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Autant croire en l’utopie du Califat que de croire en la résilience des Tunisiens

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 Jebali-Mac Cain, le sens d’une accolade

Les Tunisiens qui ont été rarement acteurs de leur vie politique depuis la destruction de Carthage. empêtrés plus que jamais dans les mailles du filet acéré de l’araignée musulmane ne vont  pas résoudre le problème de la quadrature du cercle islamo-teroriste-nèo-colonisateur en restant vautrés dans leur fauteuil, assoupis devant leur télévision, à pianoter sur leurs claviers pour se donner des allures de cyber-révolutionnaires, à siroter leur tasse de café et à rêvasser au paradis et ses 72 vierges et le vin de datte qui coulerait à flot.

Il vaut mieux parier sur le retour du Messie que de croire au réveil des Tunisiens. Un peuple qui s’en remet à une Centrale Syndicale pour le sortir du pétrin dans lequel il s’est fourré lui-même en dit long sur les aptitudes mentales, psychologiques et intellectuelles de ce peuple de s’assumer et prendre en charge son destin humain et politique. Au regard de tous les facteurs inhibiteurs culturels, psychologiques et cultuels qui le minent et le rongent comme une cellule cancéreuse en phase de métastase, il est à douter que l’organisme tunisien puisse survivre à son état de liquéfaction cellulaire.

Quant à sa pseudo Révolution, ce n’est qu’une imposture, une farce, une mise en scène que les manipulateurs américains lui ont imputée histoire de flatter son ego fruste et narcissique. Lui qui adore se vautrer dans son fauteuil les yeux rivés sur la petite lucarne, connu pour être allergique à la lecture, passif et indolent, il préfère garder son énergie à s’enfumer l’esprit à la chicha et répondre aux appels à la prière que de se faire violence pour impulser un nouvel élan à son pays.

Après avoir été entraîneur et commentateur de football passant la semaine à faire et refaire le match, le voilà devenu analyste politique, sans savoir, ni connaissance, ni méthodologie, ni culture politique, ni formation, mais dans ces pays tout est affaire d’usurpation et d’ego.

En attendant qu’ils sortent de leur bulle,  Ennahdha, la secte milicienne nazislamiste, valet du Qatar, de l’Arabie Saoudite et de la Turquie, se montre  pragmatique et réaliste se taille la part du diable et rend le problème encore plus insoluble. Avant le pays était souverain, avait une armée, des frontières inviolables, une police certes corrompue mais une police quand même qui veillait sur la sécurité des citoyens, une administration plus ou moins efficiente, un système éducatif plus ou moins performant, une banque centrale qui faisait bonne figure, une réserve de change significative, un crédit international, une solvabilité sur les marchés financiers, pays attractif pour les investisseurs étrangers et les touristes.

Depuis qu’Ennahdha est promue pilote des affaires du pays et à cause de l’indifférence des Tunisiens, le pays semble s’apparenter au Soudan d’Omar Al-Bachir, à l’Afghanistan des  Talibans et à la Somalie des Shebbabs, Ce qui va de soi, car Ennahdha ne peut s(inspirer que des exemples de ses cousins idéologiques. qui oeuvrent à la ré-instauration du Califat islamique où chacun d’entre eux y apportent sa pierre à l’édifice.Résultat de recherche d'images pour "photos ghannouchi avec hillary clinton"

Pour y parvenir Ennahdha ne fera pas dans a dentelle et se fera fort d’éliminer tous les opposants à l’utopie du Califat islamique. Un projet que ne saurait désapprouver les Américains qui ont toujours su gagner de l’argent sur l’incurie intellectuelle des peuples. Là où l’obscurantisme fait foi et loi et les peuples dépossédés de leur souveraineté économique les vautours des finances internationales ont tout le loisir de se gaver de leurs richesses naturelles.

Imaginons demain une Arabie Saoudite démocratisée c’est la poule aux oeufs d’or que les Américains auront perdu. Un tel scénario leur est intolérable et dramatique pour leurs intérêts. A fortiori ils ne pourraient désavouer un projet de Califat islamique intégrant la majorité des pays dits arabes dans un premier temps, copiloté par leur allié turc et leurs vassaux saoudiens et qatariens pour asseoir leur pouvoir politique, économique et financier à travers le canal de ce triumvirat acquis à leurs intérêts.

Qu’importe le régime politique de cet Etat supranational tant qu’il est là pour veiller à la sauvegarde et à la pérennité des affaires de ses protecteurs américains.  L’Empire américain a prospéré lui-même sur les cendres des Indiens, ce n’est pas le sang et les larmes des peuples dits arabes qui vont le rebuter.

Quant aux terroristes, selon les préceptes de l’Islam, ils ne font que leur travail de bon musulman faire régner l’ordre d’Allah sur la terre musulmane. Par conséquent, ils ne sont pas des terroristes dans le sens essentialiste de l’islam, ils sont des combattants d’Allah, des djihadistes.

La preuve, les Tunisiens ont bien absous Rached Ghanouchi,l’homme qui se rêve en petit Führer, de ses crimes terroristes et ont accepté sans rechigner les milliards de dinars d’auto-dédommagement que ses complices se sont octroyés.

Les Tunisiens peuvent toujours continuer de rêver, la Tunisie sera tôt ou tard dissoute dans le bain nazi du Califat de la barbarie humaine. Il leur faut beaucoup de courage et d’intelligence pour résoudre ce casse-têt de leur état d’inertie légendaire.

Ce n’est pas le retour des années 30 qui est à craindre, c’est la politique trop complaisante envers l’Arabie Saoudite et le Qatar

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Les pays responsables du chaos en Irak et en Syrie sont-ils conscients qu’un jour ou l’autre ils auront à récolter chez eux ce qu’ils ont semé en Irak et en Syrie, dont les attentats du 13 novembre 2015 en sont le prélude,  pour avoir joué la carte de leurs vrais ennemis que sont les islamistes comme ils l’ont fait en Iran à la fin des années 70 ?

Ils ont vraiment la manie de ne pas s’instruire de l’histoire car trop préoccupés certainement par leurs desseins géopolitiques, géo-énergétiques, et mercantilistes.

Faire des islamistes véhicule de la démocratie au Proche-Orient et dans le monde dit arabe c’est comme si l’on faisait de l’Arabie Saoudite symbole de la libération de la femme, une grosse ficelle qui ne doit tromper personne quant à la réalité du jeu machiavélique auquel auquel se livre les pays occidentaux et à leur tête les E.U.

Quand on veut faire pousser la semence démocratique dans cette région du monde qui est par nature inféconde pour ce type de semence on choisit d’autres jardiniers pour la faire fleurir que des interlocuteurs pour qui une bonne terre est une terre lunaire comme celle du désert d’Arabie.

Un choix de casting troublant qui pourrait se retourner contre ses maîtres d’oeuvre auxquels  les maîtres d’ouvrage irakiens et syriens ne leur ont rien demandé.

Des imposteurs qui s’immiscent dans les affaires d’Etats souverains  et ce indépendamment de leur régime politique. Et ce est d’autant plus grotesque et insensé que les supplétifs régionaux que sont le Qatar et l’Arabie Saoudite sont les pires régimes autocratiques qui puissent exister et mes exemples-types des Etats racistes et esclavagistes.

Il faut être naïf pour croire par exemple que la rébellion syrienne  soit une émanation du peuple syrien alors qu’elle est composée de plus de mercenaires venus de plus de 70 pays dans le monde dont une bonne partie d’entre eux sont sortis tout droit des geôles tunisiennes et saoudiennes ainsi que des jungles urbaines  islamisées en Occident, recrutés par les rabatteurs islamistes et formés par des instructeurs occidentaux en Turquie et en Jordanie.Résultat de recherche d'images pour "images de DAECH EN SYRIE"

Plutôt que d’engager leurs propres forcées armées dans un conflit qui néo-colonialiste et qui est forcément désavoué par leur opinion publique, les stratégistes de la Maison Blanche et leurs alliés ont conçu un subterfuge où les mercenaires sont multinationaux  sunnites sont affublés du maque des rebelles syriens.

« Des combattants syriens pour libérer leur peuple du joug de Bachar Al-Assad » selon la propagande médiatique en Occident.  Comme si les djihadistes tunisiens et tchétchènes, premiers contingents étrangers dans cette coalition guerrière transnationale sous la houlette des mondialistes impérialistes pouvaient être syriens ou engagés volontaires  dans cette « guerre civile » mus par un idéal républicain comme les Brigades internationales antifascistes qui s’étaient battus en 1936 et 38  au côté des républicains espagnols contre les  forces rebelles nationalistes.  Ils sont des criminels payés, sponsorisés et endoctriné par l’Arabie Saoudite et le Qatar qui ont financé la plus grosse entreprise terroriste de tous les temps avec l’aval de leurs protecteurs occidentaux.

https://www.investigaction.net/fr/L-Arabie-Saoudite-le-Qatar-et-la/

Des créatures monstrueuses saoudiennes et qatariennes coupables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité qui avaient réduit en amas de cendres la richesse patrimoniale de la Syrie.

Pour dégager Bachar Al-Assad on a plongé son pays dans les limbes de l’histoire.

Les populations occidentales se plaignent de l’explosion des flux migratoires mais se sont-elles inquiétées du sort de ces populations victimes d’un véritable génocide initié et orchestré par leurs propres dirigeants élus démocratiquement et donc avec leurs as- sentiments en les laissant faire ?

Ces populations mises sur la route de l’exil n’ont rien demandé à personne. Elles étaient chez elles en toute sécurité et un jour les dirigeants occidentaux avec la complicité de leurs protégés wahhabites ont fomenté un complot contre leurs gouvernements au nom de la liberté.

Un cynisme crasse que ces populations ont payé au prix de leurs vies.

Le pire est que l’opinion publique occidentale dans sa majorité plutôt que de condamner les crimes contre l’humanité de leurs gouvernements ait pris pour cibles les syriens et les irakiens pour satisfaire ses pulsions xénophobes.

Qu’elle se rassure leur exil a servi d’appel d’air aux clandestins maghrébins et africains d’une part et d’autre part ils ne sont pas nombreux à s’être réfugiés en Occident ils se trouvent majoritairement en Jordanie, le Liban et la Turquie.

Car c’est tellement facile de faire de l’autre son bouc émissaire plutôt que de faire son examen de conscience et de faire son autocritique.

Les vrais artisans de la tragédie du Levant sont les dirigeants occidentaux et leur allié turc, facilitateur du passage des djihadistes et partenaire de leur instruction militaire, ainsi que leurs valets  saoudiens et qatariens qui en encourageant et adoubant les organisations du crime terroriste  se sont pris les pieds dans leur calcul sordide et pervers et qui sont acharnés sur Bachar Al-Assad dont ils voulaient la peau, après avoir eux les peaux de Sadam et de Khadhafi pour les résultats qu’on connaît,  comme si l’alternative proposée, leur marionnette du Conseil National Syrien, était crédible et répondait aux attentes du peuple syrien.

Si cette opinion publique avait pris ses responsabilités historiques par des manifestations populaires et la voie des urnes en 2012 en France et aux E.U. elle aurait peut-être infléchi le cours de l’histoire et aidé à stopper l’hémorragie.

Quand on confie un mandat à son représentant on doit avoir le pouvoir de lui faire comprendre qu’il en un simple dépositaire de la volonté des électeurs.

Un peuple occidental souverain et mûr politiquement aurait fait entendre sa voix avec fermeté et virulence et ne pas rester les bras croisés face à la politique criminelle et irresponsable de ses dirigeants envers les islamistes et leurs bailleurs de fonds et mentors turcs, saoudiens et qatariens qui bénéficient d’une véritable impunité pour propager leur virus létal dans les banlieues islamisées que rien ne semble enrayer jusqu’au jour où il finira de contaminer le reste du territoire.

Il n’y a pas de sauveur du peuple qui tienne car il sera rattrapé par la Realpolitik à moins qu’il ne se laisse aller à une guerre civile avec des risques de déflagration mondiale, il y le respect absolu de la souveraineté des peuples  qui prévaut d’une part et à laquelle sont tenus les dirigeants occidentaux et d’autre part il faut une véritable politique d’indépendance énergétique pour ne plus céder aux caprices de grandeur de leurs affidés wahhabites.

L’Occident sourd et aveugle n’a toujours pas retenu la leçon iranienne

Il n’y a pas d’islam des islamistes et d’islam des musulmans. L’islam n’est pas un pot d’harissa que l’on accommode à ses goûts. Soit on est musulman et on le consomme entièrement sans rechigner jusqu’à ne plus en finir soit on l’est pas et on fait l’impasse.  Il y a simplement  des musulmans qui constituent la masse du troupeau d’Allah et qui se mentent à eux-mêmes et croient que l’islam est adaptable alors qu’ils sont tenus à s’y adapter ou ils l’abandonnent mais ils en ont pas le courage et qui peuvent se trouver un jour ou l’autre en situation de passage à l’acte pour affirmer leur islamité et des musulmans appelés abusivement islamistes qui sont les fers de lance de l’islam jusqu’au boutistes et qui ne reculent devant rien pour imposer sa loi de  partout dans le monde et alléchés par l’érection éternelle, les beaux éphèbes et les rivières de vin de datte.

Les escadrons de la mort qui prolifèrent dans le monde dit musulman et dans les enclaves islamisées en Occident sous la bannière noire de d’islam ne sont pas des hérétiques ou des impies.  Ils suivent à la lettre la feuille de route de Mahomet et obéissent parfaitement aux commandements coraniques.  Armés par les pays de l’OTAN   pour embaser l’Irak et la Syrie ne sont en réalité que des pions dans cette guerre qui ne dit pas son nom entre les grandes puissances.  Ils sont leur nouvelle chair à canon sous prétexte qu’il s’agit de guerre civile au sein de la même population.  Une grosse couleuvre pour endormir l’opinion publique occidentale particulièrement à qui on fait croire que le soutien de leurs gouvernements est surtout humanitaire et diplomatique.

L’OTAN crée le chaos partout dans la région tout en cherchant à se donner le bon rôle du défenseur de la veuve et de l’orphelin victime de la tyrannie du régime criminel du pouvoir en place. Comme si leurs « poulains » appelés pour le besoin du casting des rebelles étaient un parangon de démocratie et d’humanité.

Des « poulains » recrutés  dans le monde entier grâce à l’argent saoudien et qatarien à travers les réseaux islamistes locaux comme c’est le cas en Tunisie premier pays pourvoyeur au monde de combattants-mercenaires-terroristes et dont certains d’entre eux sont sortis tout droit de ses prisons au lendemain de la guignolesque révolution du Jasmin qui est en réalité un stratagème pour créer des viviers terroristes dans ce pays avec une jeunesse sans horizon que la mort. 

Ces despérados  mus par des desseins idéologiques, cosmiques, vénaux et lubriques ont trouvé dans cette politique suicidaire de l’Occident un moyen pour sortir de l’ombre et donner enfin du sens à leur rêve de l’Arche perdue  du Califat musulman. Condition première en vue d’un gouvernement mondial sous la loi de l’islam.

