« Je n’ai laissé derrière moi une cause de tentation plus funeste aux hommes que les femmes. » Chères musulmanes voilées ou pas et quoi que vous fassiez vous restez une calamité pour votre Mahomet. « Je n’ai pas vu une femme au paradis elles peuplent l’enfer comme les rats dans leurs tanières. » Des propos qui doivent lui valoir mépris et une bonne corde s’il était de ce monde et vous le vénèrez comme si vous étiez dépourvues de discernement ou plutôt de « foi et de raison »
De peur de vous voir égarées dans le mauvais chemin il vous a mis sous la tutelle éternelle de vos hommes qui ont autorité sur vous et auxquels vous devez obéir au doigt et à l’oeil si vous voulez être parmi les 72 femmes de joie qui lui sont promises au grand bordel du Fardaouss.
Il ne vous suffit de remplir votre devoir cultuel vous avez l’obligation de préserver votre chasteté et de n’être que sa petite chose malléable à souhait si vous ne voulez pas cramer en enfer. Et si par malheur il vous vient à l’idée de ne pas céder à ses assauts virils vous aurez tous les anges maléfiques pour vous lapider toute la nuit.
Comment les anges peuvent-ils être des figures supposés être doux comme des agneaux pouvaient être dans votre théologie des bourreaux ?
Il est prescrit au musulman de corriger la femme désobéissante et rebelle et vous-memes vous semblez vous en accommoder parfaitement sans rechigner en donnant l’impression que vous en éprouvez une certaine jouissance organique.
Encore un mystère impénétrable comme un musulman qui laboure son champ aux dimensions du corps d’une femme.
Salem Ben Ammar 
Les maîtres à penser de mohamed, illettré comme on sait, mais cruel et pervers, les rédacteurs de sa bible coranique se sont inspirés de Saül de Tarse, cet avorton anti sémite à qui les cathos doivent, encore aujourd’hui, de n’avoir aucune femme dans la hiérarchie cléricale séculière.
L’avorton Saül avait une « sainte » horreur des femmes, qui devaient le lui rendre, eu égard à son aspect physique. N’ayant pas à son service la horde de tueurs dont s’était entouré mohamed pour asservir les femmes -et les fillettes- qu’il a violées et abusées, Saül a fait « pénitence » malgré lui, en stipendiant les Femmes qu’il n’a jamais pu approcher.
La fable « Le renard et les raisins », en somme.
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Je me sens dans la nécessité de me demander pourquoi un « prophète » ait pu avoir un tel mépris à l’égard des femmes en général :
Si l’on se rapporte à son union, son épouse première était une personne assez riche, une puissante commerçante. Elle a assuré sa protection jusqu’à sa mort. Elle l’a laissé dans sa quête « de spiritualité », disons plutôt son rêve mégalomaniaque de produire une religion qui lui permettrait de satisfaire son besoin de dominer, et surtout d’exprimer l’immensité de son agressivité animale (sinon, il n’aurait pas tué autant, il n’aurait pas abusé des enfants et…)
il a donc dû « accepté » sans doute avec amertume, que son épouse ait une position sociale « dominante ». Ce qui est un comble pour un misogyne notoire.
Maintenant, il a eu d’autres épouses qu’il a consommées quand elles étaient très jeunes et dont il s’est approprié leur personne, brutalement, selon les circonstances. IL n’était pas question de leur faire la cour ou de les séduire doucement. C’était parfois des rescapées de « ses terribles guerres ».
Toutes ces femmes ont dû être dans l’obligation de vivre ensemble ou de se côtoyer, quand-même. J’imagine qu’elles n’ont pas dû s’aimer à la première entrevue. Qu’elles ont dû avoir des conflits qui ont dû lasser, fatiguer, fâcher…… LE MAITRE.
Je dis cela,,parce que je me suis trouvée par hasard, un jour, dans l’obligation d’écouter un polygame se plaindre de la mésentente de ses épouses entre elles et de me dire qu’il commençait à perdre confiance en elles ». C’est tout juste s’il ne me demandait pas de le consoler de ce fardeau. J’ai pensé que cela pouvait être le cas de nombreux polygames. Je crois ne pas me tromper en disant cela.
En ce qui concerne le prophète, il est possible que ses épouses aient pu ensuite devenir « raisonnables » et savoir qu’elles ne pouvaient rien ôser face à ce GENRE DE MAITRE, qui les possédait, les gouvernait et n’avait guère de respect pour elles, seulement si elles faisaient preuve d’obéissance .
ET PETIT A PETIT NE DEVAIT POUVOIR S’IMPOSER QU’UN CERTAIN MEPRIS A L’EGARD DE CE MAITRE mépris qui devait s’insinuer lentement mais sûrement. MEME DANS LE NON DIT QUI EST PLUS MORTIFERE.
Face à ces deux scénarios possible,nN’importe quel humain saurait déceler qu’il n’est pas le bien aimé dans le coeur de ses femmes, d’autant que, sauf pour Kadidja, les autres ont été conquises de manière « douteuse, honteuse, inhumaine ».
Après ses propres expériences avec un « monde féminin » qu’il a maltraité, comment Mahomet aurait-il pu se sentir aimé? En plus ne portait-il pas la marque d’un orphelin, donc très tôt écarté de la protection maternelle.
Après toutes ces constatations-suppositions, on peut dire que sa haine des femmes ,de son vécu d’enfant et ensuite d’adulte polygame aient un lien , mais il est IMPARDONNABLE que sa mégalomanie l’ait amené à créer une religion dont il a fait son instrument de pouvoir, de domination terrible sur les hommes,l d’abord, les femmes et de nombreuses nations ensuite..
IL Y A EU DES ENFANTS MALHEUREUX SUR CETTE TERRE, mais TOUT LE MONDE DE DEVIENT PAS « L’ANGE » EXTERMINATEUR..
Mais en ce qui concerne ces « exterminateurs », ils ne peuvent obtenir quelque succès que ce soit, sans rencontrer d’autres individus qui se reconnaîtront en lui et qui aimeront ses projets de conquête par la terreur. Parce qu’ils trouvent là une « chance » pour eux de satisfaire des pulsions inhumaines. Mais aussi comme « le maître », le goût du pouvoir et de la domination sur tout être.
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