Amina n’a pas discrédité ses soutiens, elle s’est discréditée elle-même en accusant les Femen d’être un faux-nez d’Israël

   
Paraît-il qu’Amina aurait mis sa vie en péril mais seule Ennahdha pourra y réponde.

 
Une question qui doit dissiper cette assertion que l’on doit légitimement se poser pourquoi pour le même délit qui n’en est pas dans un cas comme dans l’autre,  on doit appliquer la même sanction même si elle est attentatoire à la liberté de conscience ?
 
En effet, la justice tunisienne aux ordres d’Ennahdha condamne deux hommes auxquels nous devons apporter tout notre soutien, Jabeur et Ghazi pour athéisme à 7 ans et demi de prison et  laisse Amina quitter la Tunisie en toute impunité alors qu’elle crie à tue-tête qu’elle est athée ? Deux poids deux mesures, ou justice juste à la tête du client. Qui absout l’une et condamne les deux autres.
 
Il s’agit d’une affaire de politique politicienne des bas-fonds islamistes, apparentée à une entourloupe, qui a permis à la secte satanique de faire diversion avant de l’expédier dans une grande kermesse médiatique en France où elle va pouvoir bénéficier d’une bourse d’études qui provient des poches des français dont certains ont des accointances sionistes.
 
Ca devrait plutôt l’interpeller sur l’origine idéologique ou nationale de sa bourse Au sujet de cette fille, c’est une énorme déception pour tous ceux qui l’ont soutenue et moi-même.
 
En l’ayant  soutenue personnellement comme personne ne l’a soutenue comme en témoignent mes nombreux articles publiés sur des dizaines de sites, et qui m’a valu beaucoup d’hostilités et inimitiés de la part de nombreuse personnes tous sexes, j’en garde un goût amer  pour plusieurs raisons :  
-son coup de poignard dans le dos des Femen auxquelles je rends un vibrage hommage pour leur combat contre l’intégrisme  qui sans elles n’auraient pas existée et qui l’ont soutenue au péril de leur propre vie;
-ses accusations grotesques et ubuesques sur l’origine de leur financement non-dénuées de relents antisémites du type « j’ai rien dit mais suivez mon regard et que j’ai été instrumentalisée  à mon corps défendant par Israël », cette ennemie qui hante les nuits des arabes surtout  quand il est absent;
– sa soi-disant désapprobation de leur destruction du drapeau de l’islam, c’est comme si l’islam était une entité nationale  et comme si ceux-là-mêmes auxquels elle apporte son soutien n’ont pas brûlé le drapeau tunisien et pire encore avaient tué et égorgé ses soldats et assassinés des hommes politiques en Tunisie;
– son oubli qui a tout l’air d’être volontaire de publier un communiqué de remerciement à tous ceux qui l’ont soutenue au péril de leur vie comme mon ami Zak Amazigh Ostmane, président-fondateur du Comité algérien de soutien à Amina, et mon amie Mouna Daadouche, journaliste danoise qui a payé de sa personne et sur ses deniers personnels pour faire connaître sa cause auprès des médias scandinaves, voire aux E.U.
 
Un silence méprisant et indécent à moins qu’elle ait des consignes du pouvoir islamiste de snober ceux qui se trouvent aujourd’hui discrédité par son attitude trouble et ses propos choquants et intolérables aux yeux des humanistes que nous sommes.  
 
Une amie me disait qu’à cause d’elle on a perdu 10 ans dans notre combat pour les droits des femmes dans les pays arabes.
 
On a gagné plutôt en lucidité, en vigilance  et en expérience qui ne peut que nous conforter dans  notre foi inébranlable dans la poursuite de notre combat pour les droits des femmes qui sont l’essence et la substance des droits de l’homme. Notre engagement ne s’arrête pas à Amina, il a commencé  avant elle et continuera plus que jamais après elle.
 
C’était une péripétie  dans notre propre parcours et n’avait  jamais été une fin en soi.
 
Un conseil à son entourage, il faut que ses conseillers lui apprennent la retenue et d’éviter de trop s’exposer médiatiquement, sinon elle court à sa perte définitive après avoir perdu son crédit ou tout ou moins celui qu’on lui a alloué, et auquel j’avais donné du sens intellectuel

Si la Tunisie est tombée si bas, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même

 La Tunisie s’enlise chaque jour dans un bourbier inextricable. Elle marche à contre-courant de son histoire.

 Sa révolution censée la propulser vers de l’avant, lui a fait faire en un seul mouvement un bond en arrière de 14 siècles.

En effet, tout indique que l’avenir de la Tunisie est des plus sombres et ténébreux à cause de tous ces hommes et femmes attirés comme des mouches par le miel  de la Révolution tunisienne.

Ils sont à l’origine directe de sa descente aux enfers dantesques.

Depuis leur retour impromptu, obséquieux et insolent, à cause de leur arrogance et  suffisance, n’hésitant pas à adopter une posture d’opposants, alors qu’ils étaient les laissés pour compte de l’ancien régime, ils  se comportent depuis  comme des véritables pique-assiettes,  confisquant les fruits de la Révolution des Indignés en l’ayant détournée à leur profit grâce à l’émaillage de toutes ces instances illégitimes pour le peuple et qui leur avaient permis de s’octroyer une légitimité d’opérette.

En attendant, ils plongent la Tunisie dans la pire crise de son histoire depuis l’invasion des Banu Hillal.

Après avoir profité de l’hospitalité de leurs hôtes occidentaux et de l’argent de leurs maîtres-esclavagistes orientaux et autres, les voilà aujourd’hui en train de se goinfrer sur le dos  du peuple tunisien  opprimé, affamé, et persécuté par l ‘ancien despote et qui continue à l’être encore. Sans  la générosité et hélas la naïveté des tunisiens, ces sulfureux personnages sortis du nulle part un  soir du 14 janvier 2011, ils seraient  encore dans leurs antres  occidentaux tant honnis  et haïs par eux.

Aussi ingrats que veules à l’instar du président-guignol-psychopathe, le locataire très provisoire de CarthageMncef Marzougui , l’homme de paille de R. Ghannouchi qui se rêve en un nouvel Hitler, girouette notoire et félon dogmatique, l’inénarrable et ignoble mercenaire wahhabite et  terroriste jamais repenti couvert de ses immunités canoniques. 

Sachant que certains étaient devenus binationaux grâce aux lois républicaines se font aujourd’hui les farouches adversaires de la binationalité. De peur de se regarder dans leur propre miroir !

 Ils ont tous abusé de la confiance du peuple et trahi l’esprit de sa révolution.

Et à cause de ces rats sortis de leurs tanières pour propager la peste et le choléra en Tunisie, la Révolution tunisienne s’est transformée en un véritable théâtre de Boulevards où des figurants sont devenus des acteurs principaux comme cet opportuniste pathologique de K Jendoubi et le premier sinistre H. Jébali.

Au lieu de concrétiser  les espoirs nés de sa révolution : dignité, travail et liberté, la Révolution des Indignés  a drapé dans les habits de la vertu des individus qui devraient être marqués du sceau de l’ignominie et de l’indignité.

 Leur retour insolent et insultant à la mémoire des victimes du Néron de Carthage n’a fait que précipter le pays dans le fond du gouffre.

Eux qui croient entrer dans l’histoire en touchant le Graal de la gloire laisseront dans la mémoire des tunisiens et des générations futures les traces indélébiles de la honte et de la traitrise à l’exemple des pétainistes en France.

Leurs noms sont désormais synonymes de miliciens-collaborationnistes. 

Ils évoqueront à tout jamais  dans l’inconscient collectif la descente de la Tunisie aux enfers  wahhabites et néo-impérialistes américains.

Leur antipatriotisme est le corollaire de leur nature prédatrice et vorace. Aveuglés et assoiffés par leur soif de revanche sociale, plutôt que politique, ils se comportent en maîtres du pays alors qu’ils ne sont que les esclaves de leurs maîtres. 

 Paradoxalement, ils se caractérisent tous par la  basse extraction sociale et produits de l’ascenseur social bourguibien.

Ils sont tels des caves aigris qui se rebiffent, occupant la première marche du podium, avec des résultats truqués, par la bonne grâce de leurs mentors-protecteurs.

Godillots, laquais, pions, marionnettes, serviles, nervis et pantins, ils  débordent de zèle pour donner des gages à leurs commanditaires afin qu’ils puissent continuer à se complaire dans les beaux rôles qu’ils leur font jouer.

Il suffit de voir ce spectacle pathétique, fade, insolent, indolent, outrecuidant et misérable de K. Jendoubi qui se lamente de désespoir de se voir éjecter de la scène pour en avoir fait trop dans sa mission scélérate de falsification du scrutin du 23 octobre 2011.

En effet, ses donneurs d’ordre lui ont fixé la limite de 20 à 25% pour leur protégée d’Ennahdha, mais pris dans sa frénésie de trop leur plaire, il  l’a servie au-delà de toutes leurs attentes, ayant même failli lui assurer la majorité absolue.  

 Contrariant ainsi  tous les plans des chefs- marionnettistes qui  ne voulaient pas que l’intronisation des islamistes incultes et incompétents  se fassent de manière aussi brutale et précipitée et dans un délai aussi court. 

Ayant programmé  une prise de pouvoir progressive des islamistes afin qu’ils ne se brûlent pas les ailes d’entrée de jeeu, mais K. Jendoubi a confondu vitesse et précipitation, impatient de toucher la prime promise pour ses mauvais et déloyaux services à la Tunisie,  et se trouve malgré lui à projeter Ennahdha sur les devants de la scène. 

 Faisant de cette dernière l’objet des courroux de tunisien, cristallisant rejet et haine. Ce qui n’est pas sans conséquence sur la pérennité politique de la milice tunisienne et une remise en cause de la politique de main mise américaine sur la Tunisie.

Une pièce maîtresse sur leur échiquier de subordination de tous les pays arabes au wahhabisme expansionniste dont ils sont les architectes. 

Résultat pour ce serviteur trop zélé, inconscient et trop complaisant, faux-exilé, son rêve d’ambassadeur s’est évanoui comme un mirage dans le désert arabique.

Les chefs-marionnettistes  américains ont beau simuler et établir des scénarios dans leurs centres d’études, concevoir les stratégies les plus affinées, ils oublient un élément essentiel, la psyché particulière des arabes et leurs facs-similés.

Les impétrants souffrent généralement d’une inconstance psychologique et d’une inconsistance intellectuelle telles qu’ils se veulent toujours plus royalistes que le roi.

A cause de tous ces figurants qui se veulent acteurs alors qu’ils ne sont même capables de tenir le rôle de seconds couteaux, la Tunisie se trouve  ensevelie sous un Tsunami dont dont elle ne s’en remettra jamais.

Les Yankees qui ont été les premiers à prendre le train de la révolution tunisienne dès le soir de la chute de Néron Ben Ali,  ont mis en scène des acteurs-fossoyeurs-prédateurs qui ont -en l’espace de 10 mois- détruit tout ce que le pays a pu construire en 50 ans, voire plus si l’on prend en compte l’amorce de la lutte pour l’indépendance nationale. 

Cette pièce de tragédie grecque avec tous ces mauvais acteurs fait ressembler la scène locale à un film d’épouvante de Frankenstein   où se mêlent l’horreur, le tragique et le comique laissant augurer une issue sombre et angoissante pour le pays surtout avec l’apparition sur la scène aujourd’hui d’une espèce humaine d’origine indéfinie, mi-humaine, mi-animale, à l’allure grise, noire et marron, au visage défiguré par les pulsions de mort et mangé par des barbes drues et pouilleuses. 

Arborant le masque du Belzébuth  wahhabite, sous les ordres de leur chef  de meute, un Gourou illuminé et apostat R. Ghannouchi, véritable maître du pays, qui  ne manque pas une occasion de souffler le chaud et le froid, crachant son poison venimeux sur le peuple tunisien, faisant l’apologie des inégalités sociales, flattant l’ego des riches et déversant son mépris sur  les pauvres.

 Un homme dédouané de tous ses crimes passés et présents  à l’insu du plein gré des tunisiens, traité  comme le grand Emir qu’il a toujours voulu être, déambule sur les plateaux de télévision en exhibant ses crocs acérés  et excités par l’ odeur de la chair humaine dont il était très féru à une certaine époque  voire encore aujourd’hui et qui serait paraît-il le clone vivant d Dr Josef Mangele.

Ils sont tels les escadrons de la mort, avec des femmes couvertes du pied jusqu’à la tête par des capes noires, comme si c’étaient des linceuls dont on couvrait le corps des défunts avant leur mise en bière, qui déferlent dans ses cités et colonisent ses territoires, ceux de ses universités, ses écoles, ses administrations.

 Le pays qui croyait avoir ôté le carcan de la mafia des Ben-Ali-Trabelsi, le voilà plus que jamais enserré dans celui de la mafia de dieu et séides opportunistes sous la houlette de l’Administration américaine.

Les pays arabes sont de tout temps trahis par les leurs : cas de la Tunisie

Ceux qui ont confisqué les fruits de la Révolution tunisienne et qui l’ont détournée à leurs profits n’ étaient pas là pendant la révolution.

Ils se la coulaient douce à Paris et Londres pendant que le peuple tunisien était opprimé et persécuté par l’ancien despote.

Le peuple que sans lui ces gens continueraient encore de profiter des largesses de l hospitalité de leurs hôtes dont certains étaient devenus leurs concitoyens se trouve aujourd’hui le dindon de la farce.

Et à cause de ces êtres venus du néant, la Révolution tunisienne s’est transformée en un véritable théâtre des Boulevards, ou plutôt une descente aux enfers pour la Tunisie.

 Il reste que ce théâtre est d’un très mauvais genre à cause de la qualité des acteurs-fossoyeurs-prédateurs qui mériteraient même pas le titre de figurants et d’employés des pompes funèbres. Un théâtre où se mêlent le tragique et le comique et certainement plus tragique que comique avec l’apparition sur la scène aujourd’hui d’une espèce humaine d’origine indéfinie, mi-humaine, mi-animale, tels des monstres des marais combattus par Hercule, à l’allure grise, noire et marron, au visage défiguré par les pulsions de mort et mangés par des barbes drues et touffues comme s’ils portaient le masque de Belzébuth ou Azraël, l’ange de la mort. 

Ils se répandent dans ses villes et ses campagnes sous la houlette d’un minotaure exhibant ses crocs envenimés et excités par l’odeur de la chair humaine dont il était très féru à une certaine époque où il maniait les bombes et les bouteilles d’acide sulfurique et qui serait paraît-il le clone vivant d Dr Josef Mangele.

Ils sont tels les escadrons de la mort, avec des femmes couvertes du pied jusqu’à la tête des  de capes noires, comme si c’ étaient des linceuls dont on couvrait le corps des défunts avant leur mise en bière, qui déferlent dans ses cités et colonisent ses territoires, ceux de ses universités, ses écoles, ses administrations.

Se faisant passer pour les brigades de la vertu alors qu’ils sont adeptes du culte de Satan, annonciateurs de la Grande Boucherie et de l’Enfer ici-bas.

 

Maudite religion qui appelle au meurtre des libres-penseurs

J’ai bien compris que si je veux crédibiliser mes articles et avoir l’honneur des sites tunisiens et des sites musulmans je dois faire le zélateur  de l’islam et mettre un bémol sur ses dérives violentes et sa conduite immorale.
Et ça jamais, plutôt perdre mon âme que de faire le laudateur d’une religion qui est  la cause première de tous nos tourments et qui fait de la haine de l’autre un article de foi.
Quand on censure la pensée c’est bien  la preuve que les musulmans sont intolérants à la liberté quelle qu’elle soit. Le mot liberté, hourriya, est récent dans la lexique arabe, il se confond phonétiquement avec houria, la vierge promise par Allah à ses vaillants combattants, autrement dit ses terroristes genre Ben Laden, Ghannouchi et Ali Larayedh.
Ils préfèrent les meurtriers qui tuent au nom de l’islam que d’entendre des voix divergentes de la leur.
Mentir est une vertu chez eux, dénoncer les dérives criminelles  et l’imposture de l’islam est un sacrilège.
Les tunisiens sont-ils sortis de chez eux pour dire stop à la violence et condamner la tuerie sauvage de Jébal Chaâmbi ? Non, ils ont fêté leur funeste Aïd comme si de rien était.
J’aurais insulté leur prophète autoproclamé, un acte indigne de ma personne, ils auraient crié vengeance et appelé à réparer l’offense faite à cet homme plus Allah qu’Allah lui-même. 6 mois de prison pour blasphème et 7 ans de prison pour offense au prophète. Ce qui se passe de tout commentaire.
De même que trahir la patrie tunisienne pour défendre l’ignoble cause de l’islam en Syrie, comme inviter les américains à créer des bases militaires en Tunisie voire la création de camps d’entraînements terroristes, cela fait de vous un héros,  défendez-la  et vous êtes un taghout comme nos  pauvres  soldats égorgés par Ennahdha et vous êtes un héros.
Maudite religion qui condamne les hommes qui ne tuent pas et qui exhorte au meurtre des patriotes et qui glorifie et récompense les assassins, les terroristes et les criminels oeuvrant pour son compte.

L’Occident et sa manie maladive de soutenir les forces obscurantistes musulmanes

La Tunisie est e train de tomber inexorablement dans les mailles du filet acéré et envenimé du wahhabisme qatari arrogant, méprisant,  schismatique, liberticide, obscurantiste, colonistateur, barbare, ultra-réactionnaire, terroriste, négateur de la vie humaine, avilisant, corrupteur, hérétique, impérial et régressif.
 
Ne nous laissons pas abuser par les propos lénifiant de ses affidés locaux qui sont payés pour assurer sa promotion auprès de la population tunisienne, comme Zidane quand il s’est mis au service payant pour faire du lobbying sportif au profit du Qatar dans le cadre de sa candidature à l’organisation de la coupe du monde de football, le Qatar qui n’est pas une ONG humanitaire poursuit un seul et unique objectif: wahhabiser les sociétés arabo-musulmanes par tout moyen et la première étape de sa politique hégémonique sous contrôle de ses tuteurs américains est la Tunisie.
 
Il cherche à en faire la nouvelle vitrine du wahhabisme triomphant qui passe par sa vassalisation comme il le fait actuellement en France avec le P.S.G. et dans les ghettos islamisés franciliens sous couvert du mécénat entrepreneurial. Le Qatar se sert des outils de communication moderne, il ne néglige aucun support ou véhiculaire publicitaire pour faire sa promotion et soigner ainsi son image. 
 
La Tunisie se trouve être la clé de voûte de sa politique de vassalisation politique et idéologique des sociétés arabisées et dont dépend la réussite de son plan.
 
Elle est pour eux ce laboratoire d’expérimentation idéologique auquel les  Américains  sont très attentifs dans la mesure en tant que partenaires et le véritable stratège de cette politique ils cherchent à faire du recyclage politique des islamistes en les drapant des habits du pouvoir pour les neutraliser et sécuriser ainsi leur propre territoire et indirectement la pérennité territoriale d’Israël. 
 
Qui peut mieux que la principauté-confetti du Qatar fort de son argent noir, de sa proximité confessionnelle avec l’Arabie Saoudite et de ses réseaux locaux dont  elle finance les actions politique et caritatives sur le terrain  pour aider son protecteur américain à faire aboutir son nouvelle stratégie géosécuritaire de lutte contre le terrorisme islamique ?
 
D’autant plus que le Qatar ne souffre pas d’un déficit d’image comme cet autre dominion américain qu’est l’Arabie Saoudite protectrice militaire de surcroît du Qatar ?
 
Le deux pays vivent sous une double  menace des chiites  tant à l’intérieur de leurs frontières qu’ à l’extérieur et dont la survie dépend essentiellement des Américains.
 
D’où leur intérêt stratégique crucial pour les américains, parce que si cet édifice qatari-saoudien s’écroule cela provoquera un effet domino dont les effets se feront sentir sur tout le monde islamisé et en premier lieu le monde arabisé et qui ne sera pas sans conséquences sécuritaires pour l’Occident déclinant et dont justement les E.U. sont le fer de lance militaire comme on l’a vu lors de la guerre néocoloniale en Libye sponsorisée par le Qatar et encouragée par l’activisme diplomatique saoudien. 
 
La Tunisie du fait de sa position géostratégique et géopolitique, symbole malgré elle de ce printemps arabe, qui est en réalité le printemps américano-wahhabite dont le but est d’abord de sécuriser le territoire américain indissociable de la survie de ses alliés wahhabites.
 
Pour ce faire, au lieu de créer un bunkariser les frontières, autant aller les sécuriser aux sources même des foyers d’incendie géolocalisés dans le monde arabisé.
 
D’où la nécessité absolue  de la wahhabisation systématique des sociétés arabisées. Wahhabisation rime avec sécurisation des territoires occidentaux et pérennisation du Qatar et de l’Arabie Saoudite.
 
Au lieu de mener la guerre au terrorisme incarné par les islamistes, autant faire des islamistes qui sont idéologiquement inféodés au wahhabisme et donc naturellement les vrais sujets du wahhabisme expansionniste les acteurs politiques privilégiés.
 
En résumé, la proximité idéologique entre les salafistes, les islamistes, les jihadistes et les wahhabites est une aubaine incommensurable dans le cadre de la nouvelle stratégie géosécuritaire américaine.
 
