Rached Ghannouchi le terroriste illuminé qui se veut Allah et Mahomet à la fois

 Herr R. Ghannouchi, l'archétype du parfait intégriste. Un pantin wahhabite

Le parfait intégriste façon Ghannouchi R. ne pense jamais et ne dit jamais les choses par lui-même.

Le discours de l’intégriste sur la parole vraie : Moi je n’ai jamais rien dit !  Comment voulez-vous que je dise des choses que je suis incapable de penser par moi-même ? Moi je rapporte toujours des choses que je n’ai jamais entendues de mes propres oreilles bouchées comme mon esprit de la bouche de celui qu’on dit qu’il en est l’auteur ou de celle qui les a authentifiées sans que leur authenticité n’aient été validées par leur auteur prétendument originel. Chez moi c’est sacré, Dieu a toujours  dit et nul ne doit en douter sous peine d’être frappé par sa malédiction, même si personne ne l’a jamais entendu s’exprimer celui-là, sauf ceux qui prétendent sans apporter la preuve qu’il leur a parlé pour leur révéler des secrets dans une langue sémitique comme par hasard, ni le swahili, ni le sanscrit, ni le perse, ni le mandarin, et  qui est comme par miracle divin la langue maternelle des peuples qui se disputent sa paternité en l’occurrence les arabes bédouins au caractère aride et leurs ennemis jurés les hébreux, ce qui indique que Dieu est raciste. J’aurais voulu qu’il leur parle en bambara ou en peule et que ses élus soient maoris ou toucouleurs. Dieu a donc dit que c’est moi votre Dieu et vous êtes tenus à y croire sinon ma colère s’abattra sur vous comme le feu de l’enfer qui consumera vos corps le jour du Jugement dernier.

Il est inutile de préciser que la date n’est toujours pas fixée. Elle est laissée à sa libre appréciation. Mais on connaît le programme des réjouissances et des festivités pour les uns et les supplices et les tourments pour les autres. Un peu comme Hitler et ses grands rêves pour son peuple et le cauchemar et les camps de la mort pour les autres. Dieu a dit : toi qui crois en moi tu es béni et lui l’insolent, l’incrédule est maudit. Dieu a ainsi dit : l’enfer c’est l’autre. Comme tout doit rester figé chez l’intégriste, la parole doit l’être aussi. Une parole portée par des émissaires-élus  triés sur le volet et toujours choisis en fonction des critères ethniques bien ciblés. Aussi, l’intégriste se doit de les prendre à la lettre et les rapporter comme s’il avait été témoin auditif malgré son handicap en la matière. Il est atteint de graves troubles de surdité. L’intégriste s’auto-persuade qu’il les a eux aussi entendu lui dire les choses. Convaincu qu’il est, il dit : le représentant de Dieu a dit et transmet fidèlement tout ce que Dieu lui a dit. Curieusement, tous les porte-parole désignés par Dieu sont entourés de laudateurs zélés, béatifiés, vénérés et sacralisés ce que l’on peut appeler le premier cercle de privilégiés qui n’ont jamais en réalité été témoins de rien, ni auditifs ni oculaires, et qui ne font que relayer ce  qui ressemblerait à des Gourous. Affublés eux aussi d’attributs vertueux pour donner plus de véracité à la parole rapportée, celle que leurs grands maîtres leur ont soufflée à l’oreille et pour certains ce qu’il leur avait gravé sur le marbre de leur poitrine via un Ange descendu du ciel, la poitrine faisait office de feuille blanche sur laquelle Dieu avait pu inscrire tout ce qu’il m’a été dit aux dires de l’intégriste.

A une certaine époque la poitrine  humaine était une sorte de papyrus, le papier n’existait pas ni le papyrus qui leur était inconnu, et un disque dur à la mémoire infinie, infaillible et « inamovible », éternelle et c’est moi qui vous le dis à vous, dit l’intégriste. Ne me demandez pas pourquoi toutes ces choses-là n’ont jamais été validées par leurs émetteurs d’origine.

L’intégrisme pour fonctionner a besoin de sacraliser tout ce que l’on dit. Ne jamais dire les choses par soi. Astucieux, l’intégriste s’érige aussi en rapporteur de la parole sacrée. Même ce qui n’est pas sacré tant qu’il a été dit par celui qu’on a drapé dans les habits du sacré devient aussi sacré. Même si des siècles après quelqu’un les rapporte , il peut devenir leur source-suprême parce qu’il les a authentifiées sans apporter la preuve formelle de leur véracité. Même les choses jamais dites sont dites tant qu’on les attribue à celui qui les aurait dites. Ni déformation, ni falsification, ni mensonge, tout ce que je vous rapporte a été dit,la chaîne se poursuit. Et s’il y a un maillon manquant on revient à la source et on en confectionne un nouveau en disant que ça été dit. Dans la doctrine de l’esbroufe et la culture du vent : on ne dit jamais : je n’ai rien compris, on dit je vous dis ce que trucmuche a dit. On ne comprend jamais rien parce qu’on ne pense à rien et gare à celui qui pense hors du cadre que le gourou a fixé, il est voué aux feux de l’enfer. Si vous voulez mériter des faveurs de celui qu’on vous a dit qu’il est au-dessus de vous, dites toujours Dieu a dit, son messie a dit, son prophète a dit, ses apôtres ont dit, ses compagnons ont dit, sacralisez toujours ceux qui ont servi de transmetteurs de la parole sacrée et vous aurez ainsi la paix.

Voilà pourquoi Ennahdha est plus dangereuse que jamais

En matière de propagande politique, ce n’est pas propager soi-même son propre message, c’est le faire porter indirectement par les autres en faisant parler de soi. La critique est leur meilleure alliéé car elle leur fait gagner de la notoriété.

En faisant déplacer le curseur d’une extémité à l’autre, ils s’empressent toujours à le recenter pour rester les maîtres du débat politique.

Passés orfèvres dans la manipulation de l’opinion, ils excellent dans le jeu du contre-pieds et  l’art du volte-face et de la pirouette. Ils jouent constamment aux pompiers pyromanes. Occuper le terrain, créér l’événement, être au coeur du débat, le susciter, faire monter les enchères afin d’obtenir les concesions les plus inespérées de la part des leurs rivaux. Habiles, pervers et fins stratèges, ils savent que le terrain leur est favorable, ils  se fondent dans le paysage pour mieux surprendre leurs proies et les dépecer. Ils ne sont pas Dr Jeckill et Mr Hyde. Ils sont polymorphes et se déclinent en qutre variantes: jihadiste, salafiste, qoutbiste de Said Qotb et wahhabite véritable mître d’ oeuvre de l’islamisme impérial et hégémonique.

Les islamistes quels qu’ils soient puisent leur source idéologique dans la pensée anthropomorphe et spéculative d’ibn Taymmya  ressemblent à ces serpents des marais de la mythologie grecque, qu’on appelle les hydres.

On ne saurait les juguler et les contenir si on se garde de les dissocier et ainsi établir un distinguo coupable entre les salafistes et les nahdhaouistes en Tunisie. Ils sont les deux faces d’un même miroir. C’est pourquoi l’organisation sectaire  mytico-mafieuse d’ ennahdha est néfaste pour la République Tunisienne.

Elle est la première ennemie des droits fondamentaux et des libertés démocratiques. Sa présence sur la scène tunisienne est annonciatrice d’un avenir sombre pour le pays. Sa haute toxicité sur l’état de santé mentale des masses et sa nocivité sur le  devenir et civilisationnel des masses frustrées de libertés publiques, individuelles, politiques, cultuelles  depuis plus de 1400 ans.

Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante d’un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement y compris celui de la pensée individuelle. On ne saurait nier que l’islam n’a jamais été une source de bien-être social et économique. Nul ne peut prétendre que cette religion comme toutes les autres est un catalyseur des luttes sociales et politques. Les populations musulmanes dans leur immense majorité ne sont pas rompues aux combats pour le changement. Elles s’ accommodent plus que d’autres de leur sort fût-il le plus injuste au nom de la prédestinée.

Toute tentative de reprise en main de ses conditions de vie est asimilée à une hérésie.  Ainsi, l’islamisme-collaborationniste du fait de son passé nazi qui fait son retour fracassant entre autres sur la scène tunisienne a pour principale mission d’assurer la propagation de ce syème totalitaire de caractère théocratique et  maintenir la population opprimée par l’ancien régime despotique  par tous les moyens sous l’emprise totale et absolue sous le joug wahabbite en les enserrant dans les mailles acérées du filet.

La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur ls moyens pour dévoyer l’esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens. Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilté des damnés de la terre (les laissés pour compte de l’ancien régime et de la tendance facheuse chez certains à vendre leur âmes au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocrtique: soudoiement,corruption, exaltation de l’âme musulmane, glorification de la splendeur islamqiue, libération de la Palestine, stigmatistion de la laicité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyennenté tunisienne, réinstauration de l’ oumma, exorcisme, idolâtrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, oukases religieux, anathèmes, pogroms etc…

Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer aini: nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d’une part et d’ autre part verser l’obole (bakchich) aux partisans.

Dans un pays où la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays.

Les Tunisiens qui ont fait pourtant une  révolution pour la dignité, le pain gagné à la sueur de son front, et la probité sont en train de passer outre tous les symboles attachés à ladite révolution pour se laisser soudoyer et corrompre par les agents du jihadisme islamique. Une révolution censée permettre au peuple de s’ identifer  aux  valeurs de paix, de dignité, de tolérance et de générosité  ressemble de plus en plus à une cour des miracles et de propagande religieuse. Les mosquées se sont transformées en espaces d’ instrumentalisation de la religion pour assouvir les desseins hégémoniques des Wahhabites qui ne lésinent pas sur les moyens pour faire de leurs mercenaires tunisiens les futurs maîtres de la Tunisie.

Le processus démocratique entamé depuis le 14 janvier 2011 s’ est en réalité mué en procesus de vassalisation de la Tunisie, de sa wahhabisation rampante à laquelle s’ attelle l’organisation sectaire et terroriste d’ennahdha.

La révolution des indignés est désormais une contre-révolution de l’indignation et de la félonie. Le projet d’invitation de l’Emir du Qatar un pavé jeté dans la marre de la Révolution tunisienne, qui symbolise la théocratie politique et de l’hégémonisme arrogant et impérial fossoyeur des révolutions arabes n’est pas dénuée de fondement politico-juridique. Elle est le prélude du  nouveau destin politique de la Tunisie qui de la République risquerait fort de basculer dans le camp du VI ème Califat.

A défaut de nouvelles institutions républicaines, il y a tout lieu à penser que son éventuelle présence, qui par nature est anti-républicaine et une atteinte à la souverainté nationale, porte en elle les prémisses des institutions de droit canon

Les tunisiens sont eux-mêmes leur propre Sissi

La victoire de Nida Tounès qui fera souffler le vent des libertés sur la Tunisie est celle de l’honneur retrouvé d’un pays meurtri, couvert de boue,outragé, terrorisé, à l’agonie, théâtre de pogroms, d’autodafés et d’assassinats politiques et de meurtres de ses soldats et de ses forces de l’ordre.

Grâce à cette victoire la Tunisie a pu mettre fin au pire cauchemar de son histoire depuis l’invasion dévastatrice et génocidaire des Banu Hilal. Son ciel va pouvoir retrouver ses couleurs éclatantes d’autrefois  et les tunisiens vont pouvoir se remettre à croire en un destin meilleur pour leur pays et donner du sens aux idéaux de leur révolution.

Sans ses femmes et ses hommes qui ont l’amour de la patrie chevillée au corps  la Tunisie ne srait pas entrain de savourer la joie de sa victoire. Plus personne ou presque n’y croyait regrettant que la Tunisie n’avait pas un homme providentiel de l’acabit de Sissi. Or, il n’y a de sauveteur que le peuple lui-même. Les hommes s’en vont mais l’âme du peuple perdure.

La Tunisie vient de nous adminstrer la preuve que le salut n’est pas dans la la violence et que les vrais combats peuvent se gagner dans les urnes. Plutôt que de victimiser les ennemis de la patrie et en faire des martyrs, ce grand peuple a mis un point d’honneur de les vaincre par la voie la plus démocratique du monde, les chasser par là où ils sont venus c’est-à-dire par les urnes. Un combat à la loyale menée contre une ennemis déloyal et perfide.

Cette victoire est d’autant plus héroïque et sublime car elle était obtenue de haute lutte contre les forces miliciennes à la solde des puissances étrangères, disposant d’une force de frappe financières colossales qui leur permettaient de corrompre et suborner les masses tunisiennes crédules, désoeuvrées et indigentes.

Cette victoire est à inscrire en lettres d’or dans l’histoire de pays Hannibal. Jamais un peuple n’a jamais été autant dénigré, honni, injurié, moqué comme le peuple tunisien on le voyait s’offir en victime expiatoire à ses bourreaux islamistes, mais au grand dam de ses nombreuix détracteurs blotis appelaient de tous leurs voeux sa mort pour venir danser son cadvre, il a fait preuve d’un sursaut d’orgueil national dont on ne le croyait guère capable pour arracher son pays des griffes de ces prédateurs qui avaient déferlé sur lui tel un Tsunami en ce jour du 17 janvier 2011.

