Mr Dieudonné : l’humour n’est pas innocent quand il moque la mémoire des victimes de la Shoah

L’humoriste Dieudonné n’est pas que le chouchou des amis de Le Pen et les partisans de la droite nationale maurrassienne il est aussi celui des fans de Tareq Ramadan, l’indigne héritier du philonazi Hassen Al Banna, dont de nombreuses voilées présentes à ses spectacles.

De là à dire qu’il est leur dénominateur commun et leur porte-voix, il y a un pas que je ne saurais franchir mais que le footballeur Anelka n’a pas manqué de le faire publiquement sur un stade de football. Un homme qui a découvert l’islam dans les cités, fort probablement l’islam  wahhabite popularisé par le Caméléon Tarek Ramadan, célébrant son but avec « une quenelle »  nauséabonde et insultante aux victimes de la Shoah, en solidarité avec le grand ami d’Ahmadinajad, connu pour être un antisémite notoire.

Je ne crois pas que Manuel Valls ait tort de monter au créneau en tant que gardien de l’ordre républicain qui n’était pas du goût du compagnon de Marine le Pen, s’est-il exprimé à titre personnel ou en tant que porte-parole de son parti.  Soit il tape du poing sur la table et rappeler à Dieudonné le respect des valeurs de la république, soit il ne dit rien et lui signe un chèque en blanc républicain.

La république se doit  de se montrer ferme et intransigeante et de réagir afin mettre fin à ce climat délétère qui n’est pas sans rappeler les épisodes de l’affaire Dreyfus et de l’entre deux guerres dont furent la cible les juifs, qui ébranle ses fondements et qui laisse planer de sérieuses menaces sur sa pérennité. 

Quand les excès humoristiques deviennent récurrents, ce n’est plus de l’humour, ils deviennent un message politique sans équivoque.

Ceux qui le défendent au nom de la liberté de création artistique ont tout faux, car ils confondent création et lynchage politique de très mauvais genre.

A moins qu’ils ne se reconnaissent eux-mêmes dans ses dérives antijuives. L’humour n’est pas innocent quand il moque la mémoire d’un peuple victime de la barbarie nazie.

PS De grâce ne faites pas de la cause palestinienne un argument de réponse à ce post.

Les musulmans font comme si l’islam était à l’origine de l’humanité

 

Dans toute l’histoire universelle, il n’existe pas d’exemple comme chez les peuples musulmans qui s’indignent dès qu’on leur rappelle leurs vraies religions originelles. C’est comme si l’islam préexistait déjà et que toutes les autres avaient juste pour mission de lui baliser le terrain, quelque chose de très latent, des forces d’appoint qui lui servaient d’éclaireuses, avant qu’Allah ne se décide enfin de le sortir de l’ombre des autres religions pour lui faire porter le brassard de capitaine et lui décerner la couronne du dépositaire de son oeuvre.

 

L’islam ne pouvait être que le produit de lui-même, toute allusion à des influences extérieures qu’il aurait pu subir n’est qu’un pur fantasme, un crime de lèse-majesté. L’islam est au-dessus des autres religions et les autres sont viles et indignes de son aura et de son prestige. Il est le favori d’Allah et son lieutenant pour donner du sens et forme à son oeuvre.

 

Comme Adam et Eve étaient musulmans eux-mêmes en leur qualité de soumis à Allah et seraient arabes comme le Messager d’Allah, il n’y a aucune raison pour les musulmans les musulmans de concevoir qu’ils puissent être l’objet de rupture avec d’autres religions antérieures à l’islam puisque l’islam était le fil d’Ariane reliant l’humanité à son créateur. Se considérant comme membres de la même famille  apparentée génétiquement à Adam et Eve,  il leur est intolérable que l’on puisse douter de la pureté des liens qui les relient au dieu de l’islam depuis la Genèse.

 

Un musulman a cette faculté incroyable de tout effacer de sa mémoire et d’occulter l’histoire, ce n’est pas par hasard que l’archéologie est jugée comme une hérésie dans l’islam. A les entendre l’histoire du monde est née avec la révélation supposée. Tout ce qui avait pu exister auparavant était obscurité et ignorance.

 

Pour les musulmans, l’islam a marqué l’entrée de l’humanité dans la lumière mais paradoxalement  ce sont eux qui s’avèrent être le visage sinistre de cette humanité. A force d’éclairer les autres avec leurs projecteurs, ils ont fini par se priver d’énergie pour eux-mêmes. Leurs délires mégalomaniaques et fantasmagoriques sont à la mesure de leur incurie intellectuelle et mentale. Manquant d’humilité et ayant un ego surdimensionné, ils vont jusqu’à prétendre prétendre que les peuples mécréants comme ils les qualifient sont ceux qui appliquent le mieux l’enseignement de leur religion contrairement à eux qui suivent les normes et valeurs de la religion des mécréants. En d’autres termes ces peuples leur ont volé leurs vraies valeurs et qu’ils ont laissé en échange les leurs impures et dévoyées.

 

Incapables de se remettre en cause et d’admettre les évidences. Jamais d’argument à opposer à leurs contradicteurs si ce n’est la violence et le déni de la vérité. Le fait même qu’on leur dise que le prophète autoproclamé n’était pas né musulman, cela tourne au drame. Ils préfèrent que l’on parle de la religion de son oncle paternel adoptif Abu Taleb, celle de sa bienfaitrice, employeur et conjointe Khadija,  de son union avec elle dans la pure tradition chrétienne, consacrée par Warraq  Ibn Nawfel moine chrétien nestorien ou nazaréen   qui serait son oncle selon les uns et cousin selon les autres, peu importe, mais jamais de référence la vraie religion de l’intéressé.  De même que règne  une omerta absolue sur les raisons de ses rencontres répétés avec ledit moine et leur signification spirituelle  qui s’inscrit pourtant dans la suite logique de ses jours dans un monastère près de Basra où vivait le fameux moine. Lui qu’on nous présente comme étant d’origine polythéiste, semble être plus bénéficier d’enseignement monothéiste et avoir côtoyé aussi bien des juifs que des chrétiens.

 

On ne peut même pas évoquer d’autres indices qui laissent entrevoir qu’il était fortement imprégné de culture monothéiste  telle que sa rencontre à l’âge de 9-12 ans avec le fameux moine nestorien ou arien Bahira qui passe pour être son maître spirituel, qui était plutôt son père-catéchiste, confirmée par plusieurs sources, sans que cela ne provoque leur ire.  Pourquoi -t-il pu se trouver au contact d’un prêtre nestorien ou arien s’il ne l’était pas lui-même ? Pourquoi son mariage avec Khadija était-il célébré par un prêtre nestorien ou nazaréen ? Pourquoi Khadija ne professait-elle la même religion que son cousin ou oncle ? Une chrétienne nestorienne pouvait-elle se marier à l’extérieur de sa communauté religieuse ? Et bien d’autres questions qui sont autant de déductions quant à la couleur de la religion d’origine du prophète.

 

Comme tout est légendé,  mythifié, apocryphe et hagiographe, on a fait d’un mensonge une vérité. Peur de la vérité, celle qui dérange et fait tomber le voile noir, le même que celui de la ka’aba,  dans lequel ils ont couvert l’islam.   Renvoyer à la religion d’origine des parents de Mahomet serait  même en soi un blasphème. Comme si l’on veut totalement occulter la présence judéo-chrétienne en Arabie avant l’avènement de l’islam  et leurs apports doctrinaires à cette religion qui n’aurait certainement jamais existé sans les deux autres.

 

Il n’y a pas de loi pour les musulmans en dehors du Coran

Les frères musulmans se plaignent que les lois islamiques ne sont plus appliquées en Egypte depuis 1919 depuis la chute de l’Empire génocidaire et raciste ottoman. Ils affirment que le projet d’une nouvelle constitution est inopportun.  Pour eux  le Coran  se suffit de lui-même, une loi parfaite, incréée au-dessus des lois des hommes.  Il ne peut par par conséquent avoir de loi fondamentale pour les musulmans autre que le Coran. Car la vraie constitution ne doit pas être l’oeuvre des hommes, être imparfaits et faillibles.  Seul Allah a le pouvoir de fixer aux hommes le cadre juridique  qui définit toutes les règles qui régissent leur vie dans ses moindres petits détails, dépourvus de tout libre-arbitre.

Ainsi l’idée même de constitution est en soi un sacrilège.

Les hommes n’ont pas à codifier les lois qui les gouvernent. Ils ont le devoir de se soumettre aux lois qu’Allah a édictées pour eux.

Légiférer est par conséquent un acte d’insubordination à Allah. Une offense à Allah punissable de la peine de mort.

 

Le fidèle musulman a une obligation absolue de ne pas exprimer le choix du régime qui convient à sa conception et sa vision du monde, faudrait-il qu’il en ait une. Seul Allah est censé en être pourvu.

Un soumis à sa foi et à la vie guidée par les seuls prescrits de son créateur ne doit pas être en mesure de tracer le cadre juridique dans lequel il doit évoluer avec des règles spécifiques pour chacun des domaines de la vie sociale, personnelle, économique, sexuelle, économique, sécuritaire, internationale, politique, culturelle, interpersonnelle, éducative.

Il ne peut y avoir d’autres fondateurs de lois en dehors d’Allah, ce qui en toute logique interdit aux musulmans de se subsituer à Lui et de s’auto-octroyer ses attributs ses prérogatives.

Dans l’islam on ne se concerte pas, on ne discute pas non plus de l’application des lois, ni rechercher un consensus autour des lois qui sont déjà pré établies, immuables et intemporelles, valables pour l’éternité. Non sujettes au débat de leur temporalité et actualité. Les lois doivent rester figées comme les moeurs, les us et coutumes. Les remettre en question est pire qu’apostasier l’islam. Comme si elles étaient une vérité absolue et  ne doivent jamais être frappées d’obsolescence ou rendues caduques. Elles sont l’oeuvre d’Allah et l’expression de sa volonté immanente et doivent perdurer tant que perdure son univers.

Des lois infaillibles et en vigueur partout et tout le temps, résistantes aux évolutions du monde, aux bouleversements politiques, aux révolutions, aux remous de toutes sortes. Le curseur doit rester inamovible, statique et inactif. Les musulmans doivent tous graviter autour de lui, toute leur action doit être menser dans le contre-sens de l’aiguille d’une montre. L’islam n’est pas une machine à remonter le temps, il est une machine qui paralyse le temps et le statufie.

Ses lois sont cmme un un fil d’Ariane pour éviter à ces enfants perdus et désorientés, immatures et fragiles la séparation avec leur vrai Concepteur-géniteur. Les enfants qui naissent sont son oeuvre. C’est pourquoi les musulmans sont sa chose, son bien, qui pour eux naître musulmans est une bénédiction divine et toute rupture de lien expose l’insolent à la malédiction d’Allah.

Allah leur a taillé un uniforme qu’ils doivent endosser, qu’il soit ample ou étriqué, les musulmans ne doivent y apporter aucune retouche ni modiofication pour l’adapter à leurs mensurations.

L’islam est un pluriel au sigulier. Les fidèles sont tenus à emprunter une seule et unique voie qui n’admet aucune déviation, ni réajustement. Une voie qui se veut parfaite et intemporelle qu’ils doivent pérenniser et diffuser.

Ils n’ont pas à donner du sens à leur propre que seul Allah est censé lui donner du sens. N’existant pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ils sont au service de Celui qui est leur Maïtre et Guide. Jamais maîtres de leur choix ou de leur décision. Même quand ils aoccomplissent l’irréparable, c’est Allah qui les a élus pour ça. Une chance inouïe pour les musulman d’avoir été désignés pour exécuter les sombres desseins pour l’humanité de ce dieu apocalyptique et sanguinaire.

Quand on est un digne fidèle de l’islam, on ne doit jamais se soumettre à des lois qui ne sont pas consubstantiellement d’origine musulmane. Quels que soient la portée et le bien fondé des lois qui ne sont pas l’expresion de la volonté d’Allah, l’unique et le vrai législateur, elles ne peuvent qu’être impures et hérétiques.

Un musulman est en droit par conséquent de les snober, les ignorer et les trabsgresser. Il a obligation de les combattre afin de les abolir pour leur substituer les lois de l’islam appelé à devenir un jour le nouvel ordre mondial.

Forts de leurs convictions que l’islam est la seule voie pour l’humanité, ses fidèles doivent surtout concourir à sa propagation et s’activer à éliminer les obstacles qui contrarient son expansion. Le paradis est au prix de leur investissement inconditionnel, jusqu’au-boutiste, ultraviolent, suicidaire et aveugle dans la victoire finale de la voix de l’islam.

Seuls les naïfs et les capitlards croient que les fidèles musulmans ne présentent aucun danger pour les lois des assemblées humaines. Toutes ces lois sont jugées comme étant contraires aux lois d’Allah, elles doivent disparaître pour ne pas polluer l’environnement musulman par leur présence.

Malins et futés, les fidèles musulmans vivant en Occident appelé aire de la guerre, dar al harab, les fidèles musulmans tout en piétinant les codes pénaux ont un art consommé de tirer profit des lois sociales avantageuses et généreuses de cet ennemi à abattre qui creuse lui-même sa propre tombe en contribuant lui-même à sa propre perte, à cause de son laxisme et son absence de discernement.

Les tunisiens en rupture totale avec leur véritable identité ne peuvent se construire un avenir

Comment un peuple qui fait du passé de ses occupants son passé, et qui veut en faire aujourd’hui son présent, peut-il être un peuple du futur, alors que le futur est un passé chez ses maîtres dont il revendique leur identité au mépris de la sienne ? Si révolution il y aura un jour, elle sera culturelle ou elle ne le sera pas.
Un peuple coupé de ses propres racines auxquelles il n’a pas même pas le droit de se référer, voire complètement effacées de sa mémoire, ne peut en extraire les semences qui lui permettent de les faire prospérer dans le futur.
Pour pouvoir avoir les ressources d’un réveil identitaire il faut d’abord puiser ses forces dans ses propres sources d’origine et non s’approvisionner dans les sources stagnantes, contaminées, non potables et polluées de ses génocidaires culturels, devenus ses seuls modèles de référence culturelle à cause de leur langue et leur religion.
 Au point qu’il a honte de ses véritables origines et se montre agressif, hostile et se sent offensé à chaque fois qu’on lui rappelle son identité plurielle et sa composante judéo-chrétienne qui lui apparaît à ses yeux comme un sacrilège.  Il lui est insupportable et intolérable  de connaître ses vraies origines autrement plus riches et fécondes que celles auxquelles ils s’apparentent honteusement et indignement. Préférant s’identifier à Mahomet et Aïcha plutôt qu’à la Reine Didon, Hannibal et Saint-Augustin.
Il  veut construire un avenir  en occultant son histoire originelle, ne sachant pas qu’il doit renouer d’abord avec elle qui lui sert d’effet de levier pour le propulser vers l’avant, tout en attaquant le mal qui le paralyse depuis 14 siècles à ses racines  exogènes et tant qu’il ne les aura pas éradiquées, le mal continuera à proliférer pour se transformer en cancer à l’état de métastase. Il faut admettre que ce peuple y est déjà et son pronostic vital est tout-à-fait engagé. Car il n’a toujours pas compris qu’un peuple sans repères identitaires est comme un corps sans vie, comme un navire qui veut accoster en pleine tempête et dans la nuit dans un port sans phare.
Il est comme un aveugle sans le chien qui le guide, avançant à tatillons, sans savoir où il va et quel passage traverser, heurtant les obstacles, trébuchant jusqu’à ce qu’il finisse par tomber et sans pouvoir se relever tout seul. Une main tendue implorant les âmes charitables pour le secourir.
Mais à la différence du vrai aveugle qui n’a pas choisi de l’être, ce peuple aveuglé par son propre aveuglement de lui-même, devient une proie pour les charlatans et les gourous de tous genres qui se proposent de lui servir de guides pour l’égarer davantage dans le monde sans lumière dans lequel il s’est enfermé en usant de toutes les ficelles pour éteindre la moindre étincelle susceptible de rallumer ses pulsions de prise de conscience de soi et de qui on est pour savoir où l’on va.
Une identité dont ce peuple éternel dominion en est dépourvue est en réalité cette lumière interne qui lui fait cruellement défaut censée illuminer le chemin qui fait passer un peuple de l’état du monde des ténèbres au monde de la vie.
Un peuple s’étiole et se meurt quand il est amputé de sa flamme identitaire.
En effet, il ne peut jamais avoir une quelconque emprise sur son destin et choisir ses orientations sur le chemin de la vie.
Ce n’est pas par hasard que ce peuple qui vit dans un état d’obscurité interne permanente est condamné à vivre avec une vision obstruée de lui-même et par conséquent de son avenir.
Il s’illusionne que la voie que ses guides lui ont tracée et qui ne fait qu’aggraver son état pathologique de cécité, est bien la voie de salut, alors qu’il est incapable de distinguer le clair de l’obscur, la lumière de la pénombre.
Ce peuple n’est rien d’autre que l’ombre de lui-même et étranger à lui-même. Car s’il voyait son ombre, il prendrait conscience que le sentier dans lequel il est engagé contre son gré le mène tout droit dans les limbes de l’histoire.
 

L’islam est plus qu’un crime contre l’humanité, il est l’Apocalypse de la prophétie biblique

L’islam  veut régner sur le monde par la terreur. Il ne tolère aucune cohabitation en son sein. Il ne passe plus un jour sans qu’il ne plonge l’humanité dans l’horreur. Il ne cesse de martyriser et persécuter  les chrétiens  les massacrant partout où ils se trouvent notamment en Syrie, Irak et le Nord du Nigéria grâce à la bienveillance complice de ses adeptes et des gouvernements occidentaux capitulards. Il vient pour la énième fois de massacrer des chrétiens à Baghdad le jour de Noël plongeant ainsi la communauté chrétienne dans un cauchemar apocalyptique. Les musulmans connus pour leur déni psychotique et leur mauvaise foi dogmatique, à l’état de cécité mentale légendaire, pervers et retors,  cyniques, menteurs et fabulateurs-nés sont capables d’accuser les chrétiens d’avoir commandité leur propre carnage pour discréditer l’islam et salir la belle image de cette religion de la sublimation de la vie et de la tolérance érigée en dogme religieux pour purifier la cité musulmane du multiconfessionnalisme.

L’islam  ne tolère aucune cohabitation d’une autre religion à ses côtés, tenue à se diluer en lui et pourtant les musulmans sont convaincus du contraire.

Tant qu’ils ne veulent pas reconnaître que l’islam est une religion violente et criminogène, on doit répondre à leur mauvaise foi par la mauvaise foi agrémentée d’une touche d’ironie.  Ainsi avec eux, il faut tout pervertir, travestir et flatter leur narcissisme frustré, aigri et amène. Ils vont encore nous seriner en jurant la main sur le coeur et le regard d’un chien errant que l’islam est innocent ou nous une pirouette malsaine dont ils ont le secret pour se défausser sur autrui et se victimiser.

Ils ne sont jamais responsables de leurs actes, ce sont les victimes qui sont coupables de leur propre malheur. Feignant d’oublier que la voie inhumaine du paradis doit être irriguée du sang des ennemis d’Allah.

Le prophète autoproclamé n’a jamais dit non plus que le paradis est à l’ombre de l’épée, il a surtout dit aime ton prochain, surtout celui qui n’est pas de ta foi, autant que toi-même.

Ils attendent de leurs ennemis à ce qu’ils démystifier la vérité de l’islam et le draper leur dans les vertus qui ne sont pas les siennes. L’encenser et l’enjoliver. Autrement, ils se crispent et exhibent leurs crocs tel un charognard prêt à dépecer sa proie.

Ecorchés vifs, complexés, manquant de lucidité et d’assurance en eux et impulsifs, ils s’offensent pour des tags soi-disant islamophobes, ou une pauvre tête de cochons déposée à l’entrée d’une mosquée, ces hauts lieux de fanatisme religieux, du djihad de la terreur, et d’appels au meurtre des non-musulmans, mais jamais au grand jamais pour les actes de barbarie antichrétiens perpétrés par leurs coreligionnaires qui appliquent à la lettre les prescrits de l’islam.

L’islam n’a jamais tué personne, ce sont ses victimes innocentes chrétiennes qui sont la cause de leur propre mort.

Même si les chrétiens devenaient musulmans, ils ne seraient pas à l’abri, puisque l’islam tue aussi les siens.

Un nouveau Noël ensanglanté pour les chrétiens d’Orient.

Les musulmans devraient fêter Noël dans le pur respect de la tradition mahométane

Mahomet
Mahomet (Photo credit: Stifts- och landsbiblioteket i Skara)

Si les musulmans étaient  cohérents avec eux-mêmes,  respectueux des influences chrétiennes sur l’islam, conscients de l’environnement chrétien dans lequel avait évolué Mahomet et vraiment fidèles à la Sunna de Mahomet, l’homme qui pèse 14,5 X Allah en Tunisie où toute offense de son auguste personne est passible de 7 ans et demi de prison comme c’est le cas de Jabeur Mejri, ils devraient fêter Noël pour la simple et bonne raison qu’il l’avait lui-même fêté jusqu’à l’âge de 40 ans .

Khadija sa première femme et son employeur attitré, son aînée de 15 -17 ans, riche et prospère marchande, n’était-elle pas chrétienne comme aurait pu l’être lui aussi ?  Certaines mauvaises langues disent que Mahomet était mû par simples intérêts mercantiles.

Il est à douter qu’à l’époque la chrétienne Khadija eusse été en droit religieusement de se marier avec un non-chrétien et être la seule à recevoir les sacrements du mariage. Elle aurait risqué l’excommunication si jamais elle avait enfreint cette règle essentielle dans le mariage chrétien;

A supposer  qu’elle ait bénéficié d’une mesure dérogatoire, ce qui est impossible, pour convoler en 3 e noce, veuve deux fois, avec Mahomet le monogame qui est une obligation chrétienne et qui sous-entend qu’il était baptisé, avait tout au moins pu l’avoir fêté pendant 15 ans depuis l’âge de 25 ans jusqu’à l’âge 40 ans, c’est-à-dire l’âge auquel il était devenu prophète parmi les prophètes et l’Oméga de la chaîne prophétique.

N’est-il pas curieux que ses tout premiers adeptes  étaient pour la plupart  chrétiens et qui constituaient son premier cercle étaient presque tous chrétiens ?

Beaucoup d’indices attestent de sa chrétienté tant occultée par ses adeptes. Comme aussi ce fameux épisode du Moine Bahira en pays de Cham, la Syrie actuelle, où il aurait reçu un enseignement chrétien, catéchisme fort probablement. Il avait tellement baigné dans un environnement chrétien qu’il est impossible de croire qu’il ne l’était pas lui-même;

Je serais plutôt tenté de dire qu’il l’avait fêté pendant les quarante premières années de sa vie. Je crois savoir que son oncle adoptif Abû Taleb, le père d’Ali, qui l’avait élevé était chrétien et qui n’avait jamais cru en l’authenticité de son prétendu Message que Dieu lui aurait confié par les mains de l’Ange Gabriel.

De même que ses premiers sectateurs étaient aussi chrétiens.
Par conséquent, les musulmans ignorants de l’histoire de leur dieu Mahomet puisqu’il semble au-dessus de dieu, ne proclame-t-on qu’Allah se prosterne devant lui et le salue ? , ou plutôt de très mauvaise foi avec leur déni pathologique de l’éducation chrétienne, ne commettent aucun sacrilège à célébrer la Nativité. Si dieu l’avait fait pourquoi pas ses hommes ?

L’islam  mériterait bien d’être  qualifié d’ex secte judéo-chrétienne et les musulmans doivent en finir avec les sujets tabous qui entourent l’islam comme s’ils avaient peur que si le masque de l’islam pur et idyllique tombait ils retourneraient eux-mêmes à leurs religions d’origines respectives et pour ceux qui redeviendraient chrétiens pouvaient fêter  sans se culpabiliser et honte d’eux-mêmes la naissance du Jésus Christ que Mahomet avait célébrée dans le respect de la tradition chrétienne dont il était imprégnée.

Grâce aux islamistes, le monde a découvert la vraie parenté idéologique entre l’islam et le nazisme

According to Bullock, Hitler was an opportunis...
According to Bullock, Hitler was an opportunistic adventurer devoid of principles, beliefs or scruples. (Photo credit: Wikipedia)

Les musulmans exaltés à l’extrême rêvent tous de faire de la terre le Grand Royaume d’Allah.

Qu’ils soient fanatiques ou islamistes, ils souffrent tous  d’un manque pathologique d’humilité et sont  incapables de se remettre en question.

Ils sont tels des adeptes d’un mouvement sectaire messianque, obnubilés par une seule idée :  suivre à la trace, emboîter le pas à des pseudos  ancêtres vertueux, illusoires, fantasmés et inventés en toutes pièces.

Au point que l’opprobre est jeté sur tous ceux qui osent dresser portrait fidèle de leurs fantasmes mégalomaniaques.

Plus on flatte leur ego, plus ça les réjouit et les conforte dans leurs délires de grandeur en leur procurant un sentiment de puissance démesurée.

Ne connnaissant rien à la morale de la fable du corbeau et du renard de Jean de la Fontaine : apprenez que le flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute.

Mais convaincus religieusement  de la suprématie de leur foi et de ses mirages sur toutes les autres fois, ils refusent de reconnaître que l’humilité est la mère de toutes les vertus.

Absolutistes et à l’ego surdimmensionné, ils ne pouvent se résoudre à entendre la voix de la raison et admettre qu’ils puissent avoir d’autre vérité la leur.

Enfermés dans cette sorte de prison mentale, vivant dans leur Tour d’ivoire tel un reclus qui refuse tout contact avec le monde extérieur afin de ne pas mesurer le gap qui le sépare du monde réel, toute critique ou remise en cause de sa représentation subliminatoire de sa foi est perçue comme une offense à ses dogmes.

Angoissés à l’idée de se regarder dans le miroir du monde, ils transforment leurs peurs en autant de mécanismes de défense, un bunker pour se réfugier dans les méandres de leurs pensées tourmentées et obsédées par les plus-values qu’ils pourraient tirer de leur totale obéissance aux prescrits de leur religion.

Un musulman fanatique n’investit jamais à perte. Tout ce qu’il fait et entreprend c’est pour s’attirer les bonnes grâces de son Démiurge.

Se sentant éternellement persécutés, ils voient leurs ennemis partout, épiloguant et dissertant sur les fantasmagoriques complots dont ils se croiraient  victimes.

Ils sont comme des enfants  capricieux et posséssifs qui ont besoin d’être couvés de regards et d’attentions pour exister.  Depuis ces deux dernières décennies, ils ont plutôt tendance pour manifester leur mauvaise humeur à avoir recours à une nouvelle forme de thérapie comportementale, sociale et intellectuelle : faire régner la terreur pour exister.

