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Aux candidats déclarés à l’Elysée, l’islam n’est pas plus compatible avec la République que le nazisme avec l’humanisme

La classe politique française dans son ensemble a compris que l’avenir de la France est l’islam et qu’elle a désormais tout intérêt à jouer pleinement et ouvertement la carte de l’islam pour ne pas signer son suicide politique.

Plutôt que de proposer des mesures pour contrer la montée du péril musulman les  candidats à l’Elysée préfèrent louer les vertus de la compatibilité de l’islam avec la République, sous-entendant en réalité sa dissolution dans la future république islamique de France à laquelle ils oeuvrent avec un zèle antipatriotique incroyable dans l’espoir que les musulmans leur seront un jour reconnaissants en leur accordant un strapontin dans le conseil de la choura, consultation,  qui remplacera  inévitablement les deux chambres , le Sénat et l’Assemblée Nationale.

Ces enfants de Caton qui a vendu Carthage aux Romains doivent lire le Coran pour comprendre quoi qu’ils fassent ils n’auront jamais grâce aux yeux des musulmans auxquels il est formellement prohibé de voter pour un non musulman ou de le prendre pour conseiller dans les affaires sensibles et stratégiques pour l’Oumma islamique. Au moins ils pourront juger sur pièces la nature fondamentalement raciste, suprémaciste et discriminatoire de cette pseudo religion dont ils se font les avocats inconditionnels aujourd’hui au mépris de leur dignité  et leur honneur surtout la pérennité humaine et civilisations elle d’un pays qui leur a tout donné et qu’ils s’acharnent à le détruire pour les yeux de leur Chimère musulmane.

Ils resteront des infidèles, des êtres intouchables et infréquentables,  des porcs et des singes qu’il faut abattre.  Pires encore que la peste qu’il faudrait éradiquer de la surface de la terre sauf s’ils font allégeance totale et absolue à l’islam.

Les musulmans qui sont l’objet de leurs attentions et de leurs préoccupations politiques majeures aux dépens des vrais enfants de la France auront pour eux l’égard d’un maître pour son esclave ou d’un qatarien pour un travailleur népalais.

 

Les Tunisiens et leur complexe saoudien

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Photo de femmes saoudiennes

Je ne compare pas la Tunisie à l’Arabie Saoudite ni les Tunisiens aux Saoudiens pour la simple et bonne raison que c’est la Tunisie qui est une colonie arabe et les Tunisiens qui s’identifient aux Arabes saoudiens qui sont un modèle pour beaucoup d’entre eux. Ils parlent leur langue et professent leur religion.
Le mépris des Saoudiens pour les Tunisiens se suffit de lui-même qui sont pour eux des abid, esclaves, et des bâtards.
Entre eux c’est le rapport du maître à son esclave. Si la Tunisie faisait vraiment le poids devant les Saoudiens elle aurait pu obtenir l’extradition de Ben Ali qu’elle n’a même pas osé formuler pour ne pas courroucer les chameliers.
Ce sont quand même des Tunisiens qui « marient » leurs filles aux Saoudiens et non pas l’inverse, en espérant en tirer un bon profit et ce sans rien ignorer de leurs pratiques polygames et pédophiles ainsi que leurs moeurs barbares, perverses, d’obsédés sexuels, et esclavagistes. Qu’ils n’en déplaisent aux Tunisiens, ils ne sont pas dans la même catégorie que leurs éternels colonisateurs qui les ont totalement coupés de leurs racines plurielles et multiconfessionnelles.

