Le génocide des chrétiens d’Orient bat son plein et le monde drape l’islam dans sa vertu

Le monde s’émeut et s’indigne parce que les vrais musulmans à la solde du Qatar, de la Turquie et de l’Arabie, les protégés d’Obama, ont saccagé le Musée de Mossoul, mais il garde le silence sur le martyr des chrétiens d’Orient victimes de purification ethnique et de crimes contre l’humanité.

Ce qui se passe dans cette partie du monde et la duplicité de la communauté internationale est en tous points de vue comparable au climat de terreur, de pogroms et d’autodafés en Allemagne nazie.

Génocider les chrétiens est permis, détruire des statuettes, même si cela est absolument condamnable et criminel, provoque un tollé général. Le massacre des chrétiens est un détail, une péripétie dans cette guerre qui ne dit pas son nom mais qui n’est pas sans rappeler les guerres néo-coloniales à des fins de prédation capitalistiques.

En protégeant les chrétiens on aurait sauvé cette partie de notre patrimoine universel. C’est notre passivité qui est responsable des malheurs du Proche-Orient.

Que le monde apprenne enfin ce que c’est l’islam qui n’a jamais été l’ami de l’homme ni de la diversité culturelle, ni du bien vivre ensemble, ni du pluralisme identitaire, ni de l’histoire universelle ni de l’archéologie. Il se veut à lui tout seul la matrice de tous les peuples qui doivent dans ses délires cosmiques se fondre dans le même moule pour former un seul et unique peuple sous la bannière de l’Oumma professant une seule religion, l’islam, et parlant la même langue, l’arabe. Les deux mamelles de l’humanité.

Mahomet a détruit les vestiges archéologiques de la Mecque sous prétexte qu’ils représentent des idoles car pour lui il ne peut y avoir de mémoire et de tradition historiques autres que les siennes.

L’humanité est née avec l’islam comme en sont convaincus les musulmans et tout ce qui peut témoigner de son antériorité, de sa richesse, de sa réussite, de sa splendeur, et de sa supériorité sur lui doit disparaître. Tous les peuples conquis par l’islam sont tous amnésiques de leur propre histoire.

L’islam se veut le nombril du monde, le début de son histoire, le géniteur de l’humanité, sa voie, son phare, son salut,  et il est craindre qu’il ne soit pas sa fin. A trop vouloir être le maître du monde, il ne se rend pas compte qu’il est en deçà de tout.

De son ignorance, sa suffisance, sa vanité, sa vantardise et sa mégalomanie il en a fait des articles de foi pour ses fidèles qui brillent par leur inculture et leur déficience intellectuelle.

PS Bachar n’est pas l’ennemi de l’humanité ce sont les wahhabites ces grands amis de la France qui le sont.

Pendant que la France veut l’apprivoiser l’islam fourbit ses armes contre elle pour l’achever

Déjà que les musulmans ne sont pas capables de dialoguer entre eux et se vouent une haine viscérale mutuellement, Mr Cazeneuve veut faire croire aux Français que les musulmans sont mûrs pour un dialogue républicain et qu’il va pouvoir les aider à se doter d’un organe commun à tous les musulmans de France et représentatifs ainsi de tous les courants de l’islam.  Une  performance utopique que personne n’a réalise avant lui et qui dénote surtout de sa méconnaissance de l’histoire politique ensanglantée de l’islam, du sectarisme religieux qui le mine, des conflits liturgiques et théologiques  qui plombent son unité.

Chaque communauté nationale veut mettre la main sur ce qu’on appelle abusivement l’islam de France. Les turcs, les algériens, les africains, les marocains, les pakistanais, les tunisiens veulent tous être les représentants de cet islam qui est surtout pour eux un fonds de commerce juteux à cause des retombées pécuniaires du marché halal ainsi que les collectes d’argent qui échappent à tout contrôle fiscal et qui finissent dans les poches des imams.

Mr Cazeneuve ignore apparemment les rivalités exacerbées entre les algériens et les marocains qu’il s’imagine pas qu’au nom des intérêts supérieurs de l’islam de France ces derniers vont comme par magie laisser leurs querelles intestines attisées par le conflit du Sahara aux portes des mosquées.

Le problème de l’islam de France et pas seulement est sa récupération politique par les pays d’origine des musulmans de France qui veulent chacun d’entre eux avancer ses pions et peser sur les couleurs nationales de cet islam que la France veut lui donner des couleurs tricolores..

Si la France est logique avec elle-même et a le souci de l’unité de cet islam made in France, un serpent de mer, elle doit changer le statut de la Grande Mosquée de Paris qui est le bras politique de l’Etat algérien. Ce qui est en soi une aberration et une atteinte à la souveraineté nationale. Cette mosquée reste la mosquée de l’Algérie en France. Ni les turcs ni les autres communautés ne s’y reconnaissent pas.

La mosquée supposée être un espace cultuel commun à tous les musulmans et abolir les clivages entre eux, est loin de jouer ce rôle puisque les musulmans choisissent leur mosquée en fonction de leurs obédiences et leurs orientations politiques et sectaires. Elle sert souvent de caisse de résonance quant aux rivalités nationales qui les minent.

Chaque communauté nationale veut avoir sa propre mosquée. Il arrive fréquemment que sur le territoire de la même commune qu’il y ait autant de demandes de construction de mosquées que de communautés nationales y résidentes.
Quand il n’y a pas de cohérence il ne peut y avoir de cohésion.

Entre eux-mêmes les Maghrébins n’arrivent pas à se doter d’un socle commun pour construire l’Union du Maghreb. Autant faire cohabiter les hyènes et les loups dans le même enclos que de vouloir cimenter l’unité des musulmans de France.

Mr Cazeneuve fait fausse route en croyant que les musulmans de France comme d’ailleurs forment une communauté homogène et soudée. Tout en se disant musulmans d’abord, ils sont chauvins et soucieux des intérêts de leurs pays d’origine et qu’en cas de guerre ils prendront les armes contre la France.
Il y a autant d’islam que de musulmans. Chaque musulman y va de sa propre lecture de sa religion.

En l’absence de clergé ou d’autorité spirituelle identifiée comme telle, sauf pour les chiites, il se considère comme étant lui-même titulaire d’un magistère religieux qui lui confère le droit de communiquer avec Allah sans intermédiaire. Or, cet organe d’intermédiation que veut consolider et réformer Mr Cazeneuve est un non sens pour lui. Une hérésie politique et dogmatique.

Un musulman orthodoxe n’a que faire de ce type d’organe qui ne peut être représentatif que des membres cooptés et adoubés. Tant que la France continue à confondre l’islam avec le Christianisme et le judaïsme, qui sont structurés et organisés, elle ne fait que souffler sur la braise jamais éteinte de la fitna, la zizanie, depuis la mort de Mahomet.

Faire parler les musulmans d’une même voix autant amalgamer la poussière et le vent ou marier la carpe et le lapin.

Il n’y a qu’un islam celui qui dépasse en horreur la barbarie nazie

L’.E.I. n’est pas l’islam paraît-il  sans bien entendu nous expliquer en quoi ne l’est-il pas , les musulmans dits modérés inventés en toutes pièces par les médias et les hommes politiques de tous bords européens,  ne sont pas l’islam non plus, c’est quoi alors l’islam  qui signifie littéralement soumission, asservissement, assujettissement, allégeance et acceptation de s’en remettre à la volonté du plus puissant que soi ?

Est-t-il l’ami des hommes de tous horizons sans distinction de croyance , de sexe  et de couleur ?

Prône-t-il la paix universelle dans le respect du droit à la liberté de conscience et sans aucune prétention hégémonique et négatrice des spécificités culturelles des peuples ?

A-t-il fait de la femme l’égale de l’homme jouissant des mêmes droits et soumise aux mêmes devoirs ce qui est en totale contradiction de la sourate 2 Al Bakara, la Vache, verset 28 qui consacre et affirme la prééminence absolue de l’homme sur elle ?  Selon Erdogan, le V.R.P. de l’islamisme modéré à la mode occidentale, qui n’a jamais caché son aversion pour la dichotomie entre l’islam modéré et l’islam radical, pour lui l’islam est l’islam, la femme ne peut pas être naturellement l’égale de l’homme. Vouée au rang de domestique, de champ de labour à finalité sexuelle, de pondeuse et de vache à lait.  Sa représentation de la femme ne fait que résumer fidèlement le statut de la femme défini par le Coran.  Allah a beau avoir stipulé « que l’homme est élevé au-dessus de la femme » mais il n’y a que les musulmans modérés qui sont assurément sourds, aveugles, ignorants et en rupture avec les références fondamentales de l’islam qui continuent à le nier sans pour autant l’étayer.

A-t-il couvert les juifs, les chrétiens, les apostats, les opposants, les associateurs  à son message de tout son amour  alors que rien dans les sourates ( 2, 4, 5, 7, 9…) ni dans les hadiths ne témoignent de son affection et sa bienveillance à leur égards ?  A moins que les musulmans modérés considèrent le Coran et les Hadiths comme un tissu de mensonges, une cabale pour nuire au pseudo message non-violent et humaniste qu’Allah a fait propager par la voix de Mahomet connu pour son hostilité pathologique des juifs dont il fallait purifier la terre : « L’heure ne viendra pas avant que les musulmans combattent les juifs et les tuent.  Les juifs tenteront de se réfugier derrière des pierres et des arbres, mais les pierres et les arbres les dénonceront en disant : « Ô serviteur de Dieu!  Il y a un juif derrière moi; viens le tuer ! »  Seul l’arbre appelé gharqad ne les dénoncera pas, car partisan des juifs. » Ses propos rapportés par  Sahih Muslim et Al Bukhari auraient pu servir de sous-bassement théorique à  Heidrich et Eichman dans la mise en oeuvre de  leur programme de la « Solution finale ».

Si Allah était aussi magnanime, généreux, et désintéressé dans son soi-disant amour pour ses ouailles, pourquoi a-t-il réellement besoin de leur interdire de ne pas avoir de l’amour  que pour lui même pas pour leurs parents  sous prétexte qu’il les a dotées d’un seul coeur qui ne peut pas battre pour deux amours à la fois ?  C’est trop facile de faire croire aux crédules  et aux niais musulmans qui lui obéissent au doigt et à l’oeil s’il n’avait pas peur qu’ils s’éloignent de lui qu’il n’y a de place dans leur coeur que pour un seul amour, le sien exclusivement. « Deux amours, celui d’Allah et de ce bas-monde ne peuvent cohabiter dans le même coeur puisqu’Allah [le jaloux, le possessif] refuse et n’accepte guère l’association (shirk) », il n’a pas placé deux coeurs dans la poitrine de l’homme. » (Sourate 33, verset 4). 

A-t-il enseigné à ses fidèles les vertus de l’humilité et de la modestie ? A en juger de ses délires de grandeur il est loin d’avoir ces vertus et encore moins d’être un anti-raciste notoire.  Pour lui les musulmans sont pourvues intrinsèquement des qualités supérieures aux non-musulmans qui les prédisposent d’hériter de la terre et de tout ce qui s’y trouve ( 19, 40) et d’y régner en maîtres ?
Dans une autre sourate 3.110  que ne saurait renier  Adolph Hitler : « Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre ( la Bible ) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d´entre eux sont des pervers. »

En quoi être musulman est un honneur et un privilège et ne pas l’être est un déshonneur et un crime passible de la peine de mort ? Pourquoi Al Azhar refuse de condamner l’E.I. et Boko Haram pour hérésie ?

Si les musulmans sont des ange pourquoi tout se sang qui se répand à son nom depuis 1435 ans ? S’il était un havre de paix pourquoi il n’y a plus de chrétiens et de juifs dans les pays musulmans ?

Comment peut-il se prétendre religion monothéiste et fier soi-disant de sa filiation judéo-chrétienne et racketter les juifs et les chrétiens pour qu’ils puissent avoir le droit à la vie ?

Pourquoi les relègue-t-il au rang de dhimmis, des humains entièrement à part, des pestiférés, des sous-hommes, des intouchables, des sujets de seconde zone  avec lesquels il est formellement défendu de les prendre pour alliés et associés ou de leur confier le moindre mandat de représentation ?

Est-e que le fait d’être musulman fait de l’homme un seigneur et de ne pas l’être fait de l’homme un esclave alors que le musulman lui-même est acheté par Allah, son esclave soumis ?

 

Pourquoi aucun pays musulman n’a ratifié la Convention Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948  ni l’avoir inscrite dans leurs constitutions craignent-ils à ce point la liberté de conscience pour adopter en masse en tant que membres de l’O.C.I.  la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme dans l’islam du 5 août 1990, qui veut dire en réalité  les devoirs des fidèles musulmans, un esclave n’a pas à jouir des droits ?

Droits de l’Homme :

La Déclaration du Caire sur les Droits de l’Homme en islam, qui elle seule est adaptée aux préceptes coraniques, est à des années lumières de la Déclaration des Droits de l’Homme, parce que l’islam est contre l’égalité. Le droit musulman est profondément inégalitaire et liberticide.

Le musulman est automatiquement placé au-dessus du non-musulman, le croyant au-dessus de l’athée, l’homme au-dessus de la femme, l’homme libre au-dessus de l’esclave.

Un exemple :

s33 v60à62 : « Certes, si les Hypocrites, ceux au coeur de qui est un mal et ceux qui tremblent ne cessent point, à Médine, Nous te mettrons certes en campagne contre eux [Prophète ! ] Ensuite, ils n’y resteront tes voisins que peu [de temps]. Maudits, quelque part qu’ils soient acculés, ils seront pris et tués sans pitié, selon la coutume d’Allah à l’égard de ceux qui furent antérieurement. Or, tu trouveras la coutume d’Allah non modifiable.»

Nourris au biberon de l’ethnocentrisme, à l’ego sur dimensionné et convaincus qu’il n’y a  pas d’autre vérité que celle figurant dans le Coran censé être un puits inépuisable de science, jamais les musulmans n’emprunteront la voie de la raison humaine et ouvriront le débat sur les idées fallacieuses , farfelues, néfastes à l’humanité, obscurantistes, figistes, ultra-réactionnaires, rétrogrades, et abracadabrantes véhiculées par leur religion.

Les musulmans et leur indispensable paravent juif pour dissimuler leurs crimes contre l’humanité

Bilan des actes de terrorisme  portant la signature de l’islam  au cours des ces derniers jours :

  • une fillette âgée de 7 ans utilisée par Boko Haram comme bombe humaine  s’est fait exploser au milieu de la foule au nord du Nigéria : 5 morts après une vague d’attentats dans le sud du pays :40 morts.
  • 21 Coptes décapités en Libye dans la pure tradition mahométane.
  • Une attaque sanglante menée par les shababs somaliens contre un hôtel à Mogadiscio : 25 morts.
  • Raid meurtrier des talibans contre une mosquée chiite : 20 morts.
  • Triple attentat à Bagdad : 36 morts.
  • Agression contre des soldats tunisiens : 4 morts.

La majorité des victimes sont des esclaves d’Allah qui retrouveront dans l’au-delà leurs bourreaux pour jouir des d’Allah et s’adonner au plaisir charnel éternel promis.

Les chiffres ont beau être têtus, il n’y a que les musulmans qui refusent d’y croire.

Dès qu’on les titille sur leur propre silence et le caractère hautement criminogène et ultra-violent de leur religion, ils s’effarouchent, s’indignent, se scandalisent et crient à l’injustice. Ils se cachent derrière leurs petits doigts en assénant leur tirade favorite : regardez les juifs ont beau tuer les enfants palestiniens, les privant de nourriture et de soins, personne n’ose les critiquer.

On a beau leur dire que les crimes abominables dans le monde aujourd’hui sont l’oeuvre des musulmans qui professent la même foi qu’eux et appliquent fidèlement la feuille de route mahométane – ce qui est loin d’être leur cas – impossible de leur faire entendre la voix de la raison.

Têtus et obtus, sourds et aveugles, obstinés et rigides, ils restent murés dans leurs certitudes et inébranlables dans leurs convictions qui ce sont les juifs, et les juifs seuls, qui doivent être jugés.

Jamais les musulmans ne regarderont l’islam dans le miroir de leurs organisations terroristes et barbares. Ils prétendent même qu’elles sont une créature sioniste, comme pour Daech. Jamais ils admettront que l’islam est la source de leurs maux et de l’humanité tout entière.

Leur mauvaise foi est sans limite, le coupable est toujours le juif. Il est leur échappatoire pour dévier le débat sur les supposées exactions dont sont victimes les palestiniens de la part d’Israël.

Pourquoi les musulmans ont-ils cette fâcheuse manie de toujours chercher à dévier la discussion sur le sort des palestiniens ?

Savent-ils que le bilan des meurtres entre palestiniens dépasse le nombre des morts du conflit israélo-palestinien?

Plus de 20 000 victimes palestiniennes en septembre 1970 en Jordanie – et ce n’est certainement pas à mettre à l’actif de l’Etat hébreu. Dans leurs délires de persécution, ils seraient encore capables de les leur imputer si on tente de les empêcher d’occulter. Quand un musulman tue, ce qui arrive de plus en plus, il est forcément manipulé par un sioniste.

Quand on interroge l’islam sur ses crimes, les musulmans nous envoient aux crimes fantasmés de leurs ennemis. Ils ont un besoin  pathétique et pathologique du juif tel qu’ils l’auraient inventé pour pouvoir exister. C’est une sorte d’exutoire pour eux qui leur permet d’expier leurs crimes et leur voile pour ne pas se regarder dans le miroir de l’histoire qui illustre la nature sanguinaire de leur idéologie mortifère, leurs échecs et leurs défaites récurrents ainsi que leurs grands ratés de leurs rendez-vous avec le train du progrès humain.

 

Libertés sexuelles, inceste et prostitution halal dans le mariage coutumier musulman

Extrait d une vidéo de propagande syrienne montrant une jeune fille qui aurait été vendue aux djihadistes. (Capture d'écran)

Le mariage coutumier dit Orfi avilit la femme, légitime la prostitution et favorise l’inceste. Mortel pour la famille et l’enfance

  1.  Les dérives morales, hérétiques et sectaires de l’islamisme ne sont un secret pour personne depuis Ibn Taymmya, le vrai père-fondateur de l’islamisme moderne, mort en prison pour  délit de blasphème en 1328 à Damas. Les électeurs tunisiens qui ont voté pour Ennahdha dont beaucoup d’entre eux contre leur gré et avec la bénédiction de cette instance de croque-la mort de la démocratie, ils participent inconsciemment  à la mise en musique du projet de société de cette secte pour la Tunisie.
  2. Un projet criminel, rétrograde et barbare. Ennahdha n’a plus le choix que dévoiler son programme politique, quel vilain mot pour une secte apostate: la guerre aux femmes célibataires, la stigmatisation des enfants élevés par ces mères. Ses desseins pour la Tunisien portent en eux le poison mortel pour les droits fondamentaux et l’éthique sociale. Elle propose aux Tunisiens qui souffrent de troubles psycho-affectifs et tous ces misogynes phallocrates l’union libre à la sauce islamique. Une sorte de mariage hyper précaire, le temps de l’acte sexuel lui-même revêtu du prétendu sceau immonde du sacré. Les futures esclaves sexuelles du macho tunisien qui vont immanquablement se retrouver seules une fois que leurs prédateurs les auraient dépecées, les risques de grossesse sont inévitables n’est-ce pas ?
  3. L’islamisme interdit les rapports protégés et l’avortement. La virilité d’un homme chez les islamistes se juge à l’aune de sa nombreuse progéniture et des femmes consommées.  Nonobstant les M.S.T. et le sida mais pas seulement, quel sera le statut social et juridique de ces femmes contraintes à une forme de prostitution déguisée qui bien souvent pour échapper à leurs conditions matérielles misérables ?  La société islamisée condamne ce qu’elle autorise au nom de sa religion. Une véritable schizophrénie socio-juridique. Outre le fait que le droit canon, la charia reconnaît et encourage la pratique de ce type d’union, une façon habile et pernicieuse pour ré-instaurer la polygame, réprouvée pénalement par le C.S.P. nonobstant son caractère avilissant pour la condition féminine, réduisant la femme à sa seule fonction d’assouvir les pulsions sexuelles  du pervers sexuel tunisien le maître du corps de la femme et le roi de sa volonté.  Quel statut cette société de zoophilie, de nécrophilie, pédophilie, de kamikazes, de zombies, de violeurs, de charlatans, d’illusionnistes, d’escrocs de la foi, va-t-elle octroyer à ces enfants dont la conception est légitimée par la religion mais qui elle-même les stigmatise assimilés au fruit du pêché de leurs mères, mais rejetés par la société, leur accordera-t-elle, alors qu’ils sont  nés de pères inconnus mais seulement reconnus par la mère qui n’ a pas pourtant la capacité juridique de transmettre son nom dans le droit musulman ?
  4. C’est un vrai casse-tête juridique qui ne relève pas du positivisme juridique. Le droit humain est simple et limpide. Une femme transmet sa filiation. Et pourtant ces mères-célibataires créées en toute pièce par le droit canon islamique, n’échapperont pas non plus au statut de l’infamie que les islamistes vont forcément leur octroyer. L’image du père finira par disparaître aussi. Imaginez enfin les dizaines des milliers d’enfants qui naîtront sans père, ils seront comme ces enfants égyptiens qu’on désigne par le prénom de leurs mères. Enfin, ce type de relations n’est pas sans conséquence sur le développement de l’inceste. Comme ils seront tous les fils et filles de leurs mères, il n’ y aura plus d’interdit sexuel. Les islamistes ne connaissent pas la génétique et le statut juridique de la filiation en droit positif et ses conséquences  parce qu’ils sont rationnels pour des esprits noyés dans la fumée sombre qui obstruent leurs neurones
  5. .En conclusion afin que les Tunisiens sachent où un  tel modèle de société va les mener, je les invite à scruter le cas turc : le mariage coutumier répandu en Turquie depuis l’arrivée d’Erdogan au pouvoir a favorisé le développement de la prostitution,  la polygamie, de la violence faite aux femmes plus de 1600% et l’explosion exponentielle de la courbe des enfants des rues. 35 000 rien qu’à Istanbul. Eux-mêmes abandonnés par leurs mères qui n’ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins.
  6. Le sexe islamiste est un sida génétique, social, psychologique, humain. Diagnostic, la morale sociale et le sexe islamiste sont un couple divergent. Avec l’islamisme, l’immoral est moral tant que que les actes accomplis sont légalisés par la charia. L’indignité humaine et l’ignominie sont tolérables tant qu’ils répondent  à la volonté de Dieu. Ce qui est licite dans la charia est illégal et condamnable par la justice républicaine.
  7. NB L’union libre est par définition l’expression de la volonté consentie entre les parties qui donnent à leur relation un cadre juridique informel. Dès lors que l’on cherche à la formaliser, elle cesse d’être libre et se trouve régie par le droit commun.Le code civil. Dans sa conception islamiste, c’est une façon perverse pour contourner la loi tunisienne qui réprime pénalement ce genre de pratique aux conséquences incommensurables sur les droits de la femme et des enfants. On ferme les bordels, et on ouvre des camps sexuels, c’est ça la vraie définition des mariages coutumiers.

PS Les filles de l’innommable et dévergondé Ghannouchi  ont conclu des actes de mariage de droit civil sauf pour l’une d’elle qui vit en concubinage avec Bouchlaka.

 

 

L’islam n’est pas un marqueur génétique

On est jamais les ex d’une religion quand on a pas choisi de la professer.

