Les islamistes, ces enfants chéris de l’islam et de l’Oncle Sam

Les révolutions du printemps wahhabite ont vêtu des habits de lumière des hommes du monde des ténèbres aux visages épouvantables et effrayants, qui feraient apparaître ceux de Dracula et Frankenstein comme humains, tellement ils sont transfigurés par la haine du genre humain, au point qu’on peut y lire les verstes coraniques sur le Grand Effroi et le racisme anti juif et antichrétien et de tout ce qui est différent de soi.

Grâce aux urnes des cendres de Dame Démocratie en Egypte et en Tunisie, ces figures de la mort sont devenues des figures médiatiques et populaires comme des médaillés olympiques, au point que les égyptiens qui ont fini par les dégager et beaucoup  plus les tunisiens  semblent regretter leurs anciens despotes qui avaient au moins pour eux un visage humain.

Beaucoup de questions resteront sans doute sans réponse, même si les réponses sont toutefois dans les questions, pourquoi l’Occident a-t-il adoubé ces ennemis du genre humain au passé terroriste et à leur filiation nazie avérée  ?

Pourquoi a-t-on détourné les révolutions de leur cours initial pour en faire un tremplin pour les propulser à la tête de ces pays ? Pourquoi l’Occident sacrifie-t-il à chaque fois les démocrates et les modernistes au profit des forces obscurantistes et qui sont un véritable danger pour lui-même ? Pourquoi l’Occident n’a t-il pas tiré les enseignements de la Révolution iranienne dont il continue à subir le contrecoup depuis 34 ans ? L’Occident n’a toujours pas compris que les amis qu’il fabrique lui-même deviennent ses pires ennemis et qu’il vaut mieux dresser un pitbull qu’un islamiste.

Comment peut-il jouer à fond la carte des partisans d’une idéologie dont les fondateurs ont résolument joué la carte du nazisme qui l’avait plongé dans l’horreur ?  Assurément, il ne va s’embarrasser de scrupules pour sauver ces peuples des affres du totalitarisme  théocratique et se montrer lui-même digne de ses propres idéaux aux dépens de ses intérêts énergétiques et -. On peut croire que ce cataclysme qu’on a appelé prosaïquement Révolutions du printemps arabe, alors que c’est plutôt l’hiver sibérien, est le prolongement du Pacte de Quincy du 14 février 1945 qui est une inféodation de l’Arabie naissante aux Etats-Unis d’Amérique et la cause  première des grands tourments du XXI e siècle.

Cette Arabie qui ambitionne de devenir la maîtresse spirituelle absolue du monde musulman et que les américains utilisent comme cheval de Troie pour s’y infiltrer insidieusement sans que cela n’éveille l’hostilité antiaméricaine des peuples musulmans, et ce n’est pas par hasard que locataire actuelle de la Maison Blanche le musulman on-assumé le Président Hussein Barak Obama s’est impliqué personnellement dans le bon déroulement de la transition démocratique en Tunisie dont il voulait faire une vitrine de l’islamisme humanisé et fréquentable comme si une révolution a besoin d’un chemin de transit où les guides sont ceux-là mêmes contre lesquels les peuples tunisiens et égyptiens s’étaient révoltés.

C’est en toute logique qu’Obama  a sorti de sa manche tel un prestidigitateur ces figures d’épouvante qui  sont en train de plonger ces peuples  dans le pire cauchemar de leur histoire depuis l’invasion des arabes du désert d’Arabie. Grâce à la sollicitude toute fraternelle de leur nouveau mentor américain, ils ont fait le plus  démocratiquement du monde d’une pierre deux coups, devenir des hommes de pouvoir alors qu’ils sont incapables de gérer un mausolée comme dirait le Pr Mohamed Talbi d’une part et d’autre part imposer une dictature théocratique pour mettre fin  à tout jamais au rêve démocratique du peuple tunisien et éviter tout effet de contagion. Car non seulement la démocratie est  jugée comme un sacrilège dans l’islam et plus concrètement elle peut signifier l’arrêt de mort de l’Arabie Saoudite elle-même. D’autant plus qu’un musulman n’a pas à exercer son libre-choix et exprimer son désir de changement s’il veut mériter de la récompense que lui fait miroiter le Grand Maître de sa pensée et Manipulateur Escroc.

En faisant croire qu’ils vont faire de la Tunisie un nouveau laboratoire pour les pays musulmans pour y construire une démocratie islamiste, un sacrilège aux yeux de l’islam et un oxymore, les occidentaux réhabilitent volontairement ou non Adolph Hitler auquel les islamistes vouent un véritable culte comme s’il était un élu d’Allah a réussi son pari de conquête du pouvoir en Allemagne au moyen de la démocratie, tout indique que les descendants de ses anciens collabos issus de l’école  juridique sunnite Hanbalite vont rééditer son exploit et s’installer  comme les principaux acteurs du jeu politique dans leurs pays notamment en Tunisie qui sont dans un état de délitement économique, culturel, intellectuel et social; Sans aucun repère  ni horizon politique en dehors de leur identité arabo-islamique et le Jugement dernier qui sont leur seul antidote à leur mal-être. Subséquemment, il est impossible aujourd’hui de faire l’économie d’établir un tel parallèle entre les mouvements nazis et islamistes qoutbistes et surtout qu il est impérieux de ne pas retomber dans les entraves allemandes dans les années 20 et 30.

L’expérience tragique allemande doit servir de leçons aux électeurs tunisiens et égyptiens qui portent une lourde responsabilité dans le choix du paysage  politique et humain futur de leurs pays respectifs afin que le jeu démocratique  actuel n’ait pas les effets pervers et ne débouche pas sur les mêmes horreurs passées. Aussi bien les qoutbistes tunisiens qu’égyptiens  se positionnent en libérateurs de Palestine, un pur fantasme pour exalter le sentiment de la haine du juif,  inscrit en toutes lettres dans la Charte de la Confrérie des Frères Musulmans.

Retors et pervers, ils ont compris toutes les retombées médiatiques dont ils peuvent bénéficier en faisant semblant de s’afficher publiquement à côté des amis d’Israël n’hésitant pas à rallier B.H.L à leur cause pour faire de lui leur V.R.P. attitré .Contrairement aux idées reçues, Ils sont loin d’être des simples faire-valoir et des pions sur l’échiquier sioniste. Ils entrent dans le jeu de leurs ennemis pour mieux le surprendre et le poignarder dans le dos. Ils n’attaquent jamais de face ni n’avancent à visage découvert.

Leurs mots d’ordre c’est laisser croire et faire croire et ne reculer devant rien pour arriver à ses fins y compris pactiser avec Satan dont ils sont la pire progéniture qu’ils veulent tuer pour lui prendre la place.

Ce ne sont pas par conséquent des banales photos prises en compagnie de B.H.L. ou l’accolade donnée par Hamadi Jébali à Mc Cain qui vont témoigner de leur sympathie pour les sionistes loin s(en faut. Cette promiscuité apparente est un verni pour camoufler leurs véritables desseins surannés futurs pour détruire l’Etat d’Israël, « cette tumeur cancéreuse qui doit disparaître » selon les propos d’Ahmedinajad  et que le petit nazillon tunisien Rached Ghannouci traite de bacille dont il a prédit la fin à l’horizon  2027.

Ils ne sont pas plus philosionistes que philosémites,ils manipulent l’image comme ils sèment la terreur. C’est une alliance toute tactique pour ne pas la qualifier de stratégique, un peu sur le modèle de celle d’Hitler avec Staline, N’ayant pas les moyens de mener une guerre frontale à Israël, ils savent qu’ils ne peuvent y arriver que par la ruse et l’entourloupe. Eux qui veulent venger Mahomet de l’affront que lui ont fait les juifs de ne pas l’avoir reconnu en tant que prophète, ils ne vont commettre un tel sacrilège en devenant des amis sincères des sionistes qui est avant tout pour eux un juif  et abjurer leur serment de faire payer à ce dernier le prix de sn insolence et son désaveu à l’égard de leur prophète. Ils doivent réparer le mal par le mal, il n’y a que l’élimination définitive du juif qui pourra calmer leur appétit féroce de vengeance et offrir ainsi au Pape du Sunnisme al Qaradhaoui la joie de prier à la  fin de ses jours à la Mosquée comme il appelait de tous ses vœux en 2009 sur le plateau d’al Jazeera où il exhortait les musulmans du monde entier d’achever le travail d’extermination du peuple juif commencé par Hitler, cet autre envoyé d’Allah selon ses propres termes. . .

Ne soyons pas dupes de leur jeu de cirque qui n’est rien d’autre qu’un jeu camouflé de la roulette russe qu’il réserve au peuple juif et qui leur sert en réalité de verni pour masquer leur haine du juif. Tout ceci est symptomatique de la résurgence de la résurgence de l’enfer nazislamiste, celui prophétisé  par le Coran  aux juifs  et mis en oeuvre par les nazis irrigués par Mein Kampf que Mahomet lui-même n’aurait pas renié tellement il faisait écho à sa propre haine du juif.

Quand la folie devient une culture politique : cas de la Tunisie

Un peuple majoritairement déprimé et diagnostiqué comme tel par l’O.MS.  souffrant de graves troubles psycho-affectifs et psychopathologiques  avec des complications neuropsychologiques dégénératives dont la cause est imputée à une surdose  de consommation de produits hallucinogènes radioactifs qui irradient directement le cerveau importés du Qatar et d’Arabie Saoudite  par le canal des chaînes de télévision,  ne peut être gouverné que par des  sujets  plus atteints que lui et auxquels il s’identifie.

On aime toujours ses semblables dans la folie. C’est pourquoi l’arène politique tunisienne n’est peuplée que par des détraqués mentaux rivalisant dans la surenchère psychédélique.  Et c’est tout naturellement  le plus atteint d’entre eux  qui a pu remporter la timbale de la folie suprême devenant ainsi le fou-président de la masse des aliénés tenue en laisse par des escadrons d’infirmiers psychiatriques d’un genre particulier plus effrayant que les Hydres de la mythologie grecque combattues et vaincues par  Hercul.

La Tunisie est depuis longtemps un asile de fous plus ou moins atteints, à dose modérée, mais depuis la chute de son ancien despote et le retour en force du charlatanisme religieux, son état pathologique s’est considérablement détérioré donnant au  pays a des allures d’un camp d’internement gigantesque en milieu pouvert à l’échelle de tout son territoire pour des fous dangereux.

Après 1400 ans de germination, la semence de cette folie portant le nom médical d’islam a commencé à donner ses premiers fruits venimeux et hallucinogènes dès le lendemain du renvoi brutal de l’apprenti botaniste en chef Ben Ali qui avait excellé dans la culture de cette semence tchernobylienne malgré son faible Q.I. Même si le mérite de cette contamination pandémique incurable revient à Mohamed M’zali arabophile patenté mais qui avait pour son exil profité de la douceur de vivre de l’Occident.
Le poison fait de plus en plus des dégâts neurologiques sur ce pauvre peuple en proie à des crises hallucinatoires collectives 24 h/24 h que rien ne peut arrêter drogué comme jamais à l’opium de la religion, une substance néfaste pour le cerveau humain et dont le coût représente le 1/4 du budget de l’Etat.  On préfère soigner la folie tunisienne en augmentant la dose du poison plutôt que d’en diminuer la dose en ouvrant des foyers thérapeutiques pour les immuniser contre ce virus mental.

A la vitesse de la propagation de sa maladie parasitaire importée tout droit du désert d’Arabie, le pays va être bientôt mis en quarantaine par la communauté internationale à cause des forts risques de contagion. Il est temps que l’O.M.S. déclare la Tunisie dans un état de dégénérescence mentale irréversible.

Il n’y a rien d’étonnant par ailleurs que la majorité du peuple ignore les sains d’esprit et  ceux qui veulent l’éclairer et s’identifie comme un seul homme à ces fous incultes, parasites, narcissiques et mégalomaniaques qui se prennent pour le nombril du peuple.
En substance seuls ceux qui ont des délires démentiels ont la côte auprès de ce peuple qui ne se reconnaît qu’à travers ses fous chéris.

Si en effet, le fugitif de Sainte-Anne, hôpital psychiatrique parisien et psychopathe Moncef Marzougui,  n’est pas prêt  d’abréger  son séjour d’internement au Palais de Carthage, haut lieu d’intrigues et d’élucubrations ubuesques,  où il aime convier les fous d’Allah, car  le peuple a besoin de lui pour lui servir d’antidépresseurs  pour soigner son mal-être et ses angoisses existentielles.  En attendant le futur Godot pas celui de Brecht mais celui du vol au-dessus du nid du spectre wahhabite qui hante les jours et nuits des tunisiens.
Le peuple a grandement besoin de son soporifique marzouguien et ne veut pas se priver de si tôt des  frasques burlesques du bouffon de Carthage qui le distraient et dont il se délecte  comme un fou de même qu’il se réjouit de l’extravagance pornographique langagière de ses autres fous qui se voient fou en chef inconscients qu’ils sont eux aussi des cas cliniques autrement plus lourds que le cas de Marzougui.

L’islam veut mettre la main sur le monde pour instaurer son pouvoir hégémonique absolu

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FrMeinKampf20050214 (Photo credit: Wikipedia)

L’islam est en guerre du djihad partout dans le monde, il veut tout islamiser de gré ou de force, plus de force que de gré, il faut vraiment souffrir de lourdes pathologies mentales  pour l’embrasser , et le monde fait l’autruche et continue à voir en lui un ami qui te veut du bien.

Des morts par dizaines de milliers depuis 2001, des millions de chrétiens persécutés, des dizaines de millions de démocrates vivant au sein du monde musulmans menacés de mort.  Quand aux milliers de jeunes européens embrigadés par l’islam  souvent mineurs devenus djihadistes,  centaines de millions d’enfants, de femmes, d’homosexuels, de travailleurs immigrés qui vivent l’enfer dans les pays colonisés par l’islam qui s’inquiètent de leur sort comparable à celui des juifs et des minorités  en Allemagne dans les années 30 ?   Le même silence troublant qu’à l’époque du nazisme dont il est le père géniteur. Comme dirait Qaradhaoui comme Hitler n’avait pas fini le travail qu’Allah lui avait confié, il revient aux musulmans de l’achever.

Il n’y a pas de liberté de culte qui tienne avec un une religion qui n’en est pas une et qui ne reconnait aucun droit aux non musulmans sur ses terres et qui oppriment et tuent ceux qui lui sont soumis qui veulent exercer leur liberté de conscience. S’il était vraiment une religion, il comprendrait que la foi est une question de choix personnel et en aucun cas une contrainte.
Une religion obsédés par ses délires hégémoniques et mégalomaniaques, qui veut ramener l’humanité à la préhistoire qui se veut un nouvel ordre mondial et une la loi parfaite et unique pour tout l’univers. Une religion connue pour tout détruire sur son passage, pire que le napalm tuant tout l’écosystème, qui n’a de respect de la vie que la mort qu’elle propage.
En guise d’apport civilisationnel, elle a brisé les peuples dans leur élan, les étranglant, les asphyxiant, les diluant dans son acide culturel,  effaçant de leur mémoire leur propre identité et leur culture. Ses dégâts sur eux sont incommensurable partout où elle passe, transformant les ères géographiques tombées sous son joug en de véritables bagnes pour les femmes, un supplice pour les enfants, rendant licites des mœurs intolérables pour la raison humaine, les réduisant ainsi à l’état sauvage.
L’islam est un anti modèle pour l’humanité, un antisystème qui veut abêtir et abrutir les peuples à l’image des arabes d’Arabie et des afghans, leur inoculer le virus de l’oisiveté pour les installer dans un état de désespoir durable dont le seul motus vivendi est la négation de vie.
Il suffit de dresser lez bilan actuel des pays de l’O.C.I. pour constater que son bilan est l’un des pires qui puissent exister, l’islam est la ruine des peuples, leur frein inhibiteur  par excellence, les chaînes qui entravent leur soif de liberté, un castrateur de leur imaginaire, un puissant soporifique qui les maintient dans un état de léthargie chronique, un ennemi de la créativité et la création,  comment peut-on croire qu’il va être un salut pour l’humanité alors que les faits démontrent aisément tout le contraire et qui doit inciter le monde à une vigilance  extrême à son égard ?
 L’islam est un prédateur féroce  pire que le nazisme à cause de son idéologie prosélyte et suprématiste, auquel il faut  apporter une riposte appropriée et le stopper d’ores et déjà dans sa progression territoriale comme vient de le faire l’Angola. On ne caresse jamais un charognard dans le sens du poil qui rêve  de faire parsemer sur son chemin de cadavres comme ceux des chrétiens du Nord de Nigéria ou au Pakistan.
Tant que le monde le laisse faire, rien ne l’arrêtera dans ses desseins de conquête et enrayer ses offensives impérialistes, à chaque fois qu’on lui cède une pouce du territoire pour construire un sanctuaire djihadiste en l’occurrence la mosquée, une sorte de Kommandantur, il engrange cela comme une victoire, et de victoire en victoire, c’est-à-dire de construction en construction il est persuadé que la victoire finale est acquise et qu’il pourra islamiser avec l’acquiescement des autorités politiques et judiciaires des pays du dar al harb,les pays de la guerre,  en marquant son territoire et imposer ses normes politico-religieuses comme le seul mode de vie en société et le seul système d’organisation de l’Etat n’est pas une religion. Sauf pour mériter du statut de bourreau de l’humanité.
Ne peuvent s’y reconnaitre que les pervers, les dépravés sexuels, les messianiques, les suicidaires, les psychopathes, les inadaptés sociaux, laissés pour compte du système capitaliste, les revanchards qui veulent entrainer le monde à sa perte pour assouvir leur vengeance d’être exclus du banquet, les rebuts humains, les gourous, les ultraviolents et les pédophiles qui cherchent à donner libre-cours à leurs pulsions en toute légitimité et tous ceux aveuglés par leur propre haine d’eux-mêmes et de leurs semblables qui les renvoient à cette part d’humanité qui est en eux qu’ils veulent exterminer afin que leur état d’anormalité apparaisse comme parfait.
Le monde inconscient, naïf, irresponsable et veule  ne se rend pas compte que l’islam met en péril sa pérennité. Sait-il au moins demandé pourquoi Hitler est populaire chez les musulmans et Mein Kampf est un des livres les plus lus chez eux ? Ce n’est certainement pas les associations antiracistes et des droits de l’hommisme occidentaux, le comité de l’O.N.U. pour les droits de l’homme qui vont le mettre en garde contre sa haute nocivité alors l’O.N.U. veut pénaliser le délit de blasphème. Ce n’est pas en autorisant les musulmans à se doter de ligues de défense de l’islam et d’observatoires sur l’islamophobie que l’on va enrayer sa radioactivité.
Etre musulman, c’est être contre les lois qui ne sont  pas d’essence musulmane.
 L’islam tisse sa toile d’araignée aux quatre coins de la terre, semant les graines du racisme, de la discorde entre les hommes, de la barbarie humaine et de l’homophobie et on fait comme si de rien était, le confortant dans sa toute puissance et son pouvoir hégémonique au nom des de la Charte universelle des droits de l’homme et du citoyen que lui-même il ne reconnait pas et des lois antiracistes alors qu’il n’y a plus raciste que l’islam lui-même.
C’est grâce au parachute politico-juridique que lui déploie le monde libre qu’il impose progressivement son diktat le plus normalement du monde jusqu’au jour où ce parachute sera transformé en cauchemar de l’humanité.  Mais il sera trop tard pour l’éradiquer.
Pourtant son message du 11 septembre est très clair : je déclare la guerre au monde entier et ces attentats ne sont qu’un coup de semonce du Grand Effroi coranique qui s’annonce.

L’islam est la pire calamité qui puisse exister

English: Ruhollah Khomeini فارسی: امام خمینی ر...
English: Ruhollah Khomeini فارسی: امام خمینی رهبر انقلاب اسلامی (Photo credit: Wikipedia)

Les musulmans ont beau se voiler la face et se draper dans les habits de la vertu oubliant que les apparences sont souvent trompeuses et que la foi n’a pas besoin d’être mise en scène et exhibée. Les vrais croyants n’ont pas besoin d’arborer des signes ostentatoire  et d’adopter des stéréotypes vestimentaires pour afficher leur signe d’appartenance et par de là leur rejet de normes et valeurs qui n’ont pas de caractère civil.  C’est une foi en trompe l’œil dont ils ne sont pas convaincus eux-mêmes croyant qu’en arborant des tenues  non-conventionnelles, cela va leur donner une aura qui va susciter respect et considération. Or, c’est tout le contraire qui se produit, ils ne font que témoigner de leur volonté de ne pas se plier aux règles du jeu et de leur incapacité de s’intégrer  et d’apporter leur contribution à l’édification  d’une société ouverte et plurielle dont ils sont toujours les premiers bénéficiaires. Si les juifs s’étaient vus imposer malgré eux le port de l’étoile jaune par les nazis à des fins racistes, eux ils s’imposent à eux-mêmes les signes de l’infamie et le symbole de leur propre racisme à l’égard de ceux qui ne sont pas dans leur moule.

