Plutôt que de poursuivre des femmes et de hommes pour leur islamo-incompatibilité et vigilance active et citoyenne à l’égard de l’islam, il serait plus responsable de faire enfin une lecture objective du Coran et de mettre à nu le mythe de l’islam de paix et d’amour.
Ce ne sont pas ceux qu’on appelle abusivement islamophobes par complaisance collaborationniste avec l’islam qui sont le danger, c’est ce dernier et ses adeptes qui menacent les fondements de l’humanité.
Il n’y a aucune connotation haineuse quand on qualifie l’islam de crime contre l’humanité ni réclamer sa déclassification en tant que religion. Le crime est d’occulter et de mentir sur la vraie nature de l’islam. En voulant bâillonner les voix qui tranchent avec le politiquement correct et qui brisent les mythes sur l’angélisme de l’islam, leurs inquisiteurs et accusateurs se rendent complices eux-mêmes de crime contre l’humanité.
Les vrais coupables sont les musulmans qui tuent au nom d’Allah Akbar et ceux qui le drapent dans ses vertus qui n’ont jamais été les siennes et dont il en est à de années-lumière. Il n’y a pas de livre sans auteur comme le Coran ne peut pas être la parole révélée. Critiquer ce brûlot infâme ne relève pas du champ de la loi, à moins que l’on ait rétabli en France le délit de blasphème. En gardant le silence sur ce manifeste inhumain et barbare on approuve ses injonctions nauséabondes à l’incitation à la haine de l’autre, au racisme, à l’antisémitisme, sa légitimation de l’esclavage sexuel, du pillage et du racket.
Ce n’est pas de l’islamophobie que d’appeler à son interdiction à cause de son bellicisme, sa sanctification du génocide des mécréants, son ethnocentrisme, sa sacralisation des inégalités entre les hommes et les sexes, son homophobie tout en promettant das beaux éphèbes à ses fidèles au paradis, son apologie de la violence et du suprémacisme.
Les mêmes qui veulent me lyncher aujourd’hui pour offense à l’islam et racisme anti-musulman on ne les entend jamais élever la voix pour condamner Qaradhaoui et son abomination du juif dont il appelait à l’extermination et d’adulation du nazisme, ni exprimer leur répulsion à l’égard terrorisme musulman ou le djihad du nikah, de la montée, ni manifester la moindre inquiétude du péril islamiste et les atteintes graves et répétés aux valeurs de la république.
A croire qu’ils ont trouvé avec leur nouvelle vocation une aubaine pour leur rédemption désintéressée, l’est-elle vraiment ? Il n’y a que le Qatar et l’Arabie Saoudite qui le savent.
Leur action militante bénévole et leur dévouement et engagement louable sans faille sur lesquels le doute n’est pas permis, comme pour les vérités coraniques frappées d’interdits de peur que des esprits malveillants ne les déflorent comme leurs vierges déflorées sur le front syrien par de djihadistes vauriens, et les hadiths hagiographiques et apocryphes rapportés par un biographe 2 siècles après la cruelle disparition de leur Saint Prophète, un humaniste hors pair, que tout bon musulman qui ne veut pas rater sa vie dans l’au-delà après avoir raté celle sur terre doit en faire le phare qui éclaire le chemin ( charia) qui relie sa vie misérable à sa vie prometteuse dans le monde des morts.
Grâce à aux combats sur le terrain de la terreur pour les plus violents et suicidaires et les deux pièces cravates qui ont choisi le terrain des prétoires de la république dont certains d’entre eux furent radiés pour avoir navigué dans les eaux troubles infectées de spécimen issus des bas-fonds de la société, les musulmans mènent une campagne tous azimuts pour ouvrir la voie au règne d’Allah sur terre et instaurer la dictature de l’islam.
Censure, massacre, terrorisme, tuerie, décapitation, boucherie, égorgement, lapidation, racisme, antisémitisme, homophobie,exécution des apostats, bannissement des opposants et des athées, nettoyage religieux, relégation des femmes, toute la panoplie criminelle qui assure aux fidèles musulmans l’élection à cet univers dédié au sexe à gogo et à l’alcool à flot qui fait saliver tous les obsédés et dépravés sexuels duquel seront exclues les femmes pour défaut d’islamité et déficience mentale.
