Paraît-il qu’Amina aurait mis sa vie en péril mais seule Ennahdha pourra y réponde.
Archives mensuelles : août 2013
Si la Tunisie est tombée si bas, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même
La Tunisie s’enlise chaque jour dans un bourbier inextricable. Elle marche à contre-courant de son histoire.
Sa révolution censée la propulser vers de l’avant, lui a fait faire en un seul mouvement un bond en arrière de 14 siècles.
En effet, tout indique que l’avenir de la Tunisie est des plus sombres et ténébreux à cause de tous ces hommes et femmes attirés comme des mouches par le miel de la Révolution tunisienne.
Ils sont à l’origine directe de sa descente aux enfers dantesques.
Depuis leur retour impromptu, obséquieux et insolent, à cause de leur arrogance et suffisance, n’hésitant pas à adopter une posture d’opposants, alors qu’ils étaient les laissés pour compte de l’ancien régime, ils se comportent depuis comme des véritables pique-assiettes, confisquant les fruits de la Révolution des Indignés en l’ayant détournée à leur profit grâce à l’émaillage de toutes ces instances illégitimes pour le peuple et qui leur avaient permis de s’octroyer une légitimité d’opérette.
En attendant, ils plongent la Tunisie dans la pire crise de son histoire depuis l’invasion des Banu Hillal.
Après avoir profité de l’hospitalité de leurs hôtes occidentaux et de l’argent de leurs maîtres-esclavagistes orientaux et autres, les voilà aujourd’hui en train de se goinfrer sur le dos du peuple tunisien opprimé, affamé, et persécuté par l ‘ancien despote et qui continue à l’être encore. Sans la générosité et hélas la naïveté des tunisiens, ces sulfureux personnages sortis du nulle part un soir du 14 janvier 2011, ils seraient encore dans leurs antres occidentaux tant honnis et haïs par eux.
Aussi ingrats que veules à l’instar du président-guignol-psychopathe, le locataire très provisoire de CarthageMncef Marzougui , l’homme de paille de R. Ghannouchi qui se rêve en un nouvel Hitler, girouette notoire et félon dogmatique, l’inénarrable et ignoble mercenaire wahhabite et terroriste jamais repenti couvert de ses immunités canoniques.
Sachant que certains étaient devenus binationaux grâce aux lois républicaines se font aujourd’hui les farouches adversaires de la binationalité. De peur de se regarder dans leur propre miroir !
Ils ont tous abusé de la confiance du peuple et trahi l’esprit de sa révolution.
Et à cause de ces rats sortis de leurs tanières pour propager la peste et le choléra en Tunisie, la Révolution tunisienne s’est transformée en un véritable théâtre de Boulevards où des figurants sont devenus des acteurs principaux comme cet opportuniste pathologique de K Jendoubi et le premier sinistre H. Jébali.
Au lieu de concrétiser les espoirs nés de sa révolution : dignité, travail et liberté, la Révolution des Indignés a drapé dans les habits de la vertu des individus qui devraient être marqués du sceau de l’ignominie et de l’indignité.
Leur retour insolent et insultant à la mémoire des victimes du Néron de Carthage n’a fait que précipter le pays dans le fond du gouffre.
Eux qui croient entrer dans l’histoire en touchant le Graal de la gloire laisseront dans la mémoire des tunisiens et des générations futures les traces indélébiles de la honte et de la traitrise à l’exemple des pétainistes en France.
Leurs noms sont désormais synonymes de miliciens-collaborationnistes.
Ils évoqueront à tout jamais dans l’inconscient collectif la descente de la Tunisie aux enfers wahhabites et néo-impérialistes américains.
Leur antipatriotisme est le corollaire de leur nature prédatrice et vorace. Aveuglés et assoiffés par leur soif de revanche sociale, plutôt que politique, ils se comportent en maîtres du pays alors qu’ils ne sont que les esclaves de leurs maîtres.
Paradoxalement, ils se caractérisent tous par la basse extraction sociale et produits de l’ascenseur social bourguibien.
Ils sont tels des caves aigris qui se rebiffent, occupant la première marche du podium, avec des résultats truqués, par la bonne grâce de leurs mentors-protecteurs.
Godillots, laquais, pions, marionnettes, serviles, nervis et pantins, ils débordent de zèle pour donner des gages à leurs commanditaires afin qu’ils puissent continuer à se complaire dans les beaux rôles qu’ils leur font jouer.
Il suffit de voir ce spectacle pathétique, fade, insolent, indolent, outrecuidant et misérable de K. Jendoubi qui se lamente de désespoir de se voir éjecter de la scène pour en avoir fait trop dans sa mission scélérate de falsification du scrutin du 23 octobre 2011.
En effet, ses donneurs d’ordre lui ont fixé la limite de 20 à 25% pour leur protégée d’Ennahdha, mais pris dans sa frénésie de trop leur plaire, il l’a servie au-delà de toutes leurs attentes, ayant même failli lui assurer la majorité absolue.
Contrariant ainsi tous les plans des chefs- marionnettistes qui ne voulaient pas que l’intronisation des islamistes incultes et incompétents se fassent de manière aussi brutale et précipitée et dans un délai aussi court.
Ayant programmé une prise de pouvoir progressive des islamistes afin qu’ils ne se brûlent pas les ailes d’entrée de jeeu, mais K. Jendoubi a confondu vitesse et précipitation, impatient de toucher la prime promise pour ses mauvais et déloyaux services à la Tunisie, et se trouve malgré lui à projeter Ennahdha sur les devants de la scène.
Faisant de cette dernière l’objet des courroux de tunisien, cristallisant rejet et haine. Ce qui n’est pas sans conséquence sur la pérennité politique de la milice tunisienne et une remise en cause de la politique de main mise américaine sur la Tunisie.
Une pièce maîtresse sur leur échiquier de subordination de tous les pays arabes au wahhabisme expansionniste dont ils sont les architectes.
Résultat pour ce serviteur trop zélé, inconscient et trop complaisant, faux-exilé, son rêve d’ambassadeur s’est évanoui comme un mirage dans le désert arabique.
Les chefs-marionnettistes américains ont beau simuler et établir des scénarios dans leurs centres d’études, concevoir les stratégies les plus affinées, ils oublient un élément essentiel, la psyché particulière des arabes et leurs facs-similés.
Les impétrants souffrent généralement d’une inconstance psychologique et d’une inconsistance intellectuelle telles qu’ils se veulent toujours plus royalistes que le roi.
A cause de tous ces figurants qui se veulent acteurs alors qu’ils ne sont même capables de tenir le rôle de seconds couteaux, la Tunisie se trouve ensevelie sous un Tsunami dont dont elle ne s’en remettra jamais.
Les Yankees qui ont été les premiers à prendre le train de la révolution tunisienne dès le soir de la chute de Néron Ben Ali, ont mis en scène des acteurs-fossoyeurs-prédateurs qui ont -en l’espace de 10 mois- détruit tout ce que le pays a pu construire en 50 ans, voire plus si l’on prend en compte l’amorce de la lutte pour l’indépendance nationale.
Cette pièce de tragédie grecque avec tous ces mauvais acteurs fait ressembler la scène locale à un film d’épouvante de Frankenstein où se mêlent l’horreur, le tragique et le comique laissant augurer une issue sombre et angoissante pour le pays surtout avec l’apparition sur la scène aujourd’hui d’une espèce humaine d’origine indéfinie, mi-humaine, mi-animale, à l’allure grise, noire et marron, au visage défiguré par les pulsions de mort et mangé par des barbes drues et pouilleuses.
Arborant le masque du Belzébuth wahhabite, sous les ordres de leur chef de meute, un Gourou illuminé et apostat R. Ghannouchi, véritable maître du pays, qui ne manque pas une occasion de souffler le chaud et le froid, crachant son poison venimeux sur le peuple tunisien, faisant l’apologie des inégalités sociales, flattant l’ego des riches et déversant son mépris sur les pauvres.
Un homme dédouané de tous ses crimes passés et présents à l’insu du plein gré des tunisiens, traité comme le grand Emir qu’il a toujours voulu être, déambule sur les plateaux de télévision en exhibant ses crocs acérés et excités par l’ odeur de la chair humaine dont il était très féru à une certaine époque voire encore aujourd’hui et qui serait paraît-il le clone vivant d Dr Josef Mangele.
Ils sont tels les escadrons de la mort, avec des femmes couvertes du pied jusqu’à la tête par des capes noires, comme si c’étaient des linceuls dont on couvrait le corps des défunts avant leur mise en bière, qui déferlent dans ses cités et colonisent ses territoires, ceux de ses universités, ses écoles, ses administrations.
Le pays qui croyait avoir ôté le carcan de la mafia des Ben-Ali-Trabelsi, le voilà plus que jamais enserré dans celui de la mafia de dieu et séides opportunistes sous la houlette de l’Administration américaine.
Les pays arabes sont de tout temps trahis par les leurs : cas de la Tunisie
Ceux qui ont confisqué les fruits de la Révolution tunisienne et qui l’ont détournée à leurs profits n’ étaient pas là pendant la révolution.
Ils se la coulaient douce à Paris et Londres pendant que le peuple tunisien était opprimé et persécuté par l’ancien despote.
Le peuple que sans lui ces gens continueraient encore de profiter des largesses de l hospitalité de leurs hôtes dont certains étaient devenus leurs concitoyens se trouve aujourd’hui le dindon de la farce.
Et à cause de ces êtres venus du néant, la Révolution tunisienne s’est transformée en un véritable théâtre des Boulevards, ou plutôt une descente aux enfers pour la Tunisie.
Il reste que ce théâtre est d’un très mauvais genre à cause de la qualité des acteurs-fossoyeurs-prédateurs qui mériteraient même pas le titre de figurants et d’employés des pompes funèbres. Un théâtre où se mêlent le tragique et le comique et certainement plus tragique que comique avec l’apparition sur la scène aujourd’hui d’une espèce humaine d’origine indéfinie, mi-humaine, mi-animale, tels des monstres des marais combattus par Hercule, à l’allure grise, noire et marron, au visage défiguré par les pulsions de mort et mangés par des barbes drues et touffues comme s’ils portaient le masque de Belzébuth ou Azraël, l’ange de la mort.
Ils se répandent dans ses villes et ses campagnes sous la houlette d’un minotaure exhibant ses crocs envenimés et excités par l’odeur de la chair humaine dont il était très féru à une certaine époque où il maniait les bombes et les bouteilles d’acide sulfurique et qui serait paraît-il le clone vivant d Dr Josef Mangele.
