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Autant marier le nazisme avec l’humanisme que de rendre l’islam soluble dans la démocratie

En intronisant les islamistes comme maîtres du jeu politique en Tunisie et en Egypte en 2102, les musulmans et tous les pseudos démocrates de ces pays n’ont fait que donner un coup de vis aux changements tant espérés et attendus depuis 14 siècles. Voter pour un parti laïque par exemple c’est voter justement contre l’islam, un péché mortel. A choisir entre un candidat athée porteur d’un projet viable pour eux et un candidat musulman déclaré, ils opteront sans hésitation pour le candidat de leur bord religieux.

En effet, un musulman n’est pas un citoyen ordinaire qui n’a pas à exprimer ses choix politiques et élire ses représentants,  il  est par définition un soumis, un esclave dépourvu de discernement,  il doit rester  fidèle à aux lois de l’islam et doit veiller ainsi à suivre rigoureusement les préceptes coraniques et de ne pas écouter d’autres chants de sirène qui pourraient l’égarer du sentier d’Allah.

Seul un régime théocratique gouverné la Charia qui enferme les hommes dans le bunker de la religion où l’on vit que pour Allah et jamais pour soi est conforme aux lois de l’Islam et convient le mieux à la personnalité musulmane résignée et fataliste et qui fait de son passage sur terre comme un marche-pied pour sa vie éternelle. Nourrie d’illusions d’un monde meilleur après sa mort

Tant que perdure la main mise de la religion sur la vie de la cité, il n’y aucun espoir de bâtir des Etats modernes où l’homme est acteur de ses choix de vie et architecte de son destin politique.

Allah est le maître-esclavagiste et l’homme est son esclave, « abd ». L’homme musulman est né pour exécuter les ordres prétendument canoniques et se soumettre à la volonté de son créateur. Il a pour obligation de se plier aux règles qu’Allah lui a fixées, il ne peut s’y soustraire, sous peine de subir la double peine : l’ire de ses coreligionnaires, voire la mort dans certains cas et la colère d’Allah dans l’au-delà, après avoir subi le supplice de la tombe auparavant.

Avec un code aussi répressif que rigidifié et liberticide, c’est une gageure d’imaginer que les pays musulmans, vont adopter des régimes politiques incompatibles avec les lois de l’islam susceptibles d’éloigner les hommes de sa voie et de desserrer son étreinte étouffante sur eux .

Il n’y a pas pire hérésie intellectuelle et insulte à l’islam que de vouloir le faire cohabiter avec un autre système politique libérateur des énergies humaines, égalitaire entre les sexes et tous les hommes sans distinction de croyance et d’origine, social  et juste alors qu’il est lui-même un mode de gouvernance politique, et chercher à le concilier avec la modernité pendant qu’il veut faire avancer l’humanité à contre-courant de l’histoire.

Ouvrir l’islam sur le monde revient à lui faire perdre son essence et sa sève nourricière et ainsi son pouvoir exorbitant sur la codification de la vie de ses fidèles autour du sacro-saint binôme halal et haram, autant prêcher les principes de la laïcité auprès des Talibans ou de Boko Haram, car il se veut lui-même le monde et se pose comme la modèle parfait et universel, alors qu’il n’est que le produit d’une culture bédouine sanguinaire, primitive et aride en tous points de vue.

La modernité dans l’islam se conjugue avec la réactivation des temps anciens qui deviennent le futur humain.

L’islam a tellement tout verrouillé qu’il ne laisse pas une miette au moindre projet de réforme et d’évolution. Il est le modèle par excellence de la stagnation et du recul de l’humanité et un frein insurmontable au développement économique et aux progrès sociaux, techniques et technologiques.

A trop vouloir modeler ses hommes pour en faire des êtres sans âme et sans volonté propre, ni esprit d’initiative, ni libre-arbitre, ni espoir ni espérance et de leur imposer la mort comme idéal de vie, des pions sans aucune emprise sur leur destin humain, l’islam a fini par produire des êtres humains auto-destructeurs et nihilistes dépourvus de toute humanité comme ses créatures djihadistes, des véritables monstres de cruauté humaine qui glaceraient d’effroi les Waffen SS eux-mêmes.

L’islam est tout-à-fait conscient que seule l’intransigeance dans l’application de ses préceptes est garante de sa pérennité. Brider ses fidèles jusqu’au sang afin qu’ils ne se détournent pas de leur voie jusqu’au jour où ils se retourneront contre lui pour lui faire rendre gorge.

Terroriser les hommes et les terrifier pour exister, car il y va de sa survie. Accepter les changements est pour lui les débuts de la fin.

Jamais l’islam n’acceptera la présence ne serait-ce de l’ombre d’un modèle politique ou sociétal qui pourrait un jour lui faire de l’ombre.

