Marine le Pen fait l’amalgame entre la voie de l’islam et la voie des urnes

Aux fans club de Marine le Pen personne n’est irréprochable et au-dessus de la critique. De la même façon que vous dégainez sur l’UMP et le PS que vous appelez UMPS histoire de faire croire que la France est dirigée par un parti unique et que le FN est la seule alternative politique crédible pour redonner un nouveau souffle démocratique au pays, apprenez à essuyer les critiques sur votre Marine à laquelle vous ne lui rendez guère service en lui vouant un véritable culte de la personnalité propre au régime fasciste et totalitaire.
La France n’est pas la Corée du Nord pour faire de Marine le Pen sa figure tutélaire, son objet d’adulation et de vénération. Tout se passe comme si elle est infaillible et que l’on doit de ne pas l’égratigner pour ne pas subir le courroux de ses supporteurs qui ne jurent que par elle pour sauver la France.
Mise sur la première marche du podium sans qu’elle ait fait ses preuves quant à ses capacités de gouverner la France et la sortir de son bourbier dans lequel elle s’y trouve depuis la fin des 30 années glorieuses à cause d’une politique d’immigration irresponsable et les plaies qui la gangrènent, l’énarchie, la corruption, le clientélisme, les abus de privilèges, les mauvais choix économiques, le recul de la laïcité, l’effritement de l’identité française, la mise à mort de l’idéal républicain, le laxisme et la démission des pouvoirs publics nationaux et locaux face à l’islamisation. Marine le Pen saurait-elle être la maîtresse de la situation, la Winston Churchill de la France, capable de mobiliser les Français pour arracher leur pays des griffes de l’hydre musulmane ?
Elle est très loin de ce profil. Son revirement sur l’islam depuis qu’elle s’est attachée les services de son compagnon et éminence grise Florian Philippot ex (?) chevènementiste avéré qui fait office de mandataire-liquidateur du FN et pour lequel elle n’a pas hésité à « tuer » son père fondateur du parti lui voudrait juste le titre de la femme protée du paysage politique français.

S’attaquer à Marine le Pen c’est comme si l’on commettait un sacrilège aux yeux de ses séides qui doivent s’inquiéter de la teneur de ses différentes déclarations qui frisent l’apoplexie tellement elles sont versatiles, mielleuses et lénifiantes sur l’islam victime de ses fondamentalistes : « A travers sa déclaration, Marine Le Pen (FN) est persuadée que les coupables de l’attentat dans les locaux de Charlie Hebdo sont « des fondamentalistes islamistes » et cela, bien avant toute enquête. Aussi, après avoir bien ancré dans les esprits que Islam = terrorisme, elle termine son communiqué en appelant -pas trop quand même- les Français à ne pas faire l’amalgame entre « compatriotes musulmans attachés à notre nation et à ses valeurs » et « fondamentalistes islamistes »…
A moins que sa dernière déclaration du 29 mai 2015 à l’Université d’Al-Azhar ne soit un gage de sa stature de Chef d’Etat : »Selon al-Azhar, cette rencontre a permis au cheikh Ahmed al-Tayeb « d’exprimer à la présidente du Front national ses réserves concernant ses positions hostiles à l’islam et aux musulmans ». Marine Le Pen a répondu qu’elle était contre « l’amalgame entre islam et actes de violences » et « reconnu le droit des Français musulmans de pratiquer leur foi en toute liberté »
Elle semble oublier qu’il n’y a pas de liberté chez les musulmans que la conversion à leurs idées et de renoncer à son identité et ses valeurs pour se fondre dans les leurs.
En aucun cas elle n’est un recours pour les Français, elle est dans la continuité de l’establishment qui a ruiné la France pour en faire un Emirat-bananier en devenir du futur califat islamique que la Turquie d’Erdogan se rêve de le rétablir.
Le vrai combat que Marine le Pen et tous ceux qui ont la France en eux est de rétablir la laïcité dans les écoles, les rues, les hôpitaux, les prisons et d’interdire l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne.
Le vrai péril qui guette l’Europe est beaucoup plus la Turquie que la gangrène musulmane qui mine le corps politique et social européen. Autant cette gangrène pourrait être stoppée autant le péril turc sera impossible à vaincre à cause de Bruxelles où la Turquie pourrait peser sur la formation des directives, prédominantes sur les lois nationales, mortelles pour les libertés et résolument favorables à l’islam.

Difficile de l’imaginer en résistante face à ce double-défi qui menace la France et met en péril sa souveraineté nationale et sa pérennité humaine. Ses admirateurs se doivent d’accepter la critique au nom des intérêts supérieurs de la nation française. Ce n’est pas en disant amen à tout ce qu’elle dit que la France triomphera de ses ennemis intérieurs et extérieurs.
On l’a pas entendue non plus condamner les propos foncièrement bellicistes et hégémoniques d’Erdogan qui veut ré-islamiser l’Espagne et ré-arabiser Jérusalem.
Grisée par le mirage de la victoire annoncée alors que le chemin est long et la pente est des plus raides, elle choisit un phrasé conformiste et adopte un comportement sarko-compatible convaincue que c’est la seule voie arriver à ses fins.
La France n’a pas besoin de femme qui à chaque fois qu’elle se maquille devant son miroir se rêve en présidente. Elle a besoin d’action et d’un discours tranchant et politiquement incorrect, sans calcul politicien et qui remue les français aux tripes.
Elle est otage elle-même du système qu’elle prétend combattre. Inconsciente qu’elle fait que le légitimer et crédibiliser en démontrant son incapacité à sortir des sentiers battus.
Aucun doute quant à son appartenance audit système tant honni et décrié aussi bien par elle que par son père. Elle n’est pas plus en rupture qu’elle ne le prétend en se voulant par exemple pro Russie poutinienne comme naguère le PCF pro Russie soviétique.
Quand on se veut le rempart contre l’islamisation de la France on ne caresse pas la bête immonde musulmane dans le sens du poil et ni chercher son absolution comme lors de son intervention du 28 décembre 2012 sur la chaîne de la propagande nazislamiste qatarie d’Al-Jazeera où elle louait la compatibilité entre l’islam et la démocratie.
Elle oublie qu’en cherchant à séduire l’électorat musulman elle se tire une balle dans les pieds, car chaque électeur musulman de gagné c’est dix électeurs français de perdu. 75% de Français sont hostiles à l’islam, elle a de
quoi faire pour piocher dedans ce n’est pas en allant quémander les voix musulmans auprès de la kommandantur islamique du Caire qui rêve du
rétablissement du Reich mahométan qu’elle va pouvoir gagner la partie.
Elle reprend à son compte la politique de Sarkozy grand dragueur devant Allah
du vote musulman qui est une vue de l’esprit. A vouloir trop séduire tout le monde on finit par perdre son âme et sa voie.

La dictature de l’islam est en marche et la France s’en réjouit

Aucun débat n’est possible sur l’islam tant que l’on continue à éluder les vraies questions de fond sur la vraie nature de l’islam et caresser les musulmans dans le sens du poil jusqu’à à en faire les enfants gâtés de la république auxquels tout est dû et auxquels on accorde toutes des concessions sons compter, leur accordant tous les privilèges dus à leur rang comme s’ils étaient les nouveaux seigneurs qu’il ne faut pas froisser. Ce n’est pas un retour à l’Ancien Régime qui est une insulte à la chrétienté, c’est le retour au monde des ténèbres qui glacerait d’effroi Attila.

Que ceux qui nous enfument avec leur islam de paix, de tolérance et d’amour nous disent en quoi l’islam  l’est-il vraiment alors que ni sa définition littérale, ni ses dogmes, ni le Coran, ni les Hadiths, ni la Sira, ni son histoire, ni son présent épouvantable et cauchemardesque ne plaident en faveur de leur thèse ?

Doit-on se fier à la loyauté républicaine des musulmans alors qu’ils sont soumis totalement aux seules lois de l’islam qui ne tolèrent aucune dérogation « Et si vous leur obéissez [= aux polythéistes], alors vous êtes polythéistes » (Coran 6/121). ?

Un musulman républicain est comme un musulman moderniste, un égaré en dehors des voies d’Allah. Un impie, un mécru.

Pourquoi dit-on  toujours un musulman qui se radicalise sans pour autant nous expliquer les mécanismes qui l’ont conduit à cet état de négation de la vie et de la violence extrême ?

Pourquoi un musulman qui se convertit au christianisme n’est pas un danger public et un non-musulman qui embrasse la voie de l’islam souvent à l’adolescence ou en situation de fragilité psychologique ou d’exclusion sociale se transforme en bombe humaine et devient l’ennemi public de la république  ?

Abu Abdallah al Faransi, soupçonné d'être l'un des bourreaux de Peter Kassig.

Pourquoi des jeunes des cités censés être le produit de l’école de la république se comportent en ses pires ennemis et sont les premiers à lui déclarer la guerre ?

Pourquoi ces jeunes qui n’ont jamais ou quasiment jamais ouvert le Coran dans leur vie et le jour où ils l’ont fait ils ont changé radicalement de comportement pour devenir des véritables fauves ?

Peu importe leur profil psycho-sociologique, leur degré de maturité intellectuelle, on ne doit établir nécessairement une corrélation entre leur lecture du Coran ou ce qu’on leur a lu ou on leur a fait lire et leur basculement dans la violence extrême.

Est-ce que le Coran a des effets néfastes sur le cerveau humain ? Est-il de la même famille que les drogues dures pour agir en tant que catalyseur de la violence ?

Pourquoi les cités-ghettos sont-elles un vivier pour les recruteurs du Djihad  ? Pourquoi les prisons françaises sont un haut lieu de formation de l’extrémisme musulman alors que les détenus semblent faire une lecture toute innocente du Coran ?

Pourquoi des détenus qui ont renoué avec leur foi chrétienne se sont rangés des voitures et  après leur incarcération et des musulmans qui auraient renoué avec leur foi en prison sont devenus des terroristes ou des semeurs des graines de la violence et de la haine dans les cités ?

Pourquoi l’Etat laisse des jeunes mineurs se convertir à l’islam sans y mettre de garde-fou et ne fait rien pour mettre le C.F.C.M. en face de ses responsabilités afin qu’il durcisse les conditions de conversion à l’islam ?

Plus que la guerre de civilisation entre l’islam et le reste du monde, la 3ième guerre mondiale est à nos portes

 Paru dans Dreuz le 3 mars 2013 sous le titre : La guerre de civilisation entre l’islam radical et le reste du monde n’est pas un mythe

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Samuel Huntington, dont l’ouvrage sur le choc des civilisations a suscité beaucoup de controverses à sa parution, s’est certainement trompé sur plusieurs points, sauf un : celui qu’il appelle la « civilisation islamique », qu’il aurait dû qualifier de wahhabite, en mettant en exergue l’utilisation du wahhabisme par les américains pour étouffer les velléités de cette civilisation.

Plus que toute autre, elle est à contre-courant de l’évolution du monde et des droits universels et hostile à toute forme de progrès et de développement, à cause de la main mise de la religion sur la vie des hommes. Fermée sur elle-même et ethnocentrée, négatrice des libertés individuelles, despotique et mutilatrice de toute forme d’imaginaire, elle refuse non seulement toute ouverture sur le monde, ce qui l’empêche de se régénérer, mais du fait de son prosélytisme actif et agressif, elle poursuit des desseins hégémoniques, belliqueux et cosmiques, ambitionnant de devenir un nouveau gouvernement mondial, mettant ainsi en péril les fondements mêmes de notre humanité.

Dans le cas d’espèce, il s’agit moins d’un choc frontal des civilisations que d’une véritable guerre que la civilisation islamique wahhabisée livre depuis les attentats du 11 septembre 2011.

 

Ni la civilisation hindoue, ni la civilisation chinoise, ni aucune autre civilisation catégorisée par Huntington ne porte en elle les germes d’un nouvel ordre mondial symptomatiques de chaos, de barbarie, suscitant angoisses rejets et peurs au sein de l’opinion publique, telle que la civilisation islamique tournée vers le djihad et la terreur.

La civilisation islamique, dans sa variante wahhabite, est en train de tout contaminer et détruire sur son passage. Elle provoque des dégâts et des traumatismes incommensurables au sein même des populations musulmanes, comme on l’observe aujourd’hui à l’échelle de la Tunisie, devenue un nouveau théâtre de ce choc « intra civilisationnel » entre des musulmans qui veulent vivre un Islam humanisé, apaisé et adapté au monde contemporain et d’autres qui veulent leur imposer un Islam liberticide, ultra réactionnaire, rigoriste, nihiliste, et aux antipodes des aspirations nées de ce qu’ils croyaient être une Révolution du printemps de la dignité humaine.

Voilà pourquoi la Tunisie est à elle seule le symbole de ce choc frontal des deux projets de civilisation, l’un qui se veut universaliste et humaniste et l’autre qui se veut passéiste, arrogant, inquisiteur, raciste et antisémite.

Le cas de la Tunisie illustre ainsi à lui tout seul ce que le monde musulman wahhabisé sera demain, et les risques d’irradiation sur le reste du monde.

Si jamais la Tunisie est emportée par la Tsunami wahhabite, cela produira un effet de domino partout ailleurs.

Après avoir aidé à l’intronisation des islamistes en Tunisie, en Libye et en Egypte pour en faire des gardiens fidèles des dogmes wahhabites, le seul laboratoire dont on peut légitimement parler est que ce pays est devenu un terrain de recyclage des anciens agents du terrorisme wahhabite.

Cependant les américains n’ont toujours pas retenu la leçon de l’Iran dont ils voulaient faire un laboratoire de la démocratie dans les pays musulmans. Ils oublient le risque d’effet boomerang de cette stratégie. Al Qaida, financé par les wahhabites du Qatar et des Saouds, prolifère en Tunisie, qui est en train de se transformer en sanctuaire djihadiste aux portes de l’Europe, et qui ne manquera pas de devenir une base-arrière de la déferlante wahhabite sur l’Algérie si la Syrie tombe sous le joug du terrorisme wahhabite.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour www.Dreuz.info

L’islam est pire que le Napalm, après son passage plus rien ne pousse

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Le Coran, les hadiths, la Sira, le consensus des « savants » al-ijama’a des oulamas, nous n’avons que faire de toutes ces sources du droit musulman peu fiables et apocryphes, même si le Coran est le parfait témoignage de la parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Il n’y a que l’histoire factuelle de l’islam qui importe, celle qui éclaire le monde sur la nature belliciste, sanguinaire, génocidaire, impérialiste et destructrice de l’islam, illustrée parfaitement par le spectacle apocalyptique offert en Syrie, Irak, Afghanistan, au nord du Nigéria et au Pakistan, et dont quelques signes inquiétants commencent à se faire sentir juste à nos portes, avec le fléau djihadiste de plus en plus pressant et les menaces verbales de reconquête d’Espagne et de Jérusalem, proférées par Erdogan pour exalter la fibre fanatique et nostalgique du Califat Ottoman de ses électeurs.

L’histoire de l’islam est un océan de cendres, de larmes et de sang. Il est comme un bulldozer où il passe. Il écrase tout sur son passage, il réduit les vies humaines et l’histoire des peuples en poussière. Il se veut l’alpha et l’oméga de l’humanité. Que les musulmans me citent une seule civilisation conquise par l’islam qui soit restée debout.

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Si l’islam était une religion de connaissance et de savoir, pourquoi les musulmans ont-ils détruit les livres des sciences assyriennes, chaldéennes, babyloniennes, perses, égyptiennes ?

Pourquoi n’ont-ils jamais mis en valeur l’archéologie et les vestiges romains, pharaoniques, phéniciens, romains, numides, carthaginois, hébraïques, témoins de la splendeur des peuples égyptiens, libyens et nord-africains qu’ils ont utilisés pour construire leurs palais et leurs mosquées, comme la Grande Mosquée de Kairouan en Tunisie ?

Pourquoi n’ont-ils jamais traduit les oeuvres des penseurs et des savants romains du latin à l’arabe ? Certainement parce qu’il n’y avait pas des religieux latins pour les aider dans cette entreprise, contrairement aux prêtres syriaques auxquels on doit la traduction des ouvrages grecs en arabe.

Quand les musulmans affirment sans vergogne que le Coran est le livre des sciences, et qu’il a posé les jalons de toutes les découvertes actuelles – qui n’ont jamais été accomplies par des musulmans, censés être les premiers éclairés par la lumière du savoir scientifique coranique, que connaissent-ils des cultures scientifiques des autres peuples millénaires pour étayer leurs allégations mensongères et grotesques ?

Ont-ils ouvert un livre d’astronomie hindoue ou chinoise ? Il y a peu de chances.

Que savent-ils de l’apport de l’Inde dans les domaines de leur civilisation ?

Peu importe la richesse scientifique du Coran et son esprit novateur – qui reste à démontrer – l’innovation est un sacrilège dans l’islam. Et qu’ont fait les musulmans de cet enseignement ?

Il existe un hadith indépendant de son caractère douteux mais qui n’est pas sans intérêt pour les prendre au piège de leurs fantasmes délirants sur le mythe de la splendeur de leur Arche perdue et de leur islamo-centrisme qui devrait les faire réfléchir : « l’homme n’est pas celui qui dit mon père fut, mais celui qui dit je suis « moi » ».

Ce qui importe, c’est le musulman dans le présent et sa place dans la compétition mondiale, alors qu’il ne fait que truster les dernières places et cherche à retarder l’humanité dans sa marche en avant.

Tous les peuples ont connu leurs heures de gloire et de rayonnement, mais le plus important c’est d’avoir le courage de se remettre en question, de tirer les leçons de ses échecs pour pouvoir repartir de l’avant.

On ne renoue pas avec l’histoire en faisant du temps passé un temps présent et un temps d’avenir, à l’image des musulmans plongés dans la plus grave et la plus longue dépression de l’histoire universelle, qui dure depuis plus de 14 siècles.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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Allah Akbar, Allah Akbar, Takbir, Takbir, Alléluia, Alléluia, la Tunisie est enfin un pays majeur de l’islam

 

Il ne se passe plus un jour depuis la mascarade électorale du 23 octobre 2011 sous l’égide du petit Caton Jendoubi promu ministre du gouvernement de B.C.E. celui-là il m’horripile et lm’exaspère tellement il est mielleux et sournois, sans que les forces armées tunisiennes ne soient la cible des attaques meurtrières des milices d’Ennahdha.

On avait cru que la courbe des victimes militaires et policières allait s’infléchir avec l’élection de B.C.E., ce faux-nez d’Ennahdha et chef opérateur de la ré-islamisation à marche forcée de la Tunisie et c’est tout le contraire qui s’est produit.