La religion n’est ni un marqueur génétique dont on ne peut se défaire ni une nationalité ni un facteur déterminant dans les relations humaines. Les hommes ne doivent pas être définis selon leurs groupes d’appartenance à une communauté censée partager les mêmes croyances les reliant à des forces supra ou surnaturelles et par conséquent l’exclusion, la mise à l’écart, le bannissement de ceux qui n’y croient pas ou qui les abjurent.

On  ne naît pas avec des pré attaches à tel ou tel ensemble  de croyances, on naît avec l’identité  juridique des parents, dotés de 23 paires de chromosomes dont aucune n’est identifiée en  tant religion et le résultat de 4 recombinaisons de patrimoine génétiques différents. Elle a beau ne pas être déterminante dans la construction biologique et juridique de la personne humaine, et ne pas en avoir n’est pas une tare génétique, elle apparaît malgré tout cela comme la sève de la vie, le véritable cordon ombilical qui relie les hommes à une force invisible, omnisciente, au-dessus de la mêlée qui serait la vraie créatrice de la vie. Chez pourquoi chez les musulmans, c’est Allah qui comble de sa grâce les parents en leur donnant un enfant qui n’est jamais le fruit de l’amour il est la chose d’Allah. Sa propriété à l’image des parents. Un enfant d’esclave est un bien qui revient de plein droit aux maîtres de ses parents. Allah a le droit de la vie et de la mort sur la vie de ses créatures auxquelles il ne leur laisse aucune possibilité de recouvrer leur dignité sous peine de lui payer un tribut au prix de leur propre vie.

De toutes les religions quelles qu’elles soient l’homme ne naît pas libre dans l’islam. Il est marqué du fer rouge de l’esclavage l’identifiant comme la propriété inaliénable d’Allah ad vitam aeternam  pour lui-même et sa descendance.  Le poids de la religion est tel que les pseudos valeurs morales, l’insensé, le subjectif, l’irraisonné et l’aléas deviennent une vérité absolue et on force de loi essentialiste et la science et le juridique sont à jeter aux orties. Pire encore un sacrilège attentatoire aux dogmes du sacré.  Ce qui est le fruit du hasard est essentiel et ce qui est relève de la certitude, vérifiable, quantifiable, identifiable, diagnosticable,  quant au caractère biologique des individus par exemple est impie.  A des années-lumière de la citation de Montesquieu : « Je suis homme nécessairement et ne suis français que par hasard »

Autant apostasier sa foi que de de mettre en cause le prédéterminsme qui est le moteur de la religion musulmane elle-même. C’est douter de la puissance d’Allah, la remettre en question et conférer à l’homme le pouvoir de casser son oeuvre. une notion.

On multiplie les verrous et renforce le pouvoir de tutelle d’Allah sur ses créatures. On fait de la religion et son corollaire le sacré, où seuls les interdits sont permis,  le sens de la vie sans quoi l’homme périclite et se meurt.  Cet état de servitude de l’homme vs-à-vis d’une nature supérieure, en quoi l’est-elle explicitement et rationnellement puisque c’est l’homme lui-même qui la dote d’attributs suprématistes,  qu’on appelle divine et de lui rendre un culte selon Cicéron (De inventione II, 53).

L’identité biologique qui est censé constituer un socle commun au genre humain se retrouve reléguée au profit des valeurs qui portent en elles les germes du racisme.  L’homme lui-même a creusé sa propre tombe en créant le concept de religion qui serait un idéal de vie commun à toute l’humanité et comme par hasard aux dépens des femmes et des enfants comme c’est le cas dans le monde dit musulman.

En croyant faire couler les hommes dans un même moule  comme a tenté de le faire le nazisme, une religion païenne,les religions et tout particulièrement l’islam n’ont fait que précipiter l’humanité à sa perte en nourrissant les préjugés et les peurs de ce qui est différent de soi et les fantasmes du complot. Définir les individus sur la base des critères religieux revient à les classifier, les hiérarchiser, les diviser et les opposer les uns aux autres.

Comme si la religion devenait une source de mérite sous-entendant une prééminence des unes par rapport aux autres et conférant à ses membres des qualités intrinsèques propres.  Les hommes naissent sur une terre où ils n’ont pas été élus par une quelconque force prétendument supérieure pour y naître.  Ils ne sont pas issus d’une religion ils sont originaires d’un pays même s’ils n’ont pas choisi d’y voir le jour témoin de leurs premiers sourires et leurs premières larmes

Cessons de définir les gens par rapport à leur appartenance  religieuse ou supposée telle, ni à leur faciès à la façon de Sarkozy, ni leurs patronymes. On peut aussi se prénommer Mohamed sans être musulman et Marc sans être pour autant chrétien. Des prénoms qui ne sont pas nés avec l’avènement de ces religions.

Qui d’entre nous a choisi de naître dans environnement religieux  bien défini ? Le fait pour moi d’être né dans une famille dite musulmane, comme si elle était le produit de cette religion, ne fait pas de moi pour autant un musulman devenu ex par la suite. Je ne peux pas renier ce que je n’ai jamais choisi comme c’est mon cas. Mes parents eux-mêmes  auraient-ils opté par exempte pour l’islam  si on leur avait laissé le choix et surtout si on leur avait laissé la faculté d’exercer leur libre-arbitre ?  Personne leur avait demandé leur avis pourquoi devrais-je assumer un choix imposé et contraignant négateur de l’expression de leur volonté propre.  Quel crédit pourra-t-on donner à un choix qui n’est pas le sien ? Si mes parents sont illettrés, loin d’être le cas des miens, et donc dépourvus d’esprit critique et d’outils de questionnements sur le sens de l’existence pourquoi dois-je forcément les suivre aveuglement sous prétexte que je dois préserver leur héritage ? Si leur héritage est lourd à porter et qui ne correspond en rien à ma vision du monde et ma philosophie humaniste suis-je en droit d’y renoncer ? Musulman je ne l’ai jamais été car je n’ai jamais exprimé la moindre allégeance à cette religion à l’âge adulte ni lui avoir témoigné de la moindre ferveur ou avoir manifesté un quelconque acte d’appartenance à cette religion au cours de mon enfance en termes de pratiques cultuelles même si cela n’a aucun sens. Un enfant est une machine à reproduire les programmes qu’on lui enseigne. J’ai eu de la chance d’avoir échappé à ce supplice sans pour autant avoir mauvaise conscience vis-à-vis de mes parents.

Le respect des parents ne s’évalue pas à l’aune de leur dévotion pour telle ou telle religion. Ce n’est parce que les parents ont été des Témoins de Jéhovah ce n’est pour autant que leurs enfants le deviennent à l’âge adulte.  Il n’y a pas pire déni de liberté de conscience que de vouloir culpabiliser les êtres humains qui rompent la chaîne d’appartenance au système de croyance de leurs parents.  Quand des parents n’ont rien fait pour ôter le carcan de la religion leurs enfants n’ont pas à emprunter leur voie. Si un esclave n’a pas brisé les chaînes nul n’est en droit de reprocher à son fils de les avoir rompues. 

Les délires complotistes des Arabes et leurs vassaux nord-africains

A quoi on reconnaît un arabe et son fac-similé ? A l’évidence ce n’est ni à leur courage ni à leur honnêteté intellectuelle et encore moins à leur lucidité et leur clairvoyance. Ils sont les seuls au monde à passer leur vie à crier au loup imaginaire  lâché par leurs ennemis fantasmés qui sont généralement les juifs et les occidentaux dans leur havre de paix qui est en réalité un véritable nid de vipères.  Il n’est visible que par eux car il est le fruit de leur forte fièvre hallucinatoire et leurs délires paranoïaques au point qu’ils ont fait de la théorie du complot leur seule raison d’être et de vivre, leur motus vivendi.

Confondant le monde réel avec le monde fictif, ils font de leurs suppositions une vérité absolues. Se sentant offensés et touchés dans leur dignité et leur amour propre quand on cherche à les faire toucher du doigt l’irrecevabilité de leurs arguments, résultats de leur propre construction mentale, nourris par des illusions et des présupposés symptomatiques de  leur haine de l’autre.  Cet autre qui leur veut du mal et qui veut leur faire endosser la responsabilité de ses crimes.  Peu importe comme c’est souvent le cas leur religion elle-même ordonne et arme les mains des escadrons de la mort affichant fièrement leur appartenance à cette croyance en question ils persistent et signent dans leur déni des évidences.  Pour eux, c’est forcément un coup monté pour nuire à l’image paisible de leur religion.

Vivant à contre-courant du monde réel,  ils sont convaincus que la voie empruntée est la meilleure qui puisse exister, parce que les autres sont jaloux d’eux qu’ils ourdissent et fomentent  des coups montés contre eux.  Se prenant pour le nombril du monde ils sont persuadés que les dizaines de milliers d’attentats qui portent la signature irréfragable de leur mode de croyance est une cabale éhontée dont ils sont victimes.  De bourreaux et cauchemar de l’humanité, ils deviennent grâce aux mécanisme de défense qu’ils se sont créés   résultants de leur état de troubles schizoïdes-paranoïdes des êtres inoffensifs, des veuves éplorées, des orphelins sans défense.

Le monde les jalouse c’est pourquoi ils sont l’objet d’une campagne de dénigrement d’une violence inouïe. A chaque fois que des actes de barbarie frappe l’humanité dans sa chair et son âme, ils se substituent maladroitement et odieusement  aux victimes en enfumant les témoins par leurs numéros habituels  : tous ces morts qu’on vous exhibe ne sont que des pantins pour émouvoir l’opinion et jeter l’infamie sur notre religion.

Pourquoi vont-ils compatir et s’indigner alors ce sont eux la vraie cible de ces actes monstrueux dont la finalité est de les dévaloriser et les humilier ?  Jamais les arabes et leurs fac-similés ne regarderont le monde réel avec sans vision trouble et confuse. Ils sont incapables de le concevoir le et de l’imaginer autrement que comme un monde hostile et inamical qui ne jure par leur perte.  S’ils sont les premiers à profiter de ses bienfaits et à s’y réfugier pour échapper à l’amertume de leur existence, ils considèrent qu’ils ne font que reprendre aux autres ce qui leur ont soi-disant volé alors qu’ils sont les victimes des plus grands régimes politiques les plus corrompus et despotiques qui soient au monde.  Mais chez eux la fiction dépasse  le réel.

Pour meubler leur existence misérable et aride,  ils ont besoin de pervertir leur perception du monde pour compenser leurs frustrations d’êtres frustes et impuissants pour écrire eux-mêmes leur propre histoire et inverser le cours de leur destin qui n’a rien de fatal à condition qu’ils se libèrent des chaînes de leur religion incompatible avec la réflexion humaine et tout esprit critique.

Immatures et souffrant des véritables roubles de comportement, sources des excès de violence  qui secouent l’humanité et dont ils sont les premiers à en faire les frais, inhibés et paralysés par la phobie  de penser et d’agir par soi, ils se fabriquent un adversaire imaginaire pour justifier leurs propres échecs et leurs graves carences psycho-affectives et identitaires. Ni coupables, ni responsables, toujours la faute à l’autre, c’est certainement ce qui explique leur tendance maladive à faire allégeance à l’autre souvent contre  ses propres intérêts et son propre frère.

L’autre est pour eux une figure tutélaire, un Totem pour devenir eux-mêmes un tabou.Toute leur existence tourne autour de cette relation fantasmagorique tissée avec cet autre qui leur sert de bouc-émissaire pour combler leur insuffisance et remédier à leur incapacité pathologique de prendre en main leur destin humain contrairement un luxembourgeois ou liechensteinois. Ils se diluent dans cet autre pour pouvoir supporter l’amertume de leur vie. C’est  en toute logique que le philosophe va-t-en guerre, sioniste notoire soit devenu une sorte de souverain pontife des extrémistes musulmans. Adulé, glorifié et béatifié au rang d’apôtre de l’islamisme auquel les libyens ont accordé en guise d’hommage à son action messianque leur nationalité.

Pourquoi n’y a t-il pas l’équivalent d’un BHL arabe ou assimilé chez les « sionistes » ou les occidentaux  pour les manipuler et les malaxer comme une pâte à modeler ? Pourquoi ce sont toujours les arabes et leurs fac-similés qui sont sous influence éternelle de leurs propres ennemis ? Leurs territoires ont été façonnés par leurs anciens colonisateurs qui font la pluie et le beau temps chez eux.

Pourquoi s’entretuent-ils entre eux comme des bêtes féroces pour le compte des grandes puissances ? Au lieu de faire de l’autre la cause de tous leurs tourments, n’est-il pas pas plus responsable de reconnaître et d’assumer  que le vrai mal est en soi et si les autres tirent les ficelles ce n’est que le résultat d’un manque flagrant de personnalité. Il n’y a que les déficients intellectuels et les malades qui sont victimes d’abus de faiblesse et un pion sur l’échiquier des pervers. Quand on est des éternels dominions, niais, vénaux, renégats,  frivoles, érigeant la luxure intrigants, perfides et couards, on devient une proie facile pour des plus malins que soi.

Le drame des arabes et de leurs fac-similés est leur d&faut de personnalité et leur absence de courage de se regarder dans le miroir de l’histoire. Ils ont toujours voulu s’imposer à l’autre par la violence, la fourberie, la perfidie, la traitrise, la pleurnicherie, la déloyauté, l’esbroufe,  et la cruauté, ils sont aujourd’hui entrain de périr de leurs propos maux. Une véritable aubaine pour leurs ennemis. Ils n’ont pas besoin d’être victimes de complots puisqu’ils ne peuvent pas exister sans leurs fantasmes délirants de la manie du complot. Les arabes et leurs fac-similés sont comme ces chameaux qui les symbolisent dont ils ne  possèdent pas les attributs mais qui comme eux ils ont peur de regarder leur bosse pour ne pas se couper.

Pourquoi la France doit-elle interdire les conversions de ses jeunes mineurs à l’islam ?

La première mesure à prendre pour endiguer le flot des conversions précoces néfastes à la société française et aux convertis eux-mêmes  est l’interdiction formelle des conversions qui touchent les adolescents et pré-adolescents non issus de familles musulmanes. La puissance publique ne doit tergiverser en matière de  la protection de leur santé mentale de ses jeunes mineurs dont l’éducation religieuse et morale est du seul ressort des parents.

La convention sur les droits de l’enfant (art. 14 al. 2 ) confère aux parents le droit comme l’avait déjà fait dans un article 18 al. 4, le Pacte sur les Droits civiques et politiques des Nations unies de 1966 :  » Les Etats parties au présent Pacte s’engagent à faire respecter la liberté des parents et, le cas échéant, des tuteurs légaux de faire assurer l’éducation religieuse et morale de leurs enfants conformément à leurs propres convictions.  » L’Etat fraçais est ainsi tenu à une obligation de neutralité et ne peut pas intervenir dans les choix des cultures religieuses et morales que les parents transmettent à leurs enfants, sauf si elles sont des sources de danger pour l’enfant, l’interdiction ferme,  autant il ne peut s’abriter derrière le paravent du droit international qui semble faire la part belle à l’islam.

Un enfant ne peut être qualifié de majeur dans le choix de ses convictions religieuses au nom de sa liberté de pensée et mineure au regard du droit électoral par exemple.  La France se doit plus que jamais de s’inquiéter de la nature de ces conversions précoces à l’islam et de leurs  conséquences psycho-socio-médicales sur ses enfants mineurs plutôt que de rester spectatrice impuissante face au péril de ces véritables bombes à retardement.

En effet, elle se doit de se doter d’un observatoire de veille des conversions à l’islam des jeunes mineurs sans pour autant négliger le danger réel sous-jacent aux conversions des adultes.  Qu’il n’en déplaise  aux défenseurs irresponsables du droit de l’enfant au choix de sa liberté religieuse, l’Etat qui tout en ayant pas à interférer dans un tel choix doit exercer son devoir de vigilance au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant exempts d’influence extérieure et sont loin par conséquent d’être la manifestation d’une volonté sans équivoque.

 Si la législation islamique fixe la majorité à 13-15 ans pour les garçons et 8-9 ans pour les filles qui est en réalité l’âge de son viol institutionnel ce n’est pas le cas la législation française sexuelle qui fixe la majorité légale à 18 ans tous sexes confondus.  

En laissant ainsi en toute liberté  des enfants opter pour l’islam la France adopte de facto la loi islamique.  Cette politique de laisser faire est entrain de se retourner chaque jour contre elle.  Ce sont bien souvent ces mêmes enfants convertis à l’islam qui deviennent à l’âge adulte les ennemis de la république. Elle ne se rend pas compte qu’elle sème elle-même ce qu’elle récolte. Qu’attend-elle de tirer les enseignements qui s’imposent dans le cas d’espèce et d’établir les liens de causalité entre les conversions prématurées et la poussée de fièvre haineuse de la République observée chez les convertis précoces ?  La réalité des faits est suffisamment grave pour passer outre les dispositions de la  Convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant est bien plus claires et il faudra que nos juristes si résolvent :  » 1. Les Etats parties respectent le droit de l’enfant à la liberté de pensée, de conscience et de religion.  »

Le droit n’a du sens que si les libertés ne se transforment pas en pièges mortels pour les libertés elle-mêmes. Aujourd’hui, la France est confrontée à un fléau épidémiologique des conversions précoces, elle n’a pas d’autre alternative que l’éradiquer au nom de la raison d’Etat.  Elle doit juguler ce danger en amont par des mesures de surveillance et de prévention, voire d’interdiction, si elle ne veut pas se trouver ensevelie par ces vagues de conversions précoces qui portent en elles tous les germes de sa disparition en tant que nation .

Il ne faut pas tomber dans l’angélisme bon enfant du droit international qui pose un constat des plus simplistes et une aubaine pour les prédicateurs-prosélytes musulmans qui ont compris que pour conquérir le monde il faut séduire sa jeunesse dès la pré adolescence : « les parents guident l’enfant dans le choix de ses convictions religieuses et morales (comment peut-on imaginer qu’il en soit autrement ? – ; et l’enfant dès qu’il en a les moyens intellectuels, prend sa liberté de pensée sur laquelle personne ne peut prétendre influer. »

Pourquoi protège-t-on les enfants de la tentation des sectes et  on à l’islam toute liberté d’endoctriner ces mêmes enfants ? Pourtant aussi bien les unes comme l’autre se veulent une voie, un parti, une cause, une doctrine, ou tout simplement une croyance.  Il ne doit pas y avoir deux poids deux mesures, un enfant n’est pas en droit d’adhérer à une secte mais il est en droit de faire allégeance, de déclarer sa soumission à l’islam.  On ne se convertit pas en réalité à l’islam on s’y soumet en professant la chahada :  Il n’y a Allah qu’Allah et Mahomet et son prophète.  Une simple phrase et de statut de citoyen libre on devient esclave pour toujouurs.

Un enfant mineur ne jouit pas de ses facultés de discernement, il n’est pas en mesure intellectuellement et psychologiquement de faire le grand saut dans le néant  abyssal des religions.  Est-il conscient qu’en croyant combler un vide il ne fait que l’aggraver ? Sait-il ce qu’il exerce soi-disant au nom de sa liberté de conscience aujourd’hui il ne peut plus s’en prévaloir demain pour renoncer à son choix fait à un âge ingrat ?

En France, il existe la Loi  du 21 juin 2001 protégeant les enfants mineurs contre les dérives sectaires pourquoi ne pas les appliquer à l’islam sachant que ni le christianisme ni le judaïsme ne posent absolument aucun problème à ce niveau. Ils ne sont pas connus d’offrir ce miroir aux alouettes aux jeunes mineurs.  Il faut retirer à l’islam le statut de religion monothéiste car il met en péril la pérennité de la France et de l’humanité tout entière.

En effet, il est inadmissible et scandaleux qu’on le laisse prospérer en toute impunité sur la misère humaine et manipuler mentalement et corrompre des enfants fragiles et immatures en pleine crise d’adolescence. L’islam ne gagne pas du terrain, il abuse de la faiblesse de ces enfants en manque de repères. Il est comme un dealer qui distribue qui offre généreusement sa drogue mortelle afin de créer des liens de dépendance.

Personne ne peut nier l’existence d’une maltraitance morale et psychologique dont sont victimes ces enfants notamment en ce qui concerne les filles constituent aussi une belle opportunité pour arranger les mariages avec les sans-papiers musulmans.

Si la France ne prend pas elle-même ses responsabilités en matière d’interdiction des conversions précoces elle ne devra pas s’étonner de voir un jour l’islam la rappeler à ses responsabilités vis-à-vis de la charia.

Tunisie : Nida Tounes faire-valoir de l’organisation terroriste d’Ennahdha ?

Ennahdha a laissé gagner la partie à Nida Tounes pour mieux revenir et de ne plus jamais repartir

Plus de 100 militaires et policiers tunisiens tués par les soldats d’Allah depuis le simulacre électoral du 23 octobre 2011 qui vaut au petit Caton de Jendoubi d’être ministre aujourd’hui pour ses fidèles et loyaux services à Ghannouchi, il faut encore combien de morts, des milliers, des centaines de milliers pour que les tunisiens établissent enfin un lien de causalité entre l’islamisation à marche forcée de leur société initiée et orchestrée par Ennahdha plus que jamais maîtresse du pouvoir et toutes ces victimes de la déferlante islamo-terroriste.
Sont-ils capables pour une fois de se poser les bonnes questions pourquoi en dehors de l’épisode de l’attentat commis par Ben Ali contre les membres de l’état-major des armées, jamais dans toute l’histoire de la Tunisie au cours des 60 dernières années aucun membre des forces de l’ordre, ni de la garde nationale ni de l’armée n’a été la cible d’une agression terroriste ?
Pourquoi depuis que l’islam a fait son retour en force dans le pays, il ne passe plus un jour sans que ceux qui sont les gardiens de la sécurité du pays payent à chaque fois de leur propre vie ?
Quand il aura fini par écoeurer et démoraliser les troupes et faire sauter ainsi le dernier verrou sécuritaire du pays il aura toute la latitude par la suite de régler leurs comptes aux laïques et toutes les forces de progrès du pays à la grande joie d’Ennahdha qui n’a jamais été vaincue par les urnes contrairement à ce que croient les tunisiens hostiles à cette organisation terroriste.
En effet en confiant leur destin politique et sécuritaire à Nida Tounes, les tunisiens étaient convaincus d’avoir fini avec le cauchemar islamiste et épargner ainsi à leur pays les années de braise algériennes mais ne savaient pas que ce mouvement n’était en réalité qu’un faire-valoir, un attrape-nigauds, un pion avancé sur l’échiquier machiavélique par la vraie maîtresse du jeu politique du pays.
Ennahdha sait que le temps joue pour elle et que Nida Tounes est un château de sable qui finira par s’écrouler au moindre courant d’air et qu’il ne survivra pas à son fondateur. Sa défaite électorale n’a rien d’une défaite à proprement parler, c’est une défaite stratégique, de répit, c’est reculer pour mieux revenir et de ne plus jamais repartir. Elle se doit se préserver elle-même contre le chaos qui se fait de plus en plus menaçant. Consciente qu’elle n’est pas suffisamment prête pour endiguer les flots de la montée de la colère violente due à l’état de la paupérisation galopante du pays, elle a fait semblant de se retirer de la scène tout en exerçant à la fois un pouvoir de nuisance et endosser des habits légalistes tout en continuant à prospérer sur cette misère qui est son atout majeur dans les futures échéances électorales. Ennahdha veut absolument regagner par les urnes ce qu’elle aurait perdu par les urnes. Elle sait qu’elle a tout à gagner par la voie électorale que par la violence qui est la seule à lui conférer une légitimité qui puisse lui permettre de jeter les bases définitives d’un régime théocratique à l’iranienne. Pour l’instant elle e veut pas gâcher sa posture d’être seul recours, l’alternative demain la plus crédible à l’échec inévitable de Nida Tounes. .
Retorse, rusée, fourbe et prestidigitatrice, ayant plus d’un tour dans son sac, elle s’est servie de cette pseudo bataille des urnes comme un leurre pour appâter les tunisiens pour ne pas apparaître à leurs yeux comme étant la responsable de leur tragédie
Habile manoeuvrière, elle a fait semblant de laisser gagner la partie à l’adversaire en l’occurrence Nida Tounes pour sortir elle-même de ses innombrables faux-pas politiques.

