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Après avoir inventé l’islam modéré, les dirigeants occidentaux créent l’islamisme modéré

Pourquoi il est temps de regarder la vérité en face : s’il existe des musulmans modérés, il n’existe pas d’islam(isme) modéré

La modération chez les islamistes est ce que fut l’humanisme chez les nazis: un crime contre la conscience universelle.
28 novembre 2011, 19:26

Salem Benammar

Des gouvernements et des médias des pays des rivages septentrionaux de Mare Nostrum ainsi que la Maison Blanche continuent de faire preuve d’un angélisme béat et d’une mansuétude surprenante à l’égard des extrémistes de confession musulmane appelés communément les islamistes. Ceux qui prônent un islam fondamentaliste et rigoriste dont ils veulent faire un mode d’organisation totalitaire de la vie des hommes et de la cité . Fasciste et théocratique.

En effet, malgré les expériences tragiques de Munich 38, d’Iran 79 , les attentats du 11 septembre 2011 et ceux perpétrés sur leurs propres  territoires à un rythme récurrent et soutenu, les dirigeants occidentaux sont réellement atteints de cécité  mentale et continuent à occulter  le danger de l’islamisme polymorphe et anthrompomorphe.  Ils s’en font ses courtisans, et  le laissent semer ses graines toxiques dans leurs cités. Des quartiers entiers des  villes comme Londres, Bruxelles et les banlieues françaises,  sont devenus des enclaves islamiques voire des zones de non-droit soumises à la charia.  transformant ses rues en véritables lieux de culte et les attaques répétées contre les symboles de la démocratie, persistent à draper les extrémistes musulmans dans les habits vertueux de la modération et l’ apaisement.

Comme si les extrémistes pouvaient avoir le sens de la modération. Eux qui ont fait de l’exaltation et de l’immodération la colonne vertébrale de leur corps politique. S’ils sont sur la ligne médiane c’ est qu’ils ne sont pas à l’extrême.

Pourquoi fait-on preuve de retenue à leur égard alors que les extrémistes n’ ont aucun sens de la réserve et du juste mesure ? Eux qui pour imposer leurs idées ne manquent jamais l’occasion de recourir aux solutions radicales et ultra-violentes et qu’ils ne s’embarrassent pas de scrupules pour donner la pleine mesure à leurs revendications idéologiques au mépris de la sécurité des biens et des personnes.

Est-on devenu sourd et aveugle à ce point pour faire croire que l’islamisme ne doit pas nourrir les peurs et les inquiétudes et qu’ il est devenu aussi honorable que n’importe quel autre système de pensée politique républicain ? Alors qu’ il est aux antipodes des valeurs de la république et de la démocratie.

Au lieu de le combattre politiquement et juridiquement, on préfère l ‘enjoliver et l’ encenser pour lui donner un visage apaisant et le rendre plus fréquentable. L’ islamisme se trouve ainsi malgré lui paré de toutes les vertus en gratifié d attribut synonyme de modération. Connaissent-ils pas le sens de ce mot et surtout le contenu idéologique des thèses propagées par les islamistes ?

Savent-ils que l’ islamisme est une idéologie impériale, coloniale, hégémonique, liberticide, négationniste, ultra-violente, ultra-réactionnaire, mortifère, pédophile, ultra-machiste, sexiste, prédatrice, ségrégationniste ? Une idéologie régressive, désuète, qui prône la pédophilie et la polygamie, nécrophile, fondamentalement raciste, xénophobe, esclavagiste, inégalitaire, belliciste. Qu’ est-ce qu’ ils en savent de la nébuleuse islamiste, de ses desseins politiques et de son action propagandiste ? Apparemment rien ou tout au moins ce que leurs caniches islamiques leur ont raconté !

Un simple rapprochement entre l’ idéologie nazie et l idéologie islamiste les auraient certainement éclairés sur la vraie nature de l’ utopie islamiste et le danger qu ils présentent pour l’ humanité ? Ils sont les vers venimeux dans le fruit humain et constituent une réelle menace pour la paix et la sécurité dans le monde. L’ occident du Triumvirat Sarkozy, Obama et Cameron les entourent de toute son attention en leur jetant des oeillades amourachées.

Se transformant au besoin en VRP de luxe afin de faire leur promotion comme on a pu le voir sur la scène libyenne. La modération semble plus se situer au niveau du regard et de la perception que l opinion publique semble avoir d’eux que du changement de comportement ou de renonciation à leur idéologie par les islamistes. Un islamiste est comme un nazi sans son idéologie extrémiste, il perd son âme d’ islamiste. En conclusion, il n’ y a d islamisme modéré comme il n’ y a pas de nazisme modéré.

Tout est question d’illusion d’otique et un mirage pour nourrir les fantasmes de certains sur la modération des utopistes islamistes qui se considèrent toujours dans la voie du jihad et en croisade continue contre Dar al Harb, les pays non-islamisés.

L’attentat terroriste contre le TGV Thalys, un nouvel acte de guerre de l’islam à l’Occident

Arras : coups de feu dans un Thalys, deux blessés graves

On a évité le pire hier à Arras dans le TGV Thalys Amsterdam-Paris grâce au courage de 3  Américains deux marines et un civil auxquels nous devons rendre un vibrant hommage, mais le pire est à venir tant que l’islam n’est pas banni de la surface de la terre. On a bien aboli le nazisme, on doit pouvoir en faire autant avec cette idéologie criminelle et génocidaire.
L’islam doit être jugé comme son clone nazi pour crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité devant un tribunal international sur le modèle de celui de Nuremberg.