Quant aux tunisiens ne vont pas s’indigner pour si peu déjà qu’on les entendus guère le 18 mars lors de l’attentat contre le Musée du Bardo, ils ont Allah, Mahomet et l’islam. Que du bonheur pour eux et que du malheur pour leur pays.  La Tunisie n’est pas leur cause c’est l’islam qui est la cause alors qu’il est la cause de la mise à mort de leur pays.
Après tout assassins comme victimes sont tous musulmans et Allah saura les combler de ses faveurs lubriques et les enivrer de sa piquette pour l’éternité.N’attendez rien de ce peuple, lui-même est occupé par les préparatifs du Ramadan et la saison des mariages. Il s’en bat les minarets que les caisses de l’Etat soient vides tant qu’il peut faire son bling-bling.

On ne peut demander à un peuple heureux et fier d’avoir d’être devenue une véritable terre de Djihad, de se remettre au travail qui va lui gâcher son plaisir à se dorer la pilule au soleil et à se lever 5 fois par jour pour moutonner.
Des milliers de ses enfants meurent aux larges de ses côtés et celles d’Italie mais de cela il n’a que faire il a trop à faire avec l’islam.La vie de ses soldats n’est pas grand’chose par rapport à sa joie d’être la catin de Mahomet. Ce n’est pas un peuple à plaindre avec ses sacrées performances obtenues sur le front du djihad pour la gloire d’Allah que la pisse du chameau l’étouffe : premier pays exportateur au monde de main d’oeuvre sexuelle et terroriste.

 

Le Qatar bailleur de fonds des Frères nazislamistes, ce vers venimeux propagé par ses protecteurs américains

 
La principauté-confetti  du Qatar sortie du désert de sable en 1971 se comporte comme une puissance impériale. Il tisse sa toile telle une araignée géante attrapant les mouches et les moucherons dans son filet cousu d’or.
En occident, elle soigne sa vitrine avec des achats de prestige à fonds perdus, ne lésinant pas sur les moyens particulièrement dans le football, sport de masses par excellence qui sert de vitrine pour la promotion médiatico-idéologique du Qatar, lobbying en tout genre pour l’organisation des J.O. du championnat du monde de football, les droits de télévision de la ligue européenne de football, les droits de TV des championnats mineurs, le mécénat entrepreneurial dans les cités défavorisées gangrenées par le wahhabisme et véritables bombes à retardement pour les pays occidentaux, les associations culturelles qui sous couvert de culture pour contourner les législations nationales sur les associations sont des véritables organes de propagande cultuelle; dans les pays arabisés, la chaîne de TV al-Jazeera est une véritable machine de guerre propagandiste inondant les foyers de salves d’informations où se mêlent les messages politiques et prédicatifs et un outil de crétinisation des masses frustes et bigotes, d’aliénation mentale, de wahhabisation des esprits et d’embrigadement pernicieux, subventionnant sans compter les djihado-terroristes  locaux drapent aujourd’hui dans les habits de l’indignité politique devenus maîtres de leurs pays grâce aux Révolutions du Printemps wahhabite, qui colonisent les lieux de culte, s’infiltrant dans les milieux sportifs, éducatifs, économiques, syndicaux, propageant une idéologie sectaire des plus hérétiques en violation avec les dogmes de la religion musulmane.
Initier, financer, manipuler, arroser, enrégimenter, noyauter, impulser influencer, pervertir, corrompre, c’est une chose, mais organiser, mettre en musique sa politique, piloter, contrôler, réaliser, exécuter, pérenniser, diriger, manoeuvrer, commander en sont une autre. Le Qatar a-t-il vraiment les moyens intellectuels et humains de ses ambitions politiques hégémoniques ? Le même raisonnement prévaut pour les saoudiens. Ce micro-Etat doit sa propre existence à la protection de son voisin et cousin saoudien qui lui-même vit sous la menace conjointe de sa propre minorité chiite à l’intérieur qui se trouve concentrée dans les régions pétrolifères et à l’extérieur par son éternel ennemi. Par voie de conséquence les saoudiens eux-mêmes sont assis sur une poudrière qui pourrait les embraser d’un jour à l’autre pour les réduire en poussière de sable, pour les renvoyer ainsi à leur milieu naturel.
Seuls les Etats-Unis puissants mentors des Saoudiens et des Qataris peuvent les tirer d’affaire. Cela ne saurait se faire sans contrepartie gagnante pour l’Oncle Sam. The partnership à l’américaine n’est pas celui du gagnant-gagnant, il est celui du gagnant-perdant. Le perdant est forcément celui dont la survie même dépend des intérêts géo-stratégiques et géo-économiques américains. Il s’avère que le perdant lui-même y gagnera en assurant sa propre pérennité grâce à l’extension de son pouvoir et sa zone d’influence aux pays dits frères.
Cependant une telle stratégie géopolitique instrumentalisant la religion seul moyen d’asseoir sa domination sur les populations arabisées ne peut-être menée si elle n’a pas l’aval et ne correspond pas aux desseins impériaux américains.
En avançant perfidement et habilement leurs pions sur l’échiquier arabo-musulman, les Américains sous couvert d’un pacifisme des plus douteux se donnent aujourd’hui l’air de jouer aux accompagnateurs désintéressés de la transition démocratique dans les pays du Printemps wahhabite. L’Administration américaine se doit elle-même d’assurer l’orchestration des opérations et de veiller personnellement à la réussite de son plan de démocratisation apparente de l’espace arabo-musulman qui sert en réalité de « cache-sexe », de subterfuge à sa wahhabisation consistant à rassembler tous les morceaux de ce peuple en un seul. Là où ils ont toujours échoué dans leur politique d’intégration économique en Amérique latine par la création de zone de libres-échanges, vont-ils le réussir par la création d’une zone qui ne sera pas de libre-échange cette fois-ci mais une zone d’influence pyramidale cimentée par le seul lien religieux qui s’inscrit dans la logique communautariste de l’Islam politique dans sa forme wahhabite.
Pour contrôler les peuples, il faut contrôler leurs esprits. Il y une forte probabilité que le plan américain ne finisse par aboutir grâce à la wahhabisation des masses arabisées là où elles se trouvent.

Il est tout craindre que le régime de Ben Ali ne soit un jour l’âge d’or de la Tunisie

Tunisie : scandale sous les palmiers ou quand la Troïka fait redorer son blason à Ben Ali et tous les tyrans de l’histoire !

Tunisie : scandale sous les palmiers ou quand la Troïka fait redorer son blason à Ben Ali et tous les tyrans de l'histoire !

Le seul et véritable bilan que l’on puisse véritablement dresser de la Tunisie post-14 janvier 2011, est devenue une véritable terre d’élection du Djihad et futur  Emirat-bananier est que la Troïka peut se targuer d’avoir réussi à faire redorer son blason à Ben Ali.

Grâce à elle, le despote déchu peut être doté de toutes les vertus patriotiques, d’un homme qui a apporté la prospérité économique à son peuple et qu’il lui a permis de jouir de respectabilité internationale et d’indépendance politique.
Compte-tenu du virage à 180° négocié par la Troïka qui est en train d’arrimer la Tunisie au train de la théocratie despotique sous la bannière wahhabite, il y a lieu de croire que Ben Ali était d’une toute autre trempe que les figurants de paille de la Troïka avait non seulement le sens de l’Etat mais avait de surcroît un respect des règles de la démocratie en termes de séparation de pouvoirs ! Aucun de ses hommes émargeait en même temps sur les feuilles de salaires des différents organes du pouvoir.
La Troïka a dépassé le degré zéro du cumul des pouvoirs, concentrant entre les mains des mêmes personnes les pouvoirs politiques, exécutifs, législatifs et religieux, voire médiatiques. Même les régimes les plus tyranniques n’avaient imaginé une telle architecture de nature schizophrénique.
Avec son cortège de président-membre de la Constituante, certains membres du gouvernement ainsi que leur petit chef collectionnant des mandats pourtant incompatibles, la Troïka aurait pu servir d’exemple à des tyrans tels que Franco, Mugabe, Pol Pot, Staline, Hitler, Ceausescu, le Président Marcos, Mobutu, Amine Dada, Kadhafi, Hosni Moubarak, Mao, El Assad père et fils, Mussolini, les rois saoudiens, Videla, Pinochet, Saddam et bien d’autres despotes  de sinistre réputation.
A la différence de la Troïka de la déconfiture tunisienne, tous ces tyrans mettaient un point d’honneur dans la composition de leur appareil d’Etat à ne pas faire jouer à leurs pions 3 partitions musicales simultanées afin d’éviter une cacophonie susceptible d’attiser la colère de leur peuple. Ainsi, tous ces despotes éclairés et absolutistes avaient l’art d’éviter le mélange des genres et ne pas utiliser les mêmes ingrédients dans les plats indigestes qu’ils servaient à leurs populations. Ils s’étaient toujours gardés de nommer les mêmes hommes dans leurs différents organes politiques. Soit ministre, soit membre du parlement, soit juge. Jamais les 3 fois à la fois ou comme si dans une équipe de football, le gardien de but occupe 3 postes simultanément au sein de son équipe, garder les buts, organiser le jeu et le distribuer et marquer les buts. Excellents meneurs d’hommes et sachant manier le bâton et la carotte, ils interdisaient à leurs potiches toute cumul de pouvoirs et de conflits d’intérêts qui étaient les attributs majeurs de leur pouvoir absolu.
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Ben Ali qui au vu de la configuration actuelle anarchique, cafouilleuse, confusionniste et délétère de la vie politique tunisienne mériterait un aigle d’or dans l’histoire politique de la Tunisie avait même refusé un jour de nommer pour incompatibilité au poste d’Ambassadeur un affairiste connu sur la place de Tunis qui voulait continuer à concilier ses activités professionnelles avec ses futures activités de diplomate.
Il était de règle chez les tyrans que leurs sbires ne pouvaient pas être affublés de plus d’un sésame à la fois. Ils veillaient comme tout bon père de famille à ce que leurs affidés avaient leur petite part du gâteau en se faisant forts d’être justes, équitables et impartiaux avec leurs obligés pour ne pas nourrir les frustrations qui pouvaient être néfastes à leur propre pérennité.
Fins stratèges, ils savaient qu’un système ne pouvait fonctionner que si ses rouages étaient distincts les uns des autres et bien huilés, sinon le système pouvait s’embrayer si l’on utilisait le même rouage à des fins différentes et contre-indiquées. Le pouvoir avait pour eux la même posologie et propriétés qu’un médicament. Pour sa bonne marche, ils le dotaient de canaux différents qui faisaient office de simple courroie de transmission entre eux et le peuple.
Des exécutants de pacotille, seul le maître absolu du pays avait le privilège d’être le détenteur réel et incontestable de tous les pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire et le contrôle et la censure de l’information. Quand bien même ils s’apparenteraient au Roi Ubu avec leur manie pathologique de vouloir toujours tout et de tout s’approprier, ils avaient toutefois l’intelligence de veiller à une meilleure répartition des rôles pour donner la pleine mesure à leur action politique.
Comparé au régime embryonnaire de caractère idéologique confusionniste-totalitariste,  à la mode qoutbiste, où les marionnettes de l’Assemblée Nationale Constituante sont aussi membres du gouvernement, tel ce Ministre de l’Education Nationale, ou son Premier Ministre de tutelle ainsi que le Guignol-amuseur-des foules M. Marzouki, le despotisme tyrannique apparaît plus respectueux des normes politiques d’une démocratie de paillettes.
Au moins, faisaient semblant d’exercer une forme déguisée de séparation de pouvoirs, sans rien cacher à leur peuple sur les modalités unipersonnelles du pouvoir qui dans ses apparences extérieures avait toutes les allures d’une démocratie.
Seulement que dans le cas d’espèce, le pouvoir n’est pas au peuple, il est invariablement leur bien personnel ou impersonnel n’hésitant pas à se proclamer eux-mêmes la démocratie ou se revendiquant d’elle comme Hitler naguère pour mieux pouvoir l’achever, ou comme disaient Staline la société c’est moi ou Louis XIV : l’Etat c’est moi. Il n’empêche que l’exemple tunisien est inédit en matière de don d’ubiquité, et d’hommes aux visages multiples donnant ainsi toute sa saveur à cette figure mythique de la mythologie grecque : l’Hydre de Lerne.
La particularité remarquable du nouveau régime tunisien aussi légitime qu’un braqueur de banque et qu’on peut qualifier à juste titre de celui des Serpents de Marais combattus et vaincus par Hercule est de ressembler à cette marque célèbre de shampoing les 2 ou 3 en 1. Les américains qui s’étaient résolument engagés dans un programme d’innovation politique pour les pays arabes en proclamant la Tunisie comme étant leur laboratoire de recherche et de conception en la matière d’idées politiques peuvent se réjouir enfin d’avoir découvert le régime politique du shampoing, de l’après-shampoing et du défrisant à la fois.
Voici comment la révolution du jasmin fané faute d’avoir redonné sa dignité au peuple et tourné définitivement la page du népotisme, du despotisme, des abus de privilèges et d’injustice vient de donner naissance grâce à la fécondation in-vitro imaginée et réalisée par les manipulateurs de la bio-politique et cybernétique US non pas l’homme unidimensionnel de Michel Foucault mais l’homme bi ou tridimensionnel.
Ainsi la Tunisie peut se féliciter d’avoir un président qui préside, un président qui légifère et un président qui amuse. Sauf que dans ses premiers rôles, il cumule deux salaires alors que dans son troisième rôle, là où il excelle à merveille, il serait bénévole mais dédommagé très largement par le contribuable tunisien appauvri et paupérisé par un gouvernement de cumulards, incultes et incompétents menant une politique antipatriotique et de « qatarisation » du pays.
La seule et vraie réussite dont ce gouvernement de marchands de tapis made in China importé d’Ankara, de Doha et de Djeddah selon un cahier de charges wahhabite est d’avoir dépassé en accaparement et confusion de pouvoirs tous les régimes tyranniques réunis.
• Comment peut-on être à la fois membre de gouvernement et élu cumulant deux salaires et les avantages y afférents à chaque fonction ?
• Comment est-ce possible matériellement que l’on puisse être élu à 100% de son temps tout en étant ministre à plein temps ?
• Comment peut-on être à l’origine et l’élaboration des textes législatifs et en même temps les appliquer ?
• Comment peut-on être Chef de Gouvernement et répondre de la responsabilité de son gouvernement devant une assemblée dont on est soi-même membre ?
Et bien d’autres questions à l’appétit pécuniaire « gloutonesque» et périlleuses pour l’état exsangue des finances publiques du pays de ces femmes et hommes enfantés par l’hydre wahhabite et qui resteront certainement sans réponses mais qui témoignent de l’émergence d’un nouveau régime féodal dont la seule finalité est de provoquer la banqueroute financière du pays afin de le vendre au moins-disant moyennant un rial symbolique qui est généralement le créancier qui détient le plus d’hypothèques sur le débiteur.
On ne doit comparer que ce qui est comparable, or le nouveau régime politique tunisien est un régime qui ne se compare qu’à lui-même, il est à contre-courant des régimes totalitaires qui sont accessibles à l’analyse politique, à cause de leur cohérence organisationnelle les distinguant du nouveau régime tunisien, inconnu au monde des primates et notamment chez les chimpanzés dotés d’une organisation sociale et politique bien structurée, ordonnée, ordonnancée et hiérarchisée.
L’organisation politique tunisienne mise en œuvre par la Troïka est dotée de mécanismes de transversalité et d’interchangeabilité, permettant à chacun de ses membres d’évoluer à l’intérieur du système pourvu d’une multifonctionnalité mais sans unité de lieu et de temps. Il peut être ministre-figurant pour les besoins du casting ministériel et constituant-potiche pour les besoins de la Constituante, et accomplir ses devoirs cultuels tels les prières et le pèlerinage pour les besoins du casting religieux, tout en actionnant sans vergogne ni scrupule la pompe à siphonner le puits asséché des finances publiques.
On reprochait à juste titre à Ben Ali d’avoir fait de la corruption un mode de gouvernement, mais paradoxalement son système n’a pas mis la Tunisie sur les genoux, il avait laissé plus de 6 mois de réserves de change au pays, nonobstant la solvabilité financière dont jouissait la Tunisie sur les marchés d’emprunts internationaux et dont les prêts étaient garantis par la signature tunisienne. Aucun de ses ministres n’était détenteurs de deux mandats, gouvernemental et parlementaire.
• Est-ce à dire qu’il avait le souci des biens publics, de la transparence et le compartimentage de la vie politique de son pays ?
Toutes choses étant égales par ailleurs, je serais tenté par répondre par l’affirmative à cause de la gestion burlesque et ubuesque de la vie politique tunisienne et des finances publiques. En effet, le néo régime tunisien s’avère être éloigné de tous les standards politiques connus qui non seulement est incapable de maintenir l’économie tunisienne à flot mais en plus il met tout en œuvre pour provoquer son insolvabilité et induire les mises en condition de la perte de la souveraineté nationale.
Pour étrangler un peuple, on l’asphyxie financièrement. La Troïka a réalisé en un temps record ce que Ben Ali pourtant un orfèvre en la matière ne l’avait pas fait en 23 ans de pillage sans précédent dans l’histoire de la Tunisie. Les réserves de change sont passées à moins de 60 jours ! La Tunisie ne peut plus emprunter directement sur les marchés des capitaux sans la caution du Qatar et des E.U. Une caution-hypothèque du pays. Mais avec des clignotants au rouge affolant, la Troïka n’en a cure de tout cela, elle est là pour jeter le pays dans la fosse aux fauves wahhabites sous la houlette de son protecteur Yankee.
Elle est telle une organisation de mercenaires que ses commanditaires lui laissent tout le loisir de piller et de mettre à sac le pays.
C’est pourquoi, ce régime n’a rien de tuniso-tunisien, il est composé de simples exécutants-marionnettes, mis en scène par leurs donneurs d’ordres  pour appliquer leur agenda politique et  mener le pays dans les limbes de l’histoire et en faire une proie facile et expiatoire pour les prédateurs qui pullulent dans le pays.
Rien ne permet de dire par conséquent que la Tunisie n’a fait que changer les hommes mais pas le système. Car l’ancien système en dépit de ses nombreux ratés ne portaient guère en lui les germes   de la mise à mort programmée de la Tunisie tunisienne, celle de la douceur de vivre et de la sécurité pour tous.
Il s’agit plutôt d’un modèle embryonnaire, hybride, surannée, saugrenue, un capharnaüm indescriptible, un maelström, un méli-mélo, une ratatouille tunisienne au goût avarié et nauséabond telle que celle mijotée par l’.I.S.I.E. qui a scellé la mort de la démocratie dans ce pays,  ayant pour seule finalité d’user de la grosse ficelle de la nouvelle constitution pour consacrer la mise sous tutelle du pays, entamée déjà par la subordination de l’armée tunisienne au Commandement du Qatar, et donner ainsi tout son sens démocratique au processus de « bananiérisation » inquiétante de la Tunisie.
• Les tunisiens n’ont-ils pas validé justement par leurs voix ce projet pourtant explicite, celui du Califat proclamé par l’agent du terrorisme djihadiste Jébali ?
Il faut que l’expérience tunisienne soit inscrite en lettres noires, grises et marrons dans l’anthologie des simulacres révolutionnaires. Une imposture qui fait du mélange des genres un cocktail néfaste à l’indépendance du pays. La Tunisie baigne désormais dans des eaux stagnantes et saumâtres infestées de piranhas qui avalent à une vitesse vertigineuse tout ce qui peut satisfaire leur appétit insatiable.
Les petits piranhas de l’A.N.C. se donnent à cœur joie pour s’enrichir à tout va. La fin justifie les moyens. Tant que l’on peut se payer sur la bête tunisienne en toute impunité démocratique, on cumule les mandats comme d’autres cumulent les mandats sociaux. Elus du peuple et membres du gouvernement, juges et parties, maître d’ouvrage et maître d’œuvre dans le cadre des marchés publics, membres d’une commission d’appel d’offres et soumissionnaires, président de la commission électorale et attributaire à un membre de sa famille du marché d’impression des bulletins de vote et de tous les documents annexes , ministre de l’intérieur et en même temps chef de milice, femme d’un élu en occurrence Abbou devenue sa suppléante à l’A.N.C. en violation des règlements statutaires de la dite assemblée et du code électoral.
Passant outre les règles de bornage des frontières entre les sphères du pouvoir, violant avec outrecuidance les mandats que le peuple leur a confiés, spoliant et détournant à leur seul profit le peu de richesse du pays. Même dans les régimes tyranniques, les sous-fifres ne cumulaient pas les indemnités liées à leur fonction publique. Les tyrans avaient une approche rationnelle dans l’organisation de la vie publique. Se montrant vigilants sur le mode de fonctionnement de leur système en octroyant à chaque pion un rôle spécifique lui interdisant de remplir en même temps d’autres missions que celles qui lui étaient initialement fixées.
Eux qui se voulaient hommes protées ne voulaient pas faire jouer un rôle de personnages multiples à leurs potiches auxquels au fond d’eux-mêmes n’y croyaient pas. Pour eux, la politique est une partie d’échecs dont ils étaient les seuls à en définir les règles de jeu, les seuls arbitres et les seuls joueurs, ce qui n’est pas le cas de la Troïka à l’imagination débordante au point qu’elle a inventé un faux-semblant de régime politique le 2 ou 3 en 1. Ministre de pacotille, élu d’opérette, adorateur-exhibitionniste, voire le cas échéant prédicateur-djihadiste-terroriste comme lors de la razzia de l’Ecole américaine et l’Ambassade U.S. à Tunis.
Tandis que la Tunisie s’appauvrit  sa Troïka continue à la saigner comme l’on saigne les moutons et donner ainsi tout son sens au sacrifice d’Abraham.