Un idéal cher aux Frères musulmans qui sont convaincus qu’un jour la charia sera une loi universelle.  L’OTAN a cette fâcheuse manie de faire souvent le choix des forces obscurantistes qui ne jurent que par sa perte plutôt que favoriser la consolidation des forces du progrès dans le monde dit musulman.

Le problème des pays musulmans est moins le despotisme politique garant d’une certaine stabilité politique et de climat sécuritaire comme c’etait le cas avant 2011 en Egypte, Syrie, Lybie et Tunisie, voire en Iran du Chah et en Irak de Sadam, le vrai problème est l’entêtement de l’Occident à marcher sur un terrain miné et mortel pour lui à terme.

Là où il devrait adopter une position de neutralité et de prudence  il fait tout le contraire et épouse la cause pour islamistes.  Un choix qu’il paye cher depuis la chute du Chah d’Iran.  Peut-être pense-t-il que sa richesse dépend de l’état d’infantisalisation des masses musulmanes ?  Moins les peuples sont éduqués et instruits moins ils sont souverains et capables de gérer leurs ressources minières et naturelles au plus grand profit des vautours capitalistes.

L’Occident a peut-être peur du partenariat gagnant-gagnant. Ce qu’il veut c’est un modèle de pays comme l’Arabie Saoudite pour tout le monde musulman. N’a-t-il pas été justement celui qui avait sorti ce royaume du sable et lui a ouvert les portes des cités en lui laissant les coudées franches pour inoculer le virus wahhabite dans les cerveaux des immigrés musulmans dans les années 80  ?

Devenus depuis pour la majorité d’entre eux des citoyens occidentaux et donc électeurs et dotés de grandes capacités d’influence et de nuisance ils ont toute la latitude désormais de baliser le terrain à l’islamisation des sociétés occidentales à l’exception des E.U.

En favorisant la naissance de l’hydre wahhabite et oeuvrant à son expansion l’Occident s’est pris les pieds dans le tapis.

 

 

Aux candidats déclarés à l’Elysée, l’islam n’est pas plus compatible avec la République que le nazisme avec l’humanisme

La classe politique française dans son ensemble a compris que l’avenir de la France est l’islam et qu’elle a désormais tout intérêt à jouer pleinement et ouvertement la carte de l’islam pour ne pas signer son suicide politique.

Plutôt que de proposer des mesures pour contrer la montée du péril musulman les  candidats à l’Elysée préfèrent louer les vertus de la compatibilité de l’islam avec la République, sous-entendant en réalité sa dissolution dans la future république islamique de France à laquelle ils oeuvrent avec un zèle antipatriotique incroyable dans l’espoir que les musulmans leur seront un jour reconnaissants en leur accordant un strapontin dans le conseil de la choura, consultation,  qui remplacera  inévitablement les deux chambres , le Sénat et l’Assemblée Nationale.

Ces enfants de Caton qui a vendu Carthage aux Romains doivent lire le Coran pour comprendre quoi qu’ils fassent ils n’auront jamais grâce aux yeux des musulmans auxquels il est formellement prohibé de voter pour un non musulman ou de le prendre pour conseiller dans les affaires sensibles et stratégiques pour l’Oumma islamique. Au moins ils pourront juger sur pièces la nature fondamentalement raciste, suprémaciste et discriminatoire de cette pseudo religion dont ils se font les avocats inconditionnels aujourd’hui au mépris de leur dignité  et leur honneur surtout la pérennité humaine et civilisations elle d’un pays qui leur a tout donné et qu’ils s’acharnent à le détruire pour les yeux de leur Chimère musulmane.

Ils resteront des infidèles, des êtres intouchables et infréquentables,  des porcs et des singes qu’il faut abattre.  Pires encore que la peste qu’il faudrait éradiquer de la surface de la terre sauf s’ils font allégeance totale et absolue à l’islam.

Les musulmans qui sont l’objet de leurs attentions et de leurs préoccupations politiques majeures aux dépens des vrais enfants de la France auront pour eux l’égard d’un maître pour son esclave ou d’un qatarien pour un travailleur népalais.

 

En se faisant les alliés du wahhabisme, la France et la G.B. signent leurs arrêts de mort

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Le jeu dangereux de la France et du Royaume-Uni face au terrorisme wahhabite – par Salem Ben Ammar

 15 mars 2013 Webdo

 Tribune – La France et le Royaume-Uni se couvrent chaque jour de honte et de ridicule. Ironie de l’histoire, ce sont les mêmes qui ont capitulé devant le nazisme en 1938, en se prosternant devant l’islam wahhabite.

 

En effet, ces deux pays aveuglés par leur cupidité et leur duplicité sont les seuls à croire aux vertus pacifistes et humanistes de l’islam wahhabite dont les fondements sociaux, humains, politiques et idéologiques le rapprochent davantage du nazisme que du fondamentalisme musulman.
Ils sont tels une danseuse orientale qui se déhanche et exhibe sa poitrine voluptueuse devant les clients pour les enivrer afin qu’ils glissent un billet de banque dans son corsage. A savoir capter par tous les moyens la finance verte islamique indépendamment de la personnalité douteuse et dangereuse de l’investisseur.

Il n’est un secret pour personne, sauf pour le Royaume-Uni et la France pris dans le tourbillon d’ivresse des flots nauséabonds des pétrodollars, que les généreux financiers du terrorisme salafiste et djihadiste en Syrie, au Mali, et dans bien d’autres pays dont la Tunisie et l’Occident lui-même et en premier chef ces deux pays en question qui couvent les oligarques du Golf comme s’ils étaient leurs créatures sont les deux têtes du serpent wahhabite.

La sécurité de leurs citoyens ne compte guère devant les enjeux géo-énergétiques et géopolitiques,l’appât du gain, la veulerie et les intérêts des marchands d’armes et de l’industrie aéronautique. Sacrifions les principes pour sauver l’épaisseur des portefeuilles des loups capitalistes.

Comme il ne rien se faire sans contre-partie, on les laisse promouvoir dans les banlieues laissées à l’abandon pour gagner la paix sociale leur idéologie mortifère et létale pour l’humanité tout en leur octroyant des facilités fiscales et leur offrir des vitrines pour les vêtir des habits d’honorabilité.

Le tout  dans un laxisme coupable et sans aucun garde-fou. On leur « vend » les cités urbaines à dominante musulmane et les joyaux sportifs, immobiliers et d’industrie de luxe. Le P.S.G. les magasins Harrod’s, la plus haute tour de Londres, des parts sociales dans Lagardère, Veolia, Total, L.V.M.H. etc…

Comme si leurs investissements innocents avaient un simple caractère capitaliste et leurs actions dans les cités étaient mues par des motivations humanitaires quand on connaît la culture raciste et xénophobe de ces deux têtes du serpent wahhabite qui ont en Cameron et Hollande la caution politique indispensable et les pièces maîtresses dans leur stratégie de conquête du monde musulman à partir de l’Occident qui tôt ou tard il n’échappera pas à son destin musulman avec le projet de ré-instaurer l’Arche perdue du Califat dont le leadership devrait revenir « aux arabes pur sang qu’ils sont ».

Nul doute qu’à travers des investissements pour la plupart aléatoires en termes de rentabilité financière, mais ô combien rentables idéologiquement, les monarchies bâilleuses-de-fonds du terrorisme salafo-djihadiste, ne cherchent-elles pas à se doter de vitrines d’honorabilité pour pouvoir tisser leur toile d’araignée en France comme en Angleterre.
Tout indique que leurs investissements dans ces deux derniers pays leur servent de subterfuge pour masquer le vrai visage de leur action propagandiste et prosélyte dans les banlieues où elles financent une multitude d’associations dites culturelles, qui leur servent de relais pour propager le virus wahhabite dans les cités leur permettant ainsi d’asseoir leur influence sur la population musulmane.

L’exemple de l’U.O.I.F. association Loi 1901, une véritable hérésie juridique, en est la parfaite illustration qui n’avait jamais fait mystère sur ses accointances idéologiques avec le sectarisme religieux de la Confrérie des Frères musulmans égyptiens.
Devenant grâce à leurs succursales locales, les interlocutrices privilégiées des pouvoirs publics, très heureux d’acheter la paix sociale à bon prix fermant l’œil sur l’activisme salafo-djihadiste qui constitue pourtant une bombe à retardement pour leurs sociétés dont les deux pays avaient eu des signes avant-coureurs avec l’affaire  de Mohamed Merah et l’attentat du métro londonien.

En tout état de cause, quel que soit le caractère des investissements qatariens et accessoirement saoudiens en France comme en Angleterre, où l’on évoque un projet qatarien de 15 milliards US $ dans les infrastructures, le manque cruel de liquidités qui frappe les économies de ces pays, ne doit pas être le prélude de leur perte de souveraineté économique.

En laissant l’Emirat du Qatar qui devrait être traduit devant la Cour Pénale Internationale pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité et son implication directe dans les foyers investis par le fléau terroriste, ces deux pays qui eux-mêmes jouent un jeu trouble à l’image de celui de leur protégé-donateur, se discréditent lamentablement et jettent l’opprobre de l’infamie sur leur propre politique étrangère, comme au temps de Chamberlain et Daladier.

Irresponsables, atteints de cécité mentale et amnésiques, ils n’ont toujours pas retenu les leçons de l’histoire, et surtout de leur propre histoire peu glorieuse dans les années 30.
A l’époque, ils avaient cédé aux nazis la Tchécoslovaquie moyennant des vagues promesses de paix. Mais sans le savoir, ils avaient servi de catalyseur au nazisme et préparé le terrain à l’Holocauste.
Aujourd’hui, les mêmes œuvrent activement à la dislocation des pays arabes et en premier lieu la Syrie et la mise à mort des aspirations démocratiques des peuples du Croissant fertile.
Les mêmes causes risquent fort de produire les mêmes effets et sonner ainsi le glas de leur propre pérennité. Car leur politique de courte vue, schizophrénique, incohérente et en totale contradiction avec leurs propres idéaux politiques, est en train de creuser le sillon de leur propre perte.

A force de vouloir jouer à la danseuse de ventre de manière aussi brouillonne qu’endiablée et vertigineuse, et dessiner des fulgurances arabesques pour séduire la finance verte, ils finiront par y laisser leur âme et leur corps.

Obama, Cameron, Sarkozy et Hollande, les vrais responsables de l’invasion « migrationniste »

Cette crise des « réfugiés » dont on ne connaît rien de leurs profils, leurs motivations, leurs nationalités, sauf qu’ils tous jeunes et ne donnent pas cette image des « réfugiés » des conflits armés ? Est-ce qu’ils répondent tous aux critères de la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés e s’ils ne le sont pas combien sont-ils ? D’autres ne le sont certainement pas mais combien sont-ils aussi ? Pourquoi a-t-on mis en scène le drame du petit Aylan ? Est-ce pour forcer la main aux populations européennes de plus en plus hostiles à leur arrivée ?
Il est légitime que les populations européennes s’inquiètent de ce déferlement sans précédent sur leurs territoires des « réfugiés » qui sembleraient majoritairement musulmans auxquels on prête les intentions les plus malveillantes à cause de leur culture hégémonique, ethnocentrique, liberticide, suprémaciste, ultra-violente, incompatible avec la démocratie et les exigences du bien-vivre ensemble.
Les mêmes qui s’alarment de cette « invasion » massive de leurs territoires étaient aux abonnés absents au moment où leurs dirigeants étaient en train de mettre en exécution leur plan de wahhabisation des pays méridionaux du bassin méditerranéen.

Avant 2011 tout allait plus ou moins sur le front de la poussée de fièvre migratoire. Après 2011 ce n’est plus un accès de fièvre, c’est une véritable pandémie migratoire qui frappe l’Europe. Certains s’en plaignent à juste titre mais se sont-ils posés la question sur les conséquences des interventions irresponsables de leurs dirigeants politiques en Tunisie, la Libye, l’Algérie, la Syrie, le Yémen et une tentative avortée pour l’instant de déstabilisation de l’Algérie. Sont-ils sortis dans les rues pour manifester leur colère contre Sarkozy et son scénario ignoble de la révolution libyenne ?
Qui a amené Daech aux portes de l’Europe voire en son sein aujourd’hui ? Qui a fait la promotion indécente de l’islamisme modéré pour les vendre aux Tunisiens et aux Egyptiens et les a adoubés pour les rendre fréquentables ? Qui a largué les armes en Libye tombées entre les mains des djihadistes et qui ont servi pour mettre le Mali à feu et à sang et ont causé la mort des soldats français ?
Regardons la réalité en face plutôt que de jouer à la Madeleine, qu’avons-nous fait pour empêcher en temps en heure Obama, Sarkozy et Cameron pour provoquer le séisme politique dans ces pays en question pour en faire des fenêtres ouvertes sur l’Europe ?
Silence approbateur.
Pourquoi a-t-on fait dégager Ben Ali et Kadhafi et a-t-on cherché d’en faire autant avec Bouteflika même s’il est une marionnette entre les mains du F.L.N., atouts-majeurs dans la lutte contre l’immigration clandestine ? Les chiffres, rien que les chiffres sont là pour illustrer ce qu’était la situation avant 2011 et ce qu’elle est devenue 4 ans plus tard.
A-t-on pensé un seul instant au sort des minorités religieuses et ethniques au Proche-Orient. Heureusement pour les Coptes égyptiens qu’il y a Sissi, sinon ce sont peut-être 10, 12, 15 millions qui auraient afflué en Europe.
S’il y a des migrants africains parmi les clandestins qui inondent les côtes européennes, que sont-devenus les 4 ou 5 millions de travailleurs africains en Libye.
Kadhafi avait investi des milliards de dollars au Mali a-t-on pensé à ce que les Maliens allaient devenir sans cette manne ?
L’OTAN et ses satellites wahhabites voulaient se débarrasser à tout prix de Bachar Al-Assad soi-disant pour instaurer une démocratie syrienne et qui en sont les fers de lance ? Les centaines de milliers de criminels et de voyous du monde entier recyclés en djihadistes,
A-t-on évalué les risques humanitaires de cette guerre néo-coloniale contre la Syrie ?
C’est trop facile de crier au feu après l’avoir laissé embraser toute la maison.
Les électeurs ne vont pas demander des comptes à leurs dirigeants, ils vont de nouveau voter pour eux, à l’image des Britanniques qui ont renouvelé leur confiance à Cameron.
Personne en Occident ne s’est demandée mais que font-ils l’Arabie Saoudite et le Qatar à côté des forces de l’OTAN dans cette guerre punitive contre la Libye, la Syrie et le Yémen ?
Nous sommes tous autant les uns comme les autres de cette crise des « réfugiés » à cause de notre indifférence, inconséquence et passivité..

La peste wahhabite au service de l’impérialisme américain

Seule la création d’un front commun dans tout le bassin méditerranéenne et même au-delà peut aider à éradiquer là peste qataro-wahhabite qui menace la paix  dans la région,  la sécurité de nos frontières, notre identité méditerranéenne dans toutes ses composantes plurielles, notre devenir humain, notre civilisation millénaire. Il y va aussi de la souveraineté nationale  de nos pays.