Ils sont tels les escadrons de la mort, avec des femmes couvertes du pied jusqu’à la tête des de capes noires, comme si c’ étaient des linceuls dont on couvrait le corps des défunts avant leur mise en bière, qui déferlent dans ses cités et colonisent ses territoires, ceux de ses universités, ses écoles, ses administrations.
Se faisant passer pour les brigades de la vertu alors qu’ils sont adeptes du culte de Satan, annonciateurs de la Grande Boucherie et de l’Enfer ici-bas.
Maudite religion qui appelle au meurtre des libres-penseurs
L’Occident et sa manie maladive de soutenir les forces obscurantistes musulmanes
Vous rêvez d’islamiser le monde, commencez par humaniser votre foi et vous aurez gagné l’estime de tout monde
Il n’y a pas pire que la justice d’Allah sans morale ni éthique
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L’extraordinaire bilan de la secte du visage de la barbarie humaine d’Ennahdha
L’islam est bien la religion la plus violente et mortifère jamais donnée à l’homme
Si Israël n’avait pas existé le monde musulman l’aurait inventé pour en faire le bouc émissaire de ses maux endémiques
Et si la Syrie devenait demain la tombe de l’Occident
Ennahdha ne quittera le pouvoir qu’au prix des larmes et du sang des tunisiens
Pour recouvrer sa dignité, sa liberté et son indépendance la Tunisie ne peut faire l’économie d’un bain de sang, surtout que les prémisses ont commencé à germer depuis le 17 décembre 2010.
Qu’on le veuille ou non, tous les ingrédients sont réunis pour que la marmite sociale et politique explose, pire qu’au temps de Ben Ali.
Il est utopique de croire que la Tunisie retrouvera le chemin de sa tunisianité par la magie des urnes. Croire en cela, autant croire aux vertus humanistes des djihadistes musulmans qui répandent la mort en Syrie. Ce sont en plus les mêmes auxquels les tunisiens sont confrontés.
Cet ennemi ne connaît des règles de jeu démocratiques que le sang qu’il fait couler et les organes éviscérés.
Devenu maître absolu de la Tunisie en ce jour funeste du 23 octobre 2011, il ne va pas renoncer démocratiquement à ce qu’il considère être son butin (sa ghanima) pour se plier à la volonté populaire qui est un véritable sacrilège à ses yeux.
Pervers, retors, cruel, sanguinaire et fasciste, il s’est servi de cette volonté juste pour atteindre les objectifs de la mission dont il se prétend investie, aujourd’hui que la victoire est acquise, seul Dieu peut la remettre en question.
Par conséquent seul Dieu peut lui reprendre ce qu’il lui a donné comme prix de son triomphe sur le champ de bataille. Une victoire chèrement où elle avait dépensé des sommes folles pour corrompre les électeurs qui participe au rayonnement de la religion et à l’édification du royaume de Dieu ne peut qu’être que définitive et irrépressible.
Aucune hypothèque ne doit la grever, elle est désormais la propriété de Dieu dont il se veut l’ayant droit privilégié, le gardien de ses institutions et son porte-parole attitré.
Son triomphe électoral qui était au-delà de ses propres attentes très résultant de la plus grande arnaque électorale de tous les temps, au goût pourtant mortifère et nauséabond le conforte malgré tout dans sa conviction de ce que Dieu a béni ne va pas maudire.
Les irrégularités et les fortes suspicions de fraudes massives qui pèsent sur ce scrutin et rendues publiques par son bras armé électoral Kamel Jendoubi ne sont qu’une péripétie sur la voie qu’il est en train de baliser pour l’instauration d’un ordre divin sur terre impulsé par son bailleur de fond qatarien.
Sur le sentier de Dieu tout est permis. Il n’y a pas de règle de bonne conduite à observer, ni de comportement moral à adopter, seule la fin justifie les moyens.
Son action est conforme aux préceptes de la foi musulmane où tous les coups sont permis pour faire triompher les idéaux de l’islam.
C’est pour Allah qu’elle agit et c’est lui qui a rendu sa victoire possible. Prise dans son tourbillon de délires cosmiques et messianiques, elle se sent au-dessus de la mêlée humaine, elle se veut plus ange que démon.
Inébranlable dans ses convictions et trop sûre de sa force et de la justesse de son combat, elle est convaincue que qu’elle est le bien qui combat le mal.
Et si elle-même en commet, c’est un mal nécessaire qui se justifie amplement dans la mesure où pour elle on ne peut combattre par le mal l’esprit du mal incarné par ses ennemis, tous ceux qui ne sont pas dans son moule.
Quand bien même ses excès de conduite, son esprit malin et ses dérives morales heurtent l’ordre moral de ce qu’il appelle les mécréants.
Murée dans ses certitudes qu’elle détient son pouvoir de Dieu lui-même, rien ne peut la vaincre. Portée par une force invisible et puissante, elle se sent invincible, omnisciente et omnipotente, comme si elle était Dieu lui-même.
Parée de ses vertus, elle considère que toute attaque contre elle est bien une offense faite à Dieu, parce qu’à travers elle c’est Dieu lui-même qui est visé.
En sa qualité de dtentrice du pouvoir divin, elle ne peut que se montrer intransigeante et inflexible à l’égard des téméraires et les insolents qui la contestent et veulent la démystifier comme feu Chokri Belaïd abattu par des hommes ce main d’Ennahdha, qualifié de mécréant pour légitimer son meurtre.
Tout ce qu’elle fait est l’expression de la volonté divine et que seul Allah peut la déposséder de ce qu’il lui a accordé aux termes d’un combat de haute lutte depuis l’époque où elle s’appelait al jamaâ islammiya, groupuscule universitaire dans les années 70.
Peu importe le calice tant qu’on a l’ivresse. Même si le breuvage est frelaté, elle s’enivre de sa victoire frappée du sceau de l’infâmie.
Elle sait qu’elle ne la doit pas à elle-même mais surtout grâce ou à cause de la cupidité de certains, de la complicité de l’I.S.I.E., de la trahison et l’antipatriotisme d’une frange de la population tunisienne qui a vendu son âme pour un vulgaire billet de 10 DT, la promesse d’un mouton et une place au paradis.
Ennahdha a profité de la désunion et de la guerre des egos au sein l’ex opposition d’opérette de Ben Ali qui a fait preuve d’une incurie politique rare, d’un manque d’engagement patriotique flagrant, sans boussole ni carte qui lui a ouvert le grand boulevard de la victoire, en laissant réngner en maîtresse du jeu politique comme un seigneur règne dans son domaine.
Cette victoire que l’I.S.I.E. et pas seulemrnt lui a servie sur un plateau couvert des cendres de la Tunisie ne peut lui être arrachée qu’au prix de ses propres cendres.
Il n’y a pas de crime à défendre Jabeur Mejri et Ghazi Béji, le crime c’est la peur de l’islam pour les défendre
Salem Benammar
Qui connaît Jabeur Mejri et Ghazi Béji condamnés à 7 ans et demi de prison pour athéisme dans l’indifférence totale de l’opinion publique internationale ?
Si la Tunisie est au fond du gouffre, la faute est à l’islam et pas à ceux qui dénoncent sa nocivité
La religion n’est pas l’opium des peuples, elle est leur tombe
Au lieu de donner le pain de la dignité au peuple, on lui donner un coupe-faim qui s’appelle la foi ou lui faire l’aumône pour s’acquitter de son obligation cultuelle afin de s’ouvrir davantage les portes du paradis. On investit jamais à perte chez les bigots.
Tout est ajr, salaire acquitté par un employeur économique, celui que lui versera le Grand Employeur dans l’au-delà. excluant toute notion de bonheur humain, d’épanouissement personnel. Faire les choses par amour du geste gratuit.
Le récipendiaire doit être heureux d’assumer son statut d’exclu du banquet de la nature tel que Dieu l’a façonné et se doit par conséquent de se résigner à sa misère et la vivre pleinement et dans la joie avec une interdiction absolue de se rebeller contre son sort pour ne pas se priver de la joie de savourer dans l’au-delà ce dont il a été privé cruellement sur terrre. Il doit accepter d’être aussi un pourvoyeur de chair fraîche pour assouvir l’appétit féroce des nantis.
Ceux que Dieu les a élus pour toucher la martingale. Un bon fidèle est celui qui ne cherche pas à détendre les ressorts de la colère et ne brisent pas les chaînes avec lesquelles Dieu l’a enserré.
L’homme ou supposé tel, puisque l’homme dans les sociétés de la loi de la morale religieuse n’existe pas en tant que tel, il est avant tout un fidèle dévoué engagé dans les bonnes actions, les « hassanates »:
L’ invocation qui rapporte le plus de hassanates:
Voici une invocation qui rapporte le plus de hassanates. Cette invocation apporte tellement de hassanates que les Anges ne peuvent l’ écrire. Alors ils en informent Dieu.Allah leur dit d’écrire uniquement l’invocation, pour que le Jour du Jugement ce soit Allah Lui même, qui le récompense.
» Allahoumma laka l-Hamdou kama yanbaghi li jalali Wajhika wa li 3adhimi Soultanik « , qui signifie » » Seigneur à Toi la louange comme il convient à la magnificence de Ta Face et la majesté de Ton royaume « (source: http//oussoul.xooit.fr/t11334-¨Plus-de-hassanets.htm p.2281)
Tout pour Dieu et rien pour ses hommes. Ils sont réduits à une machine invocatrice. Une fonction peu valorisante de l’homme.
Fort des promesses d’une récompense aussi mirifique que lui promettent les marchands du temple avec un espoir de gain himalayen, le jack pot divin, il ne va pas faire l’effort de scier les barreaux de sa prison pour pour un investissement sur terre au rendement très aléatoire.
Un vrai placement Madoff en perspective sauf que ce dernier nécessite à ce qu’on y mette le prix fort pour pouvoir encaisser une plus-value substantielle.
Alors que le placement dans les valeurs divines, il ne nécessite aucune mise du départ, ni de ticket d’entrée dont il faut s’acquitter, il suffit juste de faire don de sa personne au service d’un ordre guidé par la main invisible de Dieu. pour son bon fonctionnement du système, il faut que tous ls rouages, plutôt les pions, obéissent à des règles bien précises qui ne doivent subir aucune altération ou dysfonctionnement. Les tours qui protègent le Roi doivent veiller à ce qu’il n’y ait pas de tentatives de remise en cause du système et faire ainsi échec et mat au Roi considéré comme un véritable crime de lèse-majesté exposant l’insolent ou le téméraire au pire châtiment.
