Mahomet a fait de son ignorance et son ethnocentrisme une religion pour détruire l’humanité

Qui sont-ils ces  arabes qui sont passés de l’ombre de l’histoire à la lumière mais une lumière qui éclaire la voie du monde des ténèbres que veut faire emprunter l’Arabe le plus tristement célèbre Mahomet à toute l’humanité ?

Un peuple  sorti du quasi néant de l’histoire inexistant aux temps des grands peuples de l’Antiquité. Connu surtout pour ses rivalités exacerbées, les luttes acharnées inter tribales et inter claniques, idolâtre,  crédule, sanguinaire, à la rancoeur tenace sans scrupule ni vergogne,  ais aussi ils sont superstitieux, vindicatifs, sanguinaires, et ne se faisant nul scrupule du vol, qu’ils se croient permis, parce qu’Abraham, père d’Ismaël, ne donna rien à son fils (Genèse : 25 :5,6).

Obsédés par le sexe, la volupté, la violence et l’ivresse ou selon Hérodote les arabes ne connaissaient que deux divinités à savoir : Bacchus et Vénus la Céleste.  Un peuple de bédouins vivant dans des terres arides et lunaires, en quête permanente de points d’eau et d’herbes vertes pour leurs chameaux, leurs chèvres et leurs moutons, ignorant,  sans relief, orgueilleux, vaniteux, vantard,  fanatique, nombriliste,  à la vengeance tenace et héréditaire, indolent,  oisif,  porté sur la luxure et la perversité morale, écorché vif, avide, au tempérament violent, pilleur des 4 chemins et à l’esprit de lucre, esclavagiste, rançonneur, se livrant aux razzias  à l’image de Mahomet lui-même contre sa propre tribu de Quraisch après voir soi-disant tourné la page de la jâhilîya (en arabe: جاهِليّة [jāhilīya], ignorance; paganisme), ou Jâhiliyya, désigne dans le Coran la période préislamique caractérisée par la présence à  la Mecque d’un panthéon d’idoles.

Mais comme l’islam n’est pas à un paradoxe près il s’est approprié un des symboles du paganisme arabe la Kaaba, cube noir , un des 24 temples recensés à la Mecque mais qui avait survécu à l’invasion dévastatrice de cette dernière par Mahomet et ses sbires car il était géré par sa tribu dont il avait fait une idole pour tous les musulmans, tout gravite autour d’elle. Prière, pèlerinage, sacrifice, mise sous terre des défunts,..

Tout ceci illustre l’absence d’un esprit inventif et innovant chez ce peuple que l’islam a projeté sur la scène de l’histoire au prix des massacres des centaines de millions de vies humaines et des actes incommensurables de vandalisme  contre les vestiges et les monuments historiques et archéologiques partout où ils sont passés en Inde, Perse, Egypte, Mésopotamie, Byzance, Afrique du Nord au nom de la lutte contre l’idolâtrie  alors qu’ils vénèrent une météorite et sacrifient les moutons pour apaiser la colère de leur divin.  Comme le rapporte le Figaro dans sa livraison du 27 février 2015 sur la destruction des sites historiques en Irak par l’E.I.

Voici comment l’Etat islamique expliquait la destruction de sites religieux de Mossoul en juillet 2014:

«La démolition de structures érigées sur des tombes est une question très claire du point de vue religieux. Nos pieux prédécesseurs ont procédé ainsi (…) et il n’y a pas de débat sur la légitimité de démolir ou d’éliminer ces tombes et sanctuaires.»

Il est, en effet, insupportable aux arabes mahométans de prouver la prééminence de leur religion qui se confond avec culture et histoire en présence des preuves historiques qui ne laissent subsister aucun doute quant à leur état de pauvreté civilisationnelle.

Les arabes détruisent par complexe d’infériorité pour ne pas souffrir de la comparaison qui les rend si ridicules et minables.  Ils tuent l’histoire pour qu’il n’y ait guère d’histoire qui pourrait les renvoyer à leur état de primats de l’humanité.

A croire que si Mahomet ne s’était pas inspiré involontairement d’Alexandre le Grand qui avait failli devenir cette troisième divinité chez les Arabes en jouant sur leurs penchants trop marqués pour le sexe et le vin qui avait su subjuguer et flatter leurs bas instincts, leurs concupiscences bestiales, leurs goûts immodérés pour les plaisirs charnels, en exaltant leur nature pudibonde, lascive, impudique, immorale, libidineuse, graveleuse et égrillarde, ils seraient toujours entrain d’errer dans le désert de leur Arabie sordide et morbide comme il en est fait mention dans la Sourate 62, verset 2 , il et dit :  » Avant lui (Mahomet), les Arabes étaient ensevelis dans de profondes ténèbres « . Le paradoxe est tellement flagrant, qu’il n’est guère besoin d’autres arguments pour y faire échec.

Mahomet  n’ayant aucun message mystico-spirituel subliminal et transcendantal à délivrer à son peuple,  et en véritable manipulateur de masse et gourou avait compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer  de la psychologie  primaire arabe irréfléchie, superficielle, passionnée, béate, enfantine prenant les vessies pour les lanternes, en construisant son idéal qu’il se voulait religieux sur la base de leurs désirs obsessionnels luxurieux.

Il avait le glaive dans  une main pour trancher les têtes des incrédules et une coupe débordant de  promesses  d’un monde où ils pourraient s’adonner au sexe et à l’ivresse pour l’éternité .

Les bonnes paroles de Mahomet n’engagent que ceux qui les écoutent. Qui pourraient démentir des promesses dont la finalité est au-delà du monde des vivants ? Même quand il leur avait fait croire qu’ils sont la plus belle communauté jamais apparue sur cette terre il n’avait fait qu’exciter leur ego surdimensionné car ils étaient les seuls à croire qu’ils étaient les meilleurs mais seulement dans le sarcasme et les délires de grandeur d’un peuple inconnu de l’histoire.

Mahomet en manipulateur habile de la psychologie de masse qui plutôt que de prendre le risque de promettre le paradis sur terre à ses semblables qui n’avaient jamais rien bâti de leurs mains en comparaison avec les autres communautés peuplant la terre s’est engagé sur un terrain où personne ne s’y est aventuré avant lui et personne ne sera là pour le démentir. Faute d’être un vrai prophète il a prophétisé ce que ce sera la vie après la mort. Il n’y a que les naïfs et les détraqués sexuels qui y croient.

Quelles sont ses compétences en anthropologie et géographie humaine, des autres peuples et de leurs cultures,  des Incas, des Mayas, des Aztèques, des Chinois, des Hindous, des Vikings, des Romains,  des Grecs, de l’Afrique ce grand berceau de l’humanité, des Mésopotamiens, des Sassanides, des Assyriens, des Araméens, des Gaulois, des Phéniciens, des  Amazighs, des Japonais,  des Celtes,  pour ne pas les citer tous et qui ont laissé leurs empreintes dans l’histoire universelle ?

A-t-il lu le Mahabharata, la grande geste indienne, la République de Platon, l’Ancien et le Nouveau testament dans le texte, de Confucius, de Zoroastre,  Lui dont la vision du monde se limitait aux juifs, aux chrétiens et aux membres de sa tribu qui ne croyaient pas en lui et auxquels ils vouaient une haine viscérale ?

A-t-il été vainqueur d’une compétition entre les différentes religions de l’univers qui avait consacré sa nouvelle religion sortie tout droit de la pensée d’un être tourmenté et en proie à des crises épileptiques qu’il faisait passer pour des révélations ?

Lui qui croit que la terre est plate et qu’elle tourne tout autour du soleil il ne pouvait pas donner que l’on ne pouvait pas jeûner du coucher au lever car il y a bien un endroit au monde où le soleil se couche 6 mois par an et se lève d’autant.

Mahomet doit savoir qu’il n’y a pires péchés que l’ignorance et l’ethnocentrisme.

Aux racistes musulmans et à tous les autres : personne ne choisit ses origines ni sa religion de naissance

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Aux musulmans qui excellent à me coller des étiquettes nauséabondes, qui voient en moi la plume de la fachosphère (quelle horreur) ainsi qu’aux amis juifs qui me présentent comme arabe et musulman progressiste (quel oxymore) : je ne suis ni l’un ni l’autre.

Ma voix est celle d’un homme né libre de toutes contraintes religieuses, politiques, culturelles ou ethniques.

Je suis né et ait été élevé dans l’humanisme, imprégné de la philosophie des lumières, pourfendeur des hérésies, rêvant d’un monde sans frontières ni clivages religieux et idéologiques, et je finirai mon cycle de vie comme tout être humain.

Je ne suis ni arabe ni musulman, ce qui n’est pas une honte à mon sens. Ce qui l’est, ce sont les étiquettes et les préjugés destinés à stigmatiser les différences et vouer aux gémonies ceux qui ne sont pas nés comme nous, ou qui ont choisi une voie différente. Il n’y a pas de peuple supérieur aux autres, tous les peuples ont leurs vertus et leurs faiblesses.

Si ce Dieu existe, il n’a pas favorisé tel ou tel peuple. Du non-sens de l’homme se prétendant béni de Dieu, certains en ont fait un droit opposable à toute l’humanité.

C’est la pire injustice faite à l’homme. Un Dieu juste et impartial ne peut introduire une hiérarchie entre les peuples. Tout privilège accordé à tel peuple ou tel autre est supposition purement raciste. Toute l’humanité constitue la base et le toit du monde.

Ma voix est et demeurera humaine jusqu’au dernier souffle de ma vie. Elle n’est le produit d’aucun système de pensée ni une voix de rupture avec l’idéologie dominante.

Je me bats pour la tolérance et la concorde entre les hommes, pour l’égalité des droits, sans exclusive, et le droit de chacun de faire entendre sa propre voix et non une voix qui lui est dictée et imposée, empreinte de censure ou d’idées préconçues.

Ma voix qui dérange les bien-pensances de tous les bords, les esprits chagrins et murés dans leurs certitudes, incapables de se regarder dans le miroir démystificateur de “leurs” vérités, ma voix que certains considèrent comme rebelle et non-conformiste, elle n’est rien d’autre que l’expression de mon rejet du fanatisme et de l’ethnocentrisme.

Je me bats pour la liberté dans le sens voltairien du terme, conformément à cette citation de Evelyn Hall (attribuée à tort à Voltaire) : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

Ce ne sont pas les convertis qui sont un danger pour l’humanité c’est l’islam lui-même

Sur la zone du crash de l'A320 de la Germanwings (Ministère de l'Intérieur)

Que le copilote de l’Airbus 320 de Germanwings Andreas Lubitz présenté comme dépressif  se soit ou non converti à l’islam et ait agi sous l’emprise de cette drogue des plus puissantes qui flatte les instincts les plus primaires me paraît secondaire  si ce n’est superflu.

En effet, la vraie question que nous devons tous nous poser pourquoi la première question qui  est venue à l’esprit à l’esprit de l’opinion publique et qui brûlait toutes les lèvres et si le copilote est-ce que le copilote s’était converti à l’islam ?

Comme si le fait de devenir musulman est en soi une preuve de sa culpabilité dans cette tragédie aérienne qui a coûté la vie à 149 personnes dont les membres de l’équipage.

Personne ne doit nier aujourd’hui les appréhensions et les peurs suscitées par les conversions à l’islam au sein de l’opinion publique  qui riment à ses yeux avec terrorisme.

L’opinion publique manifeste de plus en d’inquiétudes quant à cette manie constatée chez les néo-musulmans d’éprouver autant de sentiments de haine et d’hostilités destructrices à l’égard de leurs sociétés d’origine.

L’islam serait ainsi pour eux une arme meurtrière pour régler leurs comptes aux siens.  Les punir, les châtier, les anéantir pour ne pas avoir su ou voulu les aimer. ils leur en veulent à mort de les avoir exclus du banquet  et mis en marge de la société.

Pour eux l’islam leur a donné une chance de sortir de leur état de misère psychosociologique, les a investis de sa confiance, valoriser, leur procurer une force dont ils ne se croyaient pas capables et grâce à lui ils ont pu acquérir un nouveau statut de gagnants qui seraient plutôt des exterminateurs.

Il n’est pas exagéré d’affirmer qu’il existe en France comme partout ailleurs une véritable psychose liée aux conversions à l’islam.  Pourquoi conversion=danger ? Pourquoi les conversions aux autres religions n’engendrent pas des monstres d’inhumanité ? Pourquoi des garçons présentés parfois par leur entourage comme étant non-violents et sociables basculent dans l’ultra-violence après leur conversion à l’islam ? Est-ce que les conversions à l’islam opèrent des véritables transformations psychologiques et psychiques chez les sujets convertis et modifient leurs personnalités pour faire d’eux des nouveaux mutants  ?

Les gouvernements occidentaux en butte avec le fléau mortel des conversions doivent considérer l’islam  comme une substance hallucinogène de nature neuropsychologique et le classer en tant  que drogue dure dont il faut protéger les citoyens fragiles, immatures, dépourvus de discernement, suicidaires, souffrant de troubles psychiques et destructurés  ? Il y a effectivement urgence de conditionner les conversions à des examens psycho-médicaux préalables.

