoeur tenace à l’égard d’un homme qui a voulu les arracher des griffes de l’obscurantisme musulman.

En votant pour eux les tunisiens ne se sont vengés de Bourguiba pour avoir cherché à les libérer des jougs de l’islam, ils se sont tirés eux-mêmes une balle dans la tête et faire ainsi le choix d’une déologie fasciste et mortifère, synonyme de charia, de terreur, de félonie, d’ignominie, de barbarie humaine, d’antipatriotisme, d’imposture, de traite des blanches (fornication halal pour la Syrie) de violation des droits de l’enfance, de pédophilie et de nécrophilie. Les tunisiens ont délibérément choisi de tourner le dos à la modernité pour l’archaïsme et l’ultra-réaction.
Ignorant ou feignant d’ignorer que les islamistes sont pour l’histoire du 21 e siècle ce que furent les nazis pour elle au 20 e siècle.

Quant au despotisme dont on accuse Bourguiba, j’aimerais que beaucoup de vrais démocrates puissent lui ressembler.
La vraie démocratie est la culture et l’ouverture des esprits. Celle de l’égalité des chances, de l’école pour tous, de l’accès au savoir, du bien-être humain, de l’affirmation de soi, de la dignité humaine et de l’ascenseur social.

La démocratie consiste à donner au peuple les moyens de sa dignité.
Ni assistanat, ni zakat. L’obole de la veuve et de l’orphelin est avilissante et humiliante pour la condition humaine.
La démocratie ne se décrète pas, elle s’acquiert en donnant au peuple les moyens de se prendre en charge et de s’assumer.

Peu d’hommes politiques dans l’histoire universelle pourraient se prévaloir de son bilan. Si au lieu de créer des écoles et des hôpitaux, il aurait créé des mosquées et des madrassahs (écoles coraniques façon Afghanistan, un nid de terroristes) dédiées au seul endoctrinement idéologique et abrutissement mental des masses, imaginez un seul instant l’héritage qu’il aurait laissé à son peuple.
Bourguiba n’a pas fait que redonner à la Tunisie sa personnalité politique depuis Hannibal en la libérant à la fois des jougs du colonialisme français et du colonialisme Ottoman, il a aussi chercher à l’affranchir de la tutelle de l’obscurantisme religieux.

Il est de la lignée des grands génies de l’histoire humaine un conquérant de la graine d’un Gengis Khan de la libération des esprits fécondateur de la démocratie et des droits fondamentaux.

La chance de la Tunisie à l’époque est d’avoir eu des patriotes-démocrates dans le sens noble et humain du terme, aujourd’hui elle a le malheur d’avoir des hommes félons, lâches, rétrogrades, opportunistes et veules.

La démocratie bourguibienne est celle de la citoyenneté et de l’égalité des droits et devoirs entre les hommes et les femmes.
Un homme qui avait le souci des droits fondamentaux et de créer les conditions pour assurer à chacun sa place dans la société en l’affranchissant de la tutelle rétrograde et aliénatrice des traditions qui visent à enchaîner les hommes et les freiner dans leur quête du progrès.
Bourguiba a posé les jalons pour que les tunisiens soient mûrs pour accéder un jour par eux-mêmes aux valeurs démocratiques universalistes. La démocratie ne se décrète pas, elle se construit. Il voulait que les tunisiennes et tunisiens puissent être des acteurs à part entière de l’édification d’une société humaine et démocratique et prennent eux-mêmes en main leur destin politique et s’impliquent dans le développement de la Tunisie.

Habib Bourguiba avait compris et réalisé que le vrai développement est celui qui s’opère avec toutes les composantes du pays et non au profit d’une minorité.

Un homme généreux et soucieux du devenir de son peuple et de son éducation, n’est pas un despote, il est un démocrate. Il a triomphé de la barbarie islamiste et de ses conséquences néfastes sur la dignité humaine.

Barack Hussein Obama découvre enfin la haute nocivité d’un Etat islamique!

Il a fallu attendre la décapitation horrifiante du journaliste James Foly citoyen américain par l’E.I.I.L. après deux années de captivité pour qu’ Hussein Barak Obama prenne enfin conscience que l’Etat islamique n’a pas cours au XXI e siècle.

C’est comme si les meilleurs alliés musulmans des E.U.tels le Qatar, l’Arabie Saoudite et à un degré moindre la Turquie qu’Erdogan est entrain d’islamiser à marche forcée ne sont pas des régimes de droit musulman et n’appliquaient pas la charia.

Cet homme qui aurait pu faire l’économie d’un deuxième mandat et épargner au monde le vaudeville morbide des révolutions du printemps arabe qui sont un véritable marché de dupes sur le dos de ces pauvres peuples qui lui a valu sa réélection en contrepartie de l’abandon de tous desseins terroristes sur le territoire américain.

En effet, sans son bilan sécuritaire et la soi-disant réussite de sa politique antiterroriste il serait se serait aujourd’hui passé dans les oubliettes.

Lui le natif musulman il doit savoir mieux que quiconque qu’il n’y a pas d »islam sans Etat et que tout musulman doit contribuer à l’édification de cet Etat seul garant de la pérennité de l’islam. Il est soit schizophrène soit pervers comme tout musulman adepte de la takkiya, cet art de duper son auditoire non-musulman. Pourquoi justement avait-il adoubé lui-même Ennahdha en Tunisie et les frères musulmans en Egypte et veiller personnellement à leur intronisation ? Pourquoi avait-il sorti l’artillerie lourde pour éliminer Khédaffi de la scène libyenne alant jusqu’à favoriser la nomination d’un ex détenu de Guantanamo comme gouverneur militaire de la Tripolitaine ? Pourquoi a-t-il cherché auissi à évincer Bachar au profit des forces djihadistes partisanes de ce même Etat islamique qui répand la terreur en Irak et en Syrie et qui se voit en reconquérant de l’ESpagne ?

A moins que le Califat ne devienne inopportun et perd toute sa légitimité politique quand il est porté par des organisations terroristes qui échappent à son contrôle ou qui ne soient plus en odeur de sainteté dans sa cour.

Son réveil est trop tardif. Il aurait dû se montrer vigilant et perspicace dès le retrait des troupes américaines d’Irak. Des signes avant-coureurs se faisaient déjà sentir. Le feu djihadiste a tout détruit sur son passage et ce n’est pas une pieuse déclaration creuse d’un natif musulman qui brille par sa grande mansuétude à l’égard des radicaux musulmans que cela va consoler les irakiens et les syriens qui ont tout perdu à cause de sa politique incongrue et partisane.

Si le Reich était responsable de plus de 80 million de morts, le rétablissement du Califat musulman risque d’écrire la fin de l’histoire de l’humanité

Le Reich nazi et son équivalent musulman le Califat sont l’enfer de l’humanité.

Ils renvoient aux pages les plus sombres de l’histoire. Nés et péris tous les deux  dans le sang humain.

Mais plutôt que d’étouffer dans l’oeuf les velléités de rétablissement du 6 e Califat qui  commencent à se répandre comme une traînée de poudre dans le monde musulman les dirigeants occidentaux cherchent à en faire un atout maître dans leur politique arabe.  Ils accompagnent le mouvement plutôt que de le combattre sans se soucier des conséquences tragiques pour les populations locales et leurs dommages collatéraux sur les leurs.

L’utopie criminelle du Califat commence à avoir le jour dans les pays du Levant sous couvert de  rébellion contre le régime de Bachar al Assad.

Les fauves sont lâchés dans l’arène dévorant tout sur leur passage comme aux premiers temps de la conquête musulmane. L’heure du  de la revanche musulmane est en train de sonner et des millions de musulmans y voient déjà les prémisses du retour de leur splendeur passée et la renaissance de la puissance de l’islam sur le devant de la scène.

Un mythe grotesque mais o combien fascinant et mobilisateur chez des nombreux musulmans pour qui le Califat est un antidote au cancer qui métastase leurs sociétés.

Ils sont convaincus qu’au temps où les musulmans vivaient sous le règne des Califes le soleil brillait sur eux et qu’il s’est éteint le jour où l’Occident avait contraint les Ottomans d’abolir le Califat. Il leur importe peu de savoir que la fin de son histoire n’a pas été glorieuse et qu’elle correspond à une des pages les plus sanguinaires de l’histoire humaine celle du génocide arménien.

Les musulmans n’ont pas à s’instruire de l’histoire c’est à l’histoire de coller avec leur prophétie coranique qu’un jour l’humanité tout entière sera à l’islam dans le cadre d’un nouvel ordre musulman.

Un Califat mondial pour unir et fédérer les hommes avec l’islam foi et loi pour tous.

L’islam n’a jamais été pourtant un facteur de paix et d’unité entre les siens. Mais de cela les nostalgiques dogmatiques du Califat musulman n’en ont que faire seul  le rétablissement  du Califat est garant de retour à l’islam originel pour leur  redonner force et dignité  afin de recouvrer leur vraie indépendance dans un premier temps en attendant de reconquérir dans un deuxième temps les anciens territoires spoliés par les Chrétiens et les Juifs. L’Andalousie et Jérusalem.  Une fois qu’ils auront retrouvé la foi en eux et  réalisé  leurs objectifs de reconquête ils pourront partir à l’assaut du monde pour en faire le royaume d’Allah.

Ils sont quelques millions d’exaltés à y croire dur comme fer et à le crier haut et fort mais qui sont loin d’être une minorité insignifiante car la majorité des musulmans qui ne font pas entendre leur voix ne sont pas indifférents ou hostiles à l’idée d’être gouvernés au nom d’Allah et que la bannière de l’islam flottera sur toute la terre.

Ce serait blasphémer que de s’y opposer.

Un Etat musulman est une nécessité absolue pour tout  musulman qui oeuvre pour la revitalisation de son dogme. Le djihad est une fin en soi pour y  arriver. C’est en renonçant à sa vie et ses biens qu’il est en cohérence avec les prescrits coraniques. L’homme musulman tel qu’il est défini par le Coran n’est pas un doux rêveur, il va au combat quel qu’en soit le prix. Confronté à plusieurs défis dont la finalité est le règne de l’islam sur la terre, il est en guerre permanente qui ne cessera que lorsque le pouvoir sur tous les hommes sera entre les mains d’Allah.

Le Califat est la forme idoine pour diriger la cité planétaire musulmane. Daech a su exploiter l’imaginaire musulman pour séduire les dizaines de milliers de jeunes musulmans venus du monde entier et obtenir l’adhésion d’une partie des sunnites de la région ainsi que le financement de son entreprise criminelle par les Cheikhs du Golfe arabique.

L’utopie du Califat a des effets hautement toxique sur les masses mai musulmanes, les nourrissant d’illusions de l’Arche perdue et ravivant leur rancœur insatiable de cet Occident « mécréant » responsable de leurs malheurs.

Une utopie qui souffle sur la braise de la haine et qui dé responsabilise le musulman de ses propres échecs tout en leur faisant croire qu’elles seront les futurs vainqueurs du paradis d’Allah si elles se mènent le combat pour lui.

On prend l’autre pour cible pour en faire leur pain quotidien.  Le diaboliser, appeler à purifier la cité musulmane de sa présence, le stigmatiser, le mépriser, le dénigrer.  Inoculer en elles les virus de la haine pour mieux la conditionner mentalement et psychologiquement, jouant ainsi sur le registre du racisme de la légitimation du génocide comme étant un idéal de vie à l’image du nazisme.

Un idéal qui ne peut prendre toute sa mesure que dans le cadre d’un régime politique liberticide et totalitaire s’articulant autour d’une idéologie infaillible et confusionnelle, soumis à l’autorité d’un chef messianique de droit absolu.

Tant l’Etat nazi que l’Etat islamique, ils ne prennent en charge que les hommes reliés pour l’un par les liens de sang et pour l’autre par la foi.  ne sont-ils le Bâtir un Etat où il n’y a de la place que pour les hommes présentant le même profil biologique ou religieux.