Ni insoumission, ni bravade. N’étant pas maître de ses choix, censés ne pas réfléchir, penser et raisonner par lui-même, doté d’un statut de pion, sa seule fonction est de se laisser guider, voué à être sacrifié au profit des véritables protagonistes.
Ceux qui d’entrée du jeu adoptent la posture d’acteurs principaux s’octroyant des privilèges dignes de leur rang fondés sur un ordre hiérarchique défini par Dieu. Dans cette parie de jeu d’échec d’essence divine, que l’on soit pions, tours, rois ou reines, quoique dans cette partie-là la reine est inexistante que l’on peut qualifier d’un sous-pion, les frontières sont étanches et qu’il n’existe aucun moyen de les modifier sous peine de bouleverser cet ordre naturel des choses. Les statuts des uns et des autres sont préétablis et préordonnés.
Tout est immuable et intemporel. Aucun événement majeur de quelque nature que ce soit ne doit affecter le paysage figé dans le marbre divin. Chacun à sa place et que seul Dieu a la capacité de changer l’ordre d’attribution des sièges. Sa volonté s’impose à tous qui exige une totale adhésion, elle irrigue et nourrit les esprits qui devient même le sang qui circule dans leurs corps leur souffle de vie et lueur d’espoir.
Ainsi la dictature de Dieu devient la meilleure arme pour étouffer les velléités des libertés chez le peuple gouvernés par les religieux dont le mot d’ordre peut se résumer ainsi: Assume ta condition miséreuse mon fils, Dieu saura te compenser de tes pertes ici-bas en attendant laisse le riche jouir de sa condition de riche dont dieu l’a dotée. Dieu a créé le riche, le fort et le faible, l’intelligent et l’idiot, et le pauvre, le patron et l’ouvrier, l’expoiteur et l’exploité, le pigeon et l’escroc, le terroriste et le pacifiste, l’Abbé Pierre et Ben Laden, le patriote et le traître, Madoff et Mère Thérésa, l’ordre hiérarchique est immuable, il est la manifestation de la volonté divine, vouloir le changer c’est commettre une apostasie.
Heureux les gueux de tous les pays, le Royaume des cieux est à vous. Et comme ça on leur fait passer la pilule du goût amer de la miche de pain rassis et moisi et les embobiner en leur donnant l’illusion du bonheur y compris sur terre.
Alors qu’ils sont agressés par les affres de la misère. Ce n’est pas qu’un opium du pauvre, c’est l’anéantissement de l’être et un mouroir de l’esprit.
Anesthésier un peuple avec la relligion si vous voulez faire de lui un légume tel est le vrai sens de l’enseignement divin tel que le prêchent les escrocs de la foi et ces branquignols charlatanesques particuliàrement nombreux dans les pays musulmans.
Les islamistes incapables d’oeuvrer pour la satisfaction de leurs besoins terrestres, vivant généralement d’oboles qataries et saoudiennes et d’assistanat en Occident tout au moins profitant du système de protection sociale, constituent aujourd’hui des véritables bataillons de soldats de Dieu, jihadistes fi sabil allah, engagés avec une frénésie névrotique et effrayante dans un prosélitysme agressif auprès des masses frustes et apathiques.
Le droit de vote aux étrangers de confession musulmane est la voie royale de l’islamisation de la France
Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France et paver la voie de roses à la charia.
Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?
Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu pour être un parangon de libertés publiques et humaines.
Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.
Toute motivation de vote chez un musulman doit contribuer à l’implantation et l’expansion de l’islam, une sorte de djihad par les urnes.
Il est par conséquent utopique d’imaginer un musulman voter demain pour un non-musulman dont le projet va à l’encontre des intérêts de l’islam.
Peu de musulmans oseront commettre un tel sacrilège en adoptant une posture républicaine.
Autant légaliser le nazisme et le doter de vertus républicaines que d’accorder le droit de vote aux étrangers qui leur permettra d’islamiser la France sans coup férir avec la complicité de la république qui masochiste et naïve ne se rend pas compte qu’elle va creuser sa propre tombe !
Bientôt les villages gaulois seront halalisés, pour ressembler à des cimetières de morts-vivants comme dans les bleds arabes.
Vidés de leur âme, dépouillés de leur identité française, et les mosquées remplaceront les églises et le porc sera définitivement interdit dans les cantines scolaires et les restaurants où l’on servira l’urine de chameaux dont ils sont férus au lieu et place du vin français.
Le droit de vote c’est aussi les 5 appels à la prière par jour du haut des minarets avec des mégaphones à 1000 décibels.
Avec des espaces séparés pour les hommes et les femmes dans les transports en commun, c’est une véritable usine à gaz en perspective.
Polygamie, pédophilie, racisme, antisémitisme, abolition du mariage civil, loi sur le blasphème, abrogation de la charte universelle des droits de l’homme et du citoyen, djihad, relégation des femmes excision, voile, nikab, kamiss afghan et port de barbes obligatoires pour tout le monde, l’enseignement du Coran obligatoire, interruption des programmes de télévision pour diffuser les appels à la prière, interdiction d’enseigner Darwin et la philosophie, suppression des auteurs non-musulmans des manuels scolaires, un joli programme qui s’invitera à la table électorale des français demain.
Pour mieux tuer la France, il faut l’islamiser.
Si l’islam était démocratique et moderniste pourquoi les pays musulmans brillent par leur violation des droits de l’homme, le sexisme, l’intolérance et la barbarie ?
Pourquoi les non-musulmans sont-ils considérés comme des sous-hommes, des dhimmis ?
Le droit de vote aux étrangers revient à faire de la charia la future loi fondamentale de la république tel est le vrai sens du droit de vote pour tous.
La France doit réfléchir par sept fois avant de donner aux étrangers non-communautaires le soin de participer aux élections locales sinon elle se tire elle-même une balle dans la tête. Et se demander aussi pourquoi les pays musulmans n’accordent pas la réciprocité à ses ressortissants qui y résident ?
Il ne s’agit pas de les ostraciser, il s’agit de la pérennité de la république elle-même.
La république n’a pas faire l’ange avec une religion qui veut la dévorer et que mieux est par la voie de la démocratie comme Hitler avait naguère utilisé la démocratie pour la démocratie elle-même.
La démocratie locale n’a pas être sacrifiée sur l’autel de l’aventurisme des verts et de la gauche radicale tout particulièrement. Quant aux partis parlementaires, ils doivent passer un coup de trait sur ce projet suicidaire pour la France et en faire une nouvelle Byzance.
Octroyer le droit de vote aux étrangers non-communautaires, c’est tout simplement la fin de la République
Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France.
Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?
Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu pour être un parangon de libertés publiques et humaines.
Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.
Toute motivation de vote chez un musulman doit contribuer à l’implantation et l’expansion de l’islam, une sorte de djihad par les urnes.
Il est par conséquent utopique d’imaginer un musulman voter demain pour un non-musulman dont le projet va à l’encontre des intérêts de l’islam.
Peu de musulmans oseront commettre un tel sacrilège en adoptant une posture républicaine.
Autant légaliser le nazisme et le doter de vertus républicaines que d’accorder le droit de vote aux étrangers qui leur permettra d’islamiser la France sans coup férir avec la complicité de la république qui masochiste et naïve ne se rend pas compte qu’elle va creuser sa propre tombe !
Bientôt les villages gaulois seront halalisés, pour ressembler à des cimetières de morts-vivants comme dans les bleds arabes.
Vidés de leur âme, dépouillés de leur identité française, et les mosquées remplaceront les églises et le porc sera définitivement interdit dans les cantines scolaires et les restaurants où l’on servira l’urine de chameaux dont ils sont férus au lieu et place du vin français.
Le droit de vote c’est aussi les 5 appels à la prière par jour du haut des minarets avec des mégaphones à 1000 décibels.
Avec des espaces séparés pour les hommes et les femmes dans les transports en commun, c’est une véritable usine à gaz en perspective.
Polygamie, pédophilie, racisme, antisémitisme, abolition du mariage civil, loi sur le blasphème, abrogation de la charte universelle des droits de l’homme et du citoyen, djihad, relégation des femmes excision, voile, nikab, kamiss afghan et port de barbes obligatoires pour tout le monde, l’enseignement du Coran obligatoire, interruption des programmes de télévision pour diffuser les appels à la prière, interdiction d’enseigner Darwin et la philosophie, suppression des auteurs non-musulmans des manuels scolaires, un joli programme qui s’invitera à la table électorale des français demain.
Pour mieux tuer la France, il faut l’islamiser.
Si l’islam était démocratique et moderniste pourquoi les pays musulmans brillent par leur violation des droits de l’homme, le sexisme, l’intolérance et la barbarie ?
Pourquoi les non-musulmans sont-ils considérés comme des sous-hommes, des dhimmis ?
Le droit de vote aux étrangers revient à faire de la charia la future loi fondamentale de la république tel est le vrai sens du droit de vote pour tous.
Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France.
Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?
Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu pour être un parangon de libertés publiques et humaines.
Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.
Toute motivation de vote…
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Il ne reste que les femmes pour faire revivre la Tunisie
Qui mieux que la femme tunisienne pour sauver le pays ?
La Tunisie, un pays de cons n’est en phase qu’avec les bouffons
Pourquoi les E.U. » soutiennent-ils » les terroristes islamistes ?
Si l’islamisme était l’oeuvre de l’Occident américano-sioniste comme l’allèguent les laudateurs de l’Islam modéré, alors qui aurait inventé le hanbalisme, l’une des quatre écoles juridiques de l’Islam, dont sont issus le wahhabisme, le salafisme, le jihadisme et le qoutbisme ?
Et pourquoi c’est encore l’Occident qui aurait enfanté Ibn Taymmyia mort en prison à Damas au début du XIVème siècle pour apostasie connu pourtant pour être le père-géniteur de l’islamisme moderne.
Que les Américains l’aient réactivé et instrumentalisé voire annexé depuis le Pacte de Quincy et qu’ils l’ aient utilisé comme joker en Afghanistan avec les Talibans pour combattre l’invasion soviétique ou les brigades djihadistes de Ben Laden, cela ne fait pas de doute. Comme ils continuent encore à le faire dans les pays du Croissant fertile arabisé.
