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Point de guerre civile c’est la guerre de l’Oumma à la République

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Je lutte contre l’islam à cause des préjugés négatifs sur tout ce qui n’est pas musulman étal heureusement je constate que c’est le même phénomène partout. Je ne m’attaque pas aux cultures des hommes je m’érige contre la bêtise humaine.

Certains rêvent de renvoyer les musulmans fissa dans leurs bleds pour s’occuper de leurs chameaux si leur Madone est intronisée reine je leur dis il fut un temps où ils étaient au sommet de la civilisation mais l’islam est passé par là et il a tout anéanti. Ils sont aujourd’hui l’image de ce que vous serez vous – mêmes demain.

Ne les diabolisez pas car vous n’êtes pas à l’abri d’être un jour soumis à la dictature de l’islam comme ceux des vôtres des pauvres paumés qui trouvent de plus en plus refuge dans l’antre du diable musulman pour se consoler de leur désespoir.

Ce n’est pas avec votre haine hystérique et vos délires racistes que vous allez pouvoir les chasser de la France et endiguer la montée du péril musulman. S’ils sont de plus en visibles dans vos cités est-ce leur faire ou la vôtre et celle des hommes politiques pour qui vous votez ? Vous êtes responsables et coupables.

Pour s’en sortir il faut revenir aux fondamentaux de la laïcité et appliquer les lois dans leur sévérité. C’est bien de vouloir les dégager après leur avoir abandonné des pans entiers de vos territoires et faire d’eux des ventres porteurs. Ce n’est pas avec un discours ethnocentrique que vous allez rendre à la France ses couleurs nationales. Votre peur est leur meilleure alliée. Plus vous brandissez l’épouvantail de la chasse aux musulmans plus vous les renforcez dans leur posture de victime et du repli identitaire. J’ai lu des commentaires infectes qui ne me rassurent guère sur l’avenir de la France.

Ne rêvez pas de la déchéance de nationalité c’est juridiquement quasi impossible et c’est très encadré par la loi. On peut changer la loi mais le droit acquis reste acquis. Vous renvoyez des millions de musulmans chez eux d’autre millions rentreront par la fenêtre. Remettrez la République l’ordre du jour dans l’éducation cela pourrait peut -être accélérer le processus d’intégration de ces musulmans qui vous cauchemardent tant.

Mes écrits ont été condamnés alors qu’ils ne présentent aucun caractère raciste contrairement à vous. Entre vous et moi c’est la différence entre la raison et la passion. Entre l’humanisme et l’intolérance.

La France ne peut s’en sortir en étant islamo-conciliante, frileuse et peureuse Je lutte contre l’islam à cause des préjugés négatifs sur tout ce qui n’est pas musulman étal heureusement je constate que c’est le même phénomène partout. Je ne m’attaque pas aux cultures des hommes je m’érige contre la bêtise humaine.

Certains rêvent de renvoyer les musulmans fissa dans leurs bleds pour s’occuper de leurs chameaux si leur Madone est intronisée reine je leur dis il fut un temps où ils étaient au sommet de la civilisation mais l’islam est passé par là et il a tout anéanti. Ils sont aujourd’hui l’image de ce que vous serez vous – mêmes demain.

Ne les diabolisez pas car vous n’êtes pas à l’abri d’être un jour soumis à la dictature de l’islam. Ce n’est pas avec votre haine hystérique et vos délires racistes que vous allez pouvoir les chasser de la France et endiguer la montée du péril musulman. S’ils sont de plus en visibles dans vos cités est-ce leur faire ou la vôtre et celle des hommes politiques pour qui vous votez ?

Vous êtes responsables et coupables.

Pour s’extirper du bourbier musulman dans lequel elle s’enlise de plus en plus chaque jour  il faut revenir aux fondamentaux de la laïcité et appliquer les lois dans leur sévérité.

C’est bien de vouloir les dégager après leur avoir abandonné des pans entiers de vos territoires et faire d’eux des ventres porteurs. Ce n’est pas avec un discours ethnocentrique que vous allez rendre à la France ses couleurs nationales. Vos ressentiments  sont leurs meilleurs alliés. Plus vous brandissez l’épouvantail de la chasse aux musulmans plus vous les renforcez dans leur posture de victime et du repli identitaire.

J’ai lu des commentaires odieux emprunts de forts relents racistes  qui ne me rassurent guère sur l’avenir de la France. Ne rêvez pas de la déchéance de nationalité c’est juridiquement quasi impossible et c’est très encadré par la loi. On peut changer la loi mais un droit acquis reste acquis.

Vous renvoyez des millions de musulmans chez eux  mais d’autre millions rentreront par la fenêtre. Remettrez la République l’ordre du jour dans l’éducation cela pourrait peut -être accélérer le processus d’intégration de ces musulmans qui vous cauchemardent tant. Mes écrits ont été condamnés alors qu’ils ne présentent aucun caractère raciste contrairement à vous.

Entre vous et moi c’est la différence entre la raison et la passion. Entre l’humanisme et l’intolérance. 

Mais plutôt que de renvoyer les musulmans à l’incompatibilité de leur religion avec le vivre ensemble on préfère jouer à l’épouvantail du style retenez-moi où je fais un fais un malheur.

L’islam en fait voir de toutes les couleurs à la France et tout le monde perd la tête

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« La guerre contre l’islam est raciale ou elle ne le sera pas ». C’est avec un tel argument que nous allons sauver notre humanité du péril musulman. La couleur de la peau ne fait pas la valeur de l’homme ni un indicateur génétique. Il n’y a pas de races humaines, il y a une espèce humaine originaire de l’Afrique de l’Est. Nadine Morano semble confondre race et racines et ses propos n’auraient pas provoqué un tel tollé général à la satisfaction des vrais ennemis de la France. Les mêmes qui la condamnent ont gardé le silence sur les atteintes aux monuments religieux qui font la richesse de la France et aux emblèmes nationaux. Elle aurait dû dénoncer le complot islamo-cosmopolite contre la pérennité humaine de la France plutôt que de brandir le spectre de la couleur blanche de la France.

Nous sommes nombreux à lutter au péril de nos vies contre le péril musulman sans. Nous ne le faisons pas pur par réflexe raciste, quelle horreur, comme certains « souchiens » qui font de la couleur blanche de la France leur cheval de bataille. Notre bien commun à tous ce sont les valeurs de la république héritées du siècle des Lumières. Nous défendons la laïcité qui sans elle il n’y aura plus la France et les « souchiens » qui devraient pour commencer aller faire leur ADN.n’auront qu’à aller se rhabiller. La France a besoin de tous ses enfants partout dans le monde pour ne pas sombrer sous les coups de boutoir de l’islam qui est la pire idéologie raciste et liberticide qui puisse exister. Réduire le champ de lutte à la seule dimension de la couleur de la peau c’est tout simplement sonner le glas de la France et dérouler le tapis rouge aux pieds des musulmans.

Photo de InfoDuJour.

Pour étayer leur argumentation les petits esprits chagrins n’ont pas trouvé mieux comme argument ubuesque et farfelu : la Côte d’Ivoire est de race noire et personne ne s’en offusque pourquoi n’est-on pas en droit de dire la France est de race blanche », une pirouette symptomatique de la coloration idéologique raciste de ses auteurs, totalement ignorants de l’histoire des deux pays et occultant ainsi les conflits larvés inter ethniques qui jalonnent l’histoire humaine et politique de ma Côte d’Ivoire. On ne compare pas non plus une vieille nation comme la France à un pays de quelques décennies d’existence et qui est loin d’être un modèle d’Etat-nation. Ils doivent  apprendre à développer des arguments plus pertinents que ça si nous voulons éradiquer l’islam de la surface de la terre.