Le mythe de l’islam des lumières

A chacun son Moyen Age. L’Occident a connu le sien, le monde dit musulman  vit le sien depuis le VII e sans interruption et  pour longtemps s’il ne prend pas en charge son  propre destin humain dépollué des scories du sectarisme religieux.

En effet, le Moyen Age en Occident  né avec la chute de l’Empire Romain au V e siècle s’est achevé au XV e siècle avec la prise de Constantinople par les Turcs. Il coïncide toutefois aussi avec la prise de Grenade par les Rois Catholiques et la conquête du Nouveau Monde par Christophe Colomb. Mille ans caractérisés par une stagnation culturelle relative de l’Europe en comparaison avec cette longue nuit d’hiver que connaît le monde arabe. Et comme le souligne Flavio Biando de Forli (1388-1463) père du concept « Moyen Age », tout au long de cette longue nuit l’Europe n’a pas connu de rupture nette dans son développement culturel. Depuis l’amorce du processus de déclin de la Civilisation arabo-musulmane au XVème et la perte de Grenade, voire avant, les populations musulmanes des rivages Sud de la Méditerranée, malgré l’avènement de l’Empire Ottoman, vivent dans un état végétatif de sous-développement culturel. Incapables de se redresser culturellement et de s’inscrire dans la modernité. Manquant d’imaginaire, de créativité et d’imagination dus à leur environnement culturel liberticide et castrateur.

Elles croient trouver une solution à leurs innombrables et épineux problèmes avec la survivance du passé et la restauration d’un ordre moral abscons. Ainsi les faux prophètes, les charlatans de tout genre prônant le retour aux valeurs morales auxquelles ils attribuent la fin de l’apogée musulmane, trouvent le plus d’écho chez les masses abruties par l’obscurantisme et l’endoctrinement religieux du berceau jusqu’à la mort.

Ces populations désœuvrées moralement et matériellement  tombent comme des mouches dans les pièges tendus par les gourous qui polluent les espaces publics et cultuels. Elles s’imaginent trouver une compensation à leur misère socio-psycho-affective en se  laissant séduire par des promesses eschatologiques dont les abreuvent les sectes schismatiques qui se veulent transmetteuses d’un nouvel Islam qui est un islam de retour aux sources de la barbarie humaine.

Ainsi à  défaut de se projeter dans le monde, elles préfèrent s’adonner à des croyances imprégnées d’idolâtrie, d’anthropomorphisme et de maraboutisme. Vouant un véritable culte à la mort qui devient un facteur transcendantal, une forme de compensation à leur retard pathologique, développent des mécanismes de défense contre les innovations culturelles, techniques et technologiques susceptibles de provoquer des changements radicaux dans leur vie au risque de les éloigner de ce quoi ils aspirent, c’est la résurrection dans le paradis. Ce qui laisse toute latitude aux mouvements sectaires de jouer au berger, à s’ériger en gendarmes de la vertu pour censurer et déclarer illicite toute tentative d’apport extérieur fécondateur de développement humain et sources de libertés individuelles.

Il n’est pas étonnant dans ce contexte que les mascarades électorales tant en Tunisie et qu’en Egypte au lieu d’être porteuse d’espoir et de projet de vie meilleure pour les populations en grande souffrance morale et psychologique, révèlent la vraie nature desdites populations qui n’est pas rappeler et tout particulièrement en Egypte celle des peuples chrétiens au Moyen Age où l’on associe la science à la sorcellerie où tout changement est considéré comme un sacrilège et une offense à l’ordre moral.

L’Occident a su couper le cordon ombilical qui le relie à la religion au point que cette dernière cherche à se positionner tant bien que mal dans la modernité en essayant d’épouser les mœurs de son temps en apportant sa voix aux grands débats de la société. Tandis que l’Orient en panne d’idées à cause de cet état de pesanteur culturelle qu’exerce de manière chronique et insoutenable la religion sur la vie des fidèles. Enchaîné dans le carcan de la foi comme seule alternative aux maux de la société, il se voit contraint à l’immobilisme et au conservatisme que ses nombreux marchands du temple font en sorte de le sacraliser afin de maintenir les masses dans un état permanent du refus du progrès libérateur des esprits et émancipateur des hommes.

Le cataclysme culturel attendu ne semble pas aujourd’hui d’actualité pour plusieurs raisons exogènes, indépendantes de la volonté de ces peuples, et endogènes qui leur sont culturellement propres et qui sont autant de freins à leur sortie du Moyen Age. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les images que les uns et les autres projettent sur les écrans de l’actualité: pogroms, les autodafés,  procès en sorcellerie, arrestations des journalistes pour diffusion d’images contraire aux règles de bienséance de la religion etc. Alors que la violence commise au nom de la religion est considérée comme licite et ses auteurs sont honorés et vénérés comme Ben Laden ou R. Ghannouchi.

A  cause du substrat religieux de ces populations, les révolutions qui devraient impulser un élan fort  pour elles et poser les jalons d’un nouvel ordre culturel, se sont transformées en véritables cultes du passé surtout qu’elles ne doivent rien à Dieu ni à ses fidèles brigades jihadistes. Elles sont fondamentalement laïques et humanistes. Leur esprit a été dévoyé et défiguré pour devenir une dévolution à Dieu. Un pays comme la Tunisie se trouve écartelé entre deux visions du monde diamétralement opposées qui présentent un réel danger pour son unité. D’un côté il y a des tunisiens qui aspirent à vivre dans une société plurielle et ouverte où chaque citoyen y a sa place indépendamment de sa croyance, de ses orientations sexuelles et pour qui la religion relève de la sphère privée et d’un autre il y ceux qui prônent un modèle de société  rétrograde, fermé, sectaire, régressive et réactionnaire fortement marquée par l’influence du wahhabisme qui est le stade ultime de l’injustice humaine, des inégalités, de la négation des libertés et des atteintes aux droits humains. Un modèle de société où se mêlent le rigorisme, la luxure et la pornographie morale. Une société totalitaire, ostracisant les femmes au nom du sacré, soumise à l’arbitraire de la loi scélérate de la Charia que les mouvances islamiques tunisiennes et égyptiennes veulent inscrire en lettres d’or dans leur future constitution.

Dans l’histoire des révolutions universelles, la contre-révolution bourgeoise a toujours cherché a détourné les révolutions à son profit afin de préserver et renforcer ses privilèges. Mais dans le cas d’espèce, ces révolutions anachroniques et sans visages révèlent au monde l’incapacité aiguë des populations islamisées à assumer leur destin humain sans qu’il soit l’œuvre d’une quelconque force occulte. Cette nécessité absolue de s’assumer et d’assumer sa propre histoire en rupture avec une quelconque figure tutélaire laisse indiquer que l’on peut s’interroger légitimement sur le degré de maturité intellectuelle et psychique desdites populations. Des populations auxquelles il est interdit d’affirmer leurs choix de vie en toute liberté de conscience ne  peuvent bâtir un modèle de société qui soit le fruit de leur idéal humain. Seul Dieu est architecte de l’ordre social. L’immuabilité dogmatique est le vrai frein à toute tentative d’adaptation de ces populations aux exigences de la modernité. On ne peut pas faire de l’intemporalité et de la dévolution à Dieu, une source du progrès social et humain. Les populations musulmanes ont toujours raté les grandes  marches des trains des progrès humains : la  révolution copernicienne, la révolution industrielle, la révolution technologique et enfin la révolution nanotechnologique.

Ces révolutions que d’aucuns voyaient faire souffler un nouveau vent des libertés et de dignité n’ont fait que dévoiler la vraie nature bigote de ces peuples et de sa culture patriotique douteuse. Elles n’ont pas pris exemple à juste titre sur l’Occident tant honni mais auquel elles sont redevables de tout dans leur quotidien, de la simple ampoule pour s’éclairer aux téléviseurs branchés à longueur de journée sur les programmes de la propagande wahhabite etc. Cet Occident n’a pas réussi ses grandes mutations culturelles, politiques et humaines par la grâce de Dieu. Loin s’en faut. C’est en rompant brutalement avec la tutelle du clergé qu’il a pu s’émanciper.

Les populations tunisiennes et égyptiennes auraient dû d’elles-mêmes  se rendre compte qu’il existe une étroite corrélation entre la main mise de la religion sur la vie des hommes et leur sous-développement chronique. De même que leur religion les a toujours fait figurer au rang des peuples récepteurs, éternels consommateurs-dépendants. Un tel constat doit en tout état de cause se suffire à lui-même pour motiver une réaction réfléchie de remise en cause du despotisme théocratique qui les mine depuis 1432 ans. Elles préfèrent s’enfermer dans un schéma mental réactionnaire plutôt que de se libérer de tous les freins incompatibles avec les exigences du développement humain. Le monde musulman à travers les exemples tunisiens et égyptiens apparaît quelque peu comme le miroir  du Moyen Age de l’Occident chrétien. Il n’existe pas de modèle parfait, mais s’inspirer de l’exemple d’autrui n’est pas une honte en soi. Tant que les populations musulmanes persistent dans la voie de la providence divine pour occulter leurs propres responsabilités dans la maîtrise de leurs vies personnelles et collectives, le gap entre l’Occident et l’Orient ne fera que s’accentuer. Et l’obscurantisme religieux sera leur seul lot de consolation. On ne peut faire le choix de Dieu aux dépens de sa patrie. On ne peut faire le choix de l’archaïsme au détriment de progrès. On ne fait pas des pratiques mutilatrices de l’intégrité physique des femmes un projet culturel pour la société. Ni des mariages libertins frappés du sceau du sacré. Ni la pédophilie, ni les abus sexuels, ni le viol qui se transforme en purgatoire pour la victime pour sauver l’honneur de sa famille. Ni de la nécrophilie ou la zoophilie pratiquée au Soudan islamique. De telles mœurs immorales et criminelles ne constituent pas un modèle culturel pour la Tunisie comme veut l’imposer l’organisation fasciste et félonne d’Ennahdha sous couvert de la loi inepte et inique de la Charia.

S’il y a un exemple dont la Tunisie doit s’inspirer c’est celui des populations christianisées ont choisi le respect absolu des lois de la République, l’humanitaire pour soulager la souffrance d’autrui, la voie de la non-violence pour manifester leur colère pour condamner les offenses supposées faites à leur religion, lui exprimant par la chanson tout l’amour qui lui est dû ainsi qu’à ses hommes tels ces prêtres-chanteurs; les populations islamisées ont choisi la voie contraire de l’intimidation, l’anathème, l’exhibition de signes ostentatoires, l’accoutrement vestimentaire, le prosélytisme agressif, la violence morale, la culpabilisation de leurs coreligionnaires, les menaces physiques et verbales, déversant leur haine sur tout ce qui n’est pas de leur confession ou qui n’exalte pas leur foi avec autant d’ardeur et de ferveur religieuse qu’eux, n’hésitant pas parfois de recourir à la violence terroriste pour défendre leur foi parce qu’ils la considèrent offensée et même quand elle ne l’est pas. Peu respectueux des lois humaines et peu soucieux des biens et des personnes. Comme si la violence est devenue leur seul mode à Dieu donnant le sentiment que la course effrénée dans la terreur est devenue une nécessité impérieuse pour se rapprocher de Dieu afin de mériter de sa miséricorde et de ses bienfaits dans l’au-delà. Tellement conditionné psychologiquement qu’ils perdent conscience de leur propre humanité. Mourir pour Dieu en sacrifiant le plus grand nombre de vies humaines sur son autel est devenu pour eux un rituel salvateur et libérateur de leurs âmes tourmentées et désespérées qui ne voient pas d’autres issues à leur existence terrestre que leur propre anéantissement et celui d’autrui. Au lieu de chercher l’apaisement dans la chanson, ils préfèrent le feu de l’enfer et les images apocalyptiques qu’ils projettent à leurs semblables humains. A-t-on d un côté un Dieu que ses enfants louent en chantant son amour de l’humain et d’un autre un Dieu dont certains de ses fidèles adorateurs dévoilent à l’excès une autre facette de sa nature anthropophage et sanguinolent ? Il faut dire que ces derniers ne font en réalité que reprendre à leur compte la culture inquisitrice ancestrale de ceux qui aujourd’hui l’enjolivent et l’apaisent. En clair à chacun sa période d’inquisition. Israël est lui aussi en proie avec l’inquisition de ses ultra-orthodoxes qui menacent les fondements mêmes de sa démocratie. Dois-t-on en déduire par là que l’inquisition et ses oripeaux a encore de l’avenir devant elle et qu’elle constitue la seule perspective d’avenir possible pour les populations musulmanes anémiques et lymphatiques et qu’en dehors de l’obscurantisme son stade ultime, il n’y a pas point de salut pour elles ? A se demander si elles ne sont pas plus sensibles et réceptives à ce type de discours exaltant et glorifiant le retour aux sources, cette façon d’avancer à contre-courant de l’histoire et qui s’inscrit par conséquent dans la logique de la culture irrationnelle,  insensée, illogique et ultra-réactionnaire véhiculé par l’islamisme conquérant. Tout indique que c’est bien le cas au regard des thèmes archaïques, fortement teintés de fanatisme religieux et inquisiteurs développés lors des campagnes électorales en Tunisie et en Egypte plus apparentées à des opérations de propagande sectaire et prosélyte que des compagnes politiques. L’irruption de la religion au mépris des intérêts supérieurs de la patrie dans lesdites campagnes leur a donné une allure de croisade contre les libéraux et tous ceux qui ne développent un programme affichant publiquement une promiscuité idéologique avec l’Islam. Au point que tous ceux qui se prévalent de leur proximité avec Lui accusent ceux-là d’apostasie. Le pire crime qui puisse exister qui mérite de valoir à son auteur d’être voué au bûcher du feu purificateur comme au Moyen Age, mais dans le contexte tunisien et égyptien c’est la braise des urnes de la démocratie. Ce qui n’est pas sans rappeler les péripéties de la démocratie électorale en Occident mais en pire.

Jamais dans l’histoire universelle de la démocratie on a fait autant de confusion induisant une culpabilisation chez l’électeur-croyant assimilant un acte politique citoyen à un acte de défiance vis-à-vis de Dieu. Et tout choix qui n’est pas porté pour sur Lui sera porté contre Lui tel est le sens du slogan politique distillé par ces mouvements sectaires. Comme si ces élections censées dessiner le futur d’un projet de vie pour ces populations en sous-développement quantitatif et qualitatif pathologique marquant un nouveau choix de société pour eux s’avèrent in fine un référendum dédié à Dieu. Voter est devenu un moyen d’expression de son adhésion à Dieu. Un vote identitaire. Etre musulman c’est voter pour celui qui incarne l’Islam et voter pour celui qu’il ne l’est pas c’est voter contre l’Islam comme ce fut le cas en Egypte. Le bulletin de vote cet instrument juridique qui confère à son détenteur sa capacité d’exercer sa citoyenneté en toute responsabilité est devenue une sorte d’offrande qu’on dépose dans les troncs des églises et dans le cas d’espèce dans les tirelires exposées dans les commerces ethniques pour collecter des fonds pour la construction des lieux de prière musulmane. Les partis de la religion dans un environnement qui fait du changement sociétal une hérésie exposant le contrevenant aux feux de l’enfer ont tout le loisir de surfer sur les peurs et les angoisses névrotiques chez les croyants qui font du paradis l’objectif suprême de leur passage sur terre. Seul le salut de l’âme importe chez l’électeur-croyant. En aucun cas, il ne se laisserait séduire par des promesses qui lui font miroiter l’espoir d’une vie meilleure sur terre. Il a rarement le souci d’œuvrer pour le bien commun et l’amélioration de ses conditions d’existence. L’important est moins son investissement politique ou patriotique que l’investissement et les sacrifices consentis pour atteindre la voie de la félicité. Toutes les injustices et les privations qui ne sont pas de l’ordre de la fatalité et qu’ils ne sont donc pas irréversibles se trouvent immuables et perçues comme une manifestation de la volonté de Dieu. On ne change pas ce que Dieu seul est capable de changer. Le monde islamisé tant qu’il refuse de s’inscrire dans une dynamique d’avenir et exhorter ses populations à faire de l’avenir leur projet de vie politique continuera à naviguer dans le creux de la houle inquisitrice qui a été vaincue par l’occident des Lumières. On peut supposer que l’archaïsme a encore des longs siècles d’avenir devant lui. En d’autres termes, le monde musulman s’il ne fait pas son autocritique, en acceptant de se regarder dans le miroir de l’histoire et purifie son corps social de tous ces parasites qui le rongent est condamné d’être synonyme de barbarie humaine et de régressisme.

En définitive, tant que le sectarisme religieux et son corollaire l’aversion de la modernité où l’on fait de la religion un modèle de vie pour les hommes, il n’y a pas de doute que ces révolutions accoucheraient d’un modèle de société qui fera regretter à ces populations leurs vies passées. Des morts et des blessés pour servir la cause des ennemis du progrès humain. Des nostalgiques de la splendeur passée de l’islam comme si l’on peut faire renaître ce passé si glorieux soit-il de ses cendres, alors qu’il est plutôt halluciné. Ces marchands du temple islamique instrumentalisent la religion à leurs fins personnelles et pour assouvir des desseins criminels et mafieux. Ils se servent d’elle pour manipuler et endoctriner. Tels les nazis et leur culte du passé aryen et de la pureté de la race, les nostalgiques et faux prophètes font des dogmes religieux leur fonds de commerce pour scléroser ces masses défavorisées, annihiler leur volonté, altérer leurs facultés de discernement et les enfermer dans des schémas initiatiques exaltants le passé. Rendant toute rupture avec le passé impossible assimilée à un sacrilège. Créant ainsi une véritable phobie chez les fidèles-électeurs. Le passé se trouve revêtu du sceau du sacré. Le rompre est une apostasie tel est le sens On ne peut faire du passé un projet de vie d’avenir, ni faire vivre le présent dans le passé. Et comme disait Saint Augustin, le passé n’est plus l’avenir est à faire. Seule une coupure nette et radicale avec facteur de changements en profondeur et un levier catalyseur et libérateur des énergies créatrices. Tant que ces freins culturels inhibiteurs persistent, il est illusoire d’espérer l’émergence d’une démocratie dans cette partie du monde. Faire des élections un suffrage d’adhésion à Dieu laisse présager un avenir des plus sombres pour ces populations

 

 

Messieurs Valls et Cazeneuve, ce n’est pas un islam de France qu’il faut, c’est un plan d’action contre l’islam dont elle a besoin

 Valls-Cazeneuve, voici les mesures d’urgence pour éradiquer le terrorisme musulman


Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Ministre de l’Intérieur,

Suite aux assassinats de Bruxelles, qui ont succédé à ceux de Toulouse et Montauban, M. Cazeneuve a proposé de s’appuyer sur l’islam de France et de faire venir dans les prisons des imams made in France, une imposture socialo-islamiste. M. Valls avait, lui, choisi, il y a un an, d’inaugurer des mosquées-cathédrales et de multiplier les ruptures du jeûne du ramadan. Toutes ces stratégies sont vouées à l’échec, car Mérah et Nemmouche incarnent l’islam, et sa volonté de détruire par la force tout ce qui n’est pas musulman.

La survie de la France ne tient qu’à l’épaisseur du fil du glaive islamique. Il faut prendre des mesures d’urgence fortes, très fortes, tant sur le plan national qu’international, pour en finir avec l’islamisation de la France, qui, à terme, transformera notre pays en terre d’islam, selon le vœu de tout musulman qui applique les textes sacrés du Coran.

– Déclarer le Coran incompatible avec les valeurs de la République,

– Ne pas donner à l’islam, qui ne reconnaît pas la liberté de conscience, le statut de religion.

– Suppression de l’acquisition automatique de la nationalité française par le droit du sol,

– Fin du regroupement familial,

– Interdire le port d’uniformes musulmans symbolisant la conquête de l’espace public (voile, kami),

– Suspension des naturalisations des ressortissants venus de pays musulmans,

– Arrêt des constructions de mosquées,

– Fermeture, par principe de précaution, de toutes les mosquées pendant un moratoire de 6 mois,

– Fermeture immédiate des mosquées clandestines,

– Fermeture de toutes les écoles coraniques,

– Fin de la double nationalité, et priorité nationale pour les aides sociales,

– Interdiction du retour des djihadistes sur le territoire national avec déchéance automatique de la nationalité française,

– Dissoudre l’U.O.I.F. et la déclarer comme une officine terroriste (il n’est pas normal que sa maison mère la Confrérie des Frères Musulmans soit reconnue terroriste en Egypte et sa filiale acceptée en France),

– Interdire les prières de rues, et expulser du territoire tous ceux qui en ont imposées à nos compatriotes,

– Interdire l’abattage rituel en France, et, par sécurité sanitaire, la vente de toute viande issue de cette pratique barbare,

– Contrôle de l’origine des fonds des sandwicheries kebabs et des commerces halal et fin de leurs implantations,

– Instaurer un menu républicain pour tous dans les écoles,

– Arrêt des versements des prestations sociales et familiales aux familles des enfants mineurs partis faire le djihad du sexe et de la terreur en Syrie,

– Rétablir l’Etat de droit dans les cités,

– Contrôle des financements passés des mosquées et des associations dites culturelles musulmanes, et possible gel de leurs avoirs,

– Annulation du régime fiscal préférentiel accordé par Sarkozy aux acheteurs des biens immobiliers qatariens en France,

– Arrêt des aides militaires aux rebelles syriens,

– Durcir les conditions d’octroi de visas pour les ressortissants des pays pourvoyeurs de terroristes,

– Arrêt définitif des aides au développement,

– Retrait de la nationalité française aux islamistes membres de l’organisation terroriste d’Ennahdha et détenteurs de mandats électifs en Tunisie ou ayant exercé des responsabilités gouvernementales dans ce pays,

– Mettre en place de nouveaux programmes de recherche d’énergie de substitution pour en finir avec la dépendance énergétique vis-à-vis des pays du Golfe Persique.

Certains me diront qu’une seule de ces mesures est susceptible de déclencher une guerre civile sur notre territoire. A ceux-là, je répondrai d’abord que ce ne serait pas une guerre civile, mais une guerre de reconquête, ce qui n’est pas la même chose. D’autre part, ne pas prendre ces mesures aujourd’hui, alors que la France a encore le rapport de forces pour le faire, c’est accepter que notre pays devienne musulman demain, ou bien qu’une guerre, aux conséquences bien plus terribles, n’éclate plus tard, quand les islamistes, par la démographie et l’immigration, bénéficieront d’un rapport de forces plus favorable.