La préoccupation majeure de la Maison Blanche aujourd’hui est moins l’éveil démocratique et l’accompagnement des peuples musulmans à l’affirmation et la réalisation de leur dignité politique que ses propres intérêts géo
sécuritaires. Dans leur nouvelle doctrine sécuritaire qui peut se résumer comme suit : il ne faut pas attendre que le terrorisme vienne te frapper sur ton territoire, il faut aller le circonscrire à partir de ses propres sources qui sont autant de foyers potentiels d’incendie et dont l’embrasement pourrait trouver le coeur du territoire américain.
Surtout contrôler ses velléités politiques et identifier les causes qui sous-tendent sa violence extrémiste.
Au lieu d’une guerre frontale et de longue haleine contre cet ennemi de l’ombre, insaisissable, imprévisible, multiforme et ils ont opté pour une stratégie de dédiabolisation avec la nébuleuse islamiste en lui mettant les pieds à l’étrier politique dans son propre espace géographique sous le ordres de la Troïka qatarie-turco-saoudienne.
L’érigeant en interlocutrice privilégiée, l’Administration américaine pense pouvoir mieux la contrer, la neutraliser et la surveiller.
Cette stratégie semble tirer sa philosophie d’un programme privé intitulé Google IdeasTthink don’t Tank dirigé par Cohen Jared ancien chef de la diplomatie digitale (formation des dissidents à l’eRevolution) au sein du Département d’Etat.
Un think thank indépendant mais qui s’inscrit paradoxalement dans le champ des enjeux géo sécuritaires de la diplomatie américaine, créé à l’initiative de Google destiné en premier lieu aux pays musulmans, ouvert aux terroristes dits repentis censés y apporter leurs expériences et raconter leur histoire de vie dont l’objectif est de dé radicaliser les mouvements terroristes en essayant de les faire renoncer au terrorisme plutôt que de gagner leurs sympathies.
Il serait intéressant de savoir si parmi les 80 participants venus de tous les milieux extrémistes au séminaire de Dublin au mois de juin 2011, n’ y figurait pas un membre de l’organisation terroriste tunisienne Ennahdha dont le leader R. Ghannouchi est jugé par la justice canadienne comme un des maîtres à penser du terrorisme islamiste dans le monde.
Les Américains ne sont pas hostiles l’Islam, ils sont surtout obsédés par leur sécurité intérieure et les risques de violence terroriste potentielle inhérente aux islamistes, cette partie émergée et hyper active du corps amorphe musulman et contre lesquels ils ne lésinent pas sur les moyens pour les désamorcer.
En quelque sorte, ils font des pyromanes islamistes des éventuels soldats de feu pour éteindre le feu qu’ils sont susceptibles d’allumer.
Faire des islamistes des acteurs politiques pour se prémunir du danger terroriste qu’ils représentent est symptomatique de l’incapacité américaine de s’attaquer aux vraies racines du mal qui ronge les peuples musulmans en manque de libertés démocratiques, de justice sociale, de respect de leur dignité, en butte à la corruption, au népotisme, au despotisme à l’obscurantisme.
Faute d’avoir réussi sa révolution, la Tunisie a réussi sa contre-révolution linguistique
·Chaque révolution a engendré son lot de nouveaux mots traduisant l’esprit propre à chacune d’elle.
- Or, la tunisienne brille par la pauvreté de son lexique révolutionnaire qui est plutôt à contre-courant des idéaux dont on a affublés la révolution et qui en dit long sur l’absence d’une véritable âme révolutionnaire. Une litanie de mots qui fait son entrée en force dans le langage tunisien depuis la chute rocambolesque et ubuesque de Ben Ali et qui laisse augurer un virage à 180° des moeurs de la nouvelle société tunisienne qui se dessinent sous l’impulsion de l’architecte-imposteur Ennahdha.
- Un vocabulaire puisé dans le patrimoine linguistique wahhabite tel que le propage son fer de lance Ennahdha, la filiale tunisienne de la Qaïda, .
- Ainsi depuis la date du 14 janvier 2011, le langage tunisien est pollué par des nouveaux termes et expressions moyenâgeux, barbares empestant la haine de l’autre et synonymes de violence : exciser, lapider, mutiler, couper, amputer, racketter, lapider, crucifier, tuer, purifier, haïr, exterminer, djihad, voiler, safirat, aawra, salaf, la bataille de Badr, vitrioler, djihad nikah, véroler, étrangler, intimider, messianisme, conquête cosmique, kaffer ou mécru, châtier, tartour, amis de la Syrie, choléra, peste, malaria, pénurie d’eau, vouer aux feux de l’enfer, blasphémer, sacrilège, hallal, haram, maudire, tamarrod, dhimmi, soumission, sale juif, ta mère la juive la pute, bâtard d’un kapo, l’étendard noir de l’islam, agréer, abolition des frontières, naître musulman, promotion du vice, répression de la vertu, islamiser l’espace public, mutiler, répudier, violence, intolérance, reléguer, polygamie, mère-célibataire, mariage coutumier, mariage mayssar, enrégimenter, taghout, endoctriner, manipuler, castrer, aliéner, pédophilie, réaction, awra, safirat, enfer, paradis, jawaz al motaa, jawaz al myssar, tourisme halal, fi sabil Allah(sur le sentier d’Allah), martyr, libération de la Palestine, oumma, califat, frère musulman, couleurs de l’Islam, salaf salah, gourdin, purification,profanation, Mozzah la mère des croyants, tartour, lâcheté, hérésie, dogme, wahhabiser, gourou, terre d’Islam, phobie de la patrie, brûler les incroyants, inquisition, appel au meurtre du juif, takbir, vénérer, taghout, idolâtrer, sacraliser, vice, vertu, prédication, suzeraineté, fidèle, panarabisme, barbe, nikab, Qatar, kamiss, hijab, tawheed, la fraternité islamique, quémander, fabuler, habib Allah(amant d’Allah) panislamisme, anathème, apostasie, valeurs du sacré, fatwa, tribunal d’inquisition, résignation, zakat, conservatisme, immuabilité de l’ordre social, Dieu aime les riches, insécurité, choléra, complément, prosélytisme, Allah Ghaleb, mariages collectifs, circonsicions et mariages collectifs façon secte Moon, voter pour Dieu, adhab al kabr (tourements de latombe) labourer le corps de la femme, coupable d’être victime de son viol, violer en toute immunité religieuse, charia, tout est à dieu et rien aux hommes, obscurcir, obstruer, l’islam ou la mort, vouer aux gémonies, bénir les mères qui donnent des vaillants combattants à Allah, 72 houris, gagner 29 marches pour le paradis en priant à la mosquée, clouer au pilori les femmes qui ne donnent pas de la chair à canon à Dieu, stigmatiser les femmes travailleuses, pureté du sang musulman, exalter, encenser, glorifier, etc…. Des mots comme dignité, égalité, travailler, aimer, tolérer, résilience, modernité, démocratie, laïcité, vivre ensemble, justice sociale, citoyenneté, équité, liberté, fraternité républicaine, patrie, souveraineté, droits de l’homme, modernité, majorité, discernement, épanouissement, bien commun, éducation, formation, générations futures, bien-être, respect, etc… sont tabous et contraires aux fondements de l’Islam et par conséquent violent les valeurs du sacré.
La nouvelle Tunisie musulmane wahhabisée est en marche sémantiquement.
Elle répond enfin aux exigences de son identité arabo-musulmane, celle qui la conduit inexorablement sur la voie des enfers dantesques.
L’islam tue partout et de plus en plus dans les mosquées
Afin d’en finir avec les attentats meurtriers dans les mosquées commis au nom d’Allah, celui qui tue et non qui sauve, n’est-il pas grand temps que les musulmans du monde entier s’ils tiennent à leur vie de ne plus jamais aller prier dans les mosquées ?
En finir avec l’omerta sur les génocides qui jalonnent l’histoire de l’islam
Barak Hussein obama est-il un collabo des Frères Musulmans ?
Pour gagner la guerre après avoir perdu la bataille du 23 octobre 2011, il faut abattre la citadelle de l’A.N.C.
Ni R. Ghannouchi, ni Abassi ne sont en droit de décider du sort politique de la Tunisie
Que les politicards français cessent de prendre l’islam pour une religion inoffensive
D’ailleurs ils devraient aussi se demander pourquoi les immigrés préfèrent la France plutôt que les monarchies pétrolières.
Connaissent-ils l’attrait de la France sur les populations musulmanes ? Des citoyens algériens avaient manifesté un jour à Alger pour réclamer l’assouplissement de la politique des visas pour la France. Des jeunes algériens clamaient haut et fort qu’il il vaut mieux la vie d’un détenu en France que la vie qu’en Algérie.
Pourquoi plus de 90% des jeunes turcs et marocains rêvent-ils de l’Eldorado occidental qui est pourtant à bout de souffle ?
Est-ce par amour de la démocratie ? Ce dont il est à douter quand on sait qu’une partie substantielle des immigrés vote contre la démocratie dans leurs pays d’origine comme demain ils voteront pour l’islam en France. Q etSavent-ils aussi que le regroupement familial présente des sérieuses menaces pour le fondement-même de la république et porte en lui tous les germes de la colonisation du pays . Avec le taux de fécondité des familles musulmanes, les bonnes âmes françaises pourraient dire adieu à la France, évidemment qu’elles ne seraient plus pour vivre sous le diktat de l’islam. Où les Champs Elysées se transformeront en salles de prières en plein air et pire encore Notre Dame abritera la future Grande Mosquée de Paris.
Tous les symboles de l’histoire de la France seront détruits pour laisser la place aux seuls symboles de l’islam comme en terre Amazigh, où il est interdit de donner des prénoms amazighs à ses enfants.
C’est de la politique fiction, mais l’utopie du jour est bien la vérité de demain.
Avant l’avènement de l’islam, l’Arabie était une terre judéo-chrétienne, depuis plus aucune trace témoignant de cette présence qui sans elle, l’islam n’aurait jamais vu le jour.
Condamner Manuel Valls pour sa prise de conscience quand à la dangerosité du regroupement familial en provenance des pays musulmans c’est condamner à long terme la France à la disparition.
Et pas seulement, cela équivaut à donner toute sa mesure aux desseins hégémoniques de l’islam qui veut régner en maître absolu sur le monde.