Les musulmans se proclament comme la meilleure communauté des croyants élus par Allah de même que les nazis se veulent la race des seigneurs, nés tous les deux pour régner sur le toit du monde.

Il n’est pas étonnant à ce que l’Islam ait exercé une réelle fascination sur les dignitaires nazis dont un grand nombre d’entre eux s’étaient convertis à l’islam lors de leur refuge au Proche-Orient après la deuxième guerre mondiale.. A. Hitler, Abu Ali en arabe, auquel les « savants » musulmans ont décerné le titre de musulman d’honneur. On pouvait parfaitement l’imaginer musulman s’il avait survécu. Adepte de cette religion d’hommes virils capables de se transformer en bombes humaines et prêts à donner leur vie pour la défense de leur cause, ne disait-il pas que des arabes et des marocains l’associaient à leurs prières.

Plus encore le « Pape » sunnite et philonazi invétéré Youssef Qaradhaoui, une sorte de caricature  du Cardinal de Richelieu et l’âme noire du Calife d’opérette l’ex Emir du Qatar Hamad Ben Khélifa al-Thani  qui  voue un véritable culte au Führer Adolph Hitler, voyant en lui un vengeur envoyé par Allah sur terre pour punir les juifs de leur égarement comme il en résulte à la lumière de la lumière de ses propos nauséabonds et immondes tenus le 30 janvier 2009 sur le plateau de la chaîne propagandiste de la Jazira, « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux [Juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu’il leur a fait – et bien qu’ils [les Juifs] aient exagéré les faits -, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans « ( Wikipédia).

De tels propos jamais condamnés ne font que traduire le caractère manifestement musulman du nazisme cher au coeur du fondateur de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte Hassan Al Bana, grand-père maternel de Tarak Ramadhan.dont est issu Qaradhaoui et surtout le Mufti de Jérusalem Muhammed Amine Husseini, promu chef de Division Waffen SS qui comme par hasard a légué à la pseudo-résistance palestienne deux de ses figures les plus illustres Leïla Shahid, sa petite-fille et Yasser Arafat, son neveu  auquel on aurait pu attribuer le premier prix de la Takkiya plutôt que le prix Nobel de la Päix.

Et ce n’est assurément pas pur angélisme humanitaire que l’illustre collabo al Hussieni s’était jeté dans les bras de son amant nazi s’il n’avait pas trouvé des atomes crochus avec l’islam.  Qui se rassemble s’assemble. Ils ont tellement des dénominateurs communs qu’il n’est pas interdit de penser qu’Hitler aurait dû s’inspirer du Coran dans la rédaction du Mein Kampf voire qu’il aurait dû se contenter du faire du copier-coller du Coran. Ils sont si proches l’un de l’autre que les liens fusionnels sont tels pour n’en faire qu’un qui jettent tous les deux les bases de la destruction du monde.

 En effet, les deux livres-guides des nazis et des musulmans ne différent guère quant à la haine du Juif, du chrétien,  et de tout ce qui est différent de soi et des libres-penseurs, le suprématisme, le Mal érigé en mode de gouvernance, le bellicisme, l’ultra-violence, le culte du chef, l’embrigadement des enfants,  la folie meurtrière, la soif de domination, la volonté d’anéantir l’humanité, le mythe de l’arche perdue,  la renaissance,  le paganisme, l’intolérance, la férocité, le racismme, le conservatisme dogmùatique, le verrouillage de la pensée, le totalitarisme, l’ethnocentrisme, l’inhumanisme, le fanatisme, leurs desseins cosmiques et hégémoniques, leur projet de s’instituer comme un nouvel ordre mondial, le pillage, autant de points communs qui en disent long sur la filation idéologique du nazisme avec l’islam.

L’islam ne s’inscrit pas dans la continuité du nazisme, il a été celui qui l’a mis sur orbite avant d’en prendre le relais aujourd’hui. Il semblerait même que ce soit Mahomet qui aurait inspiré A;Hitler avec la Solution finale de la question juive qui les a hantée jusqu’à leur mort.

Sur son lit de mort, Mahomet a exprimé le vœu que sa terre natale soit purifiée des juifs et des chrétiens.

Le calife Omar, qu’Allah agréé toutes ses œuvres maléfiques, a chassé tous les chrétiens de ce pays.

« Après les gens du samedi, les gens du dimanche » comme le veut la devise mahométane.

Il n’y a pas de complot juif, il y a un complot musulman

Aux yeux des musulmans modérés qui n’ont de modéré et leur verbe mielleux pour dissimuler leur poison venimeux, connus pour leur fourberie légendaire et leur tartufferie dogmatique que Daëch n’a rien à voir avec l’islam. Créé semble-t-il par les juifs pour salir l’image « humaniste » et non-violente de l’islam.

En effet, les 300 millions de victimes de la barbarie génocidaire sont l’oeuvre des martiens et ce sont eux qui mettent la région du Proche-Orient à feu à à sang et qui se livrent à des crimes contre l’humanité dont font l’objet les chrétiens d’Orient.

Les musulmans modérés sont tellement pris dans leur tourbillon antisémite qu’ils voient la main juive partout. Ils se sont leur raison une fois pour toutes, ils n’ont besoin de la démontrer, leurs délires spéculatifs se suffisent à eux-mêmes. Peu importe la vérité des faits, rien ne peut les faire changer d’avis, ce sont les juifs qui complotent contre les musulmans, ces éternels « persécutés », pour bâtir le Grand Israël.

Les musulmans victimes des juifs et de leurs desseins hégémonique est le seul thème vendeur et mobilisateur des masses frustrées et abêties viscéralement anti-juives. Pour exalter les pulsions de ces centaines de millions d’êtres miséreux, incultes, analphabètes, maléfiques et misérables endoctrinés du berceau jusqu’à la mort et nourris de la haine du juif, il n’y a pas meilleur catalyseur que le juif conspirant contre le musulman. Autrement, on ne pas peut sortir les masses musulmanes de leur léthargie. Que des musulmans massacrent d’autres musulmans et que leur propre sécurité soit menacée par la politique expansionniste d’un autre pays musulman, cela les laisse franchement de marbre, ils ne voient qu’un seul ennemi le juif que Mahomet leur a légué en héritage et dont le Coran appelle à son extermination.

Ils sont tels sourds à la voix de la raison qu’ils ne voient pas la main turco-wahhabite sous la houlette de la Maison Blanche qui a compris tout l’intérêt d’inoculer le poison musulman dans le corps musulman lui-même.

Comme il ne peut avoir d’islam sans la perversion et le travestissement de la réalité, on doit leur faire croire qu’un pays comme la Tunisie qui a basculé dans le monde des ténèbres en un laps de temps éclair que les meurtriers des hommes politiques en Tunisie tels que Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, de ses forces de l’ordre et ses militaires  ne sont pas de confession musulmane ni n’appartiennent à la mouvance islamiste d’Ennahdha. De même le mouvement terroriste du Hamas qui joue un rôle actif dans la vague terroriste sans précédent en Tunisie est une organisation caritative et humanitaire et qu’il est juste présent sur le sol du pays pour aider au creusement des tunnels à Djebel Chaâmbi en Tunisie pour stocker la nourriture..

De même  que les appels au djihad fi sabillah et le sexe dans les mosquées ainsi que les incitations à la haine de l’autre et son anéantissement seraient une hérésie selon les dogmes de l’islam qui sont pourtant fondamentalement violents et intolérants.

Tous ces milliards de dollars dépensés à fonds perdus dans la destruction de la Syrie, l’Irak, la Libye, la Tunisie et l’Algérie ne proviennent pas des caisses du Qatar et d’Arabie ni les armes fournies aux djihadistes ne sont pas turques.
Quant aux rapts des jeunes chrétiennes et les massacres ciblés et méthodiques des chrétiens et des minorités religieuses musulmanes en Syrie, en Irak, au Nord du Nigeria, au Pakistan sont une atteinte aux prescrits coraniques, la preuve l’Arabie est un havre de paix pour les trois religions monothéistes et des libertés publiques. Un pays symbole de la concorde religieuse.

Evidemment les musulmans ne vont clamer leurs innocences comme un serpent qui mord sa proie sans qu’il ne s’en aperçoive lui-même, et tous ces forfaits et exactions barbares constitutifs de crimes contre l’humanité sont imputables aux juifs qui veulent précipiter à sa porte la colombe musulmane.

Il faut savoir que dans la doctrine musulmane de mise en cause de l’auteur coupable, il ne faut jamais juger les auteurs du crime, il faut faire le procès de l’ennemi imaginaire. Ainsi le coupable n’est jamais celui qu’on attrape en flagrant délit et contre lequel les charges sont irréfutables, c’est toujours son souffre-douleur qui est en l’occurrence le juif qui est le vrai coupable qui a la chance fr passer entre les mailles du filet en faisant endosser aux musulmans la responsabilité du crime. Seulement la justice humaine jugée imparfaite et inique par les musulmans qui se trompe de cible. Voilà pourquoi le musulman ne reconnaît que la justice d’Allah qui est la seule à pouvoir le blanchir de ses crimes en toute équité musulmane.

Quand les musulmans modérés rejettent toujours la faute sur l’autre et tout particulièrement le juif, leur hantise maladive, il n’y a pas lieu de les contredire, ils sont eux-mêmes en inadéquation avec ce que le musulman doit être et non ce qu’il se représente lui-même de l’islam.L’islam n’est jamais un sujet modulable, c’est le musulman qui doit s’y adapter ou y renoncer mais il en aura jamais ni la force ni le courage, il préfère se nourrir d’illusions que d’afronter la vérité de l’islam. Or, l’islam n’est pas un monde fabulé et imaginaire, c’est un monde réel qui a ses exigences et ses contraintes qui pèsent sur tous ses adeptes sans exception et sans demi mesure.

Daech pourra toujours faire de la Tunisie son nouveau sanctuaire terroriste

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Les jours de Daech sont comptés. Il va finir un jour ou l’autre par rendre les armes en Syrie et en Irak, mais il faut bien trouver des lieux de repli pour ces meutes de charognards. Qui d’autres en dehors de la Libye et de la Tunisie sont susceptibles de les accueillir ? En effet, ces deux pays et tout particulièrement la Tunisie sont les premiers pourvoyeurs au monde de combattants djihadistes. Ils demeurent à ce jour parmi les rares pays au monde ou presque non-dotés de lois antiterroristes et qui sont par conséquent des Etats de non-droit ?

Plutôt que de se projeter dans les échéances électorales  qui seront quoi qu’il arrive un requiem pour la Tunisie et la consécration définitive de l’organisation terroriste d’Ennahdha en tant que secte-Etat à tout jamais. Les tunisiens n’ont guère le choix soit dissoudre l’A.N.C. ce haut lieu du djihad et rétablir la loi de 2003 dont on a pas à se préoccuper de son caractère liberticide avec ces monstres de la cruauté humaine, soit ils devront se préparer à vivre l’enfer syro-irakien qui n’est qu’un juste retour du bâton.

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Il faudrait bien que les Tunisiens récoltent le fruit du mal qu’ils ont semé en Syrie payer lr tribut du sang que les leurs ont infligé aux populations des deux pays précités. Lesdits djihadistes sont après tout leurs enfants, « ils ne sont pas des martiens comme dirait Raspoutine Ghannouchi, ils me rappellent ma jeunesse. » Grandis sous le régime de Ben Ali, ce « grand patriote » comme se plaît à l’encenser un de ses ex nervis. Ils sont plus que des hordes sauvages, ils sont les descendants directs de Mahomet; leur modèle suprême.

Il est somme toute logique que ces purs produits de la société tunisienne ré-islamisée par Ben Ali qu’il a façonnée à son image réintègre le giron familial tunisien avec tous les honneurs dus à leurs crimes contre l’humanité.