Il faut donc prendre ces mesures au plus vite, MM. Valls et Cazeneuve.

Salem Ben Ammar

A Trappes se jouent l’honneur de la France et l’émergence des forces islamo-fascistes

 

22 Juillet 2013

 

L’insurrection de Trappes est-elle le prélude de la fin de la république française et le symptôme annonciateur des futures nuits de Cristal en terre voltairienne ? Monsieur Valls, la république n’a pas à accepter les excès violents de ce que vous avez appelé à juste titre l’islamo-fascisme, ni à tolérer l’intolérable, elle a pour seule et unique obligation de les sanctionner et de sévir contre tous ceux qui transgressent ses lois. Onze années durant, vous avez été l’un des rares élu socialiste, sinon le seul, à démontrer que la fermeté va de paire avec la liberté, que le respect des lois de la république n’est pas négociable.

 

A Trappes, se joue l’honneur de la République et l’avenir de l’islam de France

Et ce n’est pas en bordant les musulmans irrespectueux de ses lois que la république va acheter la paix sociale. Bien au contraire, elle ne fait que les renforcer dans toute leur-puissance, leur octroyer une immunité juridique en pensant naïvement qu’elle va calmer leur ardeur de plus en plus insolente et violente depuis le dopage de l’islamisme par l’escroquerie du « printemps arabe ». La « minorité de voyous » est de moins en moins minoritaire et de plus en plus voyou. La police autant que la Justice le sait.

Au lieu de se montrer ferme, intransigeante et vigilante, elle se met à louvoyer devant eux, à faire dans le politiquement correct de peur de ne pas stigmatiser soi-disant l’ensemble des musulmans. Ce faisant, c’est l’ensemble des musulmans qui se sent infantilisé et offensé dans son intelligence ! La majorité des musulmans de France se reconnait dans la laïcité et rejette l’abomination intégriste que certains élus locaux ont laissé proliférer par lâcheté ou par démagogie politicienne.

La république la vraie, ce qui n’est plus le cas de la France depuis qu’elle joue à la mariée orientale du Qatar et de l’Arabie, n’a pas et ne doit pas faire la moindre concession à l’islam, ni appliquer aux musulmans un régime d’exception à des fins bassement électoralistes, car à trop vouloir lécher les babouches de l’islam et des musulmans, elle est entrain de précipiter sa propre chute comme naguère Byzance. La majorité des musulmans dans ce pays n’attend pas que l’on flatte son ego religieux, ni qu’on lui dise des mots gentils sur la grandeur de l’islam. Elle aspire à une vie normale, banalisée et paisible, sous les lois de la république.

Aveugles et incapables de discernement, certains ne savent toujours pas que l’islam des banlieues n’est pas empreint de haute spiritualité et de tolérance, mais gangréné par le wahhabisme et l’idéologie théocratique des Frères musulmans, qui avance à visage couvert (taquiyya), pour mieux la berner et tromper sa vigilance, en attendant de lui porter le coup de grâce. La loi interdisant le port du niqab dans les lieux publics doit être fermement appliquée, et tous ceux qui cherchent à intimider la république en suscitant des émeutes doivent être impitoyablement pourchassés, emprisonnés et expulsés. Par la grâce du « printemps arabe », bien des pays les accueilleront à bras ouverts, à commencer par le mien.

Il ne doit y avoir aucun traitement de faveur à l’égard d’une idéologie qui veut étendre son pouvoir sur la France, après avoir fait main basse sur les pays dits du « printemps arabe ». De toutes les croyances religieuses, qu’elles soient monothéistes ou pas, c’est malheureusement l’islam qui a le plus de relents bellicistes et ultra violents et ce n’est certainement pas en cherchant à éviter le choc frontal avec lui, qui est le choc des cultures, que la partie de bras de fer engagée par certains musulmans dans leur rapport de force avec la république tournera à l’avantage de celle-ci. Plus on lui concèdera un pouce de son territoire, plus elle lui cèdera des pans entiers de son pouvoir. Leur octroyer le droit de vote ne fera qu’accélérer un processus qui ne menace pas uniquement la république, mais aussi les citoyens français de confession musulmane.
C’est pourquoi les incidents de Trappes portent en eux tous les germes de futures nuits de Cristal et résonnent comme un requiem de la république. Il est encore possible d’éviter le pire. Pour la république et pour la majorité des musulmans de France, qui aspire à la paix et au vivre ensemble sous la bannière de la laïcité et les lois de la république. Tunisie-Secret.com

Salem Ben Ammar  

 

 

 

           

 

Comment les tunisiens peuvent-ils avoir le sens de l’honneur alors qu’ils se veulent arabes et musulmans ?

Je ne savais pas que les tunisiens ont le sens de l’honneur eux qui ont réservé un accueil de roi au pourri de Dieudonné après avoir léché les babouches au nazillon Qaradhaoui et continuent à fournir de la chair fraîche et à canon à Allah au préjudice des pauvres peuples syriens, libyens et irakiens. L’honneur des tunisiens est de promettre l’impunité à leurs enfants djihado-terroristes. L’honneur des tunisiens est de ne pas avoir condamné les crimes barbares perpétrés au nom de leur maléfique religion et la décapitation des 21 coptes égyptiens en Libye. L’honneur des tunisiens est d’avoir fait remplacer la mafia de Ben Ali-Trabelsi par la mafia islamiste. L’honneur des tunisiens est d’avoir fait du népotisme, de la corruption, du clientélisme, de la vénalité et des abus de pouvoir les 5 piliers de la nouvelle Tunisie. L’honneur des tunisiens est d’avoir fait des hommes du passé, des vendus, des corrompus, des pique-assiettes, des pédophiles, des assassins, des incultes, des ignares et des félons les symboles de la nouvelle Tunisie.. L’honneur des tunisiens est d’avoir promu un traître qui a livré la Tunisie aux milices islamistes grâce à une mascarade électorale au rang de ministre, lui qui adore les titres et les privilèges y afférents il pourra ainsi satisfaire son ego surdimensionné et sa mégalomanie maladive.
L’honneur des tunisiens est d’avoir mis leur système éducatif entre les mains d’un homme qui ne connaît du mot éducation que son louvoiement légendaire avec Ennahdha, il a été plus récompensé pour ses qualités de fayot et de brosse à reluire à défaut de briller par ses talents intellectuels.
L’honneur des tunisiens est d’avoir fait porte-parole de leur gouvernement de la honte un ex-porte-parole de l’organisation terroriste d’Ennahdha et tunisophobe dans l’âme, agent servile du Qatar.
L’honneur des tunisiens est d’avoir voté pour un vieux cheval sur le retour qui les a roulés dans la farine périmée et grisâtre en réhabilitant Ennahdha, à croire si les tunisiens en votant pour lui n’avaient pas voté pour elle.
L’honneur des tunisiens est que les assassins de Chokri, de Mohamed, de Lotfi et des forces de l’ordre et des militaires courent toujours et dont certains jouissent des immunités parlementaires. L’honneur des tunisiens est celui de 40% d’électeurs résolument racistes et je ne parle pas des 60% restants.L’honneur des tunisiens est celui décapiter et de carboniser les homos. Il ne faut pas traiter leur terre devenue sanctuaire pour les ennemis du genre humain, qui a pris place ans le nouvel axe du mal. Une terre de l’ignominie humaine. Si les tunisiens avaient le sens de l’honneur ils n’auraient pas enseveli leur identité dans le linceul de l’infamie. Il est leur honneur quand ils se veulent arabes et musulmans.

Plaidoyer contre les musulmanes fières d’afficher leur état d’esclaves

Comment les femmes musulmanes en général et les tunisiennes en particulier peuvent-elles se résoudre à vivre comme un oiseau aux ailes entravées ou amputées dans une cage couvetes de la cape jusqu’aux pieds de leur linceul aux couleurs de la mort, tout en étant fières de leurs conditions d’existence ? Une existence sans liberté est comme cette pierre tombale qu’on rabat sur une tombe.  Une vie sans résilience est une mort sans vie.

Une femme n’a pas être ni la moitié d’un homme, ni son complément, ni son avenir car elle n’a pas à être un attelage pour l’homme  et lui servir de phare pour éclairer sa voie. La femme et l’homme sont des copilotes du navire de l’humanité.

Elle  doit d’abord construire sa propre identité,  jouir tout simplement de sa liberté de pensée, d’agir, de tracer sa propre voie, de circuler, de divorcer, de choisir son partenaire, de s’émanciper, d’aller où elle veut et quand elle le veut.  De décider par elle-même, de vivre sa vie en toute liberté sans  faux-semblants ou artifices religieux qui entravent ses droits afin d’en faire un paradis pour les hommes et de ses devoirs un enfer pour elles.  Elle n’a pas à vivre sous l’aile protectrice d’un homme quel qu’il soit, elle doit avoir les moyens de son indépendance qui n’est pas dans l’expression des signes de son allégeance à sa toute puissance. Un régime de protectorat n’est rien d’autre qu’un régime colonial, humiliant, méprisant et liberticide.

Les hommes usent et abusent de tous les subterfuges et stratagèmes pour coloniser le corps et l’esprit de la femme en infantilisant et la dévalorisant.

 La liberté est avant tout l’affirmation de soi et le combat pour ses droits. Il ne revient pas aux hommes de doter les femmes d’un statut. Elle n’est ni un animal, ni un esclave qu’on affranchit et que l’on considère comme incapable de discernement. Les droits sont ceux que l’on arrache au moyen des luttes, des larmes et du sang.  Les droits des femmes à leur dignité humaine et leurs libertés politiques ne doivent pas être l’oeuvre des hommes qui ont plutôt tendance à les émietter, à les rogner, à les minimiser comme s’ils leur en faisaient l’aumône. Des droits au rabais à l’instar de ceux dont veulent gratifier les petites mains de l’A.N.C. les femmes tunisiennes. Très en deçà du C.S.P. Les droits des femmes ne se décrètent pas. Il revient aux intéressées d’exiger l’inscription dans la future Constitution tunisienne en lettre d’or, des droits égaux pour tous. sans distinction biologique.  

Les femmes ne sont pas l’ombre de leurs hommes, elles sont leurs égales. Elles se doivent plus que jamais de prendre leur destin en main et  qui s’indigner contre leur statut de femme-esclave comme dans les sociétés wahhabisées,  un champ de labour, une éternelle majeure incapable, vivant sous le joug de la toute-puissance masculine, avilie, humiliée, censée manquer de maturité intellectuelle et spirituelle selon le Coran, de prendre enfin leur destin humain en main et de sonner la charge contre les dogmes injustes, iniques, sacralisant les hommes et maudissant les femmes.

Votre avenir n’est pas dans la religion faite par et pour les hommes aux dépens des droits des femmes. Vous avez toujours compris que l’homme a créé ce carcan pour asseoir son pouvoir exorbitant sur vous qui serait-soi-disant d’essence divine. Dieu aurait  fait de l’homme votre protecteur parce que vous seriez incapables de vous protéger vous-mêmes et de subvenir à vos propres besoins.  L’homme est sur le podium divin et la femme au pied du podium. Le favori de Dieu et vous  le bouc-émissaire de tous les maux des hommes.

Une telle dialectique devrait vous  offusquer et heurter votre sensibilité féminine, et pourtant vous semblez vous en accommoder.  Vous avez peur de subir   le double-courroux de vos hommes et de Dieu,  c’est pourquoi vous rechignez à vous rebeller contre ce sort injuste que les hommes vous font subir.  Vous êtes les alliées de vos ennemis, et les ennemies de vous-mêmes au nom de la religion et des traditions vous laissant croire que vous êtes les gardiennes du temple, pour mieux  enserrer les chaînes qui entravent vos revendications pour un traitement humain digne et honorable.

En vous voilant, ils voilent et obstruent votre horizon libéré de la dictature de la religion dont la seule finalité est de vous opprimer et réprimer au profit des hommes.  Les hommes abusent de votre bonne foi et de votre crédulité en brandissant à vos yeux le spectre de la lapidation et de l’enfer. Pourquoi surfent-ils sur la peur pour gouverner vos esprits ?  Quand on joue à faire peur à l’autre, c’est que l’on a soi-même peur de soi. Vous êtes bannies du festin paradisiaque et des promesses libertines et orgiaques faites à vos seuls hommes. Comme si vous n’existiez ni sur terre ni dans l’au-delà.  

On a beau parcourir le Saint Livre rien pour vous ou presque et tout pour les hommes.  Si la religion était raison et non passion, vous devriez vous en rendre compte par  vous-mêmes que la différence biologique n’est pas un facteur de supériorité entre les humains sur la seule base de leur sexe.  Si Dieu vous aimait, il n’aurait pas fait de vous un être dépourvu de droits et mis au ban de la société comme si vous êtes un rebut humain.  N’êtes-vous pas assimilées à un urinoir dans l’imagerie populaire ? Ne dit-on pas de vous que vous êtes l’incarnation de Satan ? N’est-il pas écrit dans le Coran que vous  avez un pouvoir maléfique ?

 Une religion qui rabaisse la femme et grandit l’homme n’est pas pour vous, elle est contre vous. Analysez votre statut et vous verrez combien votre position dans vos sociétés est une honte pour l’humanité. Un homme a le droit de vous violer en toute immunité religieuse dès la pré puberté. Une femme violée subit la double peine.  Le viol est votre lot. Votre mari est en droit de vous imposer des rapports sexuels contre votre volonté puisque la vôtre se dilue dans la sienne. C’est ça le vrai sens de la complémentarité. Les hommes imposent et les femmes s’exécutent. Pour les droits de succession parlons-en alors que vous avez beau être souvent un soutien matériel pour vos familles. Vous êtes considérées comme le 1/4 d’un homme, 1 homme pour 4 femmes. Epouses, concubines , compléments, obligées, objets sexuels, ventres féconds, domestiques, esclaves, prostituées, un corps dont on l’homme peut jouir à sa guise et contre votre plein gré, du kleenex.  Un bien de consommation à durée déterminée que l’on peut jeter à tout moment. Vous êtes privées de tous les droits, absolument de tous les droits qu’il serait superflu de les lister tous.

Vos conditions de vie sont indignes de la condition humaine. Serfs propriétés de leurs seigneurs.   Vous êtes juste bonnes pour assouvir les pulsions sexuelles de vos mâles et malheur à vous si vous vous y dérobez, les anges protecteurs des hommes bénis de dieu vous maudiront toute la nuit. Soyez violées et taisez-vous c’est ça le vrai sens du précepte. Vous n’êtes rien surtout si vous ne donnez pas de chair à canon à Dieu. Même cette histoire du paradis qui coule sous vos pieds est une foutaise. Parce que Dieu le réserve aux seules mères. Mesdames, votre destin est entre vos mains.  Il ne revient pas à vos hommes de définir votre statut et surtout pas aux femmes qui font de leur double assujettissement à Dieu et aux hommes leur raison d’être et de vivre.  Soit vous brisez vos chaînes, et ôtez ce carcan qui n’a rien de canonique soit vous faites de vos vies une prison à vos vies. Ne soyez pas vos propres geôlières, soyez actrices de vos propres vies. Si vous ne voulez pas que les générations futures de sexe féminin subissent tous les affronts et humiliations dont vous êtes victimes, il est de votre devoir de vous libérer du joug de l’obscurantisme de vos hommes. Vous êtes la lumière de la vie et quand cette lumière s’éteint c’est toute la vie qui s’éteint et qui disparaît. L’aliénation de la femme et sa castration est un crime contre l’humanité. Il n’y a pas de religion sans libertés et égalité entre les sexes.

Toute religion qui enseigne la négation des droits de la femme est une religion injuste, inhumaine et nazie.

 

 

L’idéal musulman glacerait d’effroi les nazis eux-mêmes

Si la parenthèse nazie a duré une dizaine d’années pour plus de 80 millions de victimes militaires et civiles celle de l’islam commencée en l’an 622 ne s’est toujours pas refermée.  1437 ans de sang humain coulant à flot sans que des voix ne s’élèvent pour crier leur ras le bol de la boucherie musulmane. Sans que les Etats non-musulmans ptennent enfin leurs responsabilités politiques, historiques et humaines pour endiguer les flots de sang qui menacent de se transformer un jour en Tsunami si rien n’est fait.

Il ne suffit plus de mettre des mots sur les maux de l’humanité et de désigner nommément le coupable il s’agit de mettre en place un plan de sauvegarde de l’espèce humaine dont la pérennité est des plus aléatoires à cause du péril métastatique musullman. Une sorte de pandémie mortelle propagée sur les 5 continents par des êtres d’outre tombe sortis des entrailles de la terre.  Sous des allures humaines se cachent des monstres de la pire espèce. Des charognards jamais repus de chair humaine et à la soif de sang humain insatiable.

Ils attaquent toujours leurs proies par surprise surgissant comme des demons de leurs boîtes.  Totalement déshumanisés ils font régner la terreur et font souffler un vent de frayeur sur l’humanité tout entière complètement tétanisée rien qu’au prononcé du nom de leur groupe d’appartenance idéologico-religieux la brigade de la mort au nom d’Allah. Appelée aussi escadrons de la mort et plus connue sous le nom de djihadistes sur le sentier d’Allah. Mus par une bestialité féroce qui laisse supposer qu’ils ont perdu leur état d’humanité suite fort probablement à des séances intensives de la perte de la conscience de soi et de la modification profonde de la structure de sa personnalité en endossant une nouvelle personnalité de rupture avec soi. 

 qui fait apparaître ’Allah ne nous abreuvent d’images présentant des scènes de fin du monde qui ont atteint leur paroxysme avec les attentats du 11 septembre 2001 et qui n’ont jamais cessé depuisTERRORISME 26617 ATTAQUES-09-08-2015.

La vie internationale est plus que jamais rythmée par la barbarie musulmane.

Les intégristes musulmans fauchent les vies humaines comme un cultivateur moissonne son champ de blé.

Profitant du silence coupable des Etats musulmans et des grandes puissances quand ce n’est pas d’une complicité active comme en Syrie ils se comportent comme des fauves lâchés dans l’arène pour dépecer leurs proies.

Plus rien ne semble les arrêter dans leur marche funèbre. Leur férocité glacerait d’effroi les nazis eux-mêmes.

Ils n’ épargnent personne et s’adonnent en toute impunité et sous les regards bienveillants de leurs protecteurs occidentalo-turco-qatari-saoudien à leurs crimes contre l’humanité. Atteignant les points culminants de la barbarie humaine. Ils sont le témoignage vivant de ce que fut l’islam des origines celui prêché dans les mosquées salafistes dans le enclaves islamiques en Occident.  vnlèvements Enlèvements, viols, pillages, massacres, rançons, profanations des cimetières, autodafés, pogroms, attentats à la bombe dans leurs propres lieux de culte, destructions des monuments archéologiques, flagellations des opposants,  tuant, violant, décapitant et égorgeant les innocents. Vouant un véritable culte à la barbarie terroriste tels des Waffen SS et des escadrons de la mort.

Déferlant sur le monde comme des nuées de sauterelles qui ravagent et dévastent tout sur leur passage.  Des véritables bombes de Napalm, par où ils passent, l’humanité soit elle trépasse soit elle tressaillit de peur et d angoisses.

Ma perception et mes représentations découlent de leurs faits et actes des attentats barbares infligeant des souffrances morales et physiques au plus grand nombre de victimes innocentes. Des actes qui mériteraient d’être qualifiés de crimes contre l’humanité afin qu’ils soient jugés comme des peines imprescriptibles comme c’aurait pu être le cas des actes de terrorisme commis par les intégristes tunisiens et leur Chef islamo-salafiste, djihadiste notoire, Ghannouchi Rached , de Morched, le guide; de son vrai Farid Khirriji.

Leur idéal religieux qui n’a de cela que le nom  qui est une exaltation et sanctification de la barbarie est le vrai moteur de leurs comportements et conduites portant atteintes à nos libertés, notre intégrité physique et morale. Un idéal est pire encore l’idéal nazi qui est une négation du respect de la vie humaine et du droit fondamental à la différence.Seuls ceux qui sont islamisés sont membres de l’Oumma islamique. Une sorte de Reich musulman où la foi guide la vie des fidèles et se confond avec la nationalité. C’est cet idéal qui est une insulte à la conscience humaine qui est insupportable pour notre humanité. Il a fait de l’anéantissement de la vie et des non-musulmans l’objectif suprême pour ses fidèles.  Un Faute de sacraliser la vie humaine il a sacralisé la haine, le racisme, les inégalités, le bannissement des femmes, la pédophilie, la nécrophilie, le cannibalisme, le génocide, l’exclusion sociale, la discrimination des non-musulmans, les injustices, le fatalisme, l’exploitation érigée en dogme de l’homme par l’homme, les traitements inhumains et dégradants des ouvriers étrangers.  Tout cela dans le strict respect des prescrits coraniques qui leur confère un fondement théologique.

Un idéal inquiétant et qui laisse augurer un avenir sombre à notre humanité si nous nous n’y prenons pas garde. C’est cet idéal que je dénonce de toutes mes forces car il fait l’apologie de l’ antisémitisme, du racisme et qui justifie les assassinats et l’anéantissement de tous ceux qui ne se soumettent pas à l’Islam

Salem Ben Ammar

Avec l’Union des musulmans démocrates, l’islamisation de la France est inexorable

L’islam est un marchand d’illusions, un mystificateur et un usurpateur. Avec lui la France n’est pas au bout de ses surprises, après l’épisode douloureux du terrorisme qui porte sa signature mais sans qu’il soit nommément mis en cause et qui n’est pas encore fini, le  voilà qu’il vient polluer son paysage politique où il se donne une honorabilite de façade en arborant le masque de l’union des démocrates musulmans qui est en soi une hérésie. L’islam est lui-même un système politique qui entend régir toutes les sphères du pouvoir et de la vie dans ses moindres petits détails antinomique à la démocratie.

Un musulman qui s’inscrit dans la voie de la démocratie est soit un apostat soit un hypocrite doublé d’un schizophrène.

Il faut être atteint de cécité mentale pour donner une once de crédit à cette nouvelle effigie de l’hydre musulmane.

Ce parti prétend avoir quelquesvcentaines d’adhérents, mais au vu de son vivier électoral et grâce aux relais des mosquées et les réseaux sociaux il ne va pas tarder de devenir le premier parti de France et faire ainsi un pied de nez à tous les idiots utiles de l’islam qui nient l’existence du vote communautaire.

Il n’y pas plus de démocrate musulman le concept lui-même n’existe pas en islam, que terroriste non-violent. C’est du pur enfumage de l’opinion publique et le fait même qu’ils accolent à la démocratie le qualificatif islam marque ouvertement le choix de leur appartenance politique.

Si l’islam était soluble dans la démocratie on aurait pas 57 États musulmans à la traîne des droits politiques et des libertés publiques dans le monde. On aurait pas exclu les non-musulmans du clamp politique et du pouvoir ni leur interdire l’accès à la magistrature suprême d’un pays musulman.

De quelle démocratie musulmane parlent-ils est-ce de celle qui met  à mort les musulmans qui exercent leur liberté de conscience et leur liberté de critique de l’islam ou celle qui divise le monde en musulmans et non-musulmans avec prééminence des premiers sur les derniers ?

La démocratie musulmane est-celle qui consiste à imposer le paiement d’un impôt de capitation aux Juifs et aux Chriens pour qu’ils puissent vivre en sous-hommes parmi les musulmans ?

