L’islam n’est rien d’autre que la face cachée de l’islamisme

On a le droit de critiquer, incendier l’islamisme, de dresser un parallèle entre lui et le nazisme adulé dans les pays de l’islam roi, mais on dès que l’on met à nu l’islam les musulmans et leurs idiots utiles poussent leurs cris d’offraie.  L’offense suprême qui ne peut être lavée que par des procès en inquisition devant la justice républicaine qui en a pourtant fini avec les procès pour délit de blasphème.

Mais il s’agit de l’islam et ne peut donc être assimilé aux autres religions monothéistes qui sont des religions entièrement à  part contrairement à lui qui est une religion à part entière et à ce titre il est intouchable et doit être traité différemment des autres.  La loi républicaine n’a fait que remettre le chritianisme sous sa place comme l’a fait l’islam avant lui. Il n’a pas attendu le législateur républicain pour mettre le christinosme  pour rec dès que l’on écorne l’image idyllique de l’islam que les musulmans font tout pour la soustraire du regard perçant des démystificateurs de l’islam qui n’a d’amour pour la paix qui celle qu’il inflige aux siens et aux intrus au fil de l’épée.

C’est un quelque peu paradoxal, comme si l’islamisme comme le dit mon ami Hamid Zanaz n’était pas le vrai visage de l’islam ou  selon ma propre définition sa forme la plus aboutie et la plus fidèle qui le fait sortir de l’ombre à la lumière.

L’islamisme est bel et bien la face émergée de l’iceberg musulman et que c’est grâce à lui que l’islam ne peut plus avancer à visage découvert, à pratiquer sa takkiya. Enfin démasqué et débusqué, il ne peut plus se prévaloir des vertus qui n’ont jamais été les siennes, ni continuer à abuser de la crédulité du monde  voire des siens qu’il menace de mort si d’aventure ils veulent l’abjurer.

Les masques sont tombés et l’islam est pris au piège de son propre jeu.

Mais afin d’éviter les procès en sorcellerie et ne ne plus être taxé d’islamophobe au suffixe qui renvoie à l’état de troubles psychiques et de la souffrance psychologique dont sont atteints les inquisiteurs musulmans qui manient l’anathème et l’invective en attendant qu’ils puissent manier le glaive et les bombes comme leurs coreligionnaires islamistes, je vais me borner désormais à remplacer juste le mot islam par islamisme.

Cependant, Il y a encore un autre problème de taille, en effet, dans l’islamisme, il y a la racine islam quant au suffixe isme qui confère à l’islam un sens idéologique, même s’il n’est pas la seule religion dans le cas d’espèce qui n’a d’incréé que sa vérité mensongère et son imposture.

Pour ne plus ébranler les musulmans dans sa croyance et ne pas essuyer les foudres mortelles de leur colère légendaire, manifestation de leur passion hystérique, on a le droit de critiquer l’islam quand il s’écrit avec un isme, mais on a pas le droit de critiquer la racine islam de l’islamisme.

Un casse-tête musulman et dire que les musulmans ont appris qu’une seule chose, gober tout ce leur prophète a raconté sans qu’aucun témoin oculaire et auditif contemporain n’ait eu à le confirmer.

il suffit d’être idiot pour être croyant, c’est aussi valable pour toutes les autres quoique elles laissent le soin à leurs adeptes de les interpeller et faire jouer leur libre-arbitre.

En déclarant l’Etat gardien du Temple musulman, les constituants tunisiens mettent à mort la démocratie

On ne peut bâtir un Etat moderne et une société démocratique en assurant la primauté du sacré sur toutes autres sphères de pouvoirs. 

Etat protecteur du sacré ? Une religion a-elle besoin d’être protégée ? Y a t-il des dangers aussi raves qui la guettent au point qu’on a peur pour elle qu’elle ne disparaisse ?
Si Allah est omniscient, il doit être capable de protéger ce qu’il avait créé lui-même, en laissant le soin aux siens de réprimer la liberté au nom de sa protection, c’est la preuve même de sa lâcheté et de son inexistence. Un père protège ses enfants mineurs, les enfants une fois grands protègent leur père omnipotent, malade ou grabataire. 
Ce père Allah ne connait pas l’usure du temps, qui ne faiblit jamais, alors pourquoi ses hommes se font forts de se mettre au-dessus de lui pour veiller sur sa sécurité ? 
Qu’est-ce qu’il fait le plus peur si jamais il existait, si ce n’est que ses enfants le quittent, le mettant ainsi en péril. Sa peur de disparaître lui fait perdre la raison et le rend violent. Violent vis-à-vis de ses ouailles et violent vis-à-vis de ceux qui osent le quitter ou mettre en cause de son pouvoir. 
L’Etat n’est pas là pour protéger la sécurité d’une religion il a le devoir de protéger les libertés et la sécurité des hommes. 
On ne peut d’un côté faire de l’Etat gardien du temple musulman qu’il doit protéger contre les « agressions » extérieures qui ne sont en réalité rien d’autre qu’une manifestation du libre-arbitre fruit de la raison humaine. Qu’est-ce qui fait pas peur à un dogme ? C’est la remise en cause du dogme par le rationalisme humain. 
Pour préserver le despotisme obscurantiste, il n’y pas meilleur remède que de faire de l’Etat un gendarme de la religion négatrice des libertés.
L’Etat moderne n’est pas au service d’une religion ou au service d’une idéologie et d’afficher ainsi son appartenance partisane qui laisse subsister de sérieux doutes sur sa propre indépendance et son impartialité dans la conduite des affaires du pays. 
Ainsi, un Etat protecteur de la sphère religieuse signifie clairement que l’Etat a choisi son orientation idéologique d’essence théocratique. Plutôt que de veiller et d’assurer un juste équilibre entre les sphères des pouvoirs, on établit non seulement un déséquilibre grave entre les sphères de pouvoirs néfastes à l’émergence d’une société humaine, plurielle, multiconfessionnelle, laïque, du bien vivre ensemble, du libre-arbitre, du respect des libertés de tout un chacun,mais également on élève la religion au-dessus de tout. 
Qu’il puisse avoir une hiérarchie entre les lois c’est une chose et qui ne compromet aucunement la bonne marche de la démocratie, mais introduire une hiérarchie entre les pouvoirs en consacrant la religion comme étant le pouvoir suprême du pays avec un Etat qui se préoccupe plus des intérêts d’Allah plutôt que des hommes ouvre la voie à l’arbitraire, à l’autoritarisme, à la censure en tous genres, à la délation inquisitoriale, à la répression des libertés et à leur prohibition. Une religion ne peut prospérer que dans un environnement liberticide soumis au diktat de l’interdit, ouvrir la voie aux libertés revient tout simplement à la mettre en danger de mort. 
Les Etats les plus démocratiques au monde sont ceux où la religion est réduite en peau de chagrin et inversement. 
Il n’y a aucun espoir de démocratie avec l’article 6 qui dévoie la mission de l’Etat pour le mettre aux ordres de la religion.

 
 

Plutôt que de vouloir assassiner la démocratie, n’est-il pas mieux de bannir les « islamophobes » en Arabie ou en Iran

Merci à la noble ligue de défense de la vertu musulmane d’avoir apporté de l’eau à mon moulin

On ne veut pas me décapiter parce que j’ai écrit dans l’article « L’homme musulman est né pour servir sa religion et tuer la démocratie » qu’Allah est homophobe, raciste, pédophile, haineux, nombriliste, antisémite,hégémonique, sanguinaire, ethnocentrique, suprématiste et ne reconnait pas l’égalité entre les hommes et les femmes et qui veut créer une cité idéale purifiée des non musulmans, un Reich islamique, mais parce que j’ai fait un parallèle entre l’islam et le nazisme et qu’Hitler serait le clone du prophète voire son fils bâtard, ce qui avait suscité le courroux de l’admirable ligue de défense judiciaire de la vertu musulmane et qui veut laver l’affront fait à l’islam.

Mais étant donné que le droit français ne reconnait pas le délit de blasphème caractérisé ou les atteintes au sacré « comme là-bas dis », alors que je n’ai pas le sentiment d’avoir ébranlé l’image parfaite que les pieux musulmans font de leur religion ( 5 ans de prison au Maroc, 7 ans et demi en Tunisie, la décapitation en Arabie et en Iran), la ligue connue pour les extraordinaires qualités morales, du savoir-faire professionnel, de l’oeil avisé et la rigueurs intellectuelle de ses deux dévoués et désintéressés duettistes qu’Allah les bénisse et les élise dans son Lupanar divin amen, a trouvé une parade géniale: incitation à la haine en vertu de la loi de 1881.

Etant supposé moi-même être né musulman, j’aurais ainsi commis un double péché mortel : violer le sacré et commettre un acte d’apostasie.

Le but inavoué de ces deux braves défenseurs de la sublime et très démocratique et humaniste religion de la paix au fil de l’épée, est moins que la justice mécréante restaure l’hymen de la vierge musulmane que j’aurais violée, mais de me désigner comme le mal qu’on doit expurger du corps humain en danger de mort à cause des outrecuidants de mon espèce.

Leurs intentions sont fort louables comme  celles de cet auteur, diplômé des grandes écoles de la pensée éclairée et humaniste de l’islam, de l’incroyable dictionnaire de l’islamophobie qui s’est livré à un réquisitoire inouï, pp¨230-234, qui doit lui valoir la reconnaissance éternelle d’Allah. Je me demande si l’un n’avait pas requis et l’autre n’avait pas prononcé la sentence.
Ceci étant, je comprends la peine affligée par mes écrits à ces êtres sensibles et inoffensifs qui n’ont jamais fait du tort à l’humanité, et je réclame solennellement que la justice d’Allah me frappe.

Plutôt que mes inquisiteurs prennent le risque de se voir déboutés par la justice républicaine, il serait plus judicieux pour eux d’organiser une collecte dans les mosquées de France afin de m’offrir un aller sans retour en Arabie Saoudite, terre sacrée de la vertu musulmane. où ses justiciers sauront accomplir le plus chirurgicalement et esthétiquement du monde le châtiment prévu à cet effet dans la pure tradition mahométane : décapitation-crucifixion.

L’honneur d’Allah, du prophète, de l’islam et des musulmans n’a pas de prix et ma mort ne saura jamais leur rendre la joie connaître l’orgasme avec la vierge musulmane. Déflorée par le gentil pédophile et incestueux Mohamed, violeur en série des captives de guerre, ils ont beau avoir avec Allah un grand expert en chirurgie esthétique, ils ne pourront jamais y parvenir. Ces malades dont le cas est désespéré que je ne cesse de flatter et de couvrir chaque d’éloges dans l’espoir de provoquer un électrochoc chez eux et de leur faire prendre conscience qu’il n’y a de religion que dans la pensée diversifiée et plurielle, il n’y a de dieu que l’homme et qu’il n’y a d’amour que pour le genre humain.

Allah est à l’image des siens. Si son image est hideuse c’est à eux d’y répondre et ils sont trop mal placés pour faire un procès en sorcellerie à ses portraitistes. Ses traits ne sont ni travestis ni exagérés, ils sont fidèles aux images qu’ils véhiculent eux-mêmes de lui.

Qu’ils assument leur humanité d’abord et se décentrent de leur religion et fassent preuve d’humilité et de lucidité avant de brandir le glaive pour couper la tête de leurs victimes.

Je remercie toutefois la ligue de l’inquisition musulmane, présidée par un honorable avocat qui a abandonné la robe pour la soutane djihadiste d’avoir validé par lui-même tout le bien que je pense de l’islam.

Israël n’a jamais été l’ennemi de la Tunisie, ce qui l’est ce sont les tunisiens eux-mêmes, incapables de libérer leur pays

 

Je crois savoir que ce n’est pas un crime pour une tunisienne ou un tunisien de se rendre en Israël à quelque titre que ce soit, ce qui l’est c’est d’avoir vendu la Tunisie au Qatar et l’Arabie au nom de l’arobo-islamité qui est un acte de haute trahison.

Est-ce que cela le fait d’y aller remet en cause son amour pour la Tunisie qui justifie un lynchage médiatique alors que c’est à Israël de juger qui est digne ou non d’entrer dans son territoire  ?  Si la nouvelle ministre de tourisme a été amenée à visiter l’Etat hébreu pour des raisons qui la concernent est-ce une raison pour lui faire un procès en inquisition à l’image de celui qu’on lui a intenté aujourd’hui à l’ex A.N.C. qui ne s’était pourtant ému quand un des siens à fait le geste de la quenelle au caractère antisémite manifeste ?

Pourquoi criminaliser qui ne l’est pas exalter le djihad du sexe par exemple ? Il me semble même qu’un homme qui était un ami dans la vie devenu par je sais quel tour de magie népotique président de la haute instance électorale s’était rendu au moins à 2 reprises en Israël, ce qui est à son honneur, sans que cela ne heurte la bonne conscience tunisienne qui ne s’était pourtant pas émue de l’accolade troublante et suggestive entre Mc Cain et Hamadi Jébali. Une indignation à géométrie variable. 
Personnellement si demain la plainte de la Ligue de défense judiciaire est jugée recevable par le parquet je demanderai à tous les coups l’asile politique à Israël.
Israël n’est pas le diable et la cause palestinienne n’est ni votre  cause ni votre business. Occupez-vous de la cause tunisienne, un pays en danger de mort à cause de votre inertie et vos compatriotes nahdhaouis et leurs complices du CPR et du TAKATOL. La honte est de ne rien pour son pays que de ruer à hue et à dia sur vos compatriotes qui ont foulé le sol d’Israël. 
L’honneur national n’est pas bafoué ce qui l’est c’est la honte d’avoir confondu un bulletin de vote avec un ticket d’entrée au paradis

Les ligues de défense de la virginité de l’islam veulent criminaliser la liberté d’expression

En parcourant rapidement le site de la Ligue de défense judiciaire des musulmans, où depuis quelques jours je suis le sujet de discussions enfiévrées et endiablées de ses partisans me couvrant d’insultes et d’anathèmes, j’ai pu mesurer Ô combien les défenseurs-djihadistes de l’islam  sont obsédés par la charia et aimeraient  tant rétablir la loi de Talion en faisant leur propre justice eux-mêmes.

Quand aux lois antiracistes de la république dont ils se prévalent pour criminaliser la critique de l’islam et la personnalité de leur prophète, elles ne sont en réalité qu’une aubaine et un subterfuge pour obtenir une jurisprudence de délit de blasphème. En se considérant comme ébranlé dans sa croyance, ainsi n’importe quel musulman peut demander la condamnation du contrevenant dont les idées et les écrits ont provoqué son émoi.

Plutôt que de décréter une fatwa de condamnation à mort de l’insolent comme lors des affaires de Salman Rusdhie ou Tasleema Nasreen, ces multitudes d’association loi 1901 dont l’objet est plus idéologique et religieux que républicain, recourent habilement et pernicieusement aux  lois de la république  pour se donner en même temps une posture républicaine et officialiser par la voie jurisprudentielle la charia, autrement dit l’inquisition musulmane.

Si par extraordinaire, elles obtiendront demain un jugement qualifiant les critiques de l’islam et reconnaître implicitemente le statut de race aux musulmans en vertu de la loi de 1881, c’est tout simplement une mise à mort inéluctable de la liberté d’expression et le droit d’exprimer son opinion sur telle ou telle religion sans encourir le risque de passer sous les fourches Caudines de la justice.

Une telle jurisprudence sera un véritable requiem pour la démocratie d’une part et d’autre part elle marquera l’amorce officielle de l’inféodation définitive de la France à la charia aux conséquences désastreuses, provoquer un exil politique sans précédent de tous ceux qui ne veulent pas vivre sous la dictature de l’islam telle que veut l’instaurer sournoisement l’O.C.I.

Le crime est moins dans la formulation des idées qui dérangent et qui ne sont l’expression d’un droit fondamental dont l’islam ne connait guère le sens, que dans la réaction démesurée qu’elles suscitent. Ces lecteurs mus pour l’occasion en procureurs ne se rendent pas compte qu’ils sont eux-mêmes les vrais ennemis de leur religion et le meilleur alibi de ceux qu’ils cherchent à crucifier par leur violence verbale en attendant qu’un jour ils pourraient leur ôter la vie comme en Iran et en Arabie Saoudite voire la plupart des pays musulmans.

Ils n’ont pas appris qu’on ne grandit pas dans la calomnie. Car ce n’est pas en employant un langage ordurier et nauséabond et traiter la cible de leur courroux de chien, de singe, de porc, de vendu, de sioniste, de sale juif, de mécréant, de laïc ( qui est une insulte dans leur bouche) que cela va contribuer au renforcement du crédit de leur religion et lui donner cette image de religion de paix dont ils l’affublent, alors qu’eux-mêmes ils font preuve d’agressivité et de bellicisme qui ne peuvent que témoigner de leur état de lobotomisation avancée.

Qui dit paix dit aussi sérénité qu’il est difficile de la déceler à travers leurs commentaires exécrables à mon sujet. Juste des insanités, des élucubrations psychotiques et des délires hystériques qui me confortent dans mon idée que la violence est le premier pilier de l’islam et de mes inquiétudes légitimes que ma vie ne vaudra pas chère si un jour ces fanatiques aveuglés par leur passion de la leur religion  me mettent la main dessus.

Plutôt que de faire preuve d’un sens aigu du débat républicain  et d’échanges d’idées constructifs  nécessaires à éclairer l’opinion publique sur le vrai visage de l’islam, de sa compatibilité avec les valeurs de la république, de la volonté des musulmans de s’intégrer dans la république et de leurs réels attachements à la laïcité qui est une hérésie au regard de leurs dogmes, ils affichent leur hostilité pathologique à toute voix discordante de la leur tout en marquant leur choix préférentiel à l’islam  qui prime sur la république.

On ne répond pas non plus à la haine par la haine en l’instrumentalisant à l’image de certains sites de la vertu musulmane, ne serai-ce en lui offrant une tribune, ni en soufflant sur sa braise et attisant la discorde.

Leur attitude excessive et inquisitoriale n’est-elle pas elle-même la preuve que l’islam a peur de l’examen de la vérité qu’il veut étouffer par tous les moyens de peur de sa faire démasquer ?  Pourquoi s’enflamment-ils et vocifèrent-ils dès lors que des intrus veulent lever le voile sur le visage de l’islam auxquels ils opposent le principe de l’inviolabilité du sacré de l’islam ?

Si la Maison de l’islam est aussi solide et viable, n’est-elle pas capable de résister aux légers soubresauts qui la secouent alors qu’elle-même fait souffler une tornade sur le monde ?

L’islam n’a jamais été en péril, il est lui-même un péril pour les siens et l’humanité comme en attestent la tragédie syrienne et les persécutions sanguinaires des chrétiens du nord du Nigéria. Mais les défenseurs autoproclamés de l’islam préfèrent tirer des boules puantes sur ceux qui lient violence et islam qui interpellent et mettent à nu les textes dits sacrés et la personnalité mythifiée et embellie de leur prophète. Adeptes de la takkyia, elles se font fort de dissimuler leurs intentions malveillantes en cherchant des artifices judiciaires pour islamiser insidieusement  la république avec ses propres lois d’une part et de clouer au pilori les islamo-incompatibles. Sous couvert de défense de l’indéfendable, ils désignent à la vindicte populaire ceux qu’ils jugent comme ennemis de l’islam et des musulmans, et ce en violation flagrante de la loi sécurité et liberté et plus grave encore, ils font planer de sérieuses menaces sur leur vie.

Des ligues de défense qui présentent pourtant un réel danger pour les fondements de la république, semblent fonctionner comme de tribunaux inquisitoriaux où le mis en cause est jugé coupable et condamné pour ses idées  irrépréhensibles aux yeux de la justice républicaine et répréhensibles au regard de la charia.

A cause de la mansuétude bienveillante de la république, on assiste aujourd’hui au développement d’une nouvelle forme de justice   excelle dans la multiplication des effets d’annonce des dépôts de plainte qui sont de véritables réquisitoires contre les outrecuidants.   Dans les affaires d’apostasie ou d’atteintes au sacré, on a pas besoin dans le droit musulman de  procès juste et équitable, il suffit de déclarer un individu ayant renoncé à sa foi ou comme étant un ennemi de l’islam pour rendre licite son exécution. . .

Quelle que soit la suite donnée à leur plainte, le jugement est déjà rendu et il revient aux musulmans de l’exécuter en vertu d’un fatwa que n’importe quel imam peut décréter.

Malgré les évidences, les musulmans continuent  à seriner partout que l’islam est une religion de paix et de tolérance alors qu’il est fermé au dialogue et allergique à la compréhension mutielle. Il ne connait du dialogue que sa propre vision de la vérité dont il veut faire l’unique vérité pour tout le monde.

Si l’islam n’était pas hégémonique, expansionniste et totalitaire, ne sanctifiait pas le racisme, l’antisémitisme, les inégalités sociales et sexuelles, ne prônait pas la suprématie des musulmans sur les autres, n’appelait pas au meurtre des apostats, n’octroyait pas le statut de dhimmis aux gens du livre, n’appelait pas à la destruction des systèmes de valeurs qui n’avaient pas son essence, ils auraient certainement adopté une toute autre posture que de vouloir anéantir ceux qui brisent la loi de silence dont ils veulent faire une loi universelle inviolable comme si elle avait valeur de Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Quand on a pas peur du langage de la vérité, on doit rester zen et poli, plutôt que de sabrer les voix discordantes.

Personnellement et qu’il n’en déplaise à mes procureurs-djihadistes, je ne corresponds en rien au portrait diffamatoire qu’ils brossent de ma personne et qui n’est que le reflet de leur propre mépris et aversion d’eux-mêmes. On projette sur les autres ce qu’on est soi-même. Je ne suis ni vendu, ni mécréant, ni un chien, ni un renégat, ni un mercenaire de la plume, ni un apostat de l’islam, je suis un homme à la pensée libre, guidé par mes seules préoccupations humanistes et  inquiet par la montée du péril musulman dans son expression radicale qui semble être la vraie nature de l’islam dans la pure tradition mahométane, longtemps occultée par cette image erronée d’un islam apaisé.

Aujourd’hui c’est le véritable islam qui reprend ses droits, celui que Mahomet a laissé en héritage à ses fidèles dont ses nouveaux défenseurs-inquisiteurs, qui veulent retourner les lois de la république en leur faveur pour censurer et anéantir la liberté de pensée avant d’achever la république elle-même.
Si l’islam ne prêchait pas la violence, pourquoi en font-ils alors une arme de défense de leur religion et ont la haine de ceux qui bravent leurs interdits et défient leurs dogmes sans jamais s’attaquer aux personnes ?

Que les musulmans condamnent les atrocités des leurs, plutôt que jouer à la vierge effarouchée

Qui tuent, massacrent les chrétiens, terrorisent, décapitent, égorgent, bannissent, relèguent, discriminent, lapident, répandent la mort,mettent en péril la paix et la sécurité dans le monde, bafouent les lois humaines, qui se veulent les maîtres du monde, polluent l’atmosphère la rendant irrespirables et tchernobylienne, est-ce les écrits des islamo-incompatibles ou les activistes musulmans qui bénéficient de la complicité passive de leurs coreligionnaires ?
Quand on a un fonds d’humanité en soi on condamne les crimes des siens et on ne fait pas un ramdam pour des écrits jugés défavorables à l’islam.
Quand on a peur de la vérité, c’est que l’on a peur de sa propre humanité, on se mure dans le déni pour ne pas se renier soi-même et affronter la vérité en face.
Que tous ces défenseurs-inquisiteurs de l’islam commencent à dénoncer les crimes des leurs et notre regard sur leur religion changera tout au moins dans sa forme.
Quand on projette soi-même des images apocalyptique et effrayante de sa religion, on ne peut que leur faire une description fidèle de ce qu’ils émettent. Que cette description ne soit pas de leur goût, ils n’ont qu’à faire l’effort d’améliorer la qualité de leurs images si ce n’est de leur image pour que le feed-back soit enfin à leur goût.
Qu’ils apprennent à se remettre en question plutôt que de vouloir remettre en question les libertés publiques et s’y accommodent même quand elles les dérangent et leur servent de poil à gratter.
Pourquoi veulent-ils tuer à ce point les libertés s’ils n’ont pas peur des vérités qu’elles leur renvoient de ce qu’ils croient être la religion la lus parfaite et qui condamne à mort tous ceux  qui expriment le moindre doute sur sa perfection.
Savent-ils au moins qu’il n’y a de religion que dans l’humilité et jamais dans la vanité et la négation de la réalité.
Si l’image de l’islam est si dégradée, ce n’est pas la faute aux écrits défavorables à l’islam, ce sont les images et les faits criminels dont son coupables les activistes musulmans qui les nourrissent et qui ne froissent guère leur susceptibilité.
Ce n’est jamais ni la faute à l’islam, ni la faute aux musulmans, mais alors qui est le vrai coupable ?
Le jour où ils assumeront la responsabilité de leurs actes et prendront conscience de leur gravité qui s’ils ne font rien pour les enrayer, ils seront les premiers à en pâtir.
Qu’ils cessent de faire de l’autre le bouc-émissaire de l’image exécrable qu’ils dessinent eux-mêmes de leur religion. C’est trop facile de se défausser sur autrui quand on ne veut pas assumer ses échecs personnels.
 Il est à douter qu’ils connaissent le sens de cette citation : Si tu n’es pas notaire, c’est la faute à Voltaire, tu es petit oiseau, c’est la faute à Rousseau.

