Archives pour la catégorie folie des grandeurs

Le gros mensonge de l’islam des lumières

 

Si l’islam était vraiment lumière pourquoi a-t-il la phobie de la lumière historique des peuples tombés sous son joug, jugée comme un sacrilège pour légitimer son extinction  à tout jamais ?

L’islam considère tout ce que lui précède comme faisant partie de la jahiliya, une ère d’ignorance, se prenant pour le nombril du monde. Plutôt que de faire un travail d’introspection sur lui-même et de se faire violence, il préfère recourir à la critique systématique et sans concession de toutes les lumières susceptibles de ternir son image. Son ego surdimensionné qui est symptomatique en réalité de son mal-être profond et des tourments de son âme noire et effrayante, lui fait perdre le sens de la mesure et lui procure ce sentiment de puissance que rien ne pourrait ne pourrait résister à sa folie conquérante et à sa soif de domination.

C’est un véritable schizoïde-paranoïde qui se rêve en maître absolu de l’humanité tout entière sans jamais se demander et si jamais il échouait dans sa quête du pouvoir planétaire qu’adviendrait-il ? Ne sachant pas que trop de certitude est souvent synonyme d’une défaite consommée.

L’humilité n’est pas sa vertu première. il est le seul à se croire important et personne ne doit le contredire pour ne pas froisser cette image idyllique qu’il se prête à lui-même. L’islam est comme un athlète qui veut être seul sur la piste pour gagner la compétition.  Il ne cherche pas à s’illustrer par ses performances, il croit pouvoir s’imposer par les flèches empoisonnées décochées sur ce qu’il désigne comme ennemi, cet ennemi extérieur qu’il veut abattre par tous les moyens, car il est incapable de se livrer à une guerre contre lui-même et dont il n’est guère en état de gagner. Faible et lâche, il lui est plus facile d’attaquer ses rivaux par surprise et dans le dos que de se regarder dans son propre miroir et de mesurer le gap qui le sépare de l’humanité non-musulmane.

Mahomet, au lieu de mettre par exemple en valeur la grande richesse poétique arabe, s’était mis à lui  jeter l’opprobre, la dénigrer  et la disqualifier.  Comme s’il craignait de se voir supplanté dans les joutes poétiques où la parole du poète et du devin pouvait étriller la parole du prophète. Dénigrés dans le Coran au même titre que les impies et les incroyants, sourate XXI « Les prophètes », verset 5 ; Sourate XXVI « Les poètes », versets 224-226 ; Sourate XXXVI « Yâ Sîn », verset 69 ; Sourate XXXVII « Les rangs », versets 34-35 ; Sourate LXIX « Le jour inévitable », versets 40-41 ou encore  les poètes comme ceux qui « disent ce qu’ils ne font pas » (XXVI, 226), ils inventent, sont la proie des rêves (XXI, 5) et sont suivis par les hommes égarés (XXVI, 224).

C’est à l’homme témoin de l’histoire de se faire une opinion de la suprématie de telle ou telle oeuvre civilisationnelle.

 

Quand on se prétend soi-même lumière on ne doit pas chercher à plonger le monde dans l’obscurité ?  Plutôt que de se remettre en question et de relever le défi de la compétition au service du bien-être commun de l’humanité, l’islam agit comme un prétendant jaloux et conscient qu’il n’a aucune chance de gagner la main de la fiancée convoitée qu’en éliminant ses rivaux afin qu’il n’ait pas à souffrir de la comparaison.

Etant le seul acteur sur la scène, il n’ y aura plus personne ainsi pour lui faire de l’ombre dont en réalité il n’est jamais sorti. Il est comme un aveugle qui cherche sa voie dans le monde des ténèbres en s’illusionnant

Son refus pathologique d’admettre l’existence d’autres sources de lumière que sa supposée sienne est révélateur de ses desseins génocidaires pour l’humanité.

Que reste-t-il de la lumière pré-islamique de l’Arabie ? Qu’a-t-il fait de celle de l’Egypte ? Qu’a-t-il encore fait de la lumière des Perses, des Amazighen ? Que sont devenues toutes ces lumières qui éblouissaient l’humanité de tous leurs éclats jusqu’au jour où l’islam est devenu le roi de ces peuples ?

Il est temps de cesser de faire de l’islam une lumière alors qu’il n’a fait que plonger les peuples islamisés dans l’obscurité de l’histoire ? Quel horizon de lumière leur-a-t-il dessiné ? L’islam n’est rien d’autre qu’une illusion d’optique, un mirage dans le désert arabique, un délire de toxicomane qui confond les odeurs avec les couleurs, qui fait de sa drogue un antidote à son mal-être et plus il en est dépendant plus il est convaincu que la lumière est au bout du tunnel, inconscient que tout cela le conduit irrémédiablement vers le néant.

Du désespoir des hommes il en fait son fonds de commerce. Il est la mort pour ceux qui ne croient pas en la lumière de la vie, le refuge pour tous ceux dont le coeur est rempli d’idées noires et qui ruminent des sombres desseins pour leurs semblables.

Avec l’islam, le mal est un bien et le bien est un mal.