Si on ne fait rien rien, elle finira par rayer notre région de la surface de la terre pour la transformer en une  nouvelle Somalie.

Il est impérieux de l’anéantir si ne  nous voulons pas que notre Méditerranée devienne un champ de ruine livré aux vautours et aux charognards.

Ses effets commencent déjà à se faire sentir en Libye, la Tunisie la Syrie et menace ouvertement de contaminer le peuple algérien, voire la France pays trop exposé à cause de sa politique islamo-compatible.

Elle est bien pire encore que la peste brune, car trop pernicieuse et sournoise et profite surtout de la bienveillance complice des cercles de pouvoir.  Ses créateurs historiques les W.A.S.P. l’ont réactivée  afin de dépouiller les peuples de leurs richesses naturelles.

S’appuyant sur le tyranneau  Erdogan qui rêve de redonner à la Turquie son leadership sur les pays musulmans, ses propagateurs complotent et corrompent à tout va.

Initiant et mettant en scène des scénarios les plus invraisemblable s et insensés telle la farce des révolutions du printemps arabe.

La Maison Blanche se dissimule derrière ses chevaux de Troie wahhabites pour ne pas éveiller la méfiance des masses musulmanes Jouant au pyromane, allumant ici et là des foyers d’incendie, faisant croire qu’il est la seule  à pouvoir les éteindre après avoir éjecté les hommes capables de contenir les appétits féroces de ses protégés dont il veut faire les nouveaux agents de ses réserves islamisées.

Qui mieux qu’un terroriste pour contenir les ardeurs de ses coreligionnaires ?

La démocratie n’a jamais été l’amie du capitalisme financier, plus les peuples sont engoncés dans le carcan de l’obscurantisme, plus les perspectives de l’accumulation du capital sont pérennes.

Il n’y a que le profit qui prime, peu importe l’état de misère des peuples.

Plutôt que d’aider par conséquent les peuples à sortir de leur sous-développement chronique qui passe nécessairement par la création des conditions optimales pour leur émancipation politique et l’épanouissement humain, on oeuvre à la mise en place et au renforcement des obstacles pour les maintenir dans la pénombre de l’humanité.

Ainsi les américains ont parfaitement compris toute la quintessence qu’ils peuvent tirer de l’islam dans son expression fondamentaliste, atout maître pour asseoir la domination sur ces peuples assoiffés de dignité humaine d’un pouvoir entièrement acquis à leur politique hégémonique.

Contrôler l’espace méditerranéen c’est contrôler le monde et la Méditerranée est son coeur et son poumon.

Voter pour Sarkozy, c’est voter contre la France et pour le Qatar

Il faut que les électeurs règlent son compte à Sarko. Il n’a pas à être présent sur le terrain après avoir été expulsé par les urnes. Avec lui, c’est la wahhabisation assurée de la France et la mise de son armée sous les ordres du Qatar qui pourrait ainsi donner libre-cours à sa soif de grandeur .

Cet homme mégalomane capable de vendre la France pour satisfaire ses goûts de luxe, est un danger pour la France, son retour est une insulte aux patriotes.

Tout doit être mis en oeuvre pour lui interdire l’accès au terrain politique. en amont.  Sa victoire en 2017 n’est pas utopique, elle est des plus vraisemblables. Dans un face-à-face avec Marine le Pen, il aura toutes les chances de rafler toutes les voix de gauche, du centre et de l’extrême gauche. Sa réserve de voix pourrait lui garantir un écart considérable avec la candidate du FN. 2012 n’aura servi pour rien et Sarkozy pourrait proclamer: la France c’est moi et j’en ferais ce que je voudrais.   Après l’avoir embrasée pendant son quinquennat 2007-20012, fort de l’adhésion massive des électeurs qui lui accorderaient un nouveau chèque en blanc, une reconnaissance explicite de sa politique incendiaire et anti-France, il pourrait endosser en toute impunité  de nouveau ses habits de pyromane. Qui oserait croire un seul instant qu’il deviendrait comme par enchantement un soldat du feu pour éteindre ce qu’il avait allumé lui-même ? Il est à craindre que la majorité des lecteurs n’aient pas la lucidité nécessaire pour évaluer la portée politique de leurs bulletins de vote.

Sarko porte une grave responsabilité dans la crise humanitaire qui frappe la Libye et la Syrie et un degré moindre la Tunisie et qui avait failli embraser l’Egypte. Sans lui ni l’Aqmi ni Boko Hraram ne se seraient dotés d’armes redoutables de fabrication française parachutées sur la Libye qui ont servi pour tuer des soldats français au Mali et répandre la terreur dans la région.

Ce pyromane à la fibre patriotique douteuse sans scrupule ni vergogne, effronté, qui devrait être derrière les barreaux si la France n’était pas une république bananière, ami du Qatar auquel il a vendu l’honneur de la France, cherche à se faire passer pour un Zoro, le sauveur de la France et de l’Europe occidentale.

Grâce à lui, le Qatar connu pour son art d’acheter ses amis pour en faire ses obligés, un micro caillou désertique, cet Emirat-terroriste maître du P.S.G. dont il a fait la vitrine du wahhabisme arrogant et conquérant, qui se rêve en leader suprême du monde arabophone a réussi sa mutation biologique. Du petit crapaud infect et monstrueux, disgracieux et répugnant, avaleur de mouches et d’insectes, il est devenu un prédateur féroce qui veut engloutir la France elle-même. Un pays à l’histoire sortie du sable en 1971 qui s’attaque à des pays glorieux de l’humanité. Mais avec les félons et les anti-France, il pourrait .

Il est responsable avec ses complices Cameron et Obama de la mort des centaines de milliers de personnes, de l’état de chaos en Syrie et en Libye de la mort de lente de la Tunisie et à l’origine direct des vagues « migrationnistes » qui déferlent sur l’Europe actuellement qui font peser des sérieuses menaces sur sa pérennité humaine et nourrir la montée inexorable de la xénophobie réactionnelle.

Le Qatar, argentier des organisations terroristes et ami « généreux » de la France

La principauté du Qatar, l’ami qui veut du bien à la France comme peuvent en témoigner Guéant, Villepin, Delanoë, Hidalgo, Dati, n’est qu’un lutin qui joue ou plutôt que l’on fait jouer dans la cour des grands. Enfiévré par ses délires de grandeur il se verrait le nouveau guide du Califat islamique en compagnie de la Turquie d’Erdogan et de l’Arabie Saoudite sous la houlette de l’Oncle Sam qui compte dans ce micro-Etat la plus importante base militaire en dehors de territoire américain, Al Udeid, où sont stationnés plus de 10 000 hommes et dont les frais d’entretien sont entièrement à la charge du Qatar pour un coût annuel de plus d’1 milliard de dollars. Une protection monnayée.
Rarement un pays a connu une progression aussi fulgurante. Inconnu de  l’histoire,  il se trouve en l’espace de 42 ans propulsé sur les devants de la scène comme s’il était un acteur majeur de la vie internationale. Devenu en quelques années la brebis galeuse de l’opinion publique mondiale, lui inspirant méfiance et défiance, mais malgré son image de déplorable les gouvernements occidentaux font comme s’il était un partenaire honorable et fréquentable.
Une attitude trouble  et qui interpelle et intrigue forcément sur la nature des liens ambigus avec cet Etat microscopique dont le nom est étroitement lié au financement des organisations terroristes fondamentalistes musulmanes dans le monde, impliqué directement dans le chaos syrien et libyen et mis en cause dans les tentatives de déstabilisation de l’Egypte, du Yémen, de l’Algérie, de la Tunisie, du nord du Nigéria et du Mali.
Comment un pays commanditaire du terrorisme islamique peut-il jouir à ce point d’une véritable impunité de la part des pays qui sont les premiers à le combattre et en pâtir ?  Comme s’il s’agissait d’un spectre pour des besoins de politique interne qu’internationale.
Rien n’est fait pour le mettre hors d’état de nuire alors que les preuves s’accumulent sur sa responsabilité directe dans la propagation du péril terroriste et les rapports d’enquêtes des services de renseignements occidentaux, nigériens, camerounais, russes qui convergent tous vers son nom.
On continue à observer le silence sur son rôle majeur d’argentier de la nébuleuse islamiste responsable de plus des milliers d’attentats terroristes dans le monde, de crimes crapuleux, de crimes de guerre et contre l’humanité, d’assassinats politiques et des attaques contre les locaux diplomatiques des E.U. à Tunis et à Benghazi qui ont coûté la vie à l’ambassadeur américain.
Le News  du Cameroun du Camer écrivait dans sa livraison du 10 février 2012 : »Des informations de la Direction militaire français (D.R.M.), mettent régulièrement le riche émirat gazier du Qatar en cause dans le financement des groupes islamistes qui sévissent sur le continent, y compris Boko Haram. Le prince Hamad Ben Khalifa al-Thani [dégagé en 2013 au profit de son fils] étant présenté comme un grand allié des autorités françaises, personne n’ose lui faire de reproches. Il est bien trop riche pour qu’on se le permette. »
On ne touche pas à un allié si généreux et attentionné pour le microcosme politique, sportif, patronal, artistique et journalistique.  Ses bavures sont très peu de choses  en comparaison avec ses les belles enveloppes garnies de liasses d’euros  pour tous ces hommes et femmes leaders d’opinion  assidus des guichets de son Ambassade sur l’Avenue des Champs-Elysées.
On ne va pas froisser un ami au grand coeur, à l’altruisme boulimique et qui veut le bien de la France en prenant soin de l’état de santé et le bien-être de ses élites les plus influentes ainsi que de leur réinsertion professionnelle à l’instar de Dominique Villepin et cet autre ancien ambassadeur de France quand ce n’est pas Laurent Platini, le fils de Michel Platini le patron de l’U.E.F.A., pour guider les projets de Qatar Sport Investment en Europe.
Il n’ y a que les mauvaises langues et les envieux qui doutent de la sincérité de cet ami qui dépense sans compter pour améliorer le quotidien de ceux qui ont la chance de faire partie de son premier cercle.  Le Qatar a compris que pour réussir de sa stratégie de pouvoir il faut acheter les personnalités les plus influentes qui deviennent son véhicule promotionnel et servir ses desseins les plus sombres en faisant d’eux ses complices silencieux.
Il peut ainsi en toute liberté tisser sa toile telle une araignée géante attrapant les mouches et les moucherons dans son filet cousu d’or. En occident, il mène une politique d’investissement  tout azimut et sans cohérence économique dans tous les secteurs d’activité qui va de l’industrie aéronautique jusqu’à l’amélioration de l’habitant dans les quartiers difficiles.
 Pris dans une frénésie d’acquisitions qui servent à la fois ses besoins en terme d’image, ses arrières de l’après-gaz et ses idéologiques à destination des musulmans, dans l’immobilier de prestige, le crapaud qatarien veut se faire aussi gros que le boeuf.
De la place de la Concorde avec l’hôtel de Coislin, un bijou architectural du XVIIe siècle aux cités-ghettos véritables zones de non-droit où la Charia fait loi en passant par le club de football du P.S.G., des placements capitalistiques et les droits de télévision avec sa chaîne Bein grande rivale de Canal Plus.
Grâce à ses entregents et contre toute attente il a réussi à griller la politesse aux E.U. en obtenant l’attribution de la coupe du monde de football de 2022, allant jusqu’à s’offrir  le luxe de s’offrir la première équipe de mercenaires du sport dans le handball qui lui a valu d’atteindre la finale du championnat du monde organisé sur son territoire.
Sa mise en cause dans les affaires du terrorisme international, les forts soupçons de pots de vins qui pèsent sur l’attribution kafkaïenne de la coupe du monde de football à ce nain de jardin,  de même que l’hécatombe qui frappe les travailleurs népalais sur les chantiers-mouroirs de la cette coupe du monde devraient inciter la communauté internationale à le mettre en quarantaine et lui valoir des poursuites devant la C.P.I.
Son appétit insatiable à la hauteur de sa soif de prestige mégalomaniaque sont en réalité l’autre versant du miroir sur lequel se reflète la mansuétude contrainte de ses V.R.P. de luxe ou plutôt ses démineurs de service.
Frappé d’une boulimie d’investissements inédits dans l’histoire et qui sans aucune mesure avec la réalité des besoins de cette langue de terre peuplée de 2 millions d’habitants dont à peine 200 000 qatariens. Peut-être que le Qatar se rêve-t-il en futur Calife du monde musulman en commençant par déployer ses ailes avec le projet de prendre tous les musulmans dans ses griffes ?
 Il est difficile de croire que ses motivations soient exemptes d’arrière-pensées prosélytes.  Gagner la sympathie des musulmans de France comme d’Europe grâce à des investissements à forte coloration communautaire en apparaissant comme un acteur incontournable  dans la vie politique, économique et médiatique des pays convoités.
On saurait que s’interroger sur l’opportunité financière sur les achats des droits de télévision de la ligue européenne de football, les droits de TV des championnats mineurs, le mécénat entrepreneurial dans les cités défavorisées gangrenées par le wahhabisme et véritables bombes à retardement pour les pays occidentaux, les associations culturelles qui sous couvert de culture pour contourner les législations nationales sur les associations sont des véritables organes de la propagande wahhabite  dans les cités-ghettos en Europe.
Les visées politiques et idéologiques du Qatar ne doivent plus faire l’ombre d’un doute en se servant des musulmans d’Europe comme une sixième colonne pour lui baliser le terrain de sa conquête de l’Occident qu’elle tient actuellement par le portefeuille  en attendant de lui mettre la main dessus par les urnes grâce aux électeurs musulmans. Voir à ce propos l’article de mon ami Hamdane Amar sur R.L du 30 avril 2012:

« Qaradawi encourage les musulmans à voter et à devenir français pour que l’islam triomphe ! »

Tout est bien ficelé dans le cadre de sa politique d’essaimage qui fait des pouvoirs publics européens et notamment français ses affidés et des musulmans présents sur le sol européen ses bras armés pour  faire plier les « mécréants » à la dictature de l’islam.