Ennahdha n’est jamais partie et les tunisiens n’ont toujours rien compris

Une nouvelle constitution au mépris de la voix du peuple, un président de pacotille qui continue à faire le mariole et un gouvernement sous-marin d’Ennahdha.

Les tunisiens naïfs et benêts se pavanent comme un idiot du village du départ d’Ennahdha qui n’est jamais partie, elle est plus que jamais là. Elle qui a fait le choix du terrorisme comme voie de conquête du pouvoir, ce n’est certainement pas aujourd’hui qu’elle va lâcher sa proie tunisienne sur laquelle elle lorgnait depuis 1975, l’époque où elle portait le nom du M.T.I. Que les tunisiens ne vendent pas trop tôt la peau du charognard islamiste, qui ne rêve que d’une chose dépecer la brebis tunisienne, ce n’est qu’une fausse sortie, un coup de bluff médiatique pour apparaître aux yeux de l’opinion publique internationale comme étant le premier parti à la tête d’un pays dans le monde à avoir renoncé de lui-même au pouvoir dans l’intérêt supérieur de son pays. Retrouver du crédit et se draper dans l’honorabilité démocratique pour esbroufer les tunisiens. Faire braquer les feux des projecteurs sur ses adversaires afin de desserrer l’étreinte médiatique mais en aucun cas politique
Ce n’est qu’au faux départ pour retrouver un nouveau souffle et préparer les futures échéances électorales en position de vainqueur potentiel. Cela lui permettra d’éviter le vote-sanction tant craint d’une part et d’autre part elle pourra se vanter d’être le premier parti islamiste au monde, quelle hérésie, après son modèle turc l’AKP de Recep Erdogan à avoir gagné deux fois de suite à avoir raflé la mise électorale et qui laissera les coudées franches pour appliquer la charia dans le respect de la constitution qui porte en elle tous les germes d’un régime théocratiques.
Contrairement au socle constitutionnel turc absolument laïc et immunisé contre toute intrusion de l’islam , la constitution tunisienne fait de l’islam sa colonne vertébrale qui laisse la porte ouverte à toutes les interprétations possibles et donnant les pleins pouvoirs à l’Etat protecteur du sacré d’arbitrer les conflits entre les exigences des interdits religieux et les exercices des libertés publiques.
En adoptant une posture démocratique Ennahdha d’un repli tactique, marque des points dont les effets se feront sentir à moyen terme. Redorer son blason terni par son bilan désastreux et les assassinats politiques qui ne seront pas élucidés de si tôt avec le le maintien de son Charles Pasqua à la sauce islamiste, expert dans la destruction des preuves et de la manipulation et le charcutage électoraux.
Que l’opposition fantoche tunisienne se garde à crier victoire. En effet, elle n’a jamais pesé dans les rapports de force politique en Tunisie, encline surtout à chercher une alliance avec Ennahdha plutôt que d’être dans l’affrontement politique et dans la contestation de sa légitimité et encore moins en tant que force de proposition et de critique active et éclairée de son action afin d’apparaître comme une alternative crédible. Elle l’a laissée dicter sa loi et mener sa partie d’échecs toute seule à simuler les coups, à les esquiver, à faire avancer ses pions au gré des événements et des besoins de la partie. 
Un changement dans la continuité sous forme d’un jeu de chaises musicales avec des acteurs interchangeables dirigés en main de maître par Raspoutine Ghannouchi. 
Par conséquent, ceux qui croient que la Tunisie a tourné la page de l’islamisme, ils feraient mieux d’abjurer leur foi musulmane.
L’islamisme ne sera vaincu que par la force des armes et certainement pas par la voie des urnes. 
Il y a tout lieu de croire au vu des derniers rebondissements en Libye, où des forces pro Gueddafi semblent en voie de l’éradiquer ainsi que leur défaite cuisante en Egypte où ils ont été chassés du pouvoir et en Algérie au prix de 300 000 morts que le salut de la Tunisie pourrait venir des efforts conjugués entre les Etats de la région qui ont payé un lourd tribut à l’utopie criminelle de l’islamisme. 
Il est à douter que ces pays voient d’un bon oeil la présence à leurs frontières d’un sanctuaire terroriste pro Qaïda qui fera peser de réelles menaces sur leur intégrité territoriale et leur pérennité politique.
Aucun d’entre eux n’a intérêt y compris l’Occident lui-même n’acceptera l’éventualité de l’émergence d’un nouvel Afghanistan à ses portes et d’assister impuissamment au retour des djihadistes de Syrie en quête d’asile territorial et à l’afflux massif des terroristes du monde entier pour lesquels la Tunisie servira de base-arrière pour la réalisation de leurs desseins oummiens dont ces pays sont la cible prioritaire.
Un avenir des plus sombres se dessine pour la Tunisie tant que les tunisiens n’ont pas pris la réelle gravité de la peste islamiste et continuent à voir en la secte félonne d’Ennahdha un acteur soucieux des intérêts de la nation tunisienne.

 · 

 

Lettre blasphématoire aux ligues djihadistes de défense judiciaire de l’islam

Au lieu de chercher à étouffer ma voix, à censurer mes écrits, à m’injurier, dites-moi en quoi ai-je tort ? Argumentez plutôt que de me condamner sans management ni procès. Vous recourez à la violence comme si c’était votre seule arme pour ôter la lumière de la vie qui éclaire la pensée « mécréante ». Vous ne savez faire que tuer l’intelligentsia chez vous. Vous avez tué Tahar Djaout en Algérie, Farag Foda en Egypte après avoir tenté d’assassiner Néguib Mahfoud.
En Occident, vous cherchez à sceller leur sort doublement mettre leur vie en péril d’une part et d’autre part les tuer autrement au nom de la défense judiciaire des musulmans en recourant aux lois antiracistes alors que l’islam n’est pas une race, un dogme parmi tant d’autres.
Si vous avez du respect pour ces lois, pourquoi vous ne faites rien pour éduquer vos coreligionnaires à leurs devoirs civiques ?
Vous êtes tellement inaudibles et aphones quand il s’agit de condamner leurs atteintes répétées aux symboles de la république.
Que faites-vous pour endiguer le fléau du djihad qui ébranle les cités et menace la pérennité de la république ?  Que faites-vous pour défendre les libertés et les droits de la femme, des homosexuels, de la petite enfance, le statut des non-musulmans dans les chères terres où l’islam règne en maître absolu ? Votre silence ne fait que confirmer l’essence violente de votre religion à laquelle vous voulez redonner une virginité à bon compte en obtenant les jurisprudences pour clouer au pilori la liberté d’expression dérange sa Suffisance Majesté Islam.
Vous ne devez pas ignorer que les lois de la république ne reconnaissent pas le délit de blasphème. Vous voulez vous prévaloir des jugements républicains pour conférer un statut de droit commun à votre sacré qui n’a de sacré que la définition que vous lui accordez, l’interdit de l’interdit. Vous n’avez pas besoin du concours des juges pour ce faire, le fait que vous rendez public le nom de celui qui ose ébranler les musulmans dans leur croyance, cela suffit en soi pour en faire la victime expiatoire offerte en Holocauste pour la rédemption de vos âmes.
Après avoir vous-mêmes fait preuve fait preuve d’un comportement pour le moins répréhensible et pour le moins dérangeant pour l’ordre républicain, vous voilà devenus nobles djihadistes de la vertu musulmane, histoire de vous repentir, même si ce mot n’existe pas dans votre répertoire musulman, et faire acte de contrition pour vous racheter aux yeux de cette divinité qui est le mal et le bien à la fois, qui enseigne la violence et le mépris de l’autre et qui a fait de la mort la tombe de la vie.
La religion n’est pas une cause pour laquelle on dit militer, il n’y a de cause que la cause de l’homme, celui qui est différent de soi que votre religion voue aux bûchers de l’enfer pour n’avoir pas suivi la voie de l’islam.
Sous prétexte de défense, une défense inquisitoriale, vous établissez la liste noire des « ennemis » de l’islam. Vous êtes sans savoir qu’être ennemi de l’islam un crime punissable des pires châtiments.
Pour un supposé né musulman, c’est encore pire et ça vous ne devriez pas l’ignorer, cela équivaut à un acte d’apostasie et qui vaut à son auteur la peine de mort que n’importe quel musulman soucieux de l’honneur de sa religion doit accomplir dans le respect de l’enseignement de son prophète : « quiconque renonce à sa religion, tuez-le  »
Vous prononcez un verdict avant que la justice républicaine n’ait à se prononcer sur la recevabilité de votre dépôt de plainte pour atteintes au sacré, c’est de cela qu’il s’agit. Vous semblez oublier que nous ne sommes pas dans un pays musulman.
Quand vous jetez le nom de vos opposants en pâture à vos chiens affamés, vous ne faites qu’attiser la braise de la haine jamais éteinte chez vous depuis 1435 ans.Comme les appels aux meurtres et les agitations hystériques sont contre-productifs, vous avez changé de fusil d’épaule pour vous donner une illusion républicaine.

Révéler la face cachée de l’islam n’est pas une infraction pénale ni de l’islamophobie

Plutôt que de poursuivre des femmes et de hommes pour leur islamo-incompatibilité et vigilance active et citoyenne à l’égard de l’islam, il serait plus responsable de faire enfin une lecture objective du Coran et de mettre à nu le mythe de l’islam de paix et d’amour.

Ce ne sont pas ceux qu’on appelle abusivement islamophobes par complaisance collaborationniste avec l’islam qui sont le danger, c’est ce dernier et ses adeptes qui menacent les fondements de l’humanité.

Il n’y a aucune connotation haineuse quand on qualifie l’islam de crime contre l’humanité ni réclamer sa déclassification en tant que religion. Le crime est d’occulter et de mentir sur la vraie nature de l’islam. En voulant bâillonner les voix qui tranchent avec le politiquement correct et qui brisent les mythes sur l’angélisme de l’islam, leurs inquisiteurs et accusateurs se rendent complices eux-mêmes de crime contre l’humanité.

Les vrais coupables sont les musulmans qui tuent au nom d’Allah Akbar et ceux qui le drapent dans ses vertus qui n’ont jamais été les siennes et dont il en est à de années-lumière. Il n’y a pas de livre sans auteur comme le Coran ne peut pas être la parole révélée. Critiquer ce brûlot infâme ne relève pas du champ de la loi, à moins que l’on ait rétabli en France le délit de blasphème. En gardant le silence sur ce manifeste inhumain et barbare on approuve ses injonctions nauséabondes à l’incitation à la haine de l’autre, au racisme, à l’antisémitisme, sa légitimation de l’esclavage sexuel, du pillage et du racket.

Ce n’est pas de l’islamophobie que d’appeler à son interdiction à cause de son bellicisme, sa sanctification du génocide des mécréants, son ethnocentrisme, sa sacralisation des inégalités entre les hommes et les sexes, son homophobie tout en promettant das beaux éphèbes à ses fidèles au paradis, son apologie de la violence et du suprémacisme.

Les mêmes qui veulent me lyncher aujourd’hui pour offense à l’islam et racisme anti-musulman on ne les entend jamais élever la voix pour condamner Qaradhaoui et son abomination du juif dont il appelait à l’extermination et d’adulation du nazisme, ni exprimer leur répulsion à l’égard  terrorisme musulman ou le djihad du nikah, de la montée, ni manifester la moindre inquiétude du péril islamiste et les atteintes graves et répétés aux valeurs de la république.

A croire qu’ils ont trouvé avec leur nouvelle vocation une aubaine pour leur rédemption désintéressée, l’est-elle vraiment ? Il n’y  a que le Qatar et l’Arabie Saoudite qui le savent.  

Leur action militante bénévole et leur dévouement  et  engagement louable sans faille sur lesquels le doute n’est pas permis, comme pour les vérités coraniques  frappées d’interdits de peur que des esprits malveillants ne les déflorent comme leurs vierges déflorées sur le front syrien par de djihadistes vauriens,  et les hadiths hagiographiques et apocryphes rapportés par un biographe 2 siècles après la cruelle disparition de leur Saint Prophète, un humaniste hors pair, que tout bon musulman qui ne veut pas rater sa vie dans l’au-delà après avoir raté celle sur terre doit en faire le phare qui éclaire le chemin ( charia) qui  relie sa vie misérable à sa vie prometteuse  dans le monde des morts.

Grâce à aux combats  sur le terrain de la terreur  pour les plus violents et suicidaires et les deux pièces cravates qui ont choisi le terrain des prétoires de la république dont certains d’entre eux furent radiés pour avoir navigué dans les eaux troubles infectées de spécimen issus des bas-fonds de la société, les musulmans mènent une campagne tous azimuts pour ouvrir la voie au règne d’Allah sur terre et instaurer la dictature de l’islam.

Censure, massacre, terrorisme, tuerie, décapitation, boucherie, égorgement, lapidation, racisme, antisémitisme, homophobie,exécution des apostats, bannissement des opposants et des athées, nettoyage religieux, relégation des femmes, toute la panoplie criminelle qui assure aux fidèles musulmans l’élection à cet univers dédié au sexe à gogo et à l’alcool à flot qui fait saliver tous les obsédés et dépravés sexuels duquel seront exclues les femmes pour défaut d’islamité et déficience mentale.

Tous ceux ou presque qui rêvent d’un monde où ils pourraient donner libre-cours pour l’éternité à leurs penchants alcooliques et pulsions sexuelles sans interdit et sans limite, s’érigent désormais en procureurs-inquisiteurs des offenseurs de l’islam sans qu’ils n’en connaissent eux-mêmes sa véritable signification idéologique et politique, profitant ainsi de la générosité et la cécité des lois de la république dont ils n’en ont cure pour les retourner contre ceux qui s’inquiètent du de menaces que présente pour ses fondements la montée du péril musulman dont les dégâts sont incommensurables dans les pays musulmans eux-mêmes.

Au nom des lois antiracistes, ils veulent étouffer la voix de ceux qui dénoncent le racisme de l’islam lui-même et le statut de dhimmis octroyé aux gens du livre. Quant au sort de ceux qui n’appartiennent pas aux religions abrahamiques,  ils n’ont le choix qu’entre l’exil  si ce n’est la mort ou la conversion.

Ces nouveaux cavaliers noirs de l’islam se sont-ils émus quand le président déchu Mohamed Morsi avait lancé un ultimatum aux coptes de choisir entre l’islam et le bannissement ? Peut-être que cet avocat tombé en disgrâce saurait-il y répondre ?

S’est-il lui et sa ligue autoproclamée de défense d’une religion qui s’est discréditée elle-même et qui fait peur à 75% de français, qui ne lui a confié aucun mandat pour lui rendre sa vertu mise à mal par Riposte Laïque et moi-même, inquiétés un jour du sort des apostats de l’islam, des athées, des laïcs, de la petite enfance, des femmes et du régime liberticide auxquels sont soumis les populations musulmanes captives de l’islam ?

 Quand on se veut animé d’un esprit d’équité et de probité, on ne tombe pas dans le jeu du sectarisme et de l’ostracisme. La plume ne tue pas, les djihadistes musulmans tuent.  

Si l’islam a peur à ce point de la critique  pour vouloir la bâillonner en France après l’avoir dissoute dans un bain d’acide chez lui, il témoigne de lui-même de son incapacité à s’adapter à un environnement républicain et de ses velléités antidémocratiques.

Il doit savoir que la liberté d’expression est un droit  inaliénable pour laquelle des dizaines de millions de femmes et d’hommes  de par le monde ont donné leur vie, elle ne tolère aucune exception pour restreindre son champ de liberté ou l’annuler.

 Au nom du sacré de l’islam, on veut assassiner les libertés par la voie judiciaire au nom du suprématisme de ses lois. Si l’islam était aussi respectueux  des libertés et des droit humains, pourquoi ce qu’il revendique pour lui en terre mécréante ne l’accorde-t-il pas à ses ouailles et traite-t-il les autres de sujets de seconde zone, d’êtres impurs. Pourquoi les Etats les plus hostiles aux droits de l’homme et du citoyen sont-ils tous musulmans à l’exception de la Corée du Nord.

Que le défenseurs de la cause indéfendable de l’islam  aillent exercer leurs talents d’avocats de la cause de leurs coreligionnaires qui veulent exercer leur liberté de conscience dont certains d’entre eux sont condamnés à mort en Iran, au Pakistan et en Arabie Saoudite, ou à la prison au Maroc, en Egypte, en Algérie ou en Tunisie.  

Quand on le sens des valeurs et le réel souci du bien vivre ensemble on se fait d’abord l’avocat  de la république et non afficher publiquement son appartenance communautaire, le vrai mal qui gangrène l’unité de la France.  

Ce n’est pas la similitude troublante entre l’islam et le nazisme dont j’ai fait écho dans certains de mes articles et je ne suis pas le seul de surcroît  à l’avoir foi qui doit provoquer leur émoi et les ébranler dans leur foi pour m’intenter un procès en sorcellerie, c’est l’avenir sombre que leur foi laisse préfigurer pour l’humanité qui doit les effrayer et éveiller leur conscience si jamais ils en sont pourvues.

A moins que de par le silence ils valident la thèse de la parenté idéologique entre l’islam et le nazisme

Ennahdha ne cessera pas de multiplier les coups de bluff jusqu’à ce que la charia ensevelisse la Tunisie

La secte milicienne et mystico-mafieuse d’Ennahdha, agent du terrorisme confraternel musulman, a toujours plus d’un tour dans son sac.Ce n’est pas la nomination ubuesque d’un nouveau gouvernement qui va changer la physionomie de la partie. Elle continuera à semer les leurres, à chaque fois que les tunisiens découvrent le pot aux roses, elle en ressort un autre et ainsi de suite jusqu’à ce qu’ils finissent par en perdre la tête à force de leur donner le tournis.
Habile manoeuvrière, elle sait qu’elle les aura à l’usure en tant que maîtresse du jeu. Les tunisiens se sont fait piéger en réalité eux-mêmes d’entrée de jeu alors qu’ils connaissaient parfaitement le profil de ce joueur aux antécédents criminels qui n’en a cure des règles du jeu démocratique ni sécuritaire, ni pris en compte l’histoire philonazie de la Confrérie des frères de l’ordre de la félonie et de l’apocalypse dont Ennahdha est une filiale à 100%, et encore moins retenus la leçon de la tragique expérience algérienne, soudanaise et iranienne. Ni se poser des questions que tout esprit sensés se serait posé tout naturellement,pourquoi tant de bienveillance et de sollicitude pour les islamistes tunisiens de la part de l’Occident tant honni et diabolisé par eux ?
A quoi joue l’Occident qui a mis tout son poids dans la balance pour les draper dans les habits de l’honorabilité ?
Le fait même de se poser des questions est en soi un début de réponse et une expression de sa propre inquiétude et signe d’une grande vigilance intellectuelle dont rares sont ceux en Tunisie qui en sont pourvue.
ll est est vrai qu’Ennahda en mettant la religion au coeur du débat politique a obligé les uns et les autres de se positionner par rapport à une problématique qui n’avait pourtant aucune raison d’être mais elle l’est devenue à cause du positionnement rocambolesque et pathétique des partis qu’on croyait républicains et qui se sont avérés in fine aussi ouvertement religieux que la secte elle-même.
L’islam rien que l’islam et pas un traître mot pour la patrie. C’est comme si la révolution tunisienne ou son semblant, avait pour but final de redonner ses lettres de grandeur à l’islam qui sans lui il n’y a point salut pour la Tunisie.
Un leitmotiv cher aux nostalgiques de la splendeur de l’Oumma musulmane qui n’avait pour splendeur que l’obscurantisme, le fanatisme, l’intolérance, le bannissement comme ce fut le cas d’Averroes, l’anathème, la mise à mort des mystiques, la crucifixion de Halaj, la destruction des livres, le racisme illustré par le statut de dhimmis, la relégation des femmes, le rapt des femmes et des enfants, l’esclavage, le partage des butins, les jawaris, ce ne sont pas le rétablissement des valeurs de la barbarie humaine qui pouvait être porteur de droits fondamentaux considérés comme un sacrilège dans l’islam qui pour lui il n’y a des droits que pour Allah.
La scène tunisienne est devenue un véritable théâtre où chaque acteur joue sa partition de parfait musulman tel ce bolchevique réactionnaire et crypto- communiste resté figé dans la Révolution d’Octobre 1917 comme les nostalgiques du passé glorieux fantasmé emberlificotés dans l’islam des salaf, acteurs authentiques de la barbarie humaine.
La Tunisie qui croyait offrir un monde meilleur à es enfants, s’est trouvée prise au centre d’un challenge : qui va emporter la datte d’or de celui qui fait redorer son blason terni à l’islam.
C’est en toute logique qu’Ennahdha a gagné.

La nouvelle constitution tunisienne est un piège mortel pour les libertés et la Tunisie elle-même

Plutôt que de faire de l’Etat la sentinelle qui doit veiller à la sauvegarde des droits de l’islam, à sa pérennité et au respect de l’application de ses préceptes dans tous les domaines de la vie, il serait plus simple et cohérent de déclarer le Coran comme constitution de l’Etat. 
Ennahdha rusée comme un renard a juste joué sur les mots, un coup de bluff sémantique, en remplaçant la charia de l’islam par la protection du sacré.
Par cette fenêtre, elle balise la voie à un régime théocratique de type iranien articulé autour d’une oligarchie religieuse au pouvoir illimité et absolu. Autrement dit, les droits sont à Allah et les interdits sont aux hommes. 
Que l’article 6 soit remis en cause, cela ne change rien aux intentions totalitaires et hégémoniques d’Ennahdha. 
En effet, fidèle à ses convictions politiques, elle usera de toutes les ficelles pour arriver à ses fins et réussir à imposer sa dictature religieuse au nom d’Allah. 
Cette constitution n’est pas une auberge espagnole ou un hypermarché où il y en a pour tous les goûts, c’est de la ricine dans une enveloppe dorée.

Qui est la cause de tous les tourments de l’humanité ? Seuls ses fidèles le savent

Qui tue, assassine, exile, viole, terrorise, égorge, massacre, ruine les économies des pays, plonge les peuples dans la barbarie,discrimine, décapite, crucifie, lapide, agresse, répand la mort, veut coloniser le monde, méprise les lois qui ne sont pas les siennes ? Qui ? Ce n’est pas l’Abbé Pierre ou Nelson Mandela ? Ce n’est pas non plus le juif, le bouddhiste ou le chrétien ? Ce n’est certainement pas les victimes innocentes dont le seul crime est de ne pas être pas assez ou pas du tout du même bord idéologique que leurs assassins mettant en application stricte l’enseignement doctrinaire de la foi qu’ils professent qui leur a fait perdre leur raison humaine.
Je laisse le soin à ceux qui se murent dans leur état de déni mental et qui idéalisent ce qui est un poison mortel pour l’humanité d’y répondre et de nous livrer l’identité de cette idéologie qui oeuvre à l’anéantissement de l’être humain et que du néant, elle veut faire un vivant pour l’humanité. Que pour une fois, ils sortent de leur silence et fassent eux-mêmes tomber le masque de leur idéal de vie, pire que l’idéal nazi.
S’ils ont un fond d’humanité en eux, qu’ils aient enfin le courage et l’honnêteté de reconnaître que leur idéal de vie est la mort de la vie elle-même et qu’ils sont justement les premiers à en pâtir.
Il est à craindre qu’ils vaillent mieux chercher à obtenir leur aveu après leur mort que de leur vivant.
Ils sont tellement emberlificotés dans leurs délires obsessionnels ubuesques et abracadabrantesques qu’ils s’imaginent les rois du monde et les maîtres de la vie dans l’au-delà.
Inconscients que leur vie sur terre est un purgatoire et que leur vie dans cet ailleurs après la mort est un enfer dont leurs femmes auront la chance de ne pas en connaître les feux ardents.
S’ils n’étaient pas niais et immatures comment peuvent-ils croire en des promesses qu’un charlatan leur a promises sans qu’il en apporte l’ombre d’une preuve, ni qu’aucun des leurs n’est revenu pour leur confirmer la réalité de ces promesses.