Ainsi notre préoccupation majeure est moins la conversion du copilote que les liens de causalité entre conversions et terrorisme ? Quelle est la relation entre l’islam et la violence ? Pourquoi les convertis à l’islam sombrent dans le terrorisme ? Est-ce que l’islam n’est pas un mode d’emploi du suicide ? 

Tout se passe comme si en se convertissant à l’islam on plonge dans le néant et le nihilisme alors que l’on croyait en faisant allégeance à l’islam en devenant un soumis, un esclave « consentant » pouvoir combler un vide dans sa vie.

Sortir de sa dépression comme le proclame à hue et à dia une ex-chanteuse de rap la dénommée Diam’s devenue l’égérie des convertis et des musulmans eux-mêmes fiers d’avoir glané un nouveau trophée en sa personne venue enrichir leurs vitrines de collections des français célèbres convertis à l’islam sans qu’ils se soient posés la question si ces néo-musulmans jouissaient de toutes leurs facultés psycho-médicales et sont-ils vraiment mûrs pour franchir le rubicon ?

L’opinion publique en France comme ailleurs se doit d’être inquiète quant mauvaises influences de l’islam sur sa jeunesse. Pourquoi ces jeunes qui présentent bien souvent un profil de borderline cumulant les échecs même quand ils sont issus de milieux dits favorisés mais très rarement ce changement de cap est de plus synonyme de danger pour la société ? ,Ces convertis deviennent des « sans limites » perdant tous leurs repères pour finir par ressembler au propre comme au figuré à des bêtes sauvages.

Est-ce que l’islam les libère des poids des tabous et enlève tous les interdits qui les paralysent avant de se soumettre à ses lois en leur donnant un cadre mystico-idéologique, conférant du sens à leurs délires narcissiques, exploitant leur état du désarroi et de leur trou noir en leur  faisant croire qu’avec l’islam la lumière est au bout du tunnel et qu’ils font partie désormais de la caste des seigneurs ?

On peut croire qu’il y a de vrai dans tout cela est que l’islam est un excellent orfèvre en matière de manipulation des masses en butte à la souffrance psychique, à l’horizon bouché, sans perspectives ni présent, rabachant leur rancoeur et ruminant leur vengeance contre la société.

L’islam est pour eux un substitut, un subutex d’un nouveau genre,  un palliatif à leurs manques, un idéal qui nourrit leurs fantasmes et récompense leurs prouesses mortifères.  Il est un puissant catalyseur et une caisse de résonance aux frustrations et aux exacerbations de la haine de soi, de la société et de l’autre, cet ennemi imaginaire responsable de tous leurs malheurs.

Il y aussi les ennemis de l’islam qui doivent payer pour leur insoumission et leur insolence. Le juif, les chrétiens, les apostats, les incrédules, en l’occurrence tous souffre-douleur du Coran.

Enfin, la réponse à cette question de corrélation entre les conversions et le terrorisme qui est pour eux un acte de combat  accompli dans la voie d’Allah pourrait peut-être trouver écho dans la Sourate 4; V.95 : [Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelques infirmités – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d´Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d´excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense; des grades de supériorité de Sa part ainsi qu´un pardon et une miséricorde. Allah est Pardonneur et Miséricordieux.]

Les convertis ne sont plus royalistes que le roi ils font d’entrée de jeu le choix du djihad seule voie qui leur permet de répondre au profil du vrai musulman. Celui qui tue et se fait tuer pour Allah. Coran Sourate 9, V. 111 : [Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d´Allah: ils tuent, et ils se font tuer. C´est une promesse authentique qu´Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l´Evangile et le Coran. Et qui est plus fidèle qu´Allah à son engagement? Réjouissez-vous donc de l´échange que vous avez fait: Et c´est là le très grand succès.]

 

Mr F. Hollande, la France n’a rien à faire à la marche contre le terrorisme à Tunis

S’il y a une marche à organiser contre le terrorisme c’est soit en Syrie soit en Irak en proie au quotidien au Tsunami terroriste cosmopolite musulman instrumentalisé par ceux-là mêmes qui vont se produire sur la scène tunisienne en jouant une nouvelle adaptation de la vierge effarouchée le dimanche 28 mars à Tunisie, ce n’est certainement pas en Tunisie le premier pays au monde producteur du terrorisme et du djihad du sexe dans la voie d’Allah.

Quant au fameux massacre du Musée du Bardo du 18 mars 2012 c’étai un acte motivé par une forte arrière-pensée raciste de nature idéologico-théologique. Il visait des touristes occidentaux ces mécrus qui viennent souiller cette terre d’Allah selon Ennahdha qui souhaite les remplacer par des touristes halal.

On peut effectivement se demander si ces malheureux touristes abattus lâchement par deux tueurs formés à l’école tunisienne de la haine du non musulman étaient des orientaux même si la culture n’est pas leur pisse de chameau il est peu probable que l’attentat ait eu lieu.

Le choix des victimes n’était pas le fruit du hasard. Les assaillants bons musulmans tunisiens avaient pris pour cibles ceux que le Coran appelle les infidèles et dont il recommande l’extermination ( S. 4 les femmes ( al Nissa), V. 74, 75, 76, 77, 84, 89, 90 et suivants).

La tenue d’une telle manifestation dans un pays gouverné par les agents du terrorisme djihadiste est une offense grave à la mémoire des victimes de la barbarie musulmane de par le monde d’une part et d’autre part un nouveau Munich 1938. Comme si l’Occident organisait avec les nazis des manifestations contre les pogroms à Nuremberg au lendemain de l’adoption par le Reichstag des lois raciales visant à exclure les juifs de la citoyenneté  allemande et consolider  l’arsenal génocidaire hitlérien.

Plutôt que d’exiger de la Tunisie devenue une terre de djihad au lendemain de son cirque vaudevillesque  révolutionnaire de nettoyer ses écuries d’Augias encombrées et infestées par par des montagnes de crottins contaminés se couvre une nouvelle fois de honte et de déshonneur en volant au secours de ses ennemis leur offrant l’occasion de se refaire une virginité à bon compte.

Cette marche n’est rien d’autre qu’une marche d’adoubement du terrorisme djihadiste et symptomatique de la décadence et de la capitulation de l’Occident . F. Hollande et Ghannouchi côte à côte pourquoi pas ne pas y convier pendant qu’on y est Daech, Boko Haram, la Qaïda, les Frère musulmans ? Mais comme le cynisme tunisien n’a pas de limite ils vont mettre en tête du cortège leurs mentors idéologiques et leurs bailleurs de fonds, turcs, qatariens et saoudiens.

On ne combat pas le terrorisme en Occident et on le soutient en Tunisie en défilant avec ses maîtres d’oeuvre sous la bannière de l’islam.

Honte à la Tunisie qui a laissé Ennahdha profaner la mémoire des victimes de la barbarie musulmane du Bardo

Un Nahdhaoui manifeste à Paris.

Photo Mr Lotfi Ben Salem

Le rassemblement de soutien à la Tunisie et d’hommage à la mémoire des 21 victimes de la barbarie musulmane du Musée du Bardo organisé le samedi 21 mars à la Place de la République s’est transformé  in fine une manifestation de disculpation et de réhabilitation  d’Ennahdha pour son implication des plus évidentes dans cet attentat terroriste quant on connaît sa hostilité dogmatique pour le tourisme occidental (interview d’Ali Larayedh le Temps du 16 avril 990).

En effet, ce meeting qui était censé être organisé par des associations de la société civile tunisienne à Paris et le Front populaire a été confisqué par Ennahdha qui en a fait une tribune pour se refaire une virginité à bon compte après avoir réussi le même coup à Tunis avec la bénédiction bienveillante des organisateurs dont j’attends d’eux qu’ils fassent une mise au point sur le détournement de l’objet du rassemblement car il est inadmissible et choquant de voir la mémoire des 21 victimes bafouées sans que cela ne suscite leur colère et désapprobation.

J’étais moi-même invité à ce rassemblement que j’ai quitté aussitôt que je suis arrivé quand j’ai vu  des enfoulardées en veux-tu en voilà  et des militants d’Ennahdha arborant les couleurs de cette secte infecte entrain de distribuer des tracts.

Au-delà de ma sécurité personnelle il m’était insupportable de côtoyer ne serait-ce la fraction d’une millième de seconde des djihadistes en puissance.
Le cynisme islamiste est sans limite, « je te tue et le lendemain je viens présenter mes condoléances aux tiens. »

Et ce n’est certainement pas la revendication de l’E.I. qui changera la donne comme s’ils n’étaient pas tous les deux les doigts de la même main de la nébuleuse islamiste.  l’organisation terroriste d’Ennahdha membre de surcroît du gouvernement de B.C.E.  et l’E.I. sont l’un la tête et l’autre le bras.  Comme elle n’était pas le sergent recruteur,   la pourvoyeuse de djihadistes tunisiens dont le nombre dépasse les 3000 qui sévit en Libye, Irak et Syrie dont les deux assaillants eux-mêmes qui avaient effectué un séjour en Libye pour se former aux armes et aux attaques-suicide.

Les Tunisiens ont tendance à tout prendre au premier degré sans pouvoir se poser les bonnes questions sur le zèle dont elle fait preuve pour apparaître aux yeux de l’opinion publique internationale comme étant une organisation politique démocratique, responsable et respectueuse de la vie humaine.
Il semblerait que le fin du meeting s’est terminée sur le salut nazillon cher aux frères musulmans à quatre doigts de Rabaa Al-Adawia .
Tant que les Tunisiens continuent à la prendre pour une enfant de choeur l’avenir est des plus radieux pour elle.

Si Daech n’est pas l’islam c’est que Mahomet lui-même n’était pas musulman

Ce qu’on appelle musulmans modérés sont en réalité les mauvais élèves de l’islam et les musulmans radicaux que l’on veut faire passer pour des transgresseurs et des « dévoyeurs » de l’islam , alors qu’ils sont des musulmans tout court, sont les bons élèves de la classe auxquels le Grand Proviseur Mahomet promet les plus belles des gratifications libidinales et buccales.

Le Coran promet le paradis à ceux qui font de leur vie un don pour Allah qui ne se posent ni des questions ni doivent exprimer le moindre doute sur la sincérité de la promesse (S. 4, V. 74) : “ Qu’ils combattent donc dans le chemin de Dieu, ceux qui vendent la vie présente contre l’ultime. Et quiconque combat dans le chemin de Dieu, tué ou vainqueur, nous lui donnerons bientôt un énorme salaire ”.

C’est grâce à ces bons élèves  de la classe de la tradition musulmane du sacrifice de sa vie pour la gloire de l’islam perdure depuis 1435 ans. Le bon musulman est celui qui ne recule devant rien téméraire et jusqu’au-boutiste, cruel et dévoré par ses fantasmes du plaisir charnel et des ruisseaux de vin ( S. 47, V. 38) dont il s’enivrera pour l’éternité, exalté et fanatique, insensible et incompatissant, mu par sa seule haine de soi et de l’autre dont il doit purifier la terre de sa présence. Une machine de guerre à lui tout seul, justicier, inquisiteur et bourreau. Adepte de la justice expéditive et de l’exécution sommaire, il se veut au-dessus des lois humaines,engoncé dans son armure en acier il marche sur la ville tel un Panzer écrasant tout sur un passage sans mesurer l’étendue des dégâts et des horreurs infligés à ceux que le Coran désigne comme les ennemis de l’islam (S. 5, V. 51; S. 9, V. 29)

Couvert par son impunité théologique et dogmatique et totalement disculpés de ses crimes car c’est Allah lui-même qui a tué les mécréants par sa main (S.8, V. 17, il n’a aucune conscience de ses actes, perdant toute notion d’humanité, hypnotisé par le miroir aux alouettes que lui fait miroiter ses deux seigneurs et maîtres, auquel il doit obéir aveuglement au doigt et à l’oeil telle une âme damnée, il n’y a pas pour lui de crime de guerre ou de crime contre l’humanité qui tienne.

Déresponsabilisé, déculpabilisé, sans volonté propre, un cannibale-vampire jamais repu et insatiable, Allah et Mahomet l’assurent de leur protection et l’encouragent dans la voie du combat à mort contre leurs opposants.le cheikh ismaélien de Syrie, Sinan (1167-1193), disait à ses fédayins ( celui qui se sacrifie pour quelque chose ou quelqu’un) :
« Les véritables musulmans sont ceux qui tuent d’autres hommes et se font ensuite tuer eux-mêmes. » .
Le bon élève musulman ne contrevient aucunement aux lois de l’islam, il en est la matière vivante, c’est celui qui les transpose les mieux dans la réalité. Son combat contre les « mécréants » est sans relâche et permanent. Il doit les harceler quel qu’en soit le prix. Il n’agit pas de sa propre initiative tous ses faits, forfaits et méfaits sont frappés du sceau du sacré et encadrés par un corpus de règles définies par le Coran et la tradition mahométane (S. 4, V. 66-69 entre autres ).
Il est dans la voie d’Allah, fi sabil allah, et n’a pas par conséquent à s’embarrasser de scrupules superflus.

