Être musulman c’est avouer sa haine pour l’humanité qui n’est pas la sienne

Iraq Violence Trends

Pourquoi la non-violence est-elle un sacrilège dans l’islam ?
Je souffre pour tous ces morts au quotidien qui ont le malheur de vivre parmi des fous qui jouissent d’une véritable impunité juridico-theologique.

Je suis contre l’islam comme je dois l’être contre le nazisme et tout système de pensée socio-politique totalitaire et liberticide.
Je n’ai pas à avoir de la compassion et de l’empathie pour des humains qui n’ont que haine pour leurs semblables.
Je ne suis pas masochiste pour plaider la cause des individus qui seront demain mes bourreaux. Ils sont peut-etre les premières victimes de la folie meurtrière de leur propre utopie idéologique mais ils ne font que récolter le vent de la mort qu’ils sèment dans la voie de leur divinité sanguinaire.
Être musulman c’est comme si un agent de la Gestapo était fier de son brassard nazi.
 Je suis un islamo-sceptique  qui refuse de dissocier l’islam de la violence et qui ne supporte pas de voir que l’on tue des êtres humains au nom d’Allah Akbar.
Il est de mon droit d’exprimer ma defiance et méfiance pour un culte aussi demoniaque que morbide qui exalte sanctifie la violence et récompense les meurtriers.
Je m’étais demandé un jour si le coran et les hadiths condamnaient explicitement la violence est-ce qu’il y aurait autant de sauvagerie et tuerie  chez les  musulmans ?
Rien qui peut plaider en faveur de la non-violence dans les sources « sacrées » auxquelles s’abreuvent les musulmans. Tout se passe comme si la violence leur sert d’élixir pour exciter leur ardeurs meurtrières.
Quand on se veut une religion de paix, on doit amputer le coran de tous les versets qui incitent au meurtre de  son prochain et  abolir tous les hadiths, ne serait-ce de par leur caractère apocryphe, qui font l’apologie de  la haine de l’autre et du crime sacralisé.
On ne peut que croire que la violence est la seconde nature de l’islam comme en témoigne le silence pesant des doctes de la foi musulmane. Rien qu’en France qui a entendu un jour le Recteur Dalil Boubakeur, cette icône médiatique ou plutôt pathétique de l’islam modéré,  lancer un appel solennel de principe à ses coreligionnaires en Irak, en Afghanistan ou en Syrie pour l’arrêt  de la spirale sans fin de la violence qui frappe pourtant en premier lieu les musulmans eux-mêmes ?
A-t-il lui-même organisé une journée de jeûne et de prière pour dire stop à la violence et rendre hommage à la mémoire de toutes ces victimes innocentes qui ne demandaient qu’à jouir de la vie ?
Tout donne à penser que si aucune autorité religieuse sunnite  digne de ce nom n’ jamais condamné publiquement  tous ces massacres devenus le lot quotidien des musulmans vivant dans les pays de la culture dogmatique de la mort, c’est parce qu’elle ne peut désapprouver ce que les lois de l’islam l’ordonnent.
Si soutenir l’homosexualité est déjà en soi une apostasie comme vient d’en faire l’amère expérience le Dr Muhammad Yunus, alors quelle sentence canonique va-t-on prononcer à l’encontre de l’insolent qui commet le sacrilège de désavouer et disqualifier la violence et les coupables ?
En toute évidence, ces exactions frappées du sceau du sacré infâme sont tout simplement licites et conformes à l’esprit et à la lettre du vrai islam.   Comme si la violence est une sorte de liquide rachidien pour les musulmans et que son asséchement  peut entraîner la disparition de l’islam lui-même. En
le régénérant quotidiennement, on maintient en vie cette idéologie devenue de plus en plus néfaste et périlleuse pour la vie des siens qui n’ont pas choisi de naître musulmans et qui se trouvent musulmans contre leur plein gré.
L’islam a toujours servi de catalyseur à la violence.
Elle ne s’est pas intensifiée aujourd’hui contrairement à ce qu’allèguent ses laudateurs ignorant de l’histoire des crimes contre l’humanité perpétrés au nom de l’islam depuis que cette idéologie  de l’épée comme langage de conversion, de pillage, de rançon et de brigandage  a quitté son désert aride et inhospitalier d’Arabie.
L’islam, religion de paix et non-violence n’est pas un oxymore, c’est la pire offense qu’on puisse lui faire.
N’est-il pas curieux qu’il n’existe aucun apôtre  musulman de la non-violence ou un humanitaire digne de ce nom qui fait le bien pour tous les hommes sans distinction depuis que la naissance de l’islam et que les figures les plus illustres de cette religion sont tous des monstres de la cruauté humaine ?
Quand aux savants dits arabo-musulmans, rares sont ceux qui ont pris ouvertement le parti de la non-violence.
Tout humain a le droit plus que jamais de s’inquiéter du déferlement de la violence musulmane sur le monde d’une part et a le devoir d’autre part d’agir par tous les moyens surtout peser sur les politiques de ses gouvernants à l’égard du bellicisme musulman. Il est temps que l’islam comprenne qu’à force de jouer au pyromane, il finira par s’en embraser lui-même. Le feu tue aussi le feu.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.