PS Article écrit au mois de décembre 2011

Vous rêvez d’islamiser le monde, commencez par humaniser votre foi et vous aurez gagné l’estime de tout monde

Nous  préférons notre enfer sur terre plutôt que votre paradis illusoire dans l’au-delà !
Nous en avons marre de vos histoires à quatre balles et de votre folie meurtrière.
Vous n’aimez pas la vie, elle non plus ne vous aime pas.
Allez baver votre poison haineux ailleurs que sur notre terre.
Vous n’y êtes pas à l’aise, faites comme les adeptes du Temple Solaire.
Nous avons choisi la vie et vous avez choisi la mort comme mode de vie.
Vous avez fait de la terreur votre seule raison d’être et de vivre.
Nous vous disons basta, votre cirque infernal a trop duré.
Vous voulez notre mort et c’est la vôtre que vous écrivez.
Vous ne vous aimez pas vous-mêmes, nous nous n’avons guère envie de vous aimer.
Vous vous êtes trompés de planète, la nôtre ne sera jamais la vôtre.
Vous voulez en faire notre calvaire, mais elle sera pour vous votre tombe.
Vous avez la plus belle religion au monde, mais nous nous avons la plus belle vie au monde.
Notre délivrance sera le jour de votre disparition de cette terre.
Nous serons jamais des vôtres, comme vous ne serez jamais les nôtres.
Nous sommes des humains et vous êtes des mutants.
Vous avez renoncé à votre humanité car vous avez peur de vous-mêmes.
Nous avons le courage de nous regarder dans notre miroir.
Vous avez honte de vous-mêmes voilà pourquoi vous voilez la face .
Vous voulez nous imposer votre mauvaise foi, notre monde sera votre tombe.
Nous n’avons ni haine ni compassion pour vous, car vous êtes fermés à tout sentiment humain.
Vous ne changerez jamais notre monde, car sera la fin de votre monde.

Il n’y a pas pire que la justice d’Allah sans morale ni éthique

 
La justice humaine a condamné en 2011 un californien à 10 ans de prison pour avoir violé son chihuahua avec interdiction de rapprocher des enfants et la justice canonique type tribunaux somaliens ou afghans appliquant  la charia l’auraient relaxés  et aurait ordonné l’exécution par lapidation du petit chien pour avoir séduit son maître en conformité avec les lois de l’islam sur la zoophilie.
 
La justice humaine semble dans beaucoup de situation être plus morale et plus juste que la justice que le sommes veulent faire croire qu’elle est divine. 
Comme si Dieu avait écrit et consigné ses lois dans un code pénal connu et interprété que par eux seuls.
 
Il faut que Dieu y remédie en promulguant des lois interdisant la nécrophilie, la pédophilie, la polygamie de manière expresse, la lapidation des femmes, l’endoctrinement précoce des enfants véritable agression psychique, la zoophilie etc…
Qui peut dire que l’homme en démocratie n’est pas capable de combler le vide laissé par dieu ?
Question de bon sens, de discernement et de perspicacité tout simplement. Tout cela n’est que sacrilège aux yeux de l’islam.
 
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L’extraordinaire bilan de la secte du visage de la barbarie humaine d’Ennahdha

 

Le bilan d’Ennahdha est extraordinairement brillant inédit dans toute l’histoire universelle.
 
Les tunisiens peuvent s’enorgueillir d’avoir réussi en un temps record de passer de l’histoire à l’ère de paléontologue.
 
Pour s’en convaincre, il suffit de l’ausculter avec des lunettes épaisses en verre trempé noir pour le constater
 
Aucun peuple au monde ne peut en dire autant ce qui va rassurer l’ego tunisien qui veut que la secte du visage de la barbarie humaine d’Ennahdha aille plus en avant dans sa marche-arrière toute. 
 
Il n’y a que les incrédules, les non-voyants les vrais, les jaloux , les envieux, les jaloux, les ennemis de la Tunisie, les clairvoyants et les lucides qui ne voient pas le haut niveau des performances des réalisations d’Ennahdha.
 
Contrairement aux égyptiens qui ont cassé cette belle dynamique impulsée et orchestrée par leurs  hominidés  descendants directs de Toumaï et non du prophète autoproclamé et de ses sulfureux compagnons, les tunisiens s’accommodent parfaitement de leurs hominidés auxquels ils réclament toujours plus d’excellence et d’efforts herculiens, eux qui n’ont jamais conjugué le verbe travailler à la première personne du singulier, mais pour les tunisiens étant des hommes élus par Allah et bénis par son prophète, ils sont capables d’arriver à bout de leur pharaonique chantier pour  marquer le retour définitif de la Tunisie dans la préhistoire.
 
Médaillés d’or olympique sur dans la discipline  du terrorisme pour les hommes et médaillés d’argent olympique dans la discipline du djihad du nikah, se prostituer pour Allah afin d’apporter du réconfort sexuel à ses djihadistes-terroristes, les tunisiens sous la direction de leur nouveau coach le sous-hominidé R. Ghannouchi adulé comme s’il était le fils de Satan, espèrent glaner des nouvelles breloques  et réaliser des exploits  qui marqueront l’histoire jusqu’à la nuit du temps.
 
Un peuple de sa stature ne peut se contenter de deux  médailles olympiques dans la compétition farouche et  impitoyable qui l’oppose à ses frères somaliens, afghans, soudanais sous le haut patronage  bicéphale qatari-saoudien, il veut enrichir son palmarès et tout truster surtout que ses opposants ne semblent guère faire le poids.
Grâce à on coach R. Ghannouchi, il veut toucher son Graal  d’un peuple de l’histoire à un peuple de la préhistoire.
 
Avec toutes multitude de disciplines olympislamiques qui viennent de faire leur apparition  en Tunisie et dont il est redevable à l’esprit d’innovation et à l’ingéniosité des sous hominidés paléontislamistes, il n’y que sa secte du monde des ténèbres qui peut l’aider  à monter sur la première marche du podium dans les nouvelles épreuves olympiques certifiées 100% halal qui sont son passeport pour la préhistoire voire la protohistoire.
 
Ci-après la liste non-exhaustive des épreuves initiées par la secte et qui ont valeur de bilan : l’excision, la polygamie, le djihad, la destruction des mausolées, la profanation des cimetières, les épidémies du malaria au choléra  en passant par la grippe aviaire, le djihad du nikah (sexe),  le salafisme, le wahhabisme, le viagra à gogo, le sexe à tire larigot, le viol faisant de la victime coupable de son propre viol, , l’antisémitisme, les appels au meurtre,  la pédophilie, les procès en sorcellerie, l’apostasie, le terrorisme, le Qatar, la Palestine, l’endoctrinement, la prédication, la zizanie,  les atteintes aux emblèmes nationaux, la félonie, la perte de la souveraineté nationale,  l’esbroufe, les assassinats politiques, la pédophile, les rapts, les razzias, l’intolérance, la haine de l’autre, l’obscurantisme, le cannibalisme, la cruauté, l’égorgement, le rançonnage, la corruption, le népotisme, l’abus de pouvoir, le mélange des genres, les conflits d’intérêts, le favoritisme, les arrestations arbitraires, l’impunité des criminels, les violations des appels d’offres publiques, le racket  d’Etat la marche-arrière toute, l’assujettissement aux arabes, la bouffonnerie, la consommation des psychotropes,  que des belles performances déjà et dont le mérite revient à la secte  dont certaines sont le vrai visage de l’islam du temps de Mahomet qui semble plutôt être temps qui relèverait de la paléontologie.

L’islam est bien la religion la plus violente et mortifère jamais donnée à l’homme

          Zéro attentat  terroriste en Irak au temps de Saddam qui apparaît de plus en plus aux yeux des irakiens comme leur âge d’or malgré la réputation tyrannique de leur ancien Raïs.
Plus de 120 000 morts et des centaines de milliers de blessés  depuis sa chute et des dizaines de milliers d’attentats dont sont l’objet majoritairement les chiites qui sont  à mettre  essentiellement à l’actif des sunnites qui appliquent à la lettre les prescrits de l’islam
Une question, une seule pourquoi tue-t-on à ce point au nom de l’islam ? Celui qui dit que l’islam est étranger à cette boucherie doit savoir que le Coran offre les conditions propices à la terreur dont il fait son premier pilier et offre le paradis et univers de débauche, de beuverie et de luxure à tous ceux qui traduisent par les actes le message du prophète autoproclamé qui était loin d’être lui-même un modèle de non-violence, qui avait fait du glaive la clé de voûte pour y accéder.
Une question, une seule qui s’adresse aux musulmans qui affublent l’ogre musulman du masque de la belle au bois dormant si le Coran avait explicitement condamné la violence dans toutes ses formes et l’avait rendue illicite et synonyme de bûchers de l’enfer est-ce que la violence serait-elle devenue aujourd’hui le symbole de l’islam, ou tout au moins serait-elle accolée à ce point à l’image de l’islam ?
S’il l’avait déclaré comme un péché mortel et promettait les pires châtiments  à ceux qui volent la vie des innocents et qui s’acharnent sur les corps sans vie de leurs victimes est-ce  que les musulmans fanatiques  auraient accompli leurs forfaits en toute liberté dogmatique ?
C’est l’impunité théologique que leur  procure l’islam et son encouragement à emprunter sa voie pour propager, sévir, terroriser, et imposer son message qui la rend légitime.
Une religion non-violence ne recommande pas le meurtre des non-musulmans et condamne à mort ceux qui veulent l’abjurer, ni n’appelle pas à faire couler le sang des impies.
Une religion qui se veut être une loi équitable  pour tous, ne doit pas racketter pas les juifs et les chrétiens s’ils veulent avoir la vie sauve et ne leur octroie pas le statut de dhimmis, une sous-espèce humaine digne du statut des non-aryens dans les années 30 en Allemagne nazie.
A  supposer que le Coran n’en soit pas la source pour ne pas froisser la susceptibilité des musulmans dont la colère latente peut se transformer en volcan en éruption balayant tout sur son passage, aucun des pays musulmans qui appliquent fidèlement les lois canoniques, la charia, ne sont un modèle de non-violence et d’humanisme. Ils sont plutôt un crématorium pour les droits humains.
Tous ces pays accordent une véritable immunité aux violeurs, innocentent les pédophiles et blanchissent les pères incestueux et les maris bourreaux et maîtres de la vie de leurs femmes.
Dans aucun pays au monde, on aurait élu des terroristes qui n’ont de surcroît pas fini de répondre de leurs actes devant  la justice humaine sauf dans les pays musulmans à l’exemple de la Tunisie où il avait suffi à ces criminels de couvrir leurs actes d’un verni religieux pour que le peuple les absolve de leurs forfaits.
Tant que la violence criminelle est accomplie sur le sentier d’Allah personne ne peut s’en faire juge sauf Allah lui-même.
Ben Laden est un héros aux yeux des masses musulmanes, les humanitaires sont maudits.
L’islam ne prône pas l’amour de son prochain indépendamment de sa foi ni d’ailleurs l’amour des musulmans entre eux au vu du jeu de massacre qu’ils se livrent quotidiennement entre eux, il prescrit  la violence raciste et antisémite  pour en faire un dogme religieux telle que la définit le Coran qui assimile les juifs à des singes et les chrétiens à des porcs.
 L’islam n’est pas victime des excès de violence des musulmans, il en est l’instigateur et le commanditaire. Il conditionne théologiquement, idéologiquement et psychologiquement ses fidèles.
Sans aucun doute l’islam est la seule religion au monde qui offre une prime à ses croyants qui tuent en son nom. Il pousse au meurtre et le sanctuarise.
Bientôt le monde musulman  sera envahi par la violence à l’irakienne qui finira par l’ensevelir.
A force de diffuser le poison de la violence, l’islam tel un scorpion périra de son propre poison.
Et s’il est instrumentalisé par ses ennemis, c’est parce  que le terreau musulman s’y prête, qu’il leur suffit juste d’y réinjecter les propres  germes de l’islam afin d’exploiter cette substance organique pour en faire une arme autodestructrice pour les musulmans.
L’Occident sait mieux que quiconque que pour abattre l’islam, il faut accélérer l’état de dépérissement de ses cellules cancéreuses.
Qu’est ce qu’il y a de plus aisé que d’attiser le vent de la haine et de la discorde meurtrière  chez un ennemi qui entretient un rapport nihiliste et suicidaire  avec sa propre vie ?
 L’Occident ne fait qu’utiliser les cartes prises dans le jeu de son ennemi.
Sa force est la faiblesse de cet ennemi déchiré, divisé, émietté, désuni, complètement désorienté, sans capitaine, angoissé par les tourments de la tombe, obsédé sexuel, dépourvu de principes moraux,  sans savoir-faire ni savoir,  fantasmant sur le monde des ténèbres, ergotant depuis 1434 ans sur le nombre des houris promises par Allah, seront-elles des mutantes ou des humaines ?
On ne peut diaboliser un adversaire futé et qui a l’art de s’engouffrer dans la brèche béante ouverte dans le mur poreux de cet ennemi qui avance à contre-courant de l’histoire qui fait de la violence la voie de la félicité, comme on ne peut pas lui faire un procès en inquisition pour avoir attisé le vent de la haine endogène entre les musulmans, sunnites-chiites  et les sunnites entre eux. divisés en obédience et en sectes au point que le monde musulman est devenu un véritable capharnaüm livré à des meutes de loups avec des apparences humaines qui ne connaissent comme pouvoir que celui de la force destructrice et négatrice de la vie humaine.
Le monde musulman est à l’agonie et c’est lui-même qui écrira ses derniers mots de la fin.
Inconscient qu’à force  d’exalter la violence comme si elle était le salut des âmes de ses fidèles , il creuse sa tombe de ses propres mains.
Toutes les idéologies qui ont fait de la violence un modèle de société humaine sont mortes de leur propre mort.
L’islam n’y échappera pas non plus s’il ne s’apaise pas et se pacifie. Ce dont il est douter car il est intemporel et irréformable.
Il doit savoir qu’n corps humain où prolifère une gangrène est condamné à une mort inéluctable, de même que pour le corps musulman si les  musulmans ne font rien pour l’extraire  des sources de leur foi  qui sont les racines de leur mal.
Ils se doivent de s’amputer de cette nécrose qui est en train d’évoluer s un cancer à l’état de métastase rendant tout espoir de guérison impossible.
Ils doivent dépouiller le coran de ses versets racistes, sexistes, inégalitaires et antisémites, cesser  de prendre le prophète comme un modèle de vertu alors que son comportement et ses idées sont des plus immondes et immoraux, le mettre en adéquation avec les exigences de la paix internationale et le respect absolu de la vie humaine, analyser son éligibilité dans les sociétés démocratiques, en partant du principe que si Allah est lui-même vérité comme il l’affirme sans pouvoir le démontrer et qu’il aurait créé les hommes à son image, qu’il accepte alors que sa vérité fasse l’objet de confrontation avec d’autres vérités d’origine humaine.
Si l’on s’en tient à la  seule vérité enseignée par le coran qui ne tolère aucun doute  est que l’humain est né pour tuer l’humain différent de lui  s’il veut bénéficier des faveurs de son créateur.
Que les musulmans comprennent que toute vérité quelle qu’elle soit qui se refuse à l’examen d’une autre vérité est qu’elle n’est pas elle-même vérité.
Une vérité non confirmée  continuera à être sujette à caution et frappée de suspicion.
De la même façon qu’ils font de leur coran une vérité absolue, ils doivent admettre une autre vérité aussi absolue : l’islam et la terreur font bon ménage.

Si Israël n’avait pas existé le monde musulman l’aurait inventé pour en faire le bouc émissaire de ses maux endémiques

 

Qu’Israël fomente des complots contre le monde musulman et alors ?
 
C’est la preuve que les musulmans et notamment ceux qui les gouvernent sont des bons à rien et sont incapables d’en faire autant.  Ce n’est pas un honneur de faire de l’autre son bouc-émissaire ni de lui servir de pion et encore d’avouer son état de faiblesse mentale.
 
Par conséquent, ce n’est pas le procès d’Israël qu’il faut faire, à supposer que tout ce qu’on raconte c’est vrai, ce dont il est  douter  car ça sert surtout pour nourrir la haine du juif dont Israël n’est qu’un alibi, c’est le procès du monde musulman qu’il faut instruire sur son incapacité d’accéder au monde adulte et de rejoindre le train de l’histoire. 
 
Comme on ne peut pas juger un malade en l’occurrence le malade musulman,  atteint de graves troubles de confusion mentale, sujet à des crises récurrentes de paranoïa aiguë  qui souffre d’altération profonde de ses facultés de discernement, on doit  le déclarer  médicalement irresponsables de ses actes et  de le faire interner  dans un méga asile et ce n’est pas la place qui manque dans leurs aires désertiques, parce qu’il  est  un danger pour lui-même d’abord et un vrai danger pour l’humanité ensuite.  
 
Capable d’entrainer  le monde dans une nouvelle boucherie, lui qui baigne dans le sang humain au quotidien, vouant un véritable culte à la mort et dont les doctes de sa foi enseigne le cannibalisme et la façon dont il faut pratiquer la double-mort sur la victime, soit crucifier-décapiter soit abattre et égorger.
 
Il est plus que jamais urgent de mettre le monde musulman en quarantaine et surtout ses dirigeants est une mesure d’hygiène publique et de salubrité internationale. Voire au besoin mettre sous tutelle internationale ceux des musulmans qui ne sont pas lourdement atteints.
 
Leur obsession passionnelle de retourner vivre dans le passé qui n’est pourtant pas le leur, celui de leurs colons auxquels ils s’identifient comme s’ils étaient leurs pères géniteurs,  et faire resurgir de la mémoire défaillante de leur histoire un ignoble passé illusoire et apocryphe incarné par un passé tout aussi ignoble de leurs aïeux (salaf) imaginaires,  est symptomatique d’une pathologie psychique incurable.
 
Comme on ne prête qu’aux riches et aux plus intelligents que soi Israël n’a pas à rougir d’être affublé du titre de chef-marionnettiste d’une masse de gens qui tourne le dos à l’avenir pour prendre le passé en pleine figure. La honte c’est de se faire passer pour l’éternelle victime du complot juif.
 
La même rengaine depuis 1434 ans et ce n’est pas fini. Ils sont restés figés au VII e siècle, l’époque où les juifs et les chrétiens furent chassés d’Arabie, leur horloge aura toujours 1434 ans de retard sur le reste du monde.
 
 

Et si la Syrie devenait demain la tombe de l’Occident

 

 
Une frappe chirurgicale sur la Syrie sans mandat des Nations Unies, voilà ce que propose F. Hollande dont la priorité n’est pas la France, de peur que les russes ne leur fasse barrage.
 
Mis  en ouverture du spectacle syrien par le grand ordonnateur  Obama à l’engagement pro islamiste qui ne fait plus l’ombre d’un doute, , comme il l’a fait avec Sarkozy et Cameron lors de l’épisode libyen.
 
En l’état actuel de le groupe d’experts onussiens aussi douteux que la coalition syrienne composée de terroristes de 83 nationalités censés promouvoir la démocratie en Syrie semble avoir beaucoup de difficultés sur le terrain pour entamer ses investigations.
 
Nul doute que le futur Etat syrien auquel l’Occident appelle de tous ses vœux écartant ainsi toute possibilité d’une issue politique à la crise syrienne, si jamais le régime actuel est vaincu, déclarera  hors-la-loi la charia et renoncera à faire de l’islam la religion pour tous les syriens.
 
Autant croire aux vertus humanistes de Pol Pot que d’imaginer la coalition syrienne veiller à la pérennité de la mosaïque et ethnique et multiconfessionnelle de la Syrie. Si la digue syrienne saute, ce sera un Tsunami sur toute la région qui n’épargnera aucun pays, y compris l’Egypte, Israël et la Jordanie qui refuse de servir de base-arrière à d’éventuelles attaques contre la Syrie.
 
Le casus belli initié par l’O.T.A.N. est du même acabit que ses prédécesseurs irakiens, afghans et libyens pour des résultats catastrophiques pour les populations. Incapable de fournir pour l’instant la preuve formelle et irréfutable quant à l’utilisation des armes chimiques par le régime syrien  ou tout au moins il se doit en toute logique  attendre la fin du résultat de l’enquête en cours, voire une contre-expertise à la demande du régime syrien, l’O.T.A.N. est pris dans un tourbillon belliciste où la fin justifie les moyens.
 
Une opération qui a tout l’air d’un coup monté, une entourloupe, un bluff, « un faux pavillon » ou false flag, avec son empressement suicidaire à en découdre et surtout  dont la finalité est deservir de parapluie aérien à des mouvements terroristes qu’ils combattent officiellement en Afghanistan et au Mali  et qu’ils sont prêts leur fournir les armes d’attaque, qui ne manqueront pas un jour de les employer contre eux, comme lors de l’éclatement de la Yougoslavie et l’agression multipartite sur la Libye.
 
Mais comme leur grosse couleuvre a du mal à passer auprès de leur propre opinion publique à moins que ces gouvernements des bruits de bottes et du verbiage martial ne cherchent à tromper la vigilance des alliés indéfectibles de la Syrie, ils allèguent  le but  recherché  n’est pas de changer le régime de Bachar.
 
Des intentions évidemment des plus loyales, désintéressé  et obéissant à des considérations humanitaires qui peuvent ainsi donner une morale à leur droit autoproclamé à l’ingérence,  afin de légitimer une intervention militaire qui pourra avoir un effet de boomerang sur eux et prendre les allures d’un nouveau Stalingrad pour l’Occident.
 
Le vrai but inavoué  est de détruire les capacités militaires  du régime de Bachar pour qu’il il tombe de lui-même comme une feuille morte au profit de la multinationale du crime djihadiste qui passe pour être un modèle de respect  de la vie humaine. Ils s’imaginent peut-être que Bachar qui n’est ni Sadam ni Kkadafi n’a pas les moyens de sa riposte, et que les Hezballah et l’Iran vont rester à regarder le spectacle sans y apporter leur contribution au feu du Bengale qui va immanquablement embraser la région.
 