Au point  qu’il ne viendrait  à l’esprit personne  de les contrarier pour ne pas susciter leur ire et troubler leur émoi. C’est pourquoi l’on doit se garder d’écorner leur image de soi  idyllique, surfaite, surréaliste, inconsidérée et irréelle.

Qui ose les faire « dénombriliser » et leur faire toucher du doigt la dure réalité de leur vie et l’amertume de leur existence ? Personne !

De crainte d’être taxée d’avoir la phobie des musulmans et non de l’Islam dont ils sont à l’antipode, une espèce de pathologie mentale qui frappe tous ceux qui n’ont pas la pureté du sang musulman y compris leurs coreligionnaires à l’esprit clairvoyant et lucide et non gagné par l’ivresse du fanatisme.

Sang et  foi se confondent chez les musulmans fanatiques qui sont légion partout dans le monde. On les reconnaît à leur mode d’accoûtrement vestimentaire et au port de barbes hirsutes et fort probablement pouilleuses.

Leur discours est en tout point de vue comparable au discours nazi ou maurrassien sur les inégalités raciales entre les hommes. Il est vrai qu’ils ont remplacé dans le le mot race par religion.

Au point que les qualificatifs employés laissent supposer qu’il y a un nouveau gène cellulaire musulman. Un caryotype islamique.

Comme si être musulman dote celui qui professe l’Islam d’un nouveau marqueur génétique. Ils se prennent pour les nouveaux pharaons, ils sont au sommet de la pyramide humaine. Ils se considèrent comme le nec plus ultra de l’humanité au motif qu’ils ont la plus merveilleuse religion jamais donnée à l’homme.

De cela, personne ne doit en douter et malheur à celui qui se montre incrédule. N’est-il pas écrit dans leur littérature sacrée d’être la meilleure communauté jamais envoyée sur terre au grand dam de nos amis maoris  ou zoulous qui n’ont pas cette chance d’avoir été adoubés par Dieu pour répandre sa bonne parole?

En attendant qu’ils redescendent de leurs nuages, ils vivent l’enfer ou presque sur terre et mes autres amis zoulous mordent dans la vie à pleines dents, ils chantent, dansent, boivent et s’amusent comme des fous.

Et surtout ils ne polluent la vie de personne et qui sont tout le contraire de la sublime et parfaite communauté des croyants que Mahomet a promise à ses fidèles.

Ils ne sont dotés d’aucune vertu humaine, à l’âme toiurmentée et à l’esprit torturé. Négateurs de la vie, suicidaires et jusqu’a- boutiste,cherchant leur salut dans la destruction de leur propre vie et celle d’autrui.  Connus pour leur arrogance, violence, morbidité, messianisme, sectarisme, expansionnisme, intolérance, fanatisme, tempérament inquisitorial et incurie intellectuelle et mentale.

Accumulant tous les péchés originels qui devraient leur valoir de finir dans les bûchers ardents de l’enfer, à supposer que ce lieu sinistre puisse exister.  Ils excellent dans le vice et les dépravations morales, leur suffisance légendaire n’a d’égale que leur ferméture au dialogue, se croyant détenir une vérité absolue de portée universelle qui doit s’imposer au monde entier.

Leur iinhumanisme et leur bellicisme puisent leurs sources dans l’enseignement du prophète autoproclamé. De même que les traits de leurs caractères sont l’exact reflet de la personnalité  de leur figure tutélaire, bornés, schizophrènes, paranoïaques, archaïques, passéistes,  souffrant de troubles de personnalité, dégoût de la vie, nombrilistes, vaniteux, moi-musulman-maître-du-monde-et-de-l’univers, nazillon, imprécateurs, impulsifs, sanguins, écorchés vifs, exubérants, haineux, fourbes, manipulateurs, antisémites, à l’ego surdimensionné, cosmiques, calculateurs, falsificateurs, hautains, faux-dévôts, profanateurs, sexistes, racistes, méprisants, agressifs, et bien d’autres scories qui laissent apparaître les musulmans fanatiques  à des années lumière des 10 commandements et de tous les Livres de Loi que Dieu aurait révélés aux hommes à l’exception du Coran qui aurait pu inspirer Hitler pour la rédaction de Mein Kampf.

Une question : ne vaut-il pas mieux d’être zoulou et jouir de la vie que d’être musulman fanatique et vivre l’enfer au cours de sa vie et aussi le faire à autrui ?

Hillary Clinton et Alain Juppe agents de l’islamisation du monde

  • Secretary Clinton holds a bilateral meeting wi...
    Secretary Clinton holds a bilateral meeting with French Foreign Minister Alain Juppe, at the Department of State on June 6, 2011 (Photo credit: Wikipedia)

    Article daté du 23 octobre 2011

  • La Tunisie qui a recouvert sa dignité un soir du 14 janvier 2011 est aujourd’hui confrontée à un véritable péril qui menace ses fondations sociales, sa personnalité juridique, son identité républicaine et sa souveraineté nationale, voire son devenir humain.
  • L’organisation sectaire d’Ennahdha fait de l’arabisation la pierre angulaire de son projet politique et sociétal pour la Tunisie. Comme si la Tunisie n’a pas son caractère propre qui lui permet de sauvegarder et pérenniser sa propre identité plurielle et millénaire.
  • En quoi son arabisation est porteuse d’espoir et sa tunisification serait porteuse de désespoir pour le peuple tunisien ? Est-ce que ce  modèle de société habillé d’arabisme est la panacée pour résoudre les maux de la Tunisie et la propulser dans une dynamique de progrès humain, alors que l’arabisme jusqu’à preuve du contraire n’a jamais été un facteur de développement économique et social ?
  • S’il est aussi efficient que cela pourquoi l’arabisation est correlée avec régression et sous-développement ? Tout indique que l’arabisation constitue un modèle importé, étranger à  la Tunisie et en décalage avec les aspirations tuniso-tunisiennes de son peuple.
  •  Qui dit arabisation de la Tunisie, dit surtout aliénation de la Tunisie et sa colonisation par un système de pensée idéologique qui vise essentiellement à lui faire perdre son idépendance et son âme.
  • L’arabisation est un processus de mise sous tutelle de la Tunisie au profit des forces tierces dont l’objectif est moins de conforter la dignité des Tunisiens que de la leur faire perdre. L’arabisation n’est rien d’autre que la vassalisation du pays, son intégration dans le nouvel espace wahhabite auquel oeuvrent les islamistes tunisiens.
  • Leur patriotisme se confond avec leur obéissance et leur félonie au  service de leurs bailleurs de fonds soutenus par les Américains.  Le terrain tunisien est miné, des foyers d’incendie peuvent se déclarer à n’importe quel moment.  Le pays n’est pas à l’abri d’un nouveau séisme politique et humain d’une grande intensité. Il faut des pare-feux et des digues pour protéger la Tunisie de la houle arabiste qui la menace dangereusement.
  • En sauvant la Tunisie, on sauve les acquis hérités de Bourguiba et ceux de sa  Révolution étouffer dans l’oeuf les velléités de la contre-révolution orchestrée par les wahhabites et leurs protecteurs américains.
  •  Les islamistes sont des nervis, des séides, des félons, des pions sur l’échiquier du pacte entre l’Oncle Sam et la glaive wahhabite. Ils veulent la faire avorter au nom de l’arabisation symbole de la réaction et l’archaisme afin qu’elle ne serve pas d’exemple pour les autres peuples soumis à l’ Islam. L’exemple libyen en est la meilleure illustration.
  • En effet, la  Révolution libyenne qui était au départ une Révolution était devenue en cours de route une contre-Révolution pilotée par les Américains. Ce n’est pas la petite principauté du Qatar qui l’avait sponsorisée ce sont leurs maîtres saoudiens qui l’avaient fait en sous-mains surtout qu ils avaient un compte à règler avec Khaddafi qui les avaient traités un jour au Caire lors d’un Sommet de la Ligue Arabe de « gros porcs ». Le pire affront que l’on puisse infliger aux islamistes polymorphes et anthropomorphes. 
  • Le soulèvement populaire  chiite du Bahreïn avait été maté par les Saoudiens avec des menaces à peine voilée des Américains qui avaient peur pour leurs intérêts géostratégiques menacés par leur grand ennemi iranien.
  • N’oublions pas non plus le rôle joué par les mêmes Américains dans l’avènement du F.I.S. en  Algérie traités par le Département d’Etat américain comme s’ils étaient les maitres d’Algérie. Ce vote est national et patriotique. Voter pour les islamistes c’est voter pour la nouvelle alliance entre les Wahhabites et les Américains dont Sarkozy et Cameron sont les V.R.P. de luxe. Les nouveaux Daladier et Chamberlain du XXI ème siècle. 
  • Dois-je rappeler que le scrutin tunisien est lié au prochain scrutin présidentiel en France de 2012 ? Qui a fait des islamistes qoutbistes de l’ U.O.I.F.filiale à 1OO% de la Confrérie égyptienne des Frères musulmans, les indignes représentants de l’Islam en France, ce qui est une hérésie ? C’est Sarkozy. Savez-vous pourquoi  ils avaient appelé à voter en 2007  lors de leur rassemblement annuel au Bourget dans la même année ? Pour Sarkozy. Qui est le cofondateur de l’U.O.I.F. c’est bien le terroriste Rached Ghannouchi auquel Alain Juppé, homme politique chevronné et respectable pourtant, a octroyé un satesficit d’honorabilité et de fréquentablilité.
  • De même que le comportement indécent et caractéristique d’un délit d’ingérence dans les affaires internes d’un Etat souverain  en violation de la Convention de Vienne du barbouze Bouillant des eaux nauséabondes ne peut que conforter la thèse du complot contre-révolutionnaire.  
  • Nous avons aujourd hui suffisamment d’indices tangibles quant à la réalité avérée du complot ourdi contre la Tunisie qui en réalité sert d alibi pour atteindre l’Algérie. Les autorités algériennes qui se surarment passant au rang du 10 ème pays importateur d’armes en 2010 ne sont pas dupes dans le cas d espèce.
  • Elles savent que ce sera l Algérie la vraie cible des appétits hégémoniques conjugués entre l’Orient wahhabite soutenu par le Département d Etat américain et l’Occident sous le commandement miltaire de l’O.T.A.N. et en proie à la crise grecque et ses conséquences sur sa dette souveraine et les inquiétudes liées à la dégradation de sa note de crédit par les agences de notation surtout en ce qui concerne la France, la prochaine cible de ces agences, et la Grande Bretagne.  
  • Les enjeux géopolitiques et géostratégiques de ces élections dépassent le cader tunisien. Jamais les Américains n ont été aussi présents dans les affaires tunisiennes, tel que le chassé croisé Tunis-Washington entre entre les officiels américains et  Béji Caid Essebssi et les membres de l’ organisation sectaire et teroriste d’Ennahdha en est la parfaite illustration.
  • Leur intérêt manifesté  pour les élections tunisiennes n’a rien de fortuit, il est dans la droite ligne de leur  vieux rêve de Croissant arabe sous le joug de la  Pax Americana dominée par leur dominion saoudien et duquel seront éjectés la France et l’Angleterre.  
  • Les électeurs tunisiens doivent etre conscients que chaque bulletin de vote déposé dans l’urne en faveur des affidés wahhabites est un bulletin pour l’intégration de la Tunise dans la sphère d’ influence américano-saoudienne et de sa vassalisation au nom de sa soi-disant arabisation, comme si cette arabisation est une réponse aux maux du sous-développement, une solution à la crise de l’emploi, la cherté de la vie, le mal-être. Une arabisation destructrice de la vie humaine.
  • L’arabisation qui est le cheval de bataille de la secte félonne d’Ennahdha sous-entend wahhabisation de la Tunisie. Synonyme d’un Islam ultra-rigoriste, littéraliste, totalitaire, mortifère pour les libertés humaines. Un Islam inégalitaire, despotique, celui du règne de l’arbitraire et de la cruauté humaine, régressif et obscurantiste.
  • Un Islam oligarque. Anti-républicain, antidémocratique, anti-national et anti-souveraineté populaire.  Sa wahhabisation nest rien d’autre qu’ une dissolution de son âme et la perte de son identité.
  • L’arabisation n’est rien d’autre non plus que la perte de son indépendance politique et la transformation de son ordre juridique et de ses institutions sur la base de la loi canon de la charia en vue de son intégration en tant qu’Emirat dans le grand Califat en gestation sous la houlette turco-wahhabite.En conclusion, dans la sémantique islamique, arabiser ne signifie pas renforcer l’enseignement de la langue arabe, mais tout simplement accroître l’islamisation d’un pays. L’histoire se répète après le premier épisode de l’arabisation de la Tunisie au XI e siècle et sa barbarie génocidaire banu hillalienne, vient aujourd’hui l’épisode de sa ré islamisation sous la houlette wahhabite.

 

On ne fait pas de l’islam un modèle de développement humain, il est la mort de la vie: cas de la Tunisie

Aucune chance de survie pour la Tunisie. Tous les pays tombés sous le joug de l’islam fantasmé et irréel des sources, purifié soi-disant de toutes les scories et influences extérieures, autrement dit qui mettent un voile sur le présent comme un conducteur qui couvre son pare-brise d’un épais tissu noir vont droit dans le mur.

Les exemples n’en manquent pas. De l’Afghanistan au Soudan, e passant par le Pakistan et la Somalie ces pays sont devenus en mouroir à ciel ouvert. Des pays de la vie, ils sont devenus les pays de la mort. Plutôt que de tirer les conséquences d’une marche à contre-courant de l’histoire nuisible au développement humain et tirer toutes les conséquences d’un retour insensé et suicidaire à des valeurs du passé enfouies dans le désert d’Arabie depuis le 7 e siècle, un pays comme la Tunisie qui avait su le mieux desserrer l’étau acéré et étouffant de la religion sur la vie des hommes pour devenir un pays modèle en matière du bien-être humain dans le monde « musulman », s’est mise soudainement à rétropédaler au lendemain de sa révolution ubuesque pour effacer en deux ans tous les acquis hérités du bâtisseur Habib Bourguiba, l’homme qui a libéré la femme qui sans elle il n’y a aucun avenir pour l’homme.

Mais les Tunisiens ont préféré dans leur majorité voter pour les forces obscurantistes, anti-modernistes, ultra-réactionnaires et ennemies de la femme pour faire de l’avenir un passé.De la nuit ils font le jour et de l’archaïsme ils font  un progrès, et de la mort ils font la vie. Comme si le renouement avec des valeurs synonymes de barbarie humaine, dégradantes et humiliantes pour la condition humaine étaient le salut pour la Tunisie.

En quoi adopter les moeurs de l’Arabie et ses lois scélérates et inhumaines du VII e siècle et même celle d’aujourd’hui où l’homme était réduit à l’état d’esclave et d’eunuque, où la femme était un butin comme un autre, un champ de labour, un humain entièrement à part qui ne valait moins qu’un cheval ou une chamelle et une fillette était déjà femme avant ses menstrues livrées aux vautours et aux charlatans religieux peuvent mettre la Tunisie sur la voie du développement et garantes d’un monde meilleur pour les générations futures ? Tous les pays qui ne vivent pas sous la tutelle de la religion ne sont-ils pas les pays où les droits fondamentaux sont les mieux respectés, où l’éthique a du sens et la justice est la même pour tous. Quel modèle de société veut-on pour la Tunisie celui où la femme est une portion congrue, absente de la scène, étrangère à son propre destin, un simple ventre porteur de fous d’Allah, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus en état de procréer pour finir à la rue.

En ayant mis les oeillères de l’islam, les Tunisiens sont devenus de plus en dévots et bigots et de moins en moins attachés à leur pays, terroristes, sans morale sexuelle avec le djihad du nikah, de plus en plus arborant les des mines patibulaires, renfrognées, aigries, haineuses, maussades, tristes, comme s’ils portaient le deuil de leur vie de leur vivant, drapant leurs femmes dans leurs linceuls.

Convaincus mais ô combien inconscients et irréfléchis, que ces temps cauchemardesques de l’humanité sont un puissant antidote contre les maux de  la société. Ils ne font qu’aggraver leurs maux en faisant du poison de l’islam des sources un traitement pour guérir la société de toutes ses plaies. Injustice, corruption, privilèges, inégalités,abus de pouvoir, arbitraire, iniquité, fatalisme, défaitisme, féodalisme, despotisme, immobilisme, inculture, renoncement, irresponsabilité, absence de conscience professionnelle, indifférence, indolence, qui sont paradoxalement les traits dominants de cet islam du tout haram.

En investissant Ennahdha, ils se sont ralliés définitivement et officiellement à la Qaïda, le F.I.S., les Talibans, l’E.I., Boko Haram, l’Aqmi, le wahhabisme, la Jama’a Al-Islamiya et la Confrérie des Frères Musulmans qui est le cerveau idéologique de ces mouvements.

En aucun moment, ils n’ont su tirer la leçon des expériences tragiques des pays soumis à la dictature des nazislamistes qui les ont transformés en terres inhospitalières et en champs de ruine Ni le Soudan, ni l’Afghanistan, ni la Somalie, ni le Pakistan, ni l’Algérie brisée mais toujours debout mais à quel prix ne peuvent témoigner que l’islam fondamentaliste, est une chance pour les hommes. Il est l’abîme des peuples et une sépulture des libertés; . Quant à la Libye, l’Irak et la Syrie où le vrai islam, un islam collaborationniste, a servi de faux-nez aux grandes puissances prédatrices, ils sont devenus des cadavres putrides.

Il est illusoire d’imaginer le grand malade tunisien pris dans les griffes d’Ennahdha et pour très longtemps puisse échapper à une mort certaine avec un peuple plus préoccupé de sa vie dans l’autre monde qu’ici-bas. Le vrai islam est le

L’Europe occidentale elle-même qui ne cesse de dérouler le tapis rouge aux pieds de l’islam fondamentaliste à cause de ses figures de proue wahhabites, l’Arabie Saoudite et le Qatar, en lui abandonnant des pans entiers de son territoire pour acheter la paix sociale doit faire très attention au retour du bâton.

Les tunisiens pris dans le tourbillon du vrai islam d’Ennahdha qui compromet la survie de la Tunisie

Les tunisiens sont paumés, désorientés,

 

Membres de la direction du parti tunisien Ennahda
Membres de la direction du parti tunisien Ennahda (Photo credit: Wikipedia)

 

pris entre le marteau et l’enclume, ne sachant pas à quel Mahomet se vouer. Celui qu’ils ont tellement mythifié et idéalisé sans rien connaître de lui et qui est la cause de tous leurs maux depuis la perte de leur dignité humaine il y 1400 ans, ou celui dont Ennahdha dont je ne saurais jamais assez la remercier, car elle a eu cette force intellectuelle de traduire dans les faits l’islam, le vrai, et de leur révéler le vrai visage de Mahomet ?
Un cruel dilemme, eux qui n’ont jamais appris à faire preuve de discernement de discernement, quoi faire reconnaître qu’ils se sont trompés ou persister dans la voie de l’ignorance et du déni de la vérité ?
Perdus et déboussolés, ils s’enfuient la tête dans le sable, en espérant que la vérité d’Ennahdha puisse s’évaporer d’elle-même et que leur vie reprendra son cours comme avant.
Mais ils oublient que leur avant est mort et enterré et seule la vérité d’Ennahdha doit être leur après. Soit l’islam d’Ennahdha, soit leur abjuration de leur faux islam qui est vitale pour la survie de la Tunisie.
En prenant conscience de leur méprise, ils ôtent ce carcan qui les ensevelit depuis 1400 ans et renouent avec leurs vraies origines.
Tant qu’ils n’ont pas retrouvé leur véritable âme polluée par l’arabo-islamisme tourmentée par les angoisses du Jugement dernier, ils ne peuvent s’inscrire dans une dynamique de reconstruction de leur pays qui restera toujours un vassal arabe.
Paralysés par leur état de schizophrénie identitaire et à l’esprit brouillé par les radiations radioactives des fumées émises par ces usines morbides où l’on distille dans le coeur des fidèles l’inimitié et la haine, ils n’ont aucune chance de renflouer le bateau tunisien qui a échoué dans les marécages de l’islam.
Si jamais, ils s’aventurent à le faire, ils se redent coupables de sacrilège punissable des feux de l’enfer, la fitna, soit ils le laissent moisir, là ils se seront comportés en tant que bons musulmans, ne rien faire pour ne pas déplaire à Allah et assister en sectateurs à la fin de l’histoire de la Tunisie.

 

Moncef Marzougui est un homme sans foi ni loi capable de vendre la Tunisie pour assouvir sa soif du pouvoir

Alors que la Tunisie ne s’est pas encore dotée d’une constitution à même de définir le statut pénal du président et la juridiction compétente pour le juger, le président d’opérette, petit Néron en herbe, girouette pathologique, et bouffon du Palais, Moncef Marzougui qui n’a pourtant aucune légitimité de quelque nature que ce soit pris par des accès  de fièvre mégalomaniaque veut-lui même choisir la juridiction qui  peut le destituer.
Ignorant ou feignant d’ignorer  que ce type de juridiction, en l’occurrence le tribunal constitutionnel qu’il réclame pour prononcer sa révocation est incompétent dans le cas d’espèce d’une part et d’autre part, il oublie qu’une telle juridiction procède de la constitution, mettant ainsi la charrue devant les boeufs.
Faudrait-il déjà que la loi fondamentale le fondant soit inscrite à l’ordre du jour de l’.A.N.C.  qui elle-même ne peut se prévaloir difficilement d’une quelconque légitimité et dont les travaux sont forclos depuis le 23 octobre 2012.
Déconnecté de sa propre réalité et vivant sur son nuage présidentiel, il s’est enfermé dans sa bulle psychotique où tout s’entremêle et se confond dans sa tête.  Lui le pantin de Rached Ghannouchi, il se croit encore plus Louis XIV que Luois XIV lui-même, Etat, loi, justice à la fois.  Président aux 7000 voix, il avait réussi l’impensable en élisant domicile au Palais de Bourguiba, l’homme auquel il voue une haine viscérale à cause du vécu collaborationniste de son père, goumier patenté, prenant ainsi une revanche inouïe sur le sort qui avait frappé son père d’indignité nationale,
Même dans ses rêves les plus fous il n’aurait jamais rêvé qu’il allait jouer au guignol ubuesque présidentiel mais touché par la grâce ghannouchienne il est passé du stade de figurant au stade d’amuseur suprême de la galerie tunisienne.
Comme ses délires narcissiques n’ont pas de limites, il ose des fulgurances farfelues et abracadabresques  qui laisseraient coi Adolph Hitler en personne, il veut une justice  qui sied à son auguste personnage digne des romans d’Alfred Jarry.
Il réclame à qui veut bien l’entendre un tribunal constitutionnel pour juger et sanctionner les actes de cet illustre bouffon. Alors que dans son cas de criminel multirécidiviste, il doit répondre devant une juridiction spéciale, une justice du peuple  pour ses  atteintes multiples à la souveraineté nationale et à l’unité nationale, la mise en péril de la sécurité intérieure, les actes de délation, sa collaboration avec des puissances étrangères tierces, le discrédit jeté sur l’image du pays, corruption.  De même que les grâces abusives en contrepartie d’avantages pécuniaires, complicité de terrorisme, son implication dans les filières djihadistes, complicité active dans l’agression terroriste d’un pays tiers en l’occurrence la Syrie, menaces de mort.  Ce n’est certainement pas les chefs d’accusations qui manqueraient le mettre hors d’état de nuire et  justifier sa destitution sans délai et sa traduction devant une juridiction  spéciale ou militaire. et   veut aussi  il confond soit par ignorance soit par perversité juridique tribunal constitutionnel et haute cour de justice.
Il doit savoir à moins qu’il ne le sache pas déjà que la juridiction  constitutionnelle est censée censurer la loi et protéger l’application de la constitution n’a pas vocation à juger le président et les ministres pour des délits et crimes commis pendant l’exercice de leurs fonctions contrairement à la deuxième seule compétente pour les sanctionner pénalement.
En tout état de cause, ni la haute cour de justice, à supposer qu’elle soit toujours en vigueur en Tunisie et dont la saisine incombe à la seule autorité du président de la république mais dans le seul cas de ses ministres et non pas le président au-dessus des lois, ni le tribunal constitutionnel dont ce n’est pas le rôle ne sont en mesure de s’occuper de son cas du fait de l’abrogation de la constitution tunisienne de 1959.
Une justice aux ordres du président comme autant de Bourguiba et Ben Ali, tel est le sens politique de son message.
Le fantasque Moncef Marzougui se verrait bien président à vie et dont le mandat ne prendrait fin que par la seule volonté d’Allah, en attendant il n’a rien à craindre de ces deux juridictions en l’absence de lois organiques les instituant, par conséquent il est à l’abri d’éventuelles poursuites pénales dont il pourrait éventuellement faire l’objet.
Pour l’instant en dehors de la rue tunisienne pour le déloger du Palais de  Carthage et lui faire perdre les immunités exorbitantes dont il bénéficie afin qu’il redevienne un justiciable de droit commun, il n’existe pas de juridiction compétente pour le juger de ses crimes et méfaits en dehors de la Cour de la sûreté de l’Etat aux termes de l’article 2 de la loi du 1er avril 1970 n°70-10, atteintes.
Si jamais si ce zélateur pathétique du Qatar auprès duquel il monnaye ses talents d’agent de renseignements devra un jour répondre de ses actes criminels énumérés ci-dessus, ce ne sera en aucun cas devant le tribunal constitutionnel, seule une haute cour de justice dans une nouvelle version, indépendante du pouvoir politique et composée de magistrats professionnels est compétente pour le juger.
Ni Bourguiba, ni Ben Ali, ni les plus grands tyrans de l’histoire n’ont eu cette outrecuidance politique pour choisir la juridiction compétente susceptible de mettre fin à leurs fonctions, Moncef Marzougui a osé le faire.Les tunisiens croyaient avoir tourné la page du pouvoir despotique unipersonnel retombent sans le vouloir dans leurs travers passés, ce qui laisse augurer un avenir des plus sombres et inquiétants.Au moins le président intérimaire a la franchise de dévoiler son appétit démesuré pour le trône de Carthage. Avec lui c’est désormais : aucune juridiction n’est à la mesure de ma personne. Une justice taillé sur mesure pour lui et rendue en son nom.Un despote de droit absolu vient de naître en Tunisie, un souverain qui ne reconnaît aucune autre justice que la sienne.

La Tunisie enlisée dans la plus grave politique de son histoire peut s’enorgueillir d’avoir innové en matière de gouvernance politique, elle s’est dotée d’un président-roi qui élit lui-même son propre juridiction et choisit ses propres juges comme si cela pourrait ètre le cas avec le tribunal constitutionnel dont une partie des membres est nommés par le président de la république.