La Tunisie a toujours su renaïtre de ses cendres et se reconstruire. Il n’y avait pas de raison effectivement à ce qu’elle ne finisse par retrouver sa véritable force de caractère et sa foi en elle-même. Sa rage de vivre n’avait d’égale que sa soif de revanche sur ses spoliateurs et confiscateurs.

Sa victoire elle ne la doit qu’elle-même et en sa confiance dans ses propres moyens.Aujourd’hui, elle est plus que jamais maîtresse de son destin politique et humain. Sa victoire sur les forces du mal est le prélude de celle la lumière sur l’obscurité, de l’humanisme, sur l’inhumanisme, du bien-vivre ensemble sur l’intolérance, de la vie sur la mort, de la patrie sur les traîtres, de la civilisation sur la barbarie, de la raison sur la passion, du progrès sur la réaction, de la Tunisie ouverte sur le monde sur une Tunisie enfermée dans le bunker de l’arabo-islamisme, de la Tunisie paisible sur la Tunisie du djihad,du modernisme sur l’archaïsme, de l’avenir sur le mythe du retour aux sources,  de l’affirmation de soi sur la négation de le soi, de la Tunisie souveraine sur une Tunisie vassale, de la Tunisie afro-méditerranéenne sur une Tunisie reniant ses origines. Sa victoire doit marquer le renouement avec son identité Amazigh et ses racines non-arabo-musulmanes.

La victoire de Nida Tounès qui incarne le mieux la personnalité tunisienne est le refus des Tunisiens de laisser leur vie entièrement gouvernée par la religion. La nouvelle cité tunisienne sera celle des hommes et non dédiée à Allah.

Emanciper la femme dans l’islam reviendrait à réformer le Coran lui-même

Selon un dissident iranien: « être née femme  dans la société musulmane est à la fois un crime capital et une sentence de mort. »                                                                                           

Cet état de détresse dans lequel se trouve l’humanité féminine, cette malédiction qui la frappe ne peuvent que nous heurter, nous indigner et appeler la communauté internationale prendre toutes les mesures pour son éradication de la surface de la terre. Un nouveau Tribunal Roussel pour l’abolition de la charia.

Même le nazisme n’avait autant infériorisé, discriminé et méprisé la femme que l’islam. Au point que la condition de vie des animaux  en Occident pouvait paraître plus reluisante que celle de la femme dans les pays musulmans appliquant la charia, la loi de l’islam, la dotant du statut de femme-esclave  impliquant une multitude de devoirs, censés être la contrepartie de sa dépendance vis–à-vis de son conjoint.                                                                                                                

Ses droits sont inversement proportionnels à ses obligations, quasi- inexistants et aussi dérisoires que sa place dans ces sociétés du culte du patriarcat érigé en mode de gouvernance de la vie de la femme.                                                                                                                           

Asservie et avilie, ne bénéficiant d’aucune liberté de mouvement et de déplacement pour accomplir des actes simples de la vie quotidienne  : conduire un véhicule, souscrire à un abonnement téléphonique, se rendre seule au bureau de poste, faire ses courses, accompagner ses enfants à l’école, se faire délivrer une carte d’identité etc.                                                                    

Quant à voyager  seule ou choisir son conjoint, cela est jugé comme illicite et  contraire aux dogmes de l’islam et peut l’exposer aux pires châtiments.                                                                                                                               

En effet, contrairement aux autres religions monothéistes l’islam qui serait plus assimilée à une idéologie politique totalitaire qu’à une religion, a fait de la condition de la femme un des piliers  essentiels dans l’édification de sa cité-idéale. Jugée comme impure et afin d’éviter toute souillure de l’espace public,  elle est condamnée à vivre en recluse dans son bagne domestique.   

Et quand elle s’aventure  dans cet espace censé être purifié de toute présence féminine, on la  couvre  de voile depuis les pieds jusqu’à la tête, pour ne pays réveiller le démon qui sommeille chez le mâle musulman.                                                                                                                                                                                

La religion musulmane représente la femme comme une étincelle qui  embrase le feu chez l’homme. Ainsi si on la bannit de la société, c’est non pas pour la protéger elle-même du mâle musulman auquel Allah a octroyé tous les pouvoirs sur la sexualité féminine, mais surtout de protéger l’innocence masculine des tentations du démon féminin.                                             

Plutôt que d’éduquer l’homme au respect de l’inviolabilité du corps de la femme et d’accorder à cette dernière les mêmes droits humains qu’aux hommes, l’islam fait de la femme le bouc-émissaire des crimes sexuels et des brimades dont elle victime.                                                                                  

On lui impute la responsabilité du viol. Si elle est violée c’est parce qu’elle l’a cherchée et qu’elle a certainement outragé sa religion, en refusant de porter par exemple  le voile-protecteur, une espèce de soupape de sécurité qui aurait freiné le désir sexuel de son agresseur qui devient pour la circonstance victime comme ce fut le cas en Turquie, où une jeune fille de 13 ans a été jugée coupable de son viol et s’est trouvée condamnée à une peine de prison, tandis que son violeur a été innocenté.                                                                                                                

Et ce n’est probablement pas la dernière convention internationale sur l’amélioration de la condition féminine dans le monde qui va contribuer à l’humanisation du statut de la femme dans les pays musulmans qui ne vont pas manquer de lui opposer l’exception musulmane pour ne pas la ratifier. Un sacrilège et une hérésie qu’ils se garderont de commettre, ils ne vont pas ainsi valoriser le statut de ce que leur religion considère comme un  rebut humain régi au moyen de la loi canonique de la charia  mais plus canonnière  que canonique et dont chaque règle est autant de boulet de canon tiré sur la femme. 

Très pointilleux sur l’immuabilité de la loi de l’islam, les phallocrates idolâtres musulmans ne vont pas renoncer à l’exercice de leur pouvoir absolu sur les femmes ou céder ne serait-ce une once de ce pouvoir pour complaire aux exigences du droit international, jugé incompatible avec le droit musulman.                                                                                                                    

La charia est une bénédiction, une arme sacrée, par le biais de laquelle ils peuvent anéantir juridiquement la femme qu’ils considèrent comme un sujet mineur et un incapable majeur, frappée par la malédiction éternelle, et qu’Allah a dotée de qualités intellectuelles intrinsèques inférieures à l’homme. Ne dit-on pas dans l’islam que la femme est dépourvue de foi et de raison ?                                                                                                     

Un peu comme si leur chef vénéré  Ben Laden était supérieur à Marie Curie.                                      

Elever l’homme et rabaisser la femme, sous prétexte d’un ordre sexuel instauré par Allah est symptomatique de l’incapacité de cette religion de s’inscrire dans la voie de la modernité. Conserver cet ordre au nom de la suprématie et de l’essence prétendument divine de la loi de l’islam sur les lois internationales, celles du bon sens commun et de la dignité humaine, est encore plus criminel et ignominieux.                                                                                                            

On ne fait pas d’une loi barbare et inhumaine un ordre juridique pour justifier le traitement   humiliant et dégradant infligé à la femme.                                                                                                 

Il n’y a pas de valeurs sacrées sans respect des droits de la femme. Comme il n’y a pas de droits humains sans liberté. Comme il n’y a pas non plus de loi divine sans égalité entre ses créateurs.  

Une vraie  religion que peut difficilement être l’islam n’a pas vocation à introduire une différence entre les hommes fondée sur leur seule appartenance sexuelle, afin de créer des mécanismes de dépendance de la femme vis–à-vis de l’homme, condamnée à vivre éternellement dans son ombre.                                                                    

La loi de l’islam que les musulmans veulent en faire une loi universelle, à défaut d’être une loi égalitaire et impartiale, est une loi inique, partisane et liberticide. Elle est l’expression majeure d’un ordre machiste et sexiste qui prolifère sur l’état d assujettissement permanent de la femme.                                                                                                                                                              

Il n’y a pas de loi sans éthique, ni morale, ni justice, une loi qui se prétend divine comme la charia, est une loi de l’arbitraire et de l’inquisition, elle ne saurait être  une prescription de règles de bonne conduite que les musulmans doivent observer pour atteindre la voie de la félicité.                                                                                                                                            

La loi d’Allah n’est en réalité qu’une manoeuvre pernicieuse et insidieuse pour dissoudre les droits des femmes dans un bain d’acide sulfurique. Produit dont ils sont férus pour défigurer les femmes qui veulent rompre les chaînes du despotisme patriarcal comme au Pakistan, en Afghanistan, au Soudan ou en Arabie Saoudite.                                                                                 

 La charia n’a d’essence canonique que les larmes des femmes privées de liberté pour l’éternité, que ses partisans de plus en plus nombreux y compris en Occident veulent instaurer comme un ordre nouveau pour la société internationale, ou tout au moins en faire la seule loi pour les musulmans à l’exclusion de toutes les autres.                                                                                    

Alors que cette loi qui est la chambre funéraire des libertés et des droits de la femme, est une pure invention humaine apparue au Xe siècle avec l’Ecole juridique hanbalite dont est issu le wahhabisme, véritable clone du nazisme qui fait des ravages aujourd’hui dans les ghettos européens et les pays dits des révolutions du printemps arabe, qui présentaient la particularité d’être tous gouvernés par despotes laïques.                                                                                                                                 

Synonyme surtout  d’apartheid sexuel pour les femmes et de négation du droit à la différence et à la liberté de conscience.                                                                                                                

Quelle différence y a il-t-il entre un régime théocratique musulman qui  maintient la femme dans un état d’enfermement psychologique, social, intellectuel et humain et le nazisme et ses camps de la mort ou le stalinisme et son Goulag ?

 La charia est négatrice la  personnalité de la femme, comme si la femme n’est pas un être humain accompli et à part entière.  Sans âme ni psyché.                                                                                                                                                            

Au nom du sacré, les partisans de la charia jugent que la femme pas de volonté propre, ni de libre-arbitre, cela est valable d’ailleurs pour tous les musulmans, elle est juste un réceptacle sexuel, une mère pondeuse. Elle n’existe jamais par elle-même, Allah l’a créé pour procurer du plaisir à ses vaillants combattants et lui donner de la chair à canon pour conquérir le monde.  

Le Coran  lui définit ses devoirs qui sont autant de droits de son époux détenus sur sa personne.                                                                                                                                

Seule la satisfaction de ses obligations de soumission notamment sexuelles à l’égard de son époux son seigneur et maître, le laboureur de son corps lui garantit une place au paradis auprès de ce dernier.                                                                                                                                     

Parait-il seul moyen pour assurer la pérennité du couple, en faisant de la femme une obligée non consentante pour l’homme.                                                                                                  

En clair, les droits de la femme découlent de ses obligations à l’égard de son époux.  Et comme il est dit dans le Coran: » Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance » ( sourate 2; de la Vache verset 228).                                                

En réalité des non-droits comparables à ceux dont pouvaient bénéficier les esclaves.                                     

Son seul statut est d’être dépourvue de tout droit comme les esclaves de l’Antiquité.                   

Quand ben même dans la réalité sociale dans les pays pratiquant la loi scélérate de la charia, les hommes n’ont pas véritablement un droit de vie ou de mort sur leurs femmes, il n’en demeure pas moins qu’aux termes de la charia ils ont la faculté de pouvoir les exercer en toute impunité et liberté.                                                                                                                                          

La charia est en quelque sorte un acte de propriété dont l’objet est la possession et donc la colonisation du corps et de l’esprit de la femme.                                                                   

Contrairement aux contrats de droit civil, cet acte fixerait les contraintes et les servitudes auxquelles sont sont soumises les femmes.                                                                                  

Si elle veut bénéficier de la miséricorde divine, elle n’a guère d’alternative que de se plier à la volonté de son époux, censé pourvoir à ses besoins mais à condition que son comportement soit en conformité avec les règles fixées par le Coran qui sont la porte ouverte au viol conjugaln.                                                                    

                                                                                                                                                               

Ainsi la femme est considérée comme un simple objet sexuel dont la seule fonction outre la procréation est de satisfaire les pulsions sexuelles de son mari et si elle s’y refuse elle se trouve exposée au courroux d Allah.                                                                                                           

Selon un hadith, une femme qui refuse de rejoindre son mari dans son lit est maudite par les anges toute la nuit:« Si l’homme invite sa femme dans son lit pour copuler avec et qu’elle refuse et qu’il passe la nuit en colère contre elle les anges la maudiront jusqu’au matin. »

Du fait que Dieu accorde à l’homme une prééminence absolue sur la femme, elle ne peut que se résigner à accepter sa condition féminine qui ne doit souffrir d aucun écart de sa part si elle veut gagner les faveurs divines qui sont la résultante de sa totale soumission à l’homme.

Par conséquent, seules les femmes obéissantes et qui suivent la voie d’Allah, celle de la charia, sont par définition des femmes vertueuses et dignes de la miséricorde divine.

En l’occurrence plus les femmes se laissent domestiquer  et sont  dans l acceptation consentie de leur sort et se  font apprivoiser par les hommes, plus Dieu en est satisfait, plus il les comblera de ses bienfaits.