Une religion qui fait du camouflage un rituel religieux, est la preuve qu’elle a peur de se livrer elle-même au regard du monde extérieur, celui qu’elle stigmatise tant et dénigre parce qu’elle n’a pas le courage de l’affronter à la loyale et qu’elle préfère toujours l’attaquer par surprise, n’hésitant pas à  semer la terreur et la mort  au sein de ses propres adeptes tel un père infanticide..
En voulant s’enfermer dans l’obscurité comme elle enferme ses femmes elle témoigne de l’esprit obscurantiste et ténébreux qui est le sien.
L’islam n’est ni dénaturé ni défiguré, il se cache surtout  derrière le voile opaque mystificateur, la takiyya, qui lui permet de de ne pas se trouver sur le banc des idéologies de l’infamie humaine comme le nazisme.  Pour sa défense, il se prévaut d’une hypothétique filiation avec le christianisme et le judaïsme afin de pouvoir bénéficier d’une certaine bienveillance et légitimité,  même si sa grande frustration est de ne pas avoir le statut de religion biblique, alors que la théologie musulmane manque cruellement de cohérence interne et de fil conducteur.
Que les musulmans apprennent enfin à se poser les vraies questions sur la nature hybride et fantasmagorique de l’islam, au lieu de s’enflammer au moindre regard réprobateur de leur comportement ou se réfugier derrière le bouclier du sacré pour empêcher tout travail d’analyse et d’introspection de leur religion qu’ils sont incapables de réaliser eux-mêmes ?
Pourquoi cette religion a-t-elle outrepassé de son rôle de religion pour devenir un sujet d’actualité funeste et morbide alors que le rôle de la religion est justement pas d’être un sujet d’histoire alimentant les discussions des cafés de commerce ? Pourquoi occupe-t-elle aujourd’hui la rubrique des faits divers des médias ?  Pourquoi depuis les attentats du 11 septembre 2001 son nom est accolé à la barbarie terroriste ?  Pourquoi le nom de l’islam se trouve être associé malgré lui ou avec son plein assentiment aux années de braise terroriste en Algérie et au génocide du sud du Soudan ?  Pourquoi ses propres enfants, ceux qui militent pour un islam prosélyte activiste et hégémonique, ont rendu cette religion synonyme d’homélie funèbre et de requiem pour les défunts, continuent ils en toute impunité, voire un silence d adhésion et regarder avec mansuétude, à alimenter et nourrir les phobies anti-musulmanes ?  Pourquoi l’ islam est assimilé à la violence urbaine, à la terreur barbare, à l’archaïsme et aux atteintes dégradantes et inhumaines à la condition féminine et infantile ?
La réalité des faits est implacable, elle ne relève d aucune campagne de dénigrement ou de discrédit à l égard de l’islam.  Au lieu de contribuer à l’amélioration de l’image de leur religion et de la rendre plus rassurante et pacifique, ils continuent à lui creuser les sillons de la voie de la barbarie humaine.
A force de promouvoir une image de frayeur et de terreur dans laquelle ne se reconnait pas la majorité musulmane mais qui par indolence, par couardise et apathie se résigne à laisser une minorité agissante et ultra violente s ériger en nouveaux messies et seigneurs de la guerre sainte.
Autant, cette majorité est tétanisée et inhibée par les pratiques idolâtres et contraires aux dogmes de l islam, autant elle s’émeut, s’agite et s’embrase dès qu’elle considère que l’on a cherché à bafouer sa foi.  Cette ambivalence à la limite de la schizophrénie est symptomatique de leur incapacité pathologique à inscrire leur religion dans la modernité.
A n’en pas douter, les vrais ennemis de l’islam, ce n’est  pas ceux qui mènent un combat acharné pour désacraliser et démystifier l’islam et qui font de l’homme le cœur de la vie et seul maître de son destin humain. Ce n’est donc pas  Wafa Sultan, ni Salman Rushdie ni Salima Tasreen et encore moins Naguib Mahfoudh, ni Taha Hussein, ni Ibn Warrak, ni mon ami Sami Aldeeb, ni moi-même depuis que suis répertorié dans un recueil inquisitorial appelé pompeusement Dictionnaire de l’islamophobie, qui servent plutôt de boucs-émissaires aux radicaux musulmans qui jouent aux gardiens du temple musulman dont ils sont les premiers démolisseurs  comme c’est le cas en Syrie et les pays dits du Printemps « Arabe ».
Ce sont eux les vrais ennemis de la religion, ils prospèrent en toute impunité son sein et qui veulent tuer Dieu et le prophète pour s emparer de la boîte de Pandore afin régner sur la cité.
Une cité peuplée de renégats sans foi ni loi, arrogants, imbus d’eux-mêmes et se prenant pour les seigneurs de l’humanité alors qu’ils sont pires que des esclaves, des éternels soumis et donc incapables de briser les chaînes qui les entravent mentalement et physiquement. Coupables d’atteintes à l’ordre public, confondant les ries avec des lieux de culte au comportement envahissant et colonisateur.
Et ce n’est pas en criant à la vengeance pour laver l’affront fait à leur religion qui est elle-même une offense à la raison humaine qu’ils vont rassurer tous ceux et celles qui s inquiètent légitimement du spectre de la terreur brandi par une minorité de musulmans ?  Les mêmes inquiétudes sont ravivées chez les musulmans qui ont humanisé l’islam  mais qui ont peur de vivre dans l’islam contraignant et étouffant  comme c’est le cas des tunisiens ou’ il existe aujourd’hui parmi eux des courants quelque peu réticents et à l’i’slam tant dans son expression politique que spirituelle.  La Révolution tunisienne a levé le voile sur un pan de  l’islam fort méconnu c est que tous les musulmans n’ aspirent pas à vivre leur soi-disant islamité dans toute sa plénitude dans leurs propres sociétés. Ce sentiment de rejet est renforcé par la montée du péril islamiste qui se veut le maître absolu de la vie dans la cité jusqu’aux alcôves.
Peut-être qu’il reviendrait au monde non- musulman d’aider les musulmans de sortir de l’islam comme l’avait suggéré autrefois E. Renan ?

Pourquoi le monde doit combattre la charia comme il avait combattu l’Apartheid et le nazisme ?

La charia tout le monde en parle mais personne ne sait de quoi elle se retourne. A travers les images véhiculées sur elle par la majorité des pays musulmans elle n’a pas sa place au XXI e siècle elle doit être combattue au même titre que l’Apartheid et le nazisme. Elle porte en elle tous les germes des crimes contre l’humanité. Le débat est moins de savoir si son essence est humaine ou divine, ce que l’on doit retenir c’est la réalité des faits qui ont atteint les sommets de l’inhumanité et de la barbarie. Tous ces actes abominables commis en son nom attestent de son incompatibilité avec la raison humaine et des menaces qu’elle fait peser sur les libertés, la sécurité et la paix dans le monde.
La charia dépasse en cruauté et haine de l’autre les pires idéologies totalitaires et fasciste. Censée être la source à laquelle doivent s’abreuver les musulmans et la voie qu’ils sont tenus à emprunter, c’est elle qui façonne, régule, réglemente, conditionne, norme, articule et module leur vie de la naissance jusqu’à la mort. Elle n’est pas seulement leur loi de Talion elle est surtout le moule unique dans lequel doivent se fondre tous les musulmans.
En effet, la charia fixe  et détermine le cadre juridique, dogmatique, social, sociétal, relationnel, cultuel et politique nécessaire à la vie des musulmans qui leur interdit toute forme d’innovation, d’adaptation et d’aménagement.
Elle est leur code de bonne conduite qui stipule les obligations auxquelles doivent se conformer les musulmans.
Le musulman n’a pas le droit de concevoir, de réfléchir sur le mode d’organisation de sa vie, il doit obéir et transposer dans la réalité les prescrits de sa foi.
Elle est le moteur, le code de la route pour tous les musulmans et le phare qui éclaire leur chemin qui les relie à leur créateur.

« Juge alors parmi eux d’après ce qu’Allah (Dieu) a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, et prends garde qu’ils ne tentent de t’éloigner d’une partie de ce qu’Allah (Dieu) t’a révélé. Et puis, s’ils refusent (le jugement révélé) sache qu’Allah (Dieu) veut les affliger [ici-bas] pour une partie de leurs péchés. Beaucoup de gens, certes, sont des pervers. »— sourate 5, verset 49

« Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus : « établissez la religion ; et n’en faites pas un sujet de division ». Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent. »— sourate 42, verset 13

« Puis Nous t’avons mis sur la voie de l’Ordre [une religion claire et parfaite]. Suis-la donc et ne suis pas les passions de ceux qui ne savent pas. »— sourate 45, verset 18

Ainsi, Il est impossible  pour un musulman de se soumettre à d’autres lois que la charia, de l’arabe char’et chir’ah qui veut dire tarik, la route du respect de la loi divine qui sans elle un musulman cesse de l’être et ratera son plus grand malheur l’accès au paradis qui est son véritable idéal de vie. Un musulman est moins attaché aux bienfaits du monde réel que les perspectives des prébendes promises par Allah dans sa vie éternelle après sa mort.

En coupant ou remettant en cause ce cordon ombilical qui le relie à son objectif ultime, il ira tout droit dans les feux ardents de l’enfer. D’où l’importance vitale pour lui de ne pas abandonner la voie, la charia qui lui assure la réalisation de son rêve du paradis.
Contrairement aux idées reçues et soutenues par le Pr Mohamed Talbi, la charia comme je viens de la définir ci-dessus ne se résume pas à sa codification sous le règle du Califat Abbasside au XI e siècle soit deux siècles après la mort de Mahomet, il ne peut y avoir d’islam sans la charia.
Qui dit islam dit idéologie suprématiste, hégémonique , cosmique, liberticide, raciste, ethnocentrique,  génocidaire et destructrice des peuples et des cultures. La charia s’avère être le mode d’emploi, la ligne obligatoire, le catalyseur  et le substrat doctrinaire pour permettre à l’islam d’atteindre ses objectifs de régner en maître sur toute l’humanité unifiée sous la bannière de l’islam et gouvernée par ses seules lois.
La charia  vise en réalité à créer les conditions d’islamisation du monde par l’islam  et les moyens à mettre en oeuvre pour y parvenir. Elle est un guide essentiel dans la vie des musulmans, leur mode d’emploi, le vade-mecum de l’islam pour jeter les bases indispensables à l’édification de l’oumma islamique, une cité idéale planétaire,  une sorte de Reich nazie sous les ordres d’un Calife.
La charia qui est l’islam lui-même fait obligation aux musulmans d’ oeuvrer par tous les moyens à concrétiser la prophétie coranique d’installer Allah dans le trône de l’univers. car la raison d’être de l’Islam, c’est de croire que toute l’humanité s’abandonnera un jour ou l’autre à Allah qui passera par le dévouement et l’activisme sans faille de ses fidèles. Le rêve de l’islam dont la charia est l’arme de conquête est de détruire l’humanité diversifiée, plurielle et différenciée.
C’est pourquoi, il est irresponsable et dangereux de la laisser prospérer en toute impunité pour ne pas soi-disant heurter les musulmans dans leur croyance qui est pour eux la loi de l’islam, alors qu’ils sont les premières victimes de  son poison mortel.
Ne pas prendre la mesure de sa haute toxicité afin de l’éradiquer, c’est tout simplement exposer l’humanité à une probable contamination et banaliser la pédophilie et le racisme anti-femme.
Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellation, la lapidation, la décapitation, le bannissement, des femmes, la dhimmitude, le système ignoble de la kafala, le dlihad, le dijihad du nikah, le délit du blasphème, l’apostasie, l’esclavagisme, les rapts, les razzias, l’inquisition, le viol conjugal, l’homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc.
Son caractère machiste,ségrégationniste,discriminatoire, inégalitaire, raciste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice.
Ainsi une femme victime d abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d un viol à Dubaï et qui s est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon 2004).
Aux termes de cette loi canonique la femme est un champ de labour qu’Allah a offert à l’appétit sexuel du mâle musulman. Un objet lubrique, une poupée gonflable, n’est-elle pas dépourvue de foi et de raison ? Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille en cas d absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d insoumission et le Châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet). La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes. L’éternel bouc-émissaire de tous les maux incurables qui frappent les musulmans depuis 1435 ans.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l état d objet sexuel dont la seule fonction sociale est d assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme) Le corps de la femme n est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l homme qu’il pourra labourer qu’il pourra labourer à volonté. Le mariage n est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune pérenne comme dans notre droit positif.
La charia qui fait de la polygamie son mode d’expression majeure et donc de la femme un bien marchande de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit de veto, l’immunisant contre toutes tentatives velléitaires de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable: le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure et en l absence de motif valable et sérieux.
A supposer qu’il y en ait mais mais il est laissé à l’entière appréciation de l’homme, seul procureur, juge et partie dans le cas d’espèce sans que les droits de la défense soient reconnus du fait qu’il détient aux termes de la charia un droit de prééminence sur la femme, son obligée inconditionnelle, sa chose, est souverain, il jouit d’un pouvoir totalitaire qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme qui n’est pas en droit d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation.
De même que la charia fait interdiction absolue à un homme marié à une non musulmane d’élever ses enfants dans une autre religion que la sienne.
L’enfant est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n est rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit des femmes au  profit de son maître-esclavagiste sous couvert du sacré.

La charia n’est pas que la loi de l’islam, elle est un crime contre l’humanité

 Un musulman ne se conformant pas à la charia qui signifie en arabe, voie, chemin voire racine,  est promu au pire châtiment, « il sera amené en aveugle au rassemblement »  (20 : 123-124), que peut-attendre de la part des hommes plus préoccupés du repos de leurs âmes  à la résurrection qui dépend de leur observation stricte de la charia qu’au respect des lois qui ne sont pas « révélées » et donc imparfaites et illicites ?
La charia qui se veut la loi finale pour tous les hommes après avoir  abrogé toutes les autres lois révélées ne peut pas tolérer qu’il puisse avoir d’autres lois qui ne sont pas les siennes. C’est pourquoi de plus en plus des délinquants et  djihadistes musulmans n’acceptent pas d’être jugés par des lois  qui ne sont pas frappées du sceau de l’islam. S’y soumettre est un sacrilège pour eux, pire encore un blasphème. Un acte d’insoumission à la volonté de celui qui sera le seul juge des actes des hommes au vrai jugement. Forts de leur conviction que seules ses lois sont complètes et parfaites, il leur suffirait de suivre  la seule feuille de route temporelle et spirituelle qui  les protéger de tout égarement et la tentation du mal. Ce qui laisse clairement entendre que les musulmans doivent refuser de se soumettre aux lois incompatibles avec la charia.
Il n’y a que les naïfs qui croient que les musulmans sont intégrables et à même de se plier aux lois de la république et aux conventions internationales. Eux qui placent la charia au-dessus de toutes les lois, ne vont pas se rabaisser à adopter des  lois non-musulmanes. 
Sais-t-on que toute mansuétude et laxisme à l’égard des mouvements totalitaires et génocidaires équivaut à la reconnaître implicitement et contribuer progressivement à l’instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’islamisme polymorphe qu’il soit jihadiste, salafiste ou qoutbiste frères musulmans ?
Comment nos sociétés démocratiques peuvent elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est d’utiliser les lois de la république pour mieux l’achever et substituer à des  lois humaines, fruits des assemblées démocratiques, une loi synonyme  de désordre  moral, d’injustice, d’arbitraire, de racisme, d’antisémitisme, de lapidation, de mutilation, d’amputation, de viol, de pédophilie, d’inquisition, de décapitation, de brimades, de sexisme érigé en dogme religieux, d’inégalités, d’avilissement et asservissement de la femme et de la négation de ses droits. Une loi qui donnerait aux lois raciales de Nüremberg des relents humains. Un véritable poison pour les droits de l’homme et des libertés publiques.
Comme si on oublie ou feint d’oublier que la charia qui fait du musulman juge, partie et bourreau, est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses. C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion, brimades, harcèlement, violence, exaction, sévices sexuels, voire meurtre, autant de crimes et délits qui échapperont au couperet de la justice républicaine, au nom de l’exception des lois de l’islam et par conséquent de leur suprématie sur les lois républicaines confortant ainsi les musulmans dans leur mépris et rejet des lois non-musulmanes.
Avec elle, du monde des lumières, l’humanité plongera dans le monde des ténèbres.
De l’ordre juridique de droit positif, elle  passe au désordre juridique et au règne de la loi du plus fort. Scellant le sort de la femme, de l’autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains.
Admettre l’usage de la charia dans les cités, c’est lui reconnaître un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de veto sur nos lois puisqu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi.
A moins d être maso, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied. Nul ne saurait affirmer que cette loi divine a toutes les caractéristiques d une loi. N’importe quel croyant en l’absence de clergé peut s’ériger en législateur et juge selon l interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale.
Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l’ objet de toutes les spéculations interprétatives et l’imprécises des règles susceptibles de l’encadrer et la formuler.
Le fait qu elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambiguë, sujette à caution et inapplicable.
En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh: » c’est un concept spirituel, donc synonyme d un cheminement personnel mais qui, à travers l histoire, couvre le travail des Ecoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites en Turquie, hanbalites en Arabie Saoudite, si bien que le droit musulman est varié et il n a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour. »
Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ?
Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 Ecoles juridiques(madhahb) ne peut que susciter de sérieux doutes sur sa rationalité juridique.
Tout indique que la charia n est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu’elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétativité propre à chaque école.
Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation. Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensées théologiques comme le Mu’atazalite et l’Asharites, au VIIIème et IXème siècles, ne peuvent que le lever le voile sur l’impossibilité de sa reformulation et de sa clarification.
Ce qui va de soi dans la mesure où le peut rationaliser l’irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence à une loi abscons, hyper subjective et apocryphe en lui accordant le statut d un code juridique soi-disant d essence divine supposé régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique. Alors que dans notre système juridique non seulement nul n’est au-dessus des lois, mais surtout que nul n’est exclu du champ de la loi. Une loi pour tous indépendamment des croyances, du saxe et des origines et non une loi qui qui différencie, hiérarchise,  et exclut.
L’absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachées à la charia. Elle est davantage apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, où’ l’on se doit de laisser la nature accomplir son oeuvre sans l intervention humaine pour la réguler ou la codifier.
Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman qu’est l’homme, à sa proie, sa victime  sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu.
 La charia est une loi scélérate et inhumaine pire encore que les  lois raciales nazies de 1935 où l’on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères de la pureté de sang, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seule l’interdit devient la norme et le permis devient l exception.
Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine et la passion hystérique déterminent le mode d’organisation sociale, familiale et interindividuelle.
L’homme qui est par définition un animal politique n’existe pas en tant que tel  dans les sociétés musulmanes, censé être dépourvu de pensée propre, jugé incapable de discernement, il est un exécutant de la volonté d’Allah,un simple morceau du puzzle musulman. Il ne s’appartient pas à lui-même, il est relié par un cordon ombilical à sa communauté.
C’est pourquoi, les prières collectives sont érigées sont essentielles dans la vie des musulmans. Elles sont supposées faire gagner aux croyants 29 marches vers le ciel à chaque prière.
Un musulman isolé de sa communauté est comme un poisson vivant hors de l’eau. Rendant ses chances de survie impossible. Pour sa propre pérennité, il doit s’agréger à un groupe de musulmans, qui lui sert de matrice pour pouvoir  vivre au sous les lois de l’islam.  Un musulman ne peut  pas concevoir de vivre sans les règles prescrites par sa religion, la charia  devient  la voie à suivre, une nécessité absolue pour adopter des normes de bonne conduite qui lui feraient toucher son Graal. Rejetant ainsi toute autre  loi qui n’a pas d’essence musulmane.
Un musulman digne de ce nom n’a de cesse que de préparer sur terre sa vie dans l’au-delà pour pouvoir jouir des 72 houris promis. Et ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont l’en détourner. La charia qui signifie en arabe le chemin de la félicité est son motus vivendi, il est ce fil conducteur entre lui et son démiurge. Toute rupture de ce fil le condamnera à la voie de l’enfer. C’est la sève qui le nourrit, s’en priver, c’est un sacrilège pour lui.
L’islam ne prescrit pas aux musulmans le respect des lois autres que les siennes,il leur impose de ne  reconnaître que ses seules lois celles édictées par la charia. Se considérant lui-même comme étant une loi élevée au-dessus des autres. De par son caractère suprématiste et essentialiste, il veut s’octroyer les privilèges du prince, obligeant ainsi les autres de répondre à ses exigences et non pas l’inverse.  Partout dans le monde, les musulmans veulent que ce soit toujours les autres de s’adapter à eux, quand bien même leurs moeurs, us et coutumes sont incompatibles avec les lois de leurs pays d’accueil.
 Comme il rêve de gouverner le monde, ce n’est certainement pas les lois de la république qui vont le contrarier dans son projet. Au lieu de s’en prémunir comme de tout virus létal, les sociétés d’accueil ne savent pas qu’on lui ouvrant leurs fenêtres, il laisse entrer par la grande porte la charia, indissociable de l’islam puisqu’elle est sa source et sa substance nourricière.
L’islam est en quelque sorte le cheval de Troie de la charia. La France comme d’autres pays démocratiques se laissent prendre dans le jeu de leur angélisme béat  en croyant que l’islam n’est pas la charia, et que la charia est le mode de gouvernement de l’islam de la vie des musulmans.
Elle n’est pas qu’ incompatible avec les lois de la république et les valeurs de citoyenneté, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités.
En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’ article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains.

L’islam est plus que jamais en guerre sainte et le monde feint de l’ignorer

Seuls les naïfs et les capitulards croient que l’islam est une religion de paix alors que les faits démontrent aisément tout le contraire. Comme si les scènes de la barbarie humaine qui viennent d’ensanglanter le  Kenya et Pakistan et le péril génocidaire que fait peser Ennahdha sur la Tunisie,  ne sont pas des preuves implacables quant aux à la haute nocivité de l’islam.
Ses velléités djihadistes qui ébranlent l’humanité depuis sa Déclaration de Guerre du 11 septembre 2011, et qui ne sont en aucun cas des attentats qualifiés pernicieusement  de terroristes pour occulter la responsabilité de l’islam et les vraies motivations idéologiques de ses auteurs dont la mission était de donner le top du départ officiel de l’entrée en guerre de l’islam contre le monde non-musulman et tous les musulmans qui ne sont pas dans la logique dogmatique guerrière de l’islam;
L’islam sachant qu’il n’a pas les moyens de gagner les guerres conventionnelles, il essaye d’arriver à ses fins par la  ruse comme pour Byzance, la perfidie et  la fourberie, Ce qu’on appelle abusivement attentats terroristes sont en fait  des actes de guerre. Mais une guerre psychologique. une guerre d’usure pour miner  les capacités de résistance de l’ennemi, le tétaniser, lui faire peur, l’intimider,  le harceler à coups de butoirs violents et traumatisants pour l’impressionner et le pétrifier pour mieux le surprendre et lui porter à la fin le coup de grâce sans qu’il ne se rende compte de rien. L’islam joue sur les mécanisme de la peur, toute sa stratégie politico-militaire s’articule autour de cet axe qui est sa pièce maîtresse, son atout majeur pour arriver à ses fins.
Il serait par conséquent absurde de voir dans ce qu’on appelle attentats terroristes des actes isolés et l’œuvre de groupuscules livrés à eux-mêmes. Loin s’en faut.  Le fait de procéder ainsi, leur permet de ne pas laisser croire que c’est l’islam lui-même qui est derrière ces offensives meurtrières tous azimuts. Il en est l’instigateur, l’ordonnateur, le commanditaire et l’organisateur. C’est lui qui fixe le cadre militaire et idéologique de ces opérations dont il est le maître d’œuvre et le bénéficiaire. Elles convergent toutes vers le même but : islamiser le monde pour en faire le Royaume d’Allah.
La liste des horreurs commises au nom de l’islam va aller crescendo et ne cessera  de s’allonger. Les innocents continueront de tomber comme des mouches sous les coups de glaive des amis de l’organisation terroriste d »Ennahdha appliquant fidèlement la feuille de route qu’a tracée à tous les musulmans le grand chef guerrier prophète autoproclamé Mohamed.
Les organisations terroristes musulmanes appartenant toutes à la mouvance sunnite prolifèrent partout dans le monde comme un champignon venimeux. Semant la terreur et brisant des vies humaines au Kenya, la Syrie, l’Irak, le Pakistan,  la Libye, l’Afghanistan, le Nord du Nigéria après avoir fait subir à l’Algérie dans le Grand Effroi coranique.
Ni l’Egypte ni la Tunisie, propriété inaliénable d’Allah comme vient de le rappeler l’agent djihadiste Dilou, ni l’Occident lui-même qui avait contribué à la création de certaines de ces organisations financées par les deux protectorats américains d’Arabie Saoudite et du Qatar  ne perdront rien d’attendre.
Que le monde sache que l’on ne peut contenir la soif hégémonique insatiable de l’islam et son bellicisme dogmatique avec des bisounours.
C’e qui vient de se produire au Kenya n’est pas qu’un simple attentat terroriste, c’est un crime de guerre et un crime contre l’humanité dont s’est rendu coupable l’islam contre le reste du monde, qui n’arrêtera  jamais les hostilités tant que le monde entier ne sera pas soumis à ses lois.
L’islam est dans sa phase de conquête du monde, le djihad,  et le monde le laisse faire en toute impunité. Plus il tarde dans  sa contre-offensive contre l’expansionnisme militaire musulman, plus l’islam gagnera du terrain et le règne d’Allah se précisera. Le monde n’a toujours pas compris que l’islam n’est pas une banale religion, c’est une idéologie totalitaire  qui instrumentalise le sacré à des fins impérialistes et politiques.
Ce n’est pas en compatissant pour les victimes de la barbarie musulmane que l’on va pouvoir éradiquer cette peste nazie. Une compassion et une indignation sans réaction sont comme un mirage dans le désert arabique.