Nous avons besoin de tout le monde pour sauver la France de la pire crise civilisationnelle et humaine de son histoire. Noirs, blancs, jaunes,polynésiens, « souchiens », métis, tout le monde doit aller au combat pour que vive cette France que nous aimons tous autant.
Un pays frileux est un pays condamné à mort.

Certains disent qu’il n’y a aucun mal de rappeler l’origine « raciale » de la France, Hitler aussi n’a fait aucun mal non plus en rappelant l’origine aryenne des Allemands, nous connaissons tous où cela a mené l’humanité.

La France est un creuset de peuples et de cultures et c’est sa diversité qui a fait sa gloire et fait briller son étoile au firmament des grandes nations. C’est cette étoile qui pâlit et vacille aujourd’hui et risque de disparaître à tout jamais du ciel de l’humanité.

Ce n’est avec des mots d’ordre d’un autre temps puisés dans la rhétorique de la droite nationale de Maurras que l’on va redonner sa couleur et sa splendeur à cette étoile.

Il n’y a pas de place au racisme dans la lutte contre le péril musulman

Ces Françaises qui ont été séduites par l’islam

http://www.europe1.fr/societe/ces-francaises-qui-ont-ete-seduites-par-l-islam-2372851

Il n’y a pas de race au pluriel scientifiquement parlant.Les scientifiques reconnaissent une seule origine à l’homme située à l’Est du continent africain et une seule espèce.
Je préfère que l’on parle des vraies valeurs de la France et de sa richesse culture diversifiée et féconde si l’on veut réellement mobiliser tous ceux qui n’ont pas envie la France s’islamise pour finir dans le bain d’acide des peuples et des cultures.

L’islam catégorise et exclut. Les racistes font de même. On arrivera pas à gagner la guerre contre l’islam en faisant en faisant du racialisme un idéal commun.

On ne classifie pas les humains selon leur couleur de peau. Il y a des noirs antillais et africains qui ont donné leur vie à la France. Desailly, Thuram, Barthès, Blanc, Djorkaef et Zidane sous la houlette de Jacquet  ont fait bien plus pour l’honneur et la gloire de la France que Sarkozy, Morano,  Fabius, Juppé, le Pen et Dati réunis..

L’heure n’est pas à la dispersion et aux divisions,  on doit fédérer tous  les hommes indépendamment de la couleur de leur peau autour des valeurs de la France et qui sont en danger de mort. Ceux qui sont à la pointe du combat contre l’islam et ses idées néfastes pour l’humanité ne sont pas tous des français « souchiens ». Ils sont guidés par leur amour de la France. N’insultons pas l’intelligence et le courage. Ils sont  les nouveaux combattants de la liberté de la lignée des artilleurs sénégalais et nord-africains qui avaient payé de leur sang pour que vive la France.

Hitler voulait une cité idéale pour préserver la pureté du sang aryen aux dépens des minorités ethniques qui n’offraient pas les mêmes caractéristiques physiques que ses Aryens. Mahomet rêvait d’une Oumma réservée aux seuls musulmans à l’exclusion de tous les autres auxquels il ne laissait aucune chance soit l’islam soit la mort.
Juste une rappel, jamais je ne mêle ma voix aux racistes qui sont aussi fous à lier et fanatiques que les musulmans d’une part et d’autre part je combats justement l’islam à cause de son idéologie suprémaciste, antisémite, ségrégationniste et discriminatoire n’est pas pour me retrouver personnellement à combattre à côté des racistes.

La race humaine n’existe déjà pas en tant que telle de là de parler de la France de race blanche et pourquoi pas d’une race française il n’y a que les illuminés de l’espèce de Nadine Morano qui osent franchir le mur du con. Comme si les apparences physiques sont des déterminants génétiques et laissent supposer la prééminence d’une catégorie humaine sur une autre. L’humanité partage en commun plus de 99% de ses gènes. Le temps où les groupes humains évoluent chacun dans son petit coin est révolu. Jusqu’à nouvel ordre nos ancêtres communs viennent d’Afrique. Que ceux qui font de la couleur de leur peau un signe distinctif génétique fasse leur ADN.

Que ceux qui ne le savent pas, les nord-africains sont plus proches génétiquement des Français qu’ils ne le sont des Arabes qui soit dit en passant ne sont pas une race comme je l’entends souvent.

  • Clotilde Coudray, 2006, dans Diversité génétique des populations Berbères et peuplement du nord de l’Afrique, paru Revue Anthropo, Vol. 11 – 2006, Volume spécial, XXVIIème colloque GALF, Clotilde Coudray.

Nadine Morano est plus que jamais une nostalgique du nazisme et sa toxicomanie des races et qu’elle s’est probablement trompée de siècle. A se demander quelle idéologie aurait-elle adopter si elle était en 1944 ? Etre patriote cela exige un minimum de clairvoyance intellectuelle. Nul doute qu’elle aime la France mais elle ne doit pas se discréditer en usant d’argument aussi simpliste que nauséabond. On ne combat pas le racisme dogmatique de l’islam en  prêchant la blancheur de la couleur de la France. Opposer la supposée origine « raciale  sur la base de traits d’apparence physique de la France qui est loin de constituer un groupe génétique homogène à l’islam, c’est considérer l’islam lui-même comme étant doté de son propre marqueur génétique. Et la guerre actuelle est une guerre raciale. Il n’y a pas mieux pour écarter du combat contre l’islam les vrais amis de la France.

La dernière taxinomie (et non théorie) racialiste date de 1944. Il s’agit de la classification de Henri Vallois dans son ouvrage Les Races humaines qui divisait les humains en quatre groupes (d’égale valeur) nommés « races » :
* race noire africaine ;
* race jaune asiatique ;
* race noire australienne ;
* race blanche européenne.
Cette classification convenait parfaitement pour le dégrossissage de concepts demandé par l’enseignement primaire, seul qui soit généralisé à l’époque.
La pertinence de ces divisions n’a plus été admise par la suite, faute de montrer un intérêt quelconque pour la connaissance, ni en matière de biologie, ni en matière d’anthropologie.
Comme le dit André Langaney (dans un ouvrage paru en 1992) :
« Au début des recherches en génétique, les scientifiques, qui avaient en tête des classifications raciales héritées du siècle dernier, pensaient qu’ils allaient retrouver des gènes des Jaunes, des Noirs, des Blancs… Et bien, pas du tout, on ne les a pas trouvés. Dans tous les systèmes génétiques humains connus, les répertoires de gènes sont les mêmes.
»

Le choc est avant tout culturel et civilisationnel. Un « blanc » qui se décline en blanc clair, pâle, ne possède pas un génotype distinct de celui d’un « noir » olive, foncé, métissé, charbon, ébène, clair. La connerie humaine est sans limite.
On lutte contre la culture envahissante de l’islam et non pas contre des individus d’apparence musulmane quand on sait que parmi eux il existe des convertis d’apparence française.

L’islam est à la science ce que l’urine du chameau est à la médecine

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Alors qu’une bombe vient d’exploser près de l’entrée de l’aéroport de Kaboul, en Afghanistan, tuant au moins 20 personnes, il m’a été demandé de mettre en ligne cette rubrique de Salem Ben Ammar sur l’islam des lumières.

Il doit s’agir des lumières des explosifs. – Jean Patrick Grumberg

 

A entendre les musulmans, l’humanité est redevable de tout à l’islam et doit lui être reconnaissante à tout jamais pour ses bienfaits scientifiques. Sans lui, elle  ne serait jamais sortie des ténèbres où ils ont élu domicile depuis 1436 ans. Rien que ça!

Il est vrai que l’humilité n’est pas leur vertu première et que l’islam est l’ignorance élevée au rang du sacré, et les musulmans, conditionnés et endoctrinés du berceau à la mort, ne peuvent imaginer le monde en dehors du dessin que le Coran fait de lui. Ils sont convaincus que ce livre est la science des sciences. L’ignorance est devenue leur savoir universel. L’ignorance de ce que l’islam ignore lui-même.

