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Amis chrétiens, l’islam veut vous anéantir et vous continuez à lui tendre une main charitable

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Chrétiens soyez soldats avant de jouer aux bons samaritains. Plutôt que de prier pour vos bourreaux, pensez à défendre vos frères d’Orient.

Vous savez ce que l’islam vous voue comme haine, pourquoi vous obstinez-vous à tendre une main charitable à un fauve qui veut vous dépecer ?

La paix n’a de sens que si tout le monde y met du sien, sinon c’est une capitulation. Vous brandissez le drapeau blanc, l’ennemi affûte ses couteaux pour vous égorger.

Vous ne défendrez pas votre survie avec des prières, vous ne pouvez la défendre que les armes à la main.

Soyez des vaillants combattants ne vous offrez pas en Holocauste à vos bouchers.

L’islam a fait de la terre un abattoir pour vous, ne le laissez-pas faire sous prétexte que c’est l’Apocalypse.

De quelle Apocalypse parlez vous, de la vôtre ou celle de l’islam ?

C’est de la vôtre qu’il s’agit et vous n’avez toujours rien compris.

Vous avez les moyens de les décimer et vous continuez à jouer à l’agneau pascal.

Une proche de l'un des 21 coptes assassinés par l'Etat islamique .

Votre compassion vous rend sourd et aveugle et fait de vous des victimes expiatoires.

Vous avez lu le Coran comme vous avez certainement lu Mein Kampf, n’ignorez pas la Solution finale qu’il vous réserve.

Si la cible prioritaire de Mein Kampf était les juifs, vous êtes l’une des cibles primordiales du Coran.

Aux yeux de l’islam, vous êtes des êtres abominables, impurs, des porcs infâmes, et au lieu de vous méfier vous dialoguez avec lui.

Vos frères d’Orient tombent tous les jours sous ses coups assassins et l’on ne vous entend guère crier votre ras-le bol de l’islam.

Sortez de vos églises et envahissez les rues de France et de Navarre, faites barrage à la barbarie musulmane !

On ne vous a guère entendu vous indigner quand le factotum Dalil Boubakeur vous a humilié publiquement en suggérant scandaleusement de transformer vos églises en mosquées.

L’ennemi musulman n’a jamais été loyal, vous le savez bien.

Il vous a chassé de chez lui par la force, alors que sa prétendue terre était d’abord la vôtre, et vous faites le mort comme si vous aviez peur de lui.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info

Hommage aux milliers de chrétiens nigérians victimes de l’islam de Boko Haram

cet article date du 26 décembre 2011

Une pensée en cette période censée être de paix et de recueillement mais endeuillée par la terreur islamiste qui a frappé les chrétiens nigérians faisant plus de 40 morts et des dizaines de blessés des victimes dont le seul tort est de ne pas partager la foi de leurs bourreaux membres de la secte  islamiste fortement imprégnée de l’idéologie liberticide et génocidaire des Frères Musulmans Boko Haram  fondée en 2002  par Mohmed Yusuf qui signifie littéralement en langue Haoussa l’éducation occidentale est illicite.

La majorité musulmane plutôt que de dénoncer et condamner explicitement et fermement la barbarie de Boko Haram et des groupes armés salafo-djihadistes qui prônent le retour à l’islam des origines et l’application stricte de la Charia, a tendance de chercher à dédouaner les agissements criminels des extrémistes musulmans on y opposant le passé inquisiteur de la chrétienté. Je leur demande par décence et humanité de ne cesser de regarder dans le rétroviseur d’autrui et de regarder la réalité en face.

On ne justifie pas ses propres dérives par les dérives d’autrui. On répond de ses actes et on ne les explique pas par les actes d’autrui non plus. C’est pas une raison de voler ou de tuer parce que les autres l’auraient fait. C’est symptomatique d’immaturité intellectuelle et d’incapacité pathologique à assumer ses responsabilités.

Ni responsable ni coupable comme je l entends souvent est un faux argument et révélateur surtout de l’état de troubles psychiques de celui qui le tient.

En droit, un auteur d’un crime reste son auteur et il doit s’en expliquer et y répondre. Quand des terroristes dûment identifiés commettent des attentats aux voitures piégées, ils sont des terroristes et doivent être condamnés en tant que tels. Quelqu’un qui comment un crime est criminel point et ne peut se prévaloir des faits criminels commis par autrui en d’autre temps et lieu pour s’exonérer de sa propre culpabilité.

Depuis 20 ans, on assiste à une véritable recrudescence des attentats meurtriers contre les édifices religieux dans les pays musulmans et le nord du Nigéria. Quoi dire et  en penser ?

Ces attentats ne sont pas l’oeuvre d’une religion mais celle des hommes qui se prétendent la professer. N’est-il pas temps que des voix unanimes s’élèvent pour les condamner et désapprouver les agissements barbares de ces brebis galeuses ? S’offenser parce que l’image de la religion a été bafouée est une chose mais ne pas s’indigner, compatir, se révolter et réagir contre les agissements criminels de ses coreligionnaires n’est pas digne d’un pratiquant. Et qui ne condamne pas cautionne et souscrit ?

Le silence de cathédrale du Vatican sur le génocide des chrétiens d’Orient

Pourquoi le Vatican garde-t-il le silence sur le massacre des Chrétiens d’Orient par l’islam ?
Il n’y a pas que les musulmans qui sont à traduire devant le tribunal de l’histoire crime et incitation au crime contre l’humanité en raison d’appartenance à une collectivité identifiable au plan religieux aux termes de l’article 7 du Statut de Rome , il y a leurs alliés objectifs les catholiques et tout particulièrement le Souverain Pontife  dont le comportement est des plus troubles et ambigus qui heurtent la conscience humaine. 
En effet, on ne voit aucune campagne médiatique catholique d’envergure pour alerter l’opinion publique mondiale sur les persécutions criminelles et abominables des chrétiens d’Orient et ceux du Pakistan et du nord du Nigéria, ni on entend peu de voix catholiques qui s’élèvent et condamnent explicitement le génocide perpétré par l’islam à leur encontre.
Il est de son devoir de dénoncer les actes de barbarie humaine qui visent les véritables héritiers du Message originel du Christ.
Il est scandaleux que des prêtres puissent plaider la cause de l’islam et le couvrir de louanges.
Y a t-il une entente tacite voire formelle entre les autorités de l’Eglise catholique et les musulmans dont le but (in)avoué est l’anéantissement du peuple d’Israël et des chrétiens d’Orient auxquels les deux parties vouent une haine viscérale ? 
Par son silence coupable et inexpliqué l’Eglise romaine  semble être  prête à sacrifier les chrétiens d’Orient issus de la plus vielle communauté chrétienne au monde née à Antioche alors capitale de la Province romaine de Syrie qui sont la mémoire vivante du christianisme pour les intérêts de la réussite de son alliance avec l’islam dont la finalité est la destruction du peuple juif cet ennemi irréductible comme il l’avait fait dans les années noires nazies. 
Après tout aux yeux du Vatican les chrétiens d’Orient n’ont que ce qu’ils méritent à cause de leur refus de faire allégeance à Rome et auxquels ils préfèrent les musulmans obsédés par la haine du juif et de son anéantissement. Oubliant que le musulman est encore pire que le nazi il n’aime ni le chrétien , ni personne d’autre et encore moins lui-même. Il n’a d’amour que pour cette divinité sanguinaire, impérialiste, cannibale, esclavagiste et génocidaire. Le musulman est créé pour avoir de l’aversion pour l’humanité tout entière. 
Le Vatican fait fausse route en jouant la carte de l’islam pour venger la mémoire du Christ en lui offrant en Holocauste la minorité chrétienne d’Orient à la façon de Pétain qui considérait les juifs de France comme un détail pour sauver l’essentiel.
Il ne va pas pleurer sur le sort de ces schismatiques, ces sécessionnistes et leur venir en aide alors que le génocide dont ils sont victimes est du pain béni pour lui pour s’en débarrasser sans coups férir. 
Un obstacle de moins dans son projet de mettre un jour la main sur Jérusalem qui est en réalité le vrai noeud du problème du Proche-orient. 
Tout laisse croire qu’il y a un marché secret sur le dos des chrétiens d’Orient et des minorités chrétiennes dans les pays de l’O.C.I. entre les deux forces du mal qui convoitent Jérusalem qui portent sur le partage de la ville entre musulmans et chrétiens et exit les juifs. 
En attendant il faut éliminer tous les obstacles qui peuvent nuire à leurs desseins respectifs qui passent par l’extermination des chrétiens et des juifs des mains des musulmans que le Vatican ne doit pas gêner dans leurs oeuvres destructrices qui ne sont qu’un bien pour un mal

Daech massacre, viole et décapite les chrétiens d’Orient au nom de l’islam comme Mahomet autrefois

Les musulmans ont l’indignation sélective

Une proche de l'un des 21 coptes assassinés par l'Etat islamique .