Le triomphe de la parole d’Allah et sa propagation aux quatre coins de la terre n’a de prix que dans l’anéantissement de la vie des incrédules, les infidèles, les juifs, les associateurs, les blasphémateurs, les hypocrites, les chrétiens, et tous ceux qui osent défier volonté. « Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants…

Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. » (S. 2. V.191-193)
« Certes, ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes Puissant et Sage! » (S. 2.V.191)

« Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur »(S. 4. V.89)

Al Bukhari (810-870)
“ Lorsque vous rencontrez l’ennemi, soyez endurants et sachez que le paradis est à l’ombre des sabres ”…

En toute évidence les mauvais élèves sont très en deçà des normes définies par l’islam pour prétendre à cette rétribution divine qui nourrissent les fantasmes des musulmans.En effet, ils ne connaissent strictement rien aux principes théologiques et idéologiques de leur soi-disant religion et qui suivent benoîtement le mouvement sans savoir de quoi il se retourne qui font leur cuisine musulmane avec des ingrédients édulcorés dont certains sont empreints de paganisme, de judaïsme et de christianisme, qu’on peut qualifier d’idiots utiles et il y a ceux qui oeuvrent pour la gloire de l’islam qui ont appris parfaitement la leçon et qui mettent en application fidèlement les principes fondamentaux de l’islam.

Les musulmans dits modérés sont des cancres, des pitres, des charlots, ternes, dissipés et des suivistes qui se donnent l’illusion de tout savoir mais qui ne savent rien, des arrivistes et des incultes, il y a les autres qui sont les premiers de la classe, qui excellent dans la compréhension des textes fondateurs de l’islam.

La palme revient incontestablement à Daech qui fait l’honneur de l’islam et le malheur de l’humanité.

 

L’islam, l’enfer des humains sur terre

Les peuples du Croissant arabisé avaient cru s’affranchir de la tutelle de la mafia humaine mais à leur grand désarroi et  immense déception ils sont tombés sous l’emprise de la mafia d’Allah de la pire espèce qui leur promet le paradis en leur faisant vivre l’enfer sur terre.

Avant leurs pseudos révolutions ils aspiraient à la liberté, justice, égalité, parité, émancipation et travail, aujourd’hui ils n’ont dans leur bouche qu’Allah, l’islam, notre Seigneur Moahamed, djihad, oumma, califat, Palestine, hijab,  Allah et le seigneur Mahomet.

D’aspirants-citoyens ils sont devenus des fidèles musulmans fiers de renouer avec les valeurs fondamentales de l’islam, celles de la haine de soi et de l’autre, de l’ultra-violence, du djihad, du fanatisme, de l’intolérance, de la déraison, de la passion hystérique, des moeurs cruelles et perverses, de l’amoralité, de la négation de la vie humaine…. Faute de leur avoir permis d’humaniser leur vie et de pacifier leurs caractères,  ces révolutions ont servi de désinhibiteurs à leurs pulsions sexuelles bestiales et leurs penchants pédophiles et morbides. Ils sont tels des fauves lâchés dans l’arêne impatients de régler leurs différends théologico-idéologiques qui les oppose  dès le lendemain du décès de Mahomet. Tout heureux de se tuer à mort entre eux, se dépeçant et se décapitant sous le regard bienveillant de l’Occident et la complicité active de la Turquie, l’Emirat-voyou du Qatar et le Royaume du Mal l’Arabie Saoudite.

Eux qui rêvaient de régner sur le toit doute ils sont comblés au-delà de leurs espérances. Ils ont pulvérisé tous les records en matière de performances terroristes. Responsables de plus de 99% des attentats terroristes au cours de ces quatre dernières années.  Des centaines de milliers de morts et de blessés  en Syrie, Egypte,  Libye, Mali, Pakistan, Afghanistan Irak et Tunisie.

En voulant faire renaître l’islam de ses cendres ils sont entrain de  réduire leur propre vie en cendres avec des dommages collatéraux de temps à autre aux populations civiles occidentales.

Ces pseudos révolutions ont toutefois le mérite de les faire reconnecter avec l’islam des origines dans son intégralité et son authenticité qualifié d’intégriste en opposition au moderniste et réformiste. Or, l’islam lui-même est de nature conservatrice, immobiliste, immuable et figiste.

Etre musulman est d’abord refuser les tentations de changement et d’innovation et appliquer fidèlement  la sunna de Mahomet et le Coran . L’islam a été créé pour statufier et scléroser la vie humaine et arrêter les aiguilles de l’horloge du temps au VII e siècle dans lequel baignaient Mahomet et ses acolytes où prédominaient les conflits larvés intertribaux, la pédophilie, le pillage, les razzias, leviol des femmes captives, le butin, la destruction des vestiges archéologiques, la purification et l’intolérance religieuses,  les crimes de guerre et contre l’humanité, l’esclavage, la zoophilie, la nécrophilie, les assassinats des poètes.

Un retour toutes voiles au vent de sirocco sur le monde des ténèbres que les salafistes appellent celui de nos pieux aïeux, salaf salah.

Des peuples en butte au despotisme de droit humain sont désormais pris dans les mailles du filet du celui de la théocratie islamique.  Rarement ils n’ont connu une telle ivresse de violence, de racisme, de sexisme et d’antisémitisme qui ne saurait déplaire à Mahomet lui-même, leur guide, modèle et seigneur.

Peu importe le calice plutôt l’anarchie et le chaos tant que l’on peut assouvir ses bas instincts. Si Mahomet avait atteint les sommets   de la perversion et la transgression morale il est permis de tout faire tant que c’est conforme à sa sira. Aucune loi humaine ne peut leur être opposable il n’y a de loi que celle d’Allah. Violer n’est pas un crime puisque Mahomet lui-même l’avait fait. Abuser sexuellement d’une fillette de 6 ans est permis Mahomet l’avait pratiqué sur Aïcha.

Dans le cas de la Tunisie, on est passé du stade d’un pays ébloui par la lumière de la vie et du bien-vivre ensemble au  stade pays de l’obscurité humaine, de l’intolérance, du fanatisme religieux, du charlatanisme, de l’archaïsme,  et du monde des ténèbres.

D’une terre de civilisation  la Tunisie est devenue une terre inhospitalière, une jungle sauvage, un asile psychiatrique à ciel ouvert, un théâtre d’ombres chinoises.

D’un pays de la vie, la Tunisie s’est muée en pays du culte de la mort.

Tout laisse à penser que cette vision fidèle de l’slam  tel qu’il doit être ultra-violent et ultra- réactionnaire  qui suscite pourtant des peurs et des angoisses légitimes chez la majorité des citoyens n’est pas contraire au Coran lui-même qui exhorte les disciples de recourir aux actes les plus répréhensibles.

Ainsi, tout adorateur d’Allah qui juge que sa foi est offensée et bafouée est en droit selon le Coran de tuer l’ offenseur et de laver l’honneur de sa religion et comme leur dit Mahomet, mon ennemi est votre ennemi et seul sa mort peut apaiser ma colère. Faire  couler le sang du mécréant devient  de la sorte un acte purificateur qui vaut à celui qui le commet les bienfaits du paradis.

En toute évidence les  islamistes ne sont en aucun cas les enfants damnés d Allah, ils en sont les enfants chéris qui auront sa grâce éternelle. Ils sont porteurs d une mission d ordre divin,en violation flagrante par ailleurs de l ordre républicain, pour protéger sa parole et instaurer son hégémonsime aux quatre coins de la terre.

Dans ce contexte, condamner les islamistes- qui ne font en réalité qu’appliquer les recommandations du Coran- pour actes de  troubles à l’ordre public, menaces de mort ou atteintes aux biens et aux personnes reviendrait à condamner Allah lui-même.

Il est somme toute logique qu’il le soit dans la mesure ou’ il en est le maître et le commanditaire. Mais aucun pouvoir judiciaire ou politique dans les pays musulmans ne sauraient commettre une tel sacrilège sans provoquer le courroux de sa majorité musulmane. Ce qui vaut effectivement aux islamistes de bénéficier d’une sorte de blanc seing pour leurs actions criminelles du fait de leur statut de combattants dans le sentier d’Allah.

Ils deviennent juridiquement intouchables comme les Mollahs en Iran ou les nahdhaouistes en Tunisie dont leur triste et nazillon gourou s’est affublé du titre de Habib Allah. Le chéri d Allah.

Au vu des idées liberticides et scélérates qu’ils diffusent au sein des populations musulmanes ainsi qu’au regard de leurs comportements transgressifs, agressifs et violents, les islamistes sont en conformité avec les lois divines ce qui leur fait croire qu’ils jouissent d’immunités civiles et pénales, car les lois humaines sont jugées imparfaites pour être respectées. Vous imaginez le jour où les codes juridiques d’essence humaine seront déclarés non-conformes aux lois de l’islam et que leur application constituerait une atteinte au sacré, nous aurons inéluctablement le règne de la barbarie, de l’arbitraire et de la justice expéditive comme en Arabie Saoudite, l’Iran, l’Afghanistan, la Somalie ou le Soudan, où l’on condamne à mort la liberté de conscience et l’on innocente les violeurs et les djihado-terroristes qui ont fauché des vies humaines au nom d’Allah Akbar, cette divinité jamais repue de sacrifices humains.

En conclusion , l’islamisme n’est pas seulement un ver venimeux dans le fruit humain voire un virus létal pour l’humanité, mais il est également une négation de l’Etat de droit et de l’Etat-nation. Un monde sans frontières soumis à la seule loi de l’islam. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit.

Tunisie : à qui profite le massacre des touristes européens du Musée du Bardo ?

Le gouvernement tunisien doit démissionner  en bloc pour avoir failli lamentablement à sa mission sécuritaire qui a coûté la vie à 22 personnes dont 17 touristes européens  et 43 blessés. .
Il ne doit pas dire qu’il ne le savait pas et qu’il était pris de court alors qu’il ne passe pas un jour sans que Daech menace d’envahir la Tunisie et sans que le terrorisme fasse des dégâts et plonge les tunisiens dans les affres de la peur et l’effroi. Jamais le peuple tunisien n’a enduré un tel cauchemar terroriste tout au long de son histoire depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal et leurs alliés des Banu Souleim.
Plutôt que de demander des comptes aux auteurs et aux commanditaires de cette guerre terroriste menée au nom d’une idéologie liberticide, théocratique, rétrograde, ultra-réactionnaire et inhumaine le nouveau président tunisien B.C.E. a préféré au grand dam de ses électeurs les associer de nouveau aux destinées politiques du pays. Comme s’il devait les récompenser pour leurs bons et loyaux services pour leur implication active dans la détérioration du climat sécuritaire du pays depuis le mois de novembre 2011.
Il est de bon ton en Tunisie post-14 janvier 2011 d’honorer les terroristes et de condamner les victimes à l’oubli éternel. Quid des avancées des enquêtes sur les assassinats de Chokri Belaïd, Lotfi Negadh, Mohamed Brahmi et les dizaines des membres des forces publiques et de l’armée ?

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Il est à douter que ce gouvernement qui compte en son sein des islamistes pro Daech fasse son examen de conscience et tire lui-même les conséquences de son échec.
A se demander si la vraie stratégie politique de B.C.E. est de gouverner par la peur en maintenant les tunisiens sous la pression permanente des attentats terroristes organisés par ses alliés islamistes afin de réinstaurer dans le pays un Etat policier fascisant sur le modèle de celui de Ben Ali. Une hypothèse qui serait invraisemblable et utopique aux yeux des tunisiens mais qui n’est pas sans intérêt quant à cette collusion qui doit les interpeller entre Nida Tounes et Ennahdha.
Y a t-il un marché occulte entre ces deux mouvements aux dépens des tunisiens sur le partage ou l’alternance du pouvoir dont l’aggravation du chaos sécuritaire serait la pierre angulaire ?
Au nom de la lutte contre le terrorisme on annihile l’espace des libertés. Cet attentat comporte beaucoup de zones d’ombres et soulève des questions sur la volonté politique du nouveau gouvernement à gagner la bataille contre le terrorisme. On attend toujours qu’il prenne des mesures concrètes et pénales contre les djihadistes tunisiens au sein de l’E.I. Il semblerai même qu’un des des deux auteurs du carnage du musée du Bardo vient d’effectuer un séjour terroriste en Syrie.
Toujours pas de loi antiterroriste pour renforcer l’arsenal de lutte contre l’engeance terroriste islamiste. Quelle loi va-t-on voter avec des terroristes membres à la fois du gouvernement et de l’Assemblée Nationale ? Il y a fort à parier que l’on ne va pas adopter une loi qui va violer les principes théologico-idéologiques d’Ennahdha.
Une loi contre le terrorisme est tout simplement une loi contre le djihad qui est un devoir sacré qui pèse sur tous les musulmans.
Il n’en demeure pas moins que ces questions ne doivent pas occulter la réalité des faits qui ont mis K.O le pays et frapper l’Europe dans sa chair, en effet, il est inconcevable et intolérable qu’on laisse un tel édifice public comme le musée du Bardo sans sécurité renforcée au regard des forts risques d’attentats qui pèsent sur le pays.
Ce gouvernement est autant responsable que coupable. Comment a-t-il pu être si négligent dans la protection de ce haut lieu de la mémoire historique millénaire de la Tunisie et qui est le vrai témoin de son identité anté-islamique? Et pourtant il est sans savoir que les musées et les vestiges archéologiques sont les premières cibles des islamistes comme ils l’ont prouvé dans le passé en Afghanistan avec la destruction des statues géantes de Bouddha à Bamiyan comme ils ne cessent de le faire en Irak, en Syrie et en Libye. Nonobstant leurs menaces réitérées sur les pyramides.
La première mesure qu’il devrait prendre d’ores et déjà en attendant qu’il fasse preuve d’honnêteté intellectuelle et prenne le chemin de la sortie est la protection du patrimoine archéologique du pays et tous les édifices religieux témoins de la présence millénaire du judaïsme et du christianisme en Tunisie.
Daech ne fait qu’appliquer ce que Mahomet a ordonné de faire et qu’il l’a fait lui-même lors de la prise de la Mecque.