Au point que tous ceux qui apprennent le Coran par coeur et excellent dans sa connaissance sont considérés comme des érudits, des savants, ulamas en arabe, et bénéficient d’un grand prestige chez leurs coreligionnaires.

Ainsi, les musulmans nourris aux sources de l’ignorance se prennent pour le nombril du monde.

L’étendue de leur savoir est large comme le chas d’une aiguille. Leur connaissance de la géographie n’est pas plus vaste que la surface d’un poil de la barbe de Mahomet.

A moins que les musulmans soient des cordonniers mal chaussés, ils ne sont pas connus pour leur altruisme, y compris entre eux, et encore moins pour leur sens de responsabilité.

Leur vraie contribution, s’il y en a une, sont les crimes contre l’humanité commis au nom de l’islam et les dégâts incommensurables qu’ils font subir aux autres peuples.

Leur mauvaise foi est symptomatique de leur ignorance de leur propre état d’esclaves, murés dans leur certitude que cette religion des ténèbres et de l’intolérance a éclairé l’humanité de son phare.

Paradoxalement, l’islam l’a éteint sur eux et a plongé les peuples qui sont tombés sous son joug dans la protohistoire.

L’islam n’a rien apporté à l’humanité sauf la dhimmitude, le racisme, la haine du juif érigée en dogme religieux, l’ethnocentrisme, la perversion de la morale dans la voie d’Allah où tout est permis, les conversions par le fil de l’épée.

Quand on a le respect des arts, des cultures, des techniques et des sciences des autres peuples, on ne les détruit pas parce qu’ils risquent d’éloigner le fidèle de l’ignorance musulmane et de la voie d’Allah.

Remettez-vous en question : vous êtes les derniers de la classe, vous ne pouvez pas le nier. Vous savez très bien pourquoi vous êtes à cette place : la cause est l’islam et son enseignement sectaire et réactionnaire.

Avec un taux de plus de 80% d’illettrés et une moyenne de 4 minutes de lecture par an et par personne, vous ne pourrez jamais occuper la voiture de tête du train de l’humanité. Par contre vous êtes très doués pour la dynamiter et personne ne peut en effet rivaliser avec vous. Mais vous ne pourrez jamais le remettre en état de marche et reconstruire la voie ferrée.

Sans ceux que vous appelez par mépris et dédain des koffars, des mécréants, en projetant votre propre dégoût de vous-même, vous n’auriez jamais existé. Ni l’Indonésie ni la Turquie, les pays musulmans les moins en retard, ne sont des modèles du progrès humain ou technique.

Qui a mis en valeur vos richesses minières et énergétiques, bande de bons à rien et d’incapables ?

Vous n’êtes pas les meilleurs contrairement à ce que votre ignoble prophète imposteur vous a fait croire, vous êtes comme les fous dans un asile psychiatrique qui se prennent pour Jésus ou Napoléon.

Les meilleurs sont ceux qui le prouvent par leur travail et leur modestie. Il ne suffit pas de le proclamer pour le devenir.

Vous faites du terrorisme et de la fourberie vos armes pour dominer le monde, comme vous le recommande le Coran, sans tenir compte de la capacité de réaction de l’adversaire, de sa riposte, autrement plus redoutable et destructrice que l’imagine votre divinité sanguinaire et mégalomane.

Attila, Genghis Khan, Hitler, Pol Pot et Mahomet lui-même, qui a laissé derrière lui une communauté en proie à une guerre permanente depuis 1436 ans, ont fait de la terreur une stratégie de conquête. Ils ont fini par récolter ce qu’ils ont semé.

Faites le bilan de votre histoire : vous êtes la honte de l’humanité. Vous avez atteint le summum de la barbarie humaine. Chaque jour qui passe, c’est dix ans de retard que vous accusez à chaque fois sur les Chinois, les Taïwanais, les Sud-Coréens, les Israéliens, les Indiens, et tous les autres.

Quand on se veut les meilleurs, on doit avoir le sens de la dignité et de l’honneur, et pas pourrir la vie des « mécréants » en profitant de leur politique sociale et humanitaire, qu’Allah lui-même n’a pas pensé à créer pour vous attirer dans son paradis.

Vous êtes des champions : vous avez fait de votre ignorance une science.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Il n’y a pas plus de différence entre l’islam et le nazisme que Mahomet et Hitler

Paru dans Riposte Laïque : Je ne vois pas une grande différence entre les concepts
de l’islam et ceux d’Hitler

Hitler ou islam ?

Le grand précurseur de la sociologie moderne Ibn Khaldoun disait des arabes par où ils passent la civilisation trépasse.

Détruisant tout sur leur passage tels des sauterelles dévastatrices comme celles des tribus arabisées des Banu Hilal, laissant derrière eux un fleuve de larmes et de sang et un désert de ruine et désolation peuplé de charognards infâmes.
Ce qu’on observe aujourd’hui dans les pays arabisés malgré eux ne fait hélas que conforter ce constat amer.
Dire cela n’est pas de l’arabophobie. On ne va pas se voiler la face à l’image de certaines femmes ou se déguiser en pieux musulman juste pour esquiver la vérité et l’occulter.

Là où le monde progresse, les pays arabes et musulmans régressent. Le tableau cette autre vérité implacable en témoigne. Les droits de la femme, de l’homme, du citoyen, la protection des droits de l’enfance, la liberté de conscience, la liberté d’association, la liberté syndicale, la démocratie, l’égalité d’accès au droit, la justice sociale, le développement humain, l’accès aux soins, la lutte contre l’analphabétisme, etc… autant de valeurs universelles jugées par les fondamentalistes comme étant des sacrilèges et par conséquent contraires aux dogmes de l’islam à cause de leur caractère judéo-chrétien ou maçonniques. Un subterfuge pernicieux pour ne pas arrimer le train du monde musulman à celui de l’humanité.

En quoi est-ce une hérésie quand on revendique une égalité absolue en droits et devoirs entre les hommes indépendamment de leur origine ethnique, leur sexe, leur système de croyance ou non-croyance ? En quoi est-ce un crime de rejeter les valeurs rétrogrades et désuètes ? En quoi est-ce insultant aux musulmans que de caricaturer ou publier une image  de leur prophète comme s’ils avaient peur de dévoiler son visage au monde ?

La vraie démocratie comme disait Albert Camus est celle qui protège les droits des minorités contre le pouvoir hégémonique de la majorité. Mais quand une minorité s’arroge le droit d’imposer sa volonté à la majorité au nom d’un prétendu pouvoir dont elle se considère investie par Dieu, cela conduit immanquablement à la dictature religieuse à l’instar des pays dits arabes.

La religion devient ainsi un atout majeur pour verrouiller et censurer tous les modes d’expression et de liberté.

Hitler voulait créer sans succès une nouvelle religion pour les Allemands en étant son apôtre pour les enchaîner aux dogmes du nazisme, mais les imposteurs musulmans sont en train de le réussir non seulement en créant une nouvelle religion mais parce qu’ils ont su tirer profit des quintessences théologiques de l’islam lui-même qui fait de la violence un devoir religieux, le djihad dans le sentier d’Allah un de ses piliers essentiels.

En effet, plus que toutes les autres religions, l’islam se veut Etat, culte et cité, ce qui leur permet d’instaurer un ordre politique et social où le sacré et le profane se confondent en conformité avec les prescrits de l’islam.

Dans un environnement où la religion est le seul mode de gouvernance politique de la vie des hommes, il est impossible d’envisager un jour l’émergence d’un Etat démocratique.

Elle ne saurait elle-même ouvrir les portes à des valeurs importées fécondatrices de droits fondamentaux et qui risquent de lui faire de l’ombre et de restreindre son champ de pouvoir.

