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Mrs les musulmans : le sionisme n’est pas au judaïsme ce que l’islamisme est à l’islam

Les musulmans dits « modérés » comme si la drogue islam pouvait être consommée à petites doses ne sont pas à court d’arguties fallacieuses pour innocenter l’islam et enfumer leur auditoire, sont bien les rois de l’esbroufe.
En effet, ils soutiennent, sans être certainement convaincus eux-mêmes, que le sionisme est au judaïsme ce que l’islamisme est au judaïsme.
Indépendamment du fait que le sionisme et le judaïsme ne font pas la pair et les sionistes ne massacrent pas les Juifs au nom de leurs idéal politique et restent très attachés à la notion de la patrie, contrairement aux islamistes qui professent un islam totalitaire sans séparation entre le séculaire et le séculier; tuent leurs propres coreligionnaires  et oeuvrent à la destruction de leurs pays en tant qu’entités nationales.
L’islam et l’islamisme sont les deux faces d’un même miroir, les dissocier les deux revient à briser le miroir musulman lui-même. L’islamisme n’a pas attendu la moitié du XIXème  siècle comme pour le sionisme fondé sur une revendication politique, du retour à la terre promise, pour voir le jour. Il est l’islam  lui-même. Tel que Mahomet a laissé en héritage aux musulmans.
Condamner l’islamisme revient pour eux à condamner l’islam lui-même. Sinon définir l’islamisme comme étant l’islam politique revient à amputer l’islam de ses composantes sociétales et cultuelles.
L’islam est une religion holiste contrairement à ce que pensent les musulmans. Ce qu »on appelle islamisme est une réalité une application stricte et fidèle de la feuille de route mahométane dans toutes ses dimensions temporelles et intemporelles. Il est l’islam tel qu’il doit-être purifié de toutes les scories extérieures qui prône un retour aux sources. L’assimiler au sionisme est une vue de l’esprit et une mauvaise foi manifeste.
Le sionisme n’a pas la prétention de rénover le judaïsme ni prêcher l’application littérale des textes talmudiques. A la différence de l’islamisme, il n’instrumentalise pas le politique à des fins spirituelles ni ne vise à régir la vie des hommes dans ses moindres petits détails.

Pourquoi le monde a tout à craindre avec Hilary Clinton

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Si Hilary Clinton gagne les élections américaines, ce ne sera pas la guerre mondiale car on y est déjà ce sera l’Apocalypse mondiale avec le retour en force des nazislamistes au pouvoir dans les pays dits arabes et la voie royale pour son comparse Alain Juppé qui avait oeuvré avec elle en 2011 et 2012 à la promotion de l’islamisme modéré.

Trump qui faute de grives on mange les merles se pose comme le seul rempart en l’état actuel des choses pour lui barrer la route et changer la donne en matière de politique étrangère américaine pour en finir avec les 8 années de l’Administration cauchemardesque d’Obama.

Son retour aux affaires aura pour conséquence de catalyser le fléau terroriste et de redonner des couleurs aux Frères musulmans en Egypte tout particulièrement qui ruminent leur rancoeur meurtrière contre Sissi et qui ont juste besoin du soutien américain pour passer à la contre-offensive et plonger le pays dans un chaos indescriptible.

En toute évidence, elle est attendue comme un messie par l’Arabie Saoudite, un des deux principaux bailleurs de fonds avec le Qatar du terrorisme islamique et son plus généreux donateur embourbée dans sa guerre contre le Yémen et qui rêve d’en découdre avec l’Iran pour briser le spectre du Crossant chiite qui a des ramifications au sein même de son propre territoire.

http://www.liberation.fr/planete/2016/07/29/les-embarrassants-donateurs-de-la-fondation-clinton_1469398.

Elle n’a jamais fait mystère de ses velléités bellicistes et son obsession de réduire l’Iran en cendres pour sécuriser les territoires de ses protégés wahhabites et sauvegarder les intérêts américains.

http://reseauinternational.net/hillary-clinton-si-je-suis-presidente-nous-attaquerons-liran/.

Son passage au Département d’Etat coïncide avec les malheurs des peuples syriens, yéménites, libyens, tunisiens et l’aggravation de l’état de déliquescence de l’Irak pour un bilan des centaines de milliers de morts, des millions de réfugiés mis sur la route de l’exil. Un pays comme l’Algérie l’échappée belle prise en tenailles entre la Tunisie entre les mains des islamo-wahhabites en 2011 et 2012 , le Maroc islamiste.

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Si la Syrie était tombée et grâce aux deux fenêtres de tir tunisienne et libyennes,  elle était dans le collimateur du Département d’Etat qui sous couvert de ses révolutions du printemps arabe, un nom de code de la stratégie de déstabilisation de la région du Croissant dit Arabe, cherchait à créer des micro-Etats inféodés à un califat islamiste avec à sa tête ses fidèles vassaux turcs, qatariens saoudiens afin de pouvoir mieux asseoir sa politique néo-impérialiste et s’assurer des nouveaux marchés et tout particulièrement se créer des nouveaux débouchés économiques pour son économie à bout de souffle. Nonobstant la main mise sur les gigantesques ressources énergétiques d’un califat intégré, les avantages géopolitiques, géostratégique et financiers que lui offrent un tel projet.

http://www.legrandsoir.info/le-document-secret-qui-prouve-que-le-printemps-arabe-a-ete-provoque-par-les-etats-unis.html

Son rôle très  actif dans l’arrivée des islamistes tunisiens et égyptiens au pouvoir est un indicateur inquiétant quant aux perspectives apocalyptiques de son élection

On ne fait des charognards islamistes des animaux domestiques: cas de la Tunisie

Article du 13 juin 2012

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En confiant en ce jour noir du 23 octobre 2011, le pire dans leur histoire millénaire depuis la trahison de Caton,  leur destin politique au charognard nahdhaoui  les Tunisiens  s’imaginaient que leur pays allait échapper aux affres des années de braise de leur voisin algérien et bien plus que ça démonter au monde la capacité de ce peuple à rendre compatible l’islam avec la démocratie.   Autant  ressusciter Mahomet pour lui faire payer ses crimes de guerre et contre l’humanité que de faire des terroristes congénitaux et dogmatiques des acteurs du changement à moins qu’il ne s’agisse dans le cas d’espèce de la dissolution définitive de la Tunisie dans le bain acide de l’islam à la sauce salafo-wahhabite.

Maintenant que le prédateur  jamais repu règne en maître avec leur plein consentement, il va se faire une grande joie pour les dévorer un par un jusqu’au dernier pour assouvir sa faim insatiable et s’enivrer de leur sang . N’est-il pas écrit quelque part dans je ne sais quel livre effroyable et indigeste, certainement dans le manifeste apologiste de la mort et de la haine de soi et de l’autre érigées en idéaux de vie, connu sous le nom du Coran :  harcelez-les, pourchassez-les,  nettoyez la terre de leur présence, chassez-les, livrez-leur un combat à mort,  chassez-les, anéantissez-les  et dévorez-les tous un par un jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien ?

Des sentences mises en exécution  par  les Compagnons de Mahomet, des Califats  les Mogholes, les Fatimides, qui sont  en train de se réaliser sous le règne du futur Califat wahhabite.

Ils sont des exterminateurs, ils ne lâcheront jamais prise tant qu’ils n’ont pas réduit le pays en amas de cendres et irriguer son sol du sang des Tunisiens et tout particulièrement ceux susceptibles de déjouer leurs plans criminels.

Au cas où les Tunisiens ne le savent pas ou feignent de l’ignorer la secte des caniveaux wahhabite d’Ennahdha qui veut dire renaissance en Arabe celle du monde des ténèbres, c’est la Qaïda vous gouverne comme en Libye.

Plutôt que de circonscrire le péril nahdhaouiste, ils la supplient  de les protéger des salafistes avec l’aide du guignole collabo Rachid Amar qui sont en réalité ses propres créatures.

. Autant faire appel à la Qaïda elle-même  pour éradiquer le danger qu’elle a elle-même créé. Ennahdha n’est rien d’autre que la branche tunisienne du mouvement salafo-wahhabo-djihadiste mondialiste. C’est une affaire d’islamistes qui se décline en qoutbistes, salafistes, wahhabites et djihadistes armés.

Pour ceux qui doutent encore, je convie les musulmans tunisiens qui arborent le masque de la modération de franchir le rubican du djihad s’ils ne veulent pas finir cramés en enfer de rejoindre les rangs de leurs compatriotes sur les nombreux fronts du terrorisme musulman dans le monde .

Pendant que les islamistes sèment la mort les musulmans modérés font le mort

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Les dessous, la face cachée, chercher les vrais coupables, on ne fait que fantasmer et épiloguer sur la théorie du complot depuis 15 ans sur les attentats du Twin Towers. Et pourtant les milliers des victimes sont le vrai visage de ces attentats et la preuve irréfutable que des milliers de vies humaines furent brisées pour étancher la soif de sang humain d’un escadron de la mort portant la couleur de l’Islam.

Elles, elles sont bel et bien mortes et sacrifiées sur l’autel de l’ogre islamiste. Nous avons tous à leurs égards un devoir de mémoire et spéculer sur l’identité des vrais commanditaires et bénéficiaires de cette boucherie qui avait frappé toute la communauté internationale sans distinction de religion et de nationalité revient à infliger une nouvelle mort aux victimes et réveiller la douleur de leurs familles.

Qu’il y ait des zones d’ombres entourant cette tragédie qui portait le sceau de la terreur islamiste cela va de soi mais qui est loi d’être avérées, mais spéculer là-dessus alors que ces morts sont là pour témoigner que le ventre de la bête islamiste est aussi immonde fécond que la bête nazie est un déni de vérité et une profanation de la mémoire de tous innocents qui avaient le malheur d’avoir croisé sur leur chemin de la vie des fanatiques avides de chair humaine.

Nul ne doit nier que jusqu’à preuve du contraire que les auteurs des attentats macabres du 11 septembre 2001 professaient tous la religion musulmane. De même qu’à ce jour aucune voix ne s’était levé dans le monde musulman pour condamner explicitement et sans ambages ni détour cet acte ignominieux qui jeté une tache indélébile sur l’Islam lui-même qui du statut de religion se trouve depuis cette date assimilée à une idéologie ultra-violente, sanguinaire et totalitaire.

Il est regrettable et navrant qu’aucun rassemblement ne soit tenu en hommage aux victimes, ni aucune prière ne soit organisée dans les mosquées pour commémorer la mémoire des victimes. Le sang qui avait coulé ce jour-là était tout simplement humain. Les terroristes n’avaient pas fait de différence au moment de leur passage à l’acte. Les musulmans qui étaient eux aussi endeuillés en ce jour funeste se doivent d’associer aujourd’hui dans leurs prières toutes les victimes de ces attentats que certains de leurs coreligionnaires avaient perpétrés quoi qu’il en soit au nom de la religion musulmane et pour la gloire d’Allah, cette divinité immonde et diabolique.

La dernière parole prononcée par ces monstres n’était-elle pas justement : Allah Akhbar et non pas louange à Dieu ou Haré Khrisna ? Il est évident que les musulmans qui sont souvent les premières victimes de la violence terroriste n’ont pas à endosser une quelconque responsabilité dans lesdits attentats, mais il n’en demeure moins que leur silence trouble n’est guère rassurant quant à leur volonté d’éradiquer la peste terroriste qui prospère en leur sein.

C’est leur absence de réaction virulente et de forte mobilisation contre le fléau terroriste qui laisse à penser qu’ils s’y accommodent parfaitement., validant ainsi le postulat qui ne dit mot consent. Enfin que les djihadistes islamistes aient été manipulés et des simples pantins entre les mains des forces occultes, il s’agit-là d’une circonstance aggravante qui dénote d’une part qu’ils sont des sujets influençables et dénués de volonté propre et d’autre part leur doctrine religieuse dont ils se veulent les vaillants combattants n’enseigne ni le respect de la vie humaine ni le sens de l’honneur. Les terroristes islamistes sont sans foi ni loi, ce n’est pas par hasard qu’ils sont des potiches et des nervis pour leurs vrais maîtres.

La vraie réconciliation des musulmans avec la communauté internationale aura du sens le jour où chaque pays musulman érigera sur son sol un Mémorial en hommage aux victimes du radicalisme musulman. Mais cela relève encore de l’utopie.

Autant humaniser le nazisme que de dissoudre l’islam dans la démocratie

 

La Tunisie est en pleine déliquescence morale, politique, sociale et économique. Elle était au bord du gouffre aujourd’hui elle se trouve plongée dans le fond du gouffre. Comme si les tunisiens ont cassé ce fil tenu qui les sépare de l’anti-histoire. En pensant écrire une nouvelle histoire de leur pays, ils lui font emprunter un chemin qui va à contre-sens de l’histoire.
En effet, les tunisiens qui se sont soulevés un jour comme un seul homme dans un grand sursaut d’orgueil et de fierté nationale en espérant redonner la dignité nécessaire à leur pays, or, c’est bien tout le contraire qui s’est produit. Pire qu’avant, qu’au point -je demeure convaincu- que certains tunisiens doivent regretter l’ère de Ben Ali et leur relative sécurité matérielle et tranquillité d’esprit (ils ne vivaient pas dans l’angoisse de vivre dans l’islam régentant tous les aspects de leur vie).
Aujourd’hui en guise d’espoir d’une vie meilleure ici-bas, leurs nouveaux gouvernants plus préoccupés par l’application des décrets canon que par l’intérêt public leur font miroiter sous la contrainte et l’opprobre l’espérance d’une vie meilleure dans l’au-delà.
Manoeuvre pernicieuse pour masquer leurs incompétences. Instrumentaliser la religion est une ficelle grossière surtout symptomatique de la confiscation pouvoir, de l’octroi des privilèges et de l’accaparement des richesses par des gouvernants qui faute de légitimité politique se servent de Dieu pour asseoir leur domination sur leurs peuples. Les tunisiens sont tombés dans le piège du nouveau messianisme politique tel que l’incarne la coalition tripartite au pouvoir.
Leur pays prend l’allure d’une mosquée géante à ciel ouvert où prédomine les signes ostentatoires de l’appartenance à des groupements communalistes sectaires. l’espace public est devenu le champ de l’exercice de pouvoir du sacré. Où l’interdit est devenu la seule norme sociale et la vie des gens doit être en conformité avec les prescrits de la religion. Ni sphère privée, ni sphère publique.
Tout s’entremêle et se confond. Seule l’obéissance à la Loi de la religion doit être leur seule guidance. Ce qui laisse augurer un avenir des plus sombres et inquiétants à la démocratie car elle est contraire aux dogmes de l’Islam alors que c’est elle qui lui a remis les clés du pouvoir en Tunisie. Ce qu’on peut qualifier des effets pervers de la révolution tunisienne.
Eux qui croyaient améliorer leurs conditions matérielles de vie sur terre, brisant les chaînes du despotisme pour instaurer un nouvel ordre social et politique en totale rupture avec l’ancien en s’attaquant aux causes de leurs maux voilà que ceux dont les urnes de l’avanie démocratique ont désigné comme nouveaux maîtres du pays leur font prendre le chemin de l’indignité, du mépris et de l’ignominie.
Au lieu de s’inscrire dans la logique de l’esprit de la révolution tunisienne, ils préfèrent d’ores et déjà dévoiler aux tunisiens leur vrai visage anti-national, anti-patriotique et en décalage avec l’identité plurielle tunisienne. Au lieu de faire de la politique citoyenne, ils se mettent à vilipender, vitupérer et invectiver la femme tunisienne responsable et indépendante qui a fait le choix de sa liberté d’esprit et de conscience en tenant à son propos des paroles blessantes et intolérables qui touchent à sa dignité et sa probité morale tel que le terme de safirate employé par le Président fantoche et homme luge d’Ennahdha.
Ils jettent l’anathème sur tous ceux qui ne font pas publiquement allégeance à leur système de valeur régressif et réactionnaire. La censure religieuse et morale s’est substituée  à la liberté. Ils menacent de les envoyer dans les bûchers de l’enfer s’ils ne se soumettent pas à loi naturelle des choses. Celle qui assimile la résignation à son sort comme soumission à la volonté de Dieu et la résilience comme un sacrilège. Celle qui interdit toute revendication pour une meilleure justice sociale. Les règles du jeu politique et social sont prédéterminées, les cartes sont attribuées à l’avance, tout un chacun se doit de les conserver et les préserver même si les modalités de distribution sont ésotériques, irrationnelles, injustes, arbitraires, dégradantes et humiliantes pour la condition de vie humaine. Peu importe les frustrations que cet ordre inégalitaire et partial peut induire, seule chose qui importe est le respect total de la Charte abscons et déséquilibré qui lie les joueurs qui errent sur le terrain du jeu comme des âmes perdues, ne comprenant objectivement pas grand-chose aux mécanismes obscurs et qui verrouillent les rapports de force entre eux car il rend a fortiori le jeu impraticable et la partie injouable. Dans une partie de jeu cartes où les règles de jeu sont définies par les joueurs eux-mêmes , on peut concevoir et imaginer des stratégies pour gagner les cartes et de son adversaire et modifier l’équilibre du pouvoir, or dans une partie où les joueurs ne sont pas partie prenante dans l’élaboration de ses règles et dont l’issue est connue d’avance par tous les joueurs dont le seul rôle consiste in fine à remplir leur rôle de figurant.
La frénésie, la montée de l’adrénaline, l’ivresse de la victoire, les émotions fortes, le chagrin de la défaite, l’esprit de compétition, la concurrence loyale, l’esprit de combat, la ténacité, le sens du défi, la non-résignation à la défaite, prendre l’adversaire dans son propre jeu, croire en ses chances, renverser les pronostics sur la base du principe qu’une partie n’est jamais joué d’avance, renverser la vapeur, ne jamais s’avouer vaincu, se prendre en mains, ne pas se laisser gagner par le doute, se révéler à soi dans l’adversité, performances, exploits, réussite, l’égalité des chances entre les joueurs, autant d’ingrédients qui donnent à une partie de jeu de cartes où les joueurs sont ses vrais concepteurs et acteurs toute sa saveur, sa richesse et sa beauté dont ils essayent à chaque fois d’en améliorer le contenu et de la portée.
Une partie où l’incertitude n’est pas de mise, où chaque joueur doit se cantonner à al place qui lui est fixée d’avance sans savoir si cela correspond à sa vocation, à ses désirs et ses envies, lui interdisant toute possibilité de remise en cause du rôle qui lui est assigné et surtout l’empêchant de contrer l’adversaire surtout quand ledit adversaire jouit de privilèges exorbitants sous prétexte que c’est Dieu qui l’aurait doté ainsi, il ne reste à ce joueur qu’une seule alternative se remettre à la volonté de celui a élaboré lesdites règles. Renoncer au combat et se laisser gagner par la fatalité de l’échec au nom de l’ordre de droit canon reste aujourd’hui pour le joueur, en l’occurrence le fidèle, la seule issue possible qui donne du sens à sa vie. Il ne peut avoir pour lui un autre vecteur pédagogique que celui qui lui enseigne le refus de toute forme de combat visant à lui conférer le statut d’acteur et non de serviteur. Par voie de conséquence, leurs gouvernants qui sont censées les arbitrer et les guider dans leur quête de Graal spirituel, les considérant comme des joueurs immatures, dépourvus facultés de discernement et incapables de réfléchir et penser par eux-mêmes, se font fort d’employer des méthodes de gouvernement attentatoires à la dignité humaine et oppressantes, en leur rappelant que le curseur musulman ne doit pas être déplacé du centre de gravitation de la vie des musulmans. Voile intégral pour les femmes comme le recommande le nouveau Président d’opérette en Tunisie et dévotion à Dieu. En dehors de cela, point de salut. Ni progrès social, ni démocratie, , ni progrès humain, ni libertés politiques, ni conscience de soi, ni libertés individuelles, ni égalitarisme, ni générations futures, ni bien-être. Imaginer et concevoir la Tunisie du futur c’est comme si on demandait à un musulman de concevoir sa vie sans l’Islam.
Seule perspective qui s’offre aujourd’hui à ce peuple frustré des libertés depuis la destruction de Carthage est la consolidation de la voie qui le mènera au paradis en contre-partie de l’enfer sur terre.

