Ni islam modéré, ni islam par héritage, c’est un islam totalitaire et nazi que les musulmans ont peur de quitter

Les musulmans qui se veulent modérés sans convaincre personne même pas eux-mêmes  de leur sens de la modération sauf les islamo-compatibles, les médias lèche-babouches, les politicards vendus et les écolos font enfin tomber le masque de la modération en passant à l’action pour enlever toute ambiguïté sur leurs rapports controversés avec l’islam.

En effet, ayant finalement compris qu’ils ne peuvent plus s’identifier à une religion qui  ne correspond pas tout  à l’idée qu’ils se font d’elle et ô combien elle est à des années-lumière de celle qui leur aurait été léguée par leurs parents, ils se sont enfin résolus à renoncer définitivement à l’islam pour en finir entre cette forme de schizophrénie qui les perturbe inconsciemment et source de tous leurs tourments. Un musulman qui doute et réfléchit est un impie.

Les musulmans sont avant tout des Ignorants,ils ne connaissent  rien aux arcanes Grand Fracas islamique qui sert d’épouvantail à l’islam pour les effrayer et les apeurer. Ils se veulent tous des connaisseurs de leur sans même avoir ouvert le coran ce qui va de soi un taux d’illétrisme de plus de 70% outre leur méconnaissance totale et absolue de la langue arabe, la langue de la liturgie islamique. Ils  font de leur inculture théologique une parfaite connaissance de l’islam au point qu’ils considèrent leurs coréligionnaires les plus fidèles à l’enseignement mahométan comme étant des hérétiques, ils ont pris conscience qu’ils n’avaient plus le choix soit ils sont sont véritablement musulmans et par conséquent la voie de l’islam celle empruntée par  les forces de frappe de l’islam qui sont dans le sentier d’Allah, djihad, comme Daech, les Wahhabites soutiens idéologiques et financiers, Boko Haram,Ennahdha, la Qaïda et de tous les courants musulmans qui convergent vers un islam rigoriste, unitaire et originel,soit ils ne le sont pas et ils rejettent leur pseudo héritage musulman,

Il semble d’après un juriste tunisien expert en droit musulman Yadh Ben Achour qu’il existe l’islam par héritage comme si leurs parents avaient la faculté d’avoir enfanté un islam qui n’est pas tout-à-fait un islam, remanié, retouché et adapté à leur environnement local.

On hérite pas d’une religion comme on hérite des caractères génétiques de nos parents dont on ne peut pas par conséquent se défaire. Or, la religion est un bien immatériel, une croyance qui infériorise l’homme et accorde la préminence à une force supra naturelle invisible sacralisée et idéalisée , un code de valeurs morales, un code de bonne de conduite, une feuille de route censée lui indiquer le chemin qui lui assure la félicité pour l’éternité.

Faute de leur procurer les moyens nécessaires à l’amélioration de leurs  conditions de vie terrestres on les éblouit avec le mirage de la religion salvatrice des âmes qui ont peur de la mort et afin de les détourner du banquet de la nature réservée aux nantis qui se servent de la religion pour inhiber les masses défavorisées.

La religion est un verou de la pensée humaine et l’atout du maître du pouvoir notamment dans les pays musulmans pour embrigader et abrutir les peuples et  les emmurer dans un bunker mental mental afin de les figer dans l’immobilisme et empêcher toute forme d’évolution et de progressisme.

Sous prétexte que c’est un legs familial, il doit être conservé en l’état, intact et inerte, un corps momifié et sans vie, sur lequel les héritiers doivent veiller tout au long de leur propre vie et auxquels il revient de le transmettre en l’état à leur descendance  qui doit faire autant de son côté et ainsi de suite jusqu’à la fin des temps. Drôle de culture de l’immuabilité qui ne marque aucune rupture avec celle qui prévaut dans l’islam fondamentaliste qui doit se perpétuer en l’état indépendamment des générations et des lieux.