Ils seront adulés, admirés et chéris comme les nouveaux héros de la Tunisie nouvelle terre d’élection du djihad qui marquera la ré-islamisation définitive du pays et son intégration dans le cercle fermé des pays de la barbarie humaine à l’instar de la Somalie, le Soudan et l’Afghanistan.

Il est difficile d’imaginer ce peuple davantage préoccupé par sa vie dans l’au-delà et de la satisfaction de ses obligations cultuelles que du sort de sa patrie. Quelle once de crédit peut-on lui conférer lui qui préfère investir dans l’édification des mosquées qui lui assure la vie éternelle et des maisons tout en or dans le paradis ?, Aucun. Autant parier sur la résurrection de l’Egypte qui a toutes les chances de renaître un jour de ses cendres que d’imaginer un sursaut d’orgueil de la part du peuple tunisien, si imbu de sa personne, fataliste, défaitiste, nombriliste, suffisant, arrogant, mégalomane, mythomane, arriviste, vénal, opportuniste, à l’ego surdimensionné, antipatriote, lymphatique, indolent, qui se veut roi alors qu’il serf, velléitaire, capable de vendre se rallier aux ennemis de sa patrie pour l’appât du gain, égoïste, bigot, shooté à l’héroïne de la religion.

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C’est pourquoi les combattants de Daech ont un bel avenir en Tunisie qui leur servira de centre de régénération afin de pouvoir repartir à la reconquête de nouveaux territoire où ils pourront donner libre-cours à leurs pulsions meurtrières et continueront exercer leurs talents de djihado-terroristes.

D’une terre de hommes, la Tunisie est devenue depuis la chute kafkaïenne de Ben Ali une terre de la terreur et du djihad-fornicateur.

Amina Sboui : des seins nus à la fabulation (?)

Salem Ben Ammar

Des personnes bien intentionnées mais mal informées demandent à ce que l’on fasse preuve de clémence et de compréhension à l’égard d’Amina Sboui.
Le problème est qu’il y a déjà eu un épisode où elle parlait d’un contrôle d’identité que personne n’a pu confirmer surtout que ce contrôle est contraire à l’esprit de la loi sur les libertés publiques. 


En effet, déjà au mois de janvier lors de la célébration du 3 e anniversaire de la chute de Ben Ali où elle s’était fendue sur sa page FB d’un post (1) où elle prétendait avoir été interpellée par la police à la sortie du métro Saint François Xavier en se faisant passer pour victime de harcèlement policier.
Il s’avère que j’étais moi-même présent à ce rassemblement et je n’ai pas été témoin d’une quelconque scène de cette nature surtout que la sortie du métro donnait directement sur la place…

Voir l’article original 388 mots de plus

Amina Sboui : des seins nus à la fabulation (?)

Des personnes bien intentionnées mais mal informées demandent à ce que l’on fasse preuve de clémence et de compréhension à l’égard d’Amina Sboui.
Le problème est qu’il y a déjà eu un épisode où elle parlait d’un contrôle d’identité que personne n’a pu confirmer surtout que ce contrôle est contraire à l’esprit de la loi sur les libertés publiques. 


En effet, déjà au mois de janvier lors de la célébration du 3 e anniversaire de la chute de Ben Ali où elle s’était fendue sur sa page FB d’un post (1) où elle prétendait avoir été interpellée par la police à la sortie du métro Saint François Xavier en se faisant passer pour victime de harcèlement policier.
Il s’avère que j’étais moi-même présent à ce rassemblement et je n’ai pas été témoin d’une quelconque scène de cette nature surtout que la sortie du métro donnait directement sur la place où se tenait le rassemblement dûment autorisé par la Préfecture de Police de Paris. Ce qui signifie que la police ne peut intervenir ou procéder à une quelconque vérification d’identité qu’en cas de nécessité absolue. 

Ainsi un rassemblement organisé dans le respect des dispositions légales prévues à cet effet ne peut en principe exposer les individus présents à des tracasseries policiers sauf dans les conditions prévues par le décret-loi du 23 octobre 1935 sur les manifestations sur les domaines publics, censés être les hauts lieux de la liberté d’expression. 

Il est difficile d’imaginer la police enfreindre la loi protectrice des libertés publiques sauf si les individus contrôlés présentent un potentiel de dangerosité susceptible de nuire à l’ordre public. 

Ceci dit, cette scène imaginaire (?) a échappé curieusement au regard de quelques centaines de personnes présentes sauf le sien. 
Afin de vérifier ses allégations J’ai pris soin de prendre langue avec un des co-organisateurs  dudit rassemblement Mr Adellatif Ben Salem est tombé des nues quand je lui ai fait part du contrôle policier dont elle aurait fait l’objet qui contreviendrait de surcroît à l’article 10 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Sa réponse était claire et sans équivoque : il n’y pas eu l’ombre d’un contrôle dans le périmètre du rassemblement ni avant, ni pendant ni dans les minutes suivant la fin du rassemblement en question. 

Mais pour dissiper le doute entachant les propos d’Amina, il a préféré envoyer un mail à l’inspecteur de police chargé de la protection du rassemblement, la réponse de ce dernier n’a fait que confirmer les premières dénégations.
Il revient aux soutiens de cette personne de faire preuve de discernement pour ne pas faire rejaillir du discrédit sur notre combat commun contre le fanatisme religieux qui met en danger nos libertés

(1) Voici ce qu’elle avait écrit elle-même en substance : »les flics français aussi me surveille , ils ont vu le statu de le rassemblement et ils était plein plein, dés ma sortie de métro ils m’ont arrêter pour faire un contrôle d’identité . le flic a vu mon passeport et il a fouillé mon sac, après vingt minutes je lui a demander de me redonner mon passeport , il m a dit j’attends les ordres ».. PS Ne pas tenir compte des fautes de syntaxe, de grammaire et d’orthogrophe.

Ces musulmans modérés qui ne connaissent de la modération que leur haine d’autrui

Daëch, Ennahdha, la Qaïda, les wahhabites, Boko Haram, les Talibans, les Frères Muslamans, le Hamas et tutti quanti ne sont pas l’islam aux yeux des musulmans qui n’ont de modéré que le masque dont ils s’affublent et qui sont en réalité plus dangereux que les intégristes, ils sont quoi alors ? Ils sont justement ce miroir dans lequel se reflètent non seulement le vrai visage de l’islam mais plus encore il met à nu la fausse image qu’ils se font eux-mêmes de l’islam.
Mais étant incapables par couardise et ignorance de remettre en question leur perception erronée de leur religion, ils font du mensonge une vérité.
Qu’ont-ils fait pour condamner massivement les crimes barbares des vrais musulmans dont Daeach est le porte-drapeau aujourd’hui ? Ils ne savent que celui qui ne dit mot consent et encourage? Jamais ceux qu’on appelle abusivement musulmans modérés n’ont manifesté le moindre rejet public des exactions criminelles de leurs coreligionnaires qui appliquent à la lettre ce Mahomet ordonne.
Ils ne font que cracher leur poison haineux et intenter des procès en inquisition aux islamo-sceptiques. Ils n’ont toujours pas compris que l’islam n’est ni paix, ni amour, ni tolértance, ni acceptation de l’autre dans sa différence, ni liberté de conscience, ni respect de la vie humaine, ni tout simplement religion dans le sens littéral du terme.
S’ils avaient un minimum de lucidité, de clairvoyance et un fond d’humanité en eux, ils auraient brisé eux-mêmes les barreaux de leur prison mentale.
Ils sont tellement pris sous l’emprise de cette drogue qu’on leur instille dans le cerveau du berceau jusqu’à la mort qu’ils ont perdu le sens des réalités et surtout le contrôle de leur pensée.
Ne se rendant pas compte qu’ils sont comme ces marionnettes que des ventriloques leur prêtent la parole. Seulement à la différence des vraies marionnettes ils s’illusionnent que c’est leurs propres mots qu’ils expriment alors qu’ils ne font qu’énoncer les éléments de langage que chaque musulman doit employer à chaque fois pour se faire l’avocat de sa religion.
Mais faute de connaissance approfondie du sujet ils se trouvent aussitôt à court d’arguments, ils deviennent comme un sanglier blessé se ruant sur le chasseur. D’où leur recours systématique à la violence verbale contrairement à leurs coreligionnaires fondamentalistes qui s’abreuvent du sang humain, qui est leur seule issue de secours pour clore le débat en cherchant par tous les moyens à se faire passer pour victimes de moquerie et de stigmatisation « islamophobe ».
Allumer des contre-feux pour enfumer l’opinion publique afin de ne pas avouer sa totale ignorance de son sujet d’une part et d’autre part reconnaître à son interlocuteur la justesse de son analyse du sujet en question.
Mais il faudrait attendre la fin du cycle solaire afin de voir un musulman admettre que le vrai islam est celui tel que les islamo-incompatibles le décrivent à travers le tableau apocalyptique dessiné fidèlement par les fondamentalistes musulmans conformément aux prescrits coraniques.
Dépourvus de volonté, entièrement soumis à celle qui croient qu’elle est ce phrare qui éclaire sa voie et qui guide ses pas et qu’en perdant cette boussole tout son univers s’écroule et disparaît, dépossédés de son destin humain, sans repères spatio-temporels, de leur état de servilité ils font une forme de liberté mentale, ils se ferment eux-mêmes à la raison humaine conçue comme étant une hérésie qui mérite d’être combattue comme toutes les atteintes au sacré.

Pourquoi Tarek Ramadhan est un homme dangereux

La gangrène islamiste diffusée par Tarek Ramadhan et son acolyte Qaradhaoui est mortelle pour les sociétés humaines.
Il faut la débusquer, l’attaquer partout où elle se trouve. Il ne faut pas la laisser proliférer avant qu’elle n’ait corrompu toutes ces masses désœuvrées et sans perspectives sauf les promesses de l’érection éternelle et des rivières de vin.
Ces masses incultes et fantisées à outrance consituant un véritable vivier pour les islamistes qui peuvent transformer ces despérados de la vie en autant de bombes humaines.
Ainsi cette gangrène se décline en plusieurs variantes du hard façon Qaradhaoui au bling-bling sur le modèle de ce caméléon de Tarek Ramadan, petit-fils d’un grand admirateur du Führer nazi, antisémite notoire et obsédé par la renaissance (Ennahdha du Califat), le Reich islamique, aboli par Kamel Atatürk. Cet agent djihadiste idolâtré par les élites en herbes musulmanes partout dans le monde, est un orfèvre hors pair dans l’art de la takkiya, donner l’impression à son interlocuteur que tout ce qu’il dit est vrai sans avoir besoin de le justifier lui-même.
Se voulant toujours rassurant publiquement afin de ne pas réveiller la méfiance de son auditoire non-musulman tout en tenant un tout autre discours auprès de ses coreligionnaires. Retors, il use de toutes les manoeuvres pernicieuses pour endormir la vigilance de ses détracteurs en se parant de son sourire de gendre idéal qui cache un prédateur redoutable.
Comme tout islamiste convaincu, il adapte son langage en fonction de ses interlocuteurs et des circonstances.
Se voulant l’héritier de la pensée de ce grand-père maternel inhumaniste, antisémite, créature du colonialisme britannique et philonazi patenté, il s’inscrit dans la continuité de l’œuvre scélérate de ce grand-père auquel les islamistes tunisiens vouent un véritable culte. Non seulement sa visite est indésirable en tous points de vue mais également cet homme devrait être mis en quarantaine à cause du virus wahhabite dont il est porteur et susceptible de provoquer une véritable pandémie mortelle.
Il est insultant à la mémoire des victimes de la barbarie nazie ainsi que la barbarie wahhabite que cet homme soit le chouchou des médias en Occident.
Comment un homme qui n’a jamais renié l’héritage idéologique de son grand-père paternel pouvait bénéficier d’autant d’audience dans les médias occidentaux qui lui déroulent aveuglement le tapis rouge ? De même que les autorités politiques occidentales le laissent répandre son poison haineux dans les cités-émirats.
Adoubé et sponsorisé par l’Emir du Qatar qui lui a acheté sa chaire d’islamologie, comme si l’islam pouvait être bune science fondamentale à moins qu’il ne s’agisse du fondamentalisme musulman fondamental, Tarak Ramadhan est le premier agent de propagande de l’islam ou islamisme modéré.
Au même titre que le P.S.G. il est la vitrine publicitaire de ce caillou désertique qui corrompt tout et achète tout. C’est un véhicule publicitaire, un homme sandwich, dont le rôle de faire la promotion des valeurs idéologiques rétrogrades et ultra-conservatrices.
Il se doit à toutes ses sorties publiques de donner une image idyllique et enjolivée de l’islam modéré comme celle qu’il cherchera à vendre aux Tunisiens.
Séducteur et hâbleur né et bonimenteur il a l’art d’embobiner son auditoire comme un arracheur de dent.
Les premiers bénéficiaires de cette visite qui sera hyper médiatisée seront les islamistes tunisiens.
Cette visite est criminelle et néfaste pour l’identité nationale. Elle ouvre la voie au futur Califat wahhabite.
Ne prenez pas cette visite comme une simple visite de courtoisie, elle est lourde de sens idéologique. Pire que celle de son compatriote le boucher du Caire Wajdi Ghénim . Il n’y a pas de parole innocente chez les islamistes.
Chaque parole porte en elle les germes du poison de la théocratie islamique. Liberticide, totalitaire, despotique, raciste, féminicide et nazie.