Ce n’est certainement pas la faute aux juifs si la quenelle de Dieudonné a ce goût infect

La pauvre quenelle lyonnaise dont je raffole devenue malgré elle symbole d’actes aussi imbéciles que troubles. Qui peut franchement accorder une once de crédit aux quenelles popularisées des mecs qui engrangent des millions d’euros comme Nasri, Anelka et Dieudonné qu’elles sont bien l’expression de leur combat anti-système ? De quel anti-système parlons -nous pour en faire des apôtres de lutte contre le système ? 
Eux qui sont les vrais produits du système qui s’en sert comme outil de crétinisation des masses. 
Il n’y a pas de geste innocent sauf quand on ne veut pas assumer la portée de son geste. Il est difficile de croire par exemple qu’Anelka ait accompli son geste en signe de solidarité avec Dieudonné au plus fort de la tempête médiatique suscitée par la controverse de la quenelle. A-t-il besoin de mettre de l’huile sur le feu alors qu’il pouvait manifester son soutien autrement plutôt que de faire un pied de nez justement aux supporters de son club les premières victimes du système. En voulant faire de ce geste, un symbole de l’anti-système, ses partisans doivent choisir d’autres figures de proue pour valider leur thèse. 
Comme le dit Ferdinand de Saussure un signe est quelque chose qui renvoie à autre chose que lui-même. Surtout quand on veut en faire un trait d’union entre les soi-disant opposants du système ? 
Il ne peut y avoir de systèmes autres que le système dominant dont Nasri, Anelka et Dieudonné sont la face visible et médiatique, celui du pouvoir de l’argent et des star system. 
Eux enfants des cités propulsés en haut de l’affiche ne peuvent vomir un système qui les a sortis de l’ombre. 
Il y a effectivement matière à s’interroger sur leur pensée profonde et leurs réelles motivations. Pourquoi ce geste qui n’est en rien une esquisse de la figure de la quenelle lyonnaise à la forme arrondie et ramassée, est devenu chez eux un acte d’expression politique ? A moins qu’ils ne soient pas conscients de ce qu’ils font.
Pour éviter tout malentendu quant aux éventuelles intentions malveillantes attribuées à leur geste, comment expliquent-ils alors que ce geste imbécile de Dieudonné ponctuait à chacun de ses spectacles ses tirades d’un très mauvais genre contre la communauté juive.
Peut-être que ce geste qui n’avait pas de signifié antisémite avait fini par être un signe de ralliement des antisémites à cause de Dieudonné lui-même dont il avait fait le signifiant majeur de ses spectacles.
devenue la cible de ses partisans.
Ce qui avait départ le goût d’une quenelle savoureuse a pris avec Dieudonné le goût d’une quenelle infecte.

Les sociétés musulmanes n’échapperont pas à leur destin apocalyptique.

Les bardes de l’islamisme djihadiste, les islamo-compatibles, ainsi que tous les mystificateurs dogmatiques voire les musulmans dits modérés  m’invectivent et vilipendent ma vision apocalyptique de la société islamisée.

En réalité ma vision est nourrie par l’idéologie colonialiste, totalitaire et impériale engagée dans un combat planétaire fondant l’action politique des mouvements islamistes mondialistes, émanation des frères musulmans et des wahhabites saoudiens. Sans vouloir chercher une quelconque corrélation entre cette idéologie liberticide et ultra-violente et les textes fondateurs de l’slam, il n’en demeure pas moins qu elle apparaît comme étant la traduction parfaite et fidèle desdits textes et qu’elle est à certains égards le signe avant-coureur de la prophétie coranique du Grand Fracas.

Il ne passe pas un jour dans le monde sans que les djihadistes combattant dans le sentier d’Allah ne nous abreuvent d images présentant des scènes de fin du monde qui ont atteint leur paroxysme avec  les attentats du 11 septembre 2001. Nonobstant celles moins spectaculaires mais plus pernicieuses devenues le lot quotidien des populations  civiles toutes nationalités confondues. Ils n’ épargnent personne. Enlèvements, rapts, pillage, massacre, rançon,  profanation des cimetières,attentats à la bombe dans leurs propres lieux de culte, tuant, violant et égorgeant les innocents. Vouant un véritable culte à la barbarie terroriste tels des Waffen SS et des escadrons de la mort. Déferlant sur le monde comme des nuées de sauterelles qui ravagent et détruisent tout sur leur passage. Par où ils passent, l’humanité soit elle trépasse soit elle tressaillit de peur et d angoisse. 

Semant la mort et brisant des destins comme en Irak, la Somalie, le Pakistan, l Afghanistan, de l Algérie et ses 300 000 morts depuis leur tentative avortée de prise de pouvoir se chiffrant à des centaines de milliers de victimes ou le Soudan depuis 1989 et  la guerre civile commencée avec le coup d état islamiste qui avait débouché sur le génocide des populations chrétiennes  et animistes du sud du pays.

Ma perception et mes représentations découlent de leurs faits et actes des attentats barbares infligeant des souffrances morales et physiques au plus grand nombre de victimes innocentes. Des actes qui mériteraient d’être qualifiés de crimes contre l’humanité afin qu’ils soient  jugés comme des peines imprescriptibles comme c’aurait pu être le cas des actes de terrorisme commis par les intégristes tunisiens et leur Chef islamo-alfiste Ghannouchi Rachid de son vrai Farid Khirriji.

 Leur idéal religieux est le vrai moteur de leurs comportements et conduites portant atteintes à nos libertés, notre intégrité physique et morale. Un idéal qui n est pas sans rappeler l’idéal nazi qui est une négation du respect de la vie humaine et du droit fondamental à la différence.Seuls ceux qui sont islamisés sont membres de l’Oumma islamique. Une sorte de Reich musulman où la foi guide la vie des fidèles et se confond avec la nationalité.  C’est cet idéal religieux qui est insupportable pour notre humanité. Il est un véritable appel aux meurtres rendus licites et légitimés par le Coran lui-même. Un idéal inquiétant et qui laisse augurer un avenir sombre à notre humanité si nous nous y prenons pas garde.  C’est cet idéal que je dénonce de toutes mes forces car il fait l’apologie de l’ antisémitisme, du racisme et qui justifie les assassinats et l’anéantissement de tous ceux qui ne se soumettent pas à l’Islam

Jabeur Mejri est peut-être libre, mais il a raté le vrai rendez-vous de l’histoire comme tous ses comptriotes

Dommage que Jabeur Mejri ait raté le vrai rendez-vous de l’histoire et c’est le vrai problème des tunisiens 

Si Jabeur Mejri était réellement un militant politique il aurait au moins faire semblant de dire non et de refuser ce marchandage odieux qui comporte beaucoup de zones d’ombres qu’ils n’en déplaisent aux naïfs tunisiens, car il aurait été libéré de manière ou l’autre. Il aurai dit non il serait véritablement rentré dans l’histoire. Ne faites pas des héros ceux qui n’en ont pas l’étoffe. J’aurais dit j’y suis j’y reste autant crever en taule que que de marchander ma liberté. Je l’ai fait pour la Tunisie et non pour jouir de l’exil ailleurs. 
En attendant lui est en liberté et c’est la Tunisie qui est en prison. L’exilé ce n’est pas celui qu’on croit. A chaque fois les tunisiens passent à côté de l’histoire. Le courage et la bravoure est de dire non quoiqu’il arrive. 
On gagne à assumer son destin plutôt que d’en faire une aubaine. Je ne suis pas à la place de personne mais je pleure pour ma patrie natale perdue. La prison n’est pas d’être derrière les barreaux, la vraie prison est celle qui nous interdit de jouir en toute liberté de la terre qu’on aime et de pas donner sa vie à la mère patrie. Ma vraie prison est mon incapacité de ne pouvoir rien apporter à ce peuple qui est le mien. 
Personne n’est à la place de l’autre car personne ne peut porter sur ses épaules les malheurs de tout un peuple. Quant aux conditions de détention hélas des dizaines de millions de détenus de par le monde vivent dans des conditions inhumaines. Des innocents sont aussi en prison en Tunisie. Je ne m’intéresse qu’à la symbolique et aux signes, le reste le laisse le soin aux tunisiens fermés comme une moule et qui rêvent tous de l’eldorado européen de le décoder.

Et si l’aide de 15 millions versés par Bruxelles à l’Etat voyou tunisien n’était pas une rançon déguisée pour la libération de Jabeur Mejri ?

Que fait le peuple tunisien, que fait son opposition de godillots, que font les organisations des droits de l’homme, que fait la justice de ce pays, que font tous ces marioles pour empêcher cette extradition rocambolesque et kafkaïenne de Jabeur Mejri  et faire avorter ce marchandage odieux et infâme. Comment peut-on sans aucune forme de procès souscrire et accepter un tel deal féodal  ? C’est le seigneur qui bannit son serf.

Le cas de Jabeur est la preuve cinglante que la Tunisie a pris le chemin du despotisme théocratique et n’est plus capable d’assurer la sécurité de ses citoyens qui troubleraient les tunisiens dans leur croyance. t Autrement dit, la liberté de croyance restera à tout jamais une lettre morte dans ce pays quand bien même fait-elle l’objet d’une garantie constitutionnelle.

Les tunisiens n’échapperont pas à la charia tel est le vrai sens de cette affaire. Si vraiment Ennahdha et tous ses faire-valoir de tous bords avaient le souci de baliser la voie à la démocratie, a-t-on besoin de frapper de disgrâce nationale un citoyen tunisien. 
En toute évidence, cette affaire immonde est le prélude d’une part l’avenir talibanesque et cauchemardesque pour les tunisiens et d’autre part qu’il n’y aura de place dans ce pays qu’aux terroristes et les ennemis du genre humain.
Quant à la démocratie, Ennahdha ne peut pas être plus claire en se débarrassant physiquement soit au moyen des assassinats soit par le nettoyage politique et religieux de ceux qui font entendre des voix discordantes par rapport à la sienne la senne. 
Aujourd’hui on met en quarantaine hors du territoire national les athées, demain on les massacre. 
Cette affaire dont l’opinion publique tunisienne ne semble pas à en mesurer la portée sur elle-même dont elle voit une aubaine humanitaire pour l’ex otage de l’islam, alors qu’elle sonne le glas de leurs espoirs d’un monde meilleur est d’autant plus nauséabonde que paradoxalement Bruxelles a débloqué son aide de 15 millions, une somme dérisoire et ridicule comparée au montant des salaires annuels de Rinaldo ou Messi, à l’Etat tunisien quasiment le même jour que l’annonce de la libération de l’otage. 
La F.I.D.H. peut toujours se réjouir d’avoir fait sorti Jabeur Mejri de sa geôle tunisienne, mais comment explique-t-elle cette simultanéité entre les deux événements. Que rien ne semble rattacher en apparence mais rien ne peut non plus dissiper le doute sur la relation étrange entre cette aide tombée dans l’escarcelle d’un Etat terroriste qui gère la Tunisie comme son butin et la remise en liberté négociée de Jabeur Mejri.
On peut effectivement se poser la question et s’il y avait une corrélation entre les deux et que ce versement soudain n’était pas une sorte de rançon liée à l’exil forcé de Jabeur Mejri ?

En voulant bannir Jabeur Mejri, Ennahdha ne fait plus mystère de ses desseins racistes, théocratiques, oummiens et nazis pour la Tunisie

Le bannissement de Jabeur Mejri ou comment la Tunisie est en train de devenir une nouvelle Allemangne nazie 

La Tunisie met le cap sur la théocratie qu’elle a inscrite en lettre infâme dans l’article 6 du torchon constitutionnel en déclarant l’Etat comme protecteur du sacré tandis que les démocrates ont le choix entre l’exil et la mort. En cherchant à pousser Jabeur Mejri à  quitter le territoire tunisien, comme s’il était un pestiféré et porteur d’un virus contagieux, après lui avoir fait purger plus de 20 mois de prison, comme à l’époque du totalitarisme bolchevique bannissant ses « asociaux » et ses parias,  Ennahdha  ne fait plus mystère de sa politique sélective, discriminatoire et mutilatrice du corps politique tunisien.  

Faute de déchoir Jabeur Mejri de sa nationalité tunisienne pour atteinte au sacré, elle lente de le couper de ses racines tunisiennes comme un bûcheron s’affairant à couper un arbre à ses racines. Une mort qui ne dit pas son nom et qui tue   petit feu l’individu  mis au ban de sa communauté nationale. Coupable sans avoir été jugé et condamné à l’errance éternelle par la seule volonté du Seigneur et maître de droit absolu de sa seigneurie.

Jabeur Mejri est cette chose  contre laquelle le Seigneur nahdhaoui veut  protéger ses serfs tunisiens à cause des risques de pollution qu’elle présente. C’est comme s’il était un déchet radioactif,  un être pestiféré qu’il faut mettre en quarantaine pour éviter aux serfs tunisiens tout contact avec lui. Il n’y a de mieux pour les immuniser que le pavillon suédois où sont enfermés les pestiférés contaminés par le virus dont il est porteur.

La Seigneure Ennahdha soucieuse du bien-être de ses serfs tente le tout pour le tout en créant un cordon sanitaire autour du territoire de sa seigneurie pour juguler la progression du virus létal pour l’organisme musulman de ses protégés, décrète ainsi une mesure inédite dans l’histoire de la Tunisie : proscrire le sujet irréductible à la thérapie médicale prescrite et administrée par ses soins à ses serfs. Comme si le salut de la seigneurie dépendant de l’externalisation géographique du sujet.

Elle peut toujours expurger physiquement les tunisiens qui combattent pour leur liberté, mais elle ne pourra jamais étouffer leur voix là où ils se trouvent. Elle a tort de croire que condamner Jbeur Mejri à l’exil forcé contrairement à celui de ses membres et leurs complices de droit de l’hommisme Marzougui et Jendoubi, qui état un exil doré et fabulé, que cela va freiner les tunisiens dans leur quête de la démocratie, bien au contraire, elle ne fait que jeter de l’huile sur le feu en attisant la braise de leur colère née de leur déception de s’être fait dépouiller de leur révolution.

Elle peut tuer, bannir, expulser, proscrire, les hommes, mais elle ne peut ni embastiller,  ni réprimer, ni effacer, ni vitrioler, ni terroriser, ni lapider, ni crucifier, ni dissoudre, ni noyer, ni exclure,  ni exiler, ni violer la Tunisie qui vit en eux  et leur idéal de liberté.  Elle peut toujours interdire la liberté en Tunisie pour incompatibilité avec ses valeurs qui sont la honte de l’humanité, elle peut toujours éradiquer de son territoire les messagers de la liberté, mais elle ne pourra jamais rendre sourds, aveugles et insensibles ces femmes et ces hommes qui n’ont d’amour que pour leur patrie et les exiler de leur royaume intérieur.

En janvier 1852, Hugo peut écrire : « Ce n’est pas moi, monsieur, qui suis proscrit,
c’est la liberté; ce n’est pas moi qui suis exilé, c’est la France […] Moi, je ne souffre pas, je contemple et j’attends. J’ai combattu, j’ai fait mon devoir; je suis vaincu, mais heureux. La conscience contente, c’est un ciel serein qu’on a en soi. »

Que Jabeur Mejri prenne ou non le chemin de l’exil cela ne doit pas occulter la réalité de la politique despotique et d’excommunion qu’Ennahdha veut mener résolument en Tunisie. Que ceux qui s’illusionnent qu’elle va renoncer à son projet d’islamisation à forte dose de la Tunisie fassent enfin preuve de lucidité et tirent les leçons de cette affaire qui constitue une violation flagrante du droit interne tunisien.  A ceux par conséquent  qui doutent qu’Ennahdha ait abandonné ses habits théocratiques, son message ne peut pas être plus clair. Toute cohabitation entre les musulmans et les tunisiens qui rêvent d’une Tunisie plurielle, démocratique et laïque est impossible, car dangereuse pour la bonne conscience musulmane. Elle veut une Tunisie peuplée des seuls musulmans seuls dignes de fouler sa terre sacrée.Un terroriste qui tue au nom de l’islam jouit de ses faveurs et un tunisien attaché à la démocratie et à l’humanisme est frappé de disgrâce et d’indignité nationale qui lui vaut d’être chassé de son pays.

La nouvelle Tunisie d’Ennahdha prend les allures d’un mini Reich nazi purifié de la présence de ces êtres impurs que l’islam voue aux feux ardents de l’enfer. Une Tunisie nettoyée de ses ressortissants non-musulmans qui doivent laisser la place aux frères musulmans qui affluent massivement en Tunisie et auxquels Ennahdha octroie la nationalité tunisienne au nom du jus religiosis, le lien religieux, qui remplace le droit du sang et le droit de sol. 

Désormais un tunisien cesse d’être tunisien s’il n’est pas du tout ou pas assez musulman, en revanche un afghan ou un soudanais sont automatiquement musulmans du fait de leur appartenance à l’Oumma musulmane dans laquelle est en train de se diluer la Tunisie pour finir par disparaître à tout jamais. 

Terre d’accueil pour les musulmans terroristes auxquels le bouffon Moncef Marzougui offre l’asile politique et son corollaire la nationalité tunisienne et terre inhospitalière pour les tunisiens de plein droit du fait de leur insuffisance religieuse. 

Hitler disait n’est allemand que celui qui est aryen. Ennahdha par la voix de Ghannouchi rappelait avec a propos que l’islam prime sur la Tunisie et par conséquent la nationalité ne peut être déterminée par le droit positif mais par le seul sentiment d’appartenance religieuse.

En voulant « expulser » Jabeur Mejri vers la Suède Ennahdha considère qu’il n’y a pas de place dans ce pays aux tunisiens qui ne répondent pas aux critères de l’Oumma musulmane.

Il serait juif ou chrétien il aurait payé la jizya, un impôt pour les gens du Livre, comme le Coran n’a rien prévu pour les démocrates, les apostats et les libres penseurs en dehors de leur lapidation-crucifixion, Ennahdha ne pouvant pas appliquer la sentence prévue a préféré une solution de compromis inspirée sans aucun doute par le gouvernement suédois : favoriser le départ de Jabeur Mejri vers la Suède comme elle l’avait fait avec Amina Sboui.

En tout état de cause le cas de Jabeur Mejri est le prélude d’un avenir très sombre qui se dessine à la fois pour la Tunisie et les démocrates du pays comme en Iran : la mort ou l’exil.

Les tunisiens qui aspirent à la démocratie et veulent exercer leur liberté de conscience devenus les pestiférés du système nahdhaoui, sont désormais les chrétiens d’Orient et les juifs de l’Allemagne nazie.

Tunisie : pour phagocyter les libertés, l’A.N.C. fait de l’Etat protecteur du sacré

Désormais la Tunisie sera dotée d’un Super Ministère aux Affaires du Sacré

Les apprentis-sorciers de l’A.N.C. plus soucieux de la préservation du sacré en Tunisie à cause des menaces qui se profilent dans son horizon à cause des aspirations de la société civile aux droits fondamentaux, à la laïcité et aux libertés publiques ont  introduit la notion du sacré afin de  verrouiller constitutionnellement  et de manière pernicieuse le champ des libertés en investissant l’Etat d’un pouvoir protecteur du sacré sans pour autant définir expressément la nature du sacré qui ne peut être que spécifiquement musulman rendant ainsi intouchable les éléments intrinsèques de la religion musulmane. Tout ce qui est de nature à définir le statut même du musulman et les interdits y afférents.

Tout en laissant croire que le spectre de la charia est définitivement éloigné, ces apprentis-sorciers adeptes du Vaudou affublé du masque de la piété islamique lui ont substitué habilement subrepticement  la notion vague, floue et ambiguë du sacré qui dans le contexte tunisien est forcément d’essence religieuse et par conséquent régie et gouvernées par les lois de l’islam et donc de la charia. On le fait sortir par la porte et on la fait rentrer par la fenêtre du sacré.

Sans que personne ne la voie revenir, la charia reprend pied dans le nouveau paysage constitutionnel tunisien sous couvert du sacré. Non contents de redonner ses lettres de noblesse à la charia, les agents du macoutisme islamique lèvent le voile sur la nature ouvertement théocratique du régime politique de l’Etat tunisien . En effet, en le déclarant protecteur du sacré, ils lui attribuent les prérogatives d’un’Etat théocratique de type iranien gouvernant au nom de dieu exerçant son pouvoir aussi bien dans le domaine religieux que dans le domaine matériel qui doit être lui-même en adéquation avec les exigences des lois que l’Etat lui-même lui fixent en sa qualité de dépositaire de la volonté divine  .

Ainsi, par l’adoptionde l’article 6, les apprentis-sorciers macoutes marquent insidieusement l’amorce de la mise à mort progressive et inexorables des lois républicaines incompatibles avec les lois essentialistes d’une société musulmane d’une part et d’autre part la mise en oeuvre du processus d’intégration de la Tunisie dans un nouvel espace politique fédéral de type Califat.

Par le biais du sacré en tant que loi fondamentale, on préfigurent l’orientation idéologique et politique du futur Etat tunisien dont la mission première est de favoriser la construction de cet Etat fédéral islamique supranational.

Un Etat moderne et démocratique  n’a pas à veiller à la protection du sacré, sa mission première est de garantir les les libertés dans un esprit d’équité et de justice, de préserver le juste équilibre entre les pouvoirs et leur indépendance et en aucun cas d’intervenir dans le champ du spirituel qui est du ressort du clergé. Un cléricalisme d’Etat que ne saurait renié le Vatican lui-même qui est l’archétype de l’Etat hiérocratique.

Est-ce que les tunisiens morts et blessés de la révolution s’étaient battus pour les valeurs du sacré ou pour les droits fondamentaux que seule une république démocratique peut leur garantir ? Est-ce que le retour aux valeurs de la religion musulmane est la condition sine qua non  pour la réalisation de la matérialisation de leurs revendications et donner du sens au combat qui était le leur ? Un sacré qui augure un avenir sombre et ténébreux pour la Tunisie où l’archaïsme et la résurgence du passé arabo-musulman symbole de régression sociale, de dépravation morale, de mort des libertés publiques et du droit de grève, de sous-développement économique, d’antisyndicalisme, de la fin du tissu associatif; d’inégalités sociales et de chance, de mortalité infantile, de repli identitaire, d’ultra conservatisme, de la fin de l’I.V.G, d’absence de protection des droits de la petite enfance, d’abus de privilèges, de racisme, d’antisémitisme, de discrimination sexuelle et religieuse, de statut de dhimmis, d’homophobie, de pédophilie….. Le sacré en question est celui qui rend intouchable des actes humiliants et attentatoires à la dignité humaine  fondé sur les interdits et la censure. qui lui feront office d’armure que l’Etat lui confectionnera pour le mettre hors de portée des vraies valeurs des libertés et du droit positif. Au nom du sacré, on enterrera les droits humains les plus élémentaires pour défaut de religiosité. Et comme le souligne à juste titre Emile Durkheim « Les choses sacrées sont celles que les interdits protègent et isolent, et les choses profanes étant celles auxquelles ces interdits s’appliquent et qui doivent rester à l’écart des premièresLa relation (ou l’opposition, l’ambivalence) entre Sacré et Profane est l’essence du fait religieux. »

Contrairement à ce que cet article 6 laisse croire en terme de liberté de conscience, il ne leur ouvre pas la porte il le referme tout simplement en les accouplant au sacré. Or, avec un Etat d’essence musulmane, en cas d’arbitrage entre les intérêts du sacré et les besoins du profane, il tranchera immanquablement en faveur du sacré pour ne pas se trouver lui-même à commettre un sacrilège. Dans une affaire d’apostasie, il se fera fort de suivre les prescrits de l’islam pour ne pas être accusé lui-même d’apostasie.

Tout indique qu’avec cet article le modèle de société qui se dessine pour les tunisiens est celui d’une société  obscurantiste, primitive, totalitaire, liberticide et carrément en rupture avec la modernité.

On ne fait pas  cohabiter le faucon du droit naturel et la colombe des libertés dans la même cage sans intention malveillante et criminelle.

Que la France sache que ceux qu’elle soutient en Syrie sont les mêmes qui sèmeront la terreur chez elle demain

Les mêmes djihadistes qui endoctrinent  dans ses cités islamisées ses enfants mineurs et ses convertis pour les transformer en bombes humaines, kidnappent et tuent des ressortissants et des soldats français en Afrique sont ceux-là-mêmes que la France arme en Syrie et auxquels elle apporte son soutien diplomatique au prétexte de libérer le peuple syrien du joug de Bachar Al Assad comme s’ils étaient des volontaires  républicains pour combattre le franquisme, auquel un jour elle lui rendra hommage pour l’avoir sauvé de l’effet boomerang de sa politique schizophrène, perverse, incohérente et masochiste..Et là où le bât blesse, c’est moins l’ambivalence du gouvernement français qui fait désordre, que le silence troublant de l’opinion publique en France. Indifférente, apathique et indolente.

Au lieu de manifester son désaccord total avec cette politique suicidaire et irresponsable initiée par Sarkozy et poursuivie par F.Hollande, elle fait comme si de rien n’était.

Elle ne peut pas continuer à faire l’autruche et laisser F. Hollande mener une politique incohérente et décrédibilsante pour la France, dont elle la première victime.

En effet, ce n’est pas l’appui de la France à la multinationale du djihad en Syrie qui a calmé les ardeurs combattantes de sa filiale au Mali qui détient des otages français qu’elle menace d’exécuter d’une part ou a permis de mettre un bémol sur les appels aux meurtres des français partout dans le monde au nom de la guerre sainte.

Ce n’est pas non plus cette aide active aux terroristes qui a empêché la prise d’otages de cette famille française au Cameroun par les islamistes nigérians membres de la secte de Boko Haram dont une faction est présente en Syrie.

La multinationale terroriste est une et indivisible. Homogène et cohérente tant dans son mode opératoire que dans sa substance idéologique. Un djihadiste qu’il soit dans les cités françaises, au Mali, en Tunisie ou en Syrie, reste un djihadiste mû par les mêmes ressentiments contre la France et l’Occident.

Lui au moins est cohérent dans son attitude à l’égard de ce qu’il appelle les mécréants. Tout ceux qui n’ont pas un caractère musulman sont ses ennemi potentiels. Jugés par le coran comme des êtres impurs et infréquentables qu’il doit soit exterminer soit convertir.