Ainsi l’islam par héritage ou fondamentaliste apparaît comme une chaîne qui relie solidement  les hommes-esclaves entre eux et qui doit résister à l’usure du temps et à la réflexion humaine.

Dans le cas de l’islam fondamentaliste du fait du principe de l’irréformabilité du Coran qui est à la base de tout cela se conçoit,  mais ça ne l’est surtout pas dans le cas de l’islam par héritage, celui transmis par des parents dépourvus de tout sens critique majoritairement analphabètes  auxquels la lecture et la compréhension des textes étaient impossibles que leurs enfants sont tenus à le prendre au pied de la lettre, lui conférant un caractère sacré pour en faire leur icone ? Est-ce que les parents eux-mêmes avaient fait le choix de l’islam en toute connaissance de cause et qu’ils ont jugé cette religion la mieux à même à être transmise à leurs enfants qui eux-mêmes ne sont pas le clone de leurs parents pour reproduire fidèlement une génération plus tard le mode de vie sociale de leurs parents dans toutes ses composantes. Un héritage qui est en réalité un mécanisme d’aliénation et de castration  pour faire de l’homme un éternel sujet, sans volonté propre, sans capacité d’écrire lui-même son histoire et d’être acteur de ses choix de vie et de la forme de la société qui convient à ses aspirations et sa personnalité.

Avec des peuples pris dans les filets mortels de leur tradition et engoncés dans l’armure du dégoût de soi et du mépris de la vie, faisant de sa mort un idéal de vie, il est utopique de les imaginer un jour sortir de leur état de léthargie profonde et chronique et prendre ainsi conscience de la haute nocivité de ce produit qu’ils ont ingurgités sans rien connaître de ses propriétés incompatibles avec l’organisme humain qui affectent directement les neurones.

Réformer l’islam consisterait  à modifier la position de la terre par rapport au soleil. Si jamais les réformateurs musulmans y arrivent ce sera  la fin de l’islam. On ne doit pas attendre un miracle de la part des forces obscurantistes musulmanes que sont les wahhabites qui dominent de toute leur puissance financière le monde musulman et qui sont de surcroît les chouchous de l’Occident qui les cajole pour leurs énormes matelas énergétiques et financiers.

L’Occident mu par ses seules motivations vénales aux dépens de ses principes humanistes et moraux  est en train de se rendre complice du pire crime contre l’humanité qui puisse exister.

Ce qu’ils croyaient être l’islam par héritage et dont ils avaient leur fiereté était in fine une pure hérésie intellectuelle, une vue de l’esprit, une illusion d’optique, un mirage dans le désert arabique et qu’il n’y a qu’un seul et unique islam. Un islam pour tous et non pas pour tout un chacun.

L’islam n’est ni modulable, ni un habillage sur-mesure et encore moins objet d’interprétation. Censé être l’oeuvre d’Allah il ne revient pas aux fidèles d’y apporter la moindre touche d’accommodement.

L’islam de Mahomet est celui pratiqué scrupuleusement et fidèlement les vrais et bons musulmans  et dans lequel ils se reconnaîtrait s’il devait ressusciter qui sont le cauchemar des chrétiens d’Orient et du Nord du Nigéria et qui menacent de détruire Israël et l’Occident.

L’islam à la carte n’existe pas plus plus que le fascisme à la carte. Il n’y a pas d’islam fragmenté,  compartimenté, un super marché où tout un chacun trouve des produits à son goût, ni de demi-mesure dans la foi.

L’islam est un condensé d’éléments aux propriétés antinomiques amalgamés les uns aux autres, inamovible et intemporel ne laissant aucune marge de manoeuvre ni la moindre possibilité à ses fidèles de le mettre en conformité avec les exigences des lois des pays d’accueil et les lois internationales.

Il est lui-même la loi à laquelle le monde entier doit s’y soumettre et qu’il est du devoir de chaque fidèle d’y contribuer par tous les moyens généralement les plus illicites admis par le Coran au nom du principe la fin justifie les moyens.