Ce sont les musulmans eux-mêmes qui vont écrire la fin de l’islam

Plutôt que de jouer à la vierge effarouchée et de crier au loup niant les évidences comme un meurtrier accablé par les preuves mais qui proclame  haut et fort son innocence pour réfuter les lourdes accusations qui pèsent sur lui, les musulmans doivent plus jamais apprendre à se remettre en question et  se regarder dans le miroir de la vérité.                                                                                                                  

 En sont-ils capables ou en ont-ils envie ? Ni l’un ni l’autre, les musulmans n’existent que dans le déni de la réalité et le mensonge érigé en vérité absolue. Allergiques et réfractaires au débat contradictoire qu’ils considèrent comme une offense à l’islam, que Dieu aurait placé au sommet de l’Everest des religions, il leur est intolérable comme chez tout schizoïde-paranoïde que leurs contradicteurs en qui ils voient des ennemis potentiels n’adhèrent pas à leur idéal religieux.                                                                                                                                             
Pour eux aucun dialogue n’est par conséquent de mise avec des êtres que le dieu de l’islam juge comme des insolents voués aux bûchers de l’enfer. Entendre une voix discordante par rapport à la leur devient un véritable supplice que rien ne peut calmer que le supplice de l’outrecuidant.                                                                                                        
 
D’où le recours systématique à la violence comme si elle était leur seul moyen d’argumentation. Comme tout sujet atteint de troubles psychotiques, les musulmans ont une peur phobique  d’être dérangés dans leurs certitudes, qui se manifeste souvent par des crises de démence collective, se terminant de plus en plus dans des bains de sang.                                                                                                                                                                   
Mais en dépit des évidences qui ne doivent souffrir d’aucune contestation tellement les déchaînements de la terreur sont la marque de fabrique de leur religion, les musulmans persistent et signent dans leur refus de faire leur propre examen de conscience, procédure nécessaire pour toucher eux-mêmes du doigt les sources du mal dont ils s’abreuvent et qui constituent la substance même de leur religion qui a fait de la terreur, le djihad, un de ses piliers, laissant apparaître l’islam davantage comme une banale doctrine politique qui instrumentalise le fait religieux à des fins hégémoniques totalitaires et liberticides qu’à une religion proprement dit.                                                                                                                                         
 
Quand on fait de la terreur, ne dit-on pas que e paradis est à l’ombre de l’épée , une obligation cultuelle et donc le seul motus vivendi pour les fidèles, ceux qui appliquent scrupuleusement et dogmatiquement les préceptes de l’islam, il est difficile de voir en l’islam une véritable pensée spirituelle offrant à l’homme les conditions d’une vie apaisée et pacifique où l’action humaine n’est pas destinée à la négation de la vie elle-même.
 
Une religion qui inocule à  ses fidèles à le virus de la négation de toute forme de vie et qui sanctifie et exalte la violence contre soi et autrui est tout sauf une culture de la vie.  
 
En réalité, l’islam est une véritable imposture religieuse,  il est le comme le nazisme un néo paganisme obsédé par l’anéantissement définitif du judéo-christianisme. En tant qu’enfant rejeté par les parents dont ils se réclament en l’occurrence le judaïsme et le christianisme, son immense frustration ne sera apaisée tant qu’il ne les aura pas tués pour qu’il puisse se revendiquer comme étant le seul maître du monothéisme. Ainsi, il a beau se prévaloir d’une prétendue d’un filiation brahmanique,  mais sans que cela lui confère une quelconque légitimité aux yeux de ces parents qui ne veulent pas de lui.
frustré de ne pas bénéficier de la légitimité biblique, il fait de la violence son seul mode d’expression pour s’affirmer et exister sur la scène des religions.                 
 
Comme il est utopique et suranné de voir en lui un facteur de paix et de sécurité dans le monde alors qu’il est incapable de l’être pour ses propres croyants minés par les conflits confessionnels et le schisme depuis la mort de leur prophète autoproclamé qui faisait de l’épée sa seule force de persuasion..                  
 
Une religion fragilisée jusqu’à l’épuisement  par les dissensions chroniques et les querelles intestines n’a pas  les ressources intellectuelles et psychologiques pour freiner les ardeurs velléitaires de ses fidèles surtout qu’elle en est elle-même  le catalyseur et l’instigatrice.  

Le racisme n’est pas le propre d’Ennahdha, il est la plaie mortelle de la Tunisie

En Europe les islamistes se plaignent du racisme qui n’est en réalité que le reflet adouci du leur, tout en faisant du racisme le premier pilier de l’islam.
Ils le cultivent à toutes les échelles comme avec l’affaire des tunisiens de l’étranger qu’ils veulent booter hors des élections nationales alors qu’eux-mêmes ils ne sont pas seulement des mercenaires mais le plus ubuesque ils sont le premiers à continuer de profiter de l’étranger qu’ils vomissent tant. Ce n’est pas une banale affaire de privation de droit de vote des tunisiens de l’extérieur sachant qu’il n’y aura jamais des élections en Tunisie, il s’agit d’une grave affaire de racisme primaire où l’on décrète qui est plus tunisien qu’un autre comme qui est plus musulman qu’un autre.
Après avoir  classifié les tunisiens en bons   et mauvais musulmans, la secte infecte et félonne d’Ennahdha qui ferait de l’ombre à la Milice de Trouvier en matière d’antipatriotisme veut créer une nouvelle typologie de tunisiens : des tunisiens de l’extérieur jugés indignes de la Tunisie et des tunisiens de l’intérieur qui sont les vrais tunisiens.  Comme si le fait d’être résident à l’extérieur du territoire national pouvait impacter l’attachement à la patrie ou elle-même avait le souci de la Tunisie qu’elle abhorre tant et qu’elle veut vassaliser au profit de ses donneurs d’ordre turco-wahhabites.
C’est surtout sa propre haine  de la Tunisie qu’elle projette sur des citoyens dont le dévouement pour la Tunisie est indéfectible.
Elle a besoin de bouc-émissaire pour exister et occulter ses propres échecs. En voulant opposer les tunisiens entre eux, elle fait un aveu explicite de son incapacité à gouverner le pays et répondre aux attentes des tunisiens qui assistent impuissamment à la mort inexorable de leur pays.
Comme tout mouvement fasciste, elle ne peut prospérer que sur le terreau immonde du racisme et du régionalisme. Semer la zizanie entre les tunisiens en attendant d’émietter le pays en micro émirats.
Plutôt que d’œuvrer pour l’unité de la Tunisie et instaurer un climat de concorde parmi les tunisiens, elle use des procédés nazillons où le juif d’Hitler est remplacé par le tunisien de l’extérieur, devenu l’ennemi à abattre.
 Ce n’est pas diviser pour mieux régner, c’est désigner le coupable des maux de ce peuple dont elle est elle-même la cause, mais pleutre et fourbe, elle manipule l’opinion publique en lui livrant en pâture l’honneur des femmes et des hommes qu’elle veut déchoir de leur droit de vote, qui est l’expression majeure de leur citoyenneté.  Et dire qu’elle-même elle fut la première bénéficiaire des voix de ces tunisiens qu’elle veut bannir de la communauté nationale quand bien même, ils n’étaient pas représentatifs de ces tunisiens de l’extérieur qui n’avaient pas voté dans leur écrasante majorité.  A moins qu’elle ait peur du camouflet que ces tunisiens de là-bas vont lui infliger si jamais ils votent massivement et sous réserve que des élections puissent avoir lieu. Elle oublie qu’à force de répandre le poison de la discorde entre les hommes elle finira elle-même par en être contaminée.
Le pire est qu’il n’y pas qu’Ennahdha  qi veut jeter le discrédit sur le tunisien d’ailleurs, il a aussi les tunisiens de tous bords et de toutes tendances politiques confondues dont certains assistés tunisiens qui vivent aux crochets de la France et des binationaux tunisiens et qui se déclarent hostiles à la bi nationalité tout en bénéficiant des bienfaits des lois de la république qui protègent leur liberté d’expression.
Ce racisme intra tunisien est symptomatique de la culture xénophobe et raciste de ce pays corrompu par ce qu’il aurait pu être le père géniteur du racisme. Il est aussi le signe avant-coureur d’un racisme dans la pure tradition nazie

Le mirage de la civilisation « arabo-musulmane »

Image tirée d'une vidéo fournie par le groupe EI le 26 février 2015 montrant un militant détruisant une effigie de Lamassou, une divinité assyrienne, dans le nord du gouvernorat irakien de Ninive

S’il y a un pays qui a véritablement régné en maître sur le monde de -220  jusqu’au  18 e siècle date de l’avènement de la Révolution industrielle en Angleterre, c’est bien la Chine avec le niveau de vie le plus élevé de la planète. Premier pays de l’histoire à avoir introduit le papier monnaie. Ni la Perse, Ni Byzance, Ni Rome, ni l’Empire Ottoman contemporains à la Chine ne pouvaient rivaliser avec elle et lui faire de l’ombre.

Ce petit rappel est destiné à tous les chantres de la civilisation arabo-musulmane qui prétendent que l’occident  lui est redevable de tout surtout de sa Renaissance alors qu’elle n’était pas même capable de féconder l’ombre de civilisation sur ses terres d’Arabie et dont l’expansion s’était faite sur la destruction de la vie humaine et des cultures des peuples. On mythifie toujours ce qui n’existe pas, à les entendre dans leurs délires psychédéliques, elle serait à l’ origine de de toutes les découvertes et innovations scientifiques, techniques, médicales  etc. voire catalyseur de la démocratie en Occident alors que le mot lui-même n’existait pas dans la langue arabe où il aurait fait son apparition seulement au début du XX e siècle.

Elle qui n’était qu’un courroie de transmission grâce aux savants perses et mauresques jugés comme hérétiques et aux traductions des prêtres syriaques du savoir philosophique grec, ignorant au passage Rome, Byzance et l’Egypte, qu’elle aurait servi de catalyseur à la Renaissance, le siècle des Lumières et la révolution industrielle enclenchée en Angleterre porteraient ainsi le sceau de la civilisation arabo-musulmane peu connue pourtant pour son génie créatif et industriel, elle qui a raté toutes les grandes révolutions des sciences et techniques.

On dit même que sans elle, l’Occident n’aurait jamais découvert la civilisation grecque et la pensée hellénique dont la civilisation arabo-musulmane serait la continuatrice voire la digne héritière. Une civilisation  avec un idéal politique qui la rapprocherait du monde de la jungle, aux moeurs attentatoires à la dignité humaine, qui voue une haine dogmatique à la femme, et négatrice de la vie humaine et des libertés ne  peut qu’être qu’une caricature insultante à la civilisation grecque.

Personne ne saurait nier son apport que l’on doit à quelques hommes qui furent persécutés et réprimés dont les œuvres furent brûlées et détruites et que l’Occident avait sorti de l’oubli et son rôle de transmetteur mais en aucun cas novateur.
Mais nul ne peut ignorer ce qu’elle elle-même doit à la Grèce grâce la proximité culturelle, intellectuelle, humaine et religieuse entre la Grèce hellénique et la Syrie que les arabes de la Péninsule arabique s’acharnent aujourd’hui à la faire rayer de la surface de a terre comme naguère leurs aïeux déferlant sauvagement sur l’Egypte, la Perse et l’Ifriqiya laissant derrière eux que ruine et désolation.

Les destructions de Mossoul le 26 février 2015

N’est-ce pas curieux que les arabo-musulmans n’ont pas été capables d’assimiler eux-mêmes le savoir grec, alors qu’ils l’auraient transmis à l’Occident chrétien ?

De quel héritage grec s’agit-il ? Celui de la philosophie jugée comme contraire à la pensée islamique et dont l’enseignement est toujours interdit dans la majorité des pays musulmans ou leur goût prononcé pour la lecture.

72 millions de livres  de la plus grande bibliothèque de l’Antiquité pour chauffer les bains d’Alexandrie pendant six mois sur ordre du Calife Omar à Ibn al-As. Plutôt que de faire une œuvre salutaire pour l’humanité en les conservant, ils ont préféré les réduire en un amas de cendres privant ainsi l’humanité d’un trésor inestimable.

http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1923_num_67_2_74745

A  entendre les laudateurs béats de l’arabo-islamisme cauchemar des peuples hier comme aujourd’hui, sans elle le monde serait toujours dans l’ère des ténèbres de laquelle elle n’est bizarrement toujours pas sortie depuis le IX e siècle et la main mise de l’Ecole Acharite sur la théologie musulmane et la défaite des Muatazilites, les adeptes du libre-arbitre et du rationalisme.

,Ce qu’on devrait appeler à juste titre la civilisation des populations islamo-arabisées était elle-même le fruit d’influences extérieures  origine directe de son décollage civilisationnel commencé au VIIIe siècle sous le règne des Abbassides dont la plus connue est la source grecque considérée comme la deuxième source de la pensée musulmane fruit des travaux de  traduction, d’ enrichissement et vulgarisation menés par les traducteurs syriens arabisants appartenant à l’Eglise Syriaque subventionnés par des mécènes éclairés ainsi que les Califes Abbassides.

Le célèbre Calife Haroun al Rachid édifia la bibliothèque de khizanat al hikma destiné au receuil des savoirs helléniques.  Sans les Syriaques  notamment ceux de l’ Ecole de théologie d’ Edesse de Bassorah connue sous le nom de l Ecole des Perses, jamais la civilisation naissante n’aurait pu accéder à la science médicale, la théologique d’inspiration aristotélicienne et la pensée philosophique dont les principales figures de proue furent Avicenne et Averroès dont les théories sur le rationalisme de la pensée étaient farouchement combattues et condamnées pour hérésie par l’orthodoxie musulmane qui dénie à l’homme toute faculté de raisonner et de penser par lui-même, seul Allah a le pouvoir de le faire.

Est-ce un hasard si l’entame du processus du déclin de la civilisation musulmane arabisante coïncide avec la disparition d’Averroès ( 1126-1198 ), grand commentateur d’Aristote et qui voulait concilier la philoophie spéculative, celle de la raison et la loi divine ?  Cet épisode de controverse théologique entre les partisans de l’orthodoxie musulmane pure et dure et ceux qui voulaient appréhender la théologie musulmane avec les outils de la rationalité philosophique et moderniste n’est pas sans intéret pour ceux qui veulent comprendre l’incapacité de l’islam à se projeter dans l’avenir et son immobilisme intellectuel.

Paradoxalement, l’homme qui a irrigué réellement l’Occident de son savoir façonné par l’hellénisme aristotélicien n’était pas exempt de tout reproche quant à ses idées qui étaient loin d’être empreintes d’un esprit aussi ouvert et universaliste comme on se plait à le décrire. En tant que juriste, il était un farouche partisan de la censure et du djihad, la guerre sainte contre les chrétiens qu’il prêchait à la grande mosquée de Cordoue. Malgré son engagement idéologique qui n’avait pas de quoi heurter les dogmes de l’islam comme il n’avait jamais nié la suprématie du Coran sur la raison, ceci ne ne lui avait pas évité l’interdiction de ses doctrines, la destruction de ses livres, sa condamnation en 1195 et son bannissement par le Calife Al-Mansur à Lucène, lieu d’exil des juifs, qui était pour lui une humiliation incommensurable.

Il n’était certainement pas assez orthodoxe aux yeux des représentants de l’orthodoxie sunnite, sinon il aurait fini crucifié. Il n’en demeure pas moins que Son apport pluridisciplinaire est aussi immense que varié: Rhétorique, la science médicale, les mathématiques, l’astronomie, la philosophie, la physique et le monde animal.

Ceux là mêmes qui vantent les mérites de l’apogée de la civilisation musulmane arabisante et qui font de sa renaissance un véritable dogme religieux sont les mêmes qui avaient diabolisé et appelés à la mort d’Avicenne ( 980-1037) Averroès, al Fârâbî (872-950 ), Sohravardi ( 1155-1191) et tant d’autres qui s’étaient malgré l’obscurantisme dogmatique et la face sombre de certains d’entre eux, illustrés dans leur rôle de contributeur au savoir occidental médiéval présentaient tous la particularité de ne pas être natifs d’Arabie. Ils étaient pour la plupart perses d’obédience chiites.

Ce qui démontre combien ce qu’on appelle abusivement civilisation arabo-musulmane du seul fait de la langue arabe, était redevable à la Grèce, l’Inde, Byzance, la Perse pré-islamique.

Si la Perse n’était pas islamisée est-ce que la civilisation arabo-musulmane aurait existé dont les arabes avaient détruit une partie de ses monuments historiques et j brûlés et jetés dans l’eau ses livres ?

Ne sont ils  pas les dignes héritiers de ceux qui avaient réduit en cendres toute la partie méridionale de l’Ifriqiya au XI e siècle et avaient incendié en 642 la plus grande Bibliothèque de l’Antiquité fondée au II e siècle avant J.C. qui portait l’empreinte d’Aristote après avoir vandalisé et mis à feu et à sang la ville d’Alexandrie pour la purifier du paganisme ? Ou plutôt pour tuer le savoir et l’intelligence, comme tout conquérant impérialiste, totalitaire et raciste qu’ils le sont.

Savaient-ils que des millions de livres rares étaient partis en fumée à cause d’Amr ibn al As sur Ordre du 2 e Calife de l’islam, Omar ibn al Khattab. beau-père et compagnon du prophète ?
Et comme le relate judicieusement ibn Khaldoun ( 1332_1406)dans Prolégomènes,3e édition pp.89, 90 et 125 « Que sont devenues les sciences des Perses dont les écrits, à l’époque de la conquête, furent anéantis par ordre d’Omar ? Où sont les sciences des Chaldéens, des Assyriens, des habitants de Babylone ? […] Où sont les sciences qui, plus anciennement, ont régné chez les Coptes ? Il est une seule nation, celle des Grecs, dont nous possédons exclusivement les productions scientifiques, et cela grâce aux soins que prit El-Mamoun de faire traduire ces ouvrages.
[…] Les musulmans, lors de la conquête de la Perse, trouvèrent dans ce pays, une quantité innombrable de livres et de recueils scientifiques et [leur général] Saad ibn Abi Oueccas demanda par écrit au Calife Omar ibn al-Khattab s’il lui serait permis de les distribuer aux vrais croyants avec le reste du butin. Omar lui répondit en ces termes : « Jette-les à l’eau ; s’ils renferment ce qui peut guider vers la vérité, nous tenons de Dieu ce qui nous y guide encore mieux ; s’ils renferment des tromperies, nous en serons débarrassés, grâce à Dieu ! » En conséquence de cet ordre, on jeta les livres à l’eau et dans le feu, et dès lors les sciences des Perses disparurent. »

Une civilisation qui ne reconnaît que le Coran comme seule source de savoir et de connaissance universel pour tous les hommes et qui exhorte ses fidèles à détruire la mémoire des peuples conquis au nom de la suprématie de son enseignement sur tous les autres est-elle véritablement une civilisation alors que ses attributs majeurs semblent être l’inertie, le refus du progrès, barbarie et la sauvagerie ?

Une civilisation où prédomine le religieux aux dépens du civil a-t-elle les caractéristiques d’une civilisation digne de ce nom ? Comment peut-elle se prévaloir de l’héritage grec tout en niant aux hommes le droit à la citoyenneté ?

Difficile dans ce contexte de croire que l’islam qui veut figer les hommes dans le marbre de l’ignorance et le rejet dogmatique du changement répond à la définition de Victor Riqueti de Mirabeau, le père de Mirabeau que « la religion est le premier ressort de la civilisation ».

Une civilisation qui ne pose pas les principes d’évolution humaine et qui prône comme seul changement le retour aux sources, jetant l’opprobre sur les apports extérieurs n’en est pas une .  Son âge d’or ressemblerait plus à l’âge d’or  du monde des ténèbres .

Ce n’est pas seulement Sofiane Ben Farhat qui est menacé de mort, c’est toute la Tunisie qui l’est

Rarement un pays a connu une telle mutation humaine dans son histoire telle que la Tunisie. Du pays du la joie de vivre, il est devenu un pays de l’enfer humain. Plus aucun jour ne passe sans qu’il n’amène son lot de meurtres, de sang et de larmes. Ne règnent plus dans son ciel que les vautours qui attendent de prendre part au festin avec les hyènes et les chacals pour dévorer les cadavres des gibiers humains abattus par Ennahdha pour qui le bon tunisien est un tunisien mort.

 
Elle suit scrupuleusement son plan  d’extermination du peuple tunisien hostile à sa politique de la vassalisation du pays et la mise en place d’un régime théocratique synonyme de l’horreur islamique. Experte dans l’art de la démoralisation du peuple par la terreur et avant de passer à la solution finale, elle commence par le frapper à travers les défenseurs de la nation tunisienne et les symboles de la protection de la république et de son indépendance, à savoir ses forces de l’ordre, ses soldats et ses gardes républicains. Jébal Chaâmbi n’est rien  d’autre qu’un avertissement et le prélude du véritable  sort qu’elle réserve aux tunisiens dont ont fait le frais leurs hommes  politiques les plus patriotes  comme Chokri Bel Aïd, Lotfi Nagadh et Mohamed Brahmi assassinés parce qu’ils présentent un obstacle au pouvoir hégémonique de la secte infâme et leurs assassins courent toujours tandis que les commanditaires profitent des bienfaits de la République en toute impunité et la complicité bienveillante de l’opposition de lèche-babouches.
 
Elle cherche à bâillonner autant qu’elle peut toutes les voix susceptibles de mettre en garde la population sur ses noirs desseins pour le pays. Ce n’est pas par hasard qu’elle s’attaque aux intellectuels et surtout aux journalistes qui refusent de lui servir de crachoir au péril de leur vie, comme  Ziad al Hani emprisonné pour avoir dénoncé son projet scélérat pour le pays ou d’autres comme Sofiane Ben Hamida et  Sofiane Ben Farhat, harcelés et  menacés de mort.
 
Depuis son coup d’Etat « électoraliste », un hold-up mis en scène avec la complicité de l’I.S.I.E. et son président Kamel Jendoubi, triste figure du né népotisme tunisien et agent de la félonie islamo-opportuniste-droit de l’hommiste  ne cesse de semer la mort sur son chemin et infliger des blessures  aux tunisiens dont certains vont garder les séquelles de leur blessure à vie comme les victimes de la répression sauvage de Siliana où l’on a tiré sur les manifestants à la chevrotine comme s’ils étaient des gros gibiers. Plus aucune ville n’est désormais épargné. De Gafsa à Sidi Bouzid en passant par  Sousse, Tunis, Bizerte et Kasserine. Le pays est devenu un véritable sanctuaire de la violence islamique et qui au rythme où progresse la courbe de la répression sauvage et les perspectives inquiétantes du retour massif et multinational des terroristes-djihadistes front syrien pour qui seule Tunisie constitue leur seule terre d’asile, tout indique que la pays va rentrer dans l’ère de la barbarie islamique celle du Grand Fracs coranique.
 