L’islam è l’ignoranza della scienza del sacro.

wrongdoers

Di Salem Ben Ammar.

Quando una bomba è esplosa vicino all’entrata dell’aeroporto di Kabul, in Afghanistan, uccidendo almeno venti persone, mi hanno chiesto di mettere online questa rubrica di Salem Ben Ammar sull’islam dei lumi. Forse era un riferimento ai lampi delle esplosioni.

Jean Patrick Grumberg

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L’islam glorifie les terroristes et maudit les humanistes pour cause de non-islamité

prière des musulmans turcs pour les frères Kouachi
Que les  non-musulmans sachent une fois pour toutes,  selon les préceptes de l’islam quoi qu’ils fassent de bien sur terre au bénéfice de l’humanité dont les musulmans sont souvent les premiers destinataires à cause de leur état de misérables éternels, ils n’auront aucun chance au même titre que la majorité des femmes musulmanes d’accéder  au paradis tant qu’ils ne font pas le choix de se convertir à cette religion qui prône la supériorité de ses fidèles sur vous autres et qui place les siens au-dessus de l’échelle humaine.                                                                                                                           
Il est dit dans le Coran que seuls ceux qui ont cru au message ignominieux et fabulateur de l’ignoble Mahomet ont suivi la voie de l’islam bénéficieront de cette prébende divine.
Par voie de conséquence, quant aux autres l’enfer sera leur seul lot de consolation et où ils pourraient jouir de sa chaleur ardente pour l’éternité. Pauvres humanistes vous  serez privés des délices divines au seul profit de ces monstres enfantés par le Coran qui sèment la mort et s’enivrent du sang humain dans le sentier d’Allah.
L’abbé Pierre, le Mahatma Ghandi et  Nelson Mandela en enfer parce qu’ils n’ont pas le caractère musulman, tandis que les figures de la barbarie humaine R. Ghannouchi, Ben Laden, Al-Baghdadi, Omar Bachir le génocidaire soudanais sont promus au paradis.
Drôle de religion qui accorde une prime à la violence et châtie les hommes épris de paix et d’amour.
Une religion qui surfe sur les peurs et les promesses et qui s’abreuve du sang humain et veut coloniser la vie des hommes dans ses moindres petits détails apporte elle-même la preuve de sa misère spirituelle.

Pourquoi a-t-elle besoin d’user des mécanismes de manipulation mentale et de conditionnement psychologique comme si elle était une secte ?

Effrayer, appeler au meurtre de ce qui est différent de soi et promettre le paradis aux plus fanatisés des fidèles, ce n’est pas ça la noblesse d’une religion qui doit en tant que telle procurer à l’homme cette nourriture qui lui permet de s’élever, ouvrir son coeur et son esprit, d’aimer tous les humains, et non de chercher à le réduire à une simple portion congrue et d’en faire une arme de destruction massive. Si ce dieu musulman était aussi juste, impartial,et humaniste, pourquoi cherche-t-il à duper les hommes, à vouloir les embobiner par des promesses qui n’engagent que ceux qui les prennent pour une parole divine.

Il ne peut y avoir de religion sans égalité de droit et de statut entre les hommes et tous les hommes, si Dieu est unique, il ne peut y avoir un traitement différencié entre ses prétendues créatures. On ne fait pas non plus de la piété un critère d’égalité entre les hommes.

Etre musulman n’est pas non plus un critère de solvabilité morale. Le jour où l’islam enseignera à ses hommes qu’il n’y a pas d’amour autre que celui de l’être humain, cela fera de lui enfin une vraie religion qu »il cherche à l’être mais qu’il n’y arrive pas.

Le jour où les mots à forte connotation raciste, xénophobe, antisémite, inégalitaire, qui portent en eux tous les germes de la violence, du sexisme, de l’intolérance, de la tyrannie, de la haine, de l’inhumanisme, cela fera passer l’islam de l’ombre à la lumière.

Le jour où tous les pays musulmans adhéreront à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du Citoyen, et apprendra à respecter les droits à la différence et les libertés d’expression et de conscience, l’islam ne rimera plus avec nazisme.

Islam et Démocratie : Huile et Vinaigre

Islam et Démocratie : Huile et Vinaigre

Ceci est un article entièrement repompé de Salem Benammar.Pourquoi?
Car il est clair, concis, objectif et loin des écrans de fumée envoyés par les médias majoritaires.
Il n’y a ni haine , ni manipulation, simplement la connaissance des faits , de l’érudition (en espérant que ce terme ne soit pas devenu une injure). Tout est vérifiable. Vive l’esprit des lumières.
Pourquoi la démocratie ne peut pas exister dans les pays musulmans ? Publié le 16 février 2013 par Salem Benammar .

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L’islam et la démocratie sont deux entités antinomiques. L’une veut créer les conditions pour imposer la souveraineté d’Allah sur la vie de la cité dont il est le seul maître et souverain. L’autre cherche à donner à l’homme les moyens de son émancipation politique afin qu’il soit partie prenante dans la définition de son projet de vie politique. Deux conceptions de régimes politiques contradictoires et opposés. D’une part seul dieu est souverain, il ne peut y avoir une autre voix en dehors la sienne et d’autre part le pouvoir revient au peuple et à son seul profit et dont les modalités de l’exercice sont définies par ses assemblées, mandatées par lui. Seul le peuple est souverain. Un sacrilège aux yeux de l’islam, une hérésie qu’il faut combattre et dont il faut immuniser les musulmans. Lui qui se veut le seul et unique berger, ne pas enlever les barrières de son enclos à un autre berger susceptible de faire égarer son troupeau dans des enclos moins hostiles et à l’herbe grasse et favorables à leur émancipation. L’islam a peur de la contagion démocratique qui peut gagner ses fidèles qu’il assimile à une apostasie. Sa hantise de la démocratie est telle qu’il n’hésite pas à stigmatiser les insolents, tous ceux qui contestent son pouvoir, à les désigner à la vindicte populaire pour les châtier, comme ce fut le cas du leader politique de la Gauche Laïque et Républicaine Chokri Belaîd assassiné parce qu’il rêvait d’un destin démocratique pour la Tunisie.
La cité idéale musulmane est par essence dépouillée de toutes les influences extérieures considérées comme contraires aux dogmes de l’islam. Il a su habilement se servir de la générosité naïve de la démocratie pour rétablir son pouvoir politique par le biais des révolutions, plutôt dévolution, du printemps arabe, comme si ces pays avaient des saisons, eux qui n’avaient connu que sécheresse et aridité. Suivant l’exemple de son clone nazi, il se met à miner le terrain pour empêcher l’éclosion de la fleur démocratique dont pourraient s’enivrer les musulmans.
Pour conserver son pouvoir, il ne recule devant rien. Faucher, brûler, menacer, violenter, clouer au pilori, réprimer, tuer, jeter l’anathème, terroriser, violenter, la fin justifie les moyens, car il y va de sa propre pérennité,. Il est de règle que la théocratie ne peut prospérer que sur l’obscurantisme et les limitations des espaces de libertés, et la et la démocratie prospère sur le recul des pratiques de la religion. Aliéner, castrer, endoctriner et bâillonner, seul moyen pour abrutir les hommes, afin de les rendre plus dociles et prévenir toute réaction de résilience qualifiée de Fitna. Un pêché mortel au regard des dogmes.
La démocratie n’a pas besoin d’artifices culpabilisant et inhibant, ni de paver le chemin des libertés de leurres, de farces et attrapes, elle est l’expression libre de la volonté des hommes de donner un sens commun à leur vie en collectivité. Alors que l’islam se veut le sens, l’essence, la substance, le code et le but ultime de leur vie. Avec des contraintes drastiques et inhibitrices.
Pour exister, l’islam recourt aux méthodes de manipulation mentale pour pouvoir maintenir les hommes dans sa sphère de dépendance. comme toute idéologie totalitaire, il ne laisse aucune liberté de choix aux hommes, tout est mis en œuvre pour les figer dans le marbre du conservatisme. Sa grande hantise est de perdre son pouvoir de contrôle absolu que seule la semence démocratique peut l’affaiblir. L’homme musulman est créé par Dieu pour le servir, lui servir de chair à canon dans le djihad et non de réfléchir par lui-même sur le vrai sens de son existence. N’est musulman que celui qui se soumet sans discernement aux dogmes de sa foi et dont il fait son motus vivendi. S’en écarter est assimilé à un sacrilège qui expose le déviant aux pires châtiments.
Plus proche du bolchevisme et du nazisme que du bouddhisme ou du christianisme, il se veut le seul maître et architecte de l’environnement politique dans lequel doivent évoluer ses adeptes, réglant avec la minutie de l’horloger leur façon d’être, de concevoir, de penser et de vivre jusqu’à leur façon de s’habiller. Les musulmans n’ont pas de prise sur leur propre vie, ni de pouvoir d’agir et de choisir par eux-mêmes. Ils sont des pions sur le grand échiquier élaboré par dieu et dont la finalité est d’instaurer un nouvel ordre mondial dont les musulmans seront les maîtres.
Dans le cas d’espèce, il est utopique de chercher à implanter une quelconque semence dans un sol où seule la semence musulmane théocratique est censée pousser. C’est un peu comme si l’on avait cherché à greffer l’humanisme sur le nazisme en son temps, ce qui aurait eu pour conséquence de lui donner un visage humain. Or, le nazisme, ne pouvait prospérer que dans la haine, le racisme et l’intolérance, sinon il n’aurait pas perdu son sens et sa substance, ce qui est aussi le cas de l’Islam. Ce n’est pas l’enfant terrible de l’Islam qu’est l’islamisme que les nombreux laudateurs de l’islam veulent en faire le bourreau de l’Islam lui-même, ce fils parricide qui dévoie et dénature l’Islam. Alors que l’islamisme n’est rien d’autre que le bras armé de l’islam dans sa phase de conquête et de reconquête du monde.
En effet, le problème est moins par conséquent l’islamisme qui est plus un moyen de blanchir l’Islam, de le déculpabiliser, de le dédouaner et de l’exonérer de toutes ces dérives terroristes, barbares et ultra réactionnaires. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas le ver venimeux dans le fruit musulman, ni sa nécrose, il en est l’organe vital, son cerveau et sa force de frappe. L’islamisme n’est pas l’Islam politique, c’est l’Islam où toutes les composantes qui fondent la vie des hommes doivent être se confondent, s’amalgament, s’enchevêtrent et s’inter-agissent entre elles. Il est son esprit et son corps. Tout simplement, c’est l’islam tel qu’il doit être et non pas l’Islam mythifié et légendé par les mystificateurs de l’Islam qui vont jusqu’à pousser la fantaisie en assimilant l’Islam à la paix et à la tolérance.
Dans un sens ils n’ont pas tort, puisque pour préserver son intégrité physique et être accepté par ses semblables il faut être musulman. Seul un musulman soumis aux lois dictatoriales de l’Islam et qui satisfait à la volonté de dieu peu prétendre à cela. Un peu comme un commerçant napolitain qui doit s’acquitter d’un tribut, une jizia, pour avoir acheté sa tranquillité. L’Islam c’est se soumettre ou se démettre. Il ne laisse guère le choix aux hommes, ni d’alternative à repenser ou considérer le choix contraint et forcé, soit une allégeance ad vitam aeternam soit la mort. Aucune rupture de lien n’est possible, c’est un univers carcéral dont on ne sort jamais vivant. On naît musulman, on vit dans l’Islam et on meurt musulman. Un musulman ne peut et ne doit envisager sa vie en dehors des prescrits de sa foi et des règles de vie de sa communauté, qui est sa matrice et son censeur.
C’est pourquoi, il lui est impossible d’emprunter une autre voie non fixée par la feuille de route censée être la meilleure pour lui afin d’atteindre le Graal paradisiaque. Il est évident que pour lui, suivre une autre voie qui ne soit pas d’essence musulmane consiste à commettre un sacrilège, un péché mortel. Ce que ne manquent pas d’ailleurs de lui rappeler les doctes de sa foi dans leurs oukases, les fatwas. Un musulman n’est pas en droit d’avoir des choix politiques ni d’exercer la liberté de conscience et d’expression, comme s’il était un majeur incapable, il doit accomplir ce que dieu lui a dicté. N’étant pas doté de volonté propre, il n’a pas à être acteur de sa vie personnelle et politique. Ce que dieu a ordonné et ordonnancé, l’homme n’a pas à l’intervertir ou s’y interférer.
Qui mieux que la démocratie pour permettre d’ôter le carcan du poids étouffant de la religion sur la vie des hommes, et constituer un antidote à leurs maux, mais c’est sans compter sur les gardiens des dogmes de la foi pour lui opposer hostilité et rejet au nom de la pureté des sources de l’Islam et le bouclier canonique des valeurs du sacré. A leurs yeux, la démocratie, concept par essence profane, présente un danger certain pour la pérennité même de l’Islam, la favoriser revient à sonner le glas de l’Islam. L’ennemie à abattre car il risque de faire non seulement de l’ombre au pouvoir despotique de l’Islam mais surtout de provoquer cette onde de choc libératrice des musulmans, les éloignant ainsi du totalitarisme de l’Islam.
Dans ce contexte, l’islamisme devient la ligne Maginot que les musulmans ne doivent pas franchir. Leur cordon ombilical qui les relie à leur plasma originel. L’islam n’est pas qu’un simple système de croyance et de pratiques cultuelles personnelles et communautaires, il est leur cadre de dans la cité et leur mode de gouvernement absolu où il n’y a pas de pouvoir autre que celui de dieu sur les hommes. Il est de à la fois religion, État et monde. Prohibant tout principe séparation entre le sacré et le profane et le séculier et séculaire, le politique du religieux. Ce mélange des genres qui s’articule autour de l’omniscience et l’omniprésence de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à l’éligibilité de la Démocratie dans les pays musulmans.
Dans les sociétés islamisées, seules les lois d’essence divine ont cours toute autre loi n’ayant pas ce caractère sacré est considérée comme une apostasie. L’Islam ne conçoit pas que l’homme responsable puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est la seule et de répandre la parole d Allah sur terre et instaurer le modèle de l’État islamique tel qu’il est défini par le Coran dont les lois sont immuables et intemporelles. Seul Allah a le pouvoir de légifère en opposition totale et absolue avec notre droit positif.
Or, la Démocratie est par définition une doctrine politique, d’essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens (notion inconnue dans le Coran) au sein d une organisation qui a souvent la forme d’une République (en opposition à la notion de l’Oumma). Dans un régime démocratique, les hommes sont libres et égaux en matière de leur choix de vie, leur choix politique (droit de vote), leur choix de liberté de conscience (interdite dans l islam). Un État démocratique repose aussi sur le principe inaliénable d’égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe (le coran ne reconnaît pas l égalité homme femme) de leurs origines (non fondées sur la foi contrairement à l’islam).
La démocratie protège les citoyens sur des critères autres que ceux définis par le Coran ou la Charia qui autorisent de discriminer le incroyants et leur réserver les pires châtiments. un athée n a pas le droit à la vie en terre d’Islam. Soit la conversion soit la mort, l’exil ou la jizya, la capitation un impôt de survie, une sorte de racket religieux juste pour jouir du statut peu enviable et à forte connotation raciste de dhimmi, une sorte d’intouchable dans le système de castes musulmanes. Dotant les musulmans des vertus de la pureté et des noms musulmans de l’infamie de l’impureté. Différencier les hommes, les catégoriser pour les exclure et les ostraciser voire pire encore, n’est pas sans rappeler le Reich nazi et laisse subsister de sérieux doutes sur la nature même de l’Islam en tant que religion stricto sensu.
L’Islam ne condamne pas non plus les inégalités sociales. Dieu aurait créé les riches et les pauvres, à et nul n’est en droit d’en contester le fondement, les musulmans doivent s’y résigner. De même que l’égalité entre les hommes ne s’applique qu’aux seuls fidèles. Fonder l’égalité sur le seul critère de piété c’est comme si Hitler basait l’égalité entre les hommes sur le seul critère du sang.
En conclusion, une organisation politique quelle que soit son essence, humaine pour la démocratie et divine ou prétendue telle comme dans l’Oumma musulmane qui ne reconnaît pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle que sa liberté de culte et conscience inscrite en lettre d’or dans la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 (jamais adoptée par les États islamiques jugée contraire à leur foi), est indéniablement liberticide, totalitaire et théocratique.
Ainsi l’illusion démocratique sera pour les Musulmans un pur fantasme qui peuplera les rêves des femmes et des hommes qui aspirent à un monde meilleur mais qui ont la malchance de vivre sous le joug du despotisme musulman.