Ceci étant le délirant psychotique Moncef Marzougui qui veut s’en remettre à la seule compétence dudit tribunal dont le champ de compétence est de vérifier la constitutionnalité des lois et des règlements pour le « virer » , révoquer est le terme d’usage, lui et ses ministres ne doit pas manquer de nous interpeller sur ses véritables intentions de mettre à mal la séparation des pouvoirs en Tunisie.

Un tel mélange de genres n’est pas aussi innocent qu’il en a l’air.Une telle déclaration ne peut que jeter le touble dans l’esprit des consitutionnalistes et des politologues. En effet, il est inhabituel qu’un président de la république de surcroît très temporaire s’arroge le droit de choisir lui-même la juridiction compétente pour sa destitution.
Mépris total pour la vox populi et la justice de son pays.A moins que ses facultés mentales ne soient pas aussi altérées que cela et qu’il cherche par ce biais un moyen pour échapper aux fourches caudines de la justice tunisienne pour haute trahison. Les chefs d’accusation n’en manquent pas, corruption, crimes en bande organisée en ce qui concerne la création de réseaux terroristes et de prostitution de mineures pour la Syrie, faits de proxénétisme aggravé et de collaboration avec des pays tiers, atteintes à la souveraineté nationale, complicité active et passive dans le meurtre de Chokri Belaïd, enrichissement illicite, grâces présidentielles accordées moyennant contreparties financières,  dénonciations calomnieuses, menaces de mort réitérées proférées à l’égard des laïcs.Autant de crimes et délits qui relèvent justement du domaine de compétence d’une Haute Cour de Justice Spéciale ad hoc indépendante afin qu’une vraie justice soit rendue au nom du peuple tunisien, moqué et spolié par ce Roi Ubu des caniveaux de la trahison, du mélange des genres et de la collaboration.

La dictature d’Ennahdha est en marche sans que les tunisiens ne la voient venir

 

 

La pieuvre islamiste Ennahdha  étend patiemment ses tentacules en procédant par petites touches sans crier gare pour ne pas sortir les tunisiens de leur profond sommeil.
Connaissant mieux que quiconque la psychologie tunisienne, elle multiplie les passages de trains qui en cachent toujours d’autres. Elle a l’art de leurrer son auditoire et de ne pas réveiller les soupçons sur ses véritables desseins dictatoriaux pour la Tunisie.  Habile manoeuvrière, elle a le laissé le soin de l’ANC aux

110209 Ennahda Movement returns to Tunisian po...
110209 Ennahda Movement returns to Tunisian politics | عودة حركة النهضة للساحة السياسية التونسية | Retour du mouvement Ennahda sur la scène politique tunisienne (Photo credit: Magharebia)

dirigeants du front populaire qui se rêvaient en révolutionnaires de 1789 dont elle n’était pas officiellement l’initiatrice mais qui est tombée comme un fruit mur dans son escarcelle, le premier ministère dans l’esprit de son régime parlementaire qu’elle appelait de tous ses voeux sans que personne ne s’en rende compte et la présidence à l’israélienne. Chose étonnante personne n’a remarqué là non plus qu’Ennahdha s’est fait fort de vanter le modèle isrélien comme mode de gouvernance pour la Tunisie.
Les tunisiens  frappés de cécité mentale ont voté pour des petites mains pour rédiger une constitution, et ils se sont trouvés à élire des parlementaires contre toute attente sauf celle d Ennahdha. Si les tunisiens étaient plus perspicaces ils se seraient redus compte qu’Ennahdha parlait surtout d’élections législatives et du futur parlement et rarement de constituante.
Quant à la constitution c’est une autre histoire puisqu’il y en a déjà une : le coran.
Aujourd’hui, ils s’attendent à ce qu’Ennahdha lève le voile qu’elle a finalement bien levé : l’ANC qui va devenir un Majless Choura, un président avec des pouvoir présidentiel et un premier ministre pour mettre en musique sa politique supervisée par l’Ayatollah Raspoutine Ghannouski.
Nous voilà in fine avec un régime présidentiel mixte sans la constitution censée le définir. Le silence des tunisiens est en soi un vote d’adhésion aux choix politiques d’Ennahdha.

 

 

C’est l’inertie des tunisiens qui confère à la dictature d’Ennahdha toute sa légitimité

Depuis la chute rocambolesque, mystérieuse, énigmatique et surréaliste de Ben Ali, digne des romans d’Agatha Christie, l’Etat de droit est en panne en Tunisie.

 

Tous les apprentis-sorciers allèguent de leur légitimité, sauf le peuple qui  ne revendique aucune légitimité pour lui-même. 

 
C’est  leur motus vivendi, leur leitmotiv, surtout chez ceux qui avaient le courage de leur couardise sous le règne de Ben Ali, qui est en droit  lui aussi et à juste titre  de se prévaloir d’une véritable légitimité en matière sécuritaire, de concorde nationale, de paix sociale et d’un certain bien-être économique. Ironie du destin, ce sont les enfants illégitimes qui se veulent plus légitimes que le peuple lui-même. 
 
A la différence de Ben Ali, ils se considèrent comme les vrais titulaires du mandat démocratique. Un mandat octroyé par le peuple selon eux, mais qui est surtout le fruit de la plus grande arnaque électorale de d’anthologie. 
 
La Tunisie terre de lumière est devenue terre d’obscurité en toute légitimité démocratique, il est somme toute légitime que Hamadi Jébali puisse en revendiquer la paternité pour lui et sa milice ainsi que pour ses godillots du  C.P.R. et d’Ettakatol. 
 
Quelle validité juridique et politique doit-on donner à un scrutin des plus frauduleux qui a servi de manœuvre pour doler les tunisiens ? 
 
Aucune, avec une loi électorale bafouée, il ne peut y avoir de reconnaissance de légalité quand on sait que les tunisiens ont voté pour une assemblée constituante et non par pour une assemblée parlementaire et l’instauration ainsi d’un régime parlementaire de jure. 
Les électeurs tunisiens ont été victimes d’une véritable supercherie politique. Ils croyaient avoir voté pour désigner les petites mains censées rédiger leur loi fondamentale et ils se retrouvent pris au piège d’un régime parlementaire de facto qu’Ennahdha appelait de tous ses vœux 
 
Le contrat social a été rompu dès la formation de la Troïka, comme si pour la bonne marche de l’assemblée et la formation d’un gouvernement issu des urnes, alors que les tunisiens ignoraient tout de ce scénario, il fallait soit donner tous les pouvoirs au parti majoritaire, ce qui n’est pas le cas d’Ennahdha 89 sièges sur 217, soit laisser les coudées franches au parti vainqueur mais minoritaire la possibilité de s’allier avec d’autres forces élues afin de former un gouvernement coalisé. 
 
On a dérivé d’une architecture de constituante vers une architecture de parlement subrepticement au plus grand dam des tunisiens. 
 
Le scrutin du 23 octobre 2011 qui est un cas d’école en matière de mascarade électorale a servi surtout de blanchiment à des noirs desseins d’un projet autrement plus grave est comment abuser de la manière la plus légaliste de la crédulité u peuple tunisien qui se trouve mis devant le fait accompli devant le régime parlementaire. Les électeurs ont servi de simple faire-valoir pour un projet d’un coup d’Etat institutionnel. 
Eux qui avaient voté pur des rédacteurs de l’acte fondamental du nouveau-né tunisien, ils se trouvent  floués et valider contre leur gré un projet dont on avait dissimulé les contours et la matière. Se trouvant malgré eux à conférer une légitimité juridique et politique à des imposteurs. Cette assemblée constituante est un déni à la démocratie. 
Une hérésie institutionnelle. 
 
En effet, tout se passe comme si le socle constitutionnel existait et que les constituants étaient dotés des mêmes prérogatives et attributions que les parlementaires. 
 
Une assemblée ad hoc en principe avec une mission limitée dans le temps change de cap pour être investie de pouvoir législatif de plein droit comme si elle était un parlement. 
Mais un parlement dépourvu de substance constitutionnelle, un château de carte plutôt qui peut être balayé par le moindre courant d’air. 
 
Elle ne repose sur aucun fondement juridique et politique de nature à faire d’elle une digne représentante du pouvoir législatif qu’elle ne l’est pas. Il ne doit y avoir de loi sans constitution, un principe de base en droit constitutionnel que les juristes tunisiens semblent avoir et feignent d’oublier et qui devraient se faire l’écho. 
 
Tous les actes accomplis par cette assemblée, une coquille politique et juridique vide, doivent être frappés de nullité d’une part pour forclusion, et d’autre part pour absence de constitution permettant d’apprécier la conformité. Incapable de rédiger la constitution dans les délais impartis par les électeurs, une trahison de plus, elle devient le point centrifuge de la vie politique kafkaïenne tunisienne. 
 
En toute évidence, il est aberrant et inepte qu’elle soit consultée pour des décisions politiques d’ordre gouvernemental, ni dans le cadre de remaniement ministériel. 
 
Elle n’a pas non plus aucun pouvoir de dissolution, puisqu’elle-même aurait dû être dissoute depuis l’échéance du 23 octobre 2012, et à supposer qu’elle soit encore en activité et du fait de sa mission même, elle n’a aucun pouvoir de révocation du gouvernement et réciproquement. 
 
Tant que les règles de séparation de pouvoirs ne font pas l’objet de lois fondamentales, la Tunisie est le contre-exemple de l’Etat de droit. 
 
Son impasse politique inextricable est la résultante de l’impéritie juridique de son assemblée constituante.

 

La « lapidation » de la Tunisie de Bourguiba par la Troïka valet du Qatar

Habib Bourguiba giving a speech in the city of...
Habib Bourguiba giving a speech in the city of Bizerte (Photo credit: Wikipedia)

De Bourguiba à la Troïka, de la grandeur à la décadence

Bourguiba grande figure du mouvement des non-alignés et de la décennie de la décolonisation, payant de sa personne pour l’indépendance de la Tunisie et de l’Algérie, visionnaire incomparable et libérateur des esprits, père de la république tunisienne, lui au moins n’a pas raté le rendez-vous de l’histoire contrairement à la Troïka des caniveaux qui a lamentablement raté le train de l’histoire et ce n’est pas en caillassant le train qu’elle va pouvoir le rattraper.


De Bourguiba à la Troïka, de la grandeur à la décadence
Même mort, il continue plus que jamais à marquer de son empreinte de géant l’histoire glorieuse de la Tunisie et au nom gravé dans le marbre des grands hommes du XX ème siècle. Respecté, estimé et considéré par tous les amis de la Tunisie. Alors que son propre pays occulte la fête de l’indépendance pour effacer le nom de celui qui a été l’artisan de cette indépendance, la France lui rend hommage à l’esplanade qui porte son nom.

A force de vouloir avancer à contre-sens et à gesticuler comme une forcenée en pleins délires psychotiques, la Troïka qui perd la tête, et à force de vouloir le dénigrer et le discréditer, elle ne se rend pas compte qu’elle est son meilleur agent de propagande. En faisant de Bourguiba sa cible à abattre, elle ne fait que renforcer son prestige et son crédit aux yeux des tunisiens, y compris ceux qui lui étaient réfractaires mais grâce à leur acharnement diabolique et obsessionnel, ils lui découvrent des qualités incommensurables avec les leurs.

En jouant au procureur de l’œuvre de Bourguiba, elle cherche tout simplement une échappatoire à son impasse politique inextricable. Quand on n’a ni bilan ni perspectives à offrir aux tunisiens, il reste à leur paver le chemin de l’enfer de bonnes intentions qui sont autant de désaveux pour leurs auteurs.

Faire de Bourguiba un bouc-émissaire de son cuisant échec, est symptomatique de son incapacité de répondre aux innombrables attentes des tunisiens qui voient chaque jour s’effriter leurs acquis que de nombreux pays leur enviait dont le C.S.P. et le droit de la femme, l’enseignement républicain, l’égalité des chances, la protection des droits de la petite enfance, la couverture sociale, l’accès aux soins, la justice pour tous.

Les tunisiens n’attendent pas de la Troïka qu’elle exerce un droit d’inventaire sur le bourguibisme, elle doit tenir compte d’une règle inaliénable dans le sport quand une équipe change d’entraîneur pour diverses raisons, ce n’est pas pour payer le nouvel entraîneur à faire le procès de son prédécesseur, c’est pour améliorer les performances du club. C’est ça le vrai sens de sa mission.

Cependant la Troïka qui souffre d’un état d’incurie politique et intellectuel pathétique, ne sait plus à quel démon (pas saint) se vouer, elle veut exister en tapant sur un homme dont le bilan est loin d’être négatif. Ignorant que sa mission aux coûts exorbitants pour un peuple exsangue n’est pas une remise en cause des fondements de la république tunisienne et de l’histoire de son indépendance, ni de mettre à nu la personnalité de Bourguiba, occultant paradoxalement au passage celui qui avait abîmé son héritage et auquel elle est redevable d’être sortie elle-même du néant dans lequel elle se trouvait.

Si Ben Ali avait su fructifier cet héritage et avait respecté son peuple et l’avait défendu à un moment crucial de son histoire qui a préféré en mauvais capitaine quitter le navire qui tanguait plus que de se battre pour le remettre à flot, elle n’aurait jamais goûté aux ores de la république. C’est donc moins Ben Ali aussi lâche et inconsistant qu’elle et auquel elle est reconnaissante de l’avoir sortie de sa misère sociale et humaine que Bourguiba qui nourrit son courroux et hante ses jours et ses nuits.

Prise dans un tourbillon hystérique, elle se met à exorciser frénétiquement les démons qui la rongent en cherchant à faire disparaître Bourguiba du conscient collectif tunisien et de l’histoire de la Tunisie, qui se confond pourtant avec lui, mais elle oublie que toute thérapie sauvage produit des effets secondaires très sévères pouvant aller jusqu’au suicide.

Ce n’est pas en profanant sa mémoire pour lui infliger une nouvelle mort qu’elle va pouvoir impulser un nouveau souffle à la Tunisie et amorcer sa sortie des enfers dans lesquels elle l’avait plongée. A n’en pas douter, elle ne fait plus mystère de son projet mortifère pour la Tunisie qui est celui de son inféodation au Qatar qui se rêve en nouveau Califat musulman et pour lequel on envoie des jeunes tunisiens démunis se faire tuer en Syrie et au Mali. Bourguiba aimait son peuple et sa jeunesse pour la sacrifier sur l’autel du djihad en Palestine en son temps.

Il n’a pas non plus bradé les terres agricoles, les mines de phosphates et les cimenteries aux pays du Golfe et à la Turquie, vidé les hôtels des touristes, plongé dans la misère noire des millions de tunisiens, ouvert des sanctuaires terroristes et des bases américaines. Il fut un rempart inviolable contre le wahhabisme.
Bourguiba était jaloux de l’indépendance nationale, la Troïka est en mission de mise à mort de cette indépendance en vue de son arrimage à l’attelage moyenâgeux wahhabite. Il a fait de la Tunisie un pays des lumières tandis que la Troïka veut en faire un pays des ténèbres et de la barbarie humaine. Au point qu’il est devenu le premier pays exportateur de terroristes au monde. Bourguiba a bâti une Tunisie moderne, la Troïka en fait aujourd’hui un pays Taliban.

Plus elle l’invective et vitupère, plus elle le reconnaît. Par conséquent, plus elle s’obstine dans sa campagne scélérate de détestation de Bourguiba, plus elle le fait aimer des tunisiens. Obtenant ainsi le résultat contraire de celui escompté. Elle ne perd rien d’attendre le retour du bâton qui finira un jour ou l’autre par se retourner contre elle.
La Troïka qui brille par ses échecs et sa politique antipatriotique et sa haine des tunisiens peut se réjouir de se faire le meilleur agent de promotion de l’œuvre de Bourguiba. C’est quand on n’a rien à vendre que l’on se met à critiquer le produit de son rival, d’où son immense frustration et son désarroi de ne jamais pouvoir produire un produit de haute valeur ajoutée : la Tunisie de Bourguiba, que Ben Ali a ébranlée et qu’elle est entrain d’achever.Tunisie-Secret.com

Savez-vous ce que c’est l’islam avant de vous en faire l’avocat ?

Savez-vous ce qu’est l’islam et pourquoi il ne faut pas minimiser sa haute toxicité ?
C’est à votre honneur de défendre l’islam parce que vous avez de la chance de ne pas vivre sous son joug et de ne pas subir l’extrême inhumanité de sa loi. L’homme n’existe que par et pour l’islam.

Savez-vous qu’on tue, on lapide et on emprisonne les apostats ?

Savez-vous que vous êtes un sous-homme, un dhimmi, aux yeux de l’islam ?

Savez-vous que la femme est un champ de labour et  un urinoir ?

Savez-vous que c’est la seule religion au monde qui récompense les terroristes ?

Savez-vous que tout musulman doit combattre dans le sentier d’Allah ?

Savez-vous qu’aux yeux de l’islam la femme est dépourvue de foi et de raison ?

Savez-vous que vous ne savez rien et que vous êtes un idéaliste ?

A moins que vous ne sachiez pas que l’islam est raciste et antisémite et qui rend licite les crimes à l’encontre des non musulmans ou pas tout-à-fait musulmans ?

Savez-vous qu’on n’excuse pas les dérives des uns par les dérives de l’autre.

Savez-vous que l’islam exalte la pédophilie, la nécrophilie et la zoophilie ?

Savez-vous que l’islam est hégémonique et suprémaciste?

Savez-vous que l’islam est antidémocratique, totalitaire , antipatriotique et ne jure que par l’Oumma ?

Savez-vous que l’islam ne reconnait aucune autre loi et une autre foi que les siennes ?

Savez-vous que l’islam est ethnocentrique ?

Savez-vous que l’islam ne se compare qu’avec lui-même ?

Quand au judaïsme et le christianisme ils ne sont pas au-dessus des lois humaines et qu’ils ne présentent pas de danger pour le monde présentement.

Je pourrais vous en dire plus, je vous invite de lire mon article « En quoi excellent les pays musulmans ?

Entre le collabo Moncef Marzougui et le résistant Jabeur Mejri, c’est la différence entre Pétain et Jean Moulin

Logo Résistance française (Jean Moulin et Croi...
Logo Résistance française (Jean Moulin et Croix de Lorraine) (Photo credit: Wikipedia)

 

Marzougui dont le nom est synonyme de trahison, sache que l’honneur de Mejri Jabeur n’a pas de prix à la différence du tien

 

Toi qui ne rates jamais l’occasion  de disjoncter et de fermer tes yeux de chauve-souris maléfique, sinistre, lugubre, effrayant, hantant le palais de Carthage qui prend de plus en plus les allures du palais macabre de Mikhaïlovski, haut lieu d’intrigues et de meurtres  ton bec de chauve-souris sinistre et lugubre, rejeté par les siens,  tu te fais l’avocat de la justice obscurantiste pour lui accorder un quitus d’équité.

 

Tu parles de justice juste et équitable, faudrait-il que tu en connaisses la valeur de ces mots et que tu déshonores rien qu’en les prononçant.  Pour toi Jabeur Mejri mérite bien sa condamnation inique de 7 ans et demi de prison pour avoir caricaturé le prophète sur sa page F.B. que tu sembles découvrir juste maintenant après avoir emprunté les voies de la déperdition et de la dépravation  et dont tu deviens toi aussi son justicier noir.

 

Te voilà  désormais sur le chemin de la rédemption devenu le chemin du calvaire et du supplice de la Tunisie.  Jouissant de la joie des agapes divins pendant qu’elle se consume dans les bûchers ardents de l’enfer.

 

Fayot, délateur, roi du retournement de veste, opportuniste, fabulateur, vil, veule, cupide, renégat, fils de goumier, tunisophobe, qatarophile, félon,  laquais islamiste,  sans vergogne ni scrupule, girouette, cireur de pompes de Raspoutine Ghannouchi,  simulateur, psychopathe, pique-assiette,  souffrant d’instabilité psychique chronique, sujet à des troubles d’humeur récurrents, personnalité immature, versatile,  la liste de tes symptômes pathologiques est tellement longue qu’un dictionnaire Vidal ne suffirait pas pour les énumérer tous.

 

Ton ingratitude légendaire  vient d’atteindre les sommets de l’ignominie humaine en jetant en pâture les noms de tes anciens bienfaiteurs dont Mezri Haddad qui en avait fait tellement pour toi aux hydres islamistes affamées, assoiffées de revanche, aigries, terroristes, assassines,  hideuses, corrompues, haineuses, antipatriotiques, miliciennes,  et félonnes dont le sang t’irrigue depuis toujours. Mais tu as réussi à berner tout ton monde en adoptant une posture droit de l’hommisme..

 

Imposteur et fourbe, tu n’es pas plus fou que tu ne le prétends, tu surjoues de la folie pour amuser la galerie tunisienne frappée par la pire sinistrose aiguë de son histoire,  tu en fais  même un instrument politique pour la divertir et la distraire pendant que toi et ta meute de rapace s’acharnent à la destruction de la souveraineté nationale et la mise à mort de l’identité tunisienne.

 

Tu ne sais pas que la nouvelle justice tunisienne est une justice plus que jamais aux ordres,  elle doit plaire à ses nouveaux maîtres dont tu es le premier des obligés, elle doit criminaliser le bien et innocenter le mal.

 

Les meurtriers de Chokri Bel Aïd, Lotfi Nagadh, Mohamed Brahmi, des forces de l’ordre et des auteurs de la répression sauvage de Siliana courent toujours et dont tu connais certainement l’identité tandis que les nouveaux juifs du nazislamisme  que sont les patriotes tunisiens sont embastillés ou assassinés.

 

Tenu en laisse par ton dresseur et maître Rached Ghannouchi tu ne peux pas  désavouer une justice inique, dévoyée, pervertie et partiale, de peur de subir son courroux dont tu as fait les frais un jour à Carthage pendant ton audience avec l’Ambassadeur de France à Tunis.  Histoire de te rappeler que c’est lui le roi et toi une simple portion congrue jute bonne à être jetée aux orties.

 

Desservi par ton manque cruel de discernement et de cohérence intellectuelle et surtout de courage politique, tu crucifies et décapites  Mejri Jabeur appliquant ainsi à la lettre la sentence wahhabite, le symbole de la résistance tunisienne face à l’obscurantisme wahhabite, le nouveau Jean Moulin de la Tunisie.

 

Jabeur Mejri mérite son châtiment selon ton verdict, alors quel sera le verdict que tu prononceras à ton encontre si tu as un minimum d’intégrité morale et d’honnêteté intellectuelle.   Il est à craindre que tu ne fasses pas Hara Kiri tellement tu as honte de tes méfaits et dérives immoraux et criminels.

 

Un homme dont le seul crime est d’avoir exprimé des idées qui ne sont pas du goût de l’idéologie dominante ambiante en Tunisie ne mérite pas que l’on le déchoie de sa liberté pour 7 ans et demi.

 

Inconsciemment mais est-ce que tu as été ne serait-ce une seule fois conscient pour mesure la portée de tes actes et de tes paroles, tu dois être aveuglé  par ta jalousie de Mejri Jabeur, la fierté nationale, en comparaison avec ton statut de la honte nationale et dont le  nom de famille est désormais synonyme d’indignité et de trahison.

 

Entre vous deux, c’est la lumière et l’obscurité, c’est le beau et le laid, c’est la justice et l’injustice, c’est la civilisation et la barbarie, c’est tout simplement la Tunisie tunisienne et l’Emirat-bananier en voie de devenir un futur champ gazier de schiste à ciel ouvert pour le compte de tes bailleurs de fonds.  Total et B.P. ?

 

Tu pourras toujours à continuer à écrire tes funestes chroniques pour ton employeur esclavagiste et philonazi d’Al Jazira pendant que Jabeur Mezri tel un Jean Moulin au fond de sa cellule rêve de la libération de son pays du joug de la barbarie wahhabite.

 

La Tunisie a de l’avenir contrairement à ce que tu crois, il est tunisien, celui que des hommes comme Mejri Jabeur et ses élites éclairées sauront lui écrire.

 

Marier la démocratie à l’islam revient à faire entrer un loup dans la bergerie

Contre nature
Contre nature (Photo credit: Wikipedia)

 

Soit la démocratie et ses bienfaits sur votre vie, soit l’islam et son virus létal. Vous ne pouvez pas marier les deux. Ils sont deux voies à contresens. L’une veut asservir l’homme et l’autre veut le libérer. Celui qui croit que le rapprochement est possible que l’on peut bâtir une démocratie musulmane sur le modèle de la démocratie chrétienne commet non seulement un sacrilège mais ce sera un véritable casse-tête chinois pire que s’il devait résoudre le problème de la quadrature du cercle. Autant croire dans  les vertus thérapeutiques de l’urine de chameau.

 

En effet, c’est même prendre de contre-pied les lois de la physique en prétendant pouvoir créer une symbiose entre voies qui vont dans des directions diamétralement opposées surtout que la oie de l’islam voit dans celle de la démocratie une voie qu’il faut éliminer vaille que vaille.

 

Les musulmans doivent savoir qu’ils ne peuvent pas être dans le sentier d’Allah censé les éloigner de toutes les tentations d’origine humaine et fruit de la raison et dans le sentier de la démocratie qui à terme peut remettre en cause l’emprise de la religion sur la vie des hommes et les affranchir de sa tutelle oppressante.

 

Un choix à faire soit l’une soit l’autre. C’est contre nature.  Comme si l’on voulait greffer l’humanisme sur le nazisme ou faire entrer un fauve dans une bergerie à l’exemple de l’Occident naïf et cupide qui en pâtit avec ce fauve alors que chez vous il règne en maître. Il ne se rende pas compte des conséquences humaines et politiques désastreuses qui se profilent dans son horizon préludes de la résurrection d’autre fauve plus féroce que le musulman.

 

L’islam est un prédateur qui dévore et détruit tout sur son passage. Si vous croyez contenir son appétit avec la démocratie qui va pouvoir restreindre son pouvoir c’est que vous êtes soit inconscients, soit idiots. Il y a des chances que vous soyez les deux.

 

On sait que les musulmans ne sont pas réputés pour leur lucidité mais quand même. Il n’est pas seulement insoluble dans la démocratie mais il faut le mettre en quarantaine à cause des risques considérables qu’il présente pour elle. Il n’a qu’un but c’est instaurer la dictature d’Allah pour pouvoir garder la main sur ses hommes et étendre son pouvoir hégémonique.

 

Vous qui rêvez tant de la greffer chez vous, commencez par vous débarrasser déjà de ce prédateur et sécuriser l’environnement.

 

En faisant le choix criminel d’Ennahdha, les tunisiens ont trahi Bourguiba et la patrie

Official photo of Tunisian president Habib Bou...
Official photo of Tunisian president Habib Bourguiba (Photo credit: Wikipedia)

 

La propagande wahhabite et ses nervis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur les moyens pour dévoyer l’esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens.