Ainsi, sous prétexte de la préserver de la prétendue pollution desdites valeurs, qui présentent en réalité un réel danger pour leur pouvoir hégémonique, les castes théocratiques musulmanes, usent et abusent d’artifices et de manoeuvres tous frappés du sceau du sacré, afin de frapper de figer les musulmans dans un ultra conservatisme dont la seule préservation est garante de leur propre survie et la sauvegarde de leurs privilèges exorbitants.


Salem Benammar
par Salem Benamm

Aux racistes musulmans et à tous les autres : personne ne choisit ses origines ni sa religion de naissance

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Aux musulmans qui excellent à me coller des étiquettes nauséabondes, qui voient en moi la plume de la fachosphère (quelle horreur) ainsi qu’aux amis juifs qui me présentent comme arabe et musulman progressiste (quel oxymore) : je ne suis ni l’un ni l’autre.

Ma voix est celle d’un homme né libre de toutes contraintes religieuses, politiques, culturelles ou ethniques.

Je suis né et ait été élevé dans l’humanisme, imprégné de la philosophie des lumières, pourfendeur des hérésies, rêvant d’un monde sans frontières ni clivages religieux et idéologiques, et je finirai mon cycle de vie comme tout être humain.

Je ne suis ni arabe ni musulman, ce qui n’est pas une honte à mon sens. Ce qui l’est, ce sont les étiquettes et les préjugés destinés à stigmatiser les différences et vouer aux gémonies ceux qui ne sont pas nés comme nous, ou qui ont choisi une voie différente. Il n’y a pas de peuple supérieur aux autres, tous les peuples ont leurs vertus et leurs faiblesses.

Si ce Dieu existe, il n’a pas favorisé tel ou tel peuple. Du non-sens de l’homme se prétendant béni de Dieu, certains en ont fait un droit opposable à toute l’humanité.

C’est la pire injustice faite à l’homme. Un Dieu juste et impartial ne peut introduire une hiérarchie entre les peuples. Tout privilège accordé à tel peuple ou tel autre est supposition purement raciste. Toute l’humanité constitue la base et le toit du monde.

Ma voix est et demeurera humaine jusqu’au dernier souffle de ma vie. Elle n’est le produit d’aucun système de pensée ni une voix de rupture avec l’idéologie dominante.

Je me bats pour la tolérance et la concorde entre les hommes, pour l’égalité des droits, sans exclusive, et le droit de chacun de faire entendre sa propre voix et non une voix qui lui est dictée et imposée, empreinte de censure ou d’idées préconçues.

Ma voix qui dérange les bien-pensances de tous les bords, les esprits chagrins et murés dans leurs certitudes, incapables de se regarder dans le miroir démystificateur de “leurs” vérités, ma voix que certains considèrent comme rebelle et non-conformiste, elle n’est rien d’autre que l’expression de mon rejet du fanatisme et de l’ethnocentrisme.

Je me bats pour la liberté dans le sens voltairien du terme, conformément à cette citation de Evelyn Hall (attribuée à tort à Voltaire) : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

Les musulmans et leur indispensable paravent juif pour dissimuler leurs crimes contre l’humanité

Bilan des actes de terrorisme  portant la signature de l’islam  au cours des ces derniers jours :

  • une fillette âgée de 7 ans utilisée par Boko Haram comme bombe humaine  s’est fait exploser au milieu de la foule au nord du Nigéria : 5 morts après une vague d’attentats dans le sud du pays :40 morts.
  • 21 Coptes décapités en Libye dans la pure tradition mahométane.
  • Une attaque sanglante menée par les shababs somaliens contre un hôtel à Mogadiscio : 25 morts.
  • Raid meurtrier des talibans contre une mosquée chiite : 20 morts.
  • Triple attentat à Bagdad : 36 morts.
  • Agression contre des soldats tunisiens : 4 morts.

La majorité des victimes sont des esclaves d’Allah qui retrouveront dans l’au-delà leurs bourreaux pour jouir des d’Allah et s’adonner au plaisir charnel éternel promis.

Les chiffres ont beau être têtus, il n’y a que les musulmans qui refusent d’y croire.

Dès qu’on les titille sur leur propre silence et le caractère hautement criminogène et ultra-violent de leur religion, ils s’effarouchent, s’indignent, se scandalisent et crient à l’injustice. Ils se cachent derrière leurs petits doigts en assénant leur tirade favorite : regardez les juifs ont beau tuer les enfants palestiniens, les privant de nourriture et de soins, personne n’ose les critiquer.

On a beau leur dire que les crimes abominables dans le monde aujourd’hui sont l’oeuvre des musulmans qui professent la même foi qu’eux et appliquent fidèlement la feuille de route mahométane – ce qui est loin d’être leur cas – impossible de leur faire entendre la voix de la raison.

Têtus et obtus, sourds et aveugles, obstinés et rigides, ils restent murés dans leurs certitudes et inébranlables dans leurs convictions qui ce sont les juifs, et les juifs seuls, qui doivent être jugés.

Jamais les musulmans ne regarderont l’islam dans le miroir de leurs organisations terroristes et barbares. Ils prétendent même qu’elles sont une créature sioniste, comme pour Daech. Jamais ils admettront que l’islam est la source de leurs maux et de l’humanité tout entière.

Leur mauvaise foi est sans limite, le coupable est toujours le juif. Il est leur échappatoire pour dévier le débat sur les supposées exactions dont sont victimes les palestiniens de la part d’Israël.

Pourquoi les musulmans ont-ils cette fâcheuse manie de toujours chercher à dévier la discussion sur le sort des palestiniens ?

Savent-ils que le bilan des meurtres entre palestiniens dépasse le nombre des morts du conflit israélo-palestinien?

Plus de 20 000 victimes palestiniennes en septembre 1970 en Jordanie – et ce n’est certainement pas à mettre à l’actif de l’Etat hébreu. Dans leurs délires de persécution, ils seraient encore capables de les leur imputer si on tente de les empêcher d’occulter. Quand un musulman tue, ce qui arrive de plus en plus, il est forcément manipulé par un sioniste.

Quand on interroge l’islam sur ses crimes, les musulmans nous envoient aux crimes fantasmés de leurs ennemis. Ils ont un besoin  pathétique et pathologique du juif tel qu’ils l’auraient inventé pour pouvoir exister. C’est une sorte d’exutoire pour eux qui leur permet d’expier leurs crimes et leur voile pour ne pas se regarder dans le miroir de l’histoire qui illustre la nature sanguinaire de leur idéologie mortifère, leurs échecs et leurs défaites récurrents ainsi que leurs grands ratés de leurs rendez-vous avec le train du progrès humain.

 

Si les lois raciales nazies avaient ébranlé l’humanité, la charia, la loi de l’isam, risquerait de l’achever

Pourquoi faut-il interdire la Charia comme on a aboli les Lois Nazies de 1935 ?

1. La charia que ses partisans les plus acharnés présentent comme la Loi de l’Islam n’est pas sans rappeler dans sa conception philosophique et sa finalité les Lois Raciales de Nuremberg.