Le wahhabisme, le vrai visage de la mascarade des révolutions du « printemps arabe »

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Le wahhabisme est un poison mortel pour toute l’humanité adoubé par la Maison Blanche sur lequel elle veille comme une mère sur son enfant depuis le fameux Pacte de Quincy du 14 février 1945 qui est à l’origine directe du péril terroriste actuel qui menace la paix et la sécurité dans le monde.

Devenu aujourd’hui une pièce maîtresse sur l’échiquier politique américain en direction des pays « arabes » et au-delà, il y a tout lieu de croire que c’est le wahhabisme qui est le vrai visage de ces révolutions ubuesques appelées pompeusement du « printemps arabe » dont le premier acte s’est déroulé en Tunisie qu’Obama veut transformer en laboratoire de la démocratie à la mode arabo-musulmane.

Ce qui en soi laisse poser de sérieuses questions sur le caractère populaire de cette révolution. Si elle est tunisienne, elle n’a pas à faire l’objet d’ingérence étrangère et si elle a été téléguidée, mise en musique et initiée de l’extérieur Obama serait son vrai tuteur.

Et comme tel, c’est somme toute logique qu’il se sert de la Tunisie comme champ d’expérimentation avant de l’étendre aux autres pays « arabes » dans un premier temps et le reste du monde musulman par la suite.

Au vu de la nature idéologique et politique des acteurs squattant la scène tunisiennes comme le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Turquie islamiste, les pires ennemis des droits humains, sous la houlette de la Maison Blanche,il y a fort à douter que cette révolution soit ainsi tuniso-tunisienne.Résultat de recherche d'images pour "images hillary clinton avec des islamistes en 2011 ET 2012"

On peut croire qu’il s’agit d’une imposture révolutionnaire, d’une partie de Poker menteur aux dépens des Tunisiens. En effet, sous prétexte de faire émerger une démocratie à la tunisienne prouvant que la greffe démocratique est possible en terre islamisée, on veut créer un modèle transposable aux autres pays arabo-musulmans. Ce n’est qu’une illusion d’optique, en réalité les maîtres d’oeuvre veulent tout simplement utiliser ce pays comme fenêtre de tir contre ses voisins libyens et algériens, grâce à sa position géographique névralgique terrestre et maritime et ses frontières communes avec ces deux pays en question qui sont les vraies cibles de cette alliance de l’épée wahhabite et de l’aigle américain.

Les Tunisiens ne sont pas conscients de l’importance des enjeux idéologiques, géopolitiques, géostratégiques, géo-énergétiques de leur scrutin. Ils ne se posent pas des questions de la présence inquiétante de tous ces vautours dans le ciel de leur pays et qui sont porteurs d’un mauvais présage.

Leur vote pro Ennahdha marque le début de la fin de la Tunisie et le prélude d’un chaos indicible dans la région et ses dommages collatéraux sur l’Europe occidentale elle-même . Mais cela dépasse l’entendement des élites politiques tunisiennes corrompues et du petit peuple des mosquées.Résultat de recherche d'images pour "IMAGES DES MANIFESTATIONS SALAFISTES EN TUNISIE"

L’appât du gain prime sur l’honneur national qui est de surcroît une notion impie chez les musulmans. Pour eux, Ennahdha est le porte-drapeau de la renaissance de l’islam en Tunisie et la garante de la ré-instauration du Califat cher au coeur de tous les musulmans. C’est la voix d’Allah dans ce pays, elle veut le bien de l’islam, on ne va pas commettre le sacrilège de s’inquiéter de l’origine de ses fonds qu’elle distribue généreusement aux veuves et aux orphelins.

Ennahdha est pour eux l’Armée de Salut et qui détient en plus les clés de la porte du paradis, ils ne sauraient lui compliquer cette noble tache de ré-islamisation de la Tunisie. Maintenant que les Tunisiens sont heureux de vivre pleinement leur islam et qu’ils n’ont plus peur de sa cacher comme au temps de Ben Ali selon la propagande officielle islamiste, qu’importe le destin de leur pays devant la gloire de l’islam. Ennahdha veut le bien de l’islam et en douter c’est en offenser l’islam lui-même, il n’y a pas lieu donc de démystifier et de dénoncer son jeu politique mortel pour la Tunisie. A cause de son aura messianique et surtout des pressions extérieures sur les autorités de transition Ennahdha jouit d’une réelle impunité pour propager le poison wahhabite dans les mosquées du pays et à travers son réseau d’associations pseudo-caritatives. Nonobstant, le silence complice des soi-disant opposants à Ben Ali d’hier. Qui pourrait s’inquiéter sur les dessous de ces instances fantoches créées pour satisfaire le narcissisme pathologique de certains prédateurs non-islamistes qui sont des simples agents à la solde d’une puissance étrangère dont le seul but est de wahhabiser la société tunisienne et d’oeuvrer pour la bonne cause de la Pax America ? Evidemment pas les politicards tunisiens qui sont assez lucides pour ne pas scier la branche d’arbre sur laquelle leurs tuteurs occidentalo-wahhabites les ont confortablement installés.

Les accointances troublantes, les collusions entre Ennahdha et ses donneurs d’ordres, ses bailleurs de fonds et maîtres à penser idéologique sont une question de détail.

Au nom de la soi-disant hospitalité islamique, les wahhabites ont signifié aux Tunisiens une fin de non-recevoir quant à leur demande d’ extradition du despote déchu sans que cela ne suscite le moindre émoi dans l’opinion publique du pays.

Le danger islamiste est tellement banalisé qu au point que les Tunisiens ne se rendent pas compte que de par leur passivité et leur silence, ils sont les meilleurs alliés des agents de l’ignominie wahhabite qui n’ont pourtant jamais caché leurs sombres intentions de la mise à mort de l’unité et à l’intégrité politique de la Tunisie qui devra être diluée dans l’Oumma islamique pilotée par les wahhabites.

Place à la charia et fin des illusions aux idéaux de liberté, égalité, justice, dignité, travail et équité. Le rêve de citoyenneté est mort à tout jamais et place au statut de fidèle musulman.

Les Tunisiens n’ont pas vu venir le danger et qu’ils ont été bernés par Obama. se croyant s’être débarrassés de Ben Ali et ils ont en échange les escadrons de la mort. Ils n’ont que faire de leur probité morale et de leur dévouement patriotique. Anti-constitutionnalistes viscéraux, farouches partisans de l’Oumma et du djihad pour propager l’islam, ils sont bien pires que es miliciens français qui avaient collaboré avec les nazis. Le wahhabisme n’est- il pas justement un clone nazi ? Et les Frères Musulmans, auxquels est affilié le mouvement islamiste tunisien n’avaient-ils pas été les dignes laquais du III e Reich ?

Une page de l’histoire frappée d’Omerta et qui en dit long sur les scrupules moraux américains.

C’est l’Occident qui a fait lui-même le lit au péril migratoire

Qu’on le veuille ou non et les statistiques le confirment aisément sans la tempête de sable que les dirigeants occidentaux ont fait déferler sur les peuples du Croissant fertile on en serait pas là aujourd’hui.

Obama, Sarkozy et Cameron ont oeuvré à la chute de Ben Ali, M’Barek, Khadhafi, Bachar pour leur substituer leurs chiens de garde wahhabo-islamistes comme Ennahdha et les Frères Musulmans égyptiens, sans évaluer les conséquences de leur jeu à la roulette russe. Ils ont fait le malheur de ces peuples et les leurs qui se trouvent aujourd’hui pris dans le tourbillon migrationniste.

Est-ce que la menace migratoire avait été aussi forte qu’avant leurs numéros d’illusionnistes de faiseurs de révolution populaire et démocratique qui n’étaient en réalité que de grossiers subterfuges pour favoriser l’arrivée au pouvoir des pays en question des pires ennemis de la liberté comme s’ils avaient promu le nazisme en son temps ? Il n’en reste pas moins qu’on était loin d’être au bord de l’asphyxie présente.

Savez-vous qu’en 2010, on était à 861 migrants clandestins syriens, aujourd’hui plus de 5 millions de syriens sont mis sur la route de l’exil dont quelques dizaines de milliers d’entre eux ont trouvé refuge en Occident, alors que la Turquie abrite plus de 2 millions de réfugiés autant que le Liban ?

Cette forte poussée migratoire devrait être analysée objectivement et sans parti pris, chiffres à l’appui et en prenant en compte les bouleversements géopolitiques que connaît le bassin méditerranéen, et pas nourrie par des élucubrations fantasmagoriques.et des réflexes xénophobes alors que nos dirigeants politiques ont joué aux pyromanes dans les pays d’origine des migrants. Encore heureux pour l’Occident que Sissi est arrivé au bon moment contre son gré et à son grand dam et a l’a sauvé d’un véritable Tsunami migratoire où il y aurait eu des millions de migrants égyptiens.

Il faut regarder la réalité des chiffres en face qui sont les meilleurs indicateurs quant à l’explosion exponentielle du nombre des migrants clandestins depuis 2010, année de stabilité politique relative de la Tunisie, Libye, Syrie à nos jours en tenant compte des effets induits de la chute de Khadafi sur le Mali et le Niger.

Pour ceux qui ne le savent pas, un clandestin meurt toutes les deux heures en moyenne en Méditerranée aujourd’hui.à comparer aux 2 morts par noyade par jour en 2007, considérée comme l’année la plus mortifère par l’UNHCR ( L’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés). http://www.unhcr.fr/4f280ad3c.html.

La majorité des migrants n’auraient pas demandé à venir et si l’opinion publique occidentale s’inquiète à juste titre de la forte poussée migratoire c’est moins leur faute des migrants que celle des nos gouvernants.

On a voulu se débarrasser de Bachar Al Assad, garant de la protection des minorités ethniques et religieuses en Syrie et son corollaire l’exil forcé, et on a Daech partout en Occident.

Triste record pour les traversées de la Méditerranée par les migrants et les réfugiés en 2011
Ceci est un résumé des déclarations du porte-parole du HCR Sybella Wilkes – à qui toute citation peut être…
unhcr.fr|Par L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés

Le monde doit combattre le wahhabisme, cet islam des sources originelles

25 septembre 2012, 21:41

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Le wahhabisme doit être classé comme crime et incitation de crimes contre l’humanité au sens de l’article 7 du Statut de Rome qui définit les 12 actes constitutifs de crimes contre l »humanité. En effet, il possède tous les caractères du nazisme et en pire. C’est la pire idéologie de tous les temps. Il ne se compare qu’à lui-même. Comparable à l’hydre de Lern combattue et vaincu par Hercule.

Il faut en finir avec cette capitulation criminelle dont fait preuve la communauté internationale lourdement frappée dans sa chair et son âme le 11 septembre 2001 dont les auteurs n’avaient guère fait mystère de leur appartenance à cette idéologie sectaire dont la finalité est de gouverner un jour le monde au nom de l’Islam. Elle ambitionne d’islamiser le monde et de ré-islamiser les pays musulmans en simulant des scénarios révolutionnaires comme en Tunisie, l’Egypte, la Libye, La Syrie après avoir échoué en Algérie en prônant un islam dépollué de toutes les influences extérieures, débarrassé des pratiques telles jugées comme hérétiques, al bida’a, que l’intercession, le culte des saints, la visite de la tombe de Mahomet, al Omra,la commémoration de la fête de naissance de Mahomet, un islam fidèle aux préceptes coraniques.

Telle une pieuvre tentaculaire, elle essaye de prendre dans ses tentacules tout ce qui peut assouvir sa soif insatiable de pouvoir. En occident, elle se présente sous un visage avenant et rassurant, investissant dans tous les secteurs de la vie sociale, sportive, économique, industriel et surtout dans le luxe et le de l’art contemporain où le Qatar est devenu un acteur majeur

http://www.rfi.fr/france/20120927-le-qatar-s-impose-comme-acteur-majeur-marche-art-contemporain.

Le wahhabisme déploie ses ailes de faucon pour attraper ses proies dans ses griffes acérées et empoisonnées et les étouffer jusqu’à ce que mort s’en suive comme c’est présentement le cas en Syrie après avoir mis à mort le régime de M. Khadhafi auquel il lui avait fait subir une mort des plus cruelles et atroces. Ne manquant pas de violer et profaner son corps sous le regard complice et bienveillant de leurs mentors occidentaux et les encouragements du philosophe va-t-en guerre B.H. Lévy, le nouvel apôtre de l’islamisme hégémonique avec son alter ego le caméléon Trek Ramadan fier de porter l’héritage nazillon de son grand-père maternel Hassan Al Bana, servent de V.R.P.  de luxe du wahhabisme en Occident. Afficher l'image d'origine

Nul ne peut douter un seul instant que l’activisme débordant dont a fait preuve B.H.L., le nouveau citoyen libyen et fer de lance diplomatique du Qatar, est aussi désintéressé que l’investissement du Qatar dans les banlieues parisiennes laissées à l’abandon par les différents pouvoirs politiques en France entre les mains des prédicateurs wahhabites depuis une vingtaine d’années. D’autant plus que pour les wahhabites qui sont allergiques à la gratuité du geste qui est à leurs yeux un sacrilège, tout s’achète. Il est improbable que l’engagement virulent et velléitaire de B.H.L. dans le cadre de cette mission ne soit pas guidé par l’appât du gain. Il ne faut pas tomber dans le jeu de l’angélisme béat pour croire que B.H.L. sert juste de caution morale au wahhabisme pour le rendre fréquentables et vertueux. En faisant office de relations publiques et de lobbyiste, il y a fort à parier que son implication personnelle tant sur le terrain que dans les médias, soit rétribuée à son juste prix. Nonobstant les enjeux géopolitiques et idéologiques sous-jacents à son action.

Il peut toujours alléguer qu’il oeuvre à sa manière pour la sécurité territoriale d’Israël et de sa pérennité, il est fort douteux que les princes des ténèbres wahhabites aient la même vision des choses que lui et se bornent à lui serrer juste la main pour ses bons et loyaux services. Surtout que chez les pétromonarques, la gratuité du geste est jugée comme suspecte, voire un sacrilège.

Dans leur culture vénale, tout s’achète et rien ne doit résister au pouvoir attractif de l’argent. Et gare à ceux qui refusent la main dorée 18 carats tendus. B.H.L. ne peut pas être l’exception qui confirme la règle.

Au lieu de dénoncer la haute nocivité du wahhabisme, il s’est mu en agent spécial de la propagande wahhabite, en exploitant son aura médiatique qui devrait plutôt lui valoir un rôle de figurant dans les western spaghettis, il a préféré prêter son nom au wahhabisme arrogant et impérial. Il ne devrait pas ignorer qu’en s’affichant à côté des islamistes libyens qu’il se rend complice de cette idéologie nazie.

Avait-il cherché à établir un parallèle entre le wahhabisme et l’islamisme ? Il est à douter qu’il se doit donné la peine de démêler les liens idéologiques entre ces deux faces du miroir l’islam fondamentaliste. Il ignore que le fondateur du wahhabisme Muhammad Ibn ‘Abdelwahhab Annadjdi auteur du livre-culte des wahhabo-islamistes, Traité de l’Unicité divine, Kitâb al Tawhid, était un fervent disciple d’Ibn Taymmia, le père-fondateur de l’islamisme moderne.

Fort de sa puissance financière et de l’adoubement-bienveillant et actif de l’Occident, le wahhabisme a pu essaimer en partout dans le monde à travers ses filiales locales sous couvert d’oeuvres caritatives, écoles coraniques, organisations para-militaires sur le modèle de Boko Haram et les Talibans, ou en tant que bailleur de fonds occulte des Frères musulmans et toute la mouvance islamiste en Tunisie, Algérie, Maroc, Soudan, Pakistan, etc… qui constituent sa force de frappe politique et idéologique pour la conqute du pouvoir, première étape dans le cadre du processus d’unification du monde dit musulman sous la bannière wahhabite. Ré-instaurer un Califat sous la houlette du wahhabisme avant de faire du wahhabisme un le futur maître du nouvel ordre mondial.

Toutes ces révolutions ubuesques étaient en réalité un coup de Poker menteur né dans les arcanes de la Maison Blanche, pour faire tomber subrepticement ces pays dans son escarcelle.