Salem Benammar ,16 fevrier 2013.

L’Occident n’a toujours pas compris que l’islamisme est bien pire encore que le nazisme

Du pitbull nazi au pitbull islamiste ou la capitulation légendaire de l’Occident. Obama le dompte et Sarkozy le caresse.

Jamais un islamiste ne se convertira à la démocratie, comme il ne renoncera jamais à ses délires cosmiques d’islamisation du monde et de ré-islamisation des sociétés musulmanes ou ne se pliera aux lois de la république. Il ne connaît qu’une seule loi, celle de ses délires mystico-sectaires et un seul ordre, celui de la loi de la jungle telle est supposée figurer dans le code prétendu canon de la Charia.

Qu’il soit salafiste, jihadiste, wahhabiste, qoutbiste, il est avant tout islamiste et ne se veut même pas musulman comme s’il y avait une différence fondamentale entre l’islam et l’islamisme . Le parer des vertus humanistes comme le font ses nombreux laudateurs en Occident comme dans les pays du Printemps wahhabisé, est une véritable hérésie intellectuelle et c’est même offensant pour l’islamiste lui-même.

L’islamiste  ne croit qu’aux seuls prescrits de sa religion, il ne va pas se résoudre à tolérer et respecter des règles qui ne sont pas revêtues du sceau divin. Il n’y a pas pire insulte pour lui quand il se fait traiter de démocrate. Autant le traiter d’apostat plutôt que démocrate.

L’idée de démocratie l’horrifie à  cause de sa nature organique concurrentielle avec sa pensée idéologique profonde telle que la fixe son école théologique acharite et codifiée par le jurisconsulte hanbalite Ibn Taymmiya source nourricière du wahhabisme et maître à penser de Mohamed ibn Abdelwahhab le fondateur du wahhabisme,  qui réprouve et condamne dogmatiquement toute autre forme d’expression politique dans la vie de la cité.  Par conséquent, seule la volonté de Dieu doit s’imposer aux hommes qui en est le maître absolu et dont il se veut l’exécutant. Il ne perdra pas son âme pour la futilité démocratique.

Habile, perfide, fourbe, transmutant, retors et rusé, il cherche surtout à endormir la vigilance de son interlocuteur, à le berner, à désinihiber les peurs  chez ses proies potentielles, c’est-à-dire toutes celles qui n’ont pas ses attributs idéologiques et dont le meurtre est légitime et sacré. Il a l’art de se fondre dans son environnement, il est tel un caméléon qui peut changer de couleurs en fonction du décor, mais contrairement au vrai reptile  connu pour ses vertus bénéfiques, son changement de couleur dû aussi à son état psychique peut intervenir à l’approche de sa proie.

L’islamiste possède un autre don, celui de l’ubiquité. Il peut se présenter sous plusieurs visages à la fois mais au même endroit, faisant apparaître plusieurs facettes différentes de sa personnalité impréhensible et déroutante. Il est djihadiste quand il passe en mode terroriste, salafiste quand il est dans ses élucubrations endiablées et en plein délires hallucinatoires , qoutbiste quand il est en mode politique de caractère ésotérique et sectaire et enfin  wahhabite quand il est en mode prosélyte et argentier.

Sa multiplication de personnalité est  à la cause principale de son état schizoïde et paranoïde permanent.  Ses changements d’apparence sont trompeurs, c’est juste un voile pour dissimuler sa vraie nature ténébreuse et terrifiante et révéler au grand jour cette bête immonde qui irrigue son corps et son esprit. Il a beau se grimer en Dr Jeckil pour les besoins du scénario mais il reste substantiellement en son for intérieur M. Hyde, ce personnage hideux, difforme, immonde, pervers, perfide, imprévisible, mu par des pulsions de meurtre,  plus satanique que Quasimodo.

Quand les Juppé et les Hilary Clinton, les nouveaux Daladier et Chamberlain se plaisent à le caresser dans le sens du poil, à l’amadouer, à vanter ses mérites pacificateurs, ils cherchent surtout à le domestiquer, à le dresser, à le dompter  comme un dresseur de fauves ou un maître-chien avec son pitbull. Ils sont dans un jeu de rôle dont le scénario est inspiré par les traumatismes des morsures meurtrières que ce pitbull leur a infligées dans le passé et dont ils cherchent à s’immuniser contre sa férocité et sa cruauté en voulant canaliser ses pulsions terroristes en lui trouvant de nouvelles proies plus compatibles avec son milieu naturel qu’ils s’efforcent de rassurer en drapant le pitbull islamiste de toutes les vertus. N’hésitant pas à s’afficher ouvertement à ses côtés, le couvant de tous les regards, ne manquant pas à manoeuvrer en coulisses pour persuader les futures proies tunisiennes, égyptiennes voire libyennes, que le pitbull est devenu inoffensif et paisible.

Balayer toutes les peurs et les angoisses suscitées par cette bête féroce. Eux dont les pays veulent faire rapatrier de Chine d’ailleurs les unités de production de leurs entreprises nationales  pour relancer leur appareil économique désespérément en panne, ils se mettent aujourd’hui à pratiquer une politique de délocalisation du pitbull islamiste en lui trouvant de nouveaux enclos plus adaptés à son milieu naturel avec le dessein inavoué d’en faire un nouveau chien de garde de leur sécurité intérieure et extérieure. Ils s’imaginent  ainsi qu’avec les nouveaux enclos apparus depuis la chute des anciens despotes à laquelle ils ne sont pas totalement étrangers, surtout en ce qui concerne le Département d’Etat et la célérité rare dont a fait preuve Obama pour féliciter le peuple tunisien pour la réussite de sa révolution qui est surtout une expression de sa propre autosatisfaction pour  la réussite du premier palier de sa nouvelle stratégie géo-sécuritaire.

L’Administration américaine au lieu d’agir directement sur les vraies causes de la prolifération du pitbull islamiste, se borne à faire des effets la source de la cause. En lui octroyant un nouveau statut d’animal domestique, elle pense pouvoir étouffer ses ardeurs velléitaires et celles qui couvraient chez les peuples musulmans abrutis et annihilés par des siècles d’oppression théocratique et de despotisme politique. qui ne semblent leur offrir les garanties sécuritaires escomptées, ils ont opté pour une alternative plus radicale leur permettant d’agir directement sur les supposées sources de la prolifération du pitbull islamiste en lui octroyant même le statut de berger allant jusqu’à s’impliquer directement dans le réinvestissement du pitbull dans son milieu naturel.  Le pitbull a une caractéristique rare celle d’être à la fois un chien d’attaque et de défense. Une vraie aubaine pour la brigade cynophile occidentale qui s’en sert comme une arme pour effrayer les masses démunies et miséreuses des pays du Croissant arabisé frustrées de liberté vivant sous la dictature totale de la religion depuis 14 siècles .

Avilies et asservies par un système idéologique des plus réactionnaires, inégalitaires et liberticides pouvaient assimiler aux congénères potentiels du pitbull islamiste.

L’occident incapable de résoudre la quadrature du cercle islamiste, aveuglé par son ethnocentrisme et égocentrisme, bourré de préjugés anti-populations des rivages sud de la Méditerranée fait du problème islamiste une solution à leur propre problème sécuritaire en en faisant un nouveau  problème épineux à ces peuples écrasés et anéantis par toutes sortes de problèmes. Ceux de leur survie et leur dignité humaine.

De ce fait, on a préféré transformer l’éveil démocratique né en véritable sacre de la théocratie religieuse. Au lieu d’aider la démocratie à s’enraciner dans le sol tunisien par exemple, ils ont joué ouvertement la carte du pitbull islamiste, comme si elle était la carte de leur propre survie.  Ils ont déversé sur sa scène des meutes entières de pitbull de toutes variétés, lesquelles recrachent sans arrêt ces boulettes indigestes et contaminées aux damnés de la terre contents de pouvoir jouir enfin de ce qu’ils croient être un avant goût du festin divin qu’ils leur promettent en guise d’avenir humain.  Quant aux nantis tunisiens, ils y voient avec le déferlement de ces meutes de pitbull un moyen des plus redoutables et efficaces   pour préserver et pérenniser leur richesse et conserver leur position sociale dominante.

L’occident porte une lourde responsabilité dans l’enlisement antidémocratique actuel de la Tunisie. Pour exorciser ses propres peurs, il se livre à des figures  de style mélangeant, l’abdication, la compromission, la couardise, l’opportunisme, la duplicité et l’égoïsme invétéré. Son ingérence éhontée  dans la campagne électorale tunisienne, son outrecuidance à l’égard du peuple tunisien et son mépris pour les forces démocratiques du pays, ne peuvent que refléter  son état d’angoisse pathologique et désespéré à traiter son mal par le mal infligé à autrui.

Une thérapie aux conséquences néfastes pour sa propre santé de par son effet boomerang qu’elle ne manque pas de provoquer à chaque fois que l’on recourt à  ce type de méthode thérapeutique. Du fait tout simplement de sa nature contagieuse. Le mal ne se guérit pas non plus par le mal.

La période de rémission n’est que provisoire et les risques  de la métastase sont loin d’être écartés. Le spectacle pathétique et lamentable offert par H. Clinton et A. Juppé n’est pas sans rappeler celui offert par le duo de la capitulation franco-anglaise en 1938. Devenus de  véritables cynophiles de luxe couvant d’un oeil amouraché leur pitbull favori  participant à un concours de beauté canine.

On épouse pas la cause islamiste aux dépens de la cause de la démocratie des peuples qui en sont dépourvus mais qu’ils appellent de tous leurs voeux sans risque et surtout avec le risque qu’en croyant sauver de la sorte leur propre démocratie qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils  sont pas en train de précipiter sa mort en contribuant à la mise en bière du rêve démocratique en Tunisie comme en Egypte avec la complicité du Qatar et de l’Arabie Saoudite.

 Quoi qu’ il en soit ils sont amnésiques et ignorants de leur propre passé.  Leur mépris, leur vélinie et veulerie leur ont fait certainement oublier les enseignements des échecs tragiques de leur pays dans le passé. Comme ce fut le cas avec le pitbull nazi. Au lieu de prendre toute la mesure du problème et s’en prémunir d’entrée de jeu ils s’étaient mis à louvoyer, lui apportant toute leur caution politque et la reconnaissance internationale comme en 1936 avec les J.O. de Berlin( voir mon article sur les fantasmes hitlériens de R.Ghannouchi ) à l’encenser et à le doter d’apparat humain. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes les effets comme le dit l’adage.
Comment ne peut-on pas être surpris et inquiet par autant de cécité de la part de l’Occident ? On ne qu’être interloqué par autant de ressemblance de l’approche politique indécente et irresponsable  ouvertement favorable à chaque fois aux forces du mal incarnées dans les années 30 par le pitbull nazi et aujourd’hui par le pitbull islamiste.
 L’exemple du pitbull nazi  devrait pourtant les rendre plus vigilants et circonspects mais ils y passent outre. Comme ils passsent outre les actes de pogroms contre les Juifs, la nuit de Cristal, les autodafés antisémites et les lois raciales de Nuremberg de 1935.  L’histoire se répète et finit toujours par rattraper tous ceux qui veulent occulter de leur mémoire. Elle commence déjà à se profiler dans le ciel gris et noir tunisien  avec le spectacle pogromesque et infamant offert par les islamistes tunisiens à l’occasion de la visite d’un digne héritier du Mufti de Jérusalem nazi notoire,  Al-Husseini oncle de Yasser Arafat et grand-père maternel de Leïla Chahid, promu chef d’une division Waffen SS lors de la 2 e guerre mondiale.

La femme musulmane d’Occident est la pire ennemie de la femme musulmane d’Orient

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Femme musulmane je ne sais pas si tu es à plaindre ou à blâmer, tu es à la fois complice de tes bourreaux en Occident et vis une vie de bagnarde en terre musulmane où  tu n’existes pas en tant qu’être humain à part entière.

Là où on attend d’elle qu’elle brise les chaînes de son état d’esclave elle en fait un symbole de la liberté, une liberté d’un chien tenu en laisse par son maître.

Sa coreligionnaire d’Orient étouffe sous le poids des traditions sexistes, discriminatoires, inégalitaires, tyranniques et liberticides qui l’ont réduite au rang de rebut de la société, au lieu de prendre faits et cause pour elle, la femme musulmane d’Occident la nargue et la snobe en affichant cyniquement les symboles du traitement décadent, infamant et humiliant qui est son lot quotidien depuis 1436 ans.

La femme musulmane d’Occident est à la femme musulmane d’Orient ce que fut la Milice de Laval à la France en 1943-45.

Au nom de sa pseudo liberté elle met tout son zèle pour marquer son allégeance  aux tortionnaires de sa coreligionnaire privée des libertés les plus élémentaires.

Elle fait croire en Occident que l’islam libère la femme, or, la femme de l’Orient musulman démontre tout le contraire et qu’il n’y a pas pire ennemie pour la femme que l’islam lui-même, un véritable camp de la mort pour elle.

Il  lui est trop facile de jouer à la femme musulmane « émancipée » car elle sait au fond d’elle-même qu’elle est à l’abri du courroux de son tortionnaire si jamais elle dérape,  mais sa coreligionnaire d’Orient n’a pas cette chance d’en faire autant et c’est la mort ou la rue qui la guettent.

En Occident elle est protégée contre les agressions de toutes sortes, jouissant de tous ses droits de citoyenne mais en a-elle réellement besoin quand on voit le mauvais usage qu’elle fait de ses droits si ce n’est pour jeter son fiel sur la femme occidentale, en Orient, elle est un être humain entièrement à part, sans droits protecteurs, enfermée dans un camp concentrationnaire, coupable d’être femme, frappée de la malédiction éternelle.  Si elle est victime d’un viol, elle y est forcément pour quelque chose. Elle a dû provoquer son agresseur auquel elle n’a pas laissé le choix que de la punir sexuellement pour le mal qu’elle lui a fait. On innocente l’auteur du viol qui n’a fait en réalité que réparer le préjudice moral subi et on condamne la victime qui cesse de l’être car elle est femme. Même quand elle est drapée dans le linceul de sa mort elle n’est pas à l’abri des assauts sexuels contre son gré du mâle musulman comme c’est souvent le cas en Egypte où la majorité des femmes victimes d’agressions sexuelles sont des femmes voilées.

Pendant que la femme musulmane d’Orient rêve de vivre ne serait-ce l’ombre de la liberté de la femme occidentale, la femme musulmane d’Occident en proie aux troubles identitaires graves est convaincue  que la voie de liberté est d’affirmer son état d’aliénation totale et absolue à son mâle dominant.

Croyant faire de ces symboles d’inféodation à l’homme un argument d’estime de soi, elle ne se rend pas compte qu’ils sont autant de manifestations de la dévalorisation de sa propre image comme si elle avait honte d’elle-même, du déni de soi,de sa résignation à son état d’infériorité, de la négation de son corps, de son auto-relégation, de la haine de soi, de la haine de la femme en général et pour sa coreligionnaire d’Orient en butte aux privations des libertés, spoliée de son corps, dépendant des hommes dans tous les actes de la vie quotidienne, à l’âme anéantie par la douleur et le désespoir de ne pas pouvoir vivre sa vie de femme et d’être humain pourvue d’intelligence et de raison.

La femme musulmane d’Occident confond liberté et asservissement. Quand on réellement libre on ne drape pas sa liberté dans un drap mortuaire. La vraie liberté est d’abord de témoigner de son appartenance à la république en se gardant d’exhiber des signes ostentatoires communalistes qui portent en eux le poison mortel pour les valeurs de la république.

Il ne s’agit ni d’un retour au sacré ni un acte absurde et régressif. Le port du voile n’est pas l’étoile jaune évocatrice de la tragédie juive, il n’est pas sans rappeler le brassard de la Milice française synonyme de trahison, de collaboration et d’indignité.

Il est la marque de son hostilité à l’Occident tant honni par ses chefs-marionnettistes. Son voile est le linceul dans lequel ses maîtres enseveliront la liberté. En se travestissant en sorcière d’Halloween elle inspire peur et frayeur. Avec son voile c’est le cap levé sur le monde des ténèbres. Elle n’est rien d’autre qu’une marionnette des plus laides, une figure d’épouvante, un agent polluant de l’environnement.

Le  port du voile qui est une chronique de la mort programmée de l’Occident quelle qu’en soit la taille est loin d’être neutre idéologiquement ou l’expression d’une volonté libre et sans équivoque, il renvoie aux années noires de la collaboration française. Cette femme musulmane d’Occident non seulement elle laisse dévoiler les desseins de ses maîtres pour l’Occident, mais également elle insulte sa coreligionnaire d’Orient en servant de faire-valoir aux forces ultra-réactionnaires et machistes lapidatrices  es droits de la femme en terre musulmane devrait aller vivre la condition féminine dans ces pays qui lui fera regretter d’être née femme.  Masochiste qu’elle est et atteinte de cécité mentale, il y a peu de chance pour qu’elle en prenne conscience et puisse compatir enfin  pour sa coreligionnaire prête à tout pour s’évader de son bagne.

Enivrée par les illusions de l’islam de « liberté », quelle hérésie! jamais elle ne saura ouvrir les yeux sur la réalité du sort peu enviable de sa coreligionnaire d’Orient à cause de cet islam de « liberté » dont la femme saoudienne en est le parfait exemple à laquelle elle veut ressembler par sa tenue de sorcière d’Halloween.  On ne construit pas sa liberté en cachant son visage derrière les barreaux de sa prison mentale et sociale.

Que connaît cette femme musulmane d’Occident du statut de la femme dans l’islam certainement pas plus de ce qu’elle connaît de la vraie signification et l’histoire du voile partiel et intégral ?

