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Avec Ennahdha et son mentor Hussein Obama les Tunisiens découvrent enfin l’islam des Frères Musulmans

English: Flag for the SS-Heimwehr Danzig, 1939...
English: Flag for the SS-Heimwehr Danzig, 1939, Waffen-SS (Photo credit: Wikipedia)

 

 

 

 

 

 

 

 

L’islamisme qui est la force de frappe djihadiste de l’islam et  son vrai visage.   Il prône le retour aux sources de la barbarie humaine , il est  pour notre époque ce que fut le nazisme et son lot d’horreurs pour le siècle précédent. 

Or, il n’ y a pas lieu de composer avec lui pour quelle que raison que ce soit. Un djihadiste reste un djihadiste.

L’imaginer renoncer à la violence qui est sa mère nourricière autant lui demander d’abjurer la foi musulmane qui elle-même surfe sur la peur et la frayeur pour enrégimenter ses fidèles.

l’islam sans la violence et la haine est comme un corps sans âme, sans elles, il ne peut plus exercer son pouvoir despotique sur les siens et continuer à les  aliéner à ses dogmes. Les musulmans sont comme des esclaves, ‘abid qui est la vraie définition du musulman, si on leur enlève les chaînes qui les entravent, ils retrouvent leur liberté et quittent l’islam.
L’islamisme ne dévoie ni ne défigure l’islam, il en est son témoignage vivant, la reproduction fidèle de ce que furent les mœurs abominables et immorales des arabes islamisés au temps de Mahomet et qui transparaissent parfaitement dans la théologie musulmane.
L’islam n’est pas victime des excès et dérives de ses enfants, il est l’ordonnateur et le commanditaire de leurs actes. Obéissant au doigt à l’œil à ses commandements, ils ne font que rendre visibles ce que les musulmans ont longtemps dissimulé, takiyia, ou ignoré.
L’islamisme a le mérite de tordre le cou aux vérités fantaisistes véhiculées sur l’islam. Le crime est de continuer à affubler l’islam des vertus humanistes et pacifistes qui ne sont pas les siennes.  
C’est pourquoi, il n’ y pas pire crime que d’assimiler leur idéologie terroriste et mafieuse à une banale idéologie politique.
En dignes héritiers d’Ibn Taymiya et de Mohamed Ben Abdelawahhab, ils ne connaissent de la raison que le rejet pathologique qu’elle évoque en eux. Ils sont dans une logique nihiliste et destructrice des valeurs humaines. tels ces Waffen SS, ils sont programmés pour commettre des exactions et répandre la terreur sur leur route.  
Aveuglés par leur seule passion de leur mission messianique dont ils considèrent investis et guidés par leur seule haine de l’autre et du Juif, il est irresponsable et inconséquent de les affubler des habits de la vertu. Comme aussi les couvrir des attributs de la démocratie, comme si cette dernière pouvait être compatible avec l’idéologie nazie dont ils les purs produits.    
Avec les Révolutions kafkaïennes et ubuesques du Printemps arabe, les islamistes se trouvent projetés sur les devants de la scène politique de leurs pays adoubés et couvés par les puissances occidentales et à leur tête la Maison Blanche.                    
Mués par des considérations sécuritaires, économiques et géostratégiques, l’occident  fait les yeux  de Chimène au pitbull islamique. Ainsi, en lui offrant des chenils mieux adaptés à sa nature vorace et prédatrice, l’occident pense pouvoir le neutraliser et le domestiquer, alors que l’on fait pas d’un chien d’attaque un chien de compagnie qui n’est pas non plus considéré comme une race de chiens à proprement parler à cause du fait que c’est une appellation qui désigne un ensemble de chiens de combats qui n’est pas sans rappeler la nébuleuse islamiste.                                                              
 Au nom de la Realpolitik on sacrifie la cause de la démocratie et la dignité des peuples pour une stratégie de courte vue et aux effets des plus pervers et dangereux non seulement pour la pérennité des peuples victimes de ce calcul sordide et morbide  mais aussi pour la sécurité de l’occident lui-même. Il est déplorable que l’occident n’ait toujours pas retenu la leçon de sa capitulation face au nazisme, ni la leçon de la Révolution iranienne dont les premières victimes furent les occidentaux eux-mêmes et les forces progressistes iraniennes et la société civile artisans de cette révolution.
