Les djihadistes sont les meilleurs élèves de la classe musulmane

Pourquoi de tous les systèmes de croyance, le seul qui engendre le plus grand nombre des sociopathes, des primates une sorte d’islamopithèques et des bombes humaines est l’islam ?

Ni le judaïsme, ni le christianisme, ni les Témoins de Jéhovah, ou les Evangélistes, ne font faire naître chez leurs fidèles même les plus fondamentalistes des vocations nihilistes, suicidaires, négatrices de la vie, ultra-violentes, comme dans la religion musulmane.

Ceci étant, je me demande pourquoi les musulmans qui lisent le Coran n’empruntent pas la voie du djihad et ne deviennent pas des exterminateurs comme certains de leurs coreligionnaires.

La lecture du Coran produit-elle des effets plus dangereux, altérants et nocifs chez les uns plus que les autres ?

Est-ce à dire que le Coran ne peut pas être laissé entre les mains de tous les musulmans à cause des ravages qu’il peut provoquer chez certains ? Et s’ils lisaient la Thora ou le Nouveau Testament ?

Il est difficile de nier l’inexistence d’une corrélation entre la lecture du Coran et le basculement de certains musulmans dans la barbarie et les crimes contre l’humanité.

Pourtant, les musulmans sont les premières victimes de la terreur djihadiste, alors qu’ils s’abreuvent tous aux mêmes sources, sont tous censés avoir capté le même message doctrinaire, professent tous la même foi en Allah et Mahomet et observent tous les mêmes obligations cultuelles.

Mais ils ne présenteraient pas tous pour autant une menace, ni pour leur vie ni pour l’humanité, et leurs pauvres, leurs voyous et leurs marginaux ne sont pas non plus tous des bombes humaines potentielles, il n’empêche que ce sont les leurs, rien que les leurs, y compris les convertis de plus en plus nombreux, qui font peser le plus grave péril à l’humanité depuis le nazisme et ça devrait justement les interpeller, mais un musulman qui se questionne cesse de l’être et devient un apostat.

Si la majorité des musulmans semblent immunisés contre le virus djihadiste et encore à force de se frotter le front contre le tapis de prière, tous ne peuvent pas en dire autant et laissent supposer qu’il existe des sujets plus prédisposés que d’autres à la contamination virale djihadiste. Comme s’il s’agissait d’un déficit immunitaire spécifique à certains musulmans.

A moins qu’il ne s’agisse d’un profil psychologique type qu’on ne rencontre que parmi les adorateurs d’Allah et de son alter ego Mahomet ou l’inverse, car dans leur panthéon on ne ne sait qui est plus dieu que l’autre et au regard de leurs douleurs légendaires pour des caricatures inoffensives, ce serait Mahomet leur vrai Allah est juste un avatar pour donner une légitimité mystico- psychédélique à son message fruit de ses crises neurologiques. Cette ambiguïté serait à l’origine cet état de confusion mentale qui les caractérise et un facteur de développement d’une certaine forme de schizophrénie chez eux.

On peut croire que les musulmans ne sont pas tous perméables à l’utopie djihadiste, mais rien ne prouve qu’il y a une frontière étanche entre les musulmans atteints du virus psycho-idéolgico-neurologique du djihad et ceux qui en seraient immunisés. Si tel n’est pas le cas, c’est à eux et à eux seuls de nettoyer leurs écuries d’Augias et d’aider leurs coreligionnaires séduits par les chants des sirènes coraniques, terreau fertile au djihad, de sortir du guêpier du djihad dont ils ne sont pas eux-mêmes à l’abri.

Le danger vient du Coran lui-même. C’est aux musulmans de prendre leurs responsabilités et d’en assumer les conséquences.

Soit ils éradiquent la violence en leur sein, soit ils sont complices.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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