En clair, le bagne  ou l’enfer au ciel, alors que le prophète lui-même leur promet l’enfer.   Elle doit contre son gré accepter l’enferment sur terre, la  réclusion perpétuelle si elle veut jouir de liberté très hypothétiques  dans l’au-delà. Et tout ça au nom de l’impureté et de la malignité éternelle rattachées à la femme. Et comme le dit Malek Chebel, un philo musulman patenté pourtant : « Elle est l’autre énigme et inquiétante qu il faut voiler. »

Si le retour de la charia qui se profile dans le ciel des pays du Printemps Arabe est une aubaine pour les hommes musulmans car elle va rétablir  et conforter leurs droits exorbitants sur leurs femmes, elle est annonciatrice du goulag pour les femmes et du rétablissement d un régime concentrationnaire humiliant et dégradant pour la condition humaine.

 

Ennahdha piégée par Béji Caïd Essebssi

En lâchant ses fauves salafistes, Ennahda s’est-elle fait piéger par B.C.E. ?

19 Mai 2013

Tout indique, en effet, qu’Ennahdha s’est fait prendre au piège de Béji Caïd Essebsi. Article de Salem Benammar sur le stratagème d’Ennahda dans la ville de Kairouan. Malgré le ton haut du ministre de l’Intérieur et la contrariété d’un gouvernement usurpateur, la démonstration de force des salafistes dans cette ville ne serait qu’une ruse de Rached Ghannouchi pour impressionner les Tunisiens et montrer son mouvement sous les couleurs trompeuses de l’islamisme « modéré », capable de contenir l’islamo-fascisme.


En lâchant ses fauves salafistes, Ennahda s'est-elle fait piéger par B.C.E. ?
Depuis l’annonce de la candidature de B.C. E. aux élections présidentielles de 2014, qui est un coup de poker menteur pour obliger Ennahdha à lever le voile sur ses desseins politiques, on assiste à un véritable raz-de-marée salafiste sur la Tunisie. N’aurait-il pas été plus plus cohérent et approprié de débattre du projet de Nidaa Tounis plutôt que d’ouvrir la digue et laisser la marée salafiste déferler sur le pays ?  Il est évident qu’Ennahdha, en abattant sa carte salafiste, veut clore le débat de manière brutale, ce qui laisse entrevoir pour les candides ou les idiots utiles, la nature idéologique du projet islamiste en Tunisie.                                .

Acculée aux cordes et  prise de panique tel un boxeur roué de coups, Ennahda pense pouvoir se tirer d’affaire en cognant au-dessous de la ceinture pour son salut. Ainsi, elle ne cesse d’allumer des contre-feux  au propre comme au figuré pour reprendre la main sur une situation qui semble lui échapper.

Après avoir allumé celui de Djebel Chaâmbi, qui n’est toujours pas éteint, la voilà qu’elle allume dans la foulée celui de Kairouan, en jetant ses enfants  salafiste à l’assaut de la capitale Aghlabide. En faisant diversion, elle a réussi à mettre une chape de plomb sur le projet califien et liberticide de la constitution et prendre de contre-pied d’une part Béji CaÏd Essebsi, le candidat gênant, et d’autre part certains médias et blogueurs qui sont toujours à l’affut du sensationnel en oubliant l’essentiel.

Comme toute organisation fasciste imbue de son pouvoir absolu, elle ne peut accepter qu’on lui fasse de l’ombre ; elle se doit de rester le seul mouvement politique phare pour la Tunisie par n’importe quel moyen, y compris les plus destructeurs. Cela fait penser à l’embrasement de l’Allemagne dans les années 30 par Hitler et sa racaille nazie.

Sachant que la guerre de l’opinion ne lui est pas favorable, elle s’emploie à brandir son spectre salafiste qui n’est rien d’autre qu’un stratagème pour créer un climat de terreur et d’insécurité qui est aussi le prélude de ce qui attend les Tunisiens si d’aventure ils veulent la chasser du pouvoir.

Par conséquent, ses escadrons de la mort salafistes qu’elle vient de lâcher comme des fauves sont son atout-maître dans son bras de fer avec les Tunisiens dont le rôle serait de contribuer au renforcement de son pouvoir. En les faisant passer pour ses opposants, les plus farouches et les plus dangereux, elle se dote ainsi d’attributs légalistes et légitimistes. Mieux encore, elle apparait comme un mouvement « modéré » et « démocrate », comparée à ces islamo-fascistes.

Son coup de bluff est en voie  de produire les effets escomptés. Non seulement cela lui permet de justifier le maintien de l’état d’urgence, mais surtout de lui permettre de réaliser une remontée fracassante dans les sondages et apparaître aux yeux des Tunisiens comme leur seul recours contre la montée du péril terroriste. Tout simplement elle est le mal et le remède, et c’est ce qui fait sa force et sa faiblesse à la fois.

Salem Benammar 19/05/2013

L’islam est un fléau mortel pour les jeunes

C’est tellement trop facile d’affirmer des vérités sans chercher à les étayer histoire de noyer le poisson et d’occulter le débat sur le fond. C’est pourquoi il faut cesser de nous vendre le radicalisation des jeunes musulmans comme si c’était un épiphénomène, un phénomène marginal,qui va finir par s’éteindre de lui-même comme un simple feu de paille, sans signification particulière et qu’il ne faut surtout as en exagérer la portée. Tout faire pour le minimiser, enfumer les esprits comme si on avait peur de dévoller les vraies causes du mal qui sont pourtant de plus en plus apparentes et évidentes.
Que savons-nous réellement du profil psychologique,pathologique, intellectuiel et social de ces jeunes radicalisés ? Un sujet jesté tabou à ce jour. On a jamais mis le doigt lù où ça fait mal pourquoi ces jeunes devenus musulmans ou ayant confortté leur foi dans l’islam dans l’islam se trouvent déconnectés du monde réel et perdent toute notion du l’interdit et du permis ? Pourquoi en étant souvent des primo-délinquants se transforment-ils en de véritables désespérados-nihilistes ?
On dit que la religion apaise et pacifie le caractère, or l’islam semble échapper à ce postulat au regard du comprtement ultra-transgressif de la jeunesse musulmane des cités ghettoïsées ressemblant à des micro-Emirats. Il y a forcèment un catalyseur à leur violence latente qui saute aux yeux mais que l’on continue draper dans sa vertu, en l’occurrence l’islam.
S’est-on posé les questions pourquoi les jeunes qui n’ont pas subi un endoctrinement religieux intensif ne versent pas dans la violence ? Pourquoi aussi les jeunes chrétiens, juifs, bouddhistes quel que soit leur degré de fanatisme n’ont pas choisi la voie du terrorisme pour affirmer et donner du sens à leur identité reigieuse ? Pourquoi s’est-on gardé de faire une étude comparative entre les jeunes musulmans convertis au christaianisme qui ne semblent présenter aucun danger ni pour eux-mêmes ni pour la société et les néo-assujettis à l’islam issus des ilieux défavorisés pour la plupart souvent mineurs racolés dans les foyers, dans la njungle des barres en béton et les prisons ?
Pourquoi quand l’aumônerie dans les prisons françaises était à dominante chrétienne les délinquants qui s’étaient convertis au christianisme ou ayant renforcé leur foi en Dieu n’étaient pas devenus des terroristes à leur sortie de prison ?

Il n’y a pas pire fléau mortel pour la France et l’Occident que les conversions à l’islam

 

Abu Abdallah al Faransi, soupçonné d'être l'un des bourreaux de Peter Kassig.

Si l’islam se voit au dessus des lois en France , c’est parce que la République lui fait trop de concessions.  Toujours prête à lui dérouler le tapis rouge et à satisfaire ses demandes au-delà de ses propres attentes. L’honneur de la République est sans intérêt au regard des exigences rituelles de sa majesté l’islam. L’islam est chez lui il n’y a pas de loi républicaine à lui opposer, qu’il corrompe et endoctrine  sa jeunesse cela lui importe guère elle ne va pas lui mener la guerre pour si peu. La France n’a que faire contre l’apparition du fléau mortel des conversions à l’islam, elle est là pour lui baliser le terrain  au péril de sa survie .

Plutôt que de sévir contre l’embrigadement des jeunes mineurs à l’islam qui met en danger leur santé mentale  d’une part et d’autre part leur inclinaison à se transformer en de véritables bombes humaines à retardement. Elle ne peut pas ignorer l’existence d’une corrélation entre les conversions et le terrorisme qui menace les fondements-mêmes de la sa civilisation. Son aveuglement et son laxisme sont les meilleurs alliés de l’islam auquel elle laisse les coudées franches pour tisser sa toile d’araignée et propager son fiel antirépublicain en inoculant le virus de la haine de la France dans le coeur de ces jeunes français désoeuvrés et fragiles.

Il est de son devoir de surveiller et protéger ses jeunes mineurs voire ses citoyens majeurs qui se laissent séduire par l’utopie musulmane qui est incompatible avec la vie humaine.  La lutte contre l’islam est une priorité absolue.

Il est urgent de se doter d’un observatoire des conversions à l’islam chargé de suivre et de surveiller tous les Français mineurs et majeurs islamisés pouvant présenter un sérieux danger pour leurs concitoyens.

N’est-il pas curieux que ceux témoignent le plus d’aversion pour les valeurs républicaines sont les français convertis à l’islam par les gourous des enclaves islamiques de France ?

La question de fond que la République doit plus que jamais se poser : pourquoi mes propres enfants devenus musulmans voient en moi l’ennemi à abattre ?

Aucune République ne peut se bâtir sur un socle anti-patriotique et anti-civique, et ces convertis témoignent que la République engendre sa propre lie, ses cellules cancéreuses qui ne vont pas tarder d’évoluer. Symbole de son état de déliquescence, elle doit traiter le mal à ses racines, se débarrasser de cette gangrène évolutive… ou disparaître. Elle doit revoir son système éducatif, qui prend de plus en plus les allures d’une Madrasa afghane.

Ce n’est pas en bannissant la viande de porc des cantines scolaires que l’on éduque les enfants à la citoyenneté et aux valeurs de la République.

Elle doit aussi réformer son code de nationalité, en prenant en compte la faible adhésion de beaucoup de musulmans aux lois de la République qui rêvent de leur substituer les lois de l’islam considérées comme parfaites.

La République doit mener un véritable travail de questionnements sur la nature politique et idéologique de l’islam, synonyme de détestation de la France, annonciateur d’un climat de pogroms et d’autodafés qui se profile dans son horizon.

Un islam belliqueux et envahisseur frappe la France dans sa chair comme lors de l’assassinat raté du militaire à la Défense, le gang de Roubaix, ou la tentative de molestation de la police à Trappes par un Français d’origine converti à l’islam, qui s’était opposé violemment au contrôle d’identité de son épouse Française voilée intégralement, tombée elle aussi dans les mailles du filet du sectarisme musulman.

Toute politique de compromis à l’égard de l’islam ne peut mener qu’au suicide de la France.

A vouloir trop lâcher la bride pour ménager la susceptibilité de l’islam, à mieux s’adapter à ses exigences antirépublicaines et se plier à ses quatre volontés la France est entrain de se laisser islamiser sans s’en rendre compte elle-même.  Une France forte est celle qui protège sa jeunesse contre la tentation de l’utopie musulmane qui est un véritable suicide mode d’emploi et qui doit interdire toute conversion des jeunes âgés de moins de 18 ans en appliquant à l’islam la loi anti-sectes. Elle n’a pas à louvoyer face à ce prédateur qui veut la dépecer elle se doit de lui imposer l’inviolabilité de ses lois et le respect total et absolu de l’idéal républicain pour lequel le sang de France a coulé.

Elle doit savoir que l’islam ne peut pas respecter une République qui ne se respecte pas elle-même, et que le seul langage que cette pseudo religion comprenne est celui de la fermeté et de l’intransigeance. A-telle envie de ressembler aux pays musulmans qui sont à la traîne de l’humanité où la misère et la barbarie sont leurs seules mamelles ?

Appel aux Tunisiens de ne pas voter pour l’islam afin de ne pas faire de leur pays une rivière de larmes et de sang

Chaque bulletin de vote en faveur des islamistes est une balle tirée dans le dos de la Liberté et une nouvelle mort pour les victimes de la barbarie islamiste.

L’islamisme est  par définition  l’ennemi du genre humain qui se nourrit de la détestation de l’autre et s’enivre de son sang. Il porte en lui les germes  d’une  aversion pathologique de l’ humanité et de la destruction des peuples et des cultures comme toute idéologie  extrémisme et totalitaire. Les tunisiens doivent savoir qu’ils sont à un tournant de leur histoire et que le sort de leur pays dépend de leur choix politiques et si par malheur ils opteraient pour les islamistes ils signiraient l’arrêt de mort de leur pays.  Il leur revient de ne pas faire de ces urnes ceux qui auront à recueillir les cendres de leur pays

J’en appelle ainsi à leur devoir de vigilance patriotique et à leur conscience humaine et au bon sens de chaque Tunisien que le vote islamiste est un vote aux conséquences très lourdes sur le destin national et la fin de la Tunisie tunisienne .Une trahison des idéaux de la Révolution et une insulte à la mémoire de tous ces morts et ces blessés qui ont donné leur vie et  verser leur sang pour une vie digne et meilleure pour leurs concitoyens et les générations futures

 L’islamisme qui est un retour aux sources nauséabondes de l’islam de Mahomet est une arme de destruction massive, il  est pour notre siècle ce que fut en pire le nazisme pour le 20ème siècle. Le carnage insoutenable qu-a commis le néo-nazi norvégien Andréas Breivnick en 2011  doit etre perçu par les Musulmans comme un acte de défiance à l égard leur religion  comme le  proclame d ailleurs l’ auteur dudit attentat, un terrorisme réactionnel.Il  leur appartient d’ en tirer toutes les conséquences nécessaires et en finir à tout jamais avec les utopies velléitaires islamistes synonymes du Grand Fracas tel que le porphétise le Coran.