Des centaine de chrétiens assyriens enlevés par l’E.I. dans le nord-est de la Syrie.

Les hommes risquent de finir comme les 21 Coptes, et les femmes de subir le même sort que les collégiennes nigériennes en vertu des lois scélérates et nazies d’Allah.

Evidemment ce ne sont certainement pas les musulmans de France ou d’ailleurs qui vont battre le pavé pour réclamer leur libération, car ils ne sont pas musulmans palestiniens victimes surtout de la propagande antisémite.

Il est interdit de dire que des jeunes musulmans, forts de leur éducation religieuse qui les encourage et leur confère un sentiment d’impunité, brillent par leurs manquements aux lois de la république. Un musulman est par définition fidèle aux lois de l’islam et jamais aux lois qui n’émanent pas d’Allah.

Instruits par leur lecture du Coran, des Hadits et de la Sira de Mahomet, endoctrinés et formatés par leurs imams et prédicateurs télécoranistes qui soufflent sur la braise la haine de l’autre, et les exhortent au djihad contre « les mécréants », l’islam n’est plus désormais un secret pour eux. Ils ont appris et compris qu’il n’y a qu’un seul islam qui n’est ni radical ni modéré, un islam unitaire et indivisible, purifié de toutes les scories non-islamiques, tel que les musulmans doivent suivre et appliquer à la lettre dans le strict respect de la feuille de route que Mahomet leur a tracée.
Contrairement à leurs parents majoritairement analphabètes, ces jeunes censés être le produit de l’école libre et gratuite de la république s’avèrent in fine ses pires ennemis.

Plus ils s’imprègnent de l’idéologie musulmane, plus ils trouvent des motifs au rejet des symboles de la république qui sont l’antithèse des valeurs inhumaines, inégalitaires, bellicistes, suprématistes, antisémites, racistes, ultra-machistes, impériales, conquérantes, agressives et liberticides prônées par l’islam.

La république croyait leur donner les moyens de s’intégrer dans son paysage, mais en réalité elle leur a donné les armes qu’ils sont en train de fourbir contre elle, avec le projet d’asseoir un jour le pouvoir absolu de l’islam sur ses institutions et sa dilution dans l’espace oumien.

Ces jeunes ne sont pas les enfants perdus de la république, ils sont la 6e colonne produite par la république. A force des les border, de remanier ses programmes d’enseignement d’histoire et de philosophie pour ménager leurs susceptibilités, de faire des concessions alimentaires, de laisser prospérer les écoles coraniques qui sont autant de centrales nucléaires, elle récolte aujourd’hui le prix de son laxisme coupable et son angélisme contre-productif.

Pendant que la république recule et cède du terrain devant les revendications cultuelles exorbitantes des musulmans, l’islam marque des points et ses jeunes les plus virulents se sentent comme galvanisés par sa toute-puissance, et plus que jamais convaincus que la France finira par tomber sous leurs coups de butoir.

En renouant avec les valeurs fondamentales de l’islam, ils ont enfin trouvé l’idéal de vie qui les transcende et qui les fait passer de l’ombre à la lumière que le Coran promet à ses activistes jusqu’au-boutistes.

Tous les interdits et les inhibitions sont ainsi levés, leurs forces sont décuplées grâce aux bienfaits du retour aux sources de leur foi. Un retour catalyseur de réveil des consciences et un aiguillon indispensable à leurs pulsions violentes qui les légitime, qui donne du sens à leur quotidien, et leur permet d’étancher leur soif de revanche sur cette société qui snobe, raille et boude les lois de l’islam et l’image de leur prophète auto-proclamé, leur modèle suprême, qui aurait pu être le géniteur d’Attila, de Gensis Khan, de Tammerlan, de Pol Pot et surtout d’Adolph Hitler, l’idole des foules musulmanes.

Ni Merah, ni Nemmouche, nI Coulibaly ni les frères Kouachi n’ont basculé dans le radicalisme religieux, ils n’ont fait qu’emprunter la voie de Mahomet qui était loin d’être exempte de dérives violentes, irréprochables et respectueuses de la vie humaine et des biens des personnes, comme le souligne l’historien-biographe Mohammed Ibn Ishaq (704-768).

Parmi de nombreux exemples, celui des conséquences de la bataille menée contre les habitants de l’oasis de Khaybar, comme elle fut rapportée par le premier biographe de Mahomet. Les habitants de l’oasis de Khaybar formaient une communauté paisible de paysans juifs qui n’étaient même pas au courant que la guerre leur avait été déclarée, jusqu’à ce que Mahomet emmenât ses hommes contre la ville, un matin, les prenant par surprise et les vainquant facilement.

Mahomet ne se contenta pas de saisir la plupart des possessions et des terres de la ville, et il fit aussi torturer le trésorier de la tribu, un homme nommé Kinana, jusqu’à ce qu’il divulguât l’emplacement secret du trésor.

Mahomet décapita alors l’homme et se « maria » avec sa veuve traumatisée, Safiyya (laquelle passa d’abord entre les mains de l’un de ses lieutenants comme le détermina un tirage au sort).

Le biographe Bukhari, connu pour la crédibilité de ses récits rapportés sur Mahomet (44:668): « Nous étions en compagnie du prophète à Dhul-Hulaifa. Les gens eurent faim et mirent la main sur des chameaux et des moutons (comme butin)… »

Mahomet a dit qu’Allah subviendrait toujours aux besoins de ceux qui croient en lui. Voler des non musulmans était un moyen licite d’accomplir la promesse divine.

Ahmad 4869 (aussi mentionné dans les Hadiths originaux de Bukhari) – Ibn ‘Umar tenait ces faits du prophète, qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix, « Mon approvisionnement a été mis sous l’ombre de ma lance, et l’avilissement et l’humilité ont été placés sur ceux qui désobéissent à mes ordres. »

En raison du simple fait de ne pas croire en Allah, les biens des non musulmans appartiennent aux musulmans.

Le mot « approvisionnement » veut dire moyen d’existence et « avilissement et humilité » se rapportent à la jizya, une sorte de racket mafieux, que les non musulmans sont censés payer. En raison du simple fait de ne pas croire en Allah, les biens des non musulmans appartiennent aux musulmans.

Des paroles qui devraient pourtant donner à réfléchir au Conseil du Culte Musulman de France (CCMF), mais il préfère s’indigner par la voix de son président Dalil Boubaker contre le constat établi par Roger Cukierman.

Qui peut nier que tous les candidats au djihad sont des jeunes musulmans ?

Doit-on garder l’omerta sur ce climat de dégradation de l’état sécuritaire de la France qui est le fait de certains jeunes musulmans prêts à embraser le pays et jouer aux encenseurs de l’islam pour ne pas susciter le courroux des musulmans ?

