A force de jouer avec la feu wahhabite pour brûler le mode, les américains vont finir par s’embraser eux-mêmes

A la différence du fondamentalistes juif ou chrétien, le fondamentalisme musulman dans son expression wahhabisme  combine les pouvoirs religieux, politiques et financiers et se veut comme un modèle sociétal.  Agressif, violent, hégémonique et prosélyte, il dispose de ses propres milices paramilitaires qui ont pour mission d’imposer par la terreur leur vision rétrograde de l’islam aux quatre coins de  la terre avec la bénédiction de ses protecteurs américains qui l’utilisent comme leur cheval de Troie pour s’accaparer les ressources minières et énergétiques des pays musulmans .

Fort de la complaisance bienveillante de ses maîtres qui l’ont désensablé en 1945, il mène au reste du monde une véritable guerre terroriste sans relâche avec  depuis une trentaine d’années  amorcée avec l’attentat de 1993 du World Trade Center et qui a connu son point d’orgue le 11 septembre 2001 pour servir d’ alibi aux américains pour envahir l’Afghanistan et l’Irak et redessiner leur politique  à l’égard du monde arabo-musulman et du terrorisme lui-même.  

Plutôt que de lui mener la chasse aux ennemis de l’ombre, les américains ont sorti de l’ombre les cinquièmes colonnes qui menacent leur propre sécurité en en faisant des alliés de circonstance pour contenir leurs ardeurs velléitaires d’une part et d’autre part  les recycler comme  supplétifs dans le cadre de la lutte contre le terrorisme moyennant leur intronisation comme acteurs politiques de premier rang sur la scène nationale de leurs pays. Les américains ne savent pas qu’un fauve pourrait dévorer aussi son dresseur et qu’on a fait jamais d’un allié celui qui a juré votre perte.

Un calcul sordide et aux conséquences imprévisibles dont ils avaient eu déjà des avant-goûts, les américains murés dans leur certitude et leur arrogance sont convaincus en main de maître la bête féroce wahhabite, créée par l’occupant britannique en 1742 en adoubant Mohammed Ibn Abdelwahhab, psychopathe narcissique et illuminé qui se voyait plus prophète que le prophète lui-même.

 Un Hitler avant l’heure, apôtre d’une nouvelle religion dont la finalité est de se substituer à l’islam lui-même  dont il est le nouveau guide  auquel les britanniques avaient fait endosser les habits messianiques  pour asseoir leur pouvoir en Arabie et porter le coup de grâce au Califat Ottoman, l’homme malade.

 

 

Le droit à la liberté de la parole est au peuple ce que la religion est à Dieu

Pourquoi vouloir donner la parole au peuple alors qu’il en est le propriétaire ?

13 juin 2011, 10:0

On a pas à octroyer le droit à la parole au peuple alors qu’il est supposé en être propriétaire légitime. Il revient  au peuple de défendre son bien inaliénable   et de se le réapproprier. Nul n’est en droit de prétendre l’exercer en son nom sans qu’il soit investi par son titulaire telle est la vraie définition de la DEMOCRATIE.

Donner la parole au peuple veut dire qu une minorité d’individus s’arroge le privilège et le droit d’octroyer ou non la parole aux citoyens. Comment peut on travestir et dévoyer à ce point la Vox populli. On ne donne pas la parole au peuple comme on ne pas à l’en déposséder. Elle est l’expression majeure de sa souveraineté et son instrument de contre-pouvoir.

On peut demander son avis au peuple, le consulter par la voie référendaire par exemple mais on ne donne jamais la parole à un peuple souverain.  La souverainté populaire décide et ne subit pas. Ce n’est pas aux mandataires d’imposer leur volonté aux mandants. Le peuple via ses représenta nts exprime ses choix et ses orientations politiques et fixe le cadre de l’exercice de la parole libre et libérée. Il est acteur et non sujet. Inspirateur, concepteur et maître du jeu politique et en aucun cas privé de sa parole. Le gouvernement propose et le peuple dispose.

En démocratie, on change le gouvernement mais jamais un peuple, sauf chez les dictatures fascistes où l’on veut créer un peuple à l’image du système de gouvernance. Et par conséquent, il est antidémocratique de vouloir octroyer la parole à celui qui est censé être la source naturelle dont les mandataires sont tenus à en faire l’écho dans le respect de la volonté dont celui qui est le vrai priopriétaire du mandat.

Pourquoi la démocratie est un sacrilège aux yeux des bigots musulmans ?

Le Bigotisme et la démocratie ou l’overdose de la religion est la seule voie pour une hypothétique vie meilleure dans l’au-delà

Chez les peuples bigots faisant de la surconsommation de la religion leur seule norme d’existence, on vit la mort pendant la vie et on vit la vie après la mort. Obsédés par le Jour du Jugement dernier, la Résurrection, l’Enfer et le Paradis. La vie sur terre est une simple préparation à la vie céleste éternelle. On ne se projette pas dans la vie sur terre et ses oripeaux démocratiques on se projette dans la mort et ses oripeaux fantasmagoriques, cauchemardesques, jouissifs et orgiaques. Toute autre alternative, fruit de la raison humaine est prohibée par l’ordre bigot qui ne reconnait que les règles d’essence divine.

Le despotisme théocratique reste ainsi la seule voie à ces peuples qui font de leur vie un don à leur mort symbolisée par le sacrifice d’Abraham. Entre le culte de la mort de la vie et le culte de la démocratie, ce paradis sur terre, les bigots ne feront pas le sacrifice de l’illusion du paradis et ses bienfaits au profit du monde réel qui est en rupture avec le monde fantasmé et imaginée par la littérature sacrée. Au point qu’ils assimilent le progressisme libérateur et émancipateur à une hérésie vouant ses partisans aux braises éternelles de l’enfer.

La vie est le laboratoire de la mort pour préparer la Grande Rencontre avec le Grand Juge.  Les bigots ne se représentent pas le monde autrement qu’à travers le prisme étroit, réducteur du sacré qui est leur seule norme sociale, politique et intellectuelle qui ne tolère aucune autre source de pensée qui n’a pas un caractère canon comme c’est le cas de la Démocratie, cette œuvre humaine par excellence et jugée subséquemment illicite par la théocratie bigote. Seul le Grand Architecte et législateur est à même de guider leurs pas vers la voie que Lui et Lui seul juge adéquate pour les amener vers le Grand Soir.

Or, la démocratie a un handicap majeur est justement le fait qu’elle risque de les détourner de la voie de Dieu. Eux qui vivent dans la crainte pathologique de perdre la clémence de Dieu et tutti quanti, ils ne vont pas perdre leurs âmes pour emprunter les chemins de lac Démocratie. La voie du Seigneur est incompatible avec la voie de la Démocratie qu’ils ne se privent pas de pervertir par opportunisme comme c’est le cas actuellement tant en Égypte qu’en Tunisie. La Démocratie est pour les bigots ce que la consommation de la viande de porc l’est pour les Musulmans.

Nonobstant leurs caractères diamétralement opposés, ce qui est vertu pour l’un est un vice pour l autre. Tels que les principes chers à la Démocratie, la tolérance, l’égalité des sexes, l’égalité des droits et des devoirs indépendamment des origines et des sexes, le positivisme juridique, l’État de droit, la justice pour tous, le vivre ensemble, la souveraineté populaire, la fraternité non sélective, le refus du racisme et de l’antisémitisme, la citoyenneté etc.

Autant de valeurs considérées comme illicites dans une société bigote. Société d’apartheid fondé sur le sexe, la pureté de la foi, la croyance, de discrimination raciale, la soumission et la fidélité. Absolue à l’Être suprême. Elle est hermétique, monolithique et au pouvoir monopolistique de la gentry religieuse, une noblesse religieuse non titrée mais auto proclamée.  En conclusion la démocratie libère et émancipe, le bigotisme castre et aliène. La démocratie ne va pas se frayer jamais son chemin dans une société bigote tant que celle-ci continue à subir le poids de la religion. Une société humaine à l’écoute de la voie de Dieu ne sera jamais réceptive à la voie des hommes à l’instar de la controverse entre Ibn Roschd connu sous le nom d Averroes et al Ghazali. Controverse plus que jamais d’actualité dans les sociétés bigotes islamisées. Où la raison rationnelle passe pour être l’ennemie à abattre de peur qu’elle éclaire le visage obscur de la passion hystérique et irrationnelle maîtresse de la vie des bigots.

 

Appendice, définition du bigotisme selon GEORGES VIDAL.

BIGOTISME n. m.

« Caractère de ce qui est bigot, c’est-à-dire d’une dévotion outrée, étroite, ridicule. Le bigotisme sévit surtout chez la gent féminine, et en particulier dans les campagnes. Esprits faibles et mesquins, les bigots ont subi l’ascendant dominateur des hommes noirs et, justifiant le proverbe : « Mieux vaut avoir à faire à Dieu qu’à ses saints », sont devenus plus intransigeants que les vautours d’église. Pour l’espèce sinistre des bigots tout ce qui est lumière, liberté, joie ou vie ample est un crime. Leur intelligence bornée ne voit pas plus loin que la sacristie ou le confessionnal. Le soleil et l’amour, le rire et la gaieté, les initiatives hardies et la générosité, tout les choque. Ils vouent à l’enfer tous ceux qui ne partagent pas leur vie monotone et terne. Ils s’indignent contre les mœurs du siècle avec une pruderie comique. Cela ne les empêche pas d’ailleurs d’être bien souvent des amateurs de débauche ; mais, hypocrites, ils savent dissimuler leurs vices sous leurs sempiternelles prières. Ce ne sont pas les plaisirs qu’ils haïssent, mais la franchise dans les plaisirs. Ils sont les ennemis jurés de tout progrès, de toute idée noble. Par contre, il n’est pas de routine ou de pensée étroite dont ils ne se fassent les défenseurs acharnés. Ce sont les auxiliaires de toute réaction. C’est pour cela que les anarchistes ne cesseront de combattre ce fléau qu’est le bigotisme et sa cause première : la religion. »

Avec la réislamisation à marche forcée de sa société, la Tunisie est entrée dans le monde des cavernes

Sous Pinochet les stades servaient pour embastiller et liquider les opposants, Hitler voulait transformer la terre en plus grand stade du monde. En Tunisie, les stades sont devenus des lieux de dévotion subliminale et de célébration des cultes hybrides une sorte de mélange de paganisme idolâtre et de bigotisme religieux qui est symptomatique de terrorisme à l’instar du cheminement de Ben Laden. Des lieux de spectacle faisant revivre la religiosité des hominidés préhistoriques, celle dite des hommes de l’âge de la pierre. vouant un culte à des divinités anthropomorphistes. Leur rituel est en décalage absolu avec les exigences de la religion musulmane dépourvue de clergé. Ils cultivent des cultes jusqu’alors  inconnus dans l’espace malékite tunisien. Sous couvert de la pureté originelle de l’islam, ils ne font en réalité que revivre les croyances anthropomorphes des hommes des cavernes en se posant comme hérauts de la Renaissance (nahdha) islamique et unificateurs et libérateurs du monde musulman et son corollaire cosmique.  La Révolution tunisienne est atteinte d un mal incurable qui est l’islamisation idolâtre des esprits a au moins l’immense mérite de révéler au monde l’état schizoïde grave des sociétés islamisées et de leur avenir sombre.

Les rues tunisiennes pétillantes de vie dans le passé ressemblent à des cours de miracle remplies par des dévots adoptant  toutes sortes de  postures corporelles sauf la posture verticale. Et dire que cette armée aux corps brisés aux allures empruntées et hypotoniques veut demain devenir l’armée mexicaine planétaire. C’est un peu le souk au bétail ou pire encore le cimetière des morts- vivants. Ce n’est pas le Notre Dame de Victor Hugo c est le monde des ténèbres revisités par les islamistes tunisiens. Bientôt la Tunisie ressemblera à la Cité de la Joie de Bombay jonchée de corps humains fatigués par des séances interminables d’incantation ésotérique affalés sur ses trottoirs au milieu des ordures ménagères et de toutes sortes d’immondices.

 L’air tunisien est pollué par cette fièvre religieuse qui est entrain de se muter en gangrène du corps social et miner l’unité du pays. Depuis le 14 janvier et le retour des islamistes idolâtres, le petit peuple tunisien se trouve saisi d’une  ferveur mystico- religieuse aidée pour cela par la prolifération inquiétante des sectes schismatiques telle que la secte idolâtre du gourou illuminé et agent du terrorisme djihadiste jamais repenti ayant pour mission de contribuer à la vassalisation de son pays. A défaut de gagner le paradis de la modernité, les Tunisiens sont en train de choisir celui de l archaïsme et de la régression.  Celui de l’enfer des libertés.  Dans l’idéal islamiste, la vraie voie révolutionnaire est celle qui est  tracée  par Dieu qui bannit toute révolte et rébellion. Comme chacun sait le bon musulman est celui qui ne soulève pas contre l’autorité qu elle soit humaine ou divine. Dieu  prohibe la Fitna c’est-à-dire le désordre politique qui est pourtant annonciateur de sens et engendreur d’un nouvel ordre.

Seuls Le conservatisme, l immobilisme érigé en vertu, le figisme et la résignation sont les substrats de  l’action politique parce qu ils représentent les liens qui rattachent les hommes à leur Créateur. Toute rupture de ces liens exposerait le musulman rebelle  au pire des châtiments, celui qui commet une fawdha ira en enfer. L’ordre politique musulman est comme toutes choses dans l’Islam doit rester immuable et toute tentative de résilience contre cette forme d oppression est tout simplement une hérésie. Les notions d’opprimés et d’oppresseurs sont étrangères à l’Islam puisque c’est Allah qui est l’architecte de la condition humaine. 

Un pays musulman peut être colonisé par un pays frère, comme ce fut l’exemple de l’Empire Ottoman, a contrario un pays chrétien comme la France ne pouvait exercer sa domination sur ledit pays. Que la Tunisie tombe demain sous le joug du wahhabisme, il n’y aura pas lieu de se révolter car il reste un pays musulman avant tout. Le destin politique du musulman est comparable à celui de l’animal où les rapports sociaux et politiques entre les membres de la communauté sont régis par des mécanismes d’ordre naturel et qui ne tolèrent aucun dérèglement ni dysfonctionnement. Allah est connu pour être un Grand Horloger Suisse mais contrairement à ce dernier il ne répare pas il punit tous ceux qui cassent ou perturbent le mouvement de rotation de ses aiguilles.

Dans ce contexte, les Tunisiens devraient se résoudre à réinstaurer l ordre politique de droit canon avec l’aide active des djihadistes afin de leur remettre les clés de leur cité. Seuls ceux là seraient dignes et de diriger les affaires de la Cité à cause de leur promiscuité affichée avec Allah. Les Tunisiens qui ont commis une apostasie en se révoltant contre le despotisme de Ben Ali doivent par voie de conséquence se plier à la volonté d’Allah telle que la promeut ses fils indignes. Ainsi s’ils ne veulent pas être évincés du festin paradisiaque ils doivent faire preuve de contrition et emprunter contre leur gré ( les vaillants prédicateurs d Allah savent délier les cordons de la bourse quand c est nécessaire) le chemin du despotisme théocratique seule voie qui les ramènera dans le bercail d Allah. En terre d Islam, la Révolution humaine est illicite. Seule celle d essence divine a la faveur d’Allah c est pourquoi cet acte de défiance des Tunisiens leur vaut aujourd’hui l envahissement de leur territoire politique par les cavaliers noirs de l’Apocalypse.

Si Mahomet devait ressusciter il redeviendrait l’islamiste qu’il était

Dessin de Kopelnitsky

L’islamisme est le sérum de vérité de l’islam.

Le bilan de 3 ans de descente aux enfers ou le bilan de 1400 ans d’occupation arabo-musulmane ? Avec la barbarie qui gangrène la Tunisie et l’Egypte, comme la plupart des pays musulmans et qui fait peser de sérieuses menaces sur l’Occident lui-même, le seul constat que l’on puisse faire est que grâce à l’islamisme, on découvre enfin le vrai visage de l’islam en grandeur nature.

Plus de doute quant à la vraie nature de l’islam. Longtemps mythifié et aujourd’hui révélé. De  l’islam de paix et de tolérance que ses partisans véhiculent, les islamistes ont tordu le cou aux préjugés favorables et toutes ces idées fantaisistes sur l’islam pour lever le voile sur le vrai sens de l’islam : belliqueux, velléitaire, intolérant, fanatique, totalitaire, réactionnaire, ethnocentrique, impérial, expansionniste, nombriliste, ethnocide, négationniste, arrogant, hautin, suffisant, inculte, réactionnaire, obscurantiste, violent, tartufe, faux-dévot, schizophrène, paranoïaque, inhumaniste, désuet, mégalomane, délirant, nazi, raciste, antisémite, ultra misogyne, libertaire, pédophile, esclavagiste, immoral….

L’islamisme n’est pas que le visage hideux de l’islam, il est son sérum de vérité, son thiopental sodique, le penthotal. A se demander si les anglais relayés par leurs cousins américains n’avaient pas administré volontairement cette substance chimique dans le corps de l’islam pour que l’islam lui-même dévoile au monde sa propre vérité sur lui-même.

Les W.A.S.P. n’ont pas instrumentalisé l’islamisme qui est consubstantiel à l’islam, ils l’ont juste inoculé dans le sujet musulman, afin qu’il livre lui-même toutes les informations nécessaires quant au haut degré de sa nocivité et les limites de sa spiritualité et lever ainsi tous les doutes sur son statut de religion.

Quand bien même aucune religion n’est une ode de paix et d’amour, l’islam plus que toutes les autres religions monothéistes est plus apparenté à un système politique, une idéologie totalitaire qui tout en puisant ses racines dans l’aliénation et l’oppression des masses se dotent de mécanismes politiques répressifs et culpabilisant teintés de mysticisme et de sacré pour renforcer son pouvoir absolu sur la vie des hommes dans tous ses aspects avec une ambition politique planétaire : faire de l’islam un nouveau gouvernement mondial régi par ses propres lis canoniques, la charia.

C’est pourquoi l’islam qui est de nature essentialiste et confusionnisme, ne peut se cantonner dans la seule sphère cultuelle, il se veut une praxis globale amalgamant le religieux avec le politique et le social. Religion, Etat et monde.

A l’instar du nazisme, du fascisme et du bolchevisme, il veut créer un modèle de société où les hommes sont coulés dans le bronze de son idéologie, formaté, standardisé, sans pensée propre, ni raisonnement personnel, obéissant, dévoué, comme un atome perdu dans une nébuleuse. Et comme le dit Bertrand Russel Prix Nobel de Littérature en 1950 « Parmi les religions, l’islam doit être comparé au bolchevisme plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d’étendre leur domination sur le monde. »

On ne peut pas continuer à nier les évidences et envelopper la vérité dans les linceuls du mensonge comme ceux dont ils couvrent le corps de leurs femmes ou les barbes hirsutes et vérolées qui mangent leur visage pour dissimuler leur âme noire et tourmentée, l’islam n’est pas une religion ou il ne peut pas l’être tant qu’il est animé par des desseins hégémoniques périlleux pour la paix et la sécurité dans le monde.

L’islamisme, le sérum de vérité de l’islam a au moins le mérite de faire tomber les masques, de prendre de contre-pied les thuriféraires de cet islam fabulé et encensé comme s’il était une nouvelle révolution humaine, un hymne à la paix universelle et à l’amour du genre humain indépendamment de toutes les différences.

Plutôt que de dénoncer les dérives qui dénaturent et défigurent l’islam dont on accuse l’islamisme et lui intenter des procès d’intention sans pour autant purger le corps de l’islam de ce pseudo mal qui le ronge et qui, en réalité lui sert de masque pour dissimuler au regard du monde la dangerosité de l’idéologie musulmane, il est plus que temps de valider l’équation de l’islam égal islamisme et en finir avec toutes ces idées fantasmagoriques et légendées sur l’islam.

L’islamisme est le miroir dans lequel se reflète l’image de l’islam dans toutes ses formes et nuances, au moindre petit détail. Il est plus que ça , il est son organe et sa substance, qui le fait passer du monde romancé et virtuel dans le monde réel. Il est aussi son amplificateur de sons de la fureur et la terreur qui couvent et prolifèrent en son sein.

Tous les attentats terroristes, les éclats d’obus, les bruits assourdissants des bombes devenus une musique funeste du Requiem que les musulmans dits radicaux, mais qui sont en réalité les vrais musulmans contrairement aux musulmans qualifiés de modérés mais qui sont plutôt des égarés, composent et mettent en musique depuis les attentats du 11 septembre 2001.

En conclusion, ce qui avait été un mensonge, une tromperie sur la marchandise, un dol, un mythe jusqu’alors enfoui dans le subconscient culturel des musulmans et des politiquement corrects occidentaux, il est enfin mis à nu et révélé au grand jour. Nier tout cela, c’est faire le jeu et se rendre complices ennemis de l’humanité que sont les islamistes.

Que les musulmans cessent par leur silence d’entretenir eux-mêmes l’amalgame entre l’islamisme, le wahhabisme et l’islam

Si les musulmans veulent en finir avec l’amalgame qui n’en est pas un entre l’islam et l’islamisme ou tout au moins établir une ligne politique claire entre les deux ils doivent adopter une position tranchante entre les deux.

En effet, ce n’est pas en faisant semblant de condamner du bout des lèvres les actes de barbarie de leurs frères islamistes ou en faisant croire que leurs agissements terroristes sont étrangers à l’islam qu’ils vont pouvoir convaincre les islamo-sceptiques qui s’inquiètent du silence troublant de la majorité silencieuse musulmane ainsi que de la montée du péril islamique.

En aucun moment il n’y a eu la moindre levée de bouclier de leur part sauf quand il s’agit de manifester leur courroux pour des caricatures innocentes et inoffensives de leur prophète, plus adulé et vénéré qu’Allah lui-même, ni l’ombre d’une esquisse pour    prendre au piège les islamistes dans leur propre jeu, déjouer leur  prétendu complot fomenté contre la religion musulmane,  chercher à dénoncer leur supercherie théologique.

Leur passivité, à moins que cela ne soit leur totale ignorance de l’islam lui-même, est leur meilleur gage de leur adhésion aux théories génocidaires, ultra réactionnaires  et néo-impériales des islamistes auxquels ils laissent les coudées franches pour labourer à leur guise le terrain dogmatique de l’Islam et démystifier l’islam lui-même. C’est grâce à eux que les masques de l’islam tombent un par un et que le monde commence à douter de l’authenticité de son message révélé.

Personne ne peut toutefois leur contester les représentations qu’ils se font de l’islam en tant que religion d’amour, de paix et de tolérance, mais là où le bât blesse c’est leur absence d’objectivité et d’impartialité quand il s’agit de désigner les vrais ennemis de l’islam qui sont moins les islamo-incompatibles que leurs propres coreligionnaires activistes qui empoisonnent la vie du monde et surtout la leur, en étant souvent leurs premières victimes.

C’est en se trompant eux-mêmes de cible qu’ils apportent de l’eau au moulin de ceux qu’ils qualifient abusivement d’islamophobes, un néologisme inventé par les islamistes iraniens, les dédouanant ainsi de toute responsabilité dans la dégradation effroyable de l’image de l’islam. En quoi les critiques de l’islam contribuent-ils aux massacres et et actes de cruauté perpétrés chaque jour au nom de  l’Islam  ?  Une question qui restera sans réponse mais qui résume parfaitement l’ambiguïté maladive des musulmans qui confirme l’existence des liens organiques entre l’islam et l’islamisme. Comme si au fond d’eux-mêmes, ce dont il est à douter, ils approuvent le comportement de leurs coreligionnaires  minoritaires qui mettent en pratique la feuille de route fixée par le prophète à chaque musulman.

En étant eux-mêmes le point de mire de leurs propres coreligionnaires activistes, ils doivent ôter le voile qui embrouillent leur vision et pollue leur pensée et admettre que les vrais ennemis de leur islam tant qu’ils se le représentent est le produit de l’islam lui-même, il est coulé dans le vrai moule de leur religion contrairement à eux-mêmes qui ont une vision très superficielle et fausse de l’islam.

Les véritables forces hostiles à leur islam sont bel et bien islamistes héritiers de l’anthropomorphe et apostat Ibn Taymmyia, maître à penser de Mohamed Ibn Adelwahhab fondateur du sectarisme wahhabite auquel les islamistes de la Confrérie des Frères musulmans ont donné un contenu idéologique lors de leur exil en Arabie Saoudite. Le wahhabisme est à juste titre virus mortel pour la religion musulmane que l’occupant britannique a inoculé dans le corps musulman et réactivé par les Yankees en 1945 sous forme du Pacte du Diable connu sous le nom du Pacte de Quincy.

Nul ne peut nier ses effets nuisibles  du virus wahhabite tant pour les musulmans que pour le reste du monde depuis son avènement en 1745. Comme on ne peut pas non plus occulter les faits de résistance face à l’appétit hégémonique wahhabite au sein du monde musulman dès son origine. Partout où il a cherché à s’installer, il n’a jamais été reçu les bras ouverts par les autorités religieuses locales ni politiques, suscitant hostilité et défiance.

Cependant, au grand dam des musulmans « éclairés » qui se font une image idyllique de leur religion, le wahhabisme a de plus en plus le vent en poupe auprès des masses musulmanes miséreuses et arriérées, acculées au désespoir et au chômage, frappées par l’ignorance et l’inculture, sans aucune perspective d’avenir, plongées dans un état permanent de mal de vivre pour qui la mort serait une chance de se libérer de leur calvaire terrestre, grâce à son discours simplificateur et simpliste, il a pu exercer sur elles un effet rédempteur, libérateur et salutaire pour un monde meilleur moyennant le sacrifice de sa vie.

Disposant de puissants relais associatifs caritatifs, de solides moyens financiers lui permettant de corrompre à tout va et de balayer les obstacles politiques qui peuvent entraver son chemin ainsi que d’une force de frappe médiatique médiatique, Iqra et al Jazeera où sévit une véritable armée de prédicateurs qui font plus de ravages  dans le monde que la bombe d’Hiroshima, prêchant la haine, le racisme, l’antisémitisme et exaltant la violence comme la voie de la félicité, avec de tels atouts le wahhabisme n’a guère de difficulté d’étendre son champ de conquête jusque dans les cités-ghettos européennes

Que les musulmans ne se reconnaissent pas dans le wahhabisme, il est de leur droit  et surtout ceux qui s’efforcent de projeter une image humaine et apaisée de leur religion, mais qu’ils se gardent de le contrer et l’enrayer dans ses offensives tous azimuts cela ne peut que les décrédibiliser et semer le trouble dans l’esprit de ceux qu’ils accusent de faire l’amalgame entre les l’islamisme dont le wahhabisme est une de ses variantes et l’islam. C’est trop facile de voir un facteur corrupteur de l’islam quand on est pas capable de démontrer en quoi il défigure les dogmes de l’Islam alors qu’il ne fait que prôner un retour à l’Islam des origines. Celui des compagnons du Prophète et des 2 générations qui lui succèdent. Une vision réactionnaire de l’Islam, négatrice des Hadiths, qui n’est pas sans rappeler les courants fondamentalistes chrétiens telle que l’Eglise mormone appelée l’Eglise de « Jésus-Christ des Saints des Derniers jours » ou les ultra-orthodoxes juifs des Haredim, les « Craignant-Dieu ».