On ne lutte pas contre le feu en criant au feu et encore moins en léchant les babouches des incendiaires qui enfument l’opinion publique avec leur litanie funeste de l’islam de paix et d’amour. Il faut cesser de leur donner la parole comme si la victime était l’islam et les vraies victimes sont coupables d’avoir eu l’outrecuidance de se mettre sur le chemin de ces malheureux musulmans victimes du système occidental très injuste et discriminatoire à leurs égards. Une rengaine qui ne fait plus florès aujourd’hui.

L’heure n’est plus à l’apaisement, on ne tend pas la main à un cobra comme à une colombe. Il faut d’ores et déjà interdire le Coran en Occident qui est la source nourricière des djihado-terroristes. Il y a suffisamment d’éléments tangibles pour motiver une telle décision d’une part et d’autre part arrêt total de la construction des mosquées, ces hauts lieux de diffusion de la haine, du racisme, de l’antisémitisme, du terrorisme et de la culture de la mort.
La France doit montrer l’exemple s’il en a la volonté politique en décrétant des mesures d’urgence absolue pour rassurer sa population et de ne pas nourrir la peste brune blottie dans l’ombre qui attend patiemment son heure pour en découdre avec la bête immonde musulmane. Ces mesures n’ont absolument rien d’utopiques et d’antirépublicaines si l’on veut circonscrire la pandémie djihado-terroriste avant qu’il ne soit tard:
-fermeture des frontières maritimes et terrestres et arrêt de l’immigration clandestine et régulière
-suspension du regroupement familial,
-arrêt des aides sociales et prestations familiales aux familles des djihadistes et ou dans l’un des membres sont en voie de radicalisation,
-interdiction définitive du port du voile et des signes ostentatoires
-rétablir l’ordre républicain dans les écoles et les espaces publics,
-décréter un moratoire sur les naturalisations,
-interdire les conversions des mineurs à l’islam,
-retrait de la nationalité française à tous les djihadistes, les salafistes et tous ceux qui prêchent l’islam radical,
-limiter l’accès aux emplois aux postes sensibles aux musulmans,
-suppression de la viande halal dans les cantines scolaires,
-expulsion manu militari des imams radicaux et des musulmans qui propagent la haine sur les réseaux sociaux,
-développer les recherches des énergies de substitutions afin d’en finir avec la dépendance énergétique vis-à-vis des pays musulmans,
-bloquer les avoirs des organisations caritatives musulmanes,
-annulation de la légion d’honneur à toutes les personnalités musulmanes,
-déchoir les membres de l’.U.O.I.F. de la nationalité française pour accointances idéologiques avec les Frères musulmans,
-déclarer cette dernière hors-la loi,
Les musulmans n’ont pas à imposer la dictature de leur religion et les pouvoirs publics n’ont pas à leur céder d’un iota, il faut les mettre en face de leurs responsabilités soit le respect total et absolu des lois de leurs pays d’accueil soit qu’ils prennent la direction des pays où l’herbe musulmane est plus grasse.
L’islam ne fait pas dans la dentelle pour massacrer les innocents, pourquoi devrions-nous le traiter alors avec management et civilités ? Aux grands maux les grands remèdes. Nous sommes plus que jamais dans la troisième guerre mondiale et l’Occident continue à faire l’autruche.

L’idéal musulman glacerait d’effroi les nazis eux-mêmes

Si la parenthèse nazie a duré une dizaine d’années pour plus de 80 millions de victimes militaires et civiles celle de l’islam commencée en l’an 622 ne s’est toujours pas refermée.  1437 ans de sang humain coulant à flot sans que des voix ne s’élèvent pour crier leur ras le bol de la boucherie musulmane. Sans que les Etats non-musulmans ptennent enfin leurs responsabilités politiques, historiques et humaines pour endiguer les flots de sang qui menacent de se transformer un jour en Tsunami si rien n’est fait.

Il ne suffit plus de mettre des mots sur les maux de l’humanité et de désigner nommément le coupable il s’agit de mettre en place un plan de sauvegarde de l’espèce humaine dont la pérennité est des plus aléatoires à cause du péril métastatique musullman. Une sorte de pandémie mortelle propagée sur les 5 continents par des êtres d’outre tombe sortis des entrailles de la terre.  Sous des allures humaines se cachent des monstres de la pire espèce. Des charognards jamais repus de chair humaine et à la soif de sang humain insatiable.

Ils attaquent toujours leurs proies par surprise surgissant comme des demons de leurs boîtes.  Totalement déshumanisés ils font régner la terreur et font souffler un vent de frayeur sur l’humanité tout entière complètement tétanisée rien qu’au prononcé du nom de leur groupe d’appartenance idéologico-religieux la brigade de la mort au nom d’Allah. Appelée aussi escadrons de la mort et plus connue sous le nom de djihadistes sur le sentier d’Allah. Mus par une bestialité féroce qui laisse supposer qu’ils ont perdu leur état d’humanité suite fort probablement à des séances intensives de la perte de la conscience de soi et de la modification profonde de la structure de sa personnalité en endossant une nouvelle personnalité de rupture avec soi. 

 qui fait apparaître ’Allah ne nous abreuvent d’images présentant des scènes de fin du monde qui ont atteint leur paroxysme avec les attentats du 11 septembre 2001 et qui n’ont jamais cessé depuisTERRORISME 26617 ATTAQUES-09-08-2015.

La vie internationale est plus que jamais rythmée par la barbarie musulmane.

Les intégristes musulmans fauchent les vies humaines comme un cultivateur moissonne son champ de blé.

Profitant du silence coupable des Etats musulmans et des grandes puissances quand ce n’est pas d’une complicité active comme en Syrie ils se comportent comme des fauves lâchés dans l’arène pour dépecer leurs proies.

Plus rien ne semble les arrêter dans leur marche funèbre. Leur férocité glacerait d’effroi les nazis eux-mêmes.