Quant aux russes, ils n’ont pas la même mémoire courte et ils ont toujours la vengeance tenace.
 
Les gesticulations hystériques de la Troïka de l’O.T.A.N. Obama, Hollande et Cameron qui tout en laissant augurer un projet velléitaire et aventuriste sont aussi des contre-feux pour masquer leurs échecs économiques respectifs. Ont-ils les capacités financières de joindre les actes à la parole ? A moins que le Qatar et l’Arabie Saoudite ne soient pas leurs commanditaires dans la mesure où ils rêvent de wahhabiser toute la région avec l’aide active de l’Occident.

Ennahdha ne quittera le pouvoir qu’au prix des larmes et du sang des tunisiens

Pour recouvrer sa dignité, sa liberté et son indépendance la Tunisie ne peut faire l’économie d’un bain de sang, surtout que les prémisses ont commencé à germer depuis le 17 décembre 2010.

Qu’on le veuille ou non, tous les ingrédients sont réunis pour que la marmite sociale et politique explose, pire qu’au temps de Ben Ali.

Il est utopique de croire que la Tunisie retrouvera le chemin de sa tunisianité par la magie des urnes. Croire en cela, autant croire aux vertus humanistes des djihadistes musulmans qui répandent la mort en Syrie. Ce sont en plus les mêmes auxquels les tunisiens sont confrontés.

Cet ennemi ne connaît des règles de jeu démocratiques que le sang qu’il fait couler et les organes éviscérés.

Devenu maître absolu de la Tunisie en ce jour funeste du 23 octobre 2011, il ne va pas renoncer démocratiquement à ce qu’il considère être son butin (sa ghanima) pour se plier à la volonté populaire qui est un véritable sacrilège à ses yeux.

Pervers, retors, cruel, sanguinaire et fasciste, il s’est servi de cette volonté juste pour atteindre les objectifs de la mission dont il se prétend investie, aujourd’hui que la victoire est acquise, seul Dieu peut la remettre en question.

Par conséquent seul Dieu peut lui reprendre ce qu’il lui a donné comme prix de son triomphe sur le champ de bataille. Une victoire chèrement où elle avait dépensé des sommes folles pour corrompre les électeurs qui participe au rayonnement de la religion et à l’édification du royaume de Dieu ne peut qu’être que définitive et irrépressible.

Aucune hypothèque ne doit la grever, elle est désormais la propriété de Dieu dont il se veut l’ayant droit privilégié, le gardien de ses institutions et son porte-parole attitré.

Son triomphe électoral  qui était au-delà de ses propres attentes  très résultant de la plus grande arnaque électorale de tous les temps, au goût pourtant mortifère et nauséabond le conforte malgré tout dans sa conviction de ce que Dieu a béni ne va pas maudire.

Les irrégularités et les fortes suspicions de fraudes massives  qui pèsent sur ce scrutin et rendues publiques par son bras armé électoral Kamel Jendoubi ne sont qu’une péripétie sur la voie qu’il est en train de baliser pour l’instauration d’un ordre divin sur terre impulsé par son bailleur de fond qatarien.

Sur le sentier de Dieu tout est permis. Il n’y a pas de règle de bonne conduite à observer, ni de comportement moral à adopter, seule la fin justifie les moyens.

Son action est conforme aux préceptes de la foi musulmane où tous les coups sont permis pour faire triompher les idéaux de l’islam.

C’est pour Allah qu’elle agit et c’est lui qui a rendu sa victoire possible. Prise dans son tourbillon de délires cosmiques et messianiques, elle se sent au-dessus de la mêlée humaine, elle se veut plus ange que démon.

Inébranlable dans ses convictions et trop sûre de sa force et de la justesse de son combat, elle est convaincue que qu’elle est le bien qui combat le mal.

Et si elle-même en commet, c’est un mal nécessaire qui se justifie amplement dans la mesure où pour elle on ne peut combattre par le mal l’esprit du mal incarné par ses ennemis, tous ceux qui ne sont pas dans son moule.

Quand bien même ses excès de conduite, son esprit malin et ses dérives morales heurtent l’ordre moral de ce qu’il appelle les mécréants.

Murée dans ses certitudes  qu’elle détient son pouvoir de Dieu lui-même, rien ne peut la vaincre. Portée par une force invisible et puissante, elle se sent invincible, omnisciente et omnipotente, comme si elle était Dieu lui-même.

Parée de ses vertus, elle considère que toute attaque contre elle est bien une offense faite à Dieu, parce qu’à travers elle c’est Dieu lui-même qui est visé.

En sa qualité de dtentrice du pouvoir divin, elle ne peut que se montrer intransigeante et inflexible à l’égard des téméraires et les insolents qui la contestent et veulent la démystifier comme feu Chokri Belaïd abattu  par des hommes ce main d’Ennahdha,  qualifié de mécréant pour légitimer son meurtre.

Tout ce qu’elle fait est l’expression de la volonté divine et que seul Allah peut la déposséder de ce qu’il lui a accordé aux termes d’un combat de haute lutte depuis l’époque où elle s’appelait al jamaâ islammiya, groupuscule universitaire dans les années 70.

Peu importe le calice tant qu’on a l’ivresse. Même si le breuvage est frelaté, elle s’enivre de  sa victoire frappée du sceau de l’infâmie.

Elle sait qu’elle ne la doit pas à elle-même mais surtout grâce ou à cause de la cupidité de certains, de la complicité de l’I.S.I.E., de la trahison et l’antipatriotisme d’une frange de la population tunisienne qui a vendu son âme pour un vulgaire billet de 10 DT, la promesse d’un mouton et une place au paradis.

Ennahdha a profité de la désunion et de la guerre des egos au sein l’ex opposition d’opérette de Ben Ali qui  a fait preuve d’une incurie politique rare, d’un manque d’engagement patriotique flagrant, sans boussole ni carte qui lui a ouvert le grand boulevard de la victoire, en laissant réngner en maîtresse du jeu politique comme un seigneur règne dans son domaine.

Cette victoire que l’I.S.I.E. et pas seulemrnt lui a servie sur un plateau couvert des cendres de la Tunisie ne peut lui être arrachée qu’au prix de ses propres cendres.

 

Il n’y a pas de crime à défendre Jabeur Mejri et Ghazi Béji, le crime c’est la peur de l’islam pour les défendre

 

Salem Benammar
Tunisiennes, tunisiens : faites donc comme Jabeur Mejri et Ghazi Béji et évadez-vous de votre Golag musulman
Deux tunisiens qui revendiquent leur liberté de conscience dans le strict respect des lois internationales sont condamnés à la réclusion criminelle, jugée  comme un crime pour l’islam dont ses partisans atteints de cécité mentale  vantent son humanisme et sa tolérance, tandis que des terroristes et des vrais traitres  tels Ghannouchi, Lareydh, Jébali, Dilou et tous les autres profitent de l’immunité judiciaire,  de la  protection  officielle pour leur sécurité alors qu’ils mettent le pays à feu et à sang  queainsi des largesses de la république tunisienne . C’est ça le vrai sens de l’Etat musulman et la justice à géométrie très fluctuante.
 
Tue au nom de ta foi et la gloire te tend les bras, fais ce que te dicte ta conscience d’homme non-aliéné à l’islam  sans préjudice pour autrui et la glaive de l’islam te tranchera la gorge. Si tu t’aliènes à l’islam t’es un homme libre, si tu t’y refuses au nom de ta liberté de conscience, voire faire jouer une clause de conscience, t’es un homme mort.
 
En attendant Jabeur Mejri et Ghazi Béji risquent leur vie pour leur liberté dans l’indifférence totale des tunisiens que j’espère pour eux qu’ils n’auront pas à le payer de leur propre vie pour complicité avec Ennahdha qui applique le vrai islam.
 
Et ceux qui en doutent, qu’ils fassent un test de simulation en revendiquant leur droit à épouser des valeurs non estampillées musulmanes pour évaluer le degré de tolérance de leur religion. Il est à craindre qu’ils seraient morts avant  de prononcer le premier mot.
 
La peur de perdre son âme qui les paralyse, oubliant qu’on la gagne en perdant cette âme de la honte et de la lâcheté.
 
Soutenir Jabeur Mejri et Ghazi Béji n’est pas anti-islam, c’est défendre  les libertés fondamentales qui sans elles, l’humain n’est plus rien et réduit au stade du néant. Autant revendiquer son état d’esclave que d’affirmer son attachement aux valeurs liberticides  et totalitaires de l’islam.  
 
C’est plus digne que de se dire je suis musulman et fier de l’être. Vous n’avez et vous n’aurez jamais le courage de leur ressembler et de briser les chaînes de votre univers carcéral musulman.
 
 

Qui connaît Jabeur Mejri et Ghazi Béji condamnés à 7 ans et demi de prison pour athéisme dans l’indifférence totale de l’opinion publique internationale ?

 

Jabeur Mejri et Ghazi Béji, qui connaît ces deux garçons en dehors de leur cercle  d’amis intimes et leurs parents qui pétitionnent et militent pour leur cause pour dénoncer leur condamnation scélérate à 7 ans et de demi de prison pour athéisme  ? 
Un crime aux yeux de l’islam  qui interdit à ses ouailles de rompre les chaînes de leur prison mentale ainsi que des musulmans jaloux de leur islam respectueux de la liberté de croyance, mais à condition  que l’islam n’en pâtisse pas.
Autrement dit, l’islam est une grande maison accueillante pour tous ceux qui ne sont pas musulmans et refuse le bon de sortie à tous ceux qui veulent exercer leur liberté de ne pas y rester sous peine la sanction suprême. 
  Encore heureux  que les tribunaux tunisiens n’appliquent pas tout-à-fait la charia islamique et qu’ils n’ont fait que les condamner en vertu de l’arsenal juridique hérité de Bourguiba et de Ben Ali.
Entre les deux maux, on choisit le moindre. la prison plutôt que la lapidation ou  la crucifixion-décapitation diront les zélateurs de l’islam épris des libertés.
Quelle que soit l’échelle de sanctions les deux maux sont un poison mortel pour les libertés fondamentales.
Ce n’est pas par hasard qu’un aucun pays musulman au nom de l’exception juridique musulmane n’a adhéré à la Charte Universelle des droits de l’Homme et du Citoyen. Paradoxalement les musulmans s’avèrent être les plus farouches partisans de l’article 18 de ladite charte mais jamais chez eux, toujours en Occident afin de pouvoir protéger leur droit à liberté d’exercice  de leur foi. Le droit à la différence de croyance ou de non croyance  n’a de sens que dans les terres hospitalières aux droits de l’homme mais jamais chez eux, car leurs  lois sont trop parfaites pur se laisser polluer par des lois de la raison humaine jugées impures et par conséquent inapplicables chez eux.
Connus pour leur mauvaise foi,  sourds, aveugles, perfides, impudiques et cyniques les musulmans qui ont un sens inné de la duplicité et de l’ethnocentrisme persistent et signent  dans leur défense d’un islam jaloux, surtout jaloux de ses propres lois, du droit de chacun à choisir  ou ne pas choisir son système de valeurs et des principes  qui guident sa vie privée sans que cela ne porte préjudice à sa qualité de membre de la collectivité publique.
Pourquoi la Tunisie par exemple n’a jamais transposé dans son droit interne les dispositions de ladite charte d’une part et d’autre part pourquoi le Ministère des droits de l’homme a occulté la citoyenneté pour lui substituer la justice transitionnelle ? Ce qui en dit long sur les arrières-pensées idéologiques  des islamistes dont Jabeur Mejri et Ghazi Béji en sont les victimes sacrificielles symboles de la mise à mort des libertés humaines et fondamentales en Tunisie.
Elles sont la preuve  vivante  que  la tolérance dans l’islam  commence là où se meurt les libertés.  
18 mois que Jabeur Mejri est captif de l’islam et croupit en prison  tandis que son ami Ghazi Béji est en fuite en France où il vient d’obtenir le statut de refugié politique qui lui vaut d’être le premier refugié politique tunisien depuis la ré islamisation à marche forcée du pays.    Aucune mobilisation ni locale ni internationale en leur faveur comme si l’on a peur d’offenser la toute puissance de l’islam.  
Un véritable black out pour ne le qualifier d’ostracisme entoure le supplice qui frape les deux garçons qui ont bravé les lois de l’islam et qui ont démystifié ce soi-disant islam du libre-arbitre.
S’il en était ainsi, pourquoi ont-ils été condamnés à des peines aussi lourdes ?
Il vaut mieux être djihadiste-terroriste en Syrie, égorgeurs de soldats, assassins de Chokri Belaïd, de  Lothi Nagad et, de Mohamed Brahmi au nom de l’islam pour mériter sa bienveillance que d’exprimer son non adhésion à ses valeurs.  
Ces deux garçons croyant qu’un vent de liberté allait se lever sur la Tunisie ont exprimé publiquement leur liberté de ne pas partager avec leurs concitoyens leur système de valeurs dominant  qui ne constitue en aucun cas un rejet de leur citoyenneté tunisienne ou un acte de haute trahison.
Ce qui est de l’ordre d’un droit fondamental de ne pas avoir de croyance ou ne pas se reconnaître dans une croyance ou se considérer comme étant lié avec les membres de leur communauté par les mêmes liens religieux  qui n’nt pas à déterminer l’appartenance à l’entité tunisienne, plurielle et diversifiée.  
Si crime il y a c’est l’atteinte à leur droit à l’exercice de leur liberté de conscience.  
Une peine qui  témoigne  surtout de la nature liberticide de l’islam et des sombres perspectives qui s’annoncent pour la Tunisie.
 

Si la Tunisie est au fond du gouffre, la faute est à l’islam et pas à ceux qui dénoncent sa nocivité

Plutôt que de me reprocher de m’en prendre à la sublime et féérique religion d’amour qu’on devrait en faire le clou du nouveau spectacle  de Disney World, occupez-vous de libérer la Tunisie du joug de vos frères musulmans et de réclamer l’extradition de Ben Ali à vos amis musulmans et confisquer tous les biens de ses  anciens sbires.
Vous ne vous rendez-même pas compte que si vous en êtes là ce n’est certainement pas la faute au bouddhisme. Vous n’êtes même pas libres de choisir vos conjoints mesdames, il faut qu’ils soient musulmans.
Taisez-vous et soumettez-vous aux lois de l’islam si vous ne voulez pas qu’Allah fasse de vous des brindilles pour attiser le feu de son enfer.
Et vous y croyez en plus c’est que vous êtes vraiment dingos. Arrêtez votre cirque musulman et sauvez la Tunisie pendant qu’il est encore temps. L’islam est votre enfer et la Tunisie peut être votre paradis, mais cela ne dépend que de vous. On vous a trahi, on a tué vos patriotes et vos soldats, on ruine le pays, on n’en fait une suzeraineté wahhabite et le tout au nom de l’islam
. Vous n’avez toujours pas compris que votre vrai ennemi est cette idéologie de la mort et de la terreur  venue un jour du désert d’Arabie. Faites le votre fichu bilan de votre viol par l’islam. Une catastrophe.
Donnez-moi le nom d’un seul médicament que l’on doit à l’islam. Il est le mal de notre temps. Je sais que ma vie ne tient qu’à un fil mais je me battrai jusqu’au dernier souffle de ma vie contre la tyrannie de l’islam.
Battez-vous contre lui si vous voulez sauver votre pays. Faites-donc comme moi et vous n’aurez rien à craindre de cette religion qui surfe sur la peur pour vous paralyser.

La religion n’est pas l’opium des peuples, elle est leur tombe

 

Au lieu de donner le pain de la dignité au peuple, on  lui donner un coupe-faim qui s’appelle la foi ou lui faire l’aumône pour s’acquitter de son obligation cultuelle afin de s’ouvrir davantage les portes du paradis. On investit jamais à perte chez les bigots. 

 Tout est ajr, salaire acquitté par un employeur économique, celui que lui versera le Grand Employeur dans l’au-delà. excluant toute notion de bonheur humain, d’épanouissement personnel. Faire les choses par amour du geste gratuit. 

 

 Le récipendiaire doit être heureux d’assumer son statut d’exclu du banquet de la nature tel que Dieu l’a façonné et se doit par conséquent de se résigner à sa misère et la vivre  pleinement et dans la joie avec une interdiction absolue de se rebeller contre son sort pour ne pas se priver de la joie de savourer dans l’au-delà ce dont il  a été privé cruellement sur terrre. Il doit accepter d’être aussi un pourvoyeur de chair fraîche pour assouvir l’appétit féroce des nantis.

 

Ceux que Dieu les a élus pour toucher la martingale. Un bon fidèle est celui qui ne cherche pas à détendre  les ressorts de la colère et ne brisent pas les chaînes avec lesquelles Dieu l’a enserré.

 

L’homme ou supposé tel, puisque l’homme dans les sociétés de la loi de la morale religieuse n’existe pas en tant que tel, il est avant tout un fidèle dévoué engagé dans les bonnes actions, les « hassanates »:

L’ invocation qui rapporte le plus de hassanates:

 

Voici une invocation qui rapporte le plus de hassanates. Cette invocation apporte tellement de hassanates que les Anges ne peuvent l’ écrire. Alors ils en informent Dieu.Allah leur dit d’écrire uniquement l’invocation, pour que le Jour du Jugement ce soit Allah Lui même, qui le récompense. 

 » Allahoumma laka l-Hamdou kama yanbaghi li jalali Wajhika wa li 3adhimi Soultanik « ,  qui signifie »  » Seigneur à Toi la louange comme il convient à la magnificence de Ta Face et la majesté de Ton royaume « (source: http//oussoul.xooit.fr/t11334-¨Plus-de-hassanets.htm p.2281)

Tout pour Dieu et rien pour ses hommes. Ils sont réduits à une machine invocatrice. Une fonction peu valorisante de l’homme.

 

 Fort des promesses d’une récompense aussi mirifique que lui promettent les marchands du temple avec un espoir de gain himalayen, le jack pot divin, il ne va pas faire l’effort de scier les barreaux de sa prison pour pour un investissement sur terre au rendement très aléatoire.

 

Un vrai placement Madoff en perspective sauf que ce dernier nécessite à ce qu’on y mette le prix fort pour pouvoir encaisser une plus-value substantielle.

 

Alors que le placement dans les valeurs divines, il ne nécessite aucune mise du départ, ni de ticket d’entrée dont il faut s’acquitter, il suffit juste de faire don de sa personne au service d’un ordre guidé par la main invisible de Dieu. pour son bon fonctionnement du système, il faut que tous ls rouages, plutôt les pions, obéissent à  des règles bien précises qui ne doivent subir aucune altération ou dysfonctionnement. Les tours qui protègent le Roi doivent veiller à ce qu’il n’y ait pas de tentatives de remise en cause du système et faire ainsi échec et mat au Roi considéré comme un véritable crime de lèse-majesté exposant l’insolent ou le téméraire au pire châtiment. 

 

 Ni insoumission, ni bravade. N’étant pas maître de ses choix, censés ne pas réfléchir, penser et raisonner par lui-même, doté d’un statut de pion, sa seule fonction est de se laisser guider, voué à être sacrifié au profit des véritables  protagonistes.

 

 Ceux qui d’entrée du jeu adoptent la posture d’acteurs principaux s’octroyant des privilèges dignes de leur rang fondés sur un ordre hiérarchique défini par Dieu.  Dans cette parie de jeu d’échec d’essence divine, que l’on soit pions, tours, rois ou reines, quoique dans cette partie-là la reine est inexistante que l’on peut qualifier d’un sous-pion, les frontières sont étanches et qu’il n’existe aucun moyen de les modifier sous peine de bouleverser cet ordre naturel des choses.  Les statuts des uns et des autres sont préétablis et préordonnés.  

 

Tout est immuable et intemporel.  Aucun événement majeur de quelque nature que ce soit ne doit affecter le paysage figé dans le marbre divin. Chacun à sa place et que seul Dieu a la capacité de changer l’ordre d’attribution des sièges. Sa volonté s’impose à tous qui exige une totale adhésion, elle irrigue et nourrit les esprits qui devient même le sang qui circule dans leurs corps leur souffle de vie et lueur d’espoir. 

 

Ainsi la dictature de Dieu devient la meilleure arme pour étouffer les velléités des libertés chez le peuple gouvernés par les religieux dont le mot d’ordre peut se résumer ainsi: Assume ta  condition miséreuse mon fils, Dieu saura te compenser de tes pertes ici-bas en attendant  laisse le riche jouir de sa condition de riche dont dieu l’a dotée. Dieu a créé le riche, le fort et le faible, l’intelligent et l’idiot, et le pauvre, le patron et l’ouvrier, l’expoiteur et l’exploité, le pigeon et l’escroc, le terroriste et le pacifiste, l’Abbé Pierre et Ben Laden, le patriote et le traître,  Madoff et Mère Thérésa, l’ordre hiérarchique est immuable, il est la manifestation de la volonté divine, vouloir le changer c’est commettre une apostasie.

 

 Heureux les gueux de tous les pays, le Royaume des cieux est à vous. Et comme ça on leur fait passer la pilule du goût amer de la miche de pain rassis et moisi et les embobiner en leur donnant l’illusion du bonheur y compris sur terre.

 

 Alors qu’ils sont agressés par les affres de la misère. Ce n’est pas qu’un opium du pauvre, c’est l’anéantissement de l’être et un mouroir de l’esprit.

 

Anesthésier un peuple avec la relligion si vous voulez faire de lui un légume tel est le vrai sens de l’enseignement divin tel que le prêchent les escrocs de la foi et ces branquignols charlatanesques  particuliàrement nombreux dans les pays musulmans.