Le Qatar bailleur de fonds des Frères nazislamistes, ce vers venimeux propagé par ses protecteurs américains

 
La principauté-confetti  du Qatar sortie du désert de sable en 1971 se comporte comme une puissance impériale. Il tisse sa toile telle une araignée géante attrapant les mouches et les moucherons dans son filet cousu d’or.
En occident, elle soigne sa vitrine avec des achats de prestige à fonds perdus, ne lésinant pas sur les moyens particulièrement dans le football, sport de masses par excellence qui sert de vitrine pour la promotion médiatico-idéologique du Qatar, lobbying en tout genre pour l’organisation des J.O. du championnat du monde de football, les droits de télévision de la ligue européenne de football, les droits de TV des championnats mineurs, le mécénat entrepreneurial dans les cités défavorisées gangrenées par le wahhabisme et véritables bombes à retardement pour les pays occidentaux, les associations culturelles qui sous couvert de culture pour contourner les législations nationales sur les associations sont des véritables organes de propagande cultuelle; dans les pays arabisés, la chaîne de TV al-Jazeera est une véritable machine de guerre propagandiste inondant les foyers de salves d’informations où se mêlent les messages politiques et prédicatifs et un outil de crétinisation des masses frustes et bigotes, d’aliénation mentale, de wahhabisation des esprits et d’embrigadement pernicieux, subventionnant sans compter les djihado-terroristes  locaux drapent aujourd’hui dans les habits de l’indignité politique devenus maîtres de leurs pays grâce aux Révolutions du Printemps wahhabite, qui colonisent les lieux de culte, s’infiltrant dans les milieux sportifs, éducatifs, économiques, syndicaux, propageant une idéologie sectaire des plus hérétiques en violation avec les dogmes de la religion musulmane.
Initier, financer, manipuler, arroser, enrégimenter, noyauter, impulser influencer, pervertir, corrompre, c’est une chose, mais organiser, mettre en musique sa politique, piloter, contrôler, réaliser, exécuter, pérenniser, diriger, manoeuvrer, commander en sont une autre. Le Qatar a-t-il vraiment les moyens intellectuels et humains de ses ambitions politiques hégémoniques ? Le même raisonnement prévaut pour les saoudiens. Ce micro-Etat doit sa propre existence à la protection de son voisin et cousin saoudien qui lui-même vit sous la menace conjointe de sa propre minorité chiite à l’intérieur qui se trouve concentrée dans les régions pétrolifères et à l’extérieur par son éternel ennemi. Par voie de conséquence les saoudiens eux-mêmes sont assis sur une poudrière qui pourrait les embraser d’un jour à l’autre pour les réduire en poussière de sable, pour les renvoyer ainsi à leur milieu naturel.
Seuls les Etats-Unis puissants mentors des Saoudiens et des Qataris peuvent les tirer d’affaire. Cela ne saurait se faire sans contrepartie gagnante pour l’Oncle Sam. The partnership à l’américaine n’est pas celui du gagnant-gagnant, il est celui du gagnant-perdant. Le perdant est forcément celui dont la survie même dépend des intérêts géo-stratégiques et géo-économiques américains. Il s’avère que le perdant lui-même y gagnera en assurant sa propre pérennité grâce à l’extension de son pouvoir et sa zone d’influence aux pays dits frères.
Cependant une telle stratégie géopolitique instrumentalisant la religion seul moyen d’asseoir sa domination sur les populations arabisées ne peut-être menée si elle n’a pas l’aval et ne correspond pas aux desseins impériaux américains.
En avançant perfidement et habilement leurs pions sur l’échiquier arabo-musulman, les Américains sous couvert d’un pacifisme des plus douteux se donnent aujourd’hui l’air de jouer aux accompagnateurs désintéressés de la transition démocratique dans les pays du Printemps wahhabite. L’Administration américaine se doit elle-même d’assurer l’orchestration des opérations et de veiller personnellement à la réussite de son plan de démocratisation apparente de l’espace arabo-musulman qui sert en réalité de « cache-sexe », de subterfuge à sa wahhabisation consistant à rassembler tous les morceaux de ce peuple en un seul. Là où ils ont toujours échoué dans leur politique d’intégration économique en Amérique latine par la création de zone de libres-échanges, vont-ils le réussir par la création d’une zone qui ne sera pas de libre-échange cette fois-ci mais une zone d’influence pyramidale cimentée par le seul lien religieux qui s’inscrit dans la logique communautariste de l’Islam politique dans sa forme wahhabite.
Pour contrôler les peuples, il faut contrôler leurs esprits. Il y une forte probabilité que le plan américain ne finisse par aboutir grâce à la wahhabisation des masses arabisées là où elles se trouvent.

A force de jouer le jeu de l’islam l’Occident est en train de se brûler les ailes et celles des peuples arabisés

Si l’Europe ne veut pas être envahie par les raz-de-marée humains qui ne vont pas tarder à déferler sur elle et échouer sur ses côtes, la solution ne consiste pas à construire des nouvelles digues électrifiées tout le long de ses côtes,  une muraille de Chine ou un nouveau Mur de Berlin, elle est surtout politique et civilisationnelle.

Elle doit commencer par cesser de sacrifier la démocratie sur l’autel de ses seuls intérêts géo-stratégiques, géo-énergétiques et mercantiles  en adoubant l’islamisme comme elle avait sacrifié les Juifs et tous ceux qui n’étaient pas dans le moule nazi dans les années 30.

Curieusement au lieu d’aider à accompagner les peuples soumis à la dictature de l’islam et notamment ses voisins du Sud de la Méditerranée dans la voie de la démocratie, elle a choisi délibérément la carte des partisans de l’instauration de régime politique de despotisme théocratique sur le modèle qatari-saoudien.

Histoire de sécuriser son territoire et acheter la paix civile dans les cités-ghettos à prédominance musulmane où les prédicateurs wahhabites propagent une idéologie des plus nocives et rétrogrades. Convaincue qu’il n’y a pas d’autre alternative pour se prémunir contre le danger terroriste de caractère islamiste que d’en faire des alliés stratégiques sous haute surveillance aidée pour cela aussi bien par le Qatar et l’Arabie Saoudite qui sont de surcroît les mentors idéologiques et bailleurs de fonds de la nébuleuse islamiste.

Or, l’épisode tragique du carnage terroriste de Toulouse-Montauban doit normalement lui faire prendre conscience que l’islamisme est une pandémie incurable et un volcan jamais éteint. Imprévisible, il peut frapper n’importe où et n’importe quand. Naïve et crédule qu’elle est, elle croit que la sécurité de son territoire et de ses frontières commence dans les pays des rivages méridionaux méditerranéens supposés être les antres du terrorisme islamique est une stratégie de courte vue alors que les agents djihadistes sont géo-localisés sur son propre territoire dont ils sont des ressortissants issus de la 2 e génération.

Toujours aussi inconsciente et irresponsable, elle ne se rend pas compte qu’elle attise le feu de la haine dont elle sera la première victime de ceux qu’elle a pris sous son aile. On ne fait jamais d’un pyromane un soldat du feu comme on ne peut faire des islamistes-terroristes des gardiens de la paix et de la sécurité. Son aveuglement lui fut fatal en 1939-45. Au lieu de continuer à faire dans un angélisme de mauvaise goût, elle doit savoir qu’en caressant le pitbull islamiste dans le sens du poil, elle court vers sa propre perte. Comme à chaque fois qu’elle rate le rendez-vous de l’histoire, elle provoque immanquablement un désastre humain dont elle est la première victime.

Les islamistes polymorphes ne sont pas des hommes de pouvoir, ils sont des hommes de la terreur convaincus d’être investis d’une mission messianiques : faire régner la volonté d’Allah sur terre. Elle croyait bien faire en les intronisant chez eux mais elle oublie un détail essentiel, jamais un islamiste ne renoncera à ses desseins cosmiques et impériaux. Sinon, il perdrait son âme islamiste. Lui qui rêve de la conquérir elle aussi, il ne va se contenter du strapontin offert et d’un rôle de second couteau alors qu’il ne fait que fourbir le sien pour pouvoir mieux la décapiter elle-même après avoir fini de décapiter ses coreligionnaires qui n’adhèrent pas à son système idéologique. Alain Juppé, pseudo grand homme d’Etat, au passé délinquant avéré, manque de discernement quand il prétend que la porte est ouverte à un islamiste s’il renonce à la violence.

Peut-être que lui avait-il tourné la page de son passé judiciaire mais un islamiste jamais ! C’est comme si on lui demandait de se convertir au bouddhisme alors qu’il ne veut pas être musulman. Le vœu formulé par cet ancien repris de justice n’était pas sans rappeler celui de son prédécesseur au Quai d’Orsay Daladier qui délirait sur les vertus humanistes des nazis. Un islamiste qui se modère est comme un nazi qui tempère ses ardeurs. Tant qu’on ne connaît pas leurs mécanismes idéologiques et psychologiques ainsi que leur état psychotique, il est vivement recommandé de ne pas prendre des paris sur leur conversion aux vertus de la modération. Non M. Juppé, un islamiste ne raisonne pas, c’est un prédateur-illuminé comme Ben Laden, il mord d’abord et dépèce sa proie.

Salem Benammar

J’accuse l’Occident de complicité avec l’islam du génocide des chrétiens d’Orient

J’accuse le monde dit libre de complaisance, de capitulation, de collusion,  de complicité et de silence coupable à l’égard de l’hydre musulmane  qui plutôt que chercher à l’éradiquer continue à la caresser dans le sens du poil et plaider son innocuité.

Son comportement passif, attentiste et troublant n’est pas sans rappeler celui qu’il avait adopté vis-à-vis de l’hydre nazie qu’il couvrait d’éloges pacifistes  mais qu’il avait réussi à vaincre au prix de 65 à 80 millions de victimes civiles et militaires et des dizaines de millions de blessés et de mutilés de guerre sur une population mondiale totale avoisinant les 2 milliards.

Tous ces morts et blessés auraient pu être épargnés si le monde n’avait pas laissé impunément l’hydre nazie aiguiser ses dents sur les juifs.  70 ans après l’histoire se répète peu importe le sort des chrétiens d’Orient tant que l’hydre musulmane se fait les dents ailleurs qu’en Occident.

Les expulsions massives des communautés chrétiennes du Proche-Orient, les conversions forcées à l’islam, les traitements humiliants et dégradants dont elles sont l’objet, leur réduction à l’état d’esclaves, les procès en inquisition ne semblent indigner personne ou presque en Occident.

Une véritable omerta sur les crimes contre l’humanité qui se déroulent sous nos yeux sans que cela ne suscite le moindre écho dans les médias occidentaux dont certains ne veulent pas offusquer leurs bailleurs de fonds musulmans.

L’Occident a sacrifié les juifs dans les années 30 n’hésitant pas à aller se prosterner devant les dignitaires nazis aux J.O. de 1936 confortant ainsi l’hydre nazie dans sa toute puissance, aujourd’hui il est entrain d’en faire autant avec les chrétiens d’Orient en affectant d’ignorer les menaces que fait peser l’hydre musulmane sur la paix et la sécurité dans le monde. Bien au contraire, il se prépare à lui rendre hommage à l’occasion de la coupe du monde de football de 2022 au Qatar, le grand argentier des mouvements terroristes musulmans et vitrine de l’islam impérial, arrogant,  hégémonique et terrifiant.

La promotion de l’image de l’hydre musulmane n’a pas de prix et le reste n’est que superflu et péripéties dans le sentier de la grandeur de l’islam. Les esclaves et les centaines de morts népalais des chantiers de la coupe du monde ne pèsent pas lourd sur la balance des retombées financières et économiques au profit des multinationales occidentales. Quel gouvernement occidental osera fâcher l’hydre musulmane qui a toute la latitude de poursuivre sa compagne purification religieuse entamée au VII e siècle sous la houlette de Mahomet,  de persécutions, de pogroms, de destructions des églises ? Toute heureuse de s’adonner à son exercice favori de décapitations-crucifixions et de massacrer  par milliers les chrétiens en Syrie, en Irak, nord du Nigeria et au Pakistan. Il en meurt un chrétien toutes les 5 minutes dans les pays membres de l’O.C.I.

L’Occident sourd et aveugle reste de marbre face à la montée du péril musulman pire encore que le péril nazi. Va-t-il attendre qu’il y ait 240 millions de morts voire plus car la prochaine guerre mondiale ne sera pas conventionnelle car l’ennemi musulman n’est pas armé pour ce type de guerre, la sienne est faite d’attaques-suicide expérimentées par les palestiniens.  Il choisit toujours les cibles civiles pour provoquer un choc psychologique dans la population et installer la peur et l’effroi dans les coeurs (sourate 8)

L’hydre musulmane se fond dans les foules, elle peut frapper n’importe où il n’y a pas pour elle des sanctuaires inviolables. Elle est capable de tuer ses propres partisans dans les mosquées. Elle n’observe aucun code de bonne conduite en état de guerre, elle est hors-la-loi, ne reconnaissant que sa propre logique destructrice. Il est illusoire ainsi de l’imaginer respecter la Convention de Genève du 12 août 1949.  Il  ne s’agit pas d’une guerre entre les Etats ou une coalition d’Etats, il s’agit d’actions ultra-violentes, isolées,  spectaculaires et imprévisibles, qui sont le fait  d’individus et de groupes d’individus qui constituent sa véritable force armée en réalité contre le monde non-musulman.

Le monde occidental qui doit s’attaquer en priorité aux racines du mal de la terreur qui mine les fondements de sa civilisation et risque de la précipiter à sa perte pour en faire un vassal musulman, se plaît à encenser l’hydre musulmane et l’amadouer. Il n’a pas retenu les leçons de l’histoire et s’être instruit de la chute de Byzance. Aujourd’hui elle fait l’ange car elle n’est pas en position de force jusqu’au jour où le sera c’est elle qui lui imposera les règles du jeu. Ces attaques terroristes qu’elle lui distille de temps à autre sont juste des coups de semonce, un poker menteur pour évaluer  ses capacités de réaction. Non seulement il ne réagit pas face à ses coups de butoir et prend ainsi des mesures pour contrer ses offensives velléitaires, il se mue en avocat zélé pour la disculper de ses agissements périlleux et  appelle ses citoyens à pas d’amalgame et de se garder de diaboliser cette amie qui leur veut du bien.

Forte de soutien inconditionnel de l’Occident l’hydre musulmane n’a pas besoin de se draper elle-même dans sa vertu tant que les autorités politiques de tous bords et les médias s’en chargent afin de la rendre fréquentable aux yeux de l’opinion publique locale et agir en inquisiteurs et juges de tous ceux qui lui sont hostiles et doutent de son innocence. 

Ceux-là mêmes qui lui déroulent le tapis rouge à ses pattes auront un jour à le regretter si jamais l’hydre musulmane atteindra ses desseins de vassalisation de l’Occident. Ils seront les premiers à en pâtir et essuyer les foudres de son pouvoir inhumain et despotique auxquels elle leur laissera qu’un seul choix à faire soit l’islam soit la mort. Ils auront ainsi à goûter s’ils font le choix de sauver leur vie en se soumettant à la cruauté des lois de l’islam aux joies de la cité idéale musulmane pire que la cité idéale nazie.

Comme l’hydre nazie autrefois. l’hydre musulmane veut régner en maîtresse sur toute l’humanité. Il est temps que l’Occident en finisse avec sa duplicité et prenne le problème de l’hydre musulmane à bras le corps avant qu’il ne soit trop tard.

Le génocide des chrétiens d’Orient bat son plein et le monde drape l’islam dans sa vertu

Le monde s’émeut et s’indigne parce que les vrais musulmans à la solde du Qatar, de la Turquie et de l’Arabie, les protégés d’Obama, ont saccagé le Musée de Mossoul, mais il garde le silence sur le martyr des chrétiens d’Orient victimes de purification ethnique et de crimes contre l’humanité.

Ce qui se passe dans cette partie du monde et la duplicité de la communauté internationale est en tous points de vue comparable au climat de terreur, de pogroms et d’autodafés en Allemagne nazie.