 

Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilité des damnés de la terre ( les laissés pour compte de l’ancien régime) et de la  fâcheuse  tendance chez certains de vendre leur âme au diable pour une miche de pain, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocratique, faire de l’autre le bouc-émissaire de tous les maux de la société en l’occurrence la femme, le laïc et le juif.

 

Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu on peut résumer ainsi : nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées en leur faisant croire que l’heure de la renaissance arrive et que l’islam triomphe partout dans le monde d’un côté et d’un autre  verser l’obole (bakchich) aux partisans. Arroser et faire saliver.

 

Dans un pays où la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays.

 

Les Tunisiens qui ont fait pourtant une révolution pour leur dignité et leur liberté  sont les premiers à trahir les idéaux de leur révolution en accordant leur confiance aux ennemis des libertés humaines et de la patrie.

 

La pire des trahisons est de  faire des agents du fascisme djihadiste mondialiste les figures de proue de la nouvelle Tunisie mus par des desseins noirs pour le pays, le désintégrer pour le vassaliser au profit du Triumvirat  turco-qataro-saoudien.

 

Une révolution pour libérer la voix du peuple devient un requiem pour la souveraineté nationale. Avait-elle été faite pour servir les intérêts des forces antipatriotiques et antinationales et contre l’indépendance  du pays ?

 

Ce n’est un secret pour personne que le mouvement milicien d’Ennahdha qui jouit des faveurs des tunisiens est le premier ennemi de la République  seule garante des droits fondamentaux  qui est considérée comme un sacrilège au regard des lois de l’islam.

 

Comme si cette révolution n’avait qu’une double finalité étancher la soif de vengeance d’Ennahdha qui veut purifier la Tunisie de toute trace de « l’impie » Bourguiba père de cette république mécréante selon leur terminologie ultra réactionnaire d’une part et d’autre part un acte de dévotion à  Allah qui brillé par son absence dans les slogans clamés par les manifestants.

 

Aucune référence ni allusion à l’islam qui se trouve contre toute attente propulsé au coeur du débat politique  aux dépens des vrais  enjeux politiques, économiques, sociaux et humains de la révolution tunisienne qui comme par enchantement   disparu du champ lexical tunisien pour laisser la place à des thèmes  fortement empreints d’obscurantisme,  .de racisme, de fanatisme religieux, d’abandon de la souveraineté nationale, d’intolérance, de pédophilie,  d’antisémitisme, de sexisme, d’antibourguibisme primaire et de la liquidation du C.S.P., d’archaïsme, autant de signes annonciateurs d’un venir sombre pour le pays.

 

Le monde entier était convaincu que les tunisiens en faisant leur révolution voulait briser les chaînes du despotisme et de la tyrannie qui les opprimait depuis siècles et finalement c’est tout le contraire qui s’est produit : cette révolution semble avoir été faite pour consolider et renforcer les barreaux de leur prison mentale et marquer le retour à l’ère de la barbarie humaine qui sans elle il n’y pas de salut pour l’âme musulmane

 

 

Un musulman « modéré » est un apostat qui s’ignore

Les vrais musulmans sont ceux qui propagent la barbarie et le racisme et oeuvrent à l’anéantissement de la démocratie, la liberté, l’égalité entre les sexes et la concorde entre les peuples en vue d’instaurer la loi de l’islam partout dans le monde. Ceux qui ne sont pas dans cette ligne sont comme des aveugles qu’Allah emmènera en enfer.

On ne peut pas être musulman de demi mesure ou consommer l’islam avec retenue, comme si un musulman était un ivrogne qui ne doit pas forcer sur la dose jusqu’à en perdre raison et tomber dans un coma éthylique. L’islam n’est pas non plus costard que chacun taille selon ses mensurations.

L’islam n’est pas à géométrie variable que tout un chacun doit adapter à ses besoins, la consommer selon ses envies et ses goûts. Il a ses règles et ses lois communes à tous les musulmans qui ne doivent souffrir d’aucune dérogation ni exception. Il est un code de la route qui s’impose à tous les musulmans sans exclusive et nul ne peut s’autoriser à commettre la moindre infraction. Tout contrevenant s’expose aux pires châtiments dont la pire sanction qui est la hantise de tous les musulmans est de finir dans les braises chaudes de l’enfer. Le spectre qui fait tellement peur aux musulmans et qui les paralyse dans leur action d’émancipation et d’affranchissement de la tutelle d’Allah.  Faute d’avoir créé des véritables armes de dissuasion et de persuasion, le dieu de l’islam arme rusé comme un renard a imaginé cette arme que tous les musulmans redoutent et craignent et pour laquelle ils préfèrent la mort pour mériter du paradis moyennant le sacrifice de leur vie pour sa gloire.   On est musulman ou on ne l’est pas, on a à personnaliser son parcours ni lui donner une touche à sa convenance. Un musulman vit comme un loup au sein de sa meute qui fait office de censeur et de gendarme.

L’islam n’est ni séculier ni séculaire, il est l’expression des deux. Quand un musulman dit que je vis l’islam de mon temps, il oublie que la notion du temps n’existe pas dans cette religion, il est intemporel et immuable. Les effets du temps n’ont aucune emprise sur lui. Il n’y a qu’une époque celle du prophète qui doit perdurer et traverser les temps. Le temps passé est un temps présent et un temps à venir.

On ne change pas ni faire évoluer une feuille de route dictée par Allah en personne à son prophète préféré qui lui-même s’est contenté de la dicter à ses compagnons sans qu’elle n’ait subi la moindre altération, avant qu’elle ne oit transcrit dans la langue d’origine de l’humanité selon les vrais musulmans.

Qui oserait se soustraire ou apporter des aménagements à cette feuille de route canonique ? Sauf les incroyants et ceux qui se prétendent musulmans mais qui n’ont pas le courage d’apostasier l’islam. Un crime passible de la peine capitale, on ne plaisante pas avec les règles de soumission à l’islam. Toute rupture de lien avec l’islam est par conséquent fatale avec ceux qui poussent l’outrecuidance à le faire. Etant censés être frappés par la grâce d’Allah dès leur conception, fruit de son oeuvre, les musulmans ne peuvent pour des raisons quasi génétiques, s’amputer de cette part de génomes musulmans qu’Allah leur a inoculée. On ne renie pas son vrai père géniteur dont la disgrâce frappera l’insolent comme un couteau de boucher égorgeant un mouton.

Les musulmans condamnés à tout jamais à l’état « d’esclavitude ». On ne peut pas être esclave de l’islam et en même temps afficher son indépendance d’esprit ou prétendre concilier l’islam et la modernité. L’islam a ses propres caractères qui sont à l’antipode de la culture humaniste et démocratique.

Il n’y a pas pire sacrilège que de vouloir affubler l’islam du masque de chacun son islam alors que la notion d’individu n’existe pas dans cette religion. C’est la peur d’essuyer ses foudres qui  retient ses fabulateurs-hypocrites et les fait fantasmer sur l’islam respectueux des droits humains, oubliant ou feignant d’oublier par ignorance ou par perversité, qu’en tant que musulmans, ils ne doivent adhérer qu’aux valeurs émanant du Coran, des Hadiths et de la Sira .

Au moins les vrais musulmans sont clairs et cohérents avec eux-mêmes et les prescrits de leur religion.  A force de ménager la chèvre et le choux, vous finirez par servir de festin à votre méchant loup.

Un musulman qui se modère est un musulman qui cesse de l’être.

Pendant que l’islamiste sème la mort, le musulman modéré drape l’islam dans sa vertu

J’ai tort de croire que l’islam modéré n’existe pas, la preuve à chaque fois que l’on massacre des chrétiens, des innocents voire des musulmans dans les pays mahométans, ses partisans sont toujours les premiers à faire l’autruche et à faire comme s’ils ne s’étaient rien passés. Bien au contraire toujours prompts à voir derrière les massacres la main sioniste.

Sont-ils sortis un jour dans la rue pour dire stop à la violence djihadiste ou condamner l’absence de liberté de conscience  dans leur religion ? Ont-ils manifesté pour réclamer la libération des prisonniers d’opinion condamnées injustement comme le Tunisien Jabeur Mejri à 7 ans et de demi de prison pour soi-disant offenses à l’islam ? Ont-ils un jour exprimé leur rejet et aversion de la lapidation et de la pédophilie ? Ont-ils eu le courage de se démarquer du prophète autoproclamé et de ses moeurs nauséabondes ?

Modérés non ! Lâches oui !

C’est pourquoi je n’ai du respect que pour les musulmans intégristes, le visage authentique de l’islam. Ni fard ni verni.
Au moins avec eux je sais à quoi m’en tenir et ont le courage d’appliquer rigoureusement les prescrits de l’islam. C’est à travers leur comportement et leur discours en adéquation avec l’enseignement du prophète et la tradition musulmane que les masques de l’islam sont tombés et qu’il n’est pas plus une religion de paix et de tolérance que son cousin idéologique le nazisme. De par leur maîtrise du savoir religieux musulman sur le modèle d’Al Qaradhaoui ou le défunt Mufti Al Baz, ils ne travestissent ni ne biaisent les dogmes de l’islam et son corollaire la barbarie humaine. Ils sont l’islam des sources et ne voilent pas la face de leur religion contrairement à ces fabulateurs, escrocs, versatiles, hypocrites, ignorants,incultes, analphabètes, mystificateurs, vierges effarouchées, prétentieux, qui veulent embrouiller l’image de l’islam avec leur islam qui n’en est pas un et dans lequel le prophète ne se reconnaîtrait pas s’il ressuscitait.

Il n’y a de musulmans qui ceux qui sont dans le sentier d’Allah et qui appliquent la charia à la lettre. L’islam est un et indivisible, ce n’est pas un supermarché où l’on s’approvisionne selon ses besoins. L’homme musulman doit servir Allah et non s’en servir à ses fins personnelles.

Le prophète a laissé en héritage aux musulmans une seule feuille de route et non pas une feuille pour tout un chacun qu’il doit utiliser selon ses convenances, ce qui remet en cause le concept de l’Oumma à laquelle chaque musulman doit adhérer et contribuer à sa pérennité et par conséquent ne pas se laisser séduire par d’autres chants de sirène qui visent à l’éloigner de son groupe.

Il n’y a qu’une seule catégorie de musulmans, comme il y avait une seule famille de nazis.

En conclusion Le musulman modéré est par définition celui qui veut faire de son ignorance de l’islam une vérité. Il est par conséquent un mystificateur de sa foi et son pire ennemi, un impie voué aux feux de l’enfer de l’islam et que ses coreligionnaires fondamentalistes qualifient de faux-musulman qui doit soit réintégrer le bercail soit condamner à mort. L’islam n’est pas un habit sur mesure où l’on peut individualiser sa pratique de la foi, une pratique pour tous et non chacun sa pratique de l’islam. C’est un uniforme pour tous fabriqué aujourd’hui en Arabie Saoudite, cette terre de vérité de l’islam.

En gardant le silence, la majorité musulmane approuve-t-elle les actes terroristes de ses coreligionnaires ?

Etat islamique : les djihadistes filment leurs massacres en Syrie et en Irak

Le silence troublant des musulmans est le meilleur allié des terroristes djihadistes

  • Plus de 22 000 attentats terroriste  dans le monde outre le Tsunami terroriste qui déferle actuellement sur les peuples syriens, irakiens et nord-nigérians sont à  mettre à l’actif des musulmans depuis ce jour funeste du 11 septembre 2001.
  • Indépendamment du fait que sont bien souvent les musulmans eux-mêmes qui sont  les premières victimes de cette déferlante qui sonne comme le prélude du Grand Effroi coranique .Le monde semble s’installer dans une banalisation du terrorisme sur fond de théorie du complot histoire de nourrir les fantasmes les plus fous pour valider  les thèses  les plus ubuesques empestant généralement l’antisémitisme et la haine de l’Occident, qui remplit son quotidien au point que les attentats terroristes sont analysés et commentés comme des simples rencontres sportives.Comme si l’on cherchait à relativiser leur portée, pour occulter les vraies causes qui les fondent et reléguer au second plan moins les acteurs qui se revendoquent d’une idéologie hégémonique et suprématiste qui a choisi la voie de l’ultra-violence  pour imposer sa dictature à l’humanité.

    Rarement on s’interroge sur la nature toxique de la source à laquelle s’abreuvent les acteurs terroristes. Alors que tous se revendiquent de la religion musulmane à laquelle ils dédient leurs forfaits comme s’ils étaient des trophées de guerre, ou plutôt un trophée sportif appelé à être rangé dans l’inconscient collectif de leurs frères musulmans.

    Les Merah, les Ben Laden, les Ghannouchi, les l Jawahiri, les frères Tsarnaev et tant d’autres tristes figures du terrorisme musulman  font figure d’héros dans l’imaginaire de leurs coreligionnaires. Adulés et admirés comme s’ils avaient remporté la médaille d’or olympique, ils avaient fait flotter la bannière  musulmane, de couleur noire portant mention de la profession de foi chère au coeur de chaque musulman, au plus haut mât de la victoire. Celle sur le mécréant ou pas tout-à-fait musulman.

    Le terrorisme est vu comme un jeu, ses auteurs  sont promis à la gloire éternelle sur terre comme dans l’au-delà, quant à leurs victimes elles sont considérées comme une question de détail, comme des adversaires vaincus sur le champ sportif.

    Personne ne va compatir sur leur sort. Surtout qu’en leur qualité de non-musulmans, ils ont payé le prix de leur insoumission au Dieu des musulmans.

    Tant que perdure la culture du martyr puisant ses sources dans le Coran lui-même, le terrorisme dans le sens du djihad armé a encore de belles années  devant lui. Qu’ils soient collectifs ou isolés, il est une composante essentielle de l’islam.

    Rien ne saura par conséquent l’enrayer. A peine, les feux des projecteurs commencent à se détourner des attentats de Boston, ils ont été aussitôt rallumés par ceux qui ont visé l’Ambassade de France à Tripoli et celui évité de justesse à Toronto.

    Au-delà de la nationalité des auteurs, c’est la religion qu’ils professent qui doit interpeller l’opinion publique. Il ne s’agit ni de faire le procès des musulmans et de leur imputer la responsabilité collective des crimes commis par leurs frères, ni de les stigmatiser, mais de les mettre en face de leur propre responsabilité morale et intellectuelle pour qu’ils cessent de surfer sur la victimisation de leur religion.

    Qu’ils sachent que c’est au nom de l’islam que tous ces crimes sont commis et qu’ils ne font rien eux-mêmes pour enrayer cette spirale infernale.

    Qu’ils admettent que l’islam présente un réel péril pour la paix dans le monde et qu’en se murant dans leur déni de la réalité ils ne font qu’alimenter la phobie de l’islam.

    Qu’ils se rendent à l’évidence que tous les milliers d’attentats qui émaillent la scène mondiale et empoisonnent leur propre quotidien ne sont pas l’oeuvre d’athées, de « mécréants »  ou de moines bouddhistes et qui ne font que conforter la thèse liant violence et islam.

    L’amalgame ce sont les musulmans eux-mêmes qui le font en ne démarquant pas officiellement des agissements de leurs coreligionnaires et les bannir de leur sein. Comme s’ils avaient peur de commettre un sacrilège et d’enfreindre l’enseignement coranique. Belliciste et haineux.

    Cette majorité qui soi-disant est étrangère à ces attentats qui sont devenus la préoccupation majeure de la communauté internationale, sait-elle que par son attitude trouble et ambiguë,  elle ne fait qu’apporter de l’eau au moulin de tous qui doutent du caractère pacifiste de l’islam ?

    Est-ce que par exemple les tunisiens, les jordaniens ou les libyens sont-ils sortis dans la rue pour manifester leur opposition à l’envoi des djihadistes en Syrie pour tuer leurs propres frères musulmans ?

    Oserions-nous imaginer un jour entendre les musulmans partout dans le monde dénoncer la barbarie qui est devenue la marque de fabrique de leur islam qu’ils se plaisent à le draper dans les vertus qui n’ont jamais été les siennes ?

    Comme aussi les imaginer organiser des journées de jeûne et de prières en guise de protestation contre le djihad qui répand la mort et brise des destins et surtout symptomatique du Grand Effroi coranique ?

    Sont-ils capables d’envoyer un message fort au monde entier et surtout à ceux qui soufflent sur la braise de la violence et excitent les pulsions terroristes latentes chez les musulmans : stop à la récupération de notre religion à des fins terroristes ?

    Il est grand temps que les musulmans comprennent que s’ils veulent réellement défendre leur religion, ce n’est pas en se voilant la face et continuer à s’enfermer dans leur déni mental qu’ils vont pouvoir y arriver.

    Qu’ils fassent la même lecture littéraliste des sources que leurs frères intégristes mais de manière objective, distanciée et rationnelle afin qu’ils réalisent d’eux-mêmes que les lois de leur religion sont incompatibles avec les standards des lois humaines.

    Il ne s’agit pas de réformer l’islam, il s’agit d’extraire le ver venimeux dans le fruit musulman et que s’ils ne font rien il va finir par se muer en cancer à l’état de métastase mortel pour eux-mêmes et leur religion.

    L’Occident héritier de Machiavel qui feint sa bienveillance à l’égard de l’islam est entrain en réalité de lui faire subir le même sort qu’il a fait subir aux fascistes et aux communistes qui ne jouent pas dans la même catégorie qu’eux pourtant mais que l’Occident a vaincus.

    Que dire alors de ces potiches musulmans, éternels dominions, des marionnettes, consuméristes pathologiques, fatalistes, abrutis et avachis par leur religion, plus préoccupés par le tourments de la tombe et les prébendes divines que par les bienfaits de la vie terrestre que l’Occident n’a même pas besoin de combattre puisqu’il y a longtemps qu’ils lui ont abandonné la partie ?

    Diaboliser pour mieux achever. Il revient aux musulmans de démentir de sauver leur religion en témoignant de leur volonté de vivre en paix et en harmonie avec le reste du monde.

    Mais ont-ils cette force mentale avec une religion qui a fait de la soumission un marqueur génétique ?

  •  

Y a-t-il une relation de cause à effet entre la ré islamisation de la Tunisie et l’explosion de la délinquance chez les tunisiens en France ?

Selon le rapport l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales OPNDRP dont le Parisien daté du 16 décembre 2013 a fait écho la délinquance tunisienne a littéralement explosé en France au cours de la période 2010-2012.

En effet, elle a enregistré au cours de ces trois années une croissance exponentielle de plus de 300%, un fait unique dans l’histoire universelle de la criminalité qui dit mieux ?  Quand bien même il y aurait une relation de cause à effet entre ces chiffres qui sont une honte pour la Tunisie ré islamisée et la révolution tunisienne qui semble avoir créé un phénomène de désinhibition chez  ceux qui voient dans l’islam un moyen de rendre licite leurs penchants pervers et délictueux. il n’en reste pas moins que l’on doit s’interroger sur l’existence des liens entre l’islamisation à forte dose de la Tunisie et la montée vertigineuse des crimes et des délits commis par les ressortissants tunisiens en France comme chez eux et partout dans le monde et tout particulièrement en Syrie où les tunisiennes et les tunisiens excellent dans la terreur et les dépravations sexuelles sous couvert de l’islam .

En effet,  il y a  forcément une corrélation entre les deux, de même qu’il n’est pas exagérer de rechercher la pertinence de l’hypothèse si les malfrats tunisiens ne sont pas les premiers clients électoraux d’Ennahdha et sa force de frappe terroriste ?  Plutôt que de les endoctriner à ses frais autant profiter du système carcéral très favorable à l’éclosion de nouvelles vocations djihadistes. Aussi bien en France comme en Tunisie on entre en prison délinquant et on en sort djihadiste. Un nouveau statut social qui lui vaut la double reconnaissance de son Oumma et d’Allah qui lui réserve ses plus belles récompenses.

Faute de les pousser aux crimes, Ennahdha est sans aucun doute la première bénéficiaire de leur rédemption grâce à ses relais dans les prisons françaises et tunisiennes et les grâces présidentielles accordées généreusement, certaines mauvaises langues prétendent monnayées par Marzougui. Il est un fait troublant que les voyous en France rencontrent l’islam ou renouent avec lui seulement quand ils connaissent la douceur des cellules et n’ont plus le souci de subvenir à leurs besoins par leurs propres moyens.

 Une autre hypothèse non dénuée d’intérêt est la charia elle-même qui rend licite les crimes et les délits à l’encontre des mécréants ou pas tout-à-fait musulmans.

En tout état de cause et quels que soient les enseignements que l’on puisse tirer de ce boom délictuel et criminel que connait la Tunisie ré islamisée ou wahhabisée et dont sont victimes collatérales la France et la Syrie, où règne une atmosphère nauséabonde à la mode afghane, sans foi ni loi, où la  morale publique est synonyme d’immoralité et de dérives, où le désordre juridique est la norme est de mise, sans Etat ni droit,  peut s’enorgueillir de présenter un bilan extraordinairement riche, digne de lui valoir la reconnaissance éternelle d’Allah : terrorisme, pédophilie, prostitution halal, vol, abus de confiance, corruption, détournement de fonds, abus de biens publics et sociaux, violence, assassinats, banditisme, racket, profanation, viol, vol avec violence, enlèvements, rackets, filouterie, charlatanisme, faux diplôme, crimes d’Etat, escroquerie, viol, autant de performances qu’il faut lier à l’islamisation à forte dose de la société tunisienne.

L’islam n’est pas qu’un frein au développement, il est un catalyseur de la voyoucratie et de la criminalité.

 
 

La secte d’Ennahdha est un danger mortel pour la souveraineté nationale et une menace pour l’Afrique du Nord

L’islamisme collaborationniste et milicien dont Ennahdha est le porte-étendard noir en Tunisie fait une entrée fracassante sur la scène tunisienne à la surprise générale  (?) a pour principale mission de mettre une chape de plomb sur les libertés en Tunisie et son corollaire l’instauration d’un Emirat-bananier vassal américano-wahhabite.

Pour mieux coloniser les peuples, il faut les abrutir et les crétiniser par la religion en les faisant déconnecter d’eux-mêmes, en les transformant en des légumes indifférents à leur propre existence et incapables de réagir pour impulser l’élan pour infléchir le cours de leur destin oppressant et obscur. L’Amérique a été conquise grâce à la religion, les arabes en ont fait autant. La reconquête ne peut donc se faire sans un prosélytisme hyper actif et au besoin agressif. Empêcher, verrouiller, réprimer, mettre des freins à toute tentative de résilience   qui peut être néfaste à l’idéologie dominante et remettre en cause le pouvoir de ceux qui prétendent l’exercer en son nom. Or, le pays qui semble pouvoir tirer les pays islamisés vers le haut et sonner le glas de l’islam et bouleverser le jeu d’équilibre des rapports de force internationaux  est bel et bien la Tunisie dont il fallait détourner sa révolution  par tous les moyens de son objet initial au profit de leurs bras armés locaux, véritables agents indiens qui doivent veiller aux seuls intérêts de leurs commanditaires en distribuant aux populations du pain rassis  et de la religion.    

La peur de contagion pour les uns, des enjeux géostratégiques, géopolitiques et géo énergétiques pour les autres, se sont avérés être les facteurs déterminants dans l’intronisation d’Ennahdha en tant que superviseuse des affaires américano-wahhabites en Tunisie.

 Ceci est d’autant plus vraisemblable que ce qui paraissait insensé  à une certaine époque est devenu une réalité très amère pour les tunisiens aujourd’hui. Adoubée  par ses protecteurs au mépris des intérêts vitaux de la Tunisie pour remplir un rôle majeur alors que les compétences de ses membres leur permettraient à peine d’exploiter une sandwicherie grecque dont ils se sont faits la spécialité en France où l’on parle à juste titre de kebab-connection.

Grâce aux appuis américains qui ne sont pas aussi obscurs qu’ils en l’air telle que la création d’une zone de trouble dans cette région du monde pour justifier une présence militaire importante par exemple et qu’Ennahdha peut tout-à-fait provoquer des troubles tant en Tunisie qu’en Algérie et en Libye livrée aux mains des miliciens, en attendant que ce schéma se réalise, elle jouit en digne héritière de Mahomet de son butin tunisien agrémenté par la manne financière allouée par ses bailleurs de fonds et mentors wahhabo-turco-américains pour étouffer toutes velléités de réveil des consciences citoyennes en Tunisie qui peuvent susciter des effets de cascade et favoriser par la même occasion leurs desseins inavoués ne serait-ce de par le position géographique privilégiée du pays.

Les américains connus pour leur ultra conservatisme dans leur politique étrangère où seul priment les avantages énergétiques et financiers que l’on peut tirer des alliances même contre nature comme celles q’ils ont scellées un jour au lendemain de la deuxième guerre mondiale avec des bédouins qui sont restés figés dans le 7 e siècle, ne font guère d’efforts d’imagination et d’innovation. Partant du principe tant que l’obscurantisme  constitue une aubaine stratégico-énergético-financière  pourquoi ne pas en faire un modèle pour tous les pays musulmans en général et les pays arabophones en particulier ?  

Une doctrine de courte vue et contre productive à court terme, mais ils croient que l’obscurantisme wahhabite est l’exception qui confirme la règle après bientôt 70 ans d’alliance du faucon et de l’aigle, il est leur cheval de Troie pour gagner de nouvelles terres et asseoir son hégémonie quitte à lui servir de véhicule publicitaire auprès de ses  nombreux  détracteurs méfiants et hostiles à une idéologie arrogante, impériale, primaire, antidémocratique, raciste, ségrégationniste,  pédophile, nécrophile, zoophile et terroriste.

Cela ne semble guère les émouvoir outre-mesure comme à l’époque de leur splendeur économique qui la doivent en bonne partie aux républiques bananières de l’Amérique du Sud. Pour eux, seule compte l’expérience qui a fait ses preuves dans le passé et peu importe les dommages collatéraux sur les populations inféodées et sur eux-mêmes et comme l’obscurantisme musulman s’avère être leur seule carte maîtresse pour redonner un second souffle à leur Empire en phase de déclin et menacé sérieusement par l’apparition du B.R.C.S., il n’y a qu’à lui baliser le terrain pour en faire un modèle de gouvernement commun à tous les pays arabophones dans un premier temps en attendant qu’il ne devienne la force pilote de tout le monde musulman.

Plutôt que de provoquer des séismes politiques généralisés, ils procèdent  par des bouleversements successifs localisés, se contentant à retirer à chaque fois une carte jusqu’à le château finisse par s’écrouler de lui-même.  

Chaque espace libéré de ses anciens maîtres se trouve confié à des agents complètement acquis à leur cause, une sorte de hauts commissaires dépendant directement du PC du Département d’Etat.

D’où leur mission de régulation du système comme en Egypte avant la lame de fond populaire qui a balayé leur poulain Morsi et en Tunisie où ils continuent à exercer leur pouvoir de réajustement en fonction des circonstances.