L’islam est par définition l’idéologie de l’asservissement de l’homme au divin il n’a que faire de sa condition de vie misérable. Bien au contraire il brandit la menace de l’enfer et de la malédiction pseudo divine à l’égard de tous ceux qui veulent faire acte de résilience et pour qui la misère n’est pas une fatalité et les luttes sociales sont un mal nécessaire pour établir un ordre social juste et humain.

Quel meilleur allié que l’islam pour l’ultra-libéralisme et la déréglementation économique et les inégalités sociales ! Avec lui, c’est la fin de l’Etat de droit et des protections sociales, des revendications syndicale

Il n’y a qu’un seul islam, celui des islamistes, l’épée dans une main et le Coran dans une autre

Lettre ouverte à Tariq Ramadan par F. Sweydan

« L’islamisme est l’islam politique » clament les laudateurs de l’islam, paisible et inoffensive religion, objet de dévoiement, d’instrumentalisation et de détournement à des fins politiques afin d’instaurer un régime politique totalitaire liberticide faisant de la charia, qui est par définition l’islam lui-même et qu’il ne peut y avoir d’islam sans la charia, la source unique du droit et pour constitution le Coran.
L’islamisme serait ainsi une doctrine antinomique à l’islam que des hérétiques, les islamistes, s’attachent à la diffuser au sein des pays musulmans par par tous les moyens et dont la première victime est l’islam lui-même. Mis à mal, défiguré, dénaturé, violé, par une idéologie dont la finalité est de tuer l’islam lui-même.
Les islamistes n’ont aucun projet velléitaire de cette nature et bien au contraire leur but est de faire redorer son blason à l’islam pour en faire un nouvel ordre mondial: L’idéologie des Frères musulmans est résumée dans leur devise : « Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance ». Plus précisément, les thèmes essentiels de la doctrine des Frères musulmans sont la création d’un État musulman théocratique, le rétablissement du califat, la lutte contre toute tentative de rénovation ou de « modernisation »
de l’islam, la dénonciation de la civilisation occidentale, l’anticolonialisme, le panislamisme et le panarabisme
ainsi que l’anticommunisme.(source http://www.akadem.org/medias/documents/Doc_freres_musulmans.pdf) Ils oeuvrent pour le retour aux sources originelles de l’islam par la destruction des Etats-nations et la réorganisation de l’Etat sur le modèle du Califat musulman soumis à l’autorité d’un Calife, successeur de Mahomet, issu de la tribu de Qoureisch, un leader charismatique qui préside à la destinée politique et religieuse de tous les musulmans regroupés au sein de l’Oumma, la matrice-mère des musulmans.

L’islamisme est la revitalisation de l’islam dans son essence totalitaire et monopolistique dans le contrôle de la vie des croyants.
L’islam doit sa régénérescence actuelle à l’islamisme grâce au souffle du renouveau qu’il répand dans les sociétés musulmanes de plus en plus séduites par le retour de l’islam sur les devants de la scène mondiale, indifférentes au massacre au quotidien dont elles sont les premières cibles et les crimes contre l’humanité perpétrés par leurs coreligionnaires islamo-terroristes qui sont pour eux la force de frappe crainte et redoutée du monde entier et des vaillants combattants dans la voie d’Allah et de Mahomet. Convaincues que l’islam progresse et la victoire est au bout du chemin grâce aux activistes islamistes, elles ne peuvent que s’en réjouir.
Il n’y a pas plus islamistes que les musulmans qui s’affublent du masque de la modération qui jamais n’oseront dénoncer les dérives ultra-violentes des islamistes qui ne font qu’appliquer vigoureusement et rigoureusement ce que le Coran enseigne et ordonne.
L’islam lui-même est politique et l’islamisme n’est que la mise en oeuvre de la feuille de route mahométane pour la conquête du monde dont la réalisation ne pourrait se faire que dans l’intégration des musulmans dans le même espace politique et religieux, c’est-à-dire l’unification de tous les musulmans qui n’est en réalité qu’un délire fantasmagorique quand on connaît le schisme et les divisions qui les minent depuis la mort du fondateur de l’idéologie islamique.
En alléguant que l’islamisme est l’islam politique, on laisse sous-entendre que Mahomet était un parangon de démocratie qui avait érigé la séparation des pouvoirs en dogmes religieux. Comme s’il était un humble chef spirituel, ne s’occupant que des affaires cultuelles. Il était aussi bien un chef politique et un chef de guerre et pire encore un chef mafieux.
Que ceux qui cherchent à nous enfumer avec l’islamisme n’est pas l’islam, comme si le nazisme n’était pas de l’hitlérisme, éclairent ma lanterne sur la vraie différence entre les deux alors que Mahomet lui-même avait fait de l’islam une idéologie totalitaire qui gouverne et codifie la vie de ses sbires dans ses moindres petits détails. Ne leur laissant aucune marge de manoeuvre dans l’organisation et la gestion de leur vie terrestre. L’islam mélange tous les genres et amalgame le sacré et le profane. Il se veut un ordre commun de portée universelle embrassant toutes les sphères de la vie. Pour lui l’humanité doit être unifiée sous sa bannière et qu’il ne saurait avoir d’autres vérités que la sienne dictée par Allah et lui-même. Tout un programme qui en dit long sur la nature tyrannique et génocidaire de l’islam.
Il n’y a pas d’islam du Coran dans une main pour les uns, et un islam de l’épée pour les autres. Il y en a qu’un celui de l’islamisme qui consiste à brandir le Coran dans une main et l’épée dans une autre pour le propager dans le monde.
L’islam n’est pas paix, il est l’épée de la conquête du monde au prix du sang des mécrus. Qu’il y ait des musulmans qui répandent l’islam par la voie du prosélytisme non violent,,le but est le même instaurer la dictature de l’islam. Ce qui ne change rien au fond du problème, puisqu’une fois que l’on tombe sous sa coupe on devient son esclave.

