Ce ne sont pas mes critiques qui nuisent à l’image de la Tunisie et qui risquent de lui faire perdre un crédit qu’elle n’a plus depuis ce jour funeste du 14 janvier 2011 voire depuis la déchéance de Bourguiba avec l’arrivée de Ben Ali et sa clique mafieuse au pouvoir.
C’est l’invasion de l’île italienne de Lumpedusa de 5000 âmes par une armée d’occupation de 20 000 migrants clandestins tunisiens.
C’est les centaines de jeunes tunisiens qui meurent noyés tous les ans en Méditerranée pour fuir la Tunisie.
C’est les attentats terroristes de Sousse et du Bardo qui étaient évitables et qui portent la signature des islamistes tunisiens.
C’est l’incapacité de l’armée tunisienne de déloger les djihadistes du Jebel Chaambi truffé de tunnels creusés par les rongeurs du Hamas.
C’est les attentats terroristes commis par des Tunisiens en France et en Allemagne.
C’est l’incurie politique et intellectuelle du pays.
C’est la chute vertigineuse du dinar et la misère noire qui sévit dans le pays.
C’est le désordre et le chaos qui règnent dans ses espaces publics.
C’est l’état de délabrement de ses hôpitaux et ses écoles.
C’est l’embrigadement de sa population prise dans l’étau des mosquées qui prolifèrent comme des champignons vénéneux depuis 2011.
C’est l’incapacité du pays à réclamer à l’Arabie Saoudite et au Qatar l’extradition de Ben Ali et ses complices pour les juger pour crimes de sang et crimes économiques.
C’est la collusion entre l’ISIE et de Ben Sedrine avec le mouvement terroriste d’Ennahdha
C’est le drapeau de Daech qui fleurit dans les rues du pays.
C’est l’hommage rendu publiquement à Hitler dans des lycées tunisiens.
C’est l’impunité totale dont jouissent la nouvelle mafia islamiste sous la houlette du terroriste jamais repenti Rached Ghannouchi et ses lieutenants de basse besogne qui ont vendu la Tunisie à Herr Dogan et à l’émirat-voyou du Qatar, bailleur de fonds des frères criminels musulmans.
C’est la répression sanglante des manifestants de Siliana sur ordre de Larayedh jamais inquiété à ce jour.
C’est de faire des terroristes la première force politique du pays. C’est l’accueil royal du prince des ténèbres al-Qaradhoui et son alter ego le boucher de Doha Majdi Ghnim.
C’est l’accolade troublante de Djebali, pathétique d’inculture et nostalgique du Califat, avec Mc Caïn comme s’ils étaient heureux de se réjouir de leur victoire.
C’est l’indemnisation colossale des terroristes pour leurs années de prison alors que les caisses de l’Etat sont vides..
C’est les appels au meurtre des Juifs sur la place publique et dans les mosquées.
C’est la condamnation de la victime du viol et la relaxe de son violeur.
C’est de forcer une femme violée d’épouser son violeur.
C’est le vote pro Nahdha de la moitié de la population et l’élection d’une islamiste à la mairie de Ttunis.
C’est l’obscurantisme qui a gagné les bancs de ses universités couronné par une thèse de doctorat affirmant que la terre est plate.
C’est la destruction de la Syrie par des plusieurs milliers de terroristes tunisiens. C’est l’envoi de plusieurs centaines de volontaires du djihad du sexe halal. pour le confort des escadrons de la mort en Syrie.
C’est les assassinats politiques de Chokri Belaid, Brahmi, Negga, Ben Amor, et de beaucoup d’autres jamais élucidés à ce jour et dont les commanditaires et les exécutants sont connus de tous sauf de la justice du pays.
C’est les dizaines de morts de ses forces de l’ordre et ses militaires abattus par les terroristes islamistes.
C’est le refus de taxer les produits trucs par des députés islamistes.
C’est la descente du pays dans les enfers wahhabites.
C’est e l’occupation illégale de l’espace public par des étals des vendeurs à la sauvette de produits de contrefaçon et nuisibles à la santé publique.
C’est les grèves sauvages de soutien à une cause qui n’est pas la leur alors que le pays est à l’agonie.
C’est les gesticulations verbales et hystériques des Tunisiens qui menacent les EU et Israël de représailles;
C’est la menace brandie par des Tunisiens d’expulser le peu de Juifs qui restent encore dans ce pays et de détruire la synagogue de Ghriba.
C’est les attentats commis par des Tunisiens en France et en Allemagne.
C’est le budget du ministère de la propagande religieuse supérieure à celui de la culture.
C’est les pénuries des médicaments et le retour des maladies contagieuse. « De l’Hépatite à la rage en passant par la gale et la malaria, les tristes exemples enregistrés dans certaines régions du pays ne manquent pas. »http://www.businessnews.com.tn/tunisie-de-la-gale-a-lhepatite-des-epidemies-font-leur-grand-retour,519,41382,3
C’est le refus de voter une misérable augmentation du minimum vital par les députés alors que les mêmes venaient de s’octroyer une hausse princière.
C’est la vassalisation par la Turquie et le Qatar du pays.
C’est la charité que leur fait l’Algérie pour payer les salaires des fonctionnaires.
C’est d’avoir fait de l’État gardien du dogme musulman.
C’est d’avoir déclaré l’islam comme religion d’État et l’Arabe comme langue de la Tunisie.
C’est 60 000 fauves échappés de leurs cellules au lendemain de la chute de Ben Ali et toujours dans la nature.
C’est l’absence d’eau courante et d’électricité dans des dizaines de milliers de foyers dans le pays.
C’est l’état de saleté répugnante de ses plages.
C’est les fosses septiques à ciel ouvert dans ses bidonvilles.
C’est la crise aiguë de l’eau et la pollution de ses nappes phréatiques et le golfe de Tunis, des ses mers et du golfe de Gabès.
C’est la prolifération du voile de la mort dans toutes les couches sociales.
C’est la répression scélérate de l’homosexualité et les tests anaux.
C’est l’injustice dans l’héritage entre les hommes et les femmes et les femmes qui manifestent contre le projet de réforme pour l’égalité des droits successoraux entre les sexes.
C’est les revendications des femmes islamistes pour le ré-instauration de la polygamie et le mariage coutumier, orfi.
C’est la vente du viagra trafiqué et de la pisse de chameau à la sortie des mosquées.’est l’intronisation de la Tunisie sur la liste noire des paradis fiscaux.
C’est le refus des députés de voter pour une loi antiterroriste de peur certainement de condamner ce que l’islam ordonne.
Et bien d’autres stigmates qui défigurent le visage de cette Tunisie, terre de la vie autrefois, devenue depuis sa ré-islamisation à marche forcée sous la houlette de la secte infecte et félonne d’Ennahdha, une terre de la mort et propagatrice du terrorisme dans le monde.
Je ne suis pas la risée de personne en dessinant un visage de la Tunisie fidèle à sa réalité actuelle. N’en déplaise à ses vierges effarouchées la métastase wahhabite l’a totalement minée et guère d’espoir de rémission.
J’aime ce pays où j’ai vécu une enfance et une jeunesse heureuse où l’on m’a appris de dire toute la vérité et rien que la vérité même si je dois y laisser ma peau, et par amour pour ce pays justement je ne vais travestir l’image dévalorisante que son peuple renvoie d’elle pour complaire à ses aveugles.