Le spectre de la mort étend son ombre sur le pays  gagné par un fort sentiment de peur et d’angoisses aggravant le mal-être et désarroi de sa population, livré désormais à des bandes de renégats et des escadrons de la mort, véritables cavaliers noir de l’Apocalypse.  
 
Sévit  ainsi en Tunisie aujourd’hui un climat délétère, terrifiant et oppressant comme rarement le pays en a connu dans son histoire où les citoyens sont paralysés par la peur, se demandant à qui va être bientôt le tour. Une chasse à courre est ouverte au pays depuis deux ans dans laquelle la secte infecte de la barbarie humaine a lâché ses meutes féroces pour dépecer la proie tunisienne.  .
 
Des handicapés, des adolescents et adolescentes pour servir de chair à canon et des putes d’Allah envoyés en  Syrie à travers des filières mises en place par le maître à penser du terrorisme djihadiste et proxénète R. Ghannouchi et son homme des basses besognes le pédophile notoire Ali Larayedh.
 
Des cimetières juifs, chrétiens et musulmans profanés ainsi que des mausolées détruits pour infliger aux morts une nouvelle mort. Un climat de fin de monde en Tunisie islamiste.
 
Le pays se somalise et l’Etat de droit bâti par Bourguiba se meurt et les tunisiens se réfugient dans leur désespoir croyant en faire un gilet de sauvetage contre l’Apocalypse qui en train de la frapper.
 

Comme tout musulman convaincu qu’il est le meilleur, le tunisien nie sa polypathologie

Selon un vieil proverbe tunisien, les tunisiens sont comme  un galeux dont les coudes démangent ou comme on dit en France qui se sent morveux se mouche. En tant que musulmans et convaincus que leur religion est tout ce qu’il y a de mieux au monde et qu’ils appartiennent à la plus belle communauté des croyants jamais envoyée sur terre, ils s’enflamment au quart de tour dès qu’ils se sentent visés par la moindre critique même quand elle ne les concerne pas directement. Membres élus par Allah pour figurer parmi les meilleurs, seul celui qui les a adoubés est en droit de les critiquer et faire changer leur regard sur eux-mêmes. Bourrés de certitudes, tellement imbus d’eux-mêmes et se prenant pour le nombril du monde, ils ne tolèrent aucun regard étranger au leur qui ne flatte pas leur ego démesuré et la haute opinion qu’ils se font d’eux-mêmes. Ne sachant que la reconnaissance n’est pas celle que l’on se fait de soi mais que l’autre nous octroie. C’est pourquoi dès qu’on leur tend un miroir qui n’est pas fait des mêmes matériaux que le leur, ils se braquent et crient au violeur !  

Ils ne savent pas qu’un handicapé tout en étant conscient et assumant pleinement son handicap a besoin d’exister dans le regard de l’autre. Or, eux qui souffrent de pathologies multiples qui les auraient fait figurer sur la liste des polyhandicapés non seulement ils se murent dans le déni de leur état de déficiences diverses physique, médicale, psychique, intellectuelle, culturelle et identitaire, mais ils exigent de l’autre à poser sur eux un regard flatteur, positif et élogieux.

Contrairement aux handicapés qui n’occultent pas la réalité de leur handicap et qui militent contre la stigmatisation de leur état d’handicapé et pour le respect du droit à la différence et l’amélioration de leurs conditions de vie, les tunisiens comme les musulmans, s’obstinent à admettre qu’ils sont des handicapés non-assumés et qu’il ne peut y avoir d’issue pour eux tant qu’ils ne prennent pas conscience que l’handicap en soi n’est pas handicapant, il le devient quand on en fait un obstacle majeur pour progresser dans l’existence.

C’est leur incapacité à accepter leur polyhandicap  qui nuit à toute mesure d’aide visant à favoriser leur intégration dans la vraie communauté des peuples et non dont celle qui est la cause première de leurs handicaps associés.                                                                                                                             

Quel que soit le diagnostic établi pour mettre en place une batterie de thérapies adaptées à leur état de polyhandicapé, c’est peine perdue tant que les concernés n’ont pas pris lui-même conscience de ses handicaps multiples et mis eux-mêmes des mots sur leurs maux. Mais comment vont-t-il y parvenir alors qu’il sont atteints de déficience mentale aggravée par une pathologie neurologique d’ordre toxique fruit d’endoctrinement intensif du berceau jusqu’à la mort ? Pourtant la thérapie est possible, car son état de déficience n’est pas irréversible dans son cas, car elle est la résultante de son substrat religieux qui l’a déconnecté de lui-même.

Le pire est qu’ils croient dur comme fer que la cause de son polyhandicap est un remède parfait l’oeuvre contre tous les maux de ce monde et que plutôt que d’en faire un bouc-émissaire, il faut que le monde change son propre regard sur elle et l’adopte. De leurs déficiences, ils veulent en faire une force pour le monde, un modèle à suivre pour ceux qui n’ont pas été encore touchés par la grâce de son Concepteur.

Plutôt que de s’attaquer aux racines des maux qui les gangrènent pour les éradiquer et chercher ainsi de rompre avec cette espèce d’anachronie dynamique qui les caractérise et en finir avec leurs illusions d’avancer en marche-arrière en ayant la certitude qu’ils  regardent devant eux et que personne ne serait capable de les devancer. On avance pas à conduire à reculons et le regard envoûté par le mirage de l’Arche perdue comme destination. Toute tentative de les verbaliser pour mise en danger de la vie d’autrui est vue comme une offense à leurs vertus lumineuses et subliminales. Ils ne s’en tiennent qu’aux seules règles de leur code de la route au-dessus de tous les autres, impurs et imparfaits. Il revient à ces derniers de l’appliquer s’ils ne veulent pas essuyer les foudres de son Auteur.

Allah les ayant dotés de qualités intrinsèquement et infiniment supérieures à celles dont celles dont sont pourvues leurs examinateurs et contradicteurs qui feraient mieux de suivre leur exemple, forts de leur légitimité toute canonique d’être les maîtres du monde, alors qu’ils dépendent pour leurs besoins vitaux de ce monde qui n’est pas le leur et dont ils sont les laissés pour compte de la compétition mondiale où ils sont les meilleurs dans l’art de rouler à une vitesse supersonique puissance Mach 10 dans le sens contraire de l’aiguille d’une montre, ils ne vont pas se rabaisser à daigner tendre une oreille attentive à ceux-là qui refusent de croire à l’enseignement de le leur prophète-roi. Toute critique ne peut que susciter leur courroux et provoquer leur émoi jugée comme un blasphème à l’égard de ce peuple couvé et adulé par son Géniteur dématérialisé. Il ne peut par conséquent tolérer d’être remis en question par des impies.  

Réfractaires, hostiles et  allergiques pathologiquement au regard de l’autre, celui venu d’ailleurs, un ailleurs qui n’est pas le leur, mais qui est  susceptible de faire réfléchir leur son miroir la bosse de chameau qui les enlaidit.                                                                                                                                        

Et comme le dit le proverbe tunisien, celui qui voit sa bosse se coupe le cou.                                   

 Narcissiques et suffisants, ayant un fort besoin d’être aimés ils adorent qu’on flatte leur ego et qu’on les caresse dans le sens du poil, ils s’embrasent et perdent le contrôle de soi parce qu’on les a démystifiés ou démasqués                                                                                

 Paranoïdes, schizoïdes, souffrant de fortes carences psychoaffectives, immatures, ayant un fort besoin d’être rassurés sur eux-mêmes, à cause de leur défaut cruel de confiance en eux, d’où leur obsession de n’être entourés que par des courtisans et des flatteurs d’ego, ils vivent dans l’exaltation maladive de leur propre image qui les rend ignorants de leur polyhandicap tels ces cas cliniques jouant aux starlettes des réseaux sociaux et qui délirent sur destin national tout en vivant aux crochets des âmes charitables. Des hommes nourris au biberon de la « culture du moi maître de tout alors que je ne suis rien » auxquels tout leur est dû et que les autres  leur sont redevables de tout en contrepartie de leur gloire personnelle qui rejaillit sur eux et qui est pourtant saugrenue, surannée et hautement fantaisiste. Mais dans le pays du brassage du vent et du nombrilisme pathologique, où les habitants se livrent à une guerre acharnée dans la vanité, de l’esbroufe, la vantardise et la fabulation, où seul le non sens a du sens on ne s’intéresse jamais aux fondations seul l’état extérieur de l’édifice prime. C’est pourquoi tout s’écroule au moindre courant d’air;  Le réalisme n’est pas leur vertu première c’est un sacrilège même, car pour eux tout est évanescent et éphémère alors pourquoi doit-on transpirer pour sa dignité et le bien-être commun ?  

Il n’y a que leur propre vérité, la leur dont ils veulent faire une loi inaliénable, celle qui consiste à embrouiller et enfumer leurs contradicteurs et ceux qui les renvient à la vraie image qu’ils doivent avoir en réalité d’eux-mêmes.                                                                                                                                 

  Par manque d’honnêteté intellectuelle, ils se referment dans leurs carapaces pour en faire une citadelle imprenable, de peur qu’un outrecuidant vienne écorner leur image surfaite et idylliquee. Ils s’idéalisent comme s’ils sortaient des cuisses de Jupiter; Il ne s’agit ni un reproche ni une critique, c’est un simple  constat qui risque fort d’heurter leur susceptibilité. 

Si les politicards  tunisiens s’étaient de donnés la peine d’écouter certains avis éclairés formulés par des tunisiens de l’extérieur comme ils les qualifient là-bas et par les amis de la Tunisie qui ont plus d’amour pour ce pays que la majorité des tunisiens qui met l’islam au coeur de sa vie et au-dessus de la patrie, est-ce que le pays de Saint-Augustin et de Dihya seraient-ils devenus une nouvelle Somalie ?

Au lieu de voir dans ce regard impartial, objectif et ethnographique une source de richesse, on intente à son auteur un procès d’intention. Une entreprise qui veut améliorer ses performances et sa gouvernance ne peut pas se regarder dans son propre miroir pour y arriver, elle se doit de faire appel à ce regard extérieur pour sa neutralité, son indépendance et son absence de parti pris. On ne soit pas les plaies d’un pays avec des remèdes partisans.

 

PS.Personnellement, je ne crois pas que la Tunisie va pouvoir s’en sortir parce qu’il lui manque l’essentiel : un homme qui a l’amour de ce pays chevillé au corps qui sort du lot, altruiste et généreux, et capable de communier avec les foules. Un chef charismatique tel que le décrit Max Weber. Autre constat, c’est la misère du discours politique.

Il n’y a pas plus de différence entre l’islam et le nazisme que l’islam et l’islamisme

English: Rached Ghannouchi (centre) during an ...
English: Rached Ghannouchi (centre) during an Ennahda party conference Français : Rached Ghannouchi (au centre) duant une conférence du parti Ennahda (Photo credit: Wikipedia)
Kampfgruppe Peiper's Troops On The Road to Mal...
Kampfgruppe Peiper’s Troops On The Road to Malmedy, Belgium (Photo credit: Wikipedia)

Il est douter que les électeurs d’Ennahdha et certainement de nombreux tunisiens de tous bords eussent été choqués de découvrir le passé collaborationniste nazi de la Confrérie des Frères musulmans d’Egypte dont le terroriste Rached Ghannouchi est un des principaux dirigeants.

En effet, il est de tradition en Tunisie comme dans tous les pays musulmans d’entretenir une sorte de culture antisémite qui puise ses sources dans le Coran lui-même et les Hadiths, sur laquelle leurs classes politiques ont greffé la cause palestinienne.  Comme si l’antisémitisme était un pilier de l’islam et un facteur de sympathie pour le nazisme. Et comme le faisait remarquer Boualem Sensall à propos des liens troubles entre le philonazisme et la haine du juif chez la majorité des musulmans « il y a des parallèles dangereux qui pourraient me valoir des ennuis » suite à la publication de son célèbre roman » Le Village de l Allemand » ou’ il décrivait parfaitement les l’existence de cette parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Il n’y a rien d étonnant à ce que plusieurs dignitaires nazis aient trouvé refuge au Moyen Orient principalement en Egypte dont beaucoup d’entre eux s’étaient convertis à l’Islam.  Au point qu’il n’est pas superflu de se demander si Hitler ne s’était pas inspiré du Coran pour la rédaction de son torchon tant le nazisme semble être un pur produit de l’islam dans sa vision apocalyptique; génocidaire et raciste du monde. Que l’islamisme en l’occurrence l’islam fondamental opposable à tous les musulmans se soit rallié au nazisme en 1939-45 cela n’est qu’un aboutissement logique des choses. Il ne s’est pas contenté de se rallier au nazisme, il s’est fondu même dans son corps pour devenir une des multiples têtes de l’hydre nazie.

Mus tous les deux par les mêmes desseins hégémoniques  pour imposer au monde un nouvel ordre fondé sur la suprématie et la pureté absolue de leurs origines dans un cas c’est le sang et dans un autre c’est la foi afin d’édifier un Reich réservé exclusivement aux bien nés aryens et dans un autre une Oumma dédiée aux seuls fidèles musulmans. Régner sans partage sur le monde pour le soumettre à la dictature  de leur idéologie respective, en le nettoyant de tous ceux qui ne possèdent pas leur caractère ou susceptible de contrarier leur projet de conquête du monde.

L’enrégimentement des islamistes dans les corps des Waffen SS est la parfaite illustration  de la convergence idéologique entre les pires idéologies politiques de l’histoire universelle confortée par l’allégeance inconditionnelle au nazisme du Mufti al Husseini un des membres le plus en vue de la Confrérie des Frères musulmans  ainsi que de ses cofondateurs  Saïd Qoutb et Hassan al Bana, grand-père maternel  de Trek Ramadhan le caméléon et V.R.P; de l’islam « modéré » comme si le nazisme pouvait l’être, qui plus est se réclame de son héritage.

L’islamisme qu’il soit djihadiste, wahhabite, salafiste et qoutbiste qui n’est en cas un dévoiement de l’islam alors qu’il est l’essence même et le visage expressif et fidèle,  prospère sur le même terreau  nauséabond que le nazisme: celui de la haine du Juif  qui est la raison essentielle  de leur idéologie ( Kuntzel : Jihad et haine des Juifs: islamisme, nazisme et racines du 11 septembre).  Leur stratégie politique actuelle qui les fait apparaitre comme un banal acteur dans le processus démocratique actuel en Egypte ou en Tunisie est un leurre. Leur but suprême reste la destruction de l’Etat juif d’Israël et l’islamisation du monde qui passe d’abord par la ré islamisation à marche forcée de leurs propres sociétés.

Aussi bien les Qoutbistes égyptiens que tunisiens d’Eannahdha  avaient tenté tous les deux dans le passé de recourir à la terreur en vue d une prise de pouvoir mais sans réussite à l’instar des nazis en 1923.  Cette similitude entre eux et les hitlériens est un indice grave quant aux perspectives politiques qui se dessinent en Tunisie et en Egypte.

Le « processus démocratique » sous le haut patronage d’ Hussein Obama dont l’attitude bienveillante à l’égard de l’islam est inquiétante et ambigüe laisse perplexe quant aux capacités des islamistes d’ouvrer pour un idéal démocratique, alors que la démocratie est jugée comme un sacrilège au regard des dogmes de l’islam ne serait-ce de par sa nature humaine, alors que seule la Loi d’Allah doit gouverner la vie des hommes et ses origines non musulmanes et donc impures.et imparfaites. En se voulant des êtres parfaits comme leurs frères idéologiques nazis, les musulmans endoctrinés à haute dose n’accepteront jamais à des systèmes politiques qui ne portent pas la signature de l’islam. Eux qui doivent suivre qu’une seule feuille de route ne peuvent par conséquent appliquer un tout autre canevas qui ne soit pas conforme aux prescrits de l’islam et en parfaite adéquation avec le Coran, les Hadiths et la Sira.

Dans ces pays comme en Allemagne nazie autrefois, on assiste surtout à la renaissance de l’islam fondamental que tout musulman se doit de suivre, de défendre et de propager. Quand les islamistes se réclament de l’islam, ils ne commettent aucune hérésie théologique ou dogmatique. Ils ne font que rappeler à leurs coreligionnaires qu’il n’y a qu’un seul islam et ne pas s’y soumettre nuit à leur qualité de musulman et passible d’apostasie. Un musulman est un parfait subordonné à l’islam dans tous les actes de sa vie sociale, personnelle et politique, tout ce qu’il doit faire et réaliser ne doit pas échapper au contrôle de l’islam ni à l’encontre de ses intérêts, c’est pourquoi le vote ne doit avoir qu’un seul but favoriser la main mise totale de l’islam sur la vie des hommes, et comme n’ont pas manqué de le rappeler expressément les islamistes égyptiens et tunisiens à leurs coreligionnaires, la notion de compatriote est illicite dans l’islam, voter pour tout autre parti politique qui ne prône pas les vraies valeurs de l’islam c’est voter contre l’islam. Plus prosaïquement, le vote n’est rien d’autre que la manifestation d’allégeance à l’islam et le renforcement de son pouvoir sur la cité. Un djihad par les urnes de la démocratie électorale pour les transformer par la suite comme l’avait fait Hitler en urnes des cendres de la démocratie

Comme les nazis, les islamistes veulent faire du passé  et légendé la seule source à laquelle doivent s’abreuver leurs frères musulmans. Sortir le passé de l’ombre pour leur redonner leur lustre d’antan afin de faire triompher les idéaux musulmans aux quatre coins du monde. Obsédés par la renaissance de la splendeur fantasmée de l’islam pour rendre aux musulmans ce qu’Allah leur a promis : la gouvernance de l’univers dont les juifs et tous les autres les ont spoliés ainsi que les musulmans eux-mêmes qui s’étaient éloignés de la voie de l’islam.

Délirants sur le mythe de l’Arche perdue qu’il faut remettre à flot pour faire resplendir l’islam. Plutôt que de le faire ressusciter par le savoir et l’éducation, ils optent pour la voie de la violence et l’endoctrinement néfaste des populations. Ne tenant pas compte du retour du bâton car la violence et la haine engendrent toujours rejets et hostilités, même si l’adversaire se laisse aller dans un premier temps dans l’angélisme pacifiste, il finira par s’en lasser et recourir à des armes beaucoup plus redoutables et meurtrières que son ennemi. De surcroît l’ennemi islamiste qui n’est pas encore sorti de son Moyen Age contrairement en revanche à son cousin idéologique nazi vaincu lui aussi par sa propre haine.

Les islamistes peuvent toujours se réjouir d’avoir gagné la bataille des urnes comme les nazis, mais au prix des fraudes massives, de la corruption, du laxisme coupable des organes de contrôle des élections, et profitant de leur promiscuité religieuse avec leurs coreligionnaires facilitée par l’état d’incurie intellectuelle et politique de ces derniers, mais qu’ils ne perdent pas de vue que cela les immunise guère contre la colère des hommes à force de semer les graines de la violence, élus d’Allah ou pas. La voix de la raison humaine finira par vaincre leur passion hystérique et leurs délires cosmiques et mégalomaniaques.

Alors Marine, Mélenchon, Finkielkraut et Zéribi vous dites quoi de la Samba que la France va danser au Brésil ?

 Marine le Pen que penses-tu toi et ton papa des deux buts de Sako, qui a fait plus de bien à la France que la droite nationale dans toute son histoire riche surtout en collaboration ? 
Imagine aujourd’hui que nos amis d’Outre-Mer et d’Afrique subsaharienne offensés ces dernières semaines à travers Taubira que vos amis mais il n’y a pas qu’eux l’ont inondée d’un torrent de boue nauséabonde, et qui intellectuellement parlant tu ne lui arrives pas à la cheville ni toi ni tous ceux qui ont déversé leur haine sur elle et à travers elle toute la république dont elle est une parfaite représentante, dise que Sako a vengé Taubira. Je peux te confirmer que je l’ai même entendu de mes propres oreilles pas plus tard que cet après-midi.
Ce n’est pas la couleur de la peau de l’homme qui fait le citoyen, regarde le cas de ces jeunes français paumés convertis à l’islam une honte pour la république, c’est sa loyauté républicaine. 
Sako en digne héritier des artilleurs sénégalais et pur enfant de la république a sauvé la France d’un marasme comme rarement, elle aurait pu connaître.
Au moins, il a rabattu le clapet des rabats-joie de ton espèce et de celle de cet élu européen écolo qui a traité Deschamps de porteur d’eau, alors que rarement un homme de sa trempe n’autant honore à la France.
Deschamps, Sako, Benzema et tous leurs coéquipiers ont mis un point d’honneur  vaincre l’adversaire et  redonner la joie aux français, ce dont toi et tes semblables, tel ce Mélenchon qui perd à chaque fois l’occasion de se taire et nous épargner ses sarcasmes,  vous n’êtes pas capables de faire.