Purifier la terre de toute présence non-musulmane afin d’y instaurer un ordre mondial sous la seule autorité des seuls musulmans, telle est le sens de la mission dont se sent investie le djihadiste.

Alors qu’une vigilance extrême s’impose à travers des manifestations de rues et des campagnes médiatiques pour interpeller le gouvernement français sur sa politique à géométrie variable marquée par l’absence d’une ligne de conduite homogène et ferme à l’égard du djihadisme, l’opinion publique française se complaît à applaudir l’intervention militaire au Mali tout en se gardant de condamner l’aide militaire apportée par la France aux forces djihadistes.

C’est moins F.Hollande resté fidèle aux mauvais choix politiques de Sarkozy responsable du chaos libyen qui est à blâmer, que l’absence inexpliquée de réaction de la part de l’opinion publique française.

Elle persiste à ignorer que les armes qui tuent les soldats français au Mali sont celles-là-mêmes qui avaient été livrées par Sarkozy aux pseudos rebelles libyens qui sont la cause des tourments du paisible peuple libyen, plongé depuis dans un état de chaos indescriptible.

Et comme l’histoire est un éternel recommencement, il y a fort à parier que les armes livrées par F.Hollande aux pseudos rebelles syriens ne finiront pas par frapper les français eux-mêmes au coeur de la France dont les signes avant-coureurs sont de plus en plus perceptibles infestées par des prédicateurs-recruteurs de chair à canon pour propager la parole d’Allah au prix de la destruction de la vie humaine.
La France doit savoir qu’en soutenant les rebelles syriens se fait délibérément complice du djihad musulman qui doit être banni de la surface de la terre comme autrefois avec le nazisme pour crime contre l’humanité. Après avoir capitulé devant son bourreau nazi, elle elle est en passe de récrire elle-même cette page infâme de son histoire où l’humiliation et le déshonneur furent ses seuls faits d’armes, en substituant au bourreau d’hier le bourreau djihadiste qui ne fait pas pourtant le poids en tous points de vue devant l’ennemi nazi.
Forts de leurs convictions cosmiques et messianiques, les djihadistes continueront à être dans un état de guerre permanent contre tout ce qui n’est pas musulman. Leur combat ne cessera tant que la terre entière n’est pas islamisée. Pour eux la France comme les autres pays non-musulmans et les pays musulmans eux-mêmes qui aspirent à la démocratie ne devront pas échapper à leur destin musulman que les turco-wahhabites caressent l’espoir de pouvoir un jour intégrer dans le 6 e Califat.Ne pas prendre en compte de cette prophète cosmique, cela reviendra à creuser sa tombe avec ses propres mains.

Que vaut l’honneur de l’islam et du prophète à côté de la Tunisie et de son peuple ? Rien et pourtant

 
Pour en finir avec les injures de caractère public dont les tunisiens sont victimes depuis 3 ans souvent de la part des islamistes et leurs nervis du C.PR. et de leurs hôtes étrangers représentants du syndicat de la barbarie nazislamiste, il serait judicieux de créer une association de défense de l’image du pays à même d’acter en justice pour les droits au respect de l’intégrité morale du pays.
Jamais un peuple n’a été aussi sali  et calomnié dans son histoire que le peuple tunisien. Et ce n’est pas en se murant dans le silence que l’on peut faire avaler leur langue aux ennemis de la Tunisie.
Il est inadmissible et intolérable qu’un terroriste mauritanien puisse se permettre en toute impunité de traiter les tunisiens de fils de pute. C’est plus que des excuses publiques que l’on doit exiger de ce représentant syndicat du crime organisé, c’est une condamnation pécuniaire pour offenses publiques et propos attentatoires à la dignité et l’honorabilité de tout un peuple avec une interdiction définitive du territoire tunisien à durée indéterminée.
Jabeur Mejri qui n’a vitupéré personne ni écorné l’image de quiconque ni blessé le peuple tunisien dans son orgueil national, s’est vu condamner à 7 ans et demi de prison. Une justice qui se trahit elle-même pour son propre désamour pour la Tunisie et son inféodation à ses ennemis;
Aujourd’hui humilier et injurier tout un peuple vaut à l’insolent les honneurs du Palais de Carthage.
L’islam et son prophète ont le droit à la protection de leur image alors qu’ils n’ont mandaté personne pour les défendre contrairement à la Tunisie qui a une âme, un amour propre, et une identité qui fait sa fierté, autant d’arguments palpables pour justifier des mesures appropriées en cas d’atteintes délibérées au sentiment national. Une patrie se vit à travers son peuple et vice-versa. On ne peut se faire le défenseur de l’islam tout en jetant l’honneur d’une patrie et de son peuple en pâture aux chiens.
Il est temps que cette campagne d’ordures langagières déversées sur la Tunisie cesse.
Que les tunisiens qui se plaisent aussi à dénigrer ce peuple sachent  qu’ils ne gagnent pas du crédit dans le discrédit et qu’ils ne font que s’insulter eux-mêmes. Quand on cherche à dévaloriser l’image de son peuple, ce n’est pas qu’un acte antipatriotique, c’est sa propre dignité qu’on jette aux orties.
Qualifier les tunisiens de peuple de « tahanas », cocus, c’est faire un aveu de ce qu’on est soi-même.
La Tunisie n’est pas un défouloir sur lequel on vient évacuer la haine de soi.
Que le législateur tunisien qui s’inquiète de l’image de la religion musulmane fasse preuve d’impartialité et d’équité en s’inquiétant aussi de la réputation de son pays auquel il doit tout. On ne peut pas éprouver de l’émotion parce que le prophète a été l’objet de dérision, et se réjouir des offenses faites à la patrie et au peuple dont il fait lui-même patrie et payé par lui pour défendre entre l’honneur national.
Quand on de l’amour pour sa patrie, on a du respect aussi pour les autres pays. De même qu’on ne laisse pas piétiner son image et laisser des étrangers indignes tel Majdi Ghanim ou ce djihadiste mauritanien donner libre-cours à leurs inimitiés anti-tunisiennes sur le sol national

En Tunisie, il n’y a de place que pour les terroristes, les bouffons, les corrompus et les traîtres

Tous les traîtres tunisiens de Jendoubi, à Marzougui, Ben Jaäfar, Ghannouchi et tous leurs sbires ne sont pas des traîtres, ils sont victimes d’une cabale, c’est la Tunisie qui s’est trahie elle-même. Arrêtez de calomnier ces pauvres innocents aux poches remplies du prix de leur loyauté pour leurs maîtres étrangers et ACHEVEZ LE COUPABLE QU EST LA TUNISIE.
Dans la noble culture musulmane les criminels et les voyous sont toujours blanchis et lavés de tous leurs forfaits et méfaits seules les victimes doivent payer pour le crime qu’elles n’ont pas commis.
Regardez l’agrégé en droit constitutionnel, Dr en Science politique le grand expert en droit électoral, universitaire, brillant, ex membre de la Commission Debré en 1958, l’honorable Kamel Jendoubi, il est au-dessus de tout soupçon, le scrutin s’est truqué lui-même comme vous le savez, mais c’est moi bac 20 qui ai triché sur mes diplômes, télémanipulé le scrutin, monté la cabale aux profits de ceux qui lui veulent du bien contre cet homme aussi intègre que Ghannouchi est la cause de tous les malheurs de ce peuple.
Kamel Jendoubi, l’homme qui a fait le bonheur de ce peuple, auquel il doit la réussite mémorable de son scrutin électoral est innocent, pur et franc comme l’or, un brave homme qui mérite qu’on érige une statue à sa gloire éternelle, défendu à juste titre  bec et ongles par ses millions de fans qui ne doutent pas un seul instant de sa solvabilité morale, alors que contrairement à lui, je suis un être indigne, qui ai creusé la tombe de ce peuple et l’ai trahi et vendu au Qatar et leurs protecteurs américains  et je ne sais qui d’autre encore.
Dans la culture morale de ce pays, pour trouver grâce aux yeux de l’opinion publique locale, il faut maquiller la vérité, car les tunisiens e se reconnaissent que dans leurs semblables. Plus on les affuble de qualités fantasmagoriques, plus les gens se voient à travers eux. Ce kamel Jendoubi est bien leur miroir.

Un pays sans morale publique ni éthique personnelle, ne peut s’identifier qu’^à travers ceux qui lui envoient une fidèle image de lui-même.
Jendoubi et tous les autres, y compris les trublions charlatanesques et psychotiques mégalomaniaques et au langage ordurier et pornographique, sont les parfaits enfants de la Tunisie, tandis que les  citoyens honnêtes, incorruptibles et les patriotes sont voués aux gémonies.
L’esbroufe, les malversations, la tricherie, les combines, la magouille, la trivialité, la fabulation, la corruption, la « girouetterie », le retournement de veste, le népotisme, le parasitisme, l’indécence, la veulerie, la cupidité, l’opportunisme, le mercantilisme, la voyoucratie, la trahison, la lâcheté, l’escroquerie, la suffisance, l’ingratitude, l’incurie mentale et intellectuelle, la démesure de l’ego, le paraître sont les vraies normes sociales de ce pays. Tout ce qui est morale est une hérésie. Le vice est licite et la vertu est illicite.

Quelles leçons la France va-t-elle tirer de cette affaire d’apprentis-djihadistes de Toulouse ?

La France va-t-elle enfin comprendre que les des musulmans , pas tous, nés  sur son sol se considèrent plus musulmans que français et  plus plus proches des pays d’origine de leurs parents ?  Au-delà du fait que des français de souche pris dans les filets de l’islam deviennent ses pires ennemis, il y aussi la problématique des jeunes issus de l’immigration  devenus citoyens français  par la grâce du droit de sol sont de plus en plus volontaires au djihad en Syrie, Irak, Mali, Afghanistan  qui profitent des facilités de circulation que leur offre la nationalité française pour aller semer la terreur hors de ses frontières discréditant ainsi son image et trahissant les valeurs de la république.  Quelle  va être demain sa réaction si elle se trouve inscrite sur la liste noire des pays exportateurs de main d’oeuvre terroriste ?

A-t-elle évalué les risques de danger que présentent ses citoyens pour elle-même une fois de retour sur son territoire  qui sont de véritables bombes à retardement  capables de menacer son unité nationale ? Merah en est le parfait exemple. Des milliers d’autres Merah la menacent quand la situation en Syrie par exemple sera normalisée . A-t-elle évalué les risques d’une guérilla urbaine qui pourrait éclater en son sein ?  De même va-t-elle suivre l’exemple de David Cameron pour déchoir de la nationalité française  les vétérans djihadistes et ceux qui appellent au djihad dans ses mosquées ?

Aujourd’hui le pseudo ennemi c’est la Syrie, demain ce sera sans aucun doute son propre tour, comment va-t-elle se prémunir contre la péril djihadiste qui la minera de l’intérieur ?

Sur le plan juridique et judiciaire quelles mesures répressives va-t-elle prendre à l’encontre de ses citoyens-djihadistes ? Comme à l’égard des apprentis-djihadistes toulousains et leurs familles partis faire le djihad armé (?) ou une autre forme de djihad de caractère pédophile (?) en Syrie comme s’ils avaient  les capacités de se battre contre l’armée de métier de Bachar al Assad,

Les chants de sirène de l’islam semblent avoir plus d’emprise sur l’attachement  de ces deux garçons mineurs à la France. Sont-ils français ou sont-ils musulmans ?  Une question que la France n,e peut plus éluder comme elle ne peut ni occulter sa propre responsabilité dans cette affaire ni celle de leurs parents qui ne sont pas aussi blancs que neige comme ils veulent le faire croire.

Ils peuvent toujours s’épancher  dans les médias pour faire pleurer les français dans leurs chaumières ils ne font qu’apporter la preuve de leur innocence douteuse. Ce n’est pas non plus l’attitude ambiguë du gouvernement qui se mure dans le silence, conscient certainement de sa responsabilité dans la suppression de l’autorisation de voyage pour les enfants mineurs, et un Etat étranger acteur-clé et maillon fort dans ce scénario plus comique que tragique qui fait planer son ombre mais sans que personne n’ose l’identifier de peur de lui faire tomber son masque.

Le public est convié à un scénario où les parents sont mis en scène comme s’ils étaient les victimes, mais victimes de leur propre défaillance,  le pays d’origine, en l’occurrence la France pour avoir failli à ses obligations de protection de ses ressortissants mineurs ou de mineurs étrangers résidents sur son territoire la sortie et le pays de transit qu’est la Turquie dont la responsabilité pénale est des plus évidentes. Les uns comme les autres ont concouru volontairement ou non et à des degrés divers à la mise en péril de la sécurité de ces gamins.

Aucun d’entre eux et tout particulièrement la Turquie, ne peut plaider la bonne foi dans cette affaire, ils sont aussi responsables que coupables au même titre que les recruteurs-prédicateurs qui sévissent en toute impunité républicaine dans les milieux des mosquées et qui pourraient peut-être connus des parents eux-mêmes.

Les parents  à la sincérité des plus douteuses devraient plutôt cesser de jouer à la vierge affligée et de dire toute la vérité sur cette affaire. Il me parait insensé que leurs enfants se soient volatilisés comme par magie sans qu’ils ne se rendent compte de rien.

Cette affaire qui remet en cause l’automaticité des liens entre le droit de sol et l’octroi de la la nationalité française  est d’autant plus troublante que les parents aient attendu 15 jours pratiquement avant de signaler leur disparition.

Beaucoup de zones d’ombres qu’il reviendra à la justice de clarifier et un message politique fort que la France va envoyer à ceux qui caressent la vocation d’accomplir leur devoir djihadiste ?

Si ces parents avaient véritablement le souci de l’intégrité psychique de leurs enfants et de leur intégration dans l’espace républicain, ils ne les auraient pas précipités dans les abîmes de l’islam des ténèbres. Ce n’est pas à la république de payer pour la gloire de l’islam.

La France  doit désormais revoir de fond en comble  les conditions  d’acquisition de la nationalité française, car  il ne suffit pas d’être né en France pour devenir français, il faut que  que le postulant offre toutes les garanties républicaines et fassent acte d’adhésion et de déclaration de loyauté aux valeurs de la république. Une nationalité est d’abord un devoir et non un droit.

Il faut que la république ôte elle-même de ses propres carcans et qu’elle ait le courage de défendre ses valeurs dont sa survie en dépend.  Elle ne doit pas se culpabiliser de vouloir durcir  son code de naturalisation qui ne doit pas être le fruit d’une juste de récompense, mais la matérialisation d’un  contrat républicain  qui engage le postulant au respect total et absolu de sa nouvelle patrie en tous lieux et toutes circonstances.

En effet, il n’y a pire offense pour la république que de voir des porteurs de sa nationalité considérer la carte nationale d’identité comme  une simple carte de résidence et d’afficher publiquement leur choix pour leur religion que pour la France ou d’autres comme ces élus islamistes tunisiens détenteurs de la double nationalité oeuvrant pour le despotisme théocratique en Tunisie militant au sein d’un mouvement politique francophobe.  Il revient à la France de prendre de remodeler sa politique d’intégration à la lumière de cette affaire qui n’est pas un banal fait divers mettant en scène deux gamins en mal d’aventures, elle illustre l’échec cuisant de tous ses plans banlieues où des milliards ont été engloutis à fonds perdus pour servir la cause  de ceux-là-même qui sèment la terreur à l’extérieur de son territoire  et parfois dans ses propres cités.

La France doit aussi savoir qu’un djihadiste français est un électeur potentiel et qu’il a le pouvoir de peser sur ses choix politiques comme l’avait dit leur ex grand gourou Qaradhaoui. Une nationalité accordée complaisamment fait d’elle l’otage de l’islam.

Pour acheter la paix sociale,  elle croit bien faire en laissant ses banlieues entre les mains des associations culturelles, qui sont surtout cultuelles, creuse sa propre tombe républicaine et ouvre grandement la voie à la déferlante djihadiste qui si elle ne lui met pas des digues finira par l’emporter elle-même.

Une guerre sainte menée par des français contre leur propre pays.

 

 

 

I

A une révolution laïque, une constitution laïque. Ni islam, ni identité arabo-musulmane

Tunisie. A une révolution laïque, une constitution laïque

Dr Salem Ben Ammar écrit mai 2011 – Les vrais enjeux de la nouvelle constitution tunisienne réside dans la capacité des constituants à rester en cohérence avec l’esprit laïque et solidaire de la révolution des indignés.


La Tunisie est tiraillée entre deux courants de pensée et de projets politiques antinomiques. L’un moderne et républicain, l’autre nostalgique, régressif et réactionnaire. L’un est ouvert sur le monde et l’autre cherche à atteler le pays aux wagons du wahhabisme saoudien en instrumentalisant le modèle turc, utilisé comme une vitrine pour une propagande fondamentaliste.

Une constitution fondée sur le droit positif

En effet, la Tunisie ne joue pas que son avenir politique dans les mois à venir ; elle joue surtout de son avenir en tant que nation moderne dotée d’institutions républicaines. Une lourde hypothèque semble peser sur son avenir sociétal, humain et civilisationel. Les symptômes constatés indiquent que le pays est le théâtre, tant redouté, de chocs de cultures. Toutes les incertitudes, les peurs et angoisses, les remous et convulsions de caractère religieux laissent planer de sérieuses craintes sur le choix du modèle d’institutions politiques et juridiques dont le pays devra se doter pour être en cohérence avec l’esprit laïc de sa révolution.

En tout état de cause, il faut absolument une constitution fondée sur le droit positif et non sur le droit naturel, véritable chimère, ou droit coutumier d’essence prétendument divine, et donc immuable, intemporel et omniscient, source d’abus et d’arbitraire en tout genre. Le pouvoir de légiférer est aux hommes et non à Dieu avec l’impérieuse nécessité de réaffirmer la prévalence des sources de lois des assemblées humaines sur celles d’origine divine qui sont par nature obscures, ambigües, confuses, inapplicables, inadaptables aux exigences du monde contemporain.

Les hommes doivent rester maitres de leur destin politique en application même de la liberté accordée aux hommes par le Coran.
Au prétexte de la supposée identité arabo-musulmane de la Tunisie, on occulte une histoire pluri-millénaire et qui fait fi de l’esprit de la révolution du 14 janvier 2011. Il faut que, par son préambule et par son contenu, la Constitution tunisienne doit rester en cohérence avec cet esprit laïque et solidaire et ce vent de liberté incarnés par la révolution des indignés.

La Tunisie est la terre d’Hannibal, de Saint-Augustin et d’Ibn Khaldoun, pour ne citer que ses enfants les plus illustres, et de tous ces hommes et femmes berbères qui ont fait sa gloire et qui ne sont pas tous issus tous d’une pensée religieuse. Le sang tunisien a été versé pour l’édification d’une nouvelle Tunisie, digne héritière de Carthage, dotée d’un modèle de constitution de caractère mixte et équilibré, remarquable, incluant le peuple à l’antipode de celui que souhaiteraient pour la Tunisie les forces intégristes inféodées aux wahhabisme saoudien, où le pouvoir absolu revient à Dieu, tel qu’ils se donnent (à tort et par apostasie) d’interpréter : véritable hérésie et ineptie juridique. Comment peut-on conférer à un système de croyances reposant sur des lois morales une validité juridique absolue ne souffrant aucune contestation au nom du sacré?

Des mécanismes juridiques protecteurs inébranlables
La pérennité des institutions futures de la Tunisie, la séparation des pouvoirs, le caractère laïc de ses codes juridiques, l’inviolabilité de son territoire physique, ses structures sociales et humaines, son avenir politique, sa souveraineté nationale, le statut juridique de ses citoyens, le statut de la femme, sa vocation régionale et mondiale, doivent faire l’objet plus que jamais de mécanismes juridiques protecteurs inébranlables.

La Tunisie perdra son âme et ses acquis si elle ne se prémunit pas contre l’utopie du mouvement islamiste. Car les lois morales de ce mouvement constitueront un ordre juridique au détriment des lois humaines et républicaines qui sont le seul mode d’expression des libertés démocratiques et respectueuses du droit à la différence et de toutes les formes de libertés, qui doivent aussi fonctionner comme soupape de sécurité contre l’hégémonisme de la religion sur la société tunisienne. Une constitution capable de définir un rôle à la religion, par définition envahissante, et la cantonner dans son rôle de catharsis.

Il faudrait aussi rappeler que la Tunisie n’est pas un dominion exclusivement arabo-musulman et faire aussi référence à son patrimoine et son héritage non musulman.

Il faudrait que la nouvelle constitution soit l’expression de l’âme tunisienne et non une simple réaffirmation de son identité arabo-musulmane. Cette vision ethnocentriste et réductrice de la Tunisie ne doit pas hypothéquer l’avenir du pays.

Pourquoi l’slam ressemblerait plus au nazisme qu’à une religion ?

Que les non-musulmans et surtout les islamo-compatibles  et ceux qui prennent l’islam pour une religion inoffensive sachent une fois pour toutes que selon les préceptes de l’islam ils n’auront aucune chance au même titre que la majorité des femmes musulmanes dont celles qui pratiquent la nymphomanie halal  et s’enveloppent dans leur linceul pour ressembler à des momies ambulantes ainsi que  les apostats de l’islam, les athées, les juifs, les chrétiens, les animistes, les bouddhistes et tous les autres  d’accéder au paradis réservés aux seuls djihado-terroristes qui sont les vrais enfants d’Allah tant qu’ils ne font pas le choix de se convertir à cette religion suprématiste et raciste qui prêche la supériorité absolue de ses fidèles sur vous autres et qui place les siens, ses mâles en l’occurrence, au plus haut sommet  de l’échelle humaine et qu’il a élevés au-dessus de vous.

Il est dit dans le Coran que seuls ceux qui ont suivi la voie de l’islam bénéficieront de cette prébende divine.

Par voire de conséquence, quant aux autres, l’enfer sera leur seul lot de consolation. Pauvres humanistes vous serez privés des délices divines au seul profit des inhumanistes-terroristes-djihadistes musulmans.

L’abbé Pierre, le Mahatma Ghandi et Nelson Mandela en enfer parce qu’ils n’ont pas le caractère musulman, tandis que R. Ghannouchi, Ben Laden, Omar Bachir le génocidaire soudanais sont promus au paradis.

Drôle de religion qui accorde une prime à la violence et châtie les hommes épris de paix et d’amour.

Une religion qui surfe sur les peurs et les promesses et qui s’abreuve du sang humain et veut coloniser la vie des hommes dans ses moindres petits détails apporte elle-même la preuve de sa misère spirituelle.

Pourquoi a-t-elle besoin d’user des mécanismes de manipulation mentale et de conditionnement psychologique comme si elle était une secte ?

Effrayer, appeler au meurtre de ce qui est différent de soi et promettre le paradis aux plus fanatisés des fidèles, ce n’est pas ça la noblesse d’une religion qui doit en tant que telle procurer à l’homme cette nourriture qui lui permet de s’élever, ouvrir son coeur et son esprit, d’aimer tous les humains, et non de chercher à le réduire à une simple portion congrue et d’en faire une arme de destruction massive. Si ce dieu musulman était aussi juste, impartial,et humaniste, pourquoi cherche-t-il à duper les hommes, à vouloir les embobiner par des promesses qui n’engagent que ceux qui les prennent pour une parole divine.

Il ne peut y avoir de religion sans égalité de droit et de statut entre les hommes et tous les hommes indépendamment de leurs croyances et leur sexe, si Dieu est unique, il ne peut y avoir un traitement différencié entre ses prétendues créatures. On ne fait pas non plus de la piété un critère d’égalité entre les hommes.

Etre musulman n’est pas non plus un critère de solvabilité morale, de probité et d’efficience mentale. Le jour où l’islam enseignera à ses hommes qu’il n’y a pas d’amour autre que celui de l’être humain, cela fera de lui enfin une vraie religion qu’il cherche à l’être mais qu’il n’y arrive pas.

Le jour où des mots à forte connotation  ethnocentrique, raciste, xénophobe, antisémite, inégalitaire, qui portent en eux tous les germes de la violence, du sexisme, de l’intolérance, de la tyrannie, de la haine, de l’inhumanisme, cela fera passer l’islam de l’ombre à la la lumière.

Le jour où tous les pays musulmans adhéreront à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du Citoyen, et apprendront à bannir de leur constitution toute référence à l’islam sur le modèle de la constitution turque, à respecter les droits à la différence et les libertés d’expression et de conscience, l’islam ne rimera plus avec nazisme.

Dr Salem Ben Ammar

Pourquoi l’islam a la phobie de la liberté de conscience au point qu’il tue ses apostats ?