L’Occident n’a plus le choix soit la guerre à l’islam soit la mort

Halte au catastrophisme et aux prophéties de mauvais augure qui condamnent l’Occident à l’islamisation

Je ne partage pas du tout toutes ces thèses apocalyptiques sur la VASSALISATION de l’Occident et le suicide français, c’est faire fi de l’esprit guerrier des européens. C’est du pur mépris pour ces peuples qui ont vaincu la barbarie nazie et la dictature de la religion comme s’ils étaient des soldats de plomb, des figurines, des faire-valoir, des victimes expiatoires vouées à la mort des mains du héros musulman.

Or, non seulement le musulman n’a pas l’étoffe d’un héros, ni d’un guerrier, il est surtout lâche et retors, à supposer que par la magie des scénarios catastrophes augurant la fin de l’Occident qui frisent la paranoïa et qui rapportent gros à leurs auteurs, le musulman devienne un héros façon Ben Laden sans doute, on oublie que les héros finissent toujours par périr comme dans la tragédie grecque.
Un simple rappel aux apôtres du catastrophisme les peuples européens n’ont pas encore dit leur dernier mot il y aura tôt ou tard un sursaut de réveil des plus violents qui fera mordre la poussière à ceux auxquels on prête des desseins de conquête.

A vouloir trop jouer à faire peur on crée un complexe d’infériorité chez les européens en cherchant à les diminuer, les inhiber et la condamnant à la défaite inéluctable sans qu’ils aient livré le combat final. A contrario on grandit l’ennemi qui est loin de ressembler à Héraclès, alors qu’il n’est pas encore sorti ni de son état sauvage ni formant un groupe uni et homogène.
Un ennemi connu pour ses divisions théologiques et liturgiques, ses rivalités exacerbées, ses guerres internes qui perdurent depuis 1435 ans, incapable d’assumer son destin humain,suicidaire car pour lui la mort est une thérapie pour échapper aux tourments de son existence.

Les musulmans ont des lourds contentieux à régler d’abord entre eux et ce n’est certainement pas aujourd’hui qu’ils vont les aplanir au nom des intérêts supérieurs de l’islam. Qui peut imaginer un jour l’Algérie, l’Arabie Saoudite, la Turquie, la Syrie, le Maroc, l’Indonésie;la Malaisie,l’Egypte, l’Iran, le Pakistan pour ne pas les citer tous membres du même gouvernement mondial islamique pour imposer les lois de l’islam au reste du monde ? Vont-ils taire leurs ego et les querelles qui les minent pour se fondre tous dans le même moule ? Que vont faire les musulmans indiens qui sont plus de 180 millions qui se verraient aussi pousser des ailes de la victoire et qui forcément vont vouloir mettre la main sur l’Inde aussi bien les musulmans chinois ? Ils signeront certainement leur propre arrêt de mort.

Comme si l’Occident est un paillasson et que les musulmans pourront s’y essuyer les babouches à leur guise.
L’islam est un péril pour l’humanité comme le fut son enfant naturel le nazisme mais tôt ou tard il y aura des hommes et des femmes y compris en son sein qui prendront les armes contre lui pour lui faire rendre gorge.

C’est pourquoi j’ai confiance aux européens, en leur esprit de corps et leurs vertus patriotiques qui sauront se battre comme des lions pour que leur terre de liberté et de démocratie, leur héritage judéo-chrétien celte, gallo-romain, anglo-saxon, ne devienne pas un jour un champ de ruine et un désert aride lunaire comme Tamezgha qui cherche aujourd’hui plus que jamais à renaître de ses cendres. L’islam a peur des peuples qui cherchent à renouer avec leur histoire.

L’Occident jaloux de la sienne ne disparaîtra pas de si tôt. Les gouvernements passent mais les peuples sont toujours là vent debout pour contrer l »appétit d’ogre de l’islam. Plutôt que faire une nécrologie des peuples européens de leur vivant hostiles dans son immense majorité à l’islam et restés méfiants à l’égard des musulmans et leur comportement agressif et irrespectueux, il eusse été plus pertinent et judicieux de les appeler à une vigilance sans faille face au danger de l’islam et de sanctionner les partis politiques mielleux et laxistes à son égard.

L’islam lui-même se nourrit de la mort des siens, le suicidé n’est pas certainement celui qu’on croit. l’Occident finira par sortir grandi et vainqueur.de cette menace qui mine ses fondations grâce à ses femmes et ses hommes dévoués et déterminés à ce que leur terre ne soit pas leur tombe. De même qu’il pourra compter sur l’appui inconditionnel et le soutien indéfectible des millions de musulmans malgré et qui veulent ôter le carcan de l’islam.

La France menacée par la pieuvre islamique

Selon un sondage Ifop publié dans le Figaro daté du 25 octobre 2015, 60% des français s’inquiètent de la présence trop visible et envahissante de l’Islam sur leur territoire et 43% le jugent comme une vraie menace sans en préciser la nature.

S’agit-il d’une menace démographique ? Ou une menace contre les fondements de la République ? Voire une menace contre les la paix civile et la sécurité intérieure ? Un autre chiffre avancé par les sondeurs est la statistique de 68% des français qui imputent les difficultés d’intégration des musulmans à leur propre refus de s’intégrer.

Ce qui revient à dire que s’ils ne s’intègrent pas ce n’est pas la faute à la France d’avoir mené une vraie politique d’intégration des musulmans, ce qui n’a jamais été le cas d’ailleurs, ce sont les musulmans eux-mêmes qui freinent des quatre fers pour s’intégrer dans la sphère de la République.

Ce chiffre est pour le moins inquiétant car il n’est fondé sur aucune réalité socio-économique. Il repose sur des simples préjugés nourris par le caractère criminogène associé empiriquement à la population musulmane surtout depuis les attentats de Toulouse-Montauban et le démantèlement du réseau terroriste de Cannes-Strasbourg, nonobstant la sur représentation des musulmans parmi la population carcérale française.

L’Islam à défaut d’avoir aidé les musulmans à s’insérer dans l’espace républicain a incontestablement échoué dans sa quête de respectabilité et d’honorabilité. Quand bien même cette statistique ne prend pas en compte la problématique des musulmans en France, il n’en reste pas moins qu’elle est un indicateur quant à la perception des Français de l’Islam. Elle sert d’unité de mesure de l’image véhiculée par les musulmans de leur religion et le degré d’hostilité que l’Islam suscite dans l’opinion publique française. En tout état de cause, de telles statistiques ont plus ou moins le mérite de démonter l’incompatibilité organique entre l’Islam en tant que mode de pensée totalitaire voulant régir la vie de ses disciples dans ses moindres petits détails et les valeurs de la République.

Il y a effectivement matière à s’interroger sur l’antinomie entre une religion négatrice des libertés humaines, inégalitaire, ouvertement ethnocentrique et attentatoire à la dignité humaine, discriminatoire et liberticide, et une République juste, libre égalitaire et fraternelle. Il n’y a aucun doute que c’est cet antagonisme que redoutent le plus les français et qui motive leur rejet de l’Islam. Les idées propagées par l’Islam expliquent à elles seules l’attitude de méfiance des français aujourd’hui. Ce n’est certainement pas la multiplication des constructions de mosquées qui va calmer leurs peurs et leurs angoisses à l’idée de voir l’islam mordre lentement mais sûrement sur l’identité française, pour finir par gangrener à terme la société française en laissant peser un vrai péril sur la souveraineté nationale.

Il est un fait certain que les constructions des mosquées ont un impact immédiat sur  le paysage urbain et humain qui change en tout et pour tout. Tout le périmètre autour des mosquées devient « halalisé », autrement dit colonisé par l’islam,  purifié de tout ce qui de toute présence française.  Plus de charcuterie, plus de fromager, plus de boucherie traditionnelle française, plus de bistrot, plus de club de loisirs, de club de bridge, de boulodrome, de lieux dit, selon la terminologie islamique : « de débauche ». Plus de galerie d’art, de théâtres, de salles d’expositions et de concerts car la culture est illicite en islam. On consomme et on vend que les produits halal.  Plus de commerce de produits de terroir, plus de bar à vin, plus de brasserie ou de restaurant servant des boissons alcoolisées … plus rien de ce qui peut avoir un cachet « France ». Le paysage urbain français subira de profondes mutations pour ressembler à des « casbahs made in France ». Par le biais de cette « halalisation » de fait du territoire, on colonise et on islamise des pans entiers de la République. Que 60% de français s’en inquiètent, c’est légitime et fondé. Qui peut leur reprocher leurs appréhensions face l’islamisation rampante de la France ? Personne ! Qu’on le veuille ou non, le choc des cultures est bien le défi de notre temps.

L’Islam, tel que le perçoit la majorité des français, est comme une pieuvre tentaculaire.  Plus on construit des mosquées, plus il étend ses tentacules. Il est de la responsabilité politique des autorités publiques de définir un canevas pour contenir l’appétit grandissant de l’Islam. On peut très bien imaginer demain des mosquées au coeur des villes au nom des lois républicaines ! Quand à y voir un relent de racisme dans l’attitude de la majorité des français vis-à-vis de l’invasion de leur territoire par l’Islam, c’est faire fi du racisme que l’on trouve en filigrane dans les textes fondamentaux de l’Islam et qui nourrit l’action des radicaux musulmans. Quand on prétend être la meilleure communauté jamais apparue sur la terre, cela s’appelle comment au fait ? Du racisme primaire.

Salem Benammar

La France sait-elle qu’elle a creusé sa propre tombe ?

Ce garçon de 12 ans, un petit monstre  aux yeux de l’opinion publique en France, qui a abattu de sang froid un malheureux arabe israélien, n’est en réalité que le produit de son terreau familial et de cette culture du rejet de la France, de la haine du juif et de l’autre.

Ses pedigrees familiaux font froid au dos. Il est le beau-fils de Sabri, visible sur la vidéo, demi-frère de Mohamed Merah le tueur de Toulouse-Montauban dont il était le mentor idéologique.

De là à dire que chez les Merah et leurs alliés le terrorisme est le dénominateur commun serait faire un raccourci trop rapide, et occulte l’existence des facteurs politiques, culturels, sociaux, familiaux et historiques sous-tendant à la radicalisation de certains jeunes issus de l’immigration.

Est-ce à dire que c’est le cas de toutes les familles maghrébines, dont les membres ont choisi la voie de la terreur religieuse, en guise de vocation pour exprimer leur abomination de l’humanité et des valeurs humanistes dans lesquelles ils ont été élevées, dans les écoles de la république ?

Ce jeune fauve est un enfant français. Mais quand des jeunes issus de l’immigration réussissent grâce à l’école de la République, ils sont subitement revendiqués par les pays d’origine de leurs parents ou grands parents, sans qu’ils leur aient pourtant rien coûté, comme on l’a vu dernièrement avec l’affaire du footballeur lyonnais Nabil Fékir que convoitait l’Algérie, alors qu’il est à 100% le produit de l’école française de football, ou encore Zidane en son temps, devenu algérien alors que l’Algérie n’a strictement aucun mérite dans sa carrière.

Il n’y a pas qu’un problème d’endoctrinement religieux, il y a aussi la responsabilité des pays d’origine dans l’échec de l’intégration des jeunes maghrébins dans l’espace Républicain.

Quand on aime les siens on ne les pousse pas à l’immigration, on ne les instrumentalise pas pour régler des contentieux historiques avec leur pays d’accueil.

Plutôt que de se servir de la France comme bouc-émissaire des maux qu’ils ont eux-mêmes infligé à leurs peuples aux lendemains de la décolonisation, c’est leur propre procès qu’ils devraient faire, et non accuser les pays auxquels on a livrés les siens comme un vulgaire bétail, même si le mouvement migratoire fut amorcé sous l’administration coloniale française.