Mais il n’y a pas que BHL qui a servi d’agent propagateur du virus wahhabite, il y a aussi Obama, Cameron, Sarkozy, Hilary Clinton, Juppé, qui ont mené une campagne publicitaire d’une rare intensité, vantant le mérite de ce produit impropre pourtant à la consommation humaine une idéologie à cause des toutes ses avanies et ses défauts visibles aux aveugles. On a vendu à ces populations le pur produit qui puisse exister qui n’auraient même pas séduit les électeurs nazis en leur temps. On a vendu l’invendable malgré son caractère hautement totalitaire, raciste, messianique, ethnocidaire, pédophile, concentrationnaire, ultra-réactionnaire, désuète, ultra-violente,complotiste, ouvertement ségrégationniste, belliciste,impérialiste, terroriste, xénophobe, périlleuse pour la paix et la sécurité, esclavagiste, meurtres ciblés, grossesse forcée sous couvert de la religion, incitation à la haine religieuse,oppressive et répressive sur la base des critères religieux, culturels et politiques, cosmique, ultra-réactionnaire, nécrophile, profanatrice, négationniste, négatrice de la vie humaine, biblicide, antisémite, homophobe, mémoricide.Afficher l'image d'origine

L’Occident n’a toujours rien appris de ses échecs passés. Plutôt que couper les deux têtes de l’hydre wahhabite que sont le Qatar et l’Arabie Saoudite, il se fait leur protecteur-promoteur, leur garde-de-corps et leur vitrine, le plus zélé et leur laissent diffuser à coups de milliards de dollars, leur virus létal dans le monde y compris sur son propre territoire. La Grande-Bretagne qui avait soutenu de toutes ses forces la création du wahhabisme au XVIII e siècle pour contrecarrer l’expansion de l’Empire Ottoman, en favorisant sa dissémination idéologique dans le monde dit musulman, ne se rendait pas compte que ce virus censé infecter le seul corps musulman est devenu aujourd’hui une pandémie planétaire et laisser peser de sérieuses menaces sur l’humanité tout entière.

Si l’islamisme était une créature sioniste, Theodor Herzl serait l’auteur du Coran

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Toujours la même rengaine, l’islamisme est un faux islam comme si la racine de l’islamisme n’était pas l’islam. L’islamisme est une création sioniste.disent les tartuffes-délirants musulmans, mais sans en apporter la moindre preuve et expliquer comment le sionisme aurait-il pu créer une idéologie enfantée par Mahomet lui-même ?
A moins que son géniteur ne fut pas lui-même une créature sioniste si cela pouvait être vrai, au moins ça leur fera rejeter l’islam.  Une occasion unique pour  eux qui  qui vouent aux juifs une haine viscérale qui ferait pâlir de jalousie Hitler lui-même.
Mais comme ils sont pervers et ont l’art de travestir la vérité dans leur lexicographie antisémite, ils sous-entendent par sionisme judaïsme et font incidemment passer l’islamisme et donc l’islam en isme qui est un système global qui englobe le culte, l’Etat et la cité, pour un sous-produit du judaïsme, reconnaissant ainsi implicitement que l’islam ou l’islamisme dérive du judaïsme mais pour pouvoir exister par lui-même il a voulu tuer le père comme on peut le penser.
Cessons de voir la main du juif partout. Il n’a pas le don d’ubiquité, il existait avant l’islam et guère besoin de lui pour frayer sa voie dans l’histoire. Il était bien présent en Arabie plus aucune trace de lui dans cette contrée ni dans quasiment dans aucun pays musulman. A qui la faute ? Au persécuté et au persécuteur ? Peu importer la force des preuves qui les accablent, ils sont islamistes dans l’âme et dans leur mauvaise foi, ils restent dans leur bulle musulmane qui est le point culminant du déni psychotique.
Autant faire pousser des nénuphars dans le sable du désert arabique que d’obtenir l’aveu d’un musulman sur la commission de ses crimes. Ils sont tels des innocents aux mains sales, plus victimes que les victimes elles-mêmes. Ils ne sont responsables de rien.
L’islam victime d’une cabale sioniste qui a inventé l’islamisme pour lui nuire. Mais qui d’autres en dehors des musulmans et leurs collabos pour asséner un mensonge aussi grotesque ?A force de le réitérer même les plus sceptiques finissent par y croire. Et comme le dit celui qui aurait pu être le maître à penser de Mahomet Joseph Gobels: Plus le mensonge est gros et répété, plus il passe.
Plutôt que chercher à lui faire porter le chapeau de la métastase qui mine le corps islamique ou islamiste depuis le jour où ce virus létal s’est propagé à la surface de la terre, ils devraient assumer les horreurs de l’islam ou islamisme.
L’islam est un système et pas une religion comme le rappelle judicieusement Uri Rubin sur le thème de l’attestation, rapporté par Wikipédia sur les tribus juives et arabes : « Comme tous ces prophètes étaient des figures bibliques, il a fallu façonner la biographie de Mahomet selon les modèles bibliques. Ceci était censé convaincre les Gens du Livre, qui ont refusé de reconnaître en Mahomet un prophète tel que les leurs. » Selon Uri Rubin, le thème de l’attestation comprend également des récits qui enracinent le Prophète dans l’histoire Arabe locales »
Mais comme pour eux il n’y a d’histoire que celle de l’islam et les histoires des autres ne sont pas les leurs quand bien même elles ont été écrites avec le sang de leurs victimes.
Pour paraphraser Ibn Khaldun, qu’ont-ils fait des juifs d’Arabie présent sur cette terre depuis la nuit des temps ainsi que des chrétiens ? Qu’ont-ils fait des habitants juifs de Yathreb ? Et pourquoi porte-t-elle aujourd’hui le nom de Médine ? Qui était les lois de l’hospitalité est-ce Mahomet venu en réfugié ou ses hôtes qui lui avaient sauvé la vie ?
Le juif a été la première victime du virus létal islamique ou islamiste. Massacré et chassé de cette terre qui était aussi la sienne. Qu’ont fait Mahomet et sa horde criminelle des tribus juives de Banu Qoraydha, Banu Nadir et Banu Qanuqa. ? Massacrées et expulsées de chez elles, dépossédées de leurs biens, leurs femmes violées et leurs enfants réduits en esclaves, dont le crime était de ne pas avoir pris au sérieux ses délires messianiques:
Selon Ibn Ishaq, « Mahomet espérait, en fait, une conversion rapide et massive des juifs, mais ses illusions se dissipent très vite.
« Ibn Ishaq dit : Alors les rabbins juifs se remplissaient d’animosité contre l’Envoyé d’Allâh animés qu’ils étaient par l’iniquité, l’envie et la rancune parce que Dieu a réservé aux Arabes le choix de son Prophète de parmi eux. […] Les rabbins juifs se mettaient à poser des questions à l’Envoyé d’Allâh, cherchaient à l’embarrasser, et à l’induire en confusion, afin de camoufler le vrai par l’erreur. »
L’islamisme n’est pas l’enfant de Sion il est l’enfant de Mahomet, des Califes qui ont façonné l’islam et le Coran et réactivé par le jurisconsulte Ibn Taymiyya (qui prônait un rétablissement de l’islam en tant que système global et nourri des seuls préceptes coraniques.

L’islamisme est un avant-goût de ce que l’islam mijote pour l’humanité

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« Sr5.33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment, »

Pour les musulmans de tous bords et de toutes les étiquettes quand bien même il n’y a qu’un islam pour tous, sauf ceux qui sont dans la voie d’Allah et qui sont les vrais musulmans appelés à tort  islamistes pour déresponsabiliser l’islam pour incitation aux crimes de guerre et crimes contre l’humanité , et leurs idiots utiles, l’islam est dévoyé par l’islamisme mais en quoi l’est-il ? Juste dans les délires fantasmagoriques de ses illusionnistes-affabulateurs.

Pourquoi alors les islamistes, ces « transgresseurs » de l’islam, n’ont jamais été condamnés pour hérésie voire apostasie ? Ils ne peuvent pas l’être et ne le seront jamais. Ils appliquent ce qu’Allah ordonne. Ils ne trahissent aucun enseignement coranique. Il n’existe aucune base théologique ou juridique, chariatique, pour motiver leur mise à mort pour atteintes aux fondements de l’islam d’une part et d’autre part, ils sont ceux qui vivent à 100% l’islam, dévoués jusqu’à la mort et que contrairement aux musulmans hypocrites, ils sont les mieux instruits des commandements de l’islam et savent parfaitement le bon usage qu’il faut en faire.

C’est eux qui donnent un sens réel aux préceptes coraniques et  traduisent le mieux dans les faits la Tradition mahométane, la sunna, qu’aucune autorité religieuse telle qu’Al-Azhar, la gardienne du temple de l’orthodoxie musulmane, ne saurait leur jeter l’anathème et crier au sacrilège de peur de se trouver elle-même en porte-faux avec les textes fondateurs de l’islam.

L’islamisme promeut par le feu et le sang l’islam pur et authentique, celui de la foi qui fait loi régi par la Charia, irréformable, invariable, fermé sur lui-même,  et immuable, qui est celui-là-même que défend et prône justement Al-Azhar qui ne va pas désavouer ce que ses meilleurs élèves prêchent et répandent au bruit des bombes.  Il n’est pas le loup dans la bergerie musulmane, pas plus que l’islam politique qui est un non-sens un oxymore, un enfumage de l’opinion, une escroquerie intellectuelle grotesque et fantaisiste.

L’islamisme oeuvre activement à l’expansion de l’islam au son des bombes et milite avec un zèle qui ferait la joie de Mahomet pour un retour sans concession  à l’islam des origines et la ré-instauration du Califat  intégrant les musulmans dans l’Oumma, une sorte de Reich sectaire à l’échelle planétaire, placés sous la même bannière politique aux couleurs de l’islam et soumis à la Charia, concentrant entre ses mains tous les pouvoirs.

Il n’est pas l’islam politique, il est l’islam mis à la lumière de jour qui abat toutes ses cartes se sentant  en fin en mesure de reprendre sa marche en avant depuis sa chute à Grenade et sa mise sous tutelle par les puissances coloniales occidentales.  De dominion, il se voit bientôt dominateur surtout que ses ennemis jurés semblent en phase de déclin et ne cessent de lui baliser le terrain chez eux sans contre-partie et comme s’ils avaient peur de lui.

L’islamisme ne marque pas seulement le retour en force de l’islam sur la scène mondiale par la voie du terrorisme, il est l’islam sur les devants de la scène. Celui qui en impose  et veut s’imposer au monde  par la violence extrême. Semant les peurs et frayeurs dans le camp de ses ennemis, un  islam qui ne recule devant rien, jusqu’au- boutiste. Après avoir été spectateur de l’histoire, il veut en devenir l’acteur majeur et ne fait plus mystères de ses velléités hégémoniques et destructrices. il est tel un cave qui se rebiffe si ce n’est la grenouille qui se voit aussi grosse qu’un boeuf.

Il n’en demeure pas moins que l’islamisme qui est la renaissance de l’islam, ce volcan qu’on croyait éteint mais qui se réveille progressivement en crachant ses laves brûlantes laissant des cratères béants à leurs passages.  Sa puissance de feu est en réalité dérisoire et insignifiante sur le plan militaire.  Mais pour compenser son handicap abyssal par rapport à la force de frappe colossale et destructrice de l’Occident, il lui mène une guerre psychologique permanente en le frappant à travers sa population civile vulnérable pour la plonger dans un climat permanent de psychose terroriste. Le harceler jusqu’à l’épuisement et l’effondrement. Un tactique aux résultats aléatoires et qui finira par se transformer en piège mortel qu’il avait créé pour lui-même.

L’islamisme a l’immense mérite de révéler au monde la vraie nature de l’islam et ses projets désastreux pour l’humanité. Grâce à l’islamisme, plus personne ne peut dire que ce n’est pas ça l’islam, il est bien plus que ça, il est incarné par la constellation des mouvements djihadistes opérant partout dans le monde avec des figures médiatiques comme tous ces pseudos « islamologues d’opérettes » et cet essaim de guêpes mortelles affublées du titre d’imams qui sont les véritables colonnes vertébrales des réseaux dormants qu’ils nourrissent à longue de journées de préceptes coraniques, un poison mortel pour l’humanité.

En créant une dissemblance sémantique avec la diptyque islam et islamisme, qui sont l’un à l’autre ce que l’hitlérisme est au nazisme, deux faces d’un même miroir, l’Occident se fourvoie lamentablement et joue le jeu de son pire ennemi. Il ne sait pas qu’en drapant l’islam dans ses vertus pacifistes qu’il lui aiguise le couteau de boucher dont il se servira pour l’égorger avec.

Plutôt que de s’en prémunir et le combattre, il se fait son avocat le plus farouche au point de faire pâlir de jalousie les musulmans hypocrites. L’islam n’est pas malade de l’islamisme, c’est l’Occident lui-même qui est malade de l’islam et qui souffre d’un véritable syndrome de Stockholm.

La personnalité duale de l’islam n’est pas symptomatique de troubles schizophréniques, il est cohérent  avec lui-même et rusé comme un renard, dans la vie publique il offre le visage du gentil Dr Jeckyll et dans les coulisses où il est à l’abri des regards, il est Mr Hyde, pendant que l’un séduit et endort la vigilance des proies  potentielles pour les attitrer dans son antre, une fois qu’elles sont sous griffes, il a tout le loisir de les dépecer et leur montrer ainsi son vrai visage mais elles ne seront plus là pour en témoigner.

L’islam est le masque de l’islamisme et tant que l’Occident n’en a paris conscience, l’islam continuera à le tuer à petit feu.

Ils ne peuvent pas être terroristes en Orient et déséquilibrés en France

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Dès qu’un musulman commet un crime, les médias aux ordres le font passer pour un déséquilibré et ce, sans aucun examen psycho-médical pour le diagnostiquer. Ils ne sont pas experts agréés prés de la Cour d’Appel et pourtant ils se comportent comme tels. C’est comme s’ils cherchaient à occulter la responsabilité de l’islam dans les troubles psychotiques des siens.
Ils n’ont jamais le courage ni l’honnêteté intellectuelle de mettre en exergue les liens de causalité entre l’islam et la violence incontrôlée de certains musulmans.

Toutes les religions ont leurs intégristes mais ce n’est pas pour autant qu’ils perdent la raison pour devenir un danger public pour les leurs et la société. Jusqu’à preuve du contraire on n’a jamais vu un chrétien, un hindou ou un juif faire irruption dans son lieu de culte pour assassiner ou tenter de le faire ses coreligionnaires.

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La première question qui devrait venir à l’esprit des canetons boiteux serait tout naturellement pourquoi les mosquées sont-elles devenues au cours de ces trente dernières années de véritables chaudrons et qu’il ne passe pratiquement plus un vendredi sans qu’elles ne se transforment en brasier pour les « fidèles » musulmans ?
Ils s’y rendent vivants et en sortent les pieds devant. Pas plus tard que la journée d’hier, plusieurs attaques terroristes ont émaillé la grande prière du vendredi partout dans le monde. Téhéran, Djeddah et Paris. Sauf en ce qui concerne Paris, les canetons boiteux tricolores ont plaidé la piste d’un fou furieux déboulant dans une mosquée parisienne pour aiguiser son couteau sur ses coreligionnaires.

Au-delà de la personnalité de l’auteur, c’est le lieu lui-même qui devrait les interpeller. Connu pour être un repaire de la peste salafiste française. La mosquée Omar de la rue Jean Pierre Timbaud dans le XI e arrondissement parisien n’est pas un cercle des collectionneurs philatélistes, il s’agit d’un foyer important de l’islam de France, avec 1200 places et du radicalisme musulman décrit par les enquêteurs français comme « une plaque tournante du salafisme radical » (http://www.20minutes.fr/societe/1409017-20140623-paris-mosquee-rue-p-timbaud-ur-filiere-envoi-djihadistes)

C’est moins le moins le profil « psychiatrique » non-avéré de l’auteur de l’attentat raté qui pose question que la cible elle-même, connu dans le passé (?) pour les prêches haineux, racistes et antisémites d’un de ses imams( http://atheisme.org/timbaud.html).
Il n’en demeure pas moins que l’on ne peut balayer d’un seul coup de plume le mobile terroriste qui aurait motivé son acte. Ils ne peuvent pas être terroristes ailleurs et fous à lier et loups solitaires en France.
C’est la énième attaque terroriste qui vient de frapper la France au cours de ces dix derniers mois. L’hypothèse de la piste terroriste n’a rien d’utopique ni d’invraisemblable. Il n’est pas exagéré de penser qu’il peut très bien s’agir d’un règlement de comptes entre radicaux musulmans qui sont se vouent une haine farouche entre eux comparable à celle des chiites et des sunnites.

On ne trompe pas les Français avec la grosse couleuvre du déséquilibré musulman, on doit leur dire la vérité sur les liens intrinsèques entre l’islam et le terrorisme.

La France est gagnée chaque jour par la psychose de la terreur islamique. Plutôt que de l’endiguer on l’occulte jusqu’au jour où les Français seront totalement inhibés, il sera alors trop tard pour sonner la charge contre l’islam.

Ça fait 1437 ans que l’islam est en guerre permanente contre le reste du monde

L’histoire humaine a toujours enfanté des monstres de toutes les couleurs et la barbarie n’a jamais été l’apanage de telle ou telle « race ». Il est idiot de réduire le débat sur les dangers néfastes de l’islam radical à un conflit racial. Autant signer notre reddition de suite plutôt que de faire des variantes mélaniques un facteur de rassemblement.

Les djihadistes qui veulent mettre la France à feu et à sang ne sont pas venus d’ailleurs. Ils sont tout aussi « souchiens » que ceux qui sont obsédés par la couleur blanche de la France. Ils auraient pu juguler le phénomène de l’explosion démographique des nouveaux envahisseurs quand il était encore temps. La France n’est pas une couleur c’est des valeurs et des richesses humaines diverses et multiples.