Tant que l’islam n’a pas rompu officiellement avec ses propres idéaux originels incompatibles avec le monde contemporain, non seulement l’islam présente une menace pour l’humanité mais également il continuera à fabriquer lui-même sa propre métastase dont les premiers sujets atteints sont les musulmans qui veulent tout simplement vivre leur humanité tout en se gardant de s’interroger sur le vrai sens du mot islam et de lever le voile sur la nature belliciste de leur religion;

Le wahhabisme sera la tombe de l’islam

Ben Ammar Salem

Français : habillement modeste pour des musulm... Français : habillement modeste pour des musulmans et des non-musulmans (Photo credit: Wikipedia

Il n’y a pas 36 islam comme il n’y a pas  36 dogmes musulmans. Il y en a qu’un seul celui que les activistes fondamentalistes musulmans s’appuyant sur une armada de prédicateurs aux visages aussi effrayants que l’enseignement religieux qu’ils prêchent, s’emploient à en faire un islam pour tous. Ce qu’on appelle l’islam wahhabite,  un islam  unitaire et rassembleur qui veut faire du passé un temps présent divisant le monde en pur et impur et  en qui la majorité musulmane voit  à tort un islam hérétique par ignorance et déni de la réalité.

L’heure de vérité vient de sonner pour eux. Pendant très longtemps ils vivaient dans l’illusion de  islam  qui était fort éloignée des prescrits de leur religion, maintenant ils sont mis en face de leur responsabilité, soit accepter un retour aux sources de l’islam et…

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Confier le Ministère de l’intérieur à Lotfi Ben Jeddou autant signer l’arrêt de mort de la Tunisie

Ben Ammar Salem

On ne peut pas faire d’un islamiste un artisan de la lutte contre le terrorisme-djihadiste

par Salem Benammar (Articles), mercredi 15 mai 2013, 12:45

PublicAmisMoi uniquementPersonnaliséAmis prochesHOUDA KAFSIAfficher toutes les listes…Université Paris X – Nanterresalem benammarBuzz BrokersUniversité Paris 2 Panthéon-AssasRégion de Sidi Bou Saïdcollége sadiki tunisFamilleConnaissancesRetour

Faire de Ben Jeddou l’homme de la situation en Tunisie, autant octroyer le Prix Nobel de la Paix à son Rached Ghannouchi

 La benjeddoumania marque le pas, après avoir fait illusion  pendant quelques semaines comme si les tunisiens avaient enfin trouvé le Monsieur sécurité pour leur pays. Alors que tout est orchestré habilement par le grand illusionniste R. Ghannouchi, mais peu importe l’élixir tant qu’on a l’ivresse.

Même Satan se trouve affublé de vertus humains  et voilà le lapin Lotfi Ben Jeddou que l’illusionniste local a sorti de sa manche est devenu l’homme de la situation, un vaillant soldat de feu pour…

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Avec son projet d’ouverture des frontières tunisiennes aux djihado-terroristes, Moncef Marzougui veut carboniser la Tunisie

Salem Benammar
Décidément le bouffon Moncef Marzougui, agent qatarien notoire, vénal, fils de goumier, assoiffé de revanche, traître pathologique, obsédé par sa haine de la Tunisie, n’en démord pas de son projet d’ouverture des frontières nationales  aux djihado-terroristes en mal d’impunité juridique et d’un sanctuaire où ils pourraient donner libre-cours à leurs pulsions meurtrières.
En effet, il vient de nouveau d’appeler publiquement à transformer le pays de Bourguiba en terre d’accueil pour tous les terroristes musulmans du monde entier en les dotant des mêmes droits que les nationaux tunisiens.
Comme s’il cherchait à constituer sa propre clientèle électorale totalement acquise à sa cause et celle de ses sbires de la Troïka. Un projet qui n’est pas sans rappeler celui du Colonel Khadhafi qui avait octroyé généreusement la citoyenneté libyenne aux noirs africains  afin de se donner une assise populaire qui lui faisait défaut d’une part et d’autre part sécuriser son pouvoir par la création de sa propre garde prétorienne. Le président de pacotille se rêve déjà en Empereur romain et veut avoir ainsi une espèce propre garde rapprochée prête à intervenir militairement en cas de menaces sur son régime, plus apparentée à une cinquième colonne.
Moncef Marzougui n’est pas pas plus fou qu’il en a l’air, il se fait passer pour tel pour abuser de la crédulité des foules. C’est un retors et manipulateur-né; pervers-narcissique, calculateur et prestidigitateur, habile manoeuvrier, il a plus d’un tour dans son sac pour arriver à ses fins mégalomaniaques et satisfaire ses velléités de pouvoir.
Dépourvu de toute morale politique, sans foi ni loi, nourri au biberon de la félonie paternelle, ayant vendu son âme tourmentée aux qatariens, il ne reculera devant rien pour le garder et le pérenniser. En dignes héritiers de Duvalier et de Mengele, médecins comme lui, il est capable de plonger la Tunisie dans un bain de sang pour s’y maintenir.
 Apprenti-dictateur, il considère que ce n’est pas aux tunisiens de lui imposer  leur volonté mais c’est à lui en sa qualité de détenteur de pouvoir leur imposer la sienne par le subterfuge de l’ouverture des frontières nationales aux islamo-terroristes.
Conscient qu’il est le président le plus haï dans l’histoire universelle avec un niveau record absolu  d’impopularité, 100% de tunisiens ou presque ne lui font aucune confiance, plutôt que de travailler à l’amélioration de son image à commencer par la restitution du pouvoir au peuple ce qui pourrait lui laisser la porte ouverte pour les prochaines échéances, il veut créer ses propres tunisiens par la naturalisation massive des djihado-terroristes. Si le peuple ne vient pas vers moi, je me crée mon propre peuple, telle est en substance son approche criminelle du pouvoir. 
 Se voulant capitaine d’un navire dont le sort est étroitement lié à celui de son équipage où la survie de l’un dépend de la survie de l’autre et vice-versa, il élabore des scénarios des plus machiavéliques pour atteindre ses objectifs qui consistent à recruter une armée de mercenaires sous ses seuls ordres qui lui est entièrement dévouée et fidèle bénéficiant de tous les privilèges, au-dessus des lois et agissant comme une force d’intimidation et de répression selon les besoins.
Il se voit  déjà dans la peau du futur Néron tunisien qui n’en a cure des problèmes sécuritaires qu’un tel projet suscite. Il n’est obnubilé par une seule idée : garder ce qu’il considère comme son bien de droit absolu. Il en toujours rêvé, aujourd’hui, il est prêt.à tout pour le conserver. Sa forte détermination  est telle qu’il est capable de transformer la Tunisie en amas de cendres et irriguer son sol du sang des innocents.
Ne comptez surtout pas sur les urnes, sauf celles des cendres des tunisiens tombés sur le champ de bataille, pour le déloger. Si jamais, il y aura un scrutin, l’issue ne fera pas de doute, il sera élu avec avec un score stalinien grâce à ses nouveaux tunisiens qui sauront employer les bons arguments pour infléchir le cours du vote en sa faveur.
Surtout avec l’arrivée massive des renforts mauritaniens et les fraîchement naturalisés mauritaniens tels que les maliens, sénégalais, guinéens, nigérien, burkinabés et les  vétérans de la campagne terroriste en Syrie marocains, saoudiens, tchétchènes, libyens, jordaniens, occidentaux et algériens, il va  assurément pouvoir disposer d’une force de frappe hors norme.
 Ouvrir les frontières tunisiennes et naturaliser toutes ces cohortes sinistres et morbides est bien le vrai visage de la révolution burlesque et  guignolesque tunisienne.
Vous avez parlé d’acquis, moi je vous parle d’infamie et de barbarie. Vous avez parlé de révolution, moi je vous dis réislamisation. Vous avez parlé de dignité, moi je vous parle de fraternité islamiste. Vous avez parlé de démocratie, je vous ai parlé du processus nazislamiste dans lequel s’est engagé la Tunisie sous la houlette de la Troïka de la honte nationale.  Vous avez parlé de souveraineté nationale, moi je vous parle de vassalisation de la Tunisie. Vous avez parlé de citoyenneté, moi je vous parle de la mise à mort programmée de la Tunisie. Vous avez parlé du rêve républicain, moi je vous parle du cauchemar oummien.
N’est tunisien désormais que celui qui est islamisé et marqué du sceau du sacré, pourtant n’est saoudien que celui qui a du sang saoudien dans les veines. Les saoudiens propagateurs du virus islamiste sont les premiers à s’en immuniser
.
 
 

Au bouffon Marzougui : il n’y pas pire offense à tes frères djihado-terroristes que de les faire voter

La Tunisie dans la mouise jusqu’au cou et la Troïka en mal d’électeurs, ou plutôt de djihadistes pour les conquêtes cosmiques futures n’ouvrent pas les frontières aux seuls algériens et marocains, elle les ouvre aux mauritaniens, alors que n’importe qui peut se faire délivrer une carte d’identité mauritanienne. Imaginez le scénario

Aussi vous aurez le loisir d’accueillir vos frères shebabs somaliens connus pour leur respect de la vie humaine, les fils du génocidaire soudanais, beau-frère du terroriste local, les afghans et pakistanais soudanisés au nom de la fraternité islamiste.

Cerise sur le gâteau ces escadrons de la mort ou cavaliers noirs de l’Apocalypse islamiste se verront accorder automatiquement la nationalité tunisienne. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. 
Savez-vous que dorénavant en Tunisie n’est tunisien que celui qui atteste de ses vertus islamistes.

La filiation droit de sol, droit du sang ne seront plus en vigueur. En disant ça des esprits chagrins me traitent de raciste. Si effectivement vous appelez ça du racisme, je suis content de vouloir mettre en garde les tunisiens contre la nocivité de cet appel d’air aux terroristes qui sévissent de la Corne de l’Afrique à la Mauritanie. 

Je mets par la même en garde l’Europe sur les dangers graves pour sa propre sécurité. La Tunisie est en train de devenir un sanctuaire terroriste. Comment ils vont faire pour nourrir, soigner, loger, tous les terroristes qui vont élire domicile en Tunisie ? Le problème soulevé dans le cas d’espèce n’est pas humanitaire, il est sécuritaire et vise à somaliser la Tunisie.

Vous ne savez que vous plaindre alors que c’est la Tunisie qui en a ras le minaret de vous

 

Vous vous plaignez d’être gouvernés par des terroristes de la Qaïda.

Vous vous plaignez  de la secte-Etat d’Ennahdha.

Vous vous plaignez de Raspoutine Ghannouchi et de ses noirs desseins pour le pays

Vous vous plaignez des frasques et des délires psychotiques de Marzougui.

Vous vous plaignez de la Troïka et de sa félonie.

Vous vous plaignez de l’insécurité.

Vous vous plaignez de la dégradation de vos conditions de vie.

Vous vous plaignez de la cherté de vie et de l’hyper inflation.

Vous vous plaignez du chômage galopant.

Vous vous plaignez de l’état d’insalubrité de vos hôpitaux.

Vous vous plaignez de l’état de délabrement de vos écoles.

Vous vous plaignez de l’état de faillite du pays.

Vous vous plaignez de l’absence de propreté de vos rues.

Vous vous plaignez de l’endoctrinement idéologique de vos pré ados et ados

Vous vous plaignez des pénuries de médicaments.

Vous vous plaignez de voir votre pays s’afghaniser.

Vous vous plaignez du budget faramineux du Ministère de la wahhabisation de la Tunisie.

Vous vous plaignez du retour du pays dans la protohistoire. Vous vous plaignez de la perte d’image de votre pays.

Vous vous plaignez du recul des investissements étrangers et nationaux.

Vous vous plaignez de voir votre pays bradé au profit du Qatar et à la Turquie.

Vous plaignez de voir votre pays devenu un sanctuaire djihadiste.

Vous vous plaignez de le voir transformer en théâtre de terrorisme 

Vous vous plaignez de voir vos filles offrir leur corps pour le djihad

Vous plaignez que votre pays est devenu le premier pays exportateur de main d’oeuvre djihadiste au monde

Vous plaignez des assassinats politiques.

Vous vous plaignez des meurtres de vos forces de l’ordre et de vos soldats

Vous vous plaignez de voir votre pays devenir la risée des nations

Vous vous plaignez de votre pays ressembler à un cimetière à ciel ouvert

Vous vous plaignez de vous envelopper de vos linceuls de votre vivant

Vous vous plaignez d’avoir bafoué votre dignité et honneur pour votre religion de malheur

Vous vous plaignez de tout et de votre vie muée en enfer.

Vous ne vous plaignez jamais en revanche de la Tunisie qui se plaint de vous.

Vous ne vous plaignez pas non plus de la cause de tous vos maux : l’islam

Le plus à plaindre c’est la Tunisie  qui en a marre de vous

En élisant Ennahdha, les Tunisiens ont élu la Qaïda et faire de leur pays un sanctuaire terroriste

Ben Ammar Salem Publié dans Tunisie news le 10 – 08 – 2012

Soit la Qaïda, soit la Tunisie. Le choix est simple à faire. Soit faire le choix de vivre sous le régime de la terreur et le déshonneur, 
soit faire le choix de la Tunisie et mourir dans l’honneur et la dignité pour que vive la mère-patrie.

Si vous comptez sur les urnes c’est que vous n’avez toujours pas compris que vous avez affaire à des terroristes et des illuminés assoiffés de pouvoir et avides de chair humaine. Voraces et coriaces, ils ne connaissent de la démocratie que les bombes avec lesquelles ils vont vous pulvériser et le vitriol avec lequel ils défiguraient vos femmes.

Aujourd’hui à Sidi Bouzid, terre-symbole de la résistance aux oppresseurs mafieux et mystificateurs de l’Islam, la Qaïda locale arborant un nouveau masque de circonstance, se mue en gardienne de l’ordre républicain, tire à balle réelle ou en caoutchouc sur les patriotes tunisiens et sans cela que ne suscite émoi et condamnation de la part du peuple plus préoccupé de ses devoirs cultuels que de ses devoirs patriotiques.

Sidi Bouzid vit sous les feux nourris de la répression sauvage et sanguinolente de la milice islamiste de la Qaïda. En effet, une police nationale aux ordres d’une clique djihadiste qui a usurpé le pouvoir en ce jour maudit du 23 octobre 2011, a perdu son statut de police nationale pour devenir une simple milice islamiste.

La Qaïda locale est en train d’envoyer un message clair aux tunisiens : se soumettre ou se démettre. Pire encore soit la soumission soit la mort. Se soumettre c’est déjà périr. La répression violente de la manifestation de ce jour en dit long sur les desseins génocidaires de la Qaïda pour la Tunisie.

Ennahdha, l’antenne djihadiste tunisienne est capable de commettre des massacres massifs, systématiques et ciblés de la population pour conserver son pouvoir exercé pour le compte de Dieu qui prime sur la volonté des hommes et l’honneur de la patrie. La terreur islamiste est en marche en Tunisie. Amnésiques comme vous êtes, vous semblez oublier qui sont la Qaïda et sa filiale locale ? En votant pour Ennahdha vous avez voté pour la maison-mère la Qaïda et sceller le sort définitif de la Tunisie.

Un islamiste modéré est un islamiste mort puisqu’il ne nuit plus à personne et encore. Rien ne dit que déçu par les promesses non tenues par son Manitou qu’il ne lui fiche pas un pan dans la geueule. Le Dieu islamiste n’est pas musulman, il est sataniste tendance wahhabite. Lutter contre lui, c’est lutter pour le vrai Islam, celui que vos parents vous ont légué en héritage et qui a fait la gloire de la Tunisie.

Le pays a recouvré son indépendance grâce à l’Islam malékite qui avait joué un rôle déterminant dans la décolonisation du pays et qui avait combattu héroïquement l’hydre nazie tant adulée par les dignitaires de la Confrérie des Frères musulmans, mère génitrice d’Ennahdha.

La survie du pays et de l’islam tunisien lui-même dépend d’un sursaut national sans cela l’avenir de la Tunisie sera son passé. Les tunisiens n’ont plus le choix de ses armes pour arracher le pays des griffes de ces terroristes, aidés par toutes ces instances antipatriotiques celles présidées par Y. Ben Achour que les américains ont récompensé pour ses mauvais et déloyaux services à l’égard de la Tunisie, et K. Jendoubi cet autre illustre inconnu sorti de son néant hexagonal, qui a brillé par ses incompétences, sa gestion opaque, sa désinvolture et son laxisme pathétique. Il n’a toujours pas rendu à ce jour le rapport financier de la mascarade électorale. Ce qui en dit long sur la sincérité du scrutin.

Quoi qu’il en soit seul l’Islam tunisien d’obédience malékite, celui du bien vivre ensemble, est la seule alternative pour dépolluer le pays de tous les islamistes qui constituent un péril pire encore que celui des Banu Hillal. La déwahhabisation du pays est au prix de l’honneur de la Tunisie et de sa fierté légendaire. L’avenir du pays est plus que jamais assombri si les tunisiens ne s’insurgent pas contre la dictature islamiste sous la houlette des vrais ennemis de l’Islam et de la patrie.

Le combat contre la Qaïda est un combat pour les valeurs universelles et un acte de salubrité nationale. Soit une Tunisie tunisienne et musulmane ouverte, apaisante, intégrant tous ses enfants de toutes les confessions, humaniste tolérante et égalitaire, une Tunisie du respect des droits de l »homme et du Citoyen, résolument respectueuse de l’égalité absolue entre les sexes dans la continuité de l’esprit bourguibien, soit une Tunisie sous le joug de la Qaïda et sa panoplie des lois iniques, ineptes, criminelles, pédophiles, racistes, discriminatoires, machistes, barbares et fascistes. Appelées abusivement les lois de l’Islam alors qu’elles sont sacrilège et hérésie.

La Charia islamiste n’est pas la voie pour la Tunisie c’est la voie de l’enfer de la femme et de son anéantissement. Quelle Tunisie, les tunisiens veulent-ils ? Celle de la dignité humaine ou celle de la Qaïda, de la terreur humaine ? 

Allez-vous en avec votre islam, car nous n’en pouvons plus de vous

Qui voudra de votre religion devenue le vrai visage de la barbarie humaine ?

Vous pensez bien qu’aucun humain digne de ce nom n’en voudra pas d’elle.

Aucune humanité, ni compassion, ni pitié, et ce ne sont pas vos victimes d’Irak et de Syrie qui diraient le contraire.

Vous vous tuez entre vous comme des bêtes féroces pour gagner l’érection éternelle.

Vous vous nourrissez de violence et de haine comme si elles étaient vos seules sources de vie.

Nous préférons notre vie sur terre plutôt que votre paradis de luxure et de beuverie.

Nous en avons marre de vos histoires à quatre balles et de votre folie meurtrière.

Vous n’aimez pas la vie, elle non plus ne vous aime pas et rêve de vous voir disparaître de sa vue à tout jamais.

Allez baver votre poison haineux ailleurs que sur notre terre que vous polluez avec le sang des vôtres que vous tuez au quotidien.

Vous n’y êtes pas à l’aise, faites comme les adeptes du Temple Solaire.

Nous avons choisi la vie et vous avez choisi la mort comme mode de vie.

Vous avez fait de la terreur votre seule raison d’être et de vivre.

Nous vous disons basta, votre cirque infernal a trop duré.

Vous ne vous aimez pas vous-mêmes, nous nous n’avons guère envie de vous aimer.

Vous vous êtes trompés de planète, la nôtre ne sera jamais la vôtre.

Vous voulez en faire notre calvaire, mais elle sera pour vous votre tombe.

Vous avez  peut-être la plus religion au monde, mais nous nous avons la plus belle vie au monde.

Notre délivrance sera le jour de voir l’islam  éradiqué de cette terre.

Nous serons jamais des vôtres, comme vous ne serez jamais les nôtres.

Nous sommes des humains et vous êtes des mutants transfigurés par la haine de vous-mêmes.

Vous avez renoncé à votre humanité car vous avez peur de vous-mêmes.

Nous avons le courage de nous regarder dans notre miroir.

Vous avez honte de vous-mêmes c’est pourquoi vous voilez la face.

Vous voulez nous imposer votre mauvaise foi, notre monde sera sa tombe.

Nous n’avons ni haine ni compassion pour vous, car vous êtes fermés à tout sentiment humain.

Vous ne changerez jamais notre monde, car sera la fin de votre monde.

A ceux qui font de l’islam la plus belle religion jamais révélée à l’homme

Délirez moins et vous vous en porteriez beaucoup mieux. Vous avez beau avoir la plus belle religion au monde, celle qui a fait du savoir scientifique un dogme religieux c’est bien que vous prétendez n’est-ce pas, mais cela n,’empêche pas que vous êtes les derniers de la classe dans tous les domaines et les peuples les plus vaniteux et vantards jamais apparus sur cette terre. 
Quoique vous claironniez, vous êtes la honte des nations. Vous êtes pathétiques d’ignorance qui est en réalité votre terrain de prédilection. 
Pour vos besoins les plus élémentaires, vous dépendez des « impies » que vous détestez tant, mais sans eux vous retourneriez à l’état sauvage, avec tous mes respects pour ce que qu’on appelle les sauvages qui ont un génie incroyable et qui assurent leur survie à la sueur de leurs fronts. Ce dont vous n’êtes pas capables vous-mêmes qui attendez tout de l’autre et rien de vous. 
Jamais vous ne pourrez sortir de votre état de sous-développement tant que vous n’avez pas fait votre révolution culturelle et soigner vos plaies qui vous gangrènes. Commencez par briser les chaînes de votre bagne mental et finissez-en avec votre arrogance, suffisance, exubérance, mégalomanie, esprit despotique, votre violence congénitale, rigidité, obscurantisme, incapacité de se remettre en question, fanatisme, ethnocentrisme, oisiveté et mépris de l’autre sont les vrai
Au nom de votre divinité sanguinaire,n vous tuez vos propres frères, vous faites vivre l’enfer à vos femmes et à vos enfants.
A chaque fois que l’on vous interpelle sur vos excès de violence et vos actes de barbarie qui puisent leur source dans la religion elle-même et qui s’inscrivent dans la continuité des pratiques de votre figure tutélaire, vous vous mettez dans tous vos états comme si justement vous avez quelque chose à cacher.
Quand on a peur d’affronter l’épreuve de la vérité, on se victimise et on fonce tête baissée sur son interlocuteur tel un sanglier blessé pour le faire taire à tout jamais.
Vous maniez l’insulte et l’invective croyant ainsi trouver une parade pour esquiver le débat et crucifier tous ceux qui doutent de l’image idyllique que vous faites de votre religion, sachant que vous-mêmes vous n’y croyez pas trop mais manquant de lucidité intellectuelle et de maturité psychologique, vous avez opté pour la politique de la terre brûlée afin d’empêcher toute tentative de démystification d’une religion qui ne l’est pas.
Une religion qui prône la violence extrême, appelle à la purification religieuse et ethnique, et rétribue tous ceux qui se tuent et tuent pour elle a les attributs non pas d’une religion mais d’une idéologie mortifère et exterminationniste de la même lignée que celle dans laquelle s’étaient reconnus à une époque de l’histoire vos dignitaires religieux émérites et qui avait elle-même séduit les les figures les plus sinistres de cette fameuse doctrine politique.
Vous avez la mémoire courte, à moins que le poison qu’on vous distille à longueur de journée du berceau jusqu’à la mort vous faisant oublier l’amertume de votre condition humaine, a fini par détruire vos neurones et altéré totalement vos capacités de discernement.
Vous vivez dans un état de décomposition psychique chronique où tout se confond et s’embrouille dans vos têtes, où le vice est vertu et vice-versa.
Ce qui a une valeur de morale dans nos sociétés ne l’est pas pour vous, et ce qui a une valeur de morale pour vous ne l’est pas pour nous.
Vous ne reconnaissez que les lois de votre ordre sectaire c’est pourquoi vous êtes les premiers clients des centres pénitentiaires.
Si vous avez vraiment le sens du respect, commencez d’abord à vous respecter vous-mêmes et ne jouez pas au seigneur alors que vous vous n’êtes toujours pas affranchis de votre état d’esclaves dépossédés de sa propre vie au profit de sa religion.
Le monde vous juge sur vos actes, or rien ne démontre que vous êtes prêts à vivre pleinement votre humanité. Vous voulez tout anéantir pensant ainsi pouvoir créer une humanité qui laisserait apparaître le monde des ténèbres comme le stade ultime de la civilisation humaine pour des humains de votre espèce.
Soyez humbles, modestes, coopératifs, pacifiques et humains et plus personne n’aura à se plaindre de vous et vous cesserez ainsi d’être l’objet de raillerie et source de phobie pour autrui.

Le Qatar, la toute petite grenouille qui se veut aussi grosse que le boeuf

A quoi joue la petite grenouille du Qatar ? A force de vouloir grossir comme un boeuf, il va finir par imploser et se faire dévorer par les charognards qui l’ont créé en 1972.

L’Emirat-confetti du Qatar qui est à 2 e coup d’Etat parricide en l’espace de 40 ans chaperonné par l’Occident qui lui fat dépenser son argent sans compter, le propulsant sur les devants de la scène sportive mondiale et les Arts contemporains, qui pratique le pire régime esclavagiste qui soit au monde connu sous le nom de Kaffala, est pire que la peste et le choléra réunis, pire que l’Afrique du Sud au temps de l’Apartheid et l’Allemagne nazie réunis, il est un poison létal pour les pays musulmans  et l’humanité tout entière.

Il joue un double jeu, séducteur avec l’Occident pour acheter sa neutralité bienveillante et fouteur de troubles avec les africains et les afro-méditerranées en tant que bailleurs de fonds des organisations terroristes telles que la Milice d’Ennahdha en Tunisie et l’AQMI.

Cette ambivalence a toutefois le mérite de servir de révélateur quant à l’état de schizophrénie de l’Occident lui-même qui couve de toute son attention sa créature et en même temps il mène une guerre antiterroriste aux obligés du Qatar. A moins qu’il ne soit le créateur aussi le créateur de ceux auxquels il fat jouer le rôle du méchant qui lui servent de forces supplétives en Syrie ou de faire-valoir pour justifier son intervention au Mali, en Afghanistan, en Irak ou bientôt en Tunisie.