Qu’ils commencent par décrypter le message politique de l’islam avant qu’ils ne soient trop tard peut-être qu’à ce moment-là ils réaliseront que leur angélisme républicain est la ruine de la France.
Qu’ils apprennent que ceux qu’ils protègent au nom des lois antiracistes professent une idéologie qui est loin d’être dénuée d’arrières-pensées racistes et antisémites.
L’islam est plus qu’une religion c’est une doctrine politique de caractère impérial et fasciste, vouant à la mort tous ceux qui ne sont pas dans son moule.
Quant à l’intégration des musulmans dans un espace républicain qu’ils ne se fassent pas trop d’illusions là-dessus, elle est pour les musulmans une aubaine pour désintégrer la France.
Amina se refait une virginité dans le retournement de veste, la calomnie, la grossiéreté et l’antisémitisme
Salem Benammar
C’est encore la faute à Israël s’ils sont la risée de l’humanité, s’ils sont les peuples les plus rétrogrades, liberticides, arriéré, violents, fanatiques, analphabètes, despotiques, défaitistes, fatalistes. Amina plutôt que de parler du financement occulte du mouvement Femen qu’elle stigmatise et calomnie, doit savoir que ce mouvement n’a tué personne et que ses sources de financement ne participent pas à la destruction de l’humanité contrairement celles dont bénéficient ceux qu’elle se fait fort de dédouaner de tous leurs crimes et de défendre leur drapeau noir symbole de la haine et du terrorisme. Elle a raté sa sortie en oubliant de condamner les meurtres des soldats tunisiens et les assassinats politiques au nom de l’islam. Encore heureux qu’elle ne les a pas imputés aux Femen financées par Israël. A chaque fois que ce dernier fait un pas en avant, les pays musulmans font 100 pas en arrière. Là où les pays musulmans produisent des terroristes, les juifs produisent des Prix Nobel et se font utiles à l’humanité. Connait-elle au moins le nombre de publications scientifiques de ses coreligionnaires ?La seule chose qu’elle semble plutôt connaître est le langage nauséabond et sexué caractéristique de ces peuples qui font de la violence verbale et physique
Pour mettre à nu intégralement les Femen, on a pas trouvé mieux que de voiler Amina du voile de l’infamie
L’islam est-il un péril pour la France comme le fut naguère le péril nazi ?
Salem Benammar
Il se pose comme étant le défi majeur auquel la République doit faire face d’ores et déjà. Bien plus grave et urgent que l’insécurité et le chômage.
L’ex femen Amina devenue égérie malgré elle et sans le vouloir a mis à poil la fausse morale musulmane
Les seins nus n’ont jamais été un sujet tabou ni en Afrique ni en Inde surtout dans sa partie méridionale.
A Soweto les femmes manifestaient contre l’Apartheid la poitrine dénudée.
C’est l’Eglise au Moyen Age qui a été à l’origine de la censure du corps au nom d’une pseudo pudeur, la fausse morale religieuse quand tu nous tiens. Gabrielle d’Estrées a ébranlé l’ordre religieux déjà au 16 e siècle. L’homme a fait du corps de la femme son territoire inviolable, où chaque partie de ce corps a une connotation sexuelle.
C’est en faisant du corps de la femme un mode d’expression politique et d’affirmation de soi qu’Amina a troublé l’ordre social tunisien et a mis les tunisiens en émoi de peur de se regarder dans leur propre miroir.
La nudité partielle d’Amina les a révélée à eux-mêmes quant à leur incapacité de sortir de leur état de sclérosés mentaux.
Plutôt que de se poser les bonnes questions et analyser la portée de son geste, ils ont préféré adopter une posture de saintes ni touches et de la verge effarouchée.
Leur dénigrement d’Amina n’est autre en réalité que la peur d’eux-mêmes. Leur image de lâcheté et le refus de soi contrastent avec l’image d’une héroïne des temps modernes bravant les interdits religieux et politiques.
Amina a transgressé les dogmes même de l’islam. Elle a mis à nu le statut de la femme dans l’islam en revendiquant son plein droit sur ce corps dont elle est la maîtresse absolue et non ce champ de labour dont Allah a fait don à l’homme, a heurté l’inconscient collectif tunisien qui a mis nu l’archaïsme maladif de la société tunisienne.
Et bien plus encore elle a démystifié la morale relieuse musulmane qui légitime la prostitution pour l’honneur d’Allah et qui condamne toute forme de résilience pour l’honneur de la femme.
Mon corps est mon honneur et en aucun cas l’honneur d’un dieu ou d’une religion. Il n’y a pas pire déshonneur et atteinte au corps de la femme que sa codification culturelle.
Mentionner la virginité de la femme dans un acte de mariage dans les sociétés arabo-musulmanes n’est pas seulement humiliant pour la femme, il l’est surtout pour la société elle-même qui porte le corps de la femme comme un fardeau dont elle doit se débarrasser pour s’épargner les commérages et l’infamie.
Par son geste Amina a violé le tabou social qui dépossède la femme de son propre corps susceptible de faire jeter la honte et d’entacher l’honneur et la réputation de sa famille, de son clan et de la société dans son ensemble, alors que livrer le corps de ses fillettes et ses femmes en Holocauste aux terroristes en Syrie est tout-à-fait honorable et respectable.
Là où le corps est une expression de l’honneur de la femme est jugée condamnable et obséquieux, en revanche là où le corps de la femme est instrumentalisée à des fins religieuses qui la réduisent à un simple objet sexuel, une esclave dépourvue de conscience et de psyché, cela ne semble gère offenser l’honneur des tunisiens.
C’est la fausse pudeur arabo-musulmane qu’Amina a mise à la lumière du jour. Il est temps d’en finir avec l’imposture comme règle de vie en société et d’abolir le régime d’Apartheid sexuel qui frappe la femme chez les primates arabo-musulmans castrateurs du corps de la femme et qui font projeter sur lui le mépris qu’ils ont de leur propre corps. Un des corps le plus enlaidi et disgracieux au monde.
Quant aux vrais primates, ils avaient une représentation asexuée du corps de la femme.
La tartufferie arabo-musulmane : cachez-moi cette chose que je n’ose pas voir publiquement mais qui me fait fantasmer dans mes alcôves.
La Tunisie n’est pas l’Egypte, voilà pourquoi son peuple ne l’arrachera jamais à son destin islamiste
Qui ne dit mot consent et qui n’agit pas entérine les situations de non-droit.
A force de séduire la bête immonde islamiste, l’Occident finira par lui servir de festin
Que l’occident cesse de s’ingérer dans les affaires internes des pays arabophones.
L’ère coloniale est révolue, il doit comprendre que le droit des peuples à disposer de leur destin politique est une valeur universelle et en aucun cas l’exclusive des siens. Il n’a pas à être ni juge, ni parti, ni acteur dans les coulisses, ni guide de la transition qui est plutôt une transition de l’indépendance à la satellisation de ces pays, ni commentateur des événements politiques qui touchent ces pays.
Si en Egypte l’armée égyptienne s’est fait l’écho de la pression de la rue, il n’a qu’à prendre acte de la volonté du peuple égyptien d’évincer le pire gouvernement de son histoire qui veut démanteler le pays et le précipiter dans un gouffre abyssal.
Il doit savoir que ces peuples sont majeurs et qu’ils n’ont aucunement besoin de tuteurs et de donneurs de leçons malveillants et irresponsables.
De quel droit exprime-t-il ses inquiétudes qui sont plutôt l’expression de son cynisme et de sa mauvaise foi quant aux événements politiques qui secouent l’Egypte et la Tunisie alors qu’il a été à l’origine directe de l’état de pourrissement de la situation qui vaut à ces pays de vivre les pires crises de l’histoire politique.
Après avoir joué un rôle actif dans les chutes de Hosni Moubarak, Zine al Abdine Ben Ali et Moâmmer kadhahi et essayer sans succès de faire chuter Bachar Assad, il s’effarouche d’assister au réveil salutaire du peuple égyptien qui refuse de se soumettre à la dictature des frères musulmans qui ont ruiné l’économie du pays à l’image d’Ennahdha en Tunisie, cette autre filiale de la Confrérie.
Il s’inquiète de l’éventualité de guerre civile en Egypte et en Tunisie, alors qu’il ne s’agit en réalité que d’une guerre anticoloniale, il aurait dû y penser en amont quand il était encore temps en restant à l’écart du jeu politique de ces pays.
Là où tout le monde attendait à une naissance d’un Crossant démocratique du Maroc à la Syrie, on a eu contre toute attente un Croissant wahhabite à l’exception de l’Algérie et la Syrie qui résiste à la nouvelle configuration politique desdits pays impulsé par l’Occident lui-même au nom de la démocratie.
Comme si les terroristes qu’il avait aidés étaient un parangon de vertu démocratique. Il devrait s’inquiéter plutôt des conséquences des choix de ses amitiés politiques plutôt que de la volonté des peuples à refuser un capitaine qui va mener leur navire sous les fonds abyssaux des mers.
S’est-il lui même regardé dans son propre miroir en se demandant comment lui l’Occident qui s’est libéré du joug de la barbarie et de la théocratie fait-il pour aider les forces réactionnaires et despotiques à accéder au pouvoir dans les pays du Crossant arabisé ?
Quand on veut le bien pour soi on doit aussi le vouloir pou autrui pour éviter le retour du bâton.
A se demander si les gouvernements occidents sont aussi démocratiques qu’ils en ont l’air et soucieux du respect des droits de l’homme et du citoyen
Pourquoi est-il charitable avec les ennemis des libertés qu’il drape paradoxalement dans les habits de lumière d’acteurs majeurs de la transition démocratique de ces pays tout en sachant pertinemment qu’ils sont fondamentalement nazis et qu’ils n’ont qu’un seul dessein détruire la démocratie là où elle se trouve ?
S’émouvoir du sort des Frères musulmans en Egypte c’est une insulte à la conscience humaine. c’est aussi souscrire à l’idéologie de haine, génocidaire et raciste de la Confrérie
Condamner le coup d’arrêt porté par le peuple égyptien appuyé par son armée à la gouvernance antinationale de la Confrérie est un acte inamical et hostile à l’Egypte,
Pourquoi n’a-t-il jamais condamné les propos anti-coptes de Morse, les pogroms dont sont victimes les coptes ? Pourquoi n’a-t-il jamais condamné les propos philonazis de Qaradhaoui ni ceux de R, Ghannouchi ?