 

Les islamistes incapables d’oeuvrer pour la satisfaction de leurs besoins terrestres, vivant généralement d’oboles qataries et saoudiennes et d’assistanat en Occident tout au moins profitant du système de protection sociale, constituent aujourd’hui des véritables bataillons de soldats de Dieu, jihadistes fi sabil allah, engagés avec une frénésie névrotique et effrayante  dans un prosélitysme agressif auprès des masses frustes et apathiques. 

Le droit de vote aux étrangers de confession musulmane est la voie royale de l’islamisation de la France

Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires  qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France et paver la voie de roses  à la charia.

Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion  seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?

Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu  pour être un parangon  de libertés publiques et humaines.

Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.

Toute motivation de vote  chez un musulman  doit contribuer à  l’implantation et l’expansion de l’islam, une sorte de djihad par les urnes.

Il est  par conséquent utopique d’imaginer un musulman voter demain pour un non-musulman dont le projet va à l’encontre des intérêts de l’islam.

Peu de musulmans oseront commettre un tel sacrilège en adoptant une posture républicaine.

Autant légaliser le nazisme et le doter de vertus républicaines que  d’accorder le droit de vote aux étrangers qui leur permettra d’islamiser la France sans coup férir avec la complicité de la république qui  masochiste et naïve ne se rend pas compte qu’elle va creuser sa propre tombe  !

Bientôt les villages gaulois seront halalisés, pour ressembler à des cimetières de morts-vivants comme dans les bleds arabes.

Vidés de leur âme, dépouillés de leur identité française, et les mosquées remplaceront les églises et le porc sera définitivement interdit dans les   cantines scolaires et les restaurants où l’on servira l’urine de chameaux dont ils sont férus au lieu et place  du vin français.

Le droit de vote c’est aussi les 5 appels à la prière par jour du haut des minarets avec des mégaphones à 1000 décibels.

Avec des espaces séparés pour les  hommes et  les femmes dans les transports en commun, c’est une véritable usine à gaz en perspective.

Polygamie, pédophilie, racisme, antisémitisme, abolition du mariage civil, loi sur le blasphème,  abrogation de la charte universelle des droits de l’homme et du citoyen, djihad, relégation des femmes excision,  voile, nikab, kamiss afghan et port de barbes  obligatoires pour tout le monde, l’enseignement du Coran obligatoire, interruption des programmes de télévision pour diffuser les appels à la prière, interdiction d’enseigner Darwin et la philosophie, suppression des auteurs non-musulmans des manuels scolaires, un joli programme qui s’invitera à la table  électorale des français demain.

Pour mieux tuer la France, il faut l’islamiser.

Si l’islam était démocratique et moderniste pourquoi les pays musulmans brillent par leur violation des droits de l’homme, le sexisme, l’intolérance et la barbarie ?

Pourquoi les non-musulmans sont-ils considérés comme des sous-hommes, des dhimmis ?

Le droit de vote aux étrangers revient à faire de la charia la future loi fondamentale de la république tel est le vrai sens du droit de vote pour tous.

La France doit réfléchir par sept fois avant de donner aux étrangers non-communautaires le soin de participer aux élections locales sinon elle se tire elle-même une balle dans la tête. Et se demander aussi pourquoi les pays musulmans n’accordent pas la réciprocité à ses ressortissants qui y résident ?

Il ne s’agit pas de les ostraciser, il s’agit de la pérennité de la république elle-même.

La république n’a pas faire l’ange avec une religion qui veut la dévorer et que mieux est par la voie de la démocratie comme Hitler avait naguère utilisé la démocratie pour la démocratie elle-même.

La démocratie locale n’a pas être sacrifiée sur l’autel de l’aventurisme des verts et de la gauche radicale tout particulièrement. Quant aux partis parlementaires, ils doivent passer un coup de trait sur ce projet suicidaire pour la France et en faire une nouvelle Byzance.

Octroyer le droit de vote aux étrangers non-communautaires, c’est tout simplement la fin de la République

Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France.

Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?

Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu pour être un parangon de libertés publiques et humaines.

Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.

Toute motivation de vote chez un musulman doit contribuer à l’implantation et l’expansion de l’islam, une sorte de djihad par les urnes.

Il est par conséquent utopique d’imaginer un musulman voter demain pour un non-musulman dont le projet va à l’encontre des intérêts de l’islam.

Peu de musulmans oseront commettre un tel sacrilège en adoptant une posture républicaine.

Autant légaliser le nazisme et le doter de vertus républicaines que d’accorder le droit de vote aux étrangers qui leur permettra d’islamiser la France sans coup férir avec la complicité de la république qui masochiste et naïve ne se rend pas compte qu’elle va creuser sa propre tombe !

Bientôt les villages gaulois seront halalisés, pour ressembler à des cimetières de morts-vivants comme dans les bleds arabes.

Vidés de leur âme, dépouillés de leur identité française, et les mosquées remplaceront les églises et le porc sera définitivement interdit dans les cantines scolaires et les restaurants où l’on servira l’urine de chameaux dont ils sont férus au lieu et place du vin français.

Le droit de vote c’est aussi les 5 appels à la prière par jour du haut des minarets avec des mégaphones à 1000 décibels.

Avec des espaces séparés pour les hommes et les femmes dans les transports en commun, c’est une véritable usine à gaz en perspective.

Polygamie, pédophilie, racisme, antisémitisme, abolition du mariage civil, loi sur le blasphème, abrogation de la charte universelle des droits de l’homme et du citoyen, djihad, relégation des femmes excision, voile, nikab, kamiss afghan et port de barbes obligatoires pour tout le monde, l’enseignement du Coran obligatoire, interruption des programmes de télévision pour diffuser les appels à la prière, interdiction d’enseigner Darwin et la philosophie, suppression des auteurs non-musulmans des manuels scolaires, un joli programme qui s’invitera à la table électorale des français demain.

Pour mieux tuer la France, il faut l’islamiser.

Si l’islam était démocratique et moderniste pourquoi les pays musulmans brillent par leur violation des droits de l’homme, le sexisme, l’intolérance et la barbarie ?

Pourquoi les non-musulmans sont-ils considérés comme des sous-hommes, des dhimmis ?

Le droit de vote aux étrangers revient à faire de la charia la future loi fondamentale de la république tel est le vrai sens du droit de vote pour tous.

Ben Ammar Salem

Donner le droit de vote aux étrangers extracommunautaires  qui sont majoritairement musulmans, c’est plébisciter l’islam en tant que premier parti politique de France.

Est-ce que le législateur sait que l’islam n’est pas que religion  seulement et qu’il est aussi un système d’organisation politique de l’Etat et un nouvel ordre mondial visant à asseoir son pouvoir hégémonique sur tout l’univers, dont Allah sera le seul maître et souverain ?

Plus apparente au bolchevisme et au nazisme, l’islam ne reconnaît ni les droits fondamentaux ni les libertés politiques et individuelles, viscéralement hostile à la laïcité et à la démocratie, il n’est pas connu  pour être un parangon  de libertés publiques et humaines.

Suprématiste, ethnocentrique, communautariste et despotique, il ferme toutes les portes à ses fidèles d’opérer des choix contraires aux prescrits de la religion qui font interdiction absolue par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman.

Toute motivation de vote…

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Il ne reste que les femmes pour faire revivre la Tunisie

Qui mieux que la femme tunisienne pour sauver le pays ?

Avoir fait fait une révolution pour faire enter un bouffon pareil dans l’histoire en tant que président de la démocratie mort née, il y a de quoi s’inquiéter sur l’état de santé mentale des tunisiens !
Tout donne à penser que la Tunisie souffre  de sérieux troubles psychiatriques dont le facteur déclencheur est un virus neurologique dégénératif du cerveau dont la terminologie médicale est l’islam.
Dès le retour en force de cette pandémie virale, la consommation des neuroleptiques  connait un niveau record dans le pays.
Selon  le rapport épidémiologique de l’OMS plus d’un tunisien sur deux souffre de troubles mentaux à cause de leur surconsommation des produits illicites de nature religieuse aggravant leur mal-être (surtout perceptible chez les mâles tunisiens)! Le peuple tunisien a les hommes qu’il mérite.
Un illettré qui a menti sur ses diplômes, aux relations troubles avec Mc Cain  grand nostalgique du califat signe d’un état dépressif aigu devenu premier ministre, auquel a succédé un pédophile notoire de l’espèce de Marc Dutroux, un Emir assoiffé de sang humain, à la rancœur  féroce, terroriste dogmatique, aux mille visages qui a besoin d’exister aux yeux des autres, un président schizo et parano, pantin de l’Emir des ténèbres, qui serait un ancien locataire de Sainte Année, etc….
Avec les momies qu’on sort de leur catafalque qui empeste la mort pour sortir la Tunisie de sa tombe, il ne reste que les femmes tunisiennes, pas n’importe lesquelles ni Maya, ni Ben Sdrine, ni Badi,, ni les égéries islamistes de l’Emir de la félonie,  pour redonner les couleurs de la vie au pays.

La Tunisie, un pays de cons n’est en phase qu’avec les bouffons

Tout est abscons dans le pays des cons.
On a organisé des élections à la con sous l’égide de mecs qui se croient moins cons qu’ils ne le sont.
Il en est sorti des vainqueurs à la con et un bouffon qui fait le con dans un Palais à la con.
Tout a été fait pour faire gagner les cons et les tunisiens tout heureux d’avoir été emberlificoté  et enfumés par des cons.
Heureux d’avoir participé au plus grand piège à la con jamais. Un piège d’anthologie qui mérite la médaille d’or de l’entourloupe la plus réussie de l’histoire universelle.
Mais un peuple abêti  comme le tunisien n’a vu que du vent et ne s’est rendu compte de rien ni  d’avoir été berné par des vauriens sortis du néant de leur exil doré européen.
Le plus con dans cette histoire est que le chef-arbitre  de ces élections à la con qui après avoir vanté les mérites de sa supercherie immémoriale, telle une vierge effarouchée  s’est mis à répandre ses remords sur les plateaux où l’on tient les crachoirs aux convives.  Il mérite vraiment pour ses numéros vaudevillesques  la palme spéciale de la duplicité humaine.  On a jamais vu un arbitre du match venir spontanément dénoncer de son propre chef les irrégularités qui ont entachés la rencontre qu’il a lui-même arbitrée.  Mais ce n’est pas pour autant qu’ils ont envoyé à l’ombre ce gros con ni invalidé le résultat de ce match à la con.
S’ils ne l’étaient pas déjà ils n’auraient pas confié leur destin à un Tartempion inconnu du bataillon.
Sans scrupule ni vergogne, ce Monsieur sans-gêne, ne se gène pas de proclamer son innocence et sa fierté d’avoir été lui-même le roi des cons.
Une machination contre la Tunisie vaut bien un repentir à la con.
En attendant que les tunisiens se réveillent de ce soporifique à la con qu’on leur administré, la connerie continue à faire des ravages que l’on se demande si le peuple va s’en sortir de ce bourbier à la con.
 On a berné le peuple et enivré du parfum contrefait en Turquie dont les tunisiens sont férus, en leur faisant croire que la carte nationale d’identité est aussi une carte d’électeurs. Et ces cons ont mordu à l’hameçon..
Ne sachant pas que ce qui vous identifie ne vous qualifie pas. Mais se comportant comme des cons,  ils se sont trouvés gros Jean comme devant.
 Et ceux qui n avaient pas le droit de voter  pour privations de leurs droits civiques  ont été plébiscités par cette masse de cons pour faire du pays un vrai vivier de la connerie humaine.
Chez les cons,  seuls les cons sont rois et le peuple  de moutons est au diapason pour leur jouer du violon!
Comme la connerie tunisienne n’a pas de limites,  les parasites, les bras cassés, les branquignoles, les bouffons,  les vermines,  la lie de l’humanité, les borderlines, les fous à lier, les asociaux, les ratés de la vie, les fabulateurs,  les déficients intellectuels, les ivrognes, les loques humaines, se verraient un jour sous les ores de la république de la connerie tunisienne.

Pourquoi les E.U. » soutiennent-ils » les terroristes islamistes ?

Si l’islamisme était l’oeuvre de l’Occident américano-sioniste comme l’allèguent les laudateurs de l’Islam modéré, alors qui aurait inventé le hanbalisme, l’une des quatre écoles juridiques de l’Islam, dont sont issus le wahhabisme, le salafisme, le jihadisme et le qoutbisme ?

Et pourquoi c’est encore l’Occident  qui aurait enfanté Ibn Taymmyia   mort en prison à Damas au début du XIVème siècle pour apostasie connu pourtant pour être le père-géniteur de l’islamisme moderne.

Que les Américains l’aient réactivé et instrumentalisé  voire annexé depuis le Pacte de Quincy et qu’ils l’ aient utilisé comme joker en Afghanistan avec les Talibans pour combattre l’invasion soviétique ou les brigades djihadistes de Ben Laden, cela ne fait pas de doute.  Comme ils continuent encore à le faire dans les pays du Croissant fertile arabisé.

La préoccupation majeure de la Maison Blanche aujourd’hui est moins l’éveil démocratique et l’accompagnement des peuples musulmans  à l’affirmation et la réalisation de leur dignité politique  que ses propres intérêts géo

sécuritaires. Dans leur nouvelle doctrine sécuritaire qui peut se résumer comme suit : il ne faut pas attendre que le terrorisme vienne te frapper sur ton territoire, il faut aller le circonscrire à partir de ses propres sources qui sont autant de foyers potentiels d’incendie et dont l’embrasement pourrait trouver le coeur du territoire américain.

Surtout contrôler ses velléités politiques et identifier les causes qui sous-tendent sa violence extrémiste.

Au lieu d’une guerre frontale et de longue haleine contre cet ennemi de l’ombre, insaisissable, imprévisible, multiforme et ils ont opté pour une stratégie de dédiabolisation avec la nébuleuse islamiste  en lui mettant les pieds à l’étrier politique dans son propre espace géographique sous le ordres de la Troïka qatarie-turco-saoudienne.

L’érigeant en interlocutrice privilégiée, l’Administration américaine pense pouvoir mieux la contrer, la neutraliser et la surveiller.

Cette stratégie semble tirer sa philosophie d’un programme privé intitulé Google IdeasTthink don’t Tank dirigé par Cohen Jared ancien chef de la diplomatie digitale (formation des dissidents à l’eRevolution) au sein du Département d’Etat.

Un think thank indépendant mais qui s’inscrit paradoxalement  dans le champ des enjeux géo sécuritaires de la diplomatie américaine, créé à l’initiative de Google destiné en premier lieu aux pays musulmans,  ouvert aux terroristes dits repentis censés y apporter leurs expériences et raconter leur histoire de vie dont l’objectif est de dé radicaliser les mouvements terroristes en essayant de les faire renoncer au terrorisme plutôt que de gagner leurs sympathies.

Il serait intéressant de savoir si parmi les 80 participants venus de tous les milieux extrémistes au séminaire de Dublin au mois de juin 2011, n’ y figurait pas un membre de l’organisation terroriste tunisienne  Ennahdha dont le leader R. Ghannouchi est jugé par la justice canadienne comme un des maîtres à penser du terrorisme islamiste dans le monde.

Les Américains ne sont pas hostiles l’Islam, ils sont surtout obsédés par leur sécurité intérieure et  les risques de violence terroriste potentielle inhérente aux islamistes, cette partie émergée et  hyper active du corps amorphe musulman et contre lesquels ils ne lésinent pas sur les moyens pour les désamorcer.

En quelque sorte, ils font des pyromanes islamistes des éventuels soldats de feu pour éteindre le feu qu’ils sont susceptibles d’allumer. 

Faire des islamistes des acteurs politiques pour se prémunir du danger terroriste qu’ils représentent est symptomatique de l’incapacité américaine de s’attaquer aux vraies racines du mal qui ronge les peuples musulmans en manque de libertés démocratiques, de justice sociale, de respect de leur dignité, en butte à la corruption, au népotisme, au despotisme à l’obscurantisme. 

  •  

Faute d’avoir réussi sa révolution, la Tunisie a réussi sa contre-révolution linguistique

·Chaque révolution a engendré son lot de nouveaux mots traduisant l’esprit propre à chacune d’elle.                                                                                                                                            

  • Or, la tunisienne brille par la pauvreté de son lexique révolutionnaire qui est plutôt à contre-courant des idéaux dont on a affublés la révolution et qui en dit long sur l’absence d’une véritable  âme révolutionnaire.                                                                                                                                                       Une litanie de mots qui fait son entrée en force dans le langage tunisien depuis la chute rocambolesque et ubuesque de Ben Ali et qui laisse augurer un virage à 180° des moeurs de la nouvelle société tunisienne qui se dessinent sous l’impulsion de l’architecte-imposteur Ennahdha.                    
  •  Un vocabulaire puisé dans le patrimoine linguistique wahhabite tel que le propage son fer de lance Ennahdha, la  filiale tunisienne de la Qaïda, .
  • Ainsi depuis la date du 14 janvier 2011, le langage tunisien est pollué par des nouveaux termes et expressions moyenâgeux, barbares empestant la haine de l’autre et synonymes de violence : exciser, lapider, mutiler, couper, amputer, racketter, lapider, crucifier, tuer, purifier, haïr, exterminer, djihad, voiler, safirat, aawra, salaf, la bataille de Badr, vitrioler, djihad nikah,  véroler,  étrangler, intimider, messianisme, conquête cosmique, kaffer ou mécru, châtier, tartour, amis de la Syrie, choléra, peste, malaria,  pénurie d’eau, vouer aux feux de l’enfer, blasphémer, sacrilège, hallal, haram, maudire, tamarrod, dhimmi, soumission, sale juif, ta mère la juive la pute, bâtard d’un kapo, l’étendard noir de l’islam,  agréer,  abolition des frontières,  naître musulman, promotion du vice, répression de la vertu, islamiser l’espace public, mutiler, répudier,  violence, intolérance, reléguer, polygamie, mère-célibataire, mariage coutumier, mariage mayssar, enrégimenter, taghout, endoctriner, manipuler, castrer, aliéner, pédophilie, réaction, awra, safirat, enfer, paradis, jawaz al motaa, jawaz al myssar, tourisme halal,  fi sabil Allah(sur le sentier d’Allah), martyr, libération de la Palestine, oumma, califat, frère musulman, couleurs de l’Islam, salaf salah, gourdin, purification,profanation, Mozzah la mère des croyants, tartour, lâcheté, hérésie, dogme, wahhabiser, gourou, terre d’Islam, phobie de la patrie, brûler les incroyants, inquisition, appel au meurtre du juif, takbir, vénérer, taghout,  idolâtrer, sacraliser, vice, vertu, prédication, suzeraineté, fidèle, panarabisme, barbe, nikab, Qatar, kamiss, hijab, tawheed, la fraternité islamique, quémander, fabuler,  habib Allah(amant d’Allah)  panislamisme, anathème, apostasie, valeurs du sacré, fatwa, tribunal d’inquisition,  résignation, zakat, conservatisme, immuabilité de l’ordre social, Dieu aime les riches, insécurité, choléra, complément, prosélytisme, Allah Ghaleb, mariages collectifs, circonsicions et mariages collectifs façon secte Moon, voter pour Dieu, adhab al kabr (tourements de latombe) labourer le corps de la femme,  coupable d’être victime de son viol, violer en toute immunité religieuse, charia, tout est à dieu et rien aux hommes, obscurcir, obstruer, l’islam ou la mort, vouer aux gémonies, bénir les mères qui donnent des vaillants combattants à Allah, 72 houris, gagner 29 marches pour le paradis en priant à la mosquée, clouer au pilori les femmes qui ne donnent pas de la chair à canon à Dieu, stigmatiser les femmes travailleuses, pureté du sang musulman, exalter, encenser, glorifier, etc….                                                Des mots comme dignité, égalité, travailler, aimer, tolérer, résilience, modernité, démocratie, laïcité, vivre ensemble, justice sociale, citoyenneté, équité, liberté, fraternité républicaine, patrie, souveraineté, droits de l’homme, modernité, majorité, discernement, épanouissement, bien commun, éducation, formation, générations futures, bien-être, respect, etc… sont tabous et contraires aux fondements de l’Islam et par conséquent violent les valeurs du sacré.                                 

     La nouvelle Tunisie musulmane wahhabisée est en marche sémantiquement.                                           

    Elle répond enfin aux exigences de son identité arabo-musulmane, celle qui la conduit inexorablement sur la voie des enfers dantesques.

L’islam tue partout et de plus en plus dans les mosquées

Afin d’en finir avec les attentats meurtriers dans les mosquées commis au nom d’Allah, celui qui tue et non qui sauve, n’est-il pas grand temps que les musulmans du monde entier s’ils tiennent à leur vie de ne plus jamais aller prier dans les mosquées ?