Avec une religion qui fait de la mort l’essence de l’existence, les musulmans ont perdu le goût de la vie

Plutôt que de qualifier les musulmans de bêtes comme l’a fait  Abdelwahhab  Meddeb, il faut chercher à comprendre pourquoi  sont-ils arrivés au stade de la déconnexion d’eux-mêmes, étrangers à leur propre vie, n’exerçant aucune emprise sur elle, tenus à suivre qu’une seule voie, le sentier d’Allah, et surtout pourquoi ont-ils fait de la mort une forme de vie ? Tout bêtement pourquoi sont-ils morbides et tristes à mourir. Il faut les voir à la sortie des mosquées avec leur tête de croque-mort.
Leurs mosquées sont si lugubres et froides que les morgues qui par certains aspects dégagent plus d’hymne à la vie. Un musulman dès sa naissance commence déjà à préparer son linceul, impatient de rejoindre son géniteur, il n’est jamais le fruit de l’amour de ses parents. L’homme est la propriété absolue d’Allah. C’est lui qui décide du moment  passage à l’acte d’autodestruction. Quand un musulman commet un attentat suicide, ce n’est pas lui qui a fait le choix d’y aller, c’est Allah qui l’ a désigné pour le faire. Tous ces mercenaires qui partent faire le djihad en Syrie comme je l’ai entendu dire un jour sur une chaîne de télévision, ne le font pas par convictions personnelles dont ils sont dépourvues, c’est Allah qui en fait ses heureux élus.
L’islam comme toute idéologie totalitaire voue une haine féroce à l’humanisme à cause de ses vertus salutaires et libératrices pour l’être humain. Surfant sur les peurs et les angoisses, et érigeant en idéal de vie le culte de la terreur pour gagner le paradis, il multiplie des gardes à ses fidèles pseudos sacré pour les empêcher  à entendre toute voix susceptible de les détourner de leur état d’assujettissement total et qui leur fait prendre conscience du vrai sens de leur existence d’êtres humains responsables oeuvrant pour leur bien-être commun et ceux de la communauté humaine universelle.
 L’homme musulman  n’est pas né pour vivre, il est né pour anéantir son existence et celle d’autrui. L’islam développe pour les siens une forme de nihilisme toute particulière où l’ultra violence est tournée vers soi et vers ses semblables que l’on peut qualifier de sadomasochisme, où l’on jouit de sa mort qui ouvre la voie à d’autres réjouissances virtuelles et fantasmagoriques et celle de ses victimes auxquelles  Allah lui-même qui a ôté la vie. L’irréel et l’insensé sont les vrais traits de caractère de l’islam qui mérite l’appellation du  stade suprême de l’absurdité humaine, une véritable pathologie mentale mortifère où les frontières entre la vie et la mort.
Aucune mélodie ne les berce, sauf les chants funèbres d’Allah Akbar et Mahomet son prophète comme si on avait besoin de lui assener cela toute sa vie mais apparemment il dur d’oreille et doté d’un faible Q.I.
Abrutis et assommés par les appels à la prière à toutes les heures de la journée. Comment vous voulez qu’ils puissent se reposer quand les cris lugubres de leurs muezzins  les sortent de leur sommeil en sursaut ?  Ne dit-on pas que le repos est dans la tombe ?
Ils sont shootés comme des fous aux tons martiaux et assourdissants des hauts parleurs qui diffusent en boucle les rappels des troupes à moutonner devant Allah et lui tendre leur cou pour être égorgé comme une victime expiatoire s’offrant « elle-même » en Holocauste à son bourreau.
Leur cité ressemble à des chambres de torture,. Ils n’ont d’horizon que la haine d’eux-mêmes et l’idéalisation d’un dieu illusoire et fantasmagorique qui les manipule comme un chef marionnettiste fait valser ses marionnettes, sauf que le premier il le fait pour empoisonner la vie des hommes.
 L’homme musulman n’est pas né pour travailler et pourvoir à ses besoins et ceux des siens,  il n’est rien, il n’y a de place qu’à l’islam dans sa vie,
aucune estime de soi, esclave de son maître, un ‘abd, il n’est qu’une poussière de son vivant, Allah est le maître de la vie de ses ouialles, ne parlons pas de leur prophète, il est au-dessus de tout, en tant que créateur de le religion de la négation de la vie humaine et du culte du suicide stade ultime pour tous les musulmans qui veulent partouzer halal dans l’au-delà mais non sans avoir satisfait le rite de passage : entrainer l’autre dans la mort qu’on s’inflige.
Un mouroir à ciel ouvert, c’est ça le monde de l’islam et le musulman est convaincu que la seule voie pour tous les hommes est la mort de la vie. Ce n’est par hasard que leurs femmes et leurs hommes  ressemblent de plus en plus à des spectres et des épouvantails qui effraieraient Frankenstein et Dracula et tous les princes des ténèbres. Le jour est une éternelle nuit pour les musulmans, c’est pourquoi ils ne voient jamais le bout du tunnel dans lequel ils y sont depuis 1435 ans. Pauvres humains pour qui la tristesse est leur seul lot de consolation. Les musulmans broient du noir et ne cessent de transformer leurs corps en cendres pour évacuer leur propre dégoût d’eux-mêmes.

En votant pour Ennahdha, les tunisiens ont réhabilité les nazislamistes et trahi Bourguiba

A la différence des Musulmans d’obédience malékite qui s’étaient trouvés enrôlés dans le camp du Monde Libre et avaient combattu avec succès les hydres nazies, représentantes des couleurs de la barbarie humaine et de l’extermination raciale, à savoir  le III ème Reich allemand, les  hanbalites dont est issue la pieuvre islamiste mère nourricière de Tourabi, Bel Haj, Ben Laden, Zawahiri et le terroriste invétéré et dogmatique  Rached Ghannouchi avaient choisi délibérément de collaborer avec le nazisme en s’engageant  volontairement dans les Divisions SS dont une des figures les plus « illustrement » sinistres le Mufti al Husseini, grand-père de Leïla Chahid, en était un des chefs. Une promotion qu’Hitler lui avait accordée certainement pour sa haine viscérale des juifs, contrairement à Bourguiba  qui avait refusé de les sacrifier en contrepartie de  la libération de la Tunisie par les allemands du joug de la France.

Profitant de l’absence de vide juridique, pour ne pas dire d’une véritable immunité juridique, les barons mafieux de la nébuleuse islamiste mondialiste ne manquent pas une occasion chez eux pour afficher publiquement leurs ressentiments exacerbés du Juif. Ainsi, Le triste prédicateur Qaradhaou mis hors d’état de nuire par le Gouvernement de Sissi avait pendant des années et en toute impunité répandu son venin nazillon et antisémite sans impunité. Des millions de téléspectateurs arabophones se délectaient de ses prêches haineuses et nauséabondes. Il ne faisait en réalité que se faire l’écho des thèses racistes et antijuives et antichrétiennes  de l’islam. Ce n’est certainement pas les pays qui appliquent la loi de l’islam qui oseraient le condamner pour apologie du nazisme, de négationnisme et d’incitation à la haine raciale alors qu’il ne fait que reproduire fidèlement ce que l’islam prône. C’est pourquoi ses propos nauséabonds qui seraient tombés sous la coupe de la loi des hommes en Occident, ne lui ont valu aucune poursuite judiciaire au Qatar. N’a-t-il pas déclaré dans une des ses prêches délirantes au mois de janvier 2009 sur la chaine télé propagandiste wahhabite d al Jazira que Dieu a envoyé Hitler pour châtier les Juifs mais qu’ils n’avaient toujours pas retenu la leçon et que la prochaine fois, ils le seront des mains des musulmans et qu’ainsi il pourrait accomplir son rêve de prier à la Mosquée d’Al Qods.

Ce qui laisse sous- entendre que le sale boulot n est pas terminé. Cet homme qui méritait de finir ses jours en prison comme son apôtre ibn Tatmmiya , idolâtré et vénéré par les islamistes tunisiens qui l’accueillaient à chaque visite en Tunisie  comme un héros.

Nul doute qu’ils lui avaient dédié leur victoire au scrutin électoral de la Constituante et que leur projet de constitution avait reçu son aval. La  terre sacrée de Saint-Augustin profanée par le symbole de l’inhumanisme et l’ignominie la pire offense morale jamais faite à la Tunisie. Un pays dont le nom est associé au combat contre la barbarie nazie se retrouve en voie de rejoindre le cercle des pays qui déroulent le tapis rouge de sang des innocents celui qui témoigne de l’abjection humaine du totalitarisme hitlérien et de leurs nervis qoutbistes.

Pour le Malraux de Ben Ali : « à cause de la Révolution tunisienne on a frôlé l’Apocalypse nucléaire en Syrie »

The ubiquitous Ben Ali
The ubiquitous Ben Ali (Photo credit: stewartmorris)
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Zine el-Abidine Ben Ali _DDC2526.jpg (Photo credit: Abode of Chaos)

Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour tenir le haut de l’affiche ? Tout simplement soit raconter des bobards soit les rapporter, quand ce n’est pas les deux.

Voilà un petit peuple par la taille mais grand par son histoire se trouve doté de capacités de nuisance hors du commun.

En effet, paraît-il selon des propos à la teneur vengeresse et hautement fantaisistes et charlatanesques dont les sources à la fiabilité des plus douteuses mais que leur rapporteur voire leur auteur ? et dont il s’est toutefois gardé d’en vérifier l’authenticité, les tunisiens sont la cause de tous les tourments actuels du monde « arabe » et pire encore ils ont failli provoquer une véritable guerre apocalyptique entre les russes et les américains sur le territoire syrien où ils ont voulu exporter leur révolution à laquelle il n’a jamais cru.

On ne peut qu’être étonné par les capacités de nuisance et de déstabilisation que semble leur prêter ce personnage délirant, de la part d’un peuple qui après avoir fait le plus dur en dégageant le chef mafieux des anciens pilleurs et affameurs s’est  trouvé dépouillé par naïveté des fruits de sa victoire sur le népotisme et le despotisme, alors qu’aujourd’hui même il est incapable d’arracher le pays des griffes de l’hydre islamiste qu’il a fréquentées dans leurs antres parisiens et londoniens.

Apparemment sa rancœur insatiable lui fait perdre le sens des réalités et la prudence dans l’énonciation d’affirmations gratuites quand bien même il n’en serait pas l’auteur.

Comment un peuple qu’il ne cesse de qualifier de gueux et de hordes sauvages a-t-il pu avoir autant de ressources intellectuelles, politiques et guerrières pour pouvoir infléchir le cours de l’histoire de ce monde jusqu’à pouvoir écrire la fin de l’histoire de l’humanité ? i

C’est carrément ubuesque et dantesque. Ou comme dirait Jacques Chirac abracadabrantesque. Un peuple que lui ou sa source classe comme étant le peuple le plus sous-développé intellectuellement au monde à l’échelle fantasmagorique de Darwin inventée par ses soins ( ?)  mais quel mépris pour soi-même d’abord, oubliant de préciser qu’une telle performance si jamais elle est avérée les tunisiens la doivent à son ancien Seigneur auquel il était inféodé.

Par la grâce de sa morgue suffisante,  le peuple tunisien se trouve propulsé sur les devants de la scène mondiale, capable de peser sur l’équilibre des forces et de modifier le jeu des grandes puissances en les opposant les unes contre les autres. Un nouveau statut qui doit seoir à ce peuple : la première puissance complotiste au monde. Le monde a désormais de quoi en tenir avec les gueux tunisiens pour lui  emprunter  son qualificatif.

Les tunisiens ne doivent pas gâcher leur plaisir de se voir doté de qualités insoupçonnées que leur pute ce fidèle parmi les fidèles de Ben Ali, le patriote comme il se plait tant à l’anoblir. Certainement par méconnaissance  et ignorance  aveugle du vrai sens politique de ce mot. Un patriote qui a ruiné son peuple et préparé le terrain à son islamisation à marche programmée auquel ses mentors saoudiens lui ont offert une mosquée à sa gloire personnelle construite sur un site protégé qui est la mémoire de la vraie Tunisie carthaginoise et plurielle.

Le pillage du patrimoine national, de la mémoire historique du peuple tunisien, de sa richesse archéologique, de la profanation des sites protégés est-ce aussi s’appelle du patriotisme ?

A moins que le patriotisme de Ben Ali dont nul n’est en mesure de nous prouver s’il a bel et bien bénéficier de ses faveurs le fruit de la spoliation de ce peuple meurtri et exsangue ne soit pas synonyme de patriotisme économique.

Un homme qui détourne  à son profit  et celui de sa garde rapprochée les richesses de la nation et  qui a mis son pays sous coupe réglée relève de la cour martiale pour haute trahison. Trahir son peuple, c’est aussi trahir sa patrie.

Qu’il lui soit reconnaissant c’est à son honneur et dans ce cas-là il doit répondre de la nature de ses liens avec lui, mais pas celui des tunisiens dépossédés de tous leurs biens par ce kleptomane.

Il doit savoir qu’en insultant un peuple dont on est le pur produit on s’insulte soi-même.  On ne grandit pas en couvrant d’injures nauséabondes ce peuple auquel il est redevable d’une promotion aussi surprenante qu’inattendue  et qui n’est certainement le résultat de ses engagements républicains et patriotiques malruciens.

Les tunisiens ne sont ni les russes, ni les chinois, ni les américains pour jouer au trouble-fête et être tenus pour responsables des malheurs de ce monde, eux qui n’ont pas fini de panser leurs blessures et faire le deuil de leurs morts tués par Ben Ali qui laisserait apparaitre  Ali Baba comme un apprenti chouraveur.

Ne faisons pas de ce peuple victime de siècles de despotisme le bourreau d’autrui pour mieux dédouaner les vrais bourreaux de leurs crimes. On ne peut plus lui en vouloir d’avoir fait perdre aux anciens rouages du système benalien leurs privilèges.

Tunisie : genèse d’une forfaiture et chronique de la mise à mort programmée du pays

Presidential standard of Tunisia
Presidential standard of Tunisia (Photo credit: Wikipedia)
110209 Ennahda Movement returns to Tunisian po...
110209 Ennahda Movement returns to Tunisian politics | عودة حركة النهضة للساحة السياسية التونسية | Retour du mouvement Ennahda sur la scène politique tunisienne (Photo credit: Magharebia)

27 avril 2011

Les premières autorités tunisiennes de transition ont accordé contre toute attente un visa de parti politique à Ennahdha en violation flagrante de la loi sur les partis  politiques en Tunisie dont les dispositions interdisent la reconnaissance des partis qui se réclament publiquement  de la religion.  Tout se passe comme si les statuts d’Ennahdha n’étaient pas suffisamment édifiants quant à sa forte orientation idéologique ouvertement antirépublicaine et fasciste, pour les éclairer sur la haute  nocivité de ce mouvement sectaire émanation de la Confrérie des Frères Musulmans, la  pire organisation criminelle tendance religieuse depuis les Assassins.

Ce que ni Bourguiba ni le mafieux Ben Ali ne l’avaient fait, les autorités de transition l’avaient fait sans vergogne ni scrupule. A moins qu’elles aient été payées par les mentors et bailleurs de fonds de la secte dont les membres n’ont pas pourtant fini de rendre des comptes à la justice tunisienne pour crimes terroristes et attentats meurtriers, tentatives de coups d’Etat, haute trahison, menaces de troubles d’ordre public et contre la sécurité du pays, actes de violence sur les citoyens tunisiens, atteintes à l’intégrité physique des femmes tunisiennes au moyen de substances dangereuses : l’acide sulfurique. Comme par enchantement, leurs antécédents judiciaires ont été effacés par un simple coup de plume et ils se sont trouvés propulsés  sur la nouvelle scène politique tunisienne sans que l’on mesure les conséquences désastreuses pour la pérennité même du pays. Autant avoir accordé le visa de parti politique de la Qaïda dont les chefs historiques réputés proches du terroriste Rached Ghannouchi  faisaient partie de la mouvance islamiste de la Confrérie des Frères Musulmans.

Un véritable crime d’Etat a été commis sans que personne ne s’en rende compte ni évaluer le danger sous-jacent à la consécration d’Ennahdha comme acteur politique de droit commun. Comment lesdites autorités ne pouvaient pas prendre en compte les desseins criminels de cette secte et sa haine viscérale de la démocratie jugée incompatible avec son engagement messianique et sa farouche volonté de soumettre la Tunisie à la charia et détruire ses frontières politiques nationales ? Comment peuvent-elles ignorer que la secte est obsédée dogmatiquement par la ré instauration de Califat et qu’elle présente ainsi un réel danger pour la souveraineté nationale ?

Des questions qui resteront sans doute sans réponse comme aussi les dessous de ce visa synonyme de haute trahison. Elles doivent savoir que jamais ce mouvement à l’idéologie totalitaire et liberticide ne se muera en parti politique à cause de son essence même et sa conception d’un Etat au pouvoir hyper concentrationnaire et centralisation d’expression théocratique où tout est soumis à l’ordre de la religion qui est la loi suprême du pays.

Savent-elles au moins qu’Ennahdha n’a qu’un but transposer dans son intégralité le modèle sociétal saoudien en Tunisie ?  Autrement dit la mort des libertés humaines les plus élémentaires. Une société fermée, fortement hiérarchisée, raciste, pédophile, féminicide, un mouroir à ciel ouvert et inégalitaire. Leur inconséquence et leur négligence coupable risquent de provoquer un des pires Tsunamis de l’histoire de ce peuple connu pour ses vertus civilisationnelles, son esprit d’ouverture sur le monde, son pacifisme, son pluralisme culturel,  qui rêvait tant de capitaliser sur son riche substrat identitaire  et de sa soif soif de liberté.

Ces autorités ont commis une véritable forfaiture en drapant la secte dans les draps de la république et les tunisiens ne vont pas tarder de voir leur rêve brisé pour finir par regretter ce qui aurait pu être l’âge cauchemardesque de Ben Ali devenir in fine l’âge d’or. Adieu veau, vache, cochon, couvée comme disait la Fontaine et place à la charia, l’oumma, le califat et le Goulag des libertés. Les tunisiens n’auront que leurs yeux pour pleurer leurs illusions perdues et leur espoir de vivre dans une société tolérante où l’homme est acteur et responsable de sa vie sans l’interférence de la religion dans l’organisation personnelle de sa vie, de ses choix politiques et du fonctionnement de l’Etat et de l’élaboration des lois qui le régissent et définissent leur mise en œuvre. Ni mélanges des genres ni accaparement de pouvoirs par une clique de ploutocrates et de kleptocrates. Les risques d’émergence d’une nouvelle oligarchie politique résolument religieuse   sont très forts et les tunisiens courent vers des sérieux désagréments. Et ce n’est certainement pas  Ennahsdha dont les statuts ne font pas mystère sur la confusion des pouvoirs qui va leur offrir un horizon radieux et contribuer ainsi  à l’édification d’une démocratie tunisienne si un jour elle accède au pouvoir.  Ce dont il est douter sauf pour lesdites autorités très convaincues par la justesse de leur choix qui aurait surpris Ennahdha elle-même. Elles lui ont la Tunisie en quelque sorte sur un plateau en marbre mortuaire massif.

Ennahdha n’attendait pas tant de leur part, sans condition ni préalable. Sans aucun engagement pris de sa part dans le sens  du respect des règles de jeu démocratique, ni de la souveraineté nationale, ni la refonte totale de ses statuts en cohérence avec la loi sur les partis politiques, ni son abandon du terrorisme. Libre comme un prédateur qui va enfin se saisir de sa proie et quand bien même l’aurait-elle fait elle renierait la parole donnée qui n’engage que ceux qui y ont cru. Se considérant dans le sentier d’Allah et dans une phase de reconquête pour imposer la voix d’Allah tant en Tunisie que de par le monde, il n’y a de vérité que dans le mensonge, appliquant à la lettre les recommandations du prophète de l’islam qui encourage le mensonge par nécessité politique.

Il est à craindre que les dégâts nés d’une décision irresponsable et irréfléchies ne coupent la Tunisie dans son élan et ne l’entrainent dans les limbes de l’histoire. Elle porte en elle toutes les caractéristiques d’un acte de naissance de l’Emirat-dattier de Tunisiastan. Un nouveau sanctuaire. du satanislamisme.

J

Le vrai complice d’Ennahdha, c’est le peuple tunisien lui-même

Jamais on aurait dû confier les leviers du pouvoir en Tunisie à Ennahdha. Jamais on aurait dû lui confier les ministères régaliens. Il n’en reste pas moins que B.C.E. avait fait une faute politique « Kolossale » en lui laissant les clés de la maison Tunisie comme si le locataire n’avait pas d’antécédents scélérats. sans prendre la moindre précaution. Quoiqu’il en soit Ennahdha a perdu toute légitimité depuis le 23 octobre 2012 date de la fin du bail et depuis elle squatte le pouvoir en toute illégalité.
De même que la solution existe mais dans  la chute de l’A.N.C., la seule issue pour sortir la Tunisie de cette impasse qui devient de plus en plus inextricable.
En la laissant faire, les tunisiens lui accordent non seulement une légitimité de facto et pire encore se rendent complices de haute trahison. Seuls les traîtres trouvent leur compte dans la mise à mort programmée de la Tunisie.
Quant à la guerre civile nous y sommes, comme si les crimes d’Etat et les assassinats politiques ne sont pas des éléments probants quant à son existence. La secte fait couler en toute impunité  le sang tunisien, alors que les tunisiens ont peur de sacrifier leur vie pour que vive leur pays.
tunisien mais les tunisiens
Ennahdha fait sa loi et impose son diktat et sèment les germes de la mort à tour de bras  et les tunisiens s’en réjouissent et en redemandent comme si ) chaque fois ils connaissent un état d’extase.. .
Ce n’est pas avec un peuple d’incapables, de bars cassés, de guignols, de vendus dans l’âme, de fatalistes, de népotiques, de corrompus, de parvenus, de renégats,  d’anti patriotes, de faux culs, de pleutres, de veules, d’escrocs, de dégénérés, de psychotiques, de terroristes, de nymphos du nikah,  d’opportunistes genre Chabi, Ben Jaäfar, Jendoubi, Marzougui, de téléphages de feuilletons turcs, de drogués de l’islam, de moutons et de de bigots  que l’on va extraire le pays du fond du gouffre.

Il n’y a qu’un seul islam pour tous les musulmans, celui de Daech et de Boko Haram

L’intégrisme musulman n’est qu’une interprétation stricte et originelle des textes sacrés. il n’admet aucune forme d’évolution de la religion au nom du respect de la tradition et de la pureté de ses sources. Contrairement à toutes ces idées reçues sur la dissonance cognitive entre l’islam et l’intégrisme religieux dans le sens où l’on cherche à dissocier l’image véhiculée par les intégristes musulmans sur  l’islam lui-même comme s’il y avait deux conceptions antithétiques et antinomiques de l’Islam alors qu’elles sont plutôt interchangeables mais jamais opposées au point de vue de leurs racines et essences religieuses.

Par voie de conséquence les intégristes  qui prônent l’observation et la pratique de leur religion débarrassée de toutes les scories et influences extérieures généralement occidentales, ils ne sont ne sont pas en contradiction avec les exigences de leur code canon, bien au contraire, leur discours et leur comportement s’inscrivent dans le champ conceptuel et de sa matrice matérielle et dogmatique, ils rêvent d’une société musulmane vivant en totale adéquation avec les exigences de la foi qui ne peut avoir comme seul mode opératoire dans la vie des musulmans que la loi canonique de la charia. Indépendamment de leur rigidité conceptuelle et leur vison unitariste et confusionnelle où le sacré et le profane se fondent dans le même moule pour n’en faire qu’un, où toutes les sphères de la vie sociale, spirituelle, économique , politique, judiciaire, sont régies par les mêmes mécanismes de droit Canon, ils ne sont pas considérés comme apostats ou hérétiques au sens musulman du terme parce qu’il sont avant tout musulmans. Même si leur vison littérale et cosmique de la foi musulmane où la passion semble être leur seul moteur et guide de leur vie, ils sont les fers de lance de la diffusion de l’islam, les vrais gardiens de la tradition dont personne ne conteste le statut, les fiers -que je qualifierais volontiers d’indignes- apologistes et prosélytes de l’Islam qu’ Allah couvera de ses bienfaits à la différence de la majorité musulmane dite modérée qui leur est hostile mais qui n aura pas grâce aux yeux d’Allah parce qu’ils ne reconnaissent pas l’intégralité des textes sacrés.

Le vrai musulman est celui qui combat dans le sentier d’Allah tel l’intégriste. Quant au musulman modéré cette appellation est un oxymore, une fumisterie médiatique, une sorte d’hérésie au sens que donne le Coran du disciple musulman. Et comme le dit Erdogan, il n’y a qu’un seul islam et une seule catégorie de musulmans. Soit on est dans les normes de l’islam obéissant scrupuleusement aux préceptes de sa foi sans aucune possibilité d’aménagement ou d’accommodement personnel, dans ce cas là aucun doute quant à la qualité de musulman qui endosse les habits de l’islam sans les retoucher, soit on cherche à vivre l’islam seulement en tant que foi  l’est-elle vraiment ne serait-ce de par la pauvreté spirituelle de l’islam et son rabaissement de l’homme et la sa sanctification de la violence,  et  contextualiser l’islam et l’adapter à ses besoins personnels, le personnaliser, et dans ce cas là le doute subsiste en ce qui concerne la qualité de vrai musulman.