Il est un tout, un ensemble hétéroclite à l’intérieur mais hermétique de l’extérieur à l’image de la météorite noire de la Ka’aba  où tous les composantes interagissent entre elles et se confondent pour donner l’illusion d’un corps soudé et uni qui porte en réalité en lui tous les germes des divisions et des contradictions conceptuelles. Une alchimie ratée., Au nom de sa prétendue pureté essentialiste il prohibe toute forme  d’innovation et d’introduction d’un élément étranger susceptible d’en modifier le fonctionnement et d’altérer sa mécanique.

Mahomet voulu créer une loi valable pour tous les hommes qui ne connaît ni le temps ni les espaces géographiques qui perdra tout son sens s’il laisse le soin à ses fidèles de la remanier en fonction de leurs besoins.

D’où sa hantise obsessionnelle à être démasqué si jamais ses fidèles qui osent exercer leur libre-arbitre se livrent à une lecture critique et méthodique de la chérence textuelle du Coran lui-même.

L’islam se cache derrière le paravent de la parole incréée et sa vaidité pour l’éternité afin  d’empêcher toute tentative d’individualisation des rapports entre le croyant et l’objet de sa croyance d’adaptation aux exigences de leur environnement social, humain, politique, économique.

L’slam veut faire du 7 e siècle et de la pensée bédouine de l’époque  un mode de vie ad vitam aeternam.

Pour Mahomet il n’y a qu’une seule voie, tariq, chara’a, celle que tous les musulmans doivent emprunter s’ils ne veulent pas finir cramer en enfer.

En se proclamant modérés, ces musulmans qui ont mis un point d’honneur d’en finir avec leur hypocrisie maladive ont pris conscience que leur boussole intellectuelle est défectueuse et que leur chemin est une anti-thèse de celui de Mahomet qui voue une sainte horreur aux musulmans qui ne sont pas dans la voie de l’islam qui ne sont rien d’autre à ses yeux que des apostats dissimulés. Soit on est musulman et on applique les principes fondamentaux de sa religion soit on ne l’est pas et on prend la porte de sortie. Ernest Renan l’avait rêvé, les musulmans dits modérés dans la mesure où leur turbine djihadiste n’était pas opérationnelle, l’ont fait.

Désormais, il ne faut plus jamais affubler les musulmans du masque de la modération puisque ces musulmans n’existent plus en tant que tels.

Nous devons tous aujourd’hui leur rendre un vibrant hommage pour leur clairvoyance hors du commun, leur courage admirable, leur lucidité incroyable. Qui oserait douter encore de leur pespicacité et de leurs immenses vertus humaines ?

Le grand soir des musulmans modérés dans leur ignorance de l’islam a échappé au regard avisé des médias concentrés surtout sur les boucheries des vrais musulmans, il est grand temps d’en faire l’écho et de relayer en boucles l’information historique sur la rupture définitive entre la majorité musulmane qui n’avait de musulmane que l’étiquette et l’islam fondamentalement mahométan. Celui qui s’enivre du sang de ses victimes et se nourrit de leur chair.

L’islam de la terreur et des conversions au fil de l’épée. Un islam qui dépasse en horreurs le nazisme et auquel le monde capitulard devrait lui décerner le palmier d’or du génocide des peuples et de la destruction de la vie.

En y renonçant, les musulmans égarés plutôt que modérés viennent de sonner le glas de l’islam.Ce n’est qu’une utopie qui ne se réalisera jamais car ils sont dans leur rôle d’agents de la takkiyia.

3 réflexions sur « Ni islam modéré, ni islam par héritage, c’est un islam totalitaire et nazi que les musulmans ont peur de quitter »

  1. C’est un lavage de tête oeuvré par l’Occident avec ses labos israéliens et américains, et payé par l’Or Noir.
    Que vont-ils faire avec ces mercenaires égarés et où vont les loger, ou les décimer?
    Vive la démocratie!!!
    Il y a le retour du Bâton, le boomerang…
    Le futur proche en parlera.

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