Aller prier dans une mosquée c’est signer son arrêt de mort. Des milliers de victimes innocentes laissent leur vie dans les mosquées et leur nombre ne va certainement pas diminuer. Ce n’est pas la violence galopante qui gangrène les sociétés musulmanes que ces attentats vont se circonscrire d’eux-mêmes. Avec la course au gigantisme  des mosquées dont certaines peuvent accueillir des dizaines de milliers de fidèles, il n’est pas exclu d’assister à des attentats qui dépasseraient en horreur ceux du 11 septembre 2001. Tous ces attentats doivent faire réfléchir les musulmans sur le vrai sens de leur théologie et si en effet le ver n’était pas dans leur fruit qui prend de plus en plus  le goût amer de la mort. Est-ce que ce n’est pas un  juste retour du bâton ? Car à force d’éduquer les gens dans la haine, le fanatisme, la violence,  l’intolérance et de transformer les mosquées en tribunes  de propagande idéologique, du djihad pour la conquête du monde, d’inoculation aux musulmans du virus coranique du racisme, de l’antisémitisme et de l’extermination  des non-musulmans, voire les musulmans aspirant à vivre en paix avec le reste du monde Quand leurs imams et leurs prédicateurs qui ne font que rapporter fidèlement la bonne parole coranique et rapporter les Hadiths ou se référant à la Sira du prophète soufflent nuit et jour sur la braise des brindilles de la mort, est-ce qu’un jour se sont-ils émus par une telle litanie digne de l’idéologie nazie. Vont-ils persister et signer qu’il n’y a pas de corrélation entre l’islam et la violence ?
Admettre aussi que leurs mosquées sont devenues des hauts lieux d’hooliganisme meurtrier, un nouveau stade Heysel en pire.
Leurs mosquées ressemblent de plus en plus à une caisse de résonance, qui font écho à cette violence qui les irrigue et les nourrit.
Que  les musulmans s’arrêtent de se voiler la face et de crier à l’islamophobie dont ils sont l’objet extérieur qui suscite  peurs, craintes et angoisses chez les non-musulmans.
L’islam tue y compris dans le ses propres sanctuaires à la différence de toutes les autres croyances. Jamais ils ne le reconnaîtront comme ils ne mettront jamais leur religion sur le banc des accusés pour incitation au génocide, aux crimes de guerre et aux crimes contre l’humanité.
Cette violence n’a aucun caractère exogène, liée à leur religion qui  est que la leur en déplaise. Elle est  la source-mère  du tourbillon  boueux  qui est entrain de les emporter dans les fonds abyssaux de leur marécage contaminé par les déchets radioactifs de la barbarie humaine.
Les musulmans avec tous les attentats-terroristes qui rythment leur quotidien sont-ils enfin entrain de  récolter ce que leur religion a semé en eux comme graines irradiées et nocives à la vie humaine ?
Que les musulmans fassent leur examen de conscience et avouent  que  si les terroristes auteurs de ces actes horribles et effroyables  ne se croyaient pas à l’abri du courroux d’Allah et de son prophète, les auraient-ils perpétrés ? Parce qu’ils sont forts de cette impunité théologiques qu’ils peuvent donner libre-cours à leurs pulsions meurtrières.
L’islam n’est-il pas justement la seule religion au monde qui sanctifie la violence et la récompense ?

En finir avec l’omerta sur les génocides qui jalonnent l’histoire de l’islam

 

 
Non seulement le nouveau gouvernement égyptien fort de l’appui du peuple égyptien dans son écrasante majorité lui conférant une légitimité que le vendu de Morsi n’avait pas, dans les démocraties naissantes la volonté du peuple vaut très largement la vérité frelatée des urnes, est entrain d’éradiquer la peste islamiste, mais cerise sur le gâteau et joli pied de nous au top modèle islamiste Erdogan et son protecteur B.H. Obama, il vient de reconnaître le génocide du peuple arménien.  
 
Espérons sans trop y croire que c’est le prélude de la reconnaissance  officielle de la part de l’O.N.U., ce jouet entre les mains de l’Oncle Sam, de ce même génocide.
 
De même qu’il est grand temps que l’on reconnaisse les  cas autres génocides commis au nom de l’islam : l’Hindou Kusch, l’esclavagisme des peuples noirs utilisés comme une banale marchandise, le peuple Amazigh, et tant d’autres dont la lise est très longue qu’on appelle les crimes de l’islam qui a excellé en matière  de génocide culturel  et archéologique de l’Egypte et de bien d’autres le double génocide culturel et écologique de l’Ifrikiya. Qu’a fait l’islam  les judéo-chrétiens d’Arabie et d’ailleurs ?
 
Curieusement aucun gouvernement occidental n’a érigé une stèle à la mémoire des victimes de la boucherie musulmane du 11 septembre 2001.  
 
Quant aux pays musulmans, il n’y a pas grand-chose à attendre d’eux, ils ne vont rendre hommage à des victimes qu’Allah a ordonné leur massacre. 
 
Enfin pour les laudateurs de l’islam de paix et qui justifient l’injustifiable par les supposés crimes imputés à autrui et qui sont toujours prêts à se cacher derrière leur petit doigt en se murant dans le déni, historiquement l’islam a entamé sa série de crimes contre l’humanité dès le 7 e siècle  bien avant ceux supposés du christianisme débutés au 16 e siècle qui ne s’était guère illustré dans les actes de barbarie humaine tout au long de ses sept premiers siècles. 
 
De même que son aîné le judaïsme pourtant âgé de 14 siècles à la naissance  du mahométisme.
 
 

Barak Hussein obama est-il un collabo des Frères Musulmans ?

 

 Nul doute que l’absence des attentats terroristes aux E.U. pendant la première mandature du né musulman B.H. Obama  fut un facteur déterminant dans la réélection d’Obama.
De là à dire que les islamistes ont contribué à sa réélection cela est tout-à-fait plausible, il a dû certainement jouer de son entregent avec les frères musulmans, dont l’un de ses frères Malik serait proche de Hassan Tourabi beau-frère du terroriste tunisien jamais repenti R. Ghannopuchi.
 
Il n’en reste pas moins que son implication personnelle et active dans leur promotion  sème le trouble dans l’esprit des démocrates du monde entier et laisse perplexe.
 
Obama avait pris de contre-pied tout le monde.  Lui qu’on croyait féru de valeurs  démocratiques , attendu  comme le nouveau Messie par les peuples frustrés de libertés et vivant sous le joug du despotisme, a résolument choisi contre toute attente le camp des ennemis du genre humain, les nazislamistes qui appellent à la destruction de l’humanité non-musulmane voire les musulmans non-fondamentalistes.
 
Une Realpolitik qui intrigue et surprend. Comment peut-il d’un côté leur mener, à moins que ce soit un simulacre de guerre en Afghanistan, et choisir de s’afficher publiquement à leur côté, se compromettent avec eux, leur servir de caution morale et de V.R.P. de luxe veillant personnellement à la réussite de leur projet apocalyptique pour la Tunisie, la Libye, l’Egypte, la Syrie, le Yémen voire l’Algérie où la blessure traumatique des années de plomb  islamistes n’est  toujours pas cicatrisée
 
Obama n’est plus exempt de responsabilité  dans la tragédie actuelle  des  pays du Croissant  arabophone que naguère  G.W. Bush dans la tragédie irakienne.
 
Son entêtement obsessionnel à leur servir sur un plateau lesdits pays, son silence lourd de sens sur leurs exactions et crimes de guerre, leur antisémitisme, leur haine des chrétiens et des coptes, leurs attaques scélérates contre les églises orientales, sa non-condamnation troublante des propos de Morsi alors candidat des Frères Musulmans du Crime  Organisé lançant un ultimatum aux coptes : l’islam ou l’exil, autrement dit la mort.
 
Son attitude qui n’est pas aussi troublante qu’elle en l’air n’est pas dénuée d’arrière-pensée idéologique et sans intérêt quant à l’éventualité d’un marchandage un simulacre révolutionnaire pour leur permettre d’accéder très démocratiquement au pouvoir en contrepartie  de la sécurité du territoire américain.
Ainsi, il a pu préserver les E.U. d’un nouveau traumatisme. Sinon pour le reste son bilan est très nul et n’aurait certainement pas plaidé en faveur d’un nouveau mandat.
 
 

Pour gagner la guerre après avoir perdu la bataille du 23 octobre 2011, il faut abattre la citadelle de l’A.N.C.

 
 
 
La Tunisie a perdu une bataille mais pas la guerre.
 
Nous avons  qu’une seule cible à abattre c’est l’A.N.C et une seule couleur à défendre c’est  Tunisie et son honneur.  
 
Soyons patriotes avant d’être des partisans et oeuvrons comme un seul homme.  
 
Au nom de notre amour à tous pour ce pays, de grâce cessons de nous disperser et de tirer dans tous les sens, à force de dégainer comme des fous , nous finirons par nous épuiser au propre comme au figuré et de devenir une proie facile pour la cible qui d’assaillie devient l’assaillante. Franchement gausser sur Marzougui, Mahrzia, Badi, et tous les pions de Ghannouchi, y compris cet Abassi ne résout pas les problèmes de la Tunisie pour autant et ne fera que les compliquer et les aggraver.
 
Ennahdha,  avec une armée  mexicaine azimutée  et sans direction telle que la nôtre aujourd’huii aura toutes les cartes en main pour nous achever tous. Soyons des bons tireurs d’élites avec dans notre viseur qu’Ennahdha et rien qu’elle et concentrons nous sur un seul objectif qui est son garde-fou : abattre l’A.N.C; qui est la planche de salut de la secte infâme.
 
Que l’ignoble et infect R. Ghannouchi  fasse des rencontres avec B.C.E. ou je ne sais qui c’est de l’anecdote, une manœuvre pour lui faire gagner du temps, de l’entourloupe, un travail d’enfumage pour embrouiller nos esprits et occulter ce à quoi nous devons nous attaquer.
 
Un buteur ne s’intéresse  pas à ce qui se passe dans les gradins il est là pour planter son but et vaincre l’adversaire. Un combat se bat aussi sur le terrain de bataille et ne laisse pas le soin à l’ennemi de décider de son sort.
 
Notre but c’est l’A.N.C. et à travers elle la fin d’Ennahdha. Quand on joue le match de notre vie  qui est la Libération du pays  on ne se laisse pas aller aux potins et aux commérages.
 
De Gaulle  dans son appel du 18 juin 1940 n’avait pas dit aux français cherchez de quoi alimenter vos discussions de cafés de commerce, il les a appelés à  résister, à s’unir  et à agir pour vaincre l’ennemi.
 
La Tunisie n’est pas un magazine people pour ceux qui l’ignorent. Elle a perdu une bataille à cause de la désunion et des trahisons  orchestrées par l’I.S.I.E; la Haute Instance de Ben Achour, les gouvernements de transition  et ses politicards.
 
Mais elle ne perdra pas la guerre si les tunisiens sont solidaires et prêts à tous les sacrifices.
 
 
 
 
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Ni R. Ghannouchi, ni Abassi ne sont en droit de décider du sort politique de la Tunisie

 

 
Ce n’est pas à l’U.G.T.T. de décider du paysage politique tunisien.
 
Qu’elle fasse déjà  proprement son boulot de défenseuse des  droits des travailleurs, de leur pouvoir d’achat, de leur protection sociale, de la parité, de la sécurité au travail, de l’amélioration des conditions du travail, du chômage et c’est déjà énorme.  
 
Elle n’a pas à se mêler de la vie politique des tunisiens dont elle n’est pas leur représentante es qualité, son mandat est  social et en aucun politique.
 
Elle n’a pas être l’interlocutrice privilégiée de R. Ghannouci, de même qu’elle n’est pas censée avoir le monopole de ka représentativité syndicale au pays.
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 Critiquer l’action politique de ce gouvernement de ramassis terroristes, c’est une chose comme  il est de son champ de compétences de mener des négociations sociales avec lui, mais de là à mener des tractations avec de surcroît R. Ghannouchi qui n’est pas habilité  normalement de parler au nom  dudit gouvernement c’est une reconnaissance de facto du pouvoir absolu de ce dernier sur la Tunisie d’une part et d’autre part l’U.G.T.T. outrepasse son rôle d’organisation syndicale nuisible  à la construction d’une véritable démocratie au pays.
 
Un mélange des genres qui laisse augurer le retour des années Ben Ali. Comme si elle était la chef de file de l’opposition tunisienne et de la société civile.
 
Par conséquent, elle n’a pas à exiger ni la dissolution de ce gouvernement terroriste et de bras cassés, ni poser de préalable à Ennahdha, ni à se prononcer sur le maintien de l’A.N.C.
 
D’ailleurs tout compromis  qui va dans ce sens est nul et nul d’effet.  L’U.G.T.T renoue avec ses vieux démons du passé, sacrifiant la cause des travailleurs aux seules fins de complaire au régime.
 
En tout état de cause, tant que l’on a pas dissous l’A.N.C.  qui a perdu toute légitimité depuis le 22 octobre 2012 qui est la cause de tous les maux de la Tunisie, il n’y a aucun espoir de sortie cde crise. Garder l’A.N.C. revient à donner les pleins pouvoirs à Ennahdha pour poursuivre son œuvre destructrice du pays.
 
En conclusion celui qui détient l’A.N.C. détient la Tunisie ne serait-ce qu’il a tous les pouvoirs de censurer le gouvernement.
 
 

Que les politicards français cessent de prendre l’islam pour une religion inoffensive

La gauche française et la droite républicaine, agents  de l’islamisation de la France ? Que les verts et leurs amis de la gauche et une partie de la droite républicaine aveuglés par leur humanisme farfelu et irresponsable et à la limite anti-France aillent émigrer dans les pays musulmans et d’y vivre la vie de Monsieur et Madame tout le monde pour Mamère et Mélenchon, et  une vie de femme pour Cécile  Duflot  et Eva Joly.  Pourquoi pas aller goûter aux joies de la vie des immigrés dans les pays du Golf ou en Arabie nazillonne et au Qatar, l’arroseur généreux des politicards et journaleux français, avant de tirer à boulets rouges sur Manuel Valls.
D’ailleurs ils devraient aussi se demander pourquoi les immigrés préfèrent la France plutôt que les monarchies pétrolières.
Connaissent-ils l’attrait de la France sur les populations musulmanes ? Des citoyens algériens avaient manifesté un jour à Alger pour réclamer l’assouplissement de la politique des visas pour la France. Des jeunes algériens clamaient haut et fort qu’il il vaut mieux la vie d’un détenu en France que la vie qu’en Algérie.
Pourquoi plus de 90% des jeunes turcs et marocains rêvent-ils de l’Eldorado occidental qui est pourtant à bout de souffle ?
Est-ce par amour de la démocratie ? Ce dont il est à douter quand on sait qu’une partie substantielle des immigrés vote contre la démocratie dans leurs pays d’origine comme demain ils voteront pour l’islam en France. Q etSavent-ils aussi que le regroupement familial présente des sérieuses menaces pour le fondement-même de la république et porte en lui tous les germes de la colonisation du pays . Avec le taux de fécondité des familles musulmanes, les bonnes âmes françaises pourraient dire adieu à la France, évidemment qu’elles ne seraient plus pour vivre sous le diktat de l’islam. Où les Champs Elysées se transformeront en salles de prières en plein air et pire encore Notre Dame abritera la future Grande Mosquée de Paris.
Tous les symboles de l’histoire de la France seront détruits pour laisser la place aux seuls symboles de l’islam comme en terre Amazigh, où il est interdit de donner des prénoms amazighs à ses enfants.
C’est de la politique fiction, mais l’utopie du jour est bien la vérité de demain.
Avant l’avènement de l’islam, l’Arabie était une terre judéo-chrétienne, depuis plus aucune trace témoignant de cette présence qui sans elle, l’islam n’aurait jamais vu le jour.
Condamner Manuel Valls pour sa prise de conscience quand à la dangerosité du regroupement familial en provenance des pays musulmans c’est condamner à long terme la France à la disparition.
Et pas seulement, cela équivaut à donner toute sa mesure aux desseins hégémoniques de l’islam qui veut régner en maître absolu sur le monde.
Qu’ils commencent par décrypter le message politique de l’islam avant qu’ils ne soient trop tard peut-être qu’à ce moment-là ils réaliseront que leur angélisme républicain est la ruine de la France.
Qu’ils apprennent que ceux qu’ils protègent au nom des lois antiracistes professent une idéologie qui est loin d’être dénuée d’arrières-pensées racistes et antisémites.
L’islam est plus qu’une religion c’est une doctrine politique de caractère impérial et fasciste, vouant à la mort tous ceux qui ne sont pas dans son moule.
Quant à l’intégration des musulmans dans un espace républicain qu’ils ne se fassent pas trop d’illusions là-dessus, elle est pour les musulmans une aubaine pour désintégrer la France.

Amina se refait une virginité dans le retournement de veste, la calomnie, la grossiéreté et l’antisémitisme

 

Salem Benammar
Amina tu as tort de tomber dans le piège du complot juif Il est à rappeler à Amina que les Femen ne s’arrêtent pas qu’à l’islam. Elles mènent un combat depuis quelques années contre toutes les formes d’intégrisme religieux. Avant qu’elles ne prennent l’islam pour cible, elles avaient déjà commencé par le christianisme. Amina  aurait  ainsi été mieux  avisée à ne pas limiter leur champ d’action  au seul l’islam où elle doit reconnaître que la condition de la femme  dans la majorité des pays musulmans. mans est  en deçà de la condition des droits des animaux en Occident.  Quant à leur islamophobie, en tant que musulmane elle ne doit pas être elle-même épargnée par cet état de troubles psychiques associé à la peur, aux craintes et aux angoisses déclenchés par un objet externe qui est l’islam dans le cas d’espèce. Elle doit aussi savoir qu’Israël est toujours le bouc-émissaire des musulmans, plus ils s’enlisent dans la mouise plus ils en font l’objet de tous leurs malheurs. Cette obsession est surtout symptomatique de leur incapacité à assumer leur  humanité. Plutôt que d’assumer leurs échecs chroniques  et réfléchir sur la meilleure manière pour ne pas les reproduire, ils font d’Israël un substitut idéal pour se donner bonne conscience et ne pas se remettre en question.   C’est toujours la faute de l’autre  et surtout d’Israël s’ils en sont là depuis la chute de Grenade. C’est peut-être Israël qui avait fait détruire l’écosystème tunisien au 11 e siècle et qui serait  derrière le génocide  des peuples amazighs, hindous, assyriens,  arméniens, la négation de la vie,  ou l’esclavagisme où les musulmans excellèrent. C’est peut-être encore Israël qui développé la culture de la mort dans ces sociétés et qui aurait semé les virus de la pédophilie, de l’excision, du djihad de la terreur islamique, du djihad du nikah, de la lapidation, du racisme,  de la relégation des femmes, de la trahison, de la corruption, de l’ignorance, de la polygamie, de la prostitution halal et toutes les tares et plaies endémiques qui caractérisent ces sociétés.
C’est encore la faute à Israël s’ils sont la risée de l’humanité, s’ils  sont les peuples les plus rétrogrades, liberticides, arriéré, violents, fanatiques, analphabètes, despotiques, défaitistes, fatalistes. Amina plutôt que de parler du financement occulte du mouvement Femen qu’elle stigmatise et calomnie, doit savoir que ce mouvement n’a tué personne et que ses sources de financement ne participent pas à la destruction de l’humanité contrairement celles dont bénéficient ceux qu’elle se fait fort de dédouaner  de tous leurs crimes et de défendre leur drapeau noir symbole de la haine et du terrorisme. Elle a raté sa sortie en oubliant de condamner les meurtres des soldats tunisiens et les assassinats politiques au nom de l’islam.  Encore heureux qu’elle ne les a pas imputés aux Femen financées par Israël. A chaque fois que ce dernier fait un pas en avant, les pays musulmans font 100 pas en arrière. Là où les pays musulmans produisent des terroristes, les juifs  produisent des Prix Nobel et se font utiles à l’humanité. Connait-elle au moins le nombre de publications scientifiques de ses coreligionnaires ?La seule chose qu’elle semble plutôt connaître est le langage nauséabond et sexué caractéristique de ces peuples qui font de la violence verbale et physique
 
 
 

Pour mettre à nu intégralement les Femen, on a pas trouvé mieux que de voiler Amina du voile de l’infamie

 

Amina se remet à ses avocaillons pour se démarquer du combat des Femen et de leur soutien où elles avaient pris de grands risques en allant engager le combat en terre hostile.
Ses conseillers qui jouent à ses directeurs de conscience,  gageons qu’ils n’ont pas été payé ni par elle, ni par ses parents ni par son comité de soutien, sauf par Allah, en faveur de la propagande islamiste.
On ne sait  pas quel marché  occulte ont-ils conclu avec Ennahdha  pour la ridiculiser et la discréditer et à travers elle le mouvement Femen. Quoiqu’il en soit ça sent le coup foireux. 
 
Soyons honnêtes, son communiqué a tout l’air de lui avoir été dicté pour nuire au mouvement Femen et rendre son honneur perdu à l’islam.
C’est trop facile de condamner après coup leur action de soutien alors qu’elle aurait le faire savoir justement par ses avocats qu’elle ne se reconnaît plus dans leur action  avant qu’elles ne débarquent en Tunisie et aurait ainsi épargné aux filles 2 mois dans les géoles   tunisiennes.
  De même son inscription du sigle Femen  sur le muret du cimetière intervenue chronologiquement après la manifestation des Femen devant la Mosquée de Paris est bien la preuve de son adhésion à l’idéologie du mouvement. Son désaveu est trop tardif pour être crédible mais qui empeste la manipulation.
Son revirement n’est pas condamnable en soi, ce qui l’est ce sont les dessous de sa déclaration jetant le discrédit  et la  calomnie sur  le mouvement Femen.
On veut régler son compte aux Femen par Amina interposée.
 
 

L’islam est-il un péril pour la France comme le fut naguère le péril nazi ?