Quand à ceux qui professent l’islam cosmique et impérial sont de couleur multiple et n’ont guère de problème de racisme entre eux.Ces nouveaux cavaliers noirs de l’Apocalypse brandissant le Coran dans une main et la bombe dans une autre qui déferlent comme des rouleaux compresseurs sur nos cités et qui mettent en péril la pérennité de l’humanité tout entière ont dépassé ce clivage de la coloration de l’épiderme, ils sont la nouvelle peste brune de notre temps.
Notre ennemi aujourd’hui n’est ni noir, ni blanc, ni rouge, ni jaune, ni métis, ni cuivré, ni brun, ni olive, il est NAZISLAMISTE.

Continuons à mener une guerre d’arrière-garde et ultra-réactionnaire, il n’y a pas meilleur moyen pour lui offrir demain nos vies en HOLOCAUSTE. Eux au moins qui sont aussi bien Français de « blanche que Nigérians de « race » et Malais de « race » jaunes et de Nord-Africains de « race » basanée ( la bêtise taxinomique est sans limite) sont unis comme les doigts d’une main et n’ont qu’un but instaurer la charia partout dans le monde.

Quand ils tuent, ils ne prennent pas en compte la couleur de la peau, ils tuent parce que nous sommes différents d’eux.

Faire de la couleur de la peau un motif d’évaluation des capacités humaines revient à classifier et exclure et faire le jeu des vrais ennemis du genre humain.

Aujourd’hui ils décapitent les Coptes, les Yazidis, les Chrétiens d’Orient, les apostats de l’islam voire des musulmans qui ne sont pas assez musulmans à leurs goûts, non pas en raison de leurs origines ethniques mais parce qu’ils ne sont pas musulmans comme eux, demain ils nous feront subir exactement la même chose à moins que l’on doive notre salut dans la soumission totale et absolue à l’islam, celle de l’esclave pour son maître.

Le virus létal islamique gagne nos propres foyers plutôt que chercher à le combattre pour l’éradiquer on se plaît à exalter la couleur blanche de notre peau.

L’islam classe l’humanité en musulmans qui ne sont pas un groupe ethnique ou national venant de tous les horizons pour se fondre dans une même et unique communauté et les non-musulmans, ces êtres impurs et infâmes, de la caste des intouchables, qu’il faudrait un jour anéantir ou les convertir. Dotant ainsi les premiers de toutes les vertus pour en faire la caste des seigneurs de nous autres nous en sommes la lie.

La lutte contre l’islam est avant tout humaine et civilisationnelle et ne sera jamais raciste ou racialiste.

En jouant la carte du wahhabisme, l’Occident a signé son arrêt de mort

On s’étonne de l’explosion des meurtres par décapitation chez les musulmans, sans jamais se poser la question pourquoi depuis que l’islam authentique, un islam pur et dur, déshumanisé prôné par les escadrons de la mort aux couleurs du wahhabisme, cet islam adoubé et choyé par les dirigeants politiques de l’Occident, gagne du terrain et les musulmans perdent de plus en plus la raison et leurs vertus humaines ?

A-t-on tiré la leçon des années braise de l’Algérie soumises à la terreur wahhabite, dont les effets ont commencé à se faire sentir sur le sol français dès 1995 et qui n’ont jamais cessé depuis y compris dans tout l’Occident? Et dire que de nombreux hommes politiques en Occident soutenait le ras-de marée wahhabite en Algérie comme ils avaient soutenu le séisme islamiste iranien.

Est-ce que les électeurs occidentaux savent-ils qu’en votant ou ayant voté pour Sarkozy, Chirac et Hollande ils ont aussi voté pour les monstres d’inhumanité wahhabites, ces grands protégés de la « démocratie occidentale » ?

Nous ne devons pas nier que l’Occident plutôt que de combattre le wahhabisme, il en avait fait un allié pour étouffer les réveils des consciences dans les pays dits arabes;

Loin de moi l’idée de faire de l’Occident un bouc-émissaire mais nous devons tous prendre conscience que les hommes politiques occidentaux sont des irresponsables, des inconscients et de très mauvais stratèges mus par leurs seuls intérêts vénaux.

Il est inadmissible dans le contexte actuel, où l’islam wahhabite déploie chaque jour les ailes de la mort et plonge l’humanité dans les horreurs que des maires continuent à autoriser la construction des mosquées et la justice sévit contre ceux qui s’y opposent.
La lutte n’est pas contre les musulmans, qui sont loin d’être aussi innocents qu’ils en ont l’air, elle est contre cet islam létal;

Quand l’islam n’était pas le maître de la vie des musulmans, tout allait plus ou moins bien, depuis les années 90 où il avait commencé à prendre en main leur destin humain, c’est de pire en pire.
Le vrais coupables sont les dirigeants politiques occidentaux et plus encore l’islam lui-même.
Il reste toutefois un gros hiatus, quoi faire de ces centaines de millions d’individus gangrenés à tout jamais par le virus létal de l’islam ?
PS On ne combat pas le fanatisme par la haine et la déraison.

L’attentat terroriste contre le TGV Thalys, un nouvel acte de guerre de l’islam à l’Occident

Arras : coups de feu dans un Thalys, deux blessés graves

On a évité le pire hier à Arras dans le TGV Thalys Amsterdam-Paris grâce au courage de 3  Américains deux marines et un civil auxquels nous devons rendre un vibrant hommage, mais le pire est à venir tant que l’islam n’est pas banni de la surface de la terre. On a bien aboli le nazisme, on doit pouvoir en faire autant avec cette idéologie criminelle et génocidaire.
L’islam doit être jugé comme son clone nazi pour crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité devant un tribunal international sur le modèle de celui de Nuremberg.

On ne lutte pas contre le feu en criant au feu et encore moins en léchant les babouches des incendiaires qui enfument l’opinion publique avec leur litanie funeste de l’islam de paix et d’amour. Il faut cesser de leur donner la parole comme si la victime était l’islam et les vraies victimes sont coupables d’avoir eu l’outrecuidance de se mettre sur le chemin de ces malheureux musulmans victimes du système occidental très injuste et discriminatoire à leurs égards. Une rengaine qui ne fait plus florès aujourd’hui.

L’heure n’est plus à l’apaisement, on ne tend pas la main à un cobra comme à une colombe. Il faut d’ores et déjà interdire le Coran en Occident qui est la source nourricière des djihado-terroristes. Il y a suffisamment d’éléments tangibles pour motiver une telle décision d’une part et d’autre part arrêt total de la construction des mosquées, ces hauts lieux de diffusion de la haine, du racisme, de l’antisémitisme, du terrorisme et de la culture de la mort.
La France doit montrer l’exemple s’il en a la volonté politique en décrétant des mesures d’urgence absolue pour rassurer sa population et de ne pas nourrir la peste brune blottie dans l’ombre qui attend patiemment son heure pour en découdre avec la bête immonde musulmane. Ces mesures n’ont absolument rien d’utopiques et d’antirépublicaines si l’on veut circonscrire la pandémie djihado-terroriste avant qu’il ne soit tard:
-fermeture des frontières maritimes et terrestres et arrêt de l’immigration clandestine et régulière
-suspension du regroupement familial,
-arrêt des aides sociales et prestations familiales aux familles des djihadistes et ou dans l’un des membres sont en voie de radicalisation,
-interdiction définitive du port du voile et des signes ostentatoires
-rétablir l’ordre républicain dans les écoles et les espaces publics,
-décréter un moratoire sur les naturalisations,
-interdire les conversions des mineurs à l’islam,
-retrait de la nationalité française à tous les djihadistes, les salafistes et tous ceux qui prêchent l’islam radical,
-limiter l’accès aux emplois aux postes sensibles aux musulmans,
-suppression de la viande halal dans les cantines scolaires,
-expulsion manu militari des imams radicaux et des musulmans qui propagent la haine sur les réseaux sociaux,
-développer les recherches des énergies de substitutions afin d’en finir avec la dépendance énergétique vis-à-vis des pays musulmans,
-bloquer les avoirs des organisations caritatives musulmanes,
-annulation de la légion d’honneur à toutes les personnalités musulmanes,
-déchoir les membres de l’.U.O.I.F. de la nationalité française pour accointances idéologiques avec les Frères musulmans,
-déclarer cette dernière hors-la loi,
Les musulmans n’ont pas à imposer la dictature de leur religion et les pouvoirs publics n’ont pas à leur céder d’un iota, il faut les mettre en face de leurs responsabilités soit le respect total et absolu des lois de leurs pays d’accueil soit qu’ils prennent la direction des pays où l’herbe musulmane est plus grasse.
L’islam ne fait pas dans la dentelle pour massacrer les innocents, pourquoi devrions-nous le traiter alors avec management et civilités ? Aux grands maux les grands remèdes. Nous sommes plus que jamais dans la troisième guerre mondiale et l’Occident continue à faire l’autruche.

Il n’y a qu’un seul islam, celui des islamistes, l’épée dans une main et le Coran dans une autre

Lettre ouverte à Tariq Ramadan par F. Sweydan

« L’islamisme est l’islam politique » clament les laudateurs de l’islam, paisible et inoffensive religion, objet de dévoiement, d’instrumentalisation et de détournement à des fins politiques afin d’instaurer un régime politique totalitaire liberticide faisant de la charia, qui est par définition l’islam lui-même et qu’il ne peut y avoir d’islam sans la charia, la source unique du droit et pour constitution le Coran.
L’islamisme serait ainsi une doctrine antinomique à l’islam que des hérétiques, les islamistes, s’attachent à la diffuser au sein des pays musulmans par par tous les moyens et dont la première victime est l’islam lui-même. Mis à mal, défiguré, dénaturé, violé, par une idéologie dont la finalité est de tuer l’islam lui-même.
Les islamistes n’ont aucun projet velléitaire de cette nature et bien au contraire leur but est de faire redorer son blason à l’islam pour en faire un nouvel ordre mondial: L’idéologie des Frères musulmans est résumée dans leur devise : « Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance ». Plus précisément, les thèmes essentiels de la doctrine des Frères musulmans sont la création d’un État musulman théocratique, le rétablissement du califat, la lutte contre toute tentative de rénovation ou de « modernisation »
de l’islam, la dénonciation de la civilisation occidentale, l’anticolonialisme, le panislamisme et le panarabisme
ainsi que l’anticommunisme.(source http://www.akadem.org/medias/documents/Doc_freres_musulmans.pdf) Ils oeuvrent pour le retour aux sources originelles de l’islam par la destruction des Etats-nations et la réorganisation de l’Etat sur le modèle du Califat musulman soumis à l’autorité d’un Calife, successeur de Mahomet, issu de la tribu de Qoureisch, un leader charismatique qui préside à la destinée politique et religieuse de tous les musulmans regroupés au sein de l’Oumma, la matrice-mère des musulmans.

L’islamisme est la revitalisation de l’islam dans son essence totalitaire et monopolistique dans le contrôle de la vie des croyants.
L’islam doit sa régénérescence actuelle à l’islamisme grâce au souffle du renouveau qu’il répand dans les sociétés musulmanes de plus en plus séduites par le retour de l’islam sur les devants de la scène mondiale, indifférentes au massacre au quotidien dont elles sont les premières cibles et les crimes contre l’humanité perpétrés par leurs coreligionnaires islamo-terroristes qui sont pour eux la force de frappe crainte et redoutée du monde entier et des vaillants combattants dans la voie d’Allah et de Mahomet. Convaincues que l’islam progresse et la victoire est au bout du chemin grâce aux activistes islamistes, elles ne peuvent que s’en réjouir.
Il n’y a pas plus islamistes que les musulmans qui s’affublent du masque de la modération qui jamais n’oseront dénoncer les dérives ultra-violentes des islamistes qui ne font qu’appliquer vigoureusement et rigoureusement ce que le Coran enseigne et ordonne.
L’islam lui-même est politique et l’islamisme n’est que la mise en oeuvre de la feuille de route mahométane pour la conquête du monde dont la réalisation ne pourrait se faire que dans l’intégration des musulmans dans le même espace politique et religieux, c’est-à-dire l’unification de tous les musulmans qui n’est en réalité qu’un délire fantasmagorique quand on connaît le schisme et les divisions qui les minent depuis la mort du fondateur de l’idéologie islamique.
En alléguant que l’islamisme est l’islam politique, on laisse sous-entendre que Mahomet était un parangon de démocratie qui avait érigé la séparation des pouvoirs en dogmes religieux. Comme s’il était un humble chef spirituel, ne s’occupant que des affaires cultuelles. Il était aussi bien un chef politique et un chef de guerre et pire encore un chef mafieux.
Que ceux qui cherchent à nous enfumer avec l’islamisme n’est pas l’islam, comme si le nazisme n’était pas de l’hitlérisme, éclairent ma lanterne sur la vraie différence entre les deux alors que Mahomet lui-même avait fait de l’islam une idéologie totalitaire qui gouverne et codifie la vie de ses sbires dans ses moindres petits détails. Ne leur laissant aucune marge de manoeuvre dans l’organisation et la gestion de leur vie terrestre. L’islam mélange tous les genres et amalgame le sacré et le profane. Il se veut un ordre commun de portée universelle embrassant toutes les sphères de la vie. Pour lui l’humanité doit être unifiée sous sa bannière et qu’il ne saurait avoir d’autres vérités que la sienne dictée par Allah et lui-même. Tout un programme qui en dit long sur la nature tyrannique et génocidaire de l’islam.
Il n’y a pas d’islam du Coran dans une main pour les uns, et un islam de l’épée pour les autres. Il y en a qu’un celui de l’islamisme qui consiste à brandir le Coran dans une main et l’épée dans une autre pour le propager dans le monde.
L’islam n’est pas paix, il est l’épée de la conquête du monde au prix du sang des mécrus. Qu’il y ait des musulmans qui répandent l’islam par la voie du prosélytisme non violent,,le but est le même instaurer la dictature de l’islam. Ce qui ne change rien au fond du problème, puisqu’une fois que l’on tombe sous sa coupe on devient son esclave.

L’Occident n’a toujours pas compris que l’islamisme est bien pire encore que le nazisme

Du pitbull nazi au pitbull islamiste ou la capitulation légendaire de l’Occident. Obama le dompte et Sarkozy le caresse.

Jamais un islamiste ne se convertira à la démocratie, comme il ne renoncera jamais à ses délires cosmiques d’islamisation du monde et de ré-islamisation des sociétés musulmanes ou ne se pliera aux lois de la république. Il ne connaît qu’une seule loi, celle de ses délires mystico-sectaires et un seul ordre, celui de la loi de la jungle telle est supposée figurer dans le code prétendu canon de la Charia.

Qu’il soit salafiste, jihadiste, wahhabiste, qoutbiste, il est avant tout islamiste et ne se veut même pas musulman comme s’il y avait une différence fondamentale entre l’islam et l’islamisme . Le parer des vertus humanistes comme le font ses nombreux laudateurs en Occident comme dans les pays du Printemps wahhabisé, est une véritable hérésie intellectuelle et c’est même offensant pour l’islamiste lui-même.

L’islamiste  ne croit qu’aux seuls prescrits de sa religion, il ne va pas se résoudre à tolérer et respecter des règles qui ne sont pas revêtues du sceau divin. Il n’y a pas pire insulte pour lui quand il se fait traiter de démocrate. Autant le traiter d’apostat plutôt que démocrate.

L’idée de démocratie l’horrifie à  cause de sa nature organique concurrentielle avec sa pensée idéologique profonde telle que la fixe son école théologique acharite et codifiée par le jurisconsulte hanbalite Ibn Taymmiya source nourricière du wahhabisme et maître à penser de Mohamed ibn Abdelwahhab le fondateur du wahhabisme,  qui réprouve et condamne dogmatiquement toute autre forme d’expression politique dans la vie de la cité.  Par conséquent, seule la volonté de Dieu doit s’imposer aux hommes qui en est le maître absolu et dont il se veut l’exécutant. Il ne perdra pas son âme pour la futilité démocratique.

Habile, perfide, fourbe, transmutant, retors et rusé, il cherche surtout à endormir la vigilance de son interlocuteur, à le berner, à désinihiber les peurs  chez ses proies potentielles, c’est-à-dire toutes celles qui n’ont pas ses attributs idéologiques et dont le meurtre est légitime et sacré. Il a l’art de se fondre dans son environnement, il est tel un caméléon qui peut changer de couleurs en fonction du décor, mais contrairement au vrai reptile  connu pour ses vertus bénéfiques, son changement de couleur dû aussi à son état psychique peut intervenir à l’approche de sa proie.

L’islamiste possède un autre don, celui de l’ubiquité. Il peut se présenter sous plusieurs visages à la fois mais au même endroit, faisant apparaître plusieurs facettes différentes de sa personnalité impréhensible et déroutante. Il est djihadiste quand il passe en mode terroriste, salafiste quand il est dans ses élucubrations endiablées et en plein délires hallucinatoires , qoutbiste quand il est en mode politique de caractère ésotérique et sectaire et enfin  wahhabite quand il est en mode prosélyte et argentier.

Sa multiplication de personnalité est  à la cause principale de son état schizoïde et paranoïde permanent.  Ses changements d’apparence sont trompeurs, c’est juste un voile pour dissimuler sa vraie nature ténébreuse et terrifiante et révéler au grand jour cette bête immonde qui irrigue son corps et son esprit. Il a beau se grimer en Dr Jeckil pour les besoins du scénario mais il reste substantiellement en son for intérieur M. Hyde, ce personnage hideux, difforme, immonde, pervers, perfide, imprévisible, mu par des pulsions de meurtre,  plus satanique que Quasimodo.

Quand les Juppé et les Hilary Clinton, les nouveaux Daladier et Chamberlain se plaisent à le caresser dans le sens du poil, à l’amadouer, à vanter ses mérites pacificateurs, ils cherchent surtout à le domestiquer, à le dresser, à le dompter  comme un dresseur de fauves ou un maître-chien avec son pitbull. Ils sont dans un jeu de rôle dont le scénario est inspiré par les traumatismes des morsures meurtrières que ce pitbull leur a infligées dans le passé et dont ils cherchent à s’immuniser contre sa férocité et sa cruauté en voulant canaliser ses pulsions terroristes en lui trouvant de nouvelles proies plus compatibles avec son milieu naturel qu’ils s’efforcent de rassurer en drapant le pitbull islamiste de toutes les vertus. N’hésitant pas à s’afficher ouvertement à ses côtés, le couvant de tous les regards, ne manquant pas à manoeuvrer en coulisses pour persuader les futures proies tunisiennes, égyptiennes voire libyennes, que le pitbull est devenu inoffensif et paisible.