Pourquoi Ennahdha qui continue à figurer sur la liste noire des organisations terroristes au Canada est-elle devenue fréquentable pour les autres pays occidentaux ,
Que dissimule ce soutien lâche et coupable de l’Occident pour la Multinationale du Crime religieux dont est issu Al Zawahiri, Ben Laden, Omar Bachir, Hassan Tourabii et que des tristes sires.
Peut-être qu’il veut acheter sa propre sécurité en jouant au V.R.P. de luxe et l’avocat du diable wahhabite.
La Realpolitik a des limites que la morale réprouve. Mais l’Occident ne semble guère s’embarrasser de scrupules pour aider à l’émergence de pouvoir démocratique dans ces pays, il préfère composer avec le Satan islamiste qui lui paraît seul garant de ses intérêts.
Amnésique et aveugle, oublieux de sa propre histoire et de sa capitulation face au nazi et l’épisode de son humiliation dans la Révolution iranienne.
Toujours obsédé par ses seuls desseins géostratégique, géo énergétique, de politique intérieure à des fins électoralistes, géoéconomiques et financiers.
Son calcul sordide et suranné va un jour où l’autre lui jouer un coup dont il ne se relèvera jamais.
Il peut écrire imaginer concevoir tous les scénarios de despotisme obscurantiste pour ces peuples, qu’il croit pouvoir pressurer et exploiter à sa guise pour sa propre pérennité, en les maintenant dans son champ de domination néo impérialiste afin qu’ils ne tombent pas dans l’escarcelle du B.R.I.C.S. le bloc qui le fait cauchemarder, il n’a toujours pas appris que toute politique a des effets pervers surtout quand il s’agit de tisser des alliances contre nature.
Il a tout à gagner dans un partenariat gagnant-gagnant avec des peuples arabisés majeurs et démocratiques qui constituent pour lui ses vraies soupapes de sécurité et un frein aux flux migratoires, voire une décrue de l’immigration plutôt que de mener une politique de courte vue et à contre-courant de l’histoire.
Il joue perdant sur les deux tableaux, d’une part il attise l’animosité et accroît les frustrations de ses alliés naturels dans ces pays que sont les forces démocratiques et modernistes pour en faire des ennemis demain, et d’autre part il joue avec le feu en faisant de ses ennemis viscéraux ses alliés d’opportunité qui un jour ne manqueront pas de le dépecer comme un vautour dépeçant sa proie.
Naïf certainement pas mais pervers et schizophrène, il l’est assurément.
C’est une guerre de libération nationale qu’il faut livrer à l’occupant islamiste
Que l’islam apprenne qu’on ne fait pas de la mort le salut des âmes de ses fidèles
Et si Ennahdha n’était pas le vrai visage de la Tunisie ?
Reconnaissons à Allah ce qui est à Allah et à Ennahdha ce qui lui revient de droit, c’est pourquoi on se doit plus que jamais rendre justice à la secte infâme d’Ennahdha et lui t reconnaître l’immense mérite de révéler les tunisiens, ou plutôt une majorité des tunisiens à eux-mêmes.
Elle est le miroir de la Tunisie. Grâce à elle et en aucun cas à cause d’elle, 20 mois c’est trop court pour impacter les mentalités, nul doute que si le pays touche le fonds aujourd’hui c’est moins la faute d’Ennahdha que la faute des tunisiens eux-mêmes et qu’il était déjà bien engagé dans son processus de pourrissement entamé depuis l’époque de Mohamed M’Zali, fervent défenseur de l’arabo-islamité.
Ennahdha n’est pas le fruit du hasard, elle n’est E.T.,, elle est l’exact reflet de la culture tunisienne, une culture où le dernier arrivé est le premier servi comme tous ces imposteurs qui ont déferlé comme une nuée de sauterelles sur la Tunisie dès le lendemain de la chute de Ben Ali se prévalant tous d’une posture révolutionnaire. Celle des bistrots parisiens pour les uns et des restaurants kebabs pour les autres.
Ennahdha, si elle se trouve en haut de l’affiche c’est parce qu’elle met à la une la culture de la mégalomanie, des faux-semblants, du paraître, du surdimensionnement de l’ego.
Une culture du superficiel, de l’avidité, de la cupidité, de la vanité, de la vantardise, de la pleurnicherie, du figurant qui tient le premier rôle, de l’arrivisme, de la veulerie, de la trahison, du mensonge, du pique-assiette, de l’entourloupe, de l’esbroufe, du dol, du pousse-toi où je t’écrase, du narcissisme, de la surestimation de soi et de l’imposture
La secte infâme est l’incarnation parfaite du vrai visage de la Tunisie dans toute sa laideur, ses tares, son apathie, son laisser-faire, son indifférence, son chacun pour soi et après moi le déluge, son opportunisme, son absence d’esprit de combat, ainsi que la médiocrité intellectuelle de sa classe politique, lâche et mollassonne.
Manquant d’envergure, son incapacité à mobiliser les foules, sa stérilité, son incapacité à présenter une alternative crédible à Ennahdha, son absence de militantisme actif, d’aiguillon politique, le pire est son incurie patriotique.
La Tunisie est comme un bateau ivre qui part à la dérive parce qu’il n’y a personne à la commande. Ce n’est pas par hasard si le pays est livré à des hors-la-loi et des pillards qui font régner la terreur sur le pays, se partageant le butin dans la bonne tradition mahométane.
La Tunisie est victime de la vacuité, et de la fatuité de ses propres enfants. Ce sont eux qui sont la cause de sa mauvaise posture actuelle.
Il serait injuste de faire de la secte infâme faisons la cause de tous les maux du pays, cristallisant rejet et aversion alors qu’elle ne fait renvoyer aux tunisiens une image fidèle d’eux-mêmes.
Front Populaire ou Front de la Honte et de la Capitulation
En effet, le Front Populaire tunisien qui a certainement voulu s’inspirer de l’histoire des forces de gauche en France dans les années 30 qui se sont coalisées sous la même bannière appelée Front Populaire, connaît-il au moins les deux épisodes,, il y en a d’autres, qui ont laissé les traces les plus indélébiles dans l’histoire de ce front de la capitulation et la honte nationale : la participation aux J.O. de Berlin de 1936 et Munich 1938.
Une histoire peu glorieuse, à moins que la gauche tunisienne ne la connaisse pas ou plutôt s’imagine que les autres l’ignorent, il est à craindre que ce front ne réédite l’histoire de ses ancêtres gaulois.
Quand bien même, le front populaire tunisien n’est pas au pouvoir à la différence de sa référence ultime, il y a des comportements et des signaux politiques qui ne laissent rien augurer de positif.
Condamner le coup d’Etat militaire égyptien appuyé pourtant par le peuple égyptien qui est un inévitable pour éradiquer le mal absolu en dit long sur la conscience citoyenne, patriotique et républicaine du front populaire tunisien dont certains des membres et non des moindres avaient pactisé avec Ennahdha dans le passé.
La guerre des islam est-elle imminente ?
La guerre de religions aura-t-elle lieu en Tunisie ? Mais contrairement à sa grande soeur chrétienne, où les chrétiens persécutaient les protestants, celle-ci est fomentée par une minorité activiste schismatique hyper sectaire et ultra violente qui se veut le vrai Islam et qui veut éradiquer l’Islam officiel ayant pris forme à Kairouan et ayant façonné le caractère tolérant actuel des tunisiens.
Deux conceptions de l’Islam qui s’opposent avant qu’elles n’en viennent à en découdre dans un bain de sang. Deux Islam à des
Mohamed Ibnou Abdelwahab, le prophète des salafistes et djihadistes qui veulent faire marcher la Tunisie en arrière!
années-lumière l’un de l’autre. Un Islam véhiculé et importé par la Qaïda locale, celui synonyme de la trahison, de la haine de l’autre, de l’intolérance, du puritanisme de l’hypocrisie, de la perte de l’identité nationale et de l’indépendance du pays, du djihad, de la pédophilie, de la polygamie, du mal vivre, des injustices sociales, des inégalités, de la corruption, de la relégation de la femme, du racisme, de l’antisémitisme, des abus de pouvoir, du népotisme, de la dictature de la religion. Un Islam rejeté en bloc par la majorité des tunisiens qui s’arcboutent à leur Islam hérité de leurs aïeux. Celui qui a cimenté leur unité et qui fut le moteur de leur lute pour l’indépendance nationale. Un Islam du bien vivre ensemble où juifs, chrétiens, agnostiques et musulmans vivaient en bonne harmonie, ébranlée en 1967 par une crise venue d’Orient. La spécificité de l’Islam tunisien est mise à mal par le péril venant de l’Est. Un Islam du respect des droits de la femme. Celui du consensus et de la modernité. Celui que la Qaïda tunisienne se plaît à le présenter comme étant le sous-produit du sionisme auquel la Tunisie de Bourguiba doit le C.S.P.
Mohamed Fadhel Ben Achour, l’un des imminents théologiens de l’Islam Mélikite et modéré au Mghgreb
Plus le mensonge est gros, plus il a l’allure de vérité. Fourbes, pervers, fabulateurs et apostats, les islamistes sont capables de dénier au Prophète lui-même l’authenticité de son Message, ils ne vont pas se priver de couvrir d’insanités et de calomnies l’Islam qui a concouru à la construction de la personnalité tunisienne et qui a permis à Bourguiba de libérer l’héritière de Didon et de la Kahina du carcan des traditions qui sont loin pourtant en avance sur le modèle de société qu’Ennahdha veut imposer aux tunisiens. L’Islam que cette secte sataniste veut vouer aux gémonies, n’est pas un Islam collaborationniste comme le leur. Il a été le catalyseur de l’indépendance de la Tunisie, comme celle de l’Algérie. Il est celui qui a toujours résisté à l’invasion wahhabite dans les mosquées dès le début du 19e siècle. Un Islam de la dignité de l’homme et de l’orgueil national. L’Islam tunisien, est un Islam nationaliste et patriote. A la différence de l’histoire sulfureuse de l’Islamisme qui doit son avènement tant en Arabie à la fin du 18e siècle qu’en Egypte dans les années 1920 aux occupants britanniques. Contrairement au leur, l’Islam tunisien n’est
Jihadistes tunisiens
pas un Islam de godillots et de pantins à l’instar du leur. Il n’est pas un pion sur l’échiquier des grandes puissances et une marionnette dont elles tirent les ficelles à leur guise.