Qu’ont-ils fait pour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des parents poussés à l’exil pour leur survie ?

Est-ce que les gouvernements maghrébins minés par la corruption, pour qui l’immigration était une aubaine comme pour les industries occidentales grosses consommatrices de main d’oeuvre de préférence peu coûteuse, avaient mené et mènent chez eux depuis l’indépendance une politique sociale, humaine et juste, équitable et égalitaire ?

 

On a fait que substituer au régime colonial un régime despotique de la pire espèce.

S’ils avaient eu le souci du bien public, de l’intérêt commun et fait un bon usage de l’argent du peuple peut-être que certains jeunes issus de l’immigration ne serviraient pas aujourd’hui de chair à canon pour la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar dans leur projet scélérat de restauration du Califat, dont la réussite passe par les chemins de Damas.

Aucun gouvernement maghrébin n’a jamais exhorté ces jeunes et leurs parents au respect des pays d’accueil et leur a fait comprendre que leurs vrais pays sont là où sont garantis leurs droits fondamentaux. Ils ont préféré souffler sur l’exacerbation d’un nationalisme opportuniste pour masquer leur faillite.

Au lieu de les aider à s’enraciner dans leur milieu d’adoption, les pays maghrébins ont tout mis en oeuvre pour les déraciner, les projeter dans le mythe du pays idéal qui peuple leurs rêves, mais qui est un cauchemar pour les citoyens qui y vivent, dont la majorité aspire paradoxalement à les quitter. Il n’est pas rare d’entendre des jeunes issus de l’immigration clamer qu’il fait meilleur là-bas qu’ici, et ne vouloir y vivre pour rien au monde.

Tant que rien n’est fait pour apprendre à ces jeunes que leur vrai pays est celui où ils sont nés, dans lequel ils vivent, qui dépense des fortunes pour leur bien-être, et qui a donné à leurs parents leur dignité humaine, il est utopique de lutter contre le mal terroriste.

Les parents ont le droit d’avoir leur pays d’origine dans leur coeur, même si cela relève de la schizophrénie et d’une forme de complexe de la victime pour son tortionnaire, mais ce n’est pas une raison pour insuffler dans celui des leurs enfants le désamour des pays d’accueil.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info

Défendre les valeurs de l’islam revient à faire l’apologie de la barbarie nazie

Parlons-en de ces valeurs de l’islam que veulent imposer aux Français les musulmans de France et leurs godillots qui nous gouvernent.

Quelles sont ces valeurs et leur compatibilité avec la république et les exigences du bien-vivre ensemble et de la laïcité ? A-t-on besoin de promouvoir et de défendre ces valeurs si on était soi-même républicain et laïc à moins que l’on soit animé par des arrières-pensées prosélytes et on veut profiter de l’aubaine électorale pour faire de la propagande politico-religieuse ?

Pourquoi pas des Témoins de Jéhovah et des scientologues parties prenantes auxdites joutes électorales ? Si tout un chacun se met à se faire l’avocat de ses convictions religieuses c’est  le début de la fin de la république, un acte de défiance à l’égard de ses institutions, une manifestation des rejets de ses valeurs et une manière machiavélique pour marquer le retour par la grande porte de la prééminence du religieux sur la vie des hommes.

Est-ce que les valeurs de l’islam sont en danger tel qu’elles ont besoin que l’on vole à leur secours et soient mises au coeur du débat politique en France aujourd’hui ? Qui met à mal la sécurité des Français aujourd’hui est-ce la République ou l’islam ? S’il y a des valeurs à défendre ce ne sont certainement pas celles qu’on croit.

Les valeurs de l’islam sont les mêmes pour tous les musulmans, aussi bien en France comme en Arabie Saoudite comme partout ailleurs. Il n’y pas de valeurs modulables et modulées que les musulmans peuvent accommoder selon leur convenance.

Que ce soit l’U.O.I.F., le C.C.M.F. les Boko Haram, les Shebabs, les Talibans, Ennahdha, l’Aqmi, la Qaïda ou l’E.I.  ils professent le même islam et promeuvent les mêmes valeurs sauf que ce sont les moyens de communication qui diffèrent d’un groupe à l’autre mais ils convergent tous vers le même but: instaurer le règne de l’islam et mettre l’humanité tout entière au régime abominable de la charia

En aucun cas ces groupes ne sont porteurs  de valeurs autres que celles qui sont fixées par le Coran et la Sunna. Ils sont dogmatiquement anti-démocrates, anti-laïques et antirépublicains,  il n’y a aucune chance de les voir un jour devenir les défenseurs de la veuve et de l’orphelin et se découvrir des vertus humanistes.

Le monde doit se préparer à un avenir des plus sombres avec l’islam.

Les Français qui ont le droit à juste titre d’être suspicieux et inquiets ne doivent pas être culpabilisés sous prétexte que l’islam est étranger à l’image apocalyptique et sanguinaire que des groupuscules extrémistes renvoient de lui.
Les avocats de l’islam seraient certainement plus avisés de faire lecture aux Français des sourates et des hadiths qui servent de sève idéologique aux activistes musulmans.

Que ces zélateurs-prestidigitateurs-mystificateurs-fabulateurs qui cherchent à enjoliver l’image nauséabonde de l’islam et l’innocenter de ses crimes.

Il est à douter que les valeurs de l’islam soient de portée universaliste comme l’humanisme, la non-violence, la liberté,le respect de la vie, l’amour de l’humain et de ce qui est différent de soi, l’égalité entre les hommes et les sexes, la vertu du travail, le devoir de mémoire, la justice, l’équité, la parité, le féminisme, les droits de la femme au respect de sa vie et son corps et les droits de la petite enfance.
Cette religion sortie tout droit des caniveaux de l’humanité connue pour ses immenses talents de plagiaire croyant pouvoir tout révolutionner qu’au point qu’elle a décapité les Tables de Loi de Moïse se voulant elle-même une Loi avant toutes les lois.

J’ai beau chercher dans la liste des valeurs de l’islam, il n’y a ni modestie ni humilité,L’islam n’aime pas l’individualité et met freins qui peuvent contribuer à l’émancipation de l’homme. Il est contre le libre-arbitre, la dignité humaine, l’honnêteté intellectuelle, l’innovation, le progrès social, le respect des biens des non-musulmans, les droits de l’homme etc..

Les valeurs de l’islam c’est la dhimmitude, la relégation des femmes et le labourage de leurs corps, l’oisiveté, le nombrilisme, le racisme anti non-musulman, le despotisme, l’ignorance, l’obscurantisme, la lapidation, la décapitation, l’hégémonisme, le suprémacisme, le terrorisme, le fatalisme, l’incapacité de se remettre en question, l’ethnocentrisme, le voile symbole de l’état d’infériorité des femmes, la pédophilie, la nécrophilie, la zoophilie

L’humanité attend que l’islam tue le dernier chrétien avant de sortir de son silence

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Le monde entier est aussi coupable que l’islam et les musulmans de tous bords  dans les crimes de guerre et les crimes pour génocide dont sont victimes les chrétiens dans le monde musulman et tout particulièrement les chrétiens d’Orient.

Que l’islam y soit pour beaucoup dans ces exactions barbares qui ciblent les chrétiens car c’est lui qui arme idéologiquement les mains des bourreaux et leur promet des ruisseaux de vin et l’érection éternelle cela ne fait  guère l’ombre d’un doute, que les musulmans se cachent derrière leur petit doigt et se bouchent les oreilles pour faire semblant de ne rien voir ni entendre cela est symptomatique de leur acquiescement des opérations de purification religieuse qui remontent aux premiers jours de l’islam, ce que je déplore c’est notre attitude passive à l’égard de la barbarie musulmane.

Ces crimes portent la signature du Coran et des Hadiths, en adéquation avec la Sira mahométane elle-même. Les juifs de la tribu des Banu Qurayza n’ont pas été massacrés par les disciples de Confucius ni par des animistes. C’était Mahomet et ses sbires qui les ont exterminés et réduits les femmes et les enfants à l’état d’esclaves et domestiques sexuelles. Guerre ou pas guerre ils étaient désarmés.

Un prophète est censé propager la bonne parole avec son verbe et non pas son épée. Un prophète doit répandre l’amour dans le coeur des hommes et non pas l’effroi dans celui qui ne croit pas en lui. Un prophète doit promouvoir des valeurs humanistes et non pas sexistes, racistes et ségrégationnistes. C’est Mahomet qui est le vrai père-fondateur de l’Apartheid sexuel et ethnique. Il prétendait que le dernier des musulmans se place au-dessus du plus brillant des non-musulmans. Autrement dit le plus débile des musulmans est meilleur que le plus intelligent que ce raciste de prophète appelle mécréant. Un prophète capricieux, pervers, haineux, dépourvu de sensibilité humaine, cynique, intolérant, cruel, méprisant pour ceux qui ne lui font pas allégeance n’est pas un prophète, il fait partie de la catégorie de la catégorie des figures les plus effroyables de toute l’histoire humaine.

Ces femmes et ces hommes qui sèment la mort partout dans le monde, tuent, massacrent, violent, décapitent, détruisent, pillent, saccagent, profanent, ne défigurent aucunement son message, ils ne font que le réactualiser fidèlement dans le pur respect des lois et des traditions islamiques, l’humanité n’est pas au bout de sa peine avec eux tant qu’elle continue à séparer le grain de l’ivraie et qu’elle refuse d’éradiquer la cellule souche de ce cancer métastasé qui engage son pronostic vital.

Notre silence n’est pas seulement un acte de complicité de crime contre l’humanité, il est aussi un aveu de notre propre inhumanité. Quand on a un fond d’humanité en soi on combat l’islam en le laissant faire et agir à sa guise c’est qu’il nous fascine et séduit.

Hommage aux milliers de chrétiens nigérians victimes de l’islam de Boko Haram

cet article date du 26 décembre 2011

Une pensée en cette période censée être de paix et de recueillement mais endeuillée par la terreur islamiste qui a frappé les chrétiens nigérians faisant plus de 40 morts et des dizaines de blessés des victimes dont le seul tort est de ne pas partager la foi de leurs bourreaux membres de la secte  islamiste fortement imprégnée de l’idéologie liberticide et génocidaire des Frères Musulmans Boko Haram  fondée en 2002  par Mohmed Yusuf qui signifie littéralement en langue Haoussa l’éducation occidentale est illicite.

La majorité musulmane plutôt que de dénoncer et condamner explicitement et fermement la barbarie de Boko Haram et des groupes armés salafo-djihadistes qui prônent le retour à l’islam des origines et l’application stricte de la Charia, a tendance de chercher à dédouaner les agissements criminels des extrémistes musulmans on y opposant le passé inquisiteur de la chrétienté. Je leur demande par décence et humanité de ne cesser de regarder dans le rétroviseur d’autrui et de regarder la réalité en face.

On ne justifie pas ses propres dérives par les dérives d’autrui. On répond de ses actes et on ne les explique pas par les actes d’autrui non plus. C’est pas une raison de voler ou de tuer parce que les autres l’auraient fait. C’est symptomatique d’immaturité intellectuelle et d’incapacité pathologique à assumer ses responsabilités.

Ni responsable ni coupable comme je l entends souvent est un faux argument et révélateur surtout de l’état de troubles psychiques de celui qui le tient.

En droit, un auteur d’un crime reste son auteur et il doit s’en expliquer et y répondre. Quand des terroristes dûment identifiés commettent des attentats aux voitures piégées, ils sont des terroristes et doivent être condamnés en tant que tels. Quelqu’un qui comment un crime est criminel point et ne peut se prévaloir des faits criminels commis par autrui en d’autre temps et lieu pour s’exonérer de sa propre culpabilité.

Depuis 20 ans, on assiste à une véritable recrudescence des attentats meurtriers contre les édifices religieux dans les pays musulmans et le nord du Nigéria. Quoi dire et  en penser ?

Ces attentats ne sont pas l’oeuvre d’une religion mais celle des hommes qui se prétendent la professer. N’est-il pas temps que des voix unanimes s’élèvent pour les condamner et désapprouver les agissements barbares de ces brebis galeuses ? S’offenser parce que l’image de la religion a été bafouée est une chose mais ne pas s’indigner, compatir, se révolter et réagir contre les agissements criminels de ses coreligionnaires n’est pas digne d’un pratiquant. Et qui ne condamne pas cautionne et souscrit ?

L’islam n’est pas au-dessus des lois il doit payer pour ses crimes contre l’humanité

Au nom du sacré qui sert de paravent aux musulmans et dont ils veulent faire une vérité inviolable et opposable à tout le reste de l’humanité, nul n’est en droit de formuler des critiques à l’égard de l’islam. Le pire est que le justice elle-même protège le sacré en condamnant pour islamophobie tous ceux qui s’y attaquent.

Est-ce à dire que le sacré de l’islam, qui est le pire ordre amoral qui puisse exister, est au-dessus des lois et que nous devons tous nous y soumettre ?

