Les peuples du Croissant arabisé avaient cru s’affranchir de la tutelle de la mafia humaine mais à leur grand désarroi et immense déception ils sont tombés sous l’emprise de la mafia d’Allah de la pire espèce qui leur promet le paradis en leur faisant vivre l’enfer sur terre.
Avant leurs pseudos révolutions ils aspiraient à la liberté, justice, égalité, parité, émancipation et travail, aujourd’hui ils n’ont dans leur bouche qu’Allah, l’islam, notre Seigneur Moahamed, djihad, oumma, califat, Palestine, hijab, Allah et le seigneur Mahomet.
D’aspirants-citoyens ils sont devenus des fidèles musulmans fiers de renouer avec les valeurs fondamentales de l’islam, celles de la haine de soi et de l’autre, de l’ultra-violence, du djihad, du fanatisme, de l’intolérance, de la déraison, de la passion hystérique, des moeurs cruelles et perverses, de l’amoralité, de la négation de la vie humaine…. Faute de leur avoir permis d’humaniser leur vie et de pacifier leurs caractères, ces révolutions ont servi de désinhibiteurs à leurs pulsions sexuelles bestiales et leurs penchants pédophiles et morbides. Ils sont tels des fauves lâchés dans l’arêne impatients de régler leurs différends théologico-idéologiques qui les oppose dès le lendemain du décès de Mahomet. Tout heureux de se tuer à mort entre eux, se dépeçant et se décapitant sous le regard bienveillant de l’Occident et la complicité active de la Turquie, l’Emirat-voyou du Qatar et le Royaume du Mal l’Arabie Saoudite.
Eux qui rêvaient de régner sur le toit doute ils sont comblés au-delà de leurs espérances. Ils ont pulvérisé tous les records en matière de performances terroristes. Responsables de plus de 99% des attentats terroristes au cours de ces quatre dernières années. Des centaines de milliers de morts et de blessés en Syrie, Egypte, Libye, Mali, Pakistan, Afghanistan Irak et Tunisie.
En voulant faire renaître l’islam de ses cendres ils sont entrain de réduire leur propre vie en cendres avec des dommages collatéraux de temps à autre aux populations civiles occidentales.
Ces pseudos révolutions ont toutefois le mérite de les faire reconnecter avec l’islam des origines dans son intégralité et son authenticité qualifié d’intégriste en opposition au moderniste et réformiste. Or, l’islam lui-même est de nature conservatrice, immobiliste, immuable et figiste.
Etre musulman est d’abord refuser les tentations de changement et d’innovation et appliquer fidèlement la sunna de Mahomet et le Coran . L’islam a été créé pour statufier et scléroser la vie humaine et arrêter les aiguilles de l’horloge du temps au VII e siècle dans lequel baignaient Mahomet et ses acolytes où prédominaient les conflits larvés intertribaux, la pédophilie, le pillage, les razzias, leviol des femmes captives, le butin, la destruction des vestiges archéologiques, la purification et l’intolérance religieuses, les crimes de guerre et contre l’humanité, l’esclavage, la zoophilie, la nécrophilie, les assassinats des poètes.
Un retour toutes voiles au vent de sirocco sur le monde des ténèbres que les salafistes appellent celui de nos pieux aïeux, salaf salah.
Des peuples en butte au despotisme de droit humain sont désormais pris dans les mailles du filet du celui de la théocratie islamique. Rarement ils n’ont connu une telle ivresse de violence, de racisme, de sexisme et d’antisémitisme qui ne saurait déplaire à Mahomet lui-même, leur guide, modèle et seigneur.
Peu importe le calice plutôt l’anarchie et le chaos tant que l’on peut assouvir ses bas instincts. Si Mahomet avait atteint les sommets de la perversion et la transgression morale il est permis de tout faire tant que c’est conforme à sa sira. Aucune loi humaine ne peut leur être opposable il n’y a de loi que celle d’Allah. Violer n’est pas un crime puisque Mahomet lui-même l’avait fait. Abuser sexuellement d’une fillette de 6 ans est permis Mahomet l’avait pratiqué sur Aïcha.