L’islam n’est pas apparenté au nazisme, il en serait le géniteur

http://www.dailymotion.com/video/xd12e_hitler-et-le-mufti_news

L’islam a toutes les caractéristiques d’une idéologie politique. Plutôt que d’établir un parallèle entre lui et les religions monothéistes il serait plus opportun et judicieux de rechercher les liens de parenté avec les idéologies fascistes totalitaires du type le nazisme.

En effet, on se demande même si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour consigner ses monstruosités dans Mein Kampf tellement les deux idéologies sont quasi-identiques et les accointances sont troublantes.

Il n’est pas exagéré de se demander si le nazisme n’est pas le produit de l’islam. Il s’est inscrit dans la continuité de l’enseigment mahométan. De toutes les idéologies politiquesn c’est le nazisme qui mis le plus en valeur les idées prônées par le fondateur de la doctrine islamique. Il a appliqué à la lettre le message de Mohamet notamment en ce qui concerne la Solution Finale qui porte sur l’extermination du juif et de tout ce qui est dfférent de soi, sur la négation de la vie, du sens du sacrifice, le racialisme, le suprématisme, l’asservissement, la purification, la pureté du sang ou de la foi fondatrices de nationalité mais également dans le mode d’organisation politique de l’Etat ( Califat, Reich) articulé autour du guide suprême messianique (calife, führer), un pouvoir dictatorial absolu et liberticide et une cité idéale raciste, purifiée des non-aryens dans un cas et de tous les non-musulmans d’un autre.

Le nazisme est le digne l’héritier de l’islam qui est en rupture totale avec les deux autres religions monothéistes.
Ce n’est pas par hasard qu’il est encore de nos jours adulé dans le monde musulman et Hitler glorifié, des livres comme Mein Kamp et les Protocoles des Sages de Sion , pamphlet anti-juif, figurent au Hit Parade de la lecture des musulmans et notamment chez les arabes.
Quand à l’épisode de l’engagement massif et inconditionnel des volontaires musulmans au sein des troupes nazies, plus de 60 000 hommes, qui n’est surtout pas d’ordre géostratégique comme se plaisent à l’affirmer les mystificateurs de l’histoire de la collaboration entre le Glaive islamique et la Croix Gammée pour paraphraser Roger Faligot et Rémi Kauffer qui avaient mis à nu et démystifier cette proximité d’essence doctrinaire dans leur excellent livre paru en 1990 : le Croissant et la Croix Gammée : les secrets d’une alliance. Comme on ne peut pas non plus nier les conversions à l’islam des nombreux dignitaires nazis réfugiés dans les pays musulmans et tout particulièrement l’Egypte qui trouvaient certainement dans l’Islam des réponses adéquates à leurs pulsions mortifères, un substitut alimentaire à leur boulimie raciste anti-juive et mysticisme destructeur, viril, violent et nihiliste que dans le christianisme mollasson, une religion pour les faibles, une invention des Juifs pour corrompre le peuple allemand, comme le qualifiait le Chancelier Adolph Hiteler et encore moins le judaïsme, la source de tous ses maux dont la disparition définitive est le seul remède à ses maux.

L’éliminer par tous les moyens pour ne pas le laisser détourner les allemands de leur identité originelle et gangrener leur civilisation. Cet ennemi dont il faut éliminer de la surface de la terre ne pouvait exercer des attraits « spirituels » sur les nazis réfugiés dans les pays arabes qui étaient restés fidèles à l’enseignement de leur Führer l’exécrait religieusement et auquel il associait la propagation de la démocratie, qui n’est pas sans rappeler l’aversion pathologique des islamistes pour la laïcité et la franc maçonnerie.

Pour lui : « le Juif qui apporte avec lui la démocratie a pour but ultime d’asservir les peuples. Par conséquent, le Juif, cette sangsue, doit être exterminé » (der Jude als Blutengel muß ausgerottet werden). », in la Judéophobie des Modernes. Des lumières au Jihad mondial, Odile Jacob.

Eux qui furent toujours son âme damnée n’allait pas suivre une autre voie que celle qui prône le sens du sacrifice de sa vie pour les besoins de sa cause quelle que soit sa légitimité tant qu’elle doit être l’expression majeure du guide-ordonnateur, immatérialisé ou non.

Les musulmans exécutent aveuglement et mécaniquement les ordres d’une figure tutélaire, immatérielle et abstraite qui leur est pourtant interdit de dessiner, et qu’ils dotent pourtant d’attributs humains et pour laquelle tels des Waffen SS ils sont prêts à donner leur vie pour la défendre et la faire triompher.

Tuer et se faire tuer pour ce qu’on croit être son idéal politique ou religieux, avoir une âme soldatesque ou djihadiste, capable de se transformer en bombe humaine, tel est le devoir assigné au bon nazi comme au bon musulman.

Heinrich Himmler en 1943 n’avait pas fait mystère de son islamophilie en disant qu’il n’avait aucune animosité à son égard parce que l’Islam se chargeait lui-même d’instruire les hommes, en leur promettant les prébendes paradisiaques s’ils combattaient avec courage et se font tuer sur le champ de bataille. Une religion d’élevage de soldats fanatisés, complètement lobotomisés et formatés et à la volonté annihilée par les effets de l’endoctrinement religieux. Et comme le disait Himmler, commode et pratique pour un soldat.

Un djihadiste plutôt dont la vaillance n’a de sens que sa mort au service de sa cause.

La traversée du pont qui relie les deux rives idéologiques de l’abomination de l’humanisme et du Juif était dans l’ordre naturel des choses. On se convertit dans ce qu’on croit être la meilleure voie pour soi. Surtout que dans le cas des dignitaires nazis, seul l’Islam et son message belliqueux, cosmique, raciste, antisémite, impérial, suprémaciste, hégémonique, impérial, purificateur, censé purger l’humanité de ses scories judéo-chrétiennes, engendrant un nouvel ordre mondial gouverné par les élus d’Allah et auxquels le reste de l’humanité doit allégeance.

Deux idéologies dont la finalité était et l’est encore (?) la création d’un nouvel homme en opposition respectivement à la catégorie des sous-hommes chez les nazis ou Dhimmis chez les musulmans. Il s’agit plutôt de l’héritage musulman chez les nazis qu’il convient de souligner et non pas de ressemblance entre les deux systèmes de pensée qui chacune à sa façon veut affirmer sa domination sur le monde et la vie des hommes au nom de sa supériorité absolue et intrinsèque.

L’islamisme n’est pas l’islam politique, il est l’islam tel qu’il doit être

Salem Ben Ammar

L’islamisme est le sérum de vérité de l’islam.

Le bilan de 3 ans de descente aux enfers ou le bilan de 1400 ans d’occupation arabo-musulmane ? Avec la barbarie qui gangrène la Tunisie et l’Egypte, comme la plupart des pays musulmans, le seul constat que l’on puisse faire est que grâce à l’islamisme, on découvre le vrai visage de l’islam en grandeur nature.

Plus de doute quant à la vraie nature de l’islam. Longtemps mythifié et aujourd’hui révélé. De l’islam de paix et de tolérance que ses partisans véhiculent, les islamistes ont tordu le cou aux préjugés favorables et toutes ces idées fantaisistes sur l’islam pour lever le voile sur le vrai sens de l’islam : belliqueux, velléitaire, intolérant, fanatique, totalitaire, réactionnaire, ethnocentrique, impérial, expansionniste, nombriliste, ethnocide, négationniste, arrogant, hautin, suffisant, inculte, réactionnaire, obscurantiste, violent, tartufe, faux-dévot, schizophrène, paranoïaque, inhumaniste, désuet, mégalomaniaque, délirant, nazi, raciste, antisémite, ultra misogyne, libertaire, pédophile, esclavagiste…

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L’islamisation du monde est en marche et avec elle son corollaire de crimes contre l’humanité

Encore et toujours la même cible, celle des chrétiens qu’Allah voue aux bûchers des feux ardents de son enfer et dont il recommande l’extermination. jugés comme associateurs ayant commis le pire péché aux yeux de l’islam d’associer Jésus à Dieu, Shirk,  des pervers qui ont dévoyé la parole divine  « Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes  [dont les chrétiens] partout où vous les trouverez. »  S. IX, V.5. S 5.

S.5,V.47-48 « Que les gens de l´Evangile jugent d´après ce qu´Allah y a fait descendre.(c’est-à-dire le Coran) Ceux qui ne jugent pas d´après ce qu´Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. Et sur toi (Muhammad) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité, pour confirmer le Livre (la Bible) qui était là avant lui et pour prévaloir sur lui. (pour que le Coran prenne le dessus sur la Bible). Juge donc parmi eux d´après ce qu´Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t´est venue. A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. »

S. 61, V.9-11 « C´est Lui (Allah) qui a envoyé Son messager (Mahomet) avec la guidée et la Religion de Vérité , pour la placer au-dessus de toute autre religion, en dépit de l´aversion des associateurs. (les associateurs sont les païens mais aussi les Chrétiens parce qu’ils associent Jésus à Dieu. Vous croyez en Allah et en Son messager (Mahomet) et vous combattez avec vos biens et vos personnes dans le chemin d´Allah, et cela vous est bien meilleur, si vous saviez! »

D’autres versets non moins révélateurs de l’aversion d’Allah pour ces associateurs dont il faut purifier la terre musulmane

Le Coran, Al-Baqarah 190 :  » Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants. « 

Le Coran, Al-Baqarah 193 :  » Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. « 
Ses escadrons de la mort forts de leur impunité religieuse donc juridique et alléchés par les perspectives de l’érection éternelle et du vin coulant à flot dans l’au-delà ne font qu’appliquer scrupuleusement son enseignement et nettoyer leur prétendument terre sacrée de tout ce qui est juif, chrétien et incrédule, ces porcs et ces singes  les ennemis à égorger et avec lesquels Allah interdit toute alliance.

Fidèles à aux préceptes coranique les exécutants de basses besognes mahométanes doeuvrent d’arrache-pieds pour protéger et immuniser leur espace territorial contre toute forme de présence non-musulmane susceptible de le polluer.
La pureté de leur religion qu’Allah a placée au-dessus de toutes les autres (S.3, V.10) est au prix du sang des mécréants. Le sang humain, celui des hommes frappés par la malédiction d’Allah et dont le meurtre est licite, devient le sang purificateur de l’Islam lui-même. Comme s’ils cherchaient à nettoyer avec le sang des innocents les traces de leur souillure de leur propre religion.