Pour Karl Marx : « La critique de la religion est le fondement de toute critique. » L’interdire et la censurer revient à figer la pensée humaine dans le marbre mortuaire de l’ignorance, de la crédulité et des abus dogmatiques castrateurs de la réflexion. L’islam prospère sur l’anesthésie de la pensée, sa mutilation, le verrouillage de l’intelligence et le refus du doute qui pourrait ébranler et démystifier les certitudes qu’il a inoculé dans l’esprit de ses fidèles.

Conscient des limites de sa théologie, il a multiplié les freins, qui sont autant de barreaux de la prison mentale dans laquelle il a enfermé ses fidèles.

L’homme musulman est par nature celui qui ne sait pas. Incapable d’esprit critique, il ne pense pas, ne connaît rien, ne se pose jamais de questions sur le sens de son existence et sur la nature de sa relation avec cette force supérieure, un surhomme créé pourtant par un médiateur qui s’est autoproclamé, et auquel il doit une obéissance absolue qui est l’essence même de sa foi en lui.

Douter c’est justement risquer de l’éloigner, de l’égarer des chemins de la foi.

Le doute n’est pas permis, il doit tout gober et appliquer à la lettre sans se prévaloir de sa liberté de conscience. Un musulman n’a pas la conscience de soi, ne doit pas raisonner. Il doit être fidèle à ce qu’il croit moins par convictions que par les traditions et les coutumes contraignantes et répressives : avoir la conscience du maître de sa vie et lui témoigner d’une confiance indéfectible.

Si le doute est la voie de la vérité, comme le dit l’imam Al Ghazli, il est à douter que ce soit celui qui mène vers la sortie de l’islam, autrement dit vers l’apostasie et l’agnosticisme.

Quand on est pas capable de douter de la véracité du Coran et de la parole d’Allah  qui se veut immuable et intemporelle, on peut toujours alléguer comme Jacques Berque que le Coran mentionne une quarantaine de fois le terme « akl », raison. Cela n’a aucun sens si elle n’est pas autonome et dépouillée de toute influence dogmatique et théologique.

La vraie raison est celle qui concourt au développement du savoir humain et libère l’homme du joug de l’omnipotence divine et non pas celle qui exalte, mystifie, magnifie et renforce à la façon d’Al Ghazali la prééminence absolue de la pensée religieuse sur la pensée philosophique.

La raison ennemie du doute qui ouvre les brèches dans les citadelles imprenables de la foi n’est pas la raison dans le sens platonicien du terme pour qui les idées sont la raison d’être de tout ce qui est.

L’homme musulman est tenu à s’en remettre au fatalisme et au prédéterminisme d’Allah, source exclusive de ses idées.

Un musulman qui exprime ses idées propres, qui conçoit la réalité, entreprend sa lecture de la vie en dehors du champ de la religion, élabore sa propre grille de compréhension de sa foi, manifeste son scepticisme sur la mise sous tutelle de son existence, et se demande en quoi ne pas croire est un mal, et croire est un bien, est forcément influencé par Satan. Il est donc un hérétique et un impie. Voilà pourquoi le doute et la foi islamique ne font pas bon ménage.

Ishaq:249/Coran 002,23 « L’apôtre vous appelle vers la vérité pour laquelle il n’y a aucun doute. Et si vous doutez de ce que Nous lui avons envoyé ou doutez de ce qu’il dit, alors concevez une telle sourate et appelez des témoins autres qu’Allah. Mais vous ne le ferez pas car vous ne le pouvez, la vérité est au delà du doute. »

Dans les versets qui suivent, cet homme a été jugé kafir parce qu’il avait des doutes.

Al Kahf:35-38 :

Il entra dans son jardin coupable envers lui-même (par sa mécréance) ; il dit : « Je ne pense pas que ceci puisse jamais périr, et je ne pense pas que l’Heure viendra. Et si on me ramène vers mon Seigneur, je trouverai certes meilleur lieu de retour que ce jardin ».

Son compagnon lui dit, tout en conversant avec lui: « Serais-tu mécréant envers Celui qui t’a créé de terre, puis de sperme et enfin t’a façonné en homme. »

Il est du droit de tout un chacun au nom de la liberté de critique de la religion de douter de la vérité de l’islam et d’ébranler les musulmans dans leur foi.

Si l’islam n’a pas peur du doute, pourquoi condamne-t-il à la peine de mort ou à de lourdes peines de prison les incrédules dans les pays musulmans ?

Quand on se voit soi-même vérité on doit rester ouvert au débat autour des limites de cette vérité.

Aucune religion ne mérite personnellement mon respect, et surtout pas celle qui prêche le suprématisme sexuel et religieux. Il ne suffit pas de s’affirmer religion égalitaire, universaliste et humaniste pour imposer à ses contradicteurs une vérité qui ne l’est pas, et qui s’écroule au premier examen sérieux.

Il n’y a que l’islam et sa masse de sectateurs naïfs, incultes, fascinés par le mirage du lupanar paradisiaque qui croient en ces illusions d’optique. Critiquer l’islam est un devoir pour le renvoyer à ses mensonges et son imposture.

L’islam ne doit pas lui-même douter de la véracité de ses idées nauséabondes,  impérialistes, sexistes (4.34;hadith 6? 6), pédophiles, nécrophiles, zoophiles, immondes, immorales, perverses, criminogènes, répugnantes, racistes, antisémites, liberticides, totalitaires, despotiques, infâmes, nocives et dangereuses pour la vie humaine.

S’il est honnête avec lui-même, il ne doit pas douter non plus de son mépris et son complexe dogmatique de supériorité à l’égard de ceux qui doutent de sa nature de religion et de l’authenticité de son message.

Une religion qui ose dire que le dernier de ses croyants est meilleur que le premier des infidèles ne laisse dissimuler aucun doute quant à sa nature hautement raciste (sourate 2/verset 221).

Le fait d’appartenir à sa communauté ne confère pas à ses fidèles des qualités intrinsèquement supérieures aux non musulmans.

En quoi être musulman est facteur d’amélioration des performances intellectuelles et mentales et ne pas l’être est-il facteur d’abrutissement ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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Le silence de cathédrale du Vatican sur le génocide des chrétiens d’Orient

Pourquoi le Vatican garde-t-il le silence sur le massacre des Chrétiens d’Orient par l’islam ?
Il n’y a pas que les musulmans qui sont à traduire devant le tribunal de l’histoire crime et incitation au crime contre l’humanité en raison d’appartenance à une collectivité identifiable au plan religieux aux termes de l’article 7 du Statut de Rome , il y a leurs alliés objectifs les catholiques et tout particulièrement le Souverain Pontife  dont le comportement est des plus troubles et ambigus qui heurtent la conscience humaine. 
En effet, on ne voit aucune campagne médiatique catholique d’envergure pour alerter l’opinion publique mondiale sur les persécutions criminelles et abominables des chrétiens d’Orient et ceux du Pakistan et du nord du Nigéria, ni on entend peu de voix catholiques qui s’élèvent et condamnent explicitement le génocide perpétré par l’islam à leur encontre.
Il est de son devoir de dénoncer les actes de barbarie humaine qui visent les véritables héritiers du Message originel du Christ.
Il est scandaleux que des prêtres puissent plaider la cause de l’islam et le couvrir de louanges.
Y a t-il une entente tacite voire formelle entre les autorités de l’Eglise catholique et les musulmans dont le but (in)avoué est l’anéantissement du peuple d’Israël et des chrétiens d’Orient auxquels les deux parties vouent une haine viscérale ? 
Par son silence coupable et inexpliqué l’Eglise romaine  semble être  prête à sacrifier les chrétiens d’Orient issus de la plus vielle communauté chrétienne au monde née à Antioche alors capitale de la Province romaine de Syrie qui sont la mémoire vivante du christianisme pour les intérêts de la réussite de son alliance avec l’islam dont la finalité est la destruction du peuple juif cet ennemi irréductible comme il l’avait fait dans les années noires nazies. 
Après tout aux yeux du Vatican les chrétiens d’Orient n’ont que ce qu’ils méritent à cause de leur refus de faire allégeance à Rome et auxquels ils préfèrent les musulmans obsédés par la haine du juif et de son anéantissement. Oubliant que le musulman est encore pire que le nazi il n’aime ni le chrétien , ni personne d’autre et encore moins lui-même. Il n’a d’amour que pour cette divinité sanguinaire, impérialiste, cannibale, esclavagiste et génocidaire. Le musulman est créé pour avoir de l’aversion pour l’humanité tout entière. 
Le Vatican fait fausse route en jouant la carte de l’islam pour venger la mémoire du Christ en lui offrant en Holocauste la minorité chrétienne d’Orient à la façon de Pétain qui considérait les juifs de France comme un détail pour sauver l’essentiel.
Il ne va pas pleurer sur le sort de ces schismatiques, ces sécessionnistes et leur venir en aide alors que le génocide dont ils sont victimes est du pain béni pour lui pour s’en débarrasser sans coups férir. 
Un obstacle de moins dans son projet de mettre un jour la main sur Jérusalem qui est en réalité le vrai noeud du problème du Proche-orient. 
Tout laisse croire qu’il y a un marché secret sur le dos des chrétiens d’Orient et des minorités chrétiennes dans les pays de l’O.C.I. entre les deux forces du mal qui convoitent Jérusalem qui portent sur le partage de la ville entre musulmans et chrétiens et exit les juifs. 
En attendant il faut éliminer tous les obstacles qui peuvent nuire à leurs desseins respectifs qui passent par l’extermination des chrétiens et des juifs des mains des musulmans que le Vatican ne doit pas gêner dans leurs oeuvres destructrices qui ne sont qu’un bien pour un mal

Le vrai crime de l’islam contre l’humanité est sa condamnation à mort de ses fidèles qui exercent leur liberté de conscience

Ben Ammar Salem

Losing My Religion Losing My Religion (Photo credit: Cayusa)

Mesdames et messieurs les vierges effarouchées de l’islam le seul vrai combat que vous devez mener aujourd’hui avant que vous ne deveniez les pestiférés de l’humanité pour toujours est celui pour la liberté de conscience qui n’est garantie pas par vos pouvoirs publics jugée comme un pêché capital du fait de son incompatibilité avec les prescrits de l’islam.

Quand bien même si votre religion est un jardin d’Eden et la première merveille di monde, ce qui est au demeurant subjectif et ethnocentrique, toute personne est libre d’y rester ou de partir.
Si Allah est aussi juste, compréhensif, miséricordieux et magnanime  comme le prétendent ses adorateurs, pourquoi a-t-il besoin d’enfermer ses ouailles pour la vie dans sa Tour de Babel  ?
Comme s’ils étaient des oiseaux en cage auxquels on  coupe les ailes si d’aventure ils veulent quitter leur cage pour prendre leur envol sous…

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L’islam est surtout victime de lui-même et du vent de la mort qu’il sème

Ben Ammar Salem

L’islam ne doit s’en prendre qu’à lui-même. Le mal est en lui et non pas dans le rejet dont il se plaint que ses laudateurs qualifient indécemment de racisme anti-islam, alors qu’il connaît en rayon en la matière.

Quand il ne passe plus un jour  dans le monde sans qu’il n’y ait de crimes abominables associés à son nom, c’est à lui de se poser les vraies questions quand à la relation de cause à effet entre la violence apocalyptique et son image désastreuse auprès de l’opinion publique mondiale  non-musulmane.

A force de semer la vent de la mort partout où il sévit, l’islam ne doit s’attendre à recevoir un jour ou l’autre la tornade qui va le balayer de la surface du globe.

Peut-être veut-il que l’on se voile la face comme ses disciples  pour le caresser dans le sens du poil et se prosterner devant lui en hommage…

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Mr Valls : En quoi défendre la France contre les envahisseurs musulmans relève du racisme et du fascisme ?

Mr Valls se fait fort de vouloir donner une coloration tricolore à l’islam au point qu’il se prend les pieds dans le tapis de prière à la mosquée de Strasbourg.

Pour y arriver, il est convaincu qu’il faut abattre les deux obstacles que sont l’extrémisme musulman et l’extrême droite, nuisibles à l’émergence de l’islam de France, un islam cohabitationniste et capable d’adopter une posture républicaine et respectueuse des institutions.

Mr Valls continue à prendre l’islam pour une blanche colombe victime des dérives violentes d’une minorité d’activistes, les méchants musulmans.

Il considèrent que des radicaux défigurent et jettent le discrédit sur la majorité de leurs coreligionnaires, les bons musulmans, au comportement irréprochable, soucieux de la bonne marche de la société civile, et respectueux des lois de la république. Qu’ils vivent leur foi dans leur espace privé sans exhiber à l’extérieur un prosélytisme agressif pour marquer leur état d’appartenance à un autre système de valeurs, étranger à celui de leur pays d’accueil et d’adoption.

Des citoyens qui vivent en adéquation avec les exigences de la laïcité, loyaux, intégrés et intégrables, sachant faire passer les lois de l’islam au second plan.