Nos craintes à tous aujourd hui est que la radicalisation outrancière et jusqu’au-boutiste de l’un n’entraîne la radicalisation réactionnelle de l’autre. Ce sont les Musulmans qui ont la solution au problème islamiste et ce n’est pas en s alignant sous sa bannière au moyen de leurs bulletins de vote qu ils vont pouvoir l’éliminer. C’est plutôt même un vote d’adhésion à la barbarie islamiste. Et comme ils ont été le fer de lance du  fameux printemps arabe, ils ne doivent pas par un vote irresponsable et sectaire à connotatation religieuse on vote pour l’islam et non pour la Tunisie comme le proclame le mouvement sectaire d en nahdha, devenir la risée du monde et plus encore faire de leur pays la figure de proue du terrorisme djihadiste .

Les Tunisiens n’ont pas fait une révolution humaniste et laïque  pour l’offrir en Holocauste aux hydres islamistes . Leur vote doit etre un vote responsable, une condamnation sans appel des crimes terroristes qui ensanglantent le monde. Ils doivent envoyer un signal au monde entier que l’islamisme ne passera pas la Tunisie qui sera sa tombe.

Tout autre votre ne peut que plonger la Tunisie dans les abimes de l’histoire pour en faire une nouvelle Somalie.  Après avoir fait de leur Révolution un symbole du combat pour la fierté et la dignité humaine, j’ose espérer qu’ils ne  vont pas en faire un nouveau symbole de la honte et de l’abjectiion humaine.

Savent-ils aussi que  l’idéologie islamiste est rétrograde, ultra-réactionnaire, synonyme de chaos,  d’insécurité et d’inhumanise ? Saven- ils que cette idéologie est reponsable de l’écrasante majorité d’attentats terroristes de par le monde, l’Irak le Canada, l’Egyte, la Syrie, la Belgique, l’Afghanistan, le Pakistan, Londres, Madrid, Marrakech, la Tunisie elle-même ainsi  que de crimes contre l’humanité avec des massacres massifs et ciblés  des populations comme au Soudan, au Nigéria et ailleurs ?

Sont-ils conscients que par leur vote, ils vont faire de leur pays un sanctuaire terroriste jihadiste et que leur pays figurera sur la liste noire des Etats terroristes ?

Mesurent-ils  les graves conséquences d’un tel vote aux  répercussions multiples et incommensurables tant sur le plan national qu’international. Ils n’ont pas le droit à l’erreur ni de dire qu’ils ont péché par méconnaissance, les urnes sont plus que jamais leurs boucliers, leurs remparts contre l’assaut final que les islamistes se préparent à donner à la Tunisie. Si les Tunisiens ne font pas preuve de convictions politiques et d’un esprit de combat rare il ne leur resetera que leurs yeux pour pleurer sur la tombe de leur si beau ays.

En effet, l’idéologie islamiste est une idéologie velléitaire, nazie et impérialiste engagée dans un  combat planétaire en vue d’assoeir la domination de la loi scélérate et apocalyptique de la Charia sur la terre. Par leur vote pro-islamiste ils vont souscrire à une utopie impériale, coloniale et néfaste qui veut précipiter l’humanité à sa perte.

Sont-ils conscients que les islamistes sont des illuminés et des délirants psychotiques et qui vont enrégimenter  la jeunesse tunisienne en Waffen SS combattants dans le sentier d’Alllah, des djihado-terroristes et faire des femmes des prostituées d’Allah ?

Quant au modèle turc que les islamistes veulent transposer en Tunisie cela me parait relever d’une pure escroqurie intellectuelle et un dol. La Turquie n’est pas un pays islamiste quand bien même elle est gouvernée par des islamistes, elle reste l’un des rares pays au monde avec la France  dotée d une constitution fondamentalement laique et dont la puissante armée en est la gardienne. Les sources de droit turc ne sont pas de droit naturel, elles sont de droit positif. Or, les lois fondamentales tunisiennes sont loin un modèle du genre et si par extraordinaire les islamistes feront main basse sur la Tunisie, la philosophie du nouveau droit tunisien sera de droit divin.  Non seulement leur vote peut etre assimilé à un acte suicidaire, une catastrophe civilisationnelle et sociétale pour eux memes ainsi que pour leurs aspirtions démocratiques et un retour à la barbarie juridique mais  ce vote est également un vote contre la conscience humaine et contre leurs compatriotes épris des libertés. Et ces morts et tous ces estropiés de la Révolution Tunisienne deviennent des martyrs au sens religieux du terme alors qu ils s’étaient sacrifiés pour la liberté, la dignité, la justice et l.

ILS SONT DES COMBATTANTS ET NON DES MARTYRS. LEUR REVOLUTION EST LAIQUE ET DOIT AUGURER D’UN AVENIR LAIC ET REBUBLICAIN DANS LE SENS PLATONICIEN DU TERME. L’AGORA EST AUX HOMMES ET DOIT LE RESTER. UN AGORA PLURIEL MULITICULTUREL ET MULTICONFESSIONNEL. NI CROYANTS NI INCROYANTS TOUS CITOYENS. L ISLAM N’EST PAS UN SYTEME DE GOUVERNEMENT, IL EST UN CULTE RELIGIEUX ET QU IL S EN TIENNE A CE ROLE ET QU IL SE GARDE DE NE PAS PROFANER LA VIE DE LA CITE.

Une Tunisie gouvernée par l’islam est une Tunisie de larmes et de sang.

Les musulmans délirent sur la beauté de l’islam comme des toxicomanes sous l’emprise de leur drogue

L’islam est défiguré par les islamistes c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam est la religion de la paix c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam est une ode d’amour c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam est la sagesse faite religion c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam prêche le bien-vivre ensemble c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam prône l’égalité absolue entre les sexes c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam recommande aux musulmans le respect de la vie humaine c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam accorde les mêmes droits aux non-musulmans que les musulmans c’est les musulmans qui vous e disent
L’islam respecte les droits de la petite enfance c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam condmane le violeur et rend justice à la victime c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam est l’école de l’humilité pa excellence c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam n’a jamais ordonné la décaitation des captifs c’est les musulmans qui vous le disent
L’islam est la sublimation des frustrations sexuelles dans la foi en Allah c’est les musulmans qui le disent
L’islam a fait de la non-violence la voie de la félicité c’est les musulmans qui le disent
L’islam est la plus belle religion jamais donnée à l’homme c’est les musulmans qui le disent
L’islam a fait du libre-arbitre le preimer pilier de ses dogmes c’est les musulmans qui le disent
L’islam n’a jamais menacé de mort ses apostats c’est les musulmans qui le disent
L’islam n’a jamais prétendu que le Coran ne tolère aucun doute c’est les musulmans qui le disent
L’islam pacifie le caractère des croyants et apaise leur coeur c’est les musulmans qui le disent
L’islam n’a jamais encouragé ses fidèles à soutenir leurs frères victimes ou coupables c’est les musulmans qui le disent
L’islam interdit aux pères adoptifs de coucher avec leurs filles adoptées c’est les musulmans qui le disent
L’islam a la paternité des droits de l’homme et du citoyen c’est les musulmans qui le disent
L’islam est l’artisan des plus grandes révolutions humaines c’est les musumans qui le disent
L’islam n’a jamais été une religion suprématiste, hégémonique et ethnocentrique c’est les musulmans qui le disent
L’islam n’a jaais ordonné la laidation de la femme adultère c’est les musulmans qui le disent
L’islam a favorisé le développement des arts et des cultures c’est les musulmans qui le disent
L’islam a sorti les grandes civilisations du néant de l’histoire c’est les musulmans qui le disent
L’islam a mis en valeur les richesses des civilisations des pays conquis c’est les musulmans qui le disent

L’islam n’a jamais fait du musulman un esclave d’Allah c’est les musulmans qui le disent

L’islam n’a jamais promis l’érection éternelle et une rivière de vin à ses fidèles c’est les musulmans qui le disent
L’islam est le culte de la vie et l’élévation de l’âme c’est les musulmans qui le disent.
Les musulmans disent tout sauf l’essentiel, ils ne diront jamais que l’islam apprtient à la même famille que le nazisme et qu’il est la plus grande entreprise de manipullation mentale qui puisse exister. .

Plaidoyer contre une justice qui innocente l’islam et qui condamne les défenseurs de la République

Ceux qui nous critiquent, nous censurent, nous jugent, nous condamnent, nous mettent à l’amende, nous lynchent médiatiquement, qui se font les avocats du diable musulman, que savent-ils de cette religion qui ne l’est pas par rapport à ceux qu’on appelle abusivement les ex musulmans qui connaissent mieux que les législateurs et les juges français la nature nazie et raciste de l’islam.

Plutôt que d’oeuvrer à l’interdiction du Coran et à l’éradication de l’islam ils s’emploient à créer des garde-fous juridiques et jurisprudentiels pour pénaliser toutes les tentatives de mise à nu de cette religion un poison mortel pour l’humanité.

Au nom du respect de la liberté de culte dont se prévalent les musulmans pour imposer subrepticement et insidieusement le leur pour en faire un jour le seul culte pour toute l’humanité, nos juges devenus nos inquisiteurs et les meilleurs avocats de l’islam participent à la plus grande entreprise liberticide de l’histoire des libertés publiques.

Par des décisions de justice iniques, injustes, aveugles et scélérates,  ils restreignet et réduisent en peau de chagrin l’espace des libertés jusqu’au jour où ils auront pris conscience que chaque jugement rendu en faveur de cette idéologie mortifère est un acte suicidaire pour eux-mêmes et pour la république.

Ils ne savent pas ou feignent de le savoir qu’ils sont entrain de tuer les libertés à petit feu à chaque fois qu’ils donnent raison aux ennemis du genre humain ils se font les meilleurs alliés de leur cause sinon leurs collabos les plus zélés.

Une justice qui marque clairement ses orientations idéologiques et confessionnelles ne peut être une justice républicaine. Elle porte en elle tous les germes de la charia. On ne rend pas la justice au nom de la république au profit d’une religion dont le statut de religion est véritable hérésie juridique. Autant octroyer le statut de religion au nazisme et au bolchévisme.

L’islam est tout sauf une religion au sens littéral du terme, il n’est pas ce lien supposé relier les hommes entre  pour donner  du sens à leur unité atour de l’odoration d’un objet vénéré exigeant l’occomplissement de rituels appropriés. Ni cohésion cultuelle, ni code rituel commun à tous les musulmans et pire encore de toutes les religions monothéistes auxquelles il s’apprente il a été celui qui a le plus semé les graines de la discorde, la division et la zizanie entre ses fidèles qu’il maintient dans son giron par la force de l’épée.

Fondé sur des valeurs sectaires, grégaires valables pour les seules tribus arabes à l’antipode des valeurs universelles de paix, de liberté, de justice, d’égalité et du repect des droits de l’homme et des libertés humaines les plus élémentaires, ne reconnaissant aucune auitre justice ni d’autres lois que les siennes et malgré tout cela les juges le couvent de toutes leur attention républicane convaincus que la critique de l’islam qui est  pourtant la condition première, essentielle de toute critique est préjudiciable moralement aux musulmans et par conséquent constitutif d’une atteinte grave et sérieuse à leur foi. Ne se rendant pas compte ainsi qu’ils rétablissent le délit de blasphème et la violation du sacré comme si la France était devenue une théocratie républicaine à l’instar de l’Iran où toute critique de la religion est passible de la peine de mort ou de très lourdes peines de prison.

Le droit positif  dont ils sont les porte-drapeaux n’a pas à se faire le suppôt de la religion et tout particulièrement l’islam quii ne jure que par sa perte. Ils doivent concourir à sa préservation et non pas à sa disparition. L’islam n’est pas une colombe, il est un prédateur féroce jamais insatiable qui n’aura de cesse tant qu’il n’aura pas dévoré l’humanité tout entière. Mais les juges ne semblent guère s’en préoccuper outre-mesure et continuent d’ignorer le danger mortel que fait peser l’islam sur la pérennité de l’humanité.

Supposés être les dignes héritiers de Hegel ils ont pris résolument le parti de l’irrationnalisme juridique garant des religions et fossoyeur des libertés prélude du déclin des sociétés démocratiques. Il serait temps pour eux avant que l’islam ne devienne l’ordre juridique formel pour la France qu’ils se plongent ou se replongent dans la lecture de Karl Marx dans sa Contribution à la Critique de la Philosophie du Droit de Hegel et méditent sur ce passage : « La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle, et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.

Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple. Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole.

La critique a effeuillé les fleurs imaginaires qui couvraient la chaîne, non pas pour que l’homme porte la chaîne prosaïque et désolante, mais pour qu’il secoue la chaîne et cueille la fleur vivante. La critique de la religion désillusionne l’homme, pour qu’il pense, agisse, forme sa réalité comme un homme désillusionné, devenu raisonnable, pour qu’il se meuve autour de lui et par suite autour de son véritable soleil. La religion n’est que le soleil illusoire qui se meut autour de l’homme, tant qu’il ne se meut pas autour de lui-même. »

Plus prosaïquement ont-ils été eux-mêmes des anciens adeptes de l’islam et qui un jour dans un pur réflexe humaniste ont pu se libérer de son joug sans mettre en péril leur vie pour pouvoir juger de son innocence et de l’humanisme de ses dogmes ?