Pour l’instant leur pouliche tunisienne semble être à l’abri d’un séisme égyptien, elle a ainsi toutes les coudées franches pour mouler les tunisiens dans le moule wahhabite pour faire émerger un modèle de démocratie musulmane des plus trompeurs et utopiques afin qu’il serve d’exemple pour les autres pays arabophones. 

J’accuse l’Occident de collusion avec l’islam djihado-terroriste dont il est le vrai sponsor

Salem Ben Ammar

J ACCUSE L OCCIDENT DE COLLUSION AVEC L ISLAM DJIHADO-TERRORISTE

 

J’accuse le monde soi-disant libre qui s’est toujours fait une spécialité de fréquenter l’infréquentable en l’occurrence ses ennemis potentiels qui sont les forces antidémocratiques et obscurantistes. Plutôt que de contribuer à leur éradication, il oeuvre à leur prospérité, l’Iran 79 et les pays du Croissant arabisé en 2011.

 Comme si sa propre existence en dépendait à moins que les intérêts inavoués valent bien qu’on leur sacrifie ses idéaux politiques et humains.

Tout indique que la démocratie est l’apanage de ses populations et jamais des autres condamnées au despotisme théocratique et politique à tout jamais.  Quand on se veut soi-même libre on ne doit pas coopérer avec des régimes et faciliter l’accès au pouvoir aux ennemis des libertés. Est-il atteint à ce point de cécité mentale pour jouer aux fossoyeurs des libertés en Tunisie, en Egypte, en Libye ou en…

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J’accuse l’Occident de collusion avec l’islam djihado-terroriste dont il est le vrai sponsor

J ACCUSE L OCCIDENT DE COLLUSION AVEC L ISLAM DJIHADO-TERRORISTE

 

J’accuse le monde soi-disant libre qui s’est toujours fait une spécialité de fréquenter l’infréquentable en l’occurrence ses ennemis potentiels qui sont les forces antidémocratiques et obscurantistes. Plutôt que de contribuer à leur éradication, il oeuvre à leur prospérité, l’Iran 79 et les pays du Croissant arabisé en 2011.

 Comme si sa propre existence en dépendait à moins que les intérêts inavoués valent bien qu’on leur sacrifie ses idéaux politiques et humains.

Tout indique que la démocratie est l’apanage de ses populations et jamais des autres condamnées au despotisme théocratique et politique à tout jamais.  Quand on se veut soi-même libre on ne doit pas coopérer avec des régimes et faciliter l’accès au pouvoir aux ennemis des libertés. Est-il atteint à ce point de cécité mentale pour jouer aux fossoyeurs des libertés en Tunisie, en Egypte, en Libye ou en Syrie où il a carrément choisi le camp des hydres nazlamistes,génocidaires, barbares et cannibales.

Sa bienveillance interpelle et intrigue. En effet, comment ce monde censé être le gardien du Temple des droits de l’homme et du citoyen tisse-t-il des liens privilégiés à ceux qui s’acharnent sur la négation et la destruction de la vie humaine ? Quand on a des principes moraux, on se doit de choisir ses fréquentations. Il n’y a pas de Realpolitik qui tienne quand on s’affiche et on serre la main à ceux-là mêmes qui jurent de nous dépecer et qui ont que mépris et aversion pour notre système de valeurs jugé comme efféminé et impie.

Une telle mansuétude ne peut que lui nuire et le desservir et pire encore ils sont un aveu de faiblesse, de trahison de la mémoire de ses aïeux morts pour leur l’obtention les droits fondamentaux qui sans leur sacrifice ils ne jouiraient pas de cette liberté qui est supposée être la sienne aujourd’hui.

Plutôt que  de faire preuve de générosité et la partager avec ces populations qui en sont démunies et faire ainsi honneur à son histoire héroïque contre les despotes et les tyrans, il fait tout le contraire de ce que ces populations attendent de lui et choisit le camp des forces liberticides, racistes, antisémites, fascistes, néonazies qui s’étaient ralliées à Hitler en 1939-45 en vue de sa destruction.

Est-il amnésique, masochiste, ethnocentrique et égocentrique à ce point et faire fi de leurs orientations nazies pour en faire aujourd’hui des partenaires et alliés dans sa politique étrangère pour le Maghreb et le Machrek ? Son zèle troublant donne à penser qu’il serait lui-même un nostalgique de la barbarie nazie à laquelle il donne l’impression de vouloir lui substituer aujourd’hui la barbarie nazislamiste. Comme si pour exister il a besoin de créer ses épouvantails et ses spectres des horreurs.

Il n’y a pas de collaboration innocente ni de coopération fortuite et désintéressée, tout rapprochement avec les hydres nazislamistes ne fait qu’accentuer le malaise et susciter des réactions hostiles chez les populations qui voyaient en Occident le grand frère qui va enfin les aider à gagner les rivages des libertés humaines.

Il préfère se couvrir de honte et de discrédit pour faire acte d’allégeance à ses « amis » d’aujourd’hui qui seront les vautours qui le dévoreront demain après s’être repus de ces populations qui leur a offertes en Holocauste.

Comme si la capitulation et la collusion étaient devenues ses marqueurs idéologiques. On ne se fait pas complice des nazislamistes qui lui ont occasionné son pire traumatisme le 11 septembre 2011 depuis 1939-45. N’étant pas conscient de sa perte de l’estime de soi  en s’affichant à côté des hydres qui n’ont d’humains que leurs apparats vestimentaire.

A quoi joue-t-il en jouant au V.R.P. de luxe pour vanter les mérites du nazislamisme modéré pour abuser de la crédulité des siens et de ces populations misérables et en proie à la tyrannie musulmane depuis 1400 ans ? A moins que ce jeu périlleux et malsain ne soit une réédition des années 30 et du sacrifice du peuple juif et des minorités non-aryennes sur l’autel du nazisme. A chaque fois, il donne des gages d’amitié et de reconnaissance à ses pires ennemis.

Hier c’était tous ce qui n’avaenit pas une utilité pour lui qu’il avait apportés dans sa corbeille de mariage avorté avec le totalitarisme hitlérien, aujourd’hui l’histoire se répète et plus de cent millions d’êtres humains risquent de finir dans le chaudron nazislamiste.

Pourquoi ce besoin pathologique chez lui à mettre en péril l’humanité pour le bien des idéologies de la mort ? Au lieu d’éclaircir l’horizon humain, il l’obstrue et l’obscurcit en laissant planer un avenir des plus incertains.

Qu’a-t-il pour dissiper ces nuages opaques et les angoisses apocalyptiques chez ces populations arabisées ? Il s’est surtout illustré par un activisme rare pour épaissir ces nuages et attiser les peurs. Incorrigible, sans vergogne ni scrupule il persiste et signe dans la voie de la collaboration. A croire qu’il ne peut prospérer lui-même que sur le terreau des souffrances et du désarroi des peuples dont il risque fort un jour ou l’autre d’en subir le contre-coup.

Qu’a-t-il fait pour rassurer ces populations au lieu de se démener comme un diable pour donner un visage humain aux  hydres nazislamistes ? Mielleux, encenseur, caressant la bête immonde dans le sens du poil et laudateur comme s’il était payé pour.

La même atmosphère nauséabonde sévit dans ces pays et par ricochets chez lui comme dans les années 30 chez lui et dans les pays de l’Axe. Ni Hitler, ni Mussolini et leurs alliés n’étaient un modèle de pacifisme et d’humanisme, non plus les Morsi, les rebelles syriens, le Qatar, l’Arabie Saoudite et les islamistes tunisiens ne le sont. Il n’existe pas de figure extrémiste honorable, ni d’islamisme soft, l’islamisme est polymorphe et se décline en plusieurs couleurs en fonction de ses besoins. C’est un caméléon, hégémonique, suprématiste, pervers, fourbe et retors, il n’a qu’un objectif instaurer un nouvel ordre mondial sous le diktat de l’islam. Supplanter l’Occident dans la conduite des affaires. Tarir d’éloges son ennemi de demain est un aveu de défaite et de renoncement au combat avant même qu’il ne commence.

Là où la vigilance et la perspicacité s’imposent, il baisse la garde et démissionne. En dotant l’hydre nazislamiste de vertu humaine, il écrit sa propre épitaphe. Il n’y a pas pire offense à soi que de courtiser les islamistes qui veulent transformer le monde en camps de la mort.

En 2011 on a connu un nouveau Munich avec toutes ces floraisons dont on a couvertes les hydres nazisamistes et celle qui mérite la datte d’or de la bosse à reluire est incontestablement celle du journal la Croix. En effet, ledit journal de l’indignité morale a enjolivé honteusement le terroriste tunisien Rached GHannouchi, osant le qualifier d’islamiste modéré. Heureusement que le ridicule n’a pas foudroyé le journaleux qui allumé un cierge en hommage à cet inhumaniste et antisémite invétéré.

C’est moins le nazislamisme qui est immodéré que ceux qui le drapent dans les habits de la vertu. La modération n’est certainement pas leur qualité première sinon on ne confond pas une caniche avec un pitbull. Feront-ils demain preuve de retenue langagière pour couvrir les flots de réfugiés arabisés fuyants les affres du nazislamisme modéré ?  

Après avoir fait la promotion du nazislamisme modéré vont-ils brûler demain ce qu’ils avaient encensé la veille ? Tous ces réfugiés que l’Occident a abandonnés aux griffes des hydres islamistes vont-ils être pris en charge ou rejetés à la mer ? Allons-nous assister un jour à des Lumpadosa planétaires à cause de l’incohérence de l’Occident et sa veulerie ?

 Sait-il que leur seul crime est de ne pas adhérer au système de pensée criminel et mafieux de ses alliés stratégiques d’aujourd’hui et qui refusent d’intégrer une communauté fermée de laquelle sont exclus les non-musulmans ou ce que ses amis appellent les faux musulmans ?

Le nazislamisme est la force de frappe et de persuasion de l’islam, son atout maître dans la conquête du monde., il s’inscrit dans une stratégie impériale et transnationale et mène ses offensives aux quatre coins du monde. il ne connait ni les frontières, ni les Etats-Nations auxquels il veut substituer un Etat sans frontières et gouvernépar les seules lois de l’islam.  

Hitler rêvait du grand stade mondial, les nazislamistes profitant de la naïveté et de la couardise de l’Occident bâtissent patiemment et pernicieusement l’Oumma musulmane finiront peut-être par y arriver grâce à leur courbe exponentielle de naissance dont les politiques sociales, laxistes et natalistes de l’Occident lui servent d’effet de levier.

L’Occident n’est pas qu’une aubaine pour le nazislamisme, il en est le bailleur de fonds, le prompteur et le sponsor.

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PS NE PAS PRENDRE CETTE MISE EN GARDE A LA LEGERE EN MA QUALITE DR EN SCIENCE POLITIQUE MA REFLEXION EST NOURRIE DE NOTRE PASSE ET DE LEUR IDEOLOGIE TOTALITAIRE ET THEOCRATIQUE ET CE MYTHE DE LA PURETE ORIGINELLE DE LA FOI ISLAMIQUE QUI EST UNE INSULTE A LA CONSCIENCE HUMAINE ET UN CRIME CONTRE L HUMANITE

Comme toute idéologie fasciste l’islam ne peut prospérer que sur la crétinisation des masses

Islamic-Barnstar-Allah
Islamic-Barnstar-Allah (Photo credit: Wikipedia)

Le peuple Amazigh crétinisé et abruti par l’arabo-islamisme, totalement dépouillé de son âme, inculte et ignorant de ce qu’il est lui-même ne pourra jamais sortir de son état de misère cultuelle et intellectuelle chronique à cause des garde-fous idéologiques posés par ses dirigeants politiques aux ordres des monarchies pétrolières qui veillent à l’enracinement étouffant des nord-africains dans la sphère de leur domination cultuelle et culturelle.

En effet, quasi-illettré à cause d’une éducation islamo-centriste nuisible à la critique et à la réflexion, ce peuple a perdu presque tous ses repères historiques, linguistiques, et anthropologiques.

Quand on veut crétiniser les peuples, il faut les islamiser. Quand ils cherchent à se dé crétiniser  il faut les ré-islamiser comme c’est présentement le cas en Tunisie qui se trouve condamnée à un obscurantisme inéluctable où seule l’ignorance est synonyme de reconnaissance sociale et de prestige à l’instar de ces ‘ulama fi dine ( savants dans la religion ) ou des haffidhins du coran (des perroquets) dont la poitrine est un Coran ouvert et auxquels Allah promet ses plus belles récompenses, sexe et alcool à volonté et pour l’éternité mais dans l’au-delà. .

Pour couper les peuples dans leur élan d’affranchissement de la tutelle de l’islam après les avoir coupés quasiment définitivement de leur histoire et de leur véritable identité jugée comme un sacrilège aux yeux de l’idéologie musulmane dominante, Il n’y a pas meilleur traitement que la religion ce puissant agent soporifique paralysant le corps et l’esprit, qui les tétanise au moyen de la ré-inoculation à forte dose du virus neurologique de l’islam dont les effets sont plus nocifs que tous les hallucinogènes réunis.

Plus que toutes les religions, l’islam joue sur les mécanismes de l’aliénation mentale condition sine-qua-non pour embrouiller la vision des hommes en les enivrant par des illusions mystico-lubriques afin d’étouffer toutes velléités de réveil de confiance qui pourraient lui être fatales.

Conscient qu’il ne peut prospérer que sur le terreau de la misère intellectuelle et le et le maintien des hommes dans l’ignorance des choses les plus élémentaires en ce qui concerne leurs conditions d’existence. Il les enferme dans les mosquées plutôt que de les inciter à travailler dans les champs pour subvenir à leurs besoins. Un musulman doit rester au service d’Allah et jamais à s’occuper de sa personne et des siens. Formaté et endoctriné du berceau jusqu’à la tombe, il ne peut pas imaginer le monde en dehors de ce qu’Allah lui ordonne. S’il est analphabète c’est Allah qui l’a voulu et s’il est lettré mais seulement dans l’islam c’est toujours selon la volonté d’Allah. Nulle part dans le Coran il est recommandé aux musulmans de sortir des voies de l’ignorance universelle car pour l’islam il n’y a qu’un seul savoir le sien que le musulman doit propager aux quatre coins de la terre. Un inculte dans le rôle de précepteur.

Le monde musulman est celui qui accuse le plus de retard à tous les niveaux. Il souffre de déficits intellectuels alarmants. Ravagé par des taux d’analphabétisme pour les deux sexes qui laissent présager un enlisement inextricable dans l’obscurantisme et son corollaire le fanatisme.

L’islam préfère les imams aux scientifiques qui sont ses bras droits, ses censeurs et ses vigiles pour garder ses ouailles à l’abri de la tentation des apprentissages rationalistes et philosophiques, ennemis de la religion. Les musulmans disent que la première parole qu’Allah a dictée à Mahomet est lis, ikra, ce qui laisse supposer déjà que son envoyé autoproclamé sait lire déjà et qu’Allah lui a adressé un message écrit. Ce qui remet en question la légende du prophète oummi qui ne veut pas forcément dire jahel, ignorant. Il n’en reste pas que le musulman censé suivre son modèle parfait doit se borner à lire mais pas écrire, et mémoriser tout ce qu’il lit et ce qui est dicté afin de pouvoir le réciter comme c’est le cas dans les madrassahs en Afghanistan et au Pakistan où les enfants sont totalement analphabètes en Arabe et qui restituent oralement les versets coraniques. Un autre constat et non des moindres est le sectarisme intellectuel chez les musulmans où tout doit être centré autour du savoir religieux et de la connaissance du Coran avec l’interdiction absolue de lire et de s’instruire de toute autre chose qui n’est pas l’oeuvre d’Allah et de ses plumitifs auto-revendiqués.

Seule la lecture sacrée qui est une imposture est autorisée aux musulmans qui pensent que le monde est de la taille du poil de la barbe de Mahomet. Il n’y a que les crétins qui prétendent que l’islam est une religion du savoir, un savoir essentiellement religieux qui n’est donc pas un savoir. Mussolini disait que le fascisme n’a pas besoin d’hommes cultivés et instruits pour réussir, ils sont même un danger pour son développement. Ce l’est d’autant plus vrai avec les islamistes dans le monde musulman qui mènent une guerre à mort aux hommes du savoir universel et anti-sectarisme religieux les diabolisant et les couvrant de toutes les valeurs négatives. Les qualifiant ainsi de kafirs (mécrus), de chouyou’iyounes (communistes), de judéo-chrétiens pour les journalistes,  de sionistes pour tous ceux qui osent le démasquer, des suppôts du pouvoir tyrannique,tâghout, comme si Allah n’était pas un tyran absolutiste, ou  adouw Allah ( ennemis d’Allah )comme en Algérie dans les années 90. « Celui qui combat Allah par la plume périra par le fil de l’épée ».

L’islam comme toute idéologie totalitaire a une phobie des savoirs et connaissances qui ne rattachent pas l’homme aux dogmes de la foi, surtout ceux que ses farouches partisans considèrent comme s’inscrivant dans la continuation néfaste, certainement à l’islam lui-même, du colonialisme occidental.

Sa grande hantise est de voir desserrer les chaînes qui entravent   les chevilles de ses ‘abid (esclaves) qui auraient un jour des velléités  de liberté à travers des prises de conscience de soi dont ils pourraient être instruit par des apports extérieurs jugés comme maléfiques. Son propre salut passe par un black out total de toutes les sources d’influence intellectuelles qui instruisent l’homme et le valorisent en tant qu’individu en opposition à l’idéal musulman de l’Oumma (communauté) qui est la matrice maternelle des musulmans qui ne peuvent avoir une existence propre en dehors de son champ.

Qui mieux que les systèmes de pensée libérateurs de l’énergie humaine peuvent donner à l’homme les moyens de la construction de sa propre identité sociale et personnelle, de faire de lui un être réfléchi et pensant ?

Tout le contraire de ce que l’islam dessine comme modèle de vie pour ses fidèles basés sur l’allégeance, la soumission  et la résignation à son destin tel qu’Allah leur a tracé. Plus la pensée est verrouillé plus le pouvoir de l’islam perdure et se pérennise et par conséquent plus les hommes perdent toute conscience de leur propre être pour devenir des pions sur son échiquier.  Des crétins  gagnés par un seul enseignement monolithique qui font de leur état d’incarcération mentale et intellectuelle une forme de liberté. Inconscients de ce qu’ils sont qu’il s’emploie à les enfermer dans sa tour d’ivoire sans issue que la fin qu’il écrit lui-même pour eux.

La haine d’Israël chez les islamistes

La Haine
La Haine (Photo credit: Wikipedia)
The Courtyard of the Old Residency in Munich. ...
The Courtyard of the Old Residency in Munich. Adolf Hitler, 1914 (Photo credit: Wikipedia)

 

Le triste sieur Kamal El Helbawy premier membre de la Confrérie des Frères Musulmans à se rendre à Téhéran  a déclaré lundi 7 mars 2011 à ses hôtes qu’il souhaitait voir l’Egypte devenir, comme l’Iran, « un véritable Etat islamique. »  Elle a failli

en prendre le chemin sans la perspicacité patriotique du peuple égyptien et éviter ainsi au pays des Pharaons de faire partie d’un nouvel Axe du mal « L’Egypte et le monde de l’Islam doivent se joindre à un nouvel ordre mondial avec l’Iran et le Venezuela, ainsi que le Hezbollah et le Hamas pour chasser les Américains », a-t-il lancé, ajoutant « Chaque soir, quand je vais au lit, je prie pour me réveiller le lendemain et voir Israël rayé de la carte».

Des propos qui s’inscrivent dans le sillage de ceux de l’ancien prédicateur vedette Al-Jazeera Al-Qaradhoui que les nouvelles autorités égyptiennes  ont mis fort heureusement  hors d’état de déverser sa haine sur la juif et les athées dont il appelait à leur extermination. Véritable autorité pontificale sunnite, clone vivant de Goebbels et l’âme damnée de l’ex Emir du Qatar Hamed Al-Thani, dont il était le diplomate propagandiste es qualité auprès  des masses sunnites obscurantiste arabes, n’a jamais non plus dissimulé sa haine pathologique du peuple juif.

Ses  prêches ultraviolentes et antisémites feraient apparaïtre le négationniste Williamson pour un enfant de choeur. Il voue une aversion féroce  telle au peuple juif qui aurait  pu lui valoir la reconnaissance éternelle d’Adolf Hitler en personne. Un homme adulé par les foules arabophones islamisées.  Ses prêches suivies massivement  suscitent une adhésion et un engouement extraordinaire où tout un chacun s’y reconnaît et s’y identifie.  Adulé et admiré au moment sa belle époque comme une starlette hollywoodienne par des masses arabophones abruties par la religion et crétinisées par des programmes de télévision de séries à l’eau de rose,  figure tutélaire,  vu comme leur nouveau messie, dont les paroles sont sacralisées alors qu’il devrait  l’objet de poursuites devant la C.P.I. pour  incitation à la haine raciale, apologie du nazisme et appels aux meurtres massifs, génécide, des juifs, incitation aux crimes contre l’humanité. Ses déclarations enflammées et antisémites qu’il distille comme un poison mortel dans l’esprit de ses adorateurs font autant de dégats que les régiments de Panzer répandant le feu de la mort sur leur chemin. Il affirme au cours d’une de ses prêches qui sont autant des directives idéologiques et politiques que les « Juifs ont été punis en raison de leur comportement une première fois par les Babyloniens, une seconde fois par les Romains et enfin par Hitler ».

Ce homme vénéré par l’U.O.I.F., l’Union des Organisations Islamiques de France qui entretient des relations troubles avec la Sarkozie depuis l’affaire des foulards islamiques, dont elle a voulu faire son invité d’honneur à l’occasion de son prochain rassemblement, qui devrait être interdit dans une république digne de ce nom,  vient d’être déclaré persona non grata en France suite à une mobilisation active du mouvement associatif juif et de S.O.S. racisme. Il est évident que cette organisation trouble et fondamenlement intégriste devrait elle aussi être poursuivie pour complicité passive pour antisémitisme avéré et bien d’autres chefs d’accusation. En l’invitant, elle souscrit pleinement à son discours. Ceci est d’autant plus obséquieux que le Président de cette officine de la  nébuleuse islamique en guise d’indignation quant au refus des autorités françaises de lui autoriser l’accès au territoire national se plaît à le décrire sur les plateaux de télévision  comme étant un homme de paix et de dialogue. Comme si Raspoutine pouvait l’être aussi. Lui qui rêve tant que la prochaine fois « la punition des juifs vienne par les mains des musulmans ». Al-Qaradhaoui a enfin avoué qu’il espérait qu’avant la fin de sa vie « Dieu lui permettrait d’aller sur le terrain du djihad en chaise roulante, s’il le faut, pour tirer sur les juifs, ennemis de Dieu, afin qu’ils ripostent avec une bombe pour que [il] j’achève [sa] ma vie en martyr ».

On se demande comment un tel homme, véritable incarnation de l’immondicité humaine, peut-il déverser sa haine du juif au point qu’il appelle à son extermination en toute impunité. Comme si son statut de protégé de l’Emir déchu du Qatar, aux appétits hégémoniques gargantuesques et grand ami de Sarkozy, lui vaut d’être immunisé des poursuites pénales.  Y compris tous ses complices et tout particulièrement son bras droit le terroriste jamais repenti R. Ghannouchi, considéré par les autorités canadiennes comme étant un des maîtres à penser du terrorisme djihadiste.d’autant  juif s’entend. Peut-on détruire un Etat sans détruire sa substance, c’est-à-dire son peuple ?

Même les petits nervis islamistes tunisiens appellent à la destruction de l’Etat d’Israël et l’exacerbation de la haine du juif. A croire que la haine de l’Etat hébreu et l’abomination de la laïcité, sont les seuls leitmotivs chez les islamistes.

La cause palestinienne est un faux-alibi pour eux. Surtout qu’ils n’ont jamais pris part à aucune guerre de libération nationale. Connus pour leur couardise et leur félonie ainsi que leur antinationalisme viscéral. L’Etat hébreu est leur coupe-faim, leur cache-misère. Leur seule seule raison d’être et de vivre. C’est leur  seul souffle de vie. C’est leur éxutoire. Il est leur cheval de bataille qu’ils peuvent enfourcher pour galvaniser les foules et exalter leur haine ancestrale du Juif. Le jour où ils le perdront, quel sera leur devenir idéologique ? Déjà que leur vie n’a pas de sens! Sauf dans les soubresauts terroristes qui frappent l’humanité dans sa chair et qui la plongent dans l’effroi.

Les islamistes  n’existent que dans la haine et par la haine. Incapables de s’assumer et de prendre en main leur propre destin humain. Israël est l’autre face de leur miroir de Janus. Le jour où ce miroir se brisera, ils auront tout perdu avec pertes et fracas. Le jour où la crise israélo-palestinienne aura trouvé une issue favorable, il y a fort à parier que l’islamisme périra de sa propre mort.

Retors et fourbes, ils sont conscients que sans Israël leur fonds de commerce sera tari.

 

Si vous avez l’âme soldatesque c’est maintenant ou jamais qu’il faut abattre l’A.N.C. et libérer la Tunisie d’Ennahdha

Si vous êtes des bons soldats c’est maintenant ou jamais de le prouver pour abattre l’A.N.C.et sauver le peu qui reste 

On discute des retraites des uns et des autres, des nominations abusives et partisanes, du nom du premier sinistre des momies sorties des archives nationales, certains s’amusent à proposer les noms des membres du futur gouvernement

Mais qui êtes-vous donc ? Si vous avez un tant soit peu de bon sens, d’humilité et de lucidité, vous devez vous concentrer sur les vrais problèmes de fond : éradiquer l’A.N.C. pour achever Ennahdha afin de se faire la peau de la pire ordure qui puisse exister Rached Ghannouchi. 

Vos théories fruit de vos fantasmes et délires de grandeur vous en faites l’usage que vous voulez mais la Tunisie est une affaire trop sérieuse pour faire l’objet de vos enfantillages. Soyez modestes et tout le monde y gagne. 
Il n’y a qu’une seule issue : prendre d’assaut l’A.N.C. et embastiller tous ses membres, je dis bien tous ceux qui sont payés à rien foutre dont les transfuges de Nida Tounes. Tous pourris et corrompus. 
Tous complices d’Ennahdha sans exception. Les Ksila et compagnie doivent tous être mis  à l’ombre. Ni faites pas des hommes du passé une solution pour l’avenir. Du sang neuf, rien que du sang neuf. Mais je en conjure arrêtez de vous prendre pour des analystes politiques vous en avez ni les moyens, ni l’envergure ni la clairvoyance.
Vous êtes des bons soldats, c’est maintenant ou jamais de le prouver en marchant comme un rouleau compresseur sur les ennemis de la Tunisie.

Tout ce que les tunisiens et tous les autres doivent savoir sur l’identité arabo-musulmane chère à Ennahdha

..