La démocratie n’exclut pas les hommes en raison de leurs différences elle crée les conditions pour favoriser leur intégration dans la vie de la cité qui passent entre autres par l’obolition des frontières religieuses où les individus sont citoyens et non pas des fidèles

L’islam n’a pas vocation à faire des non-musulmans les égaux des musulmans, il leur dénie même le droit à l’existence en tant qu’êtres humains àccondition qu’ils lui fassent allégeance.

En démocratie l’homme a son existence propre, libre de ses choix politiques et personnels et acteur de sa vie, il est l’antithèse de l’homme musulman qui n’existe pas en propre et n’existe que par son groupe et s’y dilue. Il vit pour la chimère de l’Oumma, une sorte de Reich où il n’y a de place qu’aux seuls musulmans. 

La démocratie ne définit pas l’homme à l’aune de ses obligations religieuses et ne cherche pas à le ravaler au rang de mouton de panurge.

Un musulman est par définition celui qui croit en Allah et n’a d’exemple à suivre que Mahometet, le modèle parfait pour l’humanité tout entière paraît-il.

Il ne s’appartient pas à lui-même, il est l’esclave d’Allah, son éternel débiteur, pour servir sa cause et non pas pour concourir au bien-être commun de tous les hommes.

Il ne vit que par et pour l’islam et de loi à respecter que la loi de l’islam, de but dans la vie que payer de sa vie et détruire celle des autres pour imposer la dictature de l’islam aux quatre coins du monde. 

Le musulman est un supremaciste dogmatique convaincu qu’Allah l’a élevé au-dessus de tous les êtres humains pour le simple fait d’être musulman. Le présidestinant à la première place de la hiérarchie humaine parce que c’est écrit dans le Coran et a force de vérité absolue. Fort de ses certitudes il ne peut penser que les meilleurs de la classe sont ceux qui y arrivent grâce à leurs mérites et non pas grâce à leur rang social ou croyance.

Un musulman ne peut voter que pour un candidat musulman à moins que l’union des démocrates musulmans soit d’avis contraire fondé sur un verset tronqué ou imaginaire. 

Il commet un sacrilège, si jamais il investit de sa confiance et apporter sa voix à des non-musulmans même s’ils sont des islamo-compatibles : C’est illicite car cela veut dire qu’il leur fait confiance et allégeance alors qu’Allah dit: « Ô les Croyants! N’adoptez par pour alliés ceux qui prennent en raillerie et jeu votre religion, parmi ceux à qui le livre fut donné avant vous et parmi les mécréants. Et craignez Allah si vous êtes croyants. » (sourate 5/verset 57).

Les électeurs musulmans, ce qui est déjà en soi une hérésie doivent choisir parmi les candidats musulmans ceux qui leur paraissent les plus dignes, aptes, qualifiés et qui ont le sens des intérêts de leur communauté.

Un élu musulman ne doit pas oeuvrer pour le bien de la collectivité plurielle, seuls priment dans le cadre de son action politique qui doit être fidèle aux prescrits coraniques les aspirations de ses coreligionnaires.

Un nazi ne pouvait pas voter pour un juif de même qu’un musulman  – malgré son incapacité et sa faiblesse – est jugé meilleur que l’insoumis à Allah au coeur rempli de rancune et de mépris à leurs égards : « Et certes, un esclave croyant vaut mieux qu’un associateur même s’il vous enchante. » (sourate 2/verset 221)

Il faut savoir aussi que l’élection du non-musulman – et lui donner primauté – est considérée comme accorder une voie aux mécréants contre les croyants, ce qui est interdit ! Allah dit: « Et jamais Allah ne donnera une voie aux mécréants contre les croyants. » (sourate 4/verset 141)

Il n’y a pas de plus clair pour convaincre ceux qui drapent les musulmans dans la vertu de la démocratie électorale et balayer d’un revers de la main le leitmotiv des musulmans aussi menteurs et fourbes qu’un arracheur de dents sur la démocratie chrétienne : « Si les chrétiens sont démocrates nous le sommes aussi. » Or, les chrétiens ne sont pas en contradiction avec le message originel de leur religion qui séparent le profane du sacré. Le Christ n’était ni un chef de guerre, ni un chef d’Etat, ni un assassin, ni un malfrat,  et n’a prêché ni la violence, ni le racisme, ni le suprématisme, ni la haine entre les hommes contrairement à Mahomet.

Les chrétiens ne sont pas nourris au biberon de l’abhorration des valeurs de la république et de la laïcité à la différence notoire des musulmans.  Etre chrétien est aussi être maître de ses choix politiques et acteur de plein droit dans la vie sociale, c’est le refus du fatalisme, de la misère et de la pauvreté.  Comparer le christianisme à l’islam c’est faire fi des nombreuses réformes et innovations sociales réalisées par le Vatican dont la fameuse encyclique Rerum Novarum publiée le 15 mai 1991 sous Léon XIII qui marque l’ouverture de l’Eglise sur les questions sociales, ouvrières et syndicales.

L’islam n’a jamais connu l’ombre d’une réforme, comment peut-on envisager une démocratisation de ses institutions alors que c’est la main invisible d’Allah qui gouverne la vie des hommes dans les moindres petits détails ?

L’homme n’a pas à briser les chaînes dont il est entravées car cela consisterait à à commettre une Fitna, une révolte ? Il est condamné à la résignation et à l’immobilisme, il ne doit pas changer les cours de l’évolution de sa vie.

Etre musulman est d’accepter le sort quelque soit le degré de son amertume qu’Allah lui a dévolu. Etre musulman c’est aussi le refus de la démocratie et la laïcité.

C’est l’islam qui fait les amalgames entre les différentes sphères des pouvoirs et non pas ceux qui doutent de l’innocence de l’islam et de sa neutralité politique.

L’islam a fait de ses fidèles des bombes à neutron pour asservir l’humanité et détruire tous les modes de pensée qui ne sont pas de son bord. Comment peut-on imaginer que la démocratie fait la paire avec l’islam alors que la première veut mettre l’homme au coeur de la vie de la cité et le second fait d’Allah le seul et unique maître de la vie des hommes. Ils ne peuvent ni se juxtaposer, ni se superposer, ils ont tous les deux des propriétés antinomiques. Autant la démocratie n’est pas mortelle pour l’islam où il y a de place chez elle pour tous les hommes qui aspirent à vivre ensemble autant ce dernier est un poison mortel non pas seulement pour la démocratie mais pour toute l’humanité qui ne croit pas en lui.

L’islam ne reconnaît qu’une seule logique de la cohabitation harmonieuse entre les hommes celle qui consiste à nier les droits à la différence et à la liberté de pensée et de convictions
Des islamo-compatibles, des naïfs et tous ceux qui draguent les voix des musulmans ne manqueront de se faire les avocats de ce parti de l’islam appelé l’Union des musulmans démocrates en plaidant la cause de ce nouveau-né en insistant sur son caractère républicain et inoffensif avec un certain scepticisme dissimulé en espérant qu’il sera un mort-né.

La chute de Byzance s’est faite par la ruse et un musulman ne s’avoue jamais vaincu tant qu’il n’a pas piégé sa proie. Ce parti à caractère religieux n’aurait jamais dû bénéficier de l’autorisation préfectorale.

Au point où nous en sommes pourquoi pas un parti des Témoins de Jéhovah démocrates, des Juifs démocrates, des Bouddhistes démocrates, des Animistes démocrates, des Athées démocrates et pourtant leurs systèmes de pensée ou de croyance sont compatibles avec les valeurs de la République contrairement à l’islam qui est un danger mortel pour les fondements de la République ?

L’islam se veut religion, Etat et monde, où l’homme n’a pas voix au chapitre, il doit suivre au long de sa vie la voie qu’Allah lui a tracée, il n’a pas à être ni une force de proposition, ni à discuter du choix du modèle de société qui lui convient. L’islam est lui-même un mode de gouvernance politique qui exige de ses fidèles une allégeance totale et absolue. Prôner la démocratie c’est s’éloigner de la voie de l’islam et par conséquent commettre une hérésie punissable de la peine de mort.

En revanche, il est permis aux musulmans de tromper son auditoire en arborant tous les masques de circonstances selon les besoins de la cause de l’islam. Ce parti qui est une insulte à la démocratie est moins guidé par les intérêts de la France que par les intérêts de l’islam.

La démocratie française est entrain de signer son propre arrêt de mort en laissant proliférer en son sein la cancer de l’islam.

La France préfère les islamo-djihadistes au républicain Stéphane Tiki militant U.M.P.

Ce week-end, de nombreux drapeaux français ont été brûlés par des fondamentalistes, comme ici à Gaza, en Palestine.

 

La France honore de sa nationalité les djihado-islamistes et bannit des hommes qui l’aime comme Stéphane Tiki

Au risque de choquer les petites âmes sensibles de la gauche-bobo-caviar-capitularde-courtisane-des musulmans, je préfère le jeune militant sarko-compatible ex-protégée de Rachida Dati, deux personnages pour qui je n’ai aucune sympathie particulière, Stéphane Tiki d’origine camerounaise âgé de 27 ans arrivé en France à l’âge de 17 ans contraint de démissionner de son poste de Président des Jeunes de l’U.M.P. pour une sombre histoire de titre de séjour dont il serait dépourvu que des ces millions de naturalisés qui se veulent plus musulmans que français et qui ne manquent pas l’occasion de brûler le drapeau tricolore de piétiner et de brûler les symboles de la République

En effet, lui au moins ne se nourrit pas de la haine de la République, ni caillasse ses forces de l’ordre et n’agresse au couteau ses militaires. Un garçon qui ne présente aucun danger pour la France sauf à ceux qui jettent son nom en pâture aux chiens enragés.

Quelqu’un qui a autant d’amour de la France que n’importe quel véritable enfant de ce pays et dont la loyauté ne laisse subsister l’ombre d’un doute et qui fait honneur à la France.Peut-être est-il responsable administrativement de cette situation kafkaïenne mais cela ne doit pas lui valoir les affres de l’expulsion comme un vulgaire délinquant ?

La France naturalise complaisamment et à tout va des étrangers ignorant tout de ses valeurs et de sa culture, illettrés ou quasi illettrés et n’ayant aucune maîtrise de la langue française ou presque , et qui parfois ne résidant même pas sur son territoire mais parce qu’ils sont mariés à des conjoints français dont la francéité est aléatoire et couvre d’infamie ces enfants qui sont certes allogènes mais dont le coeur ne bat que pour elle.

Stéphane Tiki est plus français que ceux naturalisés et convertis pour qui la France se résume à une simple carte plastifiée qui leur permet de pouvoir circuler en toute liberté entre elle et les terres du djihad avec des sombres desseins de pouvoir retourner un jour les armes contre elle.

La France fait des Coulibaly, Mérah, Nemmouche, les frères Kouachi et les membres de l’U.O.I.F. et de nombreux islamistes notoires dont certains parlementaires tunisiens des français à part entière et mène la chasse aux sorcières à des hommes comme Stéphane Tiki qui seront les premiers à prendre les armes pour que vive ce pays qui éclaire leur pensée et prospère en eux.

Le vrai pilier de l’islam est bel et bien la vampirisation du sang humain

Tous les jours, toutes, les heures, toutes les minutes, toutes les secondes, toutes les dizaines et les millièmes de secondes, l’islam ne rate jamais une occasion pour faire parler de lui toujours en mal.

Jamais repu. Comme si le sang humain qu’il répand et dont il s’abreuve était le souffle de sa vie.  Pris dans un cercle infernal de la barbarie, il n’arrive pas lui-même à y voir le bout. Il est comme un forcené dans une fuite en avant qui pense trouver une issue à sa folie meurtrière en faisant encore plus des victimes.

Atteint congénitalement de la maladie de Sanguinare Vampiris, il a été soigné à sa naissance avec le sang humain , celui des juifs, des opposants et des incrédules ainsi que celui des compagnons et des membres de la propre famille du grand ordonnateur du culte de la mort de la vie.

Sous des apparences humaines en se donnant des airs de sainte nitouche  abuser de la crédulité de ses futures victimes,  les V.R.P. de l’image de l’islam de paix et du pas d’amalgame et ses nombreux courtisans qui le drapent dans sa vertu,  se cache un vampire de la pire espèce.  Une créature des plus effrayantes et maléfiques dont les crocs ont la particularité de se muer en couteau de boucher pour décapiter ses proies en séparant la tête du corps.  Tellement enivré de sang humain qu’il n’y a aucune chance pour qu’il se réveille un  jour de son coma éthylique abyssal.

L’islam est une sangsue, un monstre cruel et répugnant de laideur, le diable incarné, retors et vicieux, qui possède l’art consommé de la prestidigitation.  Un miroir aux alouettes, un mirage du désert arabique. Malgré sa nature inhumaine et cauchemardesque qui  jetterait  l’effroi dans les coeurs de Dracula, Frankenstein , Julia Stone,  Carmilla, Clarimonde, ses centaines de millions de sectateurs continuent à ne jurer que par lui, comme s’ils étaient pris par un éblouissement amoureux, le contemplant avec des yeux enamourés de Chimène.  De leur chimère ils en ont fait une conviction.  La bête immonde se mutant en la belle au bois dormant.

L’islam n’a jamais fait mystère lui-même de son appartenance incontestable à la famille des vampires dont il est la figure la plus terrifiante, et pourtant ses zélateurs connus pour leur état de cécité mentale et leur absence de facultés de discernement cherchent par tous les moyens surtout les plus virulents et violents à faire croire aux observateurs extérieurs qu’il est tout le contraire ce des images qu’il donne de lui-même.  Autant il est cohérent avec lui-même et fidèle à son essence inhumaine qui ne peut survivre que grâce au sang des êtres qu’il vampirise et les anéantit autant les sujets tombés sous son pouvoir étouffant et annihilant sont illogiques, insensés et irraisonnés.

L’islam ne se ment pas à lui-même, il est tel que Mahomet l’a créé, une créature abhorrant toutes les formes de vie sur terre et assoiffée de sang humain y compris de celui de sa propre progéniture, ce sont ses adeptes qui sont les premiers à lui payer le tribut du sang le plus lourd  qui s’obstinent à lui faire un lifting à chaque qu’il dépèce sa proie pour l’affubler d’un masque humain.

N’étant pas conscients qu’ils commettent un sacrilège en mettant des épaisses couches de fond de teint sur ses traits de vampire.  Ses vrais adeptes sont ceux qui ne dénaturent pas son visage transfiguré par sa haine viscérale pour la vie.

L’islam n’est pas le visage de la vie, il est le visage des morts-vivants.

Salem Benammar

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Si les lois raciales nazies avaient ébranlé l’humanité, la charia, la loi de l’isam, risquerait de l’achever

Pourquoi faut-il interdire la Charia comme on a aboli les Lois Nazies de 1935 ?

1. La charia que ses partisans les plus acharnés présentent comme la Loi de l’Islam n’est pas sans rappeler dans sa conception philosophique et sa finalité les Lois Raciales de Nuremberg.

De la même façon qu’elles avaient pour objet de protéger la pureté de sang aryen en érigeant des barrières sur la seule base d’appartenance raciale, la charia  est pour eux le garde-fou canonique visant à préserver les musulmans de toutes les sources extérieures susceptibles de polluer la pureté originelle de leur source. Pour les nazis, il s’agit de dépolluer et immuniser le sang aryen en interdisant tout mélange avec ceux dont le patrimoine génétique est supposé dépourvu  de caractère aryen jugé pur, pour les adeptes de la charia, il s’agit de créer un cordon sanitaire contre toutes les sources d’influence extérieure n’ayant pas de substance musulmane jugées impures susceptibles d’altérer et corrompre la foi et la vie des musulmans. D’un côté un racisme de sang et d’un autre un racisme de religion. A se demander si les nazis et les tenants de la charia ne s’étaient pas inspirés du système de castes hindoues. Où les Brahmanes dont la primauté de leur statut social est fondé sur leurs attributs religieux et génétiques. Mais contrairement aux Brahmanes voire les nazis, les adeptes de la charia veulent en faire une loi universelle absolutiste et totalitariste pour tous les hommes au nom de la supériorité absolue des lois divines sur les lois civiles. Ni démocratie, ni république, ni droits de l’homme et du citoyen, ni conventions internationales de lutte contre la pédophilie, l’esclavagisme, l’apartheid, les droits de frontières, ni préservation du patrimoine, ni identité culturelle, ni mixité sexuelle, etc…Un monde sans frontières sous le règne d’un despote de droit divin, une sorte de secte planétaire et sans libertés de conscience, de culte et de création. Celui où l’homme n’est plus citoyen, il est un simple fidèle soumis aux seules lois d’essence divine.