Nous devons pratiquer une sorte de takyia, le mensonge licite, à nos dépens, pour ne pas nous trouver mis au banc des accusés pour islamophobie, un néologisme d’un très mauvais genre. Ainsi, pour ne pas provoquer un séisme de magnitude 9, on doit cesser de dénoncer la montée inquiétante de la violence, de la criminalité et de la délinquance chez certains jeunes musulmans ?

Il ne s’agit pas de livrer les jeunes musulmans, dont un grand nombre d’entre eux aspirent à vivre en harmonie avec leur environnement républicain, à la vindicte populaire et en faire la cause du mal qui ronge le corps républicain. Il n’en demeure pas moins que nous ne pouvons pas faire l’économie des questions qui interpellent tous les observateurs :

  • pourquoi les jeunes musulmans sont surreprésentés dans la rubrique judiciaire ?
  • pourquoi 100% des attentats terroristes sur le sol français au cours des deux dernières décennies sont commis par des jeunes musulmans ?
  • pourquoi l’islam fait office de caisse de résonance pour les pseudos frustrations de ces jeunes ? Ne dit-on pas que la religion apaise et détend les ressorts de la colère ?
  • pourquoi les musulmans ne condamnent jamais les crimes abominables des leurs ? Un sacrilège que de manifester son hostilité à l’égard de ce que le Coran ordonne.
  • pourquoi tous les crimes contre les juifs sont commis par des musulmans et seulement par des musulmans, alors que l’antisémitisme existe ailleurs ?

Personne ne stigmatise les musulmans, c’est leur comportement, dépourvu de compassion et d’humanité qui pose problème et crée l’amalgame entre les musulmans dits modérés et les islamistes. Les musulmans ne sont pas tous des terroristes mais tous les terroristes sont des musulmans.

En islam on ne compatit pas pour les victimes non-musulmanes.

Leur compassion est celle d’un crocodile pour sa proie.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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Le génocide des chrétiens d’Orient bat son plein et le monde drape l’islam dans sa vertu

Le monde s’émeut et s’indigne parce que les vrais musulmans à la solde du Qatar, de la Turquie et de l’Arabie, les protégés d’Obama, ont saccagé le Musée de Mossoul, mais il garde le silence sur le martyr des chrétiens d’Orient victimes de purification ethnique et de crimes contre l’humanité.

Ce qui se passe dans cette partie du monde et la duplicité de la communauté internationale est en tous points de vue comparable au climat de terreur, de pogroms et d’autodafés en Allemagne nazie.

Génocider les chrétiens est permis, détruire des statuettes, même si cela est absolument condamnable et criminel, provoque un tollé général. Le massacre des chrétiens est un détail, une péripétie dans cette guerre qui ne dit pas son nom mais qui n’est pas sans rappeler les guerres néo-coloniales à des fins de prédation capitalistiques.

En protégeant les chrétiens on aurait sauvé cette partie de notre patrimoine universel. C’est notre passivité qui est responsable des malheurs du Proche-Orient.

Que le monde apprenne enfin ce que c’est l’islam qui n’a jamais été l’ami de l’homme ni de la diversité culturelle, ni du bien vivre ensemble, ni du pluralisme identitaire, ni de l’histoire universelle ni de l’archéologie. Il se veut à lui tout seul la matrice de tous les peuples qui doivent dans ses délires cosmiques se fondre dans le même moule pour former un seul et unique peuple sous la bannière de l’Oumma professant une seule religion, l’islam, et parlant la même langue, l’arabe. Les deux mamelles de l’humanité.

Mahomet a détruit les vestiges archéologiques de la Mecque sous prétexte qu’ils représentent des idoles car pour lui il ne peut y avoir de mémoire et de tradition historiques autres que les siennes.

L’humanité est née avec l’islam comme en sont convaincus les musulmans et tout ce qui peut témoigner de son antériorité, de sa richesse, de sa réussite, de sa splendeur, et de sa supériorité sur lui doit disparaître. Tous les peuples conquis par l’islam sont tous amnésiques de leur propre histoire.

L’islam se veut le nombril du monde, le début de son histoire, le géniteur de l’humanité, sa voie, son phare, son salut,  et il est craindre qu’il ne soit pas sa fin. A trop vouloir être le maître du monde, il ne se rend pas compte qu’il est en deçà de tout.

De son ignorance, sa suffisance, sa vanité, sa vantardise et sa mégalomanie il en a fait des articles de foi pour ses fidèles qui brillent par leur inculture et leur déficience intellectuelle.

PS Bachar n’est pas l’ennemi de l’humanité ce sont les wahhabites ces grands amis de la France qui le sont.

Le mythe de l’islam des lumières

A chacun son Moyen Age. L’Occident a connu le sien, le monde dit musulman  vit le sien depuis le VII e sans interruption et  pour longtemps s’il ne prend pas en charge son  propre destin humain dépollué des scories du sectarisme religieux.

En effet, le Moyen Age en Occident  né avec la chute de l’Empire Romain au V e siècle s’est achevé au XV e siècle avec la prise de Constantinople par les Turcs. Il coïncide toutefois aussi avec la prise de Grenade par les Rois Catholiques et la conquête du Nouveau Monde par Christophe Colomb. Mille ans caractérisés par une stagnation culturelle relative de l’Europe en comparaison avec cette longue nuit d’hiver que connaît le monde arabe. Et comme le souligne Flavio Biando de Forli (1388-1463) père du concept « Moyen Age », tout au long de cette longue nuit l’Europe n’a pas connu de rupture nette dans son développement culturel. Depuis l’amorce du processus de déclin de la Civilisation arabo-musulmane au XVème et la perte de Grenade, voire avant, les populations musulmanes des rivages Sud de la Méditerranée, malgré l’avènement de l’Empire Ottoman, vivent dans un état végétatif de sous-développement culturel. Incapables de se redresser culturellement et de s’inscrire dans la modernité. Manquant d’imaginaire, de créativité et d’imagination dus à leur environnement culturel liberticide et castrateur.

Elles croient trouver une solution à leurs innombrables et épineux problèmes avec la survivance du passé et la restauration d’un ordre moral abscons. Ainsi les faux prophètes, les charlatans de tout genre prônant le retour aux valeurs morales auxquelles ils attribuent la fin de l’apogée musulmane, trouvent le plus d’écho chez les masses abruties par l’obscurantisme et l’endoctrinement religieux du berceau jusqu’à la mort.

Ces populations désœuvrées moralement et matériellement  tombent comme des mouches dans les pièges tendus par les gourous qui polluent les espaces publics et cultuels. Elles s’imaginent trouver une compensation à leur misère socio-psycho-affective en se  laissant séduire par des promesses eschatologiques dont les abreuvent les sectes schismatiques qui se veulent transmetteuses d’un nouvel Islam qui est un islam de retour aux sources de la barbarie humaine.

Ainsi à  défaut de se projeter dans le monde, elles préfèrent s’adonner à des croyances imprégnées d’idolâtrie, d’anthropomorphisme et de maraboutisme. Vouant un véritable culte à la mort qui devient un facteur transcendantal, une forme de compensation à leur retard pathologique, développent des mécanismes de défense contre les innovations culturelles, techniques et technologiques susceptibles de provoquer des changements radicaux dans leur vie au risque de les éloigner de ce quoi ils aspirent, c’est la résurrection dans le paradis. Ce qui laisse toute latitude aux mouvements sectaires de jouer au berger, à s’ériger en gendarmes de la vertu pour censurer et déclarer illicite toute tentative d’apport extérieur fécondateur de développement humain et sources de libertés individuelles.

Il n’est pas étonnant dans ce contexte que les mascarades électorales tant en Tunisie et qu’en Egypte au lieu d’être porteuse d’espoir et de projet de vie meilleure pour les populations en grande souffrance morale et psychologique, révèlent la vraie nature desdites populations qui n’est pas rappeler et tout particulièrement en Egypte celle des peuples chrétiens au Moyen Age où l’on associe la science à la sorcellerie où tout changement est considéré comme un sacrilège et une offense à l’ordre moral.