Ils n’ épargnent personne et s’adonnent en toute impunité et sous les regards bienveillants de leurs protecteurs occidentalo-turco-qatari-saoudien à leurs crimes contre l’humanité. Atteignant les points culminants de la barbarie humaine. Ils sont le témoignage vivant de ce que fut l’islam des origines celui prêché dans les mosquées salafistes dans le enclaves islamiques en Occident.  vnlèvements Enlèvements, viols, pillages, massacres, rançons, profanations des cimetières, autodafés, pogroms, attentats à la bombe dans leurs propres lieux de culte, destructions des monuments archéologiques, flagellations des opposants,  tuant, violant, décapitant et égorgeant les innocents. Vouant un véritable culte à la barbarie terroriste tels des Waffen SS et des escadrons de la mort.

Déferlant sur le monde comme des nuées de sauterelles qui ravagent et dévastent tout sur leur passage.  Des véritables bombes de Napalm, par où ils passent, l’humanité soit elle trépasse soit elle tressaillit de peur et d angoisses.

Ma perception et mes représentations découlent de leurs faits et actes des attentats barbares infligeant des souffrances morales et physiques au plus grand nombre de victimes innocentes. Des actes qui mériteraient d’être qualifiés de crimes contre l’humanité afin qu’ils soient jugés comme des peines imprescriptibles comme c’aurait pu être le cas des actes de terrorisme commis par les intégristes tunisiens et leur Chef islamo-salafiste, djihadiste notoire, Ghannouchi Rached , de Morched, le guide; de son vrai Farid Khirriji.

Leur idéal religieux qui n’a de cela que le nom  qui est une exaltation et sanctification de la barbarie est le vrai moteur de leurs comportements et conduites portant atteintes à nos libertés, notre intégrité physique et morale. Un idéal est pire encore l’idéal nazi qui est une négation du respect de la vie humaine et du droit fondamental à la différence.Seuls ceux qui sont islamisés sont membres de l’Oumma islamique. Une sorte de Reich musulman où la foi guide la vie des fidèles et se confond avec la nationalité. C’est cet idéal qui est une insulte à la conscience humaine qui est insupportable pour notre humanité. Il a fait de l’anéantissement de la vie et des non-musulmans l’objectif suprême pour ses fidèles.  Un Faute de sacraliser la vie humaine il a sacralisé la haine, le racisme, les inégalités, le bannissement des femmes, la pédophilie, la nécrophilie, le cannibalisme, le génocide, l’exclusion sociale, la discrimination des non-musulmans, les injustices, le fatalisme, l’exploitation érigée en dogme de l’homme par l’homme, les traitements inhumains et dégradants des ouvriers étrangers.  Tout cela dans le strict respect des prescrits coraniques qui leur confère un fondement théologique.

Un idéal inquiétant et qui laisse augurer un avenir sombre à notre humanité si nous nous n’y prenons pas garde. C’est cet idéal que je dénonce de toutes mes forces car il fait l’apologie de l’ antisémitisme, du racisme et qui justifie les assassinats et l’anéantissement de tous ceux qui ne se soumettent pas à l’Islam

Salem Ben Ammar

L’islam n’est pas dévoyé ni par les radicaux ni par les modérés, c’est lui qui corrompt et pervertit tout sur son chemin

Le Coran; les Hadiths, la Sira, la vie du prophète-voyou sans foi ni loi, un être abominable, assassin, criminel, pilleur, égorgeur, bandit des quatre chemins, incestueux, pédophile, violeur, sanguinaire, intolérant, despotique, coléreux, tyrannique, ne supporte pas la contradiction et pervers sexuel, l’archétype du contre-modèle à ne jamais suivre et fréquenter, l’antithèse de l’image que l’on pourrait se faire des guides qui seraient envoyés par Dieu pour éclairer la voie des êtres humains, ne sont-ils pas autant de preuves irréfutables quant au caractère absolument barbare, sauvage, cruel, ultra-violent, inhumain, dangereux pour la paix et la sécurité dans le monde, viscéralement raciste et antisémite, et monstrueux de l’islam ?

Ce pseudo-prophète qui a créé un dieu à son image ne doit être être l’exemple à suivre pour personne sauf pour les criminels, les délinquants, les détraqués sexuels, les scélérats, les gredins, les voleurs, les hors-la loi qui cherchent à donner libre-cours à leurs pulsions violentes, lubriques, immorales, bestiales et délictuelles.

En suivant son exemple comme les y invite fortement le Coran :vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Dieu et au Jour dernier et invoque Dieu fréquemment. (Sourate al-Ahzab: 21) , ils y trouvent un alibi moral à leurs agissements et comportements transgressifs.

Les musulmans ne sont pas tous des galapiats et des truands, mais l’islam est la religion qui exerce le plus d’attraits et fascine les femmes et les hommes qui cherchent une échappatoire et une légitimité idéologico-théologique pour se déresponsabiliser de leurs dérives morales, djihad di nikah, et criminelles, braquer une banque pour financer le djihad. En empruntant la voie de l’islam, le mal est un bien et le bien est un mal, on adhère à des nouvelles lois en inadéquation avec lois humaines, mais à cause de leur soi-disant essence divine, elles se trouvent dotées d’un statut intrinsèque supérieur  leur offrant ainsi la possibilité de rejeter en toute logique dogmatique ces lois non-édictées par Allah« Ô vous qui croyez ! Obéissez à Allah, obéissez au Messager et à ceux qui détiennent le commandement. »
« Ô les croyants ! Obéissez à Allah et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement. Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-là à Allah et au Messager, si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Ce sera bien mieux et de meilleur interprétation (et aboutissement). »(Sourate 4 verset 59)
Abû Hureyra rapporte que le Messager d’Allah a dit :
« Celui qui m’obéit, obéit à Allah ; et celui qui me désobéit, désobéit à Allah. Celui qui obéit à son émir, m’obéit ; et celui qui désobéit à son émir, me désobéit. »
.En toute évidence, convaincus plus que jamais qu’ils peuvent se délier de tout respect des lois humaines, ils ont avec l’islam un cadre religieux qui les libère de la répression  de la justice humaine et qui leur confère  des sentiments d’impunité et de déculpabilisation. Les interdits humains ne sont plus des interdits, il n’y a que ceux qui sont stipulés par Allah qui font loi.