Balayer toutes les peurs et les angoisses suscitées par cette bête féroce. Eux dont les pays veulent faire rapatrier de Chine d’ailleurs les unités de production de leurs entreprises nationales  pour relancer leur appareil économique désespérément en panne, ils se mettent aujourd’hui à pratiquer une politique de délocalisation du pitbull islamiste en lui trouvant de nouveaux enclos plus adaptés à son milieu naturel avec le dessein inavoué d’en faire un nouveau chien de garde de leur sécurité intérieure et extérieure. Ils s’imaginent  ainsi qu’avec les nouveaux enclos apparus depuis la chute des anciens despotes à laquelle ils ne sont pas totalement étrangers, surtout en ce qui concerne le Département d’Etat et la célérité rare dont a fait preuve Obama pour féliciter le peuple tunisien pour la réussite de sa révolution qui est surtout une expression de sa propre autosatisfaction pour  la réussite du premier palier de sa nouvelle stratégie géo-sécuritaire.

L’Administration américaine au lieu d’agir directement sur les vraies causes de la prolifération du pitbull islamiste, se borne à faire des effets la source de la cause. En lui octroyant un nouveau statut d’animal domestique, elle pense pouvoir étouffer ses ardeurs velléitaires et celles qui couvraient chez les peuples musulmans abrutis et annihilés par des siècles d’oppression théocratique et de despotisme politique. qui ne semblent leur offrir les garanties sécuritaires escomptées, ils ont opté pour une alternative plus radicale leur permettant d’agir directement sur les supposées sources de la prolifération du pitbull islamiste en lui octroyant même le statut de berger allant jusqu’à s’impliquer directement dans le réinvestissement du pitbull dans son milieu naturel.  Le pitbull a une caractéristique rare celle d’être à la fois un chien d’attaque et de défense. Une vraie aubaine pour la brigade cynophile occidentale qui s’en sert comme une arme pour effrayer les masses démunies et miséreuses des pays du Croissant arabisé frustrées de liberté vivant sous la dictature totale de la religion depuis 14 siècles .

Avilies et asservies par un système idéologique des plus réactionnaires, inégalitaires et liberticides pouvaient assimiler aux congénères potentiels du pitbull islamiste.

L’occident incapable de résoudre la quadrature du cercle islamiste, aveuglé par son ethnocentrisme et égocentrisme, bourré de préjugés anti-populations des rivages sud de la Méditerranée fait du problème islamiste une solution à leur propre problème sécuritaire en en faisant un nouveau  problème épineux à ces peuples écrasés et anéantis par toutes sortes de problèmes. Ceux de leur survie et leur dignité humaine.

De ce fait, on a préféré transformer l’éveil démocratique né en véritable sacre de la théocratie religieuse. Au lieu d’aider la démocratie à s’enraciner dans le sol tunisien par exemple, ils ont joué ouvertement la carte du pitbull islamiste, comme si elle était la carte de leur propre survie.  Ils ont déversé sur sa scène des meutes entières de pitbull de toutes variétés, lesquelles recrachent sans arrêt ces boulettes indigestes et contaminées aux damnés de la terre contents de pouvoir jouir enfin de ce qu’ils croient être un avant goût du festin divin qu’ils leur promettent en guise d’avenir humain.  Quant aux nantis tunisiens, ils y voient avec le déferlement de ces meutes de pitbull un moyen des plus redoutables et efficaces   pour préserver et pérenniser leur richesse et conserver leur position sociale dominante.

L’occident porte une lourde responsabilité dans l’enlisement antidémocratique actuel de la Tunisie. Pour exorciser ses propres peurs, il se livre à des figures  de style mélangeant, l’abdication, la compromission, la couardise, l’opportunisme, la duplicité et l’égoïsme invétéré. Son ingérence éhontée  dans la campagne électorale tunisienne, son outrecuidance à l’égard du peuple tunisien et son mépris pour les forces démocratiques du pays, ne peuvent que refléter  son état d’angoisse pathologique et désespéré à traiter son mal par le mal infligé à autrui.

Une thérapie aux conséquences néfastes pour sa propre santé de par son effet boomerang qu’elle ne manque pas de provoquer à chaque fois que l’on recourt à  ce type de méthode thérapeutique. Du fait tout simplement de sa nature contagieuse. Le mal ne se guérit pas non plus par le mal.

La période de rémission n’est que provisoire et les risques  de la métastase sont loin d’être écartés. Le spectacle pathétique et lamentable offert par H. Clinton et A. Juppé n’est pas sans rappeler celui offert par le duo de la capitulation franco-anglaise en 1938. Devenus de  véritables cynophiles de luxe couvant d’un oeil amouraché leur pitbull favori  participant à un concours de beauté canine.

On épouse pas la cause islamiste aux dépens de la cause de la démocratie des peuples qui en sont dépourvus mais qu’ils appellent de tous leurs voeux sans risque et surtout avec le risque qu’en croyant sauver de la sorte leur propre démocratie qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils  sont pas en train de précipiter sa mort en contribuant à la mise en bière du rêve démocratique en Tunisie comme en Egypte avec la complicité du Qatar et de l’Arabie Saoudite.

 Quoi qu’ il en soit ils sont amnésiques et ignorants de leur propre passé.  Leur mépris, leur vélinie et veulerie leur ont fait certainement oublier les enseignements des échecs tragiques de leur pays dans le passé. Comme ce fut le cas avec le pitbull nazi. Au lieu de prendre toute la mesure du problème et s’en prémunir d’entrée de jeu ils s’étaient mis à louvoyer, lui apportant toute leur caution politque et la reconnaissance internationale comme en 1936 avec les J.O. de Berlin( voir mon article sur les fantasmes hitlériens de R.Ghannouchi ) à l’encenser et à le doter d’apparat humain. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes les effets comme le dit l’adage.
Comment ne peut-on pas être surpris et inquiet par autant de cécité de la part de l’Occident ? On ne qu’être interloqué par autant de ressemblance de l’approche politique indécente et irresponsable  ouvertement favorable à chaque fois aux forces du mal incarnées dans les années 30 par le pitbull nazi et aujourd’hui par le pitbull islamiste.
 L’exemple du pitbull nazi  devrait pourtant les rendre plus vigilants et circonspects mais ils y passent outre. Comme ils passsent outre les actes de pogroms contre les Juifs, la nuit de Cristal, les autodafés antisémites et les lois raciales de Nuremberg de 1935.  L’histoire se répète et finit toujours par rattraper tous ceux qui veulent occulter de leur mémoire. Elle commence déjà à se profiler dans le ciel gris et noir tunisien  avec le spectacle pogromesque et infamant offert par les islamistes tunisiens à l’occasion de la visite d’un digne héritier du Mufti de Jérusalem nazi notoire,  Al-Husseini oncle de Yasser Arafat et grand-père maternel de Leïla Chahid, promu chef d’une division Waffen SS lors de la 2 e guerre mondiale.

A force de jouer le jeu de l’islam l’Occident est en train de se brûler les ailes et celles des peuples arabisés

Si l’Europe ne veut pas être envahie par les raz-de-marée humains qui ne vont pas tarder à déferler sur elle et échouer sur ses côtes, la solution ne consiste pas à construire des nouvelles digues électrifiées tout le long de ses côtes,  une muraille de Chine ou un nouveau Mur de Berlin, elle est surtout politique et civilisationnelle.

Elle doit commencer par cesser de sacrifier la démocratie sur l’autel de ses seuls intérêts géo-stratégiques, géo-énergétiques et mercantiles  en adoubant l’islamisme comme elle avait sacrifié les Juifs et tous ceux qui n’étaient pas dans le moule nazi dans les années 30.

Curieusement au lieu d’aider à accompagner les peuples soumis à la dictature de l’islam et notamment ses voisins du Sud de la Méditerranée dans la voie de la démocratie, elle a choisi délibérément la carte des partisans de l’instauration de régime politique de despotisme théocratique sur le modèle qatari-saoudien.

Histoire de sécuriser son territoire et acheter la paix civile dans les cités-ghettos à prédominance musulmane où les prédicateurs wahhabites propagent une idéologie des plus nocives et rétrogrades. Convaincue qu’il n’y a pas d’autre alternative pour se prémunir contre le danger terroriste de caractère islamiste que d’en faire des alliés stratégiques sous haute surveillance aidée pour cela aussi bien par le Qatar et l’Arabie Saoudite qui sont de surcroît les mentors idéologiques et bailleurs de fonds de la nébuleuse islamiste.

Or, l’épisode tragique du carnage terroriste de Toulouse-Montauban doit normalement lui faire prendre conscience que l’islamisme est une pandémie incurable et un volcan jamais éteint. Imprévisible, il peut frapper n’importe où et n’importe quand. Naïve et crédule qu’elle est, elle croit que la sécurité de son territoire et de ses frontières commence dans les pays des rivages méridionaux méditerranéens supposés être les antres du terrorisme islamique est une stratégie de courte vue alors que les agents djihadistes sont géo-localisés sur son propre territoire dont ils sont des ressortissants issus de la 2 e génération.

Toujours aussi inconsciente et irresponsable, elle ne se rend pas compte qu’elle attise le feu de la haine dont elle sera la première victime de ceux qu’elle a pris sous son aile. On ne fait jamais d’un pyromane un soldat du feu comme on ne peut faire des islamistes-terroristes des gardiens de la paix et de la sécurité. Son aveuglement lui fut fatal en 1939-45. Au lieu de continuer à faire dans un angélisme de mauvaise goût, elle doit savoir qu’en caressant le pitbull islamiste dans le sens du poil, elle court vers sa propre perte. Comme à chaque fois qu’elle rate le rendez-vous de l’histoire, elle provoque immanquablement un désastre humain dont elle est la première victime.

Les islamistes polymorphes ne sont pas des hommes de pouvoir, ils sont des hommes de la terreur convaincus d’être investis d’une mission messianiques : faire régner la volonté d’Allah sur terre. Elle croyait bien faire en les intronisant chez eux mais elle oublie un détail essentiel, jamais un islamiste ne renoncera à ses desseins cosmiques et impériaux. Sinon, il perdrait son âme islamiste. Lui qui rêve de la conquérir elle aussi, il ne va se contenter du strapontin offert et d’un rôle de second couteau alors qu’il ne fait que fourbir le sien pour pouvoir mieux la décapiter elle-même après avoir fini de décapiter ses coreligionnaires qui n’adhèrent pas à son système idéologique. Alain Juppé, pseudo grand homme d’Etat, au passé délinquant avéré, manque de discernement quand il prétend que la porte est ouverte à un islamiste s’il renonce à la violence.

Peut-être que lui avait-il tourné la page de son passé judiciaire mais un islamiste jamais ! C’est comme si on lui demandait de se convertir au bouddhisme alors qu’il ne veut pas être musulman. Le vœu formulé par cet ancien repris de justice n’était pas sans rappeler celui de son prédécesseur au Quai d’Orsay Daladier qui délirait sur les vertus humanistes des nazis. Un islamiste qui se modère est comme un nazi qui tempère ses ardeurs. Tant qu’on ne connaît pas leurs mécanismes idéologiques et psychologiques ainsi que leur état psychotique, il est vivement recommandé de ne pas prendre des paris sur leur conversion aux vertus de la modération. Non M. Juppé, un islamiste ne raisonne pas, c’est un prédateur-illuminé comme Ben Laden, il mord d’abord et dépèce sa proie.

Salem Benammar

Le paradis n’est pas l’ombre de l’épée il est au prix du génocide des non-musulmans

Les étudiants hurlent leur colère

 Qui se souvient encore du massacre ciblé à raison de leur appartenance religieuse des  147 étudiants de catholiques de confession de l’Université de Garissa à l’est du pays abattus sauvagement par l’islam, l’attaque la plus meurtrière qu’eut connue le Kenya depuis celle perpétrée contre l’Ambassade américaine à Nairobi en 1998 (213 morts) ?
Qui d’autre que l’islam appelle et exhorte à la mort des non-musulmans ? Qui d’autre que lui couvre d’honneur les terroristes et leur promet les prébendes divines ? Qui d’autres que lui fait l’éloge des djihadistes et les élève au rang des héros de l’islam ? Qui d’autre que lui arme les mains de ces fidèles ? Qui d’autre que lui a fait de l’ultra-violence la voie de la félicité ? 
L’islam ne s’apparente qu’à lui-même. Il est plus qu’une calamité et un cataclysme de la pire espèce, il est le mal absolu. Si l’humanité persiste dans l’inaction et l’immobilisme et se garde ainsi de sévir contre lui elle va tout droit à sa perte. Plus elle le laisse faire plus elle le conforte dans sa toute-puissance et excite son appétit féroce pour la chair humaine. 
Elle est complice de cet attentat qui vient de plonger dans l’horreur le peuple kenyan à la veille de Pâques. Ironie du sort un vendredi précédent Pâques : le Vendredi saint, commémoration de la Passion et de la Crucifixion du Christ.
Le martyr des chrétiens n’est plus une utopie.Elle est plus que jamais une réalité et le génocide des chrétiens et de tous les non-musulmans prend chaque jour, chaque heure, chaque minute du sens. 
Tant que l’humanité n’a pas pris les mesures appropriées pour mettre en quarantaine ce virus létal, rien n’arrêtera sa propagation et continuera son entreprise exterminatrice jusqu’à l’élimination du dernier chrétien
Pourquoi toute cette haine de l’islam contre tout ce qui n’est pas dans son moule ? Pourquoi autant d’acharnement meurtrier contre les chrétiens ? A-t-on besoin de tant de violence aveugle et sanguinaire pour faire triompher la cause de l’islam ? 
Le nazisme et bien d’autres idéologies impériales avaient aussi cherché à le faire mais avaient fini sous les décombres de l’histoire. 
L’islam n’est pas à l’abri lui-même de récolter la tempête du vent de la mort qu’il sème. Tout aura une fin et la bienveillance des gouvernements occidentaux mus par des intérêts géostratégiques, géo-énergétiques et financiers n’est pas éternelle comme ses ressources naturelles il aura à payer pour ses crimes de guerre et ses crimes contre l’humanité présents et passés.
Les peuples occidentaux sont de plus en plus défiants et méfiants à l’égard de l’islam et leurs gouvernements ne peuvent plus faire semblant d’ignorer la colère qui gronde chez eux et dont ils seront les premiers à en faire les frais à cause de leur politique trop laxiste à favorable à l’islam et aux musulmans. 
Chaque nouveau crime de l’islam sert d’aiguillon au réveil des consciences et à la vigilance des peuples partout dans le monde. 
Plus personne n’est dupe de sa nature belliciste et hégémonique et de ses desseins impériaux et destructeurs. 
Il est à souhaiter que cette nouvelle tragédie kenyane soit la dernière et marque véritablement un tournant dans la mise en oeuvre d’un véritable plan de lutte contre la haute nocivité de l’islam sinon d’autres forces autrement plus extrémistes et redoutables vont s’y engouffrer en Occident tout particulièrement et ce sera l’Apocalypse, 
Il est temps que les musulmans prennent leurs responsabilités s’ils n’ont pas envie d’être les premiers à en pâtir. Plus ils persistent et signent dans leur refus d’expurger le mal qui est en eux plus ils nourrissent les hostilités grandissantes dont ils sont l’objet et qui en font la cible désignée aussi bien chez ceux qui sont impatients d’en découdre avec eux en Occident que dans le reste du monde. 
Ils doivent savoir qu’ils ne feront pas le poids face aux 3/4 de l’humanité déterminés à en découdre une fois pour toutes avec eux. L’eau qui dort finira toujours par sortir de son lit. Ils ne pèsent pas lourd face à leur puissance et leur rage de revanche.. 
Tôt ou tard la levée de boucliers se fera et rien ne saura entamer la volonté des peuples pour faire prendre gorge à l’islam.

Dialoguer avec les musulmans c’est comme dialoguer avec les nazis en 1938


Seuls les naïfs et les crédules croient que l’on peut dialoguer avec les ennemis des libertés humaines, murés dans leur seule certitude qu’il n’y a de vérité que la vérité enfermée dans le Coran.

Imperméables et sourds au dialogue, Ils ne tolèrent pas qu’ils puissent avoir d’autre son de cloche que le leur. Leur son de cloche est comme celui des appels à la prière qui vient troubler le silence des villes et des villages au rythme de 5 fois par jour. Assenant le même message qui se veut d’une vérité absolue. Comment peut-on professer dans un contexte de sacralisation dogmatique de la parole dictée avec une force assourdissante et obstruante pour la pensée humaine qu’elle ne laisse pas filtrer un filet de paroles qui n’ont pas une propriété canonique

Avec un esprit façonné par une culture monolithique et fermé à tout débat contradictoire jugé hérétique, on serait plus avisé de dialoguer avec le vent du désert. Jamais, un musulman qui croit en la vertu immanente de la pureté de la parole sacrée dont il se prétend dépositaire, à l’instar de ceux qui prônent la supériorité de l’Islam, ne sera enclin à ouvrir un quelconque débat avec celui qu’il considère comme infidèle et dont l’idée même de dialoguer est avec lui le répugne et le répulse. Et même quand un des leurs, comme le sulfureux et girouette Mourou a feint d’engager un échange avec Youssef Esssidik n’a pas échappé à leur courroux pour voir commis l’irréparable.

Tout dialogue avec les infidèles est considéré comme une offense à Dieu. Comment peut-on dans un tel contexte du refus dogmatique du dialogue pouvoir justement entreprendre un quelconque dialogue avec ceux dont le seul esprit de dialogue qu’ils connaissent est l’étouffement du dialogue par tous les moyens ?

Nombreux sont les pseudos démocrates manquant de discernement, en ayant aucune grille de lecture de l’idéologie extrémiste, qui continuent à prendre les vessies pour les lanternes et prêchent pour le dialogue avec des gens qui font du monologue hermétique leur seule raison d’exister pour toucher leur Graal céleste. Ils vont jusqu’à accuser les esprits avertis et qui appellent à une vigilance extrême, comme c’est mon cas. contre le péril islamiste, de radicalisme et d’extrémisme.