De la même façon qu’elles avaient pour objet de protéger la pureté de sang aryen en érigeant des barrières sur la seule base d’appartenance raciale, la charia  est pour eux le garde-fou canonique visant à préserver les musulmans de toutes les sources extérieures susceptibles de polluer la pureté originelle de leur source. Pour les nazis, il s’agit de dépolluer et immuniser le sang aryen en interdisant tout mélange avec ceux dont le patrimoine génétique est supposé dépourvu  de caractère aryen jugé pur, pour les adeptes de la charia, il s’agit de créer un cordon sanitaire contre toutes les sources d’influence extérieure n’ayant pas de substance musulmane jugées impures susceptibles d’altérer et corrompre la foi et la vie des musulmans. D’un côté un racisme de sang et d’un autre un racisme de religion. A se demander si les nazis et les tenants de la charia ne s’étaient pas inspirés du système de castes hindoues. Où les Brahmanes dont la primauté de leur statut social est fondé sur leurs attributs religieux et génétiques. Mais contrairement aux Brahmanes voire les nazis, les adeptes de la charia veulent en faire une loi universelle absolutiste et totalitariste pour tous les hommes au nom de la supériorité absolue des lois divines sur les lois civiles. Ni démocratie, ni république, ni droits de l’homme et du citoyen, ni conventions internationales de lutte contre la pédophilie, l’esclavagisme, l’apartheid, les droits de frontières, ni préservation du patrimoine, ni identité culturelle, ni mixité sexuelle, etc…Un monde sans frontières sous le règne d’un despote de droit divin, une sorte de secte planétaire et sans libertés de conscience, de culte et de création. Celui où l’homme n’est plus citoyen, il est un simple fidèle soumis aux seules lois d’essence divine.