Selon les prédicateurs musulmans qui devraient éveiller l’attention de la femme musulmane d’Occident sur les dangers de l’islam pour les libertés,  qui sont à l’origine de l’explosion du port de voile partout dans le monde et qui connaissent le Coran sur le bout des doigts la femme  doit servir de nourriture à son mâle s’il est affamé, de servante, de champ de labour. Si elle est malade, elle n’a pas être soignée par son maître, elle n’a pas le droit de voyager, de se baigner à cause de la forme phallique des vagues comme cela a été décrété dans une célèbre fatwa. Elle n’a pas le droit de travailler, de choisir son partenaire, de décider de sa grossesse, de témoigner, de conduire une voiture, de sortir de chez elle, de disposer de son corps propriété d’Allah, de se refuser à violeur, d’étudier, de choisir la couleur de ses habits, de participer dans la vie publique, d’acter, d’accéder à la propriété, d’ester en justice, de divorcer.

Elle a juste le droit de se taire si elle ne veut pas aggraver son cas, quoiqu’elle fasse elle n’aura guère de chance d’être parmi les élus au paradis sinon une place parmi les 72  auxiliaires sexuelles qu’Allah a promises à ses escadrons de la mort.  Une vie de chienne et encore. A se demander si  Allah pouvait trouver un autre complément pour ses hommes il n’hésiterait pas à le faire tellement la femme synonyme d’impureté originelle est maudite dans les sociétés dédiées à Allah.

L’islam est à la science ce que l’urine du chameau est à la médecine

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Alors qu’une bombe vient d’exploser près de l’entrée de l’aéroport de Kaboul, en Afghanistan, tuant au moins 20 personnes, il m’a été demandé de mettre en ligne cette rubrique de Salem Ben Ammar sur l’islam des lumières.

Il doit s’agir des lumières des explosifs. – Jean Patrick Grumberg

 

A entendre les musulmans, l’humanité est redevable de tout à l’islam et doit lui être reconnaissante à tout jamais pour ses bienfaits scientifiques. Sans lui, elle  ne serait jamais sortie des ténèbres où ils ont élu domicile depuis 1436 ans. Rien que ça!

Il est vrai que l’humilité n’est pas leur vertu première et que l’islam est l’ignorance élevée au rang du sacré, et les musulmans, conditionnés et endoctrinés du berceau à la mort, ne peuvent imaginer le monde en dehors du dessin que le Coran fait de lui. Ils sont convaincus que ce livre est la science des sciences. L’ignorance est devenue leur savoir universel. L’ignorance de ce que l’islam ignore lui-même.

Au point que tous ceux qui apprennent le Coran par coeur et excellent dans sa connaissance sont considérés comme des érudits, des savants, ulamas en arabe, et bénéficient d’un grand prestige chez leurs coreligionnaires.

Ainsi, les musulmans nourris aux sources de l’ignorance se prennent pour le nombril du monde.

L’étendue de leur savoir est large comme le chas d’une aiguille. Leur connaissance de la géographie n’est pas plus vaste que la surface d’un poil de la barbe de Mahomet.

A moins que les musulmans soient des cordonniers mal chaussés, ils ne sont pas connus pour leur altruisme, y compris entre eux, et encore moins pour leur sens de responsabilité.

Leur vraie contribution, s’il y en a une, sont les crimes contre l’humanité commis au nom de l’islam et les dégâts incommensurables qu’ils font subir aux autres peuples.

Leur mauvaise foi est symptomatique de leur ignorance de leur propre état d’esclaves, murés dans leur certitude que cette religion des ténèbres et de l’intolérance a éclairé l’humanité de son phare.

Paradoxalement, l’islam l’a éteint sur eux et a plongé les peuples qui sont tombés sous son joug dans la protohistoire.

L’islam n’a rien apporté à l’humanité sauf la dhimmitude, le racisme, la haine du juif érigée en dogme religieux, l’ethnocentrisme, la perversion de la morale dans la voie d’Allah où tout est permis, les conversions par le fil de l’épée.

Quand on a le respect des arts, des cultures, des techniques et des sciences des autres peuples, on ne les détruit pas parce qu’ils risquent d’éloigner le fidèle de l’ignorance musulmane et de la voie d’Allah.

Remettez-vous en question : vous êtes les derniers de la classe, vous ne pouvez pas le nier. Vous savez très bien pourquoi vous êtes à cette place : la cause est l’islam et son enseignement sectaire et réactionnaire.

Avec un taux de plus de 80% d’illettrés et une moyenne de 4 minutes de lecture par an et par personne, vous ne pourrez jamais occuper la voiture de tête du train de l’humanité. Par contre vous êtes très doués pour la dynamiter et personne ne peut en effet rivaliser avec vous. Mais vous ne pourrez jamais le remettre en état de marche et reconstruire la voie ferrée.

Sans ceux que vous appelez par mépris et dédain des koffars, des mécréants, en projetant votre propre dégoût de vous-même, vous n’auriez jamais existé. Ni l’Indonésie ni la Turquie, les pays musulmans les moins en retard, ne sont des modèles du progrès humain ou technique.

Qui a mis en valeur vos richesses minières et énergétiques, bande de bons à rien et d’incapables ?

Vous n’êtes pas les meilleurs contrairement à ce que votre ignoble prophète imposteur vous a fait croire, vous êtes comme les fous dans un asile psychiatrique qui se prennent pour Jésus ou Napoléon.

Les meilleurs sont ceux qui le prouvent par leur travail et leur modestie. Il ne suffit pas de le proclamer pour le devenir.

Vous faites du terrorisme et de la fourberie vos armes pour dominer le monde, comme vous le recommande le Coran, sans tenir compte de la capacité de réaction de l’adversaire, de sa riposte, autrement plus redoutable et destructrice que l’imagine votre divinité sanguinaire et mégalomane.

Attila, Genghis Khan, Hitler, Pol Pot et Mahomet lui-même, qui a laissé derrière lui une communauté en proie à une guerre permanente depuis 1436 ans, ont fait de la terreur une stratégie de conquête. Ils ont fini par récolter ce qu’ils ont semé.

Faites le bilan de votre histoire : vous êtes la honte de l’humanité. Vous avez atteint le summum de la barbarie humaine. Chaque jour qui passe, c’est dix ans de retard que vous accusez à chaque fois sur les Chinois, les Taïwanais, les Sud-Coréens, les Israéliens, les Indiens, et tous les autres.

Quand on se veut les meilleurs, on doit avoir le sens de la dignité et de l’honneur, et pas pourrir la vie des « mécréants » en profitant de leur politique sociale et humanitaire, qu’Allah lui-même n’a pas pensé à créer pour vous attirer dans son paradis.

Vous êtes des champions : vous avez fait de votre ignorance une science.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

A force de jouer le jeu de l’islam l’Occident est en train de se brûler les ailes et celles des peuples arabisés

Si l’Europe ne veut pas être envahie par les raz-de-marée humains qui ne vont pas tarder à déferler sur elle et échouer sur ses côtes, la solution ne consiste pas à construire des nouvelles digues électrifiées tout le long de ses côtes,  une muraille de Chine ou un nouveau Mur de Berlin, elle est surtout politique et civilisationnelle.

Elle doit commencer par cesser de sacrifier la démocratie sur l’autel de ses seuls intérêts géo-stratégiques, géo-énergétiques et mercantiles  en adoubant l’islamisme comme elle avait sacrifié les Juifs et tous ceux qui n’étaient pas dans le moule nazi dans les années 30.

Curieusement au lieu d’aider à accompagner les peuples soumis à la dictature de l’islam et notamment ses voisins du Sud de la Méditerranée dans la voie de la démocratie, elle a choisi délibérément la carte des partisans de l’instauration de régime politique de despotisme théocratique sur le modèle qatari-saoudien.

Histoire de sécuriser son territoire et acheter la paix civile dans les cités-ghettos à prédominance musulmane où les prédicateurs wahhabites propagent une idéologie des plus nocives et rétrogrades. Convaincue qu’il n’y a pas d’autre alternative pour se prémunir contre le danger terroriste de caractère islamiste que d’en faire des alliés stratégiques sous haute surveillance aidée pour cela aussi bien par le Qatar et l’Arabie Saoudite qui sont de surcroît les mentors idéologiques et bailleurs de fonds de la nébuleuse islamiste.

Or, l’épisode tragique du carnage terroriste de Toulouse-Montauban doit normalement lui faire prendre conscience que l’islamisme est une pandémie incurable et un volcan jamais éteint. Imprévisible, il peut frapper n’importe où et n’importe quand. Naïve et crédule qu’elle est, elle croit que la sécurité de son territoire et de ses frontières commence dans les pays des rivages méridionaux méditerranéens supposés être les antres du terrorisme islamique est une stratégie de courte vue alors que les agents djihadistes sont géo-localisés sur son propre territoire dont ils sont des ressortissants issus de la 2 e génération.

Toujours aussi inconsciente et irresponsable, elle ne se rend pas compte qu’elle attise le feu de la haine dont elle sera la première victime de ceux qu’elle a pris sous son aile. On ne fait jamais d’un pyromane un soldat du feu comme on ne peut faire des islamistes-terroristes des gardiens de la paix et de la sécurité. Son aveuglement lui fut fatal en 1939-45. Au lieu de continuer à faire dans un angélisme de mauvaise goût, elle doit savoir qu’en caressant le pitbull islamiste dans le sens du poil, elle court vers sa propre perte. Comme à chaque fois qu’elle rate le rendez-vous de l’histoire, elle provoque immanquablement un désastre humain dont elle est la première victime.

Les islamistes polymorphes ne sont pas des hommes de pouvoir, ils sont des hommes de la terreur convaincus d’être investis d’une mission messianiques : faire régner la volonté d’Allah sur terre. Elle croyait bien faire en les intronisant chez eux mais elle oublie un détail essentiel, jamais un islamiste ne renoncera à ses desseins cosmiques et impériaux. Sinon, il perdrait son âme islamiste. Lui qui rêve de la conquérir elle aussi, il ne va se contenter du strapontin offert et d’un rôle de second couteau alors qu’il ne fait que fourbir le sien pour pouvoir mieux la décapiter elle-même après avoir fini de décapiter ses coreligionnaires qui n’adhèrent pas à son système idéologique. Alain Juppé, pseudo grand homme d’Etat, au passé délinquant avéré, manque de discernement quand il prétend que la porte est ouverte à un islamiste s’il renonce à la violence.

Peut-être que lui avait-il tourné la page de son passé judiciaire mais un islamiste jamais ! C’est comme si on lui demandait de se convertir au bouddhisme alors qu’il ne veut pas être musulman. Le vœu formulé par cet ancien repris de justice n’était pas sans rappeler celui de son prédécesseur au Quai d’Orsay Daladier qui délirait sur les vertus humanistes des nazis. Un islamiste qui se modère est comme un nazi qui tempère ses ardeurs. Tant qu’on ne connaît pas leurs mécanismes idéologiques et psychologiques ainsi que leur état psychotique, il est vivement recommandé de ne pas prendre des paris sur leur conversion aux vertus de la modération. Non M. Juppé, un islamiste ne raisonne pas, c’est un prédateur-illuminé comme Ben Laden, il mord d’abord et dépèce sa proie.

Salem Benammar

L’islam et le nazisme deux faces d’un même miroir ?

L’Islam ne connaît de la tolérance que le nettoyage religieux des non-musulmans

Toujours et encore la même cible. Celle des infidèles chrétiens qu’Allah voue aux bûchers de l’enfer et dont il recommande l’extermination. Ses escadrons de la mort forts de leur impunité religieuse donc juridique ne font qu’appliquer scrupuleusement son enseignement et nettoyer leur prétendument terre sacrée de tout ce qui est juif, chrétien et incrédule, les ennemis à battre et avec lesquels Allah interdit toute alliance. Tels des nazis, ils œuvrent pour protéger et immuniser leur espace territorial contre toute forme de présence non-musulmane susceptible de le polluer. La pureté de leur religion est au prix du sang des mécréants. Le sang humain, celui des hommes frappés par la malédiction d’Allah et dont le meurtre est licite, devient le sang purificateur de l’Islam lui-même. Comme s’ils cherchaient à nettoyer avec le sang des innocents les traces de  souillure de leur propre religion. L’islamisation du monde est en marche et avec elle son corollaire de massacre et d’exil force. Les Coptes discriminés et opprimés sont devenus la cible à abattre pour les nazislamistes au pouvoir en Egypte, invités par Mohamed Morsi à choisir entre la valise et l’Islam. Les chrétiens irakiens de rites nestoriens, chaldéens, orthodoxes dont certains appartiennent aux plus vieilles églises chrétiennes au monde, sont en voie d’extinction en Irak. Pour la plupart ils ont choisi l’exil plutôt que la mort ou la conversion forcée. Les chrétiens syriens qui représentent plus de 10% de la population syrienne, ne vont pas non plus échapper au triste sort de leurs frères irakiens, sous l’œil indifférent de l’Occident chrétien qui préfère armer les djihadistes exterminateurs à des fins mercantiles, géo-stratégiques et énergétique plutôt que les défendre contre ces mêmes terroristes agresseurs du peuple syrien. Il serait fastidieux de dresser l’inventaire du martyr chrétien dans les pays musulmans de l’Indonésie au Nigeria en passant par le Pakistan, l’Iran voire l’Arabie Saoudite où des chrétiens risquent la peine de mort pour avoir apostasié l’Islam. Comme si l’Islam est la voie que l’humanité doit emprunter et qu’il ne tolère l’existence d’aucune autre voie différente susceptible d’égarer les bons musulmans qui se trouvent ainsi exposés au châtiment suprême. Il ne se passe plus un jour au Nord du Nigeria sans que des églises locales ne subissent des attaques terroristes de la part de la secte sanguinaire et fétichiste de Boko Haram (boko : livre; haram : illicite) qui veut créer un Etat islamiste dans cette partie du Nigeria se revendique des Talibans et de l’islamisme salafiste mais proche dans son mode opératoire de la Qaïda au même titre que la secte d’Ennhdha en Tunisie rendue coupable le 22 novembre 2012 d’actes antisémites et d’apologie du nazisme. Le salut hitlérien de la police palestinienne (Autorité Palestinienne) en Cisjordanie Tous sont à la poursuite des desseins hégémoniques et messianiques qui nécessitent pour leur réalisation un nettoyage en règle de tout ce qui n’a pas le caractère musulman. Boko Haram qui signifie littéralement l’éducation occidentale est un péché qui sème la mort dans les églises depuis 2002, plus de 1000 morts, préfigure ce que les nazislamistes réservent pour l’humanité non-musulmane, voire les musulmans eux-mêmes qui restent toutefois les premières victimes de la violence terroriste qui prend de plus en plus aussi les mosquées pour cible de ses méfaits. Aujourd’hui, en cette mirifique terre musulmane, havre de paix et sanctuaire de la non-violence, selon les laudateurs zélés de l’Islam humaniste, l’humain n’a plus guère d’autre alternative soit se fondre dans le moule pour sa survie, soit mettre sa vie en péril en traversant la Méditerranée à bord de barques de fortunes qui deviennent la cause bien souvent de son infortune pour finir dans les fonds abyssaux de cette Mer qu’il croyait être la Mer de son salut. Certains ont tendance à chercher à dédouaner les agissements criminels des extrémistes musulmans on y opposant le passé inquisiteur de la chrétienté. On ne justifie pas ses propres horreurs par les horreurs d’autrui. On devrait plutôt en tirer des leçons pour ne pas infliger des nouvelles blessures à l’humanité. Par décence et humanité, ils doivent cesser de regarder dans le rétroviseur d’autrui et de regarder la réalité en face. On ne justifie pas ses propres dérives par les dérives d’autrui. On répond de ses actes et on ne les explique pas par les actes d’autrui non plus. C’est pas une raison de voler ou de tuer parce que les autres l’auraient fait. C’est symptomatique d’immaturité intellectuelle et d’incapacité pathologique à assumer ses responsabilités. Ni responsable ni coupable comme on l’entend souvent est un faux argument et révélateur surtout de l’état de troubles psychiques de celui qui le tient. En droit, un auteur d’un crime reste son auteur et il doit s’en expliquer et y répondre. Quand des terroristes dûment identifiés commettent des attentats aux voitures piégées, ils sont des terroristes et doivent être condamnés en tant que tels. Quelqu’un qui commet un crime est criminel point et ne peut se prévaloir des faits criminels commis par autrui en d’autre temps et lieu pour s’exonérer de ses propres crimes Depuis 20 ans, il y a une véritable recrudescence des attentats meurtriers contre les édifices religieux et les chrétiens un peu partout dans le monde et tout particulièrement en Egypte, l’Irak, la Syrie et le Nigeria et ce sans que ni le Vatican, ni la communauté internationale plus préoccupée à couvrir le carnage du peuple syrien ne s’en émeuvent et ne désapprouvent. Toujours ce silence complice angoissant et inquiétant quand au péril de la barbarie islamiste qui menace dangereusement notre devenir humain. . Quoi dire et quoi en penser ? Ces attentats ne sont pas l’œuvre d’une religion mais celle des hommes qui s’en réclament et qui suivent ses préceptes. N’est-il pas temps que des voix unanimes s’élèvent pour les condamner et désapprouver les agissements barbares de ces brebis galeuses ? S’offenser parce que l’image de la religion a été bafouée est une chose mais ne pas s’indigner, compatir, se révolter et réagir contre les agissements criminels de ses coreligionnaires n’est pas digne d’un pratiquant. Et qui ne condamne pas cautionne et souscrit ? Salem Ben Ammar

Quelle histoire de l’islam veut-on enseigner en France ? Celle de ses crimes contre l’humanité ou du mythe de l’islam de paix ?

Titre original de l’article paru dans Dreuz :France: avec la réforme des programmes d’histoire, les socialistes posent les jalons de l’islamisation

Toute réflexion faite, je suis favorable à la réforme scélérate et anti-française de l’enseignement de l’histoire de France, qui fait la part belle à l’islam. A une condition : que l’on fasse une lecture critique, objective et rationaliste de l’histoire de l’islam, et non pas le socle identitaire commun à tous les Français.

L’histoire de l’islam doit être étudiée, de la même façon que le nazisme, comme le plus grand fléau de l’histoire universelle.

Il faut sortir des sentiers battus, sortir du récit légendé et embelli. Il faut interroger et explorer l’expansion ultra-violente de l’islam, qui a atteint les sommets de la barbarie lors de ses conquêtes génocidaires.

Il n’y a pas plus d’islam de lumière que d’humanisme musulman.

