Archives du mot-clé Riposte

Si guerre il y a, elle ne peut être que contre l’islam ou rien

Paru dans Dreuz sous le titre: « C’est l’islam que la France doit combattre, pas son avatar daechien »

Afficher l'image d'origine

On cherche les commanditaires des attentats terroristes qui viennent d’endeuiller la France et lui infliger l’un des pires traumatismes de son histoire récente, alors qu’il suffit d’interroger le Coran pour comprendre que c’est lui et lui seul, la source de motivation des auteurs des attentats.

Les djihadistes ne sont pas les enfants de Satan, ils sont la créature d’Allah et de Mahomet. Nourris au biberon de la haine et de l’effroi, du berceau à la mort. C’est en leurs noms qu’ils accomplissent leurs forfaits, pas de Yahvé ou Bouddha.

Ils sont les armées de l’islam dans sa conquête du monde. Depuis 1436 ans. Et elle ne s’achèvera que le jour où l’islam sera le nouvel ordre mondial pour toute l’humanité.

Mus pour un seul idéal : détruire l’humanité non-musulmane afin d’instaurer les lois de l’islam aux quatre coins de la terre, et introniser Allah comme le Roi de l’Univers.

Le nom du vrai commanditaire des attentats du 13 novembre 2015 ne fait pas l’ombre d’un doute. Il est connu de tous, mais on continue à le draper dans sa vertu et le faire passer pour la victime. Comme si on avait peur de lever le voile sur son identité, de commettre un sacrilège ou de violer un tabou. On préfère balancer des noms de lampistes, comme ce Belge combattant au sein de Daech, qui aurait télécommandé le carnage parisien, et dont les médias ne cessent d’insister sur la nationalité d’Outre-Quiéverain, sans jamais dire que le prétendu cerveau des attentats est tout simplement musulman, et qu’il suit rigoureusement la feuille de route mahométane qui n’est pas un hymne à la vie ni une ode d’amour et de paix.

Les djihadistes que le Coran appelle moujahiddounes, soldats d’Allah, sont – n’en déplaise aux zélateurs de l’islam – les vrais musulmans au sens mahométan du terme.

Ils sont fidèles aux prescrits coraniques qui ordonnent aux musulmans de prendre les armes contre les « infidèles », dont le meurtre est licite, et n’engage aucunement la responsabilité de leurs auteurs, dont les agissements criminels sont couverts par Allah (sourate 9, verset 30). Ils sont encouragés à les pourchasser jusqu’au dernier, à irriguer la terre de leur sang, et installer dans leur coeur l’effroi.

La source du djihad armé est le Coran lui-même.

Il y a suffisamment de sourates qui font froid dans le dos et légitimerait l’interdiction du Coran, comme les sourates d’Al-Imrane, Al-Anfale, le Butin, la Baqqara, la Vache, An-Nissa, les femmes, Al-Fatah et la Victoire éclatante.

Mais nos hommes politiques et leurs serviles médias mettent une sourdine sur la vérité de l’islam, l’endoctrinement coranique, qui muterait un chien de compagnie en pit-bull.

Que leur faut-il de plus que les textes fondateurs de l’islam, le Coran et les Hadiths, même s’ils sont sujets à controverse ?

Selon Abou Oumama, le Prophète a dit : « Celui qui n’a pas combattu, ou n’a pas équipé un combattant, ou encore n’a pas remplacé un combattant dans sa famille, subira une calamité de la part de Dieu avant le jour du Jugement. » (Abou Dawud)

Des propos parmi tant d’autres, qu’il est superflu de les énumérer tous, mais qui édifient sur la place du djihad armé dans l’islam, glorifié, encouragé par le fondateur de l’idéologie islamique, et permet d’en finir avec le bal des vautours qui rôdent sur les corps de nos victimes.

Ils se font un malin plaisir à tendre l’oreille aux imams, qui sont les premiers à semer les graines de la violence, du nihilisme destructeur. Ils décrivent l’abomination des non-musulmans et des apostats et les plantent dans les coeurs de leurs condisciples.

Les morts de cette nuit de Cristal parisienne conçue, écrite et mise en scène par l’islam, cet objet de fascination de nos gouvernants, ne sont que des mécréants qui ont eu le sort qu’ils méritent, selon le Coran.

Le livre saint de l’islam réserve la place de choix à ses « héros » tombés sur le champ de bataille (sourate Al-Imrane, verset 169 ) : « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d’Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus ».

Les djihadistes ne sont pas victimes du système. Ils sont les purs produits de l’idéologie musulmane qui les a façonnés, formatés et modelés pour les besoins de sa cause, jouant sur leur crédulité et leur état d’immaturité psychologique. C’est pourquoi l’islam doit être placé sur le banc des accusés pour incitation aux crimes contre l’humanité.

Le terrorisme est un des piliers de l’islam, il en a fait la valeur suprême de sa foi, le stade ultime de tous les croyants qui veulent bénéficier de la meilleure place au paradis et s’attirer les grâces d’Allah, qui ne jure que par les djihadistes.

Ces derniers ont toutes ses faveurs, contrairement à la masse de mollassons musulmans que nos médias aux ordres appellent modérés :

« A : Que ce personnage combatte, dans le Chemin d’Allah, ceux qui troquent la [Vie] Dernière contre la Vie Immédiate !
B : Que combattent, dans le Chemin d’Allah, ceux qui troquent la Vie Immédiate contre la [Vie] Dernière.
A ceux qui, combattant dans le Chemin d’Allah, sont tués ou sont vainqueurs, Nous donnerons une rétribution immense.» (Sourate 4, versets 76/74)

Sourate 4, versets 97/95 à 98/96 :

« (…) A tous, Allah a promis la très belle [Récompense, mais] Allah a mis les Combattants au-dessus des non-combattants, en [Sa] rétribution immense, dans la hiérarchie [qu’ils occupent ] , par rapport à lui, [dans Son] pardon et [Sa grâce]. Allah est absoluteur et miséricordieux.»

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.