 Il n’a toujours pas compris que les vrais ennemis des organisations fascistes sont les libertés démocratiques qui sont pourtant la source nourricière de ses citoyens. Le voilà qui pêche par simple calcul politique et par pur  égoïsme voire et surtout par mépris des peuples méridionaux ravagés par des siècles de despotisme religieux qu’ils jugent comme incapables d’accéder à la démocratie. Autant jouer la carte des  forces théocratiques qui correspondent le mieux à la culture de ces peuples. Comme si le despotisme est une fatalité et un génome propre à ces peuples. Lui-même qui a fait l’expérience de la Révolution copernicienne et industrielle après  avoir vécu des siècles sous l’emprise du despotisme théocratique devrait aider ces peuples à bâtir des sociétés libérées de la tutelle de la religion plutôt que de contribuer au maintien de ces peuples sous le joug du despotisme théocratique.                                                                                                                        
L’exemple de la Tunisie est assez édifiant en la matière. Un pays connu pour la qualité de sa société civile et sa richesse humaine et culturelle, nonobstant son Islam de paix et de tolérance, est en train aujourd’hui de s’enliser inexorablement dans la voie du despotisme théocratique. Depuis le retour d’exil londonien de l’agent reconnu du terrorisme djihadiste, condamné à mort en Tunisie pour des faits et actes avérés de terrorisme, le visage humain et politique du pays se trouve aujourd’hui complètement défiguré.
Paradoxalement, les tunisiens qui avaient reversé leur ancien despote pour en finir avec les grandes plaies symptomatiques des sociétés arabo-musulmanes : corruption, népotisme, injustice, arbitraire, absence de libertés politiques et… semblent aujourd’hui se battre pour préserver leurs acquis hérités des anciens régimes de Ben Ali et Bourguiba qui sont pourtant à l’origine directe et indirecte de leur grand mal-être actuel. Mais seulement, ils  sont en train de réaliser que les vraies libertés sont d’abord humaines et  que sans elles ils ne peuvent pas fonder une société démocratique du bien vivre ensemble et non de celle de l’apartheid sexuel, cultuel, social et humain.  Ces libertés humaines dont ils jouissaient auparavant sont en réel danger de mort et que c ‘est elles seules qui priment à leurs yeux. Si elles les perdent, ils perdront leur âmes tunisienne.                  
Les tunisiens sont plus que jamais résolus à préserver leurs acquis humains contre les attaques scélérates et inquisitrices initiées par l’organisation fasciste, antipatriotique et terroriste d’Ennahdha. En effet,  l’entité mafieuse et terroriste d’Ennahdha comme toute organisation criminelle et fasciste est caractérisée par le comportement suivant : violent, haineux, misogyne, sectaire, ultra-réactionnaire, passéiste, félon, insipide, misérable, criminel, liberticide, raciste, belliciste, messianique,  despotique, nazi, xénophobe, nombriliste, antisémite, homophobe, pédophile, castrateur, exciseur,  pogromesque, inquisiteur, népotique, arrogant, luxurieux, indécent, arbitraire, mégalomane, corrompu, immoral, familiariste, clientéliste, ostentatoire, suffisant, hautain, méprisant, insultant pour la conscience humaine. Elle s’inscrit dans la logique même de l’idéologie islamiste négatrice de l’Etat-nation, antinationaliste, antirépublicaine, inégalitaire et totalitaire
. Jamais un islamiste à l’idéologie ultra-libérale et nazie, celle de la main invisible de Dieu qui gouverne le monde, la loi de la jungle et de la loi scélérate de la Charia, ne va se préoccuper de la cause du peuple. Pour lui le peuple est un détail de l’histoire. Insignifiant par rapport au vrai signifié foi.
L’islamiste contrairement au nazi qui voue une aversion religieuse aux concepts de la patrie et de l’Etat-nation incompatibles avec sa vision oumienne (communauté des croyants), ce grand Reich islamique fondé sur le seul lien religieux. Exit tous les autres qualifiés de Dhimmis (sous catégorie humaine, la citoyenneté n’existe pas dans l’islam). Ni couleurs nationales, ni hymne national, ni drapeau, ni nationalité, ni communauté inclusive de destin politique et humain. Seul importe à ses yeux, l’appartenance à un même destin religieux fondateur de communauté de fidèles de laquelle sont en toute bonne logique exclus tous ceux qui n’ont pas leur marqueur idéologique.  Ce qui n’est pas sans rappeler les lois raciales  de 1935 de Nuremberg.