Mr Valls peut toujours rêver.

Imaginer un jour les musulmans endosser les habits républicains, autant faire passer un chameau par le chas d’une aiguille.

Sa tactique, innocenter la majorité musulmane, est contre-productive en tous points. En cherchant à franciser l’islam, il ne réalise pas qu’il commet un sacrilège, et ébranle les musulmans dans leur foi.

Leur demander de se conduire en citoyens revient à leur demander de renoncer à l’islam.

Ce n’est pas, pour les musulmans, à eux de s’adapter à la France, c’est à la France de s’adapter à l’islam. Les musulmans sont tenus par leur religion d’obéir et se conformer aux seules lois émanant d’Allah, seul et unique législateur, qui ne dépendent ni du temps ni de l’espace.

Ils ne doivent en aucun cas se soumettre à des lois et à des autorités judiciaires et politiques qui ne sont pas elles-mêmes soumises aux lois de l’islam.

 » Ô vous qui croyez ! Obéissez à Allah, obéissez au Messager et à ceux qui détiennent le commandement. «  (sourate les femmes, verset 59).

Aucune ambiguïté quant aux obligations faites aux musulmans de ne pas respecter et s’en référer à des lois qui ne sont d’essence musulmane. Si Mr Valls a des doutes sur la volonté des musulmans de se muer en dignes citoyens, il serait avisé de réfléchir sur le sens de ce Hadith qui a force de loi pour les musulmans, et à son caractère contraignant rapporté par Abû Hureyra :

« Celui qui m’obéit, obéit à Allah ; et celui qui me désobéit, désobéit à Allah. Celui qui obéit à son émir, m’obéit ; et celui qui désobéit à son émir, me désobéit. » (Authentique : el Bukhâry (7137), Muslim (1935), el Irwâ (2/160)

Plutôt que diviser les musulmans en bons et méchants et stigmatiser ceux qu’il appelle les extrémistes de droite, que sait-il réellement de l’étymologie du mot islam et de sa signification ?

L’islam n’est ni paix, ni salutations. il est le salut pour celui qui n’a pas d’autre alternative pour sauver sa vie que de l’embrasser. Il signifie littéralement reddition, soumission à une volonté supérieure,  résignation à son sort, acte d’allégeance et de servitude qui interdit toute tentative de résilience. L’islam est un moule unique dans lequel doivent se fondre les assujettis.

L’islam n’est pas foi, c’est un ensemble de règles strictes et liberticides qui imposent aux assujettis une conduite à suivre dans tous les domaines et étapes de la vie, et ne laisse aucune marge au libre-arbitre. Il interdit toute forme de transgression sous peine de mort.

L’islam, ce sont les chaînes de l’esclavage qu’il est impossible de rompre.

On naît musulman, on vit l’islam et on meurt dans l’islam.

Mr Valls doit savoir qu’il n’y a pas des musulmans extrémistes et des musulmans mesurés. Ils professent tous le même islam dans sa théologie et sa liturgie, qui n’est pas un hymne à la paix ni un modèle d’humanisme et de tolérance, comme l’attestent d’innombrables sourates (4, 5, 6, 7, 8, 13, …) et hadiths. Pour cela, 75% des Français rejettent massivement l’islam.

Sauf que les uns avancent à visage découvert et les autres portent le masque de la takkyia.

La question que doit réellement se poser Mr Valls : pourquoi les musulmans sont ceux qui ont le plus fort penchant pour le terrorisme et la transgression des lois ?

Qu’il cherche les causes dans les sources théologiques de l’islam. Là est la cause première des troubles chaotiques et sécuritaires qui secoue  la France depuis 1995 voire avant.

Un homme politique doit avoir le courage de jeter un pavé dans la mare, tant pis si cela heurte la sensibilité de ceux qu’il cherche à ménager. Il doit secouer le cocotier des musulmans en les mettant face à leurs responsabilités.

Plaider pour la cause de l’islam modéré en faisant croire qu’il est l’otage de l’extrémisme musulman et de l’extrême droite, c’est faire fi de la nature intrinsèquement belliciste et guerrière de l’islam. C’est oublier que Mahomet était un chef de guerre, un malfrat, un assassin, un pilleur, un antisémite, un raciste, un être cruel et un égorgeur.

Mr Valls, en tant qu’homme politique, qu’homme intelligent, ne doit pas ignorer que le péril musulman est le plus grand défi de notre temps, et que les électeurs jugeront les candidats sur leurs capacités à lutter contre l’hydre musulmane.

Est-ce extrémiste que des Français défendent leur identité contre l’invasion musulmane ?

Doivent-ils leur tendre le glaive pour se faire décapiter pour être au goût de Valls ?

Les musulmans ont-ils  le droit d’exiger de la France qu’elle prenne en compte leur spécificité identitaire, les Français ont-ils le devoir de renoncer aux fondements de leur civilisation millénaire et plurielle, à leurs valeurs républicaines incompatibles avec l’islam, à leur laïcité qui fait l’originalité politique de leur pays, leur culture, leur histoire, leur terroir, leur art de vivre, leur âme gallo-romaine, leur héritage judéo-chrétien, la défense de leur patrimoine, pour servir de paillasson aux musulmans ?

Que connaît Mr Valls issu d’une idéologie laïque, de l’islam et son idéologie de conquête négationniste des peuples et des cultures, de ses desseins hégémoniques, de son mépris pour les droits humains et les libertés individuelles, de son suprématisme, de sa volonté d’imposer sa dictature à toute l’humanité, de son appétit cannibale et de sa soif insatiable de pouvoir, pour faire un amalgame aussi irresponsable et indécent entre les musulmans qui veulent détruire la France et les Français qui refusent de capituler devant les menaces de l’islam ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Les musulmans n’ont que faire des révolutions, ils sont nés pour détruire l’humanité

En 2011, les médias aux ordres et les politicards de tous bords  nous ont saoulés à mort et rebattus les oreilles avec des prétendues révolutions du printemps arabe, comme si les printemps humains pouvaient avoir un parfum arabo-musulman.

Rarement des révolutions n’ont été autant glorifiées, médiatisées, encensées et enjolivées comme si elles étaient porteuses d’humanisme et de droits fondamentaux.

Des peuples qui n’ont jamais été maîtres de leur Histoire ne pouvaient pas changer eux-mêmes le cours de leur propre histoire surtout que c’est Allah qui écrit tout pour eux.

Totalement soumis au pouvoir exorbitant de leur religion, ils ne peuvent imaginer que l’homme pouvait être capable de prendre en main son destin humain et politique sans que cela ne constitue un sacrilège sous prétexte que l’homme ne peut pas changer ce qu’Allah a décidé pour lui.

Enchaînés aux dogmes de la foi, les musulmans n’ont de salut que dans leur obéissance aux prescriptions du Coran qui les figent dans la pierre mortuaire de la Ka’aba. Vouloir changer la vie revient à violer la règle de l’immuabilité de la vie telle qu’Allah l’a dessinée pour ses créatures.

  • Les musulmans ont pour seule vocation de préserver cet ordre politico-sociétal que le Coran a défini tant dans les contours que dans les moindres petits détails. Toute tentative de bouleversement est forcément une Fitna, un désordre, qui expose ses auteurs aux pires châtiments. Il n’y a pas, par conséquent d’islam politique, il y a une politique totalitaire de l’islam qui embrasse tous les domaines de la vie.
  • L’islam se veut ainsi comme une machine bien huilée où toutes les composantes sont reliées entre elles par des fils tissés par Allah lui-même. La main de l’homme, en l’occurrence celle du musulman, ne peut modifier le réseau de ces liens et encore moins casser ces fils d’essence divine.
  • Or, ces révolutions censées être une rupture radicale avec l’ordre passé se sont, en toute logique, avérées être une montagne -pas celle que les fidèles musulmans escaladent une fois par an à l’occasion de leur pèlerinage une sorte de dévotion fétichiste qui n’est pas plus haute que la colline dans la petite prairie  mais  celle qui accouche d’une souris grise et noire, les couleurs préférées par les folles et fous d’Allah.
  • Il est connu que la flatterie nourrit le flatteur aux dépens du flatté. Les médias occidentaux aux ordres de leurs commanditaires se sont livrés à un véritable concours de courtisanerie et de « bendir man », ( tambourin), jouant aux lèches-bottes et des agents promotionnels, caressant le nombril des pauvres musulmans en butte à l’oppression politique et au despotisme totalitaire et théocratique depuis toujours, magnifiant et mystifiant surtout ce qu’il n’est pas.
  • La culture du vent est le propre des peuples à l’identité bâtarde, hybride et non-assumée. Voilà comment des peuples lymphatiques et indolents se trouvent couverts d’honneurs inhabituels pour eux, car ils ont toujours vécu dans la soumission et l’assujettissement.
  • Au fond d’eux-mêmes ils n’y croient pas trop mais ils ne vont pas renoncer à un cadeau royal que l’Occident leur a fait en leur offrant un spectacle hollywoodien du genre reality show. Ils se sont trouvés subitement sur un piédestal comme s’ils avaient intégré le monde libre après avoir baigné toute leur histoire durant dans celui des dominions. Ils ne vont pas faire la fine bouche sur le tapis rouge déroulé sous leurs pieds.
  • Des peuples avachis, inactifs, abêtis par un endoctrinement religieux tout au long de leur existence de jour comme de nuit, spectateurs hyper absents de l’Histoire, ils se retrouvent acteurs de l’Histoire par la magie du scénario grotesque des séries noires américaines. Anoblis et adoubés par les vrais artisans de leur révolution qui avaient tout intérêt à leur faire croire qu’ils ont mérité la médaille d’or de la dignité olympique qui est en réalité une médaille en chocolat qu’on remet aux éternels loosers, pour ne pas exciter leur frustration.
  • Encore une fois le scénario de leur histoire a été écrit sans eux. Mais peu importe le calice, pourvu qu’ils aient l’ivresse révolutionnaire. Plongés dans un état de coma éthylique à cause du breuvage frelaté que les barmen occidentaux leur ont spécialement concocté, ils n’ont pas vu qu’aujourd’hui ils sont les vrais dindons de la farce et les maris trompés.  Que ce qu’ils croyaient être la révolution est en fait une dévolution à Dieu pour introniser ceux qui sont ses plus fervents zélateurs et qui présentent la particularité d’avoir été adoubés par les Yankees après l’avoir été par la perfide Albion.  Toujours une affaire anglo-saxonne.
  • Mais s’il y a des chefs-marionnettistes, c’est qu’il y a justement des pantins et on ne saurait blâmer l’Occident d’avoir habilement manoeuvré comme à son habitude et pour des raisons sécuritaires, stratégiques, mercantiles, et énergétiques : contenir les pulsions de mort chez les musulmans  radicaux et faire d’eux leurs nouveaux agents indiens capables d’étouffer les velléités de révolte chez leurs coreligionnaires.

J’accuse l’Occident de complicité avec l’islam du génocide des chrétiens d’Orient

J’accuse le monde dit libre de complaisance, de capitulation, de collusion,  de complicité et de silence coupable à l’égard de l’hydre musulmane  qui plutôt que chercher à l’éradiquer continue à la caresser dans le sens du poil et plaider son innocuité.

Son comportement passif, attentiste et troublant n’est pas sans rappeler celui qu’il avait adopté vis-à-vis de l’hydre nazie qu’il couvrait d’éloges pacifistes  mais qu’il avait réussi à vaincre au prix de 65 à 80 millions de victimes civiles et militaires et des dizaines de millions de blessés et de mutilés de guerre sur une population mondiale totale avoisinant les 2 milliards.

Tous ces morts et blessés auraient pu être épargnés si le monde n’avait pas laissé impunément l’hydre nazie aiguiser ses dents sur les juifs.  70 ans après l’histoire se répète peu importe le sort des chrétiens d’Orient tant que l’hydre musulmane se fait les dents ailleurs qu’en Occident.

Les expulsions massives des communautés chrétiennes du Proche-Orient, les conversions forcées à l’islam, les traitements humiliants et dégradants dont elles sont l’objet, leur réduction à l’état d’esclaves, les procès en inquisition ne semblent indigner personne ou presque en Occident.

Une véritable omerta sur les crimes contre l’humanité qui se déroulent sous nos yeux sans que cela ne suscite le moindre écho dans les médias occidentaux dont certains ne veulent pas offusquer leurs bailleurs de fonds musulmans.

L’Occident a sacrifié les juifs dans les années 30 n’hésitant pas à aller se prosterner devant les dignitaires nazis aux J.O. de 1936 confortant ainsi l’hydre nazie dans sa toute puissance, aujourd’hui il est entrain d’en faire autant avec les chrétiens d’Orient en affectant d’ignorer les menaces que fait peser l’hydre musulmane sur la paix et la sécurité dans le monde. Bien au contraire, il se prépare à lui rendre hommage à l’occasion de la coupe du monde de football de 2022 au Qatar, le grand argentier des mouvements terroristes musulmans et vitrine de l’islam impérial, arrogant,  hégémonique et terrifiant.