L’Occident a su couper le cordon ombilical qui le relie à la religion au point que cette dernière cherche à se positionner tant bien que mal dans la modernité en essayant d’épouser les mœurs de son temps en apportant sa voix aux grands débats de la société. Tandis que l’Orient en panne d’idées à cause de cet état de pesanteur culturelle qu’exerce de manière chronique et insoutenable la religion sur la vie des fidèles. Enchaîné dans le carcan de la foi comme seule alternative aux maux de la société, il se voit contraint à l’immobilisme et au conservatisme que ses nombreux marchands du temple font en sorte de le sacraliser afin de maintenir les masses dans un état permanent du refus du progrès libérateur des esprits et émancipateur des hommes.

Le cataclysme culturel attendu ne semble pas aujourd’hui d’actualité pour plusieurs raisons exogènes, indépendantes de la volonté de ces peuples, et endogènes qui leur sont culturellement propres et qui sont autant de freins à leur sortie du Moyen Age. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les images que les uns et les autres projettent sur les écrans de l’actualité: pogroms, les autodafés,  procès en sorcellerie, arrestations des journalistes pour diffusion d’images contraire aux règles de bienséance de la religion etc. Alors que la violence commise au nom de la religion est considérée comme licite et ses auteurs sont honorés et vénérés comme Ben Laden ou R. Ghannouchi.

A  cause du substrat religieux de ces populations, les révolutions qui devraient impulser un élan fort  pour elles et poser les jalons d’un nouvel ordre culturel, se sont transformées en véritables cultes du passé surtout qu’elles ne doivent rien à Dieu ni à ses fidèles brigades jihadistes. Elles sont fondamentalement laïques et humanistes. Leur esprit a été dévoyé et défiguré pour devenir une dévolution à Dieu. Un pays comme la Tunisie se trouve écartelé entre deux visions du monde diamétralement opposées qui présentent un réel danger pour son unité. D’un côté il y a des tunisiens qui aspirent à vivre dans une société plurielle et ouverte où chaque citoyen y a sa place indépendamment de sa croyance, de ses orientations sexuelles et pour qui la religion relève de la sphère privée et d’un autre il y ceux qui prônent un modèle de société  rétrograde, fermé, sectaire, régressive et réactionnaire fortement marquée par l’influence du wahhabisme qui est le stade ultime de l’injustice humaine, des inégalités, de la négation des libertés et des atteintes aux droits humains. Un modèle de société où se mêlent le rigorisme, la luxure et la pornographie morale. Une société totalitaire, ostracisant les femmes au nom du sacré, soumise à l’arbitraire de la loi scélérate de la Charia que les mouvances islamiques tunisiennes et égyptiennes veulent inscrire en lettres d’or dans leur future constitution.

Dans l’histoire des révolutions universelles, la contre-révolution bourgeoise a toujours cherché a détourné les révolutions à son profit afin de préserver et renforcer ses privilèges. Mais dans le cas d’espèce, ces révolutions anachroniques et sans visages révèlent au monde l’incapacité aiguë des populations islamisées à assumer leur destin humain sans qu’il soit l’œuvre d’une quelconque force occulte. Cette nécessité absolue de s’assumer et d’assumer sa propre histoire en rupture avec une quelconque figure tutélaire laisse indiquer que l’on peut s’interroger légitimement sur le degré de maturité intellectuelle et psychique desdites populations. Des populations auxquelles il est interdit d’affirmer leurs choix de vie en toute liberté de conscience ne  peuvent bâtir un modèle de société qui soit le fruit de leur idéal humain. Seul Dieu est architecte de l’ordre social. L’immuabilité dogmatique est le vrai frein à toute tentative d’adaptation de ces populations aux exigences de la modernité. On ne peut pas faire de l’intemporalité et de la dévolution à Dieu, une source du progrès social et humain. Les populations musulmanes ont toujours raté les grandes  marches des trains des progrès humains : la  révolution copernicienne, la révolution industrielle, la révolution technologique et enfin la révolution nanotechnologique.

Ces révolutions que d’aucuns voyaient faire souffler un nouveau vent des libertés et de dignité n’ont fait que dévoiler la vraie nature bigote de ces peuples et de sa culture patriotique douteuse. Elles n’ont pas pris exemple à juste titre sur l’Occident tant honni mais auquel elles sont redevables de tout dans leur quotidien, de la simple ampoule pour s’éclairer aux téléviseurs branchés à longueur de journée sur les programmes de la propagande wahhabite etc. Cet Occident n’a pas réussi ses grandes mutations culturelles, politiques et humaines par la grâce de Dieu. Loin s’en faut. C’est en rompant brutalement avec la tutelle du clergé qu’il a pu s’émanciper.

Les populations tunisiennes et égyptiennes auraient dû d’elles-mêmes  se rendre compte qu’il existe une étroite corrélation entre la main mise de la religion sur la vie des hommes et leur sous-développement chronique. De même que leur religion les a toujours fait figurer au rang des peuples récepteurs, éternels consommateurs-dépendants. Un tel constat doit en tout état de cause se suffire à lui-même pour motiver une réaction réfléchie de remise en cause du despotisme théocratique qui les mine depuis 1432 ans. Elles préfèrent s’enfermer dans un schéma mental réactionnaire plutôt que de se libérer de tous les freins incompatibles avec les exigences du développement humain. Le monde musulman à travers les exemples tunisiens et égyptiens apparaît quelque peu comme le miroir  du Moyen Age de l’Occident chrétien. Il n’existe pas de modèle parfait, mais s’inspirer de l’exemple d’autrui n’est pas une honte en soi. Tant que les populations musulmanes persistent dans la voie de la providence divine pour occulter leurs propres responsabilités dans la maîtrise de leurs vies personnelles et collectives, le gap entre l’Occident et l’Orient ne fera que s’accentuer. Et l’obscurantisme religieux sera leur seul lot de consolation. On ne peut faire le choix de Dieu aux dépens de sa patrie. On ne peut faire le choix de l’archaïsme au détriment de progrès. On ne fait pas des pratiques mutilatrices de l’intégrité physique des femmes un projet culturel pour la société. Ni des mariages libertins frappés du sceau du sacré. Ni la pédophilie, ni les abus sexuels, ni le viol qui se transforme en purgatoire pour la victime pour sauver l’honneur de sa famille. Ni de la nécrophilie ou la zoophilie pratiquée au Soudan islamique. De telles mœurs immorales et criminelles ne constituent pas un modèle culturel pour la Tunisie comme veut l’imposer l’organisation fasciste et félonne d’Ennahdha sous couvert de la loi inepte et inique de la Charia.