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Un peuple phare de l’humanité devenu aujourd’hui un axe du mal de l’obscurantisme islamique. Ils pourront toujours espérer se refaire une virginité avec leur Prix Nobel de la Paix qui n’a plus de valeur depuis le jour où le nom d’Adolph Hitler était sur la liste des nominés en 1939, mais il y a fort à douter qu’ils puissent effacer les traces indélébiles de leur inféodation à l’arbo-islamisme qui remonte au VII e siècle avec la destruction de Carthage.
La société tunisienne se wahhabise à une vitesse vertigineuse les Tunisiens ne peuvent pas en dire autant quant à leur impact sur les Saoudiens.
Un peu de modestie mesdames et messieurs les Tunisiens tant que vous n’avez pas brisé les chaînes de votre état d’assujettissement aux Saoudiens, vous ne pouvez pas rivaliser avec eux et ce sont eux qui devraient se sentir offensés par une comparaison peu flatteuse à leurs égards.
Vous revendiquez votre arabo-islamité inscrite dans le préambule de votre constitution par attachement à l’identité de vos maîtres saoudiens plutôt que de vous battre pour votre véritable indépendance.
Vous êtes dans la sphère de leur influence cultuelle et politique, vous n’êtes pas leurs dominions vous relevez de leur suzeraineté.
Quand on vit dans la dépendance idéologique d’une puissance tierce on se garde de jouer au fier. Les faits ont leur vérité que votre suffisance ignore.
Au nom de quelle idéologie des soldats, des policiers et des hommes politiques tunisiens qualifiés de taghouts, des transgresseurs, ont été tués ? Certainement pas au nom de l’humanisme bourguibien à ce que sache, c’est au nom du wahhabisme propagé par les saoudiens à travers ses relais locaux sous la houlette d’Ennahdha qui fait le malheur du peuple tunisien.
Qui a élevé la Tunisie au rang du premier pays exportateur de main d’oeuvre terroriste  et sexuelle au monde ? C’est bien l’Arabie Saoudite et son armada de prédicateurs auxquels certains d’entre vous vouent un véritable culte.
Où sont votre honneur et votre dignité quand est des simples faire-valoir sur l’échiquier wahhabite.
Vos rues ressemblent de plus en plus aux rues saoudiennes. Les mosquées poussent comme des champignons financées par vos « frères » saoudiens. Vous drapez vos filles et vos femmes dans leur linceul et vous portez des kamiss et des barbes hirsutes, sales et pouilleuses ce n’est pas pour afficher votre identité amazigh mais par pur complexe vis-à-vis de ceux qui vous ont réduit un jour à l’état d’esclaves.
Ils vous ont confisqué votre âme amazigh et vous accourez tous les ans chez eux par par dizaines de milliers dépensant des fortunes à fonds perdus alors que votre réserve de change est exsangue pour rendre hommage à ce fils de Satan alors que les Saoudiens viennent chez vous pour donner libre-cours à leurs pulsions bestiales et lubriques. Ils sont les dominants et vous êtes les dominés. Des soumis reniant leur origine pour complaire à leurs maîtres.

Ghannouchi et Marzougui doivent payer pour leurs crimes de haute trahison et de complots terroristes

L’ignoble et infâme Moncef Marzougui, une sangsue de la pire espèce,  sachant que sa fin est proche ne cesse de multiplier les coups d’éclat qui sont autant de manifestations de son état de nervosité extrême et de ses troubles psychiques. En effet le dernier en date et qui en dit long sur ses angoisses de l’après son éviction de Carthage est sa bouderie inexpliquée de la première séance inaugurale du premier parlement démocratiquement élu depuis le Sénat de Carthage perturbée comme par hasard par la présence d’un intrus qui voulait se faire passer pour un élu du Cpr le faux-nez d’Ennahdha  dont est issu le bouffon Marzougui, avec semble-t-il la complicité de ce micro parti lui-même.  Peut-être a-t-il cherché à allumer un contre- feu et faire diversion afin que l’opinion publique tunisienne soit entraînée sur une autre psite et n’ait pas à gausser de son absence humiliante et insultante pour la démocratie naissante dans ce pays ?

Un caprice d’un enfant gâté qui ne veut pas perdre son jouet préféré. Ce qui en dit long sur son degré d’immaturité intellectuelle,  sur son état de nervosité extrême et son irrespect total des institutions de la république et la volonté populaire. Il semblerait que sa bouderie infantile serait une manifestation de son mécontentement à l’égard d’Ennahdha qui tarde à lui apporter son soutien public à moins qu’il ait eu peur d’essuyer les huées de certains élus d’Ennahdha qui voulaient profiter de l’occasion pour le désavouer publiquement et démontrer par la même occasion aux tunisiens que leur mouvement n’est pas ce panier de crabes terroristes, antipatriotes, mercenaires islamo-wahhabites et qu’il existe aussi un courant honorable et patriotique.