En tout état de cause le Qatar est condamné à subir le même sort un jour ou l’autre de rejoindre le cimetière peuplé des anciens « amis » de l’Occident.

LES CHANTIERS DE LA COUPE DU MONDE DU QATAR, CAMPS DE LA MORT DES TRAVAILLEURS NÉPALAIS

 

 

 
1087566-17300202-640-360En agréant en toute connaissance de cause, et peut-être même non sans avoir profité des ses largesses, l’Emirat du Qatar, la F.I.F.A. se rend complice d’esclavagisme. Et la gauche au pouvoir, petit soldat de l’Emirat, montre comment elle sait s’asseoir sur ses valeurs fondamentales de protection des droits de l’homme.Au rythme des scandales qui entachent les chantiers de cette Coupe du Monde, et des atteintes à la dignité des travailleurs, le drame social et humain qui se déroule avec la bienveillance des occidentaux est certainement le pire épisode de de l’histoire de la F.I.F.A., dépassant en celui des J.O. de Berlin de 1936.Selon le Guardian dans sa livraison datée du 18 février 2014 plus de 400  ouvriers népalais sont morts sur les chantiers de construction des stades de la Coupe du Monde pour la période juillet 2013 à fin janvier 2014, soit 2 morts par jour et 4000 pourraient mourir d’ici 2022 selon la Confédération internationale des Syndicats, et ce à cause des conditions de travail inhumaines dans la pure tradition esclavagiste arabe. Au point que l’Ambassadeur du Népal à Doha est sorti de sa réserve diplomatique pour les décrire comme des prisons à ciel ouvert, un bagne dont on ne sort pas vivant. Un camp de la mort pour les damnés de la terre avec la complicité bienveillante des mastodontes des travaux publics occidentaux et leurs gouvernements toujours prompts à dénoncer les conditions de travail en Russie et en Chine.

 

Les chantiers de la coupe du monde de foot au Qatar, d’après les informations qui filtrent, c’est :

  • Salaires non versés ou bloqués pour les empêcher de partir,
  • pièces d’identité confisquées,
  • plus de 12 heures de travail, y compris la nuit et sous un soleil de plomb à plus de 50°,
  • retenues abusives sur salaires,
  • rackets,
  • renvoi des récalcitrants manu militari sans que leurs salaires ne leur soient versés,
  • recrutement de travailleurs souvent très jeunes de moins de 16 ans,
  • absence des règles de sécurité,
  • exposition aux produits toxiques,
  • refus d’accès à l’eau potable,
  • absence de soins,
  • accidents de travail incessants,
  • logements insalubres,
  • violations délibérées des normes de l’O.I.T.

A construction worker rests during his lunch break in Doha

Il y aurait de quoi saisir la C.P.I. pour esclavagisme aggravé. Au lieu de ça, les dirigeants européens, avec à leur tête la gauche française, si remontée contre ces sales patrons exploiteurs hexagonaux, font des courbettes aux émirs et acceptent leur argent en échange de leur hypocrite silence.

La FIFA n’a certes pas vocation à faire du social, mais elle  oublie que son public est le même qui se meurt par centaines sur les chantiers du Qatar; Elle ne sait s’inquiéter du droit international quand ça l’arrange surtout quand il s’agit d’engranger les bénéfices des contrats faramineux que lui rapportent l’attribution de l’organisation de la Coupe du Monde à un Emirat raciste et esclavagiste..

Et elle n’est pas dispensée d’obligations morales et ne peut se conduire comme des hooligans.

Il est même de sa haute responsabilité d’exiger de cet Emirat esclavagiste qu’il se conforme immédiatement aux normes internationales du droit du travail, sous peine de lui retirer l’organisation de la phase finale de la Coupe du Monde de 2022.

Que fera la FIFA pour aider le Népal à faire face à l’afflux massif de ses travailleurs qui viennent se réfugier dans les locaux de son ambassade à Doha ?

La plupart des travailleurs népalais, qui croyaient en l’Eldarodo de cette Coupe du Monde, ont été obligés d’emprunter de l’argent chez eux à des taux exorbitants, supérieurs à 36%, pour couvrir les frais de leur voyage, laissant leurs familles en otages entre les mains de leurs usuriers, et ils ne seront pas payés s’ils n’acceptent pas les conditions inhumaines de leurs esclavagistes qataris.

Plus d’un million et demi de travailleurs immigrés sont attendus, que va faire la FIFA pour leur droit ?

World-Cup-2022-football-and-slavery-meet-in-Qatar

« The show must go one » disait Avery Brundage, ancien président du C.I.O, au lendemain du massacre des athlètes israéliens par un commando palestinien aux J.O. de Munich en 1972.

Pour la FIFA, les victimes du football importent peu, pourvu que cela ne compromette pas le succès de son entreprise. Et elle prétend faire respecter la morale sportive ?

Combien y aura-t-il eu de morts népalais, le jour du match d’inauguration, si elle ne fait rien ? 4 000 ? 10 000 ? On s’en fout, de quelques milliers de morts népalais, en échange d’un beau match ?

Ce premier match sera marquée du sceau de l’infamie, de la mort et de l’esclavagisme. Même si les ONG internationales de Défense des droits de l’homme – y compris l’ONU, toujours à géométrie variable, restent silencieuses.

On ne confie pas l’organisation de la Coupe du Monde à un pays connu pour ses mœurs barbares et rétrogrades et sa pratique manifeste de l’esclavagisme, sous forme de la kafala qui fait du travailleur étranger non-occidental propriété de son employeur. La  F.I.F.A et tous ceux qui ont prêté leur concours princièrement rémunéré, n’est-ce pas Mr Zidane ne devraient pas ignorer tout cela.candidature. 

L’attribution au Qatar la phase finale du tournoi final de la Coupe du monde de 2022 atteint les sommets de l’infamie humaine qui réhabiliterait la bavure du C.I.O en 1936.

Le sport ne doit pas à servir de vitrine propagandiste aux puissances fascistes et aux émirats racistes. Le béton des stades ne doit pas servir de sarcophage aux ouvriers morts d’épuisement que l’on coulera dans le ciment pour effacer leurs traces.

 

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0203032825836&fw=1

Pourquoi les américains sont les artisans des « Révolutions du Printemps arabes » et leurs valets wahhabites en sont les bénéficiaires ?

Les américains et leur appareil de propagande d’al Jazeera ont berné tout le monde. En effet, ils ont scénarisé ces pseudos révolutions en spectacles hollywoodiens, avec les bons et les méchants, dont le but est d’évincer à bon compte les gêneurs dont Ben Ali, Mobarak et Khadhafi faisant croire que ce sont les peuples eux-mêmes qui ont mis un point d’honneur à reprendre leur destin politique en main. 
En guise de révolution populaire ils ont réussi à provoquer un état de chaos indescriptible avec des dommages incommensurables sur leur sécurité mettant en péril leur unité nationale. L’hégémonisme américain pour la propre survie de l’Empire du Mal en déclin ne recule devant rien pour retrouver sa vigueur économique et financière que de créer des nouveaux espaces bananiers en détruisant la souveraineté des peuples dont la religion notamment l’islam wahhabite, une véritable arme de guerre contre les peuples musulmans. 
C’est leur cheval de Troie et leur atout-maître pour les rendre malléables et résignés sur le modèle de l’Arabie Saoudite avec une oligarchie religieuse propriétaire des richesses énergétiques du pays totalement acquise aux intérêts américains. 
Qui mieux que la religion pour détourner les peuples de leur patriotisme économique afin de leur confisquer leur richesse naturelle ? 
Etouffer les velléités de liberté pour mieux les soumettre à la dictature du grand capital, tel est le vrai sens de la doctrine américaine dans le cadre de sa politique étrangère arabo-musulmane. 
Vivant sous la menace de l’émergence du nouveau bloc Brésil, Inde, Chine, Russie et Afrique du Sud (B.R.I.C.S.) les américains jouent leur va-tout wahhabite pour préserver son rang de super puissance en créant des nouvelles zones d’influence fédérées autour de la religion, dans le cas d’espèce l’islam, sur la base de l’Oumma sous la houlette de ses protégés qataro-saoudiens et le super intendant turc. 
Car les américains ont compris que pour mieux coloniser les peuples musulmans, il n’y a pas mieux que l’islam comme instrument de domination politique avec des acteurs locaux brandissant l’étendard de la religion. 
En réalité, ils n’ont fait que reproduire les scénarios de la conquête de l’Ouest en dressant les tribus indiennes les unes contre les autres afin de les affaiblir pour miner leur capacité d’union contre l’ennemi commun en leur imposant une sorte de Pax Americana sous la bonne garde d’agents indiens, l’équivalent aujourd’hui des agents islamistes.
Au regard des événements qui ébranlent depuis plus de 3 ans les pays du Croissant arabisé et les menaces qui pèsent sur l’Algérie, nul doute que la main Yankee n’est absolument étrangère dans le processus de l’état de dépérissement des pays du « Printemps arabe ».
Une seule question si les américains et leurs alliés voulaient réellement la démocratie dans ces pays pourquoi ont-ils résolument choisi le camp des forces obscurantistes miliciennes, n’hésitant pas à leur servir de caution morale et de sponsors ?

La tragédie tunisienne et l’organisation nazillonne d’Ennahdha

Ennahdha et la tragédie tunisienne. En faisant d’elle la reine de la Tunisie, on a ruiné les espoirs de son peuple.

 

On dit que l’histoire est toujours écrite par les vainqueurs et rarement par les vaincus. Qui a ainsi tout le loisir à la mythifier et l’enjoliver.  Un tel adage semble se vérifier dans le contexte politique tunisien.
En effet, depuis la chute spectaculaire et mystérieuse de Ben Ali qui laisse à la « Révolution tunisienne » un goût amer d’inachevé nourrissant fantasmes et spéculations, peurs et angoisses, le nom du mouvement sectaire d’Ennhdha, organisation au passé criminel et terroriste avéré, est celui qui circule le plus sur toutes les lèvres. A tel point qu’il fait de l’ombre à la prétendu Révolution du Jasmin, comme si le jasmin était une fleur d’hiver.. Ennahdha par-ci, Ennahdha par-là. Son logo semble supplanter le drapeau national. Il concentre tous les regards et attire toutes les attentions. Tout se passe comme si cette organisation mafieuse a été exorcisée de ses vieux démons et blanchie de tous ses crimes crapuleux. La « Révolution tunisienne » à défaut d’avoir rendu réellement sa dignité au peuple tunisien participe à son corps défendant à la réhabilitation d’Ennahdha. Lui permettant d’accéder au statut de parti politique et de devenir ainsi  un rouage essentiel du mécano politique tunisien en cours de création. Son passé est ainsi occulté, oublié. Tout le monde voit en lui un digne représentant de la démocratie en gestation en Tunisie. Il est devenu un mouvement politique fréquentable, ne suscitant ni craintes ni inquiétudes.  
 
Les Tunisiens comme les autres sont frappés d’une véritable amnésie collective.  Plus personne ne se réfère à son lourd passé criminel, comme si ce passé d’ailleurs n’a jamais existé. Il y a fort à parier que les boîtes d’archives le concernant pour reprendre la formule de Béji Caïd Essebsi finiront dans les broyeurs à papier du Ministère de l’intérieur tunisien pour éliminer ainsi toutes traces de ses activités terroristes.  Il restera toujours les archives du Ministère de la Justice de l’Etat fédéral du Canada qui continueront à témoigner du lourd passé terroriste de ladite organisation la faisant apparaître comme étant un acteur important au sein de la nébuleuse terroriste islamique.  Il n’en demeure pas moins qu’Ennahdha a vaincu l’hostilité de l’opinion publique tant nationale qu’internationale, un peu comme le Fuhrer nazi l’avait fait avec les J.O. de Berlin en 1936 (voir à ce sujet mon article sur les fantasmes hitlériens de R. Ghannouchi in Tunis Tribune). Cette effervescence médiatique entourant cette organisation membre de l’internationale terroriste vient de connaître un niveau de flatterie et de malhonnête intellectuelle rarement atteint. Ainsi le « politologue », Gilles Kepel pathétique de subjectivité, ignorant tout du phénomène islamiste et certainement des mécanismes de conquête du pouvoir politique par les extrémistes totalitaires s’est permis récemment un exercice de comparaison d’un très mauvais genre mêlant l’indécence et l’ignominie  entre le parti communiste français et l’organisation terroriste tunisienne, n’hésitant pas à écrire: « Ennahdha a bénéficié dans l’opinion publique tunisienne d’être le parti des emprisonnés et des torturés, un peu comme le PCF, en 1945, avait été le parti des fusillés ».
 Assimiler un mouvement terroriste au parti de la Résistance française est une pure hérésie intellectuelle. Le PCF a payé un lourd tribut pour l’honneur de la patrie pour sauver son peuple du joug du nazisme et Ennahdha a fait payer un lourd tribut au peuple pour la cause des amis d’Adolph Hitler, les Frères Musulmans. Celui-là même que le  PCF avait combattu dignement et avec force et courage. Une telle comparaison attentatoire à l’histoire de la résistance française et insultante pour la mémoire des victimes du nazisme en dit long sur la complicité inavouée entre une certaine partie de l’intelligentsia occidentale et les mouvements terroristes islamiques que certains se plaisent à les décrire comme étant modérés.
Le même auteur va jusqu’à prétendre qu’aux yeux de la masse tunisienne Ennahdha incarne plus efficacement que les autres, en comparaison avec les Frères Musulmans égyptiens, la volonté de « sortir les sortants. » De tels propos sont révélateurs d’un manque de discernement flagrant et pas seulement, ils s’inscrivent surtout dans une tentative coupable de falsification de l’histoire des luttes politiques et sociales en Tunisie où cette 6ème colonne islamique en Tunisie n’a jamais été à la pointe du combat. Elle a toujours préféré par lâcheté et couardise avancer à visage couvert, ne manquant pas à plusieurs occasions Bab Souika, Sousse, putch militaire, tentatives d’incendie criminel des universités tunisiennes, Monastir, France 1986, etc… de faire usage de violence au moyen d’attentats à la bombe et d’actes d’intimidation telle que l’aspersion au vitriol des femmes tunisiennes dont le seul but est de répandre la terreur et semer la mort. En outre, son leader  R. Ghannouchi qui n’ a jamais fait mystère de son engagement terroriste qu’il considère comme étant le seul moyen pour islamiser l’Etat tunisien et imposer un régime islamique à la société tunisienne. C’est à juste titre que la justice canadienne le considère comme un acteur majeur de l’internationale terroriste islamique. Voyant en lui comme un de ses maîtres à penser. Cofondateur de l’U.O.I.F. ( l’Union des Organisations Islamiques de France) arrachée dernièrement des mains des islamistes marocains, une officine des Frères Musulmans en France, choyée un certain moment par Sarkozy dont il avait fait son interlocutrice privilégiée pour les questions de l’organisation institutionnelle de l’Islam de France lui conférant une stature politique non-négligeable et un rôle intéressant à l’approche des échéances électorales françaises de 2012. Cette volonté affichée par les cercles du pouvoir politique et intellectuel proches de la Sarkozie pour le draper  dans la vertu allant jusqu’ à absoudre son organisation au nom associée à la violence criminelle est un signe qui ne doit tromper personne quant à l’abdication irresponsable en cours aujourd’hui devant les représentants de l’internationale terroriste islamique. Il y a lieu de penser qu’avec la montée du poids de l’islamisme en Occident que si certains dirigeants politiques ne préfèrent pas vendre leurs âmes plutôt que de perdre les élections.  Cette complaisance manifeste à l’égard deGhannouchi et de son organisation au passé terroriste avéré contraste le faible soutien affiché par la France en faveur des forces politiques modernistes en Tunisie.  
 
Est-cela veut dire que la France de Sarkozy aurait préféré contribuer à l’échec des forces démocratiques en Tunisie pour créer les conditions de réélection de ce dernier qui ne saurait faire l’économie des voix des musulmans de France et notamment ceux embrigadées par les mosquées sous contrôle des Frères Musulmans ? Une telle question n’est aucunement dénuée d’intérêt comme l’encensement des islamistes tunisiens à la commande de l’U.O.I.F n’est pas non plus dénué d’arrière-pensée électoraliste.
La sociologie électorale en France est en train de subir une mutation inattendue et inconnue jusqu’alors. De 1946 à1981, on a connu le vote ouvrier corrélé au parti des travailleurs, en 2012 et après, il n’est pas suranné d’assister à une nouvelle forme de vote, comme on l’a vu avec le vote des résidents tunisiens en France, celui du vote identitaire. En attendant l’émergence des nouvelles forces politiques ouvertement communautaires, l’hypothèse d’un vote guidé par des considérations ethniques et religieuses finira par s’imposer comme une nouvelle donne politique en France républicaine qui est en train de s’enliser dans le communautarisme des plus pernicieux pour la démocratie et les valeurs de la République. Dès 2012, les musulmans siglés islamo-salafistes se détermineront certainement en fonction des critères irrationnels et antirépublicains. Le candidat présidentiel qui aurait le mieux servi la cause islamique dans le monde sera celui  qui captera forcément leurs voix. On ne vote par rapport à ses convictions personnelles, on vote en fonction de l’intérêt de son groupe d’appartenance.
 
Au vu de l’implication personnelle de Sarkozy dans la confiscation du pouvoir en Libye par les islamistes, son silence trouble sur l’attentat perpétré contre les locaux de Charlie Hebdo, le satisfecit adressé par Juppé aux islamistes tunisiens, l’infiltration sournoise du Qatar dans les cités franciliennes sous forme du mécénat entrepreneurial,  l’encensement de l’islamisme lui donnant un visage apaisant, etc… sont autant d’indices  de nature à lever le voile sur les manœuvres sarkoziennes pour séduire l’électorat islamique. R. Ghannouchi, figure tutélaire de l’islamisme internationaliste ne manquera certainement pas l’occasion  d’user de toute son influence pour orienter le vote de ses coreligionnaires fondamentalistes dans le sens souhaité par le candidat-président. A n’en pas douter l’agent du jihadisme islamique sera un agent électoral des plus zélés de la Sarkozie. Les enjeux électoraux ne s’embarrassent pas de scrupule. Sakorzy ne saura pas se priver des services d’un tel homme luge qui ne cesse de changer de visage en fonction des opportunistes. Homme d’influence au sein de la nébuleuse islamiste et son sens inné de la veulerie et de la vilénie en font de lui aujourd’hui un pion de premier ordre sur l’échiquier des grands de ce monde. Un homme qui devrait répondre de ses crimes passés a été épargné mystérieusement par les fourches caudines de la justice tunisienne se trouve comme par un tour de prestidigitation et enchantement porté par une vague de sympathie coupable tant à l’intérieur qu’à l’extérieur R. Ghannouchi se trouve  désormais le vrai maître du jeu politique tunisien. Il est l’Emir qui aura pour principale mission d’ouvrer pour la wahhabisation de son pays en vue de son inféodation au prochain Califat turco-wahhabite. Un homme, mégalomane, aux mœurs dissoutes  et dépravées, connu pour son penchant invétéré pour la boisson alcoolisée, père d’un enfant abandonné, obsédé par la folie de grandeur, revanchard, impudent, impénitent, complexé par ses origines modestes et son mono-culturalisme, assoiffé de revanche sociale,  mégalomane, mythomane, précurseur du terrorisme islamiste, fils spirituel de Hassan Tourabi, homme de paille d’al Qaradhoui, antisémite et nazi notoire, obsédé par la haine de l’Etat hébreu dont il appelle à sa destruction, et bien d autres références qui feraient pâlir de jalousie le Führer lui-même, joue aujourd’hui au chef d’orchestre dans  son pays, dont il est le chef de sa diplomatie et véritable cerveau de son organisation politique intérieure.  Ainsi grâce à ses bailleurs de fonds et le silence troublant des autorités de transition et de ces instances représentatives autoproclamées, il s’est ouvert la voie du pouvoir de la manière la plus démocratique pour asseoir sa domination sur la Tunisie. A se demander même si le pays n’a fini par céder à ses menaces et ses tentatives de chantage de mettre le pays à feu et à sang s’il n’obtenait pas le score escompté au point qu’il a été servi au-delà de toutes ses espérances les plus sombres. Le pays est aujourd’hui à ses bottes plutôt à ses savates portant des tâches indélébiles de sang humain à cause de l’inertie, l’apathie et la duplicité de tous ces traîne-savates qui infestent et polluent le paysage tunisien depuis le 14 janvier 2011. Ses partisans qui lui ont réservé un accueil triomphal à son retour de son exil doré londonien où il n’a jamais cessé d’entretenir les liens des plus douteux et confondants avec l’ancien régime peuvent aujourd’hui se réjouir d’avoir intronisé avec l’aide des puissances étrangères leur triste leader R. Ghannouchi comme le nouvel Emir de la principauté tunisienne.
Le sacre de Ghannouchi s’inscrit donc dans l’ordre naturel des choses. La démocratie a contribué au triomphe du symbole de la félonie et de l’utopie théocratique.
PS Article écrit 28 janvier 2012 publié dans Tunisie News à la même date

 

Combien la Tunisie ne ressemble plus à rien sauf à l’Afghanistan et à la Somalie

Combien de soldats tunisiens, de policiers et de gardes nationaux sont tombés sous les balles assassines d’Ennahdha ? Combien d’hommes politiques sont assassinés ? Combien de civils tunisiens sont morts ? Combien de tunisiens ont perdu la vie ? Combien de jeunes tunisiens servent de chair à canon en Syrie comme ailleurs ? Combien de Tunisiens ont trahi leur pays ? Combien cet individu inculte et opportuniste de kamel Jendoubi vous a mis dans la mouise ? Combien  l’ignoble Rached Ghannouchi vous humilie ? Combien d’adolescentes tunisiennes sont exploitées sexuellement à des fins idéologiques ? Combien Ennahdha a détourné comme argent public ? Combien la gouvernance d’Ennahdha a coûté aux finances publiques ? Combien de passeports et C.N.I. ont été délivrés aux terroristes musulmans étrangers ? Combien de mausolées profanés ? Combien de criminels ont été graciés par Marzougui ? Combien coûte l’A.N.C. aux contribuables tunisiens ? Combien Marzougui coûte aux Tunisiens ? Combien d’entreprises tunisiennes publiques et privées ont été bradées au profit de la Turquie et du Qatar ? Combien d’emplois privés détruits ? Combien d’enfants déscolarisés ? Combien d’enfants endoctrinés ? Combien les tunisiens ont perdu dans leur descente aux enfers wahhabites, santé, éducation, qualité de vie, sécurité, bien-être, l’image du pays ? Combien la Tunisie est au plus mal et son peuple s’en moque ? Combien vos remords sont inutiles après vous être fait rouler dans la farine par Obama scénariste de votre révolution de la puanteur des égouts wahhabites ? Combien le vrai islam va faire regretter d’être nés musulmans ? Combien je souffre de voir ma terre natale devenir un nouvel Afghanistan ?

Les américains à la conquête du monde arabisé grâce à leur cheval de Troie wahhabite

Le wahhabisme cheval de Troie des W.A.S.P. dans leur conquête du monde arabe

par Algerie Network on 10 mars 2013

Le drame que vivent actuellement les peuples tunisien, syrien, libyen, yéménite, égyptien, n’est pas inhérent à ces peuples, il concerne les peuples du monde entier.

Ils sont victimes d’enjeux géostratégiques, géo-impérialistes et géoéconomiques qui les dépassent et dont ils ne sont qu’une quantité négligeable. Aucun peuple au monde n’est à l’abri de ce type de drame et n’est en droit par conséquent de dire que cela n’arrive qu’aux autres. Quels autres justement alors que l’autre c’est aussi soi. Quand la terreur islamiste a déferlé sur l’Algérie avec la complicité active de la Maison Blanche, personne ne s’est soucié du sort du peuple algérien. Plus de 300.000 et des centaines de milliers de blessés ainsi que le traumatisme de tout un peuple dans l’indifférence criminelle de la communauté internationale. F. Mitterrand s’indignait face à la rupture brutale du soi-disant processus démocratique en Algérie qui n’était rien d’autre que son processus de wahhabisation que les patriotes algériens avaient su enrayer au prix de nouvelles années de braise et d’éviter à leurs voisins de subir l’onde de choc wahhabites .

Curieusement, malgré les appels de mises en garde réitérés des algériens meurtris par la terreur wahhabite, on a fait comme si la tragédie algérienne n’avait jamais existé et qu’elle relève d’un pur fantasme effaçant d’un seul trait de plume une des plus grandes tragédies de notre temps. Si l’Algérie n’avait pas résisté farouchement au wahhabisme, il y a tout lieu de penser qu’il y a longtemps qu’un pays comme la Tunisie serait tombé sous son joug colonial. L’Algérie à défaut d’avoir éradiqué la bête immonde wahhabite fécondée par les anglo-saxons a su retarder l’échéance de son implantation programmée en Tunisie comme ailleurs. Il n’en reste pas moins que ni les tunisiens ni aucun autre peuple n’a daigné de tendre la moindre oreille attentive aux suppliques de leurs amis algériens sur le péril wahhabite. Ainsi, l’indifférence et la politique de l’autruche restent les meilleurs alliés de la wahhabisation du monde arabophone.

Il est plus que temps de tirer enfin la leçon des 20 ans d’une guerre qui ne dit pas son nom mais qui n’est pas une guerre civile, elle est une guerre anticoloniale. Celle-là même qui menace dangereusement les pays du Printemps arabe comme les qualifient les stratèges de la Maison Blanche, passés maîtres dans l’art de flatter l’ego des musulmans, leur laissant croire qu’ils sont enfin passés de peuples dominions au statut des peuples majeurs. Forts de leur connaissance des structures mentales et culturelles de ces peuples, ils savent mieux que quiconque que le meilleur moyen d’endormir leur vigilance et de gagner leur sympathie est de les habiller d’habits de lumière. Au lieu d’une attaque frontale et un passage en force comme ils ont voulu le faire en Algérie, ils ont retenu les leçons de leurs échecs passés. Autrement dit, au lieu de réveiller l’hostilité de ces peuples vis-à-vis de leur pion wahhabite, ils se sont placés en meilleurs amis et alliés de ces peuples afin de pouvoir fixer leurs jalons islamistes sans que l’on y prenne garde. N’hésitant pas à jouer à la mère-poule de ceux qui sont supposés être ses pires ennemis, comme si les anglo-saxons étaient étrangers à l’émergence du wahhabisme depuis 1744. Les mouvements djihadistes ne sont en réalité que les ennemis de façade des grandes puissances qui savent que le wahhabisme et son corollaire l’obscurantisme est le meilleur atout politique pour maintenir les peuples arabophones en marge du concert des nations.