Aux musulmans qui voient la haine partout à force de la répandre autour d’eux

 

Cessez de voir la haine qui est votre seul horizon et certainement pas le nôtre là où elle n’est jamais et de confondre le langage de la vérité que vous abhorrez tant avec stigmatisation de  votre religion.
Apprenez à argumenter plutôt que d’invectiver, vitupérer et de menacer de mort vos détracteurs. Nous n’avons aucune haine pour votre religion, elle est suffisamment haineuse pour se passer bien volontiers de la nôtre qui est plutôt l’expression de notre ras-le-bol de votre intolérance, de votre envahissement de l’espace public,  de votre inacceptation du droit à la différence, de votre racisme, de votre arrogance, de votre intrusion, de votre colonialisme, de votre refus de vivre dans le respect de l’ordre républicain, de votre rejet de la laïcité, de votre nombrilisme, aigu,  de votre ethnocentrisme.
Vous projetez sur nous votre propre haine de vous-mêmes et de votre religion que vous n’avez jamais le courage de la mettre à nu et de condamner à travers son enseignement désuet, inadapté et incompatible avec les lois humaines, ainsi que le comportement ultraviolent de vos coreligionnaires activistes. Vous nous reprochez de mener ce travail de vérité sur votre religion que vous êtes incapables de mener vous-mêmes. Nous n’avons aucune haine pour votre religion nous avons surtout le courage et la lucidité intellectuelle de la démasquer et lever le voile derrière lequel se dissimule sa vraie nature impériale, totalitaire, belliciste et dangereuse pour la paix et la fraternité entre les hommes.
Vous appelez haine ce qui est de l’ordre d’un électrochoc pour réveiller les consciences et … la vôtre avant qu’il ne soit trop tard. Certains d’entre vous remettent en question leur soumission à votre religion, d’autres n’ayant pas peur d’affronter la mort et l’abjurent car ils ont compris que ce n’est pas une religion dans le sens étymologique et noble du terme et ont aussi honte de vous ressembler. Vous appelez haine notre réticence à nous adapter aux lois  de votre religion et vos us et coutumes d’un autre temps frappés soi-disant du sceau du sacré, un sacré synonyme de barbarie humaine, alors que c’est à vous de vous adapter à l’environnement de vos pays d’accueil. Vous êtes constamment dans la violation des les humaines que vous jugez comme imparfaites par rapport à vos lois de la jungle et pourtant vous êtes les premiers à en bénéficier.
Avant de devenir les maîtres du monde, soyez surtout des bons élèves, mais des élèves sincères et convaincus qu’il n’y a pas d’issue dans la destruction de ce monde qui vous nourrit et vous soigne, car vous n’êtes pas capables de fabriquer le moindre médicament, et qui pourra se transformer en votre tombe à force des maux que vous lui infligez et qui finiront par vous emporter.
Vous voulez faire revenir notre monde à l’état sauvage, à l’image de ce que vous avez fait subir à l’Afghanistan, la Somalie et actuellement à la Tunisie et à la Libye et bien d’autres pays dont la pérennité humaine est menacée.  
Notre haine n’est que notre combat contre l’obscurantisme néfaste pour l’humanité dont voulez faire un ordre nouveau.
Vous n’éteindrez jamais notre lumière pour la remplacer par votre obscurité.
 
 
 

Adieu la France ! Adieu la République et bienvenue au nouvel Emirat bananier de Francestan

Halal
Halal (Photo credit: golo)

A croire que les musulmans voient des musulmans partout. Moi leur juif sioniste sur le Web, les voilà quand ils me croisent dans la rue ils se mettent  à me prendre  pour un des leurs à cause de ma barbe mal rasée et de ma supposée apparence musulmane, comme si les musulmans avaient des attributs physiques spécifiques.

Lundi dernier un bon musulman vertueux me fait remarquer alors que j’étais en train d’acheter ma viande au rayon boucherie d’un Supermarché Leclerc que ce n’est pas de la viande Halal. Rebelote aujourd’hui dans le même magasin, un musulman plein de sollicitude toute musulmane à mon égard  me récite la même litanie que son coreligionnaire : ce n’est pas de la viande halal. C’est la nouvelle mode chez les musulmans de jouer aux brigadistes de la vertu alimentaire.
Au-delà de ma réponse incisive à ces deux énergumènes qui reste au demeurant anecdotique. De telles agressions aux relents racistes et inquisitoriaux plus évidents qui ne sont pas aussi isolées qu’elles en ont l’air laissent présager un avenir très sombre en France aux libertés  fondamentales et notamment la liberté de conscience  et la laïcité.
Après l’épisode de l’année dernière à Montpellier où je me sus fait  traiter de mécréant  par une voile intégrale, j’apprends à mes dépens que la  peste de la charia se propage à une vitesse vertigineuse que si on ne fait rien pour l’éradiquer, elle va finir par tout contaminer.
Adieu la France, Adieu la République et vive le nouvel Emirat bananier de France.
Aujourd’hui c’est la petite remarque innocente comme si elle pouvait l’être c’est le musulman au faciès comme dirait Sarkozy qu’on égorgera parce qu’il n’observe pas le Ramadhan.

Dans l’islam l’homme n’est pas né libre, il est né pour être un ‘abd, un esclave

English: Calligraphic name of Allah in Arabic,...
English: Calligraphic name of Allah in Arabic, Copied from Public Domain artwork (Photo credit: Wikipedia)

Les tunisiens se voyaient déjà  en haut de l’affiche mais ils ont oublié que leurs chevilles étaient restées  entravées par les chaînes de l’islam ne sachant pas qu’ils vivent depuis 1400 ans sous le pire  régime despotique et négateur de l’être humain qu’est l’islam, l’idéologie de l’asservissement, de l’indignité humaine et de la soumission par excellence.

L’homme n’est pas libre dans l’islam, il a été créé par Allah pour le servir, moutonner devant lui,  un  esclave congénital, un ‘abd, un captif qui n’a aucun espoir de quitter un jour son bagne. L’islam est un bagne à perpétuité d’où personne ne peut échapper. Il n’y a de salut pour son âme  que dans sa résignation absolue à la dictature de son Dieu et Maître, condamné à rester un éternel esclave, tant qu’il n’a pas brisé les chaînes qui l’empêchent de recouvrer sa liberté.

Les tunisiens comme tous les peuples musulmans n’ont aucune chance de se remettre dans le sens de la marche de l’histoire tant qu’ils sont les esclaves d’Allah.

Fiers même d’être des Abd Allah. Tout heureux d’assumer leur statut d’hommes aliénés et propriété d’Allah.  Déchus de leurs droits sur eux-mêmes, dépourvus de volonté propre et n’ayant aucune prise sur leur destin humain, ils sont une chose entre ses mains. Lui, il dicte et eux ils s’exécutent.

Dans ces conditions, jamais les Abid de l’islam ne goûteront aux joies des libertés humaines.

Quand un esclave fait le choix de son maître plutôt que de sa liberté jugée comme un sacrilège punissable des feux de l’enfer, il y a tout lieu de croire que sa condition d’esclave est sa seule raison d’être et de vivre, un mal incurable dont la guérison remet en cause sa propre survie.

Abid ils le sont et Abid ils le resteront jusqu’à la nuit des temps. La solution n’est pas dans l’islam comme ils persistent à le croire, la solution est dans la rupture totale avec l’islam. On ne fait pas d’un produit toxique, un traitement de décontamination de l’atmosphère.

Anatomy of an islamist devoted to the Sharia !

ANATOMY OF AN ISLAMIST DEVOTED TO THE SHARIAA!!!

By Salem Benammar Translate by Michel Hfayedh

« Muslim fundamentalism is poised to create homo Islamic wahhabitus a pale copy of the homo nuevo trend new man in the Nazi high culture of violence, racism and the total and absolute submission. A man usually devoid of own thinking and personal reflection because of the strong ideological education doses that are the Gave from… early childhood, which is the key step in the initiation process of indoctrination. Poured into the mold doctrinaire as a sculptor runs his cast to give it shape, this fully automated and standardized man is programmed to execute the orders whose purpose is to promote the emergence of a new society only the most populous member brave, aggressive, brave, obedient and devoted. There is no place in society for those who do not meet the eligibility criteria or who refuse to share fingerprint values of exclusion, banishment and social discrimination, ethnic, political or sexual.

Like all totalitarian and fascist ideology, Islam also dreams of having mindless humans, programmed to carry out his term and his cosmic hegemonic designs in the world, in this case it would be master of the universe. Nothing but faithful with a soldierly spirit, with an innate sense of the sacrifice of their lives for the sake of the cause of the ideal Muslim who wants the ultimate stage for all humanity.

Perfect for a perfect religion men.

When you’re racist, you’re never aware of his racism, Nazism and Islam as Mussolini’s fascism is no exception to this rule, so full of himself and convinced of his absolute supremacy and incomparable nature no other because of its divine essence that can manifest disdain, hatred and contempt for the humans who do not him allegiance. He can not bring himself to the idea that he who wants a new way for humanity to which it wants to impose its diktat on behalf of his Supremacist values, absolute purity, infallible, immaculate, a marvel of perfection to image of the person who has designed and executed for his creatures.

With its self-proclaimed legitimacy of its existentialist and organic superiority over all other rival systems which are expected to disappear in his favor, to give way to his lordly power, Islam arose as a new incubator a transhuman species whose DNA is the result of genetic manipulation where religion would have the same property as blood.

We hear more Muslim blood as if Islam was itself a blood group that characterizes his own followers of genetic attributes.

A new human species seems to come out of the Muslim laying, such as inflatable dolls outputs of Chinese channels for the sexual use of homo islamicus wahhabitus. In the wake of the Nazi distant cousin with whom he shared hatred of the Jew as an engine of its operation ideological Islam wants to purify starting with the community waiting to expand its purifying action and sanitation remaining humanity of all exogenous influences of these people cursed by Allah which he owes everything yet. One wonders if these people Jews and Christians and pagans had not existed, is that Islam would have existed and caress the dream of creating a new man?

As these people endure and return to its hybrid and illegitimate origins, it can not qualify as original religion, not subject to external influences. He is obsessed with decontamination of his community, and claims to purify all the dross that does not have the character, so that he is not an innovator in spiritual innovation, on the contrary it marked a turning point in the abuse of religion for political and ideological purposes. In the history of religions, Islam is the first and only religion that sanctifies and glorifies violence by making a stepping stone to heaven.

It is a heresy to imagine promote the existence within it of rival systems, especially those that provide the means to man their emancipation and assertiveness. In mentally conditioning his followers to do the ramparts against any form of political innovation that is the expression of the will of man. Thus, it is unrealistic to imagine the new Muslim man claiming democratic and republican values considered imperfect because of their human nature and therefore unlawful.

The new man is like the Nazi Muslim man, his own self censor and executioner all recalcitrant and non-conformists who are part of the intellectual processes that may remove the man from the gravity of the dictatorship dominant thought.

Any resemblance between the two ideologies is also fortuitous that? Both are known for their ode to love and humanistic virtues. As they advocate or brotherhood among all men without exception, nor equal rights between humans irrespective of creed and sex. None of them recognizes the men’s rights to freedom of expression, association and worship. Both the one and the other are factors of peace and mutual understanding, respect for the inalienable right to life, the right to sexual difference, protection of physical and mental health in early childhood with the Islam is an object of sexual consumption.

Hitler wanted to create a human community restricted to Aryans, Muhammad wanted to do the same. The pagan and the other mystical religious where there is no place for those who have no ideological marker.

The world defeated Nazi utopia, will he do the same with the Muslim utopia? »

Pour sauver Carthage, les tunisiens n’ont guère le choix soit la civilisation soit la barbarie islamique

Statue d'Ibn Khaldoun sur l'avenue Habib Bourg...
Statue d’Ibn Khaldoun sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis (Tunisie) (Photo credit: Wikipedia)

Vous êtes les premiers ennemis de vos libertés si vous ne faites rien pour les défendre contre tous ces prédateurs qui prolifèrent en Tunisie et dans le monde. Ceux-là sont les pires de tous. Ils s’abreuvent de notre sang et jouissent de notre mort en se transformant en de véritables bombes humaines. Embrigadées et endoctrinés comme les waffen SS nazis. Leur bellicisme, Leur voracité, leur férocité, leur cruauté, leur inhumanité, leur intolérance, leur état d’enfermement mental, leur barbarie, leur antisémitisme, leur racisme dogmatique, leur regréssisme, leur prosélytisme agressif, leurs fantasmes hégémonisme impériaux, leur haine de l’autre, leurs pulsions de mort catalysées par les prescrits mêmes du Coran, leur fanatisme religieux, leurs délires psychotiques sont le reflet de leur dogmatisme doctrinaire et de leur sectarisme mystico-politique  comparables à ceux des nazis et des organisations paramiltaires secrètes.

Les islamistes djihadistes dont fait partie la secte schismatique et idolâtre d’Ennahdha en Tunisie vouent un véritable culte obsessionnel  à l’Oumma fantasmagorique islamique sur le modèle du Reich nazi  fruit de leur état de leur état de pathologie psychiatrique. Une communauté de croyants à l échelle planétaire unis par la foi islamique faisant fi des frontières de quelque sorte que ce soit. Un espèce de Gouvernement mondial  constituée d’un ensemble d’Emirats, des micros Etats vassalisés sous le joug d’un Califat tricéphale : turc, saoudien et qatarien. Régie par les Lois sacrées du Coran qui n’ont de sacrées que le sens que leurs partisans leur donnent où l’on doit pratiquer la choura (consensus)  observer la Sunnah,  et respecter la hiérarchie de l’ordre établi selon les préceptes coraniques. Interdisant toute rupture avec l’Oumma sous peine de mort. Sombres perspectives politiques, sociales et humaines pour les populations musulmanes aspirant à la démocratie et aux libertés.

Confortés  dans leurs bouffées délirantes  par leur Bréviaire religieux  qui prophétise le règne de la religion musulmane sur toutes les nations de la terre et dont ils se considèrent comme  les vaillants  fers de lance, une sorte de  cavaliers noirs de l’Apocalypse  telles des divisions de Waffen SS qui déferleront sur le monde. Alléchés de surcroît par un salaire mirifique et paradisiaque que leur promet le Grand Commanditaire en contrepartie de l’accomplissement de sa prophétie, ainsi plus rien ne saurait contrarier leur combat dans le sentier d Allah. Etant donné leur nature vénale, la bonne action gratuite est illicite dans leur idéal religieux, leur mission sacrée au service de la cause d’Allah devient leur seule raison d’être et de vivre pour espérer gagner les voies du paradis, eux qui ne travaillent que pour terroriser et répandre la mort.

Voilà comment ces renégats et ces félons islamistes, ces êtres dépourvus de raison et de discernement et lobotomisés par leur idéologie qui veut faire de la barbarie et  de l’ordre naturel un système de gouvernement mondial et une Loi universelle pour tous les hommes négatrice des spécificités des peuples, se trouvent sur le devant de la scène politique tunisienne suscitant inquiétudes, angoisses, phobies et adhésions irresponsables et criminelles.

Les cavaliers noirs  de l’Apocalypse islamiste  semant la mort et répandant le chaos semblent les mieux placés dans le starting box électoral tunisien non pas qu’ils rencontrent une forte adhésion à leur cause ignoble et génocidaire, bien au contraire, mais surtout à cause de la grave incurie politique dont souffre la Tunisie et la déficience pathétique des instances qui se veulent architectes des futures élections. Le pilotage électoral tunisien aurait dû être confié à des personnes autrement plus compétentes et plus clairvoyantes afin de nous épargner ce spectacle d’amateurisme guignolesque et ces atermoiements dangereux pour motiver les électeurs à s’ inscrire sur le listes électorales. Le travail déplorable et inqualifiable desdites commissions ainsi que les mauvais choix de timing des inscriptions sur lesdites électorales ne sera  pas sans conséquences sur l’issue du  prochain scrutin.

Toutes ces nominations népotiques et abusives aux seins des commissions de pilotage sont absolument inadmissibles et contre- productives ont été faites au mépris des intérêts du peuple tunisien. Comment des personnes sans compétences juridiques avérées, sans aucun back ground intellectuel et politique significatif, sans  aucune expertise en matière électorale peuvent elles avoir la responsabilité de telles commissions. Quelle est leur légitimité ?   Qui connait leurs vécus ? Quels sont leurs pédigrées ?  La médiocratie ambiante pourrait être l’alliée potentielle des extrémistes dans la mesure où il n’est pas exclu d’envisager un vote de défiance en leur faveur. Et surtout les abstentions massives pour népotisme aggravé et qui profiteraient aux extrémistes qui sont la seule force que j’ose pas qualifier de politique pour les raisons juridiques sont les seuls à pouvoir mobiliser leurs électeurs et avoir un effet d’exécutoire pour les déçus de l’incurie politique tunisienne. Le risque d un raz de marée islamiste n est pas négligeable à cause ou grâce au faible enthousiasme dont font preuve les électeurs tunisiens pour  accomplir cet acte citoyen tellement crucial pour leur avenir sociétal, civilisationnel et humain.

Les enjeux de ce scrutin ne sont pas seulement politiques, loin s’en faut. Deux visions du monde, deux visions de sociétés humaines diamétralement opposées s’affrontent sur le théâtre tunisien. Savent-ils que l’avenir de leurs femmes, dont le statut est leur fierté nationale, est absolument tributaire de ce scrutin ?                                    .

Est-ce que c’est le but recherché quand toute la Tunisie s était levée comme un seul homme pour l’affirmation de sa dignité et de son indignation contre les abus des privilèges dont le premier ministre de transition se gave comme jamais ?   Il est du devoir de chaque Tunisien d’exercer son droit de vote qui est sa seule arme pour endiguer le fléau islamiste et faire de son pays une nouvelle Carthage qui n’est pas un mythe comme l’Oumma, elle est une réalité et quelle réalité ! Savent-ils qu’ils ont les héritiers de l’une des plus belles et des plus riches civilisations humaines ?  Savent-ils qu’ils font partie d’un des peuples les plus civilisés au monde de par leur histoire passée la raie pas celle de leur état de dominion depuis 1400 ans ? La Tunisie terre de civilisation, patrie d’Hannibal, d’Ibn Khaldoun, de St Augustin et de tous ces hommes et femmes qui font sa gloire, ne doit pas devenir une terre de barbarie humaine et un vassal wahhabite. Votre combat, notre combat à tous n’est pas seulement politique, c’est un combat pour la sauvegarde et la pérennisation de nos valeurs d’égalité, de liberté,  de bien vivre ensemble, de fraternité humaine et non celle du sang et de la foi, de paix universelle, de compréhension mutuelle. C’est un combat pour la démocratie, les droits de l homme, la laïcité qui n’a jamais été l’ennemie des religions bien au contraire. C est un combat pour le respect de la vie humaine, la tolérance et les libertés de cultes et de conscience. Notre combat à tous n est pas que Tunisien, il est universel. Comme leur impérialisme religieux qui se propage aux quatre coins de la terre au nom du djihaddisme islamique représenté en Tunisie par le Kaiser Ghannouch R. pionnier du terrorisme islamique et son acolyte et sulfureux personnage A. Mourou. Ce combat est un combat de la civilisation contre la barbarie. Hitler a échoué dans sa conquête du monde, les Islamistes et leur utopie cosmique ( l’islamisme modéré est une vue de l’esprit) y parviendront si nous ne créons pas ce cordon sanitaire pour protéger la Démocratie, la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du pays.

Signé Dr BEN AMMAR   10 mai 2011

PS.   RAPPEL LES BAILLEURS DE FONDS ET MENTORS DES JIHADSITES TUNISIENS SONT LES MEMES QUI PROTEGENT ET ABRITENT L’ANCIEN DESPOTE ET TOUTE SA COUR. IL CONVIENT AUX ELECTEURS TUNISIENS D’EN TIRER LES CONCLUSIONS QUI S’IMPOSENT

Là où l’islam est roi, la misère est reine

Dans le classement mondial de l’indice brut du bonheur daté du 13 septembre 2013 : la Somalie 103ème, la Tunisie juste après.
En l’espace de deux ans la Tunisie a perdu plus de 65 places. Une sacrée dégringolade sans filet protecteur et qu’au rythme de la « moyenâgisation » de la société tunisienne la Tunisie va se trouver à court terme dans les fonds abyssaux de l’histoire.
En faisant le choix de la mafia islamiste pour conduire les affaires du pays, les Tunisiens et tout particulièrement ceux qui l’ont intronisée ont signé l’arrêt de mort de leur pays.
 En effet, ils n’avaient aucune conscience de l’incongruité de leur vote et ses conséquences néfastes sur l’avenir politique, économique de leur pays et son devenir sociétal.
Par leur vote irresponsable, ils font le lit au retour en force de la charia de la Tunisie et du repli identitaire au nom de la pureté originelle des valeurs de l’islam. C’est la fin des libertés humaines les plus élémentaires et la mise à mort des droits de la femme.  Chaque voix donnée à Ennahdha est un poison injecté dans les veines de la Tunisie.
Incultes, faux-dévots, bigots et illuminés vivant à contre-courant de la réalité de leur temps, inadaptés à la modernité, conditionnés à bloc par les prêches des imams salafo-nahdhaouis dans les mosquées qui ont fait du scrutin de l’Assemblée constituante un enjeu messianique et eschatologique. Ne pas voter pour Ennahdha, parti d’Allah, c’est voter contre l’islam lui-même.
Ils avaient confondu leur bulletin de vote avec un ticket d’entrée au grand bordel d’Allah et en optant pour la secte nazislamiste qui a su le mieux coller à la nature bigote des Tunisiens,  ils pensaient pouvoir  accomplir un acte de revitalisation de l’islam en Tunisie qui aurait été moribond sous Ben Ali et Bourguiba.
Les urnes de la démocratie au secours de l’islam. Une aubaine inespérée pour remettre de l’ordre dans la maison islam tunisienne où chacun sera à sa juste place. Allah au sommet et ses créatures dévouées corps, âmes et biens à son service.
La Tunisie n’était pour eux qu’une offrande parmi tant d’autres pour expier leurs péchés de s’être éloignés de la voie de l’islam.
Se poser la question sur les conséquences de leur vote sur elle est en soi est une hérésie.
Que leur vote abatte sur elle le voile de la mort, ils en ont que faire. C’est le prix à payer en tous les cas pour réinstaurer la loi de l’islam en Tunisie. Qu’elle devienne un nouvel Afghanistan ou une nouvelle Somalie, cela n’est pas problématique à leurs yeux, tant que l’islam est bien portant et si l’homme est au plus mal ce n’est que la volonté d’Allah.
Ils n’ont que faire d’interroger l’état exécrable des pays musulmans et se demander pourquoi là où met l’islam au coeur de la vie, plus on creuse la tombe des hommes.
Mais ils n’ont pas cette intelligence de questionner la réalité.
Ils ne jurent désormais que par le Qatar, l’Arabie Saoudite et la Turquie, ses nouveaux prétendants. Aucun de ces pays qui lorgne sur elle n’est digne de sa main ni un un exemple de liberté et de démocratie et surtout du respect de la vie humaine.
Ni l’Arabie Saoudite, un monstre de barbarie humaine, qui veut islamiser la Tunisie à fortes doses ni la Turquie, arrogante, hégémonique et nostalgique du Califat ottoman, du Führer en herbe Herr Dorgan qui cherche à la coloniser.
Là où prospère l’islam, les peuples galèrent dans le malheur et s’enfoncent dans la misère. La Tunisie en est l’illustration parfaite.
En deux ans, le pays a tout perdu pendant que l’islam pourrit la vie des tunisiens.
Il y en a encore qui vont me sortir leur litanie de malheur : l’islam n’y est pour rien.  Si la Tunisie et le monde musulman en sont là, c’est à cause de l’islam et toutes ses métastases : violence, obscurantisme, sous-développement, misère, inégalité, injustice, racisme, pédophilie, nécrophilie, discrimination des femmes, homophobie, sectarisme, fanatisme, oisiveté, djihad, répudiation, corruption, népotisme, clanisme, tribalisme, mépris de soi et de la vie, mal de vivre, archaïsme, nombrilisme, fascisme vert, etc…
Certains vont me dire et la Turquie alors ? Un borgne au pays des aveugles surtout. Il est très loin de correspondre à cette image d’Epinal qu’ils se font d’elle.
Que les 7 millions de turcs ou plus qui vivent en Occident regagnent leur pays de Cocagne !
Un seul exemple se suffit de lui-même quant à l’horizon noir qui se dessine dans le ciel turc est le secteur agricole qui emploie plus de 25% de la population active turque pour 10% du PIB turc. Ce sont des millions de chômeurs en perspective le jour où la Turquie modernisera son mode de production agricole si jamais elle aura à se soumettre aux normes européennes.
Une bombe à retardement qui risque de noyer la Turquie sous la houle  d’un Tsunami social sans précédent dans son histoire.
 Quant aux inégalités régionales, elles sont parmi les plus fortes au monde.
Des dizaines de milliers d’enfants des rues à Ankara et Istanbul livrés aux prédateurs sexuels et esclavagistes qui ne sont pas une priorité pour le gouvernement turc ainsi que les  600 000 enfants kurdes et roms de 6 à 17 ans sont déscolarisés pour servir de petites mains aux patrons peu scrupuleux de ce pays.
Plus on islamise les sociétés, plus on fait leur malheur.  L’Afghanistan, le Soudan, l’Egypte, le Pakistan, l’Irak, la Tunisie, l’Algérie, et j’en passe.
Quand on veut creuser la tombe des peuples, offrons leur l’islam.