Tous ceux ou presque qui rêvent d’un monde où ils pourraient donner libre-cours pour l’éternité à leurs penchants alcooliques et pulsions sexuelles sans interdit et sans limite, s’érigent désormais en procureurs-inquisiteurs des offenseurs de l’islam sans qu’ils n’en connaissent eux-mêmes sa véritable signification idéologique et politique, profitant ainsi de la générosité et la cécité des lois de la république dont ils n’en ont cure pour les retourner contre ceux qui s’inquiètent du de menaces que présente pour ses fondements la montée du péril musulman dont les dégâts sont incommensurables dans les pays musulmans eux-mêmes.
Au nom des lois antiracistes, ils veulent étouffer la voix de ceux qui dénoncent le racisme de l’islam lui-même et le statut de dhimmis octroyé aux gens du livre. Quant au sort de ceux qui n’appartiennent pas aux religions abrahamiques, ils n’ont le choix qu’entre l’exil si ce n’est la mort ou la conversion.
Ces nouveaux cavaliers noirs de l’islam se sont-ils émus quand le président déchu Mohamed Morsi avait lancé un ultimatum aux coptes de choisir entre l’islam et le bannissement ? Peut-être que cet avocat tombé en disgrâce saurait-il y répondre ?
S’est-il lui et sa ligue autoproclamée de défense d’une religion qui s’est discréditée elle-même et qui fait peur à 75% de français, qui ne lui a confié aucun mandat pour lui rendre sa vertu mise à mal par Riposte Laïque et moi-même, inquiétés un jour du sort des apostats de l’islam, des athées, des laïcs, de la petite enfance, des femmes et du régime liberticide auxquels sont soumis les populations musulmanes captives de l’islam ?
Quand on se veut animé d’un esprit d’équité et de probité, on ne tombe pas dans le jeu du sectarisme et de l’ostracisme. La plume ne tue pas, les djihadistes musulmans tuent.
Si l’islam a peur à ce point de la critique pour vouloir la bâillonner en France après l’avoir dissoute dans un bain d’acide chez lui, il témoigne de lui-même de son incapacité à s’adapter à un environnement républicain et de ses velléités antidémocratiques.
Il doit savoir que la liberté d’expression est un droit inaliénable pour laquelle des dizaines de millions de femmes et d’hommes de par le monde ont donné leur vie, elle ne tolère aucune exception pour restreindre son champ de liberté ou l’annuler.
Au nom du sacré de l’islam, on veut assassiner les libertés par la voie judiciaire au nom du suprématisme de ses lois. Si l’islam était aussi respectueux des libertés et des droit humains, pourquoi ce qu’il revendique pour lui en terre mécréante ne l’accorde-t-il pas à ses ouailles et traite-t-il les autres de sujets de seconde zone, d’êtres impurs. Pourquoi les Etats les plus hostiles aux droits de l’homme et du citoyen sont-ils tous musulmans à l’exception de la Corée du Nord.
Que le défenseurs de la cause indéfendable de l’islam aillent exercer leurs talents d’avocats de la cause de leurs coreligionnaires qui veulent exercer leur liberté de conscience dont certains d’entre eux sont condamnés à mort en Iran, au Pakistan et en Arabie Saoudite, ou à la prison au Maroc, en Egypte, en Algérie ou en Tunisie.
Quand on le sens des valeurs et le réel souci du bien vivre ensemble on se fait d’abord l’avocat de la république et non afficher publiquement son appartenance communautaire, le vrai mal qui gangrène l’unité de la France.
Ce n’est pas la similitude troublante entre l’islam et le nazisme dont j’ai fait écho dans certains de mes articles et je ne suis pas le seul de surcroît à l’avoir foi qui doit provoquer leur émoi et les ébranler dans leur foi pour m’intenter un procès en sorcellerie, c’est l’avenir sombre que leur foi laisse préfigurer pour l’humanité qui doit les effrayer et éveiller leur conscience si jamais ils en sont pourvues.
A moins que de par le silence ils valident la thèse de la parenté idéologique entre l’islam et le nazisme