 Là où la république intègre et protège, la communauté islamique, le Reich musulman que les islamistes appellent de tous leurs voeux depuis la chute de l’empire ottoman, exclut, discrimine, bannit, relègue et extermine. Transformer le monde en une secte planétaire qui transcende les frontières. Une seule matrice pour le monde un peu comme Hitler voulait le faire avec son IIIème Reich avec la Shoah en prime.   Jamais un islamiste qui rêve d’instaurer un Califat ne va se préoccuper de  la défense de la patrie et des intérêts nationaux . Jamais, un islamiste ne sacrifiera la cause de Dieu pour celle des hommes.  Jamais un islamiste quel qu’il soit ne va se résoudre à respecter l’emblème national et assumer sa citoyenneté.
 Comme il est de cours aujourd’hui en Tunisie où les islamistes locaux, salafistes ou nahdhaouistes c’est blanc bonnet bonnet blanc s’adonnent de plus en plus à leur sport favori : brûler le drapeau national. Un islamiste est en guerre sainte larvée contre les institutions républicaines, et tout ordre juridique non revêtu du sceau de la loi Canon de la Charia. Il n’y ni frontières nationales, ni code de nationalité seule la foi fait loi et nationalité.  Il se sent investi d’une mission cosmique et messianique : imposer la volonté de Dieu à tous les hommes par tous les moyens.  Son répertoire idéologique est synonyme de la Saint Barthélémy : Tuer, violer, jeter l’anathème, exterminer, maudire,  terroriser, brûler, châtier, lapider.  Il n’est pas seulement déconnecté de la réalité et emporté par la frénésie du pouvoir, il est complètement lobotomisé et incapable de penser et de discerner par lui-même. Il est pris dans un tourbillon infernal et  sans fin qu’au lieu de chercher à y échapper, il s’obstine à entraîner  tous ceux qui ne lui ressemblent pas dans sa descente inexorable aux enfers islamistes.
 Au point que l’on peut légitimement se demander si l’enfer n’est pas le reflet de sa vie sur terre. Il est enfermé dans sa prison mentale, torturé par sa grande souffrance psychique qui l’empêche d’assumer son humanité d’où l’impérieux besoin chez lui de couvrir intégralement les corps de ses femmes d’un linceul noir ou gris évocateur du monde des ténèbres et de son refus pathologique du monde extérieur. Convaincu qu’il est le vrai porte-parole de Dieu sur terre qu’au point que Dieu lui-même ne saurait lui porter la contradiction. Il se veut Dieu, Prophète et Ben Laden à la fois.  Il est tel ce moine fou de Raspoutine, dépositaire, justicier et défenseur de la parole sacrée, il n’est à l’écoute que des voix qui hantent et obsèdent ses nuits et jours. Ses hallucinations culminent aujourd’hui à leur haut niveau de paroxysme qu’il est capable de déclencher une nouvelle grande boucherie universelle pour ce qu’il croit être la cause juste de Dieu.                                                                                              
 Une cause obscure et absurde comme son visage transfiguré par la haine d’autrui. Inflexible et hyper psycho rigide, cela relève de mission impossible de  de faire entendre la voix de la raison  à un schizophrène paranoïde tel par exemple  le terroriste  tunisien Farid Khirriji alias  Rached Ghannouchi, le nouvel homo wahhabitus un illuminé sorti tout droit des caniveaux de l’humanité, obsédé par l’idée que la gloire de Dieu ne s’embarrasse guère ni de scrupule ni de décence. Dans sa tête tout se confond et s’entremêle.  
Les frontières entre le mal et le bien disparaissent ainsi l’illégal devient légal, l’illicite est licite, pour  reproduire en pire et en une vitesse- éclair le système népotique de Ben Ali, affamer davantage le peuple tunisien est dérisoire à côté de l’immensité de sa tâche en faveur de l’islamisation du monde. Tant qu’il se considère sur le sentier d’Allah (fi sabil Allah), il n’ y a aucun code de bonne conduite à respecter. Mentir, fabuler, dealer, doler, esbroufer, truquer, frauder, corrompre, c’est du détail . Pour lui, la voie de Dieu n’a pas à composer avec les lois des hommes. La vie humaine devient dérisoire dans l’accomplissement de la volonté d’Allah.
L’homme est une victime expiatoire pour satisfaire les desseins hégémoniques et cosmiques de Dieu sur la terre. Je ne veux pas paraître arrogant moi-même en me livrant à un exercice de diatribe verbale en couvrant les tunisiens d’insultes pornographiques,  parce que cela me frustre d’avoir quasiment avoir été l’un des rares à avoir eu raison, on ne gagne pas en crédit dans le discrédit et la violence verbale.  
Personnellement, je  n’ai jamais manqué de mettre en garde les uns et les autres sur la haute toxicité de cette idéologie et ses conséquences désastreuses sur notre humanité à l’instar de la barbarie nazie , il n’ y a pas de quoi en faire ni un drame ni une gloriole parce que l’on défend notre humanité.