Comme si l’infamie pouvait être combattue avec les chimères de la démocratie. Le monde a joué à plusieurs reprises sa partition d’ouvrir son cœur à ceux qui sont obsédés par sa destruction. On connaît tous les résultats du dialogue avec le nazisme. Si le monde avait preuve de fermeté et de détermination est-ce que l’aurait connu les camps de la mort et l’extermination des minorités et surtout du peuple juif ? Hitler n’avait jamais fait mystère d ses desseins hégémoniques et génocidaires, c’est le monde dit libre qui avait cru qu’il pouvait le pacifier et le raisonner par le dialogue. Alors qu’il n’avait que mépris et aversion pour le dialogue. La même posture qui caractérise les radicaux musulmans.

Or, un extrémiste est par définition celui qui détient une vérité absolue, il est schizoïde-paranoïde, il ne veut entendre qu’une seule vérité, la sienne et encore il n’est même pas à l’écoute de lui-même. Étant pris dans un tourbillon essentialiste de délires psychotiques et messianiques, la seule issue qu’il connaisse soit l’adhésion aux idées qu’ils professent soit la mort. Muré dans ses certitudes mentales, il ne peut se résoudre à l’idée qu’il ne doit y avoir une autre voix que la sienne qui est d’essence divine.

L’extrémiste musulman se sent comme investi d’une mission cosmique et planétaire d’imposer aux quatre coins du monde les dogmes de sa foi contre vents et marées les prophéties de la religion musulmane. C’est un conquérant-colonisateur, qu’il se doit pour le repos de sa propre âme islamiser et ré islamiser le monde. Prosélyte et réfractaire au dialogue, il n’est jamais dans l’échange, d’idées qui va à l’encontre des prescrits de sa foi. Il a peur de commettre un sacrilège, c’est pourquoi il appelle au meurtre quand il ne le commet pas lui-même le meurtre de tous ceux qui doutent du bien-fondé intellectuel de son raisonnement. Dans ce contexte, on peut toujours rêver d’engager un dialogue avec ceux dont le seul but est soit de nous soumettre à leur idéal islamique soit nous tuer. Il est tel un pitbull s’acharnant sur sa proie pendant que cette dernière s’amuse à lui des bisounours.

Le monde a capitulé face au nazisme dans les années 30 en la caressant dans le sens du poil avec l’Holocauste au bout du chemin. On ne combat l’extrémisme qu’avec ses propres armes et jamais celles de la voix de la lâcheté et la démission.

On ne traite pas la folie à dose homéopathique, seule une thérapie lourde, est indiquée. Il faut une riposte graduée pour l’éradiquer. L’extrémiste n’a aucun sens des valeurs humaines, ne soyons pas nous-mêmes dupes de notre angélisme qu’il considère lui-même comme non seulement une faiblesse mais comme une apostasie.

Il ne croit aux valeurs de paix et de compréhension mutuelle, il est obnubilé par la destruction et anéantissement de tous ceux qui tentent de lui opposer le langage humain. S’il était dans le dialogue, il ne chercherait pas à exterminer ses propres coreligionnaires qui font d’Al Ijtihad leur arme contre le jihad.

L’arme de l’intelligence ne peut contenir sa folie meurtrière. On ne neutralise pas un fou en pleine crise de démence en le berçant de bonnes paroles. Seule la camisole chimique est la réponse appropriée dans le cas d’espèce.

L’islamiste est un psychopathe-né, il tue père et mère pour gagner le Lupanar divin. Tout obstacle sur sa route doit être transformé en feu de paille, tel le vrai sens du dialogue chez lui. Il est sur terre pour tuer et non pour échanger avec ce qu’il appelle les ennemis de sa religion, des paroles vaines, superflues et de surcroît attentatoires à ses dogmes. Notre candeur est sa meilleure alliée.

Il n’y a pas d’islam dévoyé il y a un islam que les islamistes appliquent à la lettre

L’utopie islamiste qui séduit de plus en plus les jeunes musulmans et convertis contrairement à ce que les musulmans prétendent n’est en aucun cas un virus inoculé dans le corps musulman par les ennemis de l’islam, elle est un ver venimeux qui prospère dans le fruit musulman depuis la prétendue révélation qui serait plutôt un délire hallucinatoire.

Ses ravages n’ont jamais ainsi cessé de produire leurs effets depuis 1435 ans.  De toutes les religions monothéistes, l’islam est celui qui a le plus sanctifié l’ultra-violence pour en faire un de ces premiers piliers promettant le lupanar paradisiaque et l’érection éternelle à ceux de ses fidèles qui ne reculent devient rien pour propager son message et imposer la volonté d’Allah aux quatre coins de la planète.

La majorité musulmane silencieuse continue pourtant à draper l’islam dans sa vertu louant à qui veut bien l’entendre le message de paix et d’amour de l’islam qui sont les seuls à y croire comme les agents de la propagande nazie entre les deux dernières grandes guerres. Niant ainsi toutes les évidences et occultant par mauvaise foi à l’instar de Tarek Ramadan , ignorance et méconnaissance  l’histoire génocidaire de leur religion. dont le nom est accolé à l’exception du nazisme aux plus grands massacres massifs et ciblés des populations non-musulmanes au cours de ces 14  derniers siècles.

L’islam n’est pas victime des excès de violence sauvage et barbare de ses activistes les plus zélés, il secrète lui-même son propre poison qui menace la sécurité dans le monde et les musulmans eux-mêmes qui sont les premières victimes des actes de terrorisme perpétrés au nom de l’islam.  Qu’ils le veuillent ou non ils doivent non seulement revisiter l’histoire abominable et inhumaine de leur religion dont de nombreux peuples avaient eu à pâtir dont leurs propres aïeux tels les berbères, les noirs, les égyptiens, les perses, les syriens, les irakiens, etc.. mais également oeuvrer pour le bien commun de l’humanité et particulièrement non-musulmane tant honnie par le Coran . Ils doivent ôter leur carcan et contribuer à trouver le remède pour l’éradiquer, extraire ce ver de leur corps.  Il n’y a pas d’islam intemporel et immuable, il y a urgence à fabriquer  un antidote contre ce redoutable poison et le juguler au nom de la sauvegarde et de la pérennité de leur foi et de la protection des valeurs humaines. Autrement, ils risqueraient fort d’être mis au ban de l’humanité qui sera un jour ou l’autre contrainte de se prémunir contre la nocivité de la religion musulmane qui est la plus grande imposture de tous les temps, en se dotant d’un cordon sanitaire.

L’utopie islamiste  devenue l’idéal de leur jeunesse en manque de perspectives, désoeuvrée et au comportement suicidaire est entrain de devenir leur tombe tant elle semble bénéficier d’une réelle impunité et de forts courants de sympathie car elle fait renaître l’islam des origines de ses cendres.

Grâce à elle le monde est témoin de ce que fut cet islam au temps de Mahomet. Un islam à l’antipode de cette image idyllique véhiculée par la majorité silencieuse musulmane qui confond soumission et paix qui ne sait pas non plus qu’islam veut aussi dire soit l’islam soit la mort.

L’utopie  islamiste ne dénature en rien l’islam, elle révèle sa face que la majorité musulmane silencieuse veut soustraire du regard des tiers non-musulmans.  Ce visage hideux de l’islam que le monde non-musulman ne doit pas découvrir. Que les musulmans se murent dans leur déni psychotique, le monde non-musulman ne doit pas tomber dans le piège de l’islam dévoyé et défiguré par l’utopie islamiste. Il n’a pas le droit de dire que je ne savais pas alors qu’il est l’utopie islamiste lui révèle la nature hégémonique, belliciste,  exécrable et barbare de l’islam. L’islam est un cocktail explosif composé d’ingrédients nuisibles pour ses propres consommateurs et le monde non-musulman.  Il est un mélange d’éléments fascistes, totalitaires, théocratiques, génocidaires, liberticides saupoudrés  de zestes de délires cosmiques, de relents racistes, discriminatoires, sexistes, antisémites et xénophobes.

A n’en pas douter, l’utopie islamiste consommée à fortes doses par les musulmans qui appliquent à la lettre la feuille de route mahométane porte en elle tous les symptômes d un Nouvel Holocauste celui de l Apocalypse.

Et si les musulmans de France étaient la cinquième colonne ?

Photo non datée de Hervé Gourdel

C’est incroyable combien les musulmans soft défendent l’image de leur islam. Des millions de musulmans de France, on ne dit jamais pourtant les laïcs de France par exemple, vont sortir cet après-midi dans les rues après le grande prière du vendredi non pas pour défendre l’image de l’islam qui serait ternie par les islamistes mais pour condamner expressément les décapitations.

Mais c’est trop beau pour être vrai, ils ne seront guère que quelques uns à s’indigner des dérives sanguinaires de leurs coreligionnaires radicaux.  Quand ils manifestent c’est pour protester contre l’amalgame fait entre l’islam et l’islamisme sans pour autant être capables eux-mêmes de faire la différence entre les deux et s’adonner à leur exercice favori de veuves affligés histoire d’apitoyer l’opinion publique sur leur sort.  Jamais les musulmans ne condamneront les décapitations  des captifs commises au nom de leur religion. Ils ne sont pas suicidaires au point de désapprouver publiquement ce qu’Allah par la bouche de Mahomet ordonne.

A leur place je ferais une lecture publique des versets qui fondent l’action terroriste des leurs. C’est plus parlant et honnête. Dissimuler la vérité est un dogme religieux chez eux. Ils peuvent toujours battre le pavé avec leurs babouches mais ils ne peuvent tromper personne quant à la nature criminelle et barbare de leur religion. 

Ne soyons pas dupes des bonnes paroles des figures médiatiques de l’islam de France, une véritable insulte à l’islam lui-même, qui ne sont en réalité que de vulgaires agents de communication pour faire redorer son blason taché du sang de James, Steven, Hervé et David. 
L’opinion publique a besoin de gages concrets sur la réelle volonté des musulmans de s’intégrer dans l’espace républicain et leur renoncement à la violence terroriste telle qu’elle est stipulée dans le Coran. .

Il ne suffit pas de seriner que les musulmans de France sont attachés aux valeurs de la république et que l’islam est la religion de la paix, comme si la paix avait besoin de l’islam comme porte-drapeau, il faut que les musulmans de France fassent un choix entre l’islam et la république à cause de l’incompatibilité organique entre les deux. Si vraiment ils étaient fiers de leur francéité, pourquoi se définissent-ils tous musulmans d’abord avant d’être français ?
Est-ce à dire qu’ils sont prêts à trahir la France au profit de l’E.I. par exemple ? 

Hervé Gourdel n’a-t-il pas été livré aux djihadistes algériens par son propre compatriote mais qui était avant tout musulman. Son guide présenté comme étant franco-algérien, une avbarration juridique, était surtout infidèle à la France, « terre mécréante et donc de conquête », et fidèle à ses coreligionnaires terroristes dans le pur respect des prescriptions coraniques.

Que ceux qui soutiennent l’organisation terroriste du Hamas aillent lui servir de boucliers humains

Que ceux qui défendent le mouvement du Hamas qui a nettoyé Gaza de toute présence non-musulmane cessent de défendre l’indéfendable et en se faisant les partisans de ce mouvement ils apportent clairement leurs soutiens à la nébuleuse nazislamiste dont sont issus les Talibans, l’E.I., les Boko Haram, les Shebabs, le F.I.S., la QAIDA, l’AQMI, la Confrérie des Frères Musulmans, Ansar Charia, Front de la Nosra, tous des parents idéologiques du Hamas.

Que connaissent-ils de son histoire, de sa doctrine politique sa charte, de ses crimes anti-palestiniens, de sa guerre fratricide avec le FATAH en 2007, de ses pratiques criminelles, barbares et pédophiles, des menaces qu’il fait peser sur l’Egypte, la Tunisie voire l’Algérie ?

Pour sortir de son isolement politique  à 6 mois des élections palestiniennes et des palestiniens qui n’en peuvent plus de cette guerre permanente avec Israël et qui aspirent à vivre en paix, le Hamas n’a pas trouvé d’autre alternative que de souffler sur la braise et torpiller les chances infimes de la paix entre les peuples palestiniens et israéliens.S’il n’y a plus de cause palestinienne il n’y plus d’exutoire idéologique et terroriste, car comme tout mouvement extrémiste il ne peut prospérer que sur l’état de chaos permanent.

Qu’ils se posent des questions et ne font de leur parti pris une vérité historique y compris sur les vraies causes du conflit israélo-palestinien qui est leur seul fonds de commerce, s’il disparaît ils n’auront plus eux-mêmes leur raison d’être et découvriront enfin qu’ils n’ont jamais été arabes. S’ils ont le courage qu’ils aillent servir de boucliers humains au Hamas au lieu et place de ces pauvres écoliers. A moins qu’ils offrent leurs fillettes aux pédophiles de cette secte infâme.
Salem Benammar

Lettre de colère à Mister Barak Hussein Obama, ce grand ami des frères nazislamistes

Mister Hussein Barak Obama vous qui êtes né musulman et qui ne semblez pas avoir coupé le cordon ombilical avec la religion de votre père, quelles leçons allez-vous tirer de l’opération du  » Printemps arabe » et de ses centaines de milliers de victimes et des pays tombés en ruine ?

Vous avez été le premier à vous réjouir du succès du scénario tunisien alors que le petit Néron de Carthage Ben Ali n’avait pas encore été exfiltré pour l’Arabie Saoudite, votre Panama du Golfe, en adressant un télégramme de félicitations au peuple tunisien pour la réussite de sa révolution, histoire de le convaincre qu’il avait été le véritable artisan d’une révolution à laquelle ils n’y croyaient pas lui-même ?

Est-ce que vous allez pouvoir aujourd’hui en faire autant en savourant cyniquement l’amertume de la tragédie humanitaire dans laquelle vous avez plongé ces peuples comme naguère vos aïeux du côté maternel l’avaient fait avec les indiens ?

Vous avez joué à fond la carte des ennemis du genre humain, les nazislamistes, resté sourd et aveugle sur leurs crimes contre l’humanité  pour divers calculs morbides et sordides, sans vous soucier un seul instant des conséquences de votre politique irresponsable, de courte vue et criminelle à l’égard des populations civiles innocentes des pays du Croissant arabisé qui vivent déjà l’enfer depuis plus de 14 siècles.

Qui pourrait croire en seul instant que des terroristes pouvaient être un véhicule démocratique pour la Syrie, la Tunisie, la Libye, l’Egypte, ainsi que l’Algérie ? Il n’y a que vous et vous seul qui y croyez ou plutôt fégnait d’y croire pour réussir la plus grande entourloupe planétaire de tous les temps.

Plus personne ne vous entend, hulié et ridiculisé par Poutine,vous êtes devenu inaudible ou plutôt vous avez perdu tout votre crédit et de votre superbe dans cette opération que je qualifierais d’ Hiroshima des pays arabisés.

Votre soutien actif et financier aux forces obscurantistes nazillones  qui n’est plus un secret pour l’opinion publique mondiale qui vous vaut une inimitié jamais atteinte par un chef d’Etat américain après Busch au sein de l’opinion publique du monde arabisé, que vous avez voulu recycler en nouveaux agents indiens des réserves-émirats, a transformé la vie de ces peuples en enfer terrestre.
Grâce à elles vous avez gagné une nouvelle mandature et à cause de vos manoeuvres diaboliques inspirées par vos stratèges aussi murés dans leurs certitudes qu’un islamiste convaincu par les promesses divines, ces pays ressemblent aujourd’hui à un champ de ruine.
Vous auriez dû vous rappeler la douloureuse expérience iranienne où vos prédécesseurs ont échoué lamentablement en faisant de leurs anciens protégés obscurantistes leurs pires ennemis, vous avez fait comme si de rien n’était et gare au retour du bâton.

Le renouvellement de votre bail à la Maison Blanche a endeuillé des dizaines de millions d’êtres d’êtres humains de cette région frappée par une malédiction éternelle..

Avez-vous pensé à ces millions d’enfants syriens et irakiens perdus pour la vie ainsi qu’àtous ces estropiés des actes terroristes commis par les salafistes et frères musulmans  à la solde de la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite ?

En collaborant avec les forces du mal à des fins sécuritaires, géostratégiques, géo énergétiques et financières, un jour le Tribunal de l’histoire vous jugera comme un malfaiteur de l’humanité en même titre que Harry S.Truman, membre illustre de votre famille politique. Belliciste notoire, anticommuniste viscéral qui avait donné l’ordre de bombarder Hiroshima et Nagasaki.

Espérons que les urnes américaines sauront venger la mémoire de toutes vos victimes comme en 1952 ont vengé celles du Japon après 20 ans de règne des vôtres.

Heureusement pour vous que les attentats du Marathon de Boston commandités par ceux-là-mêmes que vous avez adoubés pour en faire les gardiens de vos intérêts géostratégiques,géo-sécurtaires et géo-énergétiques au Proche-Orient et en Afrique du Nord; à savoir en Egypte, Libye et Tunisie, s’étaient produits quelques mois après votre réélection sinon vous seriez en train de dispenser vos conseils chichement rémunérés auprès de vos dominions saoudi-qatariens.

Ce n’est pas un prix Nobel de la Paix qu’on aurait dû vous vdécerner c’est un prix de la plus grande imposture politique de l’histoire. Vous êtes un chef de guerre qui ne sait pas mener une guerre et un musulman qui se fait champion de la Takkiyia.

Appel aux musulmans : laissez tomber vos délires nazis et soyez d’abord humains

Appel aux musulmans : ne faites pas de vos pays une nouvelle Allemagne nazie, par Ben Ammar Salem

Dans cet article publié sur Tunisie Info, Ben Ammar Salem, un tunisien lucide, s’exprime plus librement sur l’islam que ne le fait n’importe quel média français, où la pensée unique et totalitaire interdit ne serait que d’examiner les similitudes qui rapprochent le nazisme de l’islam politique.

Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus encore en Tunisie

Les musulmans sont comme ces coureurs cyclistes du dimanche largués par le peloton qui au lieu de doubler d’efforts et d’énergie pour refaire leur handicap, ils se mettent à vociférer, à maugréer, à vitupérer, à s’agiter comme des forcenés, à stigmatiser et couvrir leurs devanciers d’un torrent de boues d’insultes et d’invectives comme s’ils étaient responsables de leur retard irréversible. Toujours la faute à l’autre, érigeant l’autre en bouc-émissaire de tous leurs échecs pathétiques, se donnant bonne conscience en brandissant l’étendard du religieux pour masquer leur propre insuffisance et se regarder de leur propre miroir. Quand on est incapable de faire sa propre introspection pour comprendre et analyser les causes de sa faillite, on se sert de l’autre comme un criminel cherche à se fabriquer un faux alibi pour échapper aux Fourches Caudines de la justice. Crier sa haine du juif et du non-musulman est un leitmotiv dans le monde musulman et plus grave encore en Tunisie, elle dont ni ses rues ni ses mosquées n’ont été des espaces inquisitoriaux et d’appels au meurtre du juif dans toute son histoire post-1956 et bien avant, à l’instar des scènes de pogroms et des autodafés devenus la marque de fabrique locale depuis le retour du Raspoutine tunisien R. Ghannouchi sur le sol national. Le pays de la douceur de vivre et du bien vivre ensemble ressemble désormais à une cité du monde des ténèbres offrant un visage de la barbarie humaine. Sans âme, ni raison humaine, où seuls dominent les cris des meutes de loups en voie de coloniser son territoire et ses agoras. La Tunisie est en train de perdre inexorablement son humanité et son pacifisme, pour accéder au statut de l’ignominie et l’indignité internationales.

En un temps record, elle vient d’être sacrée terre de djihad et premier pays pourvoyeur de chair à canon dans la guerre impérialiste téléguidée par l’OTAN contre la Syrie. Manquant de discernement, veules, cupides et attirés certainement par l’appât du gain et les prébendes paradisiaques, ils ne se rendent pas compte qu’ils sont des marionnettes, des simples pions, une simple force d’appoint dans une guerre hégémonique néo-impérialiste. Comme ils ne savent pas que ceux-là mêmes qui les manipulent et les soudoie sont les mêmes qui dénoncent la montée du fanatisme et de l’obscurantisme en Tunisie. En vendant leur âme au diable comme ils qualifiaient eux-mêmes leur marionnettiste américain, ils discréditent l’image de leur propre religion qui n’est plus en état de guerre, dar al harb, depuis le 11 ème siècle, et jettent en même temps l’opprobre sur leur propre pays.

Cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps

Tout ceci leur importe peu tant qu’ils ont l’ivresse de donner libre-cours à cette violence latente et nourrie par des préceptes coraniques d’un autre temps. Se croyant investis d’une mission divine, ils ne ratent plus une occasion pour exhiber leurs crocs et cracher leur venin sur tous ceux qui n’entrent pas dans leur moule idéologique. Aujourd’hui plus aucun espace n’est épargné, la mosquée comme la rue et le terrain syrien voire les cités-ghettos européens, ils sont devenus le théâtre de la catharsis musulmane où l’on joue la tragédie de sa propre vie où l’on fait de l’autre, cet ennemi imaginaire mais personnifié par des versets diaboliques et velléitaires pour exciter leurs pulsions destructrices et attiser le feu de la haine jamais éteint depuis 1430 ans.

Des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme

Dans un tel climat délétère et hostile au droit à la différence, de l’exacerbation du fanatisme religieux, nourri par des versets coraniques aussi innocents et humanistes que le nazisme, auquel les islamistes vouent un véritable culte religieux, les prêches ne peuvent être à contre-courant de ce climat. Ils sont à la fois contaminés par le ver venimeux inoculé dans le fruit tunisien par les forces prédicatives et mercenaires wahhabites, et surtout ils servent d’exutoire à l’âme tourmentée des tunisiens en manque de repère, agonisant et désespérés, sans perspectives d’avenir, sauf les promesses de prébendes divines dont les abreuvent les prédicateurs-charlatans, vendeurs d’illusions et escrocs de la foi. Au lieu du pain et du jeu, on leur distille et on leur sert dans les mosquées un breuvage infect et empoisonné portant en lui tous les germes du poison mortel de la barbarie nazie.

Quand on fait de la haine de l’autre un projet politique, on finit toujours par mourir de sa propre haine. L’histoire ne manque pas d’exemples en la matière. A commencer par la tyrannie arabe elle-même.

– See more at: http://www.dreuz.info/2012/12/appel-aux-musulmans-ne-faites-pas-de-vos-pays-une-nouvelle-allemagne-nazie-par-ben-ammar-salem/#sthash.BXpLvLjf.dpuf

Pourquoi les juifs ne font jamais des musulmans leur souffre-douleur ?

Du complot juif d’hier au complot sioniste d’aujourd’hui, l’honneur des musulmans est sauf tant qu’ils font de l’autre leur motus-vivendi
Il est fortement recommandé  à tous ceux qui spéculent sur le caractère « sioniste », un passe-montagne pour masquer leur antisémitisme,  des révolutions du printemps pourri arabique de jouer en bourse.
Au moins c’est concret, ils achètent des actions au comptant ou à découvert en croyant qu’elles sont à un bon cours en espérant que le cours va remonter leur permettant ainsi de pouvoir réaliser une plus-value à la vente.
Pour mieux étayer leurs élucubrations spéculatives, qu’ils commencent d’abord par acquérir à la bourse des valeurs politiques les actions « sionistes » afin de rendre crédible leur théorie sur le complot « sioniste ».
La question que l’on devrait se poser si Israël n’était pas pris dans un engrenage de la guerre intramusulmane dont il ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants.
C’est aller trop vite à la besogne en voulant faire des apparences une vérité absolue en voulant  tirer le plus empiriquement du monde  des conclusions trop hâtives des bombardements israéliens du territoire syrien qui peuvent être aussi entendus comme un  avertissement destiné aux belligérants des deux camps en leur faisant clairement comprendre : quelle que soit l’issue de ce conflit, Israël fera toujours preuve de vigilance et de fermeté pour défendre sa pérennité.
Est-il devenu inconscient et irresponsable en creusant sa propre tombe pour satisfaire les desseins bellicistes et génocidaires des pires ennemis du peuple juifs ?
L’éternelle obsession du complot juif devenu aujourd’hui sioniste semble être la seule motivation qui guide les assertions pitoyables des apprentis-sorciers stratégistes et géopoliticiens qui foisonnent dans les pays arabisés depuis la déferlante islamiste.
Qui peut croire que les islamistes sont les agents du Mossad alors que l’islamisme est l’enfant de l’islam lui-même ?  A supposer qu’ils le soient, cela prouve qu’il n’y a pas pire ennemis des musulmans que les musulmans eux-mêmes.
Et ce n’est ni à leur honneur ni à leur crédit d’être l’objet de manipulation  et d’instrumentalisation de la part de ceux-là mêmes que le Coran voue aux gémonies   Alors qu’eux-mêmes ne rêvent que d’une chose détruire l’Etat d’Israël et qui présentant à peine 0.7% de la population musulmane totale de par le monde.
En faisant du juif hier et du sioniste aujourd’hui, alors qu’il s’agit juste d’un glissement sémantique, le bouc-émissaire de tous leurs maux, même domestique, les musulmans se couvrent de honte et de ridicule.
En quoi leur retard intellectuel chronique des musulmans depuis que l’islam existe est-ce la faute à Voltaire ou à Rousseau ou plutôt au juif cet cet ennemi juré inventé  par leur prophète pour donner un sens pseudo mystique et théologique à ce l’on pourrait qualifier de Protocole des Sages de Sion avant l’heure et du Mein Kampf mahométan ?
Heureux le juif qui hante les nuits des musulmans et obsède leur pensée. Ils voient sa main partout y compris derrière le raz-de-marrée qui a emporté leurs anciens despotes mafieux, comme si les damnés de la terre n’avaient aucune raison pour crier leur colère et les faire dégager.
Au lieu de se demander pourquoi sont-ils la risée des nations et à la traîne du progrès humain et s’inquiéter de l’état des libertés humaines et publiques chez eux et du statut dégradant et humiliant de leurs femmes, ils se complaisent dans leur petit rôle de victimes de cet ennemi dont ils font  la source de tous leurs tourments histoire de rendre la pilule de leurs échecs pathologiques moins amère ?
Nourris aux sources de la haine du juif, de la morale immorale, de la loi de la jungle, connus pour leur absence de libre-arbitre et de discernement, les musulmans ne peuvent exprimer un choix ou émettre une opinion s »il n’est pas le fruit de leur enseignement doctrinaire primaire.
Chez eux, le juif devenu sioniste aujourd’hui est leur mode expiatoire pour donner une certaine légitimité à leur quotidien. Au point qu’il est permis de se poser la question quelle serait leur vie sans cet ennemi  abhorrée et détesté à mort comme s’il était la cause de leurs tourments.
Mais le jour où les musulmans auront appris à faire leur propre examen de conscience et de faire des sciences sociales leur vrai modèle de réflexion et d’analyse afin d’apprendre à assumer les vraies causes de leurs retards multiples, il y a une forte probabilité à ce que cela ne les éloigne des dogmes scélérats de leur foi.
Faire porter la responsabilité des guerres qui les minent depuis la mort de Mahomet, de leurs divisions et leur état de chaos permanent à Israël c’est comme s’ils veulent exorciser le diable qui les freine dans la quête de leur humanité.
Quel crédit doit-on accorder à des théories aussi fumistes que nauséabondes sur le « sioniste » qui les empêche d’abandonner leurs habits des ténèbres pour les habits des lumières comme si leur religion n’était pas le vrai frein à leur émancipation humaine et politique ?
S’ils sont  frappés du sceau de l’infamie humaine et en proie au despotisme éternel,  à la violence, aux conflits confessionnels, aux appels aux meurtres des laïcs et des apostats,   à la terreur, à un climat insurrectionnel et inquisitorial permanent, aux attentats meurtriers qui peuplent leur quotidien et qui frappent leurs lieux de culte, à l’arriérisme, au fanatisme,  à la profanation des cimetières juifs, chrétiens voire musulmans, à l’endoctrinement religieux à outrance au biberon, est-ce la faute encore une fois à Israël ou au régime liberticide et terrifiant auquel ils sont soumis depuis l’avènement de l’islam ?
La question que les musulmans doivent peut-être se poser : pourquoi en sont-ils toujours au stade des peuples de la boucherie humaine comme c’est le cas en Syrie, la Somalie, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, et hier en Algérie et en Libye, avec des sombres perspectives pour la Tunisie, l’Egypte, le Yémen, le Nord du Nigéria, etc.. ?
A moins qu’Israël ait un extraordinaire don de muer les djihadistes d’Allah en des forces supplétives, d’en faire une force de frappe pour mater leurs coreligionnaires hostiles à l’expansionnisme « sioniste », moteur du complot que les petites têtes pensantes musulmanes attribuent en tout aveuglement intellectuel à Israël ?
Israël est assez lucide et prudent pour ne pas faire des forces djihadistes qui présentent une réelle menace pour sa sécurité et sa pérennité ses alliés stratégiques de circonstance. Les islamistes ne sont rien d’autre que la version contemporaine des nazis et en aucun cas des « islamo-sionistes », un néologisme indécent, comme se plaisent à les appeler les antisémites qui pullulent dans le monde musulman.

Les tunisiens n’en auront pas fini avec le cauchemar du terroriste Rached Ghannouchi

Le Chef de la Milice tunisienne d’Ennahdha, le terroriste jamais repenti et grand félon devant l’Eternel Rached Ghannouchi, l’enfant bâtard d’Adolph Hitler appartient à une race canine, hybride non-identifiée, indomptable et inapprivoisée pire que celle du pitbull. Il présente la particularité physique d’être d’une mâchoire d’acier et d’une dentition proéminente hideuse capable de scier  l’aile d’un avion d’un seul coup.  Connu pour sa grande voracité et sa férocité qui effraierait son géniteur , jamais repu, glouton et insatiable, une fois qu’il attrape sa proie il la dévore  entièrement ne laissant pas le moindre débris à sa meute de chacals et d’hyènes qui lui sert de courtisans.
 Les tunisiens s’imaginent que ce prédateur terrifiant va recracher l’os royal qu’ils lui ont offert généreusement par la grâce des fossoyeurs de l’I.S.I.E. et leur chef de file le dénommé Kamel Jendoubi, son ex laquais droit de l’hommisme.
Un spécimen épouvantable qui ferait cauchemarder Frankenstein et Lucifer, rien qu’à l’évocation de son nom  les tunisiens sont transis de peur. Il est la hantise de tout un peuple qui a développé une nouvelle pathologie causé par leur état de troubles psychiques graves diagnostiqués comme étant la ghannouchophobie. Un mal incurable dont les effets s’estomperont à la disparition de ce personnage du monde des horreurs.
Tant qu’il est en vie,  cynique et pervers il n’aura de cesse que de jouir de la souffrance de ce peuple  naïf, cupide, veule, vénal, fayot, immature et imprudent  qui prend ses désirs pour la réalité.
A chaque fois il se laisse prendre dans son jeu et ouvre la garde, à moins que ce soit le porte-monnaie, il a cru en ses paroles au mois d’avril 2011 lorsqu’il avait déclaré à son retour sur le sol national  qu’il a tourné la page de la politique,  comme il semble de nouveau se laisser prendre dans le jeu de sa promesse qu’il rend le pouvoir au peuple, tout en gardant son joker qui est l’A.N.C.
Assoiffé de revanche sociale, à la rancoeur tenace et avide de pouvoir qu’il a tout fait par  conquérir par la force de la terreur, et ce n’est certainement pas aujourd’hui qu’il est installé très confortablement dans son trône à ronger l’os en or massif obtenu sans coup férir qu’il va abdiquer pour les yeux d’un peuple pour lequel il n’a que mépris et dédain.  Un homme qui a vomi l’islam de ses parents n’a aucun scrupule pour anéantir ce peuple qui est capable lui aussi de se renier et de se vendre même au moins offrant.
Un peuple qui ne se respecte pas lui-même ne saurait attendre respect et considération de la part de ses ennemis et surtout de la part  du chef milicien Ghannouchi bonimenteur né,, dépourvu de toute vertu morale, connu pour son art consommé des contres-pieds, des effets d’annonce et de sa girouetterie se fait un malin plaisir de le leurrer et de l’esbroufer, multipliant les coups de bluff jusqu’à ce qu’il finisse par le faire lasser et lui rendre gorge pour le faire étouffer dans son propre vomi.
Ce peuple qui porte une lourde responsabilité dans la descente aux enfers de son pays peut toujours se réjouir de l’annonce du départ, comme il s’est délecté de sa révolution hollywoodienne,  il n’aura pas encore fini de cauchemarder  avec ce personnage sorti tout droit du monde des ténèbres qui laisserait apparaître les hydres de la Mythologie grecque comme humaines.
Un peuple qui a mordu à l’appât obamien, n’est plus à une supercherie près. Tant qu’il a la joie de l’illusion de l’ivresse, pourquoi s’en priver  avec un B.C.E.  à la manoeuvre qui cherche à le caresser dans le sens du poil  pour lui faire rendre l’os en or massif qu’on lui a offert sur le plateau tout aussi du même matériau couvert  du cendre des victimes tombées sous les balles de ses commanditaires.
Que nenni !  Jamais un pitbull de son espèce, même un chien, ne rend jamais un os qu’on lui a donné à ronger en cherchant à l’amadouer et quand il fait semblant de le faire c’est pour mieux surprendre sa victime.  La Tunisie n’a pas un dresseur d’envergure pour dresser un tel animal. Seul le pouvoir de la force pourra le lui faire cracher.
Soit il faut aller au combat et accepter de s’acquitter du tribut du sang, soit vous vous résignez à ce que vous soyez ses victimes consentantes sur lesquelles il va aiguiser ses crocs acérés et envenimés.
Maintenant qu’il est le maître absolu du pays, il ne va pas lâcher le pouvoir,  et ce n’est qu’un faux-départ puisqu’il garde toujours dans les les mains ses principaux atouts  la présidence et l’A.N.C. ainsi   que la Ligue pour la protection de la révolution des soldats en terre cuite.
Pour lui un bon  tunisien est un tunisien non-voyant.  Docile, malléable, déconnecté de lui-même, inerte, tétanisé,  soumis, déconnecté, sourd et aveugle.
Ce n’est pas par hasard qu’il avait aveuglé à coups de chevrotines les insurgés du Kef comme son aspersion au vitriol  dans les années 70 et 80 des femmes tunisiennes en visant souvent leurs yeux.   Il ne connait du dialogue et de la persuasion que les sévices physiques et visuels qu’il inflige à ses victimes.
Depuis son retour le sol national  aux allures d’une véritable procession religieuse, accueilli par une foule en transe et en pleine jouissance orgasmique, entonnant des hymnes inintelligibles à sa gloire, sous des cris lugubres, venus d’outre-tombe, effrayants, assourdissants et stridents d’Allah Akbar et deS Takbeer comme s’il était le Messie attendu, la scène tunisienne n’a jamais connu autant d’assassinats politiques et de meurtres de ses soldats.
Jamais il n’y a eu autant d’atteintes à ses emblèmes nationaux, d’emprisonnements arbitraires des hommes d’affaires et des professionnels des médias : journalistes et producteurs. Jamais il n’y a eu autant d’actes de profanations de cimetières et  mausolées qui font partie pourtant de la culture nationale.
Son message que les politicards tunisiens de tous bords et le peuple lui-même aveuglé surtout par son bigotisme et sa ferveur religieuse qui pollue ses neurones, est tout ce qu’il y a de plus clair et sans équivoque :  ce qu’il voulait avoir par la force dans les années 70 et 80 et que les tunisiens dupés par l’I.S.I.E. et le gouvernement de transition de B.C.E  lui ont offert sur un plateau royal est son butin qu’il ne restituera jamais en vertu du droit canon musulman qu’il veut appliquer en Tunisie.
Et s’il réussit dans ses desseins d’instaurer la charia en Tunisie, les tunisiens doivent se préparer à se voiler les yeux pour  plonger dans des longues nuits noires du monde des ténèbres. Croire qu’il va jouer le jeu de la démocratie autant faire d’un pitbull un chien pour aveugles.