Génocider les chrétiens est permis, détruire des statuettes, même si cela est absolument condamnable et criminel, provoque un tollé général. Le massacre des chrétiens est un détail, une péripétie dans cette guerre qui ne dit pas son nom mais qui n’est pas sans rappeler les guerres néo-coloniales à des fins de prédation capitalistiques.

En protégeant les chrétiens on aurait sauvé cette partie de notre patrimoine universel. C’est notre passivité qui est responsable des malheurs du Proche-Orient.

Que le monde apprenne enfin ce que c’est l’islam qui n’a jamais été l’ami de l’homme ni de la diversité culturelle, ni du bien vivre ensemble, ni du pluralisme identitaire, ni de l’histoire universelle ni de l’archéologie. Il se veut à lui tout seul la matrice de tous les peuples qui doivent dans ses délires cosmiques se fondre dans le même moule pour former un seul et unique peuple sous la bannière de l’Oumma professant une seule religion, l’islam, et parlant la même langue, l’arabe. Les deux mamelles de l’humanité.

Mahomet a détruit les vestiges archéologiques de la Mecque sous prétexte qu’ils représentent des idoles car pour lui il ne peut y avoir de mémoire et de tradition historiques autres que les siennes.

L’humanité est née avec l’islam comme en sont convaincus les musulmans et tout ce qui peut témoigner de son antériorité, de sa richesse, de sa réussite, de sa splendeur, et de sa supériorité sur lui doit disparaître. Tous les peuples conquis par l’islam sont tous amnésiques de leur propre histoire.

L’islam se veut le nombril du monde, le début de son histoire, le géniteur de l’humanité, sa voie, son phare, son salut,  et il est craindre qu’il ne soit pas sa fin. A trop vouloir être le maître du monde, il ne se rend pas compte qu’il est en deçà de tout.

De son ignorance, sa suffisance, sa vanité, sa vantardise et sa mégalomanie il en a fait des articles de foi pour ses fidèles qui brillent par leur inculture et leur déficience intellectuelle.

PS Bachar n’est pas l’ennemi de l’humanité ce sont les wahhabites ces grands amis de la France qui le sont.

La France n’a toujours pas compris que l’islam est encore pire que le nazisme

Amnésique, inconsciente et irresponsable la France ne semble toujours pas avoir tiré les leçons de ses multiples échecs passés : Munich 38, Khomeiny 79, l’Irak 91, ses multiples soutiens aux dictateurs africains et tout récemment son rôle de figurante dans l’opération de « l’Aube de l’odyssée » en Libye.

En apportant son aval aux pseudos rebelles syriens majoritairement issus de l’internationale djihado-terroriste financée par le Qatar, armée par la Turquie et endoctrinée par l’Arabie Saoudite, la France  est en train de rejouer en Syrie la partition sarkozienne en Libye. C’est plus qu’une erreur d’appréciation, c’est une faute politique lourde de conséquences plus graves encore que celles occasionnées par son intervention en Libye au bilan désastreux pour le peuple libyen et la sécurité de la région. L’effet boomerang est inévitable et elle finira par subir le contre-coup de cette politique suiviste et anti-souverainiste. A vouloir trop jouer la carte de l’islam wahhabite pour complaire à ses alliés américains, elle risque de se trouver balayée par la tempête terroriste qui tôt ou tard s’abattra sur elle.

La France ne doit pas capituler devant l’alliance tripartite wahhabo-américano-turque. Son soutien aux rebelles est un non-sens politique, ils sont à 95% des mercenaires de différentes nationalités, elle doit rester à l’écart de ce conflit fomenté par les wahhabites sous contrôle de leur protecteur américain.

En prenant ouvertement position en faveur des mercenaires djihado-terroristes qualifiés par les médias occidentaux à la cécité légendaire de rebelles syriens, elle réédite l’épisode de la honte nationale de Munich 1938. Un pays des droits de l’homme ne doit pas soutenir les pays tels que le Qatar et l’Arabie Saoudite à l’humanisme comparable à l’humanisme hitlérien. Son soutien aux wahhabites impériaux et messianiques est un mauvais message adressé aux forces des libertés démocratiques dans les pays arabes. Elle se drape ainsi dans les habits de l’ignominie et de complicité avérée avec le terrorisme wahhabite.
Aucun intérêt géo-stratégique ni géo-économique, voire sécuritaire de nature à justifier une telle compromission. Elle n’a rien à faire dans le bourbier syrien, à moins que ce soit la contrepartie de la libération des otages français entre les mains de cet autre groupe crapuleux terroriste l’AQMI à la solde du Qatar et la bienveillance obamienne. Un pays comme la France ne doit pas servir de faire valoir, de godillot et de pion sur l’échiquier de la wahabbisation du monde arabe.
Les américains et leurs affidés turcs veulent tailler un costume sur mesure pour leur clown qatarien, contre lequel il y a une nécessité urgente et absolue d’un dépôt de plainte auprès de la C.P.I. que la France devrait soit initier soit appuyer. Cet homme est un danger pour la paix internationale. Bailleur de fonds de la mouvance terroriste islamiste, premier investisseur au monde dans la bourse de valeur terroriste, commanditaire et organisateur des opérations du pourrissement du monde arabe jamais concepteur et architecte. Obsédé par son rêve de Calife, ne manquant pas l’occasion de rappeler au guignol tunisien de Carthage et la marionnette du Caire Morsi qu’ils doivent lui obéir au doigt et à l’œil. Hyper actif sur le front du chaos arabe, maître d’œuvres et d’ouvrages des attaques terroristes contre la Syrie, la Libye et partout dans le monde.
Ce croquemitaine doit payer pour ses crimes et non pas être couvé de regards complaisants et intéressés. Trop de cupidité tue la nation et son honneur. Il est de la dignité et de la grandeur de la France d’aider à la mise en cause du grand artisan du terrorisme international,
L’Emir d’opérette de ce caillou désertique du Qatar, pour atteintes à la sécurité internationale, complicité de crimes contre les peuples libyens, syriens et palestiniens, complot contre la Tunisie dont il est le vrai maître à l’instar de l’Egypte, financement des mouvements djihadistes, les chefs d’accusation ne manquent pas.
Cet homme est dangereux pour la paix dans le monde. N’a-t-il pas menacé l’Algérie de lui réserver le même sort que la Syrie. Son implication dans l’invasion du Nord du Mali est un secret de polichinelle. Cet homme est pire que la peste et le choléra réunis, il est un Hitler en devenir. Ses agissements périlleux pour l’humanité ne sont pas du folklore, ils portent en eux tous les germes du nazisme. Un homme qui a trahi son propre père n’aura aucun scrupule de liquider les peuples arabes au profit de ses mentors Yankees.
Il ne joue pas un double ou triple ou quadruple jeu, un seul jeu devenir vaille que vaille et coûte que coûte le nouveau Führer, calife, du monde arabe quitte à mettre le monde dit arabe à feu et à sang  et exterminer tous les chiites et les alaouites. Ces enfants de Satan comme les qualifie le pape philonazi Qaradhaoui, l’éminence grise de l’Emir du Qatar et figure d’épouvante des caniveaux de l’humanité de la chaîne de TV Al-Jazeera.
En devenant  le nouveau Calife ou plutôt un calife d’opérette, il aura tout le loisir de déporter  les palestiniens en Jordanie et dans le Sinaï. Ce n’est pas de la politique fiction, ni de l’utopie politique, c’est un scénario élaboré par l’Administration américaine et mis en scène à travers le vaudeville des révolutions du Printemps Arabe.
Quand à ses cousins wahhabites saoudiens, ils auront le pouvoir spirituel qui leur permettra d’imposer enfin le sectarisme wahhabite aux quatre coins du monde musulman et qui deviendra leur vraie religion et sonnera le glas de l’Islam.
Pour les pouvoirs politique, économique et militaire, il reviendra à la Turquie de les mettre en musique.
La France se trouve ainsi prise dans le piège du tourbillon wahhabite s’enlisant dans les sables mouvants du projet du Grand Israël et son corollaire  la restauration du 6e Califat.

Les musulmans sont les pires ennemis d’eux-mêmes

Qui attaque qui Mme Leïla Chahid petite-fille du sinistre Mufti nazislamiste de Jérusalem ?

Ce sont les musulmans qui se tuent entre eux comme des bêtes sauvages d’une part et d’autre part ils sont responsables des 100% des attentats terroristes en Occident . Dans la culture musulmane les coupables sont les victimes et inversement.

Quant à ces fameues attaques soi-disant islamophobes contre ces hauts lieux de la terreur, de l’exacerbation de la haine du juif, du chrétien, des laïcs, des athées, de l’Occident et du complot contre l’humanité que sont devenues les mosquées et que je suis le premier à  les condamner pour ne pas victimiser les musulmans, ils sont un simple feu de paille, une piqûre de moustique dans la peau du charognard mahométan qui rêve de dévorer toute l’humanité.

Une tête de porc à l’entrée d’une mosquée n’a occasionné la mort d’aucun musulman à ce que je sache et pourtant elle provoque à chaque fois une véritable secousse tellurique chez ces innocents à la conscience tourmentée. Certaines attaques ont été simulées par les musulmans eux-mêmes.

Que les musulmans commencent à condamner les crimes monstrueux et crapuleux des leurs ce qui est peine perdue. Jamais ils ne condamneront ce que le Coran encourage et ordonne sans ambiguïté.

Personnellement je reste sceptique et dubitatif quant à la réelle volonté des musulmans de vivre en paix avec le reste du monde. Il est inutile d’espérer quoique ce soit de leur part déjà que c’est la guerre larvée permanente entre eux depuis 1435 ans.

Jamais les musulmans ne seront unis sous la même bannière le jour où ils apprendront à taire les dissensions et querelles intestines entre eux, ce sera probablement le début de la fin de l’islam lui-même.

En effet,  cette religion a toujours prospéré sur d’effusion du sang humain à commencer par les siens et la destruction des peuple et des cultures. Son nom est synonyme de barbarie humaine et de génocide. Ce sont des musulmans qui ont tué les 2 petits-fils du père-fondateur de cette idéologie mortifère.

Si l’islam était un facteur de paix pourquoi les compagnons du prophète auto proclamé s’étaient livrés à des luttes à mort pour le pouvoir ? Ces compagnons ne sont-ils pas justement la preuve irréfutable de la nature belliciste et ô combien individualiste et de l’absence d’un esprit de corps et de cohésion chez les musulmans. Comment peut-on imaginer un seul instant ce magma de peuples  des plus arriérés au monde  qui voue un véritable culte à la Fitna, miné par des divisions, rongé par 72 courants sectaires, le fanatisme et l’obscurantisme et nourris de la haine de soi en capacité d’imposer leur diktat au monde ?  Ils se disent frères en quoi le sont-ils vraiment ? Même quand ils le sont réellement à l’exemple de l’Algérie et du Maroc que tout unit sur le papier et pourtant tout les sépare dans la réalité.

De quelle fraternité musulmane parle-t-on de celle entre les sunnites et les chiites ou de la croisade que mènent les djihado-terroristes  sunnites à la solde du Qatar et de l’Arabie Saoudite contre leurs pseudos frères syriens et irakiens ?  

Ce dont le monde peut être certain et pour paraphraser Ibn Khaldoun les musulmans se sont entendus de ne jamais taire leurs différends entre eux pour ne pas stopper l’effusion du sang dont ils s’enivrent à mort. 

L’homme musulman a fait de son état de dégénérescence mentale une arme de destruction massive

 

Chez les peuples tourmentés par leur vie dans l’au-delà, portant le deuil de leur mort au cours de leur vie, il n’y a d’amour de sa patrie que dans sa disparition au profit de l’Oumma islamique. Tout doit rester figer dans la pierre noire à laquelle, ils vouent un véritable culte païen. Le passé se conjugue au présent, le futur est absent. La langue arabe ignore le temps à venir. Seul le passé-présent est leur motus-vivendi. Même quand ils font, ou on leur fait croire, qu’ils ont fait des révolutions, c’est pour renouer avec le passé et ré instaurer un ordre ancien sur le modèle fasciste.

Contrairement au bolchevisme, l’islam n’offre aucune perspective à ses fidèles d’un monde meilleur sur terre. C’est en soi une hérésie. Aucune mutation sociale, politique et humaine n’a lieu d’être. Tout est basé sur le principe de l’immuabilité absolue. Alors que le bolchevisme prône le changement et la rupture avec l’ordre ancien. L’islam est dépourvu d’une vision dynamique. du monde. Ses adeptes ont pour seule obligation d’adopter la même posture, de s’inscrire dans la continuité de leurs vaillants aïeux, auxquels ne les lient aucune parenté ethnique et culturel. Mais tout doit fonctionner sur le modèle ‘un schéma sectaire où les membres sont liés par des liens occultes et mystiques qui font office de chaînes les rattachant les uns aux autres pour en faire un corps uniforme et aggloméré.

Censés s’agréger les uns aux autres pour former un même corps, oumma, aucun membre, n’est en droit de rompre cet ordonnancement voulu par Allah, sous peine d’en essuyer les foudres suprêmes. Imbriqués et emboîtés les uns aux autres, avec un ordre hiérarchique toutefois entre les morceaux du puzzle, musulman, chacun doit veiller à conserver la place qu’Allah lui a réservée. Il ne doit y avoir par conséquent aucun mouvement dynamique. Tout doit rester immuable avec une interdiction d’intervertir l’ordre voulu par Allah. Pour attiser la colère d’Allah, et exciter ses pulsions mortifères et violentes, au lieu de résilier, les musulmans se résignent..

Tout changement est assimilé à une malédiction divine, une Fitna, qu’ils ne sont pas prêts d’affronter. Rares sont les peuples qui se soulèvent et s’insurgent contre les injustices et la dégradation infamante de leurs conditions de vie parce qu’ils ne font qu’assumer ce que dieu leur a octroyé. Seules l’obéissance et la soumission à sa volonté sont leur moteur de vie. L’homme n’est pas doté d’une volonté propre, il est sur terre pour suivre la voie que dieu pour les uns et les esprits chez le autres tels les haïtiens qui pratiquent le culte à l’esprit avec le monde invisible.

Que ces peuples soient tournés vers le monothéisme ou le paganisme et parfois voire souvent, ils s’adonnent à des rituels syncrétiques combinant les deux comme en Tunisie avec les rituels maraboutiques e d’occultisme basés sur le culte de la personnalité, l’idolâtrie, la sanctification de la personne, la magie noire, l’envoûtement, la possession,l’invocation des esprits, la sorcellerie, on ne rêve pas de changer sa vie et d’un monde meilleur pour soi et les générations futures, on rêve de ce que sera de sa vie à sa résurrection. Quand à leur désespoir sur terre, il n’est qu’un espoir pour une vie meilleure dans l’au-delà.

Dans un monde gouverné par la main invisible toutes tentatives de tourner la page du passé deviennent un sacrilège et s’évanouissent dans les méandres de la pensée. Les poids des traditions qui font office de loi de la pesanteur annihilent toute volonté de rupture et freinent ainsi les populations dans leurs désirs d’abandonner leurs pratiques culturelles ancestrales qui sont leur matrice maternelle au profit de nouvelles valeurs étrangères libératrices des énergies et et qui portent en elles les germes des libertés et de dignité humaine.