 

L’identité arabo-musulmane qu’Ennahdha et ses complices veulent imposer en Tunisie selon la feuille de route conçue et rédigée par le philonazi  Qaradhaoui : prostitution halal, jihad, servitude, abrutissement, collaboration avec l’ennemi à l’exemple des wahhabites avec leurs prétendus ennemis sionistes, couardise, félonie, inculture, libertinage, dévergondage sous couvert du sacré, fatalisme,  conditionnement psychologique, consumérisme outrancier, antipatriotisme, inégalités sociales endémiques, luxure,   esclavagisme, pédophilie, fainéantise, féodalité, perfidie, exubérance, indolence, inertie, immobilisme, homophobie, fourberie, veulerie, lâcheté, cupidité, servilité, ethnocentrisme, sous-développement mental, le dérisoire plutôt que l’essentiel, passéisme, réaction, inhumanisme, désuétude, moeurs barbares, obscurantisme, enfants abandonnés, égorgement, féminicide, lapidation, décapitation, crucifixion, excision, mutilation, justice inique, marchandisation de la vie humaine, avilissement, fanatisme, négationnisme,  mépris, fatalisme, crime d’honneur, viol institutionnalisé où la victime est offerte en butin au violeur, mariage pré pubère, répudiation.                                                                                  

 
Une identité où l’on fait de la victime coupable quand c’est une femme et de l’auteur du crime innocent, ni liberté d’expression et de conscience. 
 
Où l’homme n’est pas  ni responsable de ses actes et encore moins coupable. Une identité qui interdit tout épanouissement humain. 
 
Où l’homme n’est pas un loup pour l’homme mais qui a des droits de vie et de mort sur lui. Il est son procureur et son bourreau.
 
Une identité qui prohibe les luttes sociales et les progrès humains Où les positions sociales doivent restées figées dans le marbre mortuaire de la religion. Une identité de l’eau stagnante et nauséabonde. Où l’homme étouffe sous le fardeau de la religion. 
 
Une identité où la vie qui prend la couleur de la mort, où  l’exclusion sociale est la norme et le racisme et l’antisémitisme sont un dogme religieux. 
 
Etre arabo-musulman, est attentatoire à la dignité humaine. La misère humaine et intellectuelle dans toute sa splendeur. On ne peut pas faire d’un passé quel qu’il soit un présent et un avenir pour un peuple. Surtout que ce passé est sujet à caution et n’est pas aussi glorieux que ça qui est plutôt synonyme de barbarie humaine. 
 
C’est grâce aux prêtres syriaques qui ont traduit les philosophes grecs, , les perses, les hindous, les berbères, les juifs, les cathos, que les arabes ont pu entrer dans la civilisation humaine. Il est à noter qu’ils ne connaissaient pas la civilisation romaine ni phénicienne, ni égyptienne, ni assyrienne, ni la chinoise, ni l’indienne.  Elle a su surtout prosépérer sur les vestiges des anciennes civilisations.  Excellent surtout dans l’art du plagiat.                                                                                                                                                      
Pour preuve, elle n’a pas fécondé ni de civilisation en Arabie elle-même, où insuffler un esprit humaniste et civilisationnel en Afrique noire qui lui servait de vivier pour son commerce esclavagiste.  Ils écoulaient les africains en Inde comme une vulgaire marchandise qu’ils troquaient contre les épices et les soieries. 

Tunisie : triste fin pour le pays de 11 millions de charlatans politiques

Mon frère me disait au lendemain de la chute burlesque de Ben Ali que la Tunisie est passée de 11 millions de sélectionneurs à 11 millions d’analystes politiques.
Il ne pouvait pas dire mieux quand je vois tous ces apprentis sorciers jouer aux diagnostiqueurs de ses maux pour lui proposer chacun son remède. 11 millions de diagnostics pour 11 millions de remèdes qui dit mieux ? Si je savais que la science politique était du charlatanisme à l’état pur, jamais je ne l’aurais personnellement étudié.
Tant d’années d’études et de recherche pour la voir bafouée à ce point. Je suis sidéré et consterné. N’importe qui dans ce pays fait du n’importe quoi. Et ce n’est par hasard que ce pays est gouverné par des rebouteux et des guérisseurs.
Le plus ubuesque est que ses bourreaux d’aujourd’hui veulent confier sa thérapie à ses bourreaux d’hier. Nous sommes dans le royaume de J’ha où seuls les idiots sont rois. Triste fin pour un pays qui écrit lui-même sa propre fin.
 
 

Pourquoi je ne crois pas aux chances de survie de la Tunisie musulmane ?

Jamais vu un peuple comme le tunisien haïr autant sa patrie et exalter autant l’islam

Voilà les premières phrases que j’ai entendues dans la bouche des tunisiens qui sur le papier étaient moins d’être incultes juste au lendemain de la chute rocambolesque de Ben Ali : maintenant on va pouvoir enfin apprendre à laver les corps de nos morts, nos femmes vont pouvoir porter le voile en toute liberté, se rendre à la mosquée sans avoir peur du gendarme, redonner à l’islam ses droits bafoués par Bourguiba, se ré enraciner dans nobles valeurs de l’islam, en finir avec l’occidentalisme impérialiste et dégradant pour nos femmes, faire de l’islam notre vraie morale publique, restreindre le champ des libertés pour les femmes, les femmes aux foyers, on va enfin mettre nos enfants dans les kottabs, la prochaine étape sera la libération de la Palestine inchallah, vivement la réouverture de la Zeitouna et tant d’autres insanités  rétrogrades, archaïques, à contre-courant de l’histoire, nauséabondes et insensées qui me font regretter d’appartenir à la même humanité qu’eux.

Pas une seule pensée pour la Tunisie ni comment faire pour la remettre dans le sens de la marche, pas un mot de compassion pour les victimes de la tyrannie de Ben Ali, un bon musulman lui aussi comme eux, ne profite-t-il pas de la générosité de la terre sacrée de l’islam ?
Silence de cathédrale sur les droits fondamentaux et humains. 
Rien qui pouvait me rassurer quant à la réelle volonté de rupture avec des moeurs d’un autre temps. Rien non plus qui pouvait laisser présager un profond désir de changement. On me parlait du passé là où j’attendais qu’on me parle du futur qui se construit au présent. 
La Tunisie n’était pas leur préoccupation, inexistante, sans intérêt pour eux, seul comptait l’islam auquel il faut rendre les clés de la cité et en refaire le vrai maître de leur vie. 
Depuis 3 ans, rien a changé, encore pire.

PS Demandez-vous plutôt pourquoi mon regard sur l’islam et la Tunisie est si noir ? Je ne peux pas décrire autrement  les images lugubres et sinistres de la ré islamisation de la Tunisie

Si on veut précipiter le monde à sa perte il n’y a pas mieux que de le faire piloter par l’islam

Franchement pourquoi dépenser un argent fou pour financer des projets d’investissement pour le bien-être humain, alors que l’humanité est condamnée à disparaître ? De tous les modèles d’optimisation des coûts, à savoir zéro cent de dépense, il n’y a pas mieux que l’islam qui est la négation par excellence de la vie humaine qui la considère comme une étape pour jouir des bienfaits de la vraie vie : sexe à gogo; alcool à volonté, farniente et goinfrerie orgiaque. 
Dans cette religion l’investissement est virtuel et immatériel sauf la mort qu’on s’inflige à soi et à autrui, il suffit d’y croire et le tour est joué. Fermez les écoles, les hôpitaux, les laboratoires pharmaceutiques, plus d’infrastructures routières, fluviales,, portuaires, etc.. arrêtez de travailler, forniquez halal, répandez la mort autour de vous, maquillez vos suicides en martyrs comme les auteurs des attentats du 11 septembre, faites de la mort le vrai sens de votre vie et le monde pourra disparaître dans un futur proche. 
Ne fabriquez plus d’armes surtout, faites des enfants qui sont les meilleures armes de destruction massive. Plutôt que de créer des emplois et traiter les crises du chômage, faites le djihad. 
Quant à l’insécurité, le problème est résolu de lui-même, c’est la loi du plus fort qui fera force de loi. Plus de prisonniers à entretenir et d’établissements pénitenciers à construire, la décapitation et la lapidation sont le remède idéal pour faire des économies. 
Plus de frais de justice des procédures qui traînent en longueur. 
Plus de publications, plus de livres à éditer, lire le seul livre digne de ce nom, lisez au nom d’Allah et de personne d’autre, la plus belle œuvre apocalyptique et mein Kampfienne jamais offerte à l’homme : le coran dans sa langue d’origine. déjà qu’il est le tout et son contraire mais c’est ça qui fait son excellence, seul dieu a le droit de se contredire et se gourer, mais comme ça vient de lui tout est permis même l’incitation à la violence et à la haine de l’autre. Si le monde veut s’autodétruire qu’il devienne musulman. 
La vie s’arrêtera d’elle-même et Mahomet pourra commencer son travail d’intercesseur à la résurrection.

Le facétieux Mister Obama a bien roulé les tunisiens et les autres dans la farine révolutionnaire

  • En 2011 on nous a bassiné et rebattu les oreilles avec des soi-disant révolutions du printemps arabe comme si les tunisiens, les libyens et les égyptiens étaient arabes et comme si les saisons pouvaient exister dans ces contrées frustrées de libertés humaines depuis qu’elles ont le malheur de tomber sous le joug de l’arabo-islamisme. Rarement des révolutions n’ont été autant glorifiées, médiatisées et enjolivées comme si elles avaient provoqué un véritable Tsunami politique, social et culturel dans les pays d’expression arabe dominés par la religion musulmane qui se veut foi et société, totalitaire et ultra-libérale, rigoriste et libertaire comme chez les wahhabites, culte et culture, séculier et séculaire, profane et sacré, qui se mêle de tout, intrusive et incapable d’assumer son statut de religion;  
  • Or, ces révolutions se sont avérées in fine la montagne -pas celle que les preux musulmans escaladent une fois par an qui n’est pas plus haute que la colline dans la petite prairie- celle qui accouche d’une souris grise et noire les couleurs éprises par les folles et fous de dieu.
  • Il est connu que la flatterie nourrit le flatteur aux dépens du flatté. Les médias occidentaux en mission commandée se sont livrés à un véritable concours de courtisanerie et de bendir man, caressant le nombril des pauvres musulmans en butte à l’oppression politique et au despotisme totalitaire et théocratique depuis toujours, magnifiant et mythifiant surtout ce qu’il n’est pas.
  •  La culture du vent est le propre des peuples à l’identité hybride et non-assumée. Voilà comment des peuples lymphatiques et indolents se trouvent couverts d’honneurs inhabituels pour eux, car ils ont toujours vécu dans la soumission et l’assujettissement.  
  • Au fond d’eux-mêmes ils n’y croient pas trop mais ils ne vont pas renoncer à un cadeau royal que l’Occident leur a fait en leur offrant un spectacle hollywoodien du genre reality show. Ils se sont trouvés subitement sur un piédestal comme s’ils avaient intégré le monde libre après avoir baigné toute leur histoire durant dans celui des dominions. Ils ne vont pas faire la fine bouche sur le tapis rouge déroulé sous leurs pieds. Des peuples spectateurs hyper absents de l’histoire, ils se retrouvent acteurs de l’histoire. Anoblis et adoubés par les vrais artisans de leur révolution qui avaient tout intérêt à leur faire croire qu’ils ont mérité la médaille d’or de la dignité olympique qui est en réalité une médaille en monnaie de singe qu’on remet aux benêts, pour ne pas exciter leur frustration.
  • Encore une fois le scénario de leur histoire a été écrit sans eux. Mais peu importe le calice pourvu qu’ils aient l’ivresse révolutionnaire. Plongés dans un état de coma éthylique  à cause du breuvage frelaté que les barmen occidentaux leur ont spécialement concocté est aujourd’hui tel qu’ils n’ont pas vu qu’ils sont les vrais dindons de la farce et les maris trompés.  Que ce qu’ils croyaient être la révolution est en fait une dévolution à Dieu pour introniser ceux qui sont ses plus fervents zélateurs et qui présentent la particularité d’être des créatures du Satan américain après l’avoir été de la Perfide Albion.  Toujours une affaire anglo-saxonne.
  • L’Occident a habilement manoeuvré comme à son habitude avec un seul objectif: contenir les pulsions de mort chez leurs coreligionnaires les plus radicaux et en faire leurs nouveaux maîtres.

Il n’y pas d’islam sans la charia, comme on ne peut pas être musulman et démocrate

Salem Ben Ammar

Un musulman sans la charia est un musulman renégat, tout simplement un apostat, comme s’il abjurait l’islam.  Il doit savoir que sans elle l’islam est comme un corps sans vie. C’est elle qui codifie la vie des musulmans dans ses moindres petits détails. Elle est leur feuille de route et leur seule et unique voie qui ne tolère aucune autre voie à suivre pour ses fidèles. C’est leur cordon ombilical qui les rattache à la matrice islam. Se proclamer musulman sans la charia revient à pratiquer l’islam tout en rejetant ses 5 piliers.
La charia doit s’appliquer  en Tunisie qu’on  le veuillez  ou non. Le doute n’est plus permis si l’on veut réellement se conformer aux préceptes de l’islam. La charia est la loi d’Allah  à laquelle tous les musulmans doivent se soumettre. Nul ne peut y déroger ni être tenu au respect pas des lois qui ne sont pas d’essence musulmane jugées comme inférieures à…

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A cause de l’islam la greffe démocratique est impossible en Tunisie comme dans tous les pays musulmans

I am a Muslim not a Commodity
I am a Muslim not a Commodity (Photo credit: Edge of Space)

Voilà pourquoi la Tunisie et tous les pays musulmans ne peuvent jouir des libertés démocratiques tant qu’ils sont soumis à Allah
Il est à douter que la démocratie ait un avenir dans ces terres promises au seul règne absolu d’Allah. Lui qui a fait aux musulmans obligation de suivre que sa seule feuille de route s’ils veulent mériter sa récompense ne va pas céder ne serait-ce l’ombre de son pouvoir à un système politique qui risque de le gêner dans sa main mise totale sur la vie des hommes.
La cité musulmane est par essence dédiée à la seule autorité d’Allah sur la vie des hommes et ne peut accepter l’existence en son sein d’une toute autre forme de pouvoir qui ne soit pas conforme aux  lois.de l’islam dont la finalité est de protéger les fidèles de tout égarement et tentations susceptibles de les entraîner dans des utopies qui peuvent leur être fatales.
En d’autres termes, tout musulman doit rester toute sa vie fidèle à la voie qu’Allah lui a tracée, la sunna,
Autrement dit, l’homme n’a pas à définir de lui-même ses propres choix de vie et déterminer son propre convenance le modèle de société qui convienne le mieux à ses attentes et aspirations. Censé être dépourvu de volonté propre, il ne doit s’en tenir qu’à celle qui est le vrai maître de sa vie et de son  destin. Il n’a guère d’alternative que de se laisser guider et obéir pleinement au diktat d’Allah.
Vouloir introduire dans la cité musulmane un pouvoir qui ne soit pas son expression, est le pire offense qu’on puisse lui infliger. C’est commettre un kufr, un acte d’apostasie.
En effet, la terre musulmane n’appartient qu’Allah, elle est son royaume où tout le monde lui doit allégeance et se prosterner devant. Un pouvoir tout en soumission et en domination ne peut pas composer avec un pouvoir qui veut donner à l’homme les moyens de son émancipation, sa dignité et sa liberté. .
Imaginer que la greffe de la semence démocratique est  envisageable dans un environnement aussi verrouillé et hermétique, où l’oxygène est rare, autant faire pousser la fleur  du jasmin dans le désert d’Arabie ou celui d Atacama, le désert le plus aride au monde.
En tout état de cause le problème est moins l’islamisme qui est un écran de fumée  et  un moyen  pernicieux de dédouaner l’islam, de le déculpabiliser et de l’exonérer de toutes ces dérives terroristes commises par des extrémistes musulmans, barbares et ultraréactionnaires, alors que c’est l’islam lui-même qui  est la source nourricière de l’islamisme djihadiste combattant dans le sentier d’Allah. C’est pour quoi, il ne saurait condamner explicitement la terreur enracinée en lui-même  dont il a fait un de ses piliers et la voie pour tout musulman qui veut gagner le paradis..
Dans la mesure où l on considère que l’islamisme est une banale idéologie politique comme si l’islam n en était pas une. Ne veut-il pas faire de la terre le Royaume d’Allah justement à l’antipode du christianisme. Contrairement à ce dernier, l’islam est un système de nature politico religieuse. Foi, politique et société se mélangent et se confondent pour n’en faire qu’une qu’il est impossible de les séparer.
.L’islam  est unitariste et totalitaire. Il ne distingue  pas le sacré du profane et le séculier du séculaire. Ce mélange des genres qui s’articule autour de l’omniscience et l’omniprésence  de la parole sacrée, constitue un frein insurmontable à l’éligibilité de la démocratie dans les pays musulmans.
Dans les sociétés islamisées, seules les lois de droit canon, la charia,  divine ont cours toute autre loi n ayant pas ce caractère sacré est considérée est haram, illicite.
L’islam ne conçoit pas que l’homme comme étant un être responsable, doté de raison  puisse agir sur son destin politique, alors que sa mission est la seule et de  répandre la parole d’Allah sur terre et instaurer le modèle de l’Etat islamique tel qu’il est défini par le Coran dont les lois sont immuables et intemporelles.
Seul Allah a le pouvoir de légiférer en opposition totale et absolue avec le droit positif et une négation du principe fondamental de la démocratie qu’ est l’expression de la volonté du peuple souverain. Or, la démocratie est par définition une doctrine politique, d’essence humaine, par laquelle la souveraineté appartient à l’ensemble des citoyens( notion inconnue dans le Coran)  au sein d’une organisation qui a souvent la forme d une République ( en opposition à la notion de l’Oumma).
Dans un système démocratique, les hommes sont libres et égaux en matière de leur choix de vie, leur choix politique ( droit de vote), leur choix de liberté de conscience (interdite dans l’islam).
Un système démocratique repose aussi sur le principe inaliénable d’égalité des droits entre les citoyens indépendamment de leur sexe ( le coran ne reconnait pas l’égalité homme femme ) de leur origine ( non fondée sur la foi contrairement à l’islam).
La démocratie protège les citoyens sur des critères autres que ceux définis par le Coran ou la Charia qui autorisent de discriminer les non croyants et e les châtier si nécessaire. Un athée n’a pas le droit à la vie en terre d’Islam. Soit la conversion soit la mort. Quant aux gens du livre, ils jouissent du statut de dhimmis, des humains de seconde zone placés sous la protection des musulmans auxquels ils doivent verser une jizya, un impôt-racket moyennant leur sécurité.
En conclusion, une organisation politique quelle que soit son essence, humaine pour la démocratie  et divine ou prétendue telle comme dans l’ Oumma musulmane qui ne reconnait pas à l’homme ses libertés fondamentales, telle que sa liberté de culte  et conscience inscrite en lettre d’or dans la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 jamais adoptée par les Etats Islamiques jugée contraire à leur foi islamique qui ne reconnait à l’homme que des droits en contrepartie de ses obligations cultuelles et dogmatiques, est indéniablement liberticide, totalitaire et théocratique.
Ainsi l’illusion démocratique sera pour les Musulmans qu’une effluve enivrante que laissera derrière elle DAME DEMOCRATIE. Dans une cité musulmane la souveraineté revient à Allah et la soumission et l’ allégeance sont au peuple. SIGNE DR BEN AMMAR SALEM LE 23 MAI 2011

Je n’ai pas honte de me faire traiter de juif et de sioniste

Pourquoi m’insulte t-on toujours de sale juif et de sioniste qui ne sont en aucun cas un déshonneur pour moi, mais jamais de sale arabe et de musulman ? On voit jamais en moi ni un athée, ni un bouddhiste, ni un catho, ni un animiste, ni un bahaï, ni un païen, toujours le juif. Pour eux, il n’y a que le juif qui est en droit de critiquer l’islam, c’est son apanage. C’est pour quoi à chaque fois que quelqu’un cherche à faire tomber le masque de merveilleuse et sublime religion de paix et d’amour qui tellement honte d’elle-même qu’elle préfère se voiler la face, il est aussitôt catalogué de juif. Je suis par conséquent leur juif qui assume pleinement sa qualité de juif. Mais quant à être sale, ils feraient mieux de purifier leur âme noircie par 1435 ans d’obscurantisme et de fanatisme  En revanche, je recommande vivement à ceux qui voient le juif partout même là où il n’est jamais, mais qui les hante jours et nuits, qu’ils s’interrogent sur leurs vraies origines surtout qu’avant d’être tombés sous le joug de l’arabo-islamisme, ils étaient majoritairement judéo-chrétiens et que les historiens arabes  de cette terre berbère présentaient comme païens. Comme si Saint Cyprien, Saint Augustin ou Sainte Monique l’étaient et les 3 papes  Victor 1er, Miltiade ou Melchiade et Gelasse 1er que la terre qui abrite depuis  586 avant notre J.C. la  Synagogue de Ghriba avait donné à l’Eglise.
Est-ce qu’avant qu’ils ne soient les esclaves, abid, des arabo-musulmans, connaissaient-ils au moins leurs vraies origines ? Savent-ils quand ils m’insultent ils s’insultent eux-mêmes. Qu’ils fassent leur ADN pour qu’ils cessent leur haine du juif.
En ce qui me concerne, je ne crois pas offenser l’islam en le désacralisant et le démystifiant. Leur peur de dévoiler le vrai visage qui les rend violents et intolérants. Quand on ne veut pas entendre la vérité, on s’effarouche comme une vierge qui a perdu sa virginité de son plein gré et qui craint qu’on ne découvre qu’elle ait offert son hymen de son plein gré. Tous les musulmans sans exception savent que l’islam est une religion ultra violente et liberticide, ils ne veulent surtout pas que cela s’ébruite et se sache.
Heureusement que le juif qui est cette bonne conscience dont ils sont dépourvus, celui qui est le miroir de vérité dans lequel ils n’aiment pas voir se refléter ce visage de l’ignominie humaine,qui leur est intolérable. Le juif qui les obsède par sa clarté, son courage  et sa conscience de soi est toujours là pour révéler leur secret qu’ils n’ont pas le courage eux-mêmes de dévoiler.  En déversant votre poison sur moi, vous ne faites qu’étouffer dans celui de la vérité qui vous ronge intérieurement et vous mine et vous fait à chaque fois perdre conscience de votre humanité.

PS un  échantillon des amabilités nauséabondes  toutes musulmanes dont on me gratifie souvent la dernière en date émane de cette ignoble personne Dina Zine qui serait résidente en France et qui mérite certainement de connaître les fourches caudines de la justice des hommes pour insultes antisémites : « Ya S. Ben khra  [ excréments] vaas te faire foutre sale race de juif tu n’as pas vu ta merde de gueule dans un miroir le jour où tu penses mette les pieds ds mon pays je te chie dessus ainsi ta bande de lâches sionostes » Sionostes a-t-elle dit ! PS Ne faites pas attention à ses fautes de frappe aveuglée par sa haine du juif, elle n’a pas dû se rendre compte qu’elle avait les doigts englués dans ses propres excréments.

Que les tunisiens sachent qu’on ne fait pas de la cellule cancéreuse islam un remède à leur cancer généralisé

Misère, sur les bancs publics
Misère, sur les bancs publics (Photo credit: Xavier Donat)

Peu importe que les tunisiens aient fait ou non leur révolution. Mais comme tout peuple en proie au despotisme, à la misère noire, au chômage endémique, aux injustices, aux inégalités économiques et sociales insolentes,  il est conscient que ce n’est pas l’islam qui va l’aider à soigner ses plaies.

Car il sait qu’on ne fait pas d’une pue un remède. Et le jour où certains tunisiens ont manifesté que leurs slogans soient ou non téléguidés, il n’a jamais été question d’islam. D’en faire aujourd’hui une préoccupation majeure pour ce peuple, c’est la pire imposture et mauvaise foi qui puisse y avoir. L’islam qui ne leur apporté de concret et de solide depuis 1400 ans, ce n’est maintenant qu’il va y parvenir après avoir une fois encore coupé à ce peuple ses ailes pour la liberté, la dignité, la justice, le travail, l’égalité et la démocratie qui n’ont jamais été les vertus cardinales ni de cette religion goulaguienne et tchernobylienne ni d’aucune autre. Le peuple n’a pas le choix aujourd’hui soit se libérer du carcan de l’islam  soit se résigner à sa condition d’esclaves à tout jamais

Les musulmans ont l’art de faire toujours le jeu des détracteurs de l’islam

Les musulmans recourent systématiquement à la violence quand ils se font traiter de violents

Je peux avoir tort dans mes réflexions et analyses de la plus religion jamais donnée à l’homme de cro magnon mais plutôt que de me démontrer en quoi je fais fausse route et que mes allégations sont infondées, on me couvre d’insultes racistes et antisémites qui apportent de l’eau à mon moulin sur la nature primaire, agressive violente  et haineuse de l’islam.  

Il suffit d’émettre  des hypothèses et les musulmans la transforment en thèse. Ils ne se rendent pas compte qu’au lieu de désarmer leurs détracteurs en gardant la raison et ne pas tomber dans le piège, ils exhibent leurs crocs tel un prédateur qui veut dépecer sa proie. Avec eux pas besoin de fournir des arguments, ils sont eux-mêmes les arguments.  

Quand on dit que l’islam est l’école de l’intolérance par excellence, au lieu justement qu’ils fassent preuve de calme, de maîtrise de soi, d’esprit de dialogue, de sang froid, bref de tolérance,  ils menacent, gesticulent, vitupèrent, s’enflamment, insultent, violentent et parfois ils tuent.   Les traits typiques des fanatiques lobotomisés comme des malades par un enseignement religieux dont ils ne connaissent ni le sens ni la nocivité et qui leur fait perdre leurs facultés de discernement et altèrent leur équilibre mental.

Quand on se veut non-violent, on ne répond pas à ses accusateurs par la violence pour devenir soi-même son propre témoin à charge. Ils ont vraiment  l’art de témoigner en leur défaveur.

Plutôt que de se défendre et de retourner la situation en leur avantage et faire échec et mat à leurs adversaires ( le jeu d’échecs n’est pas arabe), ils s’accusent eux-mêmes de ce dont on leur reproche.  L’accusation n’ pas besoin de preuves à apporter par conséquent, ils sont eux-mêmes la preuve vivante  irrécusable des excès de violence de leur religion et de ses dogmes barbares. 

Pourquoi l’islam est-il une religion d’outre-tombe et la mort de la vie ?

POURQUOI les MUSULMANS sont-ils arrivés au stade de la DÉCONNEXION  d’eux-mêmes, étrangers à leur propre vie, n’exerçant aucune emprise sur elle, tenus à suivre qu’une seule voie, et surtout pourquoi ont-ils fait de la MORT une forme de vie ?