Seul l’abrutissement religieux de ces peuples est garant de leur propre pérennité énergétique et prospérité économique et financière. Le drame de ces peuples n’est pas seulement la résultante de leur propre histoire arabo-musulmane négatrice des libertés et qui n’est en aucun cas une fatalité contrairement aux idées reçues, il est également mais surtout l’expression d’une nouvelle politique impérialiste dont la finalité première est de dépouiller ces peuples de leurs richesses minérales, gazières et pétrolières.

Avec les anglo-saxons, les W.A.S.P., il ne peut et ne doit y avoir un partenariat gagnant-gagnant. Interdire par tout moyen, tel qu’on le voit en Syrie actuellement, l’accès de ces peuples à l’âge adulte, celui qui fait d’eux des peuples maîtres de leur destin politique et humain avec des dirigeants responsables et patriotes, soucieux des intérêts de leur nation que de ceux de leurs commanditaires. La stratégie des W.A.S.P. n’est pas diviser pour mieux coloniser, stériliser la pensée de ces peuples comme les nazis stérilisaient les handicapés en tirant profit de la religion dans son interprétation la plus obscurantiste et violente. Wahhabiser pour mieux surexploiter ces peuples, tel est le sens caché de la Realpolitik américaine pour les pays du Croissant arabophone.

source Benammar salem

Si douter c’est croire et pourquoi alors l’islam a peur du doute

Ceci est mon Livre qui ne tolère aucun doute et gare à celui qui n’y croit pas
Il n’y a Allah qu’Allah et Mahomet est son prophète, mort à celui qui n’y adhère pas
L’islam a été révélé pour corriger le tir et remettre la pendule à l’heure, mort à celui qui le conteste
Le prophète est le favori d’Allah et son message est le couronnement du cycle prophétique, mort à celui qui ne veut pas l’admettre
Les musulmans ont été élevés par Allah au-dessus de tous les autres, mort à celui qui s’en moque
Il n’y a pas de vérité pour les hommes en dehors de l’islam, mort à celui qui ne veut pas la faire sienne
L’islam n’est pas violent, mort à celui qui pense le contraire
Aïcha une gamine de 6 ans qui a fait tourner la tête au Pater des Musulmans est la mère des croyants, mort à celui qui ne la vénère pas comme telle
La communauté musulmane est la plus sublime communauté jamais envoyée sur terre, mort à celui qui ne l’accepte pas
Le paradis est exclusivement réservé aux seuls musulmans qui tuent et se font tuer dans la voie d’Allah, mort à celui qui n’y souscrit pas
L’islam a enfanté l’humanité, mort à celui qui ne le sait
L’arabe est la langue du paradis, mort à celui qui le conteste
Adam et Eve sont arabes et musulmans, mort à celui qui ne veut pas le reconnaître
Le Coran à lui tout seul renferme toutes les sciences connues et à venir, mort à celui qui le nie
Musulman pour la vie, mort à celui qui le renie
Mahomet était un grand ami des juifs et des chrétiens, mort à celui qui
le calomnie
Mahomet n’a jamais tué personne, ni razzié les siens, ni violé les femmes captives, mort à celui qui le salit
Mahomet n’a jamais pratiqué la zoophilie ni la nécrophilie, mort à celui qui le dénigre
Mahomet était musulman de naissance et ses parents aussi, mort à celui qui pense autrement
L’islam a libéré les hommes de l’esclavage, mort à celui qui ne le voit pas
Les compagnons de Mahomet étaient un modèle de concorde et d’harmonie entre eux, mort à celui qui les raille
L’islam n’a jamais causé la ruine des peuples ni perpétré quelques uns des plus grands génocides de tous les temps, mort à celui qui veut l’accuser
L’islam protège la vie humaine, mort à celui qui est dubitatif
L’islam est féministe, homophile, humaniste, égalitaire et veille sur les droits de l’enfance, mort à celui qui veut le discréditer
L’islam est tolérant, ouvert au dialogue et fair play, mort à celui qui l’offense
L’islam a fécondé en Arabie la plus grandiose civilisation humaine, mort à celui qui n’abonde pas dans ce sens
L’islam est à lui tout seul les 7 merveilles du monde, voilà pourquoi je ne crois pas en lui

Ennahdha répand la terreur et sème la mort en toute impunité

Salem Ben Ammar

Les masques commencent à tomber et les loups commencent peu à peu à dévoiler leurs vrais desseins! Naïfs ceux qui croyaient que les militants d’Ennahdha prônent l’édification d’un État moderne basé sur des lois positivistes! Plus naïfs sont ceux qui ont accordé  confiance à ce parti liberticide et profondément convaincu de la primauté de la loi divine sur la loi humaine et positiviste! Ils ont adopté et respecté les règles du jeu démocratique parce que c’est la voie la plus sûre de parvenir à détenir les rênes du pouvoir! J’ai toujours en tête l’interview que Jebali a accordée au magazine Réalités et où il affirmait clairement qu’ils ne pourront jamais considérer comme licite ce qui est illicite et vice-versa! Encore une fois, je remercie vivement tous ceux qui ont voté pour le CPR dont les têtes de liste sont pour la plupart des transfuges d’ennahdha et pour ETTAKATOL dont le…

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Ennahdha n’a jamais caché ses desseins terroristes, mais il n’y a que les tunisiens qui ne les voient pas

Les masques commencent à tomber et les loups commencent peu à peu à dévoiler leurs vrais desseins! Naïfs ceux qui croyaient que les militants d’Ennahdha prônent l’édification d’un État moderne basé sur des lois positivistes! Plus naïfs sont ceux qui ont accordé  confiance à ce parti liberticide et profondément convaincu de la primauté de la loi divine sur la loi humaine et positiviste! Ils ont adopté et respecté les règles du jeu démocratique parce que c’est la voie la plus sûre de parvenir à détenir les rênes du pouvoir! J’ai toujours en tête l’interview que Jebali a accordée au magazine Réalités et où il affirmait clairement qu’ils ne pourront jamais considérer comme licite ce qui est illicite et vice-versa! Encore une fois, je remercie vivement tous ceux qui ont voté pour le CPR dont les têtes de liste sont pour la plupart des transfuges d’ennahdha et pour ETTAKATOL dont le président a jeté aux orties ses principes démocrates et droit de l’hommistes pour être le président fantoche d’une assemblée constituante aussi fantoche puisque la constitution est déjà rédigée par les soins des militants zélés du parti islamiste! Vaste mascarade que ces élections prétendument démocratiques! Nous n’y croyons plus, et nous sommes de plus en plus convaincue que ce pouvoir montre enfin son vrai visage et a l’ambition d’installer une théocratie cruelle et liberticide!
En ce jour du 9 avril 2012, en effet, où tous les Tunisiens auraient dû être unis sous une même bannière pour célébrer les martyrs, morts sur les champs de bataille sous les feux des armées françaises, et pour également se remémorer ceux qui sont morts sous les feux des soldats et snipers de Ben Ali, nous avions découvert une facette de ce nouveau régime, une image que nous pensions bannie à jamais du paysage politique tunisien! La répression a repris de plus belle et les brutalités policières de même! Nous avons vu aujourd’hui, des policiers enragés, des milices forcenées et assoiffées de sang, asséner des coups de matraque frénétiques, visant la tête et les parties génitales des hommes et des femmes, sans distinction aucune ( là, au moins l’égalité des sexes a été respectée) ! Avec pour seul prétexte que la manifestation n’était pas autorisée ! Mais est-ce que l’on peut justifier la violence aveugle? Est-ce qu’on peut tolérer l’acharnement et la brutalité!? Qu’est-ce qu’ils peuvent répondre aux parents de la jeune fille de 25 ans, morte à la fleur de l’âge, pour justifier leur acte? Quel prétexte peuvent-ils invoquer? Nous avions été obligés de la tuer parce qu’elle participait à une manifestation non autorisée! Quelle honte! Quelle arrogance!
Nous croyions que ces pratiques étaient désormais bannies de ce pays qui a vu la naissance de la Révolution que l’on qualifiait à tort de celle du Jasmin! Nous croyions que nous vivions désormais dans un pays qui verra la naissance, pour la première fois dans le monde arabe, d’une démocratie prometteuse! Oh que non! Cette démocratie n’est qu’un leurre, une vaste mascarade! Les mécanismes de la démocratie ont été bel et bien utilisés, pour instaurer une théocratie, une dictature religieuse largement tyrannique, féroce et liberticide! Ne nous voilons plus la face et ne croyons pas en cette vaste supercherie!  PS article daté du 9 avril 2012

Pourquoi vouloir démocratiser les sociétés musulmanes alors qu’elles ne veulent qu’une chose vivre l’islam ?

Je ne me fais guère d’illusions quant à l’avenir de la Démocratie en terre d’Islam contrairement aux rêveurs, aux fabulateurs et les tartufes en tous genres qui délirent sur la compatibilité de la démocratie est avec l’islam comme si l’on dotait le nazisme de vertus humanistes et pacifistes.

Autant demander à Allah de céder sa souveraineté absolue à ses ouailles nées pour exécuter sa volonté, ‘abid esclaves, ce qui est un véritable crime blasphématoire exposant l’outrecuidant au pire châtiment.  La terre musulmane du fait de son caractère propre est infertile pour la semence démocratique, comme si on veut faire pousser du jasmin dans le désert d Arabie ou celui d’Atacama, le désert le plus aride au monde.

En effet, le problème est moins l’islamisme qui, à mon sens est un écran de fumée  et  un moyen  pernicieux de dédouaner l’Islam, de le déculpabiliser et de l’exonérer de toutes ces dérives terroristes  et exactions barbares commises par les extrémistes musulmans, se comportant comme des machines de mort. Les musulmans faute de fabriquer des armes de destruction massive ont transformé leur corps en de véritables bombes humaines jusqu’à atteindre une échelle industrielle.  Alors que c’est l’Islam lui-même qui  est la source nourricière de l’islamisme djihadiste combattant dans le sentier d’Allah. C’est pourquoi, il ne saurait  condamner explicitement la terreur enracinée en lui-même s’il faut la resituer dans son contexte historique au 7 e siècle inhérente aux autres religions monothéistes qui ne sont pas non plus un hymne à la paix. Dans la mesure où l’on considère que l’islamisme est une banale idéologie politique comme si l’Islam n’en était pas une. Ne veut il pas faire de la terre le Royaume d’Allah justement à l’antipode du christianisme  ? A la différence de ce dernier, l’Islam est un système de nature politico-religieuse. Foi, politique et société. Il est unitariste et totalitaire. Il ne sépare pas le sacré du profane et le séculier du séculaire. Ce mélange des genres qui s’articule autour de l’ omniscience et l’omniprésence  de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à l’éligibilité de la Démocratie dans les pays musulmans.

Dans les sociétés islamisées, seules les lois d’essence divine ont cour, toute autre loi n’ayant pas ce caractère sacré est considérée comme un sacrilège. L’slam ne conçoit pas que l’homme responsable puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est la seule et de  répandre la parole d’Allah sur terre et instaurer le modèle de l’Etat islamique tel qu’il est défini par le Coran dont les lois sont immuables et intemporelles.

Seul Allah a le pouvoir de légiférer  en opposition totale et absolue avec notre droit positif et une négation du principe fondamental de la démocratie qu est l expression de la volonté du peuple souverain. Or, la Démocratie est par définition une doctrine politique, d’ essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens( notion inconnue dans le Coran)  au sein d une organisation  qui a souvent la forme d’une République ( en opposition à la notion de l’Oumma).

Dans un système démocratie, les hommes sont libres et égaux en matière de leur choix de vie, leur choix politique (droit de vote), leur  liberté de conscience (interdite dans l’islam et punissable de mort). Un système démocratique repose aussi sur le principe inaliénable d’égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe( le coran ne reconnait pas l’égalité homme femme) de leurs origines ( non fondées sur la foi contrairement à l’islam). La démocratie protège les citoyens sur des critères autres que ceux définis par le Coran ou la Charia qui autorisent de discriminer les non croyants et e les châtier si nécessaire. Un athée n’a pas le droit à la vie en terre d Islam, soit la conversion soit la mort.  

En conclusion, une organisation politique quelle que soit son essence, humaine pour la démocratie  et divine ou prétendue telle comme dans l’Oumma musulmane qui ne reconnaît pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle que sa liberté de culte  et conscience inscrite en lettre d or dans la Déclaration Universelle de Droits de l Homme et du Citoyen de 1948 jamais adoptée par les Etats Islamiques jugée contraire à leur foi) , est indéniablement liberticide, totalitaire et théocratique. Ainsi l’illusion démocratique sera pour les Musulmans qu’une effluve enivrante que laissera derrière elle DAME DEMOCRATIE. Dans une cité musulmane la souverainté revient à Allah et la soumission et l’allégeance sont au peuple. SIGNE DR BEN AMMAR SALEM

 

 

Quand les musulmans connaîtront l’ivresse de la démocratie, ce sera la fin de l’islam

Salem Ben Ammar

 Imaginez que vous êtes dans un pays musulman et que vous entendez des propos qui à eux seuls démythifient et désacralisent n’ importe quel message religieux soi-disant universaliste et égalitaire, le rendent dérisoire et insultant à l’intelligence humaine  comme ceux du credo démocratique  des Zapatistes du Yucatan au Mexique: « Vous êtes en territoire zapatiste. Ici, le peuple commande et le gouvernement obéit ».

Quel contraste avec l’idéologie maximaliste, despotique, nazillonne et totalitaire islamiste qui veut faire de la Cité humaine une prison pour les libertés fondamentales. Un bagne pour la démocratie. Un goulag ou un étouffoir pour la voix du peuple. Un camp de la mort pour sa souveraineté pour incompatibilité avec la souveraineté d’Allah.

Dans la pensée politique islamiste, seul Allah est le Grand Maître de la vie dans la cité. Il y règne sans partage et ne tolère aucune critique, ni discussion, ni débrayage, ni mouvements d humeurs, ni…

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Quand les musulmans connaîtront l’ivresse de la démocratie, ce sera la fin de l’islam

 Imaginez que vous êtes dans un pays musulman et que vous entendez des propos qui à eux seuls démythifient et désacralisent n’ importe quel message religieux soi-disant universaliste et égalitaire, le rendent dérisoire et insultant à l’intelligence humaine  comme ceux du credo démocratique  des Zapatistes du Yucatan au Mexique: « Vous êtes en territoire zapatiste. Ici, le peuple commande et le gouvernement obéit ».

Quel contraste avec l’idéologie maximaliste, despotique, nazillonne et totalitaire islamiste qui veut faire de la Cité humaine une prison pour les libertés fondamentales. Un bagne pour la démocratie. Un goulag ou un étouffoir pour la voix du peuple. Un camp de la mort pour sa souveraineté pour incompatibilité avec la souveraineté d’Allah.

Dans la pensée politique islamiste, seul Allah est le Grand Maître de la vie dans la cité. Il y règne sans partage et ne tolère aucune critique, ni discussion, ni débrayage, ni mouvements d humeurs, ni révolte, ni contestation, ni résilience,  ni rébellion ni piquets de grève. La souveraineté est à Allah ce que l assujettissement est aux hommes, plutôt aux fidèles. On élève pas l’humain, on le rabaisse  on l’humilie et on l’aliène.

Le destin de l’homme est planifié et conçu par Allah qui est al source de toute forme de pennée humaine et de son expression.

L’homme n a pas de volonté propre en tant que telle. Elle doit nécessairement se diluer dans celle de son Créateur. Elle en est l’ émanation et la traduction dans la réalité. Le musulman vous dira toujours qu’il ne fait que suivre le sentier d’Allah et en appliquer la volonté. Il est immature et un incapable majeur du fait de son formatage idéologico-religieux.

C’est pourquoi la cité qui doit apparaître comme étant l’espace politique gouvernée par la volonté générale est inenvisageable en terre islamisée. Elle est gouvernée par Allah et l affirmation de sa volonté. Par conséquent, les hommes considérés comme des sujets mineurs n ont pas le statut, ni  le pouvoir  d exercer leur suzeraineté sur la cité, ils n ont d autre alternative que d appliquer à la lettre ses préceptes s ils veulent bénéficier dans l au-delà de ses bienfaits et jouir des libertés charnelles promises et accéder ainsi à cette cité de luxure et de surconsommation sexuelle, d agapes paradisiaques, de beuveries et de sauteries orgiaques qui feraient regretter Bacchus, Gargantua et Don juan de ne pas etre nés musulmans.

En tout état de cause seul Allah exerce l’autorité totale et absolue dans la cité musulmane qu’on peut décrire ainsi en opposition à la cité zapatiste : » ici vous êtes en terre d »slam, le peuple des fidèles  obéit, se soumet à la volonté de son Créateur et se résigne sous peine de commettre une apostasie et Allah ordonne, légifère et fait appliquer ses Lois par  ses vaillants soldats, véritables escadrons de la mort qui envahissent les espaces publics, à supposer que cet espace ait un sens en terre musulmane où tout se confond et s’ entremêle ».

Les djihadsites, ces nouveaux cavaliers noirs de l’Apocalypse,  qui appellent à la guerre sainte  ne sont pas des « Antémahomet », bien au contraire ils sont ses plus fidèles héritiers s’inscrivant dans la continuité de son action politique et guerrière et véritables et qui ont su le mieux faire écho à sa pensée.

Ils sont cet islam véritable que d’aucuns cherchent à en établir une typologie pour faire croire que l’islam se décline en plusieurs variantes. Mahomet a défini un seul islam et tracé une seule feuille de route aux musulmans, dont ils ne doivent pas bifurquer. Ainsi chaque musulman doit être en relation fusionnelle avec les prescrits de l’islam, il n’y a pas de demi-mesure ni de musulman moyennement musulman.

Allah saura reconnaître et récompenser les siens qui oeuvrent par tous les moyens au péril de leur vie à la propagation de son message et veillent à l’instauration et au maintien de l’ordre musulman dans la cité. C’est eux les vrais missionnaires d Allahqui sont chargés de la sancturisation de la cité, la pérennisation de sa Voix et la réalisation de sa prohétie de purifier la terre de tous les mécréants afin qu elle devienne la grande cité d Allah peuplée des seuls musulmans. La dictature d Allah est la seule voie politque pour le salut des âmes musulmanes.

Le jour où les djihadistes qui font régner la terreur en Syrie vont rejoindre la Tunisie, ce sera l’Apocalypse assurée

 

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Le vrai défi sécuritaire auquel sera confronté le nouveau gouvernement est bien l’épineuse question du retour de tous les dangers de tous ces terroristes et des dizaines de milliers d’autres porteurs de passeports tunisiens. Un nouvel Afghanistan en perspective. 
Il ne semble pas que tunisiens soient conscients de l’hypothèque qui pèse sur leur pérennité humaine et encore moins leurs autorités sécuritaires et politiques qui feignent d’ignorer ou minimiser l’ampleur de la pire crise sécuritaire que le pays risque de connaître dans toute son histoire. 
Que compte faire le gouvernement actuel pour endiguer les flots djihadistes qui ne vont pas tarder de déferler sur le pays ? 
L’Arabie Saoudite qui elle-même pourvoyeuse de premier plan des terroristes combattant en Syrie a pris des mesures draconiennes répressives contre ses ressortissants qu’elle a envoyés en Syrie. De peur du retour du bâton certainement.
Que va faire la Tunisie dans le cas d’espèce ? Il est à douter qu’elle fasse quoi que ce soit en la matière à cause du maintien de l’A.N.C. dominée par Ennahdha qui s’est auto-attribuée des prérogatives parlementaires qui ne laissera aucune marge de manoeuvre au gouvernement de Jomâa pour anticiper et sévir contre le péril djihadiste. 
Comment va-t-on déterminer le nombre de passeports de complaisance délivrés aux djihadistes étrangers par Ennahdha alors qu’elle exerce toujours sa main mise totale sur le Ministère de l’Intérieur ? 
Comment savoir si leurs détenteurs reviennent du front syrien ? 
En tout état de cause la Tunisie est désormais prose dans le piège terroriste depuis le retour de Rached Ghannouchi, éminence grise du mouvement djihadiste mondial.
En effet, rarement la Tunisie n’a connu de soubresauts aussi violents que récurrents de fièvres terroristes qui indiquent que le pays est en train de s’installer durablement et inexorablement dans un climat apocalyptique sous l’impulsion de la Qaïda comme en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Centrafrique, au Yémen, en Syrie, au Nord du Nigéria et en Somalie après les tentatives avortées au Mali et en Algérie. 
Mais contrairement aux autres pays en proie au Grand Effroi djihadiste, la Tunisie leur a confié sa politique sécuritaire leur donnant ainsi un blanc seing pour détruire tout le système antiterroriste hérité de Ben Ali qui avait ses preuves dans le passé qui était le filet protecteur qui fait cruellement défaut à la Tunisie actuellement..Béji Caïd Sebsi  et dont personne ne doute de sa loyauté patriotique a-t-il commis une faute politique ou agi contre son plein gré en leur confiant les clés de la maison selon ses propos ? Un homme averti et éclairé comme lui doit savoir mieux que quiconque qu’on ne fait pas d’un loup un berger. Ni de Rached Ghannouchi un ange gardien.
Il est évident que ni l’Algérie, ni les E.U. ni l’Europe ne vont rester les bras croisés et laisser prospérer des nouveaux foyers terroristes au plein coeur de la Méditerranée.

Si le prophète ressuscitait il se reconnaîtrait dans le wahhabisme et que cela n’en déplaise aux musulmans hypocrites

Quand vous dites que les wahhabites ne sont pas musulmans, pourquoi vous êtes tous branchés comme des malades téléphages sur al Jazeera et Iqra ? Pourquoi vous ne condamnez jamais le discours rétrograde, machiste, raciste, pédophile, zoophile, protohistorique, antisémite, nazillon, barbare, sanguinaire, immoral, violent, homophobe, inhumain, odieux, nécrophile, haineux des prédicateurs desdites chaînes qui sèment en vous surtout les graines de la barbarie humain ? Ils sont peut-être pas musulmans comme vous le dites, mais ils ont réussi à vous faire couler dans leur moule et ça vous ne pourrez pas le nier. Dès votre réveil matinal, votre premier geste avant d’accomplir votre devoir cultuel est d’allumer votre télévision pour vous enivrer de leurs paroles nauséabonds et radioactives qui vous pourrissent vos neurones. 
Si vous êtes devenus la risée de l’humanité et source de phobie pour les autres, ce n’est certainement pas à cause du wahhabisme qui n’a fait que prospérer sur votre terreau propice à ce genre de semences qui ne poussent et se développent que dans les terres arides et asséchées intellectuellement. Les causes sont votre état de sous-développement mental chronique, votre absence d’esprit critique, votre grande naïveté, votre misère affective, votre bigotisme exacerbé, votre peur de la vie qui se mue en violence extrême contre vous-mêmes et contre autrui, votre fatalisme, votre culte de la mort, votre lymphatie, votre tempérament défaitiste, votre incapacité à vous assumer et à assumer votre responsabilité.
Depuis que libre-arbitre est banni de votre culture au 9 e 10 e s., vous êtes devenu des véritables légumes humains, mollassons, des enfants qui ont cessé de grandir et qui ont besoin de tuteurs pour les protéger et les exonérer de la responsabilité de leurs actes. 
Jamais vous n’avouez vos fautes dont vous êtes pourtant les auteurs, vous les faites endosser toujours à votre tuteur. 
Ni mea culpa ni pardon puisque vous n’êtes jamais responsables de rien et et encore moins coupables. C’est toujours la faute à Allah ou c’est lui qui l’a voulu, mais vous vous n’y êtes pour rien. Eternelles victimes pour lesquelles l’humanité doit compatir d’avoir été abusées à l’insu de son plein gré par ce tuteur pervers, retors, tricheur, malveillant, malintentionné, qui ne veut que votre mal et malgré tout cela vous l’aimez au point d’en perdre la vie pour lui. Vous avez besoin de lui car il vous sert d’alibi pour vous dédouaner de vos torts. 
Ce n’est pas le wahhabisme qui pose problème, c’est vous qui l’instrumentalisez pour occulter la vraie nature de l’islam. Plutôt que de reconnaître qu’en effet, l’islam dont les masques ont fini par tomber, vous vous défaussez sur lui en l’accusant de tous les maux de la terre alors qu’il n’est qu’un vulgaire démaquillant qui a permis à l’humanité de découvrir le visage sans fard ni fond de teint de l’islam. 
Le wahhabisme ne défigure pas l’islam, il en est le démasqueur. Grâce à lui, l’islam renoue avec son identité d’origine sans morale, ni éthique, ni code de bonne conduite, ni respect de la vie humaine, où la valeur travail n’existait pas. Celle du règne de la loi de la jungle, sans interdits sexuels ni tabous de toutes sortes, où l’homme vivait dans son état animal, caractérisée par le butin, la razzia, la zoophilie, l’esclavage, la nécrophilie, l’inceste, la polygame, les esclaves sexuelles, les femmes captives et les jeunes et beaux garçons, gholmanes, comme substitut sexuel, inceste.
Le wahhabisme est une sorte de grand écran sur lequel se projette les images de ce que fut l’islam au temps du prophète et des prétendus vaillants aïeux. 
Par conséquent, il est inutile de nier les évidences et de chercher à occulter la nature inhumaine de l’islam. 
Ces tares que vous imputez au wahhabisme ne datent pas d’aujourd’hui sont congénitales, elles n’ont pas greffés par le wahhabisme dans l’anatomie du corps musulman. Elles sont la matière organique des sources de l’islam auxquelles vous vous abreuvez mais contrairement aux wahhabites qui ont le courage et l’honnêteté intellectuelle de dévoiler la contamination radioactive de ces sources, vous vous murez dans les dénégations mensongères et vous continuez à vous voiler la face par honte et lâcheté d’affronter l’examen de la réalité des faits.
 
 

Lettre ouverte au petit milicien qatarien Moncef Marzougui

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Lettre ouverte au président d’opérette, le bouffon du Palais Moncef Marzouki.
de Salem Ben Ammar daté du 18 déc. 2012

Légitime ? Non ! Illégitime ? Oui ! Mais te voilà au faîte de la gloire, président d’opérette contre toute attente. Grâce à tes entregents islamistes et ta servilité légendaire, le Raspoutine tunisien alias Rached Ghannouchi, terroriste jamais repenti et intrigant-comploteur dogmatique , celui qui vient d’endosser les habits sinistres de fossoyeur-égoutier des fosses septiques wahhabites, t’a offert sur un plateau de sang et de larmes les ors de la République tunisienne après t’avoir gratifié de ton premier PC portable.

Toi qui connais mieux que quiconque en ta qualité de médecin raté et ex patient de l’Hôpital parisien de Sainte-Anne la définition de cette pathologie mentale, tous tes rêves les plus fous sont exaucés au grand malheur des tunisiens.