Hommage à Salem Ben Ammar pour son combat intellectuel contre le nazislamisme, le vrai péril pour notre humanité

Un texte de Mouna Daadouche, journaliste tuniso-danoise et Zak Amazigh Ostmane, militant des droits humains et fondateur du Comité algérien de soutien à Amina Sboui
 .
Un éternel libre penseur , un grand homme de plume, un visionaire qui a  su mettre à nu le vrai visage de l’idéologie obscurantiste et  barbare des théocraties fascistes islamistes dans un franc parler qui lui vaut de mettre sa vie en péril, au point qu’il n’a pas pu rendre se rendre en Tunisie au début de cette année pour accompagner sa maman à sa dernière demeure dont il ne fera jamais le dueil tant qu’il ne se recueillera pas sur sa tombe .
Victime depuis le mois d’Avril 2011 d’injures antisémites et de menaces de mort successives  la provenant de la  Tunisie et de plusieurs pays du monde arabo-musulman. Ce grand homme a fait de sa plume libre et indépendante une arme de révolte et un rempart contre le fanatisme envahissant, il est l’un des plus grands militants de l’intelligentsia tunisienne.
Salem est un électron libre, qui ne s’est jamais laissé séduire contrairement à certains par les chants de sirène de la terrible dictature de Ben Ali. Il est de même l’un des premiers à avoir défendu avec force et conviction l’affaire Amina et apporté son soutien inconditionnel à l’ex Femen tunisienne en donnant un contenu intellectuel à son geste. Et pour citer ses propos sur l’une des affaires qui a fait le plus de bruit en Tunisie « Qu’ Amina ne les représente pas ,  que j’écris trop sur Amina et moins sur la Tunisie comme si Amina n’était pas la Tunisie captive de la barbarie islamique.
En mettant Amina en prison ces barbares ont ôté la vie à la Tunisie ».
Salem a un répertoire de  plus d’un millier d’articles, sa plume corrosive, son éloquence verbale, la pertinence de ses propos , son esprit critique et ses dons de visionnaire, sa perspicacité, sa lucidité et son sens inné de l’analyse, font de lui un érudit précurseur qui s’élève de la masse nébuleuse des êtres humains.
Salem défie l’esprit grégaire , et traite tous les sujets d’actualité , il s’engage dans tous les débats de son temps. Comme le tango est un malheur qui se danse,
Salem a fait de cette danse un pas historique pour prêter allégeance au combat démocratique et au front anti-islamo fasciste.

Rached Ghannouchi, psychopathe hitlérien

In 1934, Hitler became Germany's president und...
In 1934, Hitler became Germany’s president under the title of Führer und Reichskanzler (Leader and Chancellor of the Reich). (Photo credit: Wikipedia)

La Tunisie avec R. Ghannouchi s’est enfin dotée de son Terminator, un personnage des films d’épouvante, un mélange de Dracula, Frankenstein et le boucher Al Hajjaj. Comme l’Allemagne nazie avait eu son Führer, guide, calife,  en la personne de A. Hitler, la Tunisie islamiste, Grâce à sa révolution digne de figurer dans l’anthologie des bêtisiers politiques,  a le sien en la personne du chef milicien wahhabite Rached Ghannouchi, de son vrai nom Ferid Kharriji. En réalité, son manque de charisme et sa propension pathologique à la servilité le rapprocherait plus du profil de Paul Touvier.

Le terroriste Rached Ghannouchi, l'homme qui se rêve en Adolph Hitler.
Confirmant ainsi le postulat que chaque peuple a les ordures qu’il mérite, il est pour les tunisiens ce que fut le Führer pour les allemands. Il n’est  donc pas superflu de tracer un parallèle entre les deux monstres de la barbarie humaine.  Jouant tous les deux dans le registre du messianisme et de l’exaltation des âmes musulmanes et germaniques. A.Hitler se voulait le nouveau messie germanique en voulant créer une nouvelle religion païenne  s’est servi des Jeux Olympiques de Berlin 1936 pour se refaire une virginité de façade grâce à la complicité bienveillante des barons du Comité International Olympique, véritable gouvernement mondial du Sport d’essence raciste et colonialiste.
En effet, cette instance autoproclamée qui semble avoir inspiré l’ I.S.I.E. a attribué en toute connaissance de cause l’organisation des J.O. de 1936 à l’Allemagne nazie en faisant fi des appels au boycott des mouvements des droits de l’homme et le climat délétère et nauséabond régnant en Allemagne avec son point d’orgue les Lois Raciales de Nuremberg de 1935 basées sur la pureté du sang aryen et l’exclusion de tous les non-aryens ou supposés tels de la nationalité allemande : n’est allemand que celui qui est aryen et comme ne cesse de le proclamer l’agent tunisien du terrorisme djihadiste l’illuminé Rached Ghannouchi : n’est tunisien que celui qui est islamiste et non musulman. Lui-même se prétend avant tout islamiste avant d’être tunisien. Que l’on soit nazi ou islamiste, indépendamment de la collusion historique et avérée entre les deux, les idéologies extrémistes sont frappées du même syndrome : la haine de l’autre, la pureté du sang ou de la foi, les délires cosmiques, l’ethnocentrisme, la mégalomanie, le complexe de supériorité, l’exclusion, l’extermination, la purification raciale ou culturelle etc…
Le terroriste non repenti Ghannouchi [Rachid ou Rached de morched, le guide en arabe] remis en selle grâce à la Révolution atypique tunisienne, semble suivre le sillage d’Adolf Hitler qui lui même est passé par l’action terroriste clandestine avant de confisquer « démocratiquement » et définitivement le pouvoir en Allemagne en 1933 après avoir obtenu les pleins pouvoirs du Reichstag et décrétant ainsi le N.S.D.A.P comme le seul parti unique pour entamer la Renaissance [ennahdha en arabe] de la nouvelle Allemagne en condamnant les autres partis politiques à la disparition. Renaissance du Reich l’équivalent allemand du Califat, restauration, résurgence, exaltation de l’âme germanique ou islamique, autant de concepts qui sèment le trouble quant à l’identité organique entre les idéologies nazies et islamistes.
Et c’est en toute logique idéologique et antisémite que les fondateurs en 1928 de la Confrérie des Frères Musulmans avec comme objectif majeur la Renaissance islamique et le rétablissement du Califat, le Reich, aboli par Kamal Atatürk en 1918, s’étaient ralliés aux nazis en 1939-45. En tant que créature des Frères musulmans, R. Ghannouchi ne saurait renier ses attaches idéologiques et cultuelles en adhérant à des valeurs telles que la démocratie ou la laïcité, cette ennemie jurée des Frères Musulmans, considérées comme des sacrilèges par son mode de pensée mystico-mafieux-politique.
De la clandestinité, il se trouve projeté sous les feux des projecteurs, en attendant sa réhabilitation définitive par la Justice tunisienne aux ordres de sa secte, il a été absous le 23 octobre 2011 de tous ses crimes passés par l’électorat populaire fruste, miséreux, tendance fanatique et opportuniste comme A. Hitler lors de sa prise de pouvoir progressive pendant la période 1928-1935. R. Ghannouchi apparaît aujourd’hui comme le vrai pilote et architecte de l’édification de la nouvelle Tunisie laquelle, contrairement à la nouvelle Allemagne qui se voulait maîtresse du monde, sera un dominion wahhabite. Quoi qu’il en soit, il suit scrupuleusement la feuille de route que lui fixent ses mentors et maîtres qui composent le Triumvirat américano-wahhabo-sioniste. A la différence du Führer nazi non-assujetti aux pouvoirs extérieurs, R. Ghannouchi tout en vouant un véritable culte à l’homme adulé par ses maîtres à penser qoutbiste, est surtout un pion zélé sur l’échiquier de la Pax Americana et sa politique d’émiettement des pays arabes. Sa servilité contraste avec sa soif du pouvoir et ses délires mégalomaniaques. Sachant qu’il n’a pas l’envergure intellectuelle, ni les moyens de ses ambitions politiques cosmiques, il se veut un Führer de l’assujettissement et de la soumission. Ses donneurs d’ordre lui font endosser les habits de Super Président de la Tunisie, une sorte de super intendant de la nouvelle réserve islamique en cours de création en Tunisie.
Ainsi, ils lui offrent l’occasion rêvée de flatter son ego surdimensionné qui lui permet de savourer religieusement son triomphalisme sur la scène politique tunisienne grâce à la grotesque mise en scène électorale du 23 octobre 2011. Les américains ont très habilement manœuvré pour faire en sorte que la secte terroriste soit le vainqueur du scrutin de la mise à mort de la démocratie en Tunisie. Un homme comme R. Ghannouchi, à supposer qu’il en ait les attributs, était prêt à plonger la Tunisie dans un bain de sang depuis les années 70 pour satisfaire ses appétits gargantuesques du pouvoir, maintenant que les Américains l’ont couronné Premier Grand Emir de la Principauté islamique de Tunisie, il va enfin vivre ses délires fantasmagoriques hitlériens. Mais tout en restant dans l’ombre du pouvoir officiel puisqu’il est lui-même le détenteur du vrai pouvoir. Maître absolu du pays, il bénéficie de tous les égards dignes de son rang et de son prestige.
Un prestige de pitbull. Immunité diplomatique lors de ses nombreux déplacements à l’étranger. Garde rapprochée. Voiture officielle blindée. Bureau ministériel au Ministère des Affaires étrangères tunisien confié à la bonne garde de son gendre sinistre des affaires qatariennes à Tunis, équipé des moyens de communication les plus perfectionnés relié par une ligne téléphonique avec le Département d’Etat. Outre un salaire présidentiel et tous frais pris en charge par le petit contribuable tunisien saigné à blanc par Ben Ali et que sa secte mafieuse et félonne est en train de saigner à mort. Lui qui a connu les lumières blafardes des geôles de Bourguiba, est désormais sous les ors princiers de la nouvelle Principauté de Tunisie. Se voulant le nouveau Führer dans le sens de Guide de la principauté tunisienne il demeure en arrière-plan du spectacle pathétique et anti-républicain joué par sa Troïka dont il est tout naturellement le vrai chef.
A n’en pas douter R. Ghannouchi vit ses fantasmes hitlériens et les médias étrangers comme la classe politique occidentale, sauf l’allemande et la canadienne, ne sont pas en reste pour l’encenser et le couvrir de toutes les vertus. Comme si son passé terroriste, ses fréquentations criminelles n’avaient jamais existé. Devenu fréquentable au point qu’il était reçu au Forum de Davos de 2011 comme un grand de ce monde. Lui aux velléités terroristes jamais éteintes dans la mesure où il n’a jamais fait acte de contrition. Par la magie de la Pax Americana qui vise à recycler les agents du terrorisme djihadiste, Rached Ghanouchi apparaît comme un apôtre de la paix et la sécurité dans le monde, comme si A. Hitler s’était vu décerner le Prix Nobel de la Paix. Certains n’hésitent pas de voir en lui un bon patriote, alors qu’il a une forte aversion pour la patrie dont il veut supprimer le drapeau et l’hymne national. Son discours d’apparat au fort accent hitlérien et raciste ne relève pas du folklore, il est fidèle à l’idéologie islamiste belliciste, coloniale, cosmique et terroriste [ses appels à la Guerre Sainte et la libération des territoires palestiniens], ses propos inquiétants sur sa conception idéologique de la citoyenneté tunisienne ouvertement racistes et attentatoires à la souveraineté nationale.
A. Hitler n’a pas lésiné sur les moyens pour apparaître aux yeux du monde entier comme étant un homme soucieux de paix en transformant la scène olympique en une véritable opération de marketing politique dupant et abusant de la crédulité et la naïveté des dignitaires de l’olympisme qui lui ont octroyé l’organisation de l’ Olympiade de Berlin 1936, lui permettant ainsi de gagner les faveurs et les sympathies de l’opinion publique mondiale grâce à cette récompense. R. Ghannouchi, qui est loin d’avoir les talents oratoires du Führer et son art consommé de la rhétorique et ses talents d’exalter l’âme germanique et d’haranguer les foules et de provoquer en elles cet état d’extase orgasmique, a su profiter de ce nouveau théâtre démocratique tunisien pour devenir l’acteur principal de sa pièce, purifié de tous ses crimes passés, donnant l’impression qu’il est devenu un homme fréquentable à l’écoute des préoccupations de son peuple et qu’il pourrait constituer une alternative crédible à l’ancien despote déchu. Ce processus irresponsable et dangereux de réhabilitation a été déclenché dès 2006 par  la girouette-opportuniste A.N. Chabbi et  le Dr Mabuse Moncef Marzouki, aussi mégalomaniaques qu’aveuglés par la soif du pouvoir que le Führer en herbe tunisien, dans le cadre d’un pacte national. Une sorte de front commun de bric et de broc contre Ben Ali.
L’opposition tunisienne d’opérette qui a échoué lamentablement dans son combat contre Ben Ali, victime de son incurie politique et intellectuelle, a contribué indirectement voire directement au sacre hitlérien de R. Ghannouchi. Il est devenu incontestablement la figure de proue de la Tunisie post-Ben Ali comme le fut le Führer au lendemain de 1928 jusqu’à sa conquête finale du pouvoir en 1933. En Tunisie, on déroule le tapis rouge aux pieds d’un djihadiste dépourvu de conscience et d’humanité, insensible aux brûlures au  vitriol infligées aux femmes tunisiennes dans les années 80 et la souffrance des  familles des victimes des attentats  terroristes perpétrés  tant en Tunisie qu’en France en 1987, 1986 et 1991. On recense au moins une douzaine d’attentats attribués à son organisation criminelle. On le drape de toutes les vertus, alors qu’il est un monstre de haine, aveuglé par sa soif de revanche sociale. On l’a placé sur la haute marche du podium tunisien, lui qui mérite d’être jeté du haut de la Roche Tarpéienne  à l’instar de celle octroyée  par les barons séniles et  réactionnaires de l’Olympisme coubertinien.
De par leur autisme et lâcheté, ils se sont inclinés devant la figure la plus hideuse et la plus monstrueuse de l’histoire universelle en lui offrant une vitrine pour impressionner le monde par les réalisations du IIIème Reich, en gavant le monde de tableaux idylliques, alors que ces Jeux étaient annonciateurs de la Shoah et  le prélude du plus grand stade au monde, celui de la vision cosmique nazie comparable à celle des islamistes. En dépit des signes avant-coureurs qui avaient précédé ces jeux et les mises en garde des organisations des droits de l’homme, Hitler avait su exploiter cette aubaine olympique pour en faire un hymne à la gloire de la Renaissance allemande. Rachid Ghannouchi, en utilisant de surcroît les mêmes méthodes d’exaltation et de rédemption de l’esprit djihadiste et sacrificiel en sommeil chez ses partisans, n’hésite pas d’ailleurs comme lui à enchanter ses meetings par une orchestration musicale, faisant preuve d’une habileté diabolique et pernicieuse impressionnante.
En effet, il se met au-dessus de la mêlée en dégageant une impression d’apaisement et de sérénité qui tranche avec les agitations et les troubles ambiants dont il est souvent l’instigateur avec son lâcher de fauves salafistes dans l’enclos des brebis tunisiennes. Policé, civilisé, adoptant une posture, qui est surtout une imposture, républicaine et démocratique. Il est comme Hitler dans les années 30 dans une phase de conquête de pouvoir absolu qui nécessite une communication politique de circonstance, sans fausse note qui se veut rassurante mais qui est en réalité un dol, une fourberie, une manoeuvre insidieuse pour abuser de la crédulité de la masse tunisienne endoctrinée et abrutie par les promesses d’un monde meilleur dans l’au-delà. Manipulateur et perfide, il soudoie, corrompt, menace, intimide et séduit pour gagner l’adhésion de l’opinion publique à sa personne, comme Hitler a su le faire avec le C.I.O. pour les résultats apocalyptiques qu’on connaît. Espérons que les citoyens-patriotes tunisiens en se prémunissant contre la rhétorique perverse et venimeuse de ce terroriste jamais repenti ne fassent pas de leur théâtre démocratique un théâtre de tragédie grecque dont ils seront les premières victimes. La barbarie islamiste a un visage celui de R. Ghannouchi et consorts y compris ses affidés de la Troïka, la barbarie nazie avait un visage celui d’A. Hitler.
Il appartient aux tunisiens de ne pas faire de leur futur scrutin non seulement le dernier de leur histoire mais également qu’il ne devienne pas demain synonyme de destin parallèle entre le minotaure tunisien et la figure de l’abjection humaine que fut le Führer nazi. Il n’y a rien de paradoxal à ce que la parenté idéologique de ces deux Guides Illuminés comme les appellent leurs partisans respectifs, soit tellement proche et troublante qu’au point qu’on retrouve dans leurs discours respectifs les mêmes thématiques, celles de la renaissance, la glorification de la mémoire historique quand bien même elle serait apocryphe et insensée, l’exaltation de l’orgueil du sentiment d’appartenance à un groupe ethnique ou à un système de croyance religieuse, l’esprit de combat fécondant une nation puissante ou une oumma fondés sur la même vision messianique et eschatologique, le culte de la pureté de la race et de la foi avec des sociétés débarrassées de ses juifs et de tous ceux qui n’entrent pas dans leurs moules idéologiques, louant et béatifiant l’âme aryenne d’un coté et l’âme islamique d’un autre, prêchant un retour aux vertus morales qui étaient la clé de voûte de leurs grandeurs passées et dont le rétablissement serait la seule voie possible pour faire revivre le mythe de leurs arches perdus, réduisant la femme au seul rôle de pourvoyeuse de valeureux guerriers au service de leurs causes idéologiques etc.
Le monde ne pouvait affirmer à l’époque qu’il ne voyait pas arriver le péril nazi et pourtant il avait feint d’ignorer sa nocivité alors que les coups de tonnerre grondaient dans le ciel allemand depuis 1923, les Tunisiens sauraient-ils se comporter aujourd’hui ou alors passer outre les leçons du passé alors qu’ils ont été victimes des dérives meurtrières de R. Ghannouchi et de certains membres du gouvernement provisoire actuel, dont le Chef est considéré comme terroriste par les autorités allemandes ? Un clin d’œil du destin et ironie du sort ?  Tunisie-Secret Salem Ben Ammar