Les musulmans sont persuadés que l’islam est la loi pour tous les hommes. On peut imaginer ce que peut être l’état de désordre moral et juridique qui y régnera à travers les exemples de la nébuleuse salafo-djihadiste qui illustre de belles manières les valeurs immorales et contraires à la raison humaine de l’islam.

Daech et Boko Haram sont le véhicule fidèle de cet islam cosmique et impérial que ne saurait renier Mahomet lui-même s’il devait ressusciter.

Savent-ils que les prisons partout dans le monde y compris dans les pays musulmans sont devenues des véritables villégiatures de vacances pour les esclaves d’Allah.

Rien qu’en Tunisie il y avait plus de 60 000 hôtes dans ses geôles à la veille de la chute du grand mafieux Ben Ali dont la plupart sont venus grossir les rangs des migrants clandestins en Europe. Je ne saurais dire que l’islam est criminogène pourquoi les musulmans sont les premiers transgresseurs des lois humaines dans le monde ? Ce n’est pas de l’anti-islam que de dire ça, c’est un constat dont les facteurs sont connus des seuls musulmans à cause du matraquage idéologique subi de la naissance jusqu’à la mort exaltant la toute-puissance et la suprématie du musulman et diabolisant et stigmatisant les non-musulmans et leurs systèmes de valeurs jugés comme impurs et corrompus. Si on les éduquait dans le respect des droits humains et de la vie en seraient-ils là aujourd’hui ?

Force est de constater que les musulmans sont à contre-courant de l’humanité et sont des inadaptés sociaux, accusant des retards flagrants dans tous les domaines à cause d’un endoctrinement  ultra-violent et sectaire qui flatte leur ego frustre et primaire. Murés dans leur certitude, enfermés plutôt dans leur bunker mental, d’appartenir à la plus belle communauté jamais envoyée sur terre ( sourate 3, verset 110). Une communauté d’élus d’Allah selon l’imposteur Mahomet, au lieu et place du peuple juif, tombé en disgrâce pour avoir enfreint ses lois contrairement aux musulmans:. »les adeptes du Coran sont les élus d’Allah et ses amis privilégiés » ( rapporté par Nassaï).

Tout est parfait pour ceux qui ont choisi la voie de l’islam et de n’obéir qu’à ses lois qui sont les meilleures  de toutes et qu’ils sont les maîtres du monde, le restant de l’humanité doit ainsi leur faire allégeance et se plier à leur volonté. Oubiant que les esclaves qu’ils sont, avant de briguer le statut de seigneurs de l’humanité  doivent rompre les chaînes de leur état de prison mentale et recouvrer leur dignité humaine.

Aveuglés par leurs délires de puissance impériale et du suprématisme absolu de leur religion, ils ne se rendent pas compte que là où l’humanité non-musulmane à chaque fois qu’elle fait un pas en avant, ils en font mille pas en arrière. Mais de cela ils en ont cure tant que les fantasmes de l’érection éternelle et des beuveries à ne plus en avoir soif meublent leurs rêves.

Infantilisés, lobotomisés, déresponsabilisés, ils n’ont aucune notion de la morale humaine qui est une hérésie aux yeux des dogmes de la foi islamique qui pervertit le icite en illicite et vice-versa. De toutes les religions monothéistes, l’islam  qui a toutes les caractéristiques d’une imposture et une escroquerie intellectuelle, est celui  qui a légitimé  l’appropriation des biens des infidèles, l’insitutionnalisation du butin, du mariage pédophile,  le viol des femmes captives, la décapitation des otages non-repentis, le mépris de la vie et de soi, la violence licite, le pillage et la moralisation des comportements attentatoires à la dignité humaine et criminels, ne peut produire que des délinquants et des monstres d’inhumanité.

Le vote pro Ennahdha est un véritable cataclysme pour la Tunisie et pour les pays arabisés

Il n’est un secret pour personne que la secte de la barbarie humaine d’Ennahdha filiale à 100% de la Confrérie des Frères Musulmans, tendance wahhabo-salafiste, professe une idéologie raciste, liberticide, théocratique, terroriste, antisémite, pédophile, polygame, hyper machiste, antipatriotique, mercenariale, milicienne, oumienne, ultra-violente, suprématiste, négationniste,collaborationniste, cosmique, impériale, expansionniste, totalitaire, nazillonne, moyenâgeuse, inégalitaire, haineuse, génocidaire, apocalyptique, sanguinaire et inhumaine.