A l’accès et l’exercice aux droits fondamentaux, on préfère la soumission aux obligations cultuelles et s’enfermer mentalement dans un monde hallucinatoire et anxiogène où la réflexion repose sur des mécanismes irrationnels, superfétatoires, nourrie essentiellement par la rémission à dieu et aux esprits malins inspirés par Satan et la magnificence divine et les Saints protecteurs auxquels les nazi-islamistes vouent une haine féroce, de peur qu’ils ne fassent de l’ombre au Démiurge. Ignorant tels qu’ils sont de la place de ses saints dans l’identité tunisienne, qui sont la preuve vivante d’un islam contextualisé et adapté aux us et coutumes des pays où il s’était implanté. Dans un tel environnement culturel et cultuel où le mode de vie des gens, leur mode de pensée et leurs comportements sociaux sont dépourvus de toute rationalité et d’objectivisme, fondés sur le négativisme social social où les processus sociaux sont pré déterminés , préconçus et inspirés par un système de croyance les rendant immuables et trans temporel.

Cette psychopathologie sociale propre aux sociétés conservatrices s’accompagnent généralement par des symptômes du repli sur soi, la peur du changement, les délires mystico-paranoïdes, la passivité, violence pour extérioriser ses frustrations, troubles de la personnalité, la sclérose identitaire, l’incurie intellectuelle, l’immobilisme, la nostalgie du passé, les troubles de conscience et d’affirmation de soi, les troubles des conduites sociales, la mise en scène hystérique collective où les sujets miment, simulent et se défoulent sur cet autre, le bouc-émissaire, leur souffre-douleur, l’objet fantasmé de leur courroux, diabolisé et honni.

Le mal qui est en soi se trouve toujours projeté sur l’autre. Cet autre que l’on jalouse et envie intérieurement mais qui les obsède et les tourmente inconsciemment du fait de leur intolérance pathologique à la différence. Quelque part cet autre comble le vide sidéral qui est en eux et que pour leur propre survie ils se doivent de le faire exister pour assouvir leur aversion d’eux-mêmes. Toute manifestation de haine vis-à-vis d’autrui est en réalité symptomatique de la haine de soi et une forme avouée d’auto suicide.

Comme la société est par définition un agrégat d’individus, il est évident qu’elle ne qu’être que leur produit, contaminé et irradié par leurs symptômes  le fidèle reflet, le miroir qui réfléchit tous les signes en usage dans une société, en l’occurrence la société tunisienne. Le remède que veut lui appliquer ces nombreux charlatans et gourous qui prospèrent sur le terreau de son ma- être est plutôt la cause principale des graves troubles psychiques et névrotiques qui gangrènent le corps social tunisien, on ne pas peut soigner l’origine du mal par les symptômes du mal profond inhérent à une culture liberticide, oppressante, castratrice, culpabilisante  négatrice de l’individu fondée sur un système de croyance totalitaire et fascisant régissant tous les aspects de la vie des gens dans leur moindre petit détail dans toutes les étapes de la vie et jusqu’à la mort.

Les espaces de libertés sont prohibés au nom du sacré et que fait de l’interdit la seule norme de vie sociale et individuelle. Socialement et individuellement tout doit s’articuler autour des schémas de pratiques cultuelles rythmant l’organisation sociétale et personnelle. Comme cela se produit souvent, plus les peuples sont enfiévrés par la religion, plus ils sont enclins aux croyances surnaturelles et para naturelles que les confréries sectaires et maraboutiques leur distillent pour remédier à leurs carences psycho-affectives et à ce besoin de réponses perceptibles, palpables et immédiates à leurs questionnements existentiels. Paradoxalement, ces peuples à défaut de rêver s’illusionnent sur le déroulement des évènements futurs comme si cela correspondrait à un besoin thérapeutique absolu. Besoin de s’en remettre à l’autre, à Dieu mais rarement à soi.

La solution n’est pas en soi, la clé est souvent entre les mains du tiers, ce tiers soit invisible soit visible qui prend la forme d’un gourou ou de marabout, une figure tutélaire et idolâtrée tel l’illuminé R. Ghannouchi, et charognard terroriste, l’artisan majeur des assassinats politiques en Tunisie, dont celui de Chokri Belaïd. pourvoyeur de chair à canon pour la Syrie et que tout donne à penser qu’il serait impliqué dans l’attaque terroriste contre les 2 sites gaziers dans le Sud Ouest algérien.

Un des principaux maîtres à penser du terrorisme djihadiste, et interface attitré entre l’Emir du Qatar, Dr Jekyll en Occident et Mr Hyde en Orient, faute d’être un Calife, il a gagné ses galons de Calife de la corruption, et la nébuleuse islamiste. Depuis son retour ubuesque en Tunisie, il se comporte comme le sauveur ou le messie attendu en usant d’artifices ésotériques charismatiques, de manœuvre de manipulations mentales qui sous-tendent généralement les actes de terrorisme mental pour rallier et haranguer les foules, en exaltant leur ego fruste et frustre un peu comme le faisait Hitler en Allemagne nazie.

En conclusion, on ne peut pas élaborer un diagnostic fiable de tous les signes observés dans le champ social tunisien depuis le 14 janvier 2011 et surtout révélés au grand jour par sa Révolution sans recours à la sémiologie psychiatrique.

Le tableau noir de la présidence du milicien qatarien Moncef Marzougui

 

Plutôt que de spéculer sur l’état de santé mentale du petit collabo  qatarien notoire Moncef Marzougui un être insignifiant et sans relief, sur sa haine viscérale de la Tunisie et son train de vie fastueux aux frais des contribuables tunisiens rendus exsangues par 4 années de disette il serait opportun de le juger sur son vrai bilan.

Qu’a-t-il impulsé comme nouveau souffle dans le pays ? Quelles sont les réalisations dont il peut s’enorgueillir et qui ont contribué au bien-être des Tunisiens ?  Quelle  réelle politique de changement a-t-il initiée ?  Quelles sont les avancées remarquables et remarquées de sa gouvernance ?  S’est-il comporté comme un homme d’Etat ou un régisseur d’intérêts occultes ? A-t-il été l’homme de la situation et président de tous les tunisiens ou chef d’un clan mafieux et milicien ?

Ce n’est pas la personne en tant que telle qui doit être jugée par les électeurs tunisiens c’est les résultats de son bilan de quasiment 4 ans de pouvoir qui doit être pris en compte et qui sont déterminants dans le choix des électeurs. Qu’est devenue la Tunisie sous sa présidence  à partir des performances palpables, quantifiables et qualifiables ?

Etat de non-droit, assassinats de Chokri, Lotfi, Mohamed,

épidémie des meurtres mystérieux par arrêts cardiaques,

décapitation et tuerie des dizaines de soldats et représentants des forces de l’ordre,

premier pays exportateur de main d’oeuvre terroriste et des volontaires sexuelles du djihad du Nikah,

prolifération de camps d’entraînement djihadistes et embrigadement de jeunes mineurs,

le pays croulant sous les ordures ménagères et état d’insalubrité totale avec l’apparition des épidémies comme le choléra ,

dégradation de l’image du pays dans le monde,

explosion de la délinquance et de la voyoucratie,

pénuries en tous genres dues au laisser-faire de l’Etat en matière de contrôle des prix, d’approvisionnement, de distribution et de prévention des spéculations, économie à bout de souffle et inflation galopante,

paupérisation de la classe moyenne,

premier pays corrompu au monde,

charlatanisme, bigotisme, fanatisme,

perte de la souveraineté nationale,

dénaturation de la fonction présidentielle,

attaques contre les emblèmes nationaux et tentatives éhontées et obséquieuses de remise en cause de l’histoire de l’indépendance nationale,

arrêt de la célébration de la fête de la république et du 20 mars, menaces de mort proférées à l’égard des démocrates et des laïques,

témoignages réitérés et sans vergogne de sa loyauté pour le Qatar,

violations flagrantes des secrets d’Etat en livrant les archives de la présidence à des pays tiers,

inobservation de ses obligations de réserve et de confidentialité,

publication d’un livre noir digne d’un roman d’espionnage qui en dit long sur sa qualité  et ses compétences en matière d’intelligence avec les services de renseignements des pays étrangers,

déclarations inquiétantes sur l’ouverture des frontières tunisiennes pour créer une nouvelle catégorie de populations naturalisées acquises à sa cause,

des milliers de jeunes tunisiens tentant de fuir la misère noire sévissant dans le pays disparus dans les naufrages de leurs barques de fortune  à l’exemple du drame de Lumpadosa,

recul des droits de  la femme,

explosion des chiffres du suicide, courbe de chômage exponentielle,

déficits publics et de la balance de paiements abyssaux,

baisse de l’espérance de vie et hausse de la mortalité infantile ,

réserve de change réduite en peau de chagrin,

forte baisse de la productivité et augmentation de l’absentéisme dans les services et les entreprises publics,

abus du droit de grève,

résurgence du clanisme, du tribalisme et du régionalisme avec des lourdes menaces sur l’unité du pays,

dégradation de l’état de santé psychique de la population,

augmentation des mariages forcés et de naissance hors mariage,

remise en cause du planning familial,

explosion des maladies sexuellement transmissibles et progression du sida,

trafics d’organes,

déscolarisation massive des enfants et surtout  les filles,

dégradation de l’offre des soins et des services publics de la santé,

augmentation des crimes crapuleux et des trafics de contrebande,

le pays est devenu la plaque tournante de l’immigration clandestine vers l’Europe,

accroissement de la consommation des psychotropes et de drogues dures.

D’un pays émergent il est devenu en 4 ans un pays à la traîne de l’humanité.

La Tunisie n’est pas entrain de se somaliser elle est déjà dépassée par la Somalie à l’indice du bonheur mondial brut. Il ne faut pas par conséquent  juger cet homme sur ses écarts de conduite et ses troubles manifestes de comportement il faut s’en tenir à son seul bilan qui est le pire qui puisse exister dans l’histoire universelle.

On peut toujours tordre le cou aux supputations qu’elles soient malveillantes ou bienveillantes mais difficilement à la réalité des faits. Ses partisans ne vont pas manquer d’alléguer que dans le rôle qui est le sien sa marge de manoeuvre est réduite, ce qui n’est pas tout-à-vrai dans la mesure où la plupart des éléments de ce tableau relèvent de ses domaines réservés.  Il a failli sur toute la ligne et les Tunisiens vont en payer le prix fort quand le F.M.I. et la Banque Mondiale couperont les crédits à leur pays.  D’un pays solvable la Tunisie est devenue un pays à hauts risques pour les créanciers internationaux.

Chaque voix pour B.C.E. est salvatrice pour la Tunisie, chaque voix pour Marzougui est mortelle pour elle

Certains tunisiens s’amusent à renvoyer BCE et Marzougui dos à dos. C’est comme si en France on mettait au lendemain de la 2ième Guerre Mondiale De Gaulle et Pétain dans le même sac.

Si je comprends bien il n’y a pas d’autre alternative que l’immobilisme et le statu-quo. Ne plus rien faire, baisser les bras sous prétexte qu’en voulant éradiquer l’épidémie du choléra on risque de propager celle de la peste sans bien tendu proposer une alternative crédible pour sortir le pays de cette impasse devenue quasi inextricable à force d’attentisme et de défaitisme. Le pire juste au moment où l’on commence à entrevoir quelques éclaircies dans le ciel tunisien depuis la défaite de la secte-Etat d’Ennahdha aux dernières élections législatives.

J’ai honte pour eux et honte pour la Tunisie d’avoir en son sein des traîtres de leur espèce. Comparer B.C.E. un homme qui incarne véritablement la résistance à l’hydre islamiste  à Marzougui à ce fils de goumier connu pour sa haine viscérale de la Tunisie est la pire  et qui n’a jamais fait mystère de son engagement inconditionnel pro-qatarien est la pire insulte jamais faite à la Tunisie. B.C.E. fait partie de cette équipe de bâtisseurs piloté par Bourguiba et à laquelle on doit la Tunisie actuelle qui fait front au danger wahhabite dont Marzougui est l’un des agents les plus actifs et le plus en vue.

Quand on a minimum de décence intellectuelle, un zeste d’éthique et une once de patriotisme en soi on se garde de se livrer à ce genre de comparaison qui discrédite ses auteurs et atteste de leur indifférence au sort de leur pays. Là où ils devraient eux-mêmes suivre l’exemple de B.C.E. et s’aligner sous sa bannière ils font le jeu des forces hostiles à la Tunisie.  Ils ne sont en rien différents de la milice française pro nazie.  Peux-t-on comparer De Gaulle à Pétain ? L’un incarne l’amour de la France et l’autre la collaboration avec les nazis.

Jusqu’à preuve du contraire B.C.E.  n’est ni un mercenaire ni  n’a aucun agenda politique au profit d’une puissance étrangère tiers à la différence notable du petit milicien qatarien. Vous avez, en effet, le choix entre deux candidats celui qui se bat comme un lion pour la souveraineté nationale et qui cherche à  rassembler les tunisiens autour du socle national et celui qui oeuvre pour la mise à mort d’une Tunisie souveraine et indépendante pour en faire une vassale turco-qatarienne et sème les graines de la discorde et la division. Un soldat de feu et un incendiaire. Tout bulletin de vote en faveur de ce dernier ne fait que raviver le feu qui couve depuis 40 mois qui embrasera toute la Tunisie si par malheur le peuple a opté pour Marzougui. Cela reviendrait à lui donner un blanc-seing pour poursuivre sa politique destructrice et criminelle. La Tunisie est en danger de mort et sa survie dépend du bon usage des bulletins de vote.

Même battu Marzougui menace de mettre la Tunisie à feu et à sang. Quelle que soit l’issue du scrutin cet homme est le pire ennemi de la Tunisie avec son mentor Ghannouchi depuis Caton le Carthaginois.

Si on veut blanchir Marzougui de ses éventuelles implications dans les assassinats de Chokri, Lotfi, Mohamed et les assassinats des dizaines militaires, de policiers et de gardes nationaux voire les morts mystérieuses non-élucidées qui avaient frappé certains hommes qui présentaient des réelles menaces pour la Troïka il suffit de voter tout simplement pour lui.

Ces partisans du tous pourris ne sont pas conscients des enjeux implicites et explicites inhérents à cette élection et ô combien cruciaux pour l’avenir du pays. Chaque voix en faveur de Marzougui est une voix mortelle pour la Tunisie.

Si vous voulez faire de la Tunisie un Etat-voyou votez Marzougui

Je tiens à réitérer mes rappels aux tunisiens :aujourd’hui vous avez   une chance unique dans votre  histoire la ratez pas sinon que vous n’aurez que i yeux pour pleurer. Votre seul rempart  contre l’invasion djihado-terroriste est incontestablement BCE comme le fut Bourguiba contre l’obscurantisme et l’ignorance.

Si vous votez contre lui vous condamnez votre pays à devenir un nouvel Afghanistan qui était il n’y a pas si longtemps du bien-vivre. Ne la gâchez pas SVP si vous aimez la Tunisie. Pensez aux générations futures comme vos parents ont pensé à vous.

