Mahomet, le Coran et la femme

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Il est écrit dans le Coran: «Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. » (sourate, 4 : verset, 34). On ne peut pas être plus clair.

L’égalité entre les sexes est une vue de l’esprit dans l’islam, une hérésie, un acte mouaharrem (Coran, 4 : 58).

Aura menti sur l’Islam celui qui dira : l’Islam est la religion de l’égalité, car il est plutôt la religion de l’équité qui réunit les parties égales et distingue les parties différentes.

En faire une loi sociétale revient à réformer le Coran lui-même et remettre en cause la parole prétendument incréée d’Allah lui-même, ce qui est mission impossible.

De toute évidence, la femme doit se résigner au statut que le Coran lui a octroyé, surtout qu’elle n’est pas censée raisonner, réfléchir et encore moins posséder les vertus morales et intellectuelles dont sont pourvues les hommes. Elle doit rester dans le fond de la classe musulmane.

Les paroles hyper machistes, ultra-violentes, attentatoires à la dignité humaine, et méprisantes de Mahomet sur les femmes donnent froid dans le dos et dont la finalité est d’étouffer les velléités de liberté chez la femme tout en renforçant les mécanismes de pouvoir absolu de l’homme auquel elle est tenue d’obéir et de répondre à toutes ses demandes en toutes circonstances si elle veut gagner la voie du paradis : « Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !>> sourate, 4, verset, 34

L’islam est la tombe des droits de la femme. Nous en avons ici quelques échantillons, extraits des hadiths d’Al Imène Salah Boukhari :

« Le témoignage d’une femme ne vaut-il pas la moitié de celui d’un homme ? » Elles répondirent :« Oui ». Il leur dit : « C’est en raison de la déficience intellectuelle de la femme. »
(Vol. 3:826)

S’adressant à d’autres femmes, il leur dit :« Je n’ai vu personne aussi dépourvu que vous d’intelligence et de religion.»
(Vol. 2:541)

Mahomet a dit : « J’ai vu l’enfer peuplé surtout de femmes. »
(Vol. 1:28.301; 2:161; 7:124)

Son hostilité légendaire pour les femmes est sans limite : « La femme, la maison et le cheval sont de mauvais augure. »
(Vol. 7:30)

Abhorrant les femmes comme si elles étaient la peste personnifiée : « Je n’ai laissé après moi aucune calamité plus préjudiciable aux hommes que les femmes. »
(Vol. 7:33)

Aucune chance pour elles d’être épargnées par ses sentences ignominieuses : « Ne portez pas de fausses chevelures car Allah envoie Sa malédiction sur les femmes qui font allonger leurs cheveux par des moyens artificiels. »
(Vol 7:133)

Son cousin Ali n’y était pas allé de main morte non plus : « Toute la femme est maléfique et le pire, c’est que c’est un mal nécessaire. »

Cela sous-entend clairement qu’un déficient mental musulman est supérieur à la plus intelligente des femmes.

L’islam lie sexe et maturité intellectuelle. Pour lui, un majeur incapable de sexe masculin devient majeur responsable, et la plus responsable des femmes est jugée comme une éternelle mineure, qui doit être placée sous la tutelle même du dernier des musulmans. Quoi qu’elle fasse, quel que soit le degré de son intelligence, la femme est la dernière roue de la charrette. Elle est un humain entièrement à part, un champ de labour où l’homme peut y aller quand bon lui semble pour y satisfaire ses besoins sexuels : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme (et quand) vous le voulez et oeuvrez pour vous-même à l’avance. craignez Allah et sachez que vous le rencontrerez.Et fait gracieuse annonces aux croyants ! »  sourate 2, verset 223.

Et les organisations féministes sont devenues muettes comme une carpe

Comme le Coran est un livre sans auteur, les paroles de ce torchon doivent être attribuées en toute logique au pseudo messager Mahomet qui fait dire, en effet, à Allah ce qu’il voulait bien lui faire dire sans en fournir la moindre preuve et pour régler en premier lieu ses comptes avec les femmes et les juifs, sa hantise obsessionnelle.

Il n’est pas exagéré d’affirmer qu’en l’absence de preuves imparables, c’est Mahomet lui-même qui est l’auteur de ce brûlot infect.

Beaucoup de traits de sa personnalité apparaissent en filigrane dans le Coran, notamment ses rapports aux femmes, aux juifs, au pouvoir, sa mégalomanie, son tempérament haineux et colérique, son avidité du gain, son ingratitude, ses excès de violence, son nombrilisme, sa misogynie, son allergie maladive au débat contradictoire et au dialogue, son aversion du beau, sa jalousie, son déni de la réalité son racisme, etc.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

 

4 réflexions sur « Mahomet, le Coran et la femme »

  1. J’ai lu Fatima Mernessi et je n’ai pas trouvé chez elle ce que vous racontez sur le Prophète. Assia Djebbar dans Loin de Médine, nous montre un homme avec ses faiblesses, pas aussi parfait qu’on aurait pu l’imaginer, mais pas une trace de misogynie ou de haine de la femme. Pour quelqu’un qui hait, autant que vous le dites, les femmes, il a dû se faire violence pour en épouser 13..

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