L’Islam malékite au nom associé à l’histoire de la Tunisie depuis 1400 ans est bel et bien celui de la grandeur et de la splendeur du monde musulman auquel il doit une de ses pages des plus glorieuses pages celle de la conquête d’Espagne, tandis que celui dont les islamistes se targuent, qui n’a d’Islam que le nom, est l’Islam de la honte, de la vassalisation, de l’ignominie, de la terreur et de l’abandon de la souveraineté nationale. Comparer le vrai Islam de la Tunisie à celui d’Ennahdha n’est pas une faute c’est un crime. Comme si l’on pouvait comparer l’humanisme au nazisme. Ce n’est pas par hasard que l’Islam tunisien a choisi le camp des libertés en 1939-45 à la différence de l’islamisme qui a combattu au sein des forces nazies. Ce n’est par hasard non plus que les malékites ont toujours défendu leurs frontières nationales, tandis que les islamistes se terraient comme des rongeurs qu’ils le sont dans leurs tanières. Ce sont des musulmans tunisiens malékites morts et blessés pendant la Révolution du Jasmin, et non pas des islamistes qui profitaient de leur exil doré en Occident et de la générosité de leurs mentors wahhabites et iraniens. C’est grâce aux malékites tunisiens qu’ils sont sortis de leur néant. Vivement qu’ils y retournent et que la Tunisie tunisienne et plurielle retrouve sa quiétude et sa sérénité.
Les égyptiens et les tunisiens n’ont pas le choix des armes pour éradiquer l’islamisme
Les autres que bien souvent ils tuent eux-mêmes de leurs propres mains les offrant en Holocauste à leur Allah sanguinaire et avide de chair humaine, comme en Egypte et en Tunisie, ils n’ont que ce qu’ils méritent, ce ne sont que des mécréants après tout, des êtres impurs, des mauvaises herbes qu’il faut éliminer pour empêcher les effets de contagion.
Moncef Marzouki esclave de son maître R. Ghannouchi
Honte à toi à Moncef Marzouki, larbin, godillot, pantin, bouffon, séide, lèche-babouches et fayot de R. Ghannouchi.
Tu viens d’apporter la preuve formelle que tu es sa marionnette. Un esclave aux ordres de son maître.
L’ivresse du pouvoir fait de toi une loque humaine. Tu devrais retourner dans le néant duquel t’avait sorti le peuple tunisien à son corps défendant que tu affames et escroques.
C’est par lui que tu es payé royalement et non pas par le chef de ta secte satanique le monstrueux R. Ghannouchi, l’homme le plus abject, infect et détesté de l’histoire de la Tunisie.
Tu t’accroches à l’illusion du pouvoir comme un toxicomane qui voit les couleurs et sent les odeurs.
Tu as atteint le degré zéro de l’indignité humaine.
Lâche, veule, cupide, opportuniste, avide, mégalomaniaque, souffrant de troubles de personnalité dépourvu de discernement, aux facultés mentales gravement altérées, incapable d’exister face à ton Gourou, qui te tétanise et te fige dans ta lâcheté.
Tu es sa chose, sa figurine hideuse, sa pâte à modeler nauséabonde comme l’odeur du purin dans lequel tu as mis la Tunisie.
Ton passé de militant des droits de l’homme sent le souffre qu’ont laissé derrière elles les bombes qu’ont fait exploser en 1987 et 1991 les lieutenants de ton maître-esclavagiste qui te fascine tant et pour lequel tu as trahi la Tunisie en devenant son chien aboyeur sur les tunisiens qui dénoncent la qatarisation du pays.
Après une telle humiliation publique devant témoins, tu es encore là à faire le beau, tout fier de toi, tu fais comme si de rien était.
Tu t’es déshonoré ce qui est logique connaissant ton personnage, mais tu n’as pas le droit de discréditer la Tunisie et de la couvrir d’infamie comme tu viens de la faire aujourd’hui en présence d’une délégation officielle japonaise, le premier au monde à avoir supprimé le visa aux tunisiens dès le lendemain de la chute du mafieux Ben Ali et le seul de surcroît à vouloir aider économiquement la Tunisie.
Si tu as encore un fond de dignité en toi tu devrais faire tien le destin de Félix Faure.
Tu as définitivement perdu la face, tu n’as pas le droit de regarder la Tunisie en face.
La seule trace que tu laisseras dans l’histoire est celle d’être le premier président-bouffon de l’histoire de la Tunisie.
Pour le raciste Rached Ghannnouchi n’est tunisien que celui qui est musulman
« N’est allemand que celui qui a du sang aryen dans les veines » comme le proclamait Adolf Hitler en 1935 pour motiver l’ exclusion des juifs et des minorités non germaniques de la nationalité allemande en vertu des lois raciales de Nuremberg dans l’indifférence totale ou presque de la S.D.N. et encore moins des vainqueurs de la deuxième guerre mondiale. Comme si les parias du nazisme étaient une question de détails pour emprunter une expression criminelle de Jean-Marie Le Pen.
76 ans après les mêmes propos nauséabonds sont reproduits sous d’autres cieux par ceux que l’Occident a adoubé pour présider au destin des populations égyptiennes et tunisiennes, en l’occurrence les terroristes recyclés en hommes de pouvoir.
Ainsi Morsi et Ghannouchi fidèles aux prescrits du Coran qui bannit de la cité les non-musulmans auxquels on ne leur laisse aucun choix en réalité soit la soumission à l’islam soit la valise, autrement dit le cercueil pour ceux qui refusent de s’y soumettre ou n’ont guère les moyens d’émigrer vers des endroits plus cléments et hospitalier, n’ont pas fait mystère de leur projet à l’attention des minorités non-musulmanes des menaces planées sur le sort de ces dernières. Pour Morsi, les coptes doivent choisir entre l’islam et la valise, tandis que pour Ghannouchi, seule l’appartenance à l’islam est facteur de nationalité.
Contrairement à Hitler qui n’avait laissé aucun choix aux allemands entièrement à part, ces deux derniers en toute logique coranique ne laissent aucune alternative à ceux qui sont pas de leur bord religieux s’ils veulent jouir des mêmes droits que les musulmans qui sont eux-mêmes dépourvus de droits.
Ce n’est pas certainement pas le statut de dhimmis réservé aux seules gens du Livre qui va les consoler pour vivre dans des pays liberticides et inhospitaliers,
Quant au sort des athées, agnostiques, bouddhistes, païens et autres comme le Coran n’a rien prévu pour eux, on peut imaginer qu’ils n’ont pas le choix s’ils veulent avoir la vie sauve que se soumettre à l’islam.
Un chantage odieux et négateur des libertés de culte et de conscience que ni la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies ni l’Occident qui les adoubés ne condamnent et désapprouvent, alors qu’il n’est pas sans rappeler des souvenirs traumatiques pour l’humanité. Il n’y a pas pire racisme que de lier foi et nationalité comme pureté de sang et nationalité. Ni la foi ne la pureté de sang ne doivent la conditionner au préjudice des critères objectifs de droit positif. En quoi être musulman confère à celui qui s’en prévaut plus de droits et de privilèges que celui qu’il ne l’est pas ? Un véritable déni de droit à l’égard des non-musulmans condamnés à l’exclusion et au bannissement pour le seul fait de leur non-appartenance à la religion musulmane.
L’idéal musulman est néfaste aux droits humain, discriminatoire et raciste, la foi ne doit pas primer sur la patrie et la religion n’a pas à définir la nationalité comme c’est le cas en Arabie Saoudite, l’Etat le plus raciste et ségrégationniste au monde.
Paradoxalement ce sont les pays des droits de l’homme qui veulent faire de cet idéal le mode de gouvernance politique et la norme juridique pour des pays comme l’Egypte et la Tunisie. On fait semblant de combattre le racisme chez soi et on lui prête main forte ailleurs.
Plan d’action pour sortir la Tunisie du bourbier dans lequel l’a mise l’organisation fasciste et félonne d’Ennahdha
La Tunisie connaît aujourd’hui sa pire crise politique, économique et sociétale de toute son histoire depuis l’invasion génocidaire des tribus arabisées des Banu Hilal et de leurs alliés des Banu Souleim.
Il y va de la survie du pays . Le remède à ce mal profond qui est entrain de gangrener les fondements du pays présentant même des sérieuses menaces sur sa pérennité passe nécessairement par une thérapie lourde où tout compromis est synonyme de compromission avec les fossoyeurs islamistes du pays
C’est pourquoi, afin de lui impulser un véritable nouveau souffle et donner du sens aux idéaux de sa révolution qu’il n’en déplaise à ses Cassandre, il faut une réelle volonté politique et un investissement de tout un chacun qui font cruellement défaut actuellement à la Tunisie pour créer les conditions optimales pour de remettre le pays en dans le sens de la marche de l’histoire et non pas d’un passé légendé mais ô combien barbare et infâme un projet d’avenir pour la Tunisie.
En tout état de cause soit le maintien du statut-quo et reproduire les mêmes erreurs que celle de la crise du mois de février 2013, avec les risques d’un enlisement inextricable et précipiter la Tunisie dans une guerre de religions entre les tenants d’un islam tunisien moderniste et respectueux de la diversité du pays et les partisans d’un islam venu d’ailleurs, conquérant, impérialiste, négateur des droits à la différence et à la vie méprisant et liberticide.
Aux grands maux les grands remèdes. il faut commencer par faire dégager tous les responsables dont le premier d’entre eux Ali Larayedh, l’homme des basses besognes de R. ghannouchi et l’artisan majeur du naufrage sécuritaire du pays sur qui pèse de forts soupçons dans les assassinats politiques qui rythment la vie du pays depuis le 23 octobre 2011.
Cet homme doit disparaître de l’échiquier politique nationale comme tous ses semblables miliciens.
Ni lui ni personne ne peut se prévaloir d’une quelconque légitimité ou prétendre en détenir grâce à la mascarade électorale qui quoiqu’il en soit cesser de produire ses effets depuis le 23 octobre 2012.
Et quand bien même il peut s’en prévaloir, il doit savoir qu’un mandat électif n’est pas sa propriété de plein droit. il en est un simple dépositaire qu’il peut perdre en cas d’échec en cours du mandat.
Quand on ne respecte pas les termes du contrat, le contrat est résilié de plein droit.