S’il y a un exemple dont la Tunisie doit s’inspirer c’est celui des populations christianisées ont choisi le respect absolu des lois de la République, l’humanitaire pour soulager la souffrance d’autrui, la voie de la non-violence pour manifester leur colère pour condamner les offenses supposées faites à leur religion, lui exprimant par la chanson tout l’amour qui lui est dû ainsi qu’à ses hommes tels ces prêtres-chanteurs; les populations islamisées ont choisi la voie contraire de l’intimidation, l’anathème, l’exhibition de signes ostentatoires, l’accoutrement vestimentaire, le prosélytisme agressif, la violence morale, la culpabilisation de leurs coreligionnaires, les menaces physiques et verbales, déversant leur haine sur tout ce qui n’est pas de leur confession ou qui n’exalte pas leur foi avec autant d’ardeur et de ferveur religieuse qu’eux, n’hésitant pas parfois de recourir à la violence terroriste pour défendre leur foi parce qu’ils la considèrent offensée et même quand elle ne l’est pas. Peu respectueux des lois humaines et peu soucieux des biens et des personnes. Comme si la violence est devenue leur seul mode à Dieu donnant le sentiment que la course effrénée dans la terreur est devenue une nécessité impérieuse pour se rapprocher de Dieu afin de mériter de sa miséricorde et de ses bienfaits dans l’au-delà. Tellement conditionné psychologiquement qu’ils perdent conscience de leur propre humanité. Mourir pour Dieu en sacrifiant le plus grand nombre de vies humaines sur son autel est devenu pour eux un rituel salvateur et libérateur de leurs âmes tourmentées et désespérées qui ne voient pas d’autres issues à leur existence terrestre que leur propre anéantissement et celui d’autrui. Au lieu de chercher l’apaisement dans la chanson, ils préfèrent le feu de l’enfer et les images apocalyptiques qu’ils projettent à leurs semblables humains. A-t-on d un côté un Dieu que ses enfants louent en chantant son amour de l’humain et d’un autre un Dieu dont certains de ses fidèles adorateurs dévoilent à l’excès une autre facette de sa nature anthropophage et sanguinolent ? Il faut dire que ces derniers ne font en réalité que reprendre à leur compte la culture inquisitrice ancestrale de ceux qui aujourd’hui l’enjolivent et l’apaisent. En clair à chacun sa période d’inquisition. Israël est lui aussi en proie avec l’inquisition de ses ultra-orthodoxes qui menacent les fondements mêmes de sa démocratie. Dois-t-on en déduire par là que l’inquisition et ses oripeaux a encore de l’avenir devant elle et qu’elle constitue la seule perspective d’avenir possible pour les populations musulmanes anémiques et lymphatiques et qu’en dehors de l’obscurantisme son stade ultime, il n’y a pas point de salut pour elles ? A se demander si elles ne sont pas plus sensibles et réceptives à ce type de discours exaltant et glorifiant le retour aux sources, cette façon d’avancer à contre-courant de l’histoire et qui s’inscrit par conséquent dans la logique de la culture irrationnelle,  insensée, illogique et ultra-réactionnaire véhiculé par l’islamisme conquérant. Tout indique que c’est bien le cas au regard des thèmes archaïques, fortement teintés de fanatisme religieux et inquisiteurs développés lors des campagnes électorales en Tunisie et en Egypte plus apparentées à des opérations de propagande sectaire et prosélyte que des compagnes politiques. L’irruption de la religion au mépris des intérêts supérieurs de la patrie dans lesdites campagnes leur a donné une allure de croisade contre les libéraux et tous ceux qui ne développent un programme affichant publiquement une promiscuité idéologique avec l’Islam. Au point que tous ceux qui se prévalent de leur proximité avec Lui accusent ceux-là d’apostasie. Le pire crime qui puisse exister qui mérite de valoir à son auteur d’être voué au bûcher du feu purificateur comme au Moyen Age, mais dans le contexte tunisien et égyptien c’est la braise des urnes de la démocratie. Ce qui n’est pas sans rappeler les péripéties de la démocratie électorale en Occident mais en pire.

Jamais dans l’histoire universelle de la démocratie on a fait autant de confusion induisant une culpabilisation chez l’électeur-croyant assimilant un acte politique citoyen à un acte de défiance vis-à-vis de Dieu. Et tout choix qui n’est pas porté pour sur Lui sera porté contre Lui tel est le sens du slogan politique distillé par ces mouvements sectaires. Comme si ces élections censées dessiner le futur d’un projet de vie pour ces populations en sous-développement quantitatif et qualitatif pathologique marquant un nouveau choix de société pour eux s’avèrent in fine un référendum dédié à Dieu. Voter est devenu un moyen d’expression de son adhésion à Dieu. Un vote identitaire. Etre musulman c’est voter pour celui qui incarne l’Islam et voter pour celui qu’il ne l’est pas c’est voter contre l’Islam comme ce fut le cas en Egypte. Le bulletin de vote cet instrument juridique qui confère à son détenteur sa capacité d’exercer sa citoyenneté en toute responsabilité est devenue une sorte d’offrande qu’on dépose dans les troncs des églises et dans le cas d’espèce dans les tirelires exposées dans les commerces ethniques pour collecter des fonds pour la construction des lieux de prière musulmane. Les partis de la religion dans un environnement qui fait du changement sociétal une hérésie exposant le contrevenant aux feux de l’enfer ont tout le loisir de surfer sur les peurs et les angoisses névrotiques chez les croyants qui font du paradis l’objectif suprême de leur passage sur terre. Seul le salut de l’âme importe chez l’électeur-croyant. En aucun cas, il ne se laisserait séduire par des promesses qui lui font miroiter l’espoir d’une vie meilleure sur terre. Il a rarement le souci d’œuvrer pour le bien commun et l’amélioration de ses conditions d’existence. L’important est moins son investissement politique ou patriotique que l’investissement et les sacrifices consentis pour atteindre la voie de la félicité. Toutes les injustices et les privations qui ne sont pas de l’ordre de la fatalité et qu’ils ne sont donc pas irréversibles se trouvent immuables et perçues comme une manifestation de la volonté de Dieu. On ne change pas ce que Dieu seul est capable de changer. Le monde islamisé tant qu’il refuse de s’inscrire dans une dynamique d’avenir et exhorter ses populations à faire de l’avenir leur projet de vie politique continuera à naviguer dans le creux de la houle inquisitrice qui a été vaincue par l’occident des Lumières. On peut supposer que l’archaïsme a encore des longs siècles d’avenir devant lui. En d’autres termes, le monde musulman s’il ne fait pas son autocritique, en acceptant de se regarder dans le miroir de l’histoire et purifie son corps social de tous ces parasites qui le rongent est condamné d’être synonyme de barbarie humaine et de régressisme.

En définitive, tant que le sectarisme religieux et son corollaire l’aversion de la modernité où l’on fait de la religion un modèle de vie pour les hommes, il n’y a pas de doute que ces révolutions accoucheraient d’un modèle de société qui fera regretter à ces populations leurs vies passées. Des morts et des blessés pour servir la cause des ennemis du progrès humain. Des nostalgiques de la splendeur passée de l’islam comme si l’on peut faire renaître ce passé si glorieux soit-il de ses cendres, alors qu’il est plutôt halluciné. Ces marchands du temple islamique instrumentalisent la religion à leurs fins personnelles et pour assouvir des desseins criminels et mafieux. Ils se servent d’elle pour manipuler et endoctriner. Tels les nazis et leur culte du passé aryen et de la pureté de la race, les nostalgiques et faux prophètes font des dogmes religieux leur fonds de commerce pour scléroser ces masses défavorisées, annihiler leur volonté, altérer leurs facultés de discernement et les enfermer dans des schémas initiatiques exaltants le passé. Rendant toute rupture avec le passé impossible assimilée à un sacrilège. Créant ainsi une véritable phobie chez les fidèles-électeurs. Le passé se trouve revêtu du sceau du sacré. Le rompre est une apostasie tel est le sens On ne peut faire du passé un projet de vie d’avenir, ni faire vivre le présent dans le passé. Et comme disait Saint Augustin, le passé n’est plus l’avenir est à faire. Seule une coupure nette et radicale avec facteur de changements en profondeur et un levier catalyseur et libérateur des énergies créatrices. Tant que ces freins culturels inhibiteurs persistent, il est illusoire d’espérer l’émergence d’une démocratie dans cette partie du monde. Faire des élections un suffrage d’adhésion à Dieu laisse présager un avenir des plus sombres pour ces populations

 

 

Grâce aux islamistes on sait désormais que l’islam est une pathologie mentale

Les islamistes font assimiler l'Islam à une pathologie mentale

A cause des angoisses phobiques qu’ils suscitent chez les non-musulmans et leurs propres coreligionnaires aspirant à une vie apaisée et humaine les islamistes font tomber les masques de l’islam et le font assimiler à une pathologie mentale qui frappe essentiellement les sujets musulmans les plus endoctrinés et les néo-soumis à l’islam qui présentent généralement un profil psychotique qui pensent du sens à une existence qui n’a déjà pas de sens.