Nul doute que tous ceux qui ont voté pour cette secte infecte et infâme qui rêve de revigorer l’islam et de purifier la société tunisienne des influences « impies », c’est-à-dire occidentales afin d’éliminer tous les obstacles à sa réislamisation, et qui continuent à lui maintenir leur confiance ne peuvent pas dire qu’ils sont blancs comme neige et ne l’ont fait pas  en toute connaissance de cause. Le vote tunisien pro Ennahdha n’est en rien comparable à celui des électeurs français pour le FN, qui est un vote anti-islam, il est de la même nature que le vote allemand pro NDSAP, celui de la renaissance de la grandeur germanique et un blanc seing-accordé à Hitler pour la solution finale. C’est un vote d’identification et d’adhésion. Un vote fidèle aux idées de Saïd Qoutb le maître à penser des leaders islamistes tunisiens telles qu’elles sont schématiquement résumées dans Wikipedia :

  • L’islam est en crise. Les millions de gens qui se réclament de l’islam n’en comprennent en réalité pas grand chose, ils ne sont pas de vrais musulmans. Qutb prononce donc une condamnation très forte de la société égyptienne contemporaine.
  • Un retour aux vraies valeurs de l’islam est nécessaire. Malheureusement les masses populaires manipulées par le nassérisme sont incapables de s’en sortir. Il appartient donc a une élite de guider les masses en jouant le même rôle que celui des compagnons du prophète de l’islam, cette élite qu’il appellera dans plus d’un ouvrage « annawâte assoulba » (littéralement « le noyau dur »). Le but étant de réislamiser la société.
  • L’islam apporte une solution complète à tous les problèmes, politiques, économiques, sociaux. En revanche, les influences occidentales sont dangereuses et nuisibles. Il dénie le qualificatif de « civilisation » (notamment dans son livre Moushkilât al-hadâra : Problèmes de la civilisation) aux blocs de l’est (socialiste) et de l’ouest (capitaliste), qu’il renvoie dos à dos comme représentant deux faces d’une même entité qu’il appelle la « Jahiliya » (littéralement : « état d’ignorance »).
  • L’idée d’une « lutte contre les Juifs » fut aussi présente dans la pensée de Sayyid Qutb, qui écrivit au début des années 50 l’opuscule Notre combat contre les Juifs11. Dans son commentaire de la sourate 5, Sayyid Qutb réaffirmera l’accusation : « Depuis les premiers jours de l’islam, le monde musulman a toujours dû affronter des problèmes issus de complots juifs. (…) Leurs intrigues ont continué jusqu’à aujourd’hui et ils continuent à en ourdir de nouvelles. »12

Sauver l’islam au péril de la vie des peuples. Il y en a que pour lui et jamais rien pour les hommes. Que leur apporte-t-il depuis le jour où ils sont tombés sous son joug colonial ,? Que misère, souffrance, sang ,désolation, arriérisme, obscurantisme, chaos, et frustrations,. Il a mis K.O. des civilisations grandioses pour en les transformer aujourd’hui en lambeaux humains.

Réislamiser les pays revient à les renvoyer dans les limbes de l’histoire. Ce n’est pas par hasard que la Tunisie est entrain d’entrer dans l’ère la plus noire de son histoire millénaire dans l’indifférence totale de son peuple davantage préoccupé par le bien-être de l’islam qui lui promet monts et merveilles dans sa vie dans l’au-delà sans que rien n’en atteste de l’existence mais de cela il n’en a cure tant qu’il peut fantasmer sur le lupanar paradisiaque que du sort tragique de son pays. Car la patrie est sueur et larmes, elle n’est pas ni un rêve érotique ni une rivière de vin, elle est concrète et exigeante, il n’y a place chez  que pour ses enfants qui payent de leur personne, travailleurs acharnés,dévoués et désintéressés qui n’attendent rien d’elle au retour sauf la  satisfaction d’avoir accompli leurs devoirs et la fierté de transmettre le flambeau aux générations futures.Le peuple tunisien comme tout peuple musulman ne se projette pas dans le futur sur terre, il est obsédé par le monde meilleur à sa mort pour lui-même et non pour ceux qui seront ses véritables juges devant le Tribunal de l’histoire pour leur avoir laissé un pays exsangue et en état de ruine.

Plutôt que d’investir dans l’avenir de ses enfants, il préfère les envoyer exercer leurs talents d’égorgeurs en Syrie, en Irak et en Libye pour la gloire d’Allah qui garantit aux familles l’assurance de 70 places au paradis pour chaque chahid (martyr) tombé sur le front , il suffirait de 150 000 morts pour assurer à tous les Tunisiens leur place au paradis le fruit du sang humain..

Notes

11 cf. Ronald L. Nettler, Past Trial and Present Tribulations : A Muslim Fundamentalist’s View of the Jews, Oxford et New York, Pergamon Press, 1987, pp.30-6

12 Cité par Paul Breitman, Les Habits neufs de la terreur, 2004, tr. fr. Richard Robert, Paris, Hachette Littératures, 2004, p.114

 

Avec Ennahdha et sa branche armée salafiste la Tunisie n’est pas à l’abri des années de plomb algériennes

9 mars 2012

 

Dire que les tunisiens en faisant d’Ennahdha maîtresse du destin  politique de la Tunisie vont enfin découvrir en réalité le frai visage de l’islam et  le régime liberticide et opprimant auquel ils vont être soumis au quotidien qui risquerait de leur faire regretter l’ère de Ben Ali.

Avec l’islam au menu  nuit et jour,  ils vont pouvoir en déguster jusqu’à l’indigestion et avoir ainsi un avant-goût du Grand Effroi prophétisé et et dire cela ce n’est pas de l’islamophobie qui est par définition un diagnostic d’un état de troubles psychotiques dont je ne suis pas atteint.  Les tunisiens ont tué la Tunisie de leurs propres mains en votant pour un mouvement sectaire et antipatriotique, frère idéologique de la Qaïda, obsédé par l’Oumma islamique et l’instauration de la Charia.