En tout état de cause tout ceci illustre la situation inconfortable dans laquelle il se trouve qui n’est pas sans danger pour Ennnahdha qui offre aux tunisiens une façade unie pour masquer les dissensions internes qui la minent. Est- ce  Rached Ghannouchi lui-même qui est aux abois et dont le nom ne va pas tarder de figurer sur la liste noire des personnes recherchées par Interpol et que se trouvant lui aussi entre le marteau et l’enclume  lui aurait conseillé de continuer à cuver son vin  plutôt que de servir de baromètre de la mauvaise météo des islamistes tunisiens ?  Rien ne prouve non plus que sa responsabilité ne soit pas engagée dans l’organisions des filières djihado-terroristes vers la Syrie et l’Irak et que si jamais il perd les élections il sera quitte avec la justice internationale et de crainte de compromettre le peu de chance qu’il lui reste il a préféré jouer aux abonnés absents en se cachant derrière le scénario vaudevilles que de l’élu remplacé par son cousin membre de surcroît des forces de l’ordre.

Moncef Marzougui qui se gave de langoustes royales pendant que les tunisiens manquent de tout est dans une impasse inextricable, il joue le tout pour le tout, se ruant sur les tunisiens comme un sanglier blessé afin de les entraîner dans sa chute inexorable.

Son mentor Rached Ghannouchi essaye de donner une image apaisée et sereine d’un homme au-dessus de la mêlée contrastant avec celle de son faire-valoir alors qu’en réalité il marche lui aussi sur un terrain miné qui pourra marquer  la fin de ses rêves d’Ayatollah et pourquoi pas sa propre fin  en sa qualité d’homme le plus détesté de toute l’histoire de la Tunisie juste avant son poulain. Pris dans son propre pièce dans lequel il avait voulu plonger les tunisiens il avanc e à tatillons pour ne pas donner l’impression qu’il joue carte de Marzougui qui peut avoir un effet un effet boomerang sur lui et sur son mouvement alors que les chances de ce dernier d’être élu sont minimes.

De plus en plus convaincu de la défaite de sa créature infâme et exécutante   de basses besognes il fait tout pour ne pas endosser l’échec de Marzougui et porter l’étiquette de looser à la double déculottée qui risque de provoquer des défections dans son rang voire même que certains de ses élus se rallient au camp de Nida Tounes.

Sentant ainsi que les carottes sont cuites et la défaite de Marzougui est inéluctable il préfère apparaître aux yeux des tunisiens comme étant un homme qui se met au-dessus de la mêlée et qui ne veut pas aller à l’encontre de la volonté du peuple impatient de se débarrasser de cet allié de plus en plus encombrant, imprévisible et ingérable pour Ennahdha. En adoptant une neutralité de façade alors que Marzougui veut un soutien public, massif et sans équivoque, il cherche à trouver un consensus entre les courants son mouvement qui est loin d’être un bloc homogène. Il y a leux qui sont hostiles à tout soutien à Marzougui et ceux qui veulent l’utiliser comme faire-valoir pour remettre les pieds à l’étrier du pouvoir comme aussi préserver leurs privilèges et les fortunes acquis lors de leur passage au pouvoir. Il n’en demeure pas que Rachid Ghannouchi qui a beau user de ses manoeuvres en trompe-l’oeil n’a pas en réalité les coudées franches pour donner à Marzougui les gages attendus.

B.C.E. est à la Tunisie ce que fut le Général De Gaulle pour la France

Un vrai gouffre sépare B.C.E. qui incarne le patriotisme tunisien et le grand réveil de la conscience nationale et  Moncef Marzougui le petit Caton de Carthage et antipatriote pathologique, comparable à  à celui qu’a connu la France à la sortie de la deuxième Guerre Mondiale entre De Gaulle et le Maréchal Pétain.

En effet, tout les distingue  et les oppose en termes d’histoires personnelles, leurs parcours politiques, leur dévouement à la nation tunisienne, leur savoir-être, leur morale, leur sens du bien public, leur attachement indéfectible à l’indépendance nationale que le candidat du Qatar veut anéantir.

B.C.E. est porteur de valeurs de fidélité et de loyauté dont est dépourvu le nervi de l’Emirat-caillou sorti du sable en 1970 par ses maîtres anglo-saxons.  Il n’est pas exagéré de dire qu’il est de l’étoffe de Churchill et De Gaulle tellement son amour pour la Tunisie est sans faille.  Aussi, toute tentative de comparaison entre les deux candidats est une insulte à la raison humaine et une infamie à l’histoire de la Tunisie. Comment ose-t-on mettre face à face le fils d’un militant pour l’indépendance de la Tunisie et qu’il s’est lui-même engagé dès l’âge de 15 dans la résistance tunisienne alors que l’autre Moncef Marzougui  nourri au biberon de la félonie est fils de traître et de goumier et qu’il est lui-même antipatriote notoire, milicien qatarien et ex agent des services de renseignements étrangers qui lui seul est à même de révéler les noms.  Cet homme aurait dû destitué de ses fonctions présidentielles pour le conflit d’intérêt dont il s’est rendu coupable en tant que salarié de la chaîne de la propagande nazislamiste de la Jazeera.  Quel crédit peut-on lui accorder au regard de ses fréquentations avec la pègre tunisienne dont il a fait son comité de soutien politique et son organisation de police parallèle sur le modèle des tontons macoutes ?  Un homme qui ne reculera devant rien pour se maintenir au pouvoir  et préserver ses privilèges  royaux et ses frasques mégalomaniaques.  Son train de vie dépasse celui de l’Elysée et de la Présidence allemande réunie au mépris de toute morale citoyenne.  En votant pour lui, les Tunisiens doivent s’attendre à des dépenses pharaoniques pour ses frais de bouche.