Le Figaro inquiet du sort des chrétiens d’orient, du Maghreb ainsi que du Nord du Nigéria consacrait sa une du 4 janvier 2012 : peur de l’Islam.

Une militante tunisienne des droits de l’homme m’a rapporté Un jour que des non-musulmans de sa connaissance lui confiaient leur peur de l’Islam depuis le déclenchement du processus insurrectionnel dans les pays arabes.

Des amis tunisiens vivant en Tunisie me font aussi part de leurs angoisses et inquiétudes oppressantes de se trouver à vivre dans une société dominée par l’Islam  dans sa variante radicale ultra-rigoriste tendance culs bénis,wahhabite et qu’ils envisagent de quitter le pays pour des cieux moins islamisés. Comme s’ils pouvaient en exister.

Plus aucun endroit au monde n’est épargné par cette peur qui frappe de plus en plus les non-musulmans, voire les musulmans eux-mêmes. Ces derniers font toutefois la différence entre l’Islam et l’islamisme. Alors que les premiers n’établissent aucun distinguo entre les deux. Ce qui est somme toute logique puisque dans l’esprit il n’ y a pas de religion qui s’appelle l’islamisme et qu’il ne peut s’agir que de la religion musulmane.

On ne saurait les accuser de faire l’amalgame entre les deux et mettre en cause leur bonne foi. Qui pourrait dire que les islamistes ne sont pas musulmans et qu’ils professent une religion différente de l’Islam dans sa théologie, son culte, son rituel, sa profession de foi et ses dogmes. Comment peux-t-on les assurer et les rassurer en leur disant que les islamistes sont pour l’Islam ce que sont les intégristes pour le Christianisme ?

La différence entre les intégristes musulmans et les intégristes chrétiens est que ces derniers ne se mettent pas au-des lois de leurs pays et que le Vatican est toujours là pour sévir contre leurs dérives dogmatiques tandis que les premiers n’obéissent à aucune autorité ni religieuse, ni républicaine.

L’intégriste chrétien sait à quoi il s’expose (excommunication et la prison), l’intégriste musulman n’a pas de limite.

Si l’islam est paix pourquoi les chrétiens sont-ils victimes d’un génocide dans les pays musulmans ?

Zéro musulman tué par un chrétien alors que des millions de chrétiens massacrés, déportés, expulsés de chez eux, persécutés, mutilés, réduits à l’état d’esclaves sexuels ou vendus sur les marchés comme une vulgaire marchandise.
Zéro mosquée détruite par des chrétiens, des milliers d’églises incendiées et vandalisées par des musulmans.
Aucune attaque chrétienne contre les mosquées pendant les heures de prière et en dehors, des milliers de chrétiens tués pendant la messe.
Aucun cimetière musulman profané par des chrétiens, des milliers de cimetières chrétiens saccagés et souillés par des musulmans.
Jamais des chrétiens n’ont kidnappé des fillettes et des femmes musulmanes contrairement aux musulmans dont c’est l’exercice favori.
Qui mène sa Guerre Sainte c’est l’islam ou le christianisme et commet les pires atrocités contre les chrétiens qui sont autant de crimes contre l’humanité?
Qui menace l’autre de mort s’il ne se convertit pas à sa religion ou veut le racketter s’il s’y refuse est-ce l’islam ou le christianisme ? Qui vit un réel martyr est-ce le musulman ou le chrétien ?
Qui traite l’autre d’infidèle et de porc est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui interdit à ses ouailles de se mélanger avec les autres est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui tue ses fidèles qui veulent l’apostasier est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui met en péril la paix et la sécurité dans le monde est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui veut imposer sa loi au monde entier et se proclame comme la plus belle religion jamais donnée à l’homme est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui ne reconnaît pas l’égalité entre les hommes indépendamment de leur horizon religieux et la couleur de leur peau est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui lapide, excise, ampute, mutile, abandonne les cadavres des victimes aux chrognards, discrimine, décapite, légalise le pillage et l’appropriation des biens de celui qui est différent de soi est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui répand la terreur et se rend coupble de plus de 95% d’attentats terroristes dans le monde depuis le 11 septembre 2001 est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui massacre les autres à cause de leurs origines ethniques et leur appartenance religieuse et se rendant ainsi coupable de crimes contre l’humanité est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui fait de la culture de la mort de la vie un culte religieux est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui dénie à l’autre le droit à la différence est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui pervertit et dévoie la morale humaine est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui se vante d’être une religion d’amour et de paix et fait souffler le vent de siroco de la mort et sème les graines de la haine et du racisme est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui veut renvoyer l’humanité dans le monde des ténèbres est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui ne cesse d’enfanter des monstres de la barbarie humaine dignes héritiers d’Attila, de Gensis Khan et de Mahomet est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui est de la famille du nazisme est-ce l’islam ou le christianisme ? Qui récompense et sanctifie l’effusion du sang humain est-ce l’islam ou le christianisme ?
Qui des deux est l’image de l’Apocalypse est-ce l’islam ou le christianisme ?
Des questions qui resteront à tout jamais sans réponses de la part des soumis à Allah qui plutôt que condamner les crimes abominables de leur religion ont cette manie pathologique de renvoyer à l’Inquisition chrétienne pour justifier l’injustifiable. Or, le Moyen Age chrétien serait le paradis pour les musulmans.

Exterminer les chrétiens est un impératif coranique

Et encore et toujours  la même cible, celle des « infidèles » chrétiens auxquels ils vouent une haine viscérale, ces ennemis à abattre (sourate la Vache), ces agneaux à offrir en Holocauste à Allah, cette divinité lunaire, avide de chair humaine perverse, cruelle, immonde,sanguinaire et assoiffée de sang humain voue aux bûchers de l’enfer et dont il ordonne l’extermination s’ils ne se convertissent pas l’islam.
Ses escadrons de la mort forts de leur impunité religieuse et donc juridique ne font qu’appliquer scrupuleusement son enseignement et nettoyer leur prétendue terre sacrée de tout ce qui est juif, chrétien, apostat, laïque,  athée, et incrédule, qui sont voués à disparaître  par tous les moyens de la terre soumise aux lois d’Allah.
Tels des nazis, les musulmans oeuvrent pour protéger et immuniser leur espace territorial contre toute forme de présence non-musulmane susceptible de le polluer.
La pureté de leur religion est au prix du sang des mécréants. Le sang humain, celui des hommes frappés par la malédiction d’Allah et dont le meurtre est licite, devient le sang purificateur de l’Islam lui-même. Comme s’ils cherchaient à nettoyer avec le sang des innocents les traces de leur souillure de leur propre religion. L’islamisation du monde est en marche et avec elle son corollaire de massacre et d’exil force. Les Coptes discriminés et opprimés sont devenus la cible à abattre pour les nazislamistes au pouvoir en Egypte, invités par le président déchu Mohamed Morsi à choisir entre la valise et l’Islam.
Les chrétiens irakiens de rites nestoriens, chaldéens, orthodoxes dont certains appartiennent aux plus vieilles églises chrétiennes au monde, sont en voie d’extinction en Irak. Pour la plupart ils ont choisi l’exil plutôt que la mort ou la conversion forcée. Les chrétiens syriens qui représentent plus de 10% de la population syrienne, ne vont non plus échapper au triste sort de leurs frères irakiens, sous l’oeil indifférent de l’Occident chrétien qui préfère armer les djihadistes exterminateurs à des fins mercantiles, géostratégiques et énergétique plutôt que les défendre contre ces mêmes terroristes agresseurs du peuple syrien.