La promotion de l’image de l’hydre musulmane n’a pas de prix et le reste n’est que superflu et péripéties dans le sentier de la grandeur de l’islam. Les esclaves et les centaines de morts népalais des chantiers de la coupe du monde ne pèsent pas lourd sur la balance des retombées financières et économiques au profit des multinationales occidentales. Quel gouvernement occidental osera fâcher l’hydre musulmane qui a toute la latitude de poursuivre sa compagne purification religieuse entamée au VII e siècle sous la houlette de Mahomet,  de persécutions, de pogroms, de destructions des églises ? Toute heureuse de s’adonner à son exercice favori de décapitations-crucifixions et de massacrer  par milliers les chrétiens en Syrie, en Irak, nord du Nigeria et au Pakistan. Il en meurt un chrétien toutes les 5 minutes dans les pays membres de l’O.C.I.

L’Occident sourd et aveugle reste de marbre face à la montée du péril musulman pire encore que le péril nazi. Va-t-il attendre qu’il y ait 240 millions de morts voire plus car la prochaine guerre mondiale ne sera pas conventionnelle car l’ennemi musulman n’est pas armé pour ce type de guerre, la sienne est faite d’attaques-suicide expérimentées par les palestiniens.  Il choisit toujours les cibles civiles pour provoquer un choc psychologique dans la population et installer la peur et l’effroi dans les coeurs (sourate 8)

L’hydre musulmane se fond dans les foules, elle peut frapper n’importe où il n’y a pas pour elle des sanctuaires inviolables. Elle est capable de tuer ses propres partisans dans les mosquées. Elle n’observe aucun code de bonne conduite en état de guerre, elle est hors-la-loi, ne reconnaissant que sa propre logique destructrice. Il est illusoire ainsi de l’imaginer respecter la Convention de Genève du 12 août 1949.  Il  ne s’agit pas d’une guerre entre les Etats ou une coalition d’Etats, il s’agit d’actions ultra-violentes, isolées,  spectaculaires et imprévisibles, qui sont le fait  d’individus et de groupes d’individus qui constituent sa véritable force armée en réalité contre le monde non-musulman.

Le monde occidental qui doit s’attaquer en priorité aux racines du mal de la terreur qui mine les fondements de sa civilisation et risque de la précipiter à sa perte pour en faire un vassal musulman, se plaît à encenser l’hydre musulmane et l’amadouer. Il n’a pas retenu les leçons de l’histoire et s’être instruit de la chute de Byzance. Aujourd’hui elle fait l’ange car elle n’est pas en position de force jusqu’au jour où le sera c’est elle qui lui imposera les règles du jeu. Ces attaques terroristes qu’elle lui distille de temps à autre sont juste des coups de semonce, un poker menteur pour évaluer  ses capacités de réaction. Non seulement il ne réagit pas face à ses coups de butoir et prend ainsi des mesures pour contrer ses offensives velléitaires, il se mue en avocat zélé pour la disculper de ses agissements périlleux et  appelle ses citoyens à pas d’amalgame et de se garder de diaboliser cette amie qui leur veut du bien.

Forte de soutien inconditionnel de l’Occident l’hydre musulmane n’a pas besoin de se draper elle-même dans sa vertu tant que les autorités politiques de tous bords et les médias s’en chargent afin de la rendre fréquentable aux yeux de l’opinion publique locale et agir en inquisiteurs et juges de tous ceux qui lui sont hostiles et doutent de son innocence. 

Ceux-là mêmes qui lui déroulent le tapis rouge à ses pattes auront un jour à le regretter si jamais l’hydre musulmane atteindra ses desseins de vassalisation de l’Occident. Ils seront les premiers à en pâtir et essuyer les foudres de son pouvoir inhumain et despotique auxquels elle leur laissera qu’un seul choix à faire soit l’islam soit la mort. Ils auront ainsi à goûter s’ils font le choix de sauver leur vie en se soumettant à la cruauté des lois de l’islam aux joies de la cité idéale musulmane pire que la cité idéale nazie.

Comme l’hydre nazie autrefois. l’hydre musulmane veut régner en maîtresse sur toute l’humanité. Il est temps que l’Occident en finisse avec sa duplicité et prenne le problème de l’hydre musulmane à bras le corps avant qu’il ne soit trop tard.

Daech massacre, viole et décapite les chrétiens d’Orient au nom de l’islam comme Mahomet autrefois

Les musulmans ont l’indignation sélective

Une proche de l'un des 21 coptes assassinés par l'Etat islamique .

Des centaine de chrétiens assyriens enlevés par l’E.I. dans le nord-est de la Syrie.

Les hommes risquent de finir comme les 21 Coptes, et les femmes de subir le même sort que les collégiennes nigériennes en vertu des lois scélérates et nazies d’Allah.

Evidemment ce ne sont certainement pas les musulmans de France ou d’ailleurs qui vont battre le pavé pour réclamer leur libération, car ils ne sont pas musulmans palestiniens victimes surtout de la propagande antisémite.

Il est interdit de dire que des jeunes musulmans, forts de leur éducation religieuse qui les encourage et leur confère un sentiment d’impunité, brillent par leurs manquements aux lois de la république. Un musulman est par définition fidèle aux lois de l’islam et jamais aux lois qui n’émanent pas d’Allah.

Instruits par leur lecture du Coran, des Hadits et de la Sira de Mahomet, endoctrinés et formatés par leurs imams et prédicateurs télécoranistes qui soufflent sur la braise la haine de l’autre, et les exhortent au djihad contre « les mécréants », l’islam n’est plus désormais un secret pour eux. Ils ont appris et compris qu’il n’y a qu’un seul islam qui n’est ni radical ni modéré, un islam unitaire et indivisible, purifié de toutes les scories non-islamiques, tel que les musulmans doivent suivre et appliquer à la lettre dans le strict respect de la feuille de route que Mahomet leur a tracée.
Contrairement à leurs parents majoritairement analphabètes, ces jeunes censés être le produit de l’école libre et gratuite de la république s’avèrent in fine ses pires ennemis.

Plus ils s’imprègnent de l’idéologie musulmane, plus ils trouvent des motifs au rejet des symboles de la république qui sont l’antithèse des valeurs inhumaines, inégalitaires, bellicistes, suprématistes, antisémites, racistes, ultra-machistes, impériales, conquérantes, agressives et liberticides prônées par l’islam.

La république croyait leur donner les moyens de s’intégrer dans son paysage, mais en réalité elle leur a donné les armes qu’ils sont en train de fourbir contre elle, avec le projet d’asseoir un jour le pouvoir absolu de l’islam sur ses institutions et sa dilution dans l’espace oumien.

Ces jeunes ne sont pas les enfants perdus de la république, ils sont la 6e colonne produite par la république. A force des les border, de remanier ses programmes d’enseignement d’histoire et de philosophie pour ménager leurs susceptibilités, de faire des concessions alimentaires, de laisser prospérer les écoles coraniques qui sont autant de centrales nucléaires, elle récolte aujourd’hui le prix de son laxisme coupable et son angélisme contre-productif.

Pendant que la république recule et cède du terrain devant les revendications cultuelles exorbitantes des musulmans, l’islam marque des points et ses jeunes les plus virulents se sentent comme galvanisés par sa toute-puissance, et plus que jamais convaincus que la France finira par tomber sous leurs coups de butoir.

En renouant avec les valeurs fondamentales de l’islam, ils ont enfin trouvé l’idéal de vie qui les transcende et qui les fait passer de l’ombre à la lumière que le Coran promet à ses activistes jusqu’au-boutistes.

Tous les interdits et les inhibitions sont ainsi levés, leurs forces sont décuplées grâce aux bienfaits du retour aux sources de leur foi. Un retour catalyseur de réveil des consciences et un aiguillon indispensable à leurs pulsions violentes qui les légitime, qui donne du sens à leur quotidien, et leur permet d’étancher leur soif de revanche sur cette société qui snobe, raille et boude les lois de l’islam et l’image de leur prophète auto-proclamé, leur modèle suprême, qui aurait pu être le géniteur d’Attila, de Gensis Khan, de Tammerlan, de Pol Pot et surtout d’Adolph Hitler, l’idole des foules musulmanes.

Ni Merah, ni Nemmouche, nI Coulibaly ni les frères Kouachi n’ont basculé dans le radicalisme religieux, ils n’ont fait qu’emprunter la voie de Mahomet qui était loin d’être exempte de dérives violentes, irréprochables et respectueuses de la vie humaine et des biens des personnes, comme le souligne l’historien-biographe Mohammed Ibn Ishaq (704-768).

Parmi de nombreux exemples, celui des conséquences de la bataille menée contre les habitants de l’oasis de Khaybar, comme elle fut rapportée par le premier biographe de Mahomet. Les habitants de l’oasis de Khaybar formaient une communauté paisible de paysans juifs qui n’étaient même pas au courant que la guerre leur avait été déclarée, jusqu’à ce que Mahomet emmenât ses hommes contre la ville, un matin, les prenant par surprise et les vainquant facilement.

Mahomet ne se contenta pas de saisir la plupart des possessions et des terres de la ville, et il fit aussi torturer le trésorier de la tribu, un homme nommé Kinana, jusqu’à ce qu’il divulguât l’emplacement secret du trésor.

Mahomet décapita alors l’homme et se « maria » avec sa veuve traumatisée, Safiyya (laquelle passa d’abord entre les mains de l’un de ses lieutenants comme le détermina un tirage au sort).

Le biographe Bukhari, connu pour la crédibilité de ses récits rapportés sur Mahomet (44:668): « Nous étions en compagnie du prophète à Dhul-Hulaifa. Les gens eurent faim et mirent la main sur des chameaux et des moutons (comme butin)… »

Mahomet a dit qu’Allah subviendrait toujours aux besoins de ceux qui croient en lui. Voler des non musulmans était un moyen licite d’accomplir la promesse divine.

Ahmad 4869 (aussi mentionné dans les Hadiths originaux de Bukhari) – Ibn ‘Umar tenait ces faits du prophète, qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix, « Mon approvisionnement a été mis sous l’ombre de ma lance, et l’avilissement et l’humilité ont été placés sur ceux qui désobéissent à mes ordres. »

En raison du simple fait de ne pas croire en Allah, les biens des non musulmans appartiennent aux musulmans.

Le mot « approvisionnement » veut dire moyen d’existence et « avilissement et humilité » se rapportent à la jizya, une sorte de racket mafieux, que les non musulmans sont censés payer. En raison du simple fait de ne pas croire en Allah, les biens des non musulmans appartiennent aux musulmans.

Des paroles qui devraient pourtant donner à réfléchir au Conseil du Culte Musulman de France (CCMF), mais il préfère s’indigner par la voix de son président Dalil Boubaker contre le constat établi par Roger Cukierman.

Qui peut nier que tous les candidats au djihad sont des jeunes musulmans ?

Doit-on garder l’omerta sur ce climat de dégradation de l’état sécuritaire de la France qui est le fait de certains jeunes musulmans prêts à embraser le pays et jouer aux encenseurs de l’islam pour ne pas susciter le courroux des musulmans ?

Nous devons pratiquer une sorte de takyia, le mensonge licite, à nos dépens, pour ne pas nous trouver mis au banc des accusés pour islamophobie, un néologisme d’un très mauvais genre. Ainsi, pour ne pas provoquer un séisme de magnitude 9, on doit cesser de dénoncer la montée inquiétante de la violence, de la criminalité et de la délinquance chez certains jeunes musulmans ?

Il ne s’agit pas de livrer les jeunes musulmans, dont un grand nombre d’entre eux aspirent à vivre en harmonie avec leur environnement républicain, à la vindicte populaire et en faire la cause du mal qui ronge le corps républicain. Il n’en demeure pas moins que nous ne pouvons pas faire l’économie des questions qui interpellent tous les observateurs :

  • pourquoi les jeunes musulmans sont surreprésentés dans la rubrique judiciaire ?
  • pourquoi 100% des attentats terroristes sur le sol français au cours des deux dernières décennies sont commis par des jeunes musulmans ?
  • pourquoi l’islam fait office de caisse de résonance pour les pseudos frustrations de ces jeunes ? Ne dit-on pas que la religion apaise et détend les ressorts de la colère ?
  • pourquoi les musulmans ne condamnent jamais les crimes abominables des leurs ? Un sacrilège que de manifester son hostilité à l’égard de ce que le Coran ordonne.
  • pourquoi tous les crimes contre les juifs sont commis par des musulmans et seulement par des musulmans, alors que l’antisémitisme existe ailleurs ?

Personne ne stigmatise les musulmans, c’est leur comportement, dépourvu de compassion et d’humanité qui pose problème et crée l’amalgame entre les musulmans dits modérés et les islamistes. Les musulmans ne sont pas tous des terroristes mais tous les terroristes sont des musulmans.

En islam on ne compatit pas pour les victimes non-musulmanes.

Leur compassion est celle d’un crocodile pour sa proie.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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