Voile, terrorisme, djihad du nikah et antidépresseurs, sont les vrais acquis de la « révolution » tunisienne

La pathologie psychiatrique  tunisienne est ancienne, ses symptômes  remontent au début du VIII e siècle, le jour où des nuages de sauterelles venues d’un des plus arides et lunaires déserts qui soit au monde avaient déferlé sur ses terres hospitalières et verdoyantes pour les faire ressembler aux leurs.

Devenues depuis des terres peuplées d’ombres humaines, des zombies, de renégats qui ne connaissent de la vie que la mort qu’ils répandent autour d’eux. Ce peuple connu pour ses qualités de bâtisseurs et son esprit de conquérant et son amour de la vie se trouve contre son gré et par la force du seul langage de l’épée que connaissent ces envahisseurs ténébreux et charognards, soumis à un nouveau mode de pouvoir absolu axé sur la manipulation mentale, sur la violence psychologique en jouant sur les mécanismes de la peur, la frayeur, la terreur, de l’autodestruction  et le reniement de soi pour se diluer dans un nouveau moule présenté comme étant une création divine rendant hérétique tout ce qui pouvait rattacher ce peuple à ce qui pouvait présenter la sève de sa vie : sa langue, sa culture et son histoire.  . De statut de peuple fier, digne, authentique et debout il a tout perdu, sa liberté, son honneur, sa santé mentale, son équilibre psychique et son identité. Traumatisé, malmené, déraciné, en rupture avec lui-même et son histoire, sous l’emprise d’un nouveau pouvoir   suprématiste,  produisant sur lui des effets soporifiques; mystificateur, castrateur, mutilateur, aliénateur, fondé sur l’asservissement et l’avilissement de l’homme, agrémenté par  la négation de la vie et l’anéantissement de l’être pour un hypothétique monde meilleur dans l’au-delà.

A son corps défendant, il s’est trouvé emprisonné dans un bagne mental dont il lui est impossible de s’évader, se laissant ainsi aller dans un état de désespoir permanent, de renoncement au peuple qu’il devrait être mais qu’il n’a plus la force de le redevenir.

Embourbé dans un destin que ses maîtres venus du désert lunaire d’Arabie lui ont tracé, il leur obéit comme un esclave obéit à son maitre. Vivant sous la menace permanente de la malédiction qui risque de le frapper et le privant ainsi des prébendes divines promises  si un jour il lui viendra à l’esprit de briser les chaînes qui l’entravent.

Résigné, découragé, amorphe, inhibé par la peur d’agir, atteint d’une grande paralysie mentale, devenu une sorte de légume au fil des siècles de contamination,  et démissionnaire, tel un toxicomane renonçant au combat pour la vie qui fait de la drogue une solution à ses problèmes, alors qu’l ne fait qu’ajouter des maux à ses problèmes.

De ses maux, il veut faire un remède, et du remède il en fait une chape de plomb pour trouver une issue à ses problèmes. N’ayant pas appris à réfléchir et à raisonner par lui-même et d’agir dans le sens de l’intérêt commun, il s’en remet à la volonté d’une force imaginaire, supranormale, et mystérieuse pour prendre en charge son destin.

Comme s’ils faisaient  de son bourreau son sauveur. Il n’est pas simplement atteint du syndrome de Stockholm, il est surtout atteint de cécité mentale, ne se rendant pas compte que l’origine de tous ses tourments est cette substance neuro dégénérative qu’on lui inocule jour et nuit du berceau jusqu’à la mort.

Au lieu de lutter contre cette drogue paralysante et sclérosante, il se laisse bercer par les illusions des paradis artificiels, hallucinant sur un monde virtuel, pour noyer  l’amertume de sa vie qui n’est pourtant pas irréversible pour celui qui a la force de croire qu’au cœur vaillant rien est impossible et qu’il n’y a pas de victoire  sur soi et sur l’adversité sans effort et abnégation.

Rendu fataliste et défaitiste par des siècles de surconsommation de cette substance neuro dégénérative, il s’est installé dans les habitudes du désespoir, pour en faire sa voie de salut pour un monde meilleur dans l’au-delà. Toit se passe comme si la résignation à son mal-être est son seul destin sur cette terre. Dépossédé de toutes ses facultés mentales et intellectuelles, vivant dans un univers carcéral castrateur où tout amour pour soi, ses semblables et la patrie qui le nourrit est absolument interdit, passible des feux de l’enfer, il est incapable d’imaginer qu’il puisse avoir un monde que des humains de son espèce ont construit par leurs mains. Lesquels pour y arriver ont mené par eux-mêmes les cures de désintoxication qui furent chez certains très brutales qu’on appelle : révolution.

Le peuple tunisien a cru avoir fait la sienne, mais ce ne fut qu’une illusion d’optique, il a vite fait de déchanter pour retomber dans ses entraves passées même pire que celles qu’il avait connues jusqu’alors.

Intoxiqués comme jamais par cette substance néfaste pour le cerveau humain, il a fait une chute en arrière dont il ne semble plus capable de se relever. Après avoir regardé le train de l’histoire dans sa posture d’hommes dont le derrière est constamment rivé au sol, le voilà aujourd’hui allongé de tout son long à même le sol à regarder impuissamment les nuages sombres s’amonceler dans le ciel et qui ne vont pas tarder de se transformer en pluies diluviennes charriant des torrents de boue qui vont le couvrir et muer de sa terre nourricière une tombe à ciel ouvert.

Lui qui a fait le choix de rester coucher, il doit savoir qu’en adoptant cette posture on ne fait que précipiter sa propre mort et celle de sa patrie. Il pourra toujours trouver une compensation  dans les promesses  abracadabrantes et farfelues que lui ont vendues les dealers de cette substance hallucinogène dont il est accroc.

Elle est devenue sa seule raison d’être et de vivre, sa seule cause pour laquelle il se sacrifie, il n’y a qu’elle et qu’elle seule qui peut le faire redresser sur ses jambes pour aller faire don de son corps soit pour assouvir l’appétit cannibalique du Maître de son destin soit de satisfaire les pulsions sexuelles des escadrons de la mort combattant dans son sentier.

Il veut être un peuple élu du paradis plutôt qu’un peuple digne de sa patrie. La patrie n’a pas la faculté de le manipuler et n’attend de lui qu’il donne le meilleur de lui-même pour la construire, or, on ne peut pas demander à un toxicomane, à un anxieux, qui a peur de sa propre ombre  et assommé par des prises incroyables de neuroleptique et d’antidépresseurs de mettre les mains dans le cambouis alors qu’il est convaincu que sans se tuer à la tâche, il touchera son Graal.  Tant qu’il y croit, plus la couleuvre est grosse plus le mensonge prend les allures de dogme irréfutable que ce peuple aux neurones irradiés par les nuages toxiques.

Désespéré et  rendu aveugle par l’opacité de ces nuages, il ne sait plus aujourd’hui à quel diable  se vouer après l’exil de Satan  Ben Ali dans le  désert d’Arabie  source de tous ses maux.  Il avait pourtant cru bien faire en consentant sans équivoque à convoler en juste noce avec des partenaires multiples aux pedigrees hybrides et douteux porteurs du virus sidarabe, avec lesquels il forme  désormais un ménage à quatre. inconscient et suicidaire, il entretient avec eux des rapports non protégés mettant ainsi en péril sa vie et la pérennité de la patrie.

Peu lui importe les risques tant qu’il s’enivre à mort au breuvage de cette substance toxique qu’il mélange désormais avec des nouvelles substances chimiques importées des pays des koffars, le Prozac, l’Exomil, le Valium, le Tercian et bien d’autres palliatifs médicamenteux que ses nouveaux partenaires se font fort de lui prodiguer  à fortes doses, pour le maintenir dans son état de dépendance chronique.

Pendant que le peuple s’abreuve d’un cocktail détonant composé d’ingrédients chimiques pour apaiser son mal-être et d’autres intoxiquant ses neurones qui le font fantasmer sur ce que sera sa vie dans l’au-delà, ses nouveaux partenaires se payent sur la bête tunisienne.

Le premier au train de vie dépassant de 40% celui de la présidence fédérale allemande, ou plutôt en termes de PIB il représenterait l’équivalent de celui de la France, de l’Allemagne, d’Italie réunis. Exubérant et fantasque, connu pour avoir perdu le sens de la raison depuis fort longtemps. il donne libre  à ses frasques cours grâce à l’incivisme et à l’indifférence de ce peuple à assouvir son penchant pour  un liquide rosâtre qu’il consomme sans modération aux frais de peuple déconnecté de lui-même.

Le deuxième qui se veut un Calife parmi les Califes et qui est un symbole de la laideur humaine. Veule, cupide, terroriste invétéré, milicien, intrigant, fourbe, pire qu’un charognard, assoiffé de revanche sociale et à la rancœur érigée en dogme religieux. Il ne vit que dans la haine de ses compatriotes et la trahison de sa patrie qu’il veut détruire au profit de ses maîtres.

Quant au troisième, il est l’archétype même de ce que doit être le profil du nouvel homme musulman : pédophile, servile, inculte, exécutant de basses besognes, assujetti, obéissant comme un chien à ses maîtres, dépourvus de personnalité et repoussant physiquement.

Avec ce trio, le peuple tunisien est assuré de faire de la Tunisie un enfer qui le conduira tout droit dans les fonds abyssaux de la civilisation humaine.

L’islam va-t-il enfin créer son homme nouveau comme son cousin idéologique nazi ?

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An example of Allāh written in simple Arabic calligraphy. (Photo credit: Wikipedia)

Le fondamentalisme musulman est en passe de créer l’homo islamicus wahhabitus une pâle copie de l’homo nuevo tendance l’homme nouveau nazi élevé dans la culture de la violence, le racisme et la soumission totale et absolue. Un homme  généralement dépourvu de toute pensée propre et de réflexion personnelle à cause des fortes doses d’enseignement idéologique dont on le gave dès sa prime enfance, qui est la phase initiatique clé dans le processus d’endoctrinement. Coulé dans le moule doctrinaire comme un sculpteur coule son plâtre pour lui donner forme, cet homme complètement robotisé et uniformisé est programmé pour exécuter les ordres dont la finalité est de favoriser l’émergence d’une société nouvelle, seulement peuplée d e ses membres les plus vaillants, combatifs, courageux, obéissants et dévoués. Il n’y a pas de place dans cette société pour ceux qui ne remplissent pas les critères d’éligibilité ou qui refusent de partager  des valeurs empreintes d’exclusion, de bannissement et de discrimination sociale, ethnique, politique ou sexuelle.

Comme toute idéologie fasciste et totalitaire, l’islam rêve lui aussi d’avoir des êtres humains décérébrés, programmés pour mener à son terme ses desseins cosmiques et hégémoniques sur le monde, dans ce cas il se voudrait maître de l’univers. Rien que des fidèles dotés d’une âme soldatesque, ayant le sens inné du sacrifice de leur propre vie pour les besoins de la cause de l’idéal musulman qui se veut le stade ultime pour toute l’humanité.

Des hommes parfaits pour une religion parfaite.

Quand on est raciste, on est jamais conscient de son racisme, l’islam comme le nazisme ou le fascisme mussolinien n’échappe pas à cette règle, tellement imbu de sa personne et convaincu de sa suprématie absolue et de sa nature incomparable à nulle autre à cause de son essence divine, ne peut manifester que dédain, haine et mépris à l’égard des humains qui ne lui font pas allégeance. Il ne peut se résoudre à l’idée que lui qui se veut une nouvelle voie pour l’humanité à laquelle il veut imposer son diktat au nom de ses valeurs suprématistes, à la pureté absolue, infaillibles, immaculées, une merveille  de perfection  à l’image de celui qui les a dessinées et conçues pour ses créatures.

Fort de sa légitimé autoproclamée de sa supériorité essentialiste et organique sur tous les autres systèmes rivaux qui sont appelés à disparaître à son profit, à s’effacer devant sa puissance seigneuriale,  l’islam se pose comme une nouvelle couveuse d’une espèce transhumaine dont l’ADN serait le résultat d’une manipulation génétique où la religion aurait la même propriété que le sang.

On parle de plus de sang musulman comme si l’islam était lui-même un groupe sanguin qui caractérise ses adeptes d’attributs génétiques propres.

Une nouvelle espèce humaine semble sortir de la pondeuse musulmane, comme ces poupées gonflables sorties des chaînes chinoises pour l’usage sexuel de l’homo islamicus wahhabitus. Dans le sillage de son lointain cousin nazi avec qui il partage la haine du juif comme moteur de son mode de fonctionnement idéologique , l’islam  veut purifier à commencer par sa communauté en attendant d’étendre son action purificatrice et d’assainissement au restant de l’humanité de toutes les influences exogènes de ces peuples maudits par Allah auquel pourtant il doit tout. On se demande si  ces peuples juifs et chrétiens et païens n’avaient pas existé, est-ce que l’islam aurait existé et caresser le rêve de créer son homme nouveau ?

Tant que ces peuples perdurent et le renvoient à ses origines hybrides et illégitimes, il ne peut pas  prétendre au statut de religion originale, non sujette à des influences extérieures.  Lui qui est obsédé par la décontamination de sa communauté, et se prétend la purifier de toutes les scories qui n’ont pas son caractère, alors que lui-même n’a rien innové en matière d’innovation spirituelle, bien au contraire il a marqué un virage dans le détournement de la religion à des fins politiques et idéologiques. Dans l’histoire des religions, l’islam est la première et la seule religion qui exalte et sanctifie la violence en en faisant un tremplin pour le paradis.

C’est une hérésie de l’imaginer favoriser l’existence en son sein des systèmes rivaux et surtout ceux qui procurent à l’homme les moyens de leur émancipation et l’affirmation de soi. En conditionnant mentalement ses fidèles pour en faire des remparts contre toute forme d’innovation politique qui soit l’expression de la volonté de l’homme. Ainsi, est-il illusoire d’imaginer l’homme nouveau musulman revendiquer des valeurs démocratiques et républicaines considérées comme imparfaites à cause de leur nature humaine et donc illicite.

L’homme nouveau musulman est comme l’homme nazi, son propre auto censeur et le bourreau de tous les récalcitrants et non-conformistes qui s’inscrivent dans des démarches intellectuelles  qui risquent d’éloigner l’homme de la pesanteur de la dictature de la pensée dominante.

Toute ressemblance entre  les deux  idéologie est-elle aussi fortuite que cela ? Les deux ne sont pas réputées pour leur ode d’amour et vertus humanistes. Comme elles prônent ni fraternité entre tous les hommes sans exclusive, ni d’égalité de droits entre les humains sans distinction de croyance et de sexe. Aucune d’elles ne reconnait à l’hommes les droits aux  liberté d’expressions, d’association, de culte. Aussi bien l’une comme l’autre ne sont des facteurs de paix et  compréhension mutuelle, le respect inaliénable du droit à la vie, du droit à la différence sexuelle, de la protection de la santé mentale et physique de la petite enfance dont l’islam fait un objet de consommation sexuelle.

Hitler voulait créer une collectivité humaine réservée aux seuls aryens, Mahomet voulait en faire de même. L’une païenne et l’autre mystico-religieuse où il n’y a pas de place à ceux qui n’ont pas leur marqueur idéologique.

Le monde a vaincu l’utopie nazie, va-t-il en faire autant avec l’utopie musulmane ?

Ennahdha n’a fait que profiter de la lâcheté et de la surdité des tunisiens

Sheikh Rached Ghannouchi
Sheikh Rached Ghannouchi (Photo credit: Chatham House, London)

 Le vénéré borderline psychopathe félon, traître à la patrie, mafieux et nostalgique obsessionnel de l’Oumma fantasmagorique et illuminé Kaiser Ghannouchi 1er, agent du djihadisme mondialiste activiste et pionnier du terrorisme islamique, rêve d’instaurer un Califat sur le modèle du Reich nazi. Il en est tellement obsédé qu’au point qu’il  joue un rôle  de composition contraire à sa nature hideuse et belliciste. Il se garde de dévoiler son projet funeste pour ne pas effrayer l’opinion publique tunisienne jalouse de sa modernité et soucieuse de préserver les acquis laïcs de sa Révolution. De peur de commettre un sacrilège pour si peu et se voir ainsi exclu du banquet paradisiaque où il retrouvera son  regretté frère d’armes l’innommable et vénéré terroriste Ben Laden. Allah promet à ses soldats dévoués à sa cause gargantuesque, qui sèment la mort et répandent la terreur les plus grandioses festins: Les vierges de préférence pré pubères, du vin millésimé labellisé A.D.C.( appellation divine contrôlée), la verdure et  l’eau en abondance.Nature généreuse, paysage  idyllique et un décorum absents du paysage désertique de l’Arabie malheureuse mais qui sont les caractéristiques du pôle Nord.

Le Kaiser Ghannouchi et tous ses frères d’armes font généralement le choix pour leur exil doré de contrées plus accueillantes que les pays islamiques mais réputés pour leur aridité et leur inhospitalité. Et pourtant, en toute logique c’est ces derniers qui auraient dû constituer sa terre d’élection mais le  gourou  a préféré le petit paradis londonien avant goût de ce qu’il lui est déjà réservé au ciel.

Au vu des récompenses qu’Allah alloue à ses fidèles missionnés pour faire de la terre son Royaume, je voterai  comme tous les cupides qui ses respectent pour la secte de droit divin d’Ennhdha afin  de contribuer à l’émergence du  Califat de Tunisie et m’épargner ainsi un séjour en enfer. Au regard de la promiscuité de la secte avec Allah comme la professe la doctrine du Tawheed, je ne veux pas me rendre coupable d’hérésie  en votant contre la secte satanique. Comme je ne veux plus refuser cette main tendue et les prébendes offerts au nom d’Allah, je ne saurai refuser une telle générosité annonciatrice d’autres plus grandioses qui m’attendent au paradis. Ce serait  commettre un sacrilège de renoncer  aux cadeaux à l’origine douteuse distribués grâcieusement au nom d’Allah et pour sa noble cause inhérente à au triomphe de ses soldats les plus dévoués et fidèles au sens de sacrifice inné y compris  de se muer en bombes humaines. Etant donné cet état de confusion mentale qui me carcatérise  et qui frappe tous leurs disciples, il est donc  somme toute logique de voter pour Ennahdha en croyant voter pour Allah. Les promoteurs de la doctrine du tawheeed excellent ne matière de confusion mentale et de lobotomisation des esprits. Leurs paroles se confondent avec celle d’Allah. Ils sont dépositaires de son message auprès des brebis égarées et exclues du banquet de la nature. C’EST UN VOTE POUR ALLAH ET NON UN VOTE POUR LES TAWHEEDISTES D’ENNAHDHA.

Cette litanie qui est en réalité leur seul programme électoral, est le secret du succès du vote islamiste en Egypte, en Algérie au début des années 90, au Soudan, en Afghanistan ou au Pakistan. Voter pour la secte d’Ennahdha  est aussi  un gage pour le chemin du paradis dont le kaiser Ghannouchi et son acolyte et sulfureux  vénéré  A.Mourou vont en bénéficier. Allah accorde  récompense et miséricorde à ses fidèles les plus zélés. y compris ceux qui font de la haine et de la mort de l’autre leur raison de vivre et de mourir.  Je ne veux pas qu’ils soient les seuls à être comblés  de ses Bienfaits.

Mais toute réflexion faite  et grâce à mes facultés de discernement je ne voterai jamais pour une secte satanique et démoniaque, ce qui ne sera pas hélas le cas de tous ces pauvres d’esprit égarés dans les méandres du mystère du dilemme que suscite le choix d un vote pour Ennahdha en fonction de leur soumission à  Allah.

Dans le contexte tunisien, cette secte est une marchande d’illusions nocives à la santé mentale de ses disciples et dangereuse pour l’unité même de la Tunisie. Un tel vote est synonyme de chaos et de turbulences humaines, sociales, politiques, régionales, géopolitiques. Un vote qui plongerait la Tunisie dans les profondeurs abyssales de la civilisation.     Faire de la Tunisie un Califat sous le règne du prédateur et glouton  le Kaiser Ghannouchi 1er , à l’humanisme qui ferait pâlir de jalousie Néron, Hitler et Pol Pot réunis. Voter pour une cette belliciste et hégémonique est se rendre complice du  projet criminel d islamisation du monde. Au mépris du Corna lui même qui impose à tous les preux musulmans d’oeuvrer dans la voie d Allah.