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Il serait fastidieux de dresser l’inventaire du martyr chrétien dans les pays musulmans de l’Indonésie au Nigéria en passant par le Pakistan, l’Iran, la Syrie, le Soudan et l’Arabie Saoudite où des chrétiens risquent la peine de mort pour avoir apostasié l’Islam ou pour avoir tout simplement pratiqué leur culte chez eux. Comme si l’Islam est la voie que l’humanité doit emprunter et qu’il ne tolère l’existence d’aucune autre voie différente susceptible d’égarer les bons musulmans qui se trouvent ainsi exposés au châtiment suprême.
Il ne se passe plus un jour au Nord du Nigéria sans que des églises locales ne subissent des attaques terroristes de la part de la secte sanguinaire et fétichiste de Boko Haram ( boko : livre; haram : illicite) qui veut créer un Etat islamiste dans cette partie du Nigéria se revendique des Talibans et de l’islamisme salafiste salafisme mais proche dans son mode opératoire de la Qaïda au même titre que la secte d’Ennahdha en Tunisie rendue coupable le 22 novembre 2012 d’actes antisémites et d’apologie du nazisme.

Tous ces mouvements s’inscrivent dans la droite ligne du message mahométan qui ambitionne d’islamiser la terre et d’imposer la dictature de l’islam à toute l’humanité. Obsédés tous par un seul but, purifier d’ores et déjà leurs aires géographiques de toute présence de non-musulmans.

La secte Boko Haram qui voue une haine dogmatique à l’Occident qui professe un islam radical que ne saurait renier Mahomet lui-même, apparue sur la scène de la barbarie islamique au cours de ces dix dernières années, a choisi pour cible la religion chrétienne, brûlant des centaines d’églises et massacrant des milliers de croyants.

Boko Haram comme tous les mouvements fondamentalistes musulmans ne fait qu’appliquer à la lettre ce que le Coran  ordonne, c’est-dire  de tuer les chrétiens, les juifs et tous les non-musulmans:

Le Coran Sourate V La Table est servie (contre les juifs Médinois) : «Nous les avons maudits».

Contre les chrétiens et les juifs: « des pervers »; « maudits », « des singes et des porcs… », « impurs… »

Le Coran sourate V La Table est servie verset 17/14 « Contre les chrétiens et les juifs » : « De ceux qui disent : « Nous sommes Chrétiens », Nous avons excité entre eux l’hostilité et la haine ».

Le Coran sourate V La Table servie, verset 56/51 : « O vous qui croyez ! Ne prenez point les Juifs et les Chrétiens comme affiliés.

Le Coran sourate V La Table servie, verset 56/51 : Quiconque parmi vous les prendra comme affiliés sera des leurs. Allah ne conduit point le peuple des Injustes ».

Le Coran sourate V La Table est servie, verset 62/57 : «O vous qui croyez ! Ne prenez point comme affiliés… parmi ceux à qui l’Ecriture a été donnée antérieurement et parmi les Infidèles.»

Le Coran sourate V la Table est servie « Contre les Juifs Médinois et les Chrétiens » verset 64/59 : « O Détenteurs de l’Ecriture ! la plupart d’entre vous sont pervers ».

Cette secte est une reproduction fidèle de ce que furent les moeurs barbares de Mahomet. Kidnapper les jeunes filles pour en faire des esclaves sexuelles et un vulgaire butin n’a rien d’anachronique.

Toutes ces scènes d’horreur en provenance des pays musulmans préfigurent ce que les nazislamistes réservent pour l’humanité non-musulmane, voire les musulmans qui ont une lecture fragmentaire et superficielle de l’islam qui restent toutefois les premières victimes de la violence terroriste qui investit les mosquées.

L’islam est plus qu’un crime contre l’humanité, il est l’Apocalypse de la prophétie biblique

L’islam  veut régner sur le monde par la terreur. Il ne tolère aucune cohabitation en son sein. Il ne passe plus un jour sans qu’il ne plonge l’humanité dans l’horreur. Il ne cesse de martyriser et persécuter  les chrétiens  les massacrant partout où ils se trouvent notamment en Syrie, Irak et le Nord du Nigéria grâce à la bienveillance complice de ses adeptes et des gouvernements occidentaux capitulards. Il vient pour la énième fois de massacrer des chrétiens à Baghdad le jour de Noël plongeant ainsi la communauté chrétienne dans un cauchemar apocalyptique. Les musulmans connus pour leur déni psychotique et leur mauvaise foi dogmatique, à l’état de cécité mentale légendaire, pervers et retors,  cyniques, menteurs et fabulateurs-nés sont capables d’accuser les chrétiens d’avoir commandité leur propre carnage pour discréditer l’islam et salir la belle image de cette religion de la sublimation de la vie et de la tolérance érigée en dogme religieux pour purifier la cité musulmane du multiconfessionnalisme.

L’islam  ne tolère aucune cohabitation d’une autre religion à ses côtés, tenue à se diluer en lui et pourtant les musulmans sont convaincus du contraire.

Tant qu’ils ne veulent pas reconnaître que l’islam est une religion violente et criminogène, on doit répondre à leur mauvaise foi par la mauvaise foi agrémentée d’une touche d’ironie.  Ainsi avec eux, il faut tout pervertir, travestir et flatter leur narcissisme frustré, aigri et amène. Ils vont encore nous seriner en jurant la main sur le coeur et le regard d’un chien errant que l’islam est innocent ou nous une pirouette malsaine dont ils ont le secret pour se défausser sur autrui et se victimiser.

Ils ne sont jamais responsables de leurs actes, ce sont les victimes qui sont coupables de leur propre malheur. Feignant d’oublier que la voie inhumaine du paradis doit être irriguée du sang des ennemis d’Allah.

Le prophète autoproclamé n’a jamais dit non plus que le paradis est à l’ombre de l’épée, il a surtout dit aime ton prochain, surtout celui qui n’est pas de ta foi, autant que toi-même.

Ils attendent de leurs ennemis à ce qu’ils démystifier la vérité de l’islam et le draper leur dans les vertus qui ne sont pas les siennes. L’encenser et l’enjoliver. Autrement, ils se crispent et exhibent leurs crocs tel un charognard prêt à dépecer sa proie.

Ecorchés vifs, complexés, manquant de lucidité et d’assurance en eux et impulsifs, ils s’offensent pour des tags soi-disant islamophobes, ou une pauvre tête de cochons déposée à l’entrée d’une mosquée, ces hauts lieux de fanatisme religieux, du djihad de la terreur, et d’appels au meurtre des non-musulmans, mais jamais au grand jamais pour les actes de barbarie antichrétiens perpétrés par leurs coreligionnaires qui appliquent à la lettre les prescrits de l’islam.

L’islam n’a jamais tué personne, ce sont ses victimes innocentes chrétiennes qui sont la cause de leur propre mort.

Même si les chrétiens devenaient musulmans, ils ne seraient pas à l’abri, puisque l’islam tue aussi les siens.

Un nouveau Noël ensanglanté pour les chrétiens d’Orient.

Il n’y a que le Vatican et l’Occident qui ignorent que l’islam mène le djihad contre les chrétiens

Partout dans le monde musulman les chrétiens sont massacrés,  martyrisés, persécutés, violés, kidnappés,  opprimés, bannis, traités comme des rebuts de l’humanité,  confinés au rang de dhimmis, des véritables intouchables qui ont le choix entre le cercueil ou l’exil  ce dans  l’indifférence totale  du Saint-Siège et  de l’Occident.

Les nés musulmans convertis au christianisme sont obligés de vivre leur foi chrétienne en cachette  de peur de se faire égorger et crucifier alors que les chrétiens soumis à l’islam ne sont  ni condamnés et stigmatisés par leurs ex coreligionnaires au nom de la liberté de conscience.

L’islam fort d’une impunité coupable comme autrefois le nazisme, fait vivre l’enfer aux minorités chrétiennes sur ses terres, laissant clairement entendre qu’il n’a jamais cessé sa croisade anti-chrétienne.