 

Mesdames et messieurs les vierges effarouchées de l’islam : le seul vrai combat que vous devez mener aujourd’hui avant que vous ne deveniez les pestiférés de l’humanité pour toujours est celui pour la liberté de conscience qui n’est pas garantie  par vos pouvoirs publics jugée comme un pêché mortel du fait de son incompatibilité avec les prescrits de l’islam. Quand bien même  votre religion est un jardin d’Eden et la première merveille du monde, ce qui est au demeurant subjectif et ethnocentrique, toute personne est libre d’y rester ou de partir. Si Allah est aussi juste, compréhensif, miséricordieux et magnanime  comme le prétendent ses adorateurs, pourquoi a-t-il besoin d’enfermer ses ouailles pour la vie dans sa Tour de Babel  ? Comme s’ils étaient des oiseaux en cage auxquels on  coupe les ailes si d’aventure ils veulent quitter leur cage pour prendre leur envol sous d’autres cieux. Sa prison a beau être  la plus dorée au monde, le château de la belle au bois dormant, mais elle reste toutefois une prison et qu’il il doit savoir et comprendre qu’elle n’est pas forcément du goût de tout le monde et qu’elle ne fait pas l’unanimité contrairement à ce qu’il pense.
Les menaces de mort par décapitation-crucifixion brandies à l’égard de tous ceux qui manifestent peu d’enthousiasme  à ses promesses voire qui refusent carrément de céder à son chant de sirène ne sont-elles pas symptomatiques de son tempérament ultra-possessif et violent ?  Il est comme ce mari jaloux qui promet la paix à sa femme tant qu’elle est avec lui mais qui lui promet l’enfer si elle le quitte. Si vraiment son message est paix, tolérance, amour et respect du libre-choix, alors pourquoi joue-t-il à faire peur à ses ouailles en exerçant sur eux des moyens de pression mentale et psychologique, davantage apparentés à des menaces de mort ? Niant à l’autre toute faculté de déterminer lui-même ses propres choix de vie, restreignant son champ de pensée, comme s’il était dépourvu d’intelligence et incapable de discernement. Est-à dire que seuls ceux qui  sont obéissants, soumis et qui présentent un état de déficience mentale sont dignes d’être élus en son royaume ?
Pourquoi voue-t-il aux gémonies ceux qui enfreignent sa volonté au nom de leur liberté de conscience ? Est-ce sa propre peur de lui-même qu’il projette sur eux, ou est-ce son manque d’assurance en lui qui le rend nerveux et violent ? A moins que son  irritabilité ne soit  l’expression de son ego surdimensionné qui ne peut pas concevoir  et admettre que l’on puisse avoir un avis différent du sien ? Le vivant comme un désaveu,une fitna, pour son pouvoir, une offense qui vaut au contrevenant, l’insolent, les pires châtiments.
Si dieu est juste pourquoi ce dieu-là il use-t-il de méthodes contraignantes et coercitives à l’encontre de ceux qui  renoncent  à leur statut de fidèle musulman ?
La vraie religion  n’est-elle pas  celle qui ne retient pas les hommes contre leur gré et qui respecte leur choix.
L’homme est censé être né libre et non propriété d’une divinité ou d’une croyance, or le dieu de l’islam ne semble pas en tenir compte, au lieu de créer les conditions de libération des énergies émancipatrices chez l’homme, il lui interdit de  forger propres convictions, l’infantilisant en le plaçant sous sa tutelle éternelle. On ne bride pas un homme comme on bride un animal, on ne le fidélise pas non plus  en le tenant avec une laisse  trempée dans l’acier au point de l’étrangler, comme si on avait peur qu’il s’échappe, et à supposer qu’il le fasse, il est de son droit de briser les chaînes de l’aliénation. Tout en homme est en droit de faire le choix d’un autre mode de pensée, ou d’adhérer à une autre croyance ou ne pas y adhérer sans qu’elle mette en péril sa vie. Tel qu’il est stipulé  dans l’article 18 de la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. » Les musulmans sont toujours les premiers à la revendiquer en Occident mais rechignent à l’appliquer chez eux au nom de la prééminence de leurs lois d’essence divine sur les lois humaines jugées imparfaites.Une lecture à géométrie variable et opportuniste. Une conception particulière de l’équité et de l’éthique. Refuser à l’autre  sous peine de mort ce qu’on réclame pour soi. Surtout quand cet autre veut quitter la famille, un crime lavé dans le sang.
La liberté de conscience n’existe que dans un sens mais pas dans un autre.Il est fortement recommandé aux musulmans de cesser d’affubler l’islam des vertus qui ne sont pas les siennes et de tordre eux-mêmes s’ils en ont la capacité le cou à cette image idyllique de l’islam du respect du droit à la vie et à la liberté. Ils ne doivent pas ignorer que si Jabeur Mejri est en prison en Tunisie ce n’est pas pour son acte proprement dit qui n’a rien de surcroît d’indécent et d’immoral au regard de leurs moeurs dévergondées et leur libertinage maladif sous couvert de l’islam, c’est parce qu’il a voulu manifester son refus d’adhérer à  un système de valeurs liberticide, castrateur, ultra-réactionnaire, nihiliste et  concentrationnaire.
Le jour où les musulmans auront la faculté de jouir en toute liberté de ce droit inaliénable, cela marquera la fin de l’islam. Habités par actuellement par la peur de la double-peine, ils sont complètement tétanisés pour pouvoir trouver la force nécessaire pour rompre les chaînes qui les entravent mais le jour où le vent de liberté soufflera sur eux et la peur disparaîtra d’elle-même, l’islam aura vécu.

Hier le monde avait offert les Juifs aux nazis, aujourd’hui il en fait autant avec les Chrétiens d’Orient livrés à l’hydre islamique

L’humanité tout entière est autant responsable que les musulmans dans la tragédie actuelle des chrétiens d’Orient.  Par leur silence, ils cautionnent le génocide perpétrés à leur égard au nom de l’islam.  Leurs bourreaux sont musulmans et appliquent à la lettre les préceptes coraniques qui recommandent aux musulmans de purifier leurs territoires de toute présence non-musulmane.

Qu’ils s’appellent Daech, la Qaïda, Frères musulmans, wahhabites, ils sont dans la logique textuelle de l’islam. Ils exécutent ce que le Coran ordonne et suivent l’exemple de Mahomet lui-même qui avait nettoyé l’Arabie de ses Juifs, Chrétiens nazaréens et polythéistes.

Croire en l’islam, c’est adhérer à une idéologie génocidaire, raciste, antisémite, mortifère, ultra-violente, haineuse, intransigeante et sans concession à l’égard de non-musulmans. Etre musulman modéré, c’est se mentir d’abord à soi. Car l’islam n’est  pas l’école de la demi-mesure et la pondération. Soit on est musulman et on se fond dans le moule mahométan. Où il n’y a d’islam que dans la guerre permanente totale aux mécréants et sa propagation par tous les moyens en vue d’islamiser la terre tout entière. Un musulman est celui qui troque sa vie pour la gloire de l’islam et qui irrigue son sentier du sang des non-musulmans.

Quand bien même, tous les musulmans ne sont pas belliqueux, velléitaires et violents, il n’en demeure pas moins qu’ils professent tous la même foi en Allah et Mahomet, lisent le même Coran et accomplissent les mêmes obligations cultuelles.  Il n’y a pas un islam adapté à tout un chacun. Il est une voie commune à tous les musulmans.

Qu’ils soient islamistes ou musulmans affublés du masque de la modération,  ils prient tous dans la direction de la Mecque et adoptent le même comportement vis-à-vis des non-musulmans.  C’est le mode de communication verbale et gestuelle qui diffère entre eux. Les islamistes ne cachent pas leur abomination des non-musulmans à la différence des pseudos modérés qui dissimulent leur haine sous des airs de saintes-nitouches.  Que les musulmans restent les premières victimes des  islamistes, c’est avant tout une affaire islamo-musulmane. les deux partagent les mêmes préjugés dogmatiques pour les non-musulmans  et sont autant dans leurs rejets les uns comme les autres.  Etre musulman, c’est d’abord ne jamais témoigner d’humanité et de compassion pour les « égarés ». Ce n’est pas par hasard que la majorité musulmane  ne condamne jamais explicitement et énergiquement les exactions criminelles de la soi-disant minorité activiste islamiste.

En s’abstenant de lutter contre eux et de nettoyer eux-mêmes leurs propres écuries, ces musulmans rois de l’esbroufe et de la tartufferie sont en réalité les premiers complices des islamistes. Ils ne peuvent pas condamner ce qu’ils ont eux-mêmes enfantés.

Sont-ils sortis dans la rue pour faire entendre des voix discordantes et compatissantes pour les victimes de la barbarie musulmane  ?  Jamais.  Ils se voilent dans leur fausse pudeur pour occulter leur responsabilité morale dans les crimes contre l’humanité qui ne sont pas inédits dans l’histoire sanglante de l’islam  depuis l 437 ans et son point d’orgue le génocide de l’Hindou Kush, plus de 80 millions de victimes, totalement nié et sur lequel on a mis une pierre tombale pour l’éternité.

Il est certain que les jours où ces musulmans auront compris qu’aucune cause ne justifie la haine et la mort de l’autre différent de soi, il y a fort à parier qu’ils ne renonceront d’eux-mêmes à l’islam. Tant qu’ils persistent et signent dans leur croyance en cette doctrine mortifère, nihiliste et et hégémonique, le péril musulman n’est pas prêt de finir de faire le malheur des non-musulmans.

Le questionnement reste un sacrilège chez eux. Un musulman qui s’interroge sur le sens des préceptes de l’islam et leur compatibilité avec la morale humaine et universelle n’est certainement plus musulman.  Autant croire que le soleil tourne autour de la terre que de croire aux vertus humanistes des musulmans. Jamais,  cela ne leur viendra à l’esprit de se demander ,est-ce qu’un juif avait choisi d’être  juif et si j’étais moi-même juif qu’eût été mon sort ? La vraie question que tout un chacun de nous devait se poser en y ajoutant tout simplement que le nazisme en tuant le juif  tuait cette part d’humanité. Le crime n’était pas un crime contre les juifs c’était un crime indéniablement contre l’humanité si on avait justement conscience de la sienne.

Aujourd’hui, chaque vie humaine fauchée par les exterminateurs musulmans est  aussi notre propre vie qui se meurt à petits feux. Ne pas se sentier concerné et impuissant par ce spectacle de fin du monde, est un aveu de refus de notre humanité et de notre démission ainsi que notre consentement à nous offrir en victime consentante et expiatoire en Holocauste à nos bourreaux qui portent le masque de l’islam des ténèbres.

Plus on se complait dans notre posture de l’autruche, plus on leur manifeste notre adhésion et notre encouragement à perpétuer leurs exactions et persévérer dans la voie de la terreur. Notre résignation symptomatique de notre lâcheté et de la peur de soi, est la meilleure alliée des cavaliers noirs de l’Apocalypse musulmane.

Un ami disait que l’avenir se lit dans l’histoire des événements passés, or les mêmes événements et faits survenus en Allemagne nazie et devant lesquels le monde libre dont on ne sait de quelque contrainte si ce n’est de son manque de solidarité et d’humanisme, sont en train de se dérouler sous nos yeux dans une atmosphère capitularde et Ô combien analogue à celle qu’avait connue le monde dans les années 30.

Pour des intérêts que rien ne saurait justifier, sordides et bassement mercantiles les pays de l’OTAN et à leur tête les E.U. sacrifient honteusement et obséquieusement   la démocratie et les minorités religieuses principalement les chrétiens en Egypte et en Syrie, après avoir délibérément jeté en pâture aux prédateurs islamistes celles d’Irak.

Si le monde et en premier lieu le monde musulman est aussi la première victime de l’offensive violente et guerrière du radicalisme musulman  financé par les saoudiens et les qatariens depuis les attentats du 11 septembre 2011, on ne le doit pas seulement aux agissements des activistes musulmans, il est également la résultante du soutien trouble des E.U. à ces deux foyers source de la gangrène qui mine le corps musulman et par ricochets le monde dans son ensemble.

Nul ne peut ignorer le rôle actif des américains à l’islamisme wahhabite  qu’ils avaient réactivé en ce jour du 14 février 1945 dans le cadre d’un pseudo accord  entre le roi Ibn Saoûd et le président Roosvelt, appelé le Pacte de Quincy  qui mettait sous tutelle américaine le royaume hérétique et collaborationniste saoudien.

Une alliance contre nature et néfaste pour l’humanité entre l’aigle et le faucon qui a atteint son paroxysme avec les attentats du 11 septembre 2011 dont les américains furent les premiers à en faire les frais et que l’Arabie Saoudite avait réparé les dégâts en dédommageant les familles des victimes sous prétexte que sur les 18 membres du commando terroriste 15 étaient porteurs de passeports saoudiens. Surtout que ce sont ces attentats aux motivations obscures ont ouvert la voie à l’état de chaos permanent dans le monde musulman culminant avec les révolutions du Tchernobyl arabe et au bain de sang dans lequel ne cessent de baigner les populations musulmanes et les minorités religieuses qui avaient toujours en toute sécurité avec leurs compatriotes musulmans. .

Il est plus que jamais urgent de dénoncer  cette alliance périlleuse et ses effets tragiques pour la pérennité de l’humanité.et freiner sa progression.

A cause de cette alliance de l’épée et du dollar l’équilibre ethnique et fragile du monde musulman est mis en danger de mort. Est-ce que vous avez idée des risques que les démocrates et les minorités religieuses encourent en Tunisie, en Libye, en Irak, en Syrie ou en Egypte où on a frôlé le pire sans le sursaut salutaire du peuple égyptien qui avait mis fin à l’aventurisme criminel des Frères nazislamistes ?

Le président Bachar Assad, présenté par l’Occident comme étant tortionnaire et sanguinaire notoire se trouve paradoxalement le rempart contre l’appétence islamiste et partant de là le défenseur en Syrie des minorités ethniques et religieuses. Voire le sauveur un jour de l’Occident lui-même en éradiquant chez lui les forces dihadistes cosmopolites.

Que l’on tire tous les enseignements de l’histoire passée si nous ne voulons pas que le monde finisse par être enseveli par les laves gigantesques ardentes du volcan  islamo-wahhabite provoqué par ceux-là-mêmes qui font semblant d’étouffer son éruption tout en cherchant à en tirer les meilleurs profits à des fins géopolitiques, géo-énergétiques,  mercantiles,  au mépris de la vie des peuples. Sacrifiant les minorités chrétiennes d’Orient et les Coptes pour assouvir leurs desseins comme dans les années 30 on avait offert délibérément les juifs à l’hydre nazie?

La face cachée du Congrès mondial nazislamiste et le silence trouble des E.U., l’Occident et l’Algérie

La face cachée du Congrès mondial des nazislamistes et la Realpolitik américaine 

La Tunisie abrite aujourd’hui chez elle la plus forte concentration de terroristes de toute l’histoire. Belle promotion touristique pour le pays. 
Pourquoi ce congrès des agents de la barbarie humaine ne se déroule pas à la Mecque ou à Doha ? Ce qui est somme toute logique puisque l’Arabie Saoudite et le Qatar sont leurs bailleurs de fonds et leurs donneurs d’ordres. Ont-ils peur pour leur propre crédit, à moins qu’ils n’aient pas eu l’aval de leur protecteur Yankee. Il y a peut-être une hypothèse plus vraisemblable, le choix d’un terrain neutre à cause de la rivalité exacerbée entre les deux marionnettes américaines.
Ce qui est extraordinaire avec les américains eux qui prétendent faire de la Tunisie un laboratoire démocratique, c’est qu’ils laissent faire aujourd’hui ce qu’ils vont condamner demain pour motiver leur intervention au nom de la sécurisation de leur territoire à partir du foyer d’incendie là où il est localisé.
Qui peut dire qu’ils sont partis de l’Irak alors qu’ils y sont toujours ? De l’Afghanistan, ils ne partiront jamais. Ni de la Libye qu’ils ont plongée dans un état de chaos inextricable. 
Le choix de la Tunisie n’a rien de fortuit, il s’inscrit dans le cadre de la stratégie de globalisation du monde musulman au moyen de la religion atout majeur de l’intégration des populations dans le même espace sous la bannière wahhabite. Elle est la dernière carte pour redonner un second souffle au processus de wahhabisation battu à plate couture en Syrie et en Egypte.
Dans ce contexte, la Tunisie est par conséquent une pièce maîtresse vitale pour la revitalisation du projet afin de ne pas compromettre les géostratégiques et géo énergétiques de l’Oncle Sam et maintenir leur pouvoir d’influence naissant dans cette zone névralgique entre l’Algérie et la Libye et une double fenêtre sur l’Europe et l’Afrique. 
Quant à ses ressources énergétiques et minières, ce n’est certainement pas un secret pour leurs géologues.
Quand on veut décrédibiliser un pays, on le diabolise pour mieux l’achever. 
S’ils veulent réellement profiter de l’occasion pour éradiquer le terrorisme djihadiste, c’est maintenant ou jamais. En effet, la plupart de ces congressistes et leurs organisations figurent probablement sur la liste noire américaine du terrorisme qui comportait dans le passé le nom de Nelson Mandela en personne, alors qu’il est inimaginable qu’un des maîtres à penser du terrorisme djihadiste ne puissent pas y être répertorié. 
Cet homme et son organisation à savoir Ennahdha ne peuvent pas être classés terroristes au Canada et en Egypte et ne le sont pas pour le Département d’Etat.
Il est impensable que tous ces amis déclarés de la Qaïda qui ne vont certainement pas manquer de lui rendre un hommage solennel et d’écouter religieusement le communiqué audio de leur Chef suprême Zawahiri, puissent être auréolés par les américains comme étant de paisibles congressistes soucieux de la sécurité dans le monde. 
Ils ont beau être porteurs de vrais faux passeports diplomatiques délivrés par la Tunisie et le Soudan, spécialistes en la matière, ce n’est pas cela qui devrait empêcher une action de police internationale ou une opération commando comme seuls les américains peuvent mener.
Tout le monde fait comme si ce Congrès est un simple rassemblement entre des amis de la terre. Ainsi, ni les E.U. ni l’Occident et même pas l’Algérie n’expriment leurs regrets et inquiétudes diplomatiques selon la formule d’usage quant à la tenue aux portes de l’Europe d’un Congrès mondial de la terreur aux objectifs aussi innocents que ceux de la N.A.S.D.P. de Nuremberg en 1927 qui avait marqué la naissance officielle de la terreur nazie. Il est à craindre que celui-ne constitue l’entrée définitive dans l’ère du Grand Effroi prophétique.
L’histoire n’a ni la mémoire courte ni se lit dans le marc de café, elle se répète et les clignotants actuels ne sont que le prélude des années sombres auxquelles l’humanité doit se prépare. Ce sont les signes présents qui annoncent aussi l’avenir et l’histoire passée ne peur que nous éclairer sur la parade à apporter contre les velléités hégémoniques de l’islam que les djihadistes présents en Tunisie veulent aujourd’hui leur donner corps.

 
 

Grâce à son opposition, la Tunisie est devenue une terre d’asile des frères nazislamistes

La Tunisie siège du nouveau gouvernement mondial du djihad.
Que fait l’opposition tunisienne qui m’a tout l’air d’être un serpent de mer pour défendre l’image de la Tunisie ? Tout le monde en parle sans que personne ne puisse prouver l’existence. Si jamais elle est dans l’arène tunisienne, elle brille surtout par son inaudibilité  et son absente. Elle est juste là pour servir de faire-valoir Ennahdha, sans réelle conviction, ni projet politique, résignée et démissionnaire.
Depuis trois ans, elle n’a jamais fait preuve d’une quelconque initiative politique susceptible de sonner le réveil tant attendu du peuple tunisien. Aucun aiguillon à mettre à son actif et le pire de tout  est son désintéressement total pour le sort du pays reflet  de son absence grave de patriotisme.  Elle ne cesse de se couvrir de honte et de ridicule atteignant les sommets de l’incurie politique lors de la mascarade du dialogue national où elle avait servi d’essuie-pieds à Ennahdha. Elle y était allée sans préalables en l’occurrence la dissolution de l’A.N.C., les arrestations des meurtriers de Chokri Belaïd, L otfi Negadh, Mohamed Brahmi, la démission du Gouvernement de transition, la destitution de Moncef Marzougui, la mise hors-la loi de la Ligue de la Protection de la Révolution, autant d’exigences qui auraient pu lui donner le crédit qui lui faisait tant défaut, celui-là même dont pâtit aujourd’hui la Tunisie avec la tenue du Congrès mondial  nazislamiste contre lequel elle n’a manifesté aucune hostilité et tirer les enseignements politiques et idéologiques et sa répercussion sur la solvabilité internationale du pays.
Il lui importe peu que la Tunisie soit synonyme aujourd’hui d’ignominie humaine. Terre d’asile des terroristes après l’avoir été pour tous les hommes épris de paix et amoureux de vie. Comme elle se moque comme d’une guigne que l’image du pays en subisse un sérieux contre-coup alors qu’il souffre du la désaffection des touristes et la perte des recettes touristiques.
Un pays qui naguère avait su comptabiliser et optimiser sur son image à l’international a tout perdu en termes de prospérité économiques relatives, de bien-être a tout perdu perdu aujourd’hui à cause de la perte de cette même image.
Quelle belle promotion pour le tourisme tunisien que de vendre la Tunisie comme étant la nouvelle terre du djihad et futur gouvernement mondial de l’empire du Mal islamique.
Il est pourtant de sa responsabilité d’en empêcher la tenue par tous les moyens nécessaires, mais elle fait comme si elle-même était partie prenante au Congrès de l’indignité humaine. Ni indignation ni désapprobation en tant que supposé leader d’opinion, ignorante que sa mission première est de veiller au crédit du pays source de sa vitalité économique.
Elle n’a strictement rien fait pour alerter l’opinion publique tunisienne sur la haute nocivité de ce Congrès qui marque l’intégration définitive dans l’espace politique oummien du pays. Autrement dit qui sonne le glas de la vassalisation de la Tunisie.
Le pire affront jamais fait à la Tunisie depuis l’invasion des Banu Hilal est de voir le nom de la Tunisie porté au pinacle du djihad musulman.
Si les tunisiens s’en accommodent c’est parce qu’ils sont eux-mêmes musulmans. Honte à ce peuple qui accueille avec les honneurs de la république la pire kyrielle de terroristes qui puissent exister.
Les couleurs noires de l’islam vont flotter sur le pays pour célébrer la consécration de la Tunisie en la nouvelle Mecque du djihad pendant que le drapeau national sera en berne en l’occasion des 3 jours de deuil national pour la mort de la patrie tunisienne.
La gloire pour l’islam et le discrédit pour la Tunisie et le peuple en est ravi. Allah saura le récompenser d’avoir accordé l’hospitalité à ses terroristes les plus vaillants qui oeuvrent dans son sentier qui ont choisi la Tunisie comme siège du gouvernement mondial du djihad pour réaliser ses desseins hégémoniques sur la terre tout entière.

Comme l’islam est un inadapté pathologique, qu’il retourne là d’où il vient

Il ne passe plus un jour sans que cette religion vendue à qui veut bien d’elle, les imbéciles, les idiots utiles, les paumés , les désaxés, les dégénérés, les marginaux, les délaissés pour compte du capitalisme, les borderlines, les désespérés de la vie, les dépressifs, les asociaux et  les détraqués de tous genres, comme une religion d’amour, de paix et de tolérance, sans qu’elle ne fasse preuve elle-même que tout cela n’est que de l’esbroufe et un mirage du désert arabique.

Cohérente avec elle-même et contrairement à ses laudateurs éblouis mentalement par leur angélisme béat, elle ne cesse de traduire dans les faits son propre enseignement théologique.comme ses menaces de représailles à l’adresse d’un libraire d’Argenteuil de s’il n’enlève pas de sa vitrine le dernier numéro de Charlie Hebdo sur sa figure tutélaire, le prophète autoproclamé.L’homme élevé au-dessus d’Allah lui-même et qui pèse en terme de sanction pénale en Tunisie 14,5 fois Allah. Autant offenser Allah que d’offenser son inventeur.

Autant croire à a résurrection du Christ que d’imaginer que l’islam est soluble dans des systèmes de valeur qui ne portent pas son marqueur génétique. Il ne reconnaît que les cellules qui portent porte sa propriété génomique.  Avec le nazisme, dont il est apparenté idéologiquement, il partage la palme contaminée du racisme érigé dogme religieux. Chez lui la foi se confond avec patrimoine génétique dont on ne peut pas se défaire sous peine de mettre en péril sa vie. Obsédé pathologiquement  par la haine de tout ce qui ne possède pas son caractère. Il lui est intolérable et impensable qu’il puisse exister une humanité différente de la sienne. Pour y arriver il n’y a qu’un seule voie la soumettre à la dictature de l’islam par tous les moyens comme disait le nouveau Compagnon du Prophète autoproclamé l’ignominieux Rached Ghannouchi ou la détruire.

Avec lui, adieu au droit à la différence. Tout ce qui n’est pas musulman est condamné à la disparition. Purifier la terre des impurs comme il l’a fait en Arabie qu’il avait nettoyé de toute présence judéo-chrétienne et polythéiste et continue encore à le faire au Proche-Orient, au Nord du Nigéria et la plupart des pays musulmans. Un nettoyage religieux en règle avec la complicité de la communauté internationale qui lui prête au gré de ses intérêts son concours comme au Kosovo, en Irak, en Egypte et en Syrie.