Quand un capitaine de navire fait couler son navire sans avoir occasionné des dégâts humains, il doit assumer toutefois ses responsabilités en quittant ses fonctions en même temps que tous les membres du commandement. Or dans le cas d’espèce, ce capitaine saboteur-comploteur a provoqué le naufrage de tout un peuple.
Le conserver, revient à légitimer l’échec et accroître les risques d’un naufrage incommensurable, pire que celui du Titanic.
Il est aberrant et insensé que les tunisiens pensent pouvoir renflouer leur navire avec l’ancien capitaine, alors que cet homme a lamentablement échoué sur tous les plans. Il n’a aucune circonstance atténuante à faire-valoir.
Non seulement, il est la cause première de l’état de délabrement actuel du pays, mais également il est à l’origine directe du processus de somalisation de la Tunisie et de sa mise à mort en Tant qu’Etat de droit.
Son amateurisme, son incompétence, son manque de charisme, son inculture, son absence de vision politique, son passé terroriste, son aversion pour les valeurs de la république, son laxisme à l’égard des salafistes et de ses amis politiques impliqués dans des affaires de corruption et de bonnes moeurs, son inféodation au Qatar, son enrichissement personnel foudroyant et mystérieux, sa manie de vendre les joyaux de l’économie tunisienne aux qatariens, et bien d’autres faits qui jettent un trouble sur sa moralité et son dévouement patriotique.
Il est avant tout un islamiste dont le but suprême est la wahhabisation, vassalisation de la Tunisie en vue de son intégration dans le futur Califat wahhabite. En toute évidence, le reconduire c’est ouvrir définitivement les vannes à la perte de l’indépendance nationale et entériner le processus de la mort de l’identité tunisienne.
Pour impulser un nouveau souffle au pays, il faut adopter un Vade Mecum drastique, qui prenne en compte la réalité des maux dont souffre la Tunisie et toutes ces plaies innombrables provoquées par l’aventurisme de ce gouvernement. Identifier les causes et y apporter des solutions adéquates et réalistes.
Il faut un véritable plan de sauvetage pour la Tunisie qui pourrait s’articuler autour des points suivants :
– Confier la rédaction de la nouvelle constitution à un Comité Constitutionnel nommé par une commission collégiale de sauvegarde nationale, indépendante des partis, choisi au sein de la société civile, du monde universitaire, du monde syndical, des différentes sensibilités politiques, du mouvement féministe, des représentants des différents cultes religieux du pays, etc; Avec une obligation absolue d’inscrire en lettre d’or dans le projet de constitution la pluralité culturelle, historique et ethnique de la Tunisie, l’adhésion de la Tunisie à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du citoyen et de toutes les conventions internationales sur le respect des droits de la femme, des droits de la petite enfance, de la dépénalisation du délit de blasphème et du droit sur le libre-exercice du choix ou du refus de sa croyance;
– Soumettre le projet de constitution à l’aval du peuple tunisien;
– Ne pas confier les ministères régaliens à des nahdhaouis dont le premier d’entre eux;
– Dissoudre l’ANC et condamnation de tous ses membres à restituer tous salaires perçus depuis la fin officielle de leur mandat le 23 octobre 2012 et remboursement de tous les frais inhérents audit mandat;
– Placer ce gouvernement sous une autorité collégiale composée des représentants de la société civile et des hommes politiques chevronnés et connus pour leur vertu morale et leur engagement patriotique,
– Fixer une durée limitée dans le temps à la mission de ce gouvernement;
– Définir des prérogatives claires et strictes à ce gouvernement de haut niveau de compétences absolument indépendants de tous les partis qui aura la charge de redresser le pays avec engagement de ne pas postuler à aucun mandat électif par la suite;
– Destituer le traître Moncef Marzougui et sa traduction devant la Cour martiale pour collaboration avec des puissances tierces, corruption et négligence coupable dans l’octroi des grâces présidentielles, abus de pouvoir, gabegie;
– Arrêter les meurtriers de Chokri Belaïd, de Lotfi Nagga, et Mohamed Brahmi;
– Dissoudre la Ligue de protection de la Révolution;
– Retirer son agrément à la police religieuse,
– Appliquer la loi de 1985 sur les partis politiques pour rendre hors la loi les partis à tendance religieuse à commencer par le mouvement sectaire, antipatriotique et terroriste d’Ennahdha,
– Arrestation de R. Ghannouchi et de tous ses complices pour actes de haute trahison, collusion avec des Etats tiers, mise en état de faillite économique délibérée du pays, proxénétisme aggravé, détournement de mineures à des fins de prostitution en relation avec une entreprise terroriste, création de filières terroristes et actes de crimes de guerre l’Algérie et la Syrie, atteintes graves à la sécurité et l’unité de la nation, incitations et commissions d’actes terroristes en bande organisée, assassinats des soldats tunisiens au Jebel Chaâmbi, dévoiement de l’appareil de l’Etat, actes d’espionnage au profit des groupuscules terroristes, détournement de fonds, corruption, népotisme, dégradation de l’image de la Tunisie, autant de chefs d’accusation et bien d’autres qui doivent leur valoir la Cour martiale,
– Annuler la vente des entreprises publiques cédées au Qatar;
– Faire toute la lumière sur les filières jihadistes et décréter des mesures pénales et civiles à l’égard de tous les tunisiens engagés dans des opérations terroristes de par le monde notamment en Syrie, au Mali et dans le Sud Algérien;
– Démanteler les camps d’entraînement jihadistes en Tunisie;
-Libération de tous les prisonniers d’opinion et de conscience et cessation de toute poursuite contre Amina.
La Tunisie a besoin d’un administrateur-judiciaire, mais qui lui-même a besoin pour le bon accomplissement de sa mission d’avoir les coudées franches mais sous le contrôle de juges consulaires, le rôle que peut tenir cette autorité collégiale , mais sans les anciens dirigeants.
On ne redresse pas une entreprise en difficulté en gardant ses anciens dirigeants, responsables directs de son état de quasi-faillite. Surtout quand les dirigeants en question ont mis la main sur l’entreprise tunisienne suite à une O.P.A. hostile et imprévisible.
Les Tunisiens ont voté pour élire des constituants et non pour doter le payer d’un régime parlementaire de facto, avec un mandat d’un an pour rédiger leur nouvelle loi fondamentale et non pas pour des élections législatives en vue de la mise en place d’un régime parlementaire. Il faut rétablir l’Etat de droit, sans ça c’est la Bérézina que recherche Ennahdha pour s’enraciner ad vitam aeternam dans le paysage tunisien.
L’extrémisme se nourrit du chaos pour exister et se pérenniser
Plan d’action pour sortir la Tunisie du bourbier dans lequel l’a mise Ennahdha
On ne fait pas de la barbarie arabe un modèle de société pour la Tunisie
Le tourisme sexuel halal pour sauver la Tunisie de la pire crise économique de son histoire
Pour les économistes d’Ennahdha, seul le tourisme sexuel halal peut servir de modèle de développement humain et économique pour la Tunisie
L’islam est-il le nouveau péril de notre temps ?
Ce n’est pas en lui léchant les babouches qu’on va contenir les ardeurs velléitaires de l’islam
L’islam protège les droits de la femme comme le nazisme protégeait les droits des juifs et des minorités
Plutôt que de commémorer la journée internationale de la violence faite aux femmes, a on devrait plutôt commémorer les victimes de la barbarie machiste partout dans le monde et tout particulièrement dans les pays musulmans où la femme est réduite à l’état d’esclave, une vulgaire marchandise.
Déjà qu’en France et malgré l’arsenal juridique protecteur des droits de la femme, une femme meurt toutes 60 heures sous les coups de son compagnon. Ailleurs, c’est certainement pire encore.
De telles statistiques aussi morbides ne devraient pas être de cours de nos jours. Mais, il y a des pays où de telles statistiques n’existent pas. Ou quand une femme meurt sous les coups de son concubin(j’emploie ce terme à escient), c’est juste considéré comme un châtiment et qu elle a donc eu ce qu ele mérite parce que la loi de la jungle, en l’occurrence la charia, l’autorise.
Comme elle légitime les brimades, le harcèlement sexuel, la violence corporelle, la lapidation, l’humiliation, bref le harcèlement moral.
Quand la violence est habillée dans le linceul noir du sacré elle ne peut être qualifiée comme telle dans les pays qui appliquent la loi canon de la charia. Une femme acculée au suicide à cause de ses conditions de vie avilissantes et attentatoires à la dignité humaine peut-on qualifier cela de meurtre au premier degré ?
Quand une femme est privée de ses droits humains les plus élémentaires au nom du sacré n est ce pas aussi de la violence morale qui finit par devenir de la violence physique ayant entraîner la mort de quelqu’un qui n’ a plus d autre alternative possible soit la mort soit la prison à vie ?
En définitive, dans un Etat de droit, la condition féminine n’est pas hélas reluisante, alors quid de la condition féminine dans les sociétés de non-droit et de théocratie religieuse ?
Dans les sociétés humaines une femme a les moyens de recours juridique pour agir et se faire accompagner dans ses démarches, dans les sociétés déshumanisées et obscurantistes, vivant sous le poids écrasant de la religion et dominées par le sacré, les femmes n’ont ni de protection juridique ni la possibilité de circuler librement et en aurait-elle la possibilité elles ne pourraient agir sous peine de violer le sacré et de commettre une apostasie.
Conséquence pour la victime, elle devient coupable et le bourreau est blanchi comme le rapporte Touria Tiouli dans son livre Brisée: » Enlevée et violée par trois Emiratis alors qu elle porte plainte, elle se retrouve inculpée de relations sexuelles hors mariage! »
Dans les Etats théocratiques, le violent n est jamais l’auteur de l’acte, qui jouit d’une véritable impunité juridique, c’est toujours la femme qui de statut de victime comme c’est le cas dans les Etats de droit devient coupable.
Il est grand temps que les Nations Unies fassent oeuvrent pour une loi universelle contre toutes les formes de violence faite aux femmes et opposables à tous les Etats membres sans exclusive.
Qu’on en finisse avec l’exception des Etats islamiques dès qu’il s’agit de les faire adhérer aux chartes universelles qui touchent les droits fondamentaux des hommes et des femmes ainsi que les enfants.
Il n’y pas d’islam sans la charia, comme on ne peut pas être musulman et démocrate
Ennahdha n’a jamais gagné les élections, seul Kamel Jendoubi le sait
Les tunisiens qui rêvent de démocratie ignorent qu’en tant que bons musulmans qu’il n’y a de légitimité que pour Allah.