Douter de la nature religieuse de l’islam, ne pas avaler la grosse couleuvre de la religion de paix, d’amour et de tolérance. L’islam n’est pas une religion au sens commun du terme, c’est un systeme polico-religieux totalitaire qui arbore le masque d’une spiritualité innocente pour ne pas éveiller les soupçons sur sa véritable nature. Il a l’art de leurrer et de tromper tout son monde sans en avoir l’air.
Pernicieux et manipulateur, agressif et parano vivant dans la peur de se faire démasquer et être pris au piège de son imposture. C’est pourquoi il a fait de la violence son seul argument et un chemin de félicité promettant le paradis aux plus fanatiques et excites parmi eux. D’où ce déferlement hystérique qui les caractérise dés que leur foi est mise à nu. L’islam est un sujet tabou, alors que le vrai tabou est d’interdire la réflexion sur le vrai visage abominable de l’islam.
Croire reste aléatoire et ne revêt aucune valeur de vérité absolue et quand bien même elle le serait on ne peut pas censurer et condamner les idées qui ne vont pas dans le sens des idées communément admises. c’est-à-dire le discours dominant. Que les musulmans se prévalent de leur système de pensée unique en Islamie, ils ne peuvent en faire une loi opposable, répressive et contraignante en France pour restreindre et réduire comme une peau de chagrin le champ des libertés.
Accuser ceux qui les dérangent dans leurs certitudes de racisme anti-musulman cela dénote en soi de leur mentalité liberticide et inquisitoriale et pire encore de la projection de leur propre racisme sur autrui en confondant leur religion avec une race dotée de ses propres caractères identitaires et un patrimoine génétique spécifique qui le distingue de l’ensemble de l’humanité.
Etre musulman n’est pas un titre de noblesse qui confère à son titulaire des privilèges et prérogatives dus à son rang ou lui conférer des vertus hors du commun. On baigne dans un racisme qui aurait fait honte à Hitler lui-même. Comme si par exemple un français qui se vend son âme au diable musulman islam ne se soumet pas seulement une nouvelle foi qui est aussi loi mais surtout il subit une transformation génétique faisant de lui un individu hors du commun. Un individu qui fait le choix de l’idéologie musulmane renonce en réalité à sa dignité humaine d’une part et d’autre part rejoint le camp de l’infamie.
En quoi est-ce du racisme que les troubler dans leur croyance ? En quoi est-ce une incitation à la haine que d’exprimer son hostilité pour l’islam et d’accuser les musulmans de professer une idéologie foncièrement raciste et totalitaire ?
C’est l’islam et ses adeptes qui devraient tomber sous la coupe de la loi du 29 juillet 1881 et non pas l’inverse. Qui incite et nourrit ses fidèles au biberon de la haine du juif, du chrétien et des non musulmans, appelle à la violence, discrimine, tient un discours suprématiste, érige des barrières entre les sexes et classifie l’humanité en purs et impurs et prétend élever le musulman quel qu’il soit au-dessus des non musulmans ?
La critique d’une religion garantie par la loi est un droit inaliénable comme le droit d’en avoir qui n’a rien l’iconoclaste ni constitutive d’un délit de blasphème pour justifier les foudres de ses fidèles et attiser la braise de leur réactions violentes vengeresses.
Les adeptes de l’islam ne peuvent nous opposer l’exception musulmane pour réduire au silence tous ceux qui remettent en cause la vérité dont leur religion serait porteuse. Une religion qui se veut vérité doit savoir se remettre en question pour faire évoluer sa propre conception de vérité.
La liberté de parole que les musulmans veulent faire étouffer au nom des lois laxistes et liberticides est un droit fondamental au même titre que la liberté de culte, elle ne doit pas faire l’objet de stigmatisation et de procès en inquisition sous prétexte qu’elle risque d’ébranler les croyants dans leurs convictions. L’ère de l’Inquisition est pourtant révolue, mais les musulmans veulent aujourd’hui la rouvrir pour substituer au défunt pouvoir de l’Eglise le pouvoir des imams.
Dénoncer les manoeuvres pernicieuses et diaboliques des musulmans qui visent à porter le coup de grâce aux libertés fondamentales est un acte de salubrité publique et un devoir citoyen. Le vrai crime est de feindre d’ignorer la haute nocivité de l’islam et ses desseins hégémoniques. La France et le monde sont confrontés à un péril pire que celui que présentait le nazisme en son temps, car celui-là est imprévisible, il agit dans l’ombre et peut frapper quand il veut où il veut. Il n’a pas de visage, il est blotti dans l’ombre et peut surgir comme un fauve pour prendre à la gorge sa proie.