Ayant pour seules obligations l’accomplissement de ses devoirs cultuelplas et rituels outre son entier dévouement pour la réalisation des desseins cosmiques et impériaux de sa religion. S’activant et oeuvrant en l’occurrence à l’expansionnisme de l’Islam par tous les moyens. N’est en principe fidèle et légitime que le musulman qui fait de sa vie don à Dieu. Fervent adorateur et zélé dévot vivant en accord avec les prescrits de la foi musulmane ou comme le proclame l’imam du nouveau centre culturel (une hérésie intellectuelle) islamique de Ground Zero :“les ‘vrais’ musulmans qui entrent dans les plus hauts niveaux du paradis musulman sont ceux qui paient le prix ultime du sacrifice dans le but de  mettre en œuvre la charia, la loi islamique,” Autrement dit un musulman qui ne reconnaît pas et n’applique pas scrupuleusement les lois de l’Islam dans leur intégralité ne peut prétendre au statut même de musulman. Par voie de conséquence un musulman vivant pleinement dans les lois de sa religion n’est pas en droit de se soumettre et de faire allégeance à des lois non-musulmanes pour non compatibilité avec la sienne et inversement. Partant du postulat que toutes les lois émises par les hommes sont imparfaites, impures, elles  n’ont aucune légitimité de régir la vie des musulmans. Excluant ainsi toute possibilité aux musulmans d’adopter un modèle de gouvernement qui ne soit pas conforme avec les exigences des lois de leur religion exprimant de la seule volonté de  Dieu. Est-ce à dire que la voie de la démocratie expression majeure de la volonté des hommes n’est pas la voie que doit suivre le fidèle musulman ? Le musulman qui par définition est un assujetti, un fidèle à sa foi n’est pas détenteur de la moindre parcelle des lois auxquelles il adhère, à la différence du citoyen dans un Etat démocratique qui est partie prenante à l’élaboration des lois civiles et publiques qui régissent sa vie avec ses concitoyens. Jugée impie et illicite la démocratie est assimilée à un sacrilège, un péché mortel pour les vrais croyants susceptible de les éloigner des dogmes de l’Islam. Comme la démocratie est la voie qui mène à la république, elle ne peut répondre aux aspirations idéologiques des partisans de la charia qui rêvent d’instaurer une théocratie religieuse gouvernée exclusivement par les lois dites canoniques et donc non issues des assemblées élues. Il va de soi que la seule voie du salut des musulmans ne doit puiser ses sources juridiques, politiques, culturelles, sociales, que dans l’Islam lui-même. Si la charia est présentée par ses partisans comme la loi de l’Islam tout porte à croire que c’est l’Islam qui en est l’unique source. Elle est comme ce cordon ombilical qui relie le fœtus au plasma maternel se nourrissant de son liquide amniotique. La rupture avec la charia est pour les musulmans comme la perte de la poche des eaux qui n’est pas sans risque pour leur viabilité physique et intellectuelle. Autant les lois humaines sont flexibles et évolutives, autant la charia de par son caractère organique et salvateur semble être immuable et intemporel. Elle dicte aux musulmans leurs règles de comportement, gouverne leur vie intime, interpersonnelle, extracommunautaire sur la base de principes coutumiers (ourfi) et  dogmatiques des plus archaïques datés d’un autre temps, à contre-sens du chemin de l’histoire humaine. Censé être leur fil conducteur, celui qui les guide dans leurs pas sur le chemin de la félicité, elle s’avère être le fil d’acier qui les enchaîne à un modèle de vie totalement déconnecté du temps et de l’espace. Un modèle fantasmé et halluciné. Elle est pourles musulmans intégristes leur Roche Tarpéienne et leur mythe de la Caverne. Ils sont tels des captifs enfermés dans leur caverne, éternels esclaves d’eux-mêmes, sans perspective d’évasion, de repli sur soi, refusant ostensiblement la lumière extérieure, de peur de se regarder dans le miroir de leur vérité. Aussi la charia devient l’antidote aux tourments de leurs âmes et un soin rétroviseur dans lequel se reflète l’ombre d’un monde sombre enfoui dans les méandres de leurs pensées. Au lieu d’atténuer leurs éternelles frustrations, elle attise la braise de la violence en sommeil chez eux, qui devient pour eux une sorte d’exutoire, un blanc-seing pour déverser leur haine de l’autre. Des femmes et tous ceux assimilés à des intouchables. Des humains de seconde zone, leur souffre-douleur qu’il est permis de châtier pour purifier son âme et les offrir comme victimes sacrificielles sur l’autel de l’Etre suprême. La charia est comme les lois nazies, elle honore ses partisans, en leur conférant une illusion de pouvoir, et rabaisse, relègue, ostracise et avilit les non-musulmans.
Nul ne peut douter de de son caractère musulman, mais qu’elle se confonde avec l’Islam pour être la matrice de tous les musulmans selon les cavaliers noirs de l’Apocalypse, il y a effectivement matière à s’inquiéter quant à l’avenir sombre qui se profile à l’horizon de l’humanité quant à la haute nocivité de la charia pour les libertés humaines et les droits fondamentaux. Cet horizon est d’autant plus sombre que les islamistes obsédés par l’instauration d’un ordre théocratique fondé sur la loi islamique de la charia sont en train d’y parvenir dans les pays du Printemps de l’éternel Goulag arabe.
Devenus les meilleurs affidés des américains au point qu’ils en font aujourd’hui la pièce maîtresse de leur nouvelle Realpolitik pour les pays musulmans et leur joker pour contrer la popularité de l’Iran au sein des masses musulmanes. Hitler a voulu fonder son IIIème Reich sur les Lois raciales de Nuremberg de 1935 avec la Shoah en filigrane pour devenir une réalité 4 ans plus tard, les islamistes prônent la création d’un Etat islamique fondé sur la charia ne font que s’inscrire dans le sillage du nazisme tant admiré et adulé par Hassan Al Bana et Saïd Qoutb, ou le Mufti De Jérusalem engagé volontaire dans l’armée hitlérienne, Une admiration non démentie à ce jour avec l’apologiste et négationniste  Al Qaradhaoui ou son lieutenant de basses œuvres le terroriste jamais repenti Rached  Ghannouchi.
La similitude entre les deux idéologies est d’autant plus frappante que le Reich a péri de sa propre mort après avoir infligé à l’humanité les affres de la Shoah, le Califat islamique s’est achevé par le génocide des arméniens en 1915. Plus de 1 500 00 arméniens exterminés dans le désert syrien dont le seul crime, à supposer qu’il en soit un est de ne pas professer la religion musulmane. A chacune de ces lois de la barbarie humaine son génocide.
2. La résurgence d’un Califat ne fait que rouvrir la blessure jamais cicatrisée chez le peuple arménien et indirectement les blessures du peuple juif et de tous ceux qui n’entraient pas dans le moule nazi tel qu’il était conçu par les lois scélérates de Nuremberg. Des lois comme celle qu’avaient appliquées les Jeunes Turcs pour légitimer leur massacre des arméniens qui n’étaient pas dans les normes de la religion musulmane en vertu de la charia. La loi de l’horreur humaine qui a elle aussi fécondé à sa manière le ventre musulman de la bête immonde qui sommeillait en lui.
La communauté internationale doit-elle rester impuissante au nom de sa neutralité bienveillante comme dans les années 30 et laisser ce virus mortel gangrener le corps musulman et par ricochet toute l’humanité ? Au lieu de caresser l’islamisme, clone du pitbull nazi, elle se doit de créer un cordon sanitaire afin qu’il ne fasse pas des dégâts incommensurables au monde entier comme il commence déjà à le faire au Mali, la Samalie, l’Afghanistan et le Soudan et ses 2 millions de victimes chrétiennes et animistes massacrées au nom de la charia. Comme les coptes et les chrétiens irakiens et nigérians. La charia dans ces pays comme l’Arabie Saoudite et le Qatar est une loi de purification ethnique, de discrimination raciale et sexuelle. D’une loi salvatrice elle s’est muée avec l’école théologique acharite en une loi inquisitrice, castratrice et mutilatrice. Elle sacralise et rend légitime le meurtre de l’autre, de celui qui est différent de soi et qui ne possède pas les attributs musulmans. Mettant les musulmans sur un piédestal de la dignité des élus de dieu, ne dit-on pas que les musulmans sont la meilleure communauté qu’Allah ait fait surgir sur terre ? Un tel racisme ferait pâlir de jalousie la bête immonde nazie. De même que l’inféodation des non-musulmans, les juifs et les chrétiens appelés « dhimmis » qui signifie littéralement protégés devant payer une capitation (jizya) pour pouvoir jouir des droits au rabais. Quant aux non-monothéistes, les incrédules, les mécrus et les insolents, il y a tout lieu de croire que c’est soit la conversion soit la mort en vertu du verset de la Vache qui les voue à l’enfer et dont le meurtre par les croyants est licite.
La charia dans le sens qu’entendent les islamistes consacre la suprématie des musulmans sur les non-musulmans en les parant des vertus de la pureté avec un statut juridique et social censé les protéger contre les influences qui ne sont pas d’essence musulmane.
Affublée du statut de droit canon, la charia n’est pas une norme juridique émanant d’une autorité souveraine qui s’impose à tous les citoyens sans exclusive, elle est un subterfuge pernicieux pour conférer des droits exorbitants sous couvert du sacré à des illuminés afin de masquer leurs intentions malveillantes et criminelles en vue de s’ériger en maîtres absolus sur la vie des humains. Elle est licencieuse et perverse. Réduisant la vie humaine à sa portion congrue. La charia est pour les droits humains ce que fut la loi de la jungle dans une zone sauvage, sans humanité, ni morale, ni éthique, ni ordre social, celle où sévit la loi du plus fort s’arrogeant le droit d’exercer son pouvoir de vie et de mort sur de plus faible que lui. Fondée sur un ordre naturel où  les rapports dominants/dominés trouvent leur légitimité  dans des règles irrationnelles similaires à celles qui prévalent dans le monde animal. Où le prédateur peut dépecer sa .proie en toute liberté.
Le foyer islamiste est en tous points comparables à cette zone de non-droit sans justice ni droits de victime. La femme n’est-elle pas aux termes de cette loi inique et scélérate une victime consentante et expiatoire pour selon les lois de l’Islam à la toute-puissance du mâle musulman, seul dépositaire du pouvoir divin ?   La charia est pour le monde musulman ce que furent dans une certaine mesure les lois féodales pour l’Occident chrétien au Moyen Age. Ultra-répressives, inquisitrices,  dogmatiques, arbitraires, injustes, inégalitaires, opprimantes et attentatoires à la dignité humaine.
La charia n’est pas non plus sans rappeler à l’occasion de la mise en scène morbide des exécutions des condamnations de mort (décapitation-crucifixion) ou de lapidation  les jeux de cirque romain où l’on faisait de la vie humaine une distraction pour les patriciens et les plébéiens avides d’émotions fortes et assoiffés de sang humain. Ainsi, Tous les jugements rendus en son nom sans aucune voie de  recours.  Ni pourvoi, ni révision, ni droits de la défense, voire ni droits de la victime quand elle n’est pas de sexe masculin et non-musulmane. La justice sereine et équitable est un vœu pieux dans les contrées qui l’appliquent. La particularité de cette loi est que le requérant peut être aussi juge et exécutant de la sentence. Avec cette loi on achève plus les voleurs de chevaux, on n ampute les mains des voleurs de poule par exemple, mais on rend hommage à Ben Laden et Omar Bachir. Dans notre droit, la justice peut se tromper mais elle offre aux justiciables des voies de recours, or, avec elle, l’erreur judiciaire n’existe pas parce qu’elle a été rendue au nom de Dieu. Les fourches caudines de la charia frappent sans discernement victimes comme coupables, iniques et injustes, elles lapident et amputent. Un innocent accusé à tort pour un vol qu’il n’a pas commis, doit subir le châtiment corporel prévu dans le cas d’espèce en l’occurrence l’amputation de sa main.
Aux termes de cette loi seul dieu peut réparer les injustices ainsi il ne lui reste qu’à attendre le Jour du Jugement dernier pour que la justice lui soit rendue et par la même retrouver l’usage de sa main. Dans une société appliquant la charia, les justiciers de Dieu n’ont pas à s’embarrasser des règles de procédure, tout simplement, elles sont inconnues dans leur système judiciaire. Selon que vous soyez puissant ou pauvre la justice vous sera rendue selon la fable de la fontaine. Selon la charia que vous soyez voleur mais puissant comme Ben Ali et un simple quidam comme le jeune journaliste saoudien qui a caricaturé le Prophète, au premier les honneurs dus à son rang et au deuxième le châtiment suprême. La charia n’est pas une loi à géométrie variable, elle exonère et honore les criminels et les terroristes et condamnent les individus qui auraient profané les dogmes del’Islam. A n’en pas douter, il vaut mieux profaner les cimetières juifs, chrétiens ou les tombes des figures du mouvement syndical tunisien et des droits de la femme tel que Tahar Haddad que d’offenser la religion. L’assimiler à une loi n’est pas qu’un pur néologisme, c’est un abus de langage. Comme si l’on pouvait doter Hitler ou Ben Laden de vertus humaines. De la même façon que la communauté internationale a mis hors la loi les los nazies, elle se doit de l’éradiquer et l’éliminer de la surface de la terre. On ne peut pas la rendre opposable aux musulmans alors que c’est loi non écrite, apocryphe, sectaire, fruit du subjectivisme, de l’arbitraire, de la passion hystérique, de la déraison humaine, une loi apparentée à la loi de la jungle et aux lois raciales nazies A défaut d’être synonyme de bien-être pour les musulmans, elle n’est rien d’autre que le stade ultime de la barbarie humaine et le Goulag pour les femmes et les non-musulmans. En faire une norme absolue, immuable et intemporelle, cela relève de la spéculation théologique alors qu’elle continue au fil des siècles d’être l’objet de discussions entre les théologiens autour du Coran et la Sunna. Ayant acquis ses titres de noblesse paradoxalement que 3 siècles après la Révélation. Et comme le rappelle à juste titre Mohamed Talbi, la charia est l’œuvre de l’homme et non celle de dieu. Si effectivement le Coran, considéré comme incréé par les musulmans, la consacre comme le chemin de la félicité, celui qui permet au croyant qui le suit ici-bas d’être en harmonie d’attendre son Graal, on peut légitimement se demander pourquoi la charia est-elle sujette à controverse, contrairement au Coran et dont elle serait surcroît la trame tout au long des 23 années correspondant à la durée de la Révélation ? Si la charia est vraiment l’islam, cela devrait la rendre davantage plus explicite et compréhensible par le commun des croyants. Or, n’étant pas transposée dans aucun écrit, cela la rend illisible et abscons. Alors pourquoi son interprétation, son adaptation et son application diffèrent d’une école juridique à l’autre ? Si elle est l’islam pourquoi suscite-t-elle autant de peurs et d’inquiétudes ? Si l’on s’en tient qu’à seule dimension spirituelle, il est évident que l’on doit se garder de la critiquer, en revanche si l on veut en faire le régime juridique absolu revêtu du sceau du sacré étendant son pouvoir sur le champ social, personnel, civil, public, politique, quand bien même elle puiserait ses sources dans le coran, il est évident qu’elle est incompatible avec le droit positif, celui qui est censé exprimer la volonté générale, et non la volonté de dieu dont certains se veulent les porte-paroles. Une question non dénuée d’intérêt, si cette pseudo loi canonique est d’essence divine, pourquoi continue-t-elle à faire débat au sein du monde musulman comme ailleurs. Autant le Coran et la Sunna font l’unanimité et constituent le socle spirituel et juridique des croyants, autant la charia est source de divergence et de discorde chez les musulmans. Comme si le Coran et la sunna ne sont pas la bonne feuille de route qui s’imposent à chaque croyant. Nul croyant n’est tenu à emprunter une autre voie que celle qui est fixée par le Coran selon l’enseignement du Prophète qui lui-même n’a jamais recommandé aux croyants de s’inspirer de sa tradition.
La charia est-elle aussi une autre voie englobant les deux premières ? Si tel est le cas, pourquoi n’a-t-elle jamais été codifiée comme le code de Napoléon par exemple ? Littéralement, elle signifie en arabe la voie qui mène vers la source à laquelle les êtres humains et les animaux doivent s’irriguer, à condition que l’eau de cette source sot celle d’un ruisseau ou une rivière. Une eau non stagnante en principe. Si elle est vraiment l’islam comme ils l’allèguent pourquoi n’a-t-elle connu son développement qu’au Xème s. avec l’apparition de l’Ecole théologique acharite qui a fermé depuis la porte à toute forme d’interprétation (ijtihad) ? Le fait même qu’elle se comprend aux termes de cette Ecole de pensée comme une opinion, un avis aléatoire par définition, partagée par tous les musulmans, censée être fondée sur des nombreuses sources constituées de sources principales tels que le Coran et la sunna, et des sources secondaires : qiyas (analogique), ijmâa (consensus), coutume (ourfi). Outre la jurisprudence diverse variant selon les pays et en fonction des différentes écoles juridiques (madhhab) tant sunnites que chiites. Ce qui laisse la porte ouverte aux supputations et spéculations de toutes sortes qui ne sont pas sans conséquences pour les fondements de l’Islam. Ainsi toutes les contradictions et fluctuations qui la caractérisent sont bien symptomatiques des incertitudes et aléas qui pèsent sur elle. Quant à en faire une loi universelle pour les musulmans et les non-musulmans, il y a matière à s’interroger sur ses vertus humanistes et égalitaristes. Une loi qui hiérarchise les hommes, les classifie, les série en vertu des simples critères religieux et sexuel porte en elle tous les ferments de la discrimination et du racisme.
Si les lois raciales nazies furent les lois de purification raciale et du génocide du peuple juif, la charia est à considérer comme la loi de purification religieuse, de nettoyage ethnique (le cas des arméniens) et de purification sexuelle.
En conclusion, une société qui méprise l’humain et le discrimine et glorifie dieu au nom de la loi canonique de la charia n’est pas une société digne de son humanité. Elle est une société de la barbarie humaine. Où les faibles et les sans défenses sont jetés en pâtures aux charognards sous prétexte d’un ordre sacré, un passe-droit, un imprematur, qui légitime et autorise l’asservissement et l’exploitation effrénée et insoutenable de l’homme par l’homme. Avec la charia, l’homme est un prédateur vorace pour l’homme.