J’ai écrit dans le passé que chaque bulletin de vote en leur faveur est une balle tirée au propre comme au figuré dans le dos de la démocratie et tous ceux qui veulent faire de la Tunisie une république citoyenne et protectrice des libertés de toutes les libertés. On est qu’aux portes de l’enfer, on ne perd rien pour attendre la suite. Je vous rappelle qu’il n’y a pas d’islamiste hard ou soft, l’islamisme est un bloc homogène où chaque membre remplit une fonction bien précise. Salafiste, wahhabite, jihadiste ou qoutbiste en référence à Saïd Qotb, l’idéologue des Frères musulmans, ne sont rien d’autre que des apparats, des axes autour desquels s’articulent leur système nébuleux. En faire un distinguo revient à nier l’existence même de l’islamisme qui puise ses sources dans la pensée de l’anthropomorphisme d’Ibn Taymiya au XIII e siècle.

En aucun cas l’islamisme n’est une création occidentale, il est l’islam dans sa forme originelle fidèle au Message Mahométan,qui l’a certainement instrumentalisé à des fins géostratégiques, géopolitiques et géo énergétiques.  Ennahdha  est l’archétype même de la nébuleuse islamiste adoubée par ses mentors pour faire de la Tunisie une fenêtre de tir sur la Libye et l’Algérie..

Elle fédère et anime tous les courants islamistes en Tunisie, planifiant leurs actions,  d’où sa mansuétude à l’égard de sa branche armée salafiste qui ne cesse de répandre la terreur et semer les troubles dans les universités tunisiennes et au sein de la population. Elle ne va pas condamner les agissements criminels des salafistes et leurs atteintes répétées contre les emblèmes de la patrie tunisienne, alors qu’elle en est l’instigatrice et la conceptrice. Ennahdha est aussi salafiste dans sa version soft! On a pas le droit d’être amnésique dans le cas d’espèce du fait du propre passé terroriste de la secte. Elle ne va pas éradiquer elle-même ce qu’elle sème ni se déjuger elle-même.

Dans les années 80, elle voulait conquérir le pouvoir par la violence terroriste en voulant plonger le pays dans les catacombes de l’horreur que sans la détermination de Bourguiba la Tunisie aurait atteint son objectif.

En 2012, elle va pouvoir asseoir son pouvoir politique et idéologique sur la triptyque suivante: la terreur physique dans sa forme salafiste, la terreur mentale et la terreur institutionnelle. Le terrorisme d’Ennhadha n’a pas varié d’un iota et c’est pire encore parce qu’elle a désormais le pouvoir de légitimer son terrorisme et de l’exercer en toute impunité et elle ne manquera pas de d’exercer la guerre à la démocratie au nom de l’islam.

Le Gourou illuminé  Ghannouchi Rached grand fossoyeur de la démocratie, l’ange de la mort et apôtre de la trahison, en Tunisie est plus que le nouveau Compagnon du prophète, il en est le pur descendant. Sous son air de cheikh vénéré se cache un monstre de cruauté humaine, jamais repu de chair humaine qui ferait de l’ombre à Pol Pot, Hitler, Duvalier, Amine Dada ou Moboutu.

Un avenir des plus sombres se dessine pour la Tunisie avec cette secte schismatique et hérétique qui dépècera la Tunisie comme Mahomet l’avait fait avec la Mecque. Aujourd’hui les tunisiens doivent plus que jamais se rendre à l’évidence que l’islam qu’ils se sont représentés et qu’ils définissent comme étant un islam par héritage, un islam de paix, de tolérance et du bien-vivre ensemble est tout simplement une vue de l’esprit, une hérésie car le vrai islam est bien celui qu’Ennahdha veut faire renaître de ses cendres qui doit être la loi unique pour tous les musulmans.

Les salafistes sont à Ennahdha ce que furent les chemises brunes aux nazis

La voie empruntée actuellement par la Tunisie laisse présager de sérieuses hypothèques sur son avenir en tant que nation souveraine et indépendante. Elle est en train de sombrer corps et âme dans le piège tendu par les mouvements obscurantistes et régressifs dont Ennahdha, la filiale tunisienne de la nébuleuse islamiste.

Ce mouvement sectaire élevé au rang de la dignité politique en totale violation de la loi tunisienne sur les partis politiques de 1985, ne manque pas aujourd’hui une occasion de répandre son poison venimeux qui nourrit une sémantique discursive suscitant peurs et angoisses chez les Tunisiens. Mais pas seulement!  Habile manipulateur et mystificateur, il est tel un prestidigitateur, un fakir, qui à chaque fois qu’il se trouve pris au dépourvu et piégé par l’auditoire, comme lors de sa profession de foi sur le rétablissement du Califat, sort insidieusement  de sa besace le spectre salafiste afin de créer un écran de fumée derrière lequel il pourrait s’esquiver, disparaître, se volatiliser, sans que l’on s’en aperçoive. Il s’ agit en réalité d’une banale illusion d’ optique et un tour de passe-passe de la perfidie islamiste.

La stratégie communicationnelle de cette organisation sectaire s’articule autour de deux axes, primo: la communication politique où la secte milicienne et antipatriotique Ennahdha apparaît en première ligne qui caractérisée par la manipulation, l’exaltation, la glorification, la stigmatisation, la réaction, l’intimidation, la corruption, l’occultation, la victimisation, la récupération de la cause palestinienne, la sublimation, etc…; secundo:  l’action politique sur le terrain où elle reste blottie dans l’ombre comme à l’époque des années de terreur, vitriol et attentats meurtriers  à la bombe, en Tunisie. Elle apparaît en filigrane des opérations de violence physique et religieuse menées par son escadron de la mort salafiste. Elle est comme ce souffleur de feu qui à chaque que la braise commence à vaciller, il se doit de l’attiser. 

 Dissocier Ennahdha des salafistes c’est comme si l’on cherchait à séparer les deux faces du miroir de Janus. Les distinguer, comme si l’on distinguait les branches de cette tenaille tranchante et contaminée  avec laquelle ils cherchent à tenir fermement et violemment.