 

Salem Benammar
 
C’est la première dans l’histoire de la V e république qu’un Ministre  de l’Intérieur en l’occurrence Manuel Valls  se fait fort de rappeler l’incompatibilité de l’islam avec la démocratie et le place  au cœur des vrais dangers qui menacent les fondements de la république dans  les 10 prochaines années  et met l’accent sur les effets secondaires du regroupement familial.
En ce qui me concerne,  j’estime que l’on a trop tergiversé et que le mal est fait mais il n’en demeure pas moins que l’on doit le circonscrire à défaut de l’éradiquer définitivement.
 Il est plus qu’impérieux de faire du péril musulman un véritable enjeu politique qui fait peser des réels risques sur la pérennité humaine et culturelle de la France.
Il se pose comme étant  le défi majeur auquel la République doit faire face d’ores et déjà. Bien plus grave et urgent que l’insécurité et le chômage.
Ses  propos n’ont pas manqué  bien évidement de provoquer un tollé général  au sein de son camp politique  acquis certainement à la cause de l’islamisation rampante de la France  qui y voit des relents droitistes.
Si défendre la patrie face à l’invasion démographique et idéologique de l’islam c’est être de droite, alors que ce sont les communistes qui ont payé un lourd tribut face à la peste nazie, alors que tous les français et tous les défenseurs des valeurs de la république de toutes origines et confessions le soient aussi.
La patrie n’est ni de droite ni de gauche, c’est le laxisme et l’angélisme de droite comme de gauche qui sont ses ennemis et les alliés de l’islam qui vise à la détruire pour la vider de son identité et de sa substance pour la diluer dans  son nouvel ordre mondial oummien.
 
 
 

L’ex femen Amina devenue égérie malgré elle et sans le vouloir a mis à poil la fausse morale musulmane

 Les seins nus n’ont  jamais été un sujet tabou ni en Afrique ni en Inde surtout dans sa partie méridionale.

A Soweto les femmes manifestaient contre l’Apartheid  la poitrine dénudée.

C’est l’Eglise  au Moyen Age qui a été à l’origine de la censure du corps au nom d’une pseudo pudeur, la fausse morale religieuse quand tu nous tiens. Gabrielle d’Estrées a ébranlé l’ordre religieux déjà au 16 e siècle. L’homme a fait du corps de la femme son territoire inviolable, où chaque partie de ce corps a une connotation sexuelle.

C’est en faisant du corps de la femme un mode d’expression politique et d’affirmation de soi qu’Amina a troublé l’ordre social tunisien et a mis les tunisiens  en émoi de peur de se regarder dans leur propre miroir. 

La nudité partielle d’Amina les a révélée à eux-mêmes quant à leur incapacité de sortir de leur état de sclérosés mentaux.

Plutôt que de se poser les bonnes questions et analyser la portée de son geste, ils ont préféré adopter une posture de saintes ni touches et de la verge effarouchée.

Leur dénigrement d’Amina n’est autre en réalité que la peur d’eux-mêmes. Leur image de lâcheté et le refus de soi contrastent avec l’image d’une héroïne des temps modernes bravant les interdits religieux et politiques.

Amina a transgressé les dogmes même de l’islam. Elle a mis à nu le statut de la femme dans l’islam en revendiquant son plein droit sur ce corps dont elle est la maîtresse absolue et non ce champ de labour dont Allah a fait don à l’homme, a heurté l’inconscient collectif tunisien qui a mis nu l’archaïsme maladif de la société tunisienne.

Et bien plus encore elle a démystifié la morale relieuse musulmane qui légitime la prostitution pour l’honneur d’Allah et qui condamne toute forme de résilience pour l’honneur de la femme.

Mon corps est mon honneur et en aucun cas l’honneur d’un dieu ou d’une religion. Il n’y a pas pire  déshonneur et atteinte au corps de la femme  que sa codification culturelle.

Mentionner  la virginité de la femme  dans un acte de mariage dans les sociétés arabo-musulmanes n’est pas seulement humiliant pour la femme, il l’est surtout pour la société elle-même qui porte le corps de la femme comme un fardeau dont elle doit  se débarrasser  pour s’épargner les commérages et l’infamie.

Par son geste Amina a violé le tabou social qui dépossède la femme de son propre corps susceptible de faire jeter la honte et d’entacher l’honneur et la réputation de sa famille, de son clan et de la société dans son ensemble, alors que livrer le corps de ses fillettes et ses femmes en Holocauste aux terroristes en Syrie est tout-à-fait honorable et respectable.

Là où le corps est une expression de l’honneur de la femme est jugée condamnable et obséquieux, en revanche là où le corps de la femme est instrumentalisée à des fins religieuses qui la réduisent à un simple objet sexuel,  une esclave dépourvue de conscience et de psyché, cela ne semble gère offenser l’honneur des tunisiens. 

C’est la fausse pudeur arabo-musulmane qu’Amina a mise à la lumière du jour. Il est temps d’en finir avec l’imposture comme règle de vie en société et d’abolir le régime d’Apartheid sexuel qui frappe la femme chez les primates arabo-musulmans castrateurs du corps de la femme et qui font projeter sur lui le mépris qu’ils ont de leur propre corps. Un des corps le plus enlaidi et disgracieux au monde.

Quant  aux vrais primates, ils avaient une représentation asexuée du corps de la femme.

La tartufferie arabo-musulmane : cachez-moi cette chose que je n’ose pas voir publiquement mais qui me fait fantasmer dans mes alcôves.

 
On doit s’inquiéter surtout du statut de la femme et de ses droits à disposer pleinement de son corps et non pas du combat des femmes pour leur liberté.
 
Une femme libre aujourd’hui, une société libérée du poids pesant de la religion demain.
Voilà pourquoi l’islam a peur de la femme.
 

La Tunisie n’est pas l’Egypte, voilà pourquoi son peuple ne l’arrachera jamais à son destin islamiste

 

Si Ennahdha est encore là c’est parce que les tunisiens le veulent bien, et si Morsi n’est plus là c’est parce que les égyptiens n’en veulent plus.
Quand  on découvre un vice caché dans un produit qu’on vient d’acquérir, on rompt le contrat, comme lorsqu’on confie des travaux à un maître d’ouvres qui ne respecte pas les termes du contrat on le vire.
La légitimité n’est pas un droit inaliénable et qu’elle peut être remise en cause par le mandant.
  Aucun mandataire ne peut opposer sa volonté au mandant quand il viole de manière flagrante les clauses du contrat.
C’est l’absence de réaction de la part du mandant qui laisse croire au mandataire qu’il a toute latitude pour agir selon son bon vouloir lui conférant ainsi une légitimité insensée.
Qui ne dit mot consent et qui n’agit pas entérine les situations de non-droit.
Transposé au cas de la Tunisie, il est clair que les tunisiens s’ils font semblant de gesticuler s’accommodent parfaitement de la situation.
Leur priorité n’est pas aujourd’hui la Tunisie, ils s’enivrent des  fêtes de mariages , ils n’ont pas à se préoccuper  des malheurs de la Tunisie.
Que le mandataire Ennahdha  tue et massacre les soldats et les hommes politiques, il n’y a pas lieu de mettre le holà sur ses agissements.
A cause de l’absence de dénonciation du mandat qu’Ennahdha se trouve dotée de facto  d’un blanc seing pour mettre le pays à feu et à sang. Ainsi, cette dernière est en droit de se prévaloir d’une  légitimité incontestable et incontestée  pour  poursuivre sa politique  de mise à mort du pays. 
Que la note de la dette souveraine ait baissé de deux crans, rendant ainsi le loyer de l’argent plus cher et accroissant le surendettement du pays, ce qui en d’autres termes  est synonyme de la faillite inexorable du pays et sa liquidation programmée au profit du Qatar, les tunisiens ne s’en inquiètent pas pour si peu  tant qu’ils savourent l’élixir de leurs fêtes estivales.
Tant qu’on a l’ivresse peu importe le calice. Que le pays soit en récession  chronique, que l’inflation galope, que le chômage flambe, que l’insécurité augmente, que le dinar soit bientôt une monnaie de singe, que la perte de la souveraineté nationale soit engagée. que le pays se somalise, cela  ne va  pas un cierge au mausolée de Sidi Bel Hassen.
Ils ont le coeur à la fête pendant que le pays a la tête dans l’eau boueuse et nauséabonde  et vit sous la menace de la houle grise et noire islamiste.
  
Ne faisant rien pour la contenir en érigeant une digue contre elle, ils laissent  à l’organisation  criminelle d’Ennahdha les coudées franches pour transformer le pays en tombe à ciel ouvert.
Et c’est l’impunité dont jouit Ennahdha qui lui donne toute légitimité pour achever l’oeuvre génocidaire des sauterelles arabisées des Banu Hilal et de leurs alliés les Banu Souleim.
L’indifférence pathologique des tunisiens, leur antipatriotisme  légendaire et leur égocentrisme qui sont les  meilleurs alliés de  Ghannouchi,  le félon, le mercenaire, le renégat, le blasphémateur, le chef milicien, l’hérétique,  l’imposteur, le terroriste et l’ennemi de l’islam.  
Contrairement aux tunisiens, les égyptiens  musulmans, coptes, athées qui ont le sens du devoir et du sacrifice  su placer l’amour de la patrie au-dessus de tout et ont pu mettre fin en toute légitimité politique  au mandat de l’homme qui voulait démanteler l’Egypte et précipiter sa perte..
 
 

A force de séduire la bête immonde islamiste, l’Occident finira par lui servir de festin

Que l’occident cesse de s’ingérer dans les affaires internes des pays arabophones. 

L’ère coloniale est révolue, il doit comprendre que le droit des peuples à disposer de leur destin politique est une valeur universelle et en aucun cas l’exclusive des siens. Il n’a pas à être ni juge, ni parti, ni acteur dans les coulisses, ni guide de la transition qui est plutôt une transition de l’indépendance à la satellisation de ces pays,  ni commentateur des événements politiques qui touchent ces pays.

Si en Egypte l’armée égyptienne s’est fait l’écho de la pression de la rue, il n’a qu’à prendre acte de la volonté du peuple égyptien d’évincer le pire gouvernement de son histoire qui veut démanteler le pays et le précipiter dans un gouffre abyssal.

Il doit savoir que ces peuples sont majeurs et qu’ils n’ont aucunement besoin de tuteurs et de donneurs de leçons malveillants et irresponsables.

De quel droit  exprime-t-il  ses inquiétudes qui sont plutôt l’expression de son cynisme et de sa mauvaise foi quant aux événements politiques qui secouent l’Egypte et la Tunisie alors qu’il a été à l’origine directe de l’état de pourrissement  de la situation qui vaut à ces pays de vivre les pires crises de l’histoire politique.

Après avoir joué un rôle actif dans les chutes de Hosni Moubarak, Zine al Abdine Ben Ali et Moâmmer kadhahi et essayer sans succès de faire chuter Bachar Assad, il s’effarouche d’assister au réveil salutaire du peuple égyptien qui refuse de se soumettre à la dictature des frères musulmans qui ont ruiné l’économie du pays à l’image d’Ennahdha en Tunisie, cette autre filiale de la Confrérie.

Il s’inquiète de l’éventualité de guerre civile en Egypte et en Tunisie, alors qu’il ne s’agit en réalité que d’une guerre anticoloniale, il aurait dû y penser en amont quand il était encore temps en restant à l’écart du jeu politique de ces pays.

Là où tout le monde attendait à une naissance d’un Crossant démocratique du Maroc à la Syrie, on a eu contre toute attente un Croissant wahhabite à l’exception de l’Algérie et la Syrie qui résiste à la nouvelle configuration politique desdits pays impulsé par l’Occident lui-même au nom de la démocratie.

Comme si les terroristes qu’il avait aidés étaient un parangon de vertu démocratique.  Il devrait s’inquiéter plutôt des conséquences des choix de ses amitiés politiques plutôt que de la volonté des peuples à refuser un capitaine qui va mener leur navire sous les fonds abyssaux des mers.

S’est-il lui même regardé dans son propre miroir en se demandant comment lui l’Occident qui s’est libéré du joug de la barbarie et de la théocratie fait-il pour aider les forces réactionnaires et despotiques à accéder au pouvoir dans les pays du Crossant arabisé ?

Quand on veut le bien pour soi on doit aussi le vouloir pou autrui pour éviter le retour du bâton.

A se demander si les gouvernements occidents sont aussi démocratiques qu’ils en ont l’air et soucieux du respect des droits de l’homme et du citoyen

Pourquoi  est-il charitable avec les ennemis des libertés qu’il drape paradoxalement dans les habits de lumière d’acteurs majeurs de la transition démocratique de ces pays tout en sachant pertinemment qu’ils sont fondamentalement nazis et qu’ils n’ont qu’un seul dessein détruire la démocratie là où elle se trouve ?

S’émouvoir du sort des Frères musulmans en Egypte c’est une insulte à la conscience humaine. c’est aussi souscrire à l’idéologie de haine, génocidaire et raciste de la Confrérie

Condamner le coup d’arrêt porté par le peuple égyptien appuyé par son armée à la gouvernance antinationale de la Confrérie est un acte inamical et hostile à l’Egypte,

Pourquoi n’a-t-il jamais condamné les propos anti-coptes de Morse, les pogroms dont sont victimes les coptes ? Pourquoi n’a-t-il jamais condamné les propos philonazis de Qaradhaoui ni ceux de R, Ghannouchi ?

Pourquoi Ennahdha  qui continue à figurer sur la liste noire des organisations terroristes  au Canada est-elle devenue fréquentable pour les autres pays occidentaux ,

Que dissimule ce soutien lâche et coupable de l’Occident pour la Multinationale du Crime religieux dont est issu Al Zawahiri, Ben Laden, Omar Bachir, Hassan Tourabii et que des tristes sires.

 Peut-être qu’il veut acheter sa propre sécurité en jouant au V.R.P. de luxe et l’avocat du diable wahhabite.

La Realpolitik a des limites que la morale réprouve.  Mais l’Occident ne semble guère s’embarrasser de scrupules pour aider à l’émergence de pouvoir démocratique dans ces pays, il préfère composer avec le Satan islamiste qui lui paraît seul garant de ses intérêts.

Amnésique et aveugle, oublieux de sa propre histoire et  de sa capitulation  face au nazi et  l’épisode de son humiliation dans la Révolution iranienne. 

Toujours obsédé par ses seuls desseins géostratégique, géo énergétique, de politique intérieure à des fins électoralistes, géoéconomiques et financiers.

 Son calcul sordide  et suranné  va un jour où l’autre lui jouer  un coup dont il ne se relèvera jamais.

Il peut écrire imaginer concevoir tous les scénarios de despotisme obscurantiste pour ces peuples, qu’il croit pouvoir pressurer et exploiter  à sa guise   pour sa propre pérennité, en les maintenant dans son champ de domination néo impérialiste afin qu’ils ne tombent pas dans l’escarcelle du B.R.I.C.S. le bloc qui le fait cauchemarder, il n’a toujours pas appris que toute politique a des effets pervers surtout quand il s’agit de tisser des alliances contre nature.

 Il a tout à gagner dans un partenariat gagnant-gagnant avec des peuples arabisés majeurs et démocratiques qui constituent pour lui ses vraies soupapes de sécurité et un frein aux flux migratoires, voire une décrue de l’immigration plutôt que de mener une politique de courte vue et à contre-courant de l’histoire.

Il joue perdant sur les deux tableaux,  d’une part il attise l’animosité et accroît les frustrations  de ses  alliés naturels dans ces pays que sont les forces démocratiques et modernistes  pour en faire des ennemis demain, et d’autre part il joue avec le feu en faisant de ses ennemis viscéraux ses alliés d’opportunité qui un jour ne manqueront pas de le dépecer comme un vautour dépeçant sa proie.

Naïf certainement pas mais pervers et schizophrène, il l’est assurément.

 

 

C’est une guerre de libération nationale qu’il faut livrer à l’occupant islamiste

 

 
 
 
Ennahdha est entrée par la voie royale , maintenant qu’elle y est, savourant sa victoire bénie d’Allah, il ne faut  pas  s’attendre à ce qu’elle quitte les ors de la république qu’elle vomit tant pour les  beaux yeux des tunisiens.  
 
Ils doivent se résoudre à faire leur dueil des urnes s’ils veulent  lui arracher le butin tunisien  qu’on lui a servi très démocratiquement charlatanesque et guignolesque,
 
Prête à tout pour conserver ses privilèges  et  préserver ses acquis, surtout que si elle  les perd, elle finira aux pieds de la Roche Tarpéienne. Jetée en festin aux loups qui n’attendent que l’occasion pour la dépecer.
 
Consciente  qu’elle a atteint les sommets himalayens de la cristallisation du rejet et de haine. Plus que la mafia Ben Ali-Trabelsi que de nombreux tunisiens commencent à regretter.
 
La Tunisie est  ainsi son salut et son butin qu’elle a acquis sans coup férir grâce à la complicité de certains et la naïveté de B.C.S.  après avoir cherché à l’obtenir par la terreur et le vitriol.
 
Elle ne fait que suivre les prescrits de sa religion, ce qui est acquis ne peut plus lui être repris que par la force.   Il faut lui disputer son butin tunisien par tous les moyens sinon il faut entériner son droit de propriétaire  légitime de la Tunisie.
 
La  Tunisie n’est pas aux bords de la guerre civile, elle est le futur théâtre d’une expédition punitive contre les pilleurs du pays

Que l’islam apprenne qu’on ne fait pas de la mort le salut des âmes de ses fidèles

Pas un jour, pas une heure, pas une minute, pas une seconde, pas un millième de seconde qui  passe sans qu’une tuerie perpétrée à chaque fois par des musulmans ne vienne accroître notre phobie de l’islam.
L’islam fait peur et nourrit angoisses et rejets et les musulmans sont incapables de contrôler leurs pulsions meurtrières. I
Ils ne font rien pour pacifier le caractère de leur religion et rassurer le monde sur leur volonté de contribuer à la paix internationale.
Ils n’ont dans leur bouche que les appels au meurtre et cette satanée évocation d’Allah Akbar, source de cauchemar de l’humanité, à chaque fois  qu’ils accomplissent  leur Holocauste.
Ils ne font que semer que la mort et  la terreur autour d’eux. Trop c’est trop, il est temps qu’ils redeviennent humains, sinon ils vont finir par connaître le même sort que les nazis.
Le monde ne va pas rester passif indéfiniment face à leur folie meurtrière, leur penchant cannibale  et les assassinats des petits enfants qu’ils vont jusqu’à filmer pour les diffuser sur la toile afin de prendre le monde entier à témoin de leur barbarie sans limite. A force de jouer avec la mort, c’est elle qui va finir par les achever tous.
Ce n’est pas par hasard qu’ils portent leur linceul de leur vivant. Y en a assez de cette religion raciste, xénophobe, sanguinaire, impérialiste, envahissante, irrespectueuse des lois, nombriliste, suffisante, arrogante, ethnocentrique, totalitaire, génocidaire, qui se mêle de tout, liberticide, étouffante qui rend l’air irrespirable et qui met en péril notre devenir humain.
Soit l’islam devient une religion au même titre que toutes les autres et cesse ses entreprises effrayantes, destructrices, inhumaines, terroristes,  et bellicistes, soit il est du devoir impérieux de la communauté des nations de mettre fin à ses agissements criminels.
Il est absolument inadmissible  et insensé qu’il puisse jouir d’autant d’impunité et de laxisme  de la part du monde non-musulman et des musulmans eux-mêmes qui aspirent à vivre en harmonie avec le reste du monde même si c’est contraire aux prescrits de leur religion.
L’islam ne semble toujours pas avoir compris qu’il n’a aucun droit pour imposer au monde sa propre vision de la gouvernance de la vie des hommes, et ce n’est certainement pas en recourant à la terreur qu’il va pouvoir y arriver.
Qu’il sache que des empires entiers autrement plus puissants que lui ont disparu de la surface de la terre.
Son refus de reconnaître le droit à la différence de tout un chacun ne fera jamais de lui une religion de paix et de tolérance comme le proclament ses adeptes, il continuera à être assimilé à une vulgaire idéologie politique fasciste et despotique.
 Islam , sache que seul le pouvoir de la raison  fait force, toute autre voie te mène tout droit vers ta propre perte et attention au retour du bâton.
 
Une religion, la vraie ce qui n’est pas ton cas ne  fait pas de la mort le salut des âmes de ses fidèles

Et si Ennahdha n’était pas le vrai visage de la Tunisie ?

Reconnaissons  à Allah ce qui est à Allah et à Ennahdha ce qui lui revient de droit, c’est pourquoi on se doit plus que jamais  rendre justice à la secte infâme d’Ennahdha et lui t reconnaître l’immense mérite de révéler les tunisiens, ou plutôt une majorité des tunisiens à eux-mêmes.

Elle est le miroir de la Tunisie. Grâce à elle et en aucun cas à cause d’elle,  20 mois c’est trop court pour impacter les mentalités, nul doute que si le pays touche le fonds aujourd’hui c’est moins la faute d’Ennahdha que la faute des tunisiens eux-mêmes et qu’il était déjà bien engagé dans son processus de pourrissement entamé depuis l’époque de Mohamed M’Zali, fervent défenseur de l’arabo-islamité.

Ennahdha n’est pas le fruit du hasard, elle n’est E.T.,, elle est l’exact  reflet de la culture tunisienne,  une culture où le dernier arrivé est le premier servi comme tous ces imposteurs qui ont déferlé comme une nuée de sauterelles sur la Tunisie dès le lendemain de la chute de Ben Ali se prévalant tous d’une posture révolutionnaire.  Celle des bistrots parisiens pour les uns et des restaurants kebabs pour les autres.

Ennahdha, si elle se trouve en haut de l’affiche c’est parce qu’elle met à la une la culture de la mégalomanie, des faux-semblants, du paraître, du surdimensionnement de l’ego.
Une culture du superficiel, de l’avidité, de la cupidité, de la vanité, de la vantardise, de la pleurnicherie, du figurant qui tient le premier rôle, de l’arrivisme,  de la veulerie, de la trahison,  du mensonge, du pique-assiette, de l’entourloupe, de l’esbroufe, du dol, du pousse-toi où je t’écrase, du narcissisme, de la surestimation de soi et de l’imposture
 

La secte infâme est l’incarnation parfaite  du vrai visage de la Tunisie dans toute sa laideur, ses tares, son apathie, son laisser-faire, son indifférence, son chacun pour soi et après moi le déluge, son opportunisme, son absence d’esprit de combat, ainsi que la médiocrité intellectuelle de sa classe politique, lâche et mollassonne.