Ont-ils été des observateurs de l’intérieur du monde musulman pour savoir ce que réelement les musulmans pensent d’eux ? Qu’en savent-ils de plus par rapport à nous autres qui avons baigné comme un poisson dans l’eau dans les eaux polluées de l’islam mais qui ont eu de la chance de ne pas en avoir été contaminées ou qui ont réussi à s’en sortir grâce à leur libre-arbitre ? Savent-ils qu’en nous opposant les lois antiracistes de la république qu’ils leur tendent le glaive avec lequel ils vont les décapiter ?

Qu’ils sachent qu’à chaque fois qu’ils condamnent un enfant de la république soucieux de la préservation de ses valeurs est un acte d’allégeance à l’islam et plus encore un coup mortel à la république elle-même.

Toute jurisprudence en faveur de l’islam est une nouvelle consécration de la main mise des musulmans sur la France. On ne rend pas justice aux musulmans comme on rend justice aux bouddhistes.

L’islam est une religion sans morale pour des êtres immoraux

Forniquer, violer, abuser sexuellement d’enfants pré pubères, incendier, faire de l’élevage sexuel sous couvert d’adoption, terroriser, racketter, décapiter, lapider, kidnapper, rançonner, vitrioler, pratiquer la nécrophilie et la zoophilie, trahir, voler les « infidèles » c’est permis,  brader le pays, brûler le drapeau national, piétiner les codes républicains,  appels au meurtre des « mécréants », prier dans les rues, s’envelopper dans son linceul,  faire l’apologie du djihad et de l’antisémitisme, razzier, profaner les tombes, prêcher la haine du juif, du chrétien et du démocrate dans les mosquées, appeler au meurtre des démocrates, assassiner, envoyer des filles mineures en Syrie pour servir de putes halal afin de satisfaire les bas instincts des terroristes, partouzer halal, donner sa femme en offrandes aux escadrons de la mort, ce n’est ni un crime ni un délit aux yeux des gouvernements occidentaux comme musulmans qui eux-mêmes organisent des filières terroristes et servent de proxénètes pour l’occasion.

  • Tout ceci n’a rien de choquant outrageant un  pour les bonnes âmes musulmanes du pays qui versent leurs larmes de crocodiles quand leur ignoble figure tutélaire est soi-disant caricaturée, ridiculisée, mais ça le devient quand homme entretient une relation sexuelle avec une personne majeure et consentante du même sexe que lui. Le partenaire sexuel chez les musulmans est celui qui se soumet sans broncher à ses désirs. Un musulman s’accopuple avec un être humain, comme avec un corps inerte ou un animal, il n’a pas à tenir compte de sa volonté. Hypocrite et cul-bénit il prêche il se drape dans sa vertu et s’adonne à la luxure. C’est un déviant sexuel né qui trouve une légitimiaton à ses pulsiuons dans sa religion ele-même qui fait boffice de facteur déshinbiiteur. Elle libère ses bas instincts de toutes contraintes morales et sociétales.
  • Plus les musulmans se voilent la face, plus ils essayent de soustraire du regard de l’humanité les traits hideux de leurs perversités sexuelles et leur amoralité qui merquent leurs visages. Elles ne sont ni puritaines ni rigoristes, elles se cachent d’elles-mêmes. Elles ont peur dassumer leur identité sexuelle non-conformiste  éprouvant une véritable aversion à tout ce qui les renvoie à leur véritable nature. La morale musulmane est un pur fantasme, une illusion d’optique, un trompe l’oeil pour induire l’observateuir étranger en erreur et qui lui  laisse croire que ces sociétés musulmanes  sont un modèle exemplaire en ce qui concerne l’ordre moral. Ce n’est rien d’autre qu’un rideau qui cache les coulisses d’un théâtre des regards des spectateurs. Quand une religion veut régler dans ses moindres petits détails la ve intime de ses disciples cela en dit long  sur sa nature voyeuriste, sur l’hyper-sexualisation de son message soi-disant sacré et son caractère profondément exhibitionniste. De tous les systèmes de croyance qui puissent exister, l’islam est le seul à avoir codifié les rapports sexuels et fixé un cadre dans lequel lesdits rapports peuvent ête accomplis. Il est permis d’entretenir toutes sortes de relations de l’humain à l’animal en passant par les corps sans vie des femmes de même qu’avec les djinns. Les musulmans iont beau se proclamer homophobes et condamner les homosexuels, ils sont certainement les peuples au monde qui s’adonnent aux pratiques homosexuelles à cause du cloisonnement sexuel de leurs sociétés qui favorisent la promiscuité entre les personnes du même sexe qui trouvent aussi ses origines dans les abus sexuels dont ils sont souvent victimes pendant leur enfance de la part des imams et leurs institeurs quand ce n’est pas des membres masculins de leurs familles. Le mêmeraisonnement prévaut aussi bien pour leurs femmes qui vivent dans leur tour d’ivoire en vase clos qui ont beau partager les faveurs sexuelles d »un même mâle s’ennuient et manquent cruellement de tendresse et n’ont pas d’autres moyens pour s’évader et combler leur vide affectif  que de se livrer à une activité sexuelle entre elles.
  • Un saoudien tué par un âne pour avoir tenté d'abuser sexuellement de lui
  • On ne saurait dire qu’avec leurs pratiques zoophiles, pédophiles, incestueuses  et nécrophiles, voire démoniaques  les musulmans  ont une morale sexuelle et que les interdits et tabous sont leurs atouts-majeurs.  Quand bien même ils pourraient le revendiquer il n’en demeure pas moins qu’ils seraient à contre-courant de sont de leur innommable idôle atteint du démon du midi à la cinquantaine qui forniquait avec des femmes de 7 à 77 ans, violant les femmes captives, impudique, incapable de contrôle sa fougue sexuielle, allant même jusquà nobliger son fils adoptif à répudier sa femme afin qu’il puisse abuser de ses charmes. Bel étalon sexuel qui fait la fierté de ses adorateurs qui sont tout heureux de louer ses performances sexuelles hors du commun qui seraient selon eux un don d’Allah qui aurait honré une centaine de femmes en une seule nuit.
  •  Dans les sociétés musulmanes qui ont érigé la tartufferie en norme sociale inscrite en lettres d’or dans leur code de bonne conduite. la morale religieuse musulmane qui  est l’école du vice par excellence sous couvert du sacré fait force de loi et la morale républicaine est un sacrilège qu’il faut abolir car il constitue une entrave aux libertés des moeurs barbares dans l’islam. Autrement dit tous les crimes et forfaits qu’ils soient sexuels ou non accomplis au nom de la religion sont licites et toutes les libertés humaines sont illicites.
  • https://www.youtube.com/watch?v=lDrfwVt1qQA
  • Et dire que le prophète lui-même était un obsédé sexuel patenté auquel tous les musulmans aspirent de lui ressembler. Tout donne à croire, pour perpétuer la tradition, il vaut mieux avoir des penchants pédophiles aussi bien pour les filles comme pour les garçons, les gholmanes, que d’avoir une orientation homosexuelle.
  • 11 avril 2013h

Avec l’affaire de M6 les tunisiens ont montré qu’ils ont l’indignation sélective

Je ne comprends pas pourquoi les tunisiens font tout un ramdam et se scandalisent pour l’émission de M6 comme si c’était un acte infamant à leur égard, alors que depuis bientôt 4 ans ils semblent s’accommoder parfaitement de la confiscation de leur révolution par Ennahdha qui a ruiné le pays et qui sera de nouveau plébiscitée.

S’ils avaient réellement le souci de leur pays qu’ont-ils fait pour dissoudre l’ANC, mettre fn aux  frasques insolents et indécents eet aux agissements criminels,  irresponsables et antipatriotiques de Marzougui agent qatarien notoire ?

Ont-ils traduit Kamel Jendoubi l’homme de tous les malheurs de la Tunisie  pour haute trahison et abus de confiance  ?

Quand on a l’amour de la Tunisie en soi on ne laisse pas propspérer le pillage en règle des caisses de l’Etat.

Qu’ont-ils fait ces tunisiens auxquels M6 leur a offert l’occasion de redorer leur blasoin terni par leur inaction pathologique pour réclamer l’extradition du clan mafieux de Ben Ali ? Contre toute attente, ils sont entrain de réhabiliter Mazri Haddad son aboyeur de service aveuglé par sa haine obsessionnelle des tunisiens et d’adouber Znaidi pièce maîtresse de l’ancien régime comme candidat aux élections présidentielles.

Quand on a le sens de la dignité et de l’honneur, on dénonce et on combat les dérives djihado-terroristes de leurs enfants qui jettent un réel discrédit sur leur pays,

Quand a la justice chevillée au corps on ne laisse pas courir en toute impunité les assassins de Chokri, Mohmed, Lotfi et de tous les autres dont leurs soldats.

Se sont-ils indgnés par l’apologie du terrorisme sur les plateaux  des télévisions locales ? Non !

Aboyer sur les réseaux sociaux ça ne coûte rien et ça fait classe mais aller au combat pour sauver leur pays c’est trop leur demander. Qu’ils commencent par balayer devant leur porte au lieu de vouloir lyncher M6; Si la Tunisie se trouve aujourd’hui dans les fonds abyssaux de l’histoire, c’est à cause des tunisiens eux-mêmes. C’est leur inertie, apathie et indifférence qui ont servi de caution morale à M6.

Tellement suffisants, arrogants, fanatiques et imbus de leur personne qu’ils ne se rendent pas compte que c’est leur propre silence qui est le meilleur agent de propagande de la Troïka. Comme le dit si bien un proverbe tunisen, qu’elles sont laides mes tares quand je les découvre chez autrui.

M6 a fait son travail les tunisiens n’ont jamais fait le leur pour sauver leur pays du naufrage.

Sans leur comportement irresponsable et déloyal pour leur pays M6 n’aurait jamais diffusé une émission qui empeste les odeures pestilentielles qatariennes celles-là-mêmes que les tunisiens respirent à pleins poumons depuis la chute de Ben Ali. Le seul tort de M6 est d’avoir réactivé ces odeurs qui leur rappellent leur propre faillite et incapacité de dépolluer leur pays.

Hitler voulait faire de l’Allemagne la maîtresse du monde, Ghannouchi veut faire de la Tunisie une terre du djihad

Les défilés gigantesques d’Ennahdha dans les rues tunisiennes ne sont pas sans rappeler ceux des nazis dans les années 30. En effet, depuis quelques jours les tunisiens sont bombardés par de véritables démonstrations de force aux allures miltaires visant à les intimider et les démoraliser en leur donnant l’impression que tout le peuple est derrière Ennahdha et que rien ne peut aller à l’encontre de la volonté populaire dont elle est le porte-drapeau et le symbole de sa renaissance. Le salut de la Tunisie viendra d’elle ou nne viendra jamais. Un salut qui ne sera rien d’autre que la ruine du pays et l’infâmie qui frappera ce peuple qu’on disait épris de paix à cause de la ré-islamisation galopante du pays qu’Ennahdha ménera en toute liberté démocratique. Hitler avait nazifié l’Allemagne en moins d’une génération, le terroriste jamais repenti Rached Ghannouchi ré-islamisera la Tunisie dans le sens de nazifier en un temps record grâce au substrat culturel tunisien fortement imprégné de totalitarisme, de violence, d’intolérance, d’antisémitisme, de racisme, d’antipatriotisme, vénalité et de fanatisme.

Ennahdha diabolique et manipulatrice mais qui manque toutefois d’originalité et d’ingéniosité ne fait que reproduire la stratégie du N.S.D.A.P. dans sa conquête du pouvoir. Occuper chaque pouce du terrain comme s’il était une victoire arrachée à l’adversaire qui se fait de moins en moins présent et de plus en plus invisible. Maîtresse du terrain en attendant de devenir maîtresse absolue par les urnes. Avec des adversaires absents du terrain et d’ores et déjà résignés par leur défaite, il restera aux réfractaires le choix entre le ralliement ou l’abstention.

En bombant la torse pour bluffer l’opinion publique Ennahdha ne fait plus aucun mystère de ses orientations fascistes et nazillonnes. Les tunisiens ont plus que jamais leur destin politique en main s’ils ne veulent pas voir leur pays se fondre dans le futur Califat sous la houlette d’Erdogan.

Les tunisiens n’ont plus le choix pour contrer Ennahdha dans ses desseins sombres pour l’avenir du pays, l’union totale de toutes les forces pâtriotiques du pays.
Si les tunisiens qui depuis bientôt quatre ans semblent totalement inertes, tétanisés, pétrifiés, indifférents au sort de leur pays,  veulent faire gagner Ennahdha qui n’aura aucune difficulté pour mobiliser ses partisans comme tout mouvement populiste, il n’ont qu’à persister dans la voie qui est la leur à savoir la dispersion et l’abstention comme lors du scrutin du 21 octobre 2011 nonobstant le trucage inévitable des urnes avec une ISIE au service d’Ennahdha.