 Arrogant et arriviste, opportuniste, félon dans l’âme, revanchard et retors, assoiffé de revanche sociale, rapace, parasite, pique-assiette, sans gêne et sans foi ni loi, après avoir profité de la générosité de tes amis parisiens et de l’accueil de la République française sur laquelle, tu as osé cracher dans la soupe alors que tu étais en plein délire psychotique, tu profites de la misère, après avoir tourné le dos à la tienne, d’un peuple affamé et exsangue. Insatiable, gargantuesque, glouton et jamais repu comme tes maîtres-esclavagistes, tu te nourris injustement et sans vergogne des fruits que Bourguiba a laissés en héritage à son peuple et que le 17 novembre 2012 lors de la cérémonie de l’exploitation éhontée de la mémoire de Mohamed Bouazizi que tes chefs-marionnettistes avaient voulu faire de lui la figure de la révolution kafkaïenne, tu as poussé l’outrecuidance de l’ingratitude de le traiter de dictateur. Alors que sans lui, tu n’aurais jamais connu le bonheur de passer du statut de colonisé au statut de décolonisé.

Complexé et souffrant de graves troubles bipolaires qui t’ont valu des séjours dans les asiles psychiatriques parisiens aux frais du contribuable français, connu pour tes troubles psycho-affectifs, de l’instabilité de l’humeur et de personnalité comme tous tes semblables sortis du néant à l’incurie intellectuelle inversement proportionnelle à leur boulimie de pouvoir, tu te comportes comme si tu étais le nouvel Hannibal de Carthage, alors que tu n’es rien d’autre qu’un homme de paille, un godillot au service de ses maîtres, un petit Caton à la solde du Qatar.

Tu es un vulgaire potiche de cet Emir -pachyderme qui se rêve en Calife alors qu’il n’est même encore Bamnbi. Tu es son fidèle serviteur , son laquais genre pâte à modeler vu son âge mental qui te t’assignes  le rôle de son lieutenant local des basses besognes sous les ordres de son chef de milice R. Ghannouchi.

Tu as rabaissé, déshonoré et avili l’image du peuple tunisien, en lui faisant la courbette et te prosternant devant lui, acceptant sans rechigner ses remarques désobligeantes sur le port de ton accoutrement carnavalesque, et surtout ses rappels à l’ordre et le respect  que le serf, plutôt l’esclave, doit à son seigneur.

 La Tunisie ce n’est pas toi, c’est lui, et c’est tout le drame de notre pays. Mais comme tout mercenaire en mission commandée, tu dois exécuter les ordres que tes commanditaires t’assignent. Tu es son chien de garde, tenu en laisse et muselé afin que tu ne lui mordes pas la main de cet Emir qui a fait de toi son sous-émir tunisien. Il connaît ton tempérament de fayot et de lèche-babouches et ton caractère versatile et ton retournement de veste.

Tu as fabulé sur tes relations tumultueuses avec Ben Ali alors que c’est lui qui t’a fait exister pour t’ériger en chef de fil de son opposition de salon, qui lui sert d’alibi démocratique. Alors que tu lui as toujours servi de faire-valoir et de figurant pour son pluralisme politique.

Tu as mythifié ton exil en France, à l’instar de cet homme qui a menti sur ses diplômes,l’innommable Kamel Jendoubi avec qui tu as partagé les agapes offertes par Ennahdha, en faisant croire que tu étais un exilé politique, alors que tu es un exilé familial, marié à une ressortissante française après avoir vécu à ses crochets, tu l’as “répudiée” comme une pestiférée.

Tu voulais effacer d’un seul trait de plume l’amertume de ton séjour parisien, tes échecs professionnels, tes galères matérielles, tes infortunes, tes beuveries dans les bars du quartier latin, ta vie de bohème à squatter les amis, tel cet ami que nous avons en commun et qui attend toujours à ce que tu viennes le débarrasser de ta trousse de toilette.

 Pris dans le tourbillon du pouvoir, tu t’es déconnecté de ton propre vécu pour te noyer dans le calice du vin amer du raisin de la colère qui couve en Tunisie et qui finira par t’engloutir toi et tes complices comme il a englouti tous ceux qui l’on trahie.

Les habits de lumière dans lesquels tes maîtres t’ont drapé qui masquent ton âme noire et ta personnalité obscure finiront par se ternir et devenir ton linceul sombre dans lequel tu seras un jour enseveli. Ta profession pathétique de foi sur ta conversion à l’Islam d’Ennahdha, comme si tu n’étais pas sa créature et son faux-nez, ne trompe personne comme le sésame que tu lui as accordé pour sa prétendue conversion à la démocratie, allant jusqu’à l’assimiler à un parti démocrate-chrétien.

 Sais-tu au moins de quoi tu parles, à moins que la nouvelle boisson distillée dans les caves du Palais de Carthage t’ait fait perdre définitivement la raison. Ennahdha n’est pas un parti politique, c’est une organisation mafieuse de type sectaire. Plus proche de l’Eglise de Scientologie et du Temple Solaire mais de tendance criminelle, terroriste, milicienne, messianique et raciste. Lui donner les apparats d’un parti politique est tout simplement une hérésie.

.Tu te sers de la laïcité comme tes maîtres se servent d’Allah pour dévoyer et transfigurer les dogmes de l’Islam.

Sois homme, loyal, patriote et respectueux du bien public et tu auras la médaille de la dignité nationale, mais je crains que tu n’ aies pas les capacités pour y arriver.

Tu as souillé ce haut lieu de la noble république tunisienne en le transformant en une cour de récréation pour la réception des prédicateurs-mercenaires-gourous et l’organisation de cérémonies initiatiques pour les macchabées-women cornaquées par le Coran.

Là où Bourguiba et son successeur décernaient des tableaux d’honneur aux enfants méritants de la République. Toi président de la République ? Autant promouvoir Jha Empereur de Chine. Ton vaudeville guignolesque a trop amusé la galerie et t’attirer les foudres du public, pas plus tard qu’hier à Sidi Bouzid où tu avais été lapidé comme on les pèlerins lapident Satan à la Mecque. N’est-il pas temps pour toi de te tirer ta révérence et de retourner dans le néant d’où tu es sorti ?

Autant, il t’a été aisé de gravir les marches du palais au tapis tâché du sang tunisien que toi et tes congénères ont sali et profané, autant tu ne pourras jamais graver ton nom comme Bourguiba que tu vomis, ce qui va de soi de la part d’un rejeton d’un père collabo, dans le marbre de la dignité nationale. A cause de tes bouffonneries, ton esprit charlatanesque, tes allures de poulbot embourgeoisé, et surtout tes inertie et ton manque de charisme, tu fais regretter aux tunisiens l’ancien despote déchu. Tu n’es qu’une truie perdue dans la jungle inhumaine du nouveau Tunisiastan à attendre son tour pour servir de mets aux vautours voraces qui peuplent le ciel tunisien. Ils se servent de toi comme un appât pour attirer les niais et les crédules de ton espèce pour les prendre au piège de l’islamisme-social-démocrate, alors qu’il est national-socialiste plutôt nazi que mussollinien.

Tes maîtres malveillants pour la Tunisie font de toi une poule faisant le coq dans une basse-cour, alors que tu n’as même pas l’envergure d’un volatil.

Naïf, méprisant, indifférent, insensible, dépourvu de patriotisme, imbu de ta personne, girouette, tartour et irresponsable tu regardes béatement la descente inexorable de ton pays dans les fosses septiques de l’ignominie et de la félonie en fidèle héritier de ton père qui a fait le choix du défendre le colonisateur plutôt que le colonisé. Il y a aussi ton salaire princier octroyé à vie, ta vie ubuesque et burlesque de château, d’amuseur des foules, de chérubin dans un jardin d’enfants, et tous les privilèges monarchiques y afférents qui te tournent la tête et pour lesquels tu es prêt à te muer en charognard avide de chair humaine et assoiffé de sang humain tel ton faiseur de sous-Emir R. Ghannouchi celui-là-même qui reproche aux morts et blessés de l’insurrection tunisienne d’avoir choisi d’affronter délibérément les balles des mercenaires payés par votre maître-esclavagiste qatarien.

Toi comme tous tes acolytes et antipatriotes, vous avez surtout le courage de votre lâcheté et de l’appât de gain trop facile. Je te rappelle ce ver du grand poète Chabbi en guise de conclusion : ne vivra pas en Tunisie celui qui la trahira.

Président de paillette avant de finir en goguette.

La charia n’est qu’un spectre brandi par les religieux pour préserver leurs privilèges

D’après la charia qui est la hantise de l’humanité, négatrice de la morale publique et des lois républicaines, possédant en elle tous les germes du poison mortel pour la civilisation humaine, insultante pour la loi de la jungle, que ses partisans de plus en plus nombreux et bruyants rangés derrière leur apôtre Tarik Ramadhan, veulent imposer comme l’unique  norme juridique pour les musulmans en usant de subterfuges pour l’introduire dans le droit positif des pays occidentaux, l’homme n’a pas le droit d’édicter ses propres lois. Il doit appliquer ce qu’Allah lui a prescrit et rejeter tout ce qui n’est pas le fruit de la législation canonique musulmane.

Le musulman ne peut pas suivre un autre chemin, tariq, chara’a, que celui qu’Allah lui a tracé censé le mener vers son lupanar.

Supposée être d’essence  divine, tous les musulmans sont tenus de de s’y conformer sous peine de commettre une apostasie.

Elle est le cordon ombilical qui relie les musulmans à leur religion, il ne peut donc y avoir d’islam sans la charia.

Jamais un fondamentaliste musulman ne fera allégeance à toute autre loi si elle n’est pas censée être l’oeuvre de dieu.

Comme les promesses n’engagent que celui qui les écoute, les islamistes n’auront aucun scrupule ou mauvaise conscience à renier leurs engagements citoyens et démocratiques par nécessité dogmatique.

ll est utopique et irresponsable de croire qu’un islamiste va se muer demain en fervent démocrate par un coup de baguette magique alors que seuls les prescrits de sa religion ont force de loi.

Lui qui est obsédé par la mise en oeuvre de la feuille de route que Dieu a fixée aux musulmans, il ne va pas y déroger  sous peine de commettre une hérésie.

Comment peut on croire un seul instant qu’un islamiste se croyant investi d’une mission divine de propagation de la parole sacrée par tous les moyens afin d’instaurer l’ordre voulu par Dieu puisse dévier de sa ligne de conduite politique pour adhérer ou veiller au respect des lois républicaines sans que cela ne heurte ses propres convictions religieuses ?

Comment peut-on être naïf au point d’imaginer un islamiste qui prêche dans les mosquées un islam pur et dur englobant tous les aspects de la vie sociale, religieuse et politique va oeuvrer pour la séparation de la religion de l Etat ?

Adhérer aux valeurs de la démocratie consiste tout simplement pour un islamiste à aller l’encontre de la volonté d’Allah, seul maître absolu des lois qui contrôlent dans les moindres détails la vie des fidèles.

Autant demander à un islamiste de se convertir à une autre religion, ce qui est un péché mortel dans l’islam, que de le voir demain se draper dans les habits de la République qui est incompatible avec la pensée musulmane fondamentaliste qui récuse toute idée qu’ils puissent exister des sphères d activités ou des aspects de l’existence humaine échappant à l’emprise de la religion ou de la loi divine.

Tant que l’islam continue à vouloir englober le politique et le religieux, l’islamiste ne fera qu’ appliquer fidèlement les prescrits de sa religion.

L’islamiste qui est avant tout un combattant fidèle à sa foi et un prosélyte invétéré  et velléitaire maniant l’épéeà l’époque du prophète et la bommbe aujourd’hui, ne dit-on pas que le paradis est à l’ombre de l’épée ?

Par conséquent toute stratégie basée sur la supercherie, la duperie, le mensonge, le dol, destinée à abuser ou vaincre la crédulité des gens est rendue licite tant qu elle s’inscrit dans le cadre du djihad.

Ce qui est réprouvée par la morale humaine ne l’est pas nécessairement par Dieu tant qu elle porte le sceau d’Allah dans la mesure où tous les actes prétendument accomplis pour le bien de ses desseins hégémoniques sur le monde ne peuvent  pas etre considérés comme illicites.

La fin justifie les moyens. Il est permis de renier sa parole dans l’islam quand  un musulman est sur le sentier de guerre.

En conclusion, un islamiste est le nouveau Tartufe de notre temps.

Mais en plus immonde, plus cruel et plus perfide, il est telle cette créature immonde et répugnante qui glapit, hurle, vocifère et s’agite dans la marre de l’hypocrisie, l’infamie et l’ignominie.

Il est comme un helminthe, ces vers parasites qui se propagent dans  l’organisme humain en l’occurrence le corps social musulman.

Aucune thérapie démocratique ne saurait enrayer ou juguler l’épidémie infectieuse qui affecte aujourd’ hui les populations musulmanes avec des forts risques de contamination des non-musulmans suffisamment non-immunisés contre le virus létal musulman.

Elle attaque directement les neurones et les rend insensibles et allergique à tout traitement médicamenteux  qui n’est pas le label de la pharmacopée musulmane.

Tout ce qui n’est pas musulman est considéré comme impropre à la consommation du peuple favorisé par Allah et élevé au-dessus de tous les autres.  Sauf que les gourous et les charlatans qui pullulent dans le monde musulman et qui jouent aux bergers et agents de décontamination de leurs sociétés sont les premiers à bénéficier des soins prodigués par la médecine des mécréants.

Le Coran est aux classes désoeuvrées et analphabètes et les bienfaits de la science médicale sont aux dignitaires religieux qui les manipulent comme des vulgaires pantins qui leur vendent des illusions des réjouissances de la vie dans l’au-delà tandis qu’eux ils en jouissent ici-bas.  Allah en créant les riches et les pauvres a créé des remèdes de nature différente pour les uns et les autres aussi.

La charia n’est en définitive que le spectre brandi par ses promoteurs pour empêcher tout éveil des consciences et tentatives de résilience.

Les tunisiens qui ont tout perdu ont gagné la plus inédite contre-révolution sémantique de tous les temps

Salem Ben Ammar

Les vrais acquis sémantiques et lexicaux de la wahhabisation de la société tunisienne.

 
 

Chaque révolution a engendré son lot de nouveaux mots traduisant l’esprit propre à chacune d’elle.                                                                                                                                             

  •  Or, la tunisienne brille par la pauvreté de son lexique révolutionnaire qui est plutôt à contre-courant des idéaux dont on a affublés la révolution et qui en dit long sur l’absence d’une véritable  âme révolutionnaire.                            …

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Avec Moncef Marzougui, la Tunisie mérite de figurer dans le bétisier de la bouffonnerie politique

Salem Ben Ammar

Moncef Marzouki, président de pacotille et bouffon du Palais de Carthage, sais-tu que l’honneur et la dignité de la Tunisie n’ont pas pas de prix? Mais faudrait-il que tu en connaisses le sens et la valeur? Sais-tu que le chèque de 28 millions US $ dont tu étais si fier de brandir un jour comme s’il était la tête de la Tunisie que tes amis et maîtres venaient de décapiter, ou tes graciés-djihadistes en Syrie exhibant celles de leurs victimes, représentent 10% des 250 millions US $ que le Qatar auquel tu voues un culte immodéré, celui d’un cerf pour son seigneur, a payé pour l’achat d’un Cézanne les joueurs de cartes ?
Sais-tu encore que ce chèque dont le mérite revient à Mustapha Kamel Nabli, l’ancien directeur de la B.C.T. mais aveuglé par ta tunisiphobie maladive, tu as préféré l’attribuer au Qatar, afin que les tunisiens s’inclinent…

Voir l’article original 826 mots de plus

Avec Moncef Marzougui, la Tunisie mérite de figurer dans le bétisier de la bouffonnerie politique

Moncef Marzouki, président de pacotille et bouffon du Palais de Carthage, sais-tu que l’honneur et la dignité de la Tunisie n’ont pas pas de prix? Mais faudrait-il que tu en connaisses le sens et la valeur? Sais-tu que le chèque de 28 millions US $ dont tu étais si fier de brandir un jour comme s’il était la tête de la Tunisie que tes amis et maîtres venaient de décapiter, ou tes graciés-djihadistes en Syrie exhibant celles de leurs victimes, représentent 10% des 250 millions US $ que le Qatar auquel tu voues un culte immodéré, celui d’un cerf pour son seigneur, a payé pour l’achat d’un Cézanne les joueurs de cartes ?

Sais-tu encore que ce chèque dont le mérite revient à Mustapha Kamel Nabli, l’ancien directeur de la B.C.T. mais aveuglé par ta tunisiphobie maladive, tu as préféré l’attribuer au Qatar, afin que les tunisiens s’inclinent devant la magnanimité de ce pays sorti du néant de l’histoire en 1971, ne suffirait pas pour couvrir la moitié de la masse salariale du P.S.G., propriété de cet Emirat-caillou,la cause de tous les maux actuels des peuples arabes et  bailleur de fonds du terrorisme djihadiste ?
Sais-tu aussi que ton chèque n’aurait pas couvert les frais apparents de 34 millions US $ en pots de vin, lobbying et en promotion de sa candidature pour l’organisation de la Coupe du monde de Football 2022 ?
Sais-tu enfin que ce pays ami qui veut le bien de la Tunisie qui mène une guerre terroriste contre la Syrie, veut faire de cette terre paisible un sanctuaire djihadiste, une future base-arrière d’une probable agression contre l’Algérie et pourvoyeuse de fornicatrices halal,  et qui prête de l’argent à la Tunisie à des taux exorbitants pour prélever la dîme d’Enahdha, va dépenser plus de 80 milliards US $ pour la constructions d’infrastructures sportives nécessaires qui vont tomber dans l’escarcelle des multinationales des pays de l’O.T.A.N. soit le double du P.I.B. de 2011 ?
Tu ne t’es même pas demandé, irresponsable et inconscient que s’il n’y a pas de relation de cause à effet entre la bienveillance active de l’O.T.A.N. et la manne financière colossale qui va profiter à leurs entreprises.
Il y a fort à parier que le futur marié qatarien, ce fouteur de troubles et propagateur du virus mortel du wahhabisme dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne et qui mérite d’être traduit devant la C.P.I. pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, ne fera appel à aucune entreprise de sa nouvelle suzeraineté tunisienne.
Sache que la Tunisie n’est pas à vendre, et que son honneur n’a pas de prix. Il est au prix incommensurable de son histoire éternelle et la grandeur de ces femmes et ces hommes qui ont marqué de leurs empreintes la grandeur de son peuple devant lesquels ni toi, ni ton proxénète d’Emir ne font le poids.
Ce n’est pas ton maître-esclavagiste qui affiche un revenu de 173 milliards US $ pour 2011 qui va la séduire,  alors que toi et tes acolytes de la Troïka de la félonie et de l’ignominie, vous êtes entrain de lui brader les fleurons de l’économie tunisienne. Un ami auquel vous vendez des riches terres agricoles pour une miche de pain.
Un ami si soucieux du bien-être des tunisiens qu’il n’a daigné créer que 4 emplois en 2012.
Lui qui dépense sans compter en Occident pour des opérations de prestige et improductives économiquement.
Un ami qui veut transformer la Tunisie en Emirat-bananier et en terrain de chasses pour satisfaire la libido de ses ressortissants et de son gibier protégé.
Un ami qui héberge les anciens affameurs du peuple tunisien et les spoliateurs de sa richesse et dont ses propres banques regorgent de cet argent qui lui a été volé, est le pire ennemi de toute l’histoire de la Tunisie depuis l’invasion dévastatrice et génocidaire des Banu Hilal.
Après avoir envoyé de Doha, bizarre le choix de cette ville, un message de menace aux 90% des tunisiens qui ne sont pas dans le moule de la Troïka des caniveaux wahhabites, afin de marquer ton allégeance au pachyderme qatarien, te voilà qui persiste et signe en mettant en valeur ce fiancé Dr Jekyll en Occident et Mr Hyde dans les pays arabes.
Tu oses berner les tunisiens avec un chèque des plus dérisoires, en leur laissant croire que c’est grâce à la dot que le Qatar a versée à la fiancée tunisienne qu’ils ont pu toucher ce mystérieux chèque, tu n’a pas fait que franchir la ligne rouge de l’indécence, tu as révélé enfin aux tunisiens ton vrai visage, celui de l’aversion, de la trahison et de la haine de la Tunisie.
Tu ne fais que confirmer ton allergie pathologique à la Tunisie en oeuvrant comme tes complices d’Ennahdha à sa disparition de la surface de la terre. N’as-tu pas dit que la Tunisie dont tu vis royalement à ses crochets n’a plus d’avenir chez elle, comme lorsque tu as rendu honneur au drapeau salafiste un jour du 20 mars 2013.
Ce n’est pas tes antécédents psychiatriques qui doivent inquiéter les tunisiens et qui servent pour alimenter les discussions de café de commerce, c’est surtout ton engagement mercenarial au profit du Qatar qui doit te valoir comme naguère les miliciens pro nazis en France d’être traduit devant un cour martiale pour indignité nationale, menaces de génocide et actes et  faits  avérés de collaboration et haute trahison.
Pendant que tu es, tu pourras plutôt faire voter une loi fondamentale interdisant aux patriotes tunisiens de dénoncer la colonisation de la Tunisie par le Qatar, ou jouer au petit espion qatarien.
Comme chacun sait la future constitution, si jamais elle voit le jour, elle est faite sur mesure pour sceller la mise à mort de l’indépendance de la Tunisie et son intégration dans le nouvel Califat qatarien.

La schizophrénie constitutionnelle tunisienne, du mirage de la démocratie à l’enfer du despotisme théocratique

Les tunisiens qui rêvent d’avoir enfin une constitution qui portent leurs empreintes et traduisent dans le texte les acquis de leur « révolution », comme si ces acquis étaient réels et avaient du sens pour eux et leur révolution était tuniso-tunisienne,  peuvent se réjouir avec leur article 6 aussi ambigu que pernicieux, qui dit le tout son contraire, faute de répondre au attentes de la société civile, un concept créé par les scénaristes yankees pour les besoins de leur scénario,  est symptomatique de leur état d’altération mentale et de leur absence de discernement.
Non seulement, elle va étouffer leurs illusions de liberté,  mais elle va également leur faire regretter la laïcité factuelle qui faisait l’originalité de la société tunisienne.
En démocratie, il ne doit pas y avoir d’Etat interventionniste dans le domaine du sacré, sauf pour s’en servir comme glaive pour tuer les libertés.
Et ce n’est certainement pas le flot de flatteries dont on a couvert les tunisiens, plus préoccupés par leur ego que par le sort tragique de leur pays, pour l’excellence de leur constitution qui est un pur fantasme, une supercherie politique et intellectuelle, qui va leur faire prendre conscience qu’ils vont être définitivement dans les clous et que le piège de la théocratie s’est refermée sur eux. Un seul exemple, est-ce que pendant le ramadan les tunisiens auront-ils la liberté de ne pas jeûner ? A l’évidence non, puisque l’Etat protecteur du sacré leur mènera une guerre totale. S’il juge que la musique est contraire aux exigences du sacré, il ne fera que l’interdire pour ne pas se trouver lui-même en situation de violer les prescrits de l’islam prôné par Ennahdha censés définir le champ du sacré.
A moins que cet Etat n’apostasie pas lui-même la religion qu’il est tenu de défendre constitutionnellement contre les menaces que fait peser la liberté de conscience sur elle.
Comment un Etat qui se proclame lui-même musulman avec des prérogatives de gendarme garant de l’ordre religieux en Tunisie va t-il remplir ses obligations de neutralité et veiller à l’équilibre et l’indépendance des pouvoirs essentielles en démocratie ?
C’est comme si on prescrivait à un dépressif d’associer la prise de boisson alcoolisée et les neuroleptiques.
De toutes les constitutions au monde, elle est la plus atypique et anachronique qui puisse exister, qualifiée par certains d’auberge espagnole,et par Mezri Haddad de « ratatouille constitutionnelle »,  mais qui serait plutôt un palais des glaces ou un labyrinthe de miroirs pour faire perdre au public le sens de l’orientation et tout repère spatial.
Elle brille surtout par son absence de cohérence politique et sa rationalité juridique, un mélange hybride qui marie des ingrédients de droit positif et de droit canon, la charia, résultat d’un finish désordonné et bâclé comme seuls les artisans arabes ont le secret.
Plus grave encore, elle marque la perte de souveraineté nationale contrairement à celle de 1959. En effet, sa rédaction en un temps record, en l’espace de 4 semaines, alors que les constituants ont piétiné et tergiversé pendant plus 26 mois, en dit long sur la vassalisation de la Tunisie et sa mise sous tutelle définitive.
Plutôt que d’exprimer la volonté du peuple tunisien et porter le sceau de son aval référendaire, elle est l’exemple-type de la perte de souveraineté nationale.
Les tunisiens sont gratifiés d’une constitution viciée et truffée d’embûches, une tromperie sur la marchandise, dont l’agenda final et ses principales lignes directrices sont imposés par les bailleurs de fonds internationaux et les puissances tierces et notamment celles qui ont mis en scène le « Printemps arabe », qui impatients et las par l’amateurisme guignolesque des petites mains de la Constituante ont fini par se secouer le palmier, voire vraisemblablement à se saisir eux-mêmes du projet rédactionnel que ces premières n’ont fait que transcrire fidèlement.
Sa qualité rédactionnelle est d’une rare médiocrité.
A vouloir trop la rendre consensuelle, alors qu’une constitution est au-dessus des intérêts partisans, elle doit personnifier le peuple et lui garantir ses droits fondamentaux au-delà des clivages politiques et non obéir à des considérations partisanes sources d’instabilité politique et d’illogisme juridique, les petites mains de l’A.N.C. aux ordres de leurs commanditaires, ils  se sont livrés à une figure d’équilibrisme que même les funambules les plus chevronnés ne sauraient accomplir.
Les tunisiens  pourront toujours se consoler avec un mélo mélo, un patchwork qui mélange les droits de dieu et les droits de l’homme tout en accordant la prééminence du pouvoir du premier sur celui des seconds.
Un alliage contre nature composé de matériaux de nature théocratique avec des matériaux de nature démocratique. La cité tunisienne qu’elle préfigure sera celle où la fidélité à Dieu sera la norme et l’exercice libre de la citoyenneté sera l’exception.
Une confrontation permanente que l’Etat musulman devra arbitrer avec une balance qui penchera forcément du côté de celui dont elle doit assurer en premier lieu la pérennité. l’article 6 dessine ainsi les contours d’un Etat ouvertement partial et hostile à toutes les libertés susceptibles d’ouvrir des brèches dans la citadelle dont il est le gardien.Il est à douter que l’Etat tunisien atteint d’une bicéphalie aiguë ait à créer les conditions de remise en cause du pouvoir hégémonique de l’islam sur la vie des tunisiens et ouvrir par conséquent la voie royale à la démocratie qui est la véritable ennemie de la religion.
Là où elle progresse, la religion recul à l’exemple des pays scandinaves et le Japon.
Cet article 6 qui est un article à tout venant, un miroir aux alouettes, un guet-apens constitutionnel, n’est rien d’autre en réalité que la consécration du processus light de la wahhabisation de la Tunisie.
Adieu les libertés les plus élémentaires, tel le choix des couleurs et bienvenue à la dictature absolue de la religion et sa main mise totale et intrusive sur la vie des hommes dans toutes les étapes de la vie et les sphères de la société..