On aime la Tunisie on vote pour B.C.E. si on veut sa mort on vote pour ce vendu et collabo de la pire espèce qui puisse exister. Pire encore que Laval, Doriot, Déart trois des plus grandes figures de la collaboration en France.

La présence de cet homme au deuxième est une tache indélébile dans l’histoire de la Tunisie. C’est comme si la France avait adoubé Pétain au lendemain de la deuxième Guerre Mondiale pour défendre ses couleurs contre l’homme du 18 juin 1940.  Le voilà aujourd’hui à quelques encablures de la gloire éternelle en devenant le premier président démocratiquement élu dans toute l’histoire de la Tunisie alors qu’il mérite la disgrâce nationale et d’être traduit devant une cour martiale pour haute trahison et et commission de faits avérés de collaboration avec le Qatar.

Les tunisiens qui votent pour lui auront un jour à répondre devant le tribunal de l’histoire qui sera leur seul juge pour leurs crimes de complicité d’atteintes à la souveraineté nationale. Ainsi chaque bulletin déposé en sa faveur est un coup de poignard asséné dans le dos de la Tunisie.

B.C.E. est un homme digne et honorable qui a payé de sa personne dans l’édification de la Tunisie de Bourguiba en sa qualité de ministre de l’intérieur et des affaires étrangères. Connu pour sa grande rigueur intellectuelle et sa recherche de l’excellence. Un homme d’ordre et jaloux de l’image de la Tunisie dans le monde. Il fait partie de cette génération bourguibienne de bâtisseurs d’une Tunisie moderne, du bien-vivre ensemble, souveraine, maîtresse de son destin politique. Il est en droit de s’enorgueillir à juste que son nom est associé à cette Tunisie enviée dans le monde entier pour ses performances en matière d’éducation, des droits de la femme et du C.S.P.. Une Tunisie dont le seul nom suscitait respect et admiration.

Cette même Tunisie dont le nom est devenu aujourd’hui évocateur de peur et de frayeur en étant devenu le premier pays pourvoyeur de djihado-terroristes et de main d’oeuvre sexuelle à des fins djihadistes depuis qu’elle est tombée sous les griffes de ce prédateur-opportuniste, revanchard, haineux, rancunier, corrompu, sangsue, glouton,fade, terne, souffrant de graves troubles de personnalité, instable psychologiquement,  hargneux, agressif, bouffon, velléitaire, girouette, sans foi ni loi, et ses dompteurs islamistes. Cet homme que les Tunisiens sont entrain d’introniser comme leur futur monarque absolu  qui est la synthèse la mieux aboutie d’Amine Dada, Ceausescu,  Mobutu et Papa Doc fera regretter amèrement aux Tunisiens d’avoir dégagé Ben Ali. obsédé par sa seule haine de la Tunisie il finira  détruire ses fondations nationales  pour en faire une vassale qatarienne et un sanctuaire terroriste réalisant ainsi son rêve de la peupler avec les terroristes du monde entier en mal de refuge.  Avec lui l’avenir de la Tunisie s’inscrira au passé.

B.C.E. défend une Tunisie tunisienne, humaine, tolérante, fière, digne d’Hannibal et de Bourguiba et pérenne tandis que Marzougui défend les couleurs de l’indignité, de la honte, de la félonie et de l’infamie. Une Tunisie barbare, obscurantiste, réactionnaire, livrée aux meutes de loups salafistes, du désordre et du chaos.

C’est un combat de choc des cultures et d’une histoire de quelques milliers d’années contre 40 ans d’histoire. Les Tunisiens doivent faire un choix de société et d’identité nationale.