Ayant pour seules obligations l’accomplissement de ses devoirs cultuelplas et rituels outre son entier dévouement pour la réalisation des desseins cosmiques et impériaux de sa religion. S’activant et oeuvrant en l’occurrence à l’expansionnisme de l’Islam par tous les moyens. N’est en principe fidèle et légitime que le musulman qui fait de sa vie don à Dieu. Fervent adorateur et zélé dévot vivant en accord avec les prescrits de la foi musulmane ou comme le proclame l’imam du nouveau centre culturel (une hérésie intellectuelle) islamique de Ground Zero :“les ‘vrais’ musulmans qui entrent dans les plus hauts niveaux du paradis musulman sont ceux qui paient le prix ultime du sacrifice dans le but de  mettre en œuvre la charia, la loi islamique,” Autrement dit un musulman qui ne reconnaît pas et n’applique pas scrupuleusement les lois de l’Islam dans leur intégralité ne peut prétendre au statut même de musulman. Par voie de conséquence un musulman vivant pleinement dans les lois de sa religion n’est pas en droit de se soumettre et de faire allégeance à des lois non-musulmanes pour non compatibilité avec la sienne et inversement. Partant du postulat que toutes les lois émises par les hommes sont imparfaites, impures, elles  n’ont aucune légitimité de régir la vie des musulmans. Excluant ainsi toute possibilité aux musulmans d’adopter un modèle de gouvernement qui ne soit pas conforme avec les exigences des lois de leur religion exprimant de la seule volonté de  Dieu. Est-ce à dire que la voie de la démocratie expression majeure de la volonté des hommes n’est pas la voie que doit suivre le fidèle musulman ? Le musulman qui par définition est un assujetti, un fidèle à sa foi n’est pas détenteur de la moindre parcelle des lois auxquelles il adhère, à la différence du citoyen dans un Etat démocratique qui est partie prenante à l’élaboration des lois civiles et publiques qui régissent sa vie avec ses concitoyens. Jugée impie et illicite la démocratie est assimilée à un sacrilège, un péché mortel pour les vrais croyants susceptible de les éloigner des dogmes de l’Islam. Comme la démocratie est la voie qui mène à la république, elle ne peut répondre aux aspirations idéologiques des partisans de la charia qui rêvent d’instaurer une théocratie religieuse gouvernée exclusivement par les lois dites canoniques et donc non issues des assemblées élues. Il va de soi que la seule voie du salut des musulmans ne doit puiser ses sources juridiques, politiques, culturelles, sociales, que dans l’Islam lui-même. Si la charia est présentée par ses partisans comme la loi de l’Islam tout porte à croire que c’est l’Islam qui en est l’unique source. Elle est comme ce cordon ombilical qui relie le fœtus au plasma maternel se nourrissant de son liquide amniotique. La rupture avec la charia est pour les musulmans comme la perte de la poche des eaux qui n’est pas sans risque pour leur viabilité physique et intellectuelle. Autant les lois humaines sont flexibles et évolutives, autant la charia de par son caractère organique et salvateur semble être immuable et intemporel. Elle dicte aux musulmans leurs règles de comportement, gouverne leur vie intime, interpersonnelle, extracommunautaire sur la base de principes coutumiers (ourfi) et  dogmatiques des plus archaïques datés d’un autre temps, à contre-sens du chemin de l’histoire humaine. Censé être leur fil conducteur, celui qui les guide dans leurs pas sur le chemin de la félicité, elle s’avère être le fil d’acier qui les enchaîne à un modèle de vie totalement déconnecté du temps et de l’espace. Un modèle fantasmé et halluciné. Elle est pourles musulmans intégristes leur Roche Tarpéienne et leur mythe de la Caverne. Ils sont tels des captifs enfermés dans leur caverne, éternels esclaves d’eux-mêmes, sans perspective d’évasion, de repli sur soi, refusant ostensiblement la lumière extérieure, de peur de se regarder dans le miroir de leur vérité. Aussi la charia devient l’antidote aux tourments de leurs âmes et un soin rétroviseur dans lequel se reflète l’ombre d’un monde sombre enfoui dans les méandres de leurs pensées. Au lieu d’atténuer leurs éternelles frustrations, elle attise la braise de la violence en sommeil chez eux, qui devient pour eux une sorte d’exutoire, un blanc-seing pour déverser leur haine de l’autre. Des femmes et tous ceux assimilés à des intouchables. Des humains de seconde zone, leur souffre-douleur qu’il est permis de châtier pour purifier son âme et les offrir comme victimes sacrificielles sur l’autel de l’Etre suprême. La charia est comme les lois nazies, elle honore ses partisans, en leur conférant une illusion de pouvoir, et rabaisse, relègue, ostracise et avilit les non-musulmans.
Nul ne peut douter de de son caractère musulman, mais qu’elle se confonde avec l’Islam pour être la matrice de tous les musulmans selon les cavaliers noirs de l’Apocalypse, il y a effectivement matière à s’inquiéter quant à l’avenir sombre qui se profile à l’horizon de l’humanité quant à la haute nocivité de la charia pour les libertés humaines et les droits fondamentaux. Cet horizon est d’autant plus sombre que les islamistes obsédés par l’instauration d’un ordre théocratique fondé sur la loi islamique de la charia sont en train d’y parvenir dans les pays du Printemps de l’éternel Goulag arabe.
Devenus les meilleurs affidés des américains au point qu’ils en font aujourd’hui la pièce maîtresse de leur nouvelle Realpolitik pour les pays musulmans et leur joker pour contrer la popularité de l’Iran au sein des masses musulmanes. Hitler a voulu fonder son IIIème Reich sur les Lois raciales de Nuremberg de 1935 avec la Shoah en filigrane pour devenir une réalité 4 ans plus tard, les islamistes prônent la création d’un Etat islamique fondé sur la charia ne font que s’inscrire dans le sillage du nazisme tant admiré et adulé par Hassan Al Bana et Saïd Qoutb, ou le Mufti De Jérusalem engagé volontaire dans l’armée hitlérienne, Une admiration non démentie à ce jour avec l’apologiste et négationniste  Al Qaradhaoui ou son lieutenant de basses œuvres le terroriste jamais repenti Rached  Ghannouchi.
La similitude entre les deux idéologies est d’autant plus frappante que le Reich a péri de sa propre mort après avoir infligé à l’humanité les affres de la Shoah, le Califat islamique s’est achevé par le génocide des arméniens en 1915. Plus de 1 500 00 arméniens exterminés dans le désert syrien dont le seul crime, à supposer qu’il en soit un est de ne pas professer la religion musulmane. A chacune de ces lois de la barbarie humaine son génocide.
2. La résurgence d’un Califat ne fait que rouvrir la blessure jamais cicatrisée chez le peuple arménien et indirectement les blessures du peuple juif et de tous ceux qui n’entraient pas dans le moule nazi tel qu’il était conçu par les lois scélérates de Nuremberg. Des lois comme celle qu’avaient appliquées les Jeunes Turcs pour légitimer leur massacre des arméniens qui n’étaient pas dans les normes de la religion musulmane en vertu de la charia. La loi de l’horreur humaine qui a elle aussi fécondé à sa manière le ventre musulman de la bête immonde qui sommeillait en lui.
La communauté internationale doit-elle rester impuissante au nom de sa neutralité bienveillante comme dans les années 30 et laisser ce virus mortel gangrener le corps musulman et par ricochet toute l’humanité ? Au lieu de caresser l’islamisme, clone du pitbull nazi, elle se doit de créer un cordon sanitaire afin qu’il ne fasse pas des dégâts incommensurables au monde entier comme il commence déjà à le faire au Mali, la Samalie, l’Afghanistan et le Soudan et ses 2 millions de victimes chrétiennes et animistes massacrées au nom de la charia. Comme les coptes et les chrétiens irakiens et nigérians. La charia dans ces pays comme l’Arabie Saoudite et le Qatar est une loi de purification ethnique, de discrimination raciale et sexuelle. D’une loi salvatrice elle s’est muée avec l’école théologique acharite en une loi inquisitrice, castratrice et mutilatrice. Elle sacralise et rend légitime le meurtre de l’autre, de celui qui est différent de soi et qui ne possède pas les attributs musulmans. Mettant les musulmans sur un piédestal de la dignité des élus de dieu, ne dit-on pas que les musulmans sont la meilleure communauté qu’Allah ait fait surgir sur terre ? Un tel racisme ferait pâlir de jalousie la bête immonde nazie. De même que l’inféodation des non-musulmans, les juifs et les chrétiens appelés « dhimmis » qui signifie littéralement protégés devant payer une capitation (jizya) pour pouvoir jouir des droits au rabais. Quant aux non-monothéistes, les incrédules, les mécrus et les insolents, il y a tout lieu de croire que c’est soit la conversion soit la mort en vertu du verset de la Vache qui les voue à l’enfer et dont le meurtre par les croyants est licite.
La charia dans le sens qu’entendent les islamistes consacre la suprématie des musulmans sur les non-musulmans en les parant des vertus de la pureté avec un statut juridique et social censé les protéger contre les influences qui ne sont pas d’essence musulmane.
Affublée du statut de droit canon, la charia n’est pas une norme juridique émanant d’une autorité souveraine qui s’impose à tous les citoyens sans exclusive, elle est un subterfuge pernicieux pour conférer des droits exorbitants sous couvert du sacré à des illuminés afin de masquer leurs intentions malveillantes et criminelles en vue de s’ériger en maîtres absolus sur la vie des humains. Elle est licencieuse et perverse. Réduisant la vie humaine à sa portion congrue. La charia est pour les droits humains ce que fut la loi de la jungle dans une zone sauvage, sans humanité, ni morale, ni éthique, ni ordre social, celle où sévit la loi du plus fort s’arrogeant le droit d’exercer son pouvoir de vie et de mort sur de plus faible que lui. Fondée sur un ordre naturel où  les rapports dominants/dominés trouvent leur légitimité  dans des règles irrationnelles similaires à celles qui prévalent dans le monde animal. Où le prédateur peut dépecer sa .proie en toute liberté.
Le foyer islamiste est en tous points comparables à cette zone de non-droit sans justice ni droits de victime. La femme n’est-elle pas aux termes de cette loi inique et scélérate une victime consentante et expiatoire pour selon les lois de l’Islam à la toute-puissance du mâle musulman, seul dépositaire du pouvoir divin ?   La charia est pour le monde musulman ce que furent dans une certaine mesure les lois féodales pour l’Occident chrétien au Moyen Age. Ultra-répressives, inquisitrices,  dogmatiques, arbitraires, injustes, inégalitaires, opprimantes et attentatoires à la dignité humaine.
La charia n’est pas non plus sans rappeler à l’occasion de la mise en scène morbide des exécutions des condamnations de mort (décapitation-crucifixion) ou de lapidation  les jeux de cirque romain où l’on faisait de la vie humaine une distraction pour les patriciens et les plébéiens avides d’émotions fortes et assoiffés de sang humain. Ainsi, Tous les jugements rendus en son nom sans aucune voie de  recours.  Ni pourvoi, ni révision, ni droits de la défense, voire ni droits de la victime quand elle n’est pas de sexe masculin et non-musulmane. La justice sereine et équitable est un vœu pieux dans les contrées qui l’appliquent. La particularité de cette loi est que le requérant peut être aussi juge et exécutant de la sentence. Avec cette loi on achève plus les voleurs de chevaux, on n ampute les mains des voleurs de poule par exemple, mais on rend hommage à Ben Laden et Omar Bachir. Dans notre droit, la justice peut se tromper mais elle offre aux justiciables des voies de recours, or, avec elle, l’erreur judiciaire n’existe pas parce qu’elle a été rendue au nom de Dieu. Les fourches caudines de la charia frappent sans discernement victimes comme coupables, iniques et injustes, elles lapident et amputent. Un innocent accusé à tort pour un vol qu’il n’a pas commis, doit subir le châtiment corporel prévu dans le cas d’espèce en l’occurrence l’amputation de sa main.
Aux termes de cette loi seul dieu peut réparer les injustices ainsi il ne lui reste qu’à attendre le Jour du Jugement dernier pour que la justice lui soit rendue et par la même retrouver l’usage de sa main. Dans une société appliquant la charia, les justiciers de Dieu n’ont pas à s’embarrasser des règles de procédure, tout simplement, elles sont inconnues dans leur système judiciaire. Selon que vous soyez puissant ou pauvre la justice vous sera rendue selon la fable de la fontaine. Selon la charia que vous soyez voleur mais puissant comme Ben Ali et un simple quidam comme le jeune journaliste saoudien qui a caricaturé le Prophète, au premier les honneurs dus à son rang et au deuxième le châtiment suprême. La charia n’est pas une loi à géométrie variable, elle exonère et honore les criminels et les terroristes et condamnent les individus qui auraient profané les dogmes del’Islam. A n’en pas douter, il vaut mieux profaner les cimetières juifs, chrétiens ou les tombes des figures du mouvement syndical tunisien et des droits de la femme tel que Tahar Haddad que d’offenser la religion. L’assimiler à une loi n’est pas qu’un pur néologisme, c’est un abus de langage. Comme si l’on pouvait doter Hitler ou Ben Laden de vertus humaines. De la même façon que la communauté internationale a mis hors la loi les los nazies, elle se doit de l’éradiquer et l’éliminer de la surface de la terre. On ne peut pas la rendre opposable aux musulmans alors que c’est loi non écrite, apocryphe, sectaire, fruit du subjectivisme, de l’arbitraire, de la passion hystérique, de la déraison humaine, une loi apparentée à la loi de la jungle et aux lois raciales nazies A défaut d’être synonyme de bien-être pour les musulmans, elle n’est rien d’autre que le stade ultime de la barbarie humaine et le Goulag pour les femmes et les non-musulmans. En faire une norme absolue, immuable et intemporelle, cela relève de la spéculation théologique alors qu’elle continue au fil des siècles d’être l’objet de discussions entre les théologiens autour du Coran et la Sunna. Ayant acquis ses titres de noblesse paradoxalement que 3 siècles après la Révélation. Et comme le rappelle à juste titre Mohamed Talbi, la charia est l’œuvre de l’homme et non celle de dieu. Si effectivement le Coran, considéré comme incréé par les musulmans, la consacre comme le chemin de la félicité, celui qui permet au croyant qui le suit ici-bas d’être en harmonie d’attendre son Graal, on peut légitimement se demander pourquoi la charia est-elle sujette à controverse, contrairement au Coran et dont elle serait surcroît la trame tout au long des 23 années correspondant à la durée de la Révélation ? Si la charia est vraiment l’islam, cela devrait la rendre davantage plus explicite et compréhensible par le commun des croyants. Or, n’étant pas transposée dans aucun écrit, cela la rend illisible et abscons. Alors pourquoi son interprétation, son adaptation et son application diffèrent d’une école juridique à l’autre ? Si elle est l’islam pourquoi suscite-t-elle autant de peurs et d’inquiétudes ? Si l’on s’en tient qu’à seule dimension spirituelle, il est évident que l’on doit se garder de la critiquer, en revanche si l on veut en faire le régime juridique absolu revêtu du sceau du sacré étendant son pouvoir sur le champ social, personnel, civil, public, politique, quand bien même elle puiserait ses sources dans le coran, il est évident qu’elle est incompatible avec le droit positif, celui qui est censé exprimer la volonté générale, et non la volonté de dieu dont certains se veulent les porte-paroles. Une question non dénuée d’intérêt, si cette pseudo loi canonique est d’essence divine, pourquoi continue-t-elle à faire débat au sein du monde musulman comme ailleurs. Autant le Coran et la Sunna font l’unanimité et constituent le socle spirituel et juridique des croyants, autant la charia est source de divergence et de discorde chez les musulmans. Comme si le Coran et la sunna ne sont pas la bonne feuille de route qui s’imposent à chaque croyant. Nul croyant n’est tenu à emprunter une autre voie que celle qui est fixée par le Coran selon l’enseignement du Prophète qui lui-même n’a jamais recommandé aux croyants de s’inspirer de sa tradition.
La charia est-elle aussi une autre voie englobant les deux premières ? Si tel est le cas, pourquoi n’a-t-elle jamais été codifiée comme le code de Napoléon par exemple ? Littéralement, elle signifie en arabe la voie qui mène vers la source à laquelle les êtres humains et les animaux doivent s’irriguer, à condition que l’eau de cette source sot celle d’un ruisseau ou une rivière. Une eau non stagnante en principe. Si elle est vraiment l’islam comme ils l’allèguent pourquoi n’a-t-elle connu son développement qu’au Xème s. avec l’apparition de l’Ecole théologique acharite qui a fermé depuis la porte à toute forme d’interprétation (ijtihad) ? Le fait même qu’elle se comprend aux termes de cette Ecole de pensée comme une opinion, un avis aléatoire par définition, partagée par tous les musulmans, censée être fondée sur des nombreuses sources constituées de sources principales tels que le Coran et la sunna, et des sources secondaires : qiyas (analogique), ijmâa (consensus), coutume (ourfi). Outre la jurisprudence diverse variant selon les pays et en fonction des différentes écoles juridiques (madhhab) tant sunnites que chiites. Ce qui laisse la porte ouverte aux supputations et spéculations de toutes sortes qui ne sont pas sans conséquences pour les fondements de l’Islam. Ainsi toutes les contradictions et fluctuations qui la caractérisent sont bien symptomatiques des incertitudes et aléas qui pèsent sur elle. Quant à en faire une loi universelle pour les musulmans et les non-musulmans, il y a matière à s’interroger sur ses vertus humanistes et égalitaristes. Une loi qui hiérarchise les hommes, les classifie, les série en vertu des simples critères religieux et sexuel porte en elle tous les ferments de la discrimination et du racisme.
Si les lois raciales nazies furent les lois de purification raciale et du génocide du peuple juif, la charia est à considérer comme la loi de purification religieuse, de nettoyage ethnique (le cas des arméniens) et de purification sexuelle.
En conclusion, une société qui méprise l’humain et le discrimine et glorifie dieu au nom de la loi canonique de la charia n’est pas une société digne de son humanité. Elle est une société de la barbarie humaine. Où les faibles et les sans défenses sont jetés en pâtures aux charognards sous prétexte d’un ordre sacré, un passe-droit, un imprematur, qui légitime et autorise l’asservissement et l’exploitation effrénée et insoutenable de l’homme par l’homme. Avec la charia, l’homme est un prédateur vorace pour l’homme.

 

Pourquoi veut-on faire de nous des arabes que nous ne sommes pas ?

Pourquoi cette obstination pathétique et pathologique à vouloir arabiser sans arrêt l’Afrique du Nord ? Pourquoi les gouvernements tunisiens, algériens et marocains font de l’arabisation la clé de voûte de leur politique pour leur pays 

Pourquoi cherche-t-on à faire de nous des arabes si nous ne le sommes pas ? Si nous l’étions pourquoi veut-on faire de nous plus arabes que nous le sommes déjà ? 

Est-ce que ces politiques absurdes et négationnistes de l’histoire millénaire de ces pays et de leurs origines plurielles ne sont pas  la preuve qu’ils ne sont pas si arabes qu’on ne le croire ?  Et s’ils le sont malgré les évidences,qu’est-ce que cela va changer la vie de leurs populations en proie à toutes les misères ?

Est-ce qu’être arabes cela va faire souffler un vent de renouveau  sur leurs ces pays ? Les ré-enraciner dans l’identité arabe va les libérer du fardeau de l’obscurantisme et du sous-développement chronique ?

L’arabisme catalyseur  des énergies si tel est le cas pourquoi ne l’est-il pas dans sa terre d’élection ?  Il est à douter que l’arabisme soit un antidote au mal qui ronge ces populations et qu’il puisse les  propulser au rang des peuples-phare de l’humanité.

Est-elle facteur de liberté, d’égalité, de justice, de respect de la vie, de fraternité humaine, de non-violence, de libération de la femme, de la protection de la petite enfance, de dignité humaine, de démocratie et de bien-être ? Que veut-on dire au fond par arabisme, arabisation ? Que dissimule-t-on derrière ces deux notions ? Plus de langue arabe arabe et donc plus d’islam dans les écoles quand on sait que les deux se confondent. L’arabisme est aussi le façonnage des sociétés islamisées sur le modèle saoudien. 

ILLUSTRATION. La présence de femmes voilées lors d'une cérémonie militaires à Brest  fait polèmique

Mais au fond savons-nous vraiment qui nous sommes aussi ? Tous ou presque se disent arabes, faisant ainsi de leur ignorance et leur complexe vis-à-vis l’un des peuples les plus incultes, oisifs, paresseux, fatalistes, défaitistes, consuméristes,parasites, indolents et insipides leurs liens de rattachement. Il n’y a pas de honte de s’inspirer de l’exemple des peuples acteurs de l’histoire,,qui l’ont enrichie par leurs apports réels et avérés,présents aux grands rendez-vous du progrès humain, et qui oeuvrent pour le bien commun de l’humanité.

Le plus grave affront que les maghrébins s’infligent à eux-mêmes et à leurs vrais aïeux est de se croire plus arabes que les arabes eux-mêmes. Que savent-ils réellement de ceux pour qui ils idéalisent tant et qu’ils vénèrent comme si c’étaient des dieux vivants.? Savent-ils que ces êtres qui ne sont pas un modèle pour des bêtes sauvages avaient provoqué chez eux le pire cataclysme culturel, écologique, humain que leur contrée nord-africaine ait jamais connu. Ils ont été le cauchemar de leurs ancêtres et ils en font aujourd’hui l’objet de leur rêve.

Ils les dominent en leur ayant imposé une langue et une religion porteuse du pire virus létal qui ait jamais existé. Celui qui fait de la mort un idéal de vie et de la dilution de son âme dans celle de ses colonisateurs, qui consiste à couper le sujet contaminé de ses propres racines qui deviennent pour lui un sacrilège qu’il faut décaper. Que savent-ils de cette idéologie qui est la mort des peuples, des civilisations et des cultures ? Comme l’a fait remarquer judicieusement Winston Churchill  au sujet de cette idéologie fataliste, liberticide, castratrice, despotique, impériale, qui mine l’esprit de liberté et de créativité. Tout simplement néfaste à l’humanité :
« Il y a cette craintive apathie fataliste. Les effets sont évidents dans beaucoup de pays quand on regarde l’agriculture négligée, les méthodes surannées du commerce ou l’insécurité de la propriété qui existent là où les ouailles du prophète règnent ou vivent. »

Ont-ils au moins lu un jour Ibn Khaldoun, ce dont il est à douter avec leur allergie maladive à la lecture à laquelle ils consacrent en moyenne 4 minutes par an d’une part et d’autre part à la censure de sa pensée comme celle des penseurs dits musulmans rationalistes ?

Ibn Khaldoun devrait leur servir de catalyseur pour rompre avec l’arabité, mais ils préfèrent s’arc-bouter à une branche des plus pourries de l’arbre du savoir universel; glorifiant et encensant ce qui ne doit pas l’être, méprisant, stigmatisant, haïssant, maudissant ce qui est sa sève identitaire,  en l’occurrence leurs racines amazighens et plurielles qui se perdent dans les temps immémoriaux.

En idéalisant les arabes, ils font preuve de déni de soi et du complexe de l’esclave pour son maître.

Leur modèle est Mahomet, ils vénèrent ses compagnons auxquels ils veulent s’identifier, salaf, vouant un véritable culte à Omar Al Khatab, le Calife qui a donné l’ordre d’incendier la bibliothèque d’Alexandrie et les livres persans.

Sourds aux mises  en garde d’Ibn Khaldoun sur la haute nocivité de cette culture bédouine et barbare, propagée par des pillards dévastateurs et marchands d’esclaves, pédophilies, violeurs, destructeurs, vandalisant et brûlant tout sur leur passage rendant la terre impropre à la vie, pour en faire un paysage lunaire bien plus nuisibles que le Napalm:

« Tout pays conquis par les Arabes est bientôt ruiné. […] Sous leur domination la ruine envahit tout. […]; l’ordre établi se dérange et la civilisation recule. Ajoutons que les Arabes négligent tous les soins du gouvernement; ils ne cherchent pas à empêcher les crimes; ils ne veillent pas à la sûreté publique; leur unique souci c’est de tirer de leurs sujets de l’argent, soit par la violence, soit par des avanies. Pourvu qu’ils parviennent à ce but, nul autre souci ne les occupe. Régulariser l’administration de l’Etat, pourvoir au bien-être du peuple…, et contenir les malfaiteurs sont des occupations auxquelles ils ne pensent même pas […]; aussi les sujets … restent à peu près sans gouvernement, et un tel état de choses détruit également la population d’un pays et sa prospérité. »

Atteints de cécité mentale et d’incurie intellectuelle, les nord-africains drapent les arabes dans leur vertu. Ne sachant pas qu’en faisant leur apologie ils font quelque part celle d’Hitler ce qui est somme toute logique quand on sait que Mein Kampf est le livre le plus lu après le Coran.

Depuis Kateb Yacine plus personne ou presque n’ose interpeller cette identité importée et mettre à nu ses vraies composantes. On se contente de renvoyer à cette identité à l’inscrire en lettres d’or dans les constitutions sans jamais définir ses caractéristiques majeures et en quoi est-elle indispensable à l’essor et au réveil de ce peuple plongé dans un profond coma inextricable.

Les arabes comme le rappellent Ibn Khaldoun sont : « Les Arabes sont une nation sauvage (umma wahshiyya), aux habitudes de sauvagerie invétérées. La sauvagerie est devenue leur caractère et leur nature. Ils s’y complaisent, parce qu’elle signifie qu’ils sont affranchis de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette attitude naturelle est incompatible (munafiya) et en contradiction (munâqida) avec la civilisation (‘ùmrân). …De plus, c’est leur nature de piller autrui. Ils trouvent leur pain quotidien à l’ombre de leurs lances (rizqu- hum fi zilâl rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre le bien d’autrui…
Ils n’ont d’intérêt et d’attention pour un peuple qui aurait pu être ravalé au rang du rebut de l’humanité sans l’islam.  »

Plutôt que renouer leurs vraies origines qui sont leur phare qui les éclaire dans leur quête du progrès, ils font de la pierre mortuaire noire des arabes connue sous le nom de la Ka’aba une lumière pour ne jamais sortir du monde des ténèbres dans lequel ils y sont depuis l’invasion génocidaire de leurs maîtres qui les ont réduits à l’état du néant.

Plutôt que de s’enorgueillir de Saint-Augustin, de Koceila, de Diya, d’Hannibal et d’autres figures illustres qui ont marqué l’histoire de leurs empreintes dont le christianisme, ils font de Mahomet, le personnage le plus sinistre et inhumain leur figure tutélaire, leur véritable Dieu auquel ils ont vendu leurs âmes. Ils ont fait d’un monstre leur emblème identitaire. « Depuis plus de cinq cents ans, s’écriait-il dans ses moments de colère, les règles et les théories d’un vieux cheik arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la Constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un Bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »

(Mustapha Kémal Atatürk / 1881-1938 / in « Mustapha Kemal ou la mort d’un empire », Jacques Benoist-Méchin)

Les musulmans et leurs délires psychotiques de conquête du monde

Les musulmans qui se vantent d’être la plus belle communauté jamais envoyée sur terre, c’est vrai que l’humilité est un péché mortel chez eux, sont  convaincus  qu’un jour ils régneront  sur le toit du monde  et imposer ainsi  la loi de l’islam à l’humanité tout entière. Les délires fantasmagoriques et mégalomanes des esclaves d’Allah sont sans limite. Pour eux tout ce qui est écrit et prophétisé dans leur torchon satanique est une vérité absolue, il leur suffit d’y  croire pour que le monde soit à leurs pieds.  Comme si un manchot  visait la médaille d’or a aux Jeux Olympiques.

Même si le rêve est un sacrilège chez eux car il est  assimilé à une manifestation du djinn pendant le sommeil  considéré comme une créature maléfique  par le Coran ( sourate 18; verset 50 ), ils peuvent  toujours laisser vagabonder leur imagination stérile, misérable et castrée ( sourate 26; vestes 224-226),  mais pas de quoi plus facile pour des êtres frustres, frustes et frustrés que de prendre leurs désirs pour des réalités.

Un manant qui se prend pour un seigneur, un fou qui se prend pour un empereur, un écuyer qui se prend pour un chevalier, Mahomet qui se prend pour un prophète et le musulman qui se prend pour le maître de l’univers. C’est sa vérité  qui lui sert de coupe-faim pour ventre affamé. Mahomet en tant que précurseur de Machiavel a bien compris et il n’est pas le seul que pour mieux assujettir les hommes il faut coloniser leurs esprits et anéantir tous leurs mécanismes de pensée et de réflexion.  Les façonner comme de la pâte à modeler.  En faire des pantins , des corps sans âme, dépourvus de toute sensibilité, perdant conscience de ce qu’ils sont et totalement coupés des réalités du monde. Leur faire perdre la raison pour les enfermer dans les dogmes de la religion comme le proclame Mahomet  : » La religion, c’est la raison et celui qui n’a pas de religion n’a pas de raison. »

Voilà comment des sujets insensés, irrationnels,  soumis, dominés, asservis, archaïques, serviles,  analphabètes, qui croient aux vertus thérapeutiques de l’urine du chameau contre le cancer, figés dans la pierre noire mortuaire de la Ka’aba,  connus pour leur inculture tragique, lisant en moyenne 6 minutes par an ont des prétentions suprématistes et hégémoniques sur le monde.  N’étant pas dotés d’esprit critique et de bon sens, jamais ils ne se poseront les bonnes questions quant à la faisabilité de leur utopie de leur gouvernance planétaire.  Les nazis autrement plus évolués qu’eux en tous points de vue avaient caressé ce rêve et bien d’autres avant eux et ils ont tous fini enseveli par la tempête de sable de la folie de leurs passions grandiloquentes et ubuesques.

Une idéologie qui fait de la violence sa seule norme politique ne pourra jamais bouleverser le monde en profondeur. Elle pourra l’ébranler mais pas y asseoir sa domination. Leur rêve ne se muera jamais en cauchemar de l’humanité.

Les seules menaces réelles que ces êtres connus pour leurs retards intellectuels, techniques, technologiques, industriels, ultra-sectaires leur état de troubles de troubles psychotiques et d’aliénation mentale, leur fougue de cheval fou, leur dégoût de la vie, leur esprit primaire, déchirés et qui se vouent une haine féroce entre eux, puissent présenter sont moins de l’ordre de la primauté de l’islam sur le monde que le volcan terroriste qui les risques d’éruption du volcan terroriste qu’ils pourraient provoquer.