 

Il n’y a pas d’islam par héritage, il n’y a de religion que dans le libre-arbitre et la liberté de conscience

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Je  rappelle  avec insistance  à tous ceux qui m’étiquettent d’apostat de l’islam, je ne puis abjurer cette religion à laquelle je n’ai jamais fait allégeance. Etre né dans un milieu dit musulman qui lui-même n’a pas fait le choix de l’être n’est pas créateur de sentiment d’appartenance et encore moins générateur d’un lien inaliénable et indéfectible dont on ne peut jamais se défaire sous peine d’y risquer sa vie..

Une mouche qui tombe dans un bol de soupe ne choisit pas la couleur, ni la texture, ni le goût de la soupe, c’est le fruit du hasard mais qui n’est pas un déterminant pour vous conférer le statut de musulman ou de juif ou d’une toute autre religion.

Le lien religieux est une escroquerie intellectuelle dont on peut se défaire comme on défait les lacets de ses chaussures. Nos parents ont suivi leur voie, la nôtre n’est pas la leur, il n’y a pas lieu de se culpabiliser parce qu’on a pas opté pour le même choix qu’eux qui est lui-même un choix par défaut.

La religion est un fait culturel, un système de représentations du monde et de croyance fondée sur des dogmes censés définir le champ du sacré puisant leurs sources dans des lois présentées comme étant l’oeuvre d’une entité super ou supra naturelle dotée d’une force pure, infaillible et parfaite qui n’est que le fruit des élucubrations fantasmagoriques de l’homme.

Une religion ne peut survivre et se pérenniser qu’en jouant sur les mécanismes de culpabilisation et le verrouillage de la raison humaine,déniant à l’homme le pouvoir de définir par lui-même les champs de ses relations personnelles et communautaires. C’est un simple fil conducteur qui relie les hommes entre eux et ne constitue en aucun cas un organe vital dont la perte peut avoir des conséquences vitales. Y renoncer ou ne pas s’y reconnaître et s’y identifier n’est pas ni un crime ni un délit.

Comme tout héritage, elle est sujette à caution et qui n’engage aucunement ceux qui le refusent. Peut-on faire un procès en sorcellerie à un descendant d’un nazi ou d’un kmer rouge de ne pas s’identifier au lourd passé des siens ? De même que l’on ne peut décapiter un individu qui ne se reconnaît pas dans les valeurs cruelles, inhumaines, racistes, antisémites et barbares de l’islam ?

Le crime est d’accabler et brandir le spectre de la mort pour épouvanter les supposés héritiers auxquels on veut faire porter le lourd fardeau de l’islam qui exercent leur droit inaliénable à la liberté de conscience qui n’ont pas la même grille de lecture de l’islam que leurs parents dépourvus d’esprit critique, analphabètes, illettrés, incultes, comme c’est souvent le cas dans les sociétés musulmanes. La religion n’est pas un marqueur génétique qui nous relie à notre famille ou un tel groupe ethnique.

Pourquoi l’islam est le plus grand mal de tous les temps

Qu’Aïcha ait 6, 9, 14 ou 18 ans cela ne va rien changer à la face hideuse et nauséabonde du prophète de l’islam, un être de la lignée d’Adolph Hitler et Tamerlan qui se veut l’élu préféré d’une divinité héritée du polythéisme arabe,  lunaire et cruelle, et dont il dispute paradoxalement l’amour dans le coeur des musulmans.

La vraie question est de savoir si l’islam est facteur de développement humain, d’épanouissement personnel, de créativité, de progrès social, de protection des droits de la petite enfance et des droits humains,  de liberté, de démocratie, d’égalité entre les sexes et tous les hommes indépendamment de leur croyance et leurs origines, d’innovation technique et technologique, de justice sociale, d’humanisme, de paix, de renouveau humain, de respect du droit à la différence et de la concorde entre les peuples ?