Tout vote en faveur de cette organisation islamo djihadsite aux relents nazis et antisémites constituerait une amorce de complicité  dans le processus de mise en oeuvre de  crimes contre l humanité dont les djihadsites mondialistes se rendront tôt ou tard coupables. La Tunisie est un premier palier dans leur projet. Et demain tous les Tunisiens seront transformés en soldats kamikazes. S’ériger en soldats fous d’ Allah pour instaurer son Royaume voilà l’avenir qui se dessine pour les tunisiens, quand aux tunisiennes elles auront la lourde charge de devenir des bonnes pouroyeuses  de plaisir  et de réconfort sexuel aux  soldats d’Allah.

Il est important qu’elle retrouve leurs vertus de ventres porteurs chers à Allah et à ses lieutenants islamistes. Le statut de combattant d’Allah sera la résultante du vote pour Ennahdha. Vaste programme politique. Au regard des conséquences désastreuses et dévastatrices qu’un tel vote pourrait générer, je ne saurai qu’exhorter les femmes et les hommes épris de libertés et au nom de nos valeurs humains de pas  contribuer à l’ instauration d’un Califat en terre carthaginoise, notre plus grande fierté et notre unique richesse historique, et au nom de la sauvegarde de notre identité tuniso- tunisienne et non tuniso-saoudienne ou qatarienne, et ce quel qu’en soit le prix contrairement Ghannouchi et  Mourou après avoir vendu leurs mes aux monarchies pétrolières veulent désormais leur vendre le pays tout entier,  je suis résolu déterminé à combattre les forces de l’obscurantisme dont ils sont  les dignes représentants. Et combattre leur tentative de trahison à la patrie au nom d el Islam. La Tunisie n’est pas la propriété de l’Islam, elle appartient à son peuple toutes confessions et sensibilités politiques confondues.

Il est de notre devoir patriotique et civilisationnel  d éradiquer les sectes qui polluent le paysage tunisien tels les hydres djihadistes, Salafistes, tawhidistes.

Au nom de mon intolérance de  leur  intolérance, j’assume mon choix de finir en enfer qu’ils nous  font déjà  subir sur terre plutôt que de les retrouver dans les vertes prairies célestes. Tant pis pour l’anathème, alors qu’eux ils méritent de finir leurs jours dans nos geôles  pour apologie de la violence et incitation à la haine raciale,  et pourtant nos tribunaux ne  les condamnent guère, que certains ne vont pas manquer de m’y jeter je préfère être maitre de mes choix, libre dans ma pensée, plutôt que de tolérer leurs délires mystico-politiques enrobés de religion. Je préfère finir en enfer que le Coran réserve aux mécréants  plutôt que de prendre pour de l’argent comptant leurs délires fantasmagoriques sur le paradis après nous avoir fait vivre l’enfer sur terre. Mon choix  est celui de la raison, il est  rationnel, d’essence humaine et donc incompatible avec leur choix de société d’essence divine et toxique pour la santé mentale. Je ne vote pas contre Allah, je vote contre l’ obscurantisme et les dérives sectaires d’Ennahdha et je ne tolère pas leur récupération éhontée et hérétique de la religion quand bien même l’Islam lui-même manque gravement de discernement en matière de séparation de pouvoirs entre la religion et la politique. Signé DR BEN AMMAR Le 30 avril 2011

Avec Herr Ghannouchi Israël doit savoir à quoi s’en tenir et la Palestine tient enfin son libérateur

 

Il semble que le kaiser Raspoutine Ghannouch, futur Calife de Tunisie, veut s’inspirer du modèle israélien ! Lui au philosémitisme comparable à celui de son maitre à penser A.Hitler le voilà qui se met à admirer l’Etat juif d’Israël après avoir voulu vendre aux tunisiens le modèle turc mais son socle laïc et une constitution dépolluée de l’islam.

Et pourtant tout donnait à croire qu’avec son CALIFAT IL VOUDRAIT RESSUSCITER LE REICH NAZI. Sacrée mutation idéologique, sacré virage mais de circonstances évidemment. Il promet aussi de faire le Zorro ou le Geronimo djihadiste, surtout que Ben Laden son icone a laissé un vide, le voilà qui enfourche la baudet islamiste dont usent et abusent les islamistes djihadsites mondialistes  qui est celui  de la libération des territoires palestiniens.

C’est la Sainte Barthélémy ou le Grand Fracas pour Israël. Ainsi Israël sera enfin balayé de la surface de la terre et le projet fantasmagorique de la fameuse Oumma musulmane verra enfin le jour. A chacun son Sion. Il faut savoir que la question palestinienne figure en onzième position dans le recueil des revendications  idéologiques des Frèress Musulmans. La Tunisie aura payé avec le sang de ses martyrs pour la bonne cause.

L’utopie palestinienne aura des effets positifs sur tous les secteurs d’activité en Tunisie. Plus de chômage, plus de crise sociale ni politique. C’est la solution finale. Et les Palestiniens avant qu’ils ne gouttent aux joies de l honneur retrouvé auront été rayés de la carte aussi par Israël. Voilà le projet grandiose et libérateur plutôt exterminateur de cet adorateurs d’Adolph Hitler et de Hassan al Bana le fondateur de la Confrérie des Frères Musulmans et grand-père maternel du Caméléon Tareq ramadhan apôtre de la TaKaiyya, maison-mère de la secte d’Ennahdha .Hélas, il y des benêts et des faibles d’esprit qui y croient. L’humanisme belliciste et génocidaire du Kaiser Ghannouch à n’en pas douter est porteur de solutions.

Tout le monde y gagnera. Le sang humain  abreuvera les sillons de la barbarie ghannouchienne. 

 

Appel aux musulmans : laissez tomber vos délires nazis et soyez d’abord humains

Appel aux musulmans : ne faites pas de vos pays une nouvelle Allemagne nazie, par Ben Ammar Salem

Dans cet article publié sur Tunisie Info, Ben Ammar Salem, un tunisien lucide, s’exprime plus librement sur l’islam que ne le fait n’importe quel média français, où la pensée unique et totalitaire interdit ne serait que d’examiner les similitudes qui rapprochent le nazisme de l’islam politique.

Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus encore en Tunisie

Les musulmans sont comme ces coureurs cyclistes du dimanche largués par le peloton qui au lieu de doubler d’efforts et d’énergie pour refaire leur handicap, ils se mettent à vociférer, à maugréer, à vitupérer, à s’agiter comme des forcenés, à stigmatiser et couvrir leurs devanciers d’un torrent de boues d’insultes et d’invectives comme s’ils étaient responsables de leur retard irréversible. Toujours la faute à l’autre, érigeant l’autre en bouc-émissaire de tous leurs échecs pathétiques, se donnant bonne conscience en brandissant l’étendard du religieux pour masquer leur propre insuffisance et se regarder de leur propre miroir. Quand on est incapable de faire sa propre introspection pour comprendre et analyser les causes de sa faillite, on se sert de l’autre comme un criminel cherche à se fabriquer un faux alibi pour échapper aux Fourches Caudines de la justice. Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus grave encore en Tunisie, elle dont ni ses rues ni ses mosquées n’ont été des espaces inquisitoriaux et d’appels au meurtre du juif dans toute son histoire post-1956 et bien avant, à l’instar des scènes de pogroms et des autodafés devenus la marque de fabrique locale depuis le retour du Raspoutine tunisien R. Ghannouchi sur le sol national. Le pays de la douceur de vivre et du bien vivre ensemble ressemble désormais à une cité du monde des ténèbres offrant un visage de la barbarie humaine. Sans âme, ni raison humaine, où seuls dominent les cris des meutes de loups en voie de coloniser son territoire et ses agoras. La Tunisie est en train de perdre inexorablement son humanité et son pacifisme, pour accéder au statut de l’ignominie et l’indignité internationales.

En un temps record, elle vient d’être sacrée terre de djihad et premier pays pourvoyeur de chair à canon dans la guerre impérialiste téléguidée par l’OTAN contre la Syrie. Manquant de discernement, veules, cupides et attirés certainement par l’appât du gain et les prébendes paradisiaques, ils ne se rendent pas compte qu’ils sont des marionnettes, des simples pions, une simple force d’appoint dans une guerre hégémonique néo-impérialiste. Comme ils ne savent pas que ceux-là mêmes qui les manipulent et les soudoie sont les mêmes qui dénoncent la montée du fanatisme et de l’obscurantisme en Tunisie. En vendant leur âme au diable comme ils qualifiaient eux-mêmes leur marionnettiste américain, ils discréditent l’image de leur propre religion qui n’est plus en état de guerre, dar al harb, depuis le 11 ème siècle, et jettent en même temps l’opprobre sur leur propre pays.

Cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps

Tout ceci leur importe peu tant qu’ils ont l’ivresse de donner libre-cours à cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps. Se croyant investis d’une mission divine, ils ne ratent plus une occasion pour exhiber leurs crocs et cracher leur venin sur tous ceux qui n’entrent pas dans leur moule idéologique. Aujourd’hui plus aucun espace n’est épargné, la mosquée comme la rue et le terrain syrien voire les cités-ghettos européens, ils sont devenus le théâtre de la catharsis musulmane où l’on joue la tragédie de sa propre vie où l’on fait de l’autre, cet ennemi imaginaire mais personnifié par des versets diaboliques et velléitaires pour exciter leurs pulsions destructrices et attiser le feu de la haine jamais éteint depuis 1430 ans.

Des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme

Dans un tel climat délétère et hostile au droit à la différence, de l’exacerbation du fanatisme religieux, nourri par des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme, auquel les islamistes vouent un véritable culte religieux, les prêches ne peuvent être à contre-courant de ce climat. Ils sont à la fois contaminés par le ver venimeux inoculé dans le fruit tunisien par les forces prédicatives et mercenaires wahhabites, et surtout ils servent d’exutoire à l’âme tourmentée des tunisiens en manque de repère, agonisant et désespérés, sans perspectives d’avenir, sauf les promesses de prébendes divines dont les abreuvent les prédicateurs-charlatans, vendeurs d’illusions et escrocs de la foi. Au lieu du pain et du jeu, on leur distille et on leur sert dans les mosquées un breuvage infect et empoisonné portant en lui tous les germes du poison mortel de la barbarie nazie.

Quand on fait de la haine de l’autre un projet politique, on finit toujours par mourir de sa propre haine. L’histoire ne manque pas d’exemples en la matière. A commencer par la tyrannie arabe elle-même.

– See more at: http://www.dreuz.info/2012/12/appel-aux-musulmans-ne-faites-pas-de-vos-pays-une-nouvelle-allemagne-nazie-par-ben-ammar-salem/#sthash.BXpLvLjf.dpuf

Les conversions à l’islam sont-elles devenues le nouveau péril de notre temps ?

Quand un né musulman se convertit au christianisme, il ne présente aucun danger ni pour la société ni pour lui-même mais  quand un enfant de la république de souche européenne ayant baigné dans un environnement judéo-chrétien  embrasse l’islam et s’y soumet, souvent avant sa majorité laissant sous entendre une immâturité psychologique et intellectuelle évidente,  ce qui doit être interdit par les lois françaises, il devient une véritable bombe humaine à retardement vouant une haine farouche à son propre pays.  Comme si en devenant musulman  il a été infecté par le virus de d’abomination de soi et de la patrie qui est la sienne.
Ce constat est juste le fruit d’une simple observation statistique des plus empiriques. Il n’en reste pas moins que pour l’instant on a jamais vu un néo chrétien ou un chrétien tout court comme en Egypte, en Syrie, en Irak, en Cisjordanie comme ailleurs commettre un attentat suicide au nom à la gloire de Dieu et l’espérance gain  qu’il puisse en tirer après sa mort. Tant que les musulmans ne renoncent  pas au djihad et le déclarer comme un illicite, le terrorisme a encore de très belles années devant lui. De même qu’ils doivent revoir en toute urgence leur procédure d’intégration de nouveaux arrivants dans leur communauté. Qu’ils cessent de racoler dans les cités des jeunes en perte de repères sociaux et démunis intellectuellement. C’est trop facile de séduire des êtres  fragiles et influençables. Autant qu’ils recrutent dans les asiles psychiatriques pendant qu’ils y sont.
De nombreuses recrues ont été contaminées dans les prisons et les foyers  d’hébergement des jeunes en difficulté.
Il faut par exemple en France appliquer la loi antisecte dans sa sévérité et protéger les jeunes de la tentation de l’islam et ses effets néfastes sur leur équilibre mental et psychique.
Que l’islam gagne du terrain, ce qui reste à prouver, cela ne fait pas de lui pour autant une religion innocente et inoffensive, mais nul ne doit lui constater l’attrait malsain qu’il exerce sur les jeunes marginaux et asociaux. Il n’y a pas de quoi de s’en réjouir.
Comme tout prédateur  il n’opère que dans les milieux défavorisés en ciblant les laissés pour compte du capitalisme comme autrefois le communisme dans les milieux ouvriers, sauf que le communisme c’était pour les droits des travailleurs à une vie honorable et digne, alors que l’islam exploite les frustrations humaines pour les transformer en haine de soi et de la société.
Quel crédit sérieux, quelle valeur spirituelle doit-on accorder à ces soumissions (et non conversions) qui sont souvent l’oeuvre des jeunes  délinquants musulmans qui auraient soi-disant eux-mêmes retrouvés leur foi pendant leur séjour en prison et qui se rachètent une nouvelle conduite en jouant aux prédicateurs et aux prosélytes ?
Des rédempteurs démunis eux-mêmes de tout savoir théologique, dépourvus de toute grille de lecture du coran, n’ayant qu’une connaissance très sommaire et souvent erronée de l’islam,  formatés, illettrés tant en français qu’en arabe, que peuvent-ils transmettre comme message si ce n’est leur propre aigreur et frustrations sociales et matérielles, leur soif de revanche sur un système dont ils se sentent exclus, leur rancœur et rancune accumulée ?
Rien que le profil social et psychologique des nouveaux rédempteurs de la foi musulmane en dit long sur qualité de ces soumissions à l’islam.
Des mauvais herbes contaminant des plus mauvaises qu’elles.
Une armada des  sociopathes auxquels promet le paradis pour leur action prosélyte  qui font office de sergents-recruteurs, ou plutôt de rabatteurs de chair à canon dans les cités ne peut prêcher que la mauvaise parole.
Drapés dans leurs habits de missionnaires de la foi à leur sortie de raison après leurs retrouvailles avec l’islam synonyme aujourd’hui de la religion de l’antisystème et de l’alternative à la marginalisation sociale avec le sentiment illusoire d’appartenance à une nouvelle communauté, une grande et accueillante famille qui lui offre de quoi assouvir ses frustrations sexuelles voire pour certains leurs penchants pédophiles, ils n’ont aucune difficulté de convaincre leurs semblables et de les persuader que leur heure est arrivée et que le bonheur est dans la négation de sa propre vie et de celle de l’autre.
L’islam  en béatifiant la violence et exaltant la terreur destructrice de toute forme d’existence qui n’a pas son label sert de catalyseur aux ressorts de la grande colère qui  ronge intérieurement aussi bien les néo missionnaires de la foi que leurs recrues pour devenir un cocktail mortel pour eux comme pour l’humanité.
Si l’islam n’est pas l’école de la mort ce qui est loin d’être avéré il est un produit radioactif qu’il faut enfouir dans un sarcophage.
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Il faut appliquer la loi antisectes à l’islam sinon …

Violence, terrorisme, mal-être et profil psychologique des néo musulmans
La liberté de conscience est du prêt-à-porter, tout le monde peut s’en porter acquéreur. Or, on oublie les degrés de maturité psychologique de tout un chacun. Autrement dit un déficient mental peut devenir musulman car elle est la seule « religion » à ne pas être doté d’un SAS contrairement , le judaïsme et le christianisme  qui ont un filtre qui leur permet d’évaluer la motivation et les capacités mentales du postulant.
Le pire encore est que des jeunes mineurs immatures et en manque de repères sociaux et familiaux peuvent tomber sous ses griffes sans que cela n’inquiète les brigades des mineurs. Alors qu’ils ne sont pas en âge de choisir leur voie spirituelle. Et pourtant, il existe bien la loi antisecte pour les protéger des vautours du sectarisme religieux pourquoi ne l’applique-t-on pas dans le cas d’espèce ?  Comme aussi on doit exiger un examen psycho-médical des candidats à la soumission à l’islam, on ne se convertit pas à l’islam, pour prévenir les abus de faiblesse dont l’islam est expert. Il s’agit d’un acte de santé publique et de sécurité nationale et surtout d’assistance de personne en danger susceptible de passer à l’acte à cause de l’endoctrinement religieux dont il est victime.
En effet, tout démontre qu’il y a une forte corrélation entre les nouveaux impétrants musulmans et les attentats-suicide. Car seul l’islam est capable de capitaliser et optimiser l’état de désarroi des humains, valorisant leur mal-être en le présentant comme une épreuve nécessaire voulue par Dieu qui serait le prélude d’une libération prochaine pour un monde meilleur dans l’au-delà. Et seuls ceux qui font don de leur vie pour le bien de leur foi sont les élus de Dieu.
D’un statut de rebut social qui a perdu l’estime de soi, il passe au statut de celui que Dieu aura choisi comme combattant.
Les rabatteurs qui les envoient sur les fronts leur font toujours croire qu’ils sont les heureux élus pour accomplir la volonté de Dieu. Avec des paumés, des dépressifs, des malades mentaux, des borderlines,  et des désespérés de l’existence qui broient de noir et qui ne croient plus en rien, sauf abréger leur existence, l’islam  est leur chance, celle qu’ils n’ont jamais connu dans leur vie.
Grâce à l’islam, leur horizon bouché se trouve comme par miracle dégagé, du noir ils passent à la lumière, pas celle qui éclaire leur lanterne, celle qui inondera leur vie dans cet ailleurs qui est là-bas et nulle part seulement connu de ce Dieu qui transforme l’humain en bombes de destruction massive. Devenu pour eux leur seul remède à leur profonde misère humaine et leur faiblesse psychologique comme cette chanteuse de Rap qui présente qui clame que l’islam l’a sortie de sa dépression, comme s’il était un Prozach d’un nouveau genre, il fait office d’anxiolytique, un antidote à leurs tourments. Un nouveau jour se lève pour eux et la gloire qu’ils n’auraient jamais connue s’ils n’avaient pas rencontré l’islam leur tend les bras mais à condition qu’ils en payent le prix. Comme leur vie est déjà dénuée de sens, qu’est-ce qu’elle vaut devant la promesse des prébendes divines pour ceux qui en font don à Dieu ?  Car s’ils l’abrègent en ne la dédiant pas à Dieu, ils seront frappés de sa malédiction. Autant mourir pour lui alors pour mériter sa bénédiction.
Ce sont là les vrais mécanismes de manipulation mentale de l’islam, exploiter la souffrance humaine à des fins idéogico-criminelles sous couvert de la religion.
Pourquoi de plus en plus d’actes terroristes sont le fait des néo musulmans ? Il n’y a que les musulmans qui excellent dans la takiyia qui peuvent y répondre. Pourquoi on se convertit aux autres religions, on ne met pas en péril sa vie et celle d’autrui ? Il faut cesser de prendre ces actes de soumission à l’islam comme des actes innocents et réfléchis.
En créant des garde-fous nécessaires pour contrôler en amont les allégeances à l’islam peut-être pourrions-nous enrayer la montée de la violence qui menace les fondements mêmes de l’humanité.

Les vraies raisons de la mise à mort du rêve démocratique tunisien

English: Rached Ghannouchi (centre) during an ...
English: Rached Ghannouchi (centre) during an Ennahda party conference Français : Rached Ghannouchi (au centre) duant une conférence du parti Ennahda (Photo credit: Wikipedia)

Presidential standard of Tunisia

Plus on est idiot, plus on se défausse sur autrui et on en fait son bouc-émissaire pour avouer sa propre cécité mentale et déficit intellectuel. Non les tunisiens de France ne sont pour rien dans le chaos tunisien. Les 39 000 votants  pour la secte  sur 600 000 votants potentiels et 119 000 suffrages exprimés n’ont eu qu’un impact marginal sur les vraies causes de la mise à mort en bande organisée de la démocratie en Tunisie.

Plutôt que de stigmatiser vos compatriotes et de faire du vote irresponsable de ces 39 000 tunisiens qui devraient être expulsés massivement de France anti républicanisme déclaré, cherchez à comprendre et à analyser les facteurs qui sont loin d’être exhaustifs  que je vous livre en vrac et dont leur conjugaison explique à mon humble avis le fiasco tragique du scrutin du 23 octobre 2011. C’est Béji et son laxisme et sa désinvolture, c’est Jendoubi et son manque de savoir, de formation, ses incompétences et son opportunisme, sa complicité avec Ennahdha, Marzougui et Ben Jaäfar et son amateurisme coupable, c’est Obama et son islamisme modéré et sa collusion avec Ennahdha, c’est Hamma et sa Kasbah II et son manque de vision politique et son manque de personnalité,  ce sont les tunisiens qui n’ont pas tiré la leçon de l’expérience dramatique algérienne, c’est l’I. S. I. E. qui a fait le jeu d’Ennahdha  en la laissant faire à sa guise et transformer les mosquées en tribune politique, c’est la confusion criminelle entre la carte nationale d’identité et la carte d’électeurs, c’est le bourrage des urnes, c’est le 1500 000 bulletins de vote détruits, c’est d’avoir fait des électeurs inéligibles éligibles et électeurs, c’est l’absence de contrôle de l’origine des fonds des partis, c’est l’absence de devoir de police de l’instance électorale, c’est Yadh Ben Achour et son choix d’un scrutin en un seul tour, c’est toute l’opposition qui a préféré la désunion à la Tunisie aveuglée par son égocentrisme et nombrilisme, ce sont les 2 gouvernements de transition qui ont fait le lit à Ennahdha en amnistiant ses membres et lui accordant un visa de parti politique en violation de la loi de 1985.
C’est aussi  la corruption, c’est le choix du scrutin à la proportionnelle sur un seul tour validé par tous les partis, c’est l’émiettement des forces démocratiques et patriotiques,  c’est l’argent sale du Qatar et d’Arabie, c’est l’ingérence flagrante  de la France par la voix de son Ambassadeur devenu un assidu du siège d’Ennahdha,
C’est enfin l’islamisme modéré vendu par Juppé et Mme Clinton, c’est l’absence de mobilisation générale des tunisiens, leur incivisme et leur indifférence totale pour le sort de leur pays, c’est les anciens du RCD qui ont voté massivement pour Ennahdha pour saborder le projet d’un modèle démocratique tunisien et venger leur chef mafieux, c’est l’héritage de Ben Ali qui a transformé les tunisiens en légumes, c’est l’incurie politique des tunisiens, c’est leur absence de patriotisme, c’est leur inconscience de ne pas avoir pris la mesure du premier scrutin  libre jamais organisé sur leur sol depuis Carthage, et ses effets sur leur vie et ses répercussions sur les générations futures. Il y aurait eu 75% de votants et que les tunisiens s’étaient déplacés en masses pour barrer la route dès le premier tour à Ennahdha sa part serait descendue au mieux à 25%, qui était l’hypothèse forte du terroriste jamais repenti Rached Ghannouchi. C’est mécanique. La part du gâteau de la secte infecte aurait diminué et les tunisiens ne seraient pas là en train de gémir et faire un procès en sorcellerie à leurs compatriotes de France. Ils devraient se ressaisir et sauver leur pays à l’agonie.
Que font-ils justement aujourd’hui pour le sauver