BCE fait partie de ces hommes et femmes qui avaient redonné à la Tunisie son lustre carthaginois terni par des siècles de sevrage obscurantiste et colonial Il a été de cette équipe de pionniers qui ont relevé le défi de la modernité et impulser à la Tunisie le souffle du progrès humain. C’est un bâtisseur qui croit en sa patrie et l’histoire plaide pour lui. Moncef Marzougui est un renégat, veule, vénal, cupide,  à l’ego surdimensionné, un prédateur féroce, mu par sa seule haine de la Tunisie, un rongeur porteur du virus de la peste wahhabite et  opportuniste dogmatique. Cet homme  qui dilapide l’argent public sans compter pour ses agapes et ses escapades ne croit pas en l’avenir de la Tunisie en tant que nation indépendante, est un danger public, un exécutant des basses besognes ghannouchiennes, oeuvrant pour les seuls intérêts du Qatar, un dévastateur et un destructeur et vous en avez fait l’amère expérience au cours des ces 40 derniers mois en dehors de la courte période d’embellie en 2011 que l’on doit comme par hasard à BCE.

En votant pour cet être servile, enfant héritier de Caton vous votez pour la perte de la souveraineté nationale et la transformation de votre pays en sanctuaire terroriste. C’est à vous de voir, j’ai choisi le camp de la Tunisie incarné par BCE et j’espère que vous en ferez autant. Ne faites pas de ces élections ô combien crucial pour l’avenir de la Tunisie le dernier chant de cygne.

Ne faites pas de ce vendu et milicien qatarien qui veut faire de la Tunisie son fromage, le premier président démocratiquement élu de l’histoire de la Tunisie. Il n’est que le cheval de Troie de Ghannouchi en l’élisant vous faites de ce monstre de la barbarie humaine le nouvel Ayatollah de la Tunisie.

C’est vraiment l’enfer qui vous guette si vous votez pour les couleurs de la mort ne creusez pas avec vos propres mains la tombe de la Tunisie.Que vous faut-il de plus comme preuves quant aux desseins noirs de cette mafia pour la Tunisie ? Vous en avez suffisamment bavé au cours de ces trois dernières années pour pouvoir en tirer les leçons et la mettre hors d’état de nuire. Voter pour ce bouffon c’est voter pour les assassins de Chokri, Lotfi, Mohamed et les dizaines de soldats et forces de l’ordre. C’est aussi faire des malfrats et des criminels les maîtres de la Tunisie. Vous voulez faire de la Tunisie un Etat-voyou ? Votez alors pour le petit Néron de Carthage.

Vous n’aimez pas la Tunisie votez pour ce fils de goumier et ce sera la fin de la souveraineté nationale, vous aimez la Tunisie votez BCE pour faire renaître ce beau pays de ses cendres. 

Tunisiennes, Tunisiens :  » La vieillesse, c’est l’hiver pour les ignorants et la moisson pour les ages. »

AUX ÉLECTEURS TUNISIENS : « LA VIEILLESSE, C’EST L’HIVER POUR LES IGNORANTS ET LE TEMPS DE MOISSON POUR LES SAGES. »

Le monde entier a les yeux rivés sur la Tunisie. C’est à quitte ou double soit les tunisiens transforment l’essai des législatives et auront ainsi donné enfin du sens aux idéaux de leur révolution tant moquée par les sbires de Ben Ali dont son petit caniche favori celui qui a osé me plagier soit ils se font Hara Kiri en reconduisant Marzougui le milicien qatarien. C’est la souveraineté nationale qui est la clé de cette présidentielle. S’ils veulent une Tunisie indépendante ils savent ce qu’il leur reste à faire sinon autant lui porter un coup de grâce et qu’on en parle plus.

6 mois de gouvernement de BCE en 2011 leur ont rendu le sourire 3 ans de Troïka les ont plongés dans le pire cauchemar de leur histoire depuis l’invasion génocidaire des Banu Hilal. Ils ont suffisamment d’éléments de comparaison pour faire leur choix.

Tant en 2011 ils partaient dans l’inconnu et même s’ils ont été trahis par Jendoubi agent de la Troïka et qui joue aujourd’hui au père fouettard alors qu’il devrait être derrière les barreaux tant en 2014 après 3 années d’un chaos indescriptible et une descente aux enfers wahhabites ils ne peuvent plus dire qu’ils ont péché par ignorance qui est la meilleure alliée de l’obscurantisme.

Il n’y a pas de candidat parfait comme il n’existe pas une société parfaite mais il y a des candidats qui rassemblent plus d’atouts pour sauver le pays de son naufrage imminent. On ne confie pas le capitanat à ces mêmes hommes qui sont à l’origine directe des brèches béantes ouvertes dans les coques du navire ?.

Arguer de l’âge de BCE ce jeune homme de 88 ans pour ne pas lui attribuer le brassard du capitaine ce n’est pas simplement une forme de racisme primaire car la valeur de’un homme ne se mesure pas à l’aune de ses artères surtout quand ce même homme fait preuve d’une lucidité hors pair et d’une résistance physique et mentale dont peu de jeunes peuvent en dire autant, c’est aussi se priver des compétences et de savoir-faire dont le pays a un besoin urgentissime.
Il n’y a pas d’homme de la situation il y a les choix de la raison qui doivent guider la main des électeurs tunisiens. Quand le feu ne cesse de se propager et d’autres foyers de feu couvent on ne se pose pas la question sur l’âge des soldats de feu et de leur capitaine.
Comme le dit un proverbe Yiddish : » La vieillesse, c’est l’hiver pour les ignorants et le temps de moisson pour les sages. »
Espérons que les tunisiens ne tombent pas dans les préjugés e de l’âge pour sacrifier l’ultime chance qu’il leur reste pour confier le destin de leur pays au seul capitaine capable de circonscrire le feu qui menace de réduire le pays en cendre.Ils ont pas le choix entre le pyromane Marzougui à la solde du Qatar et faire-valoir du terroriste Rached Ghannouchi et BCE  l’homme providentiel porté par son amour indéfectible pour sa patrie , le compagnon de route de Bourguiba le bâtisseur de cette Tunisie malmenée par Ben Ali et quasi-détruite par la Troïka. Qui peut mieux que BCE qui avait sué sang et eau pour apporter sa contribution à l’édification de la Maison Tunisie pour la restaurer et consolider ses fondations afin que la jeunesse tunisienne puisse en prendre en main un jour la suite pour la pérenniser la faire resplendir ? Faisons de lui le tuteur de cette jeunesse en manque de formation et d’expérience.
Il ne s’agit pas de voter utile il s’agit d’élire l’homme qui est à même de faire redorer son blason à la Tunisie tellement noirci par 3 années cauchemardesques.

Lettre ouverte à Sihem Ben Sedrine : Bourguiba aurait honte d’avoir libéré une calamité de ton espèce

Vous avez dit militante des droits de l’homme ? Comme si tous les droits de l’hommisme en Tunisie n’étaient pas des créatures de Ben Ali et des serviles du terroriste jamais repenti Rached  Ghannouchi chargés d’une mission de vassalisation de la Tunisie au profit du Qatar, le petite province américaine. Connus pour être majoritairement mus par leur rancoeur, leur aigreur et leur opportunisme.

« Cette pasionaria » de pacotille  des droits de l’homme comme l’appelle un ami dans la vie ne me paraît pas échapper à la règle. D’autant plus qu’au vu de son engagement pro islamiste actuel et son silence trouble sur les graves violations des libertés en Tunisie ne plaident en faveur de la sincérité de son combat passé pour les droits de l’homme.

Egérie du fils bâtard d’Adolph Hitler, gagnée par la fièvre vénale et la folie des grandeurs (10 milliards de DT, soit 5 millions € exigés comme avance au titre du budget de fonctionnement de cette instance fantoche du Mensonge et de l’Indignité ) qui peut encore croire en ses vertus patriotiques ? A moins que ce ne soient les félons Marzougui et Jendoubi, ses deux compagnons de la mauvaise route qui a mené la Tunisie dans les fosses septiques de l’humanité.

Sihem Ben Sedrine je ne sais pas quel genre de personnage tu es, cela n’a guère d’importance à mes yeux comme ton numéro de cirque de 2000 et ton simulacre d’arrestation par les cerbères de Ben Ali ou ta visite burlesque et hollywoodienne de 2003 en Irak sous occupation américaine.  Je pourrais aussi y ajouter ta lettre de dénonciation calomnieuse à R.S.F. dont a fait l’objet une relation commune dont tu as trahi son soutien inconditionnel à ton égard.  Mais tout cela ne va certainement pas rafraîchir la mémoire défaillante de ton auguste personne et ta morgue suffisante, ce qui dépasse l’entendement, c’est ton acharnement à  jeter ton fiel sur Bourguiba, à le lapider et à le discréditer, comme si  tu cherchais à l’effacer de la mémoire tunisienne ce qui n’est pas sans rappeler les tentatives négationnistes de Rached Ghannouchi, maître à penser du terrorisme islamique au point qu’il pourrait être un des architectes de la création de Daech.

Tout donne à croire que tu es entrain d’apporter des gages de ton ralliement à ton gourou (?), comme tu ne plus aucun mystère quant à tes arrières-pensées politiques, idéologiques et vénales.

Ton attitude  à vouloir vitrioler Bourguiba, défigurer son action coïncide bizarrement avec ta compagne de candidature pour le poste de président de cette instance fantoche de Vérité et de Dignité  dont objectivement et indépendamment de  il est à douter que tu aies le profil requis comme ton ami Kamel Jendoubi pour l’I.SI.E.  Tu as soi-disant combattu le népotisme mais te voilà devenue sa figure de proue en Tunisie comme tes amis Jendoubi et Marzouki.

On ne peut qu’être aussi troublé par ton silence assourdissant sur les atteintes réelles et avérées des droits de l’homme en Tunisie depuis la chute de celui qui t’a fait exister médiatiquement et ton absence de condamnation des assassinats politiques, des soldats tunisiens et des incarcérations arbitraires des militants des libertés tel que Jabeur Mejri. Est-ce à dire que tu ne  pourrais pas désavouer ce que tes amis ordonnent et exécutent que tu honores de ta binette dans les photos de famille et la remise des médailles de la honte nationale ? C’est toi-même qui entretient le trouble par ton aphonie équivoque sur les assassinats de Chokri Bel Aïd, Mohamed Brahmi et Lotfi Negadh. Qui ne dit mot approuve. Peut-être que tu es trop occupée avec tes séjours au Qatar et tes fréquentations assidues de la secte infecte et milicienne d’Ennahdha.

Tu dois savoir que tes agitation hystérico-verbales sont surtout symptomatiques d’un esprit assoiffé de revanche sociale (?), avide de pouvoir et intrigant. Bourguiba appartient à tout jamais à l’histoire et pas seulement de la Tunisie. Ni toi ni tes mentors ne peuvent l’y déloger.

On ne construit pas une carrière en s’attaquant obséquieusement à  la mémoire d’un homme qui n’est plus là pour te rendre gorge et ton entreprise de démolition pathétique et obsessionnelle à dénigrer l’oeuvre de Bourguiba en faveur de l’émancipation de la femme tunisienne représentait ta planche de salut pour t’attirer les bonnes grâces financières de ses ennemis qui sont aussi ceux de la Tunisie afin de pouvoir régler les retards de 8 mois de salaires  à tes employés de  Kalima et t’acquitter de tes dettes sociales, fiscales et bancaires.

Aujourd’hui te voilà présidente grâce à tes entregents de l’instance Dignité et Vérité, la dignité dans la calomnie et le mensonge et la vérité sur ton ralliement à la cause de ceux qui veulent détruire la Tunisie à travers l’héritage Bourguibien.

Tu as certainement raison de dire que Bourguiba n’a pas sorti la femme du néant, il ne pouvait pas tout faire car il avait trop à faire pour sortir du tunnel des femmes qui n’existent que dans le déni et la haine d’elles-mêmes.

Tu dois reconnaître que c’est grâce à son école  pour tous que tu te trouves aujourd’hui là où tu n’aurais jamais dû être,et placer sous les feux des sunlights des célébrités féminines tunisiennes Bourguiba lui-même n’a jamais revendiqué le statut de libérateur de la femme tunisienne. Il était libérateur de tout un peuple tous sexes confondus. Il ne faisait guère de différence entre les deux. Il prônait une égalité de droits et de devoirs entre les deux  Sans elle tu ne serais pas ce que tu es aujourd’hui.

Evidemment que Bourguiba n’a pas libéré la femme tunisienne, il avait oeuvré pour son bien-être et son épanouissement humain. Une libération n’a de sens que si les personnes libérées ne deviennent pas acteurs de leur destin. C’est ce que Bourguiba  a fait mais tu n’auras pas le courage de le reconnaître pour ne pas essuyer le courroux de ceux qui t’on promue reine de pacotille.

Tu leur voues les yeux de Chimène. Une Chimène toute contente de fréquenter Doha et ses montagnes d’or noir qui empeste le sang des centaines de milliers d’innocents morts pour assouvir la folie de grandeur de ce caillou désertique connu pour avoir érigé la corruption en un nouveau dogme religieux.  Bourguiba ne t’avait pas ouvert les portes du Palais de l’Emir contrairement au nouvel Attila  Rached Ghannouchi. Il est somme toute logique que tu lui témoignes haine et mépris de ne pas avoir fait de toi une privilégiée de son régime.

Tu as dit que la femme tunisienne n’a pas été libérée par Bourguiba mais alors  par qui donc a-t-elle été libérée ? Ce n’est certainement pas par celle qu’appelle mon ami Ali Gannoun  un « croisement de caméléon et de vipère » de ton espèce qui fait honte au genre féminin.

Tu dois savoir à moins que ton état de cécité mentale ne t’en empêche si la femme tunisienne dont tu es une indigne représentante tient le cap contre vents et marées, elle ne le doit pas à tes amis qui sont la lie de l’humanité elle le doit au C.S.P qui fait sa fierté inédit jusqu’à ce jour dans le monde musulman.t

Ta phobie de Bourguiba est la manifestation d’une grave altération de ta santé mentale et psychique et de tes délires paranoïaques et schizoïdes. Dépourvue de scrupules et amatrice de coups fourrés tu excelles dans l’art de projeter sur autrui tes propres tares que Ben Ali n’a pas manqué de les dévoiler en son temps au grand dam des marchands de tapis tunisiens des droits de l’hommisme dont c’était le fonds de commerce alimentaire avant qu’ils ne deviennent les sangsues de la nouvelle Tunisie à l’image de Marzougui et de Jendoubi. Toi qui as le sens de la rentabilité de la  mauvaise foi et de la parole envenimée, tu devrais goûter aux joies de la condition féminine dans les pays auxquels tu tiens le crachoir pour apprécier à sa juste valeur l’action incommensurable  de Bourguiba en faveur des droits de la femme que tes sponsors  wahhabites, un modèle de despotisme et d’arriérisme, veulent remettre en question  pour la réduire à l’état d’esclaves comme la majorité des femmes musulmanes.