En dépit des évidences que seuls les sourds et les aveugles ne peuvent ni entendre ni voir, ses partisans et les capitulards et collabos, de tous bords se plaisent à nier que l’islam est le plus grand péril de notre temps, qu’il met en cause la pérennité de l’humanité. Tout heureux comme des benêts à encenser l’islam de toutes les vertus qui n’ont jamais été les siennes, payés certainement pour faire sa promotion comme au lendemain de la gueule de bois de l’ivresse au vin frelaté produit d’un cépage inconnu jusqu’en 2011 appelé « révolution du printemps arabe » où l’on a vu des hommes comme Sarkozy, Cameron et Obama se transformer en sommeliers de haut de gamme pour une vulgaire piquette. Jamais avare d’effort, la triplette du Munich de 2011 a fait  la promotion du breuvage musulman comme pouvant accompagner tous les plats. Alors que la réalité est toute autre et que ce breuvage non seulement  est imbuvable et dangereux pour la santé humaine mais surtout qu’il ne peut figurer dans aucune carte de vin et être servi dans aucun menu. Il est incompatible  déjà avec lui-même, toutes ses propriétés s’annulent entre elles, pour constituer un cocktail détonnant et mortel.

Le marier avec des plats qui ne sortent pas de ses propres cuisines et ne possédant pas ses ingrédients est mission impossible. Pour paraphraser un proverbe tunisien, il est plus facile de dissoudre une pierre que de dissoudre une l’islam qui  est comme la péripatéticienne, à l’instar de ces bonnes musulmanes qui offrent leur sexe en offrande à Allah, qui ne se repent jamais.

Ou plutôt comme le nazislamiste Rached Ghannouchi, le terroriste jamais repenti, Haut Commissaire des affaires de l’islam en Tunisie;.

Chez eux, l’homme est instrumentalisé par Allah, il en est qu’un fidèle exécutant.

L’islam est glouton jamais repu, il veut tout dévorer les hommes qui ne sont pas dans son moule et les valeurs qui ne sont pas les siennes.

Il n’est pas incompatible avec la république, il veut sa mort et ses escadrons de la mort qui font la loi dans nos cités finiront par y arriver tant que notre justice républicaine ne sévit pas contre eux et continue à les border comme des nouveaux-nés.

Cette justice sotte, aveugle et faiblarde, ne sait pas que le respect du droit à la différence ne doit pas s’appliquer à l’islam, car lui-même ne reconnaît pas ce droit à ceux qui ne sont pas dans son moule qu’il considère comme des apostats, des êtres impurs, des dhimmis, des porcs et des singes.

Il est même jugé comme un sacrilège sanctionné par la peine de mort.

Au lieu de l’éradiquer, elle se prosterne devant lui.

Lui-même il ferait mieux de retourner là d’où il vient puisqu’il est incapable de s’adapter à un environnement qui n’est pas le sien plutôt que de s’obstiner à le polluer pour le changer et dont il finira par en faire le premier les frais.

Salem Benammar

Par mépris de leur patrie, les tunisiens ont sacrifié les idéaux de leur révolution pour la gloire de l’islam

J’ai oublié qu’aujourd’hui on commémore le 3 e anniversaire de la mise en bière du mort-né de la révolution tunisienne.
Tout ce sang qui a coulé dont celui de mes deux neveux  a servi pour enivrer le peuple de sa joie de retrouvailles avec l’islam de malheur. Ce n’est pas l’islam qui a dégagé Ben Ali et pourtant c’est lui qui profite des lauriers de la victoire. Les revendications n’avaient rien de musulmanes, elles étaient hautement nobles et civiles et c’est lui qui a imposé les siennes.

Ceux qui ont donné leur vie et leur sang pour la dignité de leur pays ne savaient pas que l’islam allait dévoyer l’esprit de leur sacrifice et détourner le tout à son bénéfice.
Les tunisiens heureux de lécher les savates de l’islam, se réjouissent des malheurs de leur pays. Tombés comme des bleus dans le piège des promesses mirobolantes de l’islam oubliant qu’elles n’engagent ni Allah ni son prophète autoproclamé sauf ceux qui les prennent pour de l’argent comptant.
A cause de leur mépris de la Tunisie, leur esprit vénal et leur naïveté maladive expression de leur bigotisme caractérisé et intéressé, ils ont transformé leur pays en sanctuaire djihadiste et en pourvoyeur de main d’oeuvre sexuelle pour agrémenter le repos des terroristes d’Allah.
Ni remords ni regrets, ils ont leur conscience pour eux, ils ont suivi à la lettre la feuille de route de l’islam, ne pas se culpabiliser et éprouver le moindre scrupule pour détruire sa patrie pour la gloire de l’islam.
Allah ne reconnaît d’amour à ses ouailles que pour lui-même et jamais pour la patrie. Il veut son Oumma débarrassée des obstacles nationaux et démocratiques, avec les tunisiens il est servi au-delà de ses espérances.
Ils ont fait preuve d’un zèle inédit dans l’histoire humaine, trahir la mémoire des victimes de la répression bénalienne et les idéaux de la révolution ainsi que la mère-patrie en faisant d’elle la risée des nations.

Avec le congrès mondial des frères satanistes musulmans, la Tunisie acquiert le statut de la nouvelle Mecque du djihad

Rarement les tunisiens n’ont été autant gâtés par les actualités musulmanes. Après la semaine burlesque et guignolesque où l’on a atteint les sommets du ridicule et de l’absurde avec le spectacle sordide et moyenâgeux du cheveu du prophète qu’Allah se prosterne devant lui et le salue, ils sont conviés du 16 au 18 janvier 2014 à un événement majeur dans l’histoire du monde des ténèbres : la tenue du premier congrès des frères satanistes musulmans. 
Les tunisiens doivent ériger une statue à la gloire de leur Raspoutine national, l’enfant bâtard d’Adolph Hitler, le dénommé Rached Ghannouchi, c’est grâce à ses entregents dans les milieux terroristes internationaux que leur pays est consacré en tant que haut lieu du djihad du Grand Effroi musulman.. 
Un fait unique dans leur histoire qui doit les réjouir les de voir la terre d’Hannibal, de la Kahina, de Saint-Augustin, d’Ibn Khaldoun, de Bourguiba, et de tous mécréants qui ont fait l’honneur de la Tunisie investie par les amis de Ben Laden et de Zawahiri. Quel pays au monde pouvait en dire autant ? Aucun sauf la Tunisie qui accueille toutes les sommités musulmanes du nazisme, du collaborationnisme, de la terreur, de la barbarie humaine, de l’antipatriotisme, du racisme, de l’antisémitisme, de la pédophilie, de l’obscurantisme, de la nécrophilie, de la zoophilie, du charlatanisme
Le pays n’a plus à rougir de sa place de mauvais élève de l’Oumma musulmane, en effet, sous l’impulsion d’Ennahdha il a fait en 3 ans ce qu’il n’a pas pu faire en 1400 ans, devenir le pays phare du djihad. 
Ce congrès est une bonne thérapie pour redonner des couleurs aux tunisiens et flatter leur narcissisme de musulman qui leur fera oublier leur descente aux enfers.
Mais qu’importe leur calvaire tant que le soleil de la vie ne brillera plus jamais sur leur pays. C’est pour eux un signe subliminal qu’Allah leur a envoyé pour en faire le moteur de son Oumma. 
Ainsi,il y a tout lieu de croire que c’est la Tunisie qui est choisie pour servir de locomotive au rétablissement du 6 e Reich musulman depuis la liquidation de la Confrérie des enfants de Satan en Egypte.
Les tunisiens sont enfin récompensés pour leurs extraordinaires efforts déployés pour le triomphe des couleurs sinistres de la religion de la mort en Syrie, Irak, Afghanistan, Algérie, au Mali. Partout où l’islam avait besoin de combattants djihadistes et soeurs de confort sexuel, ils ont su répondre présent au préjudice de la réputation de leur pays qu est passé du pays de la paix et de la douceur de vivre au pays de la terreur en sa qualité de premier pays exportateur au monde de terroristes.
Tant qu’ils ont la joie de l’ivresse de l’islam, ils ne vont pas s’en priver, cyniques, masochistes et antipatriotes, ils n’ont pas à se préoccuper de la dégradation de l’image de leur pays devant la satisfaction des exigences du cahier de charges que chaque musulman doit respecter s’il ne veut pas finir dans les bûchers ardents de l’enfer.
Gageons que les tunisiennes et les tunisiens payeront de leur personne au propre comme au figuré pour faire de ce congrès un congrès d’anthologie de la honte humaine.
.

 
 

Pour un test ADN du cheveu et du tissu attribués à Mahomet pour connaître enfin son profil génétique

L’affaire du tissu et du cheveu du prophète et le suaire du Christ, ou l’art de faire du mensonge une vérité

Comment peut-on affirmer avec autant de certitude que le bout d’étoffe et le cheveu appartiennent à Mahomet sans avoir fait une analyse ADN de ces deux éléments susceptibles de nous éclairer sur le patrimoine génétique du prophète, sa personnalité et les types d’affection médicale dont il était porteur ?
Une telle analyse implique pour la validité du test à ce que l’on procède à l’exhumation de son corps en vue d’extraire son ADN fossile à partir de tissus durs (os, dent), sans quoi on ne peut pas établir avec précision une comparaison génétique entre ces différents matériels.
Avec cette affaire de cheveu et de tissu attribués à Mahomet, les musulmans qui plutôt que de représenter figurativement le prophète qui est un tabou dans l’islam, ouvrent la voie à la science en lui offrant l’opportunité de déterminer le profil génétique de Mahomet.
Etant persuadés que leur jeu de crique est anodin dogmatiquement, ils ne se rendent pas compte qu’ils ne peuvent plus se prévaloir du sacré pour empêcher la recherche de la vérité sur le prophète sous l’angle de la génétique en créant eux-mêmes un précédent dans la matière.
Si eux-mêmes ne respectent pas leurs propres tabous, ils ne peuvent pas en faire une loi opposable de surcroît à la science. Par conséquent, s’ils ne veulent pas être ridiculisés, discrédités et être traités de menteurs, fabulateurs, mystificateurs, imposteurs manipulateurs, escrocs, fétichistes, obscurantistes, sectaires, païens, polythéistes, associateurs, impies,sataniques, ils doivent accepter de laisser la science génétique confirmer ou infirmer leurs allégations.
Tout refus de leur part ne peut que desservir l’islam lui-même et la preuve irréfutable que l’islam n’est pas la religion qu’il prétend être. Quand on se veut une vérité, on doit accepter la preuve de l’examen de passage de la vérité scientifique. C’est seulement à ce prix que l’islam peut enfin balayer les réserves qui entourent son statut de religion et faire avaler leur langue à ses nombreux contradicteurs de par le monde.
Autrement le doute continuera à persister sur sa véritable nature de religion. Seul un examen scientifique peut nous permettre de voir clair dans cette affaire qui me fait penser à celle du suaire du Christ.

On ne fait pas des valeurs rétrogrades et barbares de l’arabo-islamisme un idéal identitaire

On ne fait pas d’une langue et d’une religion imposées par la force de l’épée et l’effusion du sang  et au prix du génocide du peuple amazigh une identité inaliénable pour les Tunisiens. On a pas besoin non plus d’en faire une loi constitutionnelle pour la rendre opposable à tous, comme si elle était un facteur de citoyenneté et d’enrichissement humain. il ne suffit pas de parler l’arabe et de professer l’islam pour être réduit à une portion congrue, un ersatz de l’arabo-islamisme synonyme de colonialisme, d’asservissement, féodalisme, despotisme et d’archaïsme..

Pourquoi les constitutions de l’Amérique du Sud ne font référence ne font pas référence à leur prétendue hispanité ? Ou la constitution française de 1958 ne revendique pas la latinité et l’origine gallo-romaine de la France ?

En quoi cette identité pouvait elle l’expression de l’histoire millénaire et variée des peuples afro-méditerranéens ? En quoi cette identité était-elle porteuse d’idéaux humains et politiques ?  En quoi pouvait-elle contribuer à l’essor de ces peuples dépouillés de leur véritable identité amazigh et judéo-chrétienne ?  En quoi était-elle un vecteur du développement économique et de progrès social ? 1400 ans que cela dure pour faire des peuples libers des peuples soumis et avilis. Des peuples de lumière, ils sont passés à l’obscurité. Des peuples de l’histoire, ils sont devenus des peuples de la protohistoire. Des peuples conquérants, ils sont devenus des éternels dominions.

Pourquoi veut-on faire de ces peuples des arabo-musulmans ce qu’ils ne le sont pas réellement ? Quelle est la véritable signification politique de ce projet de l’arabo-islamisation des sociétés afro-méditerranéennes au point de lui conférer un caractère constitutionnel ?

Parce que ces peuples ne le sont pas assez qu’on veut davantage les arabo-islamiser ou ils né le sont pas du tout qu’on carrément les arabo-islamiser. Mais plutôt que de les affilier à un espace qui n’est pas le leur n’est-il pas plus pertinent de les faire renouer avec leur véritable personnalité historique ? A moins que ce projet n’ait pour dessein de créer le cadre institutionnel de la wahhabisation forcée desdites sociétés et étouffer à tout jamais les velléités de rupture avec une culture négatrice de leur multiculturalisme et pluralité. Que l’on démontre dans ce cas-là si ces populations possèdent le caractère génétique des arabes, ce qui pourrait justifier leur rattachement définitif à cette ethnie qui n’est pas réputée pour son goût prononcé pour le travail et le respect de la dignité humaine.

Un projet aux visées néo-colonialistes, de perte de souveraineté natiuonale et d’acculturation définitive qui se profile à l’horizon de  la Tunisie comme l’Algérie comme le Maroc ainsi que la Libye et l’Egypte  qui ne sont  pourtant pas la propriété de l’arabo-islamisme. Pays millénaires ils n’ont pas été fécondés par les arabes et leur religion impérialiste et génocidaire. Pluriels ils le sont et pluriels ils le resteront. Pourquoi veut-on faire de nous ce que nous ne sommes pas ?

Un tunisien et un algérien ne sont pas arabes et ils n’ont pas à être nationalisés arabes pour qu’ils fassent l’objet d’une O.P.A constitutionnelle, ils sont le fruit du multiculturalisme et des mélanges des peuples et des cultures. Afro-méditerranéens voilà ce qu’ils sont. On ne fait pas de l’identité de la barbarie humaine un idéal démocratique pour ces peuples.

Quand on veut détruire les peuples et les cultures on les arabise

Je souscris pleinement à l’inscription de l’identité  imaginaire arabo-musulmane dans la nouvelle constitution tunisienne mais à condition que l’on reconnaisse officiellement dans ladite constitution le génocide du peuple Amazigh la déportation et les viols massifs de notre peuple, que l’on fasse une relecture historique de l’invasion dévastatrice des sauterelles arabisées et ses conséquences incommensurables et désastreuses sur notre écosystème dont les traces se font toujours sentir, et enfin établir le bilan des apports sociaux, culturels, humains, intellectuels, techniques, industriels, sanitaires, agricoles, dignité humaine, égalité, justice, éducation, de nos colonisateurs.

Dans un souci de recherche de vérité historique pour en finir avec les idées reçues sur des apports mythifiés et légendés, il faut le faire ce bilan afin que nous ayons une photographie fidèle de la contribution de ces envahisseurs impériaux, négateurs des cultures, allergiques à la culture du travail, haineux, cruels, méprisant pour tout savoir qui n’a pas le caractère musulman, ne t’instruis que de la seule parole d’Allah comme l’enseigne le Coran, djihadistes, terroristes, racistes, xénophobes, sexistes, pédophiles, pilleurs, conspirateurs, immatures, renégats, immoraux, misogynes,violents, fanatiques, castrateurs des libertés, bibliocides, dépourvus d’esprit créatifs, fatalistes, ethnocides, mémoricides, ethnocentriques, ignominieux, vénaux, défaitistes, ethnocentriques,  intolérants, esclavagistes, antichrétiens, anti-juifs, ignorants, incultes, suffisants, fatalistes, fourbes, pervers, retors,ultra-réactionnaires, archaïques, régressifs, hostiles au changement, génocidaires, passéistes, ignorants des temps futurs, incapables de se remettre en question, obtus, exubérants, misanthropes.

Il faudrait toute une encyclopédie pour répertorier tous les défauts de ce peuple visage de la barbarie humaine  qui n’a jamais brillé pour son goût pour l’épanouissement humain qui assimile la vie humaine à une vulgaire marchandise comme disait à juste titre l’ancien Emir du Qatar tout homme a un prix qu’il doit fixer lui-même.

Une identité qui confond sémantiquement  en arabe liberté et houri et qui fait de la violence la voie royale pour toucher le Graal paradisiaque.

Quelle identité arabo-musulmane ces constituants à la solde de l’arabo-islamisme veulent-ils imposer constitutionnellement aux tunisiens celle de l’Arabie Saoudite leur modèle suprême qui veut inféoder la Tunisie porteuses de germes de crimes contre l’humanité ?

Une identité connue pour ses vertus inhumanistes celle de la kafala, la lapidation, la dhimmitude, les inégalités entre les sexes, l’homophobie, le viol licite, l’inceste est permis, la zoophilie et la nécrophilie dans la pure tradition mahométane est une norme culturelle. A moins qu’il ne s’agisse de l’identité de l’exclusion sociale,de l’intolérance religieuse, de la mise à mort des apostats, du racisme anti-immigrés, du bannissement des femmes et des crimes contre la petite enfance, de la justice expéditive et inique où les puissants coupables sont blanchis et les victimes pauvres sont condamnés.

Les démunis qui se soignent au Coran et à la pisse de chameau et les riches se soignent en Occident.

Une identité où l’enseignement coranique est réservée aux masses et les oligarques religieux scolarisant leurs enfants dans les meilleurs établissements scolaires en Occident.

Une identité de l’abomination humaine qui laisse augurer un avenir très sombre pour les libertés humaines en Tunisie, où la démocratie sera haram pour incompatibilité avec l’islam où la théocratie sera le régime politique du pays avec une assemblée nationale faisant office de Majless Choura.

Une identité sous-entendant  la mutilation de la société de ses femmes,  la sexualisation marchande de leur corps, l’élevage sexuel, la répudiation,  la polygamie, le despotisme absolu et obscurantisme où le pouvoir sera confiné entre les mains d’une oligarchie religieuse.

Une identité qui mettra à mort le syndicalisme, la création, l’innovation, la recherche scientifique, l’éducation pour tous, la société civile, les partis politiques, la liberté d’expression, le tissu associatif non prosélyte, au nom de la Fitna.

Une identité d’interdits et de sacrilèges avec la charia comme norme juridique. C’est certainement de cela qu’il s’agit : le pouvoir est à Allah et la soumission est à l’homme.
On a pas à faire une identité synonyme de la barbarie une loi fondamentale pour la Tunisie. Si nous sommes arabo-musulmans avons-nous besoin de le proclamer dans notre constitution et si nous ne le sommes pas à quoi va-telle nous servir ?

Quand on veut détruire les peuples et les cultures, il n’y a pas mieux que de les dissoudre dans le bain acide de l’identité arabo-musulmane.

L’identité arabo-musulmane, ce Tchernobyl planétaire

.

par Salem Ben Ammar, mardi 11 octobre 2011
Comment peut-on parler de démocratie dans un environnement humain où le libre libre-arbitre et la liberté d’expression fruit de la pensée humaine, raisonnée, personnalisée et réfléchie, est considéré comme illicite parce qu’ils sont contraires aux dogmes de la religion qui enseignent la soumission, l’asservissement et l’obéissance totale et absolue moyennant des prébendes divines ?
Un environnement où la voix de l’homme doit s’effacer devant la voix de dieu, où l’individu n’existe pas en dehors du son groupe d’appartenance qui fait office de matrice sociale, culturelle, cultuelle et de censeur.
 Tant qu on a pas cerné tous les freins culturels propres à ces populations incultes et bigotes, ancrées maladivement contre leur gré dans leur identité arabo-musulmane, inhibées et endoctrinées par le prosélytisme obsessionnel du berceau jusqu’à la sépulture, on continuera de prêcher dans le désert aride Arabie. Et là on comprendra aisément pourquoi les sectes ont plus d audience que les organisations politiques de caractère laïque et républicain moteur pourtant de la démocratie. La secte satanique et messianique d’Ennahdha porte-drapeau affiché de l’islam en Tunisie et son nouveau souffle n’a comme seul projet pour les tunisiens que de leur offrir la clé pour le paradis en contrepartie de la rédemption de leur âme et le retour dans le bercail d’Allah.
Par conséquent, les partis laïques du fait de leur non-promiscuité proclamée avec Allah sont perçus comme des mouvements hérétiques éloignant l’électeur-croyant du sentier céleste. Avant tout les électeurs sont des fidèles et leur seul critère de choix est identitaire arabo-musulman et non tuniso-tunisien. Les remous suscités autour du débat sur l’article 1 de la Constitution tunisienne sont autant d’indices quant au souci de l’électeur-croyant de sa phobie de couper le cordon ombilical avec sa supposée personnalité arabe et musulmane qui prime sur la souveraineté nationale et le devenir humain et politique de la Tunisie. Autrement dit, seul un mouvement sectaire et ultra-réactionnaire susceptible de restaurer ces valeurs fondamentales appelées abusivement arabo-musulmanes, sources d’archaïsme, de régression et en rupture flagrante avec les exigences de la modernité synonymes de progrès humain a les faveurs des électeurs-croyants.
En effet, les peuples frustes et endoctrinés par la religion ne s’inscrivent guère dans une perspective terrestre, ils se projettent essentiellement dans leur vie dans l’au-delà. Leur devoir n’est pas de préparer un monde meilleur pour les générations futures, protéger leur environnement humain et le pérenniser, ils ont une approche culturelle immatérielle dogmatique qui les freine dans leur quête de du bien-être et de développement humain. Ils sont pathologiquement attachés aux dogmes de la foi qui ne leur laissent aucune autre alternative en dehors de la voie prévue par la feuille de route commune à tous les croyants. Le seul mot d ordre perceptible et la seule voix audible sont ceux qui appellent au respect total et absolu du schéma dessiné par Dieu pour tout un chacun qui est leur seul garant pour le repos de leur âme afin de pouvoir jouir un jour des bienfaits promis par Allah pour ses fidèles les plus vaillants.
Un musulman est tenu par ses obligations cultuelles et formelles à se laisser guider par les prescrits du Coran ainsi que de veiller à l’adoption de la Sunna et la Charia conditions sine qua non pour toucher le Graal. C’est pour cette raison que les forces démocratiques de culture politique non marquée par le sceau de la religion sont comme un bateau ivre dans une mer agitée et houleuse où soufflent depuis les vents venus du désert d Arabie. Porteurs de nauffrage civilisationnel et de culture liberticide.
Le 3 novembre 2011 parpourfendeurAlerter un modérateur

Le dialogue est à l’islam ce que la ruse est au renard

Je n’ai rien contre l’islam s’il se comporte comme un simple culte. Mais comme il veut être partout c’est lui s’expose de lui-même aux hostilités et aux rejets de toutes sortes. Il ne peut pas être séculier et séculaire. Religion et cité, temporel et intemporel, sacré et profane, qu’il se limite à sa seule sphère de religion et il sera épargné par les critiques.
Quand on se veut plus politique que culte, il est inévitable qu’il essuie les rafales de critiques dont il est l’objet voire même qu’il remet en cause lui-même son statut de religion. Ses sectateurs ne peuvent reprocher aux islamo-incompatibles leur attitude vigilante à l’égard d’un mode de croyance qui s’est fait une spécialité de pervertir son propre statut et de se prévaloir du sacré pour censurer ses opposants. Qu’ils se posent eux-mêmes la vraie question si les ambiguïtés et les confusions que soulèvent le comportement envahissant, tentaculaire et expansionniste de l’islam n’est pas symptomatique de l’inexistence de l’islam en tant que religion ?
Pourquoi l’islam est incapable de rester dans son seul champ de culte et de ne s’occuper que des affaires spirituelles de ses adeptes et se veut surtout un mode de gouvernement total de la vie des hommes dans ses moindres petits détails ?
Pourquoi ne reconnaît-il pas les frontières qui séparent les sphères publiques et privées ?
Pourquoi ses adeptes forts de son enseignement et convaincus que les lois humaines sont impures sont ceux-là qui ne respectent évidemment pas les lois de leurs pays d’accueil ?
Si l’islam n’avait pas pour eux une force de loi qui se veut de portée universelle au mépris de toutes les lois non-musulmanes, peut-être qu’inconsciemment ils n’auraient pas intégré cela dans leurs rapports aux lois qui ne sont pas consubstantiellement musulmanes.
Ils ne peuvent qu’être à l’image de leur religion qui ne se met pas à elle-même des limites et qui ne peut leur apprendre non plus le respect des lois qui ne sont pas les siennes.
Influencés par des prescrits négateurs des lois humaines voués à être abolies un jour au profit des lois de l’islam, ils sont les meilleurs témoins du refus de l’islam à assumer ses obligations en tant que religion et qu’un habit ne peut lui seoir s’il ne l’a pas taillé lui même à ses propres mesures qui correspond pas un linceul planétaire dans lequel il veut envelopper l’humanité tout entière.
Quand l’islam fait semblant de tendre la main aux autres religions, il le fait par pur calcul opportuniste  pour les embobiner et faire croire qu’il est lui-même religion afin de mieux les achever.
Qu’il respecte son statut de religion au même titre que toutes les autres, il aura tout à gagner en termes de respectabilité et de crédibilité et donnera du sens à sa volonté réelle du dialogue.
Qui peut croire un seul instant en la sincérité du dialogue quand les textes fondateurs de l’islam appellent à la destruction de tous les obstacles susceptibles de le contenir dans ses avancées hégémoniques et n’encouragent guère au dialogue avec les impies, les porcs et les singes tels qu’il qualifie le chrétiens et les juifs ?
Quel dialogue quand on haine et mépris pour tout ce qui est différent de soi ?  Peut-on s’asseoir autour d’une même table de discussion avec un protagoniste dont la charte est hautement belliciste et qui met en péril notre pérennité ?  Ceci n’est pas sans rappeler la charte de l’O.L.P ?
Un dialogue  fantasmagorique et illusoire,  portant le masque de la Taqiya,   prosélyte dont la finalité est de convaincre les antagonistes à se soumettre aux idées suprématistes de l’islam.
 