L’islamisation du monde est en marche avec la bienveillance passive des grands de ce monde, et avec elle son corollaire de massacre et d’exil forcé.

Les Coptes discriminés et opprimés sont devenus la cible à abattre pour les nazislamistes au pouvoir en Egypte, invités par Mohamed Morsi à choisir entre la valise et l’Islam. Les chrétiens irakiens de rites nestoriens, chaldéens, orthodoxes dont certains appartiennent aux plus vieilles églises chrétiennes au monde, sont en voie d’extinction en Irak.

Pour la plupart ils ont choisi l’exil plutôt que la mort ou la conversion forcée. Les chrétiens syriens qui représentent plus de 10% de la population syrienne, ne vont non plus échapper au triste sort de leurs frères irakiens, sous l’oeil indifférent de l’Occident chrétien qui préfère armer les djihadistes exterminateurs à des fins mercantiles, géostratégiques et énergétique plutôt que les défendre contre ces mêmes terroristes agresseurs du peuple syrien.

Il serait fastidieux de dresser l’inventaire du martyr chrétien dans les pays musulmans de l’Indonésie au Nigéria en passant par le Pakistan, l’Iran voire l’Arabie Saoudite où des femmes et des hommes sont persécutés et risquent la peine de mort pour avoir apostasié l’Islam au profit du christianisme.

Comme si l’Islam était  la seule voie que l’humanité doit emprunter et point de salut en dehors d’elle S. 3.19. « Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’Islam. Ceux auxquels le Livre (les Juifs et les Chrétiens) a été apporté ne se sont disputés, par agressivité entre eux, qu’après avoir reçu la science . Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah.alors Allah est prompt à demander compte ! »

L’humanité est prévenue l’islam ou la mort. Il ne doit y avoir en Islamie une cohabitation possible avec les autres religions ni .la liberté de culte et de conscience quasi-absentes dans les pays musulmans adhérents à la Charte des droits de l’homme du Caire.

Plus que les textes fondateurs il n’y a pas mieux que la réalité des faits quant à l’état des libertés individuelles dans les pays musulmans où la Charia fait sa loi. Il ne se passe plus un jour au Nord du Nigéria sans que des églises locales ne subissent des attaques terroristes de la part de la secte sanguinaire et fétichiste de Boko Haram ( boko : livre; haram : illicite) qui veut créer un Etat islamiste dans cette partie du Nigéria se revendique des Talibans et de l’islamisme salafiste salafisme mais proche dans son mode opératoire de la Qaïda au même titre que la secte d’Ennhdha en Tunisie rendue coupable le 22 novembre 2012 d’actes antisémites et d’apologie du nazisme.

Tous sont à la poursuite des desseins hégémoniques et messianiques qui nécessitent pour leur réalisation un nettoyage en règle de tout ce qui n’a pas le caractère musulman. Boko Hram qui signifie littéralement l’éducation occidentale est un pêché qui sème la mort dans les églises depuis 2002, plus de 1000 morts, préfigure ce que les nazislamistes réservent pour l’humanité non-musulmane, voire les musulmans eux-mêmes qui restent toutefois les premières victimes de la violence terroriste qui prend de plus en plus aussi les mosquées pour cible de ses méfaits.

Aujourd’hui, en cette mirifique terre musulmane comme si l’islam l’avait créée, havre de paix et sanctuaire de la non-violence, selon les laudateurs zélés de l’Islam humaniste, l’humain n’a plus guère d’autre alternative soit se fondre dans le moule musulman pour sa survie, soit mettre sa vie en péril en traversant la Méditerranée à bord de barques de fortunes qui deviennent la cause bien souvent de son infortune pour finir dans les fonds abyssaux de cette Mer qu’il croyait être la Mer de son salut.

Certains ont tendance à chercher à dédouaner les agissements criminels des extrémistes musulmans on y opposant le passé inquisiteur de la chrétienté. On ne justifie pas ses propres horreurs par les horreurs d’autrui. On devrait plutôt en tirer des leçons pour ne pas infliger des nouvelles blessures à l’humanité. Par décence et humanité, ils doivent cesser de regarder dans le rétroviseur d’autrui et d’affronter la réalité en face. On ne justifie pas ses propres dérives par les dérives d’autrui. On répond de ses actes et on ne les explique pas par les actes d’autrui non plus. C’est pas une raison de voler ou de tuer parce que les autres l’auraient fait. C’est symptomatique de leur état d’immaturité intellectuelle et de leur incapacité pathologique à assumer ses responsabilités. Ni responsable ni coupable comme on l’entend souvent est un faux argument et révélateur surtout de l’état de troubles psychiques de celui qui le tient. En droit, un auteur d’un crime reste son auteur et il doit s’en expliquer et y répondre.

Quand des terroristes dûment identifiés commettent des attentats aux voitures piégées, ils sont des terroristes et doivent être condamnés en tant que tels. Quelqu’un qui comment un crime est criminel point et ne peut se prévaloir des faits criminels commis par autrui en d’autre temps et lieu pour s’exonérer de sa propre culpabilité.

Depuis 20 ans, il y a une véritable recrudescence des attentats meurtriers contre les édifices religieux et les chrétiens un peu partout dans le monde et tout particulièrement en Egypte, l’Irak, la Syrie et le Nigéria et ce sans que ni le Vatican, ni la communauté internationale plus préoccupée à couvrir le carnage du peuple syrien ne s’en émeuvent et ne désapprouvent.

Toujours ce silence complice angoissant et inquiétant quand au péril de la barbarie islamiste qui menace dangereusement notre devenir humain.

Quoi dire et quoi en penser ? Ces attentats ne sont pas l’oeuvre d’une religion mais celle des hommes qui s’en réclament et qui suivent ses préceptes.

N’est-il pas temps que des voix unanimes s’élèvent pour les condamner et désapprouver les agissements barbares de ces brebis galeuses ? S’offenser parce que l’image de la religion a été bafouée est une chose mais ne pas s’indigner, compatir, se révolter et réagir contre les agissements criminels de ses coreligionnaires n’est pas digne d’un pratiquant. Et qui ne condamne pas cautionne et souscrit ? Daté du 01 janvier 2013

Ce Kamel Jendoubi qui a pavé la voie de la victoire à Ennahdha et a précipité la Tunisie dans le précipice

Hold-up des islamistes et de leurs godillots opportunistes des droits de l’hommisme sur la Tunisie
17 décembre 2011, 21:07

La Tunisie s’enlise chaque jour dans un bourbier inextricable. Elle marche à contre-courant de son histoire.
Sa Révolution qui a pris les tunsiens eux-mêmes de court censée la propulser vers de l’avant, lui a fait faire en un seul mouvement un bond en arrière de 14 siècles.
En effet, tout indique que l’avenir de la Tunisie est des plus sombres et ténébreux à cause de tous ces hommes et femmes attirés comme des mouches par le miel de la Révolution tunisienne.
Ils sont à l’origine directe de sa descente aux enfers dantesques.
Depuis leur retour impromptu, obséquieux et insolent, à cause de leur arrogance et suffisance, n’hésitant pas à adopter une posture d’opposants, alors qu’ils étaient les laissés pour compte de l’ancien régime, ils se comportent depuis comme des véritables pique-assiettes, confisquant les fruits de la Révolution des Indignés en l’ayant détournée à leur profit grâce à l’émaillage de toutes ces instances illégitimes pour le peuple et qui leur avaient permis de s’octroyer une légitimité d’opérette.
En attendant, ils plongent la Tunisie dans la pire crise de son histoire depuis l’invasion dévastatrice des Banu Hillal.
Après avoir profité de l’hospitalité de leurs hôtes occidentaux et de l’argent de leurs maîtres-esclavagistes orientaux et autres, les voilà aujourd’hui en train de se goinfrer sur le dos du peuple tunisien opprimé, affamé, et persécuté par l ‘ancien despote et qui continue à l’être encore.
Sans la générosité et hélas la naïveté des tunisiens, ces sulfureux personnages sortis du nulle part un soir du 14 janvier 2011, ne seraient pas entrain de mettre sous coupe réglée la Tunisie.
Aussi ingrats que veules à l’instar du président-guignol-psychopathe, le locataire très provisoire de Carthage le bouffon Moncef Marzougui , l’homme de paille de R. Ghannouchi qui se rêve en un nouvel Hitler, girouette notoire et félon dogmatique, l’inénarrable et ignoble mercenaire wahhabite et terroriste jamais repenti couvert de ses immunités canoniques.
Sachant que certains étaient devenus binationaux grâce aux lois républicaines se font aujourd’hui les farouches adversaires de la binationalité. De peur de se regarder dans leur propre miroir !
Ils ont tous abusé de la confiance du peuple et trahi l’esprit de sa révolution.
Et à cause de ces rats sortis de leurs tanières pour propager la peste et le choléra en Tunisie, la Révolution tunisienne s’est transformée en un véritable théâtre de Boulevards où des figurants sont devenus des acteurs principaux comme cet opportuniste pathologique de K Jendoubi et le premier sinistre H. Jébali.
Au lieu de concrétiser les espoirs nés de sa révolution : dignité, travail et liberté, la Révolution des Indignés a drapé dans les habits de la vertu des individus qui devraient être marqués du sceau de l’ignominie et de l’indignité.
Leur retour insolent et insultant à la mémoire des victimes du Néron de Carthage n’a fait que précipter le pays dans le fond du gouffre.
Eux qui croient entrer dans l’histoire en touchant le Graal de la gloire laisseront dans la mémoire des tunisiens et des générations futures les traces indélébiles de la honte et de la traitrise à l’exemple des pétainistes en France.
Leurs noms sont désormais synonymes de miliciens-collaborationnistes.
Ils évoqueront à tout jamais dans l’inconscient collectif la descente de la Tunisie aux enfers wahhabites et néo-impérialistes américains.
Leur antipatriotisme est le corollaire de leur nature prédatrice et vorace. Aveuglés et assoiffés par leur soif de revanche sociale, plutôt que politique, ils se comportent en maîtres du pays alors qu’ils ne sont que les esclaves de leurs maîtres.
Paradoxalement, ils se caractérisent tous par la basse extraction sociale et produits de l’ascenseur social bourguibien.
Ils sont tels des caves aigris qui se rebiffent, occupant la première marche du podium, avec des résultats truqués, par la bonne grâce de leurs mentors-protecteurs.
Godillots, laquais, pions, marionnettes, serviles, nervis et pantins, ils débordent de zèle pour donner des gages à leurs commanditaires afin qu’ils puissent continuer à se complaire dans les beaux rôles qu’ils leur font jouer.
Il suffit de voir ce spectacle pathétique, fade, insolent, indolent, outrecuidant et misérable de K. Jendoubi qui se lamente de désespoir de se voir éjecter de la scène pour en avoir fait trop dans sa mission scélérate de falsification du scrutin du 23 octobre 2011.
En effet, ses donneurs d’ordre lui ont fixé la limite de 20 à 25% pour leur protégée d’Ennahdha, mais pris dans sa frénésie de trop leur plaire, il l’a servie au-delà de toutes leurs attentes, ayant même failli lui assurer la majorité absolue.
Contrariant ainsi tous les plans des chefs- marionnettistes qui ne voulaient pas que l’intronisation des islamistes incultes et incompétents se fassent de manière aussi brutale et précipitée et dans un délai aussi court.
Ayant programmé une prise de pouvoir progressive des islamistes afin qu’ils ne se brûlent pas les ailes d’entrée de jeu, mais Kamel Jendoubi a confondu vitesse et précipitation, impatient de toucher la prime promise pour ses mauvais et déloyaux services à la Tunisie. Favoriser la victoire d’Ennahdha pour toucher son Graal diplomatique, lui qui adore tant les postes de prestig et les privilèges y afférents.
Faisant de cette dernière l’objet des courroux de tunisien, cristallisant rejet et haine. Ce qui n’est pas sans conséquence sur la pérennité politique de la milice tunisienne et une remise en cause de la politique de main mise américaine sur la Tunisie.
Une pièce maîtresse sur leur échiquier de subordination de tous les pays arabes au wahhabisme expansionniste dont ils sont les architectes.
Résultat pour ce serviteur trop zélé, inconscient et trop complaisant, faux-exilé, son rêve d’ambassadeur s’est évanoui comme un mirage dans le désert arabique.
Les chefs-marionnettistes américains ont beau simuler et établir des scénarios dans leurs centres d’études, concevoir les stratégies les plus affinées, ils oublient un élément essentiel, la psyché particulière des arabes et leurs facs-similés.
Les impétrants souffrent généralement d’une inconstance psychologique et d’une inconsistance intellectuelle telles qu’ils se veulent toujours plus royalistes que le roi.
A cause de tous ces figurants qui se veulent acteurs alors qu’ils ne sont même capables de tenir le rôle de seconds couteaux, la Tunisie se trouve ensevelie sous un Tsunami dont dont elle ne s’en remettra jamais.
Les Yankees qui ont été les premiers à prendre le train de la révolution tunisienne dès le soir de la chute de Néron Ben Ali, ont mis en scène des acteurs-fossoyeurs-prédateurs qui ont -en l’espace de 10 mois- détruit tout ce que le pays a pu construire en 50 ans, voire plus si l’on prend en compte l’amorce de la lutte pour l’indépendance nationale.
Cette pièce de tragédie grecque avec tous ces mauvais acteurs fait ressembler la scène locale à un film d’épouvante de Frankenstein où se mêlent l’horreur, le tragique et le comique laissant augurer une issue sombre et angoissante pour le pays surtout avec l’apparition sur la scène aujourd’hui d’une espèce humaine d’origine indéfinie, mi-humaine, mi-animale, à l’allure grise, noire et marron, au visage défiguré par les pulsions de mort et mangé par des barbes drues et pouilleuses.
Arborant le masque du Belzébuth wahhabite, sous les ordres de leur chef de meute, un Gourou illuminé et apostat R. Ghannouchi, véritable maître du pays, qui ne manque pas une occasion de souffler le chaud et le froid, crachant son poison venimeux sur le peuple tunisien, faisant l’apologie des inégalités sociales, flattant l’ego des riches et déversant son mépris sur les pauvres.
Un homme dédouané de tous ses crimes passés et présents à l’insu du plein gré des tunisiens, traité comme le grand Emir qu’il a toujours voulu être, déambule sur les plateaux de télévision en exhibant ses crocs acérés et excités par l’ odeur de la chair humaine dont il était très féru à une certaine époque voire encore aujourd’hui et qui serait paraît-il le clone vivant d Dr Josef Mangele. Ils sont tels les escadrons de la mort, avec des femmes couvertes du pied jusqu’à la tête par des capes noires, comme si c’étaient des linceuls dont on couvrait le corps des défunts avant leur mise en bière, qui déferlent dans ses cités et colonisent ses territoires, ceux de ses universités, ses écoles, ses administrations.
Se faisant passer pour les brigades de la vertu alors qu’ils sont les messagers du Grand Effroi et de l’Enfer ici-bas.
Le pays qui croyait avoir ôté le carcan de la mafia des Ben-Ali-Trabelsi, le voilà plus que jamais enserré dans celui de la mafia de dieu et séides opportunistes sous la houlette de l’Administration américaine.