Manquant d’envergure, son incapacité à mobiliser les foules, sa stérilité, son incapacité à présenter une alternative crédible à Ennahdha, son absence de militantisme actif, d’aiguillon politique, le pire est son incurie patriotique.

La Tunisie est comme un bateau  ivre qui part à la dérive parce qu’il n’y a personne à la commande. Ce n’est pas par hasard si le pays est livré à des hors-la-loi  et des pillards qui font régner la terreur sur le pays, se partageant le butin dans la bonne tradition mahométane. 

La Tunisie est victime de la vacuité, et de la fatuité  de ses propres enfants. Ce sont eux qui sont la cause de sa mauvaise posture actuelle.

Il serait injuste de faire de la secte infâme faisons  la cause de tous les maux du pays, cristallisant rejet et aversion alors qu’elle ne fait renvoyer aux tunisiens une image fidèle d’eux-mêmes.

 
 

Front Populaire ou Front de la Honte et de la Capitulation

 

Quand l’histoire nous rattrape et surtout quand il y a des références à l’histoire très lourdes à porter et qui réveillent en nous un des pires cauchemars de l’humanité.
En effet, le Front Populaire tunisien qui a certainement voulu s’inspirer de l’histoire des forces de gauche en France dans les années 30 qui se sont coalisées sous la même bannière appelée Front Populaire, connaît-il au moins les deux épisodes,, il y en a d’autres, qui ont laissé les traces les plus indélébiles dans l’histoire de ce front de la capitulation et la honte nationale : la participation aux J.O. de Berlin de 1936 et Munich 1938.
Une histoire peu glorieuse, à moins que la gauche tunisienne ne la connaisse pas ou plutôt s’imagine que les autres l’ignorent, il est à craindre que ce front ne réédite l’histoire de ses ancêtres gaulois.
Il y a des symboles historiques qu’il vaut mieux les  laisser enfouis dans le musée de la mémoire  de crainte qu’ils ne soient prémonitoires. Dans les années 30 la France avait entamé le processus de sa défaite et de sa collaboration. La Tunisie est entrain de s’inscrire dans son sillage.
Tous les deux ayant pour dénominateur commun : le front populaire. Un très mauvais présage dans le ciel tunisien.
Quand bien même, le front populaire tunisien n’est pas au pouvoir à la différence de sa référence ultime, il y a des comportements et des signaux politiques qui ne laissent rien augurer de positif.
Condamner le coup d’Etat militaire égyptien  appuyé pourtant par le peuple égyptien qui est un inévitable pour éradiquer le mal absolu en dit long sur la conscience citoyenne, patriotique et républicaine du front populaire tunisien dont certains des membres et non des moindres avaient pactisé avec Ennahdha dans le passé.
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La guerre des islam est-elle imminente ?

La guerre de religions aura-t-elle lieu en Tunisie ? Mais contrairement à sa grande soeur chrétienne, où les chrétiens persécutaient les protestants, celle-ci est fomentée par une minorité activiste schismatique hyper sectaire et ultra violente qui se veut le vrai Islam et qui veut éradiquer l’Islam officiel ayant pris forme à Kairouan et ayant façonné le caractère tolérant actuel des tunisiens.

Deux conceptions de l’Islam qui s’opposent avant qu’elles n’en viennent à en découdre dans un bain de sang. Deux Islam à des

Mohamed Ibnou Abdelwahab, le prophète des  salafistes et djihadistes qui veulent faire marcher la Tunisie en arrière!

Mohamed Ibnou Abdelwahab, le prophète des salafistes et djihadistes qui veulent faire marcher la Tunisie en arrière!

années-lumière l’un de l’autre. Un Islam véhiculé et importé par la Qaïda locale, celui synonyme de la trahison, de la haine de l’autre, de l’intolérance, du puritanisme de l’hypocrisie, de la perte de l’identité nationale et de l’indépendance du pays, du djihad, de la pédophilie, de la polygamie, du mal vivre, des injustices sociales, des inégalités, de la corruption, de la relégation de la femme, du racisme, de l’antisémitisme, des abus de pouvoir, du népotisme, de la dictature de la religion. Un Islam rejeté en bloc par la majorité des tunisiens qui s’arcboutent à leur Islam hérité de leurs aïeux. Celui qui a cimenté leur unité et qui fut le moteur de leur lute pour l’indépendance nationale. Un Islam du bien vivre ensemble où juifs, chrétiens, agnostiques et musulmans vivaient en bonne harmonie, ébranlée en 1967 par une crise venue d’Orient. La spécificité de l’Islam tunisien est mise à mal par le péril venant de l’Est. Un Islam du respect des droits de la femme. Celui du consensus et de la modernité. Celui que la Qaïda tunisienne se plaît à le présenter comme étant le sous-produit du sionisme auquel la Tunisie de Bourguiba doit le C.S.P.

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Mohamed Fadhel Ben Achour, l’un des imminents théologiens de l’Islam Mélikite et modéré au Mghgreb

Plus le mensonge est gros, plus il a l’allure de vérité. Fourbes, pervers, fabulateurs et apostats, les islamistes sont capables de dénier au Prophète lui-même l’authenticité de son Message, ils ne vont pas se priver de couvrir d’insanités et de calomnies l’Islam qui a concouru à la construction de la personnalité tunisienne et qui a permis à Bourguiba de libérer l’héritière de Didon et de la Kahina du carcan des traditions qui sont loin pourtant en avance sur le modèle de société qu’Ennahdha veut imposer aux tunisiens. L’Islam que cette secte sataniste veut vouer aux gémonies, n’est pas un Islam collaborationniste comme le leur. Il a été le catalyseur de l’indépendance de la Tunisie, comme celle de l’Algérie. Il est celui qui a toujours résisté à l’invasion wahhabite dans les mosquées dès le début du 19e siècle. Un Islam de la dignité de l’homme et de l’orgueil national. L’Islam tunisien, est un Islam nationaliste et patriote. A la différence de l’histoire sulfureuse de l’Islamisme qui doit son avènement tant en Arabie à la fin du 18e siècle qu’en Egypte dans les années 1920 aux occupants britanniques. Contrairement au leur, l’Islam tunisien n’est

Jihadistes tunisiens

Jihadistes tunisiens

pas un Islam de godillots et de pantins à l’instar du leur. Il n’est pas un pion sur l’échiquier des grandes puissances et une marionnette dont elles tirent les ficelles à leur guise.

L’Islam malékite au nom associé à l’histoire de la Tunisie depuis 1400 ans est bel et bien celui de la grandeur et de la splendeur du monde musulman auquel il doit une de ses pages des plus glorieuses pages celle de la conquête d’Espagne, tandis que celui dont les islamistes se targuent, qui n’a d’Islam que le nom, est l’Islam de la honte, de la vassalisation, de l’ignominie, de la terreur et de l’abandon de la souveraineté nationale. Comparer le vrai Islam de la Tunisie à celui d’Ennahdha n’est pas une faute c’est un crime. Comme si l’on pouvait comparer l’humanisme au nazisme. Ce n’est pas par hasard que l’Islam tunisien a choisi le camp des libertés en 1939-45 à la différence de l’islamisme qui a combattu au sein des forces nazies. Ce n’est par hasard non plus que les malékites ont toujours défendu leurs frontières nationales, tandis que les islamistes se terraient comme des rongeurs qu’ils le sont dans leurs tanières. Ce sont des musulmans tunisiens malékites morts et blessés pendant la Révolution du Jasmin, et non pas des islamistes qui profitaient de leur exil doré en Occident et de la générosité de leurs mentors wahhabites et iraniens. C’est grâce aux malékites tunisiens qu’ils sont sortis de leur néant. Vivement qu’ils y retournent et que la Tunisie tunisienne et plurielle retrouve sa quiétude et sa sérénité.

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Les égyptiens et les tunisiens n’ont pas le choix des armes pour éradiquer l’islamisme

Chez les vrais musulmans que sont les Frères musulmans philonazis notoires qui n’ont de l’amour de la vie que  leur haine viscérale pour autrui, il y a des morts musulmans plus sacrés que d’autres. Les leurs méritent respect, compassion et prière du défunt.
Les autres que bien souvent ils tuent eux-mêmes  de leurs propres mains les offrant en Holocauste à leur Allah sanguinaire et avide de chair humaine, comme en Egypte et en Tunisie, ils n’ont que ce qu’ils méritent, ce ne sont que des mécréants après tout, des êtres impurs, des mauvaises herbes qu’il faut éliminer pour empêcher les effets de contagion.
 
Fidèles à leur engagement littéraliste, ils ne  font qu’appliquer les lois de l’islam qui punissent de mort tous ceux qui ne suivent pas à la lettre les prescrits de leur religion.
C’est en toute logique dogmatique  que le Ministre des affaires de l’islam wahhabite en Tunisie appelle à une grande journée de prière en hommage aux martyrs de sa Confrérie tombés sous les balles assassines des forces de l’ordre égyptiennes infidèles.
Voilà pourquoi ce même ministre glorifie et  rend hommage  aux meurtriers de Chokri Bel Aïd, Mohamed Brahmi, des soldats tunisiens égorgés à Jebel Chaäbi, Lotfi Nagga.
Aujourd’hui les musulmans tunisiens et égyptiens sont en face d’un cruel dilemme soit ils font une  allégeance totale  aux valeurs de l’islam prônées par les amis de R.Ghannouchi  et se soumettent définitivement ad vitam aeternam à la dictature théocratique seule garante des intérêts de l’Occident en perte  de vitesse qui joue gros avec l’émergence des Etats démocratiques soit ils lui mènent une guerre fratricide pour préserver leur propre pérennité humaine.

Moncef Marzouki esclave de son maître R. Ghannouchi

Honte à toi à  Moncef Marzouki, larbin, godillot, pantin, bouffon, séide, lèche-babouches  et fayot de R. Ghannouchi. 
Tu viens d’apporter la preuve formelle que tu es sa marionnette. Un esclave aux ordres de son maître.
L’ivresse du pouvoir fait de toi une loque humaine. Tu devrais retourner dans le néant duquel t’avait sorti le peuple tunisien à son corps défendant que tu affames et escroques.
C’est par lui que tu es payé royalement et non pas par le chef de ta secte satanique le monstrueux R. Ghannouchi, l’homme le plus abject, infect et détesté de l’histoire de la Tunisie. 
  Tu t’accroches à l’illusion du pouvoir comme un toxicomane qui voit les couleurs et sent les odeurs.
Tu as atteint le degré zéro de l’indignité humaine. 
Lâche, veule, cupide, opportuniste, avide, mégalomaniaque, souffrant de troubles de personnalité  dépourvu de discernement, aux facultés mentales gravement altérées, incapable d’exister face à ton Gourou, qui te tétanise et te fige dans ta lâcheté.
Tu es sa chose, sa figurine hideuse, sa pâte à modeler nauséabonde comme l’odeur du purin dans lequel tu as  mis la Tunisie.    
Ton passé de militant des droits de l’homme sent le souffre qu’ont  laissé  derrière elles les bombes qu’ont fait exploser  en 1987 et 1991 les lieutenants de ton maître-esclavagiste qui te fascine tant et pour lequel tu as trahi la Tunisie en devenant son chien aboyeur sur les tunisiens qui dénoncent la qatarisation du pays.
  Après une telle humiliation publique devant témoins, tu es encore là à faire le beau, tout fier  de toi, tu fais comme si de rien était.
Tu t’es déshonoré ce qui est logique connaissant ton personnage, mais  tu n’as pas le droit de discréditer   la Tunisie et de la couvrir  d’infamie comme tu viens de la faire aujourd’hui en présence d’une délégation officielle japonaise, le premier au monde à avoir supprimé le visa aux tunisiens dès le lendemain de la chute du mafieux Ben Ali et le seul de surcroît à vouloir aider économiquement la Tunisie.
Si tu as encore un fond de dignité en toi tu devrais faire tien le  destin  de Félix Faure.
Tu as définitivement perdu la face, tu n’as pas le droit de regarder la Tunisie en face.
La seule trace que tu laisseras dans l’histoire est celle d’être le premier président-bouffon de l’histoire de la Tunisie.

Pour le raciste Rached Ghannnouchi n’est tunisien que celui qui est musulman

« N’est allemand que celui qui a du sang aryen dans les veines » comme le proclamait Adolf Hitler en 1935 pour motiver l’ exclusion des juifs et des minorités non germaniques de la nationalité allemande en vertu des lois raciales de Nuremberg  dans l’indifférence totale ou presque de la S.D.N. et encore moins des vainqueurs de la deuxième guerre mondiale. Comme si les parias du nazisme étaient une question de détails pour emprunter une expression criminelle de Jean-Marie Le Pen.

 

76 ans après les mêmes propos nauséabonds sont reproduits sous d’autres cieux par ceux que l’Occident a adoubé pour présider au destin des populations égyptiennes et tunisiennes, en l’occurrence les terroristes recyclés en hommes de pouvoir.

 

Ainsi Morsi et Ghannouchi   fidèles aux prescrits du Coran qui bannit de la cité les non-musulmans  auxquels on ne leur laisse  aucun choix en réalité soit la soumission à l’islam soit la valise, autrement dit le cercueil pour ceux qui refusent de s’y soumettre ou n’ont guère les moyens d’émigrer vers des endroits plus cléments et hospitalier,  n’ont pas fait mystère de leur projet à l’attention des minorités non-musulmanes des menaces planées sur le sort de ces dernières.  Pour Morsi, les coptes doivent choisir entre l’islam et la valise, tandis que pour Ghannouchi, seule l’appartenance à l’islam est facteur de nationalité.

 

Contrairement à Hitler qui n’avait laissé aucun choix aux allemands entièrement à part,  ces deux derniers en toute logique coranique  ne laissent aucune alternative à ceux qui sont pas de leur bord religieux s’ils veulent jouir des mêmes droits que les musulmans qui sont eux-mêmes dépourvus de droits.

 

Ce n’est pas certainement pas le statut de dhimmis réservé aux seules gens du Livre qui va les consoler pour vivre dans des pays liberticides et inhospitaliers,

 

Quant au sort des athées, agnostiques, bouddhistes, païens et autres comme le Coran n’a rien prévu pour eux, on peut imaginer qu’ils n’ont pas le choix s’ils veulent avoir  la vie sauve que se soumettre à l’islam.

 

Un chantage odieux et négateur des libertés de culte et de conscience que ni la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies ni l’Occident qui les adoubés ne condamnent et désapprouvent, alors qu’il n’est pas sans rappeler des souvenirs traumatiques pour l’humanité. Il n’y a pas pire racisme que de lier  foi et nationalité comme pureté de sang et nationalité.  Ni la foi ne la pureté de sang ne doivent la conditionner au préjudice des critères objectifs de droit positif.  En quoi être musulman confère à celui qui s’en prévaut plus de droits et de privilèges que celui qu’il ne l’est pas ?  Un  véritable déni de droit à l’égard des non-musulmans condamnés à l’exclusion et au bannissement pour le seul fait de leur non-appartenance à la religion musulmane.

 

L’idéal musulman est néfaste aux droits humain, discriminatoire et raciste,  la  foi ne doit pas primer sur la patrie et la religion n’a pas à définir la nationalité comme c’est le cas en Arabie Saoudite, l’Etat le plus raciste et ségrégationniste au monde.

 

Paradoxalement ce sont les pays des droits de l’homme qui veulent faire de cet idéal le mode de gouvernance politique et la norme juridique  pour des pays comme l’Egypte et la Tunisie. On fait semblant de combattre le racisme chez soi et on lui prête main forte ailleurs.

 

Ghannouchi
Ghannouchi (Photo credit: AslanMedia)

 

 

 

Plan d’action pour sortir la Tunisie du bourbier dans lequel l’a mise l’organisation fasciste et félonne d’Ennahdha

 

La Tunisie connaît aujourd’hui sa pire crise politique, économique et sociétale de toute son histoire depuis l’invasion génocidaire des tribus arabisées des Banu Hilal et de leurs alliés des Banu Souleim.

Il y va de la survie  du pays . Le remède à ce mal profond qui est entrain de gangrener les fondements du pays présentant même des sérieuses menaces sur sa pérennité passe nécessairement par une thérapie lourde où tout compromis est synonyme de compromission avec les fossoyeurs islamistes du pays

C’est pourquoi, afin de lui impulser un véritable nouveau souffle et  donner du sens aux idéaux de sa révolution qu’il n’en déplaise à ses Cassandre,  il faut une réelle volonté politique et un investissement de tout un chacun  qui font cruellement défaut actuellement  à la Tunisie pour créer les conditions optimales pour de remettre le pays en dans le sens de la marche de l’histoire et non pas d’un passé légendé mais ô combien barbare et infâme un projet d’avenir pour la Tunisie.

En tout état de cause soit le maintien du statut-quo et reproduire les mêmes erreurs que celle de la crise du mois de février 2013,  avec les risques d’un enlisement inextricable et précipiter la Tunisie dans une guerre de religions entre les tenants d’un islam  tunisien moderniste et respectueux de la diversité du pays et les partisans d’un islam venu d’ailleurs, conquérant, impérialiste, négateur des droits à la différence et à la vie méprisant et liberticide.

Aux grands maux les grands remèdes. il faut commencer par faire dégager tous les responsables dont  le premier d’entre eux Ali Larayedh, l’homme des basses besognes de R. ghannouchi et l’artisan majeur du naufrage sécuritaire du pays sur qui pèse de forts soupçons dans les assassinats politiques qui rythment la vie du pays depuis le 23 octobre 2011.

Cet homme doit disparaître  de l’échiquier politique nationale comme tous ses semblables miliciens. 

Ni lui ni personne ne peut se prévaloir d’une quelconque légitimité ou prétendre en détenir grâce à la mascarade électorale qui quoiqu’il en soit cesser de produire ses effets depuis le 23 octobre 2012.

Et quand bien même il peut s’en prévaloir, il doit savoir qu’un mandat électif n’est pas sa propriété de plein droit. il en est un simple dépositaire qu’il peut perdre en cas d’échec en cours du mandat.

Quand on ne respecte pas les termes du contrat, le contrat est résilié de plein droit.

Quand un capitaine de navire fait couler son navire sans avoir occasionné des dégâts humains, il doit assumer toutefois ses responsabilités en quittant ses fonctions en même temps que tous les membres du commandement. Or dans le cas d’espèce, ce capitaine saboteur-comploteur a provoqué le naufrage de tout un peuple.

Le conserver, revient à légitimer l’échec et accroître les risques d’un naufrage incommensurable, pire que celui du Titanic.

Il est aberrant et insensé que les tunisiens pensent pouvoir renflouer leur navire avec l’ancien capitaine, alors que cet homme a lamentablement échoué sur tous les plans. Il n’a aucune circonstance atténuante à faire-valoir.

Non seulement, il est la cause première de l’état de délabrement actuel du pays, mais également il est à l’origine directe du processus de somalisation de la Tunisie et de sa mise à mort en Tant qu’Etat de droit.

Son amateurisme, son incompétence, son manque de charisme, son inculture, son absence de vision politique, son passé terroriste, son aversion pour les valeurs de la république, son laxisme à l’égard des salafistes et de ses amis politiques impliqués dans des affaires de corruption et de bonnes moeurs, son inféodation au Qatar, son enrichissement personnel foudroyant et mystérieux, sa manie de vendre les joyaux de l’économie tunisienne aux qatariens, et bien d’autres faits qui jettent un trouble sur sa moralité et son dévouement patriotique.

Il est avant tout un islamiste dont le but suprême est la wahhabisation, vassalisation de la Tunisie en vue de son intégration dans le futur Califat wahhabite. En toute évidence, le reconduire c’est ouvrir définitivement les vannes à la perte de l’indépendance nationale et entériner le processus de la mort de l’identité tunisienne.

Pour impulser un nouveau souffle au pays, il faut adopter un Vade Mecum drastique, qui prenne en compte la réalité des maux dont souffre la Tunisie et toutes ces plaies innombrables provoquées par l’aventurisme de ce gouvernement. Identifier les causes et y apporter des solutions adéquates et réalistes.