L’histoire se nourrit de faits et non de fiction. Il est temps de publier la véritable histoire de l’islam, et faire tomber les masques de cette fantasmagorique religion de paix et de savoir, qui fut (et continue à être) le cauchemar de l’humanité.

Faire la lumière sur les crimes occultés de l’islam, sa haine pathologique des civilisations, son idéologie ethnocentrique et suprémaciste, son esprit d’intolérance, son racisme dogmatique, son goût prononcé pour le vandalisme-destructeur des oeuvres d’art, des monuments historiques, des livres, des documents et des manuscrits, des sites naturels, et des édifices religieux qui témoignent de l’excellence architecturale des autres religions.

L’histoire musulmane doit tout aux autres et n’a rien inventé. Ni rayonné sur le monde. Le Proche-Orient et l’Andalousie n’étaient pas le monde. D’autres peuples le dominaient de leur puissance et leur richesse novatrice et intellectuelle, dont les chinois face auxquels ils faisaient bien pâle figure (et le feraient encore sans le pétrole qu’ils ne savent pas extraire seuls, sans l’aide de l’Occident)

Que connaissent-ils des civilisations amérindiennes pour jouer au premier de la classe, alors qu’ils n’ont laissé derrière eux que du vent, du sable, des nuages de poussière, et la fumée de leur destruction ?

Ont-ils sorti du sable la civilisation égyptienne alors qu’ils foulaient, incultes et sectaires, la terre des Pharaons ?

L’histoire de l’islam est celle de la transformation des pays conquis en champ de ruines, en déserts de désolation et océans de larmes. Comme le dit Ibn Khaldoun, un pays conquis par les musulmans est voué à la ruine :

« Que sont devenues les sciences des Perses dont les écrits, à l’époque de la conquête, furent anéantis par ordre d’Omar ? Où sont les sciences des Chaldéens, des Assyriens, des habitants de Babylone ? […] Où sont les sciences qui, plus anciennement, ont régné chez les Coptes ? Il est une seule nation, celle des Grecs, dont nous possédons exclusivement les productions scientifiques, et cela grâce aux soins que prit El-Mamoun de faire traduire ces ouvrages.

[…]

Les musulmans, lors de la conquête de la Perse, trouvèrent dans ce pays une quantité innombrable de livres et de recueils scientifiques ; [leur général] Saad ibn Abi Oueccas demanda par écrit au khalife Omar ibn al-Khattab s’il lui serait permis de les distribuer aux vrais croyants avec le reste du butin.

Omar lui répondit en ces termes : ‘Jette-les à l’eau ; s’ils renferment ce qui peut guider vers la vérité, nous tenons de Dieu ce qui nous y guide encore mieux ; s’ils renferment des tromperies, nous en serons débarrassés, grâce à Dieu !’

En conséquence de cet ordre, on jeta les livres à l’eau et dans le feu, et dès lors les sciences des Perses disparurent. »

L’histoire de l’islam doit être vulgarisée. C’est celle de l’esclavagisme, de la déportation des peuples, de la dhimmitude, du régime politique despotique et liberticide des Califats islamiques, dont les noms portent les traces de tâches indélébiles, de milliards de litres de sang humain, bien plus que celui versé par l’Inquisition, Staline, Pol Pot, Hitler, Alexandre le Grand, et Gensis Khan.

Une historiette de mythes et légendes n’est pas l’histoire qui doit prendre place dans les manuels scolaires.

Les orientalistes atteints d’islamo-centrisme sont les premiers responsables de l’exagération sur cette pseudo-civilisation. C’est à cause d’eux que l’Occident traîne des contre-vérités historiques comme un boulet. Pour les musulmans, la science de la raison est un sacrilège, un acte blasphématoire, depuis le jour où ils ont abandonné le rationalisme mu’atazilite, au Xe siècle, au profit de la toute-puissance d’Allah, maître de la pensée, législateur, directeur de conscience, concepteur et créateur.

En quoi l’histoire de l’islam est utile aux Français ?

L’est-elle pour les musulmans qui sont à la traîne du train du progrès humain, qui ont raté tous les rendez-vous de l’histoire des sciences et des techniques ? Pour être utile à la France, il faudrait qu’elle le soit d’abord pour les siens. Et leurs performances économiques, intellectuelles, culturelles, technologiques, juridiques et sociétales ne brillent guère. Tout gravite autour de la religion, qui verrouille la pensée et l’innovation.

« L’islam, c’est l’union indiscernable du spirituel et du temporel, c’est le règne du dogme, c’est la chaîne la plus lourde que l’humanité ait portée. » – Ernest Renan, 29 mars 1883 à la Sorbonne, lors d’une conférence intitulée « L’islamisme et la science ».

La liste des « savants » arabes (qui ne le sont que de langue) elle tient sur quelques pages trop peu significatives pour rivaliser avec les autres peuples.

A supposer qu’ils aient contribué aux progrès humains, qu’ont-ils fait depuis Avicenne ? Un vide abyssal.

Sans les prêtres syriaques, auraient-ils découvert l’hellénisme ? L’Eglise elle-même ne les a pas attendus, avec Saint Thomas d’Aquin.

La femme musulmane qui préside à la destinée de l’éducation nationale en France connaît-elle les véritables sources de cette civilisation, qui est loin d’avoir les attributs qu’on lui prête ? Que sait-elle des apports de l’Inde dans tous les domaines ? Que sait-elle de la vérité sur les soi-disant chiffres arabes ?

Elle doit savoir que l’islam préfère les imams aux hommes de sciences. Préfère ibn Taymmiya, Mohamed Ibn Adelwahhab et l’imam Al-Ghazali à Tabari, Al-khawarizmi, Avicenne et Averroes qui furent persécutés et dont les oeuvres furent brûlées, et certains condamnés pour apostasie, pour avoir mis en cause l’omnipotence et l’omniscience d’Allah.

Il n’y a qu’une seule histoire qui tienne, celle des faits historiques, auxquels on ne peut tordre le cou.

Du massacre des perses, des assyriens, des coptes, des amazighs, des arméniens, des peuples noirs, des papous, des grecs, des juifs et des chrétiens en Arabie et en Bosnie en 1942-43, des gitans, des hindous (le plus grand génocide de tous les temps), connu sous le nom de l’Hindi Kuch.

Selon le Professeur Kishori Saran Lal (dans La Croissance de la Population musulmane en Inde) entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d’hindous furent tués, sans parler des famines et calamités naturelles engendrées par la guerre, « sans doute le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité ».

L’histoire sanguinaire des Califats musulmans a commencé avec le premier Califat d’Omar, entamée déjà sous l’impulsion de Mahomet par la purification et l’extermination des juifs, des chrétiens et des polythéistes en terre d’Arabie, et s’est achevée avec le génocide des Arméniens, des Grecs et des Assyriens sous le règne du Ve Califat.

Oui à l’enseignement de l’histoire pour la reconnaissance des crimes contre l’humanité et des guerres de l’islam.

Non à la déconstruction idéologique de l’identité française.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Faute d’être une religion comme les autres, l’islam est une véritable science de la mort

De quoi sont riches les musulmans ? Je me le demande et qui mieux qu’un musulman pour me le dire. Ils sont les seuls au monde à avoir inventé la machine à à remonter le temps qui carbure à la pisse de chameau pour faire de la vie des bédouins d’Arabie au VII e siècle un avenir commun pour toute l’humanité.

Un musulman vous dira que sans Mahomet et ses preux compagnons, sahaba, relayeurs de sa parole 100% certifiée ISO 610-632 par Allah la science des sciences, choisis pour leurs aptitudes de mémorisation supérieures au plus performant des disques durs qui seraient plus 50 000 selon des sources des plus fiables dont celle de Boukhari es qualité sérum vérité de la science islamique, l’archéologie musulmane n’a pas besoin de matière qui atteste de son existence; il suffit des seules preuves verbales transmises avec une rigueur scientifique les uns aux autres depuis 1436 ans sans les altérer car ils sont les seuls au monde à être doté d’un disque dur éternel et infaillible,  l’humanité ne serait jamais sorti de l’obscurité.

Au fond il n’a pas tort de le rappeler, nonobstant sa totale méconnaissance de la géographie humaine mais qui oserait contredire un musulman qui fait de son ignorance une science exacte tant qu’Allah le lui a signifié il n’y a aucune réserve à formuler, il est vrai que l’humanité est passée  de l’obscurité de la vie elle à la lumière de la mort.

Les musulmans sont eux-mêmes la matière vivante d’outre-tombe.Ils sont la réincarnation fidèle des morts dans le monde des vivants.qui plongeraient les ombres chinoises dans une nuit sans fin.

L’islam est quand même la seule religion jamais créée par Allah divinité-trouve-tout et réponse-à-tout, celui qui sait tout et l’homme ne sait rien et qui doit savoir qui n’a pas à savoir ce que Lui sait, qui est une véritable science fondamentale au même titre que les mathématiques, la biologie, la chimie et tutti quanti.

Aucun doute n’est permis quand au haut niveau scientifique de cette incroyable religion qui avait ébloui l’humanité de tout son savoir, ses connaissances, ses découvertes inestimables telle que la science de la terre brûlée et du déprogrammation du cerveau humain.
Grâce à elle on sait désormais même s’il n’y a qu’Allah qui sait qu’il n’y a ni hypothèse, ni thèse ni synthèse. Il suffit d’affirmer sans le prouver qu’Allah est vérité pour que l’on obtienne des résultats imparables. Ni observation, ni vérification, ni expérimentation, tout est consigné dans une encyclopédie que seuls les savants musulmans, ceux qui apprennent par coeur et qui ne doivent pas comprendre ce qu’ils récitent, en connaissent les propriétés scientifiques et rationalistes.

La recherche scientifique musulmane a ouvert la voie à la connaissance du monde après la fin du cycle solaire. Jamais un scientifique féru des sciences du charlatanisme n’a pu le rendre aussi réel pour l’homme. Plus de 50 milliards d’années d’avances sur les sciences nées du cerveau des mortels. L’islam est le seul capable à nous démontrer avec une précision d’horloger suisse ce que sera la vie dans l’au-delà résultante de la transformation de la vraie vie sur terre en cours d’enseignement et d’apprentissage de la mort, cette dernière est une discipline importante dans les manuels de la destruction de soi et du monde des vivants au profit du progrès de l’islamologie.

On peut décerner un prix Nobel hors concours à une religion hors catégorie à l’islam véritable science de la mort.

Ce n’est pas Ménard qui est un péril pour la France, c’est son islamisation par le ventre prélude d’une guerre des civilisations

 Paru dans Dreuz sous le titre de: Fichage ethnique : « dis-moi ton prénom, je te dirais quelle est ta confession » est un non-sens

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Ficher les personnes à raison de leur supposée appartenance religieuse sur la base du seul critère patronymique n’a aucune fiabilité statistique.

On ne gagne pas du crédit en s’appuyant sur des préjugés fondés sur l’observation empirique.

Il n’en reste pas moins qu’on ne saurait reprocher à Robert Ménard d’avoir jeté un pavé dans la marre pour en finir avec les tabous qui frappent les statistiques ethniques et religieuses, verrouillées par la loi du 6 janvier 1978, dite informatique et libertés, refondue par celle du 6 août 2004.

Il est grand temps qu’on en finisse avec cette hypocrisie ambiante et que les Français sachent à quoi la poussée démographique d’une certaine partie de la population à l’intégration quasi-impossible, et porteuse de valeurs incompatibles avec celles de la république, les prépare.

La transparence est plus que jamais de cours si la République ne veut pas finir étouffée par son occultation de la réalité.

Mais Robert Ménard doit revoir sa procédure de collecte de données. Dis-moi quel est ton prénom, je te dirais quelle est ta confession est un non-sens.

Il semble oublier les convertis musulmans au christianisme, et les chrétiens convertis à l’islam. Il y a des prénoms et des noms de famille communs aux juifs et aux musulmans. Sans parler des athées et des agnostiques.

Le maire de Béziers devrait savoir qu’une bonne partie de la population biterroise est composée de pieds-noirs et d’harkis, ces naufragés de la guerre d’Algérie auxquels les indépendantistes algériens n’ont guère laissé le choix : l’exil ou la mort. On ne doit pas douter de leur loyauté républicaine, contrairement à certains de leurs coreligionnaires musulmans. En procédant de la sorte, il aurait dû leur épargner une pareille infamie.

Robert Ménard a commis une faute politique de mauvais goût, en mélangeant maladroitement les genres, mais l’INSEE, organisme public, publie des statistiques de naissance selon les pays d’origine des parents, arrêtons de voir le racisme partout.

Il n’y a rien de discriminatoire que de dire que 20% de la population de ma commune est bouddhiste.

Lorsqu’on dit que les habitants du 13e arrondissement de Paris sont asiatiques, cela ne dérange pas les intellectuels, ce n’est pas jugé contraire aux lois. Mais si l’on dit que le 9.3. est majoritairement je ne sais quoi, cela provoque un tollé général, on crie au racisme.

Est-ce à dire que l’on veut garder le silence sur des vérités qui risquent de faire peur aux Français ?

Si Ménard, dont je n’approuve pas la méthode de calcul, avait cherché à établir un fichier portant sur une autre catégorie de population, je ne crois pas qu’il aurait été lynché médiatiquement, ni provoqué une telle levée de boucliers.

Arrêtons de nous voiler la face, et de continuer à faire l’autruche pendant que ceux qu’on veut cacher statistiquement sont de plus en plus visibles. Qu’on le veuille ou non, le communautarisme est en train de gangrener la République et de mettre progressivement à mort son unité et la civilisation française. Depuis le début des années 80 et la marche des Beurs.

J’ai été moi-même confronté à cette nécrose, directement et indirectement.

En 2007, je venais d’emménager à Montpellier, et devais inscrire mon fils âgé de 9 ans à l’école primaire de mon secteur géographique de rattachement. Après mon enquête de voisinage, j’ai appris que cette école comptait plus de 90% d’élèves dont les parents sont originaires d’un même pays du Maghreb, je ne le cite pas pour ne pas stigmatiser ou essuyer les foudres de la loi.

J’ai alors opté pour le choix d’une école privée catholique sous contrat. Et j’ai fait pareil avec son aîné, qui devait être inscrit dans un collège public à dominante d’élèves issus de l’immigration.

Je n’étais pas le seul à avoir fait le choix de laisser tomber les établissements publics scolaires trop marqués par une forte présence d’enfants appartenant à cette communauté nationale.

Ce n’est pas du racisme, que d’avoir fait le choix d’établissements scolaires catholiques pluralistes et diversifiés.

Ce n’est pas non plus faire l’apologie du racisme, que témoigner de l’agression des jeunes maghrébins contre le fils d’un ami franco-marocain, hématologue dans un grand hôpital à Montpellier, parce qu’il mangeait du porc à la cantine scolaire de son collège.

J’ai toujours en mémoire le salut nazi dont trois jeunes, un maghrébin et deux africains, m’ont gratifié en 1997 dans une banlieue parisienne, lors d’une visite effectuée dans un centre d’insertion sociale et professionnelle pour des jeunes en difficulté.

Quand eux qui commettent l’ignominieux, c’est une bêtise. Quand ce sont des jeunes du terroir, cela tombe sous le coup de la loi, c’est une apologie du nazisme et une incitation à la haine des juifs.768482--

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

L’islamophobie est une pathologie psychique qui frappe les seuls musulmans

Ce n’est pas de l’islamophobie que de désacraliser les dérives barbares de l’islam, et de dénoncer sa haute nocivité, ce qui l’est c’est leur sacralisation par les musulmans et leur refus obsessionnel à les corréler à leur objet de culte pour lequel ils tueraient père et mère.

En effet, les musulmans élevés dans la culture du déni, de la déresponsabilisation, du fatalisme, du prédéterminisme,  et de la perversion de la réalité, ce qui est laid est beau, ce qui est beau est laid,  ont une peur phobique  de lever le voile sur la vraie nature hideuse et abominable  de ce qu’ils croient être une religion qui porte en elle le poison mortel pour le monde des vivants.

Nier les crimes de l’islam est symptomatique de l’état de l’état de troubles mentaux des musulmans qui vivent dans la peur et sous les menaces de la colère de leur bourreau-tortionnaire-tyrannique qui a fait de l’intimidation son seul argument de persuasion.  » Certes, ceux qui ne croient pas à Nos versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes Puissant et Sage! » (Sourate an- Nissa: 56)

Angoissés à l’idée de finir dans les bûchers ardents des feux de l’enfer qu’on leur injecte dans le lait maternel dès la naissance, ils vivent  avec cette épée de Damoclès suspendue  au-dessus  de leur tête au cas où ils commettent le sacrilège de démystifier leur religion. de la mettre à nu et de démasquer son imposture.

Adeptes d’un culte qui fait de l’anéantissement de l’être le chemin de la félicité, ils font de leur passage sur terre la préparation de leur vie après la mort. Toutes leurs actions et  pensées doivent être en conformité avec les prescrits de la foi s’ils ne veulent pas se trouver exclus de leur lupanar paradisiaque et de connaître le sort de ces infidèles auxquels Allah promet les pires châtiments: « Et l’on soufflera dans la Trompe: voilà le jour de la menace. Alors chaque âme viendra accompagnée d’un conducteur et d’un témoin. « Tu restais indifférent à cela. Et bien, Nous ôtons ton voile; ta vue est perçante aujourd’hui. » Et son compagnon dira: « Voilà ce qui est avec moi, tout prêt. » « Vous deux, jetez dans l’enfer tout mécréant endurci et rebelle, acharné à empêcher le bien, transgresseur, douteur, celui qui plaçait à côté d’Allah une autre divinité. Jetez-le donc dans le dur châtiment. » (Sourate Qaf: 20-26)

Les musulmans emberlificotés dans le tourbillon des tourments de la Géhenne  sont inhibés par un sentiment de frayeur obsédante qui les hante jusqu’à dans leur sommeil et tout au long de leur triste vie.  Peu importe leur état de souffrance mentale à cause des pressions intolérables dues à la violence morale de l’islam,  leur misère matérielle, sexuelle, psycho-affective,  ils ont perdu toute conscience de soi pour se projeter dans un univers subliminal où leurs délires  de persécution ne sont apaisés que dans son auto-destruction et la destruction de celui qui est différent de soi, le chat noir, son exutoire sur lequel il doit assouvir ses frustrations que le Coran ordonne de tuer pour s’assurer un gain, ajr, pour le paradis.

N’est pas islamophobe celui qui fait une lecture objective de l’islam, celui qui l’est est celui qui n’a pas l’honnêteté intellectuelle de le faire et de faire du mensonge une vérité dogmatique. C’est une pathologie qui frappe en premier lieu les musulmans eux-mêmes qui ont peur de quitter l’islam pour éviter la double peine. La mort et l’enfer.