Les tunisiens pourront toujours ainsi se consoler en faisant évoluer le statut de leur pays, d’une terre de prédication à une terre du djihad et d’apprendre au moins avec la victoire d’Ennahdha qui se dessine à l’horizon à conjuguer le futur au passé et à regretter si ce verbe a du sens pour eux d’avoir sacrifié leur pays sur l’autel du nazislamisme à cause de leur absence de patriotisme et de solidarité nationale.

Aujourd’hui ils sont conviés aux processions mystico-militaires à la gloire de l’islam et de sa voie jonchée de cadavres et arrosée de sang hummain, demain ils auront les autodafés et les pogroms à leur menu quotidien.

La Tunisie n’est pas et ne sera jamais l’Allemagne pour pour pouvoir espérer un jour renaître de ses cendres, elle finira ensevelie sous ses propres décombres. En croyant devenir le fer de lance de l’islam conquérant et renaissant loué par Ennahdha aux masses frustrées et désoeuvrées et alléchées par l’érection éternelle et vin coulant à flot, elle ne se rend pas compte qu’en se laissant séduire par les chants de sirène de Ghannouchi qu’elle a confondus, sourde qu’elle est, avec les aboiements des chiens hurlant à la mort.

En faisant le choix de la secte de la barbarie humaine, elle signe elle-même son propre arrêt de mort.

La LICRA et son déni du péril communautaire islamique

Quand on veut enfumer l’opinion publique et la manipuler il n’y a pas mieux qu’un sondage dont le but est surtout d’apporter de l’eau au moulin de ses commanditiaires qui en font ainsi un argumant qui se veut implacable pour travestir la réalité tel ce sondage  de l’Opinion Way commandé par la L.I.C.R.A. ce qui en dit long sur l’objectivité de cette enquête, laissant croire que la montée du communautarisme est un mirage, un sentiment mais qui ne correspond pas à aucune réalité sauf pour enterrer la vérité. « La majorité des sondés soit 83%,[ mais lesquels et sur quels critères nt-ils été choisis ?] n’ont pas le sentiment [ ce qui reste aléatoire] d’appartenir à une communqauté spécifique selon ses origines 86% des Français n’ont pas ce sentiment du fait de leur religion. Et parmi les 17% de Français qui estiment appartenir à une communauté, 20% se décrivent comme… «français» et 12% comme «Français de souche. »

Comme le rappelle à juste titre :« Les statistiques, c’est comme le bikini. Ce qu’elles révèlent est suggestif. Ce qu’elles dissimulent est essentiel.  »

Elles ne doivent par conséquent tromper personne, elles n’ont jamais été  non plus une science exacte et encore moins les analyses et interprétaions qu’elles livrent ont  toujours la signification qu’on veut bien leur faire donner.  Elles ne parlent pas d’elles-mêmes on leur fait dire ce qu’on veut bien leur faire dire surtout quand leurs publications interviennent dans un contexte de peur et de frayeur suscitées par les radicaux musulmans qui bénéficient de l’approbation tacite de leur majorité silencieuse qui serait devenue par la magie de ce sondage idéologiquement marqué plus soucieuse des valeurs de la république.

Les sondeurs auraient dû d’abord définir qu’est-ce qu’être français aujourd’hui ? Est-ce que tous les sondés sont des ressortissants français ? Ont-ils inclu dans leur échantillon une part représentative de la poulation étrangère en France qui est majoritairement musulmane ? Quant aux types de questions qui leur ont été posées impossible d’en trouver la trace ? Ce sondage qui se veut rassurant et cherche à tordre le cou à mon humble avis aux soi-disant idées reçues sur l’existence du communautarisme tout particulièrement musulman ne doit tromper personne. Rien dans le comportement observé sur le terrain ne plaide en faveur de la volonté des musulmans de s’inscrire dans une dynamique républicaine. Les valeurs de leur religion qui sont incompatibles avec la laïcité et les lois de la république sont plus que jamais leurs préoccupations majeures. La question qui aurait dû leur étre posée aux sondés toutes religions et convictions politiques confondues à choisir entre leur religion et la France que choisiraient-ils ?
En effet, il est douter que les musulmans s’affirment majoritairement républicains à moins qu’ils ne soient tous des apostats. S’ils étaient aussi attachés aux valeurs de la république pourquoi se sont-ils murés dans leur silence pour condamner la décapitation d’Hervé Gourdel cet enfant de la république qui se serait la leur ? Savent-ils que chaque menace de mort adressée par leurs frères djihadistes aux français et chaque assassinat d’un français sont avant tout drigés contre la république et que font-ils de concret pour exprimer leur désapprobation et leur indignation ?
Ce sondage est une contre-vérité qui ne peut que servir la cause de ceux qui oeuvrent dans les coulisses des médias et des associations anti-racistes à la destruction des vaeurs de la république. Quand on a la république dans la peau on ne se voile pas la face ni arborer un quelconque signe ostentatoire pour marquer son appartenance à sa religion;
Quand bien même leur nombre serait infime mais beaucpup plus signifiant qu’il y a quelques années et qui au rythme de sa progression actuelle le péril communautariste est le vrai danger qui guette la république.
Les sondeurs ne semblent pas tenir compte du fait qu’en minimisant ce péril ils ne font que le renforcer en voulant faire baisser la vigilance des français qui doutent que les musulmans aient des vertus républicaines et pire encore la returner contre ceux qui luttent pour la survie de la réublique.
Les nazis étaient aussi minoritaires à leur début, mais ils ont fini par faire gagner la majorité des allemands avec ou contre leur gré à leurs idées. Pourquoi les partisans du communautarisme musulman poison mortel pour la république en seraient-ils l’exception quand on connait leur force de persuasion tirée du Coran lui-même.

L’heure est grave et la France ne fait rien contre la gangrène djihado-islamique

Que la France commence d’ores et déjà à prendre des mesures concrètes pour endiguer le fléau djihado-terroriste et mettre les musulmans face à leurs devoirs citoyens : déchoir de la nationalité française ses ressortissants djihadistes,
renforcer la loi antiterroriste en aggravant les peines de prison,
faire pression sur les pays pourvoyeurs de djihadistes en leur coupant les aides au développement, suppression des visas, inscription sur la liste noire des pays terroristes
geler les avoirs financiers des pays bailleurs de fonds des djihado-terroristes mais je doute qu’elle ait assez de cran pour le faire
nettoyer les cités de la pègre islamiste
ferméture de toutes les mosquées radicales
interdire la vente des ouvrages religieusx de cractère prosélyte et violent
interdire le port de voile aux filles mineures en suspendant les allocations familaiales à leurs parents si besoin est
encadrer et mettre sous surveillance l’enseignement de l’arabe dispen,é par les associations qui servent de véritables couvertures pour la propâgande salafiste
renforcer et limiter l’accès à la nationalité française aux musulmans qui doivent témoigner plus que quiconque de leur engagement républicain, car un musulman est d’abord un fidèle à sa religion avant d’être citoyen de tel ou tel pays
-réformer le droit du sol en supprimant l’automaticité des liens entre nationalité et lieu de naissance
organiser des véritables stages citoyens afin d’évaluer le degré de l’attachement des musulmans à la république française
Exiger des théologiens musulmans d’expurger le Coran de ses versets sexistes, violents, racistes, antisémites, totalitaires, liberticides,
supprimer la double nationalité
expulser les ressortissants étrangers qui mènent des campagnes hostiles à la république sur e sol national
rétablir la laïcité dans toutes les écoles pour en finir avec l’halisation galopante
imposer aux musulmans un pacte républicain
interdiction formelle des prières des rues
interdire le port de voile et des kamiss dans les universités
arrêt des constructions de mosquées tant que les musulmans continuent à bafouer les règles du bien vivre ensemble et ne font rien pour manifester de leur réelle volonté de se démarquer de la barbarie des leurs, avec l’affaire de la décapitation de Gourdel ils ont clairement choisi leur camp celui de l’islam qui concourt à la destruction de la république
revoir de fond en comble la politique carcérale en reprenant en main le recrutement des aumôniers et le contrôle des livres religieux
en circulation dans les prisons
contrôler les prêches de vendredi dans les mùosquées
créer de véritables centres de formation des imams sous le contrôle conjoint du ministère de l’ntérieur et celui de l’enseignement supérieur
retour de l’Etat dans les zones de non-droit islamiques

Quand Facebook devient un tribunal de l’inquisition islamique pour décapiter la liberté d’expression

Le blogueur saoudien Raef Badaoui a survécu aux 50 coups de fouet

Voici ce qui attend demain les libres penseurs soumis aujourd’hui à la censure inquisitoriale facebookienne

Il ne passe plus un jour sans que la censure facebookienne ne décapite mes publications et me mettent à chaque fois en quarantaine. Encore aujourd’hui je viens de faire l’objet d’une nouvelle fatwa de Facebook m’interdisant de publier et de partager mes articles sur son réseau. Toujours le même verdict :  » nous avons décidé de supprimer l’une de vos publications car elle contrevient aux standards de notre communauté ». Jamais vous ne saurez en quoi leurs règles de bonne conduite morale à supposer qu’ils en aient, ont été violées ni qu’ils vous donnent le droit à la parole. C’est un verdict sans appel. On juge et on chârtie.

Les droits de la défense est un concept inconnu dans la justice liberticide de Facebook. Il a été décidé arbitrairement et uniatéralement ainsi et force doit rester à la loi facebookienne qui ressemble étrangement à la charia, la loi scélérate et mortifère islamique.

Il suffit désormais que des musulmans  qui se font silencieux quand il s’agit de condamner les décapitations à grande échelle de l’E.I. manifestent leur ire à cause  du caractère peu flatteur d’un article pour l’image de leur religion qui est source pourtant du pire cauchemar de l’humanité pour que facebook s’exécute avec le zèle d’un esclave pour son maître au mépris du droit inaliénable à la liberté d’expression et au droit à la critique d’une religion fusse-t-elle l’islam qui ne doit pas bénéficier d’un quelconque traitement de faveur et de passe-droit mortel à terme pour les libertés politiques fondamentales. A force de censure et de condamnations iniques, le champ des libertés se rétrécit chaque jour en France pour céder la place à l’emprise grandissante de l’islam sur le contrôle de la pensée qui ne peut plus s’exprimer en toute liberté à cause des barbelés érigés ici-et-là pour empêcher loute manifestation  épistolaire critique de l’islam. L’islam est en train de réussir inexorablement son O.P.A. sur nos droits fondamentaux. Bientôt la vie publique sera soumise au plein contrôle de la censure islamique pour se transformer non pas en Goulag mais en camp de la mort pour les libres penseurs.

Facebook plus imprégné de la négation de la liberté dans l’islam a l’excuse de ne rien connaître à la philosphie kantienne de la liberté d’expression  qui est indispensable à la liberté de pensée et plus encore le liquide rachidien de la démocratie: « Certes, on dit : la liberté de parler, ou d’écrire peut nous être retirée par un pouvoir supérieur mais absolument pas celle de penser. Toutefois, quelles seraient l’ampleur et la justesse de notre pensée, si nous ne pensions pas en quelque sorte en communauté avec d’autres à qui nouscommuniquerions nos pensées et qui nous communiqueraient les leurs ! On peut donc dire que ce pouvoir extérieur qui dérobe aux hommes la liberté de communiquer en public leurs pensées, leur retire aussi la liberté de penser »

Facebook ne doit pas savoir que la liberté d’expression est protégée par le droit international

Elle est citée à l’article 19 de la Charte Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948, ignorée par les pays dont il se fait aujourd’hui le plus ardent procureur comme suit :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Nous n’avons pas fait en France une Révolution pour se libérer du joug d’une religion  autrement moins génocidaire et concentrationnaire que l’islam pour lui substituer aujourd’hui la dictature de cette religion créée par un être sans foi ni loi, un personnage dévergondé, pédophile, incestueux, zoophile, assassin, chef de meute, épouvantable, cruel, terrifiant et sans morale pour des tribus oisives, divisées entre elles, vandales, destructrices, dévastatrices, velléitaires, qui se livrent des guerres acharnées, se haïssant à mort, vivant de butins et de pillage. Et comme le résume si bien Kamal Atatürk :

« Depuis plus de cinq cents ans, s’écriait-il dans ses moments de colère, les règles et les théories d’un vieux cheik arabe (Mahomet), et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle.

Elles ont réglé la forme de la Constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes.

L’Islam, cette théologie absurde d’un Bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »

Les censeurs facebookiens aux ordres de l’islam auront un jpur à le regretter si jamais les décapiteurs musulmans leur laissent une chance d’avoir péché par naïveté en es^pérant que ce soit pas par pure cupidité et esprit vénal.