Dans le cas de la Tunisie, on est passé du stade d’un pays ébloui par la lumière de la vie et du bien-vivre ensemble au stade pays de l’obscurité humaine, de l’intolérance, du fanatisme religieux, du charlatanisme, de l’archaïsme, et du monde des ténèbres.
D’une terre de civilisation la Tunisie est devenue une terre inhospitalière, une jungle sauvage, un asile psychiatrique à ciel ouvert, un théâtre d’ombres chinoises.
D’un pays de la vie, la Tunisie s’est muée en pays du culte de la mort.
Tout laisse à penser que cette vision fidèle de l’slam tel qu’il doit être ultra-violent et ultra- réactionnaire qui suscite pourtant des peurs et des angoisses légitimes chez la majorité des citoyens n’est pas contraire au Coran lui-même qui exhorte les disciples de recourir aux actes les plus répréhensibles.
Ainsi, tout adorateur d’Allah qui juge que sa foi est offensée et bafouée est en droit selon le Coran de tuer l’ offenseur et de laver l’honneur de sa religion et comme leur dit Mahomet, mon ennemi est votre ennemi et seul sa mort peut apaiser ma colère. Faire couler le sang du mécréant devient de la sorte un acte purificateur qui vaut à celui qui le commet les bienfaits du paradis.
En toute évidence les islamistes ne sont en aucun cas les enfants damnés d Allah, ils en sont les enfants chéris qui auront sa grâce éternelle. Ils sont porteurs d une mission d ordre divin,en violation flagrante par ailleurs de l ordre républicain, pour protéger sa parole et instaurer son hégémonsime aux quatre coins de la terre.
Dans ce contexte, condamner les islamistes- qui ne font en réalité qu’appliquer les recommandations du Coran- pour actes de troubles à l’ordre public, menaces de mort ou atteintes aux biens et aux personnes reviendrait à condamner Allah lui-même.
Il est somme toute logique qu’il le soit dans la mesure ou’ il en est le maître et le commanditaire. Mais aucun pouvoir judiciaire ou politique dans les pays musulmans ne sauraient commettre une tel sacrilège sans provoquer le courroux de sa majorité musulmane. Ce qui vaut effectivement aux islamistes de bénéficier d’une sorte de blanc seing pour leurs actions criminelles du fait de leur statut de combattants dans le sentier d’Allah.
Ils deviennent juridiquement intouchables comme les Mollahs en Iran ou les nahdhaouistes en Tunisie dont leur triste et nazillon gourou s’est affublé du titre de Habib Allah. Le chéri d Allah.
Au vu des idées liberticides et scélérates qu’ils diffusent au sein des populations musulmanes ainsi qu’au regard de leurs comportements transgressifs, agressifs et violents, les islamistes sont en conformité avec les lois divines ce qui leur fait croire qu’ils jouissent d’immunités civiles et pénales, car les lois humaines sont jugées imparfaites pour être respectées. Vous imaginez le jour où les codes juridiques d’essence humaine seront déclarés non-conformes aux lois de l’islam et que leur application constituerait une atteinte au sacré, nous aurons inéluctablement le règne de la barbarie, de l’arbitraire et de la justice expéditive comme en Arabie Saoudite, l’Iran, l’Afghanistan, la Somalie ou le Soudan, où l’on condamne à mort la liberté de conscience et l’on innocente les violeurs et les djihado-terroristes qui ont fauché des vies humaines au nom d’Allah Akbar, cette divinité jamais repue de sacrifices humains.
En conclusion , l’islamisme n’est pas seulement un ver venimeux dans le fruit humain voire un virus létal pour l’humanité, mais il est également une négation de l’Etat de droit et de l’Etat-nation. Un monde sans frontières soumis à la seule loi de l’islam. Il proclame la suprématie de la foi sur le droit.