Quand on est dépourvu d’arguments, on fait de son ignorance une vérité dogmatique

Salem Ben Ammar

ON NE COMBAT PAS LE FANATISME RELIGIEUX PAR LES ARMES DE LA HAINE ET DE L’INTOLÉRANCE QUI SONT LES SIENNES

Personne n’est en mesure de changer la face du monde, comme personne ne peut abattre la muraille de Chine des dogmes religieux, en étant sous l’emprise de sa fièvre nihiliste.

Certains s’imaginent pouvoir y arriver en incendiant et couvrir d’infamie telle ou telle religion. Oubliant que l’humain a besoin de croire même si cela n’est pas à notre goût.

Mais il nous revient  de composer et de l’accepter comme tel au nom du droit de tout un chacun à la différence. C’est la diversité qui crée la richesse et nous apprend à apprécier celui qui est différent de soi et qui, finalement, n’est pas aussi différent qu’il en a l’air et n’est pas un facteur pénalisant, contrairement à qu’on imagine. Tout ce qui nous sépare nous rapproche. Que l’on fasse…

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C’est une insulte à la bête immonde nazie que de la comparer au l’islam

Vous avez tort de blesser les membres élus de la plus belle communauté de croyants jamais apparue sur terre. Il ne passe pas un jour en Syrie, en Irak, en Afghanistan et pratiquement dans tous les pays musulmans dont la Tunisie qui au nom de la liberté de conscience fait connaître les délices de son univers carcéral à Jabeur Mejri  nous gratifient de vertus humanistes qui auraient fait la joie des collabos musulmans d’Hitler.
Je vous conseille de ne plus polluer avec vos belles paroles la Joconde musulmane sinon le courroux-vengeur de la Ligue de la Défense de la Verge Immaculée Musulmane va vous envoyer tout droit en Iran ou en Arabie la terre natale du descendant en ligne directe de Vénus.
Tous ceux qui osent émettre la moindre opinion qui n’est pas de leur goût seront jugés au nom de la compétence universelle des tribunaux de la charia dans les pays qui savent rendre justice au nom d’Allah et faire réparer l’outrage qui lui est fait.
Avis aux amateurs qui scandalisent les âmes sensibles qui ne se scandalisent jamais quand un mécréant tue un musulman comme au Nord du Nigéria où les pauvres membres de la noble secte de Boko Haram, le meurtre est interdit. sont persécutés et assassinés au nom de Vichnou, de cesser de confondre l’islam avec l’humanisme.
Pour me faire pardonner mon inélégance verbale vis-à-vis de Dame Vérité, qui me vaut aujourd’hui les réjouissances d’une éventuelle invitation devant le SAS, une sorte de gare de triage, avant que l’on m’offre le voyage final dans les terres hospitalières d’Allah, je demande à cet immense justicier de droit divin de faire preuve de compassion musulmane et de ne pas s’outrer par des propos que le grand Mufti de Jérusalem n’aurait certainement pas désavoué et qui faisaient la fierté des Frères musulmans et de tous les autres aussi.
Apparemment ce défenseur déchu de la veuve et de l’orphelin musulmans, sa ligue est très républicaine elle ne défend que les musulmans, plutôt que de pleurer de ses chaudes larmes et de noyer son chagrin en compagnie des deux personnages qui a ému son alter ego qui a préféré faire tomber le voile de la Ligue qui selon ses dires elle lutte plus que jamais contre les injustices effroyables dont sont victimes les membres de la plus extraordinaire communauté des doux agneaux d’Allah dont le seul tort est d’être trop respectueux des valeurs de la république. Ils m’ont même accusé d’être un réactionnaire invétéré et un anti-laïque pathologique. Pour vous dire comme ils sont avant-gardistes dans le combat contre les ennemis des libertés.
Si vous voulez vous associer à leur action judiciaire pour délit de blasphème, merci d’adresser les fonds à qui de droit.
L’honneur de la Dame Vérité Musulmane n’a pas de prix et que justice soit rendue à l’islam. Je trouve aussi obséquieux d’avoir scandalisé par mes écrits un homme au passé impeccable. Le pécheur que suis réclame aux musulmans l’exécution de la sentence prévue par le code de la bonne vertu musulmane à cet effet.
Je comprends parfaitement l’effarouchement de la vierge musulmane qui est dans son bon droit pour me crucifier pour ledit article qui pourtant ne fait que s’inspirer de l’adhésion populaire des musulmans, pas tous, aux écrits philosémites de ce peintre aux talents appréciés chez les descendants du fondateur de l’Oumma qui a su traduire le plus fidèlement dans les faits l’Apocalypse musulmane. Son oeuvre scripturale ( ils ne sont pas férus de lecture ils aiment le visuel ) est la plus populaire après celle du grand ami des hommes et des femmes, de 6 à 77 ans, victime de l’oppression juive qui avait massacré sauvagement et massivement les siens.
Comme Hitler il n’avait que de l’amour pour eux, par conséquent je ne saurai que comprendre l’émoi provoqué chez les musulmans par mon article. Peut-être que je demanderai au maître à penser du pacifisme musulman à la sauce infecte wahhabite Ghannouchi, grand compagnon de Mahomet de plaider ma cause auprès de ses frères et de leur faire comprendre que le parallélisme n’est pas celui établi par les autres mais c’est leur propre histoire qui en témoigne.
 » Dans cet article, des parallélismes scandaleux ainsi que des amalgames nauséabonds sont réalisés entre l’Islam et le nazisme : « […] l’islam n’est pas qu’un simple système de croyances et de pratiques cultuelles personnelles et communautaires. Il est plus que ça, il est le père géniteur du nazisme et Hitler aurait pu être le clone de Mahomet si ce n’est son fils bâtard ».
La morale de cette fable : il n’y a de sacré que l’ignorance dont on veut faire une vérité pour étouffer la voix de la liberté.

Que les défenseurs de l’islam en France aillent goûter aux joies de la charia en terre musulmane

Que les islamo-collabos dégénérés aillent vivre en terre musulmane !

 

 

A tous les bobos, les verts moisis, les gauchos, les chiraco-sarko-compatibles, les politiquement corrects, les droits de l’hommistes et les anti-racistes pathologiques qui se font les défenseurs zélés de l’islam. Un islam qui n’a que haine et mépris pour eux à cause de leur caractère non-musulman. Une victime potentielle et sacrificielle séduite par son bourreau dont elle se veut une fervente avocate.

Ce n’est pas du syndrome de Stockholm dont ils sont atteints, c’est l’éternel complexe de culpabilité chez les anciens colonisateurs en mal de rachat historique.

Qu’ils troquent leur vie en Occident contre celle des musulmans qui étouffent sous le poids de l’islam dans les pays musulmans et qui laissent apparaître le bagne de Cayenne dans les années 30 comme humain, ou la vie dans les cités franciliennes comme une vie des contes, des mille et une nuits.

Il est à craindre qu’ils soient trop lâches pour le faire.

Qui va renoncer à ses conditions de vie humaine pour des conditions de vie d’esclave de la religion ? Une religion qui classe les êtres humains en purs et impurs, ne reconnaissant aucun droit aux non-musulmans, jouissant du statut de dhimmis. Où le mot citoyen n’existe pas et où l’on n’accède pas à la nationalité du pays si on est pas de « sang » musulman.

Qu’ils y aillent dans des pays tels l’Arabie Saoudite et le Qatar pour  faire un voyage dans le III ème Reich  revu et corrigé par les pays musulmans.

Qu’ils y aillent dans ces pays pour goûter aux délices du vrai racisme, de la discrimination, de la relégation des femmes, des inégalités sociales, de la misère côtoyant le luxe insolent, où l’on préfère sa chamelle à sa femme qui n’existe pas en tant qu’être humain.

Qu’ils y aillent pour se rendre complices de crimes contre l’humanité infantile, des fillettes pré pubères livrées en toute impunité juridique à l’appétit sexuel du mâle dominant.

Savent-ils que plus d’un garçon sur 4, même si ce chiffre est très en-deçà de la vérité, est victime d’abus sexuel en Arabie Saoudite, pays modèle pour les musulmans ? Un modèle de barbarie humaine et de dérives immorales ?

Qu’ils aillent dans ces pays où les femmes n’ont pas le droit de circuler en toute liberté.

Qu’ils y aillent dans ces pays où une femme violée est coupable de son propre viol.

Qu’ils y aillent dans ces pays où on lapide les femmes comme on lapide Satan au pèlerinage à la Mecque.

Qu’ils aillent dans ces pays où la liberté de conscience est considérée comme apostasie.

Qu’ils aillent pour finir crucifiés et décapités parce qu’ils ont abjuré l’islam.

Là où ils comprendront peut-être mieux le vrai sens de l’islam qui tue et un purgatoire pour les êtres humains. S’ils ont toujours des doutes sur le sujet, la femme saoudienne pourra les éclairer, à moins que ce soit la fillette yéménite, ou le petit garçon des faubourgs de Marrakech ou de Casa.

Sinon, il leur reste les 2 millions d’enfants des rues en Egypte, ou pourquoi pas les dizaines des milliers d’enfants des rues d’Istanbul et d’Ankara.

A 20 ans une femme est déjà trop vieille et jetée à la rue avec sa marmaille.

Pour le même âge on peut en avoir 2. Un vieux de 90 ans peut convoler en injuste noce avec une fillette de 10 ans. Qu’ils aillent goûter aux moeurs de la bonne société musulmane, et là ils regretteront d’être nés.

En Occident, on n’endoctrine pas les enfants au berceau en leur inculquant la culture du culte de la mort et la haine de soi et de l’autre, contrairement au pays musulmans où la mort est le vrai sens de la vie, où l’on fait du don de soi pour Mourir pour Allah le but suprême de la vie pour chaque musulman.

Qu’ils y aillent dans ces sociétés de la culture de la violence en tant que pilier de la religion, où la mort est le seul horizon pour la jeunesse et les femmes, Où la vie se confond avec la mort. Il n’existe aucun autre exemple de société au monde où l’on fait de la mort le seul motus vivendi pour les êtres humains.

Ces sociétés ne font qu’appliquer les prescrits de leur religion qui prohibent toute forme de créativité, où l’art, le chant, la musique, la peinture sont illicites.

Qu’ils y aillent pour vivre les conditions de vie inhumaines et dégradantes des étrangers et qu’ils apprennent à conjuguer les verbes tolérer, aimer et imaginer, remplacés par frustrer, castrer et aliéner.

Morne plaine et vallée de larmes, champs de ruine où rodent dans leur ciel les vautours gris et noirs à l’affût de leur proie à donner en sacrifice pour apaiser l’appétit insatiable de celui qui se veut le seul maître de la pensée et du destin des hommes.

Monsieur Hollande : cessez de blasphémer en faisant croire que l’islam est compatible avec la démocratie

L’islam et la démocratie sont deux entités antinomiques. L’une veut créer les conditions pour imposer la souveraineté d’Allah sur la vie de la cité dont il est le seul maître et souverain.

 

L’autre cherche à donner à l’homme les moyens de son émancipation politique afin qu’il soit partie prenante dans la définition de son projet de vie politique. Deux conceptions de régimes politiques contradictoires et opposés. D’une part seul dieu est souverain, il ne peut y avoir une autre voix en dehors la sienne et d’autre part le pouvoir revient au peuple et à son seul profit et dont les modalités de l’exercice sont définies par ses assemblées, mandatées par lui. Seul le peuple est souverain. Un sacrilège aux yeux de l’islam, une hérésie qu’il faut combattre et dont il faut immuniser les musulmans.
 
Lui qui se veut le seul et unique berger, ne pas enlever les barrières de son enclos à un autre berger susceptible de faire égarer son troupeau dans des enclos moins hostiles et à l’herbe grasse et favorables à leur émancipation. L’islam a peur de la contagion démocratique qui peut gagner ses fidèles qu’il assimile à une apostasie. Sa hantise de la démocratie est telle qu’il n’hésite pas à stigmatiser les insolents, tous ceux qui contestent son pouvoir, à les désigner à la vindicte populaire pour les châtier, comme ce fut le cas du leader politique de la Gauche Laïque et Républicaine Chokri Belaîd assassiné parce qu’il rêvait d’un destin démocratique pour la Tunisie.
 
La cité idéale musulmane est par essence dépouillée de toutes les influences extérieures considérées comme contraires aux dogmes de l’islam. Il a su habilement se servir de la générosité naïve de la démocratie pour rétablir son pouvoir politique par le biais des révolutions, plutôt dévolution, du printemps arabe, comme si ces pays avaient des saisons, eux qui n’avaient connu que sécheresse et aridité.
 
Suivant l’exemple de son clone nazi, il se met à miner le terrain pour empêcher l’éclosion de la fleur démocratique dont pourraient s’enivrer les musulmans. Pour conserver son pouvoir, il ne recule devant rien. Faucher, brûler, menacer, violenter, clouer au pilori, réprimer, tuer, jeter l’anathème, terroriser, violenter, la fin justifie les moyens, car il y va de sa propre pérennité,. Il est de règle que la théocratie ne peut prospérer que sur l’obscurantisme et les limitations des espaces de libertés, et la et la démocratie prospère sur le recul des pratiques de la religion. Aliéner, castrer, endoctriner et bâillonner, seul moyen pour abrutir les hommes, afin de les rendre plus dociles et prévenir toute réaction de résilience qualifiée de Fitna. Un pêché mortel au regard des dogmes. La démocratie n’a pas besoin d’artifices culpabilisant et inhibant, ni de paver la chemin des libertés de leurres,de farces et attrapes, elle est l’expression libre de la volonté des hommes de donner un sens commun à leur vie en collectivité. Alors que l’islam se veut le sens, l’essence, la substance, le code et le but ultime de leur vie. Avec des contraintes drastiques et inhibitrices. Pour exister, l’islam recourt aux méthodes de manipulation mentale pour pouvoir maintenir les hommes dans sa sphère de dépendance. comme toute idéologie totalitaire, il ne laisse aucune liberté de choix aux hommes, tout est mis en oeuve pour les figer dans le marbre du conservatisme.
 
Sa grande hantise est de perdre son pouvoir de contrôle absolu que seule la semence démocratique peut l’affaiblir; L’homme musulman est créé par Dieu pour le servir, lui servir de chair à canon dans le djihad et non de réfléchir par lui-même sur le vrai sens de son existence. N’est musulman que celui qui se soumet sans discernement aux dogmes de sa foi et dont il fait son motus vivendi. S’en écarter est assimilé à un sacrilège qui expose le déviant aux pires châtiments. Plus proche du bolchevisme et du nazisme que du bouddhisme ou du christianisme, il se veut le seul maître et architecte de l’environnement politique dans lequel doivent évoluer ses adeptes, réglant avec la minutie de l’horloger leur façon d’être, de concevoir, de penser et de vivre jusqu’à leur façon de s’habiller.
 
Les musulmans n’ont pas de prise sur leur propre vie, ni de pouvoir d’agir et de choisir par eux-mêmes. Ils sont des pions sur le grand échiquier élaboré par dieu et dont la finalité est d’instaurer un nouvel mondial dont les musulmans seront le maître. Dans le cas d’espèce, il est utopique de chercher à implanter une quelconque semence dans un sol où seule la semence musulmane théocratique est censée pousser. C’est un peu comme si l’on avait cherché à greffer l’humanisme sur le nazisme en son temps, ce qui aurait eu pour conséquence de lui donner un visage humain. Or, le nazisme, ne pouvait prospérer que dans la haine, le racisme et l’intolérance, sinon il aurait pas perdu son sens et sa substance, ce qui est aussi le cas de l’Islam. Ce n’est pas l’enfant terrible de l’Islam qu’est l’islamisme que les nombreux laudateurs de l’islam veulent en faire le bourreau de l’Islam lui-même, ce fils parricide qui dévoie et dénature l’Islam. Alors que l’islamisme n’est rien d’autre que le bras armé de l’islam dans sa phase de conquête et de reconquête du monde. En effet, le problème est moins par conséquent l’islamisme qui est plus un moyen de blanchir l’Islam, de le déculpabiliser, de le dédouaner et de l’exonérer de toutes ces dérives terroristes, barbares et ultra réactionnaires.
 
Contrairement aux idées reçues, il n’est pas le ver venimeux dans le fruit musulman, ni sa nécrose, il en est l’organe vital, son cerveau et sa force de frappe. L’islamisme n’est pas l’Islam politique, c’est l’Islam où toutes les composantes qui fondent la vie des hommes doivent être inter reliées et s’inter agissent entre elles. Il est son esprit et son corps. Tout simplement, c’est l’islam tel qu’il doit être et non pas l’Islam mythifié et légendé par les mystificateurs de l’Islam qui vont jusqu’à pousser la fantaisie en assimilant l’Islam à la paix et à la tolérance. Dans un sens ils n’ont pas tort, puisque pour préserver son intégrité physique et être accepté par ses semblables il faut être musulman. Seul un musulman soumis aux lois dictatoriales de l’Islam et qui satisfait à la volonté de dieu peu prétendre à cela. Un peu comme un commerçant napolitain qui doit s’acquitter d’un tribut, une jizia, pour avoir acheter sa tranquillité. L’Islam c’est se soumettre ou se démettre. Il ne laisse guère le choix aux hommes, ni d’alternative à repenser ou considérer le choix contraint et forcé, soit une allégeance ad vitam aeternam soit la mort. Aucune rupture de lien n’est possible, c’est un univers carcéral dont on ne sort jamais vivant. On naît musulman, on vit dans l’Islam et on meurt musulman.
 
Un musulman ne peut et ne doit envisager sa vie en dehors des prescrits de sa foi et des règles de vie de sa communauté, qui est sa matrice et son censeur. C’est pourquoi, il lui est impossible d’emprunter une autre voie non fixée par la feuille de route censée être la meilleure pour lui afin d’atteindre le Graal paradisiaque. Il est évident que pour lui, suivre une autre voie qui ne soit pas d’essence musulmane consiste à commettre un sacrilège, un pêché mortel. Ce que ne manquent pas d’ailleurs de lui rappeler les doctes de sa foi dans leurs oukases, les fatwas. Un musulman n’est pas en droit d’avoir des choix politiques ni d’exercer la liberté de conscience et d’expression, comme s’il était un majeur incapable, il doit accomplir ce que dieu lui a dicté. N’étant pas doté de volonté propre, il n’a pas à être acteur de de sa vie personnelle et politique. Ce que dieu a ordonné et ordonnancé, l’homme n’a pas à l’intervertir ou s’y interférer. Qui mieux que la démocratie pour permettre d’ôter le carcan du poids étouffant de la religion sur la vie des hommes, et constituer un antidote à leurs maux, mais c’est sans compter sur les gardiens des dogmes de la foi pour lui opposer hostilité et rejet au nom de la pureté des sources de l’Islam et le bouclier canonique des valeurs du sacré. A leurs yeux, la démocratie, concept par essence profane, présente un danger certain pour la pérennité même de l’Islam, la favoriser revient à sonner le glas de l’Islam.
 
L’ennemie à abattre car elle risque de faire non seulement de l’ombre au pouvoir despotique de l’Islam mais surtout de provoquer cette onde de choc libératrice des musulmans, les éloignant ainsi du totalitarisme de l’Islam. Dans ce contexte, l’islamisme devient la ligne Maginot que les musulmans ne doivent pas franchir. Leur cordon ombilical qui les relie à leur plasma originel. L’islam n’est pas qu’un simple système de croyance et de pratiques cultuelles personnelles et communautaires, il est leur cadre de dans la cité et leur mode de gouvernement absolu où il n’y a pas de pouvoir autre que celui de dieu sur les hommes. Il est de à la fois religion, Etat et monde. Prohibant tout principe séparation entre le sacré et le profane et le séculier et séculaire, le politique du religieux. Ce mélange des genres qui s’articule autour de l’omniscience et l’omniprésence de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à l’éligibilité de la Démocratie dans les pays musulmans. Dans les sociétés islamisées, seules les lois d essence divine ont cours toute autre loi n ayant pas ce caractère sacré est considérée comme une apostasie.
 
L’Islam ne conçoit pas que l homme responsable puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est la seule et de répandre la parole d Allah sur terre et instaurer le modèle de l Etat islamique tel qu’il est défini par le Coran dont les lois sont immuables et intemporelles. Seul Allah a le pouvoir de légifère en opposition totale et absolue avec notre droit positif. Or, la Démocratie est par définition une doctrine politique, d’essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens (notion inconnue dans le Coran) au sein d une organisation qui a souvent la forme d’une République ( en opposition à la notion de l’Oumma). Dans un régime démocratique, les hommes sont libres et égaux en matière de leur choix de vie, leur choix politique(droit de vote), leur choix de liberté de conscience (interdite dans l islam). Un Etat démocratique repose aussi sur le principe inaliénable d égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe ( le coran ne reconnait pas l égalité homme femme) de leurs origines ( non fondées sur la foi contrairement à l islam). La démocratie protège les citoyens sur des critères autres que ceux définis par le Coran ou la Charia qui autorisent de discriminer le incroyants et leur réserver les pires châtiments. un Athée n a pas le droit à la vie en terre d Islam. Soit la conversion soit la mort, l’exil ou la jizya, une sorte de racket religieux juste pour jouir du statut peu enviable et à forte connotation raciste de dhimmi, une sorte d’intouchable dans le système de castes musulmanes. Dotant les musulmans des vertus de la pureté et des noms musulmans de l’infamie de l’impureté. Différencier les hommes, les catégoriser pour les exclure et les ostraciser voire pire encore, n’est pas sans rappeler le Reich nazi et laisse subsister de sérieux doutes sur la nature même de l’Islam en tant que religion stricto sensu.
 
L’Islam ne condamne pas non plus les inégalités sociales. Dieu aurait créé les riches et les pauvres, à et nul n’est en droit d’en contester le fondement, les musulmans doivent s’y résigner. De même que l’égalité entre les hommes ne s’applique qu’aux seuls fidèles. Fonder l’égalité sur le seul critère de piété c’est comme si Hitler basait l’égalité entre les hommes sur le seul critère du sang. En conclusion, une organisation politique quelle que soit son essence, humaine pour la démocratie et divine ou prétendue telle comme dans l’Oumma musulmane qui ne reconnait pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle que sa liberté de culte et conscience inscrite en lettre d’or dans la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 (jamais adoptée par les Etats Islamiques jugée contraire à leur foi) , est indéniablement liberticide, totalitaire et théocratique. Ainsi l’illusion démocratique sera pour les Musulmans un pur fantasme qui peuplera les rêves des femmes et des hommes qui aspirent à un monde meilleur mais qui ont la malchance de vivre sous le joug du despotisme musulman. Que l’islam commence à reconnaître aux siens le droit de la liberté de conscience et cesse de tuer les apostats et toute comparaison avec le nazisme cessera d’elle-même.

 

Quand on est dépourvu d’arguments, on fait de son ignorance une vérité dogmatique

ON NE COMBAT PAS LE FANATISME RELIGIEUX PAR LES ARMES DE LA HAINE ET DE L’INTOLÉRANCE QUI SONT LES SIENNES

Personne n’est en mesure de changer la face du monde, comme personne ne peut abattre la muraille de Chine des dogmes religieux, en étant sous l’emprise de sa fièvre nihiliste.

Certains s’imaginent pouvoir y arriver en incendiant et couvrir d’infamie telle ou telle religion. Oubliant que l’humain a besoin de croire même si cela n’est pas à notre goût.

Mais il nous revient  de composer et de l’accepter comme tel au nom du droit de tout un chacun à la différence. C’est la diversité qui crée la richesse et nous apprend à apprécier celui qui est différent de soi et qui, finalement, n’est pas aussi différent qu’il en a l’air et n’est pas un facteur pénalisant, contrairement à qu’on imagine. Tout ce qui nous sépare nous rapproche. Que l’on fasse de cette sublime et humaniste citation de Saint-Exupéry  notre devise à tous, inscrite sur les frontons de toutes les écoles du monde : « Celui qui diffère de moi, loin de me léser, m’enrichit ».

Le débat sur les religions est comme celui sur le sexe des anges : on peut passer toute une vie à ergoter, on en reviendra toujours au même point de départ,  au lieu de rechercher les points de convergence et en quoi chacune de ces religions peut répondre aux exigences du bien vivre ensemble et peut contribuer à la compréhension mutuelle et à l’apaisement des tensions, en se gardant de tout nombrilisme et préjugé, néfastes à un dialogue constructif. C’est moins le texte que tout un chacun brandit qui doit nourrir la réflexion sur le sujet qui nous préoccupe que la manière dont ceux qui le défendent doivent argumenter et exprimer leur volonté d’agir dans le souci d’une démarche commune pour le bien-être des humains. Ces mêmes personnes dont on fait souvent le procès en sorcellerie sont doublement victimes : de la rigidité oppressante de leur propre code culturel contre lequel elles luttent pour desserrer son étreinte, mais aussi de notre incapacité intellectuelle à faire évoluer notre propre regard sur l’autre et nos idées préconçues, nourries par nos stéréotypes et notre sclérose mentale.

Il n’existe aucune culture parfaite, ni de culture pure, comme il n’existe pas non plus une religion plus ou moins parfaite que d’autres. Depuis l’Antiquité, on ne cesse de se livrer à une espèce de compétition larvée qui ressemble de plus en plus à une guerre de tranchées entre les partisans et adversaires de telle ou telle religion : en se livrant à des critiques virulentes basées sur des a priori auxquels on oppose des vérités ostentatoires qu’on veut faire passer pour universelles, des deux côtés on creuse un trou béant d’incompréhension qui rend impossible tout dialogue susceptible de rapprocher les hommes, et l’on accentue ainsi les divisions, expressions profondes du fanatisme et de l’intolérance.

De la vérité religieuse, il n’y a plus que les querelles sanglantes entre chapelles.  L’Humanité a déjà payé le prix fort pour des conflits larvés au sein d’une même religion, ou entre des religions. Les religions monothéistes y ont fortement contribué avec leurs guerres de religions en France, l’Inquisition, les Croisades, l’expulsion massive et sanguinaire des bouddhistes en Inde… Mais n’oublions pas le temps des sacrifices humains. Tous ces antagonismes ne sont pas le fruit de la raison mais de la passion hystérique de l’homme à croire en  l’existence d’une autre vérité métaphysique que la sienne. Car de son ignorance il veut faire un dogme inaliénable.