Es-tu prête toi-même de te couvrir de ton linceul pour le restant de tes jours et de renoncer aux acquis que tu abhorres tant parce qu’ils sont bourguibiens ? Il est permis d’en douter tant tu tiens à tes acquis que Bourguiba t’avaient légués.

N’est-ce pas étrange que ta voix brille par son absence en ce qui concerne les viols des femmes tunisiennes, comme lors de cette affaire de violée et coupable,  et les menaces qui pèsent sur le statut de la femme. A moins que la femme ne mérite guère que tu lui prêtes ton attention toute polluée par ton militantisme d’arrière-garde et à contre-courant de l’évolution des droits de la femme dans le monde.

Le patriote Bourguiba ne serait pas fier de savoir que la Tunisie a enfanté une femme qui  a failli provoquer la mort des deux de ses employés grévistes qui navigue dans les eaux troubles de l’islamisme, de l’affairisme, de l’arrivisme et encore moins que son nom soit prononcé une femme à la réputation sulfureuse  et qui loin d’être un modèle de probité morale, de loyauté. et de décence.

Cet homme que tu honnis tant à croire que tu es contaminée par ton nouveau maître à penser qui est une insulte à la morale humaine a plus que libéré la femme tunisienne, il l’a surtout fait évader de son Goulag qui ferait pourtant le bonheur des femmes qui vivent sous la dictature machiste et esclavagiste des bailleurs de fonds qatariens et saoudiens de la secte de l’infamie humaine que tu idolâtres tant.

Quel modèle de société veux-tu pour la femme tunisienne ? Celui que Bourguiba a voulu créer ou celui qu’Ennahdha veut importer tout droit d’Arabie Saoudite, un enfer pour les libertés humaines ,

Habib Bourguiba a voulu construire une société entre égaux et une nation digne et souveraine, peux-tu en dire autant quant au projet scélérat d’Ennahdha pour la Tunisie ? Critiquer sans rien proposer comme alternative est bien la preuve de ta courte vue et de ta pauvreté politique.

Paraît-il que tu serais est une fille Ben Ammar par ta mère ce dont il est permis de douter connaissant ces derniers pour leur hostilité viscérale pour les marchands du Temple de la religion musulmane, sache qu’en ce qui concerne les Ben Ammar  dont je suis plus que convaincu que tu n’as aucun lien filial, que sont nos mères respectives, à supposer que ta mère soit une Ben Ammar, n’avaient pas c’est vrai attendu Bourguiba pour s’émanciper, seulement elles voilaient leur émancipation de peur de ne pas troubler l’ordre social hyper machiste, et c’est grâce à Bourguiba qui avait osé faire tomber le voile qu’elles ont pu enfin faire tomber le leur en toute liberté et sans qu’elle ne heurte les règles de la malséance sociale.

Ma soeur aînée, née lors de la deuxième grande boucherie mondiale qui n’a jamais porté le voile dans sa vie est toute heureuse de dire à chaque fin du mois toute sa reconnaissance à notre feu père qui est un Ben Ammar et à Bourguiba auxquels elle doit sa confortable retraite aujourd’hui fruit de 40 ans de dure labeur et de sa formation dans l’école bourguibienne. Est-ce qu’elle serait autonome financièrement et socialement si elle avait vécu dans l’ombre d’un homme qui était la hantise de notre père ?  Elle doit à Bourguiba le statut protecteur de ses droits de femme, et avoir été l’une des toutes premières femmes haut fonctionnaires dans ce pays. La différence entre vous deux est qu’elle n’a jamais lécher les babouches aux islamistes ni faire de la propagande anti-tunisienne pour le compte du Qatar.

Tu ne dois peut-être rien à Bourguiba parce que tu es aveuglée par ta propre haine de toi-même, par ton esprit pervers et ton ingratitude légendaire. Sans Bourguiba tu as beau avoir été émancipée mais tu n’aurais jamais fait des études. Ma mère était une femme libre mais son plus grand regret est qu’elle était née avant l’ère de Bourguiba.

Ton amour pour Ennahdha qui a tout l’air d’être un amour monnayé est proportionnel à ta haine pour feu Bourguiba qui n’a jamais vendu son âme à quiconque comme la félonne de ton espèce qui fait la lèche-babouche du Qatar, cette poussière de l’histoire, et cela tu peux difficilement le nier.

La Tunisie était au bord du gouffre et Mehdi Jomâa va lui faire faire un pas en avant

Ce que j’attends de ce gouvernement : qu’il ait un sursaut d’orgueil patriotique et fasse preuve d’une grande intelligence politique .

S’il a vraiment le souci de la Tunisie, il doit d’ores et déjà rétablir un climat sécuritaire indispensable à la remise en marche économique du pays d’une part et d’autre part redonner confiance et espoir aux tunisiens meurtris par 3 années de purgatoire islamiste portant la signature de Raspoutine Ghannouchi en éradiquant tous les symboles du néo-colonialisme turco-wahhabite piloté par les Yankees qui viennent encore une fois de mettre leur grain de sel dans la cuisine tunisienne par la voix de Jean Kerry qui veut imposer un agenda politique aux tunisiens, comme s’ils étaient les vrais maîtres du pays et les architectes de sa politique.

On ne peut pas sauver le navire tunisien du naufrage, plutôt le rafiot, sans avoir écopé toute l’eau qui est en train de noyer la salle des moteurs. C’est pourquoi il n’y a pas de demi mesure, ni de pause à marquer pour évaluer la gravité de la situation afin de s’atteler à l’opération de sauvetage qui ne doit tenir compte quelque écueil que ce soit. Il y a de la survie de la Tunisie et ce n’est pas en procédant par des petites touches de replâtrage et de rafistolage que ce nouveau gouvernement veut y parvenir. bien au contraire, il ne pourra que précipiter le pays dans le fond abyssal du gouffre. Le pays était au bord du précipice et on lui a fait faire un pas en avant, selon une formule célèbre attribuée à un ministre algérien dans les années 60.

Il n’y a de remède que dans l’amputation du corps tunisien de toutes les gangrènes héritées de Ben Ali et amplifiées par Ennahdha. Si ce gouvernement veut marquer l’histoire de la Tunisie et tourner définitivement la page, il doit envoyer des signaux forts accompagnés par des mesures radicales pouvant témoigner de sa réelle autonomie d’action et de neutralité politique :

-dissoudre l’A.N.C. qui n’a absolument plus aucune raison d’autre à l’illégitimité incontestable et incontestée. Elle ne peut pas faire office de parlement, car n’ayant pas été élue pour remplir des prérogatives parlementaires d’une part et d’autre part elle est le joker, l’atout maître d’Ennahdha pour lui assurer un retour triomphal;

-abolir la Ligue de la protection de la révolution, véritable milice paramilitaire sur le modèle des Tontons Macoutes dans les années 60 en Haïti pour assurer la protection du régime sanguinaire de Papa Doc,

-destituer le bouffon de Carthage Moncef Marzougui, nervi qatarien déclaré et traître à la nation. Sa présence est un lourd handicap pour remettre le pays dans le sens de la marche à cause de ses capacités de nuisance susceptibles de nuire au processus de reconstruction nationale.

-tourner définitivement la page judiciaire de l’ancien régime, en réclamant son extradition à l’Arabie Saoudite ainsi que celle de ses acolytes au Qatar. Et en cas de refus de la part de ces deux pays aux intentions hégémoniques et velléitaires, il est du devoir de nouveau gouvernement d’affirmer l’indépendance du pays en prenant les mesures diplomatiques appropriées dans le cas d’espèce;

-ouvrir les dossiers d’indemnisation des victimes de la révolution;

-élucidation des assassinats politiques de Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi, Lotfi Negadh et arrestation de leurs commanditaires, y compris Lotfi Ben Jeddou pour entraves à la manifestation de la vérité;

-mise sous séquestre des avoirs d’Ennahdha,

-audit sur les comptes de l’I.S.I.E. et désigner une commission d’enquête indépendante sur l’organisation et le déroulement du scrutin qui est à l’origine de la descente aux enfers du pays;

-annulation de toutes les nominations partisanes et népotiques;

-changer tout le corps des gouverneurs et des délégués, mis en place par Ennahdha;

-identifier et arrêter les responsables des événements sanglants de Chaâmbi, du Kef, comme ailleurs;

-retrait des passeports diplomatiques délivrés aux membres et aux familles de la secte-Etat d’Ennahdha et en premier lieu Ghannouchi que la justice tunisienne doit prononcer des mesures conservatoires à son encontre en ce qui concerne ses biens mobiliers et ses avoirs financiers, de la même façon que pour Marzougui;

-annuler toutes les ventes des entreprises publiques aux qatariens et aux turcs et l’attribution abusive des terrains et terres agricoles aux familles proches d’Ennahdha, du CPR et du TAKATOL;

-nommer des nouveaux ambassadeurs et consuls généraux sur des critères objectifs et non partisans;

-libérer sans délai Jabeur Mejri sans préalable et faciliter le retour au des tunisiens qui ont exercé leur droit d’opinion surtout dans le cas de ceux qui auraient commis un soi-disant délit de blasphème,

-enfin, créer une enquête de vérité et justice sur les morts suspects et disparus du régime de Ben Ali.
Pourquoi pas ne ne pas envisager la création d’un haut comité de sages apolitique pour accompagner et soutenir l’action du nouveau gouvernement représentatif de tous les secteurs névralgiques du pays, issus des rangs
des milieux universitaires, syndicaux, économiques, sécuritaires, agricoles, technologiques, de la petite enfance, associatifs, diplomatiques, judiciaires, de la haute fonction publique, touristiques, religieux d’obédience malékite, militaires, féministes et sanitaires.
On ne peut pas reconstruire le pays et redonner un nouvel espoir au peuple, si on continue à vouloir faire du neuf avec de l’ancien quand cet héritage du passé a creusé la tombe du peuple.
Un pays ne peut se redresser que dans la transparence et ne se meurt que dans l’opacité.

On ne fait pas de l’islam un modèle de développement humain, il est la mort de la vie: cas de la Tunisie

Aucune chance de survie pour la Tunisie. Tous les pays tombés sous le joug de l’islam fantasmé et irréel des sources, purifié soi-disant de toutes les scories et influences extérieures, autrement dit qui mettent un voile sur le présent comme un conducteur qui couvre son pare-brise d’un épais tissu noir vont droit dans le mur.

Les exemples n’en manquent pas. De l’Afghanistan au Soudan, e passant par le Pakistan et la Somalie ces pays sont devenus en mouroir à ciel ouvert. Des pays de la vie, ils sont devenus les pays de la mort. Plutôt que de tirer les conséquences d’une marche à contre-courant de l’histoire nuisible au développement humain et tirer toutes les conséquences d’un retour insensé et suicidaire à des valeurs du passé enfouies dans le désert d’Arabie depuis le 7 e siècle, un pays comme la Tunisie qui avait su le mieux desserrer l’étau acéré et étouffant de la religion sur la vie des hommes pour devenir un pays modèle en matière du bien-être humain dans le monde « musulman », s’est mise soudainement à rétropédaler au lendemain de sa révolution ubuesque pour effacer en deux ans tous les acquis hérités du bâtisseur Habib Bourguiba, l’homme qui a libéré la femme qui sans elle il n’y a aucun avenir pour l’homme.

Mais les Tunisiens ont préféré dans leur majorité voter pour les forces obscurantistes, anti-modernistes, ultra-réactionnaires et ennemies de la femme pour faire de l’avenir un passé.De la nuit ils font le jour et de l’archaïsme ils font  un progrès, et de la mort ils font la vie. Comme si le renouement avec des valeurs synonymes de barbarie humaine, dégradantes et humiliantes pour la condition humaine étaient le salut pour la Tunisie.

En quoi adopter les moeurs de l’Arabie et ses lois scélérates et inhumaines du VII e siècle et même celle d’aujourd’hui où l’homme était réduit à l’état d’esclave et d’eunuque, où la femme était un butin comme un autre, un champ de labour, un humain entièrement à part qui ne valait moins qu’un cheval ou une chamelle et une fillette était déjà femme avant ses menstrues livrées aux vautours et aux charlatans religieux peuvent mettre la Tunisie sur la voie du développement et garantes d’un monde meilleur pour les générations futures ? Tous les pays qui ne vivent pas sous la tutelle de la religion ne sont-ils pas les pays où les droits fondamentaux sont les mieux respectés, où l’éthique a du sens et la justice est la même pour tous. Quel modèle de société veut-on pour la Tunisie celui où la femme est une portion congrue, absente de la scène, étrangère à son propre destin, un simple ventre porteur de fous d’Allah, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus en état de procréer pour finir à la rue.

En ayant mis les oeillères de l’islam, les Tunisiens sont devenus de plus en dévots et bigots et de moins en moins attachés à leur pays, terroristes, sans morale sexuelle avec le djihad du nikah, de plus en plus arborant les des mines patibulaires, renfrognées, aigries, haineuses, maussades, tristes, comme s’ils portaient le deuil de leur vie de leur vivant, drapant leurs femmes dans leurs linceuls.

Convaincus mais ô combien inconscients et irréfléchis, que ces temps cauchemardesques de l’humanité sont un puissant antidote contre les maux de  la société. Ils ne font qu’aggraver leurs maux en faisant du poison de l’islam des sources un traitement pour guérir la société de toutes ses plaies. Injustice, corruption, privilèges, inégalités,abus de pouvoir, arbitraire, iniquité, fatalisme, défaitisme, féodalisme, despotisme, immobilisme, inculture, renoncement, irresponsabilité, absence de conscience professionnelle, indifférence, indolence, qui sont paradoxalement les traits dominants de cet islam du tout haram.

En investissant Ennahdha, ils se sont ralliés définitivement et officiellement à la Qaïda, le F.I.S., les Talibans, l’E.I., Boko Haram, l’Aqmi, le wahhabisme, la Jama’a Al-Islamiya et la Confrérie des Frères Musulmans qui est le cerveau idéologique de ces mouvements.

En aucun moment, ils n’ont su tirer la leçon des expériences tragiques des pays soumis à la dictature des nazislamistes qui les ont transformés en terres inhospitalières et en champs de ruine Ni le Soudan, ni l’Afghanistan, ni la Somalie, ni le Pakistan, ni l’Algérie brisée mais toujours debout mais à quel prix ne peuvent témoigner que l’islam fondamentaliste, est une chance pour les hommes. Il est l’abîme des peuples et une sépulture des libertés; . Quant à la Libye, l’Irak et la Syrie où le vrai islam, un islam collaborationniste, a servi de faux-nez aux grandes puissances prédatrices, ils sont devenus des cadavres putrides.

Il est illusoire d’imaginer le grand malade tunisien pris dans les griffes d’Ennahdha et pour très longtemps puisse échapper à une mort certaine avec un peuple plus préoccupé de sa vie dans l’autre monde qu’ici-bas. Le vrai islam est le

L’Europe occidentale elle-même qui ne cesse de dérouler le tapis rouge aux pieds de l’islam fondamentaliste à cause de ses figures de proue wahhabites, l’Arabie Saoudite et le Qatar, en lui abandonnant des pans entiers de son territoire pour acheter la paix sociale doit faire très attention au retour du bâton.