Il faut un véritable plan de sauvetage pour la Tunisie qui pourrait s’articuler autour des points suivants :

                   – Confier la rédaction de la nouvelle constitution  à un Comité Constitutionnel  nommé par une commission collégiale de sauvegarde  nationale, indépendante des partis, choisi au sein de la société civile, du monde universitaire, du monde syndical, des différentes sensibilités politiques,  du mouvement féministe, des représentants des différents cultes religieux du pays, etc; Avec une obligation absolue d’inscrire en lettre d’or dans le projet de constitution la pluralité culturelle, historique et ethnique de la Tunisie,  l’adhésion de la Tunisie à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du citoyen et de toutes les conventions internationales sur le respect des droits de la femme, des droits de la petite enfance, de la dépénalisation du délit de blasphème et du droit sur le libre-exercice du choix ou du refus de sa croyance;                             

                 – Soumettre le projet de constitution à l’aval du peuple tunisien;

                 – Ne pas confier les ministères régaliens à des nahdhaouis dont le premier d’entre eux;

              – Dissoudre l’ANC et condamnation de  tous ses membres à restituer tous salaires perçus depuis la fin officielle de leur mandat le 23 octobre 2012 et remboursement de tous les frais inhérents audit mandat;

           – Placer ce gouvernement sous une autorité collégiale composée des représentants de la société civile et des hommes politiques chevronnés et connus pour leur vertu morale et leur engagement patriotique,

           – Fixer une durée limitée dans le temps à la mission de ce gouvernement;

           – Définir des prérogatives claires et strictes à ce gouvernement de haut niveau de compétences absolument indépendants de tous les partis qui aura la charge de redresser le pays avec engagement de ne pas postuler à aucun mandat électif par la suite;

           – Destituer le traître Moncef Marzougui  et sa traduction devant la Cour martiale pour collaboration avec des puissances tierces, corruption et négligence coupable dans l’octroi des grâces présidentielles, abus de pouvoir, gabegie;

          – Arrêter les meurtriers de Chokri Belaïd, de Lotfi Nagga, et Mohamed Brahmi;

          – Dissoudre la Ligue de protection de la Révolution;

          – Retirer son agrément à la police religieuse,

          – Appliquer la loi de 1985 sur les partis politiques pour rendre hors la loi les partis à tendance religieuse à commencer par le mouvement sectaire, antipatriotique et terroriste d’Ennahdha,

         – Arrestation de  R. Ghannouchi  et de tous ses complices pour actes de haute trahison,  collusion avec des Etats tiers, mise en  état de faillite  économique délibérée  du pays, proxénétisme aggravé, détournement de mineures à des fins de prostitution  en relation avec une entreprise terroriste,  création de filières terroristes et actes de crimes de guerre  l’Algérie et la Syrie,  atteintes graves à la sécurité  et l’unité de la nation, incitations et commissions d’actes terroristes en bande organisée,  assassinats des soldats tunisiens au Jebel Chaâmbi, dévoiement de l’appareil de l’Etat, actes d’espionnage au profit des groupuscules terroristes, détournement de fonds, corruption, népotisme, dégradation de l’image de la Tunisie, autant de chefs d’accusation et bien d’autres qui doivent leur valoir la Cour martiale,

        – Annuler la vente des entreprises publiques cédées au Qatar;

          – Faire toute la lumière sur les filières jihadistes et décréter des mesures pénales et civiles à l’égard de tous les tunisiens engagés dans des opérations terroristes de par le monde notamment en Syrie, au Mali et dans le Sud Algérien;

         – Démanteler les camps d’entraînement jihadistes en Tunisie;  

           -Libération de tous les prisonniers d’opinion  et de conscience et cessation de toute poursuite contre Amina.                                

La Tunisie a besoin d’un administrateur-judiciaire, mais qui lui-même a besoin pour le bon accomplissement de sa mission d’avoir les coudées franches mais sous le contrôle de juges consulaires, le rôle que peut tenir cette autorité collégiale , mais sans les anciens dirigeants.

On ne redresse pas une entreprise en difficulté en gardant ses anciens dirigeants, responsables directs de son état de quasi-faillite. Surtout quand les dirigeants en question ont mis la main sur l’entreprise tunisienne suite à une O.P.A. hostile et imprévisible.

Les Tunisiens ont voté pour élire des constituants et non pour doter le payer d’un régime parlementaire de facto,  avec un mandat d’un an pour rédiger leur nouvelle loi fondamentale et non pas pour des élections législatives en vue de la mise en place d’un régime parlementaire. Il faut rétablir l’Etat de droit, sans ça c’est la Bérézina que recherche Ennahdha pour s’enraciner ad vitam aeternam dans le paysage tunisien.

L’extrémisme se nourrit du chaos pour exister et se pérenniser

Plan d’action pour sortir la Tunisie du bourbier dans lequel l’a mise Ennahdha

On ne fait pas de la barbarie arabe un modèle de société pour la Tunisie

 Dans un pays où il n’y a de place que pour Allah et son prophète revendiqué, où l’on les loue à chaque fois que l’on débite un mot, même quand on ne dit rien, ils sont tous les deux sur toutes les lèvres, que l’on soit musulmans, pas assez musulmans, ou musulman non assumé comme Hamma Hamami, il n’y en a que pour eux, et jamais rien pour l’homme et surtout pas la patrie.
On préfère construire des mosquées pour donner à Allah et son prophète un toit pour une illusoire place au paradis, plutôt que d’acheter des scanners et soulager le peuple du  fardeau de la misère.
On préfère  faire le djihad  de la terreur pour l’ignoble cause  d’Allah et de son prophète en Syrie plutôt que de défendre l’honneur de la patrie.
On couvre la Tunisie d’infamie en livrant ses fillettes aux réseaux de prostitution du djihad de Nikah.
On tue ses soldats pour faire triompher les idées de sa mauvaise foi.
On  trahit le pays rien que pour gagner sa place au paradis.
La Tunisie est perdue, parce que l’islam l’a décidé ainsi et les tunisiens tellement soumis à Allah et son prophète, ils ne feront rien pour sauver leur pays du bagne à perpète.

Le tourisme sexuel halal pour sauver la Tunisie de la pire crise économique de son histoire

Pour les économistes d’Ennahdha, seul le  tourisme sexuel  halal peut servir de modèle de développement humain et économique pour la Tunisie
Rien que du halal synonyme de la pureté de la race musulmane, comme si les musulmans étaient une ethnie, et les pratiques sexuelles musulmanes depuis qu’Ennahdha a conquis le pouvoir par la grâce d’Allah. Du statut du pays émergent la Tunisie est devenue en deux ans une nation majeure dans le dhihad de la terreur et du dihad du nikah qui aété expérimenté en Syrie.
Et afin de le développer à l’échelle industrielle pour impulser un nouvel élan, à l’économie moribonde de la Tunisie qui n’avait pas un caractère halal sous Ben Ali, se tiendra cette semaine à Tunis le premier salon du tourisme sexuel halal, qui se pratique  pour l’instant dans la semi-clandestinité entre des musulmans mais périlleux pour les petites dames de vertu non labellisées halal, un peu comme cette malheureuse affaire de Sousse , et  auquel on va enfin lui donner un statut vertueusement halal. Forniquez halal et Allah vous récompensera.
Quant aux rapports non protégés, c’est aussi halal  et tant pis pour le sida et balancer par la fenêtre du haut d’une tour  les pauvres victimes du tourisme sexuel halal c’est aussi halal de commettre des tels crimes qui restent impunis pour le mâle musulman, et font valoir aux victimes la double peine : la mort et l’infamie.  
Ennahdha clairvoyante, politiquement responsable et soucieuse du bien-être de ses coreligionnaires  veut structurer, optimiser, rationaliser, organiser et formaliser le tourisme sexuel halal en offrant un cadre institutionnel à ses frères pieux et profitables musulmans, pédophiles, nécrophiles et gros consommateurs de chair fraîche afin qu’ils goûtent aux joies du tourisme halal en toute liberté halal.  
Un mariage très temporaire d’une heure voire moins est souvent la solution pour rendre licite ce qui est illicite quant aux enfants qui naîtront, eux par contre ils seront haram.
En attendant, il n’y a pas de risque à ce que les nombreux fans arabes du tourisme sexuel halal vont compromettre leur chance de gagner le paradis certifié 100% halal.
  Avec le modèle sociétal d’Ennahdha et l’extraordinaire marché des prédateurs sexuels des pays du Levant,en réalité le couchant de m’ pour la Tunisie tout est halal sauf la dignité, le respect de la vie, la liberté, les droits humains, et l’honneur. Bouffez du halal et faites de vos vies un enfer sur terre

L’islam est-il le nouveau péril de notre temps ?

 

Le danger qui guette l’humanité  porte aujourd’hui le visage voilé et bouffé par des barbes hirsutes que ses partisans appellent l’islam.
Je ne vois pas pourquoi  alors que le péril est identifié devrais-je personnellement dénoncer les périls invisibles et m’adonner à des théories spéculatives sur les complots occultes soi-disant  dans un souci d’équité et d’objectivité comme certains me le suggèrent.
Il me semble que le Tsunami qui déferle sur l’Egypte et la Tunisie comme sur la Syrie et l’Irak n’est ni coopte, ni athée, ni animiste, ni sioniste, ni extra-terrestre, ni batracien, ni tchernobylien,  il est musulman qu’il soit radical ou non, il est musulman.
Elle est la seule religion au monde qui ne condamne pas les auteurs de meurtres qui agissent sous son couvert. Elle va jusqu’à leur promettre le lupanar paradisiaque et ses 72 houris. 
Il suffit de répandre la mort en prétendant le commettre au nom du djihad pour bénéficier d’une véritable immunité pénale.
L’impunité dont ces criminels jouissent ne va pas contribuer à calmer leurs ardeurs meurtrières et aider à pacifier l’islam.
Même si ce sont des musulmans qui massacrent et égorgent leurs coreligionnaires, ils sont musulmans. Il s’agit d’une guerre fratricide que les musulmans ont développée en leur sein.
Ce n’est pas un virus inoculé par les puissances tierces hostiles à l’islam, il est né avec l’islam lui-même,  devenue la caractéristique majeure des musulmans connue sous le nom de la Fitna musulmane qui mine le corps musulman depuis la mort du prophète revendiqué.
Le jour où l’islam expurgera de son corps ces terroristes et se comportera comme une religion responsable et humaniste, c’est seulement en ce moment-là qu’il gagnera ses galons de religion de paix, d’égalité et de fraternité entre les hommes, de tous les hommes indépendamment de leur croyance.

Ce n’est pas en lui léchant les babouches qu’on va contenir les ardeurs velléitaires de l’islam

 

Je comprends que des musulmans pseudos tolérants et progressistes me reprochent mon acidité anti-musulmane nourrie paraît-il par des images non moins acides diffusées par les musulmans eux-mêmes de leur propre musulman.
Est-ce qu’ils ont compris eux-mêmes que ces images sont la traduction parfaite de l’islam des sources ?
Ce n’est pas une affaire d’images, c’est une affaire de dogmes qui empoisonnes leur vie et la nôtre.  
Qu’ils militent pour les changer, ou à défaut les humaniser en les pacifiant et les adaptant aux mœurs de notre temps, et tout le monde s’en portera mieux.
Est-il normal que les femmes n’aient aucun droit dans leurs sociétés et quand elles en ont ce sont des droits au rabais ?
Est-il normal que des fillettes pré pubères soient livrées aux prédateurs sexuels en toute légalité musulmane ? 
Est-il normal qu’on interdise à une femme de se marier  un non-musulman et que l’on exige de ce dernier de se convertir à l’islam ?
Est-il normal que les non-musulmans soient traités de sujets de seconde zone ?
Est-il normal que tous ceux qui veuillent exercer leur liberté de conscience s’exposent à la peine de mort ?
Est-il normal que les musulmans puissent croire en des valeurs qui prônent la violence, le racisme, l’antisémitisme et le terrorisme ?
Ce sont les sources qui les irriguent qui posent un réel problème et qui conditionnent leur comportement qui font débat. Au lieu de s’effaroucher, qu’ils oeuvrent pour l’amélioration de ces images fidèles à ce que c’est le vrai islam, l’islam authentique.
Ils peuvent d’ores et déjà revendiquer l’introduction dans leur constitution des droits fondamentaux et l’abolition de toute référence à l’islam.
Mais  de cela, ils n’en sont pas capables de peur de commettre une apostasie. Qu’ils apprennent à être citoyens  avant d’être fidèles.
Si l’islam est dévoyé et défiguré qu’ils nous le prouvent.
 
 

L’islam protège les droits de la femme comme le nazisme protégeait les droits des juifs et des minorités

Plutôt que de commémorer la journée internationale de la violence faite aux femmes, a on devrait plutôt commémorer les victimes de la barbarie machiste partout dans le monde et tout particulièrement dans les pays musulmans où la femme est réduite à l’état d’esclave, une vulgaire marchandise.

Déjà qu’en France et malgré l’arsenal juridique protecteur des droits de la femme, une femme meurt toutes 60 heures sous les coups de son compagnon. Ailleurs, c’est certainement pire encore.

De telles statistiques aussi morbides ne devraient pas être de cours de nos jours. Mais, il y a des pays où de telles statistiques n’existent pas. Ou quand une femme meurt sous les coups de son concubin(j’emploie ce terme à escient), c’est juste considéré comme un châtiment et qu elle a donc eu ce qu ele mérite parce que la loi de la jungle, en l’occurrence la charia, l’autorise.

Comme elle légitime les brimades, le harcèlement sexuel, la violence corporelle, la lapidation, l’humiliation, bref le harcèlement moral.

Quand la violence est habillée dans le linceul noir du sacré elle ne peut être qualifiée comme telle dans les pays qui appliquent la loi canon de la charia. Une femme acculée au suicide à cause de ses conditions de vie avilissantes et attentatoires à la dignité humaine peut-on qualifier cela de meurtre au premier degré ?

Quand une femme est privée de ses droits humains les plus élémentaires au nom du sacré n est ce pas aussi de la violence morale qui finit par devenir de la violence physique ayant entraîner la mort de quelqu’un qui n’ a plus d autre alternative possible soit la mort soit la prison à vie ?

En définitive, dans un Etat de droit, la condition féminine n’est pas hélas reluisante, alors quid de la condition féminine dans les sociétés de non-droit et de théocratie religieuse ?

Dans les sociétés humaines une femme a les moyens de recours juridique pour agir et se faire accompagner dans ses démarches, dans les sociétés déshumanisées et obscurantistes, vivant sous le poids écrasant de la religion et dominées par le sacré, les femmes n’ont ni de protection juridique ni la possibilité de circuler librement et en aurait-elle la possibilité elles ne pourraient agir sous peine de violer le sacré et de commettre une apostasie.

Conséquence pour la victime, elle devient coupable et le bourreau est blanchi comme le rapporte Touria Tiouli dans son livre Brisée:  » Enlevée et violée par trois Emiratis alors qu elle porte plainte, elle se retrouve inculpée de relations sexuelles hors mariage! »

Dans les Etats théocratiques, le violent n est jamais l’auteur de l’acte, qui jouit d’une véritable impunité juridique, c’est toujours la femme qui de statut de victime comme c’est le cas dans les Etats de droit devient coupable.

Il est grand temps que les Nations Unies fassent oeuvrent pour une loi universelle contre toutes les formes de violence faite aux femmes et opposables à tous les Etats membres sans exclusive.

Qu’on en finisse avec l’exception des Etats islamiques dès qu’il s’agit de les faire adhérer aux chartes universelles qui touchent les droits fondamentaux des hommes et des femmes ainsi que les enfants.

Il n’y pas d’islam sans la charia, comme on ne peut pas être musulman et démocrate

Miniature of Muhammad re-dedicating the Black ...
Miniature of Muhammad re-dedicating the Black Stone at the Kaaba. From Jami Al-Tawarikh, c. 1315 (Photo credit: Wikipedia)
Muslim man
Muslim man (Photo credit: patrikneckman)
Un musulman sans la charia est un musulman renégat, tout simplement un apostat, comme s’il abjurait l’islam.  Il doit savoir que sans elle l’islam est comme un corps sans vie. C’est elle qui codifie la vie des musulmans dans ses moindres petits détails. Elle est leur feuille de route et leur seule et unique voie qui ne tolère aucune autre voie à suivre pour ses fidèles. C’est leur cordon ombilical qui les rattache à la matrice islam. Se proclamer musulman sans la charia revient à pratiquer l’islam tout en rejetant ses 5 piliers.
La charia doit s’appliquer  en Tunisie qu’on  le veuillez  ou non. Le doute n’est plus permis si l’on veut réellement se conformer aux préceptes de l’islam. La charia est la loi d’Allah  à laquelle tous les musulmans doivent se soumettre. Nul ne peut y déroger ni être tenu au respect pas des lois qui ne sont pas d’essence musulmane jugées comme inférieures à la charia pure et parfaite.
Les lois humaines sont indignes des musulmans. Dévalorisantes pour des humains  qu’Allah une des innombrables divinités polythéistes arabes qu’un gourou a inventé avec des attributs d’un dieu monothéiste histoire de faire de l’ombre au vrai dieu des juifs et des chrétiens qui aurait  élevé ceux qui ont choisi sa voie, chara’a en arabe,  au-dessus de tous.  comme si les Maoris n’avaient pas plus de vertus que les musulmans. Il est vrai que cette divinité farfelue et sanguinaire est nulle en géographie humaine. Du pur racisme primaire.
Cette divinité sortie de la manche du kamiss du prophète autoproclamé aurait fait des musulmans   la race des seigneurs, censés être la meilleure  communauté  de croyants jamais envoyée sur cette terre qu’ils n’arrêtent  pas d’irriguer pourtant de leur propre sang  et celui des innocents. Nul doute qu’ils sont au-dessus de la mêlée mais dans la barbarie humaine.
Le plus ubuesque est qu’ils y croient dur comme fer, alors qu’ils ne connaissent que le sable et le vent, ce n’est pas étonnant de leur part compte-tenu de  leur absence de discernement n’est un secret en personne. Allah que vous êtes son peuple hors norme, on comprend pourquoi vous n’êtes pas dans les normes.
Dans les faits, ils sont  évidemment en deçà de tout le monde et la risée des nations,  et s’ils font semblant de composer avec les lois humaines  c’est juste une fourberie islamique, de l’esbroufe, une takiyya. Un vrai musulman ne peut pas vivre sans la charia celle que j’ai appelée un jour la loi scélérate de Nuremberg.
En refusant la charia et vous tout-à-fait raison vous refusez l’islam. En y renonçant ils se mettent  en danger de mort. Leur religion n’est pas tendre avec les siens qui caresseraient l’idée de la quitter un jour, c’est un crime de lèse-majesté-islam. Avec l’islam tu as la vie sauve, tant que tu ne cherches pas à sortir de ta condition d’esclave. Sois musulman et tu auras la paix !
Comme ils sont poltrons, pleutres et dépourvus de discernement et de raison, tellement leurs neurones sont gangrenés par les émanations radioactives du gaz  doctrinaire que leurs cheikhs, imams et prédicateurs leur font inhaler du berceau jusqu’à la mort, ils n’auront jamais du cran pour commettre un tel acte de briser les chaînes de leur prison mentale.
 Par voie de  conséquence les musulmans qui se réclament de l’islam tout en rejetant la charia, ne sont pas qu’ignorants et incultes, ils sont schizos. Car faire la différence entre les deux c’est comme s’ils faisaient la différence entre le nazisme et l’hitlérisme..  Musulmans et démocrates, ce n’est pas un oxymore, c’est une apostasie.

Ennahdha n’a jamais gagné les élections, seul Kamel Jendoubi le sait

Antonio Allah in the tent
Antonio Allah in the tent (Photo credit: Wikipedia)

Les tunisiens qui rêvent de démocratie ignorent qu’en tant que bons musulmans qu’il n’y a de légitimité que pour Allah.

Comme ils ignorent aussi que l’homme  n’est jamais acteur de sa vie. Tous ses actes de la vie sont accomplis par Allah lui-même.
Même le jour où il lui a fait jouer un rôle de figurant-électeur, c’est Allah qui a déposé  dans l’urne le bulletin de vote, voire l’a inspiré.
Ennahdha sortie vainqueur des urnes de la mise à mort de la Tunisie, a été élue par Allah lui-même qui a guidé les mains des croupiers de l’I.S.I.E. et celles qui avaient coché la bonne case du fait de sa grande promiscuité affective, idéologique, physique et politique avec lui.
En sa qualité de son seul ayant droit, il est somme toute  légitime qu’elle soit le dépositaire  de son pouvoir sur la Tunisie. Elle œuvre pour son bien contrairement aux tunisiens qui ont voté contre elle et par conséquent contre Allah.
Les mêmes qui n’ont aucune légitimité canonique protestent contre ceux en sont investis.
 Les tunisiens en faisant d’Ennahdha la nouvelle maîtresse de droit divin de leur pays par la volonté d’Allah, ne peuvent contester qu’Allah leur a ordonné.  Quand bien c’eût été à titre temporaire, mais il n’y a que lui et lui seul qui peut abréger ou mettre fin à son mandat.
Il y a fort à parier qu’il ne le fera jamais, il ne va lui-même défaire ce qu’il a fait. On a jamais vu un dieu se désavouer lui-même.
Ennahdha  doit rester au pouvoir tant qu’Allah le juge utile N’est-elle pad investie par Allah, elle  ne peut être déchue de son imprimatur que par lui et jamais par la vox populi du fait que les hommes n’ont pas de volonté propre et ne peuvent ainsi exprimer leur choix personnel et politique.
Seule la voix d’Allah peut rappeler Ennahdha à ses devoirs de quitter le pouvoir
Quiconque ose  le faire,  commet une apostasie.
Dans les pays  assujettis à sa volonté une brebis n’est pas en droit de remettre en question l’autorité de son berger.
C’est pourquoi ce qu’Allah a délégué aux gouvernants désignés par lui (califes) devient une vérité coranique qui ne tolère aucune exception.
Que vous soyez de gauche, comme Hamma Hammami, du centre comme Haj Ahmed Négib Echabi ou de l’ultra droite comme R. Ghannouchi, le  nouveau Dieu Thor des égouts islamiques, vous êtes tous des musulmans et unis par les mêmes liens d’appartenance à l’Oumma musulmane, vous devriez être cohérents avec vous-mêmes et ne pas chercher à changer l’ordre qu’Allah a imposé à ses ouailles. Si d’aventure vous le faites, vous vous rendez coupables d’une Fitna, la rébellion,  qui est un péché mortel dans la religion la plus démocratique jamais donnée aux hommes.
Une légitimité de droit canon ne peut être annulée que par un ukase de la même substance. Ennahdha est par conséquent plus que jamais légitime, et si vous n’êtes pas d’accord, révoltez-vous contre Allah.
PS Si vous n’avez rien compris moi non plus, les voies d’Allah sont un mystère pour lui-même.