De plus en plus de femmes et d’hommes, plutôt que de tirer la leçon de l’histoire tumultueuse de l’exaspération du racisme religieux, veulent infliger au monde une réédition logorrhéique des Croisades sans se rendre compte du ridicule de leur posture. Mais le plus grave, c’est qu’avec la puissance destructrice du Verbe – de la parole – ils soufflent sur la braise de la haine du prochain.

N’est pas Voltaire qui veut ni Saladin non plus. Grâce au développement de la cybernétique, le monde est un grand village où les hommes n’ont jamais été si proches et si lointains. La distance géographique n’est pas métrique, elle se mesure en termes d’idées et de pensée. Peut-être faudrait-il un jour finir par adopter une éducation commune favorisée par l’unicité du langage informatique, pour faire disparaître ces frontières et éviter que ce langage unviersel ne soit pas mis au service d une Shoah planétaire.

Pour la survie de l’humanité, le monde doit impérieusement laisser de côté ses querelles intestines et ses velléités hégémoniques motivées par le suprématisme des valeurs dont certains hommes prétendent être porteurs, alors qu’il n’y a de suprématie que dans l’humilité, l’ouverture d’esprit et la capacité de savoir se remettre en question.

On ne gagne rien à  mener, tel un Don Quichotte bataillant contre un moulin à vent, un combat féroce et épuisant d’arrière-garde contre ceux qui endossent une même armure. La solution ? Laisser parler son intelligence pour les désarçonner et leur faire entendre la voix de la raison pour les dénombriliser. Autrement, c’est un dialogue de sourds et une guerre d’egos : ainsi fait-on le jeu du contradicteur en se laissant prendre au piège de son incurie intellectuelle et mentale.

Notre esprit de tolérance, notre rationalisme et notre sens de la mesure ne doivent pas être mis au service d’une stigmatisation de l’autre, devenu abominable et détestable du fait de sa croyance. Ce n’est pas ainsi qu’on fendra sa carapace.

La religion est une utopie par excellence dont nul n’a à se faire le critique ni l’exégète. On se doit surtout de s’intéresser à l’individu et ses spécificités culturelles, et à son désir d’oeuvrer pour le bien commun, et en aucun cas émettre des postulats de jugements de valeurs, des critiques par anticipation. Ce n’est certainement pas en recourant nous-mêmes à l’utopie négationniste que nous réussirons à faire entendre raison à un croyant.

Sa religion, c’est sa sève et sa matrice nourricière. Elle est son cordon ombilical. Aucun d’entre nous n’est en droit de couper ce cordon. N’oublions pas que les religions, quelles que soit leur origine ou prétendument telle, sont enracinées dans l’esprit et le coeur des croyants depuis des siècles et sont ce que leurs adeptes en font.

Il n’y a pas de croyance parfaite comme il n’y a pas de croyant parfait. Chacun essaie de trouver la voie qui lui convient, et plus on cherche à l’en dévier plus on le radicalise, plus il se replie sur lui-même, plus on attise une agressivité qui le rend encore plus fanatique.

On ne gagne pas à heurter sa croyance. Respect, encore respect et rien que respect, et tant pis si l’on échoue. Au moins aura-t-on sa conscience pour soi et n’aura-t-on pas fait de l’autre une victime.

Il est temps de laisser notre animosité et nos craintes au vestiaire et d’essayer de  tendre la main, même à nos pires ennemis. Certes, nous devons rester  vigilants mais nous ne pouvons nous murer dans une défiance réactionnelle qui n’est pas la meilleure voie pour rétablir le dialogue entre les hommes et pour en finir avec des critiques qui n’ont de sens que celui que les censeurs veulent bien leur donner. « On est stupéfait de la quantité de critique que peut contenir un imbécile » comme le rappelle opportunément Victor Hugo.

Aucune critique n’est mauvaise ni malveillante à condition qu’elle ne porte pas en elle tous les germes de l’amalgame et qu’elle ne soit pas  symptomatique d’un manque de discernement. En revanche,  c’est la réaction disproportionnée qu’elle suscite qui pose question.

Ne soyons pas plus intégristes que les intégristes

ON NE COMBAT PAS LE FANATISME RELIGIEUX PAR LES ARMES DE LA HAINE ET DE L’INTOLÉRANCE QUI SONT LES SIENNES

 

Personne n’est en mesure de changer la face du monde, comme personne ne peut abattre la muraille de Chine des dogmes religieux, en étant sous l’emprise de sa fièvre nihiliste. 

Certains s’imaginent pouvoir y arriver en incendiant et couvrir d’infamie telle ou telle religion. Oubliant que l’humain a besoin de croire même si cela n’est pas à notre goût. 

Mais il nous revient  de composer et de l’accepter comme tel au nom du droit de tout un chacun à la différence. C’est la diversité qui crée la richesse et nous apprend à apprécier celui qui est différent de soi et qui, finalement, n’est pas aussi différent qu’il en a l’air et n’est pas un facteur pénalisant, contrairement à qu’on imagine. Tout ce qui nous sépare nous rapproche. Que l’on fasse de cette sublime et humaniste citation de Saint-Exupéry  notre devise à tous, inscrite sur les frontons de toutes les écoles du monde : « Celui qui diffère de moi, loin de me léser, m’enrichit ».

Le débat sur les religions est comme celui sur le sexe des anges : on peut passer toute une vie à ergoter, on en reviendra toujours au même point de départ,  au lieu de rechercher les points de convergence et en quoi chacune de ces religions peut répondre aux exigences du bien vivre ensemble et peut contribuer à la compréhension mutuelle et à l’apaisement des tensions, en se gardant de tout nombrilisme et préjugé, néfastes à un dialogue constructif. C’est moins le texte que tout un chacun brandit qui doit nourrir la réflexion sur le sujet qui nous préoccupe que la manière dont ceux qui le défendent doivent argumenter et exprimer leur volonté d’agir dans le souci d’une démarche commune pour le bien-être des humains. Ces mêmes personnes dont on fait souvent le procès en sorcellerie sont doublement victimes : de la rigidité oppressante de leur propre code culturel contre lequel elles luttent pour desserrer son étreinte, mais aussi de notre incapacité intellectuelle à faire évoluer notre propre regard sur l’autre et nos idées préconçues, nourries par nos stéréotypes et notre sclérose mentale.

 Il n’existe aucune culture parfaite, ni de culture pure, comme il n’existe pas non plus une religion plus ou moins parfaite que d’autres. Depuis l’Antiquité, on ne cesse de se livrer à une espèce de compétition larvée qui ressemble de plus en plus à une guerre de tranchées entre les partisans et adversaires de telle ou telle religion : en se livrant à des critiques virulentes basées sur des a priori auxquels on oppose des vérités ostentatoires qu’on veut faire passer pour universelles, des deux côtés on creuse un trou béant d’incompréhension qui rend impossible tout dialogue susceptible de rapprocher les hommes, et l’on accentue ainsi les divisions, expressions profondes du fanatisme et de l’intolérance.

De la vérité religieuse, il n’y a plus que les querelles sanglantes entre chapelles.  L’Humanité a déjà payé le prix fort pour des conflits larvés au sein d’une même religion, ou entre des religions. Les religions monothéistes y ont fortement contribué avec leurs guerres de religions en France, l’Inquisition, les Croisades, l’expulsion massive et sanguinaire des bouddhistes en Inde… Mais n’oublions pas le temps des sacrifices humains. Tous ces antagonismes ne sont pas le fruit de la raison mais de la passion hystérique de l’homme à croire en  l’existence d’une autre vérité métaphysique que la sienne. Car de son ignorance il veut faire un dogme inaliénable.

De plus en plus de femmes et d’hommes, plutôt que de tirer la leçon de l’histoire tumultueuse de l’exaspération du racisme religieux, veulent infliger au monde une réédition logorrhéique des Croisades sans se rendre compte du ridicule de leur posture. Mais le plus grave, c’est qu’avec la puissance destructrice du Verbe – de la parole – ils soufflent sur la braise de la haine du prochain.

N’est pas Voltaire qui veut ni Saladin non plus. Grâce au développement de la cybernétique, le monde est un grand village où les hommes n’ont jamais été si proches et si lointains. La distance géographique n’est pas métrique, elle se mesure en termes d’idées et de pensée. Peut-être faudrait-il un jour finir par adopter une éducation commune favorisée par l’unicité du langage informatique, pour faire disparaître ces frontières et éviter que ce langage unviersel ne soit pas mis au service d une Shoah planétaire.

Pour la survie de l’humanité, le monde doit impérieusement laisser de côté ses querelles intestines et ses velléités hégémoniques motivées par le suprématisme des valeurs dont certains hommes prétendent être porteurs, alors qu’il n’y a de suprématie que dans l’humilité, l’ouverture d’esprit et la capacité de savoir se remettre en question. 

On ne gagne rien à  mener, tel un Don Quichotte bataillant contre un moulin à vent, un combat féroce et épuisant d’arrière-garde contre ceux qui endossent une même armure. La solution ? Laisser parler son intelligence pour les désarçonner et leur faire entendre la voix de la raison pour les dénombriliser. Autrement, c’est un dialogue de sourds et une guerre d’egos : ainsi fait-on le jeu du contradicteur en se laissant prendre au piège de son incurie intellectuelle et mentale.

Notre esprit de tolérance, notre rationalisme et notre sens de la mesure ne doivent pas être mis au service d’une stigmatisation de l’autre, devenu abominable et détestable du fait de sa croyance. Ce n’est pas ainsi qu’on fendra sa carapace.

La religion est une utopie par excellence dont nul n’a à se faire le critique ni l’exégète. On se doit surtout de s’intéresser à l’individu et ses spécificités culturelles, et à son désir d’oeuvrer pour le bien commun, et en aucun cas émettre des postulats de jugements de valeurs, des critiques par anticipation. Ce n’est certainement pas en recourant nous-mêmes à l’utopie négationniste que nous réussirons à faire entendre raison à un croyant.

Sa religion, c’est sa sève et sa matrice nourricière. Elle est son cordon ombilical. Aucun d’entre nous n’est en droit de couper ce cordon. N’oublions pas que les religions, quelles que soit leur origine ou prétendûment telle, sont enracinées dans l’esprit et le coeur des croyants depuis des siècles et sont ce que leurs adeptes en font.

Il n’y a pas de croyance parfaite comme il n’y a pas de croyant parfait. Chacun essaie de trouver la voie qui lui convient, et plus on cherche à l’en dévier plus on le radicalise, plus il se replie sur lui-même, plus on attise une agressivité qui le rend encore plus fanatique. 

On ne gagne pas à heurter sa croyance. Respect, encore respect et rien que respect, et tant pis si l’on échoue. Au moins aura-t-on sa conscience pour soi et n’aura-t-on pas fait de l’autre une victime.

Il est temps de laisser notre animosité et nos craintes au vestiaire et d’essayer de  tendre la main, même à nos pires ennemis. Certes, nous devons rester  vigilants mais nous ne pouvons nous murer dans une défiance réactionnelle qui n’est pas la meilleure voie pour rétablir le dialogue entre les hommes et pour en finir avec des critiques qui n’ont de sens que celui que les censeurs veulent bien leur donner. « On est stupéfait de la quantité de critique que peut contenir un imbécile » comme le rappelle opportunément Victor Hugo. 

Aucune critique n’est mauvaise ni malveillante à condition qu’elle ne porte pas en elle tous les germes de l’amalgame et qu’elle ne soit pas  symptomatique d’un manque de discernement. En revanche,  c’est la réaction disproportionnée qu’elle suscite qui pose question.

 

On sait que le nazisme n’est pas l’islam, mais il y a des convergences troublantes

 

Le grand précurseur de la sociologie moderne Ibn Khaldoun disait des arabes par où ils passent la civilisation trépasse.

Détruisant tout sur leur passage tels des sauterelles dévastatrices comme celles des tribus arabisées des Banu Hilal, laissant derrière eux un fleuve de larmes et de sang et un désert de ruine et désolation peuplé de charognards infâmes.
Ce qu’on observe aujourd’hui dans les pays arabisés malgré eux ne fait hélas que conforter ce constat amer.
Dire cela n’est pas de l’arabophobie. On ne va pas se voiler la face à l’image de certaines femmes ou se déguiser en pieux musulman juste pour esquiver la vérité et l’occulter.

Là où le monde progresse, les pays arabes et musulmans régressent. Le tableau cette autre vérité implacable en témoigne. Les droits de la femme, de l’homme, du citoyen, la protection des droits de l’enfance, la liberté de conscience, la liberté d’association, la liberté syndicale, la démocratie, l’égalité d’accès au droit, la justice sociale, le développement humain, l’accès aux soins, la lutte contre l’analphabétisme, etc… autant de valeurs universelles jugées par les fondamentalistes comme étant des sacrilèges et par conséquent contraires aux dogmes de l’islam à cause de leur caractère judéo-chrétien ou maçonniques. Un subterfuge pernicieux pour ne pas arrimer le train du monde musulman à celui de l’humanité.

En quoi est-ce une hérésie quand on revendique une égalité absolue en droits et devoirs entre les hommes indépendamment de leur origine ethnique, leur sexe, leurs système de croyance ou non-croyance ? En quoi est-ce un crime de rejeter les valeurs rétrogrades et désuètes ?

La vraie démocratie comme disait Albert Camus est celle qui protège les droits des minorités contre le pouvoir hégémonique de la majorité. Mais quand une minorité s’arroge le droit d’imposer sa volonté à la majorité au nom d’un prétendu pouvoir dont elle se considère investie par Dieu, cela conduit immanquablement à la dictature religieuse à l’instar des pays dits arabes.

La religion devient ainsi un atout majeur pour verrouiller et censurer tous les modes d’expression et de liberté.

Hitler voulait créer sans succès une nouvelle religion pour les Allemands en étant son apôtre pour les enchaîner aux dogmes du nazisme, mais les imposteurs musulmans sont en train de le réussir non seulement en créant une nouvelle religion mais parce qu’ils ont su tirer profit des quintessences théologiques de l’islam lui-même qui fait de la violence un devoir un de ses piliers essentiels.

En effet, plus que toutes les autres religions, l’islam se veut Etat, culte et cité, ce qui leur permet d’instaurer un ordre politique et social où le sacré et le profane se confondent en conformité avec les prescrits de l’islam.

Dans un environnement où la religion est le seul mode de gouvernance politique de la vie des hommes, il est impossible d’envisager un jour l’émergence d’un Etat démocratique.

Elle ne saurait elle-même ouvrir les portes à des valeurs importées fécondatrices de droits fondamentaux et qui risquent de lui faire de l’ombre et de restreindre son champ de pouvoir.

Ainsi, sous prétexte de la préserver de la prétendue pollution desdites valeurs, qui présentent en réalité un réel danger pour leur pouvoir hégémonique, les castes théocratiques musulmanes, usent et abusent d’artifices et de manoeuvres tous frappés du sceau du sacré, afin de frapper de figer les musulmans dans un ultra conservatisme dont la seule préservation est garante de leur propre survie et la sauvegarde de leurs privilèges exorbitants.

Salem Benammar

Chokri Belaïd vous regarde, vous écoute et il a honte de son peuple

Faites une marche sur Carthage pour chasser du Palais et mettre hors d’état de délirer  le bouffon Marzougui, agent du Qatar, qui en sait des choses sur le meurtre de Chokri, virez cette crapule de Lotfi Ben Jeddou, faites arrêter Larayedh, Jébali et Ghannouchi, sur lesquels pèsent tous les soupçons et convergent toutes les accusations d’homicides prémédités.

Même si les soupçons ne sont pas des preuves formelles, il faut prendre des mesures conservatoires à leurs égards en commençant par leur interdire la sortie du territoire.

Arrêtez avec le cérémonial des gesticulations mémorielles qui ferait honte à Chokri Belaïd et qui ne bénéficie qu’à Ennahdha, car il n’est jamais suivi d’effet. La logorrhée verbale est la meilleure alliée des islamistes qui ont peur de l’action constructive et déterminée. Seule la pression de la rue et une mobilisation médiatique très forte peuvent faire avancer les choses et venger la mort des vôtres.

Si les tunisiens pouvaient faire preuve des mêmes vertus morales et patriotiques que les égyptiens

Les égyptiens,le peuple comme son armée, n’ont pas repris leur destin en main et chasser ces traîtres nazillons du pouvoir en implorant Allah et se livrant à l’exhibitionnisme mémoriel indécent à l’image des tunisiens pour commémorer le premier anniversaire de l’assassinat  de Chokri Belaïd, ils sont sortis par millions dans la rue et ont occupé la Place du Tahrir au péril de leur vie.
Ils ne sont pas restés inactifs, les bras ballants et les yeux vers le ciel à attendre qu’Allah vienne à leur secours.
Toujours présents  et actifs dès le lendemain de la réussite de l’O.P.A. islamiste avec l’aide du chevalier noir Yankees, les égyptiens, peuple altier et dévoué pour sa patrie, n’a jamais eu de cesse à exercer la pression sur ce régime scélérat et antipatriotique imposé par des puissances tierces pour vassaliser l’Egypte en la morcelant en des micros émirats afin de favoriser la dictature hégémonique wahhabite sur un des peuples majeurs de l’histoire universelle.
Fiers de leur histoire millénaire et de leur passé pharaonique, contrairement aux tunisiens tout aussi ignorants de leur histoire que de leur soi-disant islam zéitounien, comme si l’islam pouvait être accommodé à toutes les sauces, ils ont fait preuve d’une détermination rare à ne jamais laisser leur pays entre les mains des mercenaires à la solde des nouvelles forces du mal, l’alliance wahhabo-turco-américaine. Restés debout, actifs et vigilants, se comportant comme un véritable rouleau compresseur, ne lâchant pas son emprise psychologique sur Morsi, l’étouffant, serrant son étreinte sur lui. C’est grâce à la bravoure et l’esprit de corps et de combat de ce peuple que la clique islamiste s’est trouvée acculée dans les cordes tel un boxeur tocard qui ne doit son salut pour sa survie qu’à l’intervention opportune de l’arbitre.
L’armée égyptienne a su habilement exploiter à son profit  en faisant écho à ce farouche travail de résistance du peuple égyptien, car sans sa volonté et son désir d’arracher la patrie des griffes islamistes, aurait-elle pris le risque d’investir le pouvoir et mettre hors d’état de nuire les ennemis de l’Egypte ?
On se doit surtout de retenir que sans le peuple égyptien, rie,n n’aura changé et le situation se serait même empiré déboucher sur une somalisation du pays. A la pseudo légitimité des urnes, Morsi élu par 18% du corps électoral égyptien dans des conditions suspectes, il a apposé  une légitimité bien réelle, la légitimité de la rue qui grondait comme un Tsunami balayant tout sur son passage.  
La Vox Populi a sauvé l’Egypte d’un des pires naufrages humains, politiques et civilisationnels de l’histoire. La tunisienne ne peut pas en dire autant qui ne fait qu’octroyer aux mercenaires et assassins islamistes des quitus d’honorabilité et de légitimation de leur illégitimité, tarissant d’éloges des hommes comme Ghannouchi, Larayedh et Jébali les gratifiant de stature d’hommes d’Etat. La pire offense faite à la mémoire de leurs victimes.  Au lieu de dénoncer leurs crimes et forfaits, on leur décerne une médailleur d’honneur.
Ainsi les tunisiens par leur  silence et le louvoiement et le fayotage  de certains dédouanent ces hommes de leur responsabilité morale et matérielle ( ?) engagée dans les meurtres de Chokri Belaïd, Lotfi Negadh, Mohamed Brahmi et la mort de nos soldats,et celle mystérieuse qui ont émaillé les 27 mois de gouvernance islamiste, pire que celle des Duvalier en HaÏtI. Qu’ont fait les tunisiens pour venger les leurs aveuglés par les tirs à la chevrotine au kef sur ordre de Larayedh ?  Ils leur ont accordé l’immunité pour leurs crimes après les avoir réhabilités de leur lourd passé terroriste.
 
Chaque peuple est ce qu’était son histoire. Le Tunisien se comporte comme s’il était étranger à la sienne, indifférent à sa patrie, donnant l’impression d’être prêt à la vendre au plus offrant, sans aucune filiation le reliant à ce qui était censé être sa matrice nourricière, à des années-lumière du peuple égyptien qui fait honneur à son héritage grandiose et anthologique.
Un peuple qui a bâti l’histoire ne peut rester impuissant devant l’entreprise  de destruction de sa souveraineté nationale, son intégrité territoriale et  sa pérennité humaine , comme l’a illustré de belle manière le peuple égyptien. Il a su réagir comme tout peuple responsable et adulte, conscient de la gravité extrême de la situation, refusant de s’incliner devant la fausse vérité des urnes.Il n’y a aucune règle démocratique à respecter et à opposer à la volonté du peuple souverain, quand un mandataire trahit son mandat en cours de l’exercice il doit être mis fin manu militari à son mandat, le peuple égyptien a repris des deux mains ce qu’un jour sa main a déposé dans l’urne.
La souveraineté du peuple est le vrai contre-pouvoir à la politique de ces élus qui ne doivent apprendre et comprendre qu’un mandat n’est pas définitivement acquis et qu’il peut être remis en question à tout moment en cas de dérives graves. Le pouvoir est au peuple et le mandat est aux élus, il n’a d’existence que celle que lui confère les mandants. Tel est le sens du verdict que le peuple égyptien  qui s’est mobilisés comme un seul homme pour mettre fin à leur cauchemar a prononcé à l’encontre de ceux qui se croyaient maîtres de droit divin du pouvoir, confondant titre de propriété avec bail de location.
En aucun moment, ce grand peuple ne s’était laissé prendre dans le piège de la religion comme le peuple tunisien défaitiste, fataliste et démissionnaire. C’est trop facile de s’abriter derrière la religion quand on est des bons à rien. L’islam n’est pas un obstacle à la libération du pays, ni au jugement des membres de la Troïka pour avoir trahi la volonté du peuple.  Allah n’a jamais demandé  aux tunisiens de s’en remettre à lui pour, il aurait pu aussi le faire pour les égyptiens, pour qu’ils se donnent bonne conscience pour ne rien faire.
Allah qui est le seul leitmotiv chez les tunisiens pour leur servir de vernis pour maquiller leur indifférence coupable, devrait leur dire : aide-toi et paye de ta personne et je serais à tes côtés pour te soutenir dans ton combat pour la dignité humaine. 
 

Si l’islamisme est l’islam politique c’est que Mahomet n’était pas musulman

Il n’y a pas plus d’islam cultuel que d’islam politique. Ils sont des faces d’un même miroir. Séparer l’un de l’autre reviendrait à briser le miroir lui-même. C’est pourquoi, il est absurde de définir l’islamisme comme étant l’islam politique , comme s’il pouvait avoir un islam intemporel et un islam temporel. L’islam est à la fois, dine, dawla et donia. Et l’islamisme est justement cet islam unificateur de toutes les sphères de pouvoir. Faire un distinguo entre l’islam et l’islamisme c’est faire fi de l’histoire de l’islam articulée autour de l’interdépendance entre le profane et le sacré. Mahomet lui-même était à la fois, chef spirituel, chef d’Etat et chef militaire, une sorte de souverain Pontife et roi simultanément, et tous les Califes s’inscrivaient dans sa continuité  jusqu’à la chute de l’Empire ottoman.

Par conséquent Mahomet était le premier islamiste.  En prônant une « théocratisation » du mode de gouvernance de la cité islamique, les islamistes d’aujourd’hui en sont les vrais héritiers,  ils ne font que chercher à redonner une nouvelle vie à un mode de gouvernement de la vie des hommes dans ses moindres petits détails tout au long de leur vie qui pour eux est la seule alternative possible pour redonner un nouveau souffle aux musulmans.

Expérimenté en Arabie Saoudite dès les années 30 sous l’influence des frères musulmans en exil dans ce pays, il a pris son envol au Soudan au début des années 80 Soudan qui a débouché sur le plus grand génocide de la fin du XX e siècle. Si la fin Califat musulman a été écrite avec le sang des arméniens, son projet de renaissance s’est fait avec le sang des animistes et chrétiens soudanais.  Un résultat que n’auraient pas désavoué Pol Pot et Hitler a débouché.

Ni en Iran chiite qui n’a fait qu’appliquer la recette de cuisine de Saïd Qotb, ni en Arabie Saoudite un cimetière pour morts-vivants, ni en Algérie, ni en Afghanistan, partout où l’on a tenté ou l’on tente encore l’expérience de l’islam des sources comme en Tunisie, l’islamisme n’a réussi à sortir les peuples de leur misère et le sous-développement. Il n’est que ruine et désolation, transformant le rêve des peuples en un monde meilleur ici-bas en cauchemar de leur vie, les acculant au désespoir et à l’anéantissement de soi. .

Je ne juge pas les hommes sur leurs idées même si les musulmans vertueux telle une péripatéticienne affichant sa vertu veulent me faire taire pour délit d’opinion qui serait plutôt un délit de blasphème qui ne dit pas son nom, je les juge sur leurs actes et le constat est des plus amers en ce qui concerne l’islam vrai, il est un crime contre les peuples et les cultures. Pire encore un crime contre l’humanité.

La Troïka a confondu le métier de capitaine de bateau avec celui de chamelier arabe

En l’espace de 27 mois la Troïka et son foyer viral de l’A;N.C. sous la houlette du Cheikh fou Raspoutine Ghannouchi que certains louent son sens de l’Etat lui surtout de complots contre l’Etat, apôtre d’un culte hybride mi-sataniste mi-hitlérien érigeant la haine de la partie en dogme religieux, ont plongé le pays dans les limbes de l’histoire que ne sauraient désavouer Papa Doc en personne ni leurs aïeux des Banu Hilal.

Au point qu’il est difficile de dresser le bilan effroyable de leurs forfaits, crimes et méfaits qui empoisonnent et pourrissent le quotidien des tunisiens, faisant ressembler le pays à une ville abandonnée aux mains des hors-le-loi qui répandent la terreur et sèment la mort.  Tuant à bout de champ tous ceux qui s’opposent à eux pour mécréance, c’est ainsi qu’ils jugent tous ceux qui veulent les combattre.

En effet, se croyant investis d’une mission sacrée d’instauration d’un ordre divin fruit de leurs délires mystico-psychédéliques, ils ne peuvent supporter la moindre entrave sur leur chemin.

Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi et Lotfi Negadh et tant d’autres morts dans des conditions suspectes ont fait les frais de leur justice expéditive accomplie au nom d’un supposé Dieu qui dit leurs mains criminelles et leur dicte sa volonté, celle qu’ils veulent imposer par la puissance du feu  des armes livrées par leurs commanditaires étrangers et du fil de la lame du couteau de boucher bien aiguisé au peuple tunisien plongé depuis sa funeste révolution dans le monde des horreurs.

