Les conversions à l’islam sont-elles devenues le nouveau péril de notre temps ?

Quand un né musulman se convertit au christianisme, il ne présente aucun danger ni pour la société ni pour lui-même mais  quand un enfant de la république de souche européenne ayant baigné dans un environnement judéo-chrétien  embrasse l’islam et s’y soumet, souvent avant sa majorité laissant sous entendre une immâturité psychologique et intellectuelle évidente,  ce qui doit être interdit par les lois françaises, il devient une véritable bombe humaine à retardement vouant une haine farouche à son propre pays.  Comme si en devenant musulman  il a été infecté par le virus de d’abomination de soi et de la patrie qui est la sienne.
Ce constat est juste le fruit d’une simple observation statistique des plus empiriques. Il n’en reste pas moins que pour l’instant on a jamais vu un néo chrétien ou un chrétien tout court comme en Egypte, en Syrie, en Irak, en Cisjordanie comme ailleurs commettre un attentat suicide au nom à la gloire de Dieu et l’espérance gain  qu’il puisse en tirer après sa mort. Tant que les musulmans ne renoncent  pas au djihad et le déclarer comme un illicite, le terrorisme a encore de très belles années devant lui. De même qu’ils doivent revoir en toute urgence leur procédure d’intégration de nouveaux arrivants dans leur communauté. Qu’ils cessent de racoler dans les cités des jeunes en perte de repères sociaux et démunis intellectuellement. C’est trop facile de séduire des êtres  fragiles et influençables. Autant qu’ils recrutent dans les asiles psychiatriques pendant qu’ils y sont.
De nombreuses recrues ont été contaminées dans les prisons et les foyers  d’hébergement des jeunes en difficulté.
Il faut par exemple en France appliquer la loi antisecte dans sa sévérité et protéger les jeunes de la tentation de l’islam et ses effets néfastes sur leur équilibre mental et psychique.
Que l’islam gagne du terrain, ce qui reste à prouver, cela ne fait pas de lui pour autant une religion innocente et inoffensive, mais nul ne doit lui constater l’attrait malsain qu’il exerce sur les jeunes marginaux et asociaux. Il n’y a pas de quoi de s’en réjouir.
Comme tout prédateur  il n’opère que dans les milieux défavorisés en ciblant les laissés pour compte du capitalisme comme autrefois le communisme dans les milieux ouvriers, sauf que le communisme c’était pour les droits des travailleurs à une vie honorable et digne, alors que l’islam exploite les frustrations humaines pour les transformer en haine de soi et de la société.
Quel crédit sérieux, quelle valeur spirituelle doit-on accorder à ces soumissions (et non conversions) qui sont souvent l’oeuvre des jeunes  délinquants musulmans qui auraient soi-disant eux-mêmes retrouvés leur foi pendant leur séjour en prison et qui se rachètent une nouvelle conduite en jouant aux prédicateurs et aux prosélytes ?
Des rédempteurs démunis eux-mêmes de tout savoir théologique, dépourvus de toute grille de lecture du coran, n’ayant qu’une connaissance très sommaire et souvent erronée de l’islam,  formatés, illettrés tant en français qu’en arabe, que peuvent-ils transmettre comme message si ce n’est leur propre aigreur et frustrations sociales et matérielles, leur soif de revanche sur un système dont ils se sentent exclus, leur rancœur et rancune accumulée ?
Rien que le profil social et psychologique des nouveaux rédempteurs de la foi musulmane en dit long sur qualité de ces soumissions à l’islam.
Des mauvais herbes contaminant des plus mauvaises qu’elles.
Une armada des  sociopathes auxquels promet le paradis pour leur action prosélyte  qui font office de sergents-recruteurs, ou plutôt de rabatteurs de chair à canon dans les cités ne peut prêcher que la mauvaise parole.
Drapés dans leurs habits de missionnaires de la foi à leur sortie de raison après leurs retrouvailles avec l’islam synonyme aujourd’hui de la religion de l’antisystème et de l’alternative à la marginalisation sociale avec le sentiment illusoire d’appartenance à une nouvelle communauté, une grande et accueillante famille qui lui offre de quoi assouvir ses frustrations sexuelles voire pour certains leurs penchants pédophiles, ils n’ont aucune difficulté de convaincre leurs semblables et de les persuader que leur heure est arrivée et que le bonheur est dans la négation de sa propre vie et de celle de l’autre.
L’islam  en béatifiant la violence et exaltant la terreur destructrice de toute forme d’existence qui n’a pas son label sert de catalyseur aux ressorts de la grande colère qui  ronge intérieurement aussi bien les néo missionnaires de la foi que leurs recrues pour devenir un cocktail mortel pour eux comme pour l’humanité.
Si l’islam n’est pas l’école de la mort ce qui est loin d’être avéré il est un produit radioactif qu’il faut enfouir dans un sarcophage.
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