Mettre en garde et alerter ses concitoyens et les inviter ainsi à une grande vigilance sur l’extrême innocuité de cette religion qui ne devrait pas bénéficier d’un statut de culte religieux au même titre que les 2 autres religions monothéistes ne doit pas soulever un tollé général et valoir à ses auteurs un lynchage public. En quoi traiter l’islam de saloperie comme l’a qualifié mon amie Christine Tasin de Riposte Laïque, de calamité et de crime contre l’humanité est constitutif d’un délit pénal pendant que les musulmans se gardent de condamner explicitement et sans équivoque les décapitations des captifs non-repentis comme l’ordonne le Coran et continuent d’accorder leur blanc-seing à leurs coreligionnaires djihadistes à persévérer dans leurs actes abominables et barbares ?
Peindre l’islam tel qu’il est c’est-à-dire fidèlement aux images que les musulmans donnent de lui n’est aucunement une expression de haine ni de phobie ou la manifestation d’une aversion pour cette religion qui est somme toute un sentiment non punissable par la loi, alors qu’il ne passe pas un jour, une heure, une minute sans que l’islam n’apporte lui-même les preuves de sa nature belliciste et terrifiante confirmant à juste titre qu’il est le vrai visage de l’Apocalypse.
Personnellement je suis conscient des risques que je prends en empruntant la voie qui est la mienne aujourd’hui et qui me vaut de mettre ma vie en péril, je préfère user de la liberté d’informer qui est la mienne que de me murer dans la lâcheté et de me retrouver un jour couvert de honte et de ridicule devant le Tribunal de l’Histoire. Je ne suis pas et je ne serai jamais ce personnage de Martin Niemöller :
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester. »
Plutôt mourir debout et sa plume à la main que de vivre terré comme un rat dans sa tanière en attendant qu’un jour on vient y mettre le feu pour finir en un amas de cendres sans avoir rien fait pour lutter pour sa survie et celle de ses semblables. Tout citoyen doit défendre son humanité et sa patrie qui sont nos biens les plus précieux dont nous sommes des simples dépositaires et que nous sommes tenus à les faire fructifier et les pérenniser pour le compte de ses vrais propriétaires en l’occurrence les générations à venir.
Il n’y a de vie éternelle que dans la défense de l’intégrité, la pérennité et la prospérité de la mère-patrie et du legs que nous devons laisser aux générations futures qui sont nos vrais juges et jamais dans le monde illusoire de la vie dans l’au-delà indigne de la morale humaine.
L’élévation de l’âme n’est pas dans l’érection éternelle et les plaisirs charnels, elle est dans le don de soi et notre totale implication dans l’édification d’ un monde meilleur pour les humains qui vont nous succéder. Penser à sa vie après la mort est la négation de la vie sur terre.
Elle est la plus belle religion jamais donnée aux hommes indépendamment de leurs différences. Aucune religion au monde n’est en droit de confisquer la patrie, de la nationaliser et de la détourner à son profit. La patrie est au-dessus des querelles des religions. Elle est aux hommes ce que la religion est à Dieu.
Je n’ai rien contre les religions je suis contre la destruction de la patrie au nom de la religion comme c’est présentement le cas dans la majorité des pays musulmans. La religion ne doit jamais primer sur la patrie. L’homme doit s’inscrire dans la voie de la vie et en aucun dans celle qui le détourne de la vie telle. L’avenir n’est pas à la religion et ses promesses, il est avant tout humain.
Je suis contre la religion qui divise les hommes, je me bats comme tous ceux qui n’ont de foi qu’en l’humanité qui est en eux, comme tous les amis pour une patrie fédératrice et rassembleuse.
Nous divergeons sur les moyens mais dans le respect mutuel, guidés par notre seul amour pour une patrie humaine et prospère, et convergeons vers le même objectif : faire vivre notre patrie pour l’éternité.
Je ne me bats pas pour moi, je me bats pour ceux auxquels nous devons laisser en héritage une Tunisie debout. Le vrai Jugement dernier est pour moi le Tribunal de l’Histoire qui le seul est notre juge et les générations futures nos requérantes et accusatrices. Notre présent est l’avenir de nos enfants et notre passé sera celui sur lequel nous serons un jour jugés pour leur avoir laissé une patrie en ruine si on ne fait rien pour la sauver aujourd’hui de cette descente inexorable dans les enfers dantesques.
Une religion qui veut entraver l’avenir de ma Tunisie et qui est entrain de menacer ma France, mon autre patrie, n’est pas la mienne et ne le sera jamais.
Je n’ai pas choisi de naître en Tunisie qui reste à tout jamais gravé dans mon coeur et qui est hélas prise dans les griffes de l’islam qui convoite cet autre pays qui est le mien, cette France que j’aime tant qui s’est déjà affranchie de la tutelle de la religion mais il est à craindre qu’elle ne soit pas en train de lui substituer cette religion qui lorgne sur elle.
Mes deux patries doivent rester plurielles et ouvertes où tout un chacun aura sa place dans le respect des lois du bien vivre ensemble et du destin commun.
C’est en oeuvrant tous pour un idéal humain indépendamment de nos différences et nos sensibilités que l’on peut espérer un jour bâtir une humanité dépolluée de scories du repli identitaire et de l’arrogance suprématiste.
Ma patrie est plus que tunisienne, plus que française, plus que tout, elle est tout simplement humaine et universelle.