POURQUOI sont-ils MORBIDES et TRISTES à mourir….

POURQUOI un m…usulman dès sa naissance commence déjà à préparer son LINCEUL , impatient de rejoindre son géniteur…

POURQUOI  Quand un musulman commet un ATTENTAT SUICIDE, ce n’est pas lui qui a fait le choix d’y aller, c’est Dieu qui l’ a désigné pour le faire. Tous ces mercenaires qui partent faire le DJIHAD en Syrie ne le font pas par CONVICTIONS PERSONNELLES dont ils sont dépourvues, c’est Dieu qui en fait ses heureux élus…

POURQUOI les MUSULMANS vouent ils une haine féroce à l’HUMANISME à cause de ses vertus salutaires et libératrices pour l’être humain…

POURQUOI L’homme MUSULMAN  n’est pas né pour vivre, il est né pour ANÉANTIR  son existence et celle d’autrui…

POURQUOI ce MOUROIR à ciel ouvert qu’est le monde du musulman ….

POURQUOI le MUSULMAN est il CONVAINCU que la seule voie de tous les hommes est la mort de la vie…

C’EST POURQUOI  ils ne voient jamais le bout du tunnel dans lequel ils y sont depuis 1435 ans pour qui la tristesse est leur SEUL LOT DE CONSOLATION ….
Salem Benammar

Et si les ânes et les chiens se sentaient offensés en étant comparés aux voilées musulmanes ?

  Arrêtez de comparer les chiens et les ânes aux  musulmanes voilées, ils sont plus dignes et plus nobles qu’elles. Ils ne sont ni esclaves de dieu ni des hommes, ils ne se résignent pas à leur sort, capables de se rebeller contre leurs maîtres comme cet âne qui avait tué son propriétaire saoudien qui voulait abuser de lui,  pour en faire un mode d’expression politique de femmes libres.
La liberté d’être captives d’Allah et de ses hommes comme si elles avaient choisi cette liberté en toute liberté. Une pathologie schizoïde dont sont épargnés les animaux à la différence des voilées musulmanes fières de leur état d’esclave dans le déni de sa privation de liberté.
Les animaux peuvent manifester leur colère et faire ainsi acte de résilience quand ils en ont ras le minaret  mais jamais les femmes voilées ni les hommes musulmans tout court. Les animaux ne sont ni naïfs, ni cupides et sont moins bêtes qu’ils en ont l’air contrairement aux musulmans dans leur ensemble pour croire aux stupidités et fabulations de Mahomet pour embobiner pauvres fidèles avec des promesses virtuelles.
Rusé comme un renard, il sait que les promesses n’engagent que ceux qu’y croient. Et si jamais les abusés de l’islam découvrent le pot aux roses, il n’y a aucun risque pour régler son compte à l’islam ici bas.
S’il étai aussi sincère et honnête pourquoi ne s’est-il pas engagé à leur promettre un monde meilleur sur terre ?  Surtout que tout tourne autour de la violence, l’agressivité, la cruauté, l’intolérance, le racisme, la haine,  le sexe orgiaque,  et les beuveries dans l’au-delà des vices dont ces nobles animaux ne sont pas atteints.
Tout le monde sait et le coran lui-même en témoigne seuls la razzia, la fainéantise et l’oisiveté qui sont les vraies mamelles de l’islam. Or, les ânes et les chiens ont une utilité sociale et économique et leur nourriture est souvent méritée.
Il n’est fait nulle part dans les textes fondateurs du sectarisme politico-mystico-religieux musulman référence au principe fondamentale de toute société humaine ou animale : gagne ta vie à la sueur de ton front. Les chiens et les chats savent conjuguer le verbe travailler est-ce la cas de ces abrutis de la « foi » musulmane ?

Seules une armée forte et une société civile responsable peuvent sortir la Tunisie de l’impasse

Article paru dans Tunisie News le 28 février 2012 sous le titre « Tunisie : Comment redonner au pays un second souffle pour le sauver de son naufrage en cours ? »

Le temps de l’indignation est révolu vient l’heure de la reprise en main de sa destinée avant que la démocratie ne soit pas qu’une simple fleur de jasmin et le dernier chant du Cygne en Tunisie, il revient à la société civile du pays de sortir de son mutisme et de reprendre sa place sur le nouvel échiquier politique tunisien qui se trouve être aujourd’hui entre les mains des personnes dont la légitimité est des plus douteuses en tous points de vue.

Elle se doit d’agir en tant que nouvelle force de proposition, d’action militante et de porter la voix de la majorité du peuple tunisien quasi-absente du débat politique actuellement. Se désintéressant des enjeux politiques, juridiques, sociétaux et humains inhérents au scrutin apparenté à une véritable mascarade électorale.

La démocratie ne se confine pas au Palais de Bardo apparenté plutôt à un lieu d’exhibitionnisme mystico-religieux, un espace de rassemblement de dévots plus préoccupés de leurs devoirs cultuels que de leurs devoirs de constituants-citoyens , l’opinion publique est en mesure de peser et d’influer sur le débat politique, elle peut en changer le cours et le contrecarrer s’il va à l’encontre de l’intérêt général et à la souveraineté nationale. Or, qui peut affirmer que l’opinion publique en phase de gestation en Tunisie a rempli son devoir de garde-fou de sa Révolution alors qu’elle était quasiment inaudible pendant la période de transition ?

En aucun moment, elle n’a exprimé ses doutes et ses craintes à l’égard de la création d’organes auto-recrutés, anti-démocratiques, opaques et abscons chargés par des tiers tels des administrateurs liquidateurs judiciaires de sceller le sort de la démocratie en Tunisie et de baillonner la voix du peuple. Abandonnant les rênes de leur nouvel attelage démocratique entre des mains inconnues et à l’innocence et à la compétence des plus aléatoires et incertaines comme si elle était déjà pour elle un fardeau trop lourd à porter, oubliant ainsi que la démocratie exige des sacrifices, une extrême vigilance et une rigueur morale et intellectuelle sans faille.

L’opinion publique  tunisienne semble s’être parfaitement accommodée de l’architecture conçue par des intrus, ces visiteurs impromptus,  autoproclamés simultanément maîtres d’oeuvre de son nouveau chantier électoral. Un mélange des genres coupable et irresponsable et révélateur de leur nature prédatrice et leurs desseins sombres et inavoués pour faire prendre une autre voie à l’attelage démocratique dont ils se sont autosaisis.  Elle s’est laissée prendre au piège tendu par tous ces contre-révolutionnaires  dont le but était de poser les jalons et de créer un cordon sanitaire pour étouffer les velléités démocratiques en Tunisie afin  de faire perdurer l’ancien système de Ben Ali. Fait de népotisme, clientélisme, corruption, abus de pouvoir et de privilèges, mafia familiale, arbitraire, trucage, fraudes en tout genre etc…

Le processus révolutionnaire s’apparente plutôt à une mise sous tutelle qualifiée du pays où le peuple dépourvu de discernement et incapable de s’autogérer n’avait d’autre recours  que de laisser ces agents de la contre-révolution prendre en mains son destin politique.

A défaut d’avoir démontré son réel engagement et implication révolutionnaires et donner du sens à sa révolution le peuple tunisien a fait preuve d’une apathie et une indifférence troublante quant à sa profonde volonté de rompre avec la culture du despotisme totalitaire dans laquelle il s’est installé depuis 1400 ans pour lui substituer la culture de la démocratie.

Un peuple qui s’est indigné semble avoir oublié la valeur de ce mot. Il donne l’impression d’être tétanisé et anesthésié par les nouveaux enjeux et défis politiques, économiques, institutionnels  et sociaux résultants de ce bouleversement politique inattendu et mystérieux intervenu un soir du 14 janvier 2011. Comme si cette secousse brutale et de forte intensité a eu des effets soporifique sur lui,  le rendant amorphe et avachi l’inhibant dans la prise en charge par lui-même  de son nouveau destin politique.

Paralysé par le syndrome du stress post révolutionnaire, il est nécessaire de l’aiguillonner pour le sortir de sa torpeur et le remettre dans le sens de la marche de son histoire, celle qui lui revient de plein droit, qu’il se doit de l’écrire lui-même et non de la faire écrire par des nègres aux talents d’écrivains improbables, médiocres et surtout partisans. Il est étonnant qu’un peuple réputé pour le talent de ses élites fassent l’économie de ses élites pour les associer à la mise en oeuvre de sa nouvelle feuille de route qui doit traduire dans la réalité l’esprit né de sa Révolution. Marquée par un attachement indéfectible pourtant aux valeurs universelles telles que la démocratie, la laïcité, la dignité, la justice, la solidarité, l’égalité, la citoyenneté, la liberté.

Jamais, il n’ a été fait référence dans le cadre du mouvement révolutionnaire tunisien -porté par les jeunes et la société civile bénéficiant d’une neutralité bienveillante de l’armée- à une quelconque idéologie politique ou religieuse. Une révolution véritablement pacifiste, non-violente et humaniste dans le sens ghandien du terme, dénuée de toute arrière-pensée régressive, archaïque, vénale obscurantiste, réactionnaire et dévote.

A croire que cet esprit qui portait en lui les germes du changement n’a fait en réalité que raviver la chienlit qui mine le pays depuis toujours. Fort probablement, si leur corps révolutionnaire tunisien avait assuré lui-même sa phase de transition, il l’aurait certainement dotée d’une ossature, une assise et des structures politiques et juridiques suffisamment fortes et en totale adéquation de l’esprit de sa Révolution. Il est inique et irrationnel que les vrais acteurs du changement n’aient pas accompagné le changement. Ils se sont trouvés marginalisés et réduits au simple rôle de figurants, eux qui ont pourtant écrit la nouvelle partition musicale de nature politique et auxquels il incomberait légitimement de la mettre en musique.

Après avoir été les acteurs et les pionniers du Printemps dit Arabe, ils sont devenus des spectateurs passifs de la nouvelle histoire de leur pays qui est en train de s’écrire sans eux et qui a toutes les apparences d’une nouvelle O.P.A. sur la Tunisie organisée par des forces politiques inamicales et hostiles aux intérêts du peuple tunisien.

Seule une contre-offensive menée par un  chevalier blanc peut contrer cette O.P.A. qui fera tomber si l’on y prend pas garde le pays sous la coupe de nouveaux prédateurs plus dangereux que les précédesseursdu fait de leurs incompétences avérées et leur incurie politique et intellectuelle ainsi que leur coté bigot et illuminé.  Au point que cette nouvelle mise sous tutelle tripartite consacrée de surcroît par un scrutin électoral boycotté par la majorité des électeurs  s’apparente à un nouveau coup d’Etat institutionnel au profit de la Troïka Ennahdha, C.P.R. et Ettakatol  sous la houlette de Rachid Ghannouchi, agent notoire du terrorisme jihadiste selon les sources judiciaires canadiennes.

Cette Troïka n’a pas manqué de révéler aux tunisiens son faible attachement à l’esprit de leur Révolution et pire encore témoigner d’un quelconque dévouement patriotique, agissant comme un liquidateur judiciaire pour le compte de ses commanditaires qataro-truco-amricani-saoudiens. Sa déloyauté est à la mesure de son esprit réactionnaire, anti-populaire, anti-souverainiste, et ses attaques indignes contre les droits de la femme tunisienne la couvrant d’injures attentaires à sa moralité et probité. Voulant d’ores et déjà brader le patrimoine national.

Le pays rendu exsangue par sa révolution, sous perfusion financière, avec une croissance négative, une inflation galopante, des pénuries des produits de première nécessité et un nombre de chômeurs, cette plaie endémique du pays, qui a plus que triplé en l’espace de 11 mois, autant d’indicateurs qui devraient pourtant inciter les nouveaux gouvernants à une rigueur budgétaire de mise en période de vache maigre, et c’est tout le contrire qui s’est produit avec l’annonce d’un gouvernement pléthorique de 50 membres. Ce qui rprésente un ministre pour 200 000 habitants.  Un record digne du  Guiness des records. De même que le chiffre de 217 membres de l’Assemblée Consituante est un indice qui ne doit tromper personne sur l’avenir incertain de la démocratie en Tunisie et le bon usage de l’argent public surtout quand le pays est en état de faillite. Dépenser l’argent qu’on en pas est assimilé à une banqueroute frauduleuse susceptible d’exposer le contravenant à de lourdes sanctions pénales. Dans le cas d’espèce, cela devait se traduire par la sanction démocratique portant sur déchéance de leurs mandats électifs. Les laisser faire c’est se rendre complice de leurs dérives et gabegie incompatible avec les exigences de bonne gestion des affaires publiques.  Il revient au peuple souverain d’y remédier sous peine de s’exposer à la pire désillusion politique qu’il ait jamais connue celle qui ouvrira la voie au despotisme théoctatique dont les signes avant-coureurs comment à se faire sentir.

La Troïka avant même d’avoir pris effectivement les commandes des affaires patinent et tanguent sérieusement poussant le délire jusqu’à réclamer une période de trêve des confiseurs de 6 mois ne manquant pas de se comporter au demeurant  comme si elle était la nouvelle propriétaire du pays alors qu’elle est telle locatrice pourvue d’un bail à durée déterminé et qu’elle est tenue juridiquement et politiquement à gérer les lieux comme un bon père de famille.

Tout indique que la tentation totalitaire et despotique est en train de se réenraciner dans le paysage politique tunisien d’où une nécessité absolue de donner un nouveau coup de vis sévère pour préserver la pérennité du pays. Le fait que cette assemblée constituante a les prérogatives d’une assemblée législative en dit long sur les intentions hégémoniques de la Troïka et irrévérencieuses de  la volonté du peuple.

Sa volonté affichée de mettre sous son  éteignoir toutes les sphères du pouvoir en Tunisie témoigne de son projet antidémocratique et liberticide. Une démocratie sans séparation entre les pouvoirs perd sa substance et son sens pour devenir une dictature politique fascisante et totalitaire. Il est à craindre que la Tunisie ne soit pas en train d’emprunter cette voie.

Le doute n’est pas permis au vu du dévoiement de la nature politique et juridique de la constituante.  Son nouveau rôle est en violation flagrante du contrat politique initial dont le but était à l’origine de désigner les futurs constituants sans aucune autre prérogative. Car, il n’ a jamais été question de poser les jalons d’ un futur gouvernement issu des urnes.

En toute évidence, la troïka s’est rendu coupable d’une forfaiture juridique et un déni de la démocratie. Afin que cette troïka enfantée par les urnes du cendre démocratique ne fasse pas du pays une nouvelle chasse gardée pour un nouveau contrat à durée indéterminée  au profit d’une oligarchie islamo-opportuniste, à l’image de l’ancienne Camora Ben Ali-Trabelsi, il est de la responsabilité historique de la société civile, du secteur associatif et de la jeunesse de s’insérer dans le jeu politique tunisien auquel cas le Grand Soir du 14 janvier 2011 sera plutôt synonyme de la signature de l’arrêt de mort de leur pays ce soir-là.

Par voie de conséquence, la seule voie possible aujourd’hui pour sauver la Tunisie du naufrage politique, économique, juridique et institutionnel qui paraît inexorable et inévitable en l’état actuel des orientations idéologiques à contre-courant de l’histoire néfastes pour son identité et sa souveraineté nationales et qui sont à l’antipode de l’esprit de sa Révolution, il convient plus que jamais de la protéger de cette houle grise et noire qui est en train de l’emporter dans les profondeurs abyssales de l’histoire.

Un plan de sauvetage doit d’ores et déjà être élaboré pour immuniser et protéger le pays contre la lame de fonds islamo-opportuniste, plus soucieuse de ses intérêts particuliers et ceux de ses commanditaires c’est-à-dire ces forces occultes qui la soutiennent et la financent que de l’intérêt commun. Seule l’armée tunisienne qui fait preuve d’un patriotisme irréprochable, véritable gardienne de l’intégrité du territoire national et de la sécurité du peuple tunisien aujourd’hui, qui a su épargner au pays un bain de sang inévitable et donner cette image d’une armée souveraine, indépendante du pouvoir politique, pacifiste et populaire, peut constituer une option crédible pour la sauvegarde des valeurs de libertés appelés de tous leurs voeux par les protestataires civils tunisiens sous la protection active de leur armée.

Ainsi, dans un esprit de continuité de l’esprit de cette Révolution, il est impératif d’ exiger des constituants de veiller au renforcement du pouvoir institutionnel de l’ armée non seulement comme protectrice de l’intégrité territoriale de pays, voire comme agent du maintien de l’ordre intérieur, mais également comme garant du caractère civil (laïc) de la future constitution sur le modèle de l’armée turque.

Les Egyptiens ont voulu aussi se prémunir en préalable de leurs prochaines élections législatives contre les dérives séculières qui menacent leur pays sans succès à cause de l’hostilité épidermique des Frères Musulmans à toute référence au caractère fondamentalement civil de leur nouvelle constitution sous la bonne gardée de l’armée égyptienne.

Plus que l’article 1er de la Constitution tunisienne de 1959 à la portée juridique limitée, car il a plutôt une valeur de symbole, le fait de donner une vraie assise constitutionnelle à l’armée en l’inscrivant dans le préambule de ladite constitution constitue un vrai gage juridique et politique que la Tunisie de l’après 14 janvier 2001 offre tant à ces citoyens qu’ à la communauté internationale.

En effet, ce verrou qui aurait dû faire l’objet d’ un acte de nature constitutionnelle ratifié par les représentants des partis politiques, de la société civile, du gouvernement de transition et de l’armé elle-même. Il n’ y a guère d’ autre alternative pour remettre la Tunisie dans le sens de la marche sur la voie d’une démocratie pérenne, son adhésion aux valeurs universelles telles qu’elles sont définies par la Charte Universelle des Droits de l’ Homme et du Citoyen de 1948 ainsi que la réaffirmation du peuple tunisien à sa souveraineté nationale qui a été sévèrement malmenée ces derniers mois sans que cela suscite la moindre inquiétude de la part de celles et ceux qui se destinent à la conduite des affaires du pays ainsi que l’opinion publique tunisienne. Il y a une nécessité totale et absolue à ce que le pouvoir de l’armée soit intégré et reconnu dans le nouveau paysage constitutionnel du pays pour rester en cohérence avec l’esprit civil de la Révolution tunisienne dont le credo n’a jamais été de nature religieuse, loin s’en faut.

Le peuple tunisien le jour où il s’est levé comme un seul homme ce n’était pas pour défendre son identité arabo-musulmane ou des quelconques valeurs de l’islam qui doit rester en dehors de la nouvelle architecture politique de la Tunisie, qui n’a jamais été facteur d’enrichissement humain, c’était pour réclamer ses droits fondamentaux et le respect inaliénable de sa dignité et de sa souveraineté..

Arrêtez de vous plainde : noir c’est noir et la Tunisie sombre dans le désespoir

Ne me plaignez pas
Ne me plaignez pas (Photo credit: Wikipedia)

 

Vous vous plaignez d’être gouvernés par des terroristes de la Qaïda.
Vous vous plaignez de l’A.N.C. , l’Assemblée Nationale des Conspirateurs
Vous vous plaignez d’avoir été les dindons de la farce
Vous vous plaignez d’avoir dégagé Ben Ali contre votre plein gré
Vous vous plaignez  de la secte-Etat d’Ennahdha.
Vous vous plaignez de Raspoutine Ghannouchi et de ses desseins noirs.
Vous vous plaignez des frasques et des délires psychotiques de Marzougui.
Vous vous plaignez de la Troïka et de sa félonie.
Vous vous plaignez de l’insécurité à l’irakienne.
Vous vous plaignez de la dégradation de vos conditions de vie.
Vous vous plaignez de la cherté de vie et de l’hyper inflation.
Vous vous plaignez du chômage galopant.
Vous vous vous plaignez des montagnes d’ordures qui obstruent votre ciel
Vous vous plaignez de la puanteur de l’atmosphère qui dégage l’odeur des charognes en décomposition
Vous vous plaignez de l’état d’insalubrité de vos hôpitaux.
Vous vous plaignez de l’état de délabrement de vos écoles.
Vous vous plaignez de l’état de faillite du pays.
Vous vous plaignez de l’absence de propreté de vos rues.
Vous vous plaignez de l’enrégimentement sexuel et terroriste de vos enfants.
Vous vous plaignez des pénuries de médicaments.
Vous vous plaignez de voir votre pays s’afghaniser.
Vous vous plaignez du budget faramineux du Ministère de la wahhabisation de la Tunisie.
Vous vous plaignez du retour du pays dans la protohistoire.
Vous vous plaignez de la perte d’image de votre pays.
Vous vous plaignez du recul des investissements étrangers et nationaux.
Vous vous plaignez de voir votre pays bradé au profit du Qatar et à la Turquie.
 Vous  vous plaignez de voir votre pays devenir un sanctuaire djihadiste.
Vous plaignez des assassinats politiques.
Vous vous plaignez des meurtres de vos forces de l’ordre et de vos soldats
Vous vous plaignez de voir votre pays devenir la risée des nations
Vous vous plaignez de votre pays ressembler à un cimetière à ciel ouvert
Vous vous plaignez de vous envelopper dans vos linceuls de votre vivant
Vous vous plaignez d’avoir bafoué votre dignité et honneur pour votre religion de malheur
Vous vous plaignez de tout et de votre vie muée en enfer.
Vous vous plaignez d’avoir précipité votre pays à sa perte
Vous vous plaignez d’être incapables de le sortir de l’impasse
Vous vous plaignez de tout sauf de vous et de votre esprit veule et vénal
Vous ne vous plaignez jamais en revanche de la Tunisie qui se plaint de vous .
Vous ne vous plaignez pas non plus de la cause de tous vos maux : l’islam

Confier la diffusion des obsèques de Mandela à al Jazeera reviendrait à honorer l’apartheid

Português: Brasília - O presidente da África d...
Português: Brasília – O presidente da África do Sul, Nelson Mandela, é recebido na capital federal. (Photo credit: Wikipedia)
English: Nelson Mandela, former President of S...
English: Nelson Mandela, former President of South Africa (Photo credit: Wikipedia)
Al-Jazeera Tour
Al-Jazeera Tour (Photo credit: Sugar Cubes)

S’il se confirme qu’al Jazeera va avoir l’exclusivité de la retransmission des cérémonies funéraires de Mandela, autant la faire sponsoriser par le N.S. D. A.P. ou pour les nostalgiques afrikaners de l’apartheid.

Il est impensable que l’on puisse accorder un tel honneur à cette chaîne. Ce serait la pire offense faite à la mémoire de Nelson Mandela qui a tout l’air soit d’un intox soit d’une trahison de sa  volonté de Mandela.

Pour le salir et discrédit son combat  son combat contre l’apartheid, on pouvait mieux faire pour le disqualifier en le vidant vider de toute substance morale et politique. Associer son image post-mortem à al Jazeera reviendrait à honorer les partisans irréductibles de l’ignominie humaine et de la dhimmitude.

Buzz ou non, il est intolérable et inconcevable que l’on puisse laisser le soin à une chaîne qui fraie la chronique dans l’apologie du nazisme, du racisme, de l’esclavagisme, du terrorisme et de l’antisémitisme d’assurer la couverture mondiale d’un des moments les plus forts en terme de symbolique de l’histoire humaine.  .

Une chaîne où officiait al Qaradhaoui n’est pas même pas digne de figurer parmi les chaînes accréditées pour accomplir leur travail d’information, pouvait-elle avoir l’exclusivité mondiale d’un tel événement ?  Comme si les organisateurs voulaient se venger de Mandela pour son combat épique contre le mercantilisme et la vénalité si jamais cette rumeur s’avérait vraie.

Il n’en demeure pas moins qu’associer sa mémoire à la chaîne de propagande nazislamiste de l’Emirat du Qatar ce serait rendre hommage à l’apartheid social et ethnique. C’est faire fi des valeurs humanistes de Mandela en glorifiant l’Emirat héritier des afrikaners où les travailleurs immigrés sont soumis au régime de la kafala, dépendant de la seule volonté d’un sujet qatarien, dépourvus de leurs droits les plus élémentaires, sans protection sociale, victimes d’accidents de travail mortels, ostracisés, discriminés, connaissant des conditions de vie vexatoires, humiliantes et attentatoires à la dignité humaine. Cette chaîne toujours prompte à dénoncer à des fins propagandistes les injustices sociales dont sont victimes les populations des pays arabes dont elle veut la perte, n’a jamais balayé devant ses portes où les amas d’ordures ont atteint des niveaux tels qu’ils en empêchent l’accès.

A-t-elle un jour consacré le moindre flash info aux étrangers originaires d’Asie comme des pays prétendument frères qui sont enfermés  dans des enclos pour bétail, des véritables réserves indiennes  sans aucune liberté de circulation et accès aux centres commerciaux et aux plages qataries qui ne sont pas sans rappeler les homeland réservés aux noirs africains et que Nelson Mandela aurait été le premier à condamner s’il n’était pas au crépuscule de sa vie ?,

Honte éternelle sur tous ceux qui auraient l’idée pour quelle que raison que ce soit de faire d’al Jazeera la maîtresse d’œuvre télévisuelle des obsèques d’un des hommes les plus dignes et nobles que l’humanité ait jamais enfanté.

Si jamais, cela se produisait, ce ne serait pas un scandale mondial, ce serait la prosternation et le recueillement  du monde entier devant l’apartheid nazislamiste. La dépouille de Mandela ne doit pas servir d’alibi pour réhabiliter l’ancien régime de Prétoria..

Ennahdha qui se prenait pour l’A.N.C. de Mandela, qu’a-t-elle fait de la Tunisie de Bourguiba ?

English: Bateau ivre live Tours Français : Bat...
English: Bateau ivre live Tours Français : Bateau ivre live Tours (Photo credit: Wikipedia)

La secte-Etat d’Ennadha, tout droit sortie des hécatombes des musées des horreurs wahhabites, n’est qu’à l’entame de son processus de nahdhaouisation de la Tunisie.