Soutenir le Hamas c’est soutenir le terrorisme islamique

ll n’y a pas d’hiérarchie entre les victimes de Gaza et celles d’Irak ou d’ailleurs, mais il y a une hiérarchie entre les enjeux sous-jacents à chaque tragédie qui secoue le Proche-Orient.
En effet, on s’étonne que ce qui aurait pu être une affaire moins préoccupante humainement, politiquement et juridiquement au regard de droit international, occupe la une des médias et fait battre les pavés aux manifestants en France, alors que l’affaire en  question qui  fait surgir les pages sombres de l’histoire contemporaine est reléguée au second plan.

On sait que les criminels doivent payer de leurs crimes mais il y aussi ceux qui leur prêtent leur concours en leur servant d’amplificateurs et de caisse à résonance pour brouiller les pistes et ceux-là sont autant condamnables que les premiers surtout que bien souvent ils sont mus par des arrières-pensées nauséabondes.

Loin de moi l’idée de minimiser les morts de Gaza qui sont à mettre à l’actif du Hamas, mais une question nondénuée d’intérêt pourquoi le Hamas a exhibé ses crocs au moment où les chrétiens irakiens et les Yazidis sont menacés d’extermination alors que toute notre attention doit être portés sur eux ?

En provoquant Israël Hamas cherche à  allumer un contre-feu pour détourner l’attention  de l’opinion publique mondiale du  génocide perpétré par ses amis islamistes de Daech.

Cette synchronisation des évènements tragiques est en soi la meilleure preuve quant à l’implication du Hamas dans les malheurs qui frappent les chrétiens irakiens et les yazidis.

Cette histoire du drapeau palestinien brulé est une grossière mise en scène, un trompe-l’oeil juste de la poudre aux yeux.

De toutes les façons Hamas lui-même ne reconnaît pas l’emblême national palestienien. Aujourd’hui, il nes’agit pas d’un banal épisode dans le conflit tourmenté israélo-palestinien, il s’agit d’une guerre ouverte de l’islamisme contre le monde non-musulman voire le monde musulman  lui-même qui n’est pas dans une logique de guerre.

Ces foyers de conflits qui prolifèrent dans le monde musulman et tout particulièrement en Libye, en Irak, en Syrie, en Tunisie, au Mali, en Afghanistan, au Pakistan, en Algérie, etl’Europe elle-même sont tout sauf le fruit du hasard.

Le jour où ils vont tous s’embaser simultanèment, le monde ne saura pas où se donner de la tête ni quel foyer circonscrire en priorité.

L’humanité comprendra qu’en diabolisant Israël, elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête. Israël est conscient que les enjeux dépassent le cadre d’une banale escarmouche qui l’oppose aux Palestiniens de Gaza.

Quant à l’O.C.I. cette organisation du crime islamique qui a tous les moyens pourtant de veiller elle-même à la protection des minorités ethniques et religieuses vivant sur ses territoires,elle fait comme si cette tragédie n’existait pas.

Elle peut toujours se murer dans le déni de la réalité, il y a tout lieu de croire que son silence troublant est plus qu’approbateur, il est un blanc seing accordé aux activistes islamistes pour accélérer le processus de l’islamisation du monde dont elle deviendra le pilote politique.

Pendant que l’islam laisse planer des sériueuses menaces sur la paix et la sécurité dans le monde on jette aux orties l’un des rares pays au monde capable de contenir l’appétit hégémonique de cette religion mortifère et impériale.

L’O.C.I. est consciente que tant que le verrou israélien perdure, elle n’a a quasiment aucune chance de concrétiser son plan diabolique.

C’est pourquoi, elle joue une partie de Poker menteur pour flouer l’opinion publique mondiale plus encline à  hurler avec les loups quand il s’agit du mechant’Israël qui ne fait pourtant que défendre sa survie au milieu de la jungle arabo-musulmane. En provoquant l’Etat hebreu cela lui permet de surfer sur l’antisémitisme son Joker pour s’attirer les soutiens diplomatiques et les sympathies de la rue.

Si les auteurs des crimes contre l’humanité en Irak et en Syrie étaient des juifs ?

Depuis 1435 ans les musulmans sunnites ne cessent de massacrer des chiites mais personne ne dit rien car c’est une affaire entre musulmans.
Les chrétiens du Proche-Orient sont victimes de pogroms, de convsersions forcées, vendus comme des esclaves, leurs lieux de culte brûlés, objet d’une campagne de purification religieuse qui entre dans le champ de la définition de crimes contre l’humanité commis par des musulmans comme ceux qu’on croise dans les rues de Paris et ailleurs sans que le Conseil de Sécurité des Nations Unies, ni l’Otan ni aucune grande puissance ne lèvent le petit pouce et s’en inquiètent car ce sont après tout des arabes qui tuent d’autres arabes, ce qui est faux et archi-faux ce ne sont pas des arabes qui exterminent d’autres arabes, ce sont des musulmans qui font un carnage sur des non-musulmans qui sont les vrais occupants de cette terre meurtie.
Si les auteurs de ces crimes contre l’humanité étaient des juifs, les antisémites de tous bords du monde entier n’auraient pas raté l’occasion pour cracher leur poison venimeux sur les juifs et appeler à leur extermination.
Or, les juifs ne tuent pas et quand ils le font c’est parce que leurs ennemis ne leur laissent pas le choix. Il y va de leur vie et ne vont pas s’offrir en victimes expiatoires aux égorgeurs du Hamas qui n’existent que dans l’effusion du sang des leurs et des civils israéliens.
Les juifs n’attaquent jamais leurs adversaires par surprise, ils ont l’âme chevaleresque et sont les premiers à pleurer les victimes collatérales palestinienes qui leur font plus mal que la perte de leurs propres enfants.
Jamais un islamiste ou un musulman light ne doit comptir pour la mort de la barbarie musulmane. Le jour où il le fait il cesse d’être musulman et recouvre ainsi ses vertus humaines.
L’humanité doit enfin prendre conscience que l’islam lui6mène une guerre acharnée et non-conventionnelle, si elle ne se réveille pas à temps c’en serait fini d’elle.

L’islam demande de l’aide au Vatican pour être reconnu comme religion de Paix

Ben Ammar Salem

emblem of the Papacy: Triple tiara and keys Fr... emblem of the Papacy: Triple tiara and keys Français : emblème pontifical Italiano: emblema del Papato Português: Emblema papal. (Photo credit: Wikipedia)

L’islam lui-même reconnaît qu’il n’est pas celui que ses adeptes croient et surtout pas une religion de Paix.

Pourquoi l’islam a-t-il besoin de la bénédiction du Vatican pour être reconnu comme religion de paix comme vient de le demander au Pape François 1er un éminent docte de l’Université d’el Azzhar ?

Ses adeptes sont convaincus qu’il l’est alors que lui-même semble convaincu du contraire. S’il l’était aurait-il cherché à être ce qu’il ne l’est pas ?

Il fait penser à cet enfant qui se réclame de son père mais le père continue à ne pas le reconnaître.

En fin de compte le problème de l’islam est un problème identitaire c’est certainement là qu’il faut trouver les bonnes réponses à ses crises violentes récurrentes.

Il a du mal à…

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Le combat contre l’hydre islamiste n’est pas tuniso-tunisien il est universel

Les cavaliers noirs de l’Apocalypse aborant les couleurs de la secte de l’infâmie humaine semblent les mieux placés pour gagner leur Graal électoral en Tunisie. Non PAS qu’ils rencontrent une forte adhésion à leur cause ignoble, anti-tunisienne et génocidaire, mais surtout gâce au boulevord politique qui est ouvert devant eux dû à la grave incurie politique dont souffre la Tunisie et la faiblesse pathétique des instances qui se veulent architectes des futures élections.

Le pilotage électoral tunisien aurait dû etre confié à des personnes autrement plus compétentes et plus clairvoyantes afin d’épargner aux tunisiens ce spectacle d’amateurisme guignolesque et ces atermoiements dangereux pour motiver les électeurs à s’inscrire sur le listes électorales.
Le travail déplorable et inqualifiable desdites commissions ainsi que les mauvais choix de timing des inscriptions sur lesdites listes électorales n’est pas sans conséquences sur l’issue du prochain scrutin.