Un musulman est par définition la propriété d’Allah, il n’a pas à se plier aux lois démocratiques

Soyons réalistes comment peut-on imaginer un seul instant les musulmans vivant en Occident peuvent concilier le respect des lois de leurs pays d’accueil avec celles de l’islam considérées comme étant les seules et uniques lois auxquelles les musulmans sont tenues, censées être de surcroît parfaites et donc au-dessus des lois des hommes du fait de leur essence divine ?

Un musulman ne doit suivre que la voie d’Allah, celle du djihad pour défendre et promouvoir sa cause afin favoriser son règne sur la terre tout entière, ni concevoir, ni réfléchir, ni élaborer, ni tracer de lui-même un autre chemin que son Seigneur et Maître lui a fixé.  

Quel projet politique peut-on avoir dans un environnement où l’humain na pas d’existence propre. Censé être dépourvu de toute volonté, incapable de discernement,  n’existant que par et pour sa religion, sans destin personnel en dehors de son Oumma, supposé ne pas être maître de ses choix et tous ses actes doivent être accomplis selon des modalités qu’Allah lui a définies ?

Autant croire que la terre est plate que croire en l’émancipation politique de l’homme musulman et son épanouissement personnel. Acheté par Allah pour accomplir ses desseins hégémoniques sur le monde. Quand on est fidèle aux lois d’Allah on ne peut pas être citoyen de la république et obéir à ses lois. Au point que l’islam est le premier pourvoyeur de délinquants, de criminels et de terroristes en Occident et pas seulement y compris dans les pays musulmans eux-mêmes.

L’islam veut instaurer son propre ordre s’imposer comme la seule Loi universelle pour tous les hommes.Il est inutile de se faire des illusions quant à la volonté des musulmans de s’ouvrir sur le monde dont ils veulent devenir un jour les maîtres ou de s’intégrer dans un espace politique qui ne soit pas d’expression musulmane.

Ils ne voudront ni de la démocratie ni chez eux ni ailleurs à cause de son caractère impie. Ils veulent une cité d’Allah pour les hommes où le temporel et l’intemporel n’en font qu’un. Au fond d’eux-mêmes ils n’ont que mépris et dédain pour la cité qui n’est pas dessinée par Allah. La cité idéale musulmane est celle où prédomine la voix d’Allah, un camp d’esclaves faisant allégeance totale des hommes à ses lois.

Vouloir séparer le sacré du politique revient à amputer l’islam de sa moelle épinière. Que les musulmans qui rêvent d’une société où l’homme est acteur de ses choix politiques s’affranchissant de la tutelle de la religion fassent une fois pour toutes leur deuil de ce rêve qui est à l’antipode de la Loi de l’islam, la charia qui sans elle il n’y a pas d’islam, qui ne reconnaît à l’homme aucune liberté de bâtir une société qui répondrait le mieux à ses attentes.

Un esclave est la propriété de droit de sa son maître. Ainsi le musulman est condamné à vivre  sous la domination absolue de son Acheteur, en l’occurrence Allah, et son représentant, le Calife, Monarque et Souverain Pontife à la fois détenteur du pouvoir politique et spirituel.  Il ne peut par conséquent opter pour tout autre régime politique que la théocratie.

Rien ne doit échapper au pouvoir de la religion qui lui dicte la conduite à tenir tout au long de sa vie terrestre qui doit s’articuler autour des deux pôles, le licite (halal) et l’illicite (haram) sans qu’il ait le droit de réfléchir sur ces choix décidés par Allah pour lui. Il doit appliquer ce qu’Allah commande. S’il veut rester musulman il ne doit pas dévier du sentier d’Allah et refuser l’utopie démocratique au risque d’être condamné pour apostasie.