C’est la peur de gratter cette couche de vernis qui masque les griffes hideuses de l’hydre musulmane qui est une phobie.

Il n’y a pas de crime à dire la vérité quand elle est étayée et avérée, le crime est de draper dans la vertu une idéologie castratrice et aliénante. Harcelant ses fidèles, les troublant dans leur pensée, les empêchant de réfléchir par eux-mêmes, les censurant en menaçant de mort tous ceux qui osent se livrer à un travail critique qui n’est d’autre qu’un examen de conscience.

De ce qu’on est vraiment et de ce à quoi on croit et des rapports intimes que l’on doit établir avec sa foi.

L’islam est un bunker mental pour ses sujets dépourvus de raison et de volonté comme ils les définit lui-mêmes, leur interdisant toute remise en question de ses dogmes. S’il se veut une vérité, il doit comprendre qu’il y a d’autre vérité que la sienne et qu’au lieu de la combattre par la violence, il doit accepter le débat. Tout refus du débat est symptomatique de la fragilité de sa vérité, d’où son recours systématique à la violence comme argument afin d’étouffer tout débat contradictoire Il a fait de la peur source de phobie pour les siens sa seule loi.

Marine le Pen n’arrachera pas la France des griffes de l’hydre musulmane

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J’aimerais comprendre comment Marine le Pen, que ses fans voient en porte-drapeau du « stop à l’islam », comment elle compte s’y prendre pour désislamiser, en réalité déwahhabiser, les enclaves musulmanes de France sans froisser la susceptibilité des Saoudi-qataris, artisans et bailleurs de fonds de l’islam radical, sans nuire aux intérêts commerciaux de la France, et continuer à leur vendre les joyaux de l’armement français.

Entre le discours et la réalité, il y a une muraille de Chine que Marine le Pen ne pourra pas franchir.

On ne gagne pas les élections présidentielles en surfant sur les mécontentements.

Renvoyer les musulmans chez eux est mission impossible. Ils sont, pour la plupart, français et électeurs. Certains sont même son fond de commerce électoral.

Il faut qu’elle explique quels moyens d’action elle utilisera pour étouffer les velléités hégémoniques de l’islam.

Elle sait que toute mesure de politique intérieure de cette nature a forcément des répercussions sur la politique étrangère et le commerce international. Les lobbies financiers, les marchands d’armes, seront là pour le lui rappeler le cas échéant.

Que ses électeurs, qui ont tout mon respect, ne prennent pas ses vessies pour leurs lanternes. Qu’ils sachent que les élections nationales ne sont pas des élections locales, ni la caisse de résonance des votes protestataires. On ne fait pas du mécontentement un projet politique pour la France, qui est loin d’être aussi islamo-incompatible que le pensent ses électeurs.

En dehors de quelques brindilles sur l’islam, de la burqa et les prières des rues, la France ne s’est guère illustrée par des propos tranchants sur le péril musulman. Au contraire elle a, sur Al Jazeera, en décembre 2012n défendu l’islam soluble dans la démocratie.

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Le candidat de l’UMP ou du PS est sûr de faire le plein de voix au second tour avec une candidate tourner manège.

Il ne suffit pas de prononcer la suspension du patriarche pour convaincre les Français qu’elle a rompu avec son idéologie nauséabonde. En célébrant la fête de Jeanne d’Arc le 1er mai au lieu du 8 mai, elle a surtout prouvé qu’elle s’inscrit dans la continuité de son père.

La rupture doit commencer par le changement du statut de son parti et le rejet public des valeurs qui l’irriguent depuis 1972. Elle doit non seulement exposer son plan de désislamisation de la France, mais également affirmer sans ambage son attachement au combat contre l’antisémitisme et la haine de l’autre.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Politique, voile, sexualité et schizophrénie dans la société musulmane

Ce phénomène de nature politico-religieuse n’épargne plus aucune aire géographique. De l’Indonésie, en passant par la Malaisie jusqu’aux ghettos musulmans des villes européennes favélas brésiliennes, connaissant son point d’orgue avec les sociétés musulmanes depuis les Révolutions du Printemps arabe qu’on devrait plutôt appeler les Révolutions du Printemps wahhabite. Rarement les sociétés humaines n’ont connu dans leur histoire une telle invasion prosélyte accompagnée par un exhibitionnisme vestimentaire uniforme et sombre chez les femmes et le port de barbe et de jelabas afghans chez les hommes  arborant les mêmes couleurs que celles des miliciens fascistes surnommés les Chemises Brunes.
Le wahhabisme s’apparente dans sa conception de l’organisation politique de l’Etat beaucoup plus du modèle théocratique de Mussolini que du nazisme hitlérien qui voulait créer sa propre religion de nature païenne dont il était le messie. Que ce soit le fascisme mussolinien, le nazisme hitlérien et le wahhabisme, les trois idéologies convergentes vers le même but régir tous les aspects de la vie de leurs sujets. Endoctrinant, opprimant, réprimant et conditionnant à outrance leurs disciples, ne leur laissant aucune marge de manœuvre dans le choix de la construction de leur identité propre. Ainsi, toute la culture politique wahhabite, à supposer qu’il y en ait une, s’articule autour des élucubrations et spéculations théologiques érigeant les dogmes en véritable censure politique et morale pour interdire toute forme de débat contradictoire. Rendant la critique comme attentatoire au sacré.  

Il est de plus en plus fréquent dans les sociétés wahhabisées ou en voie de le devenir come la Tunisie, la Libye et l’Egypte, que les agents wahhabites locaux usent des méthodes mystificatrices et ésotériques où le message  politique a la teneur de témoignage de psychose hallucinatoire comme il en ressort des propos tenus par l’ancien terroriste tunisien Rached Ghannouchi qui pour séduire l’électorat en Tunisie lui a distillé un récit qui est surtout symptomatique d’un état de trouble mental.  Ainsi, lui relate-t-il sa conversion au wahhabismecomme s’il avait reçu une illumination divine. Selon son récit délirant, il aurait eu une vision  pendant son sommeil lui faisant comprendre que l’islam de ses parents n’était pas le vrai islam. Il a été jusqu’ à pousser ses délires mystiques en proclamant ses affinités messianiques et affectives avec Dieu en se faisant passer pour son chéri, Habib en arabe, s’affublant du titre d’Habib Allah ?

Quand un sujet cherche à donner du non-sens au sens, c’est symptomatique de graves troubles psychotique comme l’enseignent tous les manuels de psychiatrie. Les Tunisiens qui adhérent à son discours hallucinant et ésotérique sont certainement atteints des mêmes troubles que lui ce qui ne fait que confirmer le rapport de l’OMS sur l’état de santé mentale des tunisiens dont 50% souffrent de troubles mentaux. Il est connu qu’il y a une corrélation très forte entre le bigotisme et les troubles psychopathologiques dans les sociétés humaines.

Plus les peuples surconsomment la religion et s’adonnent à l’adoration de leur divinité pour compenser leur misère sociale, psycho-affective et leur état de déficience intellectuelle, moins ils sont enclins d’agir sur le cours de leur vie et d’en assurer le contrôle et incapables de discernement et par conséquent seuls les traitements à base de psychotropes sont fortement recommandés.

C’est pourquoi dans les sociétés gangrenées par l’islamisme wahhabite que l’on peut assimiler à un fléau social néfaste pour la santé mentale des populations, les sujets sont uniformisés et à la volonté annihilée, n’existent pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes. Le groupe est le moteur de leur vie qui tourne autour d’un seul axe: l’obéissance aux préceptes de la religion. En dehors de cela, point de salut. Tous les actes de la vie quotidienne  sont régis par la seule règle de l’interdit.  Seule norme sociale en vigueur. La particularité de cette norme est qu’elle permet au sujet-sectateur en porte-à-faux avec la norme de se soustraire de sa responsabilité en s’en remettant à la seule volonté de Dieu.  Le sectarisme wahhabite, présente la particularité  comme toute organisation sectaire de  créer des mécanismes de déresponsabilisation juridiques et mentaux puisque l’individu est considéré comme immature et infantilisé dont il y a lieu de s’inquiéter quant à son état de délabrement psychique. Elles vivent dans un état d’animalité pathogène, guidées par leurs seules pulsions sexuelles avec un rapport fusionnel avec Dieu. C’est leur alpha et l’oméga. Quand les fidèles l’implorent et l’évoquent ils sont comme saisis d’une sorte de transe orgasmique. Leurs corps est comme traversés par une décharge électrique. Ayant tellement peur que leur attention et leur regard ne soient détournés par un autre objet de désir que pour ne pas céder à la tentation pulsionnelle ils préfèrent voiler leurs femmes. Cette chose qu’ils doivent cacher pour ne les perturber dans leur relation affective exclusive avec dieu.

Dans leur inconscient la femme est perçue comme le suppôt du diable son incarnation et qu’elle est susceptible de polluer leurs relations avec Dieu. Sachant que lui-même interdit à ses adorateurs de n’avoir d’yeux et d’oreilles que pour lui. C’est pourquoi la chanson d’amour et la peinture sont illicites. Tout ce qui a trait à la culture, à l’esthétisme et l’art sont bannis de la société wahhabisée.

Ces fidèles à l’esprit tellement enfumé par l’endoctrinement religieux que leur imaginaire est anéanti. Ils sont comme des objets dépourvus d’âme et d’intelligence. Ils sont tels ces Waffen-SS nazis que  leurs aïeux avaient rejoint les rangs dans les années 39-45,  qui font don de leurs êtres, corps et esprit à une autorité tutélaire qui devient leur femme, leur père, mère, guide, amant, maître-esclavagiste, tortionnaire, maître à penser, n’ayant plus une existence en propre, rien que lui, par lui, en lui et pour lui. Tout lui est dû, tout lui revient de droit. L’acte sexuel est dénué de tout sentiment amoureux. Il lui est dédié. Les enfants qui naissent sont sa bénédiction et son œuvre comme s’il en était le géniteur. Dès qu’ils commencent à brailler, on commence déjà à les purifier du mal qui est en eux et les élever dans le seul et unique amour de Dieu.

On voile les fillettes dès leur premiers pas dans la vie de peur qu’elles ne tentent le diable en sommeil chez les mâles.  Il est fréquent que les tribunaux appliquant la loi canon de la charia n’hésitent pas à exonérer le sujet wahhabisé et pas seulement comme cela s’était produit récemment en Turquie de toute responsabilité pénale dans les affaires de viol y compris sur mineure et de condamner au retour la victime dont le seul crime   serait d’avoir excité le diable qui sommeille en son bourreau.  Ni responsabilisation, ni culpabilisation, ni conscience de soi, ni libre-choix, ni citoyenneté avec un surmoi rigidifié et anxiogène.

Vivant avec une peur permanente et angoissante  de transgression des normes sociales qui sont souvent édictées par l’ordre religieux lui-même. On existe rarement pour soi mais surtout par rapport à son groupe d’appartenance. Rétorsion, auto-censure et censure  semblent être les seuls facteurs déterminants de la personnalité psychique trouble et asociale du sujet wahhabisé. Jamais un sujet évoluant dans un milieu qu’il s’imagine purifié de toutes les influences extérieures, c’est-à-dire occidentalisées quand bien même elles sont universelles, ne se remet pas en cause. Pour lui, son modèle de société ne peut qu’être infaillible et parfait parce qu’il est d’inspiration divine.

Ainsi, selon les propos du Dr Noura Al-Suwaiyan directrice du programme de la sécurité familiale de l’hôpital de la garde nationale: « en Arabie saoudite les adultes sont incapables de traiter le problème parce qu’ils veulent croire à l’idée imaginaire selon laquelle nous serions la société la plus pure du monde ».

Un puritanisme pathologique de façade pour dissimuler leur perversion morale aux effets néfastes sur l’intégrité psychique et physique des enfants. Au point qu’il y a beaucoup plus de cas avérés de violence sexuelle faite aux enfants en Arabie Saoudite qu’aux E.U.

Ce fléau frappe aujourd’hui un enfant saoudien sur 4. Un chiffre qui en dit long sur l’état sur la corrélation entre la société wahhabisée et la perversion morale. Mais il n’y pas que cette forme de violence qui  peut nous révéler la face immorale et attentatoire à la dignité humaine de cette société que les islamistes tunisiens veulent imposer par tout moyen à leurs compatriotes. Il y a celle aussi de la violence faite aux femmes dont plus de 500 femmes saoudiennes sont acculées chaque année au suicide. Un qui est certainement loi de la réalité. Le puritanisme au lieu de pacifier les caractères des sujets, les rend agressifs et violents dû au certainement à leur état de troubles névrotiques permanents et leurs frustrations anxiolytiques.

A défaut de procurer du bien-être à ses sujets, le modèle sociétal et moral wahhabite génère des comportements schizoïdes et paranoïdes, à savoir : une hypertrophie du moi avec un ego surdimensionné; psychorigidité et incapacité de se remettre en question; méfiance et suspicion et la fausseté du jugement, il veut toujours avoir raison que seule son interprétation des choses souvent fantaisiste et erronée doit avoir une force de vérité. Cherchant bien souvent à l’imposer de manière tyrannique et violente.

Au lieu de libérer les hommes, il les castre et les aliène et crée en eux un état de confusion mentale les rendant incapables de discernement et de faire par eux-mêmes et par eux-mêmes les choix nécessaires quant à leur prise en main de leur propre existence.

Un modèle des plus liberticides et confusionnels où les frontières entre les sphères se confondent où les sens, les ressentis et les sentiments se diluent dans les effluves enivrantes de l’ordre moral habillé de mysticisme sectaire fondé sur l’interdit affublé de caractère divin. Le sujet wahhabisé est pris en tenailles entre le licite et l’illicite qui délimite son champ de pensée et son champ d’action. Aucune autre alternative réfléchie, conçue et entreprise ne peut être tolérée.  Chez les culs-bénis wahhabites, la raison fait office de passion.

C’est pourquoi Averroès, Avicennes, Al-Farabi et bien d’autres savants rationalistes musulmans héritiers de la pensée philosophique grecque étaient jugés comme hérétiques par l’orthodoxie musulmane inspirée par l’école de pensée théologique Acharite hostile au libre-arbitre et favorable à la prédestination. Quand ils pensent sexualité, ils se mettent à brider leurs femmes niant leur identité sexuelle et leur humanité malédiction divine. Le voile islamique ne peut qu’être le symbole de leur sexualité refoulée et tourmentée. Leur obsession du voile qui est le reflet du voile de leur sexualité en dit long sur leur profond mal-être les rendant indiifférents à leur environnement humain. Comme si le fait de ne pas voiler leurs femmes apparaît comme  castrateur de leur virilité mise au service de Dieu.

Chaque musulman a l’obligation de contribuer à l’accroissement démographique de l’islam d’une part et d’autre part, le fait de voiler leurs femmes du pied jusqu’à la tête leur donne une forme phallique symbole de l’islamisme triomphant et viril.  Statistiquement, les sociétés qui assument le mieux leurs conditions humaines sont celles qui sont les plus productives intellectuellement et scientifiquement et réciproquement. Depuis une trentaine d’années et la wahhabisation galopante des esprits, les sociétés islamisées gagnées par le fanatisme castrateur s’avèrent être les premières productrices d’actes de violence religieuse. La relation entre le bigotisme et le terrorisme ne relève pas de l’utopie. Depuis toujours, là où la religion domine la vie des gens, prospère le fanatisme religieux vecteur de violence terroriste. Au point que l’humanisme est assimilé à une apostasie parce qu’il est contraire aux dogmes de la foi islamique.

Ben Laden, nourri de la même sève idéologique que le petit illuminé tunisien et Grand Emir de l’Emirat naissant tunisien,  était mystico-bigot, le moine fou Raspoutine l’était aussi. Tous les deux se voulaient dieu, le messie et le vengeur à la fois ils tuaient les hommes pour sauver Dieu qu’ils croyaient éternellement menacés par les hommes.

Atteints comme Behring Breivik l’auteur des attentats en Norvège de schizophrénie paranoïde. Peux-t-on en conclure pour autant que les sociétés islamisées renferment le plus de cas de schizophrènes avec tous les risques de débordement de violence que cela implique ?  On ne saurait l’affirmer avec certitude mais la vigilance s’impose.

Il n’y a pas plus d’islam radical que d’islam « modéré », l’islam est extrémiste et barbare par nature

Les Pèlerins affrontent le mont Arafat au premier jour du Hajj

Les musulmans sont les membres d’un même corps qui s’appelle l’islam.  Il n’y a pas lieu de séparer le grain de l’ivraie, ils sont tous à mettre dans le même panier que Daech, Boko Haram,Ennahdha, la Qaïda, Front de la Nosra, l’AQMI, les Frères musulmans, les Talibans, les Shebabs, le FIS, Ennahdha, les wahhabites et toutes les organisations islamo-terroristes pour la simple et bonne raison ils n’ont d’amour que pour Allah et Mahomet ne jurent que par le Coran. Et à choisir entre l’islam et l’humain ils préfèrent le premier au nom duquel les uns tuent les autres implorent Allah pour jeter sa malédiction sur ceux qui refusent de se prosterner devant lui, ces suppôts de Satan.

En effet,contrairement aux « pas d’amalgamistes » toutes tendances politiques confondues, y compris le F.N. de Marine le Pen, nous devons refuser à établir un distinguo entre les musulmans qui sont les adeptes convaincus du mélange des genres alors qu’ils convergent tous dans des registres différents vers le même but : islamiser le monde par tous les moyens de gré ou de force et le purifier des juifs, des chrétiens, des incrédules, des insolents et des apostats. Un monde totalement dédié aux musulmans sans les mécréants que nous sommes. Un monde pur pour des êtres parfaits et mort à ceux qui refusent la dictature de l’islam.Je ne fais que traduire les versets génocidaires.

Ne tombons pas dans le piège de tous les musulmans ne sont pas djihadistes qui est une vue de l’esprit, une illusion d’optique, c’est aux musulmans eux-mêmes de nettoyer leurs écuries d’Augias et non à leurs porteurs de crachoir.
Un musulman est un musulman qu’il soit djihadiste ou camouflé,.

Est-ce que les musulmans de tous bords font-ils la différence entre les koffars, les insoumis à Allah que nous sommes ? Ils nous envoient tous en enfer. Mahome l’être le plus infame qui ait jamais existé ira au paradis et pas Ghandi ou l’Abbé Pierre parce qu’ils ne sont pas des humains accomplis car ils n’ont cru en ce sinistre personnage.qui est en réalité la première figure de l’islam avant Allah.
Pourquoi devrions-nous les distinguer entre eux alors qu’ils oeuvrent tous pour le règne d’Allah sur toute la terre et témoignent de la même haine pour les non-musulmans ?