Toutes ces nominations népotiques et abusives aux seins des commissions de pilotage sont absolument inadmissibles et contre- productives ont été faites au mépris des intérets du peuple tunisien. Comment des personnes sans compétences juridiques avérées, sans aucun back ground intellectuel et politique significatif, sans aucune expertise en matière électorale peuvent-elles avoir la responsabilité de telles commissions ? Quelle est leur légitimité ? Quel est le parcours profressionnel ? Leur formation universitaire ? Leur savoir-faire ? Etre opposant à Ben Ali ne constitue pas un atout-maître pour prétendre à l’exercice d’une mission vitale pour l’avenir de la Tunisie.

La nullité ambiante pourrait être l’alliée potentielle des extrémistes dans la mesure où il n’est pas exclu d’envisager un vote de défiance en leur faveur mais pas seulement.  D’autres facteurs joueront en leur faveur, la forte mobilisation de leur électrorat qui confond démocratie et paradis, les irrégularités massives qui ne manqueront pas d’entacher la régularité du scrutin et et surtout les abstentions massives résultantes du découragement des électeurs qui n’ont pas envie de cautionner la mascarde électrole mise en scène par l’I.S.I.E.le symbole du nouveau népotisme post Ben Ali.

Le risque d’ un ras-de-marée islamiste n’est en aucun cas négligeable à cause ou grâce au faible enthousiame dont font preuve les électeurs tunisiens pour accomplir cet acte citoyen tellement crucial pour leur avenir sociétal, civilisationnel et humain.

Les enjeux de ce scrutin ne sont pas seulement politiques, loin s’en faut. Deux visions du monde diamétralement opposées s’affrontent sur le sol tunisien. Savent-ils que l’avenir de leurs femmes, dont le statut est leur fierté nationale, est- absolument tributaire de ce scrutin ? . Est- ce que c’est le but recherché quand toute la Tunisie s’était levée comme un seul homme pour l’affirmation de sa dignité et de son indignation contre les abus des privilèges, les injustices, la corruption, les atteintes aux libertés les plus élémentaires, l’enrichissement indû, le mépris du bien public, les détournements de fonds, les excès de pouvoir, la manipulation des appels d’offre, le favoritisme, le clientélisme, l’opacité qui s’avèrent être in fine plus que jamais len cours en Tunisie. On a chassé les hommes mais on a pas changé le système.  

Une pathologie chronique incurable que les tunisiens doivent composer avec et chercher à en atténuer les effets. C’est pourquoi il est du devoir de chaque tunisien d’exercer son droit de vote qui est sa seule arme pour endiguer le fléau islamiste et de faire de son pays une nouvelle Carthage qui n’est pas un mythe comme l’Umma, elle est une réalité et quelle réalité!

Savent-ils qu ils sont les héritiers de l’une des plus belles et plus riches civilisations humaines ? Savent–ils qu’ils font partie des peuples qui ont joué un rôle majeur dans l’histoire universelle et qu’ils sont devenus des spectateurs de l’histoire depuis le jour où ils ont été asservis par l’arabo-islamisme ?

La Tunisie terre de civilsation, patrie d’ Hannibal, d’Ibn Kahaldoun, de St Augustin, qui a doné 3 papes à l’Eglise Chrétienne, et de tous ces hommes et femmes qui font sa gloire, ne doit pas devenir une terre de barbarie et une vassale wahhabite.

Votre combat n’est pas seulement politique, c’est un combat pour la sauvegarde et la pérennisation de valeurs d’égalité, de liberté, de justice, de fraternité, de paix universelle, de compréhension mutuelle et de morale publique.

C’est un combat pour la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité qui n’a jamais été l’ennemie des religions bien au contraire. C’est un combat pour le respect de la vie humaine, la tolérance et les libertés de cultes et de conscience.

Le combat n’est pas que tunisien, il est universel. Comme leur impérialisme religieux qui se propage aux quatre coins de la terre au nom du jihaddisme islamique représenté en Tunisie par le Kaiser Ghannouchi R. pionnier du terrorisme islamique.

Ce combat est un combat de la civilisation contre la barbarie. Hitler a échoué dans sa conquete du monde, les Islamistes et leur utopie cosmique (l’slamisme modéré cher à Hilary Clinton et Alain Juppé est une vue de l’esprit) y parviendront si nous ne créons pas ce cordon sanitaire pour protéger la Démocratie, la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du pays

Quand est-ce que les tunisiens vont enfin réaliser que leur pays est mort ?

Il ne passe pas un jour en Tunisie depuis plus d’un an sans qu’un soldat ne soit pas tué par un bon musulman, ceux qui appliquent scrupuleusement les prescrits coraniques, et le tout sans que le bon peuple musulman tunisien ne s’en émeuve et s’en inquiète.
Pourquoi va-t-il condamner ce qu’Allah ordonne, bien au contraire certains tunisiens n’hésitent pas à se réjouir de la mort de ces taghouts ? Comment des pauvres soldats peuvent-ils être assassinés sous prétexte qu’ils ont transgressé les lois de l’islam en ayant fait le choix de protéger leur patrie ?  Sont-ils devenus les idoles tant craints par le fondamentalisme musulman car susceptibles d’être l’objet d’adoration chez les masses frustes et sans véritable  idéal leur permettant de transcender  leurs frustrations et de donner un réel sens à leur vie misérable et sans saveur et de nature à faire de l’ombre au dieu de l’islam ?

Le peuple tunisien se comporte toutefois comme si ces assassinats sont dans la logique des dogmes de l’islam et continue à croire que son pays est un havre de paix alors qu’il est devenu un véritable sanctuaire djihadiste et pire encore il est en proie au pire Tsunami terroriste depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal. Que faudrait-il lui faire comme dessin pour que ce peuple comprenne que son pays s’afghanise inexorablement et que le vrai islam est la mort de la vie ? Le pays est une zone terroriste à hauts risques dont les victimes sont pour l’instant les soldats après la parenthèse des hommes politiques les plus en vue en attendant que le peuple y passe à son tour. Ennahdha mène méthodiquement sa guerre terroriste contre la Tunisie en s’attaquant d’abord aux symboles les plus forts et pertinents histoire d’évaluer les capacités de réaction et de résistance des tunisiens tout en les malmenant psychologiquement au passage. C’est une véritable guerre d’usure militaro-psychologique qu’elle leur livre, et les tunisiens ne voient que du vent.

Totalement déconnectés de la réalité du pays en étant sous l’emprise de l’ivresse du parfum envoûtant de leur saison de mariage et croyant dur comme la météorite tombale noire de la Ka’aba que les urnes sont la meilleure voie pour les débarrasser de l’organisation terroriste d’Ennahdha.

Les seules urnes que les tunisiens doivent préparer sont celles qui devront recueillir les cendres de leur pays.
Quand un peuple veut lutter pour sauver sa patrie, il ne fait pas de la voie de la compromission une voie du salut.
Il n’a toujours pas retenu la leçon du 23 octobre 2011 et ses effets désastreux pour le pays sur tous les plans. Comme il n’a toujours pas compris qu’un prédateur, en l’occurrence Ennahdha, ne lâchera jamais sa proie tunisienne tant qu’elle n’a pas fini de la dépecer entièrement.
La secte des caniveaux de l’humanité a beau être minoritaire mais que vaut la résistance d’un peuple veule, pleutre, bigot, capable de s’allier avec le diable pour satisfaire ses desseins mégalomanes, indifférent au sort de son pays qui étouffe sous des montagnes d’ordures ménagères face à une organisation para-militaire déterminée, soudée, terrifiante, sanguinaire organisée, sans foi et ni loi ?
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Josephine Moulinau, Nadine Maroye, Chris Pachis et 28 autres personnes aiment ça.

Nicole Blanchard Helas oui , on croirait la majorité des tunisiens anesthésiée à force de dire « inch’allah » après chaque phrase !!!
il y a 13 heures · Je n’aime plus

L’islam n’est pas que le passé au présent, il est une machine à figer la vie dans la nuit des temps

30 juillet 2011, 16:42
Les frères Musulmans se plaignent que les lois islamiques ne sont plus appliquées en Egypte depuis la chute de l’Empire génocidaire et raciste ottoman en 1919 au lendemain du massacre massif des arméniens. Comme si d’ailleurs la charia n’est plus en vigueur dans les pays musulmans.
Ils affirment clairement que le projet d’une nouvelle constitution est inopportun puisqu’il y a le Coran qui est au-dessus des lois. Car une constitution ne peut être faite par les hommes seul Allah en est l’architecte, l’inspirateur et le rédacteur. Or, l’idée même de constitution est en soi un sacrilège.
Les hommes n’ont pas à codifier les lois qui les gouvernent. Ils ont le devoir de se soumettre aux lois qu’Allah a édictées pour eux et leur a fixées comme seul ordre juridique à l’exclusion de tout autre.
Légiférer est par conséquent un acte d’insubordination à Allah. Une offense à Allah punissable de la peine de mort.
Le fidèle musulman a une obligation absolue de ne pas exprimer le choix du régime qui convient à sa conception et sa vision du monde, faudrait-il qu’il en ait une. Seul Allah est censé en être pourvue.
Un soumis à sa foi et à la vie guidée par les seuls prescrits de son créateur ne doit pas être en mesure de tracer le cadre juridique dans lequel il doit évoluer avec des règles spécifiques pour chacun des domaines de la vie sociale, personnelle, économique, sexuelle, économique, sécuritaire, internationale, politique, culturelle, interpersonnelle, éducative.
Il ne peut y avoir d’autres fondateurs de lois en dehors d’Allah, ce qui en toute logique interdit aux musulmans de se substituer à lui et de s’auto-octroyer ses attributs ses prérogatives.
Dans l’islam on ne se concerte pas, on ne discute pas non plus de l’application des lois, ni rechercher un consensus autour des lois qui sont déjà pré-établies, immuables et intemporelles, valables pour l’éternité. Non sujettes au débat de leur temporalité et actualité.
Les lois doivent rester figées comme les moeurs, les us et coutumes. Les remettre en question est pire qu’apostasier l’islam. Comme si elles étaient une vérité absolue et ne doivent jamais être frappées d’obsolescence ou rendues caduques. Elles sont l’oeuvre d’Allah et l’expression de sa volonté immanente et doivent perdurer tant que perdure son univers.
Des lois infaillibles et parfaites et en vigueur partout et tout le temps, résistantes aux évolutions du monde, aux bouleversements politiques, aux révolutions, aux remous de toutes sortes.
Le curseur doit rester inamovible, figé, statique et inactif. Les musulmans doivent tous graviter autour de lui, toute leur action doit être menée dans le contre-sens de l’aiguille d’une montre. L’islam n’est pas une machine à remonter le temps, il est une machine qui paralyse le temps et le statufie.
Ses lois sont comme un un fil d’Ariane pour éviter à ces enfants perdus et désorientés, immatures et fragiles la séparation avec leur vrai Concepteur-géniteur. Les enfants qui naissent sont son oeuvre.
C’est pourquoi les musulmans sont sa chose, son bien, sa propriété inaliénable dont il dispose selon son bon vouloir, il peut en faire une bombe humaine ou une prostituée halal, qui pour eux naître musulmans est une bénédiction divine et toute rupture de lien expose l’insolent à la malédiction d’Allah.
Allah leur a taillé un uniforme qu’ils doivent endosser, qu’il soit ample ou étriqué, les musulmans ne doivent y apporter aucune retouche, ni modification pour l’adapter à leurs mensurations.
L’islam est un pluriel au singulier. Les fidèles sont tenus à emprunter une seule et unique voie qui n’admet aucune déviation, ni réajustement. Une voie qui se veut parfaite et intemporelle qu’ils doivent pérenniser et diffuser.
Ils n’ont pas à donner du sens à leur propre que seul Allah est censé lui donner du sens. N’existant pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ils sont au service de Celui qui est leur Maître et Guide. Jamais maîtres de leur choix ou de leur décision. Même quand ils accomplissent leurs forfaits criminels et ignominieux, c’est Allah qui a guidé leurs bras.
Une chance inouïe pour les musulman d’avoir été désignés pour exécuter les sombres desseins pour l’humanité de ce dieu apocalyptique et sanguinaire.
Quand on est un digne fidèle de l’islam, on ne doit jamais se soumettre à des lois qui ne sont pas consubstantiellement d’origine musulmane. Quels que soient la portée et le bien fondé des lois qui ne sont pas l’expression de la volonté d’Allah, l’unique et le vrai législateur, elles ne peuvent qu’être impures et hérétiques.
Un musulman est en droit par conséquent de les snober, les ignorer et les transgresser. Il a obligation de les combattre afin de les abolir pour leur substituer les lois de l’islam appelé à devenir un jour le nouvel ordre mondial.
Forts de leurs convictions que l’islam est la seule voie pour l’humanité, ses fidèles doivent surtout concourir à sa propagation et s’activer à éliminer les obstacles qui contrarient son expansion. Le paradis est au prix de leur investissement inconditionnel, jusqu’au-boutiste, ultra-violent, suicidaire et aveugle dans la victoire finale de la voix de l’islam.
Seuls les naïfs, les tartufes, les islamo-compatibles et les capitulards croient que les fidèles musulmans ne présentent aucun danger pour les lois des assemblées humaines.
Toutes ces lois sont jugées comme étant contraires aux lois d’Allah, elles doivent disparaître pour ne pas polluer l’environnement musulman par leur présence.
Malins et futés, les fidèles musulmans vivant en Occident appelé aire de la guerre, dar al harab, les fidèles musulmans tout en piétinant les codes pénaux ont un art consommé de tirer profit des lois sociales avantageuses et généreuses de cet ennemi à abattre qui creuse lui-même sa propre tombe en contribuant lui-même à sa propre perte, à cause de son laxisme et son absence de discernement.