La Tunisie qui à chaque fois qu’elle cherche à desserrer son emprise, Ennahdha force sur la tenaille.

La branche salafiste est pour l’islamisme tunisien ce que fut la Section d’Assaut, la Sturmabteilung connue sous le nom des chemises brunes, créée par Adolf Hitler en 1921, pour le nazisme. Une organisation paramilitaire ultra-violente chargée d’éliminer les opposants les plus dangereux et de répandre la terreur au sein de la population afin de provoquer un état de chaos permanent que seul un homme providentiel est capable de combler. Susciter un besoin vital de sauveur, de l’homme miracle dans l’opinion apeurée et effrayée et lasse par ce climat oppressant d’insécurité.

S’inscrivant dans le sillage du NASDP, la secte idolâtre et charismatique d’Ennahdha fonde toute sa stratégie de conquête de pouvoir sur la terreur et les pogroms. Elle sait que la voie des la victoire aux urnes est au prix du sang des opposants et de ses propres alliés. Elle ne reculera devant rien pour y parvenir, consciente que dans une compétition électorale où toutes les parties sont à armes égales elle n’a aucune chance d’y arriver sauf par l’intimidation et le pouvoir de la force.

L’islamisme tunisien quelque soit le visage qu’il décline selon les circonstances est un prédateur féroce qui n’a qu’un seul but s’approprier enfin la Tunisie comme un vulgaire butin censé lui revenir de droit depuis 1991.Un trophée pour le compenser de son prétendu calvaire et ses années de bannissement fruit pourtant de ses actes de terrorisme et d’atteintes à l’intégrité physique des personnes et en premier lieu les femmes sa cible favorite.

La fin justifie les moyens surtout quand son action est frappée du sceau du sacré dans le sens de réaliser la prophétie coranique d’établir la souveraineté d’Allah aux quatre coins de la terre. Il oeuvre à la mise à mort de l’ identité nationale et  l’amarrage de la Tunisie à l’attelage wahhabite maître d’oeuvre de l’islamisme mondialiste et cosmopolite.

Qui pourrait prétendre que le projet avorté de visite de l’Emir du Qatar symbole de la théocratie religieuse et donc antirépublicaine n’est pas dénuée de fondement politique et idéologique ? A moins que ce projet ne fût pas un nouveau leurre islamiste pour détourner l’attention du public tunisien du décalage pathologique des islamistes avec les vrais problèmes du pays. Comme leur tentative actuelle de vider le contenu du message politique des sit-inners de Bardo, en proposant un débat national sur le voile intégral en Tunisie alors que le pays est en état de déliquescence avancée en tout point de vue. Il n’en demeure pas moins que la portée politique de cette visite avortée, qui serait plutôt un intox, est subséquemment, le message fort que les parties invitantes chercheraient à adresser tant à leurs électeurs qu’ aux autres, leurs bailleurs de fonds et ordonnateurs que la Tunisie post- 14 janvier 2011 serait la première pièce de l ‘édifice de la restauration du VI e Califat dont le nom est pourtant associé aux plus grands génocides de l’histoire humaine en dehors de la Shoah.

On ne confie pas la sécurité de la Tunisie aux terroristes de la Qaïda

 

 Les tunisiens avaient cru bien faire en confiant la sécurité de leur pays à une organisation aguerrie dans les crimes terroristes, convaincus qu’il n’y a pas mieux  qu’un terroriste pour combattre le terrorisme, oubliant qu’un  terroriste ne se repent jamais de ses crimes qui ne le sont pas à ses yeux, car accomplis dans le sentier d’Allah.  Ni contrition ni pardon, ni mauvaise conscience.  A supposer que les terroristes se repentent un jour autant croire en la résurrection de Mahomet on ne doit pas faire d’eux des acteurs de la politique sécuritaire du pays et acteurs de la lutte antiterroriste comme on ne fait pas d’un  ancien pédophile un éducateur pour jeunes enfants.

Depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal, ils n’ont jamais vécu dans un climat sécuritaire aussi intenable et violent. Il ne passe plus un jour sans que leur quotidien ne soit endeuillé et le sang des leurs répandu.  Ils avaient espéré au mois de février qu’avec l’arrivée d’un nouveau Monsieur Sécurité allait radoucir leur quotidien et ramener la tranquillité dans le pays. Bien au contraire, l’insécurité est repartie de plus belle atteignant à chaque fois un niveau  de violence inconnu au pays. Ce n’est pas en permutant les pions que l’échiquier sécuritaire va changer de physionomie tant que celui qui les fait déplacer et souffler sur la braise de la terreur continue à les manipuler.

Alors que tout est orchestré habilement par le grand illusionniste R. Ghannouchi, mais peu importe l’élixir tant qu’on a l’ivresse.

Même Satan se trouve affublé de vertus humains  et voilà le lapin Lotfi Ben Jeddou que l’illusionniste local a sorti de sa manche est devenu l’homme de la situation, un vaillant soldat de feu pour circonscrire les foyers d’incendie djihadiste allumés par son organisation-pyromane.

Contrairement aux tunisiens, l’organisation salafo-terroriste d’Ennahdha n’est pas atteinte de schizophrénie  et sujette de crise hallucinatoire, elle sait parfaitement ce qu’elle fait.  Claire et cohérente avec elle-même.

Elle souffle sur la braise de la  terreur et en même temps elle fait semblant de la combattre. Tout est dans les faux-semblants chez elle.

En attendant, cela lui fournit un alibi et un répit pour pérenniser son pouvoir en mettant la main progressivement sur tous les rouages de l’Etat et justifier par la même occasion  le maintien de l’état d’urgence en Tunisie et renvoyer ainsi les échéances électorales aux calendes grecques.