Des milliers  de chrétiens  sont massacrés chaque année au Pakistan, en Indonésie, en Syrie, en Egypte et au Nord du Nigeria. On a  purifié l’Irak et la Jordanie de leurs chrétiens, de même que Gaza. Plus aucune  trace de chrétiens en Arabie et au Yémen. On met en prison, en Tunisie, en Egypte, en Libye au Maroc et en Algérie ceux qui réintègrent la foi d’origine de leurs ancêtres. On extermine les chrétiens dans le sud du Soudan. .

On interdit la construction des églises en terre soumise aux  intolérantes et hyper répressives lois de l’islam.

Fort du  silence approbateur du Vatican, l’islam ne manque plus une fête de Noël pour endeuiller la chrétienté. Martyrisant, massacrant les chrétiens et brûlant leurs églises. Comme si les chrétiens éprouvent une certaine jouissance masochiste dans leur nouveau Calvaire.

Un véritable nettoyage religieux s’opère sous le regard absent du monde entier et surtout des autorités ecclésiastiques et les gouvernements occidentaux qui semblent faire le choix des pays musulmans où il ne fait pas d’être chrétien.

Le monde s’inquiète du sort des islamistes égyptiens mais personne ne s’inquiète du sort des Coptes en Egypte et des communautés chrétiennes en Syrie, pourtant le témoignage vivant de la présence millénaire chrétienne au Moyen-Orient..

Tout se passe comme s’ils étaient une quantité négligeable sacrifiés sur l’autel des intérêts géostratégiques, géo-énergétiques et bassement affairistes et mercantiles.

A se demander si les chrétiens dans ces pays sont des humains entièrement à part, des sous-hommes,  un détail insignifiant qu’on doit occulter pour ne pas froisser la sensibilité à fleur de peau des mahométans regroupés au sein de l’Organisation de la Conférence Islamique, qui se rêve en futur gouvernement mondial.

Qui a le courage de mettre l’islam en face de ses responsabilités vis-à-vis des minorités religieuses vivant en son sein et qui sont  les vrais « indiens » de ces pays  et menacés d’extermination ?

Au lieu de le mettre en quarantaine de »communauté internationale » pour ses manquements aux lois internationales et exiger de lui les règles de réciprocité, on lui déroule à ses pieds le tapis rouge couleur de sang des martyrs chrétiens dans le monde musulman

Malgré tout cela et bien pire encore, les musulmans demandent au Vatican la reconnaissance de l’islam en tant que religion de paix.  Une religion d’agression et d’ intolérance certainement.  La paix sous la contrainte de la soumission à l’islam pour avoir la vie sauve.

Il n’y a pas meilleure unité de mesure pour tordre le cou au mythe de l’islam de paix que la géopolitique de la répression et des injustices dont sont victimes les chrétiens dans le monde musulman et surtout arabophones.

Contrairement à l’Islam, c’est le Vatican qui se voile la face, à moins qu’il considère les chrétiens d’Orient comme des chrétiens hérétiques et qui mériteraient ce que les musulmans leur font subir

L’islam doit être classé au chapitre des épidémies les plus graves pour l’humanité

Qui peut  parier sur les chances de l’islam de  s’assagir et  de ne plus hanter les cauchemars de l’humanité  et qu’il sera enfin regardé comme une religion parmi tant d’autres et non comme le péril majeur de l’humanité pire que le nazisme  ? De tous les systèmes de croyance il est celui qui ressemble le moins à une religion dans le sens spirituel du terme et du respect de la vie humaine.  Il enseigne la haine là où d’autres apprennent à leurs disciples l’amour de son prochain.  Sanctifiant la violence pour en faire son premier pilier là où le christianisme originel tel que le Christ l’avait initié sanctifiait la non-violence;

Les musulmans veulent banaliser l’effroi suscité par la simple évocation de son nom et le simple fait d’en parler  soulève leur indignation et provoque leur colère comme les observateurs avisés de l’islam avaient commis un sacrilège et ont  violé leur règle sacrée du silence  qui entoure la folie meurtrière consubstantielle à l’islam. depuis sa prétendue révélation.  Le dieu de l’islam n’est pas un dieu d’amour, il se rapprocherait plus de Kali, cette divinité terrifiante et effrayante du Panthéon hindou. Le dieu de l’islam est dépourvu  d’humanité,  il est injuste et partial entre ses créatures les dressant les unes contre les autres, établissant une hiérarchie entre elles sur des critères sordides et insensés.

Un dieu qui inocule dans le coeur des siens les graines de la haine de l’autre et de sa destruction  ne peut pas être un dieu de sagesse, de pardon, de compassion ,  de bienveillance, de préservation de la vie, de création et de miséricorde.  Intolérant, mégalomaniaque, suprématiste, nombriliste, tellement imbu de son image de soi , narcissique et muré dans ses certitudes de toute puissance qu’il lui est intolérable d’admettre qu’il puisse avoir des voix discordantes par rapport à la sienne et susceptibles de l’ébranler dans ses certitudes. Comme la violence est l’argument propre aux  êtres primaires, irréfléchis, impulsifs  et écorchés vifs, plutôt que de s’ouvrir au débat contradictoire  et de s’affirmer par le dialogue , le dieu de l’islam schizoïde-paranoïde ne l’a pas seulement fait sienne fait sienne, il l’a érigée en dogme religieux. Ce ne sont pas ses fidèles qui le sont c’est leur dieu lui-même qui les nourrit de la sève de la violence.  Ils ne font que reprendre à leurs comptes, reproduire ce que leur dieu leur a enseigné et prescrit de faire tout au long de leur vie s’ils ne veulent pas subir le pire châtiment qui les hante, l’enfer.

Ce dieu qui  injurie, maudit,   vilipende, stigmatise, incite à la haine, raciste, ségrégationniste, hyper sexiste,  pédophile, incestueux, suprématiste, nécrophile, cruel, méprisant, hautain, voue à la géhenne et  appelle aux meurtres des humains  devrait être banni du langage humain comme Hitler.  Ses fidèles qui ne jurent que par lui et auxquels il leur est interdit formellement de discuter de son message inhumain et apocalyptique  ont cru pouvoir trouver pour sa défense l’argument sentencieux de l’islamophobie. Leur nouveau glaive favori le brandissant à chaque fois que des critiques justes et fondées  fusent sur l’islam. Mais comment ne pas occulter l’industrie de la violence dans l’islam alors que ses  machines de mort tournent à 100% de leurs capacités de production ?

Il n’y a pas un jour qui passe sans que des vies humaines ne soient brisées pour apaiser l’appétit insatiable de cette divinité férue de chair humaine et  qui s’enivre de sang humain.  Evidemment  tout cela ne heurte pas la bonne conscience musulmane qui sort de son silence tel un rat de sa tanière lorsque son prophète plus Allah qu’Allah lui-même est caricaturé ou un inconscient urinant sur le coran.

Ni le christianisme, ni le judaïsme, ni le taoïsme, ni le sionisme, ni le bouddhisme, ni l’animisme , ni les islamophobes, ni les athées, ni les laïcs, ni les démocrates, ni les patriotes, ni les apostats,  ni tous ceux qui ne sont pas dans le moule musulman  qui font peser des menaces sur l’humanité et lui préfigurent un avenir des plus sombres  et  cauchemardesque ce sont des musulmans qui tuent et massacrent d’autres musulmans et des non-musulmans qualifiés par leur prophète d’ennemis de l’islam..

C’est la course effrénée aux prébendes divines  qui provoque ce cycle infernal de la violence. L’islam innocent ? Vous plaisantez ! Depuis sa naissance il ne fait que faire couler le sang des siens et des autres. Même les proches parents et les fidèles compagnons de leur prophète n’ont pas été épargnés par le virus mortel de la violence.  Dénoncer cette violence aveugle et barbare n’est pas de la phobie, c’est l’islam lui-même qui est la première source de cette phobie qui devrait être  considérée comme étant la première  et la plus grave épidémie du 21 e siècle.