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Et dire qu’il y a encore des voix en Tunisie qui défendent l’ex Néron Ben Ali

M6 a bien raison d’envoyer cette grosse piqûre de rapel aux tunisiens quant aux fastes et frasques grandioses de la mafia benalienne.
Sa propriété d’Hammamet a battu tous les records de l’insolence et du gigantisme. Même le Sultan de Burneï n’aurait pas fait mieux : 11000 m2 de surface habitable, 332 chambres, une piste d’atterrissage, un mini port de plaisance, une collection de voitures haut de gamme et 50 000 objets de collection pour un coût total de 400 000 000 €. Une somme vertigineuse aux frais du pauvre contribuable tunisien.
Et malgré les évidences son petit clébard continue à aboyer comme un chiot enragé : mon seigneur et maître est innocent et les « gueux » tunisiens, n’avaient aucune raison de dégager Ben Ali. Venant de la part d’un fayot, une girouette notoire, un mec aigri, terne et sans saveur et qui se complait dans son nouveau rôle de vierge effarouchée avec un culot monstre de vouloir faire passer son Néron de patron pour victime des « hordes sauvages » tunisiennes alors que ce porte-crachoir devrait lui-même répondre de ses actes pour complicité de crimes économiques contre le peuple tunisien voire éventiuellement bfaire l’objet d’une enquête judiciaire sur les biens acquis depuis son ralliement à Ben Ali.
Sa rancoeur à l’égard de ce peuple est à la mesure de la perte certainement de ses propres privilèges et avantages acquis fruit de son assujettissement au pouvoir antipatriotique et liberticide de Ben Ali.
Il lui est plus facile de déverser sa haine jamais ravalée depuis la fin du règne de son maître que de faire sa méa-culpa. Faire son autocritique, se remettre en question avouer ses erreurs passées ne sont pas à la portée de tout le monde et en aucun cas à la portée d’un individu à l’égo tellement démesuré qu’il a eu l’outrecuidance d’exiger à ce que le peuple tunisien lui fasse la courbette, un art où il avait excellé quand il naviguait entre plusieurs eaux. De Mzali à Ben Ali et de Ghannouchi à Marzougui.
Il a essayé dernièrement de flirter avec Kamel Morjane et B.C.E. mais sans succès. Quand on est fidèle à ses idées on suit une seule voie et ne jamais les monnayer auprès du plus offrant.
Je regrette personnellement d’avoir été le premier à lui avoir tendu la perche quand il était au fond du gouffre,passant outre mes principes moraux. J’avais estimé qu’il était de mon devoir de venir au secours d’un ami et de l’aider à se relever. Aujourd’hui je m’en mords les doigts de l’avoir remis en scelle surtout après l’épisode du plagiat.
La gratitude n’est pas sa vertu première que puis-je attendre d’un homme qui ne rate pas une occasion pour salir la mémoire des victimes de la répression sauvage de son seigneur et maître. Ce ne sont pas des martyrs pour lesquels on lui demande maladroitement de compâtir, ce sont des femmes, des hommes et parfois des adolescents qui ont affronté la milice de Ben Ali les mains nues mus par leurs seuls idéaux de justice, de dignité, de liberté, de leur soif du travail et d’équité.
Ils ne partageaient pas ses valeurs ni n’adhéraient à son code moral à supposer qu’il en ait. Le leur était celui qui avait mis fin à 23 ans d’injustice sociale, de corruption, de népotisme et de privilèges erxorbitants dont il était bénéficiaire. Ces victimes sont entrées dans l’histoire de la Tunisie la tête haute, elles n’ont pas vendu leur; âmes au régime sanguinaire et féodal de son maître.
Il n’y a pas de quoi en faire une gloriole d’avoir a eu à connaître son heure de gloire chichement payée aux détriments du peuple tunisien ruiné, traumatisé et rendu exsangue par la pire mafia de l’histoire universelle dopnt il était un vulgaire faire-valoir. Il pourra toujours persister et signer dans ses délires négationnistes et hystériques qui ne convaincront personne même pas lui-même mais quoi qu’ils fassent il ne pourra jamais récrire l’histoire de la révolution tunisienne et effacer d’un seul trait de plume nauséabonde la page sinsitre dans l’histoire de la Tunisie de l’ére de son maître. Il peut continuer à nier les évidences comme le montant de la fortune de 15 milliards de Ben Ali qui serait en-dessous de la vérité c’est une paille. En effet, elle représente presqu’une année de PIB tunisien. Quand on un minimum de décence intellectuelle on se tait à tout jamais.

La Tunisie vassale de l’Etat Islamique ?

Vous tunisiens musulmans achetés par Allah à vil prix, ses voies arrosées de sang humain et jonchées de cadavres sont votre votre seul salut céleste. Elles vous sont acquises si vous suivez ces quelques principes de la charia ou shariah, la loi islamique ou la loi de Dieu et ce sera votre passeport pour son Paradis perdu dans les méandres de ses promesses farfelues et ubuesques et qui n’engagent que les cupides et veules de votre espèce.

Ci-après des extraits du programme portant son sceau tel qu’il ressort de ma lecture du programme politique des islamonazis tunisiens regroupés au sein du mouvement de la renaissance de l’islam, Ennahdha, représentante locale de Daech, dont la mission est d’oeuvrer à la réussite de l’intégration intégration de la Tunisie dans le nouvel Etat Islamique prélude de la réinsttauration du 6 e Califat sous l’égide d’Erdogan. 

Les femmes doivent obligatoirement  obtenir l’autorisation du mari pour les moindres petits actes de la vie ou à défaut celle d’un membre mâle de sa famille

Battre la femme désobéissante et les filles.

Exécution des homosexuels.

Restaurer la polygamie et la répudiation

Suppression des mariages civils et des divorces

Impunité pour les crimes d’honneur

Modifier les règles de calcul pour le prix du sang pour le dédommagement des familles en fonction du sexe de la victime

Interdiction de voyage aux femmes àgées de moins de 80 ans

Une femme n’a plus le droit de choisir son conjoint

Octroi de la nationalité tunisienne à tous les musulmans résidents sur son territoire

Suppression du drapeau et de l’hymne nationaux

Ouverture des frontières aux djihadistes du monde entier

Ferméture des bibliothèques publiques

Destruction des livres qui ne sont pas d’essence islamique et déclarer illicite la culture occidentale ( boko haram)

Ouvrir des camps d’entraînement partout en Tunisie pour le djihad

Développer la construction des mosquées avec un objectif d’une mosquée pour 1000 habitants

Prohibition de la vente d’alcool et favoriser la consommation du cannabis herbe naturelle don d’Allah

Aménager devant chaque mosquée un espace dédié aux lapidations, crucifixions-décapitations

Déclarer le Coran comme seule loi fondamentale du pays

Bannir le mot travail du vocabulaire, un musulman n’est pas été créé par Allah pour subvenir à ses besoins il est né pour mener le djihad pour la bonne cause de son propriétaire en l’occurrence Allah

Punir de peine de mort les partisans de la culture Amazigh

Organiser des concours hebdomadaires de récitation du Coran dans tous les stades du pays

Interdiction aux femmes de pratiquer une activité sportive

Rétablissement de l’esclavage dans toutes ses formes dont l’esclave sexuel dans le pur respect des lois islamiques

Tout musulman de sexe masculin  qui fantasme pendant ses rêves sur la femme de son ami, frère, voisin, ou frère en religion est en droit de la marier après l’avoir fait répudier par son mari à la façon de Mahomet avec son fils adoptif Ziad

Voile intégral obigatoire de couleur foncée pour toutes les musulmanes dès l’âge de 2 ans

Favoriser  les mariages orfi, muta’a et mayssar

Quatre témoins masculins pour prouver le viol d’une femme et de tout enfant mineur

6 témoins femmes pour témoigner d’un accident, d’un crime ou un délit

Lapidation des femmes adultères

Interdiction aux femmes de conduire à cause des risques de stérilité

Interdiction aux femmes de se baigner car la mer a une signification phallique

Obligation du djihad armé pour tout musulman âgé de plus 7 ans

Obligation du djihad du nikah pour les musulmanes dès la pré-puberté

Amputation des membres du corps pour des infractions pénales.

Décapitation des apostats

L’exil ou l’islam pour les non-musulmans

L’excision  obbligatoire

Distribution gratuite du Viagra  dans les mosquées lors de la grande prière du vendredis

La peine capitale pour ceux qui calomnient l’islam ou l’insultent.

Condamnation à mort des laïcs et des militants des droits de l’homme

Déclarer illicite la musique, le théâtre, la création artistique et ferméture de l’Ecole des Beaux Arts

Baisser l’âge nubile au mariage pour les filles entre 6 et 9 ans pour suivre l’exemple d’Aîcha

Octroi du statut de sous-homme aux chrétiens et aux juifs, connu sous le nom dhimmitude.

Introduire dans les programmes scolaires l’enseignement de la Taquiyya: Un musulman peut mentir ou tromper les autres pour faire avancer la cause de l’Islam.

Un programme politique absolument révolutionnaire estampillé Daech et dont la mise en oeuvre sera menée par Ennahdha. Il revient ainsi aux électeurs tunisiens de le plébisciter en votant pour cette dernière. Gageons qu’il ne manquera pas de séduire la majorité musulmane du pays éprise de la Charia.

 

Les musulmans et leur phobie pathologique de la critique de l’islam

De plus en plus j’entends ici et là  que je m’acharne sur l’islam et que je froisse les pauvres musulmans épris de paix et d’amour, comme si les partisans du nazislamisme avaient des vertus humanistes, et de ce fait je mérite d’être poursuivi pour incitation à la haine des musulmans. Comment peut-on confondre musulmans et groupe ethnique ? A moins que l’on veuille consacrer la notion d’Oumma si chère au coeur de tous les musulmans dans le droit positif. Il est plus facile aux pères fouettards de lyncher les auteurs des écrits hostiles à l’islam et qui sont pourtant des mises en garde sur la haute toxicité de l’islam que de condamner les atteintes aux ibertés dans les pays musulmans et plus encore dénoncer les actes de barbarie des mususulmans et  les incitations aux crimes contre l’humanité du Coran. Ces personnes font surtout de leur lâcheté et leur peur des arguments de censure.

 Elles me reprochent toutes mon hostilité irréductible à l’islam, sans rien comprendre aux raisons profondes qui font partie de ma liberté de conscience et d’opinion et qui motivent par conséquent mon rejet de l’islam en tant que système idéologique totalitaire, ultra réactionnaire, ethnocide et son caractère sectaire et hégémonique. .

En effet, l’islam qui se veut dine, dawla et donia, ce que mes censeurs incultes, fanatiques, aveuglés par leur haine d’eux-mêmes, illettrés analphabètes, ignorants tout du Coran, des hadiths et de la sira, ne savent pas pas que cette religion qui est en réalité une idéologie totalitaire apprentée au nazisme, ne se contente pas de son seul statut de religion, elle  veut régir la vie des hommes dans ses moindres petits détails, poursuivant des desseins hégémoniques, se projetant comme  un nouvel ordre mondial pour tous les hommes et un modèle politique pour la vie de la cité. C’est lui-même qui en voulant quitter le champ du « sacré » pour envahir le champ du profane auquel il veut imposer ses propres normes et sa vision barbare de monde qui suscite en immanquablement la riposte virulente de certains d’entre nous.

Ce n’est de la part des adversaires de l’islam séculier qu’un juste appel à la vigilance citoyenne contre l’hydre musulmane.

C’est lui-même qui nous tend le gourdin pour le combattre non pas dans sa dimension cultuelle mais dans sa déclinaison politique qui le place dans la catégorie des modes de pensée politique néfastes à l’humanité au même titre que le nazisme et encore.

Qu’il apprenne à rester dans sa sphère « spirituelle » et la donne changera.

Autrement, personnellement je n’aurai de répit tant qu’il continue à vouloir coloniser notre vie, à vouloir être notre maître, la seule voie de la vie, en dehors de laquelle il n’y a point de salut.

Oubliant que la suffisance est un péché capital.

C’est l’islam qui à vouloir tout englober et régir se met en difficulté lui-même et devient l’objet de critiques circonstanciées. Il est tel le chien qui se mord la queue et qui gémit de la blessure qu’il s’est infligée lui-même.

En se comportant comme une vulgaire doctrine politique en interdisant par exemple à un musulman de voter pour un non-musulman, dévoile lui-même son vrai visage le rendant ainsi inéligible dans un espace républicain, il ne peut donc se prévaloir de son exception religieuse pour nous empêcher de dénoncer ses dérives mortifères et liberticides pour l’humanité.

C’est trop facile de crier au feu quand on a allumé soi-même la braise.

Musulman et français est une hérésie

On ne peut pas être fidèle à l’islam et fidèle à la France à la fois. Soit l’un soit l’autre sachant qu’un musulman est membre à part entière de sa communauté et il ne doit de ce fait s’identifier qu’à elle.
En tant qu’esclave, il ne peut pas être soumis à Allah et homme libre ailleurs. C’est contradictoire et antinomique.
Créé pour servir la cause de sa religion et livrer une guerre permanente aux infidèles il ne peut s’engager dans une autre voie qui l’éloignera de celle d’Allah et pire encore se réclamer de leur camp, dans l’espèce celui de la France, terre de conqête qui doit un jour tomber dans le giron de l’islam. Tout musulman qu’il est il ne doit être animé que par sa seule loyauté à l’islam et doit viser à détruire la France.
. Contrairement à l’athée qui agit en son âme et conscience, le musulman doit obéir aveuglement et sans se poser des questions aux dogmes de sa foi s’il ne veut pas finir cramé dans les bûchers ardents de l’enfer promis à tous ceux qui trahissent leur infidélité à l’islam. On est musulman et jamais français. Et quand on le proclame français c’est juste par pure fourberie, histoire de tromper la vigilance des koffars, mécréants, français pour mieux leur planter le couteau dans le dos. Un musulman qui témoigne de son appartenance à la communauté françaiuse est tout simplement un bonimenteur et si jamais il est sincère ce dont il est permis d’en douter il ne sait pas lui-même qu’il est un apostat.
Ses seules lois qui guident sa vie sont celles prescrites par le Coran, toute autre loi qui n’est pas l’expression de la volonté d’Allah est à bafouer et piétiner. Sa patrie est l’islam son ennemie est la France.