Il ne passe pas un jour sans que la scène tunisienne, qui ressemble à cet univers grandeur nature de la Cité interdite  des offre l’avant goût du menu qu’elle concocte pour la Tunisie avec ses complices de la Troïka et cet opportuniste pathologique de Kamel Jendoubi qui fait de son mal chronique son fonds de commerce comme s’il n’avait riend’autre à faire valoir d’autre, inconnu du bataillon jusqu’au 14 janvier et devenu depuis un pantin nahdhaouiste. Avec cette organisation criminelle, félonne et terroriste, la Tunisie n’est pas au bout de son malheur de s’être laissée dépossédée naïvement des fruits de son combat victorieux pour la liberté, dignité et travail. Devenu depuis synonyme de corruption érigée en dogme religieux, inquisition, sectarisme, népotisme, fanatisme, antisémitisme, djihadisme, philopalestinisme, antipatriotisme,   pénuries d’eau et de médicaments, spéculation, pénuries alimentaires, mortalité infantile, endoctrinement religieux de la petite enfance, détournements de fonds, octroi de privilèges exorbitants, gabegie, favoritisme, insécurité, arbitraire, chômage galopant, hyper inflation à 2 chiffres en attendant son passage imminent à 3 chiffres dès la mise en circulation des nouveaux billets de banque à l’effigie de R. Ghannouchi. Une économie tunisienne, et Ennahdha  telle une ogresse insatiable s’engraisse à la déraison.
Un pays qui souffre de la défaillance de l’Etat, où toutes les institutions sont en panne.
Un pays qui part à la dérive, sale, crasseux, étouffant dans son vomi, asphyxié par les odeurs fétides et nauséabondes des montagnes d’ordures qui peuplent son paysage. Il est tel ce bateau ivre de Rimbaud  où tout est déréglé. Sans capitaine, ni direction précise, ballotté dans un océan où soufflent les vents des hurlants, mais émettant des sons comparables à ceux des prédateurs dépeçant leurs proies. Mais contrairement à celui de Rimbaud marquant la rupture entre deux mondes, celui de la Tunisie, il finira englouti sous les houles grises et effrayantes.
L’entrée infecte que vient de servir Ennhadha tel un maître d’hôtel d’un genre particulier, soucieux surtout de son palais que de celui de ses clients, est le prélude d’un passage d’un monde des libertés au monde des ténèbres dans lequel échouera inexorablement le bateau ivre tunisien.
En effet, près avoir organisé sa  mise en banqueroute frauduleuse du pays et l’avoir livré aux rapaces qatariens et aux faucons saoudiens, elle sera la maîtresse absolue du pays.
N’ayant pas le sens de la stratégie au vu de son déficit politique criard, son incompétence pathologique, confondant la gestion des affaires d’un pays avec celle d’une association cultuelle, elle se borne à propager les rumeurs les plus insensées et invraisemblables, telle la création de 550 000 emplois sans aucune indication précise quant à la nature desdits emplois, et expliquer comment l’économie tunisienne peut être capable de créer autant d’emplois en l’espace de 3 ans et les moyens mis en oeuvre pour y parvenir. Avec une économie à l’agonie, même pas en récession, elle se fait fort de créer le buzz. Plus le mensonge est gros plus il prend les allures de la vérité. Habile tacticienne, à défaut d’impulser un nouveau souffle au pays, et de muer les rêves en réalité, elle est plutôt dans un rôle de Jack l’éventreur tuant, massacrant, violant, vitriolant, créant une psychose de peur et de frayeur dans le pays. Fidèle à sa ligne de conduite terroriste, elle suscite émoi et inquiétudes dans les milieux financiers et économiques tunisiens et non politiques parce qu’ils brillent surtout soit par leur absence soit par leur silence de Cathédrale.
Ainsi, elle va organiser crapuleusement et irrationnellement  avec l’aide de l’homme qui ne regrette rien, la girouette notoire Chedly Ayari la mise sous sa coupe mafieuse du pays nommé pour la circonstance de faire tourner la planche à billets, ce qu’avait refusé de faire son prédécesseur Mohamed Kamel Nabli afin d’augmenter artificiellement la masse monétaire  source d’hyper inflation et de surendettements des ménages avec un risques inévitable d’explosion sociale.
Transformant le dinar tunisien en monnaie de singe sans aucune valeur fiduciaire. On peut parfaitement imaginer le prix de la baguette de pain passé à 1000 DT.
Une inflation à 1000% n’est absolument pas à exclure comme l’Allemagne sous la République de Weimar et l’Argentine 1975-1991 et bien d’autres exemples non moins significatifs sur la pression hyper inflationniste engendrée par la manipulation criminelle de la masse monétaire. Il est absolument indispensable que tant le F.M.I. que la Banque Mondiale émettent leur veto contre ce projet qui va provoquer un véritable Tsunami social, économique et financier en Tunisie nonobstant les dommages collatéraux sur les créanciers obligataires ou autres de la Tunisie. Outre l’immigration massive qui va déferler sur l’Europe. Les conséquences d’un tel projet aussi grave qu’irresponsable  sont multiples et incommensurables.
Profitant de l’apathie tunisienne  et de la torpeur estivale et ramadhanesque, Ennahdha diabolique et machiavélique, elle s’active à mettre en place un système de vase communicants qui consiste à charger la mule tunisienne de dettes vertigineuses, et en contrepartie, elle encaisse tous les emprunts garantis de comme par hasard par ses protecteurs qatariens et américains,
Ce ne sera pas le RCD-Etat, ce sera Ennahdha la maîtresse souveraine du pays, la secte-Etat.
Ennahdha ne fait plus mystère de ses intentions malveillantes et  déloyales pour la Tunisie comme  l’auto-octroi à ses militants-terroristes des compensations financières faramineuses, infondées, véritable crime économique. La pire des hérésies est qu’elle ose se comparer à l’A.N.C. dont le leader n’a rien demandé en guise de réparation à son peuple pour ses 27 ans de privation de liberté alors que le peuple lui-même était en proie à l’oppression du même système politique responsable de son bannissement. S’identifier à l’A.N.C; c’est oublier que Mandela avait fait du pardon sa seule devise politique. Réconcilier les sud-africains plutôt que de les diviser, contrairement à Ennahdha qui ne prospère que sur le terreau de la haine, de la vénalité et de la vengeance.
Rédigé juillet 2012

Et si le mandelisme n’était pas une nouvelle voie pour l’humanité ?

English: Nelson Mandela, former President of S...
English: Nelson Mandela, former President of South Africa (Photo credit: Wikipedia)
Nelson Mandela
Nelson Mandela (Photo credit: Festival Karsh Ottawa)

Le mandelisme nouvelle chance pour l’humanité ?Mandela doit nous enseigner à tous les vraies valeurs du pardon, de tolérance, d’oubli et réconciliation et avait su répondre présent au rendez-vous de l’histoire au moment où tout le monde croyait que l’Afrique du Sud allait sombrer dans le chaos et son peuple s’entretuer comme  des caïmans dans le même marigot.

Il avait eu l’intelligence, la lucidité et la clairvoyance de ne pas se laisser envahir par des ressentiments qui l’auraient éloigné de son humanité pour en faire des munitions pour étancher sa soif de vengeance et nourrir son animosité renvancharde.
Il est difficile de ne pas établir un parallèle entre un Mandela qui donne du sens au mot humain et ceux qui s’abritent derrière les paravents des idéologies pour souffler sur la braise de la désunion et de l’exclusion. Qu’ont fait justement  les autres hommes « libérateurs » de leur peuple ou artisans de l’indépendance de leur pays ? Il n’y a qu’à regarder l’exemple de l’Algérie pour comprendre pourquoi ce pays avait raté le train de l’histoire, plutôt que de réconcilier la grande famille plurielle algérienne, on a préféré l’amputer de plusieurs de  ses membres.  Que font les tunisiens depuis qu’ils ont cette illusion de liberté ?  Plutôt que de se rassembler et s’unir ils se divisent,  s’exècrent, se haïssent mutuellement, s’entretuent, se battent comme des chiffonniers, se dénoncent réciproquement, se divisent autour de la religion.
Le mandelisme est l’antidote aux maux des utopies religieuses et politique dont il est à l’antipode. Il est l’école par excellence de ce que l’humain doit être et non de ce que le système veut faire de lui. C’est l’homme à l’écoute de son propre cœur et guidé par sa raison humaine et son amour indéfectible de son prochain et non formaté et endoctriné à des fins idéologiques suprématistes et ethnocentriques. Le mandelisme n’est ni une nouvelle école de pensée, ni un courant humaniste, il est la vie dans son sens le plus pur et le plus noble. Ni querelles dogmatiques ni une course effréné du pouvoir, ni un concours d’ego, ni une négation de la vie elle-même, et encore moins tuer l’autre parce qu’il est différent de soi  ou parce qu’il doit payer pour l’offense qu’il nous a faite. Ce n’est pas tendre la joue à son ennemi, c’est lui tendre la main du cœur pour le réconcilier avec l’humanité qui est en lui mais que sa pensée corrompue par une éduction égocentrique et nombriliste et bourrée de préjugés et de complexes de supériorité lui fait oublier. Avec Mandela, le monde avait découvert enfin que l’humain doit d’abord être l’expression de son humanité et le cœur de la vie, et en aucun cas le fruit d’une culture qui avilit l’homme et le rabaisse, qui le déconnecte de sa propre humanité et lui inocule le virus du mépris de soi et de l’autre et de l’auto-suffisance narcissique.
Le mandelisme n’est pas non plus : prolétaires de tous les pays unissez-vous ou tuer les tous un par un jusqu’au dernier, il est tout le contraire de tout cela il porte en lui les ferments de la vie, du vivre ensemble, de l’humain avec l’humain ou non de l’exacerbation des rivalités entre les hommes. C »est une leçon de ce que soit être la vie des hommes et de l’absolue nécessité de se rassembler autour d’une seule et même bannière : l’humanité. Il n’y a ni couleur de eau, ni clivage gauche-droite, ni croyance, ni orientations sexuelles, ni origines sociales et ethniques, ni orientations sexuelles, ni homme ni femme, ni peuple élu ou communauté élevée au-dessus de toutes les autres, il est peut-être la chance de l’humanité. Mais faudrait-il qu’elle en ait conscience ?
On nepourra certainement jamais faire du mandelisme sans Mandela.

Avec Nelson Mandela, l’homme de l’oubli et du pardon, c’est le sourire de la vie qui s’en va

English: Nelson Mandela in Johannesburg, Gaute...
English: Nelson Mandela in Johannesburg, Gauteng, on 13 May 1998 (Photo credit: Wikipedia)
J’aimerais que le monde entier s’arrête aujourd’hui pour observer une minute de silence en hommage à l’homme qui n’avait que l’amour de l’humain dans son cœur et à l’âme aussi pure que ce doux visage qui transparaît la vie, irradié par le soleil d’Afrique.
Quel homme depuis que le monde est monde  à l’exception de son ami le Mahatma Ghandi a-t-il véritablement donné toute sa valeur au verbe pardonner qui plutôt que de semer les graines de la discorde et de la vengeance entre les hommes avait fait pousser en eux celles de la vie, de la concorde et de la fraternité humaine.
Transcender les frontières de l’incompréhension et du racisme pour apprendre aux hommes qu’il n’y a de sens de la vie que dans le respect mutuel et l’édification d’un socle commun à tous où tout un chacun y contribue à sa consolidation pour son bien et tous ses semblables.
L’Afrique du Sud aurait pu sombrer dans l’anarchie et le désordre mais grâce à lui elle a trouvé son salut dans l’unité et la concorde.
Ton ennemi d’hier qui ne devient pas forcément ton ami mais ton allié pour oeuvrer pour le bien commun de tous. Mandela est aussi l’homme qui ne guérit pas sa blessure en faisant du mal à celui qui lui a infligée. Mu de par sa volonté donner à chacun sa place dans une nouvelle nation juste, égalitaire et humaine. Ni blancs, ni noirs, ni métis, ni indiens, l’Afrique du Sud une terre pour tous et non une terre qui s’abreuve  du sang des uns contre les autres.
Que le sourire qui éclairait son doux visage soit à tout jamais le nôtre et celui de ceux qui voient en nous leurs ennemis et qui s’acharnent à vouloir nous ôter la vie parce que nous sommes pas des leurs. Mandela n’est pas l’homme qui avait réalisé l’impensable en rassemblant les ennemis d’hier derrière la bannière de la patrie sud-africaine, ni un grand qui s’en va, c’est un homme, un père, un ami qui nous laisse tous orphelins de lui. Il avait la vie en lui, nous n’avons qu’à faire comme lui : aimons-la aussi et l’humanité y gagnera

Moncef Marzouki de plus en plus délateur, traître et collabo nazislamiste et de moins en moins sain d’esprit

Le livre noir des années sombres de Moncef Marzougui n’est pas qu’un nouveau scandale à rajouter à son actif déjà trop lourd, il est un crime d’Etat.
En effet, les chefs d’accusation  ne manquent et sont suffisamment graves et étayés pour nécessiter des mesures conservatoires d’urgence à son encontre. Il est étonnant qu’il n’y ait à ce jour aucune diligence de faite pour ordonner l’arrêt immédiat de ce livre inquisitorial qui met en péril la vie des femmes et des hommes dont certains ont disparu depuis des années, ni aucune procédure d’ordonnée pour le destituer de ses fonctions quand bien même l’A.N.C. est une officine de godillots mais l’on doit pas faire l’économie de sa saisine ne serait-ce pour qu’il soit le premier président très provisoire qui a l’objet de la levée de ses immunités présidentielles pour sa mise à disposition de la justice. 
Cet homme vient de se rendre coupable des pires forfaitures commises par un président tunisien pendant l’exercice de ses fonctions. Ses crimes sont uniques dans l’anthologie criminelle des chefs d’Etat y compris dans les ex républiques-bananières. Un homme qui vit royalement aux frais d’un peuple appauvri et affamé qui plutôt que d’œuvrer pour le bien-être des siens et préserver son unité et sa souveraineté, joue au justicier pour désigner à la vindicte populaire des personnes auxquelles la justice tunisienne ne leur reproche rien en l’état actuel des choses.
Mais il sait que dans un Etat de non droit, il n’y a pas  pire que la justice du peuple qui a besoin de coupables tout désignés pour évacuer ses frustrations et exorciser son mal-être.
Ainsi, il croit s’en tirer à bon compte en se faisant passer pour le vengeur noir comme son âme tourmentée et son identité trouble pour une filiation difficile à porter. En tant que médecin, même s’il n’a pas brillé dans l’exercice de la médecine, il n’ignore pas qu’on est souvent rattrapé par l’histoire de son père, surtout quand elle est trouble et honteuse. En procédant de la sorte a-t-il peut-être voulu se racheter aux yeux des tunisiens trahis naguère par son propre-père.
Il semble toutefois oublier qu’on répare jamais une infamie par une autre. Aveuglé par sa frénésie du pouvoir, il a du mal à réaliser que le monde réel a ses lois et ses codes qui sanctionnent tous les outrecuidants et les transgresseurs. Enfermé dans sa bulle psycho-présidentielle et ses délires mégalo-mythomanes, il se prend pour Louis XVI. En étant en plus le peuple et Dieu à la fois. Il est lui-même la loi, la justice et l’ordonnateur. J’instruis, je juge et j’ordonne la mise à mort du coupable dont celui crime est celui sue j’ai choisi de lui imputer. Un peu comme avec l’affaire Dreyfus coupable d’être juif. Dans le contexte tunisien, coupable d’avoir collaboré avec Ben Ali dont il se garde paradoxalement de réclamer son extradition, de peur certainement que Ben Ali ne dévoile des pans secrets de sa propre inféodation à l’ancien régime que seul Mezri Haddad doit connaître la teneur.
  Cet homme qui ne doit pas mériter ce qualificatif tellement il a sali le genre masculin, est en deçà des exigences morales et une insulte à la raison humaine. Il a véritablement perdu le sens des réalités en étant pas conscient des conséquences pénales de ses actes et des risques encourus pour ceux dont les noms sont rendus publics comme s’ils avaient commis un crime de haute trahison et collaboration avec une puissance étrangère comme c’est son cas qui doit relever d’une Cour militaire spéciale pour violation des secrets d’Etat en faveur de son employeur l’Emirat bactérien du Qatar, qui doit en tout état de cause lui valoir d’être destitué sans mangement et mis aux arrêts.
Moncef Marzougui  peut se réjouir d’avoir rejoint les figures les plus sinistres de l’entre deux guerres en France qui sont passés de la gauche socialo-communiste et trotskyste ainsi des mouvements syndicaux et des associations  humanistes de défense antiracistes, anticoloniales et antisémites à la collaboration avec le régime de Vichy.
A lui tout seul il incarne toute l’histoire de la collaboration française. jacques Doriot et Marcel Cachin et Marcel Déat ont enfin trouvé en lui un homme qui leur fait de l’ombre pour occuper la première place des plus indignes personnages qui ont vendu leurs âmes au national-socialisme.
  Le leur fut le nazisme, le sien est le nazislamisme. Toujours la même histoire de l’infamie humaine et l’indignité nationale.

Appel à tous les tunisiens soit ils renoncent à leur faux islam, soit ils font allégeance au vrai islam d’Ennahdha

 
A partir de ce soir, je me fais désormais l’avocat farouche de l’islam d’Ennahdha pour que les tunisiens puissent prendre enfin conscience que leur islam est à des années-lumière des dogmes de l’islam dont mon amie Enahdha en est la digne représentante.
Sois ils la suivent, sois ils remettent en question leurs rapports à l’islam. Ennahdha est le coran grand ouvert. Le leur n’existe nulle part sauf dans leur mauvaise compréhension de l’islam. Celui qui met en doute l’islam d’Ennahdha qu’il me démontre en quoi ma nouvelle amie n’est pas musulmane et surtout qu’il fasse part de toutes ses observations  au Pape Qaradhaoui, la plus extraordinaire figure de l’islam depuis le prophète lui-même.
C’est grâce à elle que j’ai pu évaluer combien les tunisiens sont à côté de la plaque qu’ils n’ont fait que pratiquer un islam syncrétique. Une hérésie qu’ils payeront cher le jour où l’infini Allah leur demandera des comptes. Je ne voudrais pas être à leur place ce jour-là mais là c’est une autre histoire.
Je sais que grâce à ma défense de l’islam pur et authentique de ma noble et fidèle amie, je ne serai plus jamais répertorié comme étant le pire islamophobe que la terre musulmane n’ait jamais connu depuis Kamel Atatürk dixit leur fameux et dictionnaire de l’islamophobie.
Ce seront les musulmans tunisiens qui ont peur de reconnaître que leur islam est une offense impardonnable à l’islam du prophète qu’Allah le chérisse et agrée son nouveau compagnon Saint Morsched Ghannouchi  un homme bon et au cœur franc comme l’or qui orne la dentition de sa sainte épouse. PS Interdit à tous ceux qui lisent au premier degré

Ce n’est ni le Dr Mezri Haddad ni le Dr Salem Ben Ammmar qui vont tomber dans le piège de la discorde de cet imposteur

Salem Ben Ammar

 

 J’ignore qui est ce lâche, cet imposteur et usurpateur, cet être infâme et cafard qui se fait passer  pour Salem Ben Ammar pour s’attaquer à Mezri Haddad sur Business News, un site où je ne vais jamais surtout que je n’ai pas besoin de commenter les articles des uns et des autres pour leur dire ma façon de penser.  

Je mets toujours en article tout ce que j’ai à dire et je n’ai jamais attaqué nommément les personnes et quand je l’ai fait je l’ai fait sous ma propre identité. Je n’ai pas besoin de pseudo pour dénoncer les crimes de haute trahison de Marzougui et Jendoubi par exemple comme peut en témoigner Mezri Haddad lui-même. Ce n’est pas sur un homme étranger aux tourments actuels de la Tunisie sur qui je vais tirer à boulets rouges. 
 
  Ma préoccupation majeure n’est pas Mezri Haddad surtout qu’il n’y a absolument…

Voir l’article original 459 mots de plus

La convergence idéologique entre l’islamisme, l’islam orignel, et le nazisme

Les islamistes n’ont qu’un but : bâtir une cité idéale musulmane, une sorte de Reich musulman, dédiée exclusivement aux seuls hommes qu’Allah a élevés au-dessus de tous les autres, ceux qui ne sont pas en odeur de sainteté avec lui, jugés impies et indignes de côtoyer ses hommes purs et parfaits.  Il n’y a de place ainsi que pour les musulmans qui sont les seuls à pouvoir bénéficier du statut de « d’élu » musulman qui est en réalité un statut d’esclave et exit tous les autres.  Adolf Hitler l’avait fait avec les lois raciales de Nuremberg de 1935, en voulant éliminer de sa cité ceux qui n’ont pas  le « sang » aryen dans les veines, les islamistes forts des prescrits du coran nationalité sont obnubilés par la même idée, exclure de leur cité tous ceux qui risquent de contaminer les favoris d’Allah. Haro sur ceux qu’ils désignent par extension de juifs qui sont  incontestablement tous ceux qui n’ont pas le caractère musulman tels que les Coptes, les démocrates, les athées, les progressistes, les juifs eux-mêmes, les chrétiens, les musulmans égarés, les humanistes, les homosexuels et les laïques…  Tous les humains qu’Allah voue aux feux de la Géhenne.

Est-ce un hasard si les qoutbistes tunisiens assimilent la laïcité à une idéologie au point qu’ils en fait leur thème de campagne : la Tunisie est musulmane et non laïque. un slogan lourd de sens et annonciateur d’un avenir sombre pour tous ceux qui n adhèrent pas à leur idéologie. La meilleure illustration de cette collusion entre les deux mouvements génocidaires obsédés par la haine de l’autre et surtout du juif et non pas du sioniste en était le Grand  Mufti de Jérusalem Fayçal al Hussein promu chef de division SS et divulgateur du message propagandiste nazi dans le monde musulman en 1939-45 et éminent membre de la Confrérie. Cet homme incarne à lui tout seul les liens fusionnels qui existent entre les deux idéologies. Il est permis de penser qu’en chaque islamiste il y a un nazi en puissance obsédé par la purification de sa foi de toutes les scories et influences extérieures qui dans leurs esprits renvoient aux juifs au demeurant l’éternel comploteur et croque-mitaine que le Coran voue du reste à la Géhenne. Croire que les islamistes sont en train de faire leur mutation démocratique c’est une grave erreur et une hérésie politique. Les islamistes, jusqu’à preuve formelle du contraire, n’ont guère renoncé à leurs fonds de commerce idéologique  et leur bellicisme officiellement et  exprimer sans ambiguïté leurs profonds attachements aux valeurs universelles du respect total et absolu du juif, en l’occurrence celui qui est différent d eux. Ils sont dans la voie de conquête du pouvoir qu’ils considèrent comme étant leurs biens propres, leur butin tant convoité et pour lequel ils s’étaient battus quand bien même en ayant recours à la terreur qui n’est aucun cas répréhensible ni condamnable car elle a été accomplie dans le sentier d’Allah.

Par conséquent la voie démocratique doit les rétablir dans leur droit et les reconnaître comme étant les seuls et vrais propriétaires légitimes de cette terre qui ne doit être soumises qu’aux seules lois d’Allah au nom duquel ils doivent gouvernent  Ce qu’ils n’ont pas pu obtenir par la violence, ils l’obtiennent par les urnes sont dans lesquels ont été déposés les cendres de la démocratie. Ces élections servent ainsi à réparer le préjudice subi et leur rendre leur propriété dont ils ont été spoliée.

Le processus démocratique mis ainsi en oeuvre est jugée comme une ordalie dont ils doivent sortir les vainqueurs pour remédier à cette injustice dont ils furent les victimes et qui leur a valu la privation de la liberté et l’exil. Des martyrs de l’injustice humaine qui voient dans ce processus une aubaine pour leur intronisation de Califes amenés à régner en tant qu’ayants droits légitimes d’Allah sur la cité pour lui servir de guide et de berger du genre canin et féroce plutôt. Une guidance qui s’inscrit dans le strict cadre tracé par le Coran qui prohibe l’ existence au sein de cette cité d autres voies non marquées par le sceau du Coran.

Qui s’oppose à eux s’oppose à la volonté de Celui qui les a investis de pouvoir messianique et commet par conséquent un sacrilège punissable de la double peine : la mort et l’enfer. Malheur à ceux qui veulent soustraire la cité musulmane du pouvoir de celui qui l’a créée. En jouant le jeu de la démocratie,qui est une hérésie pour eux, c’est un mal pour un bien. Un passage obligé pour atteindre leur objectif suprême, le pouvoir exercé au nom du Souverain unique de la vie sur terre et dans l’au-delà. La fin justifie les moyens, gagner la partie à n’importe quel prix en usant des moyens les plus illicites et déloyaux afin de faire triompher l’idéal musulman dans un premier temps et étouffer les velléités d’émancipation politiques des musulmans qui veulent s’affranchir de la main mise de la religion sur leur vie.

Il est utopique et illusoire de les imaginer contribuer à l’éclosion d’une nouvelle voie politique dans leurs pays d’origine avec des risques évidents de mettre à mal leur propre pouvoir. La démocratie est un instrument parmi tant d’autres, une arme dont ils se serviront pour achever leurs rivaux politiques. Elle doit cesser d’exister  au profit de la seule voie voulue par Dieu et son Prophète pour les musulmans qui doivent se plier à sa seule volonté tels des esclaves obéissants à leurs maîtres. Hitler a banni la démocratie au nom de la pureté du sang aryen, les islamistes ne manqueront pas de faire au nom de pureté originelle la foi islamique.  Mais avec une différence de taille entre les deux, le nazisme veut soumettre le monde à ses pieds, tandis que l’islam veut faire de l’état d’esclave un état commun pour toute l’humanité.

La tentative de greffe  démocratique aura  certainement vécu dans les pays du Croissant arabisé dont l’Occident  pour des raisons inavouées avait voulu faire un laboratoire de la démocratie soluble dans l’islam tout en sachant sachant pertinemment que c’est une imposture et un mirage comme si l’on voulait concilier hitlérisme et humanisme. Ironie de l’histoire, il leur a donné une caution politique fortement teintée de social-démocratie en mettant aux avants-postes des hommes de peu d’envergure et pseudos modérés à l’instar de l’exemple tunisien pour  servir de faire-valoir aux islamistes.

Ils ont pour mission d’assurer sa promotion comme un banal produit commercial pour inciter la population tunisienne à s’en porter acquéreuse et occulter par la même occasion leur lourd passé terroriste semblable à celui des nazis avant leur victoire en 1934.

Tous ces hommes  se sont découverts de honte et de déshonneur. Il n’y a que les êtres serviles, les lâches, les capitulards, les opportunistes, les vénaux, les collabos et les corrompus façon Kamel Jendoubi, Mustapha Ben Jaâfar et le délateur pathologique Moncef Marzougui  pour prêter main forte à la revalorisation  scandaleuse et insultante pour la mémoire des victimes du terrorisme islamiste en Tunisie dans les années 80 et début 90;

C’est plus qu’une utopie c’est un crime de croire que les islamistes vont abandonner leur armature djihadiste pour se muer en des démocrates convaincus et sincères. Il n’y a qu’une seule feuille de route qu’ils doivent suivre et imposer à tout le monde, c’est celle que leur a fixée le prophète : islamiser la terre toute entière et punir tous les récalcitrants à son message que le coran recommande leur extermination.

La Shoah pour tous les non-musulmans ! Des sombres perspectives, en effet, qui se profilent à l’horizon, pires que celle qu’a connu le peuple juif et les minorités qui n’avaient pas les faveurs du nazisme