Certains me disent nous avons des amis musulmans super top; Ce n’est qu’un masque trompeur. Tant que vous ne les connaissez pas de l’intérieur, c’est-à-dire vous êtes soit des leurs ou vous croient être des leurs où ils ne peuvent pas voiler leur véritable nature, vous ne saurez jamais qu’ils sont.

Les musulmans ont des personnalités multiples.Il y a ceux qui font le démon, Mr Hyde, en l’occurrence les djihadistes qui sont les figures d’épouvante de l’islam et ceux qui font l’ange, une sorte de docteur Jekill, personnage rassurant auquel on donnerait le bon dieu sans confession et qui ferait pleurer dans les chaumières. .

Il n’y a pas plus de différence entre l’islam et le nazisme que Mahomet et Hitler

Paru dans Riposte Laïque : Je ne vois pas une grande différence entre les concepts
de l’islam et ceux d’Hitler

Hitler ou islam ?

Le grand précurseur de la sociologie moderne Ibn Khaldoun disait des arabes par où ils passent la civilisation trépasse.

Détruisant tout sur leur passage tels des sauterelles dévastatrices comme celles des tribus arabisées des Banu Hilal, laissant derrière eux un fleuve de larmes et de sang et un désert de ruine et désolation peuplé de charognards infâmes.
Ce qu’on observe aujourd’hui dans les pays arabisés malgré eux ne fait hélas que conforter ce constat amer.
Dire cela n’est pas de l’arabophobie. On ne va pas se voiler la face à l’image de certaines femmes ou se déguiser en pieux musulman juste pour esquiver la vérité et l’occulter.

Là où le monde progresse, les pays arabes et musulmans régressent. Le tableau cette autre vérité implacable en témoigne. Les droits de la femme, de l’homme, du citoyen, la protection des droits de l’enfance, la liberté de conscience, la liberté d’association, la liberté syndicale, la démocratie, l’égalité d’accès au droit, la justice sociale, le développement humain, l’accès aux soins, la lutte contre l’analphabétisme, etc… autant de valeurs universelles jugées par les fondamentalistes comme étant des sacrilèges et par conséquent contraires aux dogmes de l’islam à cause de leur caractère judéo-chrétien ou maçonniques. Un subterfuge pernicieux pour ne pas arrimer le train du monde musulman à celui de l’humanité.

En quoi est-ce une hérésie quand on revendique une égalité absolue en droits et devoirs entre les hommes indépendamment de leur origine ethnique, leur sexe, leur système de croyance ou non-croyance ? En quoi est-ce un crime de rejeter les valeurs rétrogrades et désuètes ? En quoi est-ce insultant aux musulmans que de caricaturer ou publier une image  de leur prophète comme s’ils avaient peur de dévoiler son visage au monde ?

La vraie démocratie comme disait Albert Camus est celle qui protège les droits des minorités contre le pouvoir hégémonique de la majorité. Mais quand une minorité s’arroge le droit d’imposer sa volonté à la majorité au nom d’un prétendu pouvoir dont elle se considère investie par Dieu, cela conduit immanquablement à la dictature religieuse à l’instar des pays dits arabes.

La religion devient ainsi un atout majeur pour verrouiller et censurer tous les modes d’expression et de liberté.

Hitler voulait créer sans succès une nouvelle religion pour les Allemands en étant son apôtre pour les enchaîner aux dogmes du nazisme, mais les imposteurs musulmans sont en train de le réussir non seulement en créant une nouvelle religion mais parce qu’ils ont su tirer profit des quintessences théologiques de l’islam lui-même qui fait de la violence un devoir religieux, le djihad dans le sentier d’Allah un de ses piliers essentiels.

En effet, plus que toutes les autres religions, l’islam se veut Etat, culte et cité, ce qui leur permet d’instaurer un ordre politique et social où le sacré et le profane se confondent en conformité avec les prescrits de l’islam.

Dans un environnement où la religion est le seul mode de gouvernance politique de la vie des hommes, il est impossible d’envisager un jour l’émergence d’un Etat démocratique.

Elle ne saurait elle-même ouvrir les portes à des valeurs importées fécondatrices de droits fondamentaux et qui risquent de lui faire de l’ombre et de restreindre son champ de pouvoir.

Ainsi, sous prétexte de la préserver de la prétendue pollution desdites valeurs, qui présentent en réalité un réel danger pour leur pouvoir hégémonique, les castes théocratiques musulmanes, usent et abusent d’artifices et de manoeuvres tous frappés du sceau du sacré, afin de frapper de figer les musulmans dans un ultra conservatisme dont la seule préservation est garante de leur propre survie et la sauvegarde de leurs privilèges exorbitants.


Salem Benammar
par Salem Benamm

L’islam est en guerre totale contre l’Occident

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Tant que le monde non-musulman et tout particulièrement l’Occident en butte avec les velléités hégémoniques de l’islam et aux attaques terroristes récurrentes  n’adoptera pas une grille de lecture de la psychologie du djihado-terroriste,  il y a peu de chance qu’il puisse échapper à son destin musulman prédit par cette prophétie coranique qui verra le monde tombé sous le joug de l’islam.

On combat et on vainc un ennemi dont on connaît le profil psychologique et dont a pu cerner ses véritables motivations idéologiques et ses desseins politiques.  Or, l’Occident qui est la cible privilégiée du djihado-terroriste et son terrain de conquête tend à minimiser voire occulter la réalité du danger qui le guette et qui pourrait sonner le glas de sa civilisation.

Pour des raisons obscures et incompréhensibles ou de bas calcul opportuniste et affairiste, il se fait même le laudateur zélé de l’islam défiguré et dévoyé par des vilains petits canards djihado-terroristes, à entendre leurs gloses ils sont étrangers à l’islam lui-même et qu’il ne faut pas confondre avec cette bonne et malheureuse majorité musulmane qui serait la première victime des dérives violentes de cette minorité allogène nuisible tout d’abord aux musulmans. Alors qu’il revient aux musulmans de purifier leurs corps de cette gangrène.  Plutôt que de compatir sur leur sort et de s’inquiéter du péril djihado-terroriste qui est pourtant l’arme de destruction massive de l’islam. Il joue au pleureur des musulmans qui n’ont de reconnaissance et de loyauté que pour leur religion qui n’ont pas le droit d’embrasser toute autre voie qui n’est pas marquée du sceau de l’islam.

A force de jouer au petit bon samaritain des musulmans il n’a de leur part que mépris et rejet. Les djihado-terroristes ne sont que la face visible de cette immense dune de sable derrière laquelle se cache la majorité musulmane et qui attend comme des vautours guettant la mise à mort de leurs proies par les charognards qui leur mènent la chasse à l’image justement des djihado-terrorises qui harcèlent leur proie occidentale.

L’Occident doit cesser de  draper l’islam dans sa vertu et s’interroger et identifier les sources auxquelles s’abreuvent les djihado-terroristes  et les musulmans qui modèrent leur comportement pour ne pas réveiller ses soupçons.

L’islam est en guerre sainte totale contre lui et chaque catégorie de musulmans a un rôle spécifique à remplir pour le prendre en tenailles.

Au lieu et place de témoigner de son implication dans l’édification d’un monde de paix, l’islam fait déferler des escadrons de la mort formés d’individus racistes et ultra-violents, engoncés dans leur armure d’hommes parfaits, revendiquant l’impunité pour leurs crimes, qui de leur point de vue ne le sont pas, parce qu’ils sont légitimes et fondés dans le sens de leur religion.

Croyant détenir une vérité absolue dont ils veulent faire la vérité universelle à laquelle le monde doit adhérer, ils ne reculent devant rien pour l’imposer au prix de la vie humaine.

Ils appartiennent à la classe, ou plutôt à la crasse des seigneurs, ceux du monde des ténèbres et de la terreur, qui ne peuvent être jugés que par leurs pairs, en l’occurrence leur grand seigneur Allah. L’ordonnateur et commanditaire de leurs crimes et méfaits est leur seul juge, alors qu’il a prévu pour eux une villégiature dorée à leur mort sur son sentier. C’est tout le sens philosophique de la justice islamique. Juge, partie et instigateur à la fois.

Ainsi, les lois humaines ne sont pas faites pour eux et qui sont condamlnées à disparaïtre au profit des lois de l’islam.

Les années de prison ne calmeront pas leur ardeur terroriste. Dépourvus d’humanité, de sentiments de culpabilité et de regrets, ils ne feront jamais acte de pénitence ni ne demander pardon aux familles des victimes de leurs actes.

Tuer pour Allah est un acte salvateur qui garanti à son auteur le paradis. C’est pourquoi ils n’ont pas à compatir pour les victimes, car elles sont coupables. Coupables de leur propre mort.

Ils ne sont pas des justiciables ordinaires pour une justice républicaine et humaine. L’auteur de l’attentat terroriste avorté de Toronto a fait comprendre au juge canadien chargé de l’affaire qu’il ne reconnait pas la justice canadienne, trop imparfaite pour lui, que seul compte pour lui la justice d’Allah qui est son seul juge, maître et guide de ses actes.

Le vrai musulman n’a de respect que pour ses lois « d’essence divines et jugées parfaites ». Comme si les hommes qui les ont codifiées étaient parfaits, et que ces lois « pseudos révélées » n’étaient pas altérées et manipulées.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour www.Dreuz.info

La Tunisie capitale mondiale du nzislamisme

 Le Congrès mondial des Frères nazislamistes en Tunisie et la Realpolitik américaine

 

17 Janvier 2014

 

La Tunisie abrite aujourd’hui chez elle la plus forte concentration de terroristes de toute l’histoire. Belle promotion touristique pour le pays du jasmin ! Jolie carte postale qui se substitue à celle de la révolution du jasmin. Ce congrès des Frères musulmans logés à l’hotel Al-Mouradi de Gammarth aux frais de l’Etat, a démarré le 16 janvier à El-Menzah et il se terminera le 18, sous le silence complice de l’Occident et le mutisme lâche des « politichiens » tunisiens.


Le Congrès mondial des Frères nazislamistes en Tunisie et la Realpolitik américaine
Pourquoi ce congrès des agents de la barbarie humaine ne se déroule t-il pas pas à la Mecque, à Ankara, capitale de l’islamisme « modéré », ou à Doha, la tente des Frères musulmans et la plaque tournante des islamo-terroristes ? Ce qui est somme toute logique, puisque l’Arabie Saoudite est la patrie du wahhabisme primitif et le Qatar, le principal bailleur de fonds et donneur d’ordres à l’Internationale Islamiste. Ont-ils peur pour leur propre crédit, à moins qu’ils n’aient pas eu l’aval de leur protecteur Yankee. Il y a peut-être une hypothèse plus vraisemblable, le choix d’un terrain « neutre » à cause de la rivalité exacerbée entre les deux marionnettes américaines.

Ce qui est extraordinaire avec les Américains, eux qui prétendent faire de la Tunisie un laboratoire démocratique, c’est qu’ils laissent faire aujourd’hui ce qu’ils vont condamner demain pour motiver leur intervention au nom de la sécurisation de leur territoire à partir du foyer d’incendie là où il est localisé.
Qui peut dire qu’ils sont partis de l’Irak alors qu’ils y sont toujours ? De l’Afghanistan, ils ne partiront jamais. Ni de la Libye qu’ils ont plongée, avec la complicité active de Sarkozy, dans un état de chaos inextricable.

Le choix de la Tunisie n’a rien de fortuit. Il s’inscrit dans le cadre de la stratégie de globalisation du monde musulman au moyen de la religion, atout majeur de l’intégration des populations dans le même espace sous la bannière, soit des wahhabites, soit des Frères musulmans. Elle est la dernière carte pour redonner un second souffle au processus d’islamisation, ou plutôt « d’intégrisation », battu à plate couture en Syrie qui résiste et en Egypte qui se réveille.
Dans ce contexte, la Tunisie est par conséquent une pièce maîtresse vitale pour la revitalisation du projet (GMO) afin de ne pas compromettre les visées géostratégiques et géo-énergétiques de l’Oncle Sam et maintenir leur pouvoir d’influence naissant dans cette zone névralgique entre l’Algérie et la Libye, constituant une double fenêtre sur l’Europe et l’Afrique.

Quand on veut décrédibiliser un pays, on le diabolise pour mieux l’achever. Si les Américains voulaient réellement profiter de l’occasion pour éradiquer le terrorisme djihadiste, c’est maintenant ou jamais. En effet, la plupart de ces congressistes et leurs organisations figurent probablement sur la liste noire américaine du terrorisme qui comportait dans le passé le nom de Nelson Mandela en personne ( !), alors qu’il est inimaginable qu’un des maîtres à penser du terrorisme djihadiste ne puissent pas y être répertorié.

Cette chose ghannouchienne et son organisation, à savoir Ennahdha, ne peuvent pas être classés terroristes au Canada et en Egypte et ne l’être pour le Département d’Etat. Il est impensable que tous ces amis déclarés d’Al-Qaïda, qui ne vont certainement pas manquer de lui rendre un hommage solennel et d’écouter religieusement le communiqué audio de l’un de leurs chefs suprêmes, Zawahiri,avec Qaradaoui, puissent être auréolés par les Américains comme étant de paisibles congressistes soucieux de la sécurité dans le monde et de la synthèse magique de la démocratie et de l’islamisme.

Ils ont beau être porteurs de vrais faux passeports diplomatiques délivrés par la Tunisie, le Soudan et le Qatar, spécialistes en la matière, ce n’est pas cela qui devrait empêcher une action de police internationale ou une opération commando comme seuls les Américains peuvent mener.

Tout le monde fait comme si ce Congrès était un simple rassemblement entre d’innocents islamistes « modérés » et amis de l’Humanité. Ainsi, ni les E.U. ni l’Occident, ni même l’Algérie, première cible des islamo-terroristes, n’expriment leurs regrets ou inquiétudes diplomatiques selon la formule d’usage quant à la tenue aux portes de l’Europe d’un Congrès mondial de la terreur aux objectifs aussi innocents que ceux de la N.A.S.D.P. de Nuremberg en 1927, qui avait marqué la naissance officielle de la terreur nazie. Il est à craindre que celui-ci constitue l’entrée définitive dans l’ère du Grand Effroi prophétique.

L’histoire n’a ni la mémoire courte ni ne se lit dans le marc de café. Elle se répète et les clignotants actuels ne sont que le prélude des années sombres auxquelles l’humanité doit se préparer. Ce sont les signes présents qui annoncent aussi l’avenir, et l’histoire passée ne peut que nous éclairer sur la parade à apporter contre les velléités hégémoniques de l’islamisme auquel les djihadistes présents en Tunisie veulent donner corps.

Nous sommes dans le « Choc des civilisations », mais certains de nos amis occidentaux ont vite oublié que la Tunisie était dans la trajectoire de la Civilisation humaine et dans la modernité, avant de tomber dans l’escarcelle islamiste…en attendant de sombrer dans le chaos obscurantiste, qui finira tôt ou tard par affecter l’Europe.

Dr Salem Ben Ammar

Marine le Pen n’est pas Charles Martel pour stopper l’islamisation de la France

De plus en plus des français ne se sentent plus chez eux et  souffrent d’un sentiment d’abandon des partis républicains.  Certains me disent même qu’ils n’osent même plus mettre le nez à leur porte de peur de se faire extirper par les caïds du quartier qui font la loi.

Vous devez comprendre pourquoi des français se jettent dans les bras du FN qui n’est pas à mon avis le bon remède au mal-être des français. Il a l’avantage de la nouveauté et c’est une erreur impardonnable d’en faire le salut pour la France car j’attends de lui une position claire et tranchante et surtout une distanciation politique sans équivoque.

Un parti qui compte dans ses rangs des convertis comme cet élu du 93 qui a fait du prosélytisme religieux et qui ne s’est pas gêner de  faire l’apologie de la lapidation n’est pas crédible à mes yeux .

Je n’ai absolument rien contre le FN qui est un parti comme un autre avec l’avantage de ne pas avoir  fait ses preuves au pouvoir ce qui l’impression aux français qu’il pourrait être le parti de la situation, il a droit de placer la France au coeur de son message politique, sauf que je le trouve trop mielleux à mon goût et qui doit dire la vérité aux français sur la haute nocivité de l’islam, cet islam qataro-saoudien qu’on appelle l’islam wahhabite auquel on a vendu les banlieues françaises.

Je veux un parti fort pour la France qui incarne véritablement le désespoir des français de voir leur pays s’islamiser lentement et sûrement pour satisfaire les intérêts commerciaux des grandes familles propriétaires de la France. 24 avions Rafale vendus au Qatar en contrepartie de la wahhabisation des cités françaises ça ne vous dit rien moi si.

Marine le Pen ne gagnera jamais les élections avec son discours politiquement correct. Elle doit mettre des mots sur les maux des français et pointer du doigt le vrai danger pour la France et non pas nous seriner cette litanie chère à l’UMP et le PS ainsi que les écolos et l’extrême gauche pas d’amalgame et que les islamistes n’ont rien à voir avec l’islam alors qu’ils ne connaissent  rien ni aux uns ni à l’autre et que les vrais jamais musulmans sont justement les islamistes qui tuent au nom d’Allah.

Aimer la France ce n’est pas du racisme, je ne vois pas pourquoi les musulmans ont le droit d’aimer l’islam et se veulent musulmans avant d’être français et que ces derniers sont accusés de racisme parce qu’ils expriment leur ras-le-bol vis-à-vis de ceux qui manquent de loyauté à l’égard de la France et qui veulent leur imposer la dictature de l’slam.

Marine le Pen ou un autre n’a pas à se culpabiliser parce qu’il appelle les français à sauver leur pays contre le Tsunami musulman qui risque de l’ensevelir si on y fait rien.

La France n’a pas besoin d’une Jeanne d’Arc qui est loin d’être un emblème national, il n’y a aucune gloire à avoir été vaincue par l’ennemi, c’est un symbole qui me fait peur comme s’il s’agissait d’une chronique d’une défaite consommée, résister pour être vaincu à la fin autant ne pas combattre, non la France a besoin d’un Charles Martel pour la sauver.

On combat pour gagner et certainement pas pour subir le sort de la Pucelle qui n’était pas aussi pucelle qu’on ne le prétendait. Marine le Pen devrait être capable de capter les voix des 75% de français qui rejettent l’islam .

Ce dont il est permis de douter n’est pas sauveur de la France qui veut et tant qu’elle louvoie face à l’islam et joue à l’islamo-compatible.

Le pas d’amalgame dont elle se veut le fer de lance est une trahison de la France.