Jamais les musulmans ne seront les maîtres de l’échiquier politique mondial. Ils  en sont encore à des années-lumière, autant parier sur les chances de morpions de devenir un jour les pilotes du train de l’humanité. En effet, l’humanité finira tôt ou tard quand les puits de pétrole et les gisements gaziers seront asséchés par les renvoyer à l’état sauvage duquel ils n’auraient jamais dû sortir. Il n’y a rien à craindre de ces êtres qui se voilent la face de peur d’eux-mêmes, défaitistes, fatalistes, lâches, barbares, au Q.I. d’une crevette, shootés à l’islamoroïne, déconnectés d’eux mêmes, figés dans le 7 e siècle, qui avance à reculons, toujours colonisés et jamais souverains, misérables, se menant des guerres fratricides, déshumanisés, amorphes, lymphatiques, fétichistes, qui vénèrent la mort comme d’autres aiment la vie, obscurantistes, qui ont toujours raté les grands passages du train de l’histoire. Quelles sont leurs innovations et inventions ?  Quels sont les progrès humains associés à l’islam ? Avaient-ils été à l’initiative des grandes découvertes de l’humanité ? Qu’ont-ils apporté pour le bien commun de l’humanité ? Quelle est leur contribution aux sciences et au savoir universels ? Quelles sont les grandes oeuvres d’art musulmanes  qui ont illuminé l’humanité ?  Quelle est leur part dans le marché mondial des brevets industriels ? Certainement moins de 1%. Quelles sont leurs innovations technologiques ?  Ont-ils fabriqué un seul médicament dans toute leur histoire ? Ils ne produisent rien et dépendent de l’extérieur pour tous leurs besoins.

Quand on convoite le monde on doit commencer d’ores et déjà à acquérir son indépendance technique, pharmaceutique, médicale, industrielle, médicamenteuse, agricole, politique, et avec le poids écrasant de contrôle de l’islam sur la vie de ses fidèles, ils continueront à rater les grands-rendez-vous du train de l’histoire. Ils seront toujours ces vaches qui meuglent à chaque passage du train.  il n’y a qu’Allah qui innove jamais l’homme.

Il n’y a pas que Daesch qui décapite et brûle à vif ses victimes en Tunisie on en fait pareil avec les italiens

 

Il n’y a pas que Daesh et Boko Hram qui décapitent et brûlent vif leurs victimes  en Tunisie aussi. En plein mois maudit de Ramadan  mois le premier août 2012 dans la ville côtière d’Hammamet des Tunisiens ont décapité sauvagement dans la pure tradition mahométane et dans l’indifférence générale Angelo un ressortissant italien qui chérissait tant ce pays et dont il avait fait son pays de coeur ne sachant pas que cette terre a perdu le sien il y a 14 siècles depuis le jour où elle avait fait de l’islam, ce culte de la barbarie humaine, sa sève et de l’arabité son identité bestiale (cf mon article  https://salembenammar.wordpress.com/2015/01/26/lislam-glorifie-les-pedophiles-et-condamne-a-mort-les-homosexuels/)

Le 5 Février 2015 à Sidi Bou Saïd village côtier huppé non loin de Tunis et à proximité de Carthage, la machine infernale de tuer tunisienne qui fait des ravages actuellement en Syrie, Irak et Libye, plus que jamais forte de son impunité et en écho au message que vient de lui adresser le nouveau président tunisien B.C.E. qui l’assure de toute sa bienveillance et mansuétude paternelles  vient de nouveau  s’illustrer dans son territoire de prédilection en faisant une nouvelle victime italienne  en immolant par le feu le pauvre Massimo Bevacqua, un homme qui avait l’amour de la Tunisie en lui qu’il voulait éclairer par son savoir oubliant qu’il n’y avait de savoir chez les musulmans que celui qu’il puisait dans leur Mein Kampf mahométan.

En tant que peuple mahométan quand on ne dépèce pas et on n’égorge pas les victimes pour irriguer la terre de leur sang, on les réduit en cendres afin de purifier l’environnement de la présence d’agents censés comme étant pollueurs alors qu’ils ne sont pas contagieux contrairement aux particules radioactives  de l’atome musulman mortelles pour les esclaves d’Allah et non sans risque pour le reste de l’humanité.

Angelo et Maximo, deux hommes réunis dans l’infortune du destin ont payé de leur vie leur amour sincère et désintéressé pour une terre inhospitalière et cruelle pour les femmes et les hommes qui ne prêchent pas la vertu tout en s’adonnant au vice et qui utilisent la morale comme un paravent pour cacher leur perversion morale et leur comportement ignominieux.  Qu’ils reposent en paix là où ils sont.

Les musulmans ne se radicalisent pas ils renouent avec les vraies valeurs de l’inhumanité islamique

Les communicants de l’islam se font fort à chaque fois de nous répéter que des musulmans se radicalisent sans nous expliquer en quoi sont-ils devenus extrémistes ni comment sont-ils passés de doux agneaux à des fauves ? Dire que les musulmans se radicalisent cela est bien la preuve explicite qu’ils ont fini par durcir le ton,, révéler leur vraie nature, exhiber leur glaive. Le radicalisme ne dévoie pas l’islam et trahit le message originel qui n’a jamais été un voeu de paix et d’amour pour l’humanité, il est l’essence et la substance de l’islam.

Il n’y a pas de musulmans radicaux, il y a des musulmans qui ne trichent pas avec leurs dogmes et qui doivent arborer le vrai visage de l’islam. Ces musulmans ne sont ni des musulmans de rupture ni hérétiques qui professent une doctrine qui instrumentalise l’islam à des fins politico-idéologiques,  ils sont ceux qui donnent du sens au legs de Mahomet, déterminés, jusqu’au-boutistes, dévoués jusqu’à la mort, vouant une fidélité indéfectible à l’islam et qui n’ont pas à se poser des questions sur les conséquences de leurs actes.

Un musulman est par définition celui qui ne s’embarrasse pas de scrupules, engoncé dans son armure qui l’immunise contre les ressentis humains, insensible, dépourvu d’émotions et de compassion pour ses victimes.

Après avoir baissé les bras pendant des siècles et fait de leur désespoir un mode de vie mais grâce à la manne énergétique et ses enjeux géopolitiques et géostratégiques ainsi que la veulerie et la cupidité des gouvernements occidentaux,  ils ont repris le poil de la bête comme un cave qui se rebiffe, convaincus que la prophétie coranique de la main mise de l’islam sur le monde est enfin entrain de se réaliser, il n’y a plus lieu pour eux de rester les vaches qui meuglent au passage du train ils veulent être le conducteur du train qui conduit les passagers à contre-sens.

Sentant que la victoire est au bout du fil de leur cimeterre, ils sont devenus plus inflexibles et intransigeants, qui ne sont pas prêts à faire une once de concessions à ceux que le Coran désigne comme étant les ennemis de l’islam. Se radicaliser c’est ne pas laisser la porte ouverte au dialogue, le refus catégorique du débat. C’est aussi vouloir imposer ses idées par tous les moyens et ne faire entendre qu’une voix la sienne.

Les musulmans ne se sont pas radicalisés, ils ne font que revenir aux fondamentaux de leur religion qui interdit aux musulmans de lâcher du lest et de faire preuve d’accommodement dans leurs rapports avec les non-musulmans voire leurs propres coreligionnaires qui ne perçoivent pas l’autre comme un ennemi. Il n’y a pas plus d’islam radical que d’islamisme modéré, il y a un islam unique pour tous celui qui ne supporte pas pas que ses adeptes prennent des libertés avec ses préceptes et l’adaptent à leurs besoins personnels.

La radicalisation n’est rien d’autre qu’un retour aux sources de l’islam et la mise en oeuvre fidèle et rigoureuse de la feuille de route que Mahomet a tracée pour tous les musulmans.Le fait pour un musulman de s’inscrire dans la voie de l’islam, shara’a, ne signifie pas qu’il a dérivé vers un islam plus dogmatique, et hermétique, il ne fait en réalité qu’accoster dans les rives de l’islam aux moeurs barbares et amorales et au modèle de société figé, pétrifié, violent, sectaire, rétrograde, recroquevillé sur soi, fermé sur le monde, hostile aux influences extérieures, assoiffé de revanche, qui prône des idées destructrices, nihilistes, nombrilistes, narcissiques, incompatibles avec la vie humaine.

Plutôt que de présenter la radicalisation des musulmans comme étant un épiphénomène, on devrait insister sur les liens de causalité entre la forte progression du taux d’alphabétisation chez les jeunes musulmans et leurs acquisitions des outils de compréhension de la lecture et l’explosion du phénomène de radicalisation qui n’est rien d’autre que leur mise en application de la connaissance des textes sacrés. A la différence de leurs parents qui étaient majoritairement analphabètes et moins aigris par la rancoeur et les frustrations, les jeunes musulmans trouvent un écho théologique légitimant leurs passages à l’acte et leurs aversions du non-musulman, l’ennemi juré de l’islam qu’il doit soit convertir soit exterminer, « là où vous trouvez un mécréant tuez-le ». 

Si la barbarie humaine avait une religion ce serait sans aucun doute l’islam

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On ne cesse de marteler que les hydres islamistes, véritables escadrons de la mort appelés moudjahidine fī sabīl Allāh (qui font un effort dans le chemin d’Allah), et qui infestent nos villes et nos cités ne sont pas Musulmans et que leurs dérives sectaires n’ont aucun caractère coranique, alors qu’ils sont en train de tisser leurs toiles, de décréter des Fatwa, de faire des pogroms et des autodafés, et d’exercer leur emprise sur tous les secteurs économiques, culturels, sociaux, judiciaires, sans oublier les tentatives violentes d’OPA sur les espaces de prières.

Mais ces fervents disciples sont musulmans et de ce fait ils peuvent répandre et propager en toute liberté et surtout en toute impunité leur vision rétrograde et régressive de l’Islam.

Leur prosélytisme agressif et violent bénéficie de la mansuétude coupable du pouvoir de transition en Tunisie et des exégètes, théologiens et doctes musulmans. Tout laisse croire que cette vision de l’Islam ultra violente et ultra réactionnaire – qui suscite pourtant des peurs et des angoisses légitimes chez la majorité des citoyens – n’est pas contraire au Coran lui – même lorsqu’il exhorte les disciples à recourir aux actes les plus répréhensibles.

Ainsi, tout adorateur d’Allah qui juge que sa foi est offensée et bafouée est en droit selon le Coran de tuer l’offenseur. Faire couler le sang du mécréant est alors un acte purificateur qui vaut à celui qui le commet les bienfaits du paradis.

De toute évidence, les islamistes ne sont en aucun cas les enfants damnés d’Allah, ils en sont les enfants chéris qui auront sa grâce éternelle. Ils sont porteurs d’une mission d’ordre divin en violation flagrante par ailleurs à l’ordre républicain, pour protéger sa Parole et instaurer son hégémonie aux quatre coins de la terre.

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Il est écrit dans le coran que la terre sera un jour islamisée. Dans ce contexte, condamner les islamistes – qui ne font en réalité qu’appliquer les recommandations du Coran – pour actes de troubles à l’ordre public, menaces de mort ou atteintes aux biens et aux personnes revient à condamner Allah lui-même.

Aucun pouvoir judiciaire ou politique dans les pays musulmans ne saurait commettre une telle apostasie sans provoquer le courroux de sa majorité musulmane. Ce qui vaut effectivement aux islamistes de bénéficier d’une sorte d’immunité juridique que leur confère leur statut d’élus d’Allah. Ils deviennent juridiquement intouchables comme les Mollahs en Iran ou les Nahdhaouistes en Tunisie, dont le triste et nazillon gourou Rachid Ghannouchi qui s’est affublé du titre de Habib Allah, le chéri d’Allah.

Au vu des idées liberticides et scélérates qu’ils diffusent au sein des populations musulmanes ainsi qu’au regard de leurs comportements agressifs et violents, les islamistes sont en conformité avec les lois divines, ce qui les exonère dans une certaine mesure de toute responsabilité civile ou pénale.

Vous imaginez le jour où nos codes civils seront déclarés désuets du fait de leur incompatibilité avec les leurs ?

Ce sera le règne de la barbarie, de l’arbitraire, de le justice expéditive.

L’islamisme n’est pas seulement un ver venimeux dans nos fruits humains, il est la négation de l’Etat de droit et de l’Etat nation. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour www.Dreuz.info

A force de semer le vent de la mort, l’islam récoltera la tempête qui l’emportera

A force de semer le vent de la mort, l’islam récoltera la tempête qui l’emportera

meurtre dans une mosquée

Pas un jour, pas une heure ne passent sans qu’une tuerie perpétrée par des musulmans ne vienne justifier notre phobie de l’islam. A l’instant même, nous lisons qu’Al-Qaïda projette des attentats sur des trains à grande vitesse dans toute l’Europe, et cela annule toutes les tentatives des médias pour minimiser la guerre que livre l’islam contre l’occident.
L’islam fait peur et nourrit angoisses et rejets. Il n’est pas une religion, mais une machine de guerre faisant de ses fidèles des bombes humaines. Tout se passe comme si la violence est le premier pilier de l’islam.
Au lieu d’apaiser et de pacifier le caractère des fidèles, il libère leurs pulsions meurtrières, lui donnant une légitimité religieuse, leur paradis étant « à l’ombre de l’épée ».
L’islam offre cette particularité d’absoudre ses fidèles de tous leurs crimes motivés par leur « activisme religieux ». Heureux sont ceux qui tuent et se tuent pour Allah qui saura les rétribuer en les gratifiant de 72 houris.
Il est difficile d’imaginer, dans un contexte où le meurtre est une obligation essentielle pour chaque croyant, que leur but ultime est de voir l’islam se muer en religion pacifiste et humaine.
Les islamistes veulent tous mourir en martyrs, insulte à la martyrologie chrétienne, et n’ont dans la bouche que les appels au meurtre et cette satanée évocation d’Allah Akbar, cauchemar de l’humanité, à chaque fois qu’ils se livrent à la barbarie.
Le monde ne restera pas indéfiniment passif face à cette folie meurtrière. On a vu des vidéos de cannibales, des assassins qui vont jusqu’à filmer des meurtres d’enfants pour ensuite les diffuser sur la toile, afin de prendre le monde à témoin de leur barbarie. A force de jouer avec la mort, c’est elle qui va finir par les prendre.
Assez de cette religion raciste, xénophobe, sanguinaire, impérialiste, envahissante, liberticide, étouffante, qui rend l’air irrespirable et met en péril notre devenir d’humains.
Soit l’islam renonce à la violence et à ses sombres desseins hégémoniques, se comporte comme une religion comme les autres, et prend l’engagement d’arrêter ses entreprises destructrices, soit il est du devoir impérieux de la communauté des nations de mettre fin à ses agissements criminels, comme jadis avec les nazis.
Il y a nécessité absolue.
On doit faire cesser les constructions des mosquées en dehors du monde musulman. Exiger de l’OCI, l’Organisation de la Coopération Islamique, qu’elle fasse obligation à ses Etats membres de respecter la liberté de culte, de ratifier la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen, de respecter l’égalité des droits entre tous les hommes, indépendamment de leur sexe et de leur religion, de dépénaliser le blasphème et l’apostasie, d’appliquer les conventions internationales protectrices de la dignité humaine et du droit de l’enfance, au lieu de se plier à leurs exigences.
Il n’y a pas pire scandale que de voir les musulmans se prévaloir des lois antiracistes en Occident, et refuser de les appliquer chez eux aux non-musulmans, à leurs femmes et aux homosexuels, ou d’interdire les constructions d’églises et de synagogues en terre d’islam, et d’imposer leurs mosquées en Europe.

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La « communauté internationale » a fait bloc contre l’Apartheid et l’a mis en quarantaine alors qu’il n’était ni expansionniste, ni prosélyte, ni synonyme du grand effroi, et elle fait preuve d’une lâcheté et d’une mansuétude à l’égard de l’islam qui n’est pas sans rappeler la capitulation de l’Europe face au péril nazi, avant l’aide de l’Amérique.
Il est absolument inadmissible que l’islam puisse jouir d’autant d’impunité et de laxisme de la part du monde non-musulman, et des musulmans qui aspirent à vivre en harmonie avec le reste du monde.
L’islam n’a pas compris qu’il n’a aucun droit d’imposer au monde sa vision de la gouvernance de la vie des hommes, et ce n’est certainement pas la lâcheté européenne qui va le lui expliquer.
Des empires entiers autrement plus puissants ont disparu de la surface de la terre. Son tour viendra.
Son refus de reconnaître le droit à la différence, la liberté de conscience, ne feront jamais de l’islam une religion de paix et de tolérance comme le proclament ses adeptes, mais une idéologie politique fasciste et meurtrière.

Autant marier la démocratie avec le fascisme plutôt que la rendre compatible avec l’islam

La démocratie n'est pas musulmane et ne le sera jamais
 La démocratie n’est pas musulmane et ne le sera jamais
 Publié dans Tunisie news le 24 – 02 – 2013

L’islam et la démocratie sont deux entités antinomiques. L’une veut créer les conditions pour imposer la souveraineté d’Allah sur la vie de la cité dont il est le seul maître et souverain.
L’autre cherche à donner à l’homme les moyens de son émancipation politique afin qu’il soit partie prenante dans la définition de son projet de vie politique. Deux conceptions de régimes politiques contradictoires et opposés. D’une part seul dieu est souverain, il ne peut y avoir une autre voix en dehors la sienne et d’autre part le pouvoir revient au peuple et à son seul profit et dont les modalités de l’exercice sont définies par ses assemblées, mandatées par lui. Seul le peuple est souverain. Un sacrilège aux yeux de l’islam, une hérésie qu’il faut combattre et dont il faut immuniser les musulmans.

Lui qui se veut le seul et unique berger, ne pas enlever les barrières de son enclos à un autre berger susceptible de faire égarer son troupeau dans des enclos moins hostiles et à l’herbe grasse et favorables à leur émancipation. L’islam a peur de la contagion démocratique qui peut gagner ses fidèles qu’il assimile à une apostasie. Sa hantise de la démocratie est telle qu’il n’hésite pas à stigmatiser les insolents, tous ceux qui contestent son pouvoir, à les désigner à la vindicte populaire pour les châtier, comme ce fut le cas du leader politique de la Gauche Laïque et Républicaine Chokri Belaïdassassiné parce qu’il rêvait d’un destin démocratique pour la Tunisie.

La cité idéale musulmane est par essence dépouillée de toutes les influences extérieures considérées comme contraires aux dogmes de l’islam. Il a su habilement se servir de la générosité naïve de la démocratie pour rétablir son pouvoir politique par le biais des révolutions, plutôt dévolution, du printemps arabe, comme si ces pays avaient des saisons, eux qui n’avaient connu que sécheresse et aridité.

Suivant l’exemple de son clone nazi, il se met à miner le terrain pour empêcher l’éclosion de la fleur démocratique dont pourraient s’enivrer les musulmans. Pour conserver son pouvoir, il ne recule devant rien. Faucher, brûler, menacer, violenter, clouer au pilori, réprimer, tuer, jeter l’anathème, terroriser, violenter, la fin justifie les moyens, car il y va de sa propre pérennité,. Il est de règle que la théocratie ne peut prospérer que sur l’obscurantisme et les limitations des espaces de libertés, et la et la démocratie prospère sur le recul des pratiques de la religion. Aliéner, castrer, endoctriner et bâillonner, seul moyen pour abrutir les hommes, afin de les rendre plus dociles et prévenir toute réaction de résilience qualifiée de Fitna. Un pêché mortel au regard des dogmes. La démocratie n’a pas besoin d’artifices culpabilisant et inhibant, ni de paver la chemin des libertés de leurres,de farces et attrapes, elle est l’expression libre de la volonté des hommes de donner un sens commun à leur vie en collectivité. Alors que l’islam se veut le sens, l’essence, la substance, le code et le but ultime de leur vie. Avec des contraintes drastiques et inhibitrices. Pour exister, l’islam recourt aux méthodes de manipulation mentale pour pouvoir maintenir les hommes dans sa sphère de dépendance. comme toute idéologie totalitaire, il ne laisse aucune liberté de choix aux hommes, tout est mis en oeuve pour les figer dans le marbre du conservatisme.

Sa grande hantise est de perdre son pouvoir de contrôle absolu que seule la semence démocratique peut l’affaiblir; L’homme musulman est créé par Dieu pour le servir, lui servir de chair à canon dans le djihad et non de réfléchir par lui-même sur le vrai sens de son existence. N’est musulman que celui qui se soumet sans discernement aux dogmes de sa foi et dont il fait son motus vivendi. S’en écarter est assimilé à un sacrilège qui expose le déviant aux pires châtiments. Plus proche du bolchevisme et du nazisme que du bouddhisme ou du christianisme, il se veut le seul maître et architecte de l’environnement politique dans lequel doivent évoluer ses adeptes, réglant avec la minutie de l’horloger leur façon d’être, de concevoir, de penser et de vivre jusqu’à leur façon de s’habiller.

Les musulmans n’ont pas de prise sur leur propre vie, ni de pouvoir d’agir et de choisir par eux-mêmes. Ils sont des pions sur le grand échiquier élaboré par dieu et dont la finalité est d’instaurer un nouvel mondial dont les musulmans seront le maître. Dans le cas d’espèce, il est utopique de chercher à implanter une quelconque semence dans un sol où seule la semence musulmane théocratique est censée pousser. C’est un peu comme si l’on avait cherché à greffer l’humanisme sur le nazisme en son temps, ce qui aurait eu pour conséquence de lui donner un visage humain. Or, le nazisme, ne pouvait prospérer que dans la haine, le racisme et l’intolérance, sinon il n’ n’aurait pas perdu son sens et sa substance, ce qui est aussi le cas de l’Islam. Ce n’est pas l’enfant terrible de l’Islam qu’est l’islamisme que les nombreux laudateurs de l’islam veulent en faire le bourreau de l’Islam lui-même, ce fils parricide qui dévoie et dénature l’Islam. Alors que l’islamisme n’est rien d’autre que le bras armé de l’islam dans sa phase de conquête et de reconquête du monde. En effet, le problème est moins par conséquent l’islamisme qui est plus un moyen de blanchir l’Islam, de le déculpabiliser, de le dédouaner et de l’exonérer de toutes ces dérives terroristes, barbares et ultra réactionnaires.

Contrairement aux idées reçues, il n’est pas le ver venimeux dans le fruit musulman, ni sa nécrose, il en est l’organe vital, son cerveau et sa force de frappe. L’islamisme n’est pas l’Islam politique, c’est l’Islam où toutes les composantes qui fondent la vie des hommes doivent se confondre et en interactions entre elles. Il est son esprit et son corps. Tout simplement, c’est l’islam tel qu’il doit être et non pas l’Islam mystifié et légendé par les mystificateurs de l’Islam qui vont jusqu’à pousser la fantaisie en assimilant l’Islam à la paix et à la tolérance. Dans un sens ils n’ont pas tort, puisque pour préserver son intégrité physique et être accepté par ses semblables il faut être musulman. Seul un musulman soumis aux lois dictatoriales de l’Islam et qui satisfait à la volonté de dieu peu prétendre à cela. Un peu comme un commerçant napolitain qui doit s’acquitter d’un tribut, une capitation, la  jizya, pour avoir acheté sa tranquillité.