Profitant du vide sécuritaire créé par le départ précipité et romanesque des anciens caïds, ils ont eu toute la latitude de le combler en prenant eux-mêmes les commandes de la sécurité du bateau ivre battant pavillon tunisien ballotté par des  fortes houles comme un pantin qui ne vont pas tarder de l’envoyer dans les fonds marins  abyssaux rendant mission impossible toute tentative ultérieure de renflouage.

Le nouvel équipage qui a fait main basse sur le bateau tunisien sous les ordres d’un capitaine dont les compétences ne lui auraient pas permis de piloter une bateau en miniature dans une baignoire, s’est vu offrir de surcroît une légitimité plus inattendue qu’insultante au rêve humaniste des passagers.

Fort de son titre de propriétaire du bateau que lui a décerné un arbitre le dénommé Kamel Jendoubi, sorti du néant du microcosme associatif tunisien en France, qui pour se dédouaner de son propre crime a reconnu publiquement qu’il a couvert lui-même l’illégalité absolue de cet acte de propriété établi le 23 octobre 2011, plutôt que de rechercher des solutions pour reboucher les trous dans la coque, écoper l’eau qui commence à envahir le pont, nettoyer la salle des machines et vérifier l’état des moteurs,  s’est livré au pillage et au dépeçage en règle du bateau afin d’accélérer son naufrage.

Héritier d’une culture  esclavagiste,  barbare et négatrice de toute forme de vie après la conquête,  l’équipage a écrit une des pires sagas de la piraterie maritime que n’aurait pas désavouée Barbe Noire  en personne où l’horreur humaine a été portée à son paroxysme. Sans vergogne, ni scrupule, vendant filles et garçons sur les marchés  qatariens et saoudiens à des consommateurs de chair fraîche et surtout syriens pour  servir de chair à canon et satisfaire les pulsions sexuelles de leurs sbires missionnés par Allah pour réduire en amas de cendre l’un des plus vieux peuples de l’histoire humaine.

Sous l’emprise de l’ivresse de sa victoire insolite et imméritée mais combien tragique pour les passagers, convaincu plus que jamais qu’il est le meilleur équipage de toute l’histoire du pays, dixit Mr le Traîne- Savate_le-Voleur-aux- deux-cents-Avocats qui se reconnaissent en lui,  il s’est mis à naviguer à contre-courant des tempêtes sans aucun plan de navigation, ni boussole,  sans direction précise, confondant le nord avec le sud et le l’est avec l’ouest.

Tellement imbu de sa vérité de droit divin et aveuglé par son infatuation de lui-même, il n’est pas conscient  que sa méthode de navigation est insensée et suicidaire pour lui-même.  En voulant faire échouer le bateau, il se met lui-même en danger de mort.

Psycho-rigide, mégalomaniaque,  suffisant, méprisant et déconnecté de sa propre réalité à cause de son addiction aux produits hallucinogènes de nature mystico-politico-idéologique ingurgités à forte dose,  lui conférant un sentiment de puissance qui n’est rien d’autre que l’expression de sa propre impuissance à assumer son existence,  il a voulu faire du naufrage du bateau un plan de sauvetage.

Pas plus lucide qu’un ivrogne qui n’a pas fini de cuver son vin, il voulait soigner le mal par le mal pour remettre à flot le bateau dont il a lui-même  contribué à  accélérer le naufrage rendant aléatoire les chances de survie des passagers. Il croyait bien faire avec ses  recettes charlatanesques, nées dans un esprit torturé, tourmenté et confus,  insensées et burlesques dignes de figurer dans le musée des Tontons macoutes haïtiens  et encore tellement elles dépassent l’entendement humain.

Peu importe le calice tant que les passagers ont l’ivresse du breuvage neuro-dégénératif qui lui donne l’illusion de la libération finale de soi-même comme étant le seul remède pour en finir avec les tourments de la vie.

Il serait fastidieux d’établir la liste des produits utilisés par l’équipage qui se veut une chance pour les passagers pour les conduire dans les profondeurs des océans.  Rarement le bateau tunisien n’a accumulé autant de ratés et d’avaries dans son moteur que depuis sa confiscation par un équipage qui aurait été incapable de faire le chamelier dans le désert d’Arabie.

Toute la gamme de produits illicites et radioactifs y est dans composition du breuvage fortement contaminé par des nuages radioactifs qui comportent toutes sortes de particules mortelles : népotisme, despotisme, corruption, répression, abus de privilèges, abus de biens publics,  détournements de fonds, clientélisme, favoritisme, violence, chantage, familialisme, anathème, arbitraire, assassinats, profanation, intimidation, racket, mise en état de faillite du pays, misère, destruction de la classe moyenne,  haine de l’autre, viol, djihad du nikah, terrorisme,  liberté sexuelle sauvage et non protégée avec des sérieux risques de  développement du MST et du Sida, remise en cause de la politique du planning familial, prémisses de démographie galopante, boom des enfants naturels, augmentation des enfants des rues, explosion de la prostitution, chômage exponentiel, inflation galopante, récession, inquisition, procès en sorcellerie, justice expéditive, pénuries des médicaments de première nécessité, coupures fréquentes d’électricité et d’internet, santé et hygiène publiques défaillantes, abandon de campagnes de vaccination, fermetures de dispensaires, mauvais entretiens des hôpitaux publics, le pays transformé en véritable foyer viral et épidémiologique et en futur sanctuaire djihadiste dédié aux seuls musulmans fanatisés et prêts de mourir pour un dieu sanguinaire et à l’appétit en chair humaine instiable.

Une gamme de produits dont seuls les gouvernants musulmans ont l’art de fabriquer et de servir à leurs populations destinés à transformer le calvaire sur terre en illusions du paradis.

S’enivrer de la misère pour jouir des prébendes divines. Les tunisiens n’ont guère à se plaindre, puisqu’ils ont fait le choix démocratique de faire de leur vie un enfer sur terre, passage obligé pour gagner les faveurs d’Allah. La souffrance en vue de la délivrance mais d’ici là la Tunisie sera morte et enterrée et son bateau gisera sous les fonds de récifs.

Les tunisiens et tous les autres ont-ils enfin compris que l’islam ne leur veut pas du bien

C’est le Grand Effroi coranique en Tunisie comme dans un grand nombre de pays musulmans et ce n’est pas la faute à l’islam comme ses adorateurs se plaisent à le seriner et à les entendre qu’est-ce qu’on attend pour avaler leur grosse couleuvre tellement indigeste pour eux-mêmes qu’ils n’arrivent plus à contenir le venin qui les irrigue et qu’ils transforment chaque jour en rivière de sang  en Syrie, en Irak où la pression de l’islam devient de plus en plus intenable et insupportable  faisant basculer les plus fragiles d’entre eux dans le néant et la négation du droit de la vie pour autrui.

Elle passe pour être la religion des suicidés de la vie par excellence, surfant sur le désespoir des peuples, acculant des femmes et des hommes de plus en plus jeunes  des opérations kamikazes, mais qui n’ont rien de tels, ils sont juste des actes de suicide entraînant d’autrui dans son sillage maquillés en actes de bravoure dans le sentier d’Allah.

1400 ans que ça dure et les musulmans sous l’emprise permanente des effets hallucinogènes d’une substance de nature mystico-neurologique, continuent à confondre malgré les évidences Mohamed avec l’Abbé Pierre auquel je rends hommage pour son combat pour la dignité humaine.

Une religion amie des peuples et des cultures qui par où elle passe tout trépasse. 

Depuis qu’elle a fait son retour en force en Tunisie, le pays ne ressemble plus à rien qu’à l’Afghanistan pays où il faisait bon d’y vivre à une époque pas si lointaine où les femmes étaient libres comme l’air où l’ivresse de la vie enivrait tout le peuple, en attendant de devenir un cimetière pour les morts-vivants, peuplé de vautours, d’hyènes,de chacals, de chauves-souris de,charognards, de vermines, de vers de terre et de morpions, où ne poussera que le pissenlit et régnera les odeurs de cadavres en décomposition comme dans le Sud du Soudan aujourd’hui.

Les tunisiens vont en baver avec le vrai islam, celui dans lequel se reconnaîtrait cet homme tant vénéré et qui pèse 14,5 x Allah auquel ce dernier doit salut et prosternation et je suis malheureux pour eux. Il aurait suffit qu’il fassent comme moi de ne pas croire en lui pour garder toute leur lucidité afin de mieux le démasquer, mais de cela ils n’en rien à fiche et lui ont offert leur patrie pour assouvir son appétit féroce et ses pulsions meurtrières démesurées. 
L’islam n’est pas la religion qu’ils croient être, elle n’apporte rien à l’humain sauf la mort et la désolation.

En voulant faire de la Tunisie une terre d’accueil pour les djihadistes, Ennahdha veut faire d’elle une colonie islamiste

Me faire traiter de raciste parce que j’avais écrit  au mois de juillet 2012 dans Tunisie News  que le projet d’ouverture des frontières tunisiennes à tout venant islamiste au nom du panislamisme est un poison mortel pour la Tunisie, cela ne fait que me confirmer dans ma thèse sur les dessous scélérats de la politique antinationale qu’Ennahdha entend mette en place.

Au-delà de ses aspects idéologiques et oummiens, il s’agit.d’un projet farfelu, incohérent, irréaliste, inopérant, dangereux sur le plan de la sécurité intérieure et extérieure (un Afghanistan aux portes de l’Europe ), un non-sens politique, antidémocratique, intolérable, inique, une bombe à retardement, portant en lui tous les ingrédients d’une explosion sociale sans précédent et d’un déferlement de la terreur comme au temps des sauterelles arabisées des Banu Hilal et de leurs alliés.

Pour miner les fondements de la nation tunisienne et  son unité nationale, après avoir créé sa propre milice paramilitaire qui sera amenée à terme à se substituer aux forces de police, de la garde nationale et militaires républicaines  Ennahdha s’emploie à se doter d’un corps partisan composé de plusieurs centaines de milliers de membres totalement acquis à sa cause, véritable armée de l’ombre, une 5 e colonne, qui sera sa force d’appui électoral, auquel il aura été délivré les cartes nationales d’identité au nom de la fraternité islamique, et au besoin ce même corps pourra se muer en force d’occupation du pays.

Ennahdha n’a qu’un but mettre la main sur la Tunisie par tous les moyens, y compris naturaliser des millions de djihadistes et contraindre à l’exil autant de tunisiens pour faire du pays une terre du djihad. qui peut se transformer en cas de nécessité en force

En lui confiant un ministère-clé tel que celui du Ministère de l’intérieur, les tunisiens ne se rendent pas compte qu’ils se sont tirés une balle dans la tête. Ils ne mesurent absolument pas, en effet, la gravité de la situation et les conséquences tragiques d’une telle faute politique pourraient induire. Mais les plus à blâmer  sont leurs responsables politiques qui ont brillé par leur silence  et notamment B.C.S. qui leur a laissé les clés de la maison selon ses propres propos en toute naïveté.  Comme si on avait communiqué les codes du coffre-fort à un cambrioleur croyant qu’il allait prendre soin de son contenu.

Peupler la Tunisie de nouveaux tunisiens en toute légalité grâce au jus religiosis, le droit de la religion, en l’occurrence la foi qui crée la nationalité et exclut ceux qui ne sont pas musulmans.

Une politique qui met en péril la pérennité même de la Tunisie, outre son aspect attentatoire à sa souveraineté nationale. Provoquer son émiettement territorial en autant de micro-émirats gouvernes par des émirs -djihadistes, sorte d’agents indiens,  sur le modèle de la principauté de Sedjnane, rattachés à un pouvoir supra Emirat placé sous l’autorité d’un Chef religieux qui pourrait être Rached Khirriji alias Ghannouchi exerçant sa mandature au nom d’Allah, un Calife parmi les Califes.

Musulmane dans l’âme et dans l’esprit et fidèle à la feuille de route mahométane, Ennahdha doit tout d’abord instaurer un ordre musulman en Tunisie et en faire en foyer pour tous les musulmans de quelque origine que ce soit indépendamment de leurs antécédents judiciaires et de leur vécu criminel tant qu’ils ont accompli leurs forfaits et abominations au nom d’Allah; il lui importe guère d’évaluer les risques économiques et sociaux qui pourraient en découler. Héritière des conquérants musulmans, elle part du principe qu’il n’y a plus de vie après la conquête. Un pilleur est l^pour piller et partager le butin avec ses complices.

La Tunisie n’est pour eux qu’une étape  sur la route de l’Europe qui passe par l’Algérie et le Maroc. Elle se veut s’inscrire dans le sillage du Tarek Ibn Ziad en espérant qu’il n’y aura pas un Charles Martel pour briser son élan à Poitiers, avec toutes les chances cette-fois-ci de réussir avec la 5 e colonne musulmane qui prolifère au sein de l’Europe elle-même.

C’est peut-être de la politique-fiction, mais c’est son rêve qui est actuellement le cauchemar des tunisiens avant de devenir celui de tout l’espace euro-méditerranéen.

Quand bien même cela relèverait de l’utopie, il n’en est pas moins que l’on ne peut pas minimiser les effets radioactifs d’un tel projet et ses soubassements idéologiques hautement hégémoniques et génocidaires.

La Tunisie n’a pas vocation à devenir une terre peuplée de renégats et de terroristes. Qu’Ennahdha et Marzougui, l’agent du Qatar, veulent offrir l’asile politique aux Terminators musulmans, qu’ils le fassent, mais chez leurs commanditaires saoudiens et qatariens; Comment vont-ils s’y prendre pour absorber l’afflux massif de tous prédateurs venus du monde entier et pourchassés parla justice de leurs pays ? Comment vont-ils faire pour assurer la sécurité des tunisiens mise à mal depuis 3 ans ? S’agit-il d’une déclaration de guerre terroriste contre les tunisiens comme celle dont font les frais les syriens ? Pourquoi cette obstination pathologique à tendre la main aux ennemis du genre humain aux dépens des tunisiens qui se trouvent face au pire dilemme de leur histoire : la mort ou l’exil.?

Il y a tout lieu de penser qu’ils veulent une Tunisie somalisée ou afganisée, peuplée des seuls musulmans haineux, lobotomisés, fanatisés et endoctrinés à mort, totalement dépourvus de raison et capables de se transformer en bombes humaines à l’instar des membres de Boko  Haram, de la Qaïda ou du Hamas.

Une Tunisie de la protohistoire dédiée à la barbarie humaine pour faire dorer son blason à l’islam et sa splendeur passée que tout indique qu’elle est fut surtout un requiem pour les peuples et les cultures comme en attestent la conduite immorale, sans fi ni loi, et les exactions effrayantes et inhumaines des siens vandalisant tout sur leur passage partout dans le monde et tout particulièrement en Syrie, en Irak, en Algérie dans les deux dernières décennies, au Sud du Soudan, en Afghanistan, au Nord du Nigéria en Somalie, etc…outre les milliers d’attentats terroristes dans les gares, les aéroports,les avions, les mosquées, les églises, les cimetières,  faisant des dizaines de milliers de victimes innocentes dont 90% seraient musulmanes.

Peut-être qu’on doit se garder de prêter des intentions malveillantes à Ennahdjha au patriotisme aussi douteux que le philosémitisme d’Hitler et cesser de la victimiser, mais alors qu’elle révèle aux tunisiens les vrais dessous son projet et les rassurer sur sa nature. Seulement un islamiste qui laisse tomber son masque n’a jamais existé  et ce n’est elle qui va le créer en dénonçant le complot qu’elle trame elle-même contre la Tunisie.

Comme le principe de présomption de l’innocence est un sacrilège dans le droit musulman qui ne reconnaît pas la philosophie humaniste du droit positif, Ennahdha est présumée coupable jusqu’à ce qu’elle passe aux aveux qui ne peuvent que conforter les accusations que tout tunisien lucide et censé doit porter à son encontre et exiger l’annulation pure et simple de son visa de parti politique. Comme si en France on remettait dans le jeu politique la Milice Française.

Il n’en demeure pas moins que ce projet soulève des zones d’ombres quant à ses modalités de mise en oeuvre, sa faisabilité et son efficacité. Ne pouvant faire l’économie des bonnes questions, on pourra toujours lui demander, pourquoi ce projet et à quoi cela va lui servir même s’il ne fait pas mystère  pour  personne ?  Comment va-t-elle gérer les flux migratoires ? Les structures d’accueil ? La Tunisie est-elle dotée d’infrastructures sanitaires et sociales nécessaires  pour l’accueil de l’afflux massif des « réfugiés » d’Allah à la recherche d’une nouvelle terre d’élection pour préparer leurs futures campagnes de djihad ? Le logement, les écoles. A moins qu’il ne s’agisse d’un nouvel Eldorado et c’est la ruée vers l’or ? Un pays en peine récession économique où la misère sévit, a-t-il les moyens de sa politique généreuse vis-à-vis de son frère islamique, et pas le chrétien ou le juif, nuance ?

Evidemment que dans l’idéologie islamiste, préférer son frère musulman au non-musulman, n’est pas symptomatique d’un quelconque racisme, car l’islam n’a jamais été raciste et tous les humains sont égaux devant Allah ! Ce n’est pas Allah non plus qui a élevé les musulmans au-dessus de tout le monde et les hommes au-dessus des femmes.

 Il s’agit ni plus ni plus ni moins que de la mise en oeuvre du processus de création du nouveau Tunisiastan, sans les tunisiens et avec les frères musulmans. Bienvenue en cette terre inhospitalière pour les siens aux valeureux colons et pionniers islamistes profil charognards infâmes

Le ventre de la bête immonde islamique est plus que jamais fécond

Pour calmer les esprits et en finir une fois pour toutes avec l’avidité démesurée, obsessionnelle  et sanguinaire de l’islam pour le pouvoir, je propose que le monde entier devienne musulman.
Le hic est que depuis les guerres de  religions en France, même si en réalité le monde  musulman baigne dans la barbarie depuis l’avènement de l’islam, on n’a jamais connu autant de haine féroce, de discorde  et d’effusion de sang au sein de la même famille religieuse.  Divisée en chiites et sunnites, lesquels se subdivisent en une  myriade de courants schismatiques qui se veulent chacun d’entre eux le vrai islam, devenu une sorte d’Arlésienne.

Ca fait 1435 ans que cela dure, qu’ils se dévorent entre eux comme des caïmans dans le même marigot. Tout le monde est contre le monde. Tout est prétexte pour s’entre-tuer, s’offrant en spectacle tragique pour le reste du monde. Nés pour s’auto-détruire et s’exterminer jusqu’au dernier, Eux qui rêvent de conquérir le monde et  de tuer tous les mécréants et surtout les juifs et les apostats, ils appliquent les prescrits coraniques à leurs dépens qui les exhortent à nettoyer la terre de tous les infidèles et  les insolents.

N’hésitant pas à se mener des véritables guerres saintes, car à leurs yeux les vrais ennemis de l’islam ne sont pas ceux que le Coran désigne comme tels, ce sont leurs propres coreligionnaires qui n’ont pas une lecture rigoriste et dogmatique de l’islam quand ce n’est pas les chiites auxquels les orthodoxes  leur vouent  une aversion pathologique pire que celle pour les juifs.

Jamais d’accord entre eux, minés et affaiblis par des guerres fratricides qui ont de leur Fitna le sixième pilier de l’islam, tels des schizoïdes-paranoïdes ils  sont pourtant convaincus que l’islam est une chance pour l’humanité  et un facteur de rapprochement entre les hommes, seul capable de les rassembler sous la même bannière alors qu’il est la source majeure de leurs dissensions  chroniques , de leur état d’émiettement et de l’hyper violence qui les caractérise,

De tout cela, ils n’n’en ont cure tant que c’est stipulé dans le Coran que l’islam est appelé à s’imposer à toute l’humanité . Peu importe qu’ils se nourrissent de leur propre chaire et s’abreuvent de leur propre sang tels des charognards.

Le ventre de la bête d’où a surgi un jour maudit pour l’humanité, la bête immonde musulmane est plus que jamais béat,mais inconscients et aveuglés par leurs pulsions meurtrières alimentées par le Coran lui-même et leurs délires mégalomaniaques  et hégémoniques,  incapables d’agir et d’exercer la moindre emprise sur les cours de leur propre destin politique,  ils continuent à regarder la bête musulmane  avec des yeux enamourés, l’encensant comme si elle était la belle au bois dormant.

Atteints de cécité mentale, ils persistent et signent dans leurs allégations que l’ogre musulman enfanté par Mahomet est injustement disqualifié et caricaturé.  Ils sont les seuls à croire en ses vertus humaines alors qu’il est le visage du monde des horreurs  et du grand effroi coranique.

L’islam est une véritable calamité pour eux les premiers au point que leurs vrais chefs-marionnettistes  ont compris tout l’intérêt de les jeter dans la fosse aux lions pour se dépecer entre eux comme des fauves.

Avec les musulmans on atteint aujourd’hui le stade ultime de la bêtise humaine comme c’est le cas en Syrie où ils se font la guerre entre eux au profit des Russes et  des Américains se font la guerre financée par les monarchies pétrolières . Les premiers sans bourse déliée et en se dispensant d’envoyer leurs soldats sur le front sont mus par des intérêts géostratégique s et géo énergétiques, les secondes dépensent sans compter pour rétablir le Califat islamique et abattre les Alaouites et les Chiites jugés comme des gangrènes dont il faut amputer le corps musulman.

Depuis la mort de Mahomet qui était lui-même incapable de réunir les tribus arabes autour d’un même dénominateur commun que pouvait être l’islam, les musulmans font de la détestation de leurs propres coreligionnaires leur seule raison d’être et de vivre.  Rien que l’Algérie et le Maroc qui se livrent depuis 3 décennies à une guerre larvée engloutissant des fortunes colossales dans une course effrénée aux armements  alors que tout rapproche ces deux pays même peuple, même culture, même histoire, mêmes langues, même religion, et pourtant impossible de les faire vivre sous le même toit alors l’islam est leur dénominateur commun.

En Egypte, en Tunisie ils sont tous musulmans paraît-il, ils comptabilisent même ceux qui n’ont pas choisi l’islam et qu’ils l’ont abjuré, l’islam a la faculté de tout nationaliser tout ce qui est né en son sein lui appartient, ils sont divisés en plus musulmans et moins musulmans, quand à la patrie c’est le cadet de leurs soucis, ils vont même se prostituer et prostituer leurs femmes et leurs filles mineures rien que pour s’attirer les bonnes grâces d’Allah.

Si l’islam qui est incapable d’unir les siens, les plongeant dans un état de chaos permanent se nourrissant de leur chair et s’abreuvant de leur sang, et malgré les évidences ses partisans dont certains en Europe vivent de la charité républicaine qu’ils abhorrent tant nous expliquent comment ils vont faire pour unifier le monde sous la bannière noire de l’islam ?
Hitler avait rêvé de le faire, bien avant lui César, tous ont crevé comme des rats, la malédiction de la folie de grandeur frappera aussi bien l’islam.

J’ai fait un rêve cette nuit d’une union entre l’Algérie et la Tunisie pour éradiquer la peste islamiste

J’ai fait un rêve cette nuit d’une u . 

Pour en finir avec la peste noire en Tunisie et en Algérie, il n’y a pas mieux que l’union sacrée entre les deux peuples qui n’en font qu’un en réalité.
La Tunisie seule n’y arrivera pas, l’Algérie non plus, à deux tout devient possible. Est-ce que l’Algérie a-t-elle s’accommoder de la présence des fameuses bases américaines,( une arlésienne ?) et d’un sanctuaire terroriste qui lui est réel4AI FA à sa frontière pour servir de haut lieu d’accueil des dizaines de milliers de vétérans djihadistes de la la Syrie du monde entier, dont une bonne partie serait détentrice de passeports tunisiens délivrés fraternellement par Ennahdha et ces traître de sinistre de l’intérieur. Aucun des deux pays ne peut assurer sa sécurité territoriale et par conséquent sa propre pérennité humaine sans un espace policier, militaire et politique commun. Ce n’est qu’un rêve contrairement au spectre du danger mortel de la peste islamiste qui est une réalité.
Dans mon rêve, j’ai rêvé aussi d’une Europe qui a gagné le droit d’avoir un nouvel Afghanistan à ses portes grâce à Sarkozy et Cameron. Croyant acheter sa propre sécurité au prix d’un marchandage criminel et irresponsable, elle ne va pas tarder de connaître elle aussi le retour du bâton. 
Quant aux E.U. et leur doctrine géo sécuritaire qui consiste à localiser le foyer de l’incendie là où il se trouve à l’extérieur de leurs frontières nationales pour le circonscrire en sortant les incendiaires de l’ombre grâce à l’entregent de ses protégés wahhabites, ils n’auront fait que souffler sur la braise oubliant au passage que le spectre de la peste prolifère aussi bien en leur sein qu’au sein de leur voisin canadien. Ils ne sont pas prêts d’en être épargnés. Leur obsession d’éviter un nouvel 11 septembre à n’importe quel prix n’hésitant pas à s’allier avec le diable lui-même qui l’ont instrumentalisé à une certaine époque pour combattre le communisme subiront le contre-coup du cauchemar des peuples qu’ils ont plongés dans l’enfer islamiste.

Il n’y a de combat que pour la liberté et la dignité, comme il n’y a pas de vie sans liberté

Notre combat pour le droit à la liberté d’opinion n’est certainement pas le vôtre, mais il sera un jour le vôtre quand vous aurez pris conscience que c’étai aussi le vôtre. Mais il est à craindre que ce jour-là vous n’ayez que vos larmes pour pleurer votre liberté perdue à tout jamais et dont vous étiez les premiers fossoyeurs par indifférence coupable vis-à-vis du combat qui est aujourd’hui le nôtre
Vous avez un devoir sacré de soutenir ceux qui mettent en péril leur vie pour que vive les libertés que vous avez trahie au nom de votre lâcheté et votre peur de vous-mêmes.
Nous autres, nous serons jamais les damnés de l’histoire qui sera écrite par les générations futures et auxquelles vous aurez des comptes à lui rendre parce que vous lui avez laissé en héritage  l’ignominie de votre capitulation et l’indignité humaine.
En vous battant avec nous vous vous battez avant tout pour vous-mêmes  et votre droit de vivre dans un monde débarrassé de la pesanteur liberticide de toutes les formes d’obscurantisme qu’il soit politique ou religieux qui a aujourd’hui le visage de l’islam et demain ce se sera le visage de votre démission devant la barbarie musulmane.
Pour vous voiler la face afin de ne pas vous regarder dans le miroir de la vérité, vous allez faire du mépris de soi, de la honte de vous-mêmes et de votre pleutrerie votre nouvelle foi dans la vie qui obscurcira votre existence misérable à tout jamais