Ali Larayedh le plus fidèle lieutenant de R. Ghannouchi, pyromane en chef et cerveau des incendies terroristes qui frappent la Tunisie, ne peut endosser les habits de capitaine des pompiers, alors qu’il est à l’origine directe du foyer de feu de Jébal Chaâmbi qui embrase le pays.

Quel crédit peut-on lui donner alors qu’il a laissé propager les foyers de feu djihadistes depuis 24 mois  ?

Comment un pyromane qui les a allumés lui-même va-t-il prendre le soin de les éteindre ou favoriser leur extinction en laissant Ben Jeddou actionner les pompes à eaux pour les éteindre  ?

Il est improbable qu’il lui laisse la moindre  marge de manoeuvre surtout que ni l’autre n’en possèdent guère. Il est peu probable que Ben Jeddou qui est de surcroît un homme de basses besognes de Ghannouchi puisse avoir toute la liberté pour contrecarrer la politique incendiaire d’Ennahda, cela veut dire que tout projet de mise sous coupe réglée de la Tunisie soit réduit en cendre.

Il est à douter que l’actuel ministre de l’intérieur puisse mener une politique sécuritaire et de circonscription des foyers de feu djihadistes de sa propre initiative et qui n’aille pas dans le sens du canevas ministériel fixé par son ministre de tutelle qui devrait plutôt rendre compte de ses actes criminels devant la justice tunisienne que de gouverner le pays.

Aussi bien l’un comme l’autre, ils ne sont que deux pions  dans la stratégie de la terreur initiée et conçue par R. Ghannouchi, où chacun d’eux remplit un rôle bien défini et des fonctions précises afin de prendre la Tunisie dans la tenaille qu’actionne selon les circonstances leur maître de cérémonie.

C’est pourquoi, il est illusoire de croire que Ben Jeddou soit animé d’un esprit républicain et patriotique qui tranche avec celui d’Ali Larayedh et qu’il va  ainsi s’employer à sauver le pays du brasier de feu djihadiste qui risque de l’emporter, alors qu’il n’a absolument rien fait pour prévenir aussi bien le foyer de feu djihadiste de Chaâmbi, ni celui  de Sidi Hassine Sijoumi voire celui de Bizerte.  Alors qu’aussi bien l’un comme l’autre, ils sont  tous les deux faces du miroir de Janus ghannouchien.

De même qu’a-t-il fait dans l’avancement de l’enquête sur les lâches assassinats de Lotfi Negadh, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi  auxquels sont venus s’ajouter plus 20 morts dans les rangs de l’armée, de la police et de la garde nationale ? Ou a-t-il mis fin aux activités terroristes de la Ligue de la Protection de la Révolution ? Voire l’annulation des visas aux partis de caractère religieux ? Il a plutôt fait tout le contraire en octroyant un visa à un parti ouvertement religieux.

Rien ne plaide en faveur de son engagement en faveur du rétablissement de la sécurité  dans le pays, c’est un miroir aux alouettes qu’Ennahdha fait miroiter aux Tunisiens, certains hommes politiques se mettent même à le congratuler pour sa politique  sécuritaire responsable et ferme, oubliant au passage qu’un ministre de l’intérieur et notamment dans les régimes despotiques et totalitaires n’a pas les coudées franches et doit appliquer scrupuleusement la feuille de route édictée par son chef de gouvernement qui lui-même doit sa nomination à l’homme du chaos tunisien R. Ghannouchi ?

Ce n’est qu’un rôle de composition, histoire de verrouiller le terrain et endormir la vigilance des tunisiens pour mieux les surprendre et les achever.

Cette histoire de déclaration de guerre salafiste au ministre de l’intérieur est de l’esbroufe, du pipeau, surtout qu’elle permet de faire diversion, innocentant Ennahdha de toute responsabilité dans l’embrasement du pays.

Aussi l’organisation criminelle et mafieuse d’Ennahdha, filiale locale de la Qaïda,  en mettant en scène ce scénario cherche à éloigner les soupçons de collusion entre elle et ses propres escadrons de la mort et empêcher les tunisiens à étouffer dans l’oeuf ses desseins velléitaires, antipatriotiques et totalitaires;

Ce personnage qu’elle met en première ligne est un leurre, un attrape-nigaud, un appât pour attraper le poisson tunisien dans ses filets vitriolés.

Pour l’instant, c’est une mascarade empestant le souffre pour baliser le terrain à une vraie guerre : une guerre terroriste à la syrienne. Elle cherche essentiellement à gagner du temps pour préparer le rapatriement  des corps expéditionnaires internationalistes djihadistes de la Syrie auxquels elle accordera la nationalité tunisienne au nom de la fraternité islamique et qui se fera lui-même le devoir de leur délivrer les passeports, afin de bénéficier de la libre-circulation au Maghreb en vue d’une nouvelle guerre djihadiste dont l’Algérie serait la cible.

Et là ils vont pouvoir déferler sur la Tunisie comme un Tsunami et ses risques de sérieux dommages collatéraux sur l’Algérie.

Ce n’est pas ce gouvernement félon et liberticide aux ordres  du Triumvirat  hégémonique et impérial Qatari- turco-saoudien qui va protéger le pays et sécuriser son territoire alors que sa mission est de faire repousser les semences du Califat islamique.

C’est pourquoi, il est vain d’imaginer ce ministre  se démarquer de la politique scélérate  que mène son gouvernement-complotiste contre l’intérêt national de la Tunisie et de son indépendance.

Quant aux élections, il est plus réaliste d’en faire le deuil comme celui de la démocratie enterrée  en ce jour funeste du 23 octobre 2011.