Par le biais de l’islam en tant que loi fondamentale on cherche à tuer les libertés publiques en Tunisie

Même si à mes yeux les travaux de l’A.N.C. sont forclos et de nul effet. En effet, quelle que soit la valeur politique copie rendue par les constituants qui ont perdu toute légitimité depuis le 23 octobre 2012, il ne faut pas attendre monts et merveilles de la future constitution qui sera frappée du sceau de l’islam. Pourquoi a-t-on besoin d’inscrire l’islam dans une constitution si cela ne masquait pas des arrières-pensées liberticides ? 
Si réellement l’A.N.C avait le souci des libertés en Tunisie et qu’elle ne cherchait pas à mettre en place des garde-fous juridiques pour les restreindre et pire pour les rendre inefficientes et ineffectives, elle devrait supprimer toute référence à cette religion pour éviter les ambiguïtés à l’instar de Kamel Atatürk. Un Etat civil doit être au-dessus des religions.
En faisant de l’Etat protecteur de l’islam, on lui laisse toute latitude pour censurer toutes les lois qui sont en contradiction avec les prescrits du coran.
Comment cet Etat qui sera juge et partie et donc schizophrène va-t-il concilier entre les valeurs de l’islam qui relèvent du droit naturel et les droits des citoyens dans des domaines qui sont l’expression majeure de l’exercice des libertés publiques et qui relèvent du droit positif ? A savoir le contrôle des naissances, le droit à l’avortement, le droit de la famille, le droit de divorce, le droit de succession, les mariages mixtes, la liberté de conscience, l’adoption plénière, l’abjuration de la foi, les droits de l’homme et du citoyen, les droits fondamentaux les nuisances sonores des hauts-parleurs des mosquées, l’inobservation du ramadan, la non-intrusion de la religion dans les affaires de l’Etat lui-même, un carré dans les cimetières musulmans réservé ex musulmans, l’interdiction des partis religieux, le rétablissement des cours de philosophie, la suppression de l’éducation religieuse, la disparition du ministère des affaires religieuses, etc…
Cet Etat censé veiller sur les droits de l’islam fera tout pour que rien ne viendra faire de l’ombre au pouvoir hégémonique et totalitaire de cette religion et susceptibles de les remettre en cause.
Cette constitution est une tromperie sur la marchandise, un dol pour prendre la vigilance des tunisiens à défaut. On ouvre les portes aux libertés pour mieux les tuer au nom de l’absolue nécessité de préserver la pérennité de l’islam.
Aucun Etat tunisien n’ouvrira une brèche dans la citadelle musulmane qui aura pour conséquence de se transformer un jour en un grand trou béant qui minera ses fondements et la fera écrouler. 
L’islam sans la répression des libertés n’existera plus comme le dit Qaradhaoui. 
Les libertés sous surveillance de l’islam ne sont pas des libertés, elles sont une chimère et un mirage dans ce désert aride inhospitalier à la démocratie.
Si l’ont veut sincèrement témoigner de l’attachement de la Tunisie aux droits de l’homme et aux droits fondamentaux, il faut les inscrire en lettres d’or dans le préambule de la nouvelle constitution.

Avec la nouvelle constitution qui protège l’islam, les tunisiens mettent le cap sur la charia

Le peuple tunisien est heureux de se doter d’une « constitution qui va lui permettre de tourner le dos à l’islam », selon l’expression d’un journaleux qui confond démocratie et totalitarisme.
Les tunisiens incapables de faire le deuil de Ben Ali dont les méthodes sont les normes politiques du gouvernement de transition ne feront jamais un faux bond à l’islam. Bien au contraire, il a été un facteur déterminant dans leur motivation de vote et c’est tout naturellement les partis qui sont su habilement jouer de leur promiscuité avec l’islam qui ont touché le jack pot électoral.
En Tunisie comme dans tous les pays musulmans on ne vote pas seulement pour les partis de l’islam, on vote surtout contre les partis qui ne se réclament pas ouvertement de lui, jugés comme des partis ennemis de l’islam et donc mécréants.
En votant pour les partis de l’islam sous le leadership d’Ennahdha, les tunisiens ont consacré l’islam comme le maître-souverain de la Tunisie post 14 janvier 2011. On ne peut par conséquent imaginer ce peuple tout heureux d’avoir retrouvé ses vertus musulmanes y renoncer par la magie d’une constitution finalisant la rupture des liens avec l’islam.
Ce peuple a élu des représentants-djihadistes pour baliser la voie de l’islamisation totale du pays. L’esprit de sa future constitution ne doit pas être entaché par des influences exogènes à l’islam.
Fier du nouveau statut du pays devenu terre du djihad et premier exportateur de main d’oeuvre djihadiste et de filles de confort sexuel hala, il ne peut que se féliciter de se voir doté d’une constitution en rapport avec sa personnalité musulmane qui aurait été mise à mal selon lui par Bourguiba et quelque peu avec Ben Ali.
Grâce au scrutin du 23 octobre 2011, il a pris sa revanche surtout sur Bourguiba qui avait commis le sacrilège de vouloir restreindre le pouvoir hégémonique de l’islam sur la vie de la cité. En effet, aux yeux de ce peuple le bigotisme est synonyme de libertés de culte. Maintenant que tous les obstacles légaux et politiques des deux précédents régimes ne sont plus de cours, la voie est grande ouverte pour bâtir des liens fusionnels avec l’islam actés officiellement dans un contrat où les rapports de force sont favorables à l’islam.
Un contrat conférant les pleins pouvoirs à l’islam et fixant les obligations contraignantes à la partie tunisienne dans la logique des lois fondamentales de la religion musulmanes. Car il ne peut y avoir de textes juridiques de quelque nature que ce soit en contradiction avec les préceptes coraniques, et à défaut les Hadiths et la Sira.
Seulement les tunisiens ont fait preuve d’une rare ingéniosité en créant un modèle unique au monde de constitution théocratique affublé du masque de la démocratie et des droits fondamentaux.
Une constitution rédigée avec le sang des victimes de la répression de Ben Ali et tous ces patriotes aveuglés par la chevrotine et tombés sous les balles de ceux-là-mêmes que le peuple avait investis pour la rédaction du la déclaration d’allégeance constitutionnelle au wahhabisme néo-impérial qui se veut l’islam unitaire et fédérateur de tous les musulmans. Un acte fondateur de la vassalisation de la Tunisie.
Au nom de la défense des intérêts supérieurs de l’islam, la Tunisie cessera d’exister en tant que patrie et Etat indépendant.

Les tunisiens s’accommodent parfaitement de leur sort et c’est la Tunisie qui en pâtit

Marzouki, Ghannouchi, Larayedh, Mahrzia, Badi, Jébali, Ellouze, Abou Ayoub,Jendoubi, Ben Jaäfar, et bien d’autres noms aussi ignobles et ignominieux les uns comme les autres, ne sont en réalité que le vrai visage révélé de la Tunisie post 14 janvier 2011. Ils sont à eux seuls le condensé de toutes les tares scories de ce peuple.
En effet si cette kyrielle de crapules, de traîtres, d’opportunistes, de renégats, de salopards, d’imposteurs, de terroristes, de mercenaires, d’assassins, d’escrocs, de corrompus, jouit d’une impunité incroyable aujourd’hui c’est tout simplement que le peuple tunisien ne va pas se punir lui-même à travers eux.
Quand on a pas soi-même des principes moraux, on ne va pas reprocher à l’autre ce que nous ne sommes pas nous-mêmes. Par exemple ni Chirac ni Sarkozy n’ont jamais employé le mot morale dans leurs discours respectifs.
Un peuple vertueux n’aurait jamais laissé de tels rebuts humains conduire les affaires de son pays.
Les tunisiens tellement emberlificotés dans les tas d’immondices accumulées devant chez eux au propre comme au figuré qu’ils sont incapables d’aller faire le ménage là où c’est vital pour eux : Carthage, le Bardo, la kasbah, et régler ses comptes à Kamel Jendoubi l’homme qui a vendu la Tunisie à son vieil ami le terroriste Rached Ghannouchi.
Est-ce que ce peuple a une conscience de l’extrême gravité de la situation ? Il est à douter que ce soit le cas. Il ne fait rien pour enrayer sa chute inexorable dans les enfers.
Tout heureux d’être gouvernés par ses semblables. Tant que c’est ton frère qui te roule dans la farine, l’honneur de la famille est sauf.
S’ils se laissent ainsi faire, c’est tout simplement congénital chez eux. Un peuple si indifférent au sort de son pays et à l’avenir de sa jeunesse, qu’il préfère envoyer ses garçons se faire tuer en Syrie et ses filles faire la prostituée d’Allah dans ce même pays.
On reconnait les peuples à leur sens de l’honneur, or, le tunisien est loin de le prouver, ne serait-ce pas son silence sur la non extradition de Ben Ali et de sa clique mafieuse. Bien au contraire, il continue à accomplir son pèlerinage dans ce pays qui abrite la famille de l’ancien despote et qui n’a de cesse que de détruire son pays via la secte milicienne d’Ennahdha maîtresse du pays.

Qu’a-t-il fait pour exiger à ce que toute la lumière soit faite sur les assassinats politiques qui ont endeuillé le pays depuis le mois de novembre 2012, plutôt que se livrer à un simulacre de dialogue avec ses tortionnaires qui est un véritable aveu de complicité dans lesdits assassinats ?
Rien ne plaide en l’état actuel des choses quant à la capacité de se peuple de faire sa véritable révolution culturelle, qui sans ele, il n’y aura aucun espoir de libération du pays.
.

La liberté de conscience est incompatible avec l’islam

Il ne peut y avoir en Tunisie de liberté de conscience avec un article 1 qui plébiscite l’islam comme  confession de tous les tunisiens : l’islam est notre foi et la seule couleur religieuse du pays.  En d’autres termes,  on établit une automaticité des liens entre islam et  nationalité.

Une liberté de conscience dans un environnement où l’islam est déclaré constitutionnellement comme étant la seule confession pour tous les musulmans, ne peut être qu’une fumisterie intellectuelle. Un leurre et une entourloupe. Que la future constitution garantisse le droit aux tunisiens d’avoir le libre choix de leurs propre système de valeurs, cela ne changera rien aux fonds du problème, sans qu’il soit expressément stipulé une égalité de traitement entre les croyances.

Comme le rappelle à juste titre Henri Pena-Ruiz , philosophe et figure de la laïcité : « La liberté de conscience est fondée sur l’autonomie de jugement grâce à l’école de la République, la seule école vraiment libre, car elle s’ouvre gratuitement à tous les enfants du peuple, et n’a d’autre souci que de libérer les consciences humaines grâce à une culture universelle. »
Pour ce faire, il faut créer le cadre juridique de droit positif et en aucun cas de faire de l’islam la superstructure de l’architecture nouvelle constitution.  L’islam est plus qu’une religion, c’est une doctrine politique et une loi destinée à gouverner la vie des fidèles.et de réglementer leurs rapports sociaux, interpersonnels, leur vie privée dans ses moindres petits détails. Islam religion est une vue de l’es^rit, un oxymore.  Ce sont ses lois que la majorité des tunisiens doivent observer et que la minorité se doit par conséquent de s’y conformer en prenant en compte le caractère musulman du pays.

Cet article 1 signifie en réalité l’identité tunisienne est essentiellement musulmane qui ne tolère aucune atteinte aux dogmes de l’islam, ni remise en cause de ses dogmes. Quant à ceux qui ne se définissent pas comme musulmans au nom de la liberté présumée de culte, ils doivent rester dans le champ fixé par l’islam. Une liberté sous surveillance de l’islam comme au temps du Califat ottoman. Il est à douter que l’on puisse imaginer demain en Tunisie des chrétiens tunisiens qui après avoir apostasié l’islam, ce qui reste toujours un crime dans ce pays, solliciter un permis de construire d’une église ou organiser des collectes d’argent sur les places publiques comme le font les musulmans en toute sécurité républicaine en France.

Pour paraphraser Kateb Yassine : Si la Tunisie était musulmane, a-t-on besoin de l’inscrire dans la constitution, et si elle ne l’était pas a-t-on besoin de le mentionner ?  Une religion n’est pas un journal comptable où l’on enregistre automatiquement tous les entrants censés être nés de parents eux-mêmes prétendument musulmans sans qu’ils aient un jour exprimé leur propre libre-arbitre. Une religion n’est pas non plus un facteur de citoyenneté et n’a pas à servir de trait d’union entre les tunisiens pour imprégner au pays son visage politique, culturel et social. Le simple fait de décréter l’islam comme étant la religion de la majorité, comme si la majorité était entièrement acquise à l’islam ou sa propriété est symptomatique de l’esprit théocratique de la future constitution et de la subordination des autres systèmes de valeur à l’islam. Une constitution qui marque la dictature de l’islam religion majoritaire du pays est-elle porteuse de prémisses des libertés démocratiques ?  Qu’est-ce qu’une démocratie comme le dit Albert Camus qui se définit aux dépens des droits des minorités ?  La vraie démocratie n’est pas la loi de la majorité, elle doit protéger tous ceux  qui ne sont pas dans le sérail majoritaire.

Enfermer la Tunisie dans la seule case de l’islamité et l’arabité, c’est nier sa diversité et son histoire millénaire plurielle. Tout se passe comme si elle avait été enfantée par l’islam et qu’elle ne peut pas bâtir un destin humain et intellectuel qui ne soit pas marqué par son empreinte et l’expression de son identité arabo-musulmane. La future constitution sera juste une réaffirmation de la suprématie de l’islam sur toutes le reste.  Si liberté de conscience il y aura, elle sera minimaliste et au rabais avec le statut de dhimmi pour ceux qui n’ont pas fait le choix de l’islam.

Comment peut-on parler de liberté de conscience avec un article 1 qui nie tout droit à la différence et qui fait de l’islam la religion nationale.  Sachant qu’on est pas dans le contexte historique de 1959 et l’esprit de cette constitution doit absolument épouser les idéaux de la Révolution des indignés. Les tunisiens n’ont pas dégagé Ben Ali pour donner les pleins pouvoirs à l’islam.

Une constitution dédiée à l’islam n’est pas garante de liberté de conscience ni d’aucune autre. Si par miracle les constituants à la solde d’Ennahdha arrivent à concilier islam et droits de l’homme, est-ce à dire qu’un musulman peut abjurer l’islam en toute conscience au vu et au su de tout le monde sans mettre en péril sa vie ?. Est-ce à dire que l’on peut critiquer l’islam en toute liberté sans que cela n’expose le contrevenant à la lapidation ou la prison ? Si réellement la liberté de conscience est un droit inaliénable pour les tunisiens que l’on libère Jabeur Mejri immédiatement ?

La liberté de conscience n’aura du sens que le jour où la Tunisie se dotera d’une véritable constitution laïque où l’islam sera cantonné à son seul rôle de culte. Ce qui est une gageure, si ce n’est une hérésie. L’islam est religion, Etat et monde. Restreindre le champ d’exercice de son pouvoir totalitaire, reviendrait à le réformer. Ce qui est mission impossible.

Tant que la Tunisie n’inscrit pas en lettre d’or dans le préambule de sa future constitution son attachement indéfectible à la Charte Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et l’égalité des droits entre ses citoyens indépendamment de leur origine, leur sexe, leur croyance ou non croyance, la future constitution ne sera qu’une version édulcorée et light de la charia.

Si l’on a le souci des libertés de culte et le droit de ne pas en avoir, on doit commencer par supprimer toute référence constitutionnelle à l’islam comme l’avait fait Kamel Atatürk d’une part et d’autre part définir un véritable statut de citoyenneté.

Que l’islam apprenne qu’il ne sera jamais une patrie pour toute l’humanité

Comme toute idéologie totalitaire et ethnocentrique, l’islam cherche à s’imposer par tous les moyens comme une patrie pour tous les hommes.  Une patrie standardisée et sectaire avec des hommes reliés par le seul sentiment religieux aux couleurs de l’islam à l’exclusion de tout autre.  N’y habitent dans sa patrie que les hommes qui se réclament de lui. Déniant ainsi aux hommes tout droit à la différence, les menaçant des pires châtiments s’ils refusent de se plier à ses règles ou chercher à s’y soustraire.

Une patrie imbécile pour des humains formatés dans le même moule ressemblant à une armée de zombies.  Sortis tous du même moule sans autre perspective de vie que le reniement de sa propre existence pour se transformer en chair à canon ou se vouer en objet sexuel pour satisfaire les desseins impériaux et expansionnistes  de l’islam obsédé par ses desseins cosmiques et impériaux.

Une patrie planétaire soumise aux seules lois de l’islam et dans laquelle les hommes n’ont de salut que dans leur soumission à une religion qui a fait de la contrainte intolérable son seul mode de gouvernement de la vie des hommes, les opposant les uns aux autres, les exaltant à tuer et se faire tuer pour elle pour mériter ses prébendes célestes.

La patrie musulmane édifiée sur le terreau de la violence, de la barbarie, de l’esclavagisme et de la terreur.  Des idéaux inhumains qui mettent en péril le devenir de l’humanité. Plutôt que d’implanter dans le coeur des hommes l’amour du genre humain , l’islam oeuvre à y semer les sèves du racisme et de l’intolérance.

Qu’est-ce qui est le plus important la patrie diversifiée et plurielle qui participe à l’humanisation des hommes et à l’ouverture sur le monde ou l’islam qui répand le virus de la haine de l’autre et qui cultive l’autodestruction de sa propre vie ? Qu’est ce que cette religion vous a-t-elle apporté : déshonneur, indignité, soumission, sous-développement, misère, violence, haine, fanatisme, désunion, mépris de soi, troubles de la personnalité, ignorance, inculture, la perte de son identité, l’irrespect de la vie humaine, trahison, les inégalités, l’oppression mentale, le bannissement des femmes, la pédophilie, les injustices, la barbarie humaine etc… La patrie, l’union, l’amour de sa terre, la fierté, la dignité, l’honneur, le progrès, l’émancipation, le bien vivre ensemble, la prise de conscience de soi, les droits humains, l’éducation, la compréhension mutuelle, la loyauté, le civisme, la morale publique, la citoyenneté, l’égalité des droits, les droits de la femme et la protection de la petite enfance, la justice sociale, le droit à la vie tout simplement. L’islam tue et la patrie protège. Le premier est une tombe pour l’humain, la seconde est la source de la vie.
L’islam est l’ennemi juré de la patrie, en voulant créer lui même une patrie commune à tous les musulmans, soumises aux seules lois de l’islam. C’est la patrie façonnée par Allah et pour les seuls musulmans. La religion et la patrie se confondent pour n’en faire qu’une. Une patrie diversifiée et plurielle est contraire à sa doctrine politique. Une patrie qui ne répond pas à ses normes doit être abolie, d’où le travail de démolition auquel s’attelle les islamistes tunisiens.
En effet, les tunisiens et tous les autres doivent savoir que la survie de leurs mères patries dépend de leur volonté à se battre contre l’impérialisme génocidaire des peuples et des cultures qu’est l’islam. S’il était qu’une simple religion pourquoi ses zélateurs veulent l’imposer comme système de gouvernement de la vie de la cité ? C’est eux qui ont parfaitement raison de ne pas dissocier le religieux du politique, car c’est tout-à-fait ça l’islam. Il n’a jamais été et ne le sera pas non plus un simple culte. Né pour diriger la vie des hommes dans toutes les sphères de la vie dans ses moindre es petits détails. L’erreur impardonnable est que l’on voit en lui une religion inoffensive malgré qu’il a été inventé par un mercantiliste, un chef de guerre et un chef d’Etat, et gourou prônant espèce d’hétérodoxie hybride, un mélo mélo composé de toutes sortes d’ingrédients empruntés par ci par là aux autres croyances monothéistes et polythéistes.
L’islam est religion, monde et cité. Il ne peut exister et prospérer que dans la dissolution de tout système qui ne soit pas marqué par son empreinte, par conséquent, il est illusoire de croire que l’on peut concilier islam et patrie. Soit l’un soit l’autre. Défendre la patrie c’est avant tout se défendre contre l’hégémonisme nihiliste et totalitaire de l’islam.

Le djihad par les urnes est la voie royale pour islamiser la France

Le droit de vote aux étrangers non-communautaires est la voie impériale au djihad par les urnes et la consécration définitive de l’islamisation de la France.

En effet, avec la prolifération des enclaves musulmanes en France,  le droit de vote aux étrangers extracommunautaires  est une aubaine extraordinaire pour leur octroyer l’autonomie politique  nécessaire à la création de nouveaux émirats sur le sol français.

Des villes comme Roubaix, Trappes, Mantes  la Jolie, Vénissieux, et bien d’autres, voire le  département du 9-3 et un pan entier de Marseille tomberont sans coup férir dans l’escarcelle de l’islam.

Ce projet de loi apparaît comme une dot que la France veut apporter dans sa corbeille de future mariée avec l’islam. qu’ qui sont majoritairement musulmans.

Un gage que la France veut offrir  pour sceller son alliance avec l’ennemi de la république et des libertés.

En tressant des lauriers républicains à l’islam, la France va le consacrer en tant que premier parti politique de l’Hexagone.

Est-ce que ces irresponsables politiques savent que que l’islam n’est pas que religion  seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?

Plus apparenté au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu  pour être un parangon  de libertés publiques et humaines.

Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.

Toute motivation de vote  chez un musulman  doit contribuer à  l’implantation et l’expansion de l’islam, une sorte de djihad par les urnes.

Il est  par conséquent utopique d’imaginer un musulman voter demain pour un non-musulman dont le projet va à l’encontre des intérêts de l’islam.

Peu de musulmans oseront commettre un tel sacrilège en adoptant une posture républicaine.

Autant légaliser le nazisme et le doter de vertus républicaines que  d’accorder le droit de vote aux étrangers qui leur permettra d’islamiser la France sans coup férir avec la complicité de la république qui  masochiste et naïve ne se rend pas compte qu’elle va creuser sa propre tombe  !

Bientôt les villages gaulois seront halalisés, pour ressembler à des cimetières de morts-vivants comme dans les bleds arabes.

Vidés de leur âme, dépouillés de leur identité française, et les mosquées remplaceront les églises et le porc sera définitivement interdit dans les   cantines scolaires et les restaurants où l’on servira l’urine de chameaux dont ils sont férus au lieu et place  du vin français.

Le droit de vote c’est aussi les 5 appels à la prière par jour du haut des minarets avec des mégaphones à 1000 décibels.

Avec des espaces séparés pour les  hommes et  les femmes dans les transports en commun, c’est une véritable usine à gaz en perspective.

Polygamie, pédophilie, racisme, antisémitisme, abolition du mariage civil, loi sur le blasphème,  abrogation de la charte universelle des droits de l’homme et du citoyen, djihad, relégation des femmes excision,  voile, nikab, kamiss afghan et port de barbes  obligatoires pour tout le monde, l’enseignement du Coran obligatoire, interruption des programmes de télévision pour diffuser les appels à la prière, interdiction d’enseigner Darwin et la philosophie, suppression des auteurs non-musulmans des manuels scolaires, un joli programme qui s’invitera à la table  électorale des français demain.

Pour mieux tuer la France, il faut l’islamiser.

Si l’islam était démocratique et moderniste pourquoi les pays musulmans brillent par leur violation des droits de l’homme, le sexisme, l’intolérance et la barbarie ?

Pourquoi les non-musulmans sont-ils considérés comme des sous-hommes, des dhimmis ?

Le droit de vote aux étrangers revient à faire de la charia la future loi fondamentale de la république tel est le vrai sens du droit de vote pour tous.

Salem Benammar

Tout pays conquis par l’islam est un champ de ruine, une morne plaine et un désert d’ignorance et d’âneries

Le monde découvre avec stupeur la destruction du patrimoine archéologique et intellectuel au Mali, la Syrie, l’Irak, la Tunisie et les menaces que les fondamentalistes font peser sur les pyramides comme si cela était un phénomène nouveau dans l’histoire de l’islam. Il leur aurait suffi de lire Ibn Khaldoun pour mesurer à quel point l’islam voue une haine dogmatique pour les sciences, le savoir, les livres, l’archéologie et les cultures des peuples conquis.