L’Islam c’est se soumettre ou se démettre. Il ne laisse guère le choix aux hommes, ni d’alternative à repenser ou considérer le choix contraint et forcé, soit une allégeance ad vitam aeternam soit la mort. Aucune rupture de lien n’est possible, c’est un univers carcéral dont on ne sort jamais vivant. On naît musulman, on vit dans l’Islam et on meurt musulman.

Un musulman ne peut et ne doit envisager sa vie en dehors des prescrits de sa foi et des règles de vie de sa communauté, qui est sa matrice et son censeur. C’est pourquoi, il lui est impossible d’emprunter une autre voie non fixée par la feuille de route censée être la meilleure pour lui afin d’atteindre le Graal paradisiaque. Il est évident que pour lui, suivre une autre voie qui ne soit pas d’essence musulmane consiste à commettre un sacrilège, un péché mortel. Ce que ne manquent pas d’ailleurs de lui rappeler les doctes de sa foi dans leurs oukases, les fatwas. Un musulman n’est pas en droit d’avoir des choix politiques ni d’exercer la liberté de conscience et d’expression, comme s’il était un majeur incapable, il doit accomplir ce que dieu lui a dicté. N’étant pas doté de volonté propre, il n’a pas à être acteur de sa vie personnelle et politique. Ce que dieu a ordonné et ordonnancé, l’homme n’a pas à intervertir ou s’y interférer. Qui mieux que la démocratie pour permettre d’ôter le carcan du poids étouffant de la religion sur la vie des hommes, et constituer un antidote à leurs maux, mais c’est sans compter sur les gardiens des dogmes de la foi pour lui opposer hostilité et rejet au nom de la pureté des sources de l’Islam et le bouclier canonique des valeurs du sacré. A leurs yeux, la démocratie, concept par essence profane, présente un danger certain pour la pérennité même de l’Islam, la favoriser revient à sonner le glas de l’Islam.

L’ennemie à abattre car il risque de faire non seulement de l’ombre au pouvoir despotique de l’Islam mais surtout de provoquer cette onde de choc libératrice des musulmans, les éloignant ainsi du totalitarisme de l’Islam. Dans ce contexte, l’islamisme devient la ligne Maginot que les musulmans ne doivent pas franchir. Leur cordon ombilical qui les relie à leur plasma originel. L’islam n’est pas qu’un simple système de croyance et de pratiques cultuelles personnelles et communautaires, il est leur cadre de dans la cité et leur mode de gouvernement absolu où il n’y a pas de pouvoir autre que celui de dieu sur les hommes. Il est de à la fois religion, Etat et monde. Prohibant tout principe séparation entre le sacré et le profane et le séculier et séculaire, le politique du religieux. Ce mélange des genres qui s’articule autour de l’omniscience et l’omniprésence de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à l’éligibilité de la Démocratie dans les pays musulmans. Dans les sociétés islamisées, seules les lois d essence divine ont cours toute autre loi n ayant pas ce caractère sacré est considérée comme une apostasie.

L’Islam ne conçoit pas que l homme responsable puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est la seule et de répandre la parole d Allah sur terre et instaurer le modèle de l Etat islamique tel qu’il est défini par le Coran dont les lois sont immuables et intemporelles. Seul Allah a le pouvoir de légifère en opposition totale et absolue avec notre droit positif. Or, la Démocratie est par définition une doctrine politique, d’essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens (notion inconnue dans le Coran) au sein d une organisation qui a souvent la forme d’une République ( en opposition à la notion de l’Oumma). Dans un régime démocratique, les hommes sont libres et égaux en matière de leur choix de vie, leur choix politique(droit de vote), leur choix de liberté de conscience (interdite dans l islam).

Un Etat démocratique repose aussi sur le principe inaliénable d égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe ( le coran ne reconnaît pas l égalité homme femme) de leurs origines ( non fondées sur la foi contrairement à l islam). La démocratie protège les citoyens sur des critères autres que ceux définis par le Coran ou la Charia qui autorisent de discriminer les incroyants et leur réserver les pires châtiments. un Athée n a pas le droit à la vie en terre d Islam. Soit la conversion soit la mort, l’exil ou la jizya, une sorte de racket religieux juste pour jouir du statut peu enviable et à forte connotation raciste de dhimmi, une sorte d’intouchable dans le système de castes musulmanes. Dotant les musulmans des vertus de la pureté et des noms musulmans de l’infamie de l’impureté. Différencier les hommes, les catégoriser pour les exclure et les ostraciser voire pire encore, n’est pas sans rappeler le Reich nazi et laisse subsister de sérieux doutes sur la nature même de l’Islam en tant que religion stricto sensu.

L’Islam ne condamne pas non plus les inégalités sociales. Dieu aurait créé les riches et les pauvres, à et nul n’est en droit d’en contester le fondement, les musulmans doivent s’y résigner. De même que l’égalité entre les hommes ne s’applique qu’aux seuls fidèles. Fonder l’égalité sur le seul critère de piété c’est comme si Hitler basait l’égalité entre les hommes sur le seul critère du sang. En conclusion, une organisation politique quelle que soit son essence, humaine pour la démocratie et divine ou prétendue telle comme dans l’Oumma musulmane qui ne reconnaît pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle que sa liberté de culte et conscience inscrite en lettre d’or dans la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 (jamais adoptée par les Etats Islamiques jugée contraire à leur foi) , est indéniablement liberticide, totalitaire et théocratique. Ainsi l’illusion démocratique sera pour les Musulmans un pur fantasme qui peuplera les rêves des femmes et des hommes qui aspirent à un monde meilleur mais qui ont la malchance de vivre sous le joug du despotisme musulman

Tunisie : Kamel Jendoubi : CV tronqué, scrutin truqué !

Par : Salem Ben Ammar
Publié le : 13/11/12

Cet homme dont personne ne doute du militantisme parisien, a-t-il servi de pion sur l’échiquier de la mise en place de la politique de vassalisation programmée de la Tunisie en vue de la création du 6ème Califat sous l’égide de l’Oncle Sam ?

Explosif / Elections tunisiennes : Ennahda, Ettakatol et le CPR doivent leur triomphe électoral à Kamel Jendoubi, l’usurpateur de l’ISIE (Instance supérieure indépendante pour les élections). Inconnu des Tunisiens, l’homme dont la nomination à la tête de l’ISIE reste aussi mystérieuse que la naissance de cette structure, est arrivé avec un CV qui a bluffé tout le monde…sauf celui qui l’a très bien connu à Paris : Salem Ben Ammar.

L’affaire du CV de Kamel Jendoubi, repris par Wikipédia, n’est pas la banale affaire d’un  chômeur obligé de maquiller son CV et de travestir son parcours professionnel ainsi que sa formation initiale pour arracher un emploi. C’est une affaire qui soulève des questions de probité, d’éthique, de népotisme, de transparence, de régularité, de favoritisme, d’arbitraire, de manipulation, de clientélisme, et de tous ces maux dont souffre cruellement la Tunisie depuis la « révolution du jasmin ». Quand un individu, qui n’est pas en situation d’urgence impérieuse aurait maquillé son CV, il y a effectivement matière à s’interroger sur sa vertu morale, son intégrité et sur ses capacités personnelles à remplir une mission qui ne tolère aucune légèreté ni écart de conduite.

Quant à cette affaire, qui n’en est pas une en l’état actuel des choses et qui le deviendrait en l’absence de preuves matérielles récusant les accusations de maquillage de CV, elle s’inscrit dans la droite ligne d’autres affaires similaires telle celle de Mr le Traîne-Savate Sinistre des Affaires Etrangères, gendre de Rached Ghannouchi et expert en faux diplômes, et celle du Premier Sinistre Hammadi Jébali et son faux diplôme d’ingénieur. Ces affaires en disent long sur l’état de déliquescence morale de la Tunisie. Comme si le mensonge était érigé en règle de vie en société et en mode de gouvernement. Mentir sur son CV n’est pas un acte innocent et vertueux en soi, loin s’en faut. Il est surtout symptomatique de l’état d’esprit de son auteur et il laisse subsister des doutes sur ses scrupules et son honnêteté. Le mal est moins dans la réaction hostile du public que dans les informations fallacieuses qui lui sont fournies.

 

Une affaire qui reflète le délabrement de la Tunisie

S’interroger sur l’authenticité du CV de tel ou tel personnage public n’est ni le calomnier ni jeter l’opprobre sur lui. En revanche, il se discrédite lui-même en usant de méthodes dolosives et trompeuses qui l’exposent à une rupture du contrat moral avec l’opinion publique si les soupçons de mensonges qui entachent son CV s’avèrent fondés. La Tunisie est exsangue et agonise, et souffre plus que jamais de l’aggravation de ses plaies. Et dire que l’ancien despote Ben Ali a chuté pour moins que ça ! On dit que les Tunisiens s’étaient indignés comme un seul homme pour dégager leur ancien despote à cause des excès immoraux de son entourage, alors que le pays occupait en 2010 le 37ème rang mondial à l’indice du bien-être tandis qu’aujourd’hui, il est passé au 96ème rang mondial. Une chute vertigineuse, caractéristique de l’état de délabrement du pays et du grand désordre moral qui y règne.

 

C’est pourquoi, cette affaire de CV n’est pas anodine, elle est le reflet, le baromètre du climat délétère général qui empoisonne le quotidien des Tunisiens. Ce Monsieur Jendoubi, inconnu sur la scène politique tunisienne et que ses laudateurs les plus zélés dotent de tous les attributs militantistes, à moins qu’il ne s’agisse de cette campagne scélérate contre la souveraineté économique du peuple tunisien et l’occupation médiatique des locaux de l’Office tunisien de Tourisme à Paris au début des années 90, adoubé par la bénédiction de la Troïka de la félonie. L’incroyable et affligeante présidence de l’I.S.I.E. s’avère in fine être l’archétype même des ascensions fulgurantes, obscures et mystérieuses, qui font l’originalité des « involutions » arabes téléguidées par les Yankees et leurs marionnettes wahhabites d’Arabie Saoudite et du Qatar.

 

 Jendoubi, Cheval de Troie de la Troïka

Comment cet homme qui ne semble pas a priori, et jusqu’à preuve du contraire, avoir la formation universitaire ni les compétences professionnelles requises, ni magistrat, ni juriste, pour une mission aussi politique que technique, a-t-il pu être parachuté à une telle fonction, alors que la Tunisie ne manquait pas de femmes et d’hommes ayant le profil universitaire approprié, la probité morale requise et la propreté politique exigée ? Se poser la question n’est pas minimiser ses qualités qui sont de surcroît invérifiables. Pourquoi lui, qui ne semble pas avoir le profil idéal ni l’expertise en droit électoral ou constitutionnel, plutôt qu’un autre ? Quels sont les buts inavoués de cette instance (ISIE) que j’ai qualifiée dans mes précédents articles de bras électoral d’Ennahdha ou de fossoyeuse de la démocratie tunisienne ? Cet homme dont personne ne doute du militantisme parisien, a-t-il servi de pion sur l’échiquier de la mise en place de la politique de vassalisation programmée de la Tunisie en vue de la création du 6ème Califat sous l’égide de l’Oncle Sam ? Un simple faire-valoir instrumentalisé contre son plein gré ?

Des questions qui se perdront sans aucun doute dans les méandres de la pensée absconse et irradiée qui gangrène le pays de Bourguiba. Personne ne doute non plus des intentions bienveillantes pour son pays, ce qui ne l’exonère pas de sa responsabilité morale quant aux informations des plus douteuses contenues dans son CV. Ce qui ne manque de lever le voile, d’une certaine manière, sur le scrutin électoral controversé et sur ses pores atermoiements et son laxisme tant en amont qu’en aval dudit scrutin dont il serait fastidieux de relever toutes les irrégularités :

Absence de contrôle de l’origine des fonds de financement des partis, confusion coupable entre carte d’électeur et carte nationale d’identité en violation du principe « ce qui vous identifie ne vous qualifie pas » (cf; voir mon article sur le sujet), manquement grave à son devoir de police à l’égard d’Ennahdha et de ses dirigeants qui menaçaient de plonger la Tunisie dans un bain de sang s’ils n’atteignaient pas la barre des 20%, l’absence d’assesseurs assermentés dans les bureaux de vote qui étaient à forte coloration nahdhaouiste, résultats surannés et farfelus dans les dépouillements des bulletins de vote, où il y a eu plus de votants que d’inscrits, son propre aveu quant à l’insincérité desdits résultats, les retards injustifiés et rocambolesques dans la communication de ces mêmes résultats, la corruption et achats de voix dont Ennahda s’est rendue coupable, et bien d’autres anomalies et dysfonctionnements qui auraient dû motiver l’annulation pure et simple de ces premières élections « libres », « transparentes » et « démocratiques », qui consacrent un nouveau Traité du Bardo !

 

Qui vole un œuf vole un bœuf !

Certainement dépassé par les évènements sur lesquels il n’avait aucune emprise, il n’en reste pas moins que le doute persiste sur son réel degré d’indépendance vis-à-vis des vrais bénéficiaires de la tragédie tunisienne. Toujours le même doute qui prédomine comme celui qui pèse sur son CV et sur la régularité du scrutin et la gestion financière de son organisation. Tant qu’il n’a pas fourni les originaux des diplômes dont il se prévaut, les soupçons de trucage des élections sont plus que jamais fondés. Et un tricheur restera un tricheur. Il est évident que je ne lie pas diplômes et compétences, savoir et savoir-faire.

En revanche, je ne peux dissocier savoir-être et vertus morales. Un comptable à la probité douteuse ne peut exercer un métier de comptable. Un voleur ne peut faire le gendarme, un pédophile ne peut pas être éducateur d’enfants … Si ce Mr qui a présidé l’I.S.I.E. se prévaut des titres universitaires dont il ne serait pas titulaire, cela ne peut que jeter le discrédit sur ce funeste scrutin et confirmer les accusations d’irrégularités portées à son encontre. Il n’y a aucun caractère calomnieux dans mes propos, surtout que cette affaire relève du domaine public et non pas de la vie privée. Il s’agit juste de poser ce postulat analogique : lorsqu’on enjolive son CV, on ne peut qu’enjoliver les élections. Avec la différence que dans le premier cas, les conséquences sont d’ordre privé et minimes, alors que dans le second cas, elles sont d’ordre public et engagent l’avenir de tout un peuple.

Et si la Tunisie est tombée dans un gouffre abyssal c’est justement à cause de l’absence de rigueur morale et d’éthique dans le sens républicain des termes. Enfin, comme par hasard, cet homme aurait attribué en toute « neutralité » les marchés de publicité à un membre de son entourage et celui de l’imprimerie à son propre frère. Cela s’appelle comment au juste ? Trabelsisme ou Matérisme ? C’est pourquoi cette affaire de CV est avant tout une affaire de morale politique…en attendant qu’elle devienne une « banale » affaire de droit commun !

Salem Ben Ammar

Tunisie : A quoi joue Béji Caïd Essebsi ?

Un simple examen chiffré du nouveau parlement tunisien balaie les hypothèses dont se prévaut certains pour justifier la présence d’Ennahdha au sein du gouvernement d’Essid qui laissent entendre que c’est le meilleur moyen de neutraliser l’hostilité d’Ennahdha et de s’assurer de son vote de confiance.
Arithmétiquement les voix cumulées d’Ennahdha et de celles de ses probables alliés sont loin d’atteindre la barre fatidique de 109 voix pour retoquer le gouvernement d’Essid. Avec un potentiel de 88 voix on est loin de la majorité absolue qui se répartissent comme suit : 69 sièges pour Ennahdha ; 15 pour le Front Populaire et 4 pour le CPR.
Un nombre de voix insuffisant pour bouleverser la donne politique en Tunisie en comparaison avec le potentiel de voix dont dispose Nida Tounes qui a à lui tout seul 86 sièges outre les 16 voix de l’U.P.L., 8 voix d’Afek Tounes et 3 voix d’Al Moubadira, ce qui lui assure au moins 115 voix pour ne pas tomber sous les fourches Caudines de l’opposition.
Par conséquent la logique arithmétique ne peut pas être un argument recevable et opposable aux électeurs de Nida pour leur faire avaler cette grosse couleuvre sous prétexte que le parti qau pouvoir n’a pas les marges de manoeuvre nécessaire pour se passer d’un éventuel contrat de gouvernement avec Ennahdha en contrepartie de son vote de confiance.
Nida Tounes a probablement plus à perdre qu’à gagner à cause des risques inévitable d’hémorragie qu’il a provoquée lui-même en associant Ennahdha au gouvernement qui est un déni de démocratie, un camouflet aux électeurs qui l’ont investi de leur confiance et une offense à la mémoire de Chokri, Mohamed, Lotfi, Socrate, Mekki et tous ces morts frappés par une épidémie d’arrêts cardiaques.
L’associer c’est aussi la blanchir de sa mise en cause dans les dizaines d’ assassinats des forces de l’ordre et des militaires tunisiens et les affaires de terrorisme qui ont secoué le pays depuis 2011 dont celle de Djebel Chaâmbi toujours en cours.
Faire remettre les pieds à l’étrier à ce mouvement c’est enfin lui accorder un quitus, l’absoudre de ses responsabilités dans l’envoi des dizaines de milliers de jeunes en Syrie et en Libye, de sa complicité dans la tentative de complot contre l’Algérie, de tous ses échecs politiques,financiers, économiques, sociaux, sécuritaires et de ses actes antipatriotiques.
En faisant d’elle un partenaire politique incontournable Nida Tounes cautionne ouvertement la conduite calamiteuse des affaires du pays par Ennahdha, son pillage en règle des caisses de l’Etat, l’auto-indemnisation irresponsable et préjudiciable pour les finances publiques de ses membres coupables pourtant de crimes terroristes.
B.C.E. qui non content d’avoir joué au V.R.P. d’Ennahdha en 2011 et d’avoir fait preuve d’une négligence coupable pour lui avoir confié les clés de la Maison de Tunisie comme il l’avait reconnu lui-même persiste et signe dans la voie de sa politique troublante de main tendue aux félons islamistes. Il est à se demander s’il n’est pas leur otage et a peur qu’un scandale ne vienne l’éclabousser. Toutes les hypothèses sont permises et en attendant ce sont les électeurs tunisiens qui sont les dindons de cette farce de très mauvais goût.
Cette obsession de réhabilitation d’Ennahdha doit être nécessairement clarifiée. Ce calcul politique est suicidaire non seulement pour Nida Tounes mais surtout pour la Tunisie. Après avoir laissé entrer le loup dans la bergerie en 2011 où il a pu aiguiser ses crocs sur l’agneau tunisien B.C.E. se plaît aujourd’hui au grand dam de ses électeurs à lui offrir leur peau.
A quoi réellement joue-t-il ?  A-il cédé à des pressions internes et internationales ? Si tel est le cas il n’a pas l’envergure d’un vrai capitaine. Son attitude ambiguë, son silence troublant,  son manque de courage politique, son inconscience, son insouciance et son obstination  à faire porter l’uniforme un pyromane de la pire espèce laissent subsister de sérieux doutes quant à ses capacités de sortir le pays de l’impasse et à sauver la Tunisie du naufrage.  Rien que le casting de son gouvernement et le choix de son lieutenant sont de très mauvais augure. Après le cauchemar de la Troïka c’est le vaudeville de Nida Tounes et d’un homme qui a trahi la confiance de ses électeurs.

L’islam radical est un danger mortel pour la France

Lunel, Trappes, Guyancourt, Montigny les Bretonneux, la Seine-Saint-Denis, Vénissieux, Mantes la Jolie, Roubaix, Toulouse, certains arrondissements parisiens, Créteil, et des centaines d’autres quartiers sensibles au nombre de 750 pour les zones urbaines sensibles (Z.U.S.) avec un taux de chômage supérieur de 2,5 à la moyenne nationale et une surreprésentation dans la délinquance et la criminalité. Une véritable aubaine et un vivier inépuisable pour les recruteurs des soldats d’Allah qui prospectent autour de 3 axes :les réseaux sociaux, les mosquées et les prisons. Sachant qu’ils sont sous haute surveillance et qu’ils courent de sérieux risques pour incitation au terrorisme et création et organisation de filières criminelles en liaison avec une entreprise terroriste, les recruteurs semblent aujourd’hui agir au grand jour en laissant tomber le masque des comploteurs de l’ombre en faisant du marketing religieux direct. Ainsi, sous couvert de prosélytisme religieux qui doit être pourtant interdit pour risques de troubles à l’ordre public ils n’hésitent plus à envahir les rues française elles-mêmes comme c’est le cas à la Place d’Italie où ils distribuent aux passants le Coran, cet ignominieux livre apologiste du racisme,de l’antisémitisme, de la haine de l’autre et du djihad par la terreur et l’effroi, Les recruteurs d’Allah ont compris tout l’intérêt qu’ils ont à sortir eux aussi de l’ombre et que pour faire tomber la citadelle républicaine, il n’y a pas mieux que le cheval de Troie qui a causé la chute de Byzance.
La propagande djihadiste a plus qu’un tour dans son sac et son public-cible devient le grand-public lui-même.

Il  est difficile dans un tel contexte de donner une estimation exacte du nombre des jeunes musulmans issus de l’immigration et convertis qui cumulent généralement les handicaps sociaux, scolaires, intellectuels, psychologiques, familiaux,professionnels, sans formation, tentés par l’aventure du djihad en Syrie, en Irak et en Libye, voire au Mal et au nord du Nigéria pour venir en aide à leurs « frères » de Boko Haram
Selon toute vraisemblance des dizaines de milliers, peut-être des centaines de milliers sur plus plus de deux millions de jeunes (18-30 ans) nés de parents maghrébins qui caressent le rêve de gagner leurs galons de soldats d’Allah, de passer ainsi de l’ombre des barres des cités et des halls des immeubles pestiférés à la lumière censée éblouir tout musulman qui s’engage dans le sentier d’Allah.
La tentation du djihad est beaucoup plus forte que ne ne l’imaginent les pouvoirs publics qui font tout pour le minorer et le marginaliser afin de ne pas effrayer l’opinion publique française. Ce n’est pas un épiphénomène, c’est un fléau mortel pour la république elle-même. Combien de jeunes ravalant leur rancoeur contre la France cette terre mécréante qui s’est montrée selon eux injuste et ingrate avec leurs parents et qui sont prêts demain à la détruire, l’humilier et lui faire expier ses fautes ? Tous ces jeunes issus de l’immigration se veulent majoritairement musulmans d’abord et maghrébins ensuite. Leur identité française ne dépasse la surface de leur carte nationale d’identité. Que peut-elle attendre et espérer de la part des jeunes qui lui vouent une haine féroce sur la braise de laquelle soufflent les marchands du Grand Effroi coranique ?
La Syrie qui est la destination terroriste la plus prisée chez les jeunes musulmans de France comme du Maghreb n’est en réalité qu’un simple camp d’entraînement pour se former et s’aguerrir au djihad urbain qu’ils entendent livrer un jour à la France.
La France n’a pas les moyens de surveiller cette armée de jeunes djihadistes en devenir et dont les modèles ne sont pas Ghandi, Mandela, l’Abbé Pierre et nourris de la philosophie des lumières. Leurs figures héroïques sont Kouachi, Merah,  Kalkal, Coulibaly,  Beghal, Nemmouche et leur seule lecture est le Coran, le livre de la mort de la vie humaine;