Si avec le nazisme le monde a connu la Shoah avec l’islamisme il connaîtra sa fin

Contrairement au nazi l’islamiste voue une aversion religieuse aux concepts de la patrie et de l’Etat-nation incompatibles avec sa vision oumienne (communauté des croyants), ce grand Reich islamique fondé sur le seul lien religieux. Exit tous les autres qualifiés de Dhimmis (sous- catégorie humaine, la citoyenneté n’existe pas dans l’islam). Ni couleurs nationales, ni hymne national, ni drapeau, ni nationalité, ni communauté inclusive de destin politique et humain. Seul importe à ses yeux, l’appartenance à un même destin religieux fondateur de communauté de fidèles de laquelle sont en toute bonne logique exclus tous ceux qui n’ont pas leur marqueur idéologique. Ce qui n’est pas sans rappeler les lois raciales de 1935 de Nuremberg. Là où la république intègre et protège, la communauté islamique, le Reich musulman que les islamistes appellent de tous leurs voeux depuis la chute de l’empire ottoman, exclut, discrimine, bannit, purifie,relègue et extermine. Transformer le monde en une secte planétaire qui transcende les frontières.

Une seule matrice pour le monde à l’image de ce qu’Hitler avait fait fait avec son III e Reich poison mortel pour les minorités ethniques allemandes. Jamais un islamiste qui rêve d’instaurer un Califat ne va se préoccuper de la défense de la patrie , des intérêts nationaux et de la concorde entre les hommes indépendamment de leurs appartenances religieuses .

Jamais, un islamiste ne sacrifiera la cause de son Allah  pour celle des hommes. Jamais un islamiste quel qu’il soit ne va se résoudre à respecter l’emblème national et assumer sa citoyenneté. Comme il est de cours aujourd’hui en Tunisie où les islamistes locaux, salafistes ou nahdhaouistes c’est blanc bonnet bonnet blanc s’adonnent de plus en plus à leur sport favori : brûler le drapeau national et diviser le pays en musulmans et non-musulmans.

Un islamiste est en guerre sainte larvée, le djihad, contre les institutions républicaines, et tout ordre juridique non revêtu du sceau de la loi Canon de la Charia. Il n’y ni frontières nationales, ni code de nationalité, seule la foi fait loi et nationalité. Il se sent investi d’une mission cosmique et messianique : imposer la volonté de Dieu à tous les hommes par tous les moyens. Son répertoire idéologique est synonyme de la Saint-Barthélémy : Tuer, violer, jeter l’anathème, exterminer, maudire, terroriser, brûler, châtier, lapider. Il n’est pas seulement déconnecté de la réalité et emporté par la frénésie du pouvoir, il est complètement lobotomisé et incapable de penser et de discerner par lui-même. Il est pris dans un tourbillon infernal et sans fin qu’au lieu de chercher à y échapper, il s’obstine à entraîner tous ceux qui ne lui ressemblent pas dans sa descente inexorable aux enfers islamistes.

Au point que l’on peut légitimement se demander si l’enfer n’est pas le reflet de sa vie sur terre. Il est enfermé dans sa prison mentale, torturé par sa grande souffrance psychique qui l’empêche d’assumer son humanité d’où l’impérieux besoin chez lui de couvrir intégralement les corps de ses femmes d’un linceul noir ou gris évocateur du monde des ténèbres et de son refus pathologique du monde extérieur.

Convaincu qu’il est le vrai porte-parole de Dieu sur terre qu’au point que Dieu lui-même ne saurait lui porter la contradiction. Il se veut Allah, Prophète et Ben Laden à la fois. Il est tel ce moine fou de Raspoutine, dépositaire, justicier et défenseur de la parole sacrée, il n’est à l’écoute que des voix qui hantent et obsèdent ses nuits et jours. Ses hallucinations culminent aujourd’hui à leur haut niveau de paroxysme qu’il est capable de déclencher une nouvelle grande boucherie universelle pour ce qu’il croit être la cause juste de Dieu.

Une cause obscure et absurde comme son visage transfiguré par la haine d’autrui. Inflexible et hyper psycho rigide, cela relève de mission impossible de de faire entendre la voix de la raison à un schizophrène paranoïde tel par exemple le tunisien Rachid Khirriji alias Ghannouchi, le nouvel homo wahhabitus, obsédé par l’idée que la gloire de Dieu ne s’embarrasse guère ni de scrupule ni de décence. Dans sa tête tout se confond et s’entremêle.

Les frontières entre le mal et le bien disparaissent ainsi l’illégal devient légal, l’illicite est licite, pour reproduire en pire et en une vitesse- éclair le système népotique de Ben Ali, affamer davantage le peuple tunisien est dérisoire à côté de l’immensité de sa tâche en faveur de l’islamisation du monde. Tant qu’il se considère sur le sentier d’Allah (fi sabil Allah), il n’ y a aucun code de bonne conduite à respecter. Mentir, fabuler, dealer, doler, esbroufer, truquer, frauder, corrompre, c’est du détail . Pour lui, la voie de Dieu n’a pas à composer avec les lois des hommes. La vie humaine devient dérisoire dans l’accomplissement de la volonté d’Allah.

L’homme n’est qu’une poussière balayée par le souffle de la déflagration de la bombe en l’honneur de cette divinité lunaire et cannibale, à l’appétit insatiable, assoiffée de pouvoir, mégalomane qui se rêve en maîtresse de l’univers.

 

 

 

 

L’intégrisme musulman ne défigure pas l’islam, il le met à nu

L’Islam otage des islamistes nourrit le sentiment de peur chez les non-musulmans.
par Dr Salem Benammar, vendredi 23 décembre 2011, 09:15

Jamais une religion n’a suscité autant de sentiments de défiance, de méfiance, de rejet et surtout de peur comme la religion musulmane et non pas parce qu’elle est victime de préjugés défavorables, elle est plutôt victime d’elle-même et de son incapacité à résoudre ses propres contradictions internes et d’éliminer en son sein le ver venimeux qui la ronge, la mine et la discrédite aux yeux de l’opinion publique européenne et ailleurs. Ainsi, le Figaro inquiet du sort des chrétiens d’Orient et du Maghreb consacre sa manchette du 23/12/2011 à la peur de l’Islam. Hier une militante tunisienne des droits de l’homme me rapportait que des non-musulmans de sa connaissance lui confiaient leur peur de l’Islam depuis le déclenchement du processus insurrectionnel dans les pays arabes. Des amis tunisiens vivant en Tunisie convertis au christianisme me font part de leurs angoisses de se trouver à vivre dans une société dominée par l’Islam et qu’ils envisagent de quitter le pays pour des cieux où ils pourraient respirer l’air des libertés.

 
Plus aucun endroit au monde n’est épargné par cette peur qui frappe de plus en plus les non-musulmans, voire les musulmans eux-mêmes qui ne se reconnaissent pas dans le fondamentalisme musulman et qui  refusent de croire  que l’islam fait enfin tomber la veste. Convaincus que l’islamisme, qu’on appelle abusivement l’islam politique comme si l’islam n’était pas lui-même politique dont la finalité est de s’approprier la vie des fidèles dans ses moindres petits détails et dans tous les domaines de la vie. Il n’y a pas plus d’amalgame entre l’islam et l’islamisme que le nazisme et l’hitlérisme. Ce qui est somme toute logique puisque dans l’esprit il n’ y a pas de religion qui s’appelle l’islamisme et qu’il ne peut s’agir que de la religion musulmane.
 
On ne saurait  accuser ceux qui ne tombent pas dans le piège de la dissociation de l’islam de l’islamisme de se livrer à un sophisme coupable. Qui pourrait dire que les islamistes ne sont pas musulmans et qu’ils professent une religion différente dans sa théologie, son culte, ses articles de foi, son rituel, sa profession de foi et ses dogmes de l’Islam. Comment peux-t-on les assurer et les rassurer en leur disant que les islamistes sont pour l’Islam ce que sont les intégristes pour le Christianisme ?
 
La différence entre les intégristes musulmans et les intégristes chrétiens est que ces derniers respectent l’autorité de tutelle exercée par le Vatican et les lois républicaines tandis que les seconds n’obéissent à aucune autorité ni religieuse, ni républicaine. L’intégriste chrétien sait à quoi il s’expose: excommunication et prison, l’intégriste musulman n’a pas de limite. Il se veut dieu et loi à la fois. Il se croit investi d’une mission sacrée d’islamisation du monde qui le met au-dessus des lois humaines. N’ayant de compte à rendre à aucune justice sauf à celle d’Allah qui le guide et arme ses bras. Quand l’intégriste chrétien manifeste sa colère pour outrage à sa foi comme cela s’est produit lors de la représentation de la pièce de théâtre jugée blasphématoire « Sur le Concept du Visage du Fils De Dieu » au Théâtre de la Ville (voir le Parisien du 21/10/2011), même s’il y a quelques débordements ne mettant pas en danger la sécurité des biens et des personnes, il l’a fait par la prière et la rose blanche à la main. Tandis que l’intégriste musulman lui n’hésite pas de recourir à la force et la violence terroriste mettant en péril la vie des gens pour manifester son indignation-bien souvent infondée-pour laver l’affront qu’aurait subi ou susceptible d’être subi par sa religion comme lors de l’attentat criminel contre les locaux de Charlie Hebdo ( voir mon propre article dans You le Parisien du 3/11/2011).
 
Il ne s’agit pas de faire un parallèle entre les deux et de servir et justifier la cause de l’intégrisme chrétien, il s’agit surtout de faire ressortir le caractère hyper violent et excessif de l’intégrisme musulman transfigurant et dénaturant la religion musulmane elle-même. Incontrôlable et imprévisible. En répandant autour de lui des sentiments d’angoisses et d’inquiétudes l’intégrisme musulman ne dessert pas l’islam, il le met à nu.