« Que sont devenues les sciences des Perses dont les écrits, à l’époque de la conquête, furent anéantis par ordre d’Omar ? Où sont les sciences des Chaldéens, des Assyriens, des habitants de Babylone ? […] Où sont les sciences qui, plus anciennement, ont régné chez les Coptes ? Il est une seule nation, celle des Grecs, dont nous possédons exclusivement les productions scientifiques, et cela grâce aux soins que prit El-Mamoun de faire traduire ces ouvrages.
[…] Les musulmans, lors de la conquête de la Perse, trouvèrent dans ce pays, une quantité innombrable de livres et de recueils scientifiques ; [leur général] Saad ibn Abi Oueccas demanda par écrit au khalife Omar ibn al-Khattab s’il lui serait permis de les distribuer aux vrais croyants avec le reste du butin. Omar lui répondit en ces termes : “Jette-les à l’eau ; s’ils renferment ce qui peut guider vers la vérité, nous tenons de Dieu ce qui nous y guide encore mieux ; s’ils renferment des tromperies, nous en serons débarrassés, grâce à Dieu !” En conséquence de cet ordre, on jeta les livres à l’eau et dans le feu, et dès lors les sciences des Perses disparurent. »

— Prolégomènes3e partie, éd. Quatremère, trad. de Slane, p. 89-90 et 125.

Ni Averroes qui fait la fierté de tous les musulmans sans pour autant qu’il soit enseigné dans leurs universités où la philosophie considérée comme une hérésie n’a pas sa place fut persécuté sur la fin de sa vie et condamné à l’exil à l’exil à Lucena, c’est à des juifs et à des chrétiens attachés à conserver et traduire ses œuvres qu’il doit son influence posthume. Et les musulmans continent à nier les évidences et proclamer que l’islam a révolutionné les sciences sans étayer leurs assertions par les moindres preuves. Pour eux, il suffit de croire pour donner du sens à leurs délires mensongers. nier malgré les évidences coraniques : lisez au seul nom de votre créateur ! Si les musulmans sont bouchés et dépourvus de discernement , ce n’est pas la faute à Allah lui-même et son porte-plume le Messager au message confus, contradictoire, abscons, tautologique, redondant, indigeste, incohérent,  charlatanesque, ethnocentrique, apocryphe,  et copier-coller, de leur avoir bien stipulé : ne rien lire d’autre qui ne soit pas l’expression de son oeuvre, qui doit porter sa signature incréée..

L’islam n’a jamais encouragé le pluralisme intellectuel ni insufflé à ses fidèles un quelconque souffle d’éveil intellectuel afin qu’ils s’ouvrent et s’imprègnent des cultures d’autres peuples. Si l’islam était un facteur d’enrichissement culturel et humain, pourquoi a-t-il dissous la culture Amazigh par exemple pour la rendre illicite pour la population nord-africaine ?  Pourquoi sans Napoléon le monde n’aurait jamais découvert la civilisation égyptienne ? Pourquoi les partisans de l’islam des sources s’attachent à détruire les symboles des mémoires historiques millénaires des peuples coulés dans son moule, telle la destruction des statues de Bouddha de Bamiyan par les Talibans qui sont musulmans littéralistes ? Pourquoi l’Arabie Saoudite, bailleur de fonds attitré du wahhabisme et artisan majeur de sa propagation s’oppose farouchement à toute fouille archéologique sur son territoire ? Est-ce la peur de la vérité qui interdit aux musulmans de rechercher la vérité sur leur propre mémoire historique dont l’archéologie, l’anthropologie et l’histoire sont les catalyseurs ?  Pourquoi les pays musulmans se ferment de plus en plus à l’enseignement philosophique ?  Pourquoi les pays musulmans font disparaître de plus en plus l’enseignement de la philosophie des programmes scolaires ? Craignent-ils qu’un tel enseignement puisse remettre en, cause leur théories créationnistes et farfelues et ridiculisent l’islam ? Il y a tout lieu à penser que c’est l’O.C.I., véritable gouvernement mondial des pays musulmans soumis au diktat de l’Arabie wahhabite qui veut impose aux pays musulmans l’interdiction de la philosophie et ses effets « néfastes » sur le cerveau musulman, condamnés à rester pour l’éternité dans la seule et unique pensée islamique. Seule source du savoir pour les musulmans. Au point que l’islam est la seule religion au monde d’être doté de ses  propres savants, ulémas. Voilà pourquoi des hommes comme Qaradhahoui et Ghannouchi, des apprentis sorciers aussi incultes qu’obscurantistes, présidaient jusqu’à mois de juillet 2013 à la destinée de l’Union des Savants Musulmans.Comme le burlesque ne tue point, le simple fait de mémoriser le coran vaut à son auteur la reconnaissance aujourd’hui de la nouvelle république islamique de la Tunisie.

Il est permis de douter de ce que Boukhari a pu rapporter sur l’authenticité des hadiths du prophète imposteur quant à ses enseignements sur la nécessité pour les musulmans d’acquérir et de s’instruire du savoir des autres peuples. Si tel était le cas, ils n’auraient jamais commis les pires crimes culturels de l’histoire en brûlant la bibliothèque d’Alexandrie et les oeuvres scientifiques et littéraires monumentales persanes. Rien ne plaide par conséquent en faveur d’une telle thèse au vu du comportement négationniste et nihiliste des fidèles musulmans qu’ils soient salafistes, wahhabites, qoutbistes ( frères musulmans) vis-à-vis des cultures non-musulmans jugées comme hérétiques.

Dans ce contexte, la secte Boko Haram, le livre est illicite, soeur idéologique de la secte tunisienne d’Ennahdha est l’archétype-même de ce que doit être le rapport du musulman fondamentaliste aux autres cultures.

Le fondamentalisme musulman qui envahit le champ social  et culturel du monde musulman marque le retour en force de l’islam de Mahomet qui  n’a jamais exhorté son peuple comme si un égyptien était membre de sa tribu qu’il haïssait tant, d’aller quérir le savoir même en Chine. De l’hagiographie on en a fait une vérité absolue.

L’islam est l’art de faire du mensonge une norme religieuse, une obligation  pour tout musulman dans le sentier d’Allah, la takkyia. Le prophète autoproclamé n’a jamais dit : tu ne mentiras point. Bien au contraire, il autorise l’esbroufe et la manipulation de la vérité au nom des intérêts supérieurs de l’islam ou pour duper le non-musulman.
Les dogmes de l’islam sont ceux du savoir monolithique et de l’ultra sectarisme religieux. L’islam comme toute idéologie fasciste est conscient qu’il ne peut prospérer que sur le terreau de l’ignorance, il ne va pas donner à ses fidèles les moyens de s’affranchir de son pouvoir pesant et castrateur. Pour lui, l’homme n’est pas pourvu de volonté propre, il doit rester à l’écart des modèles importés de compréhension et de réflexion susceptibles  de nourrir sa réflexion et de le détourner des chemins de l’islam qui sont en réalité ceux de la misère intellectuelle, de l’aridité créative, ceux-là-mêmes dans lesquels les musulmans, à l’exception des chiites regardés comme des impies par les musulmans orthodoxe,  sont embourbés depuis la naissance de cette culture de la mort de la vie et de l’extinction des lumières sur la quête du savoir.

Il n’y a pas de quête de savoir et de connaissances dans l’islam de celle d’Allah et toute autre voie qui éloigne l’homme de lui est un sacrilège. Or l’islam lui-même en tant que forme la plus aboutie de l’hétérodoxie judéo-chrétienne a peur que l’on découvre sa véritable identité mystificatrice, à travers une grille de lecture critique qui met à nu son imposture.

Tous les vrais savants majoritairement non-arabes imprégnés de philosophie grecque, déjà quelque peu sectaires ignorants de la pensée romaine, byzantine, hindoue, chinoise, latine, perse, qui ont tenté de lever le voile sur l’herméneutique musulmane furent persécutés et leurs oeuvres détruites.

Le wahhabisme  qui est la pointe du combat de l’obscurantisme musulman a au moins l’immense mérite de révéler au monde la culture ancestrale et les moeurs et coutumes qui ont irrigué cet islam des sources devenues aujourd’hui le vrai ennemi des sciences, de l’archéologie humaine et historique, de la diversité, du multiconfessionnalisme et des cultures et qui veut enchaîner les musulmans aux dogmes de l’inertie éternelle et de la mort de la pensée humaine.

Plutôt que de faire le procès du sionisme faites donc celui de l’islam qui met véritablement en péril la paix dans le monde

Certaines personnes soucieuses certainement de l’image idyllique de l’islam estiment que mes écrits ne tournent qu’autour de l’islam, qu’ils deviennent obsessionnels et que je devrais traiter d’autres sujets moins redondants ?

J’ai envie de leur dire qui obsède et hante la Tunisie et le monde ? De quel autre sujet pouvons-nous parler sans qu’il ne soit parasité par l’islam ? Qui peut nier que les vrais maux de ce monde sont inhérents à l’islam ? Qui lapide et décapite les apostats ? Qui détruit les peuples et les cultures ? Qui a coupé les amazighs de leurs vraies racines ? Qui est responsable du sous-développement des peuples musulmans ? Qui est incompatible avec la démocratie ? Qui empoisonne la vie des tunisiens et de tous les autres ? Qui sème la haine et la terreur  ? Qui trahit sa patrie au nom de sa religion ? Qui massacre tous les jours les syriens, les irakiens, les soudanais, les libanais, les libyens, les centrafricains chrétiens ?  Qui est derrières les assassinats politiques en Tunisie et la mort des soldats tunisiens à Jebel Chaâmbi ? Qui est derrière les attentats du 11 septembre 2011 ? Qui cause le plus de tourments aux musulmans eux-mêmes ? Qui a plongé l’Algérie dans la barbarie ? Qui menace le monde ? Qui compromet la survie de la Tunisie ? Qui est source de peurs et de phobie ? Qui occupe les rubriques des faits divers ?  Qui vient juste d’ensanglanter la Russie, le Liban et l’Irak ? Qui encore  et toujours ? Qui est facteur d’aliénation mentale ? Qui réduit les femmes à l’état d’esclaves et pas seulement ? Qui fait des fillettes un objet sexuel ? Qui divise les hommes en croyants et mécréants  ?   Qui prône le racisme ? Qui veut être le nouveau maître du monde ? Qui prétend exterminer les non-croyants ? Qui cultive le suprématisme ? Qui ne respecte rien ni personne ? Qui ne reconnaît pas les libertés humaines, de conscience et du droit à la différence ? Qui exhorte les siens à la terreur ? Qui fait de la violence un chemin de félicité ? Qui occupe les devants de la scène affublé du masque de la mort ?

Chaque minute, chaque heure, chaque jour, qui passent sans que l’islam ne fassent pas parler de lui. Avec lui, c’est une vigilance de chaque instant et une comptabilité morbide en temps réel.

J’aurais aimé ne pas en parler s’il ne présentait pas un péril pour le monde contemporain. Que l’islam cesse de devenir un sujet d’actualité  et se fasse oublier comme les 2 autres religions monothéistes dont il se veut le réajusteur et l’oméga, et il passera ce jour-là à la trappe, au propre comme au figuré.

L’islam n’a pas besoin d’être haï, il est lui-même la haine personnifiée

  • Il est à rappeler à tous ceux qui s’offusquent et s’enflamment parce que leur religion serait offensée qu’ils fassent preuve d’un même état d’esprit pour défendre l’honneur de leur patrie parce qu’il y va de leur propre pérennité humaine contre l’instrumentalisation de leur propre religion à des fins impériales et politiques.
    Personne ne critique l’Islam, c’est le comportement de leurs coreligionnaires fanatiques, haineux, raciste, ignominieux, suffisant, méprisant, nombriliste, qui nourrit les peurs de l’Islam et jetant le discrédit sur eux-mêmes du fait de leur silence complice et leur peu d’entrain à défendre les vraies valeurs humaines comme on a pu l’observer lors de l’affaire Mohamed Merah. La question n’est pas de savoir s’il s’agit de l’islam dévoyé et dénaturé par les leurs, le constat que l’on fait tous est la représentation qu’ils véhiculent de l’Islam qui suscite notre rejet de cette religion.
    Qu’ils donnent une image plus humaine et apaisée de leur religion et plus personne ne peut éprouver la moindre phobie de l’Islam. Tant qu’ils continuent à répandre la violence et la terreur au nom de leur religion, ils ne peuvent que s’en prendre à eux-mêmes de faire de leur religion le cauchemar de notre humanité. L’islamaphobie que le législateur assimile à un délit n’est rien d’autre qu’un état de troubles psychiques comme l’agoraphobie ou l’hydrophobie qui désigne un état de profondes inquiétudes obsédantes et de crainte angoissante irraisonnée et irrépressible pouvant induire des situations de panique incontrôlée. Ainsi l’Islam tel que ses adeptes le promeuvent et le définissent passe pour être un facteur déclenchant au même titre comme d’autres éléments, animal, espace, foule, objet, etc… engendre des réactions de blocages et d’inhibitions psychiques accompagnées par une hostilité et aversion inexpliquées ressenties comme un mode de défense, un espèce de verrouillage psychologique contre ce que l’on considère comme un élément d’agression extérieure de nature morbide. Ceux que l’on considère comme étant des islamophobes sont surtout des sujets atteints d’une grave souffrance psychique née du climat souvent apocalyptique que font régner les activistes musulmans qui au lieu de rassurer le monde sur leur religion lui donne contenu dogmatique absurde, insensé, suranné, bestial, irrespectueux de la vie humaine, violeur, belliqueux, immoral, légitimant la pédophile dès l’âge de 3,ans, voire zoophile tel ce saoudien tué par son âne qu’il avait tenté de violer, nécrophile, profanateur, inquisiteur et génocidaire. Le législateur lui-même semble aussi souffrit d’un déficience mentale et d’un manque flagrant de discernement en assimilant la phobie de l’islam à un délit de droit commun.
    Il sait bien que l’islamapohobie est un néologisme, un non-sens et une réponse inappropriée à un état de souffrance psychique aux origines exogènes et bien identifiées. Il préfère apporter une réponse pénale à ce qui est d’ordre psychique et dont le traitement relève non pas de la psychiatrie mais de la prévention, en renforçant les moyens de lutte contre la propagation du fléau épidémiologique du virus islamiste. Il s’agit d’une question de santé mentale des citoyens devenus de plus en plus allergiques et réfractaires à l’Islam dans sa version fondamentaliste dont les pouvoirs publics occidentaux en sont de surcroît les meilleurs alliés et paradoxalement les agents de promotion et d’instigation comme en Syrie, la Tunisie, l’Egypte, allant jusqu’à favoriser son implantation dans leurs propres cités-ghettos à dominante musulmane par pur calcul vénal et au mépris du bien-être psychique de leurs citoyens. Inconscients des dommages psychiques que l’activisme prosélyte hyper agressif et envahisseur musulman provoque en toute impunité juridique et politique au sein de leurs propres sociétés. Le crime n’est pas dans les symptômes qui se manifestent chez la population atteinte de la phobie de l’Islam à travers ses traits de caractère actuels, il est essentiellement dans la banalisation du fléau viral wahhabite qui mine les fondements des sociétés occidentales et toutes les autres. Seule l’éradication de ce virus létal pour notre humanité est le remède à tous les maux dont souffre aujourd’hui la majeure partie de la population mondiale.
    L’Islam dans sa configuration wahhabite doit être inscrit aujourd’hui au chapitre des priorités de sauvegarde de l’humanité, sinon il réussira là où le nazisme et le bolchevisme ont échoué et ironie du sort avec l’Occident supposé être l’ennemi invétéré de l’obscurantisme, de la barbarie humaine et du totalitarisme.
    L’Occident cynique en lui faisant le lit et déroulant le tapis rouge aux pieds des tyrans wahhabites ne fat pas que capituler, il renonce à sa propre souveraineté au profit des seuls intérêts de ses classes dominantes qui sont les premières bénéficiaires du nouvel ordre mondial illuminati peu importe le régime politique de son gouvernement tel le Califat, un Reich islamique.
    Les scrupules moraux et le bien-être des populations malades de l’Islam wahhabisé ne sont pas de mise quand il s’agit de satisfaire les seuls intérêts du capital. Mais les stratèges occidentaux ont beau élaborer des scénarios et faire des simulations, ils oublient que la politique n’est pas une science exacte et que cela pourrait leur revenir tôt ou tard tel un boomerang en plein dans le visage. Comme ils ne tiennent pas compte ni de la réaction des populations, sachant toujours trouver des ressources dans leur désespoir ni des forces vives de la communauté internationale peu incline à laisser le soin à d’autres c’est-à-dire aux wahhabites et leurs marionnettistes occidentaux leur imposer un diktat dont le but est d’inféoder le monde entier aux Illuminati.

L’islamophobie, ce subterfuge pour culpabiliser les réfractaires à l’islamisation de l’Occident

Plutôt que de défendre l’honneur de l’islam, il faut défendre l’honneur de la patrie qui n’a pas de prix. Mais c’est trop demander aux musulmans alors que c’est elle qui les nourrit , les instruit,  les rassemble, les protège et les soigne et en aucun cas l’islam qui leur pourrit la vie, les abrutit, les divise, les avilit, les transforme en bêtes humaines, leur fait perdre la raison, les déconnecte  d’eux-mêmes, leur inculque la haine et  les rend mortifères.

Il est à rappeler à tous ceux qui s’offusquent et s’enflamment parce que leur religion serait offensée qu’ils fassent preuve d’un même état d’esprit pour défendre l’honneur de leur patrie parce qu’il y va de leur propre pérennité humaine contre l’instrumentalisation de leur propre religion à des fins impériales et politiques. Personne ne critique l’Islam, c’est le comportement de leurs coreligionnaires fanatiques, haineux, raciste, ignominieux, suffisant, méprisant,nombriliste, qui nourrit les peurs de l’Islam et jetant le discrédit sur eux-mêmes du fait de leur silence complice et leur peu d’entrain à défendre les vraies valeurs humaines comme on a pu l’observer lors de l’affaire Mohamed Merah.La question n’est pas de savoir s’il s’agit de l’islam dévoyé et dénaturé par les leurs, le constat que l’on fait tous est la représentation qu’ils véhiculent de l’Islam qui suscite notre rejet de cette religion. Qu’ils donnent une image plus humaine et apaisée de leur religion et plus personne ne peut éprouver la moindre phobie de l’Islam.

Tant qu’ils continuent à répandre la violence et la terreur au nom de leur religion, ils ne peuvent que s’en prendre à eux-mêmes de faire de leur religion le cauchemar de notre humanité. L’islamophobie, un cadeau empoisonné des mollahs iraniens, que le législateur assimile à un délit n’est rien d’autre qu’un état de troubles psychiques comme l’agoraphobie ou l’hydrophobie qui désigne un état de profondes inquiétudes obsédantes et de crainte angoissante irraisonnée et irrépressible pouvant induire des situations de panique incontrôlée.

Ainsi l’Islam tel que ses adeptes le promeuvent et le définissent passe pour être un facteur déclenchant au même titre comme d’autres éléments, animal, espace, foule, objet, etc… engendre des réactions de blocages et d’inhibitions psychiques accompagnées par une hostilité et aversion inexpliquées ressenties comme un mode de défense, un espèce de verrouillage psychologique contre ce que l’on considère comme un élément d’agression extérieure de nature morbide.

Ceux que l’on considère comme étant des islamophobes sont surtout des sujets atteints d’une grave souffrance psychique née du climat souvent apocalyptique que font régner les activistes musulmans qui au lieu de rassurer le monde sur leur religion lui donne contenu dogmatique absurde, insensé, suranné, bestial, irrespectueux de la vie humaine, violeur, belliqueux, immoral, légitimant la pédophile dès l’âge de 3 ans, voire zoophile tel ce saoudien tué par son âne qu’il avait tenté de violer, nécrophile, profanateur, inquisiteur et génocidaire. Le législateur lui-même semble aussi souffrit d’un déficience mentale et d’un manque flagrant de discernement en assimilant la phobie de l’islam à un délit de droit commun.

Il sait bien que l’islamophobie est un pur néologisme, naît en Iran pour stigmatiser les femmes qui se refusent au port du voile, un non-sens et une réponse inappropriée à un état de souffrance psychique aux origines exogènes et bien identifiées. Il préfère apporter une réponse pénale à ce qui est d’ordre psychique et dont le traitement relève non pas de la psychiatrie mais de la prévention, en renforçant les moyens de lutte contre la propagation du fléau épidémiologique du virus islamiste.

Il s’agit d’une question de santé mentale des citoyens devenus de plus en plus allergiques et réfractaires à l’Islam dans sa version fondamentaliste dont les pouvoirs publics occidentaux en sont de surcroît ses meilleurs alliés et ses meilleurs agents de promotion comme en Syrie, la Tunisie, l’Egypte et la Libye allant jusqu’à favoriser son implantation dans leurs propres cités-ghettos à dominante musulmane par pur calcul vénal et au mépris du bien-être psychique de leurs citoyens.

Inconscients des dommages psychiques et humains que l’activisme prosélyte hyper agressif et envahisseur musulman provoque en toute impunité juridique et politique au sein de leurs propres sociétés. Le crime n’est pas dans les symptômes qui se manifestent chez la population atteinte de la phobie de l’Islam à travers ses traits de caractère actuels qui se manifeste essentiellement dans la banalisation du fléau viral wahhabite qui mine les fondements des sociétés occidentales et toutes les autres.

Seule l’éradication de ce virus létal pour notre humanité est le remède à tous les maux dont souffre aujourd’hui la majeure partie de la population mondiale. L’Islam dans sa configuration wahhabite doit être inscrit aujourd’hui au chapitre des priorités de sauvegarde de l’humanité, sinon il réussira là où le nazisme et le bolchevisme ont échoué et ironie du sort avec l’Occident supposé être l’ennemi invétéré de l’obscurantisme, de la barbarie humaine et du totalitarisme.

L’Occident cynique, en lui faisant le lit et déroulant le tapis rouge aux pieds des tyrans wahhabites ne fat pas que capituler, il renonce à sa propre souveraineté au profit des seuls intérêts de ses classes dominantes qui sont les premières bénéficiaires du nouvel ordre mondial illuminati peu importe le régime politique de son gouvernement tel le Califat, un Reich islamique.

Les scrupules moraux et le bien-être des populations malades de l’Islam wahhabisé ne sont pas de mise quand il s’agit de satisfaire les seuls intérêts du capital. Mais les stratèges occidentaux ont beau élaborer des scénarios et faire des simulations, ils oublient que la politique n’est pas une science exacte et que cela pourrait leur revenir tôt ou tard tel un boomerang en plein dans le visage. Tôt ou tard ils finiront par récolter ce qu’ils sèment et subiront ce que le peuple de Paris a fait subir à la monarchie.

L’islam n’est pas une religion à la carte que l’on peut adapter à ses besoins

Conférence : Les Frères Musulmans, d’Al-Bannâ ...
Conférence : Les Frères Musulmans, d’Al-Bannâ à Sayyid Quṭb (Beyrouth, 7 février 2013) (Photo credit: Institut français du Proche-Orient)

 

L’intégrisme musulman n’est qu’une interprétation stricte et originelle des textes sacrés. Il n’admet aucune forme d’évolution de la religion au nom du respect de la tradition et de la pureté de ses sources.

 

Contrairement à toutes ces idées reçues sur la dissonance cognitive entre l’Islam et l’intégrisme religieux dans le sens où l’on cherche à dissocier l’image véhiculée par les intégristes musulmans de l’Islam lui même comme s’il y en avait deux conceptions antithétiques alors qu’elles sont plutôt complémentaires mais jamais opposées du point de vue de leurs racines et essences religieuses.

 

Par voie de conséquence, les intégristes  qui prônent l’observation et la pratique de leur religion débarrassée de toutes les scories et influences extérieures généralement occidentales, ne sont pas en contradiction avec les exigences de leur code canon, bien au contraire, leur discours et leur comportement s’inscrivent dans le champ conceptuel de sa matrice matérielle. Ils rêvent d’une société musulmane vivant en totale adéquation avec les exigences de la foi qui ne peut avoir comme seul mode opératoire dans la vie des musulmans que la loi canonique de la charia. Indépendamment de leur rigidité conceptuelle et de leur vison unitaire où le sacré et le profane se fondent dans le même moule, où toutes les sphères de la vie sociale, spirituelle, économique , politique, judiciaire, sont régies par les mêmes mécanismes de droit Canon,  ils ne sont pas considérés comme apostats ou hérétiques au sens musulman du terme  parce qu’ils sont avant tout musulmans.

 

Même si leur vison littérale et cosmique de la foi musulmane où la passion semble être leur seul moteur et guide de leur vie, ils sont les fers de lance, les gardiens de la tradition dont personne ne conteste le statut, les fiers -que je qualifierais volontiers d’indignes- apologistes et prosélytes de l’Islam qu’Allah couvera de ses bienfaits à la différence de la majorité musulmane dite modérée qui leur est hostile mais qui n’aura pas grâce aux yeux d’Allah parce qu’ils ne reconnaissent pas l’intégralité des textes sacrés. Le vrai musulman est celui qui combat dans le sentier d’Allah tel l’intégriste.

 

Quant au musulman modéré, cette appellation est un oxymore, une sorte d’hérésie au sens que donne le Coran du disciple musulman. Soit on est dans les normes de l’Islam, dans ce cas là aucun doute quant à la qualité de Musulman, soit on cherche à vivre l’Islam seulement en tant que foi, support spirituel tout en le contextualisant. Et dans ce cas là, le doute subsiste en ce qui concerne la qualité de vrai musulman..