L’islam est un bagne dont on ne sort jamais vivant

La lâcheté, la pleutrerie, la vénalité, la félonie, la fourberie, la perfidie, la barbarie, l’ignominie, la cupidité et l’avidité  prennent une ampleur sans précédent dans l’histoire des pays musulmans au point qu’elles sont devenues les seules valeurs dont se prévalent leurs populations depuis que l’islam a retrouvé ses droits de cité.

Dès qu’on écrit ou on agit on nous oppose l’islam et ses vertus sans évidememment les expliciter. Pire encore, les nouveaux inquisiteurs vous menacent de mort et  veulent vous fait passer sous les Fourches Caudines de la censure religieuse pour bâillonner la liberté de pensée.
Dans la société musulmane chaque melbre s’érige en défenseur zélé de sa religion, et dont le corps est gangrené par le bigotisme, la culpabilisation et l’autocensure et la haine de soi et par conséquent la haine de l’autre, tout se passe comme si l’espace de liberté n’a du sens que s’il est défini par la reigion. Faire de son état d’esclave son seul et unique mode de iberté à l’image de cohorte de femmes qui se drapent dans leur linceul prétendant ainsi affirmer leur iberté retrouvée à l’exemple des femmes tunisiennes qui affichent désormais leur pseudo liberté sans crainte de la répression policière comme au temps de Ben Ali. Elles ne sont que des corps sans âme, ni affect, ni intellect, dépourvues de toute humanité qui ont peur de s’affranchir de la tutelle de leurs seigneurs et maîtres pour pouvoir enfin assumer leur statut d’hommes libres réclament à leurs maîtres de renforcer les chaînes qui les entravent pour les protéger contre la tentation de la liberté au nom de la liberté de rester esclaves à tout jamais.
Point de salut pour ceux qui veulent faire ôter le carcan et scier les barres de leur prison mentale. Prendre son envol pour voler dans les cieux de la liberté est le pire sacrilège qu’un musulman puisse commettre. Un musulman n’a pas à choisir la voie qu’il doit suivre lui-même en toute liberté, Il est tel un condamné à mort impatient de quitter ce bas monde pour abréger le poids insupportable de sa souffrance pour qui  la mort apparaît comme un moyen libérateur, une étapê salvatrice pour gagner un monde supposé être meilleur.
L’islam est un bagne dont on sort jamais vivant et malheur à ceux caressent le projet de s’en évader leur sort ne tient qu’à l’épaisseur du fil du glaive suspendu à la tête de chaque musulman,.
Les musulmans n’ont toujours pas compris que la libeté est l’essence de la vie et qu’il n’y a pas d’existence sans qu’elle soit l’expression libre de la volonté humaine. La vie est à l’homme ce que la religion est à dieu et encore puisque c’est l’homme qui a crée dieu à son image. Il n’en demeure pas moins que les sociétés les plus libres aujourd’hui et donc les plus apaisés et épanouis, tels les pays scandinaves et le Japon sont ceux qui se sont éloignés de doeu.
Ainsi toute société humaine qui fait de l’ordre religieux son idéal de vie et son code de bonne conduite où tout un chacun s’invente un rôle de père-fouettard et se fait passer pour le gardien des dogmes, est une société sclérosée vouée à une mort certaine.
Les musulmans sont libres de faire de leur religion leur tombe, mais ils ne peuvent pas faire de cette liberté qui est en réalité le stade ultime de leur état de soumission absolue la fossoyeuse des libertés humaines.. Qu’importe leur incompatibilité avec les prescrits de leur culte de la mort de la vie, ils n’ont guère le choix soit les accepter telles qu’elles sont soit suivre l’exemple des adeptes du Temple solaire qui avaient au nom  de leur liberté fait le choix d’aller rejoindre l’au-delà en toute liberté.
La liberté, la vraie celle qui n’exprime pas l’état d’une personne ou d’une société subissant des contrainte dogmatique, de sa soumission, son assujettissement, de son allégeance, de sa domination par un tiers tyrannique exerçant son pouvoir au nom de la religion ou de toute idéologie politique totalitaire.  Etre libre c’est être maître de sa volonté et pouvoir exprimer sa pensée propre.
Quelle liberté en terre musulmane quand on tue et décapite les libres-penseurs ? La liberté comme le fait remarquer  à juste titre Albert Camus :

Le souci de liberté et d’indépendance ne se conçoit que chez un être qui vit encore d’espoir. »

Des hommes qui font de leur désepoir l’expression majeure de leur état d’aliénation mantale ne peuvent s’engager que dans le couloir de leur auto-destruction celui que les musulmans appellent le sentier d’Allah. Un sentier de larmes et de sang.

 Enfin, en ce qui concerne ma liberté s’écrit avec les mots de ma pensé et mon indépendance d’esprit, je n’ai que faire  des lecteurs me jettent l’opprobre et se trouvent bourrés de préjugés sur certains sites qui seraient politiquement incorrects qui diffusent mes articles c’est leur droit, mais qu’ils sachent qu’au nom de la libre-circulation de l’information, il est du droit de ces sites tant honnis par eux car ils sont les vrais défenseurs de cette liberté mise à mal par les utopistes musulmans et leurs collabos de les reprendre à partir de leurs sources d’origine avec ou sans mon consentement.
Quand bien même je ferais parfois  le choix en toute liberté de ces canaux anti-pensée unique, il est de mon droit de le faire quand d’autres sites me censurent parce que je dérange l’ordre établi. Quand aux insultes dont on m’abreuve, ce ne sont que signes de reconnaissance

Il n’y a ni islam des parents ni islam radicalisé, il y a juste un retour au vrai islam

Maintenant que les musulmans ont appris à lire et à écrire  même s’ils restent majoritairement illettrés à cause de leur culture sectaire et ethnocentrique n’ont plus l’excuse de dire que je ne connais rien aux préceptes rigoristes de leur religion.

Autant leurs parents majoritairement analphabètes qui se satisfaisaient de pratiquer sommairement leur foi islamique et ont l’excuse  de  ne rien d’être des quasi-ignorants de l’ultra-rigorisme et des exigences sévères de leur religion, autant leurs enfants qui ironie du sort ont reçu pour certains d’entre eux un enseignement laïc et républicain et qui sont paradoxalement les plus fervents et violents adeptes de leur foi ne peuvent pas dire le contraire et se borner à appliquer un islam de quart ou de demi-mesure.

il n’y a pas d’islam hérité des parents comme le prétend tunisien Yadh Ben Achour , il y a un véritable  retour aux valeurs originelles de l’islam tel que Mahomet a enseigné aux musulmans qui ne tolère aucune modification ni contextualsation ou adaptation qui prend en compte les spécificités historiques, sociologiques, ethniques, anthropologiques, biologiques, politiques,  linguistiques, environnementales, géographiques, économiques des musulmans. L’islam est intemporel et valable en tous lieux et à toutes les époques.  Il revient aux musulmans de se plier à ses règles fondamentales et veiller à les maintenir en l’état sans y apporter la moindre innovation, bida’a, jugé comme un sacrilège et passible de la peine de mort. Les musulmans sont tenus à transmettre le témoin semblable à celui que leur prophète à la prophétie des plus douteuses sans se poser des questions sur le sens et la finalité de leur acte.

S’interroger c’est douter, or un vrai  musulman n’a pas à  se perdre dans les conjectures sur l’authenticité ou la véracité du message qu’Allah aurait révélé à celui qui est censé avoir clos le cycle des prophètes.

Tant que les choses sont écrites dans le coran et compilées dans les récits jugés authentiques alors qu’ils sont pourtant hagiographiques et fortement édulcorés des biographes  dont aucun n’a connu Mahomet de son vivant, il incombe aux musulmans de ne pas en discuter ni les commenter et de suivre ainsi aveuglement comme tout crédule borné la voie qu’Allah lui aurait tracée.

Si effectivement leurs parents se contentaient de préparer leur cuisine musulmane avec des quelques ingrédients issus de leur culture locale, le produit d’un sincrétisme multi-religieux, aujourd’hui  leurs enfants grâce à leur lecture des textes fondamentaux de l’islam se sont aperçus que l’islam de leurs parents est un islam de rupture avec la feuille de route de Mahomet, qu’il y a une nécessité absolue de le purifier toutes sortes  de scories d’influences extérieures.

Revenir aux textes dits sacrés que tout musulman jaloux de sa foi doit appliquer rigoureusement est devenu pour eux un challenge absolu. Convaincus que le retour aux sources essentialistes de l’islam du temps de Mahomet est la seule condition sine qua non pour faire renaître l’islam de ses cendres. Au moins ils reconnaissent implicitement que leur religion est moribonde et que les musulmans sont des macchabées-vivants.  Un défi dont ils ne mesurent pas la portée irréaliste et irréalisable qu’ils serait plus facile de percer le mystère du bing bang que ressusciter les musulmans minés par des querelles dogmatiques, des luttes intestines et des guerres larvées interreligieuses depuis la mort de Mahomet. Mais comme un musulman est par définition celui qui croit que la lumière qui aurait éclairé un jour son prophète finirait par l’éclairer lui aussi sans savoir que cette luimière est un mirage et le fruit de ses délires psychotiques, personne ne peut lui faire entendre la voix de la raison.

Si l’islam des parents perçu à tort  comme étant un islam de paix  qui était juste le reflet des gens qui n’étaient pas imprégnés du texte fondateur,  nul ne peu en dire autant de l’islam présenté comme étant radical et transgressif alors que tout simplement le vrai islam retrouve son droit de cité pârmi les musulmans.  On est passé d’un isqlam dévoyé et tronqué à l’islam réajusté et revigoré que Mahomet lui-même ne saurait renier.

Contrairement à leurs parents qui n’avaient pas accès aux  moyens de communication modernes et aux technologies nouvelles de l’information,  les musulmans d’aujourd’hui  sont branchés 100% Coran.  Ils ne se lassent pas d’écouter et de suivre les programmes d’endoctrinement religieux, de suivre religieusement les prêches des prédicateurs, des imams et des  ulamas, comme si un connaisseur ou prétendu tel des textes coraniques pouvait être un érudit, ils ne peuvent pas faire autrement pour rester en cohérence avec les exigences de leur foi que d’appliquer à la lettre ce que Mahomet a tracé pour eux comme feuille de route. Du savoir religieux élististe concentré entre les mains d’une poignée de musulmans lettrés mais qui n’avaient pas de relais médiatiques pour formater les esprits comme à l’époque de leurs parents, on est passé aujourd’hui au savoir religieux de masses, où tout le monde puise ses connaissances et ses informations à la même source.

Plus que le nazisme l’islam est bel et bien le culte de la mort de la vie

Si l’islam était paix pourquoi le coeur des musulmans est rempli de haine et de rancoeur pour leurs détracteurs ? Si l’islam était ouvert au dialogue pourquoi les musulmans perdent vite leur sang froid et brandissent ie glaive pour sabrer le cou de leurs contradicteurs ? Si l’islam était tolérant pourquoi méprise-t-il tant les juifs, les chrétiens, les incroyants et veut tuer tous ceux qui veulent l’abjurer ? Si l’islam était respectueux des droits humains pourquoi appelle-t-il à exterminer les humains qui ne sont pas dans son moule ?
Raciste, hégémonique, inhumain, fabulateur, manipulateur, terroriste, antisémite, liberticide, ultra-violent, cruel, intolérant, hautain, arrogant, ultra-réactionnaire, passéiste, barbare, escroc, vaniteux, vantard, imposteur, perfide, immoral, vicelard, glauque, pervers, sanguinaire, négateur de la vie, totalitaire, suprématiste, féminicide, pédophile, mortfère, génocidaire et apocalyptique tel est en réalité l’islam.
Quand on se veut une chance pour l’humanité, on a pas besoin de le crier haut et fort et encore moins transformer les siens en des machines de mort. Il est la seule religion au monde qui exalte le suicide, c’est bien de suicide qu’il s’agit et le récompense quand le suicidé habille son suicide en acte dédié à Allah.
L’islam n’est rien d’autre qu’un pousse au crime et un mode d’emploi pour mettre fin à ses jours.
Cette religion ne pose pas que des problèmes pour la sécurité et la paix dans le monde, elle doit être en tête de liste des pandémies de nature psycho-mécale.
Aucune étude sérieuse n’a été menée à ce jour sur les liens intrinsèques entre l’ulra-violence qui caractérise les sociétés musulmanes et les migrants musulmans en Europe et l’état de santé mentale des musulmans.
Il n’en demeure pas moins qu’une simple observation permet d’établir une corrélation entre les deux ne serait-ce au regard de l’explosion exponentielle des actes de violence extrême dont se rendent coupables les soumis musulmans qui laissent à penser qu’ils ont perdu le contrôle de soi et qu’ils agissent sous l’emprise d’une drogue hallucinogène altérant le bon foncxtionnement de leur équilibre psycho-neurologique.
Cette dégradation est inhérente au retour en force de l’islam dans leur vie et seule l’éradication totale de ce facteur déclenchant pourrait contribuer à aider les musulmans de cette spirale infernale de la violence comme mode d’existence et leur redonner le goût de la vie et pourquoi pas les arracher des griffes de l’islam.