Une religion qui prêche la haine de l’autre, qui ordonne le meurtre de ceux qui l’abjurent et qui voue une aversion pathologique aux juifs et aux chrétiens n’a rien d’humain.  Elle est le culte du Mal.  Quel sens spirituel peut-on accorder à   une religion si imbue d’elle-même, suprématiste, raciste et qui se veut la plus parfaite et au-dessus de toutes les autres ? Aucun si ce n’est qu’elle cherche à conférer une morale à ce qu’il ne l’est pas et de donner du sens aux conduites et dérives extrémistes, perverses et ultra-violentes. A l’antipode de la définition du concept de la religion selon Emile Durkheim : »Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c’est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent. » – Les Formes élémentaires de la vie religieuse, 1912.

Plutôt que de se livrer à un examen critique de la vie du prophète auto-proclamé  susceptible de provoquer l’ire des musulmans qui le vénèrent plus qu’Allah lui-même, le mettant sur le toit l’humanité, car il reste la seule image réellement sacrée pour eux,  alors que rien dans sa vie ne plaide en faveur des vertus morales dont il est dotée, il faut analyser cette religion qui ne l’est pas sous l’angle du libre-arbitre et de son apport en matière de droits fondamentaux et de la préservation de la mémoire universelle ?

Quel a été son apport dans les recherches archéologiques ? A-t-elle mise en valeur les grandes civilisations perse, égyptienne, mésopotamienne, carthaginoise,  romaine,  assyrienne etc? A-t-elle été au rendez-vous des grandes révolutions qui ont bouleversé l’humanité et l’ont fait passer de la prtohistoire à l’histoire, imprimerie, technique, technologique, nanotechnologique, informatique, elle qui a fait du nihilisme un dogme religieux, ? 
Quel est le nombre des musulmans qui ont obtenu des prix internationaux tels que les prix Field, Pritzker et Nobel ?
Quelle est la part de la recherche et développement dans les P.N.B. des pays musulmans ?

Si l’islam est aussi scientifique que ne le prétendent ces masses incultes et analphabètes alors pourquoi les musulmans préfèrent investir dans la construction des mosquées et zéro cent dans les laboratoires de recherche et leurs prédicateurs les abreuvent de délires charlatanesques sur la position de la terre par rapport au soleil ? 
Pourquoi préfère-t-on conditionner mentalement les enfants en leur inoculant le virus du djihad, les endoctriner, les élever dans la peur de la mort et la haine de l’autre, et l’ethnocentrisme plutôt que de leur inculquer les bases de l’amour, éveiller leur intelligence,susciter en eux la créativité et le respect de celui qui est différent de soi ? Pourquoi les pays musulmans sont ceux qui consacrent la part la plus faible de leurs richesses nationales à l’éducation et à la santé publique, où les dizaines de millions d’enfants déscolarisés ne bénéficient pas d’accompagnement préventif et de mesures d’insertion sociale et professionnelle, pour être livrés comme des proies aux vautours qui appellent à la destruction de l’humanité ?

Pourquoi l’islam est synonyme  de pédophilie, d’inégalités sociales, de racisme de classe, de tribalisme,d’obscurantisme, de bellicisme, de sexisme, de racisme, d’exclusion, d’ethnocentrisme, d’inculture, de haine du juif et du chrétien, de perversion morale, d(effusion de sang, de barbarie, d’intolérance, de despotisme; de négation des libertés, d’anti-individualisme, de castration de la création,  de décapitation, de divisions, d’inégalités entre les hommes et les femmes, d’esclavagisme, de lubricité, des des droits de la femme et de la petite enfance, de refus du progrès humain, de résignation, de fatalisme et de violence ? Autant de questions auxquelles les musulmans sont incapables d’y répondre et qui ne leur donnent pas l’opportunité de crier à l’islamophobie. Le propre des musulmans est d’esquiver les débats sur l’islam en déversant leur venin sur leurs contradcteurs.

Dénoncer le racisme de l’islam n’est pas du racisme, mais un acte citoyen

A ce que je sache les musulmans ne sont pas une race pour se prévaloir en tant que telle des lois anti-racistes en vigueur en France. Mais il y a tout lieu de penser que c’est le cas. En effet, ils ont tendance de plus en plus à se plaindre du racisme dès que l’on fait tomber le masque de l’islam et de leur envoyer à la figure la nature ethnocentrique de leur religion. A moins qu’ils ne soient dotés de 47 chromosomes plutôt que de 46 si l’on considère que l’islam soit un marqueur génétique et qui confère à ses fidèles des qualités extra-humaines faisant d’eux des supermen, ne disent-ils pas justement qu’ils sont la plus brillante communauté jamais façonnée par Allah et le denier musulman est meilleur que le plus brillants des « impies », pour pouvoir réclamer, en réalité c’est leurs larbins droits de l’hommisme qui le font pour eux l’application de la loi de 1881 sur la Presse pour bâillonner la liberté d’expression et la condamnation de leurs détracteurs en vertu des lois antiracistes en vigueur en France.
Ils se servent de l’arsenal juridique répressif pour tuer les libertés publiques et occulter les débats sur l’islam aidés par les islamo-collabos.

N’ayant jamais le courage d’affronter la réalité en face, ils préfèrent porter le débat sur le terrain judiciaire où ils sont convaincus d’avoir gain de cause à cause de l’ignorance et la méconnaissance des textes fondateurs de l’islam et qui sont leurs vrais codes juridiques et leur seule école de pensée.
Obtenir à bon compte la condamnation de ceux qui se battent contre l’islamisation galopante de la France et dénoncent au péril de leur vie les crimes de l’islam, les prêches haineux et ultra- violents des prédicateurs, les injonctions coraniques et des hadiths à la violence, l’exaltation du suprémacisme, l’antisémitisme et le racisme du coran ainsi que la perversité morale de l’islam.

Ce que je combats personnellement ce ne sont pas les musulmans, qui sont des pauvres individus égarés dans la jungle inhospitalière et effrayante de l’islam et comme le disait fort bien Ernest Renan, qu’ils sont ses premières victimes et qu’il faudrait les arracher des ses griffes, mais l’idéologie barbare, inhumaine et porteuse de tous les ingrédients de crimes contre l’humanité. Depuis les attentats du 11 septembre, il ne passe pas un jour sans qu’elle n’endeuille notre humanité. La seule idéologie  au monde qui exalte les crimes sexuels  appelle à  la transgression des tabous et des interdits sexuels.
Un chiffre qui résume tout, plus de 9O% des crimes d’honneurs dans le monde sont l’œuvre des musulmans. Il ne suffit pas de dire qu’ils ne sont pas musulmans, mais en quoi leur islam n’est pas celui du prophète lui-même dans son code social, culturel politique et dogmatique ?
Le vrai islam a fini par dévoiler son visage hideux au monde contrairement à leur tentative désespérée de se voiler la face de peur d’affronter le regard de l’autre qui les renvoie à leurs propres mensonges, même si son nom dans le passé n’avait été dans les faits un hymne à la paix et à l’amour bien au contraire, il était le cauchemar des peuples. Hindous,Berbères, Nubiens, Arméniens, Coptes, Assyriens, Juifs, Egyptiens, Africains, les chrétiens arabes d’Orient.  Qu’ont-ils fait les musulmans de tous les non-musulmans d’Arabie par exemple  ?
Quand on arrive pas à assumer l’héritage nauséabond de sa foi et pour esquiver le débat, on accuse ses contradicteurs  de mauvaise foi, de racisme et leur cracher dessus le poison venimeux inoculé par l’islam dans le corps musulman.
On ne fait pas de la passion hystérique un mode d’argumentation   et de dialogue.