Le V.R.P. de l’islam modéré et caméléon notoire Tarik Ramadan lâché dernièrement par son généreux sponsor qatarien, est un justiciable comme tous les autre n’en déplaise à ses laudateurs qui en criant en l’injustice se font les premiers apologistes du viol.
A moins que le seul fait pour eux que leur champion propagandiste soit dans la voie du djihad du verbe lui vaut d’être immunisé de toutes poursuites judiciaires perçues par ses nombreux partisans non seulement comme une entrave à son action en faveur de la promotion de l’islam modéré mais aussi comme un complot des ennemis de l’ombre de l’islam qui en cherchant à le salir cherchent surtout à salir l’image de l’islam.
Les musulmans sont les premiers adeptes au monde de la théorie du complot dont ils s’abreuvent du berceau jusqu’à la tombe et du lever au cour coucher. Ce n’est jamais leur faute c’est toujours la faute à l’autre et surtout le Juif. Même quand leurs compteurs électriques disjonctent il y a forcément la main juive derrière
Leur faire comprendre qu’en l’état actuel de l’instruction rien ne présume de sa culpabilité reviendrait à prêcher l’amour du genre humain lors du pèlerinage de la Mecque.
Dans la plupart des pays musulmans une victime de viol est jugée responsable voire coupable de son viol et son violeur est soit blanchi soit forcé à l’épouser quand elle ne se trouve pas elle-même condamnée à une peine de prison. Ses laudateurs ont du mal à concevoir qu’un acte qui n’est pas un crime en soi sous leurs cieux peut l’être chez les mécréants dont les lois sont viles et impures et inappropriées pour juger les musulmans qui relèvent de la seule loi d’Allah.
Il n’y a pas pour eux de justice qui tienne. Tarik Ramadan est au-dessus des lois des hommes car il est musulman. Ce que le code pénal qualifie de rapports sexuels contraints et forcés est pour eux comme les qualifient prosaïquement leur chouchou des rapports de séduction. Autrement dit sa présumée victime serait tombée sous son charme irrésistible de Don Juan des mosquées mais sans qu’elle exprime expressément son consentement.
Un viol sans les 4 témoins de l’Apocalypse islamique n’est pas un viol pour eux.
Que vaut la parole d’une femme contre celle d’un homme ?
Ses laudateurs semblent oublier que Tarik Ramadan s’il est présumé innocent l’est beaucoup moins au regard de sa loi canonique scélérate, la charia, dont il est un propagateur des plus zélés. Ce bon musulman s’est, en effet, rendu coupable du 10 e péché majeur de l’islam, la fornication (al-zina).
Une turpitude qui devrait lui valoir le châtiment prévu dans le cas d’espèce s’il vivait en Arabie Saoudite, pays où il est persona non grata : »La fornicatrice et le fornicateur, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l’exécution de la loi d’Allah – si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu’un groupe de croyants assiste à leur punition. »
(S. 24, V. 2)
Mahomet lui-même, expert pourtant es fornication, n’est pas tendre avec les fornicateurs qui n’ont pas été jugés ici-bas et viennent à mourir sans repentir, ils seront châtiés en enfer avec des fouets de feu.
« Lorsque le musulman commet l’adultère, il n’est plus croyant, au moment où il l’a commis ! Lorsqu’il vole, il n’a plus la foi au moment où il a volé ! Lorsqu’il boit du vin, il n’est plus croyant au moment où il l’a bu ! Lorsqu’il usurpe par la force une propriété de grande valeur, uniquement par se faire une réputation et que les gens le craignent, il n’est plus, certes, en ce moment un croyant ! » (rapporté par Boukhari, Mouslim, Abou Dawoud et Nassa-i d’après Abou Houraïra)
Selon un autre hadith, symptomatique de la tartuferie mahométane : « Lorsque le croyant fornique, la foi le quitte et elle est comme un petit nuage au-dessus de sa tête. lorsqu’il cesse et se repent, la foi lui revient ! » (rapporté par Abou Dawoud, Tirmidhi et Al Baïhaqi d’après Abou Houraïra)
Le « frère » Ramadan qui pris sous les effluves de sa libido insatiable , faute d’avoir perdu la tête au moment de son passage à l’acte a cessé d’être le musulman qu’il prétend être : « Celui qui fornique ou boit du vin, Dieu lui enlève la foi comme on enlève le vêtement à une personne et qu’on le lui retire par la tête. »
(rapporté par al hakim d’après Abou Houraïra)
Pour un tartufe de son espèce qui prêche la vertu et appelle les musulmanes à préserver leur chasteté aux seuls profits des musulmans et se fait le pourfendeur de l’adultère, il a fini par se prendre les pieds dans son tapis de prière et dévoiler sa véritable nature, de l’homme aux multiples visages.
Cependant en sa qualité de théologien autoproclamé et prédicateur islamo-fasciste patenté, il ne pourrait nier que l’orthodoxie musulmane dont il est un fervent militant ne réprime pas plus le viol des femmes captives, des esclaves et des non-musulmanes voire les musulmanes elles-mêmes qu’elle ne réprime le meurtre des apostats
.http://islamisation.fr/2016/01/05/la-legalite-du-viol-des-captives-et-esclaves-est-autorise-par-le-coran-et-la-sunna/
Lui qui connaît comme personne la biographie de Mahomet comme la pensée nauséabonde de son grand-père maternel il devrait savoir que Mahomet faute d’avoir réalisé des miracles qui auraient fait de lui un messie comme il s’est illustré dans le viol des femmes captives.
Safiya, l’épouse juive de Muhammad
Tarik Ramadan, négationniste et complotiste dogmatique, en bon musulman qu’il est, n’a pas commis de crime sexuel dans le sens du droit positif, d’où son refus à signer le procès-verbal de la police, car pour lui son acte ne présente aucun caractère pénal